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25 novembre 2019

Commentaires

P.A.

Merci pour ce billet Monsieur Bilger,

Ce n'est pas simplement pour se faire voir, ou faire parler d'eux, d'elles, qu'ils, elles, jouent les défenseurs, les défenseuses.
Quelquefois, certains, certaines, font partie des bourreaux qui ont détruit des vies. Ils, elles, se cachent derrière un masque.

Ils, elles, quelle parfaite parité ! Tellement assortie à celle du gouvernement Macron.

Oh, mon dieu, comme il y avait du monde pour la manif contre les violences faites aux femmes, mais combien de sincères ? Et combien d'insincères masquées ?

Giuseppe

@ Achille | 04 décembre 2019 à 21:26
@ sbriglia | 04 décembre 2019 à 14:47

Aujourd'hui ce ne fut pas le "Désert des Tartares", en direct:

https://www.linternaute.com/actualite/politique/1400354-direct-manifestation-du-5decembre-des-chiffres-impressionnants-et-des-violences/

Et les jours à venir ne seront sans doute pas non plus:

http://www.jolietendresse.com/tag/tendresse-douceur%20-%20poemes-citations/

Mais plutôt:

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/video-corteges-fournis-metros-a-l-arret-la-greve-du-5-decembre-resumee-en-chiffres_2110072.html

Achille

@ sbriglia | 04 décembre 2019 à 14:47

Eh oui, que voulez-vous mon bon sbriglia, j’ai toujours eu tendance à penser que les Français ne sont pas aussi neuneus que certains esprits chagrins s’évertuent à nous le faire croire.
C’est mon côté "cœur vaillant" hérité de mon éducation chez les maristes qui continue à se manifester plus d’un demi-siècle après.

Pas sûr que les fake news généreusement envoyées sur les réseaux sociaux par la CGT auront l’effet escompté, mais je peux me tromper (j’avoue en toute modestie que cela m’est déjà arrivé). Encore que des sondages semblent vouloir me donner raison.
A mon avis, le "Grand soir" ne sera pas tout de suite. Mélenchon, Marine Le Pen, Martinez et leurs sbires devront attendre encore un peu.

Mary Preud'homme

@ sbriglia | 04 décembre 2019 à 14:47

Ravie de vous voir de retour sur ce blog pour nous parler de la météo telle qu'en réalité en général et du climat social en particulier !

sbriglia

« ...les sondages indiquent que la journée du 5 décembre s’annonce comme un magnifique flop. »
Rédigé par : Achille | 02 décembre 2019 à 08:47

...Où l’on remarque que l’enseignement des bons pères maristes devait faire l’impasse sur l’analyse des conflits sociaux…
Il faut imaginer Achille présentateur météo : « demain grand ciel bleu et températures printanières sur l’Hexagone »
…et 67 millions de Français, trop confiants, de s'enrhumer…

merlin

Les gens de peu, comme le disait un de nos meilleurs sociologues, n'intéressent pas les stars médiatiques et forcément inversement entre eux et ces pseudo-faiseurs d'opinion un fossé grandissant s'est creusé. Vous avez raison de le souligner mais tort de ne pas inviter ceux qui n'ont pas droit aux pétitions à vos rencontres.
Cordialement.
Un de vos lecteurs

Achille

Il y a les petits les obscurs qui n’ont pas droit aux pétitions et puis il y a les excités qui s’emploient à en pondre une tous les matins.
Quand on s’attarde sur leurs arguments, leur charisme, on a du mal à comprendre que des médias puissent encore s’attarder à leur servir de tribune tant ils sont médiocres.

Pauvre CGT ! Philippe Martinez est tellement mauvais que ce syndicat a dû se résoudre à aller chercher son ancien secrétaire général, Bernard Thibault, célèbre pour sa coiffure à la Playmobil, et qui coulait des jours paisibles avec sa retraite dorée.
Seule solution qu’elle a trouvée pour sauver les meubles, vu que les sondages indiquent que la journée du 5 décembre s’annonce comme un magnifique flop.

Quant à Adrien Quatennens, l’arme fatale de LFI, vu que Jean-Luc Mélenchon est définitivement grillé politiquement, il ne veut rien de moins faire reculer le gouvernement, fort de son escouade d’illuminés. Il fait penser au sergent-chef Chaudard de la Septième Compagnie.

Attendons les élections législatives de 2022. Tout laisse à penser que les députés de LFI seront balayés de l’hémicycle où ils resteront dans les mémoires de cette auguste assemblée comme un énorme gag.
A défaut de convaincre, ils auront au moins réussi à amuser la population pendant cinq ans. :)

Mary Preud'homme

Vendre des armes ou sécuriser nos ressources en matières premières ? Telle est la question essentielle. Pourquoi ne pas le dire franchement, en calculer les risques et les bénéfices au lieu de continuer à nous tromper honteusement ?

breizmabro

@ Robert Marchenoir | 29 novembre 2019 à 18:09

"Un jour, si vous êtes sage, je vous raconterai comment la célèbre photo de Doisneau a été prise et comment travaillait Doisneau."

Bon, où est la critique puisque TOUT LE MONDE sait comment a été faite la mise en scène de cette photo ?

Comment travaillait Doisneau ? c'était un filmeur, ce n'est pas négatif (si j'ose dire) comme constat. Il arpentait les rues et multipliait les prises de vue sur ses sujets et les ambiances qu'il aimait. C'était son truc. Point barre.

"Perso j'ai rencontré plusieurs fois Doisneau en 83. Et vous ?"

Ben oui contrairement à vous sans doute.

La première fois c'était au salon de la photo. Après nous sommes allés avec une dizaine de photographes professionnels dîner dans un resto. Les échanges étaient plutôt cool.

Après nous nous sommes revus pour un reportage que je devais faire pour un catalogue d'antiquaires sur les lithographies. Comme il avait eu cette formation je lui ai demandé des conseils pour les mettre en valeur. No problemo il m'a donné quelques conseils à ce sujet.

Je l'ai revu en d'autres circonstances professionnelles mais malheureusement je n'ai pas gardé mon agenda pour vous transmettre les dates.

En même temps j'ai bien connu, aussi, le Professeur Cabrol qui venait dès qu'il le pouvait au Moulin blanc (Brest) où était amarré son bateau qui, lui aussi, aimait voir de vraies gens, des gens normaux qui boivent et qui rient en bonne compagnie (pas comme vos ami.e.s startuppeurs façon Manu).

