Réclamer que le pouvoir et les autres formations politiques fassent l'objet de la même pugnacité médiatique que le RN, être toutefois aux antipodes de celui-ci et ne jamais voter pour lui, ce serait bizarrement la preuve que je serais d'extrême droite !
Consacrer un reportage partial et malhonnête au quartier de jeunesse nancéien de Nadine Morano dans l'émission "Quotidien" sur TMC, Valeurs actuelles soutenant ensuite la députée et dénonçant "la tyrannie des bien-pensants" et la "machine infernale" mise en place par Yann Barthès : ce n'est pas grave du tout puisque ce dernier se flatte, par dérision, "d'être enfin en 2019 en Une d'un hebdomadaire d'extrême droite" et que Nadine Morano n'en est probablement pas loin selon lui !
Interdire Sylviane Agacinski et François Hollande, détruire les livres de celui-ci, crier des propos haineux contre Eric Zemmour, pourquoi se retenir puisque il ne s'agit que de l'extrême droite !
Cette jeunesse de l'ultra-gauche si spontanément violente et si éprise de censure, pourquoi se priverait-elle puisqu'elle combat l'extrême droite partout, sous ses visages multiples, et qu'elle est alors forcément honorable et révolutionnaire ?
Soutenir la police contre les manifestants qui l'agressent et la préférer aux délinquants et aux criminels qu'elle a la charge d'appréhender, c'est clair, c'est une attitude d'extrême droite !
Proposer l'ordre, la sécurité, un état de droit pour tous et pas seulement pour les transgresseurs, une République exemplaire où le pouvoir donne l'exemple : on n'est pas loin du fascisme, c'est l'extrême droite.
Ne pas dévoyer le droit d'asile et prétendre contrôler l'immigration au lieu de la laisser se développer sans frein ni limite, une aberration d'extrême droite !
Ne pas éprouver une compassion unilatérale pour les sans-papiers en oubliant les quartiers qu'ils rendent insupportables dans la quotidienneté, une horreur d'extrême droite !
Vouloir que les forces de l'ordre investissent les cités de non-droit, mettent fin au trafic de drogue qui y prospère et soient défendues par un pouvoir courageux sans être forcément présumées coupables, une position douteuse d'extrême droite !
Désirer la restauration de certaines valeurs dans les collèges et les lycées comme celles du respect, de l'autorité, de la concentration sur le savoir, c'est suspect, donc d'extrême droite !
Détester la judiciarisation de la pensée, rêver de pluralisme, aspirer à des débats vraiment contradictoires, ne pas vouloir chasser Zemmour de l'univers médiatique, ce n'est pas possible, c'est d'extrême droite !
Demander qu'on soit impitoyable avec l'islam politique, qu'on ferme les mosquées salafistes, préférer, et de très loin, une Zineb même avec ses excès compréhensibles, à tous les idiots utiles qui créent le lit confortable de notre perte d'identité, c'est intolérable puisque c'est évidemment d'extrême droite !
Rappeler que la liberté et la responsabilité existent et que la société n'est pas coupable de tout, sentir la France déchirée, le gouffre s'aggraver entre ceux qui ont beaucoup et la masse qui a beaucoup moins, réclamer une représentation parlementaire plus juste du pays réel, c'est n'importe quoi car d'extrême droite !
Se plaindre d'une Justice trop lente qui n'exécute pas les peines qu'elle prononce, d'une justice dans laquelle et face à laquelle le citoyen est perdu, c'est une protestation populiste d'extrême droite !
Dire qu'on est égaré dans un monde "qui fout le camp", détester la superficialité médiatique, les histrions et les bonimenteurs à la petite semaine, c'est le signe d'une maladie incurable qui est l'extrême droite.
L'extrême droite est devenue notre parti unique.
Puisqu'il n'y a plus rien sur les plans politique, social, économique, judiciaire et culturel, national et international qui à un moment donné ne soit pas paresseusement récusé grâce à l'étiquette commode et compulsive de l'extrême droite.
Ce serait ridicule si ce n'était pas pathétique.
Pour en revenir au mensonge du pseudonyme Robert Marchenoir.
Sur l’article qui prétend que l’extrême droite libertarienne norvégienne aurait dû batailler pour obtenir des statistiques ethniques sur la délinquance et la criminalité en Norvège.
C’est tout simplement mensonger.
L’extrême droite ne voulait pas des statistiques ethniques, mais religieuses, car elle voulait amalgamer religion et délinquance, or en Norvège les statistiques ethniques et religieuses en la matière sont illégales. Voilà pourquoi Statistiques Norvège a refusé.
Donc l’extrême droite a prétendu avoir une victoire quand des statistiques ont été publiées avec les nationalités et l’immigration ; or ce n’est pas ce qu’elle demandait.
Problème absolu, c’est que de telles statistiques sont constamment publiées en Norvège, ainsi cela n’avait rien de nouveau, mais les autres prétendent en être à l’origine tout en faisant circuler une infox selon laquelle Statistiques Norvège voulait étouffer cela.
Plusieurs preuves, des études de 80 pages, avec un petit résumé en anglais, sur Statistiques Norvège.
Un document de 2011 qui indique que les immigrés impliqués dans des infractions, délits ou crimes le sont lors de leur arrivée en Norvège, plus ils vivent longtemps dans le pays, moins ils apparaissent dans les statistiques.
Les statistiques comprenant bien sûr les contraventions de tous types.
Les personnes que l’on trouve en très faible présence sont les immigrés salariés, qui immigrent avec un contrat de travail.
Ainsi, Statistiques Norvège conclut que si les immigrés qui ont un emploi sont moins susceptibles d’être présents dans de telles statistiques et que plus les immigrés vivent en Norvège plus ils font comme les autochtones.
Plus deux autres rapports de 2017.
Rien n’a donc été caché, étouffé et rien n’est arrivé grâce à l’extrême droite.
La grande stupidité de toutes les extrêmes droites c’est de détourner l’attention, elles se contente de prendre de telles statistiques sans jamais les ramener sur le taux des immigrés dans le pays.
Si nous prenons les infractions d'ordre sexuel : 1 503 / immigrés impliqués 206 ; ligne 68.
Sur 765 108 immigrés en 2019, cela nous fait : 0,027 % des immigrés impliqués.
Pour les Africains (Maghrébins), Asiatiques (Arabes), les non blancs, dans ce type d’infraction : 158 personnes impliquées, sur 417 662 personnes soit 0,038 % de ce type d’immigrés.
Nous pouvons continuer sur le même principe, avec la ligne 6.
Tous types d’infraction : 78 052.
Tous les immigrés, donc Europe, USA, Australie : 13 757, soit 1,8 % du total des immigrés.
Les non-humains pour l’extrême droite et Marchenoir : 8 400, soit 2 % du total.
Mon dieu, c’est terrible, pourquoi nous as-tu abandonnés, 98 % des non-humains ne sont impliqués dans rien ; et si nous prenons avec les enfants d’immigrés nés sur le sol norvégien, c’est pire : 98,6 % qui n’ont rien fait.
Pouuuuuuurquoiiiiiiiiiiii Seigneuuuuuuur ?! Nooooooooooonnnnnn...
Sauve-nous messie Marchenoir, toi Noblejoué et votre cohorte d’incultes, sauuuuvez-nouuuuuus !
Rédigé par : Elusen | 26 novembre 2019 à 13:30
Depuis une quarantaine d'années, « l'extrême droite » est accusée par les négationnistes principalement issus d'une certaine gauche de jouer sur « les haines et sur les peurs », alors que la simple réalité quotidienne et ses innombrables drames humains souvent cachés vient formellement démentir ce genre de slogan stéréotypé, par ailleurs offensant pour les victimes de la criminalité actuelle.
Un cas parmi d'autres (Extrait de la lettre de l'IPJ du 22 novembre 2019 par Laurence Havel) :
« Le premier est arrivé, il m’a attrapée au niveau du thorax et de la taille et les deux autres m’ont attrapée les deux bras et m’ont arraché les bijoux et le sac à main et le matériel médical. C’est la police qui est venue me chercher parce que j’étais vraiment en état de choc, je n’arrivais même pas à conduire. »
La femme qui raconte ainsi son agression s’appelle Pauline Foti. Elle a 37 ans et travaille à SOS Médecins. Jeudi 7 novembre Pauline était en intervention dans le quartier des Moulins, à Nice, un quartier réputé « sensible ». C’est là que trois jeunes hommes s’en sont violemment pris à elle pour la voler. D’une certaine manière, Pauline Foti a eu de la chance : elle s’en sort avec « seulement » plusieurs côtes fêlées, une entorse au genou et des ecchymoses sur le corps et le visage.
Question : le Docteur Foti, en dépit de son courage et de son dévouement, sera-t-elle fondée à éprouver, au-delà d'une « peur » qui la rendrait suspecte d'éprouver des sentiments arbitrairement supposés être « d'extrême droite », au moins une vague appréhension dans l'exercice d'une prochaine mission médicale dans des conditions voisines de celles de son agression ?
Rédigé par : Exilé | 24 novembre 2019 à 11:53
@ Zonzon | 23 novembre 2019 à 07:32
Jeanne d'Albret ne s'en remettrait pas:
https://i.goopics.net/1OLaO.png
Rédigé par : Giuseppe | 24 novembre 2019 à 11:15
@ F68.10
Si vous ne pensez pas que chacun a un droit égal à s'exprimer de par sa nature humaine, il faut :
- Abolir la démocratie, qui permet à tous les citoyens de s'exprimer, notamment par le vote
- Établir une censure préalable
Il ne faut pas que la loi Gayssot, mais sur tout, dans la santé, comme vous y faisiez allusion, en Histoire, en tout.
