Une trentaine de pages sur une personnalité qui dans une modernité tapageuse constitue un miracle : d'autant plus présente dans l'estime française qu'elle est rare et discrète. Une tentative d'explication de cette exception.
Poster un commentaire
Les commentaires sont modérés. Ils n'apparaitront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés.
Vos informations
(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)
Mon très cher Honorable Honoraire, avez-vous l’intention d’écrire un livre sur Yvette Horner et votre collègue de Sud Radio Vanmeerhaeghe ?
Surtout que vous êtes un grand mélomane.
Never Tear Us Apart
Rédigé par : Elusen | 14 décembre 2019 à 00:27
@ Giuseppe
"J'aime bien votre écriture, alors de temps en temps j'intercepte votre Wil."
Grazie mille.
Rédigé par : Wil | 06 décembre 2019 à 22:50
@ duvent | 06 décembre 2019 à 14:37
Je connaissais ce poème, mais attribué à Ademar de Barros, poète brésilien !
Il est rare qu'un poème soit attribué à deux poètes.
Je ne connais qu'un seul autre exemple c'est "Être jeune " attribué au général MacArthur et à Samuel Ullman.
Rédigé par : Tipaza | 06 décembre 2019 à 20:31
@ sbriglia 06 décembre 2019 à 06:29
« Je vais continuer à creuser le sillon... »
Quelle bonne idée ! Vous verrez alors, comme dans ce poème, que souvent, l'on se trompe et l'on est très content de se tromper parce que c'est la meilleure façon d'être l'innocent de l'histoire...
FOOTPRINTS IN THE SAND
Mary Stenvenson
One night I dreamed I was walking along the beach with the Lord.
Many scenes from my life flashed across the sky.
In each scene I noticed footprints in the sand. Sometimes there were two sets of footprints, other times there was one only.
This bothered, me because I noticed that during the low periods of my life, when I was suffering from anguish, sorrow or defeat, I could see only one set of footprints, so I said to the Lord :
You promised me Lord,
that if I followed you, you would walk with me always.
But I have noticed that during the most trying periods of my life there has only been one set of footprints in the sand.
Why, when I needed you most, have you not been there for me?
The Lord replied : “The years when you have seen only one set of footprints, my child, is when I carried you.”
Rédigé par : duvent | 06 décembre 2019 à 14:37
Allez, je ne résiste pas :
https://www.youtube.com/watch?v=NbHeNkqRWtI
Rédigé par : Aliocha | 06 décembre 2019 à 11:33
"C'est bien, que vous soyez revenu sans cognomen divertissant..."
Rédigé par : duvent | 05 décembre 2019 à 19:26
Ah ! Perfido !
Promis j’enlève l’entonnoir.
Merci pour les Pointer Sisters : j’en étais resté aux Andrews Sisters Boogie.
Voir trois beautés en uniforme kaki s’agiter sur du boogie m’est toujours apparu comme le comble de l’érotisme...
Je vais continuer à creuser le sillon... comme disait Sangnier.
Rédigé par : Sbriglia @ Miss Marple | 06 décembre 2019 à 06:29
@ boureau
"Vous avez mille fois raison.
C'est pour cela, sans doute, que je n'ai jamais donné suite à vos interventions : il n'y avait rien à en dire."
boureau, vous êtes un homme sage. Comme disait l'Inspecteur Harry, un homme sage connaît ses limites.
Vous l'avez cherché...
Rédigé par : Wil | 05 décembre 2019 à 22:08
@ sbriglia | 05 décembre 2019 à 11:30
« J'en tombe de l'arbre : vous admiratrice de Lee Marvin ? Chapeau bas... »
Comme vous ne dites pas pourquoi vous vous êtes laissé choir de votre arbre, ni pourquoi vous avez jugé bon de vous découvrir, je me dis que vous êtes drôle...
Si vous avez l'occasion d'écouter ceci, The Pointer Sisters :
https://www.youtube.com/watch?v=jIKiB663JD0
J'adore aussi un tas d'autres gens et d'autres choses... que je ne peux pas vous dire, j'ai peur qu'une fois tombé de l'arbre, vous creusiez...
C'est bien, que vous soyez revenu sans cognomen divertissant...
Rédigé par : duvent | 05 décembre 2019 à 19:26
@ sbriglia
« Maristes et Marine... On finira bien par trouver un troisième point commun… Ah! J’oubliais : on sort le chien…»
Mariste, bien malgré moi, Marine par obligation de l'époque... Pour le troisième point commun oubliez Mariniste ! C'est sans espoir.
Ceci étant je ne vois pas trop ce que le chien vient faire ici.
