Dans la pièce de Samuel Beckett, on a attendu Godot et il n'est jamais venu.
Depuis des mois on nous fait languir avec un discours important que le président de la République s'apprêterait à prononcer sur l'islam, le communautarisme et la radicalisation. De jour en jour on nous l'annonce et pour l'instant il est demeuré virtuel. On sait seulement qu'Emmanuel Macron préfère le terme "séparatisme" à "communautarisme".
Pourquoi pas ?
Il semble qu'on réfléchisse intensément et qu'un déjeuner récent a même réuni à l'Elysée intellectuels, sociologues et responsables associatifs et deux ministres pour fournir des pistes et des orientations au président qui les trouveraient "trop faibles" (Le Parisien).
On a cru comprendre que, "pour rétablir l'ordre républicain", celui-ci chercherait à redonner une place importante au Conseil français du culte musulman (CFCM) dont le président vient de changer (Le Figaro). L'idée n'est pas mauvaise si cet organisme se montre plus offensif contre les dévoiements de l'islam, meurtriers ou non.
Pourquoi pas ?
Tout est bon à prendre dans cette quête interminable du bon moment et du verbe présidentiel adéquat. D'autant plus qu'au lieu de prévoir un traitement particulier pour chacun de ces thèmes - islam, "séparatisme" et radicalisation -, on a persuadé Emmanuel Macron de les appréhender de manière unique.
Derrière cette course de lenteur, il y a pourtant un butoir qui est le premier tour des élections municipales. Puisqu'il est essentiel pour le pouvoir de couper l'argumentation sous l'esprit des oppositions, spécialement LR et le RN. Ce qui pourra advenir, si un jour l'intervention présidentielle se concrétise, sera dans tous les cas lesté d'une charge politique, voire partisane, qui en altérera le fond.
A force d'aviver notre attente, Emmanuel Macron ne pourra plus se permettre de nous diffuser un message - plus salmigondis vertueux pour n'effaroucher personne qu'énergie déterminée pour faire face aux dangers qui menacent la France et les citoyens dans leur quotidienneté et leur vivre-ensemble.
Islam, islamisme, radicalisation et terrorisme : un cycle infernal ?
Des voyous et des délinquants se refaisant une virginité en prison et sous l'influence salafiste prêts à perpétrer le pire.
Des cités où le séparatisme est poussé à son comble, avec une contrainte maximale sur les jeunes filles et les femmes obligatoirement voilées, et le trafic de stupéfiants comme moyen d'existence.
La pression constante exercée par un islam conquérant et développant à l'air libre, dans un climat pourtant républicain, intolérance, intimidation et menaces de mort.
L'ambiguïté à dissiper entre la liberté du choix, acceptable tant qu'il demeure exclusivement religieux, et les mille atteintes qui n'ont pour vocation que de grignoter notre terrain démocratique et notre socle non négociable de principes en testant notre capacité de résistance. Chaque particularisme imposé et maintenu étant une victoire, chaque brèche dans la mixité une avancée, chaque burkini une régression. L'islam fort et dominateur ne faisant qu'une bouchée de l'islam modéré dont on recherche désespérément une expression claire et nette.
La proclamation que le judaïsme et le christianisme sont des religions victimes et qu'il est inutile, pour se donner bonne conscience et respecter une égalité qui n'a pas lieu d'être, de les englober dans une réflexion générale sur l'islam, ses dérives et ses dissidences.
Le président n'a pas à "revoir sa stratégie". Puisqu'on n'a rien vu encore.
On attend toujours. Puisque les "solutions trop faibles" sont à répudier, on attend les siennes.
On espère qu'enfin, si Godot, lui, n'est jamais venu, Macron surviendra et qu'il aura une parole et des propositions dignes, par compensation, du temps qu'il aura fait perdre à l'unité française.
@ Aliocha | 18 février 2020 à 16:52
"Peut être suis-je un troll russe..."
Euh... non. Vous êtes un troll, ça c'est sûr, mais pas un troll russe. Pour ça, il faut de la discipline, être prêt à bosser dur, écrire clairement et produire des résultats.
"...mais sbriglia est sûrement une groupie."
Toujours la bassesse de ceux qui ne conçoivent pas qu'on puisse apprécier autrui et le dire, à moins d'être un esclave. Vous nous saoulez avec vos leçons de morale et votre faux christianisme, mais vous venez de dévoiler ici votre vraie nature. Elle n'est pas jolie à voir.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 février 2020 à 05:41
@ Valerie 14/02 à 17h56
Entièrement d’accord avec vous.
Il y a chez Robert Marchenoir une sincérité du vrai anti-communiste qui fleure bon le temps où Suzanne Labin écrivait « Il est moins cinq » après les mémorables empoignades du procès Kravchenko.
Même si on peut ne pas être d’accord avec son anti-poutinisme viscéral, ce qu’il écrit (bien) est toujours digne d’intérêt. Merci de l’avoir souligné.
Rédigé par : Mitsahne | 18 février 2020 à 18:29
Peut être suis-je un troll russe, mais sbriglia est sûrement une groupie.
On a les modèles qu'on peut en "post-chrétienie".
Rédigé par : Aliocha | 18 février 2020 à 16:52
https://www.lepoint.fr/monde/russie-l-usine-de-trolls-tourne-a-plein-regime-18-02-2020-2363138_24.php
Et si Marchenoir avait raison ?
Et si Aliocha était un troll ?
Rédigé par : sbriglia | 18 février 2020 à 13:39
@ Aliocha | 17 février 2020 à 09:05
"Le racisme est une idéologie postulant une hiérarchie des races."
D'accord. Donc, un automobiliste qui se prend de bec avec un autre, et qui finit par le traiter de "sale nègre", n'est pas raciste. Je suis heureux que nous soyons enfin parvenus à nous entendre.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 18 février 2020 à 10:59
Hier, je rencontrais un communiste qui, en langage crypté bien entendu, me disait que le communisme n'avait pas de définition, qu'il n'était qu'une invention de Marchenoir pour exercer son terrorisme intellectuel sur ses adversaires, et leur infliger la mort sociale afin de prendre le pouvoir par des moyens anti-démocratiques.
J'ai bien essayé de défendre notre ami, mais quand les gens croient dur comme fer, même à des chimères, il est difficile de dissoudre ce qui est calcifié, et on ne peut que craindre l'effondrement de leurs structures erronées, et ils risquent alors de prendre le nom de leur maladie pour leur identité, un peu comme les nationalistes.
Aussi, la patience est de mise, quand tout sera écroulé, on s'apercevra que les injuriés, ceux qui n'ont pas la faculté d'injurier en retour, avaient pourtant raison, et que leur capacité de rester calme sous l'opprobre, était capacité de juste perception. Rien de moral là-dedans, ce qui est juste est juste, faux est faux, laissons le bien et le mal à qui lui appartient, et les malades à leur pathologie.
Rédigé par : Aliocha | 18 février 2020 à 09:41
Marchenoir nous redanse son cha-cha-cha transgressif, pris dans les filets de sa cage à roulettes d'imposteur, qu'il se prend régulièrement sur la figure.
Tout est démontré, mon ami, et vous continuez à transgresser, sans jamais donner une définition du racisme qu'ici vous incarnez, entraînant les bataillons jaunes d'antisémites qui se précipitent à votre suite dans la brèche que vous continuez à ouvrir en la muraille de la loi, baissant notre garde et nous affaiblissant, ouvrant à l'ennemi que vous évoquez pour justifier votre impéritie, les voies de notre destruction.
Continuez donc à persécuter en rond, à l'image de votre modèle-obstacle communiste, je continuerai à vous démontrer que votre haine et votre ressentiment sont faiblesse et aveuglement, votre non-définition mensonge sophiste qu'une simple pression du doigt suffit à renverser, et que les rodomontades éclatantes de votre style remarquable ne sont que le masque de votre lâcheté à entrevoir la vérité qui, je répète que c'est tout à fait lassant de devoir sans cesse vous le répéter, ne saura se reconnaître qu'en commençant par soi-même s'envisager.
Mais je suis bon, et résisterai à vos infantiles provocations, en vous répétant, avec la douce patience de celui qui sait, je ne parle pas de moi mais de celui que j'imite, la définition que vous êtes incapable de nous donner car alors s'effondrent vos si fragiles constructions, qu'il est nécessaire d'éliminer définitivement si nous voulons être efficace face à l'ennemi trop satisfait que nous perdions du temps à ces inutiles diversions :
Le racisme est une idéologie postulant une hiérarchie des races.
Rédigé par : Aliocha | 17 février 2020 à 09:05
@ Valerie | 14 février 2020 à 17:56
Vous êtes bien aimable.
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@ sbriglia | 14 février 2020 à 14:51 (@ Aliocha)
"Je n’ai pas besoin des leçons aigres de fraternité déversées à torrent pour pratiquer le bien en toute discrétion."
Voilà qui est bien dit, et devrait clore le débat. Ah non, zut, encore raté...
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@ Aliocha | 14 février 2020 à 15:41
"Nous donnerez-vous votre définition non élastique du racisme, Marchenoir ? Non, continuez-vous à persister, alors que vous l'exigiez de moi pour, prétendiez-vous, la clarté du débat. Le débat est donc clos, blabla."
S'il est clos, pourquoi y revenez-vous sans cesse ? Gros malin...