Après les totalitarismes des communistes, défenseurs des prolétaires, des nazis, la race, et l'autoritarisme né des religions, nous allons avoir droit à une dictature des savants.
Je suis contre, parce que je suis toujours pour la liberté.
Honte aux chercheurs, ou à leurs disciples, qui loin de l'esprit de liberté et de recherche qu'ils devraient enseigner au monde, tendent à interdire le débat plutôt qu'à l'éclairer !
Il y a là-dedans un mépris énorme et tout à fait injuste. Le racisme, par exemple, est d'origine on ne peut plus intellectuelle.
Alors fustiger les ignorants me fait bien rire... Il faudrait peut-être regarder son passé et ses responsabilités en face ?
http://www.education-racisme.fr/de-la-classification-arbitraire/le-racisme-et-les-savants/
Tiens, quand on éduque les enfants, on ne les embrouille pas avec du n'importe quoi avec une définition par trop étendue du racisme.
Et ça vaut mieux, parce que si on m'avait dit qu'il faut nier les différences entre cultures, eh bien j'aurais pensé être raciste et pris la biologie en prime car on peut difficilement, pour moi, mettre sur le même plan des cultures par exemple favorables et défavorables à la liberté, la culture française avec sa liberté pour quoi faire ne me paraissant pas aussi digne que la culture anglo-saxonne par exemple.
J'aurais pensé que de même on nie les différences culturelles, on nie des différences biologiques en profitant de mon ignorance. Qui me ment, qui me trahit une fois est un traître et un menteur dont chaque affirmation doit être tenue en suspicion. J'espère que j'aurais pensé, en grandissant, que comme il y a bien des gens qui se mentent à eux-mêmes ou aux autres partout, il faut tout examiner avec soin, comme les gens allergiques la composition des aliments.
Je crois qu'on va embrouiller les enfants, au rythme où vont les choses, et qu'ainsi, soit on les condamnera à ne pas voir les différences entre cultures, soit à devenir racistes au vrai sens du terme.
On a condamné bien des enfants à des difficultés accrues avec la méthode globale, et certains à l’échec, c'est heureusement fini.
https://www.lepoint.fr/societe/lecture-la-methode-globale-est-abandonnee-depuis-longtemps-rappellent-les-syndicats-25-08-2017-2152156_23.php
Mais comme on n'est jamais en retard d'expérimenter sur le dos des enfants, alors pourquoi pas ?
Au fait, comment leur apprendre l'esprit critique, et leur faire admettre en même temps qu'une élite aura plus tard le droit de dire le vrai tandis que les autres devront dire amen, je me le demande ?
A mon avis, il faut choisir.
""Alors l'homme, voyant sa proie attachée, peut la battre tant qu'il veut... Vrai, faux ?"
Ça peut ressembler à cela vu de l'extérieur, mais non, la réalité est beaucoup plus complexe. Un cas"
Bien sûr, la réalité est pleine d'exception, mais enfin, est-ce que quand on dit "sans la musique, la vie serait une erreur" on pense aux sourds ou aux non mélomanes ?
Toute formule est fausse, sauf celle-là ?
D'autre part, par définition, quand on parle en général, il y a toujours des exceptions, mais enfin, si on réussissait à trouver quelque solution pour la majorité des cas, ce serait déjà énorme.
Je parlais des LGBT. Le mariage pour tous n'est pas une solution pour les transsexuels, mais enfin, c'est déjà ça... A présent que le gros du travail est fait, les problèmes des trans sont plus audibles.
Les gens, qu'ils soient dépendants par l'argent, l'amour ou la drogue, sont toujours des dépendants.
C'est la vérité. Mais les trois formes de dépendance sont différentes, et dans le cadre de commentaires, on ne peut, je crois, tout prévoir.
Il n'est même pas sûr que qui écrirait un livre "Les dépendances", n'en oublierait pas, au grand plaisir de son éditeur si le bouquin marche, parce que cela commanderait une réédition augmentée en plus de mises à jour.
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@ Xavier NEBOUT
"Un enfant n'est en effet ni un jouet, ni un passe-temps, ni le moyen de s'affirmer. Un enfant est pour une femme, le but naturel de son existence dans le cadre d'une famille.
Comme ces notions ne semblent pas à votre portée, ne faites pas le malheur d'un être qui sera complètement perdu et démuni sur le plan spirituel pour faire face à la vie."
Un enfant n'est pas un moyen pour moi, je me demande où vous avez pu lire ça.
"Un enfant est pour une femme, le but naturel de son existence dans le cadre d'une famille."
Si c'est vrai, c'est grave : l'enfant est le moyen pour la femme de parvenir à son but, l'enfant.
Peu importe qu'il ne soit pas dans son intérêt d'exister, condamné à avoir, par exemple un père déplorable, parce qu'il faut bien prendre ce qu'on trouve... On comprend que trop de femmes prennent n'importe quel homme, si elles s'en rendent compte et le disent, certains vont trouver normal de la battre pour un éclair de lucidité car il ne faut pas dire la vérité.
Parce que trop de gens idéalisent ce dont ils ont besoin, mais le réveil est rude.
Bref, la paix de trop de ménages repose donc sur le mensonge, alors la famille, cadre forcément merveilleux... Enfin, quand on défend la spiritualité, on ne défend pas la vérité.
Si le but de la femme, c'est l'enfant, peu importe donc à la femme qu'il soit condamné à la pauvreté et à tout ce qu'on voudra.
Donc quand elle plaindra ou consolera son enfant, plus tard, on peut dire qu'elle sera inconséquente ou hypocrite.
Qui dit que Dieu se rit des conséquences dont on a voulu les causes ?
Nous avons l'homme tapant sa femme se rendant compte que le prince charmant n'est pas charmant, et la femme qui crée des êtres pour souffrir qui les en plaint bien.
Je ne dis pas que ce soit vrai ou pas, je développe les conséquences de vos affirmations.
Vous dites que la famille est un cadre naturel, disons qu'elle existe depuis longtemps, c'est sûr, mais naturel a souvent aussi voulu dire merveilleux, surtout pas à réformer, et là, d'après ce qu'on peut tirer de vos propres mots, on peut avoir des doutes.
Quant à la réalité, quelqu'un qui se drape dans le mysticisme pour ne pas voir un certain nombre de choses, en sera toujours infiniment dépassé. Il y a deux réalités possibles, a priori : votre famille est nulle, vous idéalisez les familles pour compenser, votre famille est formidable, vous vous projetez. Je conclurai en espérant que vous soyez dans le dernier cas.
Rédigé par : Noblejoué | 24 novembre 2019 à 07:59
@ Sophie | 23 novembre 2019 à 13:23
« Statistiques en France »
Faux !
C’est une espèce de truc "sondagier" dit de victimisation ; cela vient de victimiser.
Il ne se base pas sur la statistique, mais sur des personnes que l’on sonde et qui se déclare "être" et cela sans preuve. Elles répondent à deux questionnaires, il y a donc du sentiment et du ressentiment.
De plus, ils ne parlent pas d’individu, mais également de ménage.
Questionnaire dit : individuel.
Questionnaire dit : ménage.
Ils prétendent faire les questionnaires individuels en face à face, alors que leur questionnaire marque : proxy non autorisé.
Le proxy, c’est en informatique, pour un usage Internet, en français : serveur mandataire. Si c'est fait par Internet le droit n'autorise pas cela à être appelé un sondage.
Commission générale de terminologie et de néologie donne une définition presque incompréhensible :
"Dispositif informatique associé à un serveur et réalisant, pour des applications autorisées, des fonctions de médiation, telles que le stockage des documents les plus fréquemment demandés ou l’établissement de passerelles."
Quand vous parlez d'augmentation, vous devez obligatoirement prendre en considération l’augmentation de la population.
1999 : 60 148 millions, métropole + DOM.
2006 : 63 186 millions, idem.
2013 : 65 564 millions, idem.
2019 : 66 993 millions, métropole + DOM et Mayotte ; total France : 70 millions.
Rédigé par : Elusen | 24 novembre 2019 à 02:42
@ caroff
"Votre érudition me comble, je vous remercie pour les éléments fournis dans votre post qui ne manqueront pas de frotter mes neurones !"
Faites plutôt comme Robert Marchenoir: partez du principe que je suis un pipoteur de première !
https://m.youtube.com/watch?v=mwdwLjwEuKQ
Mais l'histoire de la liberté d'expression mérite vraiment le détour. Personnellement, j'ai l'impression que nous vivons une situation similaire aux prolégomènes de la guerre civile anglaise mais à une échelle mondiale: les idéologies, qu'elles soient "d'extrême droite", "d'extrême gauche", ou "islamofascistes" deviennent complètement transnationales, et les démocrates et libéraux politiques semblent paradoxalement coincés dans les limites des nations qu'ils ont construites au cours de l'histoire. Les Etats-nations semblent progressivement démis de leur autorité par des idéologies de plus en plus transnationales qui ne s'autorisent que d'elles-mêmes.
https://www.ted.com/talks/maajid_nawaz_a_global_culture_to_fight_extremism/up-next?language=fr
La vidéo est un peu gnangnan. Mais l'idée que les nouveaux moyens de communication décentrent le concept d'autorité pour le déplacer de l'Etat-nation vers des idéologies transnationales est pour moi assez similaire a ce qui s'est passé en Europe avec la réforme qui a conduit à l'émergence de mouvements transnationaux de contestation du monopole de l'autorité catholique romaine.