Évitez de faire dans le subtil, car j'ai parfois du mal à suivre.
Rédigé par : Achille | 05 décembre 2019 à 18:43
@ sbriglia
Vous êtes odieux et toujours à côté de la plaque, surtout ne changez rien ! C'est ainsi que vous avez l'illusion d'exister et vous sentir soulagé après avoir copieusement déversé sur moi - ou une autre - le trop-plein de votre bile !
————————-
@ Achille
A vos yeux, une femme serait-elle forcément agressive dès lors qu'elle est en désaccord avec vous ? Auquel cas je plaindrais la vôtre.
Quant à mes relations "masculines", je vous assure qu'elles sont au beau fixe et que les hommes de caractère apprécient généralement ma compagnie et mes réparties. Contrairement aux frustrés et refoulés que d'ailleurs je tiens à distance...
Concernant la musique, je lui consacre plusieurs heures par jour et bien que j'apprécie Goldman, je chante et joue tout autre chose. Mais ceci est mon jardin secret.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 décembre 2019 à 16:10
@ Mary Preud'homme 04 décembre 2019 23:41
Si j'ai évoqué Pierre Goldman, c'est, je le répète, que notre hôte en parlait compte tenu de sa proximité avec son demi-frère.
Le destin de Pierre Goldman a considérablement divisé la France dans les années soixante-dix. Avec beaucoup de zones d'ombre. Je pense que vous vous en souvenez.
J'ai sans doute été trop concis. Et ce que je voulais exprimer, même si cela ne paraît pas immédiatement, c'est mon interrogation et sans doute ma compassion, sur les propres interrogations et le désarroi de JJ Goldman devant ce terrible destin d'un membre de sa famille. Lui, décrit par notre hôte comme fin, délicat et avec sans doute, une âme à fleur de peau.
Sans plus.
J'apprécie aussi certaines de vos interventions.
Cordialement.
————————————
@ Will 04 décembre 2019 22:22
"Mais taisez-vous nom de Dieu"
Vous avez mille fois raison.
C'est pour cela, sans doute, que je n'ai jamais donné suite à vos interventions : il n'y avait rien à en dire.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 05 décembre 2019 à 11:36
@ Wil | 04 décembre 2019 à 22:22
"Tûtafé, tûtafé..." Wil, comme dirait un contributeur.
Dans le fond c'est pas grave, et puis aujourd'hui... Mais bon rien d'important.
J'aime bien votre écriture, alors de temps en temps j'intercepte votre Wil.
Rédigé par : Giuseppe | 05 décembre 2019 à 11:33
"J’ai fait mon service dans la Marine"
Rédigé par : Achille | 05 décembre 2019 à 07:10
Maristes et Marine... On finira bien par trouver un troisième point commun…
Ah! J’oubliais : on sort le chien…
PS: "Mon" employé par PB est à l'évidence l'adjectif possessif utilisé non dans le sens subjectif (mon slip, mon vélo…) mais dans le sens objectif (mon percepteur, mon juge).
Sur le coup, Mary, vous êtes à l'ouest ! PB est trop fin lettré pour utiliser MON dans le sens de l'abréviation de "Monsieur..."
Mais cette sodomisation continue des coléoptères et agressive des commentateurs est comme le relève Achille, assez perturbante chez vous, à la longue : keep cool, Mary, écoutez le prélude d'"Im Abendrot", ça apaise... Vous finissez par ressembler à Tatie Danielle (oui, je sais, vous êtes encore séduisante, je vous crois ; je parle du caractère pas de la taille de guêpe…).
https://www.bing.com/videos/search?q=im+abendrot+strauss&view=detail&mid=72CB47A9DD7B85FFE21272CB47A9DD7B85FFE212&FORM=VIRE
Pour moi, de retour d'audience musclée, il n'y a pas mieux, avec un verre de Caol Ila.
—————————-
@ duvent
J'en tombe de l'arbre : vous admiratrice de Lee Marvin ? Chapeau bas...
Rédigé par : sbriglia @ Mary, duvent, Achille | 05 décembre 2019 à 11:30
@ Mary Preud'homme | 04 décembre 2019 à 19:01
« Lisez le post de Viviane du 4 décembre 12:35 qui elle (contrairement à vous) semble avoir compris que "Mon" était plus le diminutif de Monsieur (comme usité dans l'armée par déférence et respect) que pronom possessif… »
Faut pas m’en vouloir. J’ai fait mon service dans la Marine et dans ce corps le diminutif « mon » pour dire monsieur n’existe pas. Ce qui ne diminuait en rien la « déférence et le respect » envers nos officiers.