Je vous prie de m'excuser Martchi d'avoir connu ces gens.

Adéo Martchi. Adéo Marchenoir.

breizmabro

@ Deviro 29 novembre 22:32
"Bref instant de lucidité... Adeo Martchi"

Ben oui ou bout d'un moment faut lâcher l'affaire. Adéo Martchi ! Bonjour Marchenoir.

(Nos "relations" (avec Martchi) se sont détériorées quand j'ai 'osé' lui expliquer que le restaurateur dont il me parlait avait été mis en liquidation judiciaire parce qu'il ne savait pas calculer un prix de revient alors que lui soutenait que le restaurateur en question (?) avait mis la clé sous la porte au prétexte qu'il ne trouvait pas de personnel.)

Maintenant il fait un blinz socialo-communiste, façon Pravda (J'ai la vérité) pour me dire que Doisneau était ce qu'il aime le plus dans ses photos : la représentation des gens du petit peuple, des gens de peu etc. etc.

Doisneau ? Une espèce de photographe des Gilets jaunes avant l'heure en somme :D

Deviro

@ breizmabro | 28 novembre 2019 à 15:43 (à Robert Marchenoir 28 novembre 14:20)
"Soignez vos remontées acides et tout ira mieux."

Bref instant de lucidité...
Adeo Martchi

Noblejoué

Après la guerre des images, la paix des images.
Belles. Parfois "naturelles", parfois plus artificielles que de la mise en scène, calculées.
On parle d'un Franco-Américain. D'union entre la science et l'art.

Et quelle beauté !

https://www.futura-sciences.com/sciences/photos/photos-beaute-art-fractal-645/

Tomas

@ Michel Deluré

Merci de votre réponse très instructive, me voilà bien avancé !

Si la droite n'est même pas capable de se définir, faudra pas pleurer si les électeurs font défaut !

Robert Marchenoir

@ breizmabro | 28 novembre 2019 à 15:43
@ Robert Marchenoir 28 novembre 14:20
"Je vous l'ai déjà dit"
"Vous pouvez le répéter ? Non bien sûr puisque je n'ai jamais critiqué une photo de Doisneau ; dire que la photo vendue comme 'prise sur le vif' alors que Doisneau l'avait mise en scène n'était une critique ni du photographe ni de la photo mais de l'exploitation qui en a été faite."

Puisque vous êtes à la fois analphabète et hypocrite, je reproduis plus bas vos commentaires concernant Robert Doisneau. Juste pour rire. Histoire qu'on comprenne bien comment, dans la France de 2019, n'importe quel médiocre s'autorise à calomnier les maîtres.

Et prétend n'avoir pas dit ce qu'il a dit, en plus, histoire de bien enfoncer dans les têtes que le mensonge n'est plus une mauvaise action, mais une manière d'être parfaitement admise par ceux-là même qui passent leur temps à donner des leçons de morale à tout le monde.

En effet : vous n'avez jamais véritablement, honnêtement critiqué une photo de Doisneau, car vous en êtes bien incapable. C'est exactement ce que je vous ai reproché.

Vous vous êtes contentée de suggérer que ses photos ne valaient rien, et d'insinuer que l'homme lui-même avait des pratiques contestables -- mais sans rien alléguer de précis, naturellement. Vous avez répandu des rumeurs, sali et diffamé.

Tout en en profitant pour vous hausser du col aux dépens d'un homme qui a ajouté à la beauté du monde : vous, vous avez exposé quelques photos sans importance dans une salle des fêtes de province, ce qui vous autorise à calomnier un maître de la discipline ; vous, vous avez rencontré Robert Doisneau, ce qui vous permet d'insinuer à la fois qu'il était un mauvais photographe et un homme peu recommandable.

C'est exactement ce que j'ai écrit.

Et vous insistez, en plus. Vous n'avez pas la moindre honte.

***

@ Savonarole 25 novembre 15:50

"Un jour, si vous êtes sage, je vous raconterai comment la célèbre photo de Doisneau a été prise et comment travaillait Doisneau."

"Mais chuuut on ne touche pas aux rêves... ;)"

"Adéo Savonarole"

Rédigé par : breizmabro | 26 novembre 2019 à 12:51

***

@ Pierre Blanchard 25 novembre à 16:57

"Oups ! j'ai répondu à Savonarole sans voir lu votre lien, mais dans le monde de la photographie, que j'ai pratiqué longtemps, tous les photographes savaient que c'était [Le Baiser de l'Hôtel de ville] une prise de vue 'composée'."

"Elle a fait rêver beaucoup d'apprenti.e.s photographes (surtout parce qu'elle a été bien exploitée et bien vendue ;))"

"Chez Harcourt il [Robert Doisneau] était considéré comme un filmeur. 'Sur 24 prises de vue si tu n'en as pas UNE qui sorte du lot, fais photographe de presse' disait-on."

"Aujourd'hui avec le numérique, pour avoir UNE photo potable, en couleur (!), tu mitrailles, pas besoin de composer, 'sur la centaine tu en trouveras bien UNE de formidable' :D"

Rédigé par : breizmabro | 26 novembre 2019 à 13:16

***

Je passe sur vos dénégations et vos diversions ultérieures, qui finissent en apothéose avec un comparatif grotesque entre deux figures de la photographie :

@ Robert M 27 novembre 15:28
[...] "Perso j'ai rencontré plusieurs fois Doisneau en 83. Et vous ?"

@ Mary Preud'homme

"Je ne sais plus à quelle heure vous manifestiez votre souhait de venir découvrir 'vos œuvres'."

"Pour Pierre Blanchard je ne sais pas mais les miennes d' 'œuvres' (sic) ont été exposées au musée de Bretagne de 1990 à 1993. Elles concernaient dans une première exposition un reportage sur les goémoniers avec chevaux, et la deuxième exposition concernait un reportage sur les sauveteurs en mer."

"Aucune photo n'était truquée."

"Dommage que vous n'ayez pu les voir, elles étaient toutes en noir et blanc format 70 x 80."

"(Pour la petite histoire j'ai obtenu le prix du Club de la presse de Rennes dans la catégorie 'reportages en Bretagne'. Je l'avais bien mérité vu que j'avais beaucoup vomi dans les creux de 15 mètres lors de mon reportage sur les sauveteurs en mer.)"