Je viens de vous la donner, ma définition. Pour la centième fois, ici même (13 février 2020 à 08:57). Mais vous faites partie de cette race de gauchistes qui fait semblant de ne jamais avoir rien entendu, sauf quand ça coïncide avec le dogme. Tant qu'on n'a pas donné la bonne réponse, ils reposent inlassablement la question.
Vous la voulez en plus court ? Vous faites partie de ces illettrés qui sont incapables de comprendre le sens d'un texte simple de plus de 25 lignes ?
Le "racisme" n'est qu'une méthode, pour les communistes (concept très large, que je n'expliciterai pas à nouveau ici), d'exercer leur terrorisme intellectuel sur leurs adversaires, et de leur infliger la mort sociale afin de prendre le pouvoir par des moyens anti-démocratiques.
Voilà ma définition, Monsieur Aliocha. Vous pouvez l'encadrer et la mettre au mur : c'est ce que vous pratiquez ici du soir au matin. C'est vous le raciste.
Si vous avez des arguments à opposer à cette définition (et à tous les développements que j'en ai fournis auparavant), donnez-les. Sinon, cessez de faire l'imbécile.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 février 2020 à 17:35
@ Robert Marchenoir le 14 février 2020 à 13:38
"...le café, qui est si noir, attire le sucre, qui est si blanc"
Et le lait... il est caille !?!?
Peu interessee, ni au fait, de la chose politique, j'apprecie neanmoins de lire Monsieur Marchenoir qui publie des commentaires argumentes magnifies par une ecriture impeccable.
Bon week-end a toutes et tous.
Je retourne, avec grand bonheur, a mon precieux et quasi-total anonymat... n'en deplaise a Monsieur le Professeur !! Mazette, tant d'ami(e)s virtuel(le)s...
Rédigé par : Valerie | 14 février 2020 à 17:56
Nous donnerez-vous votre définition non élastique du racisme, Marchenoir ?
Non, continuez-vous à persister, alors que vous l'exigiez de moi pour, prétendiez-vous, la clarté du débat.
Le débat est donc clos, malgré Napoléon, malgré vos asiles en lesquels vous envoyez ceux qui osent vous contredire, preuve supplémentaire que l'anti-communiste ressemble au communiste, comme le raciste à l'anti-raciste, l'objet de la querelle disparaissant au profit de celle-ci, les bons bourgeois se lavant les mains de l'absence de définition, oui, oui, pour être dévot, on n'en est pas moins homme, à postuler la hiérarchie des races au nom du chrétien, recrucifiant à tour de bras en prétendant nous défendre, alors qu'on joue le jeu de l'ennemi ravi d'attiser les divisions, Occident malade de ses addictions, et qui ne trouve son réveil que dans l'abjection.
Rédigé par : Aliocha | 14 février 2020 à 15:41
"Marchenoir, invariablement, choisit la piquouse, et sbriglia de se faire fouetter.
Chacun ses accoutumances."
Rédigé par : Aliocha | 14 février 2020 à 08:27
C’est parfaitement exact, Aliocha : j’aime être fouetté, parfois jusqu’au sang, pour ne pas m’endormir face aux sirènes de la bien-pensance, pour ne cesser de croire à mes fondamentaux : liberté, effort, primauté de l’individu, sens du travail et des valeurs transmises par mes ancêtres, défense intransigeante de mon espace judéo-chrétien, de ma culture, de mes choix de vie, le tout dans le respect de mon voisin.
Pour éviter de sombrer dans le renoncement, l’abdication, la cinquième colonne, la forfaiture…
Pour appeler un chat un chat et une crapule une crapule…
Les « piquouzes », comme vous les appelez, de Robert Marchenoir sont toujours les bienvenues : elles vous réveillent de cet « à-quoi-bonisme » qui, se fondant sur notre paresse naturelle, nous force à nous coucher.
Ai-je à me cacher, honteux, de l'apprécier ?
Homme de droite je suis, homme de droite je demeure : je n’ai pas besoin des leçons aigres de fraternité déversées à torrent pour pratiquer le bien en toute discrétion.
Voilà, vous savez l’essentiel.
Rédigé par : sbriglia@Aliocha | 14 février 2020 à 14:51
@ Aliocha | 14 février 2020 à 08:27
"La douce patience de celui qui sait."
Il ne se prend pas pour la poussière de ses semelles, l'Aliocha.
"Tel le sale gosse qu'il est."
Voilà : la douce patience de celui qui sait. C'est la tournure que je cherchais.
"Tentant de reprendre un débat qui est clos."
C'est moi qui décide. Je suis Napoléon.
Comment se fait-il qu'il y ait autant de candidats à la psychiatrie lourde, sur ce blog ? Philippe Bilger m'a pourtant l'air d'un homme raisonnable... D'habitude, les blogueurs attirent les gens qui leur ressemblent... D'où vient ce mystère ? Quelle est cette malédiction ? Et comment se fait-il que le café, qui est si noir, attire le sucre, qui est si blanc ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 février 2020 à 13:38
On me dit que l'islam exige des Autorités d'un pays où cette idéologie s'organise pour l'éternité, des prises de position dont on peut être assuré qu'elles ne seront ni comprises ni soutenues par une partie de l'opinion !
On me rappelle que c'est la moindre des choses d'avoir la liberté de critiquer une religion sans préciser de quelle religion il s'agit et en omettant d'indiquer si la religion « critiquable » est en mesure de faire appliquer strictement ses lois – lesquelles peuvent être rigides et sévères comme on le sait des religions de ce bas monde.
Une proposition idiote, pouvant se révéler mortifère !
On me dit encore qu'un chef d'Etat concerné par le « problème de l'islam » prendrait dès sa prise de fonction des mesures draconiennes à l'encontre de cette religion ; il est plus que probable que lors de la campagne précédant son élection il aurait alors développé, pour le peuple haletant qui attend de lui son salut, toutes ces actions salvatrices tant espérées !
C'est tout aussi grotesque. On sait très bien que cela ne se passe jamais ainsi dans le monde réel !
Et on m'ajoute enfin que le pouvoir devra contraindre, par tous moyens, tout religieux qui enfreindrait les lois du pays d'accueil, « rien que la loi et toute la loi » tout en sachant pertinemment combien cette action est chimérique et honnie par ailleurs par toute la partie de la population qui est déjà « à cheval », religieusement parlant !
Autant dire qu'on touche au délire !
Moi je dis que quand les choses sont simples il est folie de les compliquer. Comme ce personnage du « Pacha » commentant : « Les flics d'un côté, les truands de l'autre… mais là, à partir d'un certain moment, on sait plus très bien ! »
Rédigé par : Zonzon | 14 février 2020 à 10:43
Et qui est Godot, sbriglia ?
Engagez-vous donc dans le débat, M. Ponce Pilate, au lieu de distribuer les points en vous en lavant les mains, et remarquez que la cage à roulettes de la définition élastique de notre ami lui tombe sur la tête, tentant de reprendre un débat qui est clos et avec éclat, il pourra trépigner et se rouler par terre en hurlant tel le sale gosse qu'il est, il ne saura que s'auto-intoxiquer à déféquer toutes les pendules inconvenantes à l'endroit du grand rabbin, pris dans le filet des prisons de son incohérence.
La haine, répétons-nous avec toute la douce patience de celui qui sait, est comme l'héroïne, il n'y a que le toxico qui puisse décider de s'en passer.
Marchenoir, invariablement, choisit la piquouse, et sbriglia de se faire fouetter.
Chacun ses accoutumances.
Rédigé par : Aliocha | 14 février 2020 à 08:27
"Vous passez beaucoup de temps, ici, à dénoncer le "racisme". Mais on ne vous entend pas beaucoup dénoncer les crimes dus à l'immigration noire ou musulmane, le noyautage des institutions par les islamistes, la construction de mosquées salafistes à nos frais, les enfants qui se font systématiquement tabasser parce qu'ils sont blancs ou catholiques, les Français contraints de se soumettre aux contrôles d'identité de la mafia de la drogue, les viols commis par les "réfugiés", les attentats...
De quelle race sont les uns, et de quelle race sont les autres ?"
Rédigé par : Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 08:57
"Ils sont, ceux-là, de la race humaine, dont vous faites partie, Marchenoir, à ne pas savoir nommer ce que vous représentez…"
Rédigé par : Aliocha | 13 février 2020 à 14:08
C’est, typiquement, un dialogue de Beckett…
Mais qui est Vladimir ? Qui est Estragon ?...
Ou plutôt : qui est Pozzo ? Qui est Lucky ?…
J’ai quelques idées…
Rédigé par : sbriglia | 13 février 2020 à 17:33
@ Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 09:01
Mais que dire de plus?
Si EM souhaitait s'intéresser au problème de l'Islam et à son corollaire, l'immigration non contrôlée, il l'aurait déjà fait. Il faut dire qu'une résolution efficace de l'engrenage souligné par Philippe Bilger ("Islam, islamisme, radicalisation et terrorisme : un cycle infernal ?") exige de la part des Autorités des prises de position fermes et nettes, dont on peut être sûr qu'elles ne seront ni comprises ni soutenues par une partie de l'opinion, comme le montre l'affaire Mila. C'est déjà bien qu'EM ait rappelé la liberté de critiquer une religion même si c'est la moindre des choses.
