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22 février 2020

Commentaires

Savonarole

Si la « connerie » est devenue une mode, le gouvernement mériterait de défiler à la prochaine Fashion Week. Succès garanti.
Aujourd’hui, samedi 29 février, en pleine crise de Coronavérole, plus de 100 000 crétins de Catalans indépendantistes se sont rendus à Perpignan pour soutenir l’ahuri Carles Puigdemont (AFP).
Le jour même où notre ministre neurologue, qui n’a exercé que deux ans au CHU de Grenoble, nous annonce qu’il annule le marathon de Monté-sur-Vérin...
Macron devrait organiser un dîner de con avec Hollande, le suspense serait insupportable pour découvrir enfin quel est le plus c*n des deux.

Wil

P*tain, j'avais pas vu ce billet !
Il était pourtant fait pour moi comme un amour d'une vie vu qu'on y parlait de la connerie !
Quel loser ! C'est l'histoire de ma vie.
Mais je proteste fortement !
Pourquoi quand je dis con, conne et connerie je suis censuré par Madame Bilger et pas lui, je veux dire Monsieur ? C'est totalement injuste !... Mais c'est trop tard, ben oui, c'est ballot.

Lodi

@ Catherine JACOB

Ma chère, j'ai déjà dit avoir changé de pseudonyme.
Vous suivez ?
Pas plus les commentaires que les phrases.
Seriez-vous comme celui qui lisait le début des commentaires et la fin en se plaignant de ne pas comprendre ?

Question sacrilège : et si c'était le lecteur qui manquait de talent ?

Je n'ai pas changé de pseudonyme pour vous, je n'ai pas à modifier mon style à votre intention non plus.
Une seule chose compte pour moi : défendre la liberté. Celle de mon style, qui pue, j'imagine, mais surtout celle de tous.
Riche ou pauvre, femme ou homme, et jusqu'à celle de futures éventuelles intelligences artificielles.

"Le manque de moyens financiers peut toujours être compensé par un organisme privé ou public."

Non.
Je ne suis pas comme vous. Je n'abandonne pas les gens à la chance, au courage ou au talent.

Ce pourquoi je renverse le stigmate. Vous me dites sans talent ? Après un bref passage en tant que Sans Talent, il me plaît de représenter, ici et maintenant, tous les déshérités.
A commencer par ceux qui n'ont... pas de talent.

Vous savez que les gens ont calmé Patrice Charoulet voulant noter les uns et les autres ?
Contentez-vous de vous faire reconnaître par vos pairs si vous pouvez, je vous récuse comme professeur de style.

Ce qui serait absurde.

Le talent ne s'apprend pas. Si je n'en ai pas, vous n'avez rien à dire de plus là-dessus. Par contre, si j'en ai, vous avez eu tort de le prétendre.
Soit vous vous acharnez sur un handicapé, comme vous avez l'air de le dire, avec votre lien, et c'est bien vilain. Soit vous le faites sur quelqu'un qui a quelque talent, et c'est bien crétin ou de mauvaise foi.
Choisissez.

Dans les deux cas, votre côté professeur de style confine à l'absurde.
Le sans talent est trop bas pour être enseigné. Le sans justice n'est pas digne d'être enseignant.
Vous allez vous dire ou me révéler que mon cas relève de la nullité du prosateur, forcément.
Mais je n'oublierai jamais votre critique et m'en servirai chaque fois que j'en aurai envie pour affirmer que même les plus méprisés doivent rester libre ou autre considération du même genre.

La liberté est pour vous un point de vue ? Pour moi, elle est la vue elle-même, la condition et le but de tout ce que je ne refuse à personne.

Quand on commet un livre, on s'attend aux critiques. Effectivement... Prendre les plus atroces avec un sourire hypocrite fait partie du jeu.

Mais sommes-nous dans quelque ouvrage, ici ?
Non.

Qui voudrait n'avoir que les inconvénients d'une situation sans les avantages ? Ce que nous écrivons sur ce blog ne nous donnera aucun grade universitaire, ne sera pas une oeuvre, mais une lecture vite évanouie.
Du sable.