Rédigé par : breizmabro | 27 novembre 2019 à 19:44
______

Après ceux qui auraient fait mieux que Doisneau à la place de Doisneau, nous avons ceux qui auraient fait mieux que Beltrame à la place de Beltrame. Nous avions les généraux en pantoufles, ils sont rejoints par les anti-terroristes en cabriolet :

Savonarole | 29 novembre 2019 à 15:06

"Salut sylvain,
On va encore me jeter des pierres, mais j’ai déjà manifesté mon étonnement qu’un lieutenant-colonel Beltrame abandonne ses troupes pour aller jouer Zorro devant un terroriste. On connaît la suite.
Aujourd’hui on nous sert un accident de la circulation au Mali pour un Panthéon de l’héroïsme, c’est tout de même pas Camerone cette affaire..."

La France, Mesdames et Messieurs. Multipliez ça par quelques millions, ça donne les Gilets jaunes.

Savonarole

@ sylvain 27 novembre de 09:07
"Quels sont les abrutis qui envoient des hélicos en pleine nuit noire dans des zones de tempêtes de sable malgré les techniques d'orientation dites "au point" par les ronds-de-cuir confortablement assis dans leurs bureaux climatisés ?"

Salut sylvain,
On va encore me jeter des pierres, mais j’ai déjà manifesté mon étonnement qu’un lieutenant-colonel Beltrame abandonne ses troupes pour aller jouer Zorro devant un terroriste. On connaît la suite.
Aujourd’hui on nous sert un accident de la circulation au Mali pour un Panthéon de l’héroïsme, c’est tout de même pas Camerone cette affaire... ni le dernier carré de Waterloo, ni « le réduit du cimetière de Saint-Privat », dont le tableau est visible au Musée d’Orsay. A l’origine ce tableau à pleurer s’intitulait « les Dernières cartouches ».

Macron y a trouvé son miel. Il menace de revoir notre engagement, il en profite pour remettre en cause l’OTAN, il bouscule les Allemands, qui dès qu’on leur parle de guerre se mettent à genoux devant Auschwitz et la tête dans le sable.
Toutefois ce serait chouette que les 100 000 Maliens qui vivent en France avec la carte Vitale, nous donnent un coup de main chez eux.

Wil

@ Noblejoué
"L'amour de loin, c'est beau. Grâce à vous, je vois que ça n'a pas disparu."

Je n'ai pas l'air comme ça mais je suis en fait un grand romantique.
Madame Bilger le sait et c'est pour ça qu'elle autorise souvent mes transgressions et provocations à deux balles d'adolescent attardé de presque 50 ans. En plus d'être un génie méconnu évidemment.

breizmabro

@ Robert Marchenoir 28 novembre 14:20
"Je vous l'ai déjà dit"

Vous pouvez le répéter ? Non bien sûr puisque je n'ai jamais critiqué une photo de Doisneau ; dire que la photo vendue comme "prise sur le vif" alors que Doisneau l'avait mise en scène n'était une critique ni du photographe ni de la photo mais de l'exploitation qui en a été faite.

Soignez vos remontées acides et tout ira mieux. Quand vous écrivez, on croirait voir Sabine Azéma dans le film "Tanguy".

Achille

C’est curieux comme une simple photo jointe au billet peut provoquer une avalanche de commentaires chaud-bouillants sur un photographe, en l’occurrence ce fameux Doisneau.
Et en plus, ce n’est même pas une photo prise sur le vif !

C’est encore Savonarole qui a mis son pataquès ! :)

Mary Preud'homme

@ Exilé

Effectivement au Québec les verbes niaiser ou déniaiser sont couramment employés et ce dans différentes acceptions.

Quant à moi j'avais précisé, sur injonction du sieur Inepte, avoir utilisé le verbe déniaiser au sens de pervertir (dénaturer).
Afin de réagir dans un premier temps à la critique virulente d'une commentatrice concernant le trucage et autres effets en photographie prétendument jugés indignes d'un vrai photographe... Alors que ce sont des techniques enseignées dans toutes les écoles de photographie, et qui relèvent bien de l'art de la prise de vue, lesquelles techniques - utilisées à bon escient avec ou sans accessoires - ont pour objet de valoriser le sujet choisi ou renforcer l'idée exprimée par l'image.

Noblejoué

@ Robert Marchenoir
"Si vous préférez ça aux vrais photographes, libre à vous, mais n'imposez pas vos goûts aux autres."

Je ne préfère rien, à force d'entendre parler photo, on se demande de quoi elles ont l'air. Je me demande aussi qui il faut être pour critiquer, soit comme compétence critique, soit artistique.

Curiosité. Je demande à Wil qui n'apprécie pas notre compagnie pourquoi il vient.
Je pose des questions, ce qui n'est pas forcément bien vu, comme un de mes héros de fiction préférés :

https://books.google.fr/books?id=crEwBgAAQBAJ&pg=PA8&lpg=PA8&dq=CORTO+maltese+pose+question+sourate+115&source=bl&ots=MiprDCMHBb&sig=ACfU3U1jjyqpSvOu0Ck1FwJl1Q8-LUl_Sg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi33YjthI3mAhUJFRQKHUwLDKwQ6AEwAnoECAoQAQ#v=onepage&q=CORTO%20maltese%20pose%20question%20sourate%20115&f=false

Robert Marchenoir

@ breizmabro | 28 novembre 2019 à 10:33
"Ah bon ? Qu'ai-je dit de si abominable sur les photos de Doisneau ?"

Cessez de faire l'imbécile. Je vous l'ai déjà dit. A défaut, relisez-vous.
______

@ Noblejoué | 28 novembre 2019 à 03:31
@ breizmabro :
"Pourquoi ne pas montrer certaines de vos œuvres sur le blog ?"

Arrêtez, malheureux ! nous allons avoir droit à la soirée diapos, l'interminable discussion de photo-club... Si vous préférez ça aux vrais photographes, libre à vous, mais n'imposez pas vos goûts aux autres.

sylvain

Avis Allah Copulation ! (ça c'est mon garde champêtre, facho réac raciste catho hétéro)

Un MIGRANT qui arrive en France reçoit 600€/mois (droit d'asile).

Sans compter qu'il est logé gratuitement par les municipalités islamogauchiasses et droites couil.. molles, tous collabos !!

Soigné prioritairement sans dépenser un centime etc. etc.

Fermez le ban !

Vite vite un démenti des nos islamogauchistes Ben Achillou Elusinou Tomassou, ça urge !