Il lui reste à obtenir des pratiquants de l'Islam qu'ils s'engagent à respecter la loi française, rien que la loi, et toute la loi. Je doute comme vous que les militants islamistes se laissent persuader par de bonnes paroles. Il faudra donc les y contraindre, et c'est à cela qu'une bonne partie de l'opinion répugne, d'où sans doute la pusillanimité de l'exécutif, car il est difficile de soupçonner que ce soit par idéologie.
Rédigé par : Lucile | 13 février 2020 à 17:02
Ils sont, ceux-là, de la race humaine, dont vous faites partie, Marchenoir, à ne pas savoir nommer ce que vous représentez, et osez me dire à moi, que je diffame alors que je vous décris, ce que vous ne supportez pas et dès le commencement pour cela me traitez de nazi.
Vous avez tout pour accéder à la vérité et le refusez, au moins assumez les impérities de votre imposture.
Rédigé par : Aliocha | 13 février 2020 à 14:08
GRAMMAIRE FRANÇAISE : UNE MUNICIPALE, DES MUNICIPAUX !
Le Rhône, voie royale des grandes invasions. Depuis toujours. Comme toutes les vallées. Il vit passer César et ses cohortes. La Province romaine rentra dans l'Empire. Elle n'en sortit véritablement qu'avec Louis XI.
C'était le temps où les envahisseurs étaient des « civilisés » !
Plus tard il y eut les Dragonnades et les villages cachés au pied des premiers contreforts des Alpes servirent de refuge aux protestants.
Cette province-là, retirée au fond des vallées, douce et parfumée, pauvre mais paisible, vécut quiète jusqu'au jour où une nouvelle invasion, celle-là venue de la mer, remonta le cours du fleuve et se propagea au nord, au loin, toujours plus loin.
De Marseille jusqu'à Lyon... la Bourgogne... l'Alsace... la Scandinavie, on suivait la progression comme un malade scrute la montée du thermomètre.
Les maires ruraux - cette phalange des 36 000 fameux protecteurs de la Nation, toujours cités comme les meilleurs gestionnaires de la chose publique - profitèrent de cette « aubaine » pour aider à l'installation de nouveaux arrivants, jeunes et pétulants, une régénération des « pays » oubliés : des crédits, du commerce, des écoles... la gloire pour les édiles !
Les anciens habitants de ces « zones rurales oubliées », réputées pour la douceur de vivre, ne partageaient pas cet enthousiasme, ils voyaient se dégrader, jour après jour, leur espace de vie et leurs descendants qui avaient migré dans les grandes villes constataient à chaque retour estival que la vie était devenue hasardeuse, autant qu'ailleurs, que « leur famille, âgée et isolée » n'avait plus qu'à disparaître promptement.
Aujourd'hui cette région est une des plus insécures du pays.
Les voyous municipaux vont-ils recevoir un nouveau mandat pour nuire à leurs administrés ?
Rédigé par : Zonzon | 13 février 2020 à 11:33
Ne vous dérangez pas pour moi, je passais juste pour faire tourner le compteur d'un cran. Je ne voudrais pas que Monsieur et Madame Bilger aient des ennuis. Le nombre des commentaires est bloqué à 88, et j'ai remarqué que ça arrivait régulièrement sur ce blog.
En plus, sur ce fil en particulier, c'est tout à fait fâcheux. Déjà que ça grouille de fachos, en temps normal, dans les commentaires...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 09:01
@ Aliocha | 12 février 2020 à 16:45
"Mettre Marchenoir face aux béances de ses contradictions revient à être admis au KGB. Deux obsessions n'ont jamais fait une cohérence."
Non, moi, je suis parfaitement cohérent. Je ne joue pas les gentils et les pacifistes, tout en renvoyant dos à dos les agresseurs et les agressés.
J'ai toujours, ici, défendu la liberté, et son pilier fondamental : la liberté d'expression. J'ai toujours défendu la distinction entre les paroles et les actes. Prétendre que l'antisémitisme ou le "racisme" sont du terrorisme, comme le fait le rabbin Haïm Korsia, c'est préparer la tyrannie et le totalitarisme.
Le terrorisme consiste à massacrer des dizaines de personnes au hasard pour instiller la terreur, et imposer une tyrannie telle que le communisme ou l'islam. Nous avons trop connu cela sur notre sol, pour que j'aie même besoin de donner cette définition. Je le fais malgré tout, car le monde de fous dans lequel nous vivons nous oblige désormais à préciser que l'eau mouille, qu'un homme n'est pas une femme, et ainsi de suite.
Le "racisme", en revanche, est une notion parfaitement élastique, qui peut désigner, selon qui l'emploie, et le moment où il l'emploie, le génocide d'un peuple entier, ou de simples pensées, non seulement légales, non seulement légitimes, mais émises par la quasi-totalité de la population, voire absolument nécessaires pour sa survie.
Et cinquante autres nuances, intermédiaires entre ces deux extrêmes. En d'autres termes, le mot "racisme" ne veut rien dire : c'est lui qui est une arme de terreur intellectuelle et politique, brandie pour asservir la population.
Quand le "racisme" est puni par la loi, et vaut interdiction professionnelle voire danger de mort, comme on vient de le voir, pour la millième fois, avec la persécution de cette pauvre adolescente prénommée Mila, mais qu'il ne veut rien dire, qu'il signifie littéralement ce que le locuteur qui emploie ce mot veut qu'il signifie, comme dans Alice au pays des merveilles, nous touchons à la perfection renouvelée du totalitarisme.
Les communistes de papa avaient inventé les "ennemis du peuple", et cette simple expression a envoyé des millions d'innocents à la mort. Les crypto-communistes d'aujourd'hui ont inventé le "racisme", et, avec tous leurs amis (ce qui fait du monde), ils nous préparent une terreur renouvelée, qui a déjà fait des milliers de morts.
Le mot antisémitisme est plus précis, mais il inclut la simple expression d'opinions, qui, bien entendu, doit être pleine et totale. Même Robert Faurisson doit être libre de déblatérer ses saletés.
Il est manifeste, par conséquent, que quiconque qualifie de terrorisme le simple antisémitisme et le prétendu "racisme" est, au mieux, un imbécile dangereux, et, au pire, un tyran dans l'œuf.
Qu'il soit juif ou non, rabbin ou allumeur de réverbères, n'a pas à rentrer en ligne de compte.
Votre rabbin n'est pas le seul. A travers tout l'Occident, les gouvernements s'emploient de plus en plus à remplacer le mot racisme par le mot terrorisme. L'arnaque totalitaire du mot qui ne veut rien dire n'était pas encore assez complète avec le premier ; histoire de diaboliser encore un peu plus les adversaires politiques, on lui substitue un mot qui, dans l'esprit de tous, signifie barbarie et massacres.
Et comme "racisme", "terrorisme" signifiera, de plus en plus : actions, propos ou même pensées de quiconque est mon adversaire politique. De multiples initiatives, tout à fait concrètes, ont été prises par différents gouvernements à cet égard. L'arnaque de "l'anti-racisme" a été éventée, mais qui osera s'opposer à la "lutte contre le terrorisme" ?
A l'heure où des avocats entament des procédures pour "crime contre le climat", combien de temps faudra-t-il, par exemple, pour que les simples opposants à l'interdiction des voitures non électriques soient qualifiés de terroristes ? Je nous donne quelques mois, si ce n'est déjà fait.
Une fois de plus, face à la résistance des peuples, les gauchistes déplacent la cage de buts à roulettes.
Quant à vous, par votre dernier commentaire, vous faites la preuve, une fois de plus, que vous n'êtes qu'un agitateur lâche et sournois. Comme à l'accoutumée, après avoir lancé la discussion par la diffamation et l'attaque personnelle, vous vous carapatez en refusant le débat, en fuyant l'argument, et en concluant derechef par la diffamation et l'attaque personnelle.
Attaque et diffamation dont vous savez fort bien qu'elle constitue, aujourd'hui, une menace de mort.
Vous êtes bien pire qu'un troll. Un troll sème la zizanie pour s'amuser. Vous avez un objectif. Vous avez une stratégie.
Vous passez beaucoup de temps, ici, à dénoncer le "racisme". Mais on ne vous entend pas beaucoup dénoncer les crimes dus à l'immigration noire ou musulmane, le noyautage des institutions par les islamistes, la construction de mosquées salafistes à nos frais, les enfants qui se font systématiquement tabasser parce qu'ils sont blancs ou catholiques, les Français contraints de se soumettre aux contrôles d'identité de la mafia de la drogue, les viols commis par les "réfugiés", les attentats...
Tous ces criminels de masse et d'habitude se revendiquent, à la moindre occasion, de "l'anti-racisme". Combien d'attentats commis par ceux que vous accusez de "racisme" ? Combien de viols, combien de tentatives de meurtre, combien de sauts à pieds joints sur la tête de "mauvais regardeurs" jetés à terre ? Combien de voitures brûlées, combien de pompiers caillassés par des "racistes" ?
De quelle race sont les uns, et de quelle race sont les autres ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 08:57
Sacré Zemmour, il est tellement imprégné par Napoléon qu’il en arrive à se prendre pour l’Empereur lui-même et s'arroger sa pensée. :)
Rédigé par : Achille | 13 février 2020 à 07:56
Mettre Marchenoir face aux béances de ses contradictions revient à être admis au KGB.
Deux obsessions n'ont jamais fait une cohérence.
Rédigé par : Aliocha | 12 février 2020 à 16:45
Discriminer, c'est établir une distinction ou une différence entre des personnes ou entre des choses, c'est la définition des dictionnaires.
