J'abandonne tout ce que j'avais prévu. Notamment la scandaleuse contestation du prix Nobel de Peter Handke à cause de ses positions pro-serbes (Le Monde).
Je viens d'avoir un choc et tout ce qui est de l'écume d'aujourd'hui peut être remis à demain.
Je sors du film de Terrence Malick "Une vie cachée".
C'est long - trois heures -, lourd, lent, appuyé mais c'est magnifique.
C'est une histoire vraie, un moment inconnu de la résistance au nazisme, avec une fin à tirer les larmes.
C'est la tragédie glorieuse d'une famille qui s'aime, un couple autrichien avec trois enfants. Le mari est un agriculteur qui va refuser, au nom de sa foi chrétienne et de son horreur du nazisme, de prêter le serment de fidélité à Hitler. Jusqu'au bout. Avec l'accord admirable et douloureux de son épouse déchirée mais fière.
Franz Jagerstätter, condamné à mort, sera décapité.
Pourquoi ai-je été aussi bouleversé par cette oeuvre nous restituant avec grandeur une destinée ignorée, "une vie cachée", dans leur prélude heureux avant l'effrayante suite ?
Les temps tranquilles. L'harmonie et la splendeur de la nature. Les travaux des champs. Les bêtes. Les ruisseaux. L'enfance. L'amour. Les jours qui passent et ne laissent rien craindre. La lenteur est simplement celle d'existences accordées à ce rythme.
La raucité brutale de Hitler, des images de lui discourant en public et plaisantant en privé, les hurlements nazis, contraste absolu avec le monde d'avant.
Les tentatives pour convaincre Franz d'abandonner sa résolution en lui disant qu'il pouvait prêter serment mais n'en penser pas moins.
L'hostilité odieuse que les villageois lui ont manifestée ainsi qu'à son épouse, parce que les autres maris se battaient.
L'enfermement et jusqu'au dernier moment, la tentation de signer le document libérateur, les objurgations de son avocat, l'ultime rencontre avec celle qui va le perdre mais en le soutenant. Des scènes dignes de l'antique.
Je n'ose pas avouer le fond de ma pensée ni la vérité de ma sensibilité. Car ce que j'ai retenu de cette existence plus qu'héroïque - massacrée le mois et l'année de ma naissance - est l'impression qu'elle m'a donnée de n'être rien qu'infiniment quotidien, ordinaire. Tristement humain avec des limites et des impuissances.
En effet, comment peser face à cette obstination surhumaine, quasiment inhumaine par sa roideur inflexible, avec sa constance éthique, sa certitude inébranlable d'être du côté du bien parce que le mal est à combattre et qu'on sait où il est, cette épopée discrète de courage et d'opposition, cette audace anonyme - on a beaucoup joué auprès de lui sur cette corde-là - pour se tenir debout, sans faillir, contre toutes les tendresses et douceurs de la banalité des jours ?
Pauvre de moi englué dans les peurs, les petitesses, les accommodements, les ambitions, les sinuosités, les jalousies, la gestion au jour le jour d'une existence aspirant à l'élan mais trop souvent plombée par l'appel du bas. Non pas que j'imagine, comme on pourrait parfois le concevoir pour des héroïsmes plus accessibles, quoi que ce soit de commun entre cette démonstration inouïe d'humanité et nos épisodes plus familiers ; mais il n'empêche qu'elle projette une lumière irradiante sur mes ombres, sur nos obscurités. Elle nous contraint à nous considérer tels que nous sommes.
Pauvres de nous, donc, avec notre pluriel médiocre et nos combinaisons d'épiciers pour surmonter tant bien que mal le "dur métier de vivre", confrontés à cette singularité éblouissante, inconcevable, qu'on admire mais d'une manière presque distanciée : comme si au fond on était heureux que ce Franz Jagerstätter ait été des nôtres mais à des années-lumière de nous.
Une conclusion douce et amère.
Sa foi l'a aidé, l'a animé, lui a permis, ainsi qu'à son épouse, de tenir, de porter au plus haut une dignité arc-boutée contre le mal, d'assumer une mort inéluctable. Mais pourquoi Dieu en qui il croyait, s'il est bienveillant et tout-puissant, a-t-il permis le surgissement de démons contre lesquels, à sa place humble, Franz a lutté et qui l'ont fait mourir ?
Cette interrogation troublante laisse toute sa place à ma respectueuse empathie pour cet homme décapité au mois d'août 1943.
@ Achille | 30 décembre 2019 à 09:45
Êtes-vous concerné par la réforme des retraites, puisque vous n’avez point en dessous de 45 ans ?
Le privilégié en somme, c’est vous le Neymar de la retraite, car qui vous la paie cette retraite, pas vous dans tous les cas.
Mais toujours aucun film ou documentaire pour l’année 2019, vous avez transformé un film en vindicte populiste pour satisfaire votre ego.
Rédigé par : Elusen | 01 janvier 2020 à 10:42
Pauvre Jérôme Rodriguez, le Neymar des Gilets jaunes se roulant à terre alors qu’il n’a même pas été touché. Il faut dire qu’il se trouve toujours là où il ne faut pas.
C'est un coup de LBD 40 qui lui a enlevé quelques cheveux à l'arrière du crâne ou c'est déjà une calvitie naissante ?
Promis, c'était mon dernier commentaire sur le billet "Pauvres de nous". Je ne voudrais pas lasser ceux qui n'apprécient pas mon mauvais esprit.