En Angleterre, cela s'est manifesté par une fureur schismatique qui a débouché sur les premières formes de partis politico-religieux qui recoupèrent ces aspirations transnationales, magnifiées par l'insularité britannique. J'ai l'impression que nous assistons à une fureur schismatique similaire à l'échelle mondiale, et je ne pense pas que l'Etat-nation fera rempart à cela. Face au communisme, l'Etat-nation à tenu bon. Mais face à la multiplication des centres idéologiques de contestation de l'autorité de l'Etat, je crains que les institutions soient contraintes, après un éphémère raidissement, de lâcher du lest ou de sérieusement réfléchir à muter. Et la question de la liberté d'expression me semblera alors centrale, comme elle le fut à l'époque de Milton et du parlementarisme guerrier.
On peut gloser sur les statistiques ethniques. Ça peut détendre. Mais il faudra peut-être prêter un peu plus d'attention à la façon dont des mouvements d'idées transnationaux arrivent à convaincre nos décérébrés défavorisés que leur problème en France est le même racisme structurel que ce à quoi les Etats-Unis ont été confrontés. S'ils ont la chanson suivante en tête, la "cohésion nationale" va avoir fort à faire:
https://m.youtube.com/watch?v=pD2evtQP8ps
Il va être difficile de s'économiser une réflexion approfondie sur la façon dont la liberté d'expression interagit avec cette tendance des idéologies transnationales à saper les fondements des idéologies nationales de l'autorité. Je conseille à Elusen de s'agripper à son universalisme tel Ulysse au mat. La sirène Rokhaya Diallo est une sacrée tentatrice...
"Quant à Elusen je crains que vous lui prêtiez des qualités d'intelligence inconnues dans ce blog: je suis plus ancien que vous ici et ai eu donc à essuyer ses salves d'idioties depuis plus longtemps !"
A lui de noter mes talents de télépathe sur une échelle de 1 à 10. Cela étant, il n'est pas seul dans sa fosse à purin nord-coréenne. Il y a des gens qui réfléchissent, et il répercute un discours dont il ne comprend probablement pas tous les tenants et aboutissants. A sa décharge, peu de gens les connaissent...
Rédigé par : F68.10 | 24 novembre 2019 à 01:26
Quand les politologues estiment que l'électorat "se droitise", ils ne se rendent pas compte que les critères se gauchisent, et que des centristes d'il y a vingt ans seraient de nos jours considérés comme de la droite dure, ce que ce billet démontre bien.
Rédigé par : Lucile | 24 novembre 2019 à 00:08
@ Robert Marchenoir
"Le maire adjoint d'Oslo, lui, ne supporte pas la publication de ces statistiques ethniques. "Je suis en colère ! Ces chiffres ne m'intéressent pas... Nous n'avons pas besoin de dresser une partie de la population contre une autre. Il s'agit de nos enfants, de notre peuple.""
Chez nous nos politiques de tout bord l'ont compris depuis longtemps, il faut cacher la poussière sous le tapis, c'est plus confortable.
Sauf que les citoyens, qu'ils soient Français, Suédois ou Norvégiens ne sont ni sourds ni aveugles, du moins ceux qui se donnent la peine de s'intéresser à leur environnement.
Ces derniers comprendront lorsqu'il ne sera plus possible de rien faire.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 23 novembre 2019 à 19:56
"L'extrême droite : notre parti unique"
Cher PB,
Merci de nous rassembler dans notre parti unique, la droite, que les gens qui ont d'autres opinions sur la façon de vivre ensemble, avec nous, appellent "l'extrême droite". Laissons les Yann Barthès et autres Martin Weill (le reporter à TMC qui a probablement donné à croire à Achille que la guerre civile régnait maintenant depuis un an au Brésil... avec son nouveau gouvernement... d'extrême droite) leur fournir leurs informations préférées.
Une autre clarification est apportée par Exilé à 07:42, "l'islam ne peut être que politique". C'est simple et nous en verrons tout prochainement les conséquences, avec l'apparition officielle de partis politiques islamisés.
Rédigé par : Jean le Cauchois | 23 novembre 2019 à 19:03
@ boureau
"...la bien-pensance interdit les statistiques ethniques en France : la peur de découvrir - peut-être - une majorité d'actes répréhensibles provoqués par des individus issus de l'immigration."
Ils n'ont pas "peur de découvrir" ils savent très bien, et mieux que nous qui devons deviner.
Non non non.
Tout le monde sait très bien d'ailleurs. Tout le monde.
Parce qu'il suffit de se balader dans la rue. Quand une incivilité est perpétrée par un basané, une fois, deux fois, trois fois, dix fois, le simple bon sens nous indique que ça ne peut pas être le hasard.
Tout le monde sait, tout le monde se tait.
Même le FN.
Sauf un ou deux francs-tireurs ici et là. Zemmour, Marchenoir...
D'ailleurs, on préfère parler de "jeunesse nancéienne"... alors que ça n'a rien à voir avec les jeunes Français (de souche) et encore moins avec Nancy puisque c'est une population (jeune ou pas jeune) allogène.
Bon, ça c'est le constat n°1. Sauf que quand, comme moi, on fait ce constat depuis dix ans, évidemment, on a creusé un peu plus la question que les grosses évidences qui crèvent les yeux.
Et quand on creuse, l'abysse est tellement profond qu'il semble ne pas avoir de fin.
La conclusion ? tout va bien, dormez tranquille. Contentez-vous de consommer, de baisser les yeux, de raser les murs, d'éviter les mauvaises heures et les mauvais quartiers, trouvez-vous un dieu pour vous consoler, et basta.
Rédigé par : yoananda | 23 novembre 2019 à 16:37
Plantu, pour le dire avec un petit dessin sur l'invasion migratoire et les droits de l'homme ! Du grand Plantu.
https://twitter.com/plantu/status/1197117149204172801
Rédigé par : Sophie | 23 novembre 2019 à 14:21
L'extrême droite est devenue notre parti unique.
Mais au fond et pour résumer, tous ces critères vilipendés de nos jours comme étant des marqueurs « d'extrême droite » par des gens pas très bien intentionnés et loin d'être exemplaires eux-mêmes, ne relèvent-ils pas du simple bon sens, qui devrait animer tous les Français normaux qui ne marchent pas sur la tête ?
Rédigé par : Exilé | 23 novembre 2019 à 13:45
Si beaucoup de Français penchent à droite, l'institution européenne a sa responsabilité.
On ne peut pas accueillir impunément par des rebuffades la bénévolence d'une nation.
Ainsi la candidature Breton est en voie d'agrément, mais sous condition que les fonctions du futur commissaire soient amputées de ce qu'il connaît le mieux: pas ceci, pas vous, pas comme ça...
Nous proposons Thierry Breton, nous aurons Réduit Breton.
Et ceci, quelques semaines, seulement, après l'humiliation du cas Goulard !
Rédigé par : Yves | 23 novembre 2019 à 13:44
@ boureau
Statistiques en France
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes...
"Selon la dernière étude de l’ONDRP, les violences externes à la sphère familiale représentent en moyenne 650 000 agressions par an.
41 % de ces violences physiques ont lieu dans la rue révélant un fait terriblement inquiétant : le renforcement chez les agresseurs du sentiment d’impunité qui leur permet d’agir n’importe où, n’importe quand et sur n’importe qui.
Cette banalisation de la sauvagerie frappe aveuglément (339 000 hommes et 309 000 femmes en 2017) et une part importante de ces agressions est l’expression d’une simple volonté d’assouvir un besoin de violence (37 % des victimes ne savent pas pourquoi elles ont été agressées)."
Rédigé par : Sophie | 23 novembre 2019 à 13:23
LE DROIT D'ASILE
"Il faut en finir avec le dévoiement du droit d'asile qui conduit à des dérives et enfin assumer une politique de fermeté face à l'immigration
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner s'est étonné que la France soit devenue, pour la première fois depuis 2015, le premier pays pour les demandes d'asile en Europe, dénonçant ainsi une "anomalie statistique".
Ce résultat n'est malheureusement ni une "anomalie" et encore moins le fruit du hasard, mais bien le produit d'une politique laxiste décidée par le Gouvernement actuel qui laisse libre cours au dévoiement du droit d'asile. Beaucoup de ceux qui demandent l’asile en France sont d’ailleurs de faux demandeurs: les Géorgiens et Albanais sont parmi les premières nationalités représentées chez les demandeurs qui sont attirés par notre système social.
Ensuite, si les migrants viennent en France dans l'espoir d'obtenir l'asile, c'est parce qu'ils savent que leur démarche aura plus de chance d'aboutir et qu’ils se maintiendront plus facilement sur le territoire en cas de refus. Aujourd’hui près de deux tiers des demandes d'asile sont rejetées par la France et 96 % des déboutés se maintiennent illégalement sur le territoire.
Afin de retrouver la maîtrise de notre procédure d'asile, qui doit être préservée car c'est l'honneur de la France, mais qui s'est malheureusement transformée en voie légale pour l'immigration illégale, je propose que les ressortissants de pays sûrs voient leur demande examinée par l’OFPRA de manière accélérée. Durant cet examen, ceux-ci resteraient en centre de rétention administrative et ne seraient pas laissés libres, ce qui rend leur éloignement difficile.