Par exemple, on discrimine les Français et les étrangers en leur donnant ou non accès à certains emplois, les honnêtes gens et les voyous en envoyant (théoriquement) les seconds en prison, les gens sérieux et les casse-co*illes en embauchant plutôt les premiers que les seconds,...
Quant au caractère "antirépublicain" des discriminations liées à des préjugés, notamment liés aux prénoms c'est du gloubiboulga pour dissimuler les réalités qui fâchent. Bizarrement, les "préjugés" ne touchent pas les Asiatiques par ce que chacun sait bien qu'ils ne traduisent en aucun cas un rejet de la France (et de la République, soit dit en passant !) et une manifestation d'hostilité envers le pays qui héberge, nourrit et instruit. Il est clair, même si le gourou tergiverse et camoufle ça en parlant de "séparatisme", que l'islam et ses manifestations visibles et moins visibles sont à l'origine d'un délitement de la cohésion sociale qui dépasse largement le cas de tel ou tel.
En ce qui concerne les prénoms tirés de la sous-culture des séries télévisées hollywoodiennes, les intéressés ne sont pas responsables de la bêtise de leur parents, mais ça laisse quand même augurer d'un déficit de culture et d'éveil intellectuel et d'une bonne occurrence de fabrication de cassos héréditaires, d'autant plus qu'il est actuellement inutile de compter sur l'"Education nationale" pour tirer vers le haut un jeune défavorisé socialement mais méritant et capable.
Réac ? au moins le réac a pour lui de réagir, même imparfaitement, aux dérives qu'il constate, c'est toujours mieux que la politique du chien crevé au fil de l'eau qui est l'alpha et l'omega du "progressiste" lambda.
Rédigé par : revnonausujai | 12 février 2020 à 11:28
@ Aliocha | 12 février 2020 à 07:40
"Quel beau retour arrière notre furieux va-t-il inventer pour se dédouaner ?"
Vous voulez parler de votre grand rabbin à la noix ? Eh bien, j'avais raison : c'est un gros imbécile plein de poils. Il y en a, même chez les Juifs. Vous nous le confirmez.
Incidemment, de nombreux Juifs partagent mon avis sur Haïm Korsia. Sans nul doute en raison de prises de position aussi stupides et nocives que celle-ci.
Il faut ne pas avoir un cerveau en état de marche pour banaliser à ce point le mot de terrorisme. Après avoir traité tout le monde de nazis, les gauchos de service vont maintenant prétendre que ma boulangère est terroriste, parce qu'elle est malaimable quand je n'ai pas la monnaie ? Xavier Nebout est un terroriste, parce qu'il a les Juifs dans le nez depuis que, peut-être, l'un d'eux l'a arnaqué dans une transaction immobilière ? Mon voisin est un terroriste, parce qu'il dit qu'il "n'aime pas les nègres" depuis que l'un d'eux l'a agressé en bas de chez lui ?
Il faut être totalement irresponsable, pour dire des choses pareilles lorsqu'on possède une telle influence médiatique.
En ce qui vous concerne, vous êtes un vrai malade : vos contradicteurs doivent toujours chercher à "se dédouaner", ils ne disent pas ce qu'ils pensent, ils "avouent"... Vous avez été tortionnaire au KGB, dans une vie antérieure ?
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@ Achille | 12 février 2020 à 06:25
Éric Zemmour a tout dit, dès le début de cette émission. D'ailleurs, Marlène Schiappa lui a immédiatement donné raison. Écoutons le Zemmour des grands jours :
"La non-discrimination est une arme de guerre au service d'une idéologie qui est, non pas l'égalité, mais l'égalitarisme. L'égalitarisme, c'est une idéologie qui consiste à assimiler toute distinction à une inégalité, toute inégalité à une discrimination, toute discrimination à une malveillance, et à faire, du soi-disant discriminé, une victime à vie. Et, ainsi, un persécuté."
"Or, c'est faux. Toute distinction n'est pas une inégalité : [n'en sont pas,] toutes celles qui reposent sur le mérite. Toute inégalité n'est pas une discrimination : [n'en sont pas,] toutes celles qui reposent sur le talent. Et enfin, toute discrimination n'est pas une malveillance."
"Quand vos fonctionnaires sont engagés, dans votre ministère, sur la [en vertu de leur] citoyenneté française, c'est une discrimination, puisque les étrangers ne peuvent pas être embauchés. Mais c'est une discrimination légitime."
"Quand on réussit à un examen, ou qu'on échoue à un examen, c'est une discrimination. Mais elle est légitime."
Puis, l'estocade :
"Imaginez : je vous fais des avances. Vous les refusez. C'est une discrimination. Mais elle est tout à fait légitime !"
Marlène Schiappa, feignant aimablement l'outrage :
"Je ne suis pas un service public..."
Zemmour, dans un grand sourire :
"Heureusement ! Grâce à Dieu..."
Voilà. Ils sont d'accord. Courtoisement d'accord, d'ailleurs. Rien de tel que de personnaliser le débat pour faire comprendre les problèmes... Marlène Schiappa a même réussi à être drôle, sur ce coup-là. Drôle, et juste. Peut-être plus qu'elle ne le pense... Je ne crois pas qu'une Ségolène Royal aurait eu autant d'esprit.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 12 février 2020 à 11:13
Hier je me suis essayé à parler de la discrimination. Mal ! Je suis mal à l'aise. Parler des rapports avec des gens que l'on ne voudrait point connaître… !
Je décide de ruser ! Je vais m'essayer à parler de « l'acrimination », qui en est le contraire, et qui est la manière dont j'envisage mes rapports avec tous ceux qui sont de chez moi, de ma région, de mon pays, de mon histoire, de ma culture, de mes goûts, de mes couleurs, de mes états d'âme, de mes impressions sensitives, de mes rêves, de mes espérances, de mes ravissements, de mes espoirs, et même de religion si besoin est !
Subitement je stoppe ! Je ne sais plus ! Je ne sais par quoi commencer ! Puis je déconcerte ! Que leur dire à tous mes compatriotes, démunis, décontenancés, humiliés, envahis, malmenés, pressurés, insultés par le pouvoir, trompés par les politiciens, bousculés par les voyous, parfois trucidés par la racaille ?
Alors je me ressaisis, resurgis, me reprends, je sais, je sais ce qu'il faut leur dire à mes vieux compatriotes, une chose, un mot, un seul mot : « Je vous aime ! »
L'acrimination, c'est ça !
Rédigé par : Archibald | 12 février 2020 à 10:28
@ Isabelle 11 février à 14 h 06
« "Les médias ont artificiellement instrumentalisé une opposition entre gauche et droite, mais qu’est-ce qui distingue Mitterrand après 1983 de Chirac ? Sarkozy de Hollande ? Tous se contentent d’effectuer des variations de style sur ce qu’il faut bien nommer… le giscardisme ! Macron compris. Mitterrand était marmoréen, Chirac jouisseur, Sarkozy énervé, Hollande apathique, Macron arrogant, mais ils défendent un même programme celui du Giscard suffisant, c’est celui de Maastricht." (Michel Onfray) »
Vous semblez tenir à cœur cet envoi meurtrier de Michel Onfray. Lequel évoque cette période historique, débutant en 74, au cours de laquelle les 6 princes de la dynastie des Souhmis ont ravagé notre pays.
Merci Madame de me soutenir dans cette thèse qui m'est chère. Vous êtes la première ici !
74 : début de l'immigration massive, de l'endettement budgétaire, de l'enlisement de la Nation dans l'UE !
Ces 6 princes-là vont payer… même ceux qui sont morts ! Les Français envahis, hébétés, mourants, ne vont pas les oublier, jamais !
J'ajouterais, en espérant ne point trop vous déplaire, qu'un septième personnage, dans la marge, pour avoir occupé le créneau du nationalisme de manière déshonorante, est tout aussi responsable que les 6 régnants !
Que Dieu sauve la France !
Quoi d'autre !
Rédigé par : Zonzon | 12 février 2020 à 09:20
Il suffit de demander :
«Il faut dire que les antisémites et tous les racistes sont des terroristes, parce qu’ils cherchent de la même façon à détruire la société dans laquelle nous vivons»
https://www.cnews.fr/videos/france/2019-02-13/haim-korsia-grand-rabbin-de-france-les-antisemites-et-tous-les-racistes
Je suis d'accord comme sur le fait qu'il n'y ait impunité pour personne, juifs y compris, notamment s'ils sont racistes.
Quel beau retour arrière notre furieux va-t-il inventer pour se dédouaner ?
Rédigé par : Aliocha | 12 février 2020 à 07:40
@ revnonausujai | 11 février 2020 à 17:31
@ Tipaza | 11 février 2020 à 19:10
"L'inverse de la discrimination, c'est la non-discrimination, c'est faire respecter les valeurs de la République". Qu’ajouter de plus ? Marlène Schiappa a parfaitement résumé en quelques mots ce qu’est la discrimination, alors qu’Eric Zemmour se lançait dans les démonstrations tarabiscotées dont il est coutumier comme notamment celle sur les prénoms qui est ridicule.
Il en arrive même à se contredire en disant que la seule discrimination positive est le contrôle de compétence, ce que je partage, et ensuite reconnaît que le prénom peut s’avérer une source de discrimination. Si Mohamed est compétent en quoi devrait-il être discriminé ?