On ne s'attend pas à recevoir son sable dans les yeux.
Vraiment pas. Mais pourquoi ne pas s'enterrer sous le sable qu'on vous balance ? Comment mieux figurer ce que vivent les gens que chacun enterre sous le mépris ?

Il paraît que certains écrivent avec leur sang.
Sur un blog, se sera avec leur sable.

Catherine JACOB

@ Lodi | 25 février 2020 à 19:20

Ma chère anacyclique, ne seriez-vous pas une cousine de Noblejoué par hasard ?

Lodi

@ Catherine JACOB
"...comme on peut parler d’« une femme en désir de l’enfant que la Nature lui refuse ? »

Oui, c'est exactement cela. Dans les deux cas, la femme subit. Et comme je ne suis pas pour que les gens soient dans une telle position, je l'exprime par un parallélisme des formes juste au niveau du sens, nouvelle et qui porte, comme on le voit à votre réaction.
La flèche a atteint sa cible, s'est enfoncée profondément et vibre. Comment donc peut-on remettre en cause la manière dont elle fut lancée ?

Penser et s'exprimer ainsi, c'est susciter en soi et chez l'autre un ébranlement des conventions, des habitudes de pensée capable de faire émerger des solutions comme vous avez reconnu que j'en avais trouvé une :

"« Il aurait fallu, il faudrait peut-être, prévoir un SOS IVG gouvernemental téléphonique et une application Internet. »

C’est une idée en effet et sans doute n’est-il jamais trop tard pour bien faire."

Vous vous plaignez de ne pas être supportée par vos pairs parce que votre approche n'est pas la leur.
Et vous reproduisez cela avec moi, comme je vous l'ai déjà dit.
Peut-être vais-je vous faire découvrir à mon corps défendant un peu de ce qu'ils subissent avec vous ? Franchement, j'aurais préféré vous aider à trouver une solution de contournement.

Pour vos conseils : sachez qu'à une époque j'en cherchais pour ce qui compte un peu plus pour moi que le style des commentaires et vous avais pressentie, ce qui est un bien plus grand compliment que tout ce que j'ai pu vous offrir inconsidérément sur vos idées absolument remarquables dans vos recherches.
Mais c'est trop tard pour vous. D'une part, votre attitude, telle que me dire sans talent, conseils avis superficiels mais je ne vais pas dresser une liste, me fait me féliciter de ne pas avoir osé.

D'autre part, des personnes vous remplacent avantageusement, et surtout une dont je préfère ne pas trop parler car il faut faire court, et que le lyrisme et la brièveté s'accordent comme l'eau et le feu.
Depuis que quelque chose est arrivé, il appert qu'il est sans doute trop tard pour moi, s'il a jamais été temps d'ailleurs comme je l'ai toujours pensé, c'est ce que je crains.
Mais qui vous inspire et redresse vos erreurs ne mérite pas qu'on s'attarde sur de telles contingences mais seulement qu'on avance.

Pour revenir au sujet, je ne saurais interdire les avortements de confort parce que la femme ne me semble pas un service public ayant à rendre compte de l'usage de son corps.
Même si je trouverais mieux d'avoir une contraception efficace.

"Le manque de moyens financiers peut toujours être compensé par un organisme privé ou public."

Peut toujours. Vous laissez les gens à la merci de leur compétence à faire des démarches.
Mais vous savez fort bien que tout le monde n'a pas de talent, vous l'avez bien dit pour moi. Et je ne peux oublier, tant vous le rappelez, que vous vous heurtez vous-même à mortifications, si j'ai bien suivi, universitaires, assorties de procès.

Alors vous ne pouvez ignorer que beaucoup d'appelés, peu d'élus, dans tous les domaines, argent, réalisations intellectuelles, bon droit à prouver, liberté à préserver, la plupart doivent finir vaincus.

Aussi, indéfectible défenseur de la liberté à ce jour, je m'attache à ce qu'elle ne dépende pas du sexe, du talent, de l'argent, et du talent de chacun, pour le dernier cas, vous conviendrez que ce serait risqué pour moi.
Il est, n'est-ce pas, bien triste pour la cause de la liberté, que ce soit moi, sans talent, qui me dévoue à la défendre quand vous ne vous servez du vôtre que pour nous sortir :

"La liberté est comme la parallaxe, une question de point de vue. Pour les bouddhistes, par exemple, le désir est asservissant et n'est-ce pas parce qu'il n'a su se rendre maître de son désir que le violeur est devenu un criminel ?"