Rédigé par : Achille | 30 décembre 2019 à 09:45
La cagnotte de la CGT a atteint 1,5 million d’€.
Quelle générosité ! Surtout à une époque où des appels aux dons se multiplient pour la recherche contre le cancer et les maladies rares, la faim dans le monde, l’analphabétisme, la maltraitance des animaux, les enfants dans les hôpitaux, etc.
Ben moi je ne donnerai pas un kopeck ! Mais vu que je donne aux Restos du cœur, les grévistes qui n'auront pas pu toucher quelques subsides de la cagnotte pourront quand même en profiter ! :)
Rédigé par : Achille | 30 décembre 2019 à 09:04
@ F68.10 | 28 décembre 2019 à 03:57
Exact.
Parfois vu par des littéraires brillant au firmament.
« Et j’arrivais à me demander s’il y avait quelque vérité entre cette distinction que nous faisons toujours entre l’art, qui n’est pas plus avancé qu’au temps d’Homère, et la science aux progrès continus. »
Proust, Le Côté de Guermantes
Et toujours plus ou moins en acte en science-fiction, qu'on devrait nommer spéculative-fiction : si les choses étaient autrement, qu'est-ce que cela donnerait ?
Dans l'autre sens, des chercheurs s'inspirent d'écrivains, ainsi, en robotique, des trois lois d'Asimov.
Hélas, en France, il y a divorce entre la science et la littérature, au grand dommage des deux ex et de leurs enfants, le public.
Le scientifique allant vers la littérature ou le littéraire vers les sciences se voit taxer d'infidélité, il faut donc ruser pour participer des deux.
Sinon, j'espère que vous serez le plus fort, sinon je m'en consolerais à la pensée que vous, si je me rappelle bien, exposerez vos documents sur Internet.
Rédigé par : Noblejoué | 29 décembre 2019 à 12:18
@ Achille | 28 décembre 2019 à 14:27
« Hé ho on se calme ! »
C’est de vous pas de moi :
- Quant à la VO, elle est évidemment toujours préférable à la version française, mais pas au point de dénaturer la trame du film.
Donc, prétendre pouvoir juger de la qualité artistique, de la performance du jeu d’acteur par un doublage, hé ben, c’est minable.Le snobisme linguistique de certains beaux esprits français pour l’anglais, [...]
Vous voyez la VO, ça sert encore à quelque chose.
Rédigé par : Elusen | 29 décembre 2019 à 05:04
@ Elusen | 28 décembre 2019 à 12:09
« Un individu qui voudrait pouvoir évaluer la performance artistique d’acteurs sans entendre leur voix, mais un doublage. »
Hé ho on se calme !
Il faudrait peut-être considérer le cinéma au-delà de la seule production anglo-saxonne, certes abondante mais pas forcément une référence en matière de qualité.
A ce compte-ci il faudrait être polyglotte pour apprécier les films de grande valeur en langue allemande, espagnole, italienne, japonaise et les autres.
Certes vous me direz il reste le sous-titrage, mais quand on lit les sous-titres on perd toute la dynamique de l’action du film.
Je veux bien admettre qu’il y a quelques films cultes hollywoodiens qui méritent d’être regardés en VO, mais je ne pense pas que les séries crétinisantes américaines qui passent à longueur de journée sur toutes les chaînes de la TNT nécessitent d’être regardées en VO pour « évaluer la performance artistique des acteurs ».
Restons sérieux !
Rédigé par : Achille | 28 décembre 2019 à 14:27
@ Achille | 28 décembre 2019 à 09:33
▬ « Pauvres cheminots »
Twitter avec une affirmation : 99 % des Français, le tout sans aucune source !
Vous radotez.
Le statut des cheminots ne comporte pas ce qui est affirmé, sous-entendu, c’est un mensonge, sans compter que le statut décrié ne s’applique pas à tous les cheminots, la désinformation des médias et de Twitter, vive vous.
Non, le statut décrié ne s’applique pas à tous les salariés de la SNCF, pas à tous les cheminots.
- Statut RH0001
- RH0077
- RH00254
Vous ne les avez toujours pas lus, mais préférez rapporter les imbécillités dites par d’autres qui elles-mêmes répètent ce que d’autres ont dit.
D’après ce que j’ai lu dans leurs statuts, les billets ne sont pas en permanence, mais limité, c’était du quatre par an, si j’ai bonne mémoire ; comme dans toute entreprise où les salariés ont accès à des avantages, préférences sur ce que propose leur entreprise.
▬ « Le snobisme linguistique de certains »
Oh pauvre de vous !
Un individu sans culture, sans rien, c’est triste !
Un individu qui voudrait pouvoir évaluer la performance artistique d’acteurs sans entendre leur voix, mais un doublage.
Rédigé par : Elusen | 28 décembre 2019 à 12:09
Allez, encore un petit tweet très drôle sur le pauvre Martinez qui montre à quel point il en est réduit.
"Better laugh than cry" comme dirait Elusen !
Rédigé par : Achille | 28 décembre 2019 à 11:24
@ Elusen
« Si vous étiez intéressé par la science, vous n’auriez point pour source Twitter ce truc de grandes démonstrations psychosociologiques. »
Ce n’est certainement pas sur Twitter que je vais rechercher les documentaires scientifiques, bien que quelquefois il soit possible d’y trouver des références intéressantes.