Pourquoi serait-il obligatoire pour un étranger venu résider en France de donner un prénom français à ses enfants ?
Combien de parents bien franco-français donnent aujourd’hui à leurs enfants des prénoms émanant de héros d’une série télévisée américaine, celui d’un sportif qui s’est distingué par ses exploits (généralement un footballeur), sans parler des prénoms spécifiques à sa région, comme la Bretagne, la Corse ou le Pays basque, régions où les habitants sont très attachés à leurs racines ?
Zemmour oublie un peu vite que la discrimination repose sur des valeurs antirépublicaines, parfois sur la peur primale de tout ce qui sort de nos traditions. La couleur de peau, la religion, sont des critères subjectifs dont il est difficile de se débarrasser quand on a des préjugés.
Lui qui est un parfait misogyne, et ne s’en cache même pas, a l’air d’oublier qu’en matière de discrimination, les femmes ont pendant longtemps été marginalisées.
Elles sont devenues électrices et éligibles le 21 avril 1944 au même titre que les hommes et ce n’est qu’un an plus tard, le 29 avril 1945 qu’elles ont voté pour la première fois.
Ce n’est que suite à la loi de 1965, que la porte à l'émancipation féminine a vraiment été ouverte. Avant, une femme ne pouvait pas travailler sans l'accord de son mari, ni ouvrir de compte en banque à son nom propre. On n’était pas loin de la Charia !
A noter que cela ne fait guère plus d’un siècle que des femmes peuvent prétendre accéder aux professions à haute responsabilité comme médecin, ingénieur, juge, PDG de grandes sociétés, voire officier supérieur. Le rôle de la femme se limitait alors à s’occuper de son ménage, prendre soin des enfants et préparer les pantoufles de son mari quand il revenait du boulot, en étant préalablement passé par le bistrot, ou encore être affectées à des tâches subalternes en usine quand, en plus, elles devaient travailler.
Ce n’est pas de la discrimination ça ? Et en plus Zemmour a le culot de dire que la féminisation de certaines professions est un fléau pour notre société car elle a conduit celle-ci à la situation de confusion où elle est actuellement.
Difficile de faire plus réac !
J’ai longtemps eu des réserves sur Marlène Schiappa qui, parfois, a tendance à en faire un peu trop sur la place des femmes dans notre société qui s’est nettement améliorée en un siècle. Reste toujours cependant le problème des femmes battues et harcelées. Mais elle a démontré face à Zemmour, qu’elle ne s’en laissait pas conter.
Qu’elle ait été coachée avant cette émission par des conseillers en communication, c’est probable, mais elle s’est défendue comme une tigresse. Et je l’ai trouvée bien meilleure que son adversaire, monsieur "Je-sais-tout", qui nous ressort encore et toujours la même soupe réchauffée à chacune de ses interventions.
Rédigé par : Achille | 12 février 2020 à 06:25
@ Xavier NEBOUT | 11 février 2020 à 09:57
"Vous ne pouvez pas vous empêcher de répondre à toute contradiction par des attaques personnelles..."
Toujours aucun exemple d'attaque personnelle de ma part.
"...notamment au moyen de qualificatifs qui plus est infondés, car me concernant, je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l'antisémitisme, l'islamisme, le gauchisme etc. etc."
Aaaah, d'accord ! Donc en fait, pour vous, dire de quelqu'un qu'il est néo-nazi ou négationniste, c'est une attaque personnelle... Heureusement que, d'après vous...
"[Mes] analyses sont souvent inintéressantes, mais toujours limitées au ras des pâquerettes sur le plan intellectuel."
Vous m'avez l'air d'une vigie tout à fait éminente en matière intellectuelle. Déjà, vos déplorations que la radiesthésie ne soit pas reconnue à sa juste valeur... En parlant de limitations intellectuelles, que vient faire la conjonction de coordination "mais" dans votre phrase ?
Donc, après les leçons d'électricité à hameau dans les nuages, petite leçon de philosophie à votre intention : une attaque personnelle, cela consiste, par exemple, à objecter, à quelqu'un qui dit (Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 11:10) :
"Il est étonnant de voir combien toute contestation de la version quasi officielle de la Shoah est interprétée comme un blasphème et sujette à condamnations..."
...Qu'il a tort de prétendre qu'il existe une version officielle de la Shoah, car il sent des pieds. Cela, ce serait une attaque personnelle.
Ou bien, cela consiste à objecter, à quelqu'un qui dit (Robert Marchenoir | 09 février 2020 à 21:18) :
"Le plus simple serait que vous vous convertissiez à l'islam, si ce n'est déjà fait. Vous seriez logique avec vous-même...."
...la sottise suivante :
"Vos attitudes révèlent une éducation de milieu peu favorisé." (Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 10:45)
Cela, c'est une attaque personnelle.
L'expression attaque personnelle est censée invalider l'argument du contradicteur. Pourquoi ? Pas pour des raisons morales (bien qu'il en existe aussi), mais pour des raisons logiques.
Parce que Xavier Nebout aurait beau ne jamais se laver et dégager une horrible puanteur de ses extrémités inférieures, que cela n'aurait aucun rapport avec ses assertions historiques. Il se pourrait parfaitement (bien qu'il y ait peu d'exemples) qu'un type qui ne change jamais de chaussettes soit un dieu vivant en matière d'histoire de la Seconde Guerre mondiale.
De même, il se pourrait parfaitement que Pierre Blanchard et moi-même venions d'un milieu pauvre, que nos parents nous aient mal éduqués, et que simultanément vous ayez fourni, dans ces colonnes, de multiples témoignages de votre complaisance pour l'islam (ce que vous avez fait).
Il n'y a strictement aucun rapport entre votre allégation, qui porte sur les caractéristiques personnelles de Pierre Blanchard et les miennes, et votre défense politique et religieuse de l'islam, qui relève d'une argumentation générale, indépendante des personnes, et d'une préconisation de ce qui serait bon pour la France.
Au demeurant, il est manifeste que vous ne pouvez pas connaître l'histoire personnelle de vos interlocuteurs s'ils ne l'ont pas révélée ici.
Vous vous êtes donc bien livré à l'argument fallacieux et de mauvaise foi dit de l'attaque personnelle.
Et pas moi.
Quant à votre assertion selon laquelle...
"Je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l'antisémitisme, l'islamisme, le gauchisme etc. etc."
...Elle relève... comment disiez-vous, déjà ? de "la grande gu... d'un adjudant en retraite dont la raison d'être est d'occuper ce blog". (Ce qui ne va pas faire plaisir à certains officiers en retraite qui occupent ce blog et qui semblent beaucoup tenir à cette qualité, mais je vous laisse vous débrouiller avec eux.)
Autrement dit : plus vous mentez, plus vous hurlez pour maquiller votre mensonge.
J'ai déjà, surabondamment, relevé votre défi, et c'est bien ce qui vous gêne. De même que les antisémites dans votre genre s'obstinent à nier la Shoah, de même ils nient qu'ils soient antisémites.
Vous venez de manifester votre négationnisme et votre antisémitisme ici même, il y a à peine quelques heures :
"Il est étonnant de voir combien toute contestation de la version quasi officielle de la Shoah est interprétée comme un blasphème et sujette à condamnations, et à l'inverse comme on trouve normal de commettre les pires [mot manquant] à l'encontre de l'islam ou du christianisme."
Mais vous me mettez au défi de trouver la moindre adhésion au nazisme ou à l'antisémitisme dans vos propos. Alors qu'il suffit de se baisser pour en ramasser à la pelle (Xavier NEBOUT | 31 août 2017 à 16:04) :
"L'expression de JMLP 'détail de l'histoire' ne portait pas sur la Shoah, mais sur le point de savoir si les pauvres gens qui étaient morts dans les camps l'avaient été du fait de chambres à gaz ou autrement. Alors pourquoi a-t-on tant besoin de déformer ses propos si l'accusation était honnête ?"
Tout à fait. C'était une accusation honnête. On ne sait pas si les chambres à gaz ont existé. J'ai beau chercher, je ne trouve pas : aucune trace historique. Voyons encore ce petit chef-d'œuvre (Xavier NEBOUT | 21 février 2019 à 16:57) :
"Pourquoi en somme, quelque 20% des Français ou plus sont-ils antisémites, ou antisionistes ? [...] Ce qui anime et alimente l'antisémitisme, c'est la propension des juifs à dominer en étant certes souvent très bons en leurs domaines d'activité du fait d'un attachement moral à l'instruction beaucoup plus prononcé que dans la majorité de la population, mais aussi par solidarité religieuse, et c'est là que le bât blesse. [...]"
"Non ! Ce qui anime l'antisémitisme, c'est la mainmise des juifs sur l'information et l'enseignement populaire de l'histoire par la télévision, si ce n'est par leur présence directe, par le terrorisme intellectuel qu'ils génèrent."
"Non, les Français ne sont pas naturellement antisémites, et n'ont même pas pour leur très grande majorité, de raison de l'être, mais le lobby juif les incite à le devenir."
"Jean-Marie Le Pen n'a jamais été antisémite même si comme chez tous les Français de son époque, la blagounette sur les juifs était courante."
"Par contre, Jean-Marie Le Pen, comme moi d'ailleurs, ne se laisse pas berner par les falsifications de l'histoire tendant à ajouter des couches à la tragédie que fut le sort des juifs, pour que soit érigée toute critique historique en sacrilège."