Michel Deluré

@ Tomas 27/11 22:56

Gauche et droite ont chacune des traits caractéristiques qui les identifient et ces traits ne sont pas valeurs pour la première alors qu'ils ne le seraient pas pour la seconde. Ne feignez pas de l'ignorer.

La différence entre la gauche et la droite n'est pas une différence entre bien et mal ou entre vrai et faux.
C'est la différence entre deux conceptions politiques qui tendent l'une comme l'autre vers un même objectif mais au sein desquelles les priorités ne sont pas les mêmes pour atteindre cet objectif.

La gauche est loin d'avoir toujours raison (ses erreurs économiques ne manquent pas !) et la droite n'a pas systématiquement tort (n'a-t-elle pas donné le droit de vote aux femmes ?).
Et si la gauche avait par exemple compris depuis longtemps que la montée de l'insécurité, dans tous les domaines, était avant tout dommageable aux classes les plus vulnérables dont elle prétend défendre les intérêts, elle n'aurait pas ouvert un boulevard aux extrémismes.

Iniepce ! @ Exilé

« Il s'agit là du sens français du verbe « déniaiser » mais je suppose que Mary l'a employé dans son sens québecois, signifiant plutôt instruire au sens large. » (Exilé)

Que ce soit en québécois, en hindoustani ou en swahili, l'emploi de « déniaiser » n'a aucun sens dans la phrase employée : "le trucage que vous semblez déniaiser"…

Mais le véritable problème est que la dame en question préfère s'enferrer, comme d'habitude, plutôt que de reconnaître un lapsus sans conséquence, relevé avec humour par l'intervenant, humour qui n'est pas, à la lire ici, sa qualité première…

breizmabro

@ Robert Marchenoir 28 novembre 09:06
"...et vous lui vomissez dessus en 2019"

Ah bon ? Qu'ai-je dit de si abominable sur les photos de Doisneau ?

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@ Noblejoué 28 novembre 03:31
"Pourquoi ne pas montrer certaines de vos œuvres sur le blog ?"

Parce que ce ne sont pas des "oeuvres", que je sais plus où j'ai mis les négatifs (eh oui c'était le bon temps de l'argentique), et que je crains par-dessus tout le critique artistique qu'est Robert Marchenoir qui doit travailler à ses heures perdues pour Télérama :D

Robert Marchenoir

@ breizmabro | 27 novembre 2019 à 19:44
"Perso j'ai rencontré plusieurs fois Doisneau en 83. Et vous ?"

Ah. Nous manquions de vantards sur ce blog, et de gens qui nous racontent leur vie sans rapport avec le sujet traité.

Donc vous avez rencontré plusieurs fois Doisneau en 1983, et vous lui vomissez dessus en 2019. Quinze ans après sa mort. C'est élégant, en effet.

On peut savoir en quoi le fait que vous ayez "rencontré Doisneau" change quoi que ce soit à ses photos, et au jugement que l'on peut porter dessus ? Si seulement vous vous livriez à une critique artistique de son œuvre artistique, ce serait une action légitime dans son essence, sinon avisée par son contenu. Mais non. Nous avons droit à quelques giclées d'acide sarcastique, avec force insinuations qui ne tiennent jamais leurs promesses. Dieu sait quel grief personnel vous nourrissez envers lui depuis 1983, et dont vous nous gratifiez des conséquences aujourd'hui !
______

@ sylvain | 27 novembre 2019 à 09:07
"Nous sommes des nuls à tous les niveaux... nous méritons ce qui nous arrive... nous sommes des guignols, des pantins, des charlots, des charlatans, des pieds nickelés."

A ce stade, on a envie de vous dire : parlez pour vous. Il est fascinant de constater cette délectation d'une grande partie de la soi-disant droite patriotique pour l'auto-flagellation et l'ethnomasochisme. On dirait que ça vous fait plaisir, de vous avilir.

Je ne compte plus les milliers de fois où j'ai lu "X nous fait honte à l'étranger", "les chancelleries du monde entier se moquent de X", X étant le nom du président de la République du moment -- mais on mettrait une chèvre à la place, ce serait pareil.

Bien entendu, cette honte est parfaitement imaginaire, et tous ces braves "patriotes" n'ont pas plus d'antennes dans les "chancelleries" que moi d'aptitudes au repérage de canalisations par baguette de sourcier. Elle reflète surtout leur mépris à eux, leur joie mauvaise d'imaginer un affaiblissement de la France, et bien entendu la propagande de diverses puissances étrangères qui ont tout intérêt à démoraliser les peuples occidentaux. La Chine prenant exemple sur la Russie, ces temps-ci.

Visiblement, l'essence du patriotisme leur est parfaitement étrangère. Il consiste, au minimum, à se sentir offusqué lorsque le président de la République est, par hypothèse, dénigré par des nations rivales ou adversaires. Quelle que soit la couleur de son bulletin de vote. Ces aimables plaisantins ne s'avisent pas que lorsque la Bordurie intérieure offense le chef de l'État français, ce n'est pas le parti X ou Y qu'elle a en ligne de mire : c'est la France.

"Right or wrong, my country" est une maxime qui est intraduisible en français, et pour cause. Les Français préfèrent régler leurs comptes politiques internes en passant par l'étranger. Dans tout pays normal, ça s'appellerait de la trahison, et c'est d'ailleurs pour cela que Donald Trump a quelques petits ennuis en ce moment.

Quant à vos conseils avisés sur le pilotage des hélicoptères en pays hostile, il faut admirer le toupet de généraux en pantoufles qui s'imaginent apprendre à nos aviateurs les périls du sable et du vol de nuit.

Exilé

@ Iniepce !
« "Déniaiser (qqn): rendre moins niais, débrouiller, dégrossir, dégourdir…
Faire perdre son innocence"... »

Il s'agit là du sens français du verbe « déniaiser » mais je suppose que Mary l'a employé dans son sens québecois, signifiant plutôt instruire au sens large.

A titre d'exemple, je me souviens avoir entendu il y a longtemps un universitaire français raconter qu'à l'issue d'un cours donné dans une université québecoise une des étudiantes est venue le remercier en lui disant « vous m'avez bien déniaisée ».

Achille

@ sylvain | 27 novembre 2019 à 15:50

Finalement mon bon sylvain vous êtes un peu le papa Schultz du blog.
Mais il y a un public pour ça. Notamment sur ce blog. :)

Noblejoué

Après la fête de tous les morts, la Toussaint, après le soldat inconnu, il faudrait le jour de toutes les victimes.
Cette mesure pousserait chacun à rivaliser pour en trouver de nouvelles, ce qui éviterait d'en ignorer, et diminuerait la concurrence des victimes, car on ne voudrait pas évincer les autres par peur de l'être soi-même.