Quant à la VO, elle est évidemment toujours préférable à la version française, mais pas au point de dénaturer la trame du film.
Le snobisme linguistique de certains beaux esprits français pour l’anglais, qui se sentent obligés d’utiliser des termes anglais plutôt que ceux qui existent dans notre langue, est assez ridicule.
Rédigé par : Achille | 28 décembre 2019 à 09:33
Pauvres cheminots
À la SNCF pour la distribution des billets de train, c’est un peu comme au jeu des 7 familles. On demande le père, la mère, le fils, la fille, le gendre, la belle-maman, les grands-parents et même en s'arrangeant un petit peu, la copine du gamin.
L’ouverture à la concurrence risque de changer bien des choses dans le petit monde tranquille de la SNCF…
Rédigé par : Achille | 28 décembre 2019 à 08:08
Ah ah !
Pardon Achille !
Votre propension à dénigrer ainsi que vos justifications sont croquignolesques... C'est vraiment un régal. Ne changez rien.
Rédigé par : Chemin de traverse | 28 décembre 2019 à 04:55
@ Chemin de traverse
"Mais que voulez-vous, contrairement aux scientifiques et à leurs formules, les littéraires peuvent parfois vous laisser le loisir de "déchiffrer" :)."
Pourquoi croyez-vous que les scientifiques manipulent des "formules" ? La science, ce n'est pas essentiellement des mathématiques. Du tout...
Et les scientifiques n'ont rien contre le "déchiffrage".
Je ne comprendrai jamais ces oppositions entre esprits scientifiques et littéraires. Une opposition tout aussi inconséquente que formelle: les diverses spécialisations ne remettent pas en cause l'unité de la quête humaine de l'objectivité, et la littérature en fait plus souvent partie qu'on ne veut le croire.
Rédigé par : F68.10 | 28 décembre 2019 à 03:57
@ Achille | 27 décembre 2019 à 08:12
La VO cela élimine beaucoup de personnes !
Et pour les dessins animés, faut aller à la dernière séance, les enfants dorment et à votre âge, choisissez les horaires où ils sont en classe.
Des reportages scientifiques, il y en a au cinéma ; sur Arte et France 5, ils ne sont pas aussi fréquents que vous l’affirmez.
Si vous étiez intéressé par la science, vous n’auriez point pour source Twitter ce truc de grandes démonstrations psychosociologiques.
Le Projet Nim - voilà un documentaire que tous auraient dû voir.
Ils ont élevé un chimpanzé dans une famille humaine, nourri au sein, comme un enfant, avec des enfants humains, lui ont appris à signer, à être propre, à vivre en humain, cela a fonctionné.
Mais ces pourritures l’ont par la suite abandonné comme cobaye pour des laboratoires, une fois le projet fini.
La scène la plus terrible, c’est quand des années plus tard, il est enfermé en cage et que la femme qui l’a élevée le retrouve. Elle entre dans la cage et il la tabasse et s’arrête de lui-même avant de la tuer, car il a conscience que c’est sa mère, mais il lui en veut pour l’avoir abandonné, pour avoir été torturé dans des laboratoires pharmaceutiques et avoir fini en cage.
Rédigé par : Elusen | 28 décembre 2019 à 03:24
@ Chemin de traverse | 27 décembre 2019 à 16:43
« Oui, bien sûr ! Je comprends parfaitement que votre esprit scientifique ne puisse saisir certaines nuances de style et subtilités de l'humour. »
Le problème chez ceux qui s’essaient, sans toujours y parvenir, à faire dans "les nuances de style et les subtilités de l'humour" comme vous dites, est que, bien souvent, ils ne font rire qu’eux-mêmes, ce qui ne présente guère d'intérêt.
Mieux vaut faire dans le dépouillé, sans bien sûr tomber dans le trivial, et vous verrez, tout le monde saura "déchiffrer" les nuances de votre esprit dont vous semblez si fier..
Pour en venir à la foi qui m’anime à poser mes commentaires, sans trop me soucier de savoir s’ils seront lus ou pas, commentés ou non, je pense qu'elle ne diffère pas vraiment de la vôtre.
J’essaie d’étayer mes arguments à partir d'événements de l’actualité : vidéos, articles de journaux, tweets de leaders politiques ou syndicaux qui méritent que l’on s’y attarde.
Certes ils sont un peu dérangeants pour ceux qui préfèrent étaler leur état d'âme sur "Freluquet premier" comme il vous plaît de l'appeler. Appellation qui, soit dit en passant, n'est pas vraiment un gage de subtilité.
Rédigé par : Achille | 27 décembre 2019 à 21:21
@ Achille
Oui, bien sûr ! Je comprends parfaitement que votre esprit scientifique ne puisse saisir certaines nuances de style et subtilités de l'humour.
Reprenons calmement : le fait que vous proposiez de-ci, de-là à d'autres commentateurs, commentatrices que mon pseudo, de ne plus vous lire m'indiquait de vous poser la question: quelle foi vous anime pour continuer à poster des commentaires ?
Vous poser la question eut été plus simple, j'en conviens !
Mais que voulez-vous, contrairement aux scientifiques et à leurs formules, les littéraires peuvent parfois vous laisser le loisir de "déchiffrer" :).
Salutations distinguées.
Rédigé par : Chemin de traverse | 27 décembre 2019 à 16:43
On a du mal à y croire et pourtant ! Eric Drouet
Une des révélations politiques de l’année 2019 ! Et comme si cela ne suffisait pas, Manon Aubry, la Bécassine de la politique, et Julien Odoul viennent se joindre à lui.