"Bref, chers juifs que tout le monde aime bien lorsqu'ils s'appellent Raymond Aron, Yehudi Menuhin, ou Alain Finkielkraut etc., cessez de tanner les Français avec votre soutien aux infamies commises contre les Palestiniens, et à des agressifs comme BHL même s'il s'est calmé, ou encore en participant incognito à l'envahissement des coulisses du pouvoir par votre lobby."
"Chers juifs, donc, cherchez à vous faire aimer et non à vous faire détester."
J'ai précisément démontré en quoi ce texte prouvait votre antisémitisme -- si toutefois il en était besoin (Robert Marchenoir | 22 février 2019 à 04:06).
Vous êtes donc particulièrement de mauvaise foi de continuer sans cesse à me "mettre au défi" de trouver dans vos propos "une adhésion au nazisme ou à l'antisémitisme", de même qu'Aliocha pense convaincre son monde en prétendant mille fois qu'il a démontré ce qu'il n'a nullement démontré.
Votre technique est celle de tous les falsificateurs : répéter inlassablement leur mensonge, en espérant finir par être cru. Et sans, jamais, répondre aux objections qui leur sont faites.
Vous êtes un pipoteur de première, et ceci n'est pas une attaque personnelle : c'est une constatation appuyée sur des faits.
Quant à vos vantardises consistant à vous prévaloir de je ne sais quelle primauté spirituelle sur ce blog, et à dénigrer vos contradicteurs sur ce motif...
"Vos analyses [...] en dessous du zéro sur le plan spirituel..."
...On les jaugera à leur juste valeur, sur la base de commentaires aussi ridicules que celui-ci :
"Ceci dit, la pleine lune qui a tant d'influence sur la poussée des ceps et des cèpes, n'en aurait-elle pas une sur le niveau vibratoire des humains et par là même leur aptitude à communiquer avec les âmes des morts ?" (Xavier NEBOUT | 21 octobre 2019 à 09:45)
Vous êtes aussi navrant sur le plan scientifique que sur le plan spirituel.
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@ Aliocha | 11 février 2020 à 09:25
"Il est à souhaiter que Marchenoir se rende compte que sa danse tribale anti-musulman entraîne à sa suite nombre d'antisémites patentés. Il nous avait déjà avoué à propos du prépuce suédois..."
Le prépuce suédois ?...
"...que sa défense du judaïsme s’arrêtait quand il s'agit de contenir les désordres de l'Islam, oubliant que selon le grand-rabbin de France, antisémitisme et racisme sont terrorismes de même nature."
Ah ! alors, si le grand rabbin de France a sorti une sottise grosse comme lui, il est évident qu'il a raison, n'est-ce pas ?
Personnellement, je ne suis pas soumis à l'autorité du grand rabbin de France, (contrairement à vous, peut-être). S'il a dit "qu'antisémitisme et racisme sont des terrorismes de même nature" (et je me garderais bien de le tenir pour vrai sans l'avoir vérifié), eh bien c'est un gros imbécile plein de poils.
En effet, ma défense des Juifs s'arrête lorsqu'ils deviennent indéfendables, car ils n'ont, pas plus que n'importe qui, le monopole de la raison et l'impunité quant à leurs positions.
Je crois comprendre (mais votre ellipse à ce sujet, une fois de plus, en dit long sur votre malhonnêteté intellectuelle) que vous me reprochez d'avoir écrit, il y a un siècle environ, que les Juifs devraient, dans l'intérêt général, consentir à l'interdiction de certaines pratiques qu'ils ont en commun avec les musulmans : la circoncision et l'abattage rituel.
Je le maintiens. J'avais expliqué pourquoi. Vous n'avez apporté aucun argument contraire. Vous vous contentez d'appliquer l'adage : "Est-ce bon pour les Juifs ?" Vous l'appliquez mal, d'ailleurs. L'abattage rituel est interdit en Suisse depuis plus d'un siècle. Pour les deux religions. Les Juifs ne s'en portent pas plus mal.
A ma connaissance, il n'y a jamais eu d'attentats islamistes en Suisse. Et, en particulier, pas d'attaques islamistes visant des Juifs.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 11 février 2020 à 22:10
@ Achille | 11 février 2020 à 08:33
"Schiappa : 1 Zemmour : 0"
Vous aurez remarqué la réserve émise par Zemmour au début du débat.
Il a dit qu'il se posait la question de la sincérité du débat parce que "une épée de Damoclès planait au-dessus du débat" et donc que la parole n'était pas franchement libre.
Effectivement sur la discrimination il n'a pas pu exprimer sa pensée, il aurait été sous le coup de la justice pour, précisément, paroles discriminantes !
Je partage le point de vue de Wil | 11 février 2020 à 00:32, dans le billet suivant sur ce débat.
Marlène Schiappa a vraiment donné l'impression d'avoir préparé le débat avec des coachs qui lui avaient rédigé des fiches (ou antisèches) sur certains sujets, et elle les récitait au fur et à mesure.
Le plus comique a été quand elle a cité Nietzsche, Zemmour a été sidéré, moi aussi, mais moi j'ai éclaté de rire dans mon fauteuil.
L'inintelligence dans une séance de démonstration à la télé, ce fut une belle séance de "Gai Savoir" !
Rédigé par : Tipaza | 11 février 2020 à 19:10
@ Achille 11 février 08h33
Nous n'avons pas dû regarder le même débat ou alors chacun y a trouvé ce qu'il en attendait.
Moi, elle m'a paru aussi approximative et de mauvaise foi que d'habitude ; quand elle prétend ignorer la signification chrétienne de son propre prénom, elle place l'alternative entre une andouillerie carabinée ou une propension au mensonge digne de "Si bête" !
Sur le fond, Zemmour a raison de souligner que la discrimination fait partie de la vie réelle et, qu'associée au mérite, elle conduit à une meilleure société. Egalité des chances et non égalitarisme des moyens.
A chacun selon ses talents, saint Matthieu
Rédigé par : revnonausujai | 11 février 2020 à 17:31
Renaud Camus dont il a été question hier, maître à penser de la famille Le Pen, théoricien des races indoeuropéennes (les meilleures) et dont on lira avec profit la notice Wikiki, s'est avant tout distingué par un double apport sémantique.
C'est à lui que l'on doit l'expression « grand remplacement » qui permet de faire l'impasse sur le terme « invasion migratoire », trop cru, sans nuance, que le petit peuple pourrait mal saisir et qui le mettrait mal à l'aise. Avec le risque de réactions violentes inappropriées !
C'est encore lui à qui l'on doit le fameux vocable « remigration » ou « rémigration », celui-là franchement idiot !
Imagine-t-on une personne qui remigre ? Elle migra un jour de A à B pour des raisons qui lui sont propres. Alors elle remigre de B à C ! Bon ! C'est son problème !
Cette personne est très intéressante sans nul doute et son histoire nous passionnerait si on avait du temps à perdre.
Et bien plus encore s'il s'agissait non d'une personne mais de millions de personnes car alors la répartition des populations terrestres en serait chamboulée !
Bien !
Mais qu'en est-il du côté des « récipiendaires », si je peux me permettre ? Les récipiendaires, c'est-à-dire les peuples de la vieille Europe, si usés, défraîchis, hors d'âge ! Et qui sont si nuls qu'ils se sont toujours contentés de s'acagnarder dans leur coin pourri sans la velléité, au grand jamais, de s'en barrer !
Dame Logique leur répond immédiatement que ce mot ne leur appartient pas puisque, pour pouvoir remigrer il aurait fallu qu'ils migrent auparavant… bref !
En revanche, à supposer que ces peuples européens fin de course qui verraient s'installer chez eux, « à l'insu de leur plein gré », des masses vibrionnantes dont ils souhaiteraient le départ, utiliseraient pour ce faire le terme « désimmigration »… sans nul doute !
Dans le but quelque peu incertain de revenir à un état antérieur !
Je désimmigre ; toi mon pote, tu te barres, tu rémigres quoi ! Bon vent !
Finalement ce Renaud Camus il nous prend pour les autres ! La langue, c'est la meilleure et la pire des choses !
Rédigé par : Zonzon | 11 février 2020 à 15:42
Gauche, droite, vaste blague !
Quand vont-ils arrêter de nous prendre pour des quiches ou des perdreaux de l'année ?
"Les médias ont artificiellement instrumentalisé une opposition entre gauche et droite, mais qu’est-ce qui distingue Mitterrand après 1983 de Chirac ? Sarkozy de Hollande ? Tous se contentent d’effectuer des variations de style sur ce qu’il faut bien nommer… le giscardisme ! Macron compris. Mitterrand était marmoréen, Chirac jouisseur, Sarkozy énervé, Hollande apathique, Macron arrogant, mais ils défendent un même programme celui du Giscard suffisant, c’est celui de Maastricht." (Michel Onfray)
Michel Onfray : “Le bourrage de crâne est parvenu à un degré jamais atteint depuis qu’il y a des hommes” (Atlantico)
Rédigé par : Isabelle | 11 février 2020 à 14:06
"Discrimination : Zemmour accuse Schiappa de “fabriquer des victimes éternelles”"
Marlène Schiappa a montré son vrai visage... La cruche qui répète son prêchi-prêcha comme un perroquet en phase terminale.