Ceci étant je vous trouve bien agressive depuis quelque temps. Prenez votre guitare et chantez un petit air de Goldman. Pourquoi pas Quand la musique est bonne. Ça vous détendra !
Rédigé par : Achille | 05 décembre 2019 à 07:10
@ boureau | 04 décembre 2019 à 21:52
Objection j'ai bien lu le livret en question, mais contrairement à vous ne me suis pas arrêtée à une affaire pénale ancienne concernant un proche de JJG, affaire dans laquelle il ne fut impliqué à aucun titre...
Je me suis seulement bornée à me consacrer à l'essentiel qui ressortait du livret, à savoir l'artiste Jean-Jacques Goldman, sa notoriété et ses talents passés et présents.
J'ajoute et j'en termine qu'il m'arrive de partager vos opinions mais sur ce coup-là vous avez été mauvais !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 décembre 2019 à 23:41
@ Giuseppe
"Goldman semble être un type bien. C'est déjà rare dans le showbizz" dit Wil, donc moi.
"Comme faiseur de tubes oui, comme musicien c'est une autre histoire, en fait la musique s'écrit à son niveau, mais il ne lui est pas demandé non plus d'être Bach."
"cépafo"...
https://www.youtube.com/watch?v=p5UJMxBErmk
Bref, ce que vous dites n'a aucun rapport avec ce que je dis mais c'est pas grave, "cépafo". Pfff...
En plus, personne n'a jamais demandé à Bach d'être Bach, j'imagine que ça lui est venu tout seul, mais qu'est-ce que j'en sais, je l'ai pas connu personnellement pour lui demander.
Vous en avez d'autres comme ça ?... Ça commence bien ce soir.
-----------------------------------------------------------
@ boureau
"J'ai toujours été indifférent aux talents que vous prêtez à Jean-Jacques Goldman cher P. Bilger. Je ne connais aucune de ses chansons ou productions. C'est vous dire mon inculture et mon incompétence sur le sujet."
Dans le genre "Je ne sais rien mais je dirai tout", une vraie caricature de plus.
Mon bon monsieur, si vous ne savez rien de JJ Goldman, pourquoi éprouvez-vous le besoin absolu de vous exprimer sur un billet de M. Bilger qui en parle ?
MAIS TAISEZ-VOUS BON DIEU !
Allez donc déverser votre pseudo-culture, dont tout le monde sait qu'elle est l'intelligence des crétins, ailleurs !
Je suis sûr qu'il y a des sujets où vous êtes incollable !
Incroyable !
C'est plus fort qu'eux, il faut qu'ils l'ouvrent alors qu'ils admettent qu'ils ne savent rien du sujet.
C'est comme je disais hier soir, se répandre sur le Net est pour eux juste un moyen illusoire de remplir leur vide intérieur.
Rédigé par : Wil | 04 décembre 2019 à 22:22
@ Mary Preud'homme 04 décembre 2019 18:16
Je fais allusion à Pierre Goldman simplement parce que notre hôte en parle dans son livret. Vous ne semblez pas l'avoir lu.
Et que le mouvement politique considérable qu'avait suscité son arrestation et son assassinat m'avait frappé.
Quelle mouche vous pique ?
Epargnez-moi votre ridicule leçon de morale et d'éducation.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 04 décembre 2019 à 21:52
@ Giuseppe | 04 décembre 2019 à 13:54
Ceci n'est pas Bach mais enfin, quelquefois on se laisse entraîner... Lee Marvin
https://www.youtube.com/watch?v=NTymtAbaG08
Rédigé par : duvent | 04 décembre 2019 à 20:50
@ Achille | 04 décembre 2019 à 08:18
Lisez le post de Viviane du 4 décembre 12:35 qui elle (contrairement à vous) semble avoir compris que "Mon" était plus le diminutif de Monsieur (comme usité dans l'armée par déférence et respect) que pronom possessif, ainsi que cela vous serait apparu et vous aurait choqué au premier abord, sachant que vous êtes encore très loin de la science et des artifices du président de l'institut de la parole qui, lui, a plus d'un tour dans son sac !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 décembre 2019 à 19:01
Qui est qui et qui n'est rien rien que le juge et jamais l'assassin... laissez MON JJG tranquille !!
Rédigé par : Linda | 04 décembre 2019 à 18:42
"Par contre j'ai un souvenir très précis de la période Pierre Goldman qui a montré, à mon avis, le summum de l'hypocrisie et de la malhonnêteté des différentes gauches.
Cordialement."