Sacré Huffington Post ! Heureusement Jean-Baptiste Djebbari vient apporter une note de sérieux à cette sélection surréaliste, sans doute effectuée après une soirée un peu trop arrosée !
—————————-
@ Elusen | 27 décembre 2019 à 02:04
Pour ne rien vous cacher je vais très peu au cinéma. La dernière fois que j’y suis allé, il y avait un type devant moi dont le smartphone n’arrêtait pas de sonner et à ma gauche une petite peste de neuf ans qui n’arrêtait pas de gigoter et a même renversé son pot de pop-corn sur mes genoux. J’ai eu droit aux excuses de la mère qui m’a gratifié d’un sourire de crétine.
Maintenant quand un film me plaît j’achète le DVD, cela me permet, en outre, de le revoir plus tard tranquillement assis dans mon salon sans fâcheux autour de moi.
Par contre je regarde de temps en temps des documentaires sur France 5 et sur Arte, mais ce ne sont pas forcément les mêmes que les vôtres. Je préfère les documentaires scientifiques aux grandes démonstrations psycho-sociologiques dont vous semblez si friand. Chacun ses goûts !
Rédigé par : Achille | 27 décembre 2019 à 08:12
@ caroff | 26 décembre 2019 à 10:41
▬ « on n'a pas honte de sa civilisation ! »
Le christianisme peut-il être une civilisation puisqu’il n’a aucune langue commune, de territoire et de peuple ?
▬ « celui qui a prêché l'amour du prochain et la paix entre les hommes »
Oh j’adore celle-ci, le cadeau qu’il vient de m’offrir !
Evangile selon Matthieu
Chapitre 10, § 34 : Et Jésus dit :
Évangile selon Luc
Chapitre 12 § 49 à 51 : Et Jésus dit :
Je dois être baptisé d'un baptême, et quelle n'est pas mon angoisse jusqu'à ce qu'il soit consommé !
Pensez-vous que je sois apparu pour établir la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais bien la division.
Chapitre 19 § 27 :
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@ Achille | 26 décembre 2019 à 10:07
« J’ai vu cet excellent film qui est passé dernièrement à la télé »
À la télé, pas au cinéma et pas en VO ! Aïe ! Aïe ! Aïe !
Cela étant, la docteure en mathématiques, doublement pénalisée parce que femme et noire, qui sauve le programme de la NASA, devait faire un kilomètre entre son bureau et les toilettes avant que le directeur blanc de la NASA, découvrant cela, se choque et y mette un terme.
Mais ce qui est marrant dans tout ça, c’est le sexisme, quand un gradé de l’armée des USA, noir, se choque et se moque qu’une femme puisse être docteure en mathématiques. Cette femme fut aussi victime de personnes noires.
Aujourd’hui un bâtiment de la NASA porte le nom de cette docteure.
Cela nous rappelle que toutes les luttes ne se font pas seules, car des femmes blanches et hommes blancs ont pris des risques, telle que la cheffe du personnel qui pousse à faire nommer l’informaticienne noire de génie directrice du service le plus important en informatique de la NASA.
Le juge sudiste blanc qui prend un risque avec sa vie en ordonnant qu’une femme noire puisse obtenir son diplôme d’ingénieure en aéronautique.
Mais vous êtes toujours incapable de parler d’un film ou documentaire vu cette année 2019 au cinéma.
Y êtes-vous déjà allé au cinématographe ?
Rédigé par : Elusen | 27 décembre 2019 à 02:04
@ Achille | 26 décembre 2019 à 19:04
Pas d'accord avec votre dernier paragraphe.
Il conviendrait une fois pour toutes dans notre pays, la France, de faire preuve d'indépendance de jugement et d'esprit, et ne plus se référer à ce qui se fait aux USA et ailleurs, sachant reconnaître en tout homme ou femme, nonobstant ses origines sociales ou ethniques ce qui constitue sa valeur, son courage et son attachement - inexpugnable - à la patrie, le rendant de ce fait éligible aux plus hautes fonctions.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 26 décembre 2019 à 20:03
@ Achille 17h12
Macron a, par exemple, assisté à la rupture du jeûne du ramadan (Iftar). Peut-être ne réalise-t-il pas que Noël est une fête célébrant la naissance de celui qui a prêché l'amour du prochain et la paix entre les hommes, et qu'en cela elle touche à l'universel...
Je persiste à penser que les laïcards ne s'offusqueraient pas d'un mot présidentiel et quand bien même ils s'en indigneraient, je ne tressaillirais pas d'émotion !
Rédigé par : caroff | 26 décembre 2019 à 19:27
@ Mary Preud'homme | 26 décembre 2019 à 17:18
« Par ailleurs, il ne me semble pas que la couleur de peau d'un futur président de la République serait le gage d'un vrai changement dans notre pays qui a surtout besoin d'un homme ou d'une femme de parole, d'engagement, de courage et de conviction qui aime la France et ses concitoyens. Homme ou femme capable de se mettre totalement à son service en s'élevant au-dessus des partis, des clans et des chapelles de tout ordre. »
Ce ne serait certes pas le gage d’un vrai changement dans notre pays, mais cela constituerait quand même un bouleversement notable des mentalités dans le contexte très "identito-communautariste" actuel soigneusement entretenu par les partis populistes.