Chacun a ses victimes préférentielles non ? J'assume, je vais reparler de celles dont on ne parle pas quand on les ravale pire qu'au niveau des bêtes, puisqu'on les y sacrifie.
C'est aussi une régression pour tous les humains : c'est en se servant des animaux qu'on a progressé, protéines pour cerveau, force de traction et remplacement des victimes humaines par une victime animale.

http://www.polyxenia.net/le-sacrifice-d-iphigenie-p1246678

Sur le WWF, persécuteur des peuples premiers au nom la conservation, et le triste sort des réfugiés de la conservation.

https://www.notre-planete.info/actualites/4106-pygmees-conflit-preservation-nature-WWF

J'incite à ne pas voter écolo. Si je sais pour cet énorme abus, les responsables écolos à plus forte raison.
Et que font-ils contre ? Donc quand ils critiquent les dirigeants pollueurs, je me dis que de dirigeant à dirigeant, ils pourraient comprendre la situation. Oui mais non, les moralistes de cette sorte se vengeront de ne pas être écolo au quotidien et de leurs abus sur les autres, comme l'ont fait leurs prédécesseurs monothéistes ou totalitaires.

Donc lynchage et fichage pour les autres sont prévus :

http://seppi.over-blog.com/2015/12/extremisme-ecologique-intimider-ficher-condamner-lyncher.html

L'églitarisme à la française, pourquoi je n'aurais pas droit à mon petit abus, hein, il est par trop cruel de m'en priver.

Pourquoi : tout abus est mauvais, il n'y a pas l'excuse de préférer des humains à d'autres mais des zèbres aux humains et enfin, avec tout cela, les écologistes peuvent oser se permettre de faire le morale.

Il y a leurs abus.
Il y a que je pense qu'après avoir nui au tiers-monde, ils pourraient créer quelque dictature ici.

Le monde actuel est loin d'être parfait... Et comme les gens n'ont pas compris qu'avec des êtres à l'intelligence au fond assez piètre, mimétiques, lyncheurs, souffrants et mourants, ça ne risquait pas d'arriver.
Sans comprendre pourquoi, il y a quand même des gens qui voyant les catastrophes où mènent les sauveurs, avaient compris que la politique est l'art du moindre mal.
Je ne dis pas le progrès impossible, mais en somme, comme dans l'alpinisme, il faut être prudent.

Les écologistes ont prouvé leur nocivité avant même que d'être au pouvoir chez nous.
S'ils n'ont pu commettre autant d'abus que dans le tiers monde, c'est parce qu'ils avaient toujours d'autres partis plus puissants autour d'eux.

Précédent : les communistes ont toujours commis le pire quand ils avaient carte blanche.
Au Kerala, non... Oui, mais cet Etat faisait partie de l'Union indienne.

https://www.persee.fr/doc/geo_0003-4010_1960_num_69_375_14758

L'Inde a certes le problème des castes, mais pas eu de totalitarisme... C'est une tradition occidentale et chinoise.
Pas indienne. Je crois bien plus à une possible dictature voire totalitarisme, par exemple vert, en France. Vu cet ADN, et donc, je crois qu'on peut se faire bien plus déborder par n'importe quel danger, en l’occurrence écolo. On se croit les plus forts, moi les déclarations "Avons-nous si peu confiance..." me font rire.
Ce n'est pas que je ne prenne pas la démocratie et autre au sérieux, je ne prends pas les gens qui perdent leur liberté comme d'autres leurs clefs au sérieux.

On adore, notamment les Français, l'idée de regagner sa liberté. Mais quoi, les Français ont chassé les Occupants ? Pour prendre moins odieux mais quand même, Napoléon ? Et... Et bref, ces histoires de j'aurais résisté ou pas masquent qu'on s'en fiche de qui aurait fait quoi, ce qui compte, c'est que le peuple n'est pas du genre à reconnaître que l'étranger l'a délivré. Qu'on ne sait pas garder notre liberté ni la reprendre.

Sachant cela, on devrait faire attention, plus que les autres. Eh bien non ! On veut essayer n'importe quoi, exemple, l'écologie qui promet tant, comme la dernière mode vestimentaire. Heureusement, ce qui n'est pas par ailleurs un bien, que les Français, en fait, culturellement, s’intéressent peu à la nature, parce que sinon... Des manques qui en compensent d'autres, c'est brillant, très brillant.

Faire attention à la liberté... et à la nature, dans ce qu'elle a de plus infime, ce n'est quand même pas impossible aux Français, Fabre et Caillois, ont, par exemple pour le premier énormément et très bien écrit sur les insectes, sans les dédaigner, Caillois écrivait aussi sur les pierres

Pierres de Roger Caillois
Je parle de pierres qui ont toujours couché dehors ou qui dorment dans leur gîte et la nuit des filons. Elles n'intéressent ni l'archéologue ni l'artiste ni le diamantaire. Personne n'en fit des palais, des statues, des bijoux ; ou des digues, des remparts, des tombeaux. [...]
Je parle des pierres que rien n'altéra jamais que la violence des sévices tectoniques et la lente usure qui commença avec le temps, avec elles. Je parle des gemmes avant la taille, des pépites avant la fonte, du gel profond des cristaux avant l'intervention du lapidaire. [...]
Je parle des pierres plus âgées que la vie et qui demeurent après elle sur les planètes refroidies, quand elle eut la fortune d'y éclore. Je parle des pierres qui n'ont même pas à attendre la mort et qui n'ont rien à faire que laisser glisser sur leur surface le sable, l'averse ou le ressac, la tempête, le temps. [...]

Noblejoué

Voyons, sur le fait de savoir s'il existe un consensus du rêve ou d'autre chose chez tout le monde, je crois qu'on peut dire que non.
Mais il y a beaucoup de presque consensus... Voyons, que trouver ?
Pour le classique et nature :

https://www.youtube.com/watch?v=uPz7PlrXBF4

Pour le reste :

Aux autres de compléter.

———————-

@ breizmabro

Pourquoi ne pas montrer certaines de vos œuvres sur le blog ?

Noblejoué

@ Will
"Pourquoi je viens ? Simple, je suis amoureux de Madame Bilger alors qu'on ne se parle pas et que je ne l'ai jamais vue."