(Rédigé par : boureau | 04 décembre 2019 à 08:09)
Quel rapport avec le musicien, guitariste et parolier Jean-Jacques Goldman que vous n'êtes pas obligé d'apprécier sans pour autant vouloir le démolir bassement à tout prix en nous remémorant une affaire où il ne fut pas impliqué et n'ayant aucun rapport avec son art.
Quant à l'hypocrisie et la malhonnêteté, ne consistent-elles pas plutôt de terminer comme vous le faites un post assassin et inutilement bête et méchant à l'égard d'un artiste que vous n'aimez pas, par la formule "cordialement" : laquelle formule serait censée vous conférer d'emblée comme par magie une réputation d'urbanité et de bon esprit ?! Alors que "perfidement" eu égard à vos vacheries gratuites et sans fondement concernant le commentaire en question aurait bien mieux convenu !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 décembre 2019 à 18:16
Ah non c'est mon Jean-Jacques à moi :-D
Rédigé par : Marionnette | 04 décembre 2019 à 15:23
@ Achille | 04 décembre 2019 à 08:18
Pour le Phénix du Poitou c'est Jôôôhnny, chacun à ses faiblesses.
----------------------------------------------
@ Wil | 03 décembre 2019 à 21:51
"Goldman semble être un type bien. C'est déjà rare dans le showbizz."
Comme faiseur de tubes oui, comme musicien c'est une autre histoire, en fait la musique s'écrit à son niveau, mais il ne lui est pas demandé non plus d'être Bach.
Rédigé par : Giuseppe | 04 décembre 2019 à 13:54
Je ne trouve aucune chanson de Monsieur Goldman idiote, pourtant fan de Monsieur Brel depuis toujours. Si toutes les chansons françaises étaient, selon certains, aussi idiotes que celles de JJG, nous n'aurions que de la bonne musique. Pour information, il paie toujours ses impôts en France (pour les bien-pensants).
Rédigé par : Viviane | 04 décembre 2019 à 12:35
Il se trouve qu'au moment ou je prenais connaissance de ce billet, je venais d'écouter le Miserere d'Allegri par le King's College de Cambridge.
https://www.youtube.com/watch?v=4lC7V8hG198
Faites pas attention, nous ne devons pas habiter sur la même planète.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 04 décembre 2019 à 11:59
JJG est quelqu'un de bien, il est discret et pudique, il n'a jamais eu la grosse tête et j'aimerais le rencontrer.
Rédigé par : Morin | 04 décembre 2019 à 11:40
Dire aux gens qu'on les aime le dire souvent
Mais on sait bien que l'on ment
La seule personne qu'on aime c’est soi-même évidemment
Voilà 2000 ans que l'amour de son prochain devrait être la règle
Les nantis les bourgeois nous en parlent tout le temps
Ils ne nous promettent pas le grand soir mais simplement à manger et à boire
Le grand soir c'est pour eux le plus souvent
L'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches
L'amour ce n'est pas la place publique c’est l’intime
Essayons les droits et les devoirs la raison le respect
Jean-Jacques tu es un homme voilà tout, merci.
Rédigé par : Narcisses | 04 décembre 2019 à 11:18
Je découvre Jean-Jacques Goldman chaque fois que Philippe Bilger en parle dans ses billets, avant et après, il reste pour moi un parfait inconnu, aussi célèbre que Yannick Noah pour moi, c'est tout dire. Et quand je dis tout, ça veut dire rien.
Je me suis amusé à diagonaliser ce texte de 31 pages, par curiosité, non pour JJG, mais pour PB.
Curieuse et très honorable la sensibilité de Philippe Bilger, qui au fond, bien qu'il s'en défende, recherche les profondeurs de l'homme au-delà de l'apparence des oeuvres.
Erreur fatale ! Chez un créateur, l'homme n'est rien, c'est l'oeuvre qui est tout.
Il est vrai que JJG a oeuvré dans le milieu médiatique qui est le sien avec un peu plus d'humanité et de bienveillance que ses confrères, mais n'exagérons rien
Le Saint Homme, JJG, qui gagne son argent en France a choisi de le dépenser et de vivre à Londres pour s'extraire des péripéties franco-françaises.
Il doit découvrir en ce moment les charmes de la vie londoniennes, surtout sur les ponts de la Tamise.
Finalement c'est cette même sensibilité et cette même recherche de l'homme derrière le politique, qui a fait de PB, successivement un fan de Sarkozy, Hollande, Macron, en leur trouvant chaque fois des qualités cachées. qui ne résistent pas au temps.
Au-delà de l'homme JJG, qui restera dans les souvenirs de ses proches, que restera-t-il de l'oeuvre pour qu'il reste à la postérité ?