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 19:04
@ Chemin de traverse | 26 décembre 2019 à 15:14
Pouvez-vous reformuler calmement votre réponse pour le moins confuse, je n'ai rien compris. D'avance merci ! :)
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 18:45
@ Achille 26 décembre 10:07
"Barack Hussein Obama est né le 4 août 1961 à Hawaii d'un père Kenyan et d'une mère blanche (elle descend de Jefferson Davis) mais qui a du sang indien (Cherokee, comme Ben Davis)"
C'est donc un métis pure souche pour nous Français qui refusons de nous en tenir à la classification arbitraire en cours aux USA où l'on est tenu de cocher dans ses papiers d'identité l'une des cinq cases d'appartenance ethnique : blanc, noir (alias afro-américain), hispanique, asiatique, amérindien.
A noter que sans sa mère blanche et ses grands-parents également blancs qui l'ont élevé, contrairement à son père noir qui s'en est totalement désintéressé durant plus de trente ans, Obama ne serait pas devenu président des USA !
Par ailleurs, il ne me semble pas que la couleur de peau d'un futur président de la République serait le gage d'un vrai changement dans notre pays qui a surtout besoin d'un homme ou d'une femme de parole, d'engagement, de courage et de conviction qui aime la France et ses concitoyens. Homme ou femme capable de se mettre totalement à son service en s'élevant au-dessus des partis, des clans et des chapelles de tous ordres.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 26 décembre 2019 à 17:18
@ caroff | 26 décembre 2019 à 10:41
La Grande-Bretagne est une monarchie constitutionnelle avec ses traditions séculaires, alors que la France est une République laïque qui a déclaré la séparation de l’État et des organisations religieuses (loi de 1905).
A ce titre un président n’a pas à souhaiter un joyeux Noël aux catholiques, pas plus qu'à souhaiter un bon ramadan aux musulmans ou Yom Kippour aux Juifs.
On ne peut pas reprocher à Emmanuel Macron de ne pas souhaiter un joyeux Noël aux catholiques français alors qu’aucun de ses prédécesseurs ne l’a fait jusqu'à présent. Même pas le Général qui allait pourtant à la messe tous les dimanches à Colombey-les-Deux-Églises.
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 17:12
@ Achille
C'est donc un sentiment étrange qui me saisit à la lecture de votre dernier commentaire à mon adresse...
Pouvez-vous m'expliquer comment étant lu à plusieurs moments sur cet espace et à des commentateurs, commentatrices différents : "qu'ils, qu'elles peuvent faire le choix de ne pas vous lire" quelle est donc cette foi qui vous anime à remettre le couvert des commentaires ?
Jésuite-mariste un jour, etc.
Rédigé par : Chemin de traverse | 26 décembre 2019 à 15:14
@ Chemin de traverse | 26 décembre 2019 à 09:38
Mes réflexions reposent sur des éléments factuels. Mais personne ne vous oblige à me lire !
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 11:00
@ Achille 8h12
"Je n’ai pas souvenance qu’un président ait jamais souhaité officiellement un joyeux Noël aux Français. Par contre il ne manquera pas le 31 décembre au JT de 20H, de leur souhaiter une bonne et joyeuse année ainsi que tous les présidents républicains le font depuis des lustres.
Outre-Manche, on n'a pas honte de sa civilisation !
https://www.youtube.com/watch?v=7OkKge5Rxro
Rédigé par : caroff | 26 décembre 2019 à 10:41
@ Elusen | 26 décembre 2019 à 01:39
« Et ce chef-d’œuvre, une histoire vraie, trois femmes noires qui ont la particularité non seulement d’être des femmes, mais noires en plus et pourtant elles ont participé au programme spatial des USA, dont l’une, docteur en mathématique, c’est elle qui va le sauver, mais son nom vous ne le connaissez même pas. »
Je vais vous rassurer. J’ai vu cet excellent film qui est passé dernièrement à la télé. Je me souviens de ce passage où elle avait piqué une grosse colère parce qu’elle ne pouvait pas aller dans les toilettes réservées au Blancs.
Les choses ont évolué depuis puisque les Américains ont même élu un président noir à la tête de leur pays, ce qui ne me paraît pas envisageable en France pour avant quelques décennies.
Vous voyez, mon cas n'est pas totalement désespéré.
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 10:07
@ Achille
Vous perdez le sens commun républicain à vouloir influencer chacun, chacune sur cet espace et taper sur ce qui n'est pas de l'entourage du Freluquet premier.
Lassant !
Rédigé par : Chemin de traverse | 26 décembre 2019 à 09:38
Jordan Bardella est choqué, indigné parce que le président n’a pas souhaité « Joyeux Noël » aux Français.
Je n’ai pas souvenance qu’un président ait jamais souhaité officiellement un joyeux Noël aux Français. Par contre il ne manquera pas le 31 décembre au JT de 20H, de leur souhaiter une bonne et joyeuse année ainsi que tous les présidents républicains le font depuis des lustres.
Décidément ce pauvre Jordan Bardella est au FN ce qu’Eric Coquerel est à LFI : le simplet de la bande. :)
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 08:12
La cagnotte en faveur des grévistes de la CGT est en passe d’atteindre le 1,2 million d’€.
Elle a été alimentée par plus de 18 400 personnes (soit plus de 63€ de moyenne !) dont l’ineffable J-M Bigard, l’humoriste préféré des beaufs, et quelques autres personnalités people du monde du spectacle qui bénéficient elles aussi de leur régime spécial.