Un mois après le débat parlementaire duquel n’est sortie aucune mesure concrète, l'immigration continue d'augmenter dans notre pays. Il est temps d'assumer une politique de fermeté pour que la France retrouve véritablement sa souveraineté en matière d'immigration." Eric CIOTTI
Voici ce qu'écrit E. Ciotti à propos du droit d'asile et de la politique macronienne. E. Ciotti qui s'est effacé devant Estrosi pour les prochaines municipales. Estrosi qui copine avec LREM... Comment voulez-vous encore croire en cette "droite" !
E. Ciotti qui a les mêmes discours que MLP mais seulement pour la façade.
Rédigé par : Isabelle | 23 novembre 2019 à 13:13
@ boureau
« Voilà pourquoi la bien-pensance interdit les statistiques ethniques en France : la peur de découvrir - peut-être - une majorité d'actes répréhensibles provoqués par des individus issus de l'immigration. »
Les statistiques étrangères en la matière sont effectivement une source d'informations extrapolables en partie pour appréhender ce qui se passe aussi en France, les mêmes causes engendrant les mêmes effets.
Il y a quelques années, le rapport SPC (statistique policière de la criminalité) helvétique, consacré à tous les domaines de la criminalité et de la délinquance, publiait aussi sans fausse pudeur quelques tableaux exposant les taux de criminalité étrangère par pays d'origine.
Depuis, ce genre d'informations a été partiellement gommé ou dilué et il faut lire entre les lignes et effectuer des corrélations entre diverses données pour s'en faire une petite idée.
https://www.swissstats.bfs.admin.ch/collection/ch.admin.bfs.swissstat.fr.issue191911171800/article/issue191911171800-02
https://lesobservateurs.ch/2017/10/02/suisse-58-des-adultes-condamnes-sont-des-etrangers-les-delinquants-naturalises-sont-classes-en-tant-que-suisses/
Rédigé par : Exilé | 23 novembre 2019 à 11:48
@ Robert Marchenoir | 23 novembre 2019 à 06:25
« Quillette » est une publication australienne, publiée d’Australie, pas norvégienne !
L’article est écrit par une personne qui vit en Écosse !
Selon l’article les principaux immigrés sont des Polonais, des Lituaniens et des Suédois !
Et puis vous mentez quand vous parlez d’un parti libéral et du progrès qui aurait demandé les statistiques ethniques, puisque de telles statistiques sont inexistantes en Norvège.
1°- le parti en question est un parti d’extrême droite, qui s’appelle libertarien et non libéral.
Les libertariens sont contre la démocratie, pour que le vote ne soit accordé qu’aux riches, pour réguler la pauvreté par l’eugénisme, voire l’extermination physique des pauvres, suprématistes chrétiens et souvent blancs.
2°- les statiques demandées étaient sur le pays d’origine des personnes arrêtées et non condamnées, sur la nationalité et non l’ethnie.
3°- ils sont allés jusqu’à fournir une statistique si l’un des parents était un immigré, malgré le fait que la personne soit norvégienne de naissance et avait un parent norvégien par génération.
Les délits et crimes comprenaient aussi la violence domestique, les non-membres de l’OCDE seraient surreprésentés.
4°- les statistiques comprennent aussi les Néo-Zélandais, Australiens, Etats-Uniens, ainsi que les Européens de l’UE et hors UE.
5°- elles prennent également en considération les touristes, par le terme non-résident.
L’article parle de la concentration des populations, de la ghettoïsation, le regroupement ne faciliterait pas l’intégration.
Nulle part, il ne met la responsabilité sur l’immigration, mais sur le modèle d’organisation de la société norvégienne qui permet le communautarisme.
L’on ne peut pas être un immigré de première ou deuxième génération, c’est matériellement impossible ; c’est une faute de sémantique, vous ne maîtrisez pas les concepts.
Naître ce n’est pas immigré du col de l’utérus au vagin puis vers la sortie !
Statistics Norway ont eux-mêmes publié un article là-dessus, curieux que vous commentiez un commentaire qui commente l’étude faite sur 7 districts de 4 villes et non la Norvège.
► The demographics and living conditions of immigrants in Groruddalen, Søndre Nordstrand, Gamle Oslo and Grünerløkka
Rédigé par : Elusen | 23 novembre 2019 à 11:47
@ Robert Marchenoir | 23 novembre 2019 à 06:25
@ boureau | 23 novembre 2019 à 07:35
On arrive à trouver des travaux officiels faisant état de l'origine des personnes mises en cause:
"En 2016, on constate une assez nette surreprésentation des personnes immigrées et/ou étrangères au sein de ce dispositif. En effet, au moins un quart des (ex-)couples (24 %) impliqués dans une demande d’OP (Ordonnance de protection) comptent au moins une personne immigrée. Dans au moins 12,4 % des cas, ce sont les deux (ex-)partenaires qui le sont."
http://www.gip-recherche-justice.fr/wp-content/uploads/2019/10/15.29-Note-de-synthe%CC%80se.pdf?fbclid=IwAR0A2d95siK48qc9VS9JGWGIxEQU9SEdHkpoVi31zwn7-p3jPOtz55Uz2eA
Et parfois, ces travaux sont repris dans la presse:
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/precaires-souvent-d-origine-etrangere-le-profil-des-victimes-de-violences-conjugales-20191106?fbclid=IwAR1Ft0odrmNaE1qVkV-Tx8zFxm0vhO-VU9kCkvfP3k8Fr0Nu-P_O3vg7iWU
Rédigé par : Philippe Dubois | 23 novembre 2019 à 11:25
@ boureau
« Je ne sais si cela sert à quelque chose de vous répondre. »
Ah mon pauvre ! Vous avez vraiment affaire à un imbécile, et borné en plus. Quelle patience vous avez !
« Vous confondez les dirigeants politiques et les peuples, ce ne sont pas les peuples qui font la guerre mais leurs dirigeants. »
Qu’il est bon de se défausser sur autrui !... N’avons-nous pas les dirigeants que nous nous sommes choisis ?
« C'est incroyable que vous soyez encore dans cette confusion. A vous lire on pourrait croire que le mot Patrie n'a aucune signification pour vous. J'espère que non ! »
Lequel de nous deux est le plus dans la confusion ? Qu’est-ce que la patrie vient faire ici ?
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 23 novembre 2019 à 11:24
@ Zonzon | 23 novembre 2019 à 07:32
Venez plutôt goûter l'air de nos montagnes, accessibles même pour les moins téméraires :
https://i.goopics.net/Oobvx.png
Et comme Jeanne d'Albret vous passerez ici, forcément (le cliché n'est pas de moi) :
https://i.goopics.net/Oobvx.png
Du coup votre taux d'hématocrite va remonter naturellement, sans coûter un centime à la sécu et affronter les cols, les durs (humains compris).
"Aubergiste ! un noisette de plus ! sous le plus beau panorama du monde, of course."
Rédigé par : Giuseppe | 23 novembre 2019 à 11:08
@ Robert Marchenoir | 23 novembre 2019 à 06:25
Ici aussi nous sommes atteints du syndrome de Stockholm qui pour le coup porte bien son nom...
Sur le journal local où monsieur Bouguereau a fait aujourd'hui son édito sur le sujet, les commentaires demandant que soient aussi données l'identité et la photo des auteurs sont supprimés.
Cachez ce sang que je ne saurais voir.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 23 novembre 2019 à 10:42
"Les poètes sont les législateurs secrets du monde".
Magnifique, F68.10, merci de savoir ainsi lever le secret !
Rédigé par : Aliocha | 23 novembre 2019 à 10:36
@ Noblejoué
Trop de points à détailler pour une réponse exhaustive. Je ne traite que le premier point.
"A mon avis, la liberté d'expression de tous tient en l'égale dignité de chacun, chacun a le droit de penser et de s'exprimer."
Je pense que vous devriez confronter votre point de vue avec des oncologues.
https://m.facebook.com/katiespage2019/videos/549851885495998/?refsrc=https%3A%2F%2Fm.facebook.com%2Fstory.php&_rdr
En résumé: "Youhou ! J'ai lu n'importe quoi sur Internet et j'ai décidé de soigner mon cancer avec des méthodes de charlatan ! J'ai une petite fille que je laisse derrière moi ! Admirez-moi les amis !"
Bon. Cette dame est décédée. Paix à son âme, si tant est que ce concept ait une signification, et mes excuses pour le nécessaire sarcasme.
Mais dites-moi... pensez-vous que sa petite fille grandira pour devenir un défenseur de la liberté d'expression ? je ne crois pas...
Il faut se rendre compte des limites pratico-pratiques d'une défense indiscriminée de la liberté d'expression. Face à la réalité et à ce type de situations, votre argumentaire a tendance à s'effondrer.
Je ne pense pas que cette petite fille ne se décide à soutenir non plus la liberté de conscience de personnes comme sa mère. Et peu importe la "dignité".
Et je pense que pas mal d'oncologues sont de cet avis.
Au fait... Madame Buzyn n'est-elle pas oncologue ?
Je dis ça, je dis rien...
Mais il n'y a pas que le nazisme dans la vie.
Rédigé par : F68.10 | 23 novembre 2019 à 10:31
On est libre d'être partisan de l'extrême droite qui n'en est d'ailleurs pas une, tout au plus une droite, et même vouloir comme moi une dite extrême droite beaucoup plus à droite qu'elle n'est.