Le problème c'est qu'elle représente un vrai danger pour la France et les Français.
https://www.valeursactuelles.com/societe/discrimination-zemmour-accuse-schiappa-de-fabriquer-des-victimes-eternelles-115905
Pendant ce temps-là, qui provoque qui ? Le croissant musulman sur une église d'Albi... Qui commence et poursuit sans cesse les provocations ?
https://www.bvoltaire.fr/le-croissant-musulman-sur-une-eglise-dalbi/
Rédigé par : Isabelle | 11 février 2020 à 13:32
@ Achille | 11 février 2020 à 08:33
https://twitter.com/i/status/1227107208862879745
Ziva ! La vérité sort de la bouche des enfants ! Wesh !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 11 février 2020 à 12:42
À partir du moment où, sur de longues périodes, n'importe qui est entré dans le territoire de la République sans l'assentiment d'une large majorité d'autochtones, il devient logique que la « discrimination » s'installe dans tous les champs de la Nation.
Rédigé par : Zonzon | 11 février 2020 à 12:28
@ boureau 10 fév. 15 h 50
« Une vache sacrée » ? Un parfait inconnu.
« Crypto-communiste » ? Communiste. Il le dit. Et moi ? Très anticommuniste.
« Agrégé de philosophie » ? Ce n'est pas un crime.
Il n'a aucun « fantasme ». Depuis des siècles deux monothéismes tentent de dominer le globe. Pour une fois, un conférencier indique en assez peu de temps des avis peu favorables aux religions. Les avis de Spinoza, Rousseau, Kant, Feuerbach, Nietzsche, Marx et Freud. C'est clair, net et instructif.
Vous aurez remarqué qu'il ne lit pas de prompteur et qu'il ne lit aucun papier. Quand on nous bassine du matin au soir avec les questions religieuses, la conférence vise à ouvrir l'esprit. Vous connaissiez les idées de Feuerbach et vous aviez lu son livre essentiel ? Non ? Lisez-le. Vous le trouverez sur Gallica. C'est lumineux. BFM et TF1 ne vous en parleront pas. Ni aucun journal.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 11 février 2020 à 10:42
@ Robert Marchenoir | 09 février 2020 à 21:18
« Qu'on leur passe la main dans le dos en même temps, c'est le jeu politique. Mais cette main doit tenir un poignard. »
Mais, ma parole, vous êtes machiavélique ! Obscurum per obscurius !
Il faut dire qu'il est impossible de vous imaginer autrement que de la façon que vous préconisez...
Politiquement, sans doute avez-vous déjà dirigé un grand pays imaginaire, et c'est pourquoi vous avez des connaissances.
Mais il est aussi possible que vous n'ayez dirigé que votre petit commerce de lingerie, tout en ayant l'oreille des grands hommes....
Oui, cela est fort possible, sans quoi comment expliquer votre si grand savoir, et cette compétence que l'on ne trouve qu'au Café du Commerce ?
Je dois reconnaître, et toujours sur le plan de la stratégie politique, qu'il est excessivement fin d'affirmer comme vous le faites :
« Ils doivent ramper sous le tapis. Ils doivent savoir qu'ils rencontreront des obstacles partout où ils iront. Qu'on leur opposera les prétextes les plus hypocrites et les plus dégradants. »
Je me demande quelle tactique est la plus rusée ?
« Faire ramper sous le tapis » est amusant, j'y ai joué lorsque j'étais enfant, et j'ai beaucoup aimé.
Pour ce qui est « des prétextes les plus hypocrites et les plus dégradants », disons que le mot « prétexte » nous laisse déjà entrevoir combien de loyauté y réside mais vous avez ajouté « les plus dégradants », et à cette lecture j'ai pensé instantanément, là, il y a de la jouissance !
Et quelle jouissance peut-on trouver à dégrader ?
Je vous le demande, Marchenoir ?
Oui, je vous le demande, car je suis, en vous lisant, à deux doigts de me prendre pour Sainte Thérèse, celle que vous savez...
Je vous le dis, en vérité, j'exulte de plaisir !
Pourtant, je n'ai pas pu jouir pleinement de votre pensée, car vous avez ajouté ingénument, ceci :
« Il ne sera nullement nécessaire de ressortir les chambres à gaz, contrairement à ce que nous suggèrent les tripoteurs de tout poil. »
Et, cet argument, que voulez-vous, je ne l'ai pas trouvé turgescent, non pas du tout, les « chambres à gaz », vraiment vous ne reculez devant rien, ni même ce qui vous dévoile...
Et apparemment, derrière ce voile, un homoncule crapuleux et falsificateur, se fait tout seul grimper aux rideaux ! Quelle indécence !
Rédigé par : duvent | 11 février 2020 à 10:40
@ Robert Marchenoir
Vous ne pouvez pas vous empêcher de répondre à toute contradiction par des attaques personnelles, notamment au moyen de qualificatifs qui plus est infondés, car me concernant, je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l'antisémitisme, l'islamisme, le gauchisme etc. etc.
Par contre, il est facile et d'autant plus malhonnête de déformer mes dénonciations de diabolisation stérile ou d’incompréhension du fait religieux, comme d'une manière générale le "politiquement correct" qui me sort par les yeux.
Enfin et pour vous rendre vos amabilités, et comme à bien me chercher on finit par me trouver, je vous dirai que vos analyses sont souvent inintéressantes, mais toujours limitées au ras des pâquerettes sur le plan intellectuel, et en dessous du zéro sur le plan spirituel.
Votre grande gu... est du niveau d'un adjudant en retraite dont la raison d'être est d'occuper ce blog.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 11 février 2020 à 09:57
@ Isabelle | 10 février 2020 à 17:33
Je me suis attelé à la lecture du (long) commentaire de l'essai de Tareq Oubrou par Mohammed Louizi.
Passionnant, et même ceux qui prétendent connaître un peu la question découvriront l'étendue de tout ce qu'ils en ignorent encore.
Cela change de la bouillie pour chats servie par les médias conformistes aux amateurs d'idées reçues...
Rédigé par : Exilé | 11 février 2020 à 09:34
Il est à souhaiter que Marchenoir se rende compte que sa danse tribale anti-musulman entraîne à sa suite nombre d'antisémites patentés. Il nous avait déjà avoué à propos du prépuce suédois que sa défense du judaïsme s’arrêtait quand il s'agit de contenir les désordres de l'Islam, oubliant que selon le grand-rabbin de France, antisémitisme et racisme sont terrorismes de même nature.
Non seulement marcher sur les gravats d'un sophisme écroulé n'en fait pas une vérité, mais notre taureau furieux témoigne qu'il sombre alors dans l'océan de leur mensonge.
Déblayez-moi tout ça, que la pierre du chemin apparaisse, seule à même de soutenir nos pieds, il y a longtemps déjà que Godot s'est exprimé, et si les imposteurs se taisent, peut-être entendrons-nous la douce musique de la réalité.
Cela éviterait de faire du président un roi de carnaval et du peuple français ces sales gosses qui ne savent que désirer abattre leur majesté des mouches, oublieux de tout au point d'être prêts à se vendre aux pornographies totalitaires, plutôt que d'assumer leur destin.
Rédigé par : Aliocha | 11 février 2020 à 09:25
Débat Eric Zemmour – Marlène Schiappa hier. Ça a donné
Zemmour sur la discrimination a raconté n'importe quoi, se vautrant dans le sophisme ridicule.
Résultat :
Schiappa : 1 Zemmour : 0
Rédigé par : Achille | 11 février 2020 à 08:33
On ne peut pas reprocher à la maçonnerie de démolir l'Espace Civilisationnel Européen puisque c'est fondamentalement leur but avoué !
Rédigé par : Zonzon | 11 février 2020 à 07:33
@ Serge HIREL | 09 février 2020 à 20:08
Contrairement à ce que vous dites, défendre la loi Bichet en 2020, c'est bien un exemple éclatant de l'immobilisme français.
Pour commencer, prétendre qu'elle assurait l'accès du public à toutes les opinions, c'est une escroquerie. Certes, sur le papier, elle faisait obligation aux diffuseurs de presse d'accepter tous les journaux qui leur étaient adressés.
Mais dans la réalité, ça n'a aucune importance : c'est oublier que seules les opinions qui agréaient aux communistes pouvaient trouver leur voie dans la presse. La loi Bichet date de 1947. C'est à la même époque que la CGT a fait son hold-up sur les journaux français, en s'assurant le monopole de leur impression et de leur distribution.
Les bandits communistes de la CGT ne se sont pas privés de faire grève à de multiples reprises, dans le but de démontrer leur pouvoir de nuisance. Ils avaient pouvoir de vie et de mort sur les journaux, et cela seul suffisait à empêcher la publication de certaines nouvelles ou opinions gênantes.
Et je ne parle pas des menaces physiques envers les personnes, libéralement exercées. Quand il ne s'agissait pas de violences tout court.
D'autre part, l'obligation faite aux marchands de journaux de distribuer tous les titres avait essentiellement, pour résultat, de les empêcher de refuser Petits soldats de plomb Magazine. Les titres politiques et d'information générale, dont la loi prétendait assurer l'égalité, étaient largement supplantés par la presse magazine et spécialisée. N'importe quel branquignol pouvait lancer le mensuel Poésie du Bourbouristan au XVe siècle, et obliger les kiosquiers à le vendre, sans se préoccuper de savoir s'il y avait un public pour l'acheter.