L'amour de loin, c'est beau. Grâce à vous, je vois que ça n'a pas disparu.

Tomas

@ Lucile

Où voyez-vous de la condescendance chez moi ? Je réagis, c'est tout. Un peu vivement peut-être, encore que j'ai dû faire pire.

Je vous rejoins totalement, ce ne sont pas les gens que vous citez, et pour lesquels je vote faute de mieux (quand je vote, ça devient rare) qui permettront aux "sans-grade" d'accéder à la dignité.

Ça ne veut pas dire que la droite le peut aussi. Je trouve indécent ces hommages aux "petits", à la "France d'en bas", de la part des personnes dont le premier objectif électoral est avant tout fiscal.

Bref, pour moi la gauche conservatrice ou la droite sociale sont à inventer. Le libéralisme ? non merci, déjà qu'avec un Etat, les dirigeants du CAC 40 et leurs séides se goinfrent jusqu'à l'indécence, imaginez sans celui-ci ce que ce serait.

Si Macron est aujourd'hui président c'est que Fillon s'est flingué tout seul comme un grand, bien aidé par son camp (la chose est désormais bien documentée), mais aussi en raison du vide idéologique des partis de gouvernement d'aujourd'hui. Qu'on sorte un peu des vieux schémas hérités des Trente Glorieuses et des préjugés de classe, et qu'on réfléchisse à ces nouvelles gauche et droite de demain, le processus est en cours j'imagine. Mais le recours aux slogans populistes, et les "hommages aux sans-grade" en sont, non merci, très peu pour moi.

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@ Michel Deluré

Si par "peuple", on entend les gens modestes (ceux qui n'ont pas droit aux pétitions, vous savez), non. La droite, ce sont les gens qui sont contre une intervention excessive de l'Etat dans l'économie, contre trop d'impôt et d'assistanat, pour l'esprit d'entreprise et la libre concurrence.

Effectivement si vous mettez dedans les petits artisans Gilets jaunes de la première heure (je n'ai jamais compris comment ils faisaient pour gagner aussi peu en travaillant tant, il y a là un mystère !), oui, là le peuple est de droite.

Vous parlez ensuite de valeurs. Voilà un mot qu'on ressort souvent, sans jamais préciser lesdites valeurs. Définissez-moi ces valeurs, je demande régulièrement ici et j'attends toujours. J'ai voulu savoir ici ce qui définissait le conservatisme, je n'ai eu que des réponses vagues. Je vous donne les valeurs de la gauche: laïcité, internationalisme, partages. Ne me répondez pas que la mise en application desdites valeurs n'a pas été parfaite, je suis au courant.

Enfin, je n'ai jamais dit qu'être de droite faisait de vous un paria dans la société, je suis tolérant et ouvert moi, j'aime bien les gens de droite, ils sont drôles. Et puis vu ce que ramassent les "gauchistes" ici, franchement, excusez-moi si je ne mets pas trop de pincettes, c'est mon côté venu du peuple qui parle !

Wil

@ Noblejoué
"Pourquoi venez-vous ? Le faites-vous dans d'autres blogs ? Si oui comment, si non, pourquoi ?"

Oh la la, ça beaucoup trop de questions à la fois pour mon cerveau d'alcoolo.
Je deviens une vraie curiosité, presqu'une star. Je vais avoir le melon si ça continue.
Pourquoi je viens ? Simple, je suis amoureux de Madame Bilger alors qu'on ne se parle pas et que je ne l'ai jamais vue.
Ensuite, non, je ne le fais plus ailleurs parce que qu'après l'avoir fait environ dix ans j'ai compris que les c*ns sont les mêmes partout.

breizmabro

@ Robert M 27 novembre 15:28
"Dire que Doisneau a commencé chez Renault (à 22 ans, donc) ne veut pas dire qu'il n'a rien fait avant. Cela veut simplement dire qu'une bonne partie de sa carrière s'est déroulée avant qu'il ne devienne Doisneau"

Ben oui Martchi puisque j'ai dit qu'il avait publié son premier reportage à 20 ans chez Excelsior.

"S'il y a une chose dont nous avons besoin en ce moment, c'est des photos de Doisneau, de son regard, de sa bonté, en bref de son art."
S'il y a une chose sur laquelle tout le monde est à peu près d'accord, c'est pour admirer les images simples et directes de Doisneau, qui touchent tout le monde, indépendamment des milieux, de l'éducation et du chiffre sur le bulletin de salaire (...) Tout ce qui est "consensuel" est mauvais"

Vous avez un petit côté "Gilets jaunes" qui m'avait échappé.

Perso j'ai rencontré plusieurs fois Doisneau en 83. Et vous ?

--------------------------------------------------------------

@ Mary Preud'homme

Je ne sais plus à quelle heure vous manifestiez votre souhait de venir découvrir "vos œuvres".

Pour Pierre Blanchard je ne sais pas mais les miennes d'"oeuvres" (sic) ont été exposées au musée de Bretagne de 1990 à 1993. Elles concernaient dans une première exposition un reportage sur les goémoniers avec chevaux, et la deuxième exposition concernait un reportage sur les sauveteurs en mer.

Aucune photo n'était truquée.

Dommage que vous n'ayez pu les voir, elles étaient toutes en noir et blanc format 70 x 80.

(Pour la petite histoire j'ai obtenu le prix du Club de la presse de Rennes dans la catégorie "reportages en Bretagne". Je l'avais bien mérité vu que j'avais beaucoup vomi dans les creux de 15 mètres lors de mon reportage sur les sauveteurs en mer.)

sylvain

@ Achille | 27 novembre 2019 à 14:15

Mon pôv' Achille, des affiches du RN moi ? vous êtes d'un ringard ! Trop mou trop compatissant ce RN, mes affiches sont plutôt du genre de celles qu'on voyait dans les années 40 ; le portrait de celui qui faisait fureur avec sa pétiteu poustache karrée au-dessus d'une croix biscornue ; en outre, étant cadre de cette organisation je ne vais plus sur les marchés me cailler les miches, j'envoie mes petits nazillous en formation.

Robert Marchenoir

@ breizmabro | 26 novembre 2019 à 21:47 + 27 novembre 2019 à 08:07
@ Robert Marchenoir 26 novembre 21:10
"Doisneau a commencé comme photographe commercial chez Renault"
"Faux ! Ses premiers reportages ont paru dans l'Excelsior lorsqu'il avait 20 ans. Il n'entrera chez Renault que plus tard dans l'équipe des 'publicitaires' de la maison."