Qui plus est sans se cacher derrière un pseudo.
Plus à droite qu'à droite, c'est à côté du roi, comme le fils est assis à la droite du père, même si la répartition à l'Assemblée serait due au hasard.
Les bien-pensants se plaisent à discréditer l'extrême droite en lui associant le nazisme comme d'ailleurs tout ce qui n'est pas de gauche.
Or la face autoritaire de la droite ne serait pas le nazisme, mais le franquisme, et le franquisme a sauvé l'Espagne du communisme, comme d'ailleurs le nazisme en a sauvé l'Allemagne - et là, on n'ose même pas penser à ce qui s'en serait suivi.
Ça y est, je suis nazi ! Car si on dit un seul mot au crédit d'Hitler, on est nazi !
Comme si P. Bilger dit un seul mot au crédit du FN, ils est viré.
Alors P. Bilger louvoie et se fait tancer par certains de ses commentateurs - enfin disons au moins un.
Ceci dit, le Roi peut faire une politique libérale ou socialiste, comme il peut être dictatorial, autocrate, ou incarner une démocratie ...
Allez les petits, à vos manuels des idées politiques - le précis Dalloz est très bien.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 23 novembre 2019 à 10:31
@ Exilé 23 novembre 2019 à 08:44
"Il n'y a pas un islam politique d'un côté et un islam qui ne le serait pas de l'autre, sous une forme qui ne serait alors que « religieuse », car tout l'islam, qui est une doctrine de combat expansionniste et totalitaire, est politique".
Totalement d'accord avec vous.
L'Islam, c'est Hitler, et avec Hitler on ne discute pas, on le combat.
Nous sommes de plus en plus de Français à en être convaincus et nous serons bientôt majoritaires.
Rédigé par : Gréaudon | 23 novembre 2019 à 10:14
Encore quelques mois et elle va dire "votez Macron !" :)
Rédigé par : Achille | 23 novembre 2019 à 10:11
@ F68.10 20h06
"De la même manière, si le pognon biaise l'expression publique et empêche les cocos de participer au débat, ou même simplement déforme le jeu de la confrontation des idées, pourquoi considérer que la liberté d'expression tient ses promesses ?
Telle me semble être la position d'Elusen. Encore faudrait-il qu'il arrive à l'articuler lui-même..."
Votre érudition me comble, je vous remercie pour les éléments fournis dans votre post qui ne manqueront pas de frotter mes neurones !
Quant à Elusen je crains que vous lui prêtiez des qualités d'intelligence inconnues dans ce blog: je suis plus ancien que vous ici et ai eu donc à essuyer ses salves d'idioties depuis plus longtemps !
Rédigé par : caroff | 23 novembre 2019 à 10:06
@ Michelle D-LEROY
"ceux qui vont lire Ivan Rioufol, Alain Finkielkraut, Michel Onfray ou encore Jean-Paul Brighelli ou Elisabeth Lévy et autres critiques... forcément d'extrême droite."
"Une population qui n'est ni raciste ni extrême-droitiste mais qui réclame juste un peu de respect pour sa civilisation et sa culture."
---
Quand la droite et la gauche sont dans les oubliettes de l'Histoire, à force de contorsions, de compromissions, de corruption, j'en passe et des meilleures, l'extrême droite finit par se trouver à droite seulement. Cette "extrême" droite n'a plus rien d'extrême...
Par contre, ce qui est inacceptable c'est de constater le chantage qui est exercé sur la population française. Si vous votez pour cette soi-disant "extrême droite", nous allons mettre le feu dans toutes les banlieues (cela se fait déjà quasiment toutes les semaines) et plus si affinités...
Ce chantage à la population française est d'une grande violence, n'est-il pas ?
Nous n'avons plus le droit de penser, de critiquer, d'exprimer la volonté d'un autre avenir pour notre propre pays ?!
Personnellement, j'ai horreur du chantage et des menaces... Le meilleur moyen, finalement, pour répliquer et continuer de critiquer ceux qui essaient de nous faire peur en inversant la situation. Ras le bol des soi-disant victimes. Les Français n'étaient pas racistes mais ils finissent par le devenir à la longue.
Mais ces provocations incessantes ne sont-elles pas voulues par les Frères musulmans salafistes, entre autres ?
https://twitter.com/mohamedlouizi?lang=fr
Nous sommes face à une entreprise de destruction massive de notre nation et elle ne se limite pas aux racailles des banlieues... Ce phénomène est seulement la face visible de l'iceberg.
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@ bourreau
Statistiques en France
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes...
"Selon la dernière étude de l’ONDRP, les violences externes à la sphère familiale représentent en moyenne 650 000 agressions par an.
41% de ces violences physiques ont lieu dans la rue révélant un fait terriblement inquiétant : le renforcement chez les agresseurs du sentiment d’impunité qui leur permet d’agir n’importe où, n’importe quand et sur n’importe qui.
Cette banalisation de la sauvagerie frappe aveuglément (339 000 hommes et 309 000 femmes en 2017) et une part importante de ces agressions est l’expression d’une simple volonté d’assouvir un besoin de violence (37 % des victimes ne savent pas pourquoi elles ont été agressées)."
Rédigé par : Sophie | 23 novembre 2019 à 09:51
@ Noblejoué
Vu votre état d'esprit, le mieux est que vous n'ayez jamais d'enfants.
Un enfant n'est en effet ni un jouet, ni un passe-temps, ni le moyen de s'affirmer. Un enfant est pour une femme, le but naturel de son existence dans le cadre d'une famille.
Comme ces notions ne semblent pas à votre portée, ne faites pas le malheur d'un être qui sera complètement perdu et démuni sur le plan spirituel pour faire face à la vie.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 23 novembre 2019 à 09:50
@ Noblejoué
"Alors l'homme, voyant sa proie attachée, peut la battre tant qu'il veut... Vrai, faux ?"
Ça peut ressembler à cela vu de l'extérieur, mais non, la réalité est beaucoup plus complexe. Un cas assez frappant que j'ai connu (et qui n'est pas à mon avis représentatif...) est celui d'une serial pondeuse qui papillonnait de mariage en mariage avec une série impressionnante de radiographies assez parlantes et une ribambelle de pensions alimentaires en guise de casseroles.
Une femme intelligente et riche, milieu très bourgeois (milieu judiciaire suisse). C'était assez cocasse de la voir partager ses malheurs avec une p*te cocaïnomane. Tant de points communs !... (selon elles).
Pas représentatif. Mais illustratif du fait que beaucoup de raccourcis intellectuels ne sont pas valides...
Rédigé par : F68.10 | 23 novembre 2019 à 09:49
J'ajouterai à votre énumération pourtant déjà longue Philippe Bilger mais loin d'être exhaustive, que prendre simplement un transport en commun vêtu de manière parfaitement classique mais ne répondant pas aux codes vestimentaires d'une certaine frange de population, suffit à vous coller une étiquette d'extrême droite !
J'en ai personnellement fait l'expérience en empruntant une ligne de bus desservant un quartier dit « populaire » au sens péjoratif du terme. C'est là une expérience guère agréable qui vous laisse perplexe et inquiet quant à l'état actuel de notre société.
Il devient pathétique et révoltant que l'on en arrive ainsi à vous juger bon ou mauvais citoyen selon des critères aussi superficiels, que l'on vous rejette systématiquement du côté que l'on considère comme étant le mauvais de la barrière simplement parce que ceux qui vous jugent ont la prétention de détenir seuls la vérité et donc l'imposer, quitte à bafouer au passage cette liberté qu'ils prétendent défendre.
Rédigé par : Michel Deluré | 23 novembre 2019 à 09:48
A propos de la PMA.
Différents modèles économiques :
https://www.caminteresse.fr/economie-societe/pma-gpa-la-procreation-un-vrai-business-1172411/
Il n'y a pas que certaines entreprises désirant le gel d'ovocytes :
https://www.parents.fr/envie-de-bebe/pma/insemination-artificielle/la-congelation-dovocytes-en-france-comment-ca-marche-13343
Pour relier le problème femme battue et je suis une femme qui veut des enfants, quand on a des enfants, on est quelque peu piégé avec l'homme, pour le faire et si on s'est uni de vie et légalement, pour les élever.
Alors l'homme, voyant sa proie attachée, peut la battre tant qu'il veut... Vrai, faux ?
Différents risques pour les femmes, si pas très riches, de condamner leurs enfants à la pauvreté, autrement, de dépendre de leur bourreau.
Cela rejoint ma trinité pour ne pas faire des enfants : si on est pauvre, si on de sérieux problèmes psychologiques, comme l'homme sachant que la femme reste avec lui pour les enfants, peut-être ? Si on a une maladie héréditaire grave.
Tout le monde pousse à la roue pour que tout le monde se reproduise, et on hurle chaque fois que vient le résultat, inévitable.
Sinon, si une femme est assez riche pour assumer seule un enfant, elle peut le faire "toute seule" ou avec un amant de rencontre.
En espérant que l'homme ne s'incruste pas après, ou qu'on ne l'incruste pas après.
Parce qu'il y a aussi des enfants faits dans le dos :
https://blogavocat.fr/space/bogucki/content/paternite-forcee--que-faire-_78024cb6-9905-458e-ade0-63575decd9e5
Rédigé par : Noblejoué | 23 novembre 2019 à 09:01
Demander qu'on soit impitoyable avec l'islam politique
Il n'y a pas un islam politique d'un côté et un islam qui ne le serait pas de l'autre, sous une forme qui ne serait alors que « religieuse », car tout l'islam, qui est une doctrine de combat expansionniste et totalitaire, est politique.