Ajouté aux salaires délirants des camarades prolétaires de la CGT, imposés sous peine de non-parution des quotidiens (et de cassage de figure de leurs responsables), cela a achevé de ruiner la presse d'information, celle dont vous dites à juste titre qu'elle est nécessaire à la démocratie.
Et puis il y a un petit détail : vous oubliez que les marchands de journaux ont disparu. Forcément, avec une telle politique...
Et il y a un autre petit détail : la presse papier a aussi disparu. Tout le monde, désormais, s'informe sur Internet.
Vos merveilleuses messageries de presse, issues du modèle social que le monde entier nous envie, sont désormais un couteau sans lame auquel il manque le manche.
A force de traire la vache à lait à leur profit exclusif pendant un demi-siècle, les communistes ont fini par la tuer : les grands médias ont été privés de la capacité d'investissement nécessaire pour assurer la transition Internet. Comme cela est manifeste à quiconque lit les poubelles que sont les sites des médias "de référence".
Il est grotesque de prétendre, comme vous le faites, que la presse "n'est pas une marchandise comme les autres". Tous les représentants de tous les lobbies, dans s'pays, prétendent que leur produit à eux "n'est pas une marchandise comme les autres". Traduction : faites-nous de belles lois communistes qui interdisent la concurrence, et qui nous permettent de continuer à faire notre beurre sans avoir à produire quelque chose d'utile.
L'histoire économique montre que ce genre de plaisanterie marche un certain temps, jusqu'à ce que ça ne marche plus, parce que la vache est morte.
Vous avez deux guerres de retard. Aujourd'hui, la lutte pour la liberté de l'information ne se situe plus dans les kiosques, mais sur Internet. C'est la censure gauchiste exercée par les grandes plateformes du Web (Facebook, Google...), en collusion avec les gouvernements (loi Avia, etc.), qui constitue une menace mortelle pour la démocratie.
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@ Isabelle | 10 février 2020 à 09:25
"Excellente analyse de votre part. Vous êtes souvent grincheux mais vos réflexions méritent le détour, même si nous ne sommes pas d'accord sur tous les sujets."
Mais je trouve que vous grinchez fort joliment de votre côté. Une admiratrice de Cioran qui se déclare incommodée par les grincheux, voilà qui est plaisant !
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@ Zonzon | 10 février 2020 à 10:33
@ Robert Marchenoir 9 février à 21 h 18
"Les seuls musulmans capables de supporter un tel traitement sans s'en aller sont les mauvais musulmans."
"D'après vous, il y en aurait de bons ?"
Évidemment. C'est ce que je viens d'écrire : les bons musulmans sont ceux qui massacrent tout le monde chez Charlie Hebdo. Ne me dites pas que vous n'avez pas compris ?...
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@ Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 10:45
"Vous devriez vous pencher sur votre propension aux attaques personnelles au lieu de vous en tenir aux arguments."
"D'autant qu'étant franchement assorties de méchanceté, elles relèvent de la haine."
"Elles ne sont pas de nature à m'atteindre, mais qu'en serait-il si comme le suggère l'un, je n'étais pas aimé de mes proches, ou l'autre, si j'étais en état de détresse sociale ?"
"Vos attitudes révèlent une éducation de milieu peu favorisé, mais il ne faut pas en tirer gloire ni vengeance."
Pauvre chéri issu de l'aristocratie !... Je serais curieux que vous m'indiquiez où j'aurais procédé à des attaques personnelles à votre égard. Il est vrai que les antisémites dans votre genre considèrent comme une offense personnelle que les autres ne le soient pas. Alors, se voir reprocher de l'être, vous imaginez le scandale...
Je trouve assez culotté que vous nous jouiez le pipeau de la créature fragile persécutée psychologiquement par ses contradicteurs, alors que vous passez votre temps, ici, à excuser les nazis, les islamistes, les violeurs...
Vous n'avez pas l'air de vous être beaucoup préoccupé de la "détresse sociale" qui pourrait affecter leurs victimes, ou du degré "d'amour de leurs proches" dont elles bénéficient.
Vous, bien sûr, c'est sans aucune méchanceté ni haine que vous nous promettez l'asservissement à la loi musulmane, pour nous punir de nos péchés. C'est pour notre bien.
Très joli numéro de pleurnicheuse gauchiste exécuté par un néo-nazi. On aura tout vu...
[Pour mettre les points sur les i, puisqu'il le faut, il est particulièrement malhonnête, de votre part, de dire que j'aurais suggéré que vous seriez "en état de détresse sociale". J'ai écrit que vous souteniez ici des positions comparables à celles de Roger Garaudy (antisémite, négationniste et islamo-complaisant, jusqu'à en devenir musulman). Roger Garaudy avait un statut social que vous n'avez pas. Il vous est inaccessible, puisque le contexte politique a changé, mais celui de Nicolas Blancho serait parfaitement à votre portée. Suisse de souche, il est une petite célébrité dans son pays, grâce à ses fonctions de président de l'Association du conseil central islamique suisse.]
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@ boureau | 10 février 2020 à 13:08
"Ceux qui ont travaillé (et j'en fus) dans, et avec le monde arabo-musulman et ceux qui y ont vécu ne peuvent qu'être d'accord avec ce que vous écrivez."
Merci de la confirmation. Voilà un cas où l'argument "touristique" est intéressant...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 février 2020 à 23:56
Oscars 2020.
Parasite triomphe. Ceux de France se ramassent !
Rédigé par : Archibald | 10 février 2020 à 17:38
@ Achille
Un monument de naïveté quand vous affirmez que Tareq Oubrou est un "modéré"... Alain Juppé, lui aussi, avait pactisé avec ce triste sire. Que ne ferait-on pas pour obtenir des voix supplémentaires.
"Tareq Oubrou, l'escobar de l'islamisme" de Mohamed Louizi qui, lui, contrairement à vous, connaît parfaitement le sujet.
http://mohamedlouizi.eu/2019/07/14/tareq-oubrou-lescobar-de-lislamisme/
Bonne lecture, histoire de remettre les pendules à l'heure.
Rédigé par : Isabelle | 10 février 2020 à 17:33
Si le président Emmanuel Macron est indécis, Zineb El Rhazoui semble avoir les idées très claires : http://videos.senat.fr/video.1494213_5e2788d1ef0d6.audition-de-zineb-el-rhazoui-journaliste-et-essayiste.
Rédigé par : philabeille | 10 février 2020 à 17:15
@ Achille 09/20 20:40
Que la recherche d'une solution pacifiste soit préférable pour dénouer tout type de conflit, tout le monde y souscrit.
Faut-il encore que les parties concernées soient non seulement prêtes à rechercher cette solution mais aussi à tout mettre en œuvre pour la réussite de celle-ci.
S'agissant du sujet qui nous intéresse, plutôt que le dialogue nécessaire entre religions, ce qui est en cause et pose problème est bien plus la capacité de l'islam de France à faire lui-même et avant tout le ménage parmi les siens et à lutter en son propre sein pour l'éradication de ce qui, pour reprendre votre expression, dénature son image et complique justement toute cohabitation.
C'est là un minimum et faute de cela, l'islam que vous qualifiez de modéré se rend alors complice des dérives dont certains qui s'en réclament se rendent coupables.
Ne comptez pas sur le seul dialogue, sur le seul respect, sur la seule tolérance pour vaincre ceux dont le dogmatisme méconnaît ces valeurs, leur prescrit de punir, les conduit à l'intolérance.
Notre démocratie ne saurait survivre qu'à la condition qu'elle ne soit pas faible.
Rédigé par : Michel Deluré | 10 février 2020 à 16:41
@ Patrice Charoulet 10 février 2020 12:11
Yvon Quiniou est de ces enseignants crypto-communistes que l'Université secrète encore malgré que nous soyons au XXIe siècle.
J'ai écouté votre lien. Sans surprise particulière ; c'est ce que j'appelle l'enseignement à la tranche de saucisson : on va chercher une phrase chez une sommité reconnue, on la détache du texte et on extrapole ses propres fantasmes.
A la fin de son intervention on a envie de lui demander : "Et alors ?"
Alors rien ! Fermez le micro !
Une vache sacrée de plus ! On en crève, agrégé ou pas !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 10 février 2020 à 15:50
« La pression constante exercée par un islam conquérant et développant [...] intolérance, intimidation et menaces de mort ».
Permettez-moi un petit calcul, trop simple pour n’être pas spécieux, mais qui peut donner matière à réflexion.
En 380, avec l’édit de Théodose exigeant l’adoption du christianisme par toute la population de l’Empire, le Christianisme devient, dans les faits et en droit, intolérant.
Pour l’Islam, une date équivalente pourrait être fixée à 636 avec la conquête de la Perse et la mise en place du statut de dhimmi.
D’autre part, du côté chrétien, le dernier exemple de fanatisme connu, si on s'en tient à la fille aînée de l'Eglise, est la loi sur le sacrilège de 1825, qui prévoit la peine de mort pour les profanateurs d'hosties.
Dans le cas où l’évolution des deux religions obéirait au même calendrier, on peut donc prévoir l’avènement d’un Islam tolérant aux environs de l’an de grâce 2081. Evidemment, le contexte actuel étant propice au doute, il faudra peut-être attendre encore un peu. Mais le second avènement du Christ et l’arrivée de Godot sur la scène seront, à coup sûr, beaucoup plus tardifs...
En somme, comme disait un déiste illustre né à Jarnac, il faut laisser le temps au temps.
Rédigé par : Metsys | 10 février 2020 à 15:29