Ah oui, tout de même... je n'avais pas l'intention de répondre à votre précédente sottise, mais puisque vous insistez et que vous vous enfoncez...

"Décidément Martchi vous êtes un incollable toutes catégories ;)"

Mettons que j'essaie de ne m'exprimer que sur des sujets que je connais. Mais je comprends bien que des personnes qui pratiquent le contraire tentent de promouvoir l'ignorance, de préférence au savoir. En noyant le tout dans le sarcasme pour tenter de brouiller les pistes.

"Déjà ne confondez pas 'prises de vue' et photos, ce sera un bon début."

Encore un point de marqué dans le vice franchouillard : prise en flagrant délit de raconter n'importe quoi, vous tentez de vous en sortir en pinaillant sur le vocabulaire. Il n'y a aucune différence entre photo et prise de vues, et y en aurait-il une, que cela ne serait pas un argument.

Concernant les débuts de Doisneau, je suis capable, tout comme vous, de recopier Wikipédia. Ce que vous n'êtes pas capable de faire, c'est d'avoir l'honnêteté de tenir compte de la signification d'un argument, au lieu de détourner l'attention sur son apparence.

Si j'ai rappelé les activités de Doisneau chez Renault, c'est pour montrer à quel point votre calomnie consistant à le présenter comme un photographe médiocre épris de célébrité était de mauvaise foi. Dire que Doisneau a commencé chez Renault (à 22 ans, donc) ne veut pas dire qu'il n'a rien fait avant. Cela veut simplement dire qu'une bonne partie de sa carrière s'est déroulée avant qu'il ne devienne Doisneau.

"Pour le reste..."

Pour le reste comme pour l'ensemble, vous n'avez rien à dire, mais vous tenez à ce que cela se sache.

Pour ma part, si je me donne la peine de relever votre insignifiante expectoration, c'est qu'elle est, hélas ! représentative d'une mentalité fort répandue, et qui contribue grandement à nos maux.

S'il y a une chose dont nous avons besoin en ce moment, c'est des photos de Doisneau, de son regard, de sa bonté, en bref de son art.

S'il y a une chose sur laquelle tout le monde est à peu près d'accord, c'est pour admirer les images simples et directes de Doisneau, qui touchent tout le monde, indépendamment des milieux, de l'éducation et du chiffre sur le bulletin de salaire.

Mais non : ça aussi, il faut que vous le détruisiez, que vous le salissiez. Tout ce qui est "consensuel" est mauvais. C'est, à n'en pas douter, l'ouvrage diabolique des "médias du système". Si le cliché veut que Robert Doisneau soit un "photographe humaniste", c'est forcément que c'est faux. Il a menti sur Le Baiser de l'Hôtel de Ville, on nous enfume, il y a complot, c'est évident -- d'ailleurs c'est un vulgaire "filmeur", et je pourrais vous en raconter de belles sur lui, seule mon éducation me retient.

La mentalité gauchiste de subversion systématique a tout infecté du sol au plafond -- y compris l'extrême droite, bien entendu. Les Gilets jaunes se suicident en s'écrasant délibérément sous les grilles séculaires des Tuileries qu'ils abattent ; vous, vous réglez son compte au déplorable Robert Doisneau.

Rien de ce qui est beau et bon ne doit se maintenir. Rien de ce qui nous dépasse ne doit subsister. Tout ce qui importe, ce sont mes copains dans mon bistrot (ou sur mon rond-point) ; et que tous les autres aillent au diable.

Tiens, quelques images pour nettoyer tout ça...

Savonarole

@ breizmabro de 13:01
« Savonarole : c'est vous le fautif ! :D »

Mais non voyons, mais je sais que vous me taquinez.
En fait la photo choisie par Pascale Bilger a tout déclenché. C’était du Doisneau pur sucre.
L’époque était riche en talentueux photographes, on oublie Eugène Atget sur le vieux Paris aujourd’hui disparu.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eugène_Atget

Noblejoué

@ Sophie
"Chacun est seul à se comprendre et s'enivre de ses propres opinions"

Certes, mais cela ne vaut-il pas mieux que de s’enivrer à quelque mouvement de foule ?
Au moins, ici, chacun fait son propre alcool, avec son petit alambic, il y a une certaine diversité.

Et vous remerciez madame Bilger, c'est très bien.
A se demander si vous avez choisi « Sophie » à cause de la sagesse ?

Chacun fait son truc, c'est forcément un peu alambiqué, sans compter qu'on ne le relit pas toute la journée...
Certes, si on se relisait davantage, on commettrait moins de fautes, on couperait plus dans son texte, et cela ferait moins de travail pour madame Bilger.

D'un autre côté, je trouve vraiment intéressant un mode d'expression incitant à faire quelque chose entre l'écrit et l'oral.
Et je ne m'en blase pas. Or la nouveauté, la nouveauté intéressante, il n'y en a pas forcément tant que ça.

Cela fait trouver un style différent, donc des pensées différentes, et avoir des rapports différents avec les gens.
Souvent, ils déçoivent, finalement... Mais je considère qu'ici, nous expérimentons.

Sophie

Le MALI

Un beau texte d'Ivan Rioufol qui résume très bien la situation au Mali mais aussi en France. Tout y est dit. Rien à rajouter.

Mali, les héros français pour oublier les lâches.

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2019/11/les-heros-francais-pour-oublie.html#comments

Achille

@ sylvain | 27 novembre 2019 à 11:03

Hé herr von sylvain. Vous avez regardé le téléfilm « Classe unique »avec Sam Karmann et Clémentine Célarié, sur France 3 hier soir ?
Je vous invite à le voir en replay avec vos potes colleurs d’affiches du RN lors de votre prochaine soirée apéro saucisson pinard.

Sensible comme vous l’êtes, je suis sûr que vous verserez votre petite larme ! :)

Iniepce !

"A l'intervenant de 10:04 qui n'a pas honte d'utiliser comme pseudo le prénom de l'inventeur de la photographie, il convient de rappeler le sens du verbe "déniaiser" tel qu'employé dans le contexte : pervertir, corrompre."
Rédigé par : Mary Preud'homme | 27 novembre 2019 à 11:52

Ah ! Tiens !

On ne doit pas avoir les mêmes dictionnaires !