Rédigé par : Exilé | 23 novembre 2019 à 08:44
@ Robert Marchenoir 23 novembre 2019 06:25
"Statistiques ethniques norvégiennes"
Voilà pourquoi la bien-pensance interdit les statistiques ethniques en France : la peur de découvrir - peut-être - une majorité d'actes répréhensibles provoqués par des individus issus de l'immigration.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 23 novembre 2019 à 07:35
« Tiens, Zonzon a cessé son traitement hormonal. Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Le sevrage peut entraîner des effets secondaires. »
Bulletin de santé de Monsieur Zonzon du 22 novembre (16 h 29) publié par le professeur Robert Diafoirusse Noir, médecin chef de service à l’hôpital Sainte-Anne, médaille d'or y**p**turlur pour ses travaux sur la Zonzonite, le Charoulétisme et le Preudhomme.
Rédigé par : Zonzon | 23 novembre 2019 à 07:32
Tiens, il suffit de demander. Un parti libéral norvégien, le Parti du progrès, réclamait depuis longtemps des statistiques ethniques de criminalité à l'INSEE local. Cette année, il les a obtenues. Les résultats sont, comment dire... d'extrême droite, voilà.
Nous parlions de "féminicides", tantôt. En Norvège, les violences conjugales sont, de façon tout à fait disproportionnée, le fait d'immigrés non occidentaux. Ces derniers sont 8 fois plus représentés dans cette catégorie de délits que le reste de la population. Ils s'illustrent aussi de façon tout à fait massive dans les meurtres et les viols.
Les non-norvégiens sont sur-représentés dans 65 catégories de délits sur 80. Les immigrés de deuxième génération sont plus délinquants que leurs parents. Les Palestiniens, les Irakiens et les Afghans sont les nationalités qui s'illustrent le plus dans la criminalité violente. Il y a aussi des Somaliens, des Pakistanais, des Syriens...
Au niveau national, 14 % de la population est immigrée. A Oslo, un tiers de la population est composé d'immigrés de première ou de deuxième génération. Cette proportion dépasse la moitié dans certains quartiers.
Depuis un mois, les agressions gratuites contre les Blancs se multiplient dans la capitale. Des groupes de 5 à 10 jeunes immigrés s'attaquent à des passants, parfois à coups de pied dans la tête. L'oncle du ministre de la Justice a eu ainsi plusieurs côtes cassées dans le métro. Rien que le samedi 19 octobre, on a recensé 20 agressions de ce type.
Il y a peu, Turcs et Kurdes se sont mis sur la figure dans la rue, puis ont pillé des magasins et mis le feu à des voitures. Les incendies de voiture sont réguliers, et à la hausse.
Les Norvégiens appellent cela les "circonstances suédoises" -- en Suède, la délinquance immigrée est complètement hors de contrôle. La Norvège est en train de virer suédoise petit à petit.
Le Conseil islamique de Norvège (bien sûr) a réclamé la création d'une branche séparée des services sociaux de l'enfance pour s'occuper des petits musulmans. Je mets le bololo, puis j'exige que les Blancs raquent pour réparer les dégâts. Inutile de se demander qui aurait le pouvoir dans cette administration, si jamais elle voyait le jour.
"La population est terrorisée par toutes ces agressions sans motif", constate Jan Bøhler, un politicien de gauche.
Le maire adjoint d'Oslo, lui, ne supporte pas la publication de ces statistiques ethniques. "Je suis en colère ! Ces chiffres ne m'intéressent pas... Nous n'avons pas besoin de dresser une partie de la population contre une autre. Il s'agit de nos enfants, de notre peuple." Elle s'appelle Kamzy Gunaratnam, mais c'est tout à fait un hasard.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 23 novembre 2019 à 06:25
@ F68.10
A mon avis, la liberté d'expression de tous tient en l'égale dignité de chacun, chacun a le droit de penser et de s'exprimer.
Cette dignité a un lien, indirect, que je vais dire avec la vérité... Espérons qu'une intelligence artificielle supérieure prenant le pouvoir dans l'intérêt des humains, un des avenirs possibles, ait ma conception, parce que si c'est la vérité, les humains étant très souvent dans l'illusion, et se retrouvant, dans l'optique que j'ai dite, moins intelligents que leur création, ils n'auraient qu'à dire amen à tout.
Revenons à l'actuel.
Chacun apporte ses forces et ses faiblesses, la vérité progresse tandis que les fraudes pieuses pulluleraient si des intérêts particuliers ou des manières de voir le monde de certains s'imposaient à tous.
Mais outre cela, la vérité progresse par la liberté. Ceux qui croient que certains sont indignes de s'exprimer ou sont impatients, pensant que telle vérité est prouvée et ne doit pas être remise en cause, gâchent tout.
Ils peuvent certes le faire avec de bonnes intentions, ainsi, interdire de remettre en cause la Shoah prétend défendre les victimes et la vérité... Mais en vérité je vous le dis, ils vont contre le grand mouvement émancipateur, de chacun et de la vérité, que nous devons conserver à tout prix.
"Du point de vue des thuriféraires de la théorie du genre, et du point de vue des antiracistes et des cocos, effectivement, se pose la question d'à quoi sert la liberté d'expression. Si les tantes et les trans n'ont pas accès à la parole, pourquoi devraient-ils considérer que la liberté d'expression tient ses promesses, à savoir que la Vérité émergerait du Débat ?
De la même manière, si le pognon biaise l'expression publique et empêche les cocos de participer au débat, ou même simplement déforme le jeu de la confrontation des idées, pourquoi considérer que la liberté d'expression tient ses promesses ?"
Les trans et les cocos, mais pas qu'eux, font une lourde erreur.
Du fait que tous ont le droit de s'exprimer, enfin non, pas les racistes, définition opportunément élargie pour faire passer en passagers clandestins d'autre chose que la lutte contre le racisme proprement dit, pas ceux qui feraient la promotion du suicide ou ceux qui diraient comment ne pas se rater, pas ceux qui promouvraient la drogue....
...Enfin, il y a des exceptions, et qui vont croissant puisqu'on fausse la définition des mots...
...les cocos et les trans concluent que tous ont non seulement un droit égal à s'exprimer mais à être écoutés voire entendus.
C'est passer d'une obligation de moyen à une obligation de résultat !
Comme ça, subrepticement, comme on change le sens des mots quand ça arrange.
Eh bien non, il n'y a pas d'obligation de résultat.
Si on essaie de faire qu'il n'y ait pas un financement trop inégalitaire des partis politiques, ce n'est pas pour le droit égal de chacun d'être entendu, c'est plus simplement, parce qu'il faut éviter que certains prennent trop de pouvoir.
C'est pour équilibrer les pouvoirs.
Mais les communistes, les trans et d'autres se montent la tête. Et il n'y a pas qu'eux !
Les gens n'arrêtent pas de sortir des droits inexistants et de se plaindre qu'on leur a fait des promesses quand c'est faux.
Je range ça dans les faux paradis perdus, les croyants disent qu'on a eu un paradis perdu, à partir de ce mythe, pour retrouver le paradis, ils n'arrêtent pas de vouloir imposer leurs croyances... et leur dégoût, comme celui des homosexuels, à tout le monde.
Il faudrait que les gens comprennent que le monde ne fait pas de promesse. J'espère que la société non plus, je dis j'espère, car de nos jours on fait dans la démagogie, on a tendance à promettre sans se soucier de tenir, la parole vaut acte.
C'est lamentable... Promettre et ne pas donner, c'est nuire. Non seulement l'autre n'a pas le bien convoité, mais on lui en impose le regret.
Non !
C'est un non franc, direct et définitif qu'il faut opposer à ceux qu'on ne veut pas créditer.
Pour ce qui concerne les homosexuels ou les trans, cependant, je ne vois pas pourquoi leur interdire de faire ce qu'ils veulent. Le financer, par exemple, est une autre affaire, l'argent pris pour les uns coûte aux autres. Mais dans le cas de l'assistance à la procréation, il n'y a pas de raisons de ne pas aider les homosexuels. Parce qu'à la base, la stérilité n'est pas une maladie, cela ne tue pas, n'est pas invalidant, mais est financé pour les hétérosexuels. Alors pourquoi pas pour les homosexuels ? Si les caisses sont trop vides pour être généreux, il ne faut plus financer les uns et les autres. D'un autre côté, depuis le temps qu'il y a aide à la procréation, il me semble que les coûts devraient baisser, grâce à de meilleures techniques, plus de personnel, il faudrait vérifier mais j'ai la flemme, la chose que n'avoue jamais le commentateur normal.
Pour en revenir aux cocos et aux trans. Si certains sont contre la liberté d'expression, c'est qu'ils pensent superficiellement.
Parce que les majoritaires pourraient interdire, démocratiquement, les minoritaires, ils devraient être les premiers à se battre pour la liberté d'expression. Elle les protège plus qu'elle ne les menace par le fait que certains disent des choses déplaisantes sur eux.
Voilà des gens se plaignant que le système est méchant avec eux, mais qui périraient les premiers sans lui.
Démocratiquement, ou sans s'embarrasser des lois, les foules les fouleraient aux pieds comme elle le fait de tous les minoritaires sauf cas de prestige particulier comme, je ne sais pas trop dans notre société, les surdoués, car s'il y a jalousie, il existe aussi le prestige de l'intelligence et l'idée qu'elle peut être socialement utile.