Le syndicaliste de SUD Rail, Anasse Kazib, lui, peut se permettre de faire grève tous les jours vu qu'il touche sa commission chaque fois qu'il participe à l'émission des Grandes Gueules sur RMC. Pas besoin de cagnotte pour lui. Tout va bien !
Rédigé par : Achille | 26 décembre 2019 à 06:58
@ Achille | 25 décembre 2019 à 18:26
« ...des pseudo-intellectuels qui pètent dans la soie comme ce pathétique Gérard Miller »
Ou vous !
La lutte des classes existera tant qu’il y aura des classes sociales et une qui s’évertuera à vouloir dominer les autres.
► Green Book : sur les routes du Sud ; excellent film tiré d’une histoire vraie, la lutte des classes aux USA.
Et ce chef-d’œuvre, une histoire vraie, trois femmes noires qui ont la particularité non seulement d’être des femmes, mais noires en plus et pourtant elles ont participé au programme spatial des USA, dont l’une, docteur en mathématique, c’est elle qui va le sauver, mais son nom vous ne le connaissez même pas.
► Hidden Figures
Mon Honorable Honoraire rassurez-moi, vous au moins vous les avez vus ?!
Rédigé par : Elusen | 26 décembre 2019 à 01:39
Quand le psychanalyste des plateaux TV fait dans le pathos.
Ce qui est sans limite c'est cette lutte des classes d'un autre temps soigneusement entretenue par des pseudo-intellectuels qui pètent dans la soie comme ce pathétique Gérard Miller.
Rédigé par : Achille | 25 décembre 2019 à 18:26
@ Achille | 25 décembre 2019 à 11:32
Eh ben à défaut de nous parler de cinéma, c’est lui qui nous fait le sien ! En plus, très mauvais acteur ; c’est surtout qu’il tourne en boucle et tout seul.
J’ai vu un très mauvais documentaire !
♦ Pahokee
Il y avait tout de même des choses intéressantes, mais ce truc états-unien depuis quelques années de planter une caméra dans un décor sans rien dire, sans aucun commentaire, sans sous-titre pour que l’on sache qui est qui, ce que l’on fait là, c’est du n’importe quoi.
Le genre de documentaire qui vous dit : débrouillez-vous pour comprendre.
Heureusement que j’ai rattrapé le tout avec un très bon film, pour vous mon ami imaginaire, mon Honorable Honoraire :
♦ Brooklyn Affairs... en français si l’on veut.
Rédigé par : Elusen | 25 décembre 2019 à 17:17
Gréviste pour défendre son régime spécial ou malade pour continuer à toucher de l'argent à bon compte, certains cheminots ont choisi.
Ben oui, il semble que le 13ème mois et la cagnotte sur Internet ne suffisent pas pour continuer le combat. Certains cheminots ont trouvé la solution. Se mettre en maladie. Merci la Sécu !
Rédigé par : Achille | 25 décembre 2019 à 11:32
Mélenchon se prenait déjà pour la République, voilà maintenant qu’il se prend pour le Père Noël au motif qu’il est habillé tout en rouge.
On aimerait bien qu'il soit comme le père Noël car lui au moins n'existe pas (sauf pour les enfants, bien sûr !), lui si ! :)
Rédigé par : Achille | 25 décembre 2019 à 11:19
Pauvres de nous, c’est reparti !
Oui, je la joue à la Zonzon et ses soliloques sur le billet « Encore Nadine Morano : c'est vrai ou c'est raciste ? » (Tiens où est-il passé d’ailleurs ?)
Il n’y a personne qui me réponde mais ce n’est pas grave. Au moins je n’ennuie personne et je peux donner libre cours à ma perplexité du moment.
Il fut un temps où l’on ne pouvait pas prendre le métro sans tomber sur un pauvre hère qui nous disait qu’il sortait de prison et qui demandait aux passagers une petite pièce "pour manger".
Il y avait aussi ces saltimbanques qui nous jouaient la sérénade puis passaient parmi les passagers après nous avoir cassé les oreilles pendant cinq minutes avec leur piètre spectacle.
Mais le pire n’était pas encore arrivé. Ainsi, en ces temps de grève sauvage, pour une fois que l’on pouvait prendre le bus sans être bousculé, voilà que cette militante aux manières de harengère nous prend le chou avec sa propagande à deux balles comme seuls les militants de LFI peuvent les produire. Dur ! dur !
Rédigé par : Achille | 25 décembre 2019 à 08:58
Allez, encore une. La dernière pour aujourd'hui dans la rubrique Pauvres de nous.
Si Mélenchon est le Jo Dalton de LFI, Coquerel est Averell sans aucun doute possible !
Rédigé par : Achille | 24 décembre 2019 à 11:19
Pauvres de nous et surtout pauvre Ségolène qui nous fait dans le discours démagogique des années 30.
Le dépit de ne pas avoir eu un petit strapontin au gouvernement. Pauvre femme aigrie. On aurait presqu’envie de la plaindre notre ambassadrice des pôles ! :)
Rédigé par : Achille | 24 décembre 2019 à 09:40
Dans la rubrique Pauvres de nous, quand y‘en a plus, y’en a encore !
Aujourd'hui, on est en train de péter l'économie . On est en train de leur faire mal. Et ça il faut toujours continuer. On va leur faire mal."