La liberté extérieure est un fait. Elle a augmenté par l'abolition de l'esclavage et l'augmentation des droits des femmes pour lesquels les bouddhistes n'ont pas œuvré.
La liberté intérieure est une opinion. On peut décider que les désirs sont un lien et y jeter celui de liberté extérieure et ainsi ne rien faire pour une plus grande justice dans le monde. Ou on peut considérer que les religions et spiritualités sont des illusions, des liens, et les rejeter comme fausses et inclinant à la préservation de liens dont la réalité ne peut jamais être relativisée qu'en disant que tout est illusion.
En vérité, la seule chose sûre est que quelqu'un pense, je peux être le rêve du rêve d'un autre. Mais que je sois l'original ou la copie ou un sursaut du néant, il n'est pas incompatible de chercher et la rédemption du monde et l'harmonie avec lui, le combat et la sérénité.

A l'image d'Apollon, il faudrait être calme pour décocher ses flèches.

Robert Marchenoir

@ Claggart | 25 février 2020 à 07:00
"Je ne vais jamais au bout des logodiarrhées de Robert Marchenoir, mais là pour le coup, en première ligne, confondre 'dick' et 'cunt' témoigne d'un flagrant manque d'instruction. Qu'il aille donc au ciné voir en VO des films américains, et il aura sa ration de 'suck my dick' !"

Vous êtes con, ou quoi ?

J'adore les gens qui se vantent de ne pas me lire, et puis qui, sans surprise, ne comprennent rien à ce que j'écris. Je n'ai évidemment pas confondu tel et tel mot. C'est vous qui ne connaissez rien à la langue du pays dont vous prétendez regarder les films en version originale. Et qui n'avez rien compris à mon propos. Que je ne me fatiguerai pas à vous expliquer, vous pensez bien.

J'adore aussi les gens qui m'ordonnent de cesser de faire ce que je ne fais pas ("regarder TF1" est un cliché favori de ceux qui n'ont rien à dire), ou de faire ce que je fais déjà (je ne regarde jamais des films étrangers qu'en version originale).

Petit conseil : parfois, il vaut mieux se taire que de révéler sa balourdise à tout le monde.

Zonzon

Resurgit du fond des aigreurs mal assumées ce lamento absurde : « L'Algérie n'était pas une colonie mais un territoire français composé de trois départements. »

En un temps où il faudrait plutôt se demander si la France sera une colonie ou un territoire départementalisé, partie intégrante de la République Algérienne Démocratique et Populaire.

Gamain

5 films réalisés et le voilà KO !

Ho, ho, ho ! Et les prises ? Dix, vingt, plus pour chaque œuvre présentée ?

Régler le format, la lumière, le cadrage, la profondeur de champ !

Le décor, le costume, les objets, le script !

Et la cadence de la gestuelle, son velouté, le bruitage, la montée en puissance, le rythme, l'explosion terminale !

L'acteur a bien des raisons d'être exténué.

Catherine JACOB

@ Lodi | 25 février 2020 à 08:47

Vous semblez ignorer les IVG dites « de confort ». Vous semblez également ignorer l’émergence de l’enfant fantôme. Vous semblez ignorer encore que l’IVG apparaît parfois comme le seul recours alors même qu’on désirerait un enfant et cet enfant-là même, etc. Les choses sont toujours présentées de façon extrêmement simplistes tant par les contre que par les pour.

Le droit de la femme devrait être le droit à la meilleure solution dans son cas et celle-ci ne saurait obligatoirement être l’IVG.
La meilleure solution ne saurait être en effet que celle qui naîtrait d’un dialogue véritable avec toutes les parties prenantes y compris avec soi-même.

On présente de nos jours cet acte comme anodin. C’est une falsification commode et politique du réel.

« Il aurait fallu, il faudrait peut-être, prévoir un SOS IVG gouvernemental téléphonique et une application Internet. »

C’est une idée en effet et sans doute n’est-il jamais trop tard pour bien faire.