Les minoritaires devraient défendre la liberté d'Internet, car cet espace moins contrôlé et plus divers, permet de contourner en partie la censure et la disparité des fortunes.
Mais bien sûr, trop préfèrent se tirer une balle dans le pied, c'est désolant.
Bon, je défends la liberté d'expression de tous car un principe est un principe, mais rien ne m'oblige à répercuter les thèses communistes, muses qui ont inspiré toutes sortes de régimes totalitaires.
Par contre, il faudrait que je trouve quelque chose sur les trans, minoritaires chez les minoritaires :
https://www.20minutes.fr/societe/2484519-20190329-gouvernement-veut-personnes-trans-puissent-utiliser-prenom-usage-universite
En tant que personne me battant parfois pour le droit au pseudonyme ici, comment ne pas me retrouver solidaire de gens voulant changer de prénom parce que, dans leur cas, cela correspond au sexe qu'ils pensent être le leur, malgré les apparences ?
Il faudrait avoir le droit de se recréer. Parce que cela exprime la personne. Parce que l'humain est l'animal qui se sert d'un outil pour fabriquer un autre outil, se transformer en est la suite naturelle.
L'humain se pare depuis la plus haute, je ne dirais pas antiquité, mais préhistoire, il transforme son corps. Dans une société où les individus ont plus de droit qu'avant, il transforment son corps, par exemple sexuellement, c'est la logique même. Hélas, certains veulent s'y opposer, et j'estime, liberté pour tous, qu'ils ont le droit de le dire. D'autres ne sont pas contre, mais n'ont pas envie de payer si cher pour une question identitaire quand les lunettes ne sont pas remboursées car il y a des priorités, c'est un point de vue plus audible pour moi.
Par contre, laisser faire les changements de sexe et appeler chacun comme il veut ne coûte aux gens que le rêve de régenter les autres.
Aspiration tyrannique, et après, les gens se demandent comment les tyrans sont possibles ? Eh bien, parce qu'il y a chez certains une aspiration encore plus effrénée à la dominance, et des foules qui s'abandonnent.
Le tyran n'est pas pareil qu'un pater familias tyrannique, mais il n'est pas entièrement différent non plus, il faudrait, qui sait, des mots intermédiaires pour toutes sortes de nuances.
Pas pareil, désolé pour ceux qui se révoltent contre le tyran domestique, pas totalement différent, désolé pour ceux qui défendent un ordre, même injuste, et minimisent toutes les dérives.
Le rêve des gens de régenter les autres... C'est un cauchemar qui se prend pour un beau rêve.
Rédigé par : Noblejoué | 23 novembre 2019 à 04:22
‘Valeurs Actuelles’ beugle en parlant d’illégalité, de violation du droit d’auteur parce que l’article a été numérisé et mis sur Internet en accessibilité pour tout le monde.
‘Valeurs Actuelles’ a tout simplement appelé à frapper, à battre des personnes, dans son article, les employés de la maison de production Bangumi.
Il donne comme conseil aux lecteurs de battre les journalistes qui viendraient les interroger.
‘Valeurs Actuelles’ envisage de déposer une plainte ; alors qu’il a appelé à battre des journalistes, je ne suis pas certain que l’incitation à la violence et à la haine leur donne raison, après tout la légitime défense à juste proportion est légale, donc Yann Barthès pouvait numériser l’article et le rendre public.
Voilà ce que soutien l’Honorable Honoraire, ancien magistrat chargé d’appliquer la loi, de rendre Justice.
Avez-vous bien pris la mesure de votre verbiage ?
Rédigé par : Elusen | 22 novembre 2019 à 23:26
@ caroff | 22 novembre 2019 à 18:03
▬ « comme vos petits camarades ! »
Pourtant ils sont comme vous, pour la peine de mort, pour tuer les homosexuels, pour rééduquer ou tuer les personnes classées à gauche, contre la démocratie, pour l’autoritarisme, un État policier, la théocratie…
▬ « Iskandar Safa »
Oui, un type qui a tué et participé à des massacres, des enfants sont morts quand il était milicien et qui a vendu des armes à l’Arabie Saoudite, impliqué dans un paquet de trafic dont l’Angolagate.
Quant à ne rien coûter à la France, son activité industrielle est largement subventionnée, ainsi que ses journaux.
Sa comptabilité, elle, lui permet de se soustraire en partie à l’impôt en France !
▬ « Je ne vois pas le rapport entre une rémunération pour une prestation et la liberté d'expression »
Dommage pour vous !
Vous avez le droit de ne rien voir, personne ne vous force à regarder.
La liberté d’expression ne relève pas d’un contrat de travail, pas plus que d’une rémunération.
Rédigé par : Elusen | 22 novembre 2019 à 23:25
Constat triste mais lucide. Le conservatisme ne peut plus être sans être associé à l'extrême droite, c'est vrai. Et c'est fâcheux.
Mais la faute en revient à la droite qui n'a pas su s'adapter aux changements de la société et de l'ordre mondial, et s'est braquée sur la question migratoire, devenue une obsession chez les conservateurs.
Et à sa faillite intellectuelle: quand on vénère Eric Zemmour et Pascal Praud au point d'en faire des symboles de la liberté d'expression, évidemment, il ne faut pas s'étonner que la droite ne soit pas en mesure de proposer des solutions attrayantes pour les électeurs.
Mais ce n'est pas la faute des "jeunes d'ultra-gauche", dont j'ignore s'ils sont majoritaires par rapport à leurs collègues jeunes fascistes qui ne sont pas des modèles de tolérance pacifique non plus.
Rédigé par : Tomas | 22 novembre 2019 à 23:24
@ Denis Monod-Broca 22 novembre 2019 19:27
"Ma conviction est que les Occidentaux se voient comme le camp du Bien"
Je ne sais si cela sert à quelque chose de vous répondre.
Vous confondez les dirigeants politiques et les peuples, ce ne sont pas les peuples qui font la guerre mais leurs dirigeants. C'est incroyable que vous soyez encore dans cette confusion.
A vous lire on pourrait croire que le mot Patrie n'a aucune signification pour vous. J'espère que non !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 22 novembre 2019 à 22:10
Cher Philippe,
Devenir fataliste et pourquoi pas ?
Nous n'irons plus voter, les lauriers sont fanés.
Entrez dans la danse ou entrez en transe.
Les Français sont pessimistes et l'on nous ressort presque l'histoire de la bête du Gévaudan. Il paraît qu'un loup gris rôde en Charente alors que les charentaises se meurent.
De nombreux magistrats pour des raisons économiques refusent des tests ADN et la situation s'améliore puisque les chiens d'une région se sont prêtés aux tests. Mais un chien d'attaque, attaque lorsqu'on lui donne un ordre d'attaque ou lorsqu'il a été conditionné à attaquer.
Comment se serait faite l'enquête, sans ces tests ?
Les chiens et l'humain auraient apporté des réponses.
Les douanes sont dotées de super scanners et les hôpitaux les attendent encore.
Nous aurions pu imaginer de mini séchantes W pour linge à installer dans les hôtels et les appartements de petites dimensions au lieu de ces boîtes de livraison sur scooter qui n'ont plu à personne.
Pessimistes, non jamais. Même devant toutes ces femmes féminicidées !
Pessimistes, non devant ces fermetures d'entreprises, d'hôpitaux, de gares, de services publics.
Pessimistes non jamais, devant tous ces suicides d'agriculteurs, d'enseignants, de policiers, de chômeurs, d'étudiants !
Parce qu'il faut bien garder le moral devant cette politique bancale pour ne pas évoquer le canal.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 22 novembre 2019 à 21:18
"Demander qu'on soit impitoyable avec l'islam politique, qu'on ferme les mosquées salafistes, préférer, et de très loin, une Zineb même avec ses excès compréhensibles, à tous les idiots utiles qui créent le lit confortable de notre perte d'identité, c'est intolérable puisque c'est évidemment d'extrême droite !" (PB)
Zineb El Rhazoui est le courage incarné. Qui est capable de vivre ainsi, protégée, sous pression, sans espoir de repos ? Défendre inlassablement l'essentiel de notre espace vital... Admiration.
Rédigé par : Giuseppe | 22 novembre 2019 à 21:04
"...l'étiquette commode et compulsive de l'extrême droite"
Dans les temps très anciens, l'étiquette d'"hérétique" valait à celui qui se la voyait attribuée d'être condamné à mort. Cela a conduit, entre autres, aux épouvantables guerres de religion. Car les victimes de ces comportements imposés par les bien-pensants du moment ont fini par se défendre.
On est dans le même situation aujourd'hui. A qui la faute s'il y a demain la guerre civile ? qui sont les vrais "haineux" et les vrais "fachos" ? (le fascisme c'est quand la force se substitue, ou veut se substituer au droit, ce qui sera le cas si les "extrêmes droite", les "populistes" parviennent au pouvoir par la voie démocratique des urnes et que certains prétendent, par la force, les en empêcher).
Rédigé par : Gréaudon | 22 novembre 2019 à 20:58
@ jack
« Oui, on verra la régression et le gâchis. »
Bien entendu, votre commentaire n'attise en rien les haines, les peurs etc. et il n'impose aucunement à l'emporte-pièce des notions discutables du même genre, il ne fait aucun procès d'intention, c'est la modération même...