Vous avez aimé les Gilets jaunes et leurs figures emblématiques Maxime Nicolle, Eric Drouet et Jérôme Rodrigues qui ont eu droit à toutes les attentions des chaînes d’info continue et radios populistes.
Alors vous adorerez les leaders de CGT cheminots, RATP et Energie qui haranguent leurs troupes en tenant des propos séditieux.
Ils se croient revenus en octobre 1917 nos petits Vladimir Ilitch Lénine de bistrot, nos bolcheviks aux gros bras mais à la cervelle d'huître. Ils croient vraiment au grand soir, les bougres!
Mais ils risquent d'être déçus. La dictature du prolétariat, les Français n'en veulent pas.
Comme dirait Patrick Timsit : « Il y a toujours plus de cons chaque année, mais, en ce moment, j'ai l'impression que les cons de l'année prochaine sont déjà là ».
Rédigé par : Achille | 24 décembre 2019 à 07:38
Vous ne lirez, Monsieur Bilger, probablement jamais ce commentaire mais je l'écris quand même.
Ce billet est, une fois de plus, admirablement écrit, j'admire. Il faut avoir du courage pour révéler certaines choses de soi-même.
Depuis longtemps je pense, je me permets, que vous êtes comme vous le décrivez là, "pauvre de moi englué dans mes peurs, etc."
Et pourtant, combien vous pourriez être autrement, autrement que cet homme. Combien vous pourriez vous débarrasser de ce carcan et être ce que vous désirez être.
Vous admirez beaucoup certaines personnes et souvent de positions sociales avantageuses. Des gens reconnus. Cependant je devine, au risque de me tromper, que vous aimeriez être un de ceux qui battent le pavé pour défendre leurs droits, être parmi eux !
Défendre les petits, les sans rien, les inconnus, de ceux et celles qui sont victimes, de ceux et celles qui ne feront pas la une des médias pour leurs crimes immondes. Et vous le savez !
Dans un combat ultime, le plus beau, celui qui vous ramènera parmi eux, sortez de ce carcan !
Rédigé par : P.A. | 24 décembre 2019 à 01:50
@ Achille | 22 décembre 2019 à 10:12
▬ «...défendre les pauvres d’accord, mais vivre comme eux...»
Quand c’est un bourgeois qui dit cela à propos d’autres bourgeois, c’est à peine crédible.
▬ « Ben alors Martinez »
Sur un fil consacré à un film et au cinéma, je suppose que vous parlez de Olivier Martinez l’acteur français ?!
Je viens de voir un film avec un brin de jolie, doux dingue, très visuel et burlesque, tel que l’aurait fait Buster Keaton, Max Linder, Charlie Chaplin, Jacques Tati.
It Must Be Heaven - d’un cinéaste palestinien ; filmé en partie à Paris, dans le 2e arrondissement et du côté du Louvre.
Rassurez-moi, mon ami imaginaire, mon Honorable Honoraire, vous l’avez au moins vu celui-là ?!
Rédigé par : Elusen | 23 décembre 2019 à 03:33
Ne dit-on pas que l’exemple vient d’en haut ?
Emmanuel Macron que certains esprits mesquins appellent le président des riches a décidé de renoncer à sa retraite de président.
Ben alors Martinez, toi qui disposes d’un bureau digne d’un PDG du CAC 40 et une rémunération de cadre supérieur, pourquoi tu tousses ?
Je ne suis pas certain que Hollande, l’ennemi de la finance, soit disposé à en faire autant. Pourtant quel beau geste ce serait de sa part !
Ben oui défendre les pauvres d’accord, mais vivre comme eux, c’est une tout autre histoire ! :)
Rédigé par : Achille | 22 décembre 2019 à 10:12
Gérard Noiriel : «La grève de Noël fait partie des traditions de luttes lorsque l’urgence l’impose ». Il n’y a guère que dans Libération qu’on peut lire des trucs pareils :
« A la fin du XIXe siècle, les grèves pouvaient durer jusqu’à un an grâce à l’autonomie dont disposaient encore les ouvriers. Dans la grande industrie, beaucoup d’entre eux étaient encore proches de la terre. Souvent, ils profitaient de la grève pour aller donner un coup de main aux paysans. En retour, la communauté villageoise était solidaire. C’est la grande époque des «soupes communistes», une forme de solidarité qui était efficace quand les ouvriers n’étaient pas totalement pris dans les filets du salariat. L’un des grands problèmes que rencontrent aujourd’hui les syndicats tient au fait que les salariés ne peuvent pas se permettre des grèves très longues car la plupart d’entre eux sont enchaînés au crédit. Pour éviter le retour d’une grève aussi longue et aussi massive que celle de Mai 68, la classe dominante a multiplié les initiatives favorisant l’accès au crédit et à la propriété. Mais la dialectique de la lutte des classes fait que de nouvelles formes de domination engendrent de nouvelles formes de résistance. L’un des côtés positifs d’Internet et des réseaux sociaux, c’est que ces nouveaux moyens de communication ont permis le développement des caisses de grève, qu’on pourrait appeler des «soupes communistes à distance», pour montrer la continuité de ces formes historiques de solidarité. »
A noter que ce n’est pas faux. Les temps ont changé. Désormais les petits budgets sont couverts de crédits, les jardins ouvriers qui permettaient de continuer à faire bouillir la marmite pendant les périodes difficiles ont disparu.
Ne restent plus guère que les cagnottes et les appels aux dons sur Internet pour permettre aux grévistes de continuer la lutte.