« Mais mettez-vous aussi à la place d'une femme en demande d'avortement. Doit-elle le quêter de médecin en médecin ? »

Quel langage ! Pourquoi ne pas dire « une femme en rejet du fœtus qu'elle porte ? » comme on peut parler d’ « une femme en désir de l’enfant que la Nature lui refuse ? »
Employer les mots justes insérés dans une juste syntaxe me paraîtrait pouvoir représenter une bonne base à l’émergence de la solution pertinente conçue au cas par cas.

« Et si, pauvre donc peu mobile, elle se trouvait confinée en un lieu sans recours pour elle ? Imaginez-vous devoir garder en vous le résultat, au mieux, d'une pilule inefficace et au pire d'un viol ? »

Le manque de moyens financiers peut toujours être compensé par un organisme privé ou public.
S’agissant de la pilule, elle n’est pas une panacée et si je devais parler de mon cas particulier, je dirais que j’ai à un moment donné cessé de prendre la pilule non pas parce que j’aurais été consciente des risques qu’à terme elle représentait surtout pour les fumeuses, vu que je ne les connaissais pas, mais parce que j’ai eu le sentiment à un moment donné qu’elle me rendait accessible ou à disposition, si vous voulez, du désir de l’homme à quelque moment qu’il lui agréait de s’exprimer et que cela représentait en somme une sorte de servitude.
Autrement dit, j’ai eu le sentiment que loin de représenter la libération de la femme et le signe d’une sexualité libérée, elle représentait en réalité un genre d’asservissement de la femme y compris à son propre désir.
Tout comme les silences sont nécessaires à la musique, je pense que les temps d’abstinence sont profitables à une sexualité assumée et réfléchie.

J’aimerais bien connaître en tout cas le pourcentage des femmes violées parmi les femmes gravides souhaitant interrompre leur grossesse.

« La moitié des humains sont des femmes, qui ne font jamais que se soumettre et la nature, la biologie qui les met en position de subir, et la culture, qui jusqu'à présent, les y a toujours condamnées. »

Il est né en 2019 en France selon l’INSEE, 360 058 petits garçons contre 346 324 petites filles. Ces dernières sont donc légèrement inférieures en nombre.

La liberté est comme la parallaxe, une question de point de vue. Pour les bouddhistes, par exemple, le désir est asservissant et n'est-ce pas parce qu'il n'a su se rendre maître de son désir que le violeur est devenu un criminel ?

Bill Noir

Deux vigoureux messages de soutien émanant de fortes personnalités républicaines, honorablement connues, l'une pour sa vie privée, l'autre pour sa vie secrète.

Franck Riester
@ franckriester
L'odieuse attaque dont a été victime @BGriveaux menace notre démocratie. Les atteintes à la vie privée sur les réseaux sociaux font courir un grand danger à la cohésion de notre société et aux libertés publiques.
4 : 19 PM 14 févr. 2020 depuis Paris, France. Twitter for iPhone

Gérard Larcher
@gerard_larcher
# Griveaux il est grand temps de réguler les torrents de boue qui se déversent sur les réseaux sociaux. La liberté d'expression doit s'arrêter aux frontières de la vie privée que chaque citoyen est en droit d'exiger.2 : 24 PM 14 févr. 2020 Twitter for iPhone

Exilé

@ Patrice Charoulet
« Par exemple il appelait Margie Sudre, qui fut un temps ministre de Chirac, « la niaquouée » ! »

Bien entendu, dans la merveilleuse Macronie heureuse, le recours à un tel procédé serait impensable par exemple à l'encontre d'un immigré copte égyptien « de souche » depuis plusieurs millénaires (Copte étant une contraction du grec Aegyptos), et aucun membre du « camp du Bien » n'aurait eu le mauvais goût de le comparer à un chameau.

https://www.valeursactuelles.com/politique/jean-messiha-yassine-belattar-dominique-sopo-et-laetitia-avia-quand-les-antiracistes-deviennent-racistes-116379

Catherine JACOB

@ Exilé | 24 février 2020 à 08:45
Comment le racialisme indigéniste gangrène l'Université

Lu.

J’hésite à vous faire part de l’anecdote suivante tellement elle peut paraître incroyable et indigne de qui en a mis la stratégie à l’œuvre, tout comme véritablement insultante pour mon intelligence.