Il restera (?) de JJG quelques chansonnettes, qui n'ont pas la profondeur poétique de celles de Brassens, ni le charme et la violence du mal d'amour de celles de Brel.
Par contre, pour ce qui est des hommes politiques, il restera (!) le délabrement du pays et les impôts à payer.
Rédigé par : Tipaza | 04 décembre 2019 à 10:36
« Mon Jean-Jacques Goldman », franchement ça fait un peu « groupie du pianiste » vous ne trouvez pas Philippe Bilger ? Vous êtes resté un grand enfant finalement.
Bon, même si comme vous, j’apprécie le chanteur à la ville comme à la scène, je vous avoue que je n’ai pas le courage de lire les trente pages que vous avez consacrées à JJG. Mais il n’est pas impossible que je le fasse un jour d’ennui. Peut-être demain vu que c'est le gros pataquès et qu'il vaut mieux rester chez soi. Ou alors plus tard...
Rédigé par : Achille | 04 décembre 2019 à 08:18
"Mon Jean-Jacques Goldman"
J'ai toujours été indifférent aux talents que vous prêtez à Jean-Jacques Goldman cher P. Bilger. Je ne connais aucune de ses chansons ou productions. C'est vous dire mon inculture et mon incompétence sur le sujet.
J'ai lu les trente pages que vous lui consacrez : une précision d'entomologiste pointilleux ! Mais "quand ça veut pas, ça veut pas !". Hermétisme total. Un bon producteur de tubes. Un peu court sans doute, mais cela ne l'empêche pas d'être, sans doute, comme vous le concluez, "un homme de bien".
Par contre j'ai un souvenir très précis de la période Pierre Goldman qui a montré, à mon avis, le summum de l'hypocrisie et de la malhonnêteté des différentes gauches.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 04 décembre 2019 à 08:09
Evidemment, dans mon commentaire précédent, en parlant des textes parfois débiles que Goldman peut écrire, j'ai oublié que parfois il en a écrit de sublimes aussi.
Personne n'est jamais au top tout le temps sinon on est une machine.
Quand un texte simple mais sublime se joint à une voix encore plus sublime, ça fait quelque chose... quelque part.
https://www.youtube.com/watch?v=5cH01ZA9nkM
Rédigé par : Wil | 03 décembre 2019 à 22:53
Goldman, sans être un génie comme Brel par exemple, est un des rares chanteurs français vivant à avoir de l'honnêteté intellectuelle face à lui-même.
Il dit lui-même qu'au fond, il refait tout le temps la même chanson.
C'est vrai, il a écrit beaucoup de daubes et il le sait.
J'ai d'ailleurs une anecdote personnelle que je trouve intéressante au sujet des textes écrits par Goldman.
Au milieu des années 90, j'étais chanteur dans un groupe et pendant une mission d'intérim que je faisais avec un pote je chante une chanson de Céline Dion écrite par Goldman et mon pote qui n'était pas musicien m'interpelle en me disant un truc du genre "Mais qu'est-ce que c'est cette c*nnerie que tu chantes ?!" et donc je lui dis que c'est un des tubes à la mode de Céline Dion écrit par Goldman et il me répond quelque chose comme "ça ne veut rien dire,c'est vraiment très c*n !".
J'avoue que ça a été une révélation.
Moi qui étais musicien et étais fasciné par la voix sublime de Céline Dion je ne voyais pas la bêtise de beaucoup de textes de Goldman qu'elle chantait.
Goldman est assez remarquable pour admettre que le tube qui l'a fait connaître "Il suffira d'un signe" et dont j'ai toujours l'album d'époque en vinyle acheté par mon père, est en fait plus ou moins un plagiat d'AC/DC qu'il adore.
C'est aussi un des rares qui a quitté "Les Enfoirés" parce qu'il voyait bien que ce n'est plus qu'un moyen facile d'autopromotion de pseudo-artistes médiocres.
Goldman semble être un type bien. C'est déjà rare dans le showbizz.
Rédigé par : Wil | 03 décembre 2019 à 21:51
Pour ceux qui m'ont soutenu, voire ceux qui ne m'ont, simplement, jamais imputé rien de faux :
https://www.youtube.com/watch?v=FPsvf_8B2Cg
"Il reste encore du beau monde sur terre", enfin, quelque chose comme ça, de mémoire.
Rédigé par : Noblejoué | 03 décembre 2019 à 19:36
Après un Elie Semoun niais et m'as-tu-vu, ça fait du bien un artiste authentique et néanmoins discret et pudique comme Jean-Jacques Goldman ("et je voudrais vous revoir...").
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 décembre 2019 à 13:39