Pourtant pendant la guerre 14-18 les belligérants avaient instauré la "trêve des confiseurs" permettant aux troupes de souffler un peu. Mais évidemment les enjeux étaient bien moins importants que ceux d'une grève…
Pauvres de nous !
Rédigé par : Achille | 22 décembre 2019 à 07:29
@ Achille | 21 décembre 2019 à 08:22
« Vous n’êtes pas mon directeur de conscience… et heureusement ! »
Hou, comme c’est affriolant, vous avez une conscience et quelqu’un d’autre que vous la dirige ; vous n’êtes point maître à bord hou là lààààà ....
Faut dire la source Twitter, des propos écrits par d’autres affirmant que ce sont encore d’autres qui les auraient prononcés, le tout sans aucune source.
Mais le cinéma, le 7e art chez vous...
Rédigé par : Elusen | 21 décembre 2019 à 23:04
J’allais oublier cette perle qui donne idée de ce qu’est devenu le combat syndical :
L’homme à la casquette .
On ne sait plus trop s’il faut en rire ou en pleurer.
Aujourd'hui je suis dans un bon jour, alors je ris. :)
Rédigé par : Achille | 21 décembre 2019 à 08:59
@ Elusen | 20 décembre 2019 à 18:54
« Toujours rien sur un film ou un documentaire de 2019 et après comme Marchenoir, vous désignerez qui sont les trolls sur un sujet qui concerne un film, le cinéma, l’année 2019, il suffit de lire ce que vous et d’autres en avez fait. »
Je n’ai certainement pas besoin de vos recommandations pour regarder un film ou un documentaire que ce soit sur l’année 2019 ou une autre.
Vous n’êtes pas mon directeur de conscience… et heureusement ! :)
Rédigé par : Achille | 21 décembre 2019 à 08:22
Dans la série « Pauvres de nous » , c’est pas fini.
1- NVB, le Retour !
Ce qu'il y a de remarquable en politique c'est que même quand on a fait la preuve de son incompétence, il est possible de revenir dans le jeu comme si de rien n'était.
2 - Que sont devenus les leaders syndicaux ?
Comportement qui décrédibilise encore un peu plus les syndicats qui, comme les Gilets jaunes, n'ont pas de leaders en mesure de se faire respecter. Affligeant !
Rédigé par : Achille | 21 décembre 2019 à 07:52
@ Achille | 20 décembre 2019 à 13:42
« Ben oui les révolutions se font avec 1 % de manipulateurs qui savent très bien ce qu’ils veulent et 99 % d’abrutis qui suivent sans trop savoir où ils vont. »
D’où sortez-vous vos statistiques ?
Après Wikibeauf, maintenant les anonymes sur Twitter !
Depuis quand seulement le 1 % de riche aurait pu faire la Révolution française à lui tout seul, sans arme, affronter l’armée, la noblesse et tous ses alliés ?!
Que viennent faire ces gens de la classe moyenne - comparés à vous : des pauvres - Maxime Nicolle, Jérôme Rodriguez et Eric Drouet dans le 1 % de riches qui aurait à lui tout seul fait la Révolution française ?
D’autant plus que vous n’êtes pas impacté par les grèves, encore moins par la réforme des retraites qui ne s’applique pas aux plus de 45 ans, ni aux cadres et ceux qui y sont déjà, pas plus que vous ne l’êtes par le déclassement social et la pauvreté.
Que des gens luttent pour leur survie qu’est-ce que cela peut vous faire ?!
Sauf si c’est vous le bourreau ?!
Toujours rien sur un film ou un documentaire de 2019 et après comme Marchenoir, vous désignerez qui sont les trolls sur un sujet qui concerne un film, le cinéma, l’année 2019, il suffit de lire ce que vous et d’autres en avez fait.
Rédigé par : Elusen | 20 décembre 2019 à 18:54
@ Elusen | 20 décembre 2019 à 12:23
Ben oui les révolutions se font avec 1 % de manipulateurs qui savent très bien ce qu’ils veulent et 99 % d’abrutis qui suivent sans trop savoir où ils vont.
Vous qui êtes si instruit, il serait temps que vous vous en aperceviez, ne serait-ce qu’avec les têtes de… proue (restons correct) des Gilets jaunes du genre Maxime Nicolle Jérôme Rodriguez et Eric Drouet pour ne citer que ces trois-là ! :)
Rédigé par : Achille | 20 décembre 2019 à 13:42
Dans la série Pauvres de nous (suite)
Ce délégué CGTEnergie se prend rien de moins pour de Gaulle et considère les coupures sauvages de courant pour des actes de résistance.
La tête du parfait abruti au QI de bulot. Le problème est qu'il y en a de plus en plus. Sans doute la nourriture. L'abus de merguez-frites-bière, ça attaque les neurones. Inquiétant !
Tiré de la même veine des déjantés de la cafetière Yvan Le Bolloc'h ne veut pas crever au boulot.
On se demande bien de quoi il pourrait crever dans son boulot, vu que son activité d'intermittent lui laisse pas mal de temps pour se reposer.
Il devrait demander conseil à Michel Drucker qui à 77 ans continue à assurer l’animation de son émission du dimanche après-midi sans laisser apparaître la moindre fatigue.
Il y en a décidément qui osent tout. le plus triste est que les médias continuent à les inviter. Désespérant !
Rédigé par : Achille | 20 décembre 2019 à 13:24