Ayant remporté une première victoire devant un tribunal administratif qui a statué en ma faveur et condamné l’administration concernée pour abus de pouvoir et j’ajouterais bien que c’est extrêmement rare si je ne craignais d’être accusée d’outrage, l’administration a réitéré (récidivé ?), je vous passe la façon dont il lui a été conseillé de le faire, et me retrouvant devant le même TA pour une nouvelle instance à l’occasion de laquelle l’administration avait cette fois engagé un conseil avec un impressionnant CV plus long que le bras et issu de la diversité 'afrohexagonale', si vous m’autorisez ce néologisme.

Allez savoir pourquoi, quand le personnage est entré dans la salle d’audience, j’ai su immédiatement qu’il s’agissait de l’adversaire qu’on avait décidé de m’opposer. Il est venu prendre place pas très loin de moi et j’ai immédiatement compris de quelle stratégie il allait s’agir pour lui de mettre en œuvre et elle n’avait rien à voir avec un quelconque argumentaire ordinaire. J’ai peine à l’écrire tellement c’est inimaginable, mais il dégageait une odeur très difficile à supporter et, s’étant agi de n’importe qui d’autre, j’aurais probablement changé de place mais, alors que je n’étais pas censée savoir encore qu’il s’agissait de mon adversaire et qu’il est entré dans la salle d’audience après le Tribunal qui était donc à même d’observer ce qu’y s’y passait, je ne pouvais plus me le permettre.

Aux yeux d’un observateur placé sur l’estrade en effet, on aurait vu et interprété dieu sait comment, une blanche changeant de place pour s’éloigner d’un avocat noir qui aurait eu ensuite beau jeu d’alléguer tout et n’importe quoi à propos d’un comportement dont le juge aurait été le témoin, au lieu de se concentrer sur l’essentiel de ce qui nous opposait.

Je suis donc restée stoïquement à ma place jusqu’au bout bien que cela fut assez gênant et entravant de la libre parole qui demandait que chaque mot fût pesé à l’aune d’une potentielle interprétation de « racisme » supposé. Finalement j’ai eu tort mais parce que ma nouvelle réclamation n’avait pas été précédée d’un nouveau recours amiable, même si ce dernier eût été parfaitement utile ainsi qu’humiliant, pour des raisons dont je ne peux toutefois pas m’autoriser à faire publiquement état.
Je dirai simplement que le « coup de l’odeur » n’en est pas resté là !! et il y a eu aussi le «coup de la bise» et d'autres encore.

Claggart

@ Robert Marchenoir 22 février 10 h 20

Je ne vais jamais au bout des logodiarrhées de Robert Marchenoir, mais là pour le coup, en première ligne, confondre "dick" et "cunt" témoigne d'un flagrant manque d'instruction.

Qu'il aille donc au ciné voir en VO des films américains, et il aura sa ration de "suck my dick" !

Trekker

@ Mary Preud'homme | 24 février 2020 à 01:12
"C'est le voleur qui crie au voleur !
Seriez bien incapable d'apporter la preuve de vos allégations mensongères."

Votre propos qui se veut médisant à mon encontre, gagnerait en crédibilité s’il citait précisément mes supposées allégations mensongères…

Lodi

@ Exilé

Je confesse ne pas toujours faire attention à mon environnement, en escalator ou autrement. Mais tout de même, mettre les autres en danger pour grappiller un peu de territoire relève d'un autre esprit.
À donner des envies de meurtre... Je ne pense pas qu'on m'accorderait des circonstances atténuantes.
Mais en somme, qui veut être la proie des chiens ou se retrouver éborgné ? D'un autre côté, qui veut passer son temps à céder le pas à des impérialistes du trottoir ?

Mais, sans que ce soit dû à de tels abus, notre monde est pire pour certains. Les encombrements des rues n'ont l'air de rien. Pour un jeune valide, en effet, le dégoût ne provoquera pas de réaction allergique, et aucun hélicoptère ne sera envoyé.
Mais pour une personne âgée ou un handicapée, trottoirs défoncés, groupes ne se dispersant pas à son approche, et surtout crottes et poubelles, forment un véritable parcours d'obstacles.