"Déniaiser (qqn): rendre moins niais, débrouiller, dégrossir, dégourdir…
Faire perdre son innocence"...

Ex : "La Pompadour, plus jeune et moins déniaisée que la Preud'homme, ne m'a jamais fait des agaceries aussi vives" (pcc Rousseau).

Le trucage que vous semblez (déniaiser) corrompre ?

Pas français ! On corrompt quelqu'un, pas quelque chose…

Le trucage que vous semblez (déniaiser) pervertir ?

Idem !

Nie ! C'est fort ! C'est Mary !

breizmabro

@ Pierre Blanchard 26 novembre 23:34

Personnellement je n'ai rien contre Doisneau, ni vous non plus vraisemblablement, il était juste question de répondre à Savonarole que la prise de vue citée par lui avait été mise en scène. Et alors ?

Comme il avait bossé avec des publicitaires, sa photo a été bien vendue par des gens qui connaissaient la poloche. Et alors ?

Visiblement il y en a ici qui n'aiment pas la vérité.

——-

@ Savonarole

C’est vous le fautif ! :D

Adéo à Pierre Blanchard et à Savonarole

Mary Preud'homme

@ breizmabro | 27 novembre 2019 à 08:07

Eh bien non chère amie, si vous m'aviez bien lue, auriez compris que je parlais du noir et blanc en général et non de Doisneau en particulier.

---

A l'intervenant de 10:04 qui n'a pas honte d'utiliser comme pseudo le prénom de l'inventeur de la photographie, il convient de rappeler le sens du verbe "déniaiser" tel qu'employé dans le contexte : pervertir, corrompre.

boureau

@ sylvain 29 novembre 2019 20:07
"Honnis soient qui Mali y pensent"
Bon je m'y colle"

Je suis en plein accord avec votre diatribe:

"Nous sommes nuls à tous les niveaux... nous méritons ce qui nous arrive"

Ça fait du bien !

Cordialement.

sylvain

@ Achille | 27 novembre 2019 à 10:02

Désolé cher imam Ben Achillou, moi c'est plutôt apéro saucisson pinard devant la mosquée avec la bénédiction du curé du coin.

Buvez du thé Allah menthe, ça vous déconstipera les neurones.

Nicéphore

@ Mary Preud'homme 26 novembre à 21:38
"Sachant en outre que le trucage que vous semblez déniaiser a toujours fait partie intégrante de l'art et des techniques photographiques du noir et blanc ?"

Ah ! enfin ! un trucage puceau que Mary veut déniaiser !

On ne va pas lui en dénier le droit…

Achille

@ sylvain | 27 novembre 2019 à 09:07

Allons bon, voilà sylvain qui nous fait du Wil maintenant. Sans doute se retrouvent-ils au même bistrot où ils boivent leur rouge limé.
Mais janvier arrive bientôt, le mois sans alcool.
Un mois au canada dry leur fera le plus grand bien ! :)

Isabelle

@ sylvain
"Nous sommes des nuls à tous les niveaux : politique, social, sociétal, militaire, policier, justice, nous méritons ce qui nous arrive, une simple poignée de casseurs suffit à paralyser toutes les institutions du pays, une simple poignée de bédouins en pick-up et bombes artisanales tient en échec une armée dotée des meilleurs appareils de combat.
Nous sommes des guignols, des pantins, des charlots, des charlatans, des pieds nickelés.
Un futur président djihadiste, des chameaux pour la garde républicaine en djellaba, le drapeau du croissant rouge sur le minaret de l'Elysée, ça ne relève plus de la fiction."

Merci, sylvain, de nous faire rire de nos malheurs...

sylvain

Toujours pas de billet de Philippe sur nos treize soldats morts !

Honnis soient qui Mali pensent !

C'est bon je m'y colle :

Quand je parlais de 7ème compagnie en commentant les faits zéroïques de nos zarmées au clair de lune, je ne croyais pas être si réaliste.

Quels sont les abrutis qui envoient des hélicos en pleine nuit noire dans des zones de tempêtes de sable malgré les techniques d'orientation dites "au point" par les ronds-de-cuir confortablement assis dans leurs bureaux climatisés ?

N'ont-ils pas retenu la leçon des hélicos envoyés en Iran par Carter pour libérer les otages, et qui se sont scratchés dans des nuages de sable, sous les quolibets des Iraniens et du monde entier ?

L'exemple de Balavoine et Sabine ayant subi le même sort ?

En outre envoyer une armée droit de l'hommisme qui doit respecter des chartes humanistes envers des ennemis qui n'en ont rien à cirer des conventions de Genève, de l'honneur au combat et de la morale, ces con*eries qui handicapent toute action militaire efficace, c'est un crime organisé envers nos soldats, tout comme notre police en métropole qui doit s'excuser d'avance de devoir arrêter un délinquant sans s'attirer les foudres des même droits de l'hommistes, SOS Racisme, associations islamo-gauchistes.

Nous sommes des nuls à tous les niveaux : politique, social, sociétal, militaire, policier, justice, nous méritons ce qui nous arrive, une simple poignée de casseurs suffit à paralyser toutes les institutions du pays, une simple poignée de bédouins en pick-up et bombes artisanales tient en échec une armée dotée des meilleurs appareils de combat.

Nous sommes des guignols, des pantins, des charlots, des charlatans, des pieds nickelés.

Un futur président djihadiste, des chameaux pour la garde républicaine en djellaba, le drapeau du croissant rouge sur le minaret de l'Elysée, ça ne relève plus de la fiction.

Sophie

@ Wil
@ Noblejoué

Je viens d'apprendre que Mme Bilger corrige nos "petites bafouilles" et je l'en remercie sincèrement. Ces corrections sont toujours judicieuses et bien venues. Merci aussi pour sa patience dont je vais, sans doute, cesser d'abuser.

Nous écrivons parfois dans la hâte et entre deux activités, en amateurs.

Les blogs nous servent finalement de défouloir, d'exutoire mais au fond... à quoi bon ! Nous ne sommes pas Jupiter !

"Chacun est seul à se comprendre et s'enivre de ses propres opinions" (Wil nous parlait d'alcoolisme, justement).

"Ce que dit le voisin n'est qu'un tremplin pour rebondir et pour que chacun reste sur ses positions". Merci à Iñaki Uriarte une fois de plus pour son "esprit de finesse", l'agudeza espagnole...

Bien à vous tous. Cordialement à Mme Bilger.

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