Et puisque vous évoquez « ce pays » - je suppose que cela vous écorcherait de dire la France - qui à vous croire ne connaîtrait que paix civile, absence de criminalité ou de délinquance, plein emploi, haut niveau d'éducation, concorde, harmonie, progrès, bonheur, tranquillité, sécurité, gentillesse, prévenance, bonne gestion des deniers publics, bref, une vision du paradis terrestre ou au moins de la Suisse, plusieurs de vos lecteurs risquent de se demander si vous ne seriez pas sujet à des hallucinations.
Renseignez-vous ailleurs qu'auprès des officines de propagande étatique, rencontrez des témoins - du moins ceux qui n'ont pas été envoyés au cimetière par les petits protégés du super-compétent M. Macron - et il vous apparaîtra alors si vous ouvrez les yeux que nous avons déjà atteint le stade de la régression et du gâchis.
Il sera difficile de faire pire, à moins de le faire exprès.
Rédigé par : Exilé | 22 novembre 2019 à 20:22
@ caroff
"Je ne vois pas le rapport entre une rémunération pour une prestation et la liberté d'expression."
Elusen s'exprime vraiment très mal. Je vais essayer de reformuler son propos de manière un peu plus consistante, bien que je ne puisse garantir que je sois fidèle à sa "pensée" pour la bonne et simple raison que je ne suis pas, à ma connaissance, télépathe.
La tradition de la liberté d'expression remonte à la problématique de la censure d'Etat et surtout la censure ecclésiastique qui faisait suite à l'innovation technologique que fut l'impression. Le débat actuel suite à l'émergence d'Internet a pas mal de points communs qu'on le veuille ou non.
Face aux autorités ecclésiastiques, il fallait trouver un argumentaire. Un des pamphlets fondateurs de la liberté d'expression moderne est Areopagitica de John Milton, qui est encore de nos jours cité par la Cour suprême américaine comme source du droit à ce sujet.
Le thème qui a poussé John Milton à écrire ce pamphlet fut sa volonté de divorcer et d'argumenter publiquement en faveur du droit au divorce (comme quoi les histoires de quéquettes - pardon, la théorie du genre - ne sont pas exactement des choses nouvelles au regard de la thématique du droit à l'expression).
Il fallait donc lever la censure ecclésiastique sur le type de textes que Milton voulait publier. Comme il était inimaginable dans le contexte volatile de l'époque de lever intégralement la censure, Milton a argumenté qu'il fallait lever la censure pré-publication au profit d'une censure post-publication.
L'argument fut qu'il fallait permettre aux idées de se confronter pour qu'on puisse discriminer la Vérité par le débat. Pour ensuite clore le débat une fois qu'il a lieu et rétablir la censure des mauvaises idées.
Parce que, voyez-vous, les mauvaises idées éloignent de la Vérité. Il faut donc les interdire, tout de même... C'est d'ailleurs pour cela qu'elles sont interdites, et qu'argumenter pour le divorce était censure, ce qui posait problème à Milton (il y avait d'autres problèmes que le divorce, à l'époque, ne nous mentons pas...).
Mais c'est en argumentant sur le fait que la Vérité ne pouvait émerger que du débat, que Milton a réussi à briser la censure pré-publication. Et pourquoi a-t-il réussi ?
Parce que la Vérité est un concept incontournable de la théologie chrétienne. Car la Vérité découle de Dieu. En se saisissant de la prétention de la religion à contrôler la source ultime de la justification épistémologique, Milton a réussi à retourner les tables.
Au nom de la Vérité. Et de rien d'autre (en simplifiant un peu...).
Les parallèles avec l'islam qui prétend que l'humanité a pour devoir d'acquérir la connaissance et la science ne seraient, bien évidemment, que tout à fait fortuits. Pas d'islamophobie gratuite ici, bien entendu...
https://webtv.univ-rouen.fr/videos/guerre-des-mots-et-liberte-dans-areopagitica/
Navré pour ce lien: j'avais une professeur que nous appelions "l'enclume", et j'ai l'impression de revivre des moments de jeunesse. Néanmoins, cette vidéo montre que la thématique de la liberté d'expression était conçue par Milton en termes explicitement théologiques et guerriers, et nous ne sommes malheureusement pas sortis de ce type de considérations de nos jours. La conclusion, vers 38:00, montre que Milton déniait aussi aux sataniques papistes le droit à l'expression. La encore, les parallèles avec notre époque existent.
Quoi qu'il en soit, la conceptualisation de l'expression comme une violence, chère à notre extrême gauche radicale, trouve des échos dans la source même de la défense de la liberté d'expression par Milton.
Du point de vue des thuriféraires de la théorie du genre, et du point de vue des antiracistes et des cocos, effectivement, se pose la question d'à quoi sert la liberté d'expression. Si les tantes et les trans n'ont pas accès à la parole, pourquoi devraient-ils considérer que la liberté d'expression tient ses promesses, à savoir que la Vérité émergerait du Débat ?
De la même manière, si le pognon biaise l'expression publique et empêche les cocos de participer au débat, ou même simplement déforme le jeu de la confrontation des idées, pourquoi considérer que la liberté d'expression tient ses promesses ?
Telle me semble être la position d'Elusen. Encore faudrait-il qu'il arrive à l'articuler lui-même...
Cela étant, John Milton a illustré à la perfection l'adage de Percy Shelley:
"Les poètes sont les législateurs secrets du monde".
A vous de vous en réjouir ou d'en trembler.
Rédigé par : F68.10 | 22 novembre 2019 à 20:06
@ Florence
« Eh bien je ne suis pas d'accord avec vous, boureau : Denis pense contre lui-même. Il ne sait faire du reste que cela, comme une partie des Français, des Occidentaux. »
Vous semblez prendre ma défense contre boureau mais vous êtes encore plus condescendante que lui.
Mais au fond vous avez raison, ma conviction est que les Occidentaux se voient comme le camp du Bien alors que, par les armes, l’idéologie et l’argent, ils répandent le Mal, c’est-à-dire malheur et injustice.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 22 novembre 2019 à 19:27
@ Exilé | 22 novembre 2019 à 17:46
"« Et si vous n'êtes pas contents, allez vous faire voir chez les Grecs » ?
(Pardon pour le recours à cette formule un peu crue, mais les gens qui comme Philippe Bilger appartiennent à une génération rompue à l'art d'envoyer des fins de non recevoir de façon courtoise pourront en trouver une autre de leur choix.)"
Expression quelque peu datée : il y a bien longtemps que le voyage "initiatique" vers la Grèce ou les Grecs n'est plus nécessaire, il y a tout ce qui est nécessaire sur l'ensemble de la planète
PS : si certaines(s) prennent cette réflexion au premier degré, eh bien tant pis pour eux !
:-)
Rédigé par : Pierre Blanchard | 22 novembre 2019 à 18:44
Billet d'humeur, Monsieur Bilger, bienvenu et salutaire.
Plus qu'un "coup de gueule", c'est un cri du cœur qui détaille toutes les évidences que, non seulement la gauche et l'extrême gauche se refusent à prendre en considération, mais que surtout les médias bien-pensants dénient en permanence et font de l'enfumage pour tenter de les faire disparaître de notre paysage (Le Monde, Libération, et j'en passe). Cela s'appelle manipuler l'opinion, pratiquer le relativisme politique et adopter le comportement des "trois singes"...
C'est aussi la méthode gouvernementale de monsieur Macron dont l'objectif reste de détricoter la France pour en faire un "machin" standardisé intégré à l'économie-monde en niant et rejetant l'existence de son peuple. Surtout qu'il dirige la France comme un dirigeant d'entreprise, sans se considérer lié par la moindre contrainte d'ordre législatif ou surtout constitutionnel.
Tous ces gens n'ont aucun sens politique ni historique : ils ne raisonnent que par le commerce, la finance et l'enrichissement de l'élite autoproclamée qui seule sait et prend les bonnes décisions, le reste étant sans intérêt. Ce qui ne les empêche nullement d'avoir en bouche le mot nation, voire patrie, alors qu'ils en rejettent l'idée même ! Et pour qui le drapeau national n'est jamais qu'un bout de chiffon. Sans doute devraient-ils se rappeler les mots célèbres de Lamartine au balcon de l'Hôtel de Ville de Paris le 25 février 1848...
Mais le réel les rattrape et l'opinion (le peuple ?) se rebiffe : ils sont contraints de trouver des expédients pour se maintenir au pouvoir. Alors nous verrons comment la situation va évoluer le 5 décembre et les semaines suivantes.
Le réveil n'en sera que plus dur : à force de refuser de voir et de dire, la chute n'en sera que plus explosive.
Rédigé par : Robert | 22 novembre 2019 à 18:09
@ Philippe Dubois
Comme boureau l'avait fait à 10 h 46, j'ai mis les paroles de l'interview du sieur Ladj Ly dans ce billet, vous les retrouverez à 13 h 22. Un discours élégant, courtois, pas un mot plus haut que l'autre... La "culture" de banlieue du gaillard atteint des sommets de nuance et de pondération... Un "premier de cordée" version quartiers.
Notre président, premier de cordée lui aussi version bourgeois de la finance, a tellement apprécié le film de ce réalisateur qu'il en a été ému aux larmes.
Pourquoi ce morceau d'anthologie a-t-il disparu du Blog du Cinéma et du réseau Internet ? Heureusement que certains avaient recopié cette interview très révélatrice.
Qui sont les haineux, bonne question ?!
Rédigé par : Isabelle | 22 novembre 2019 à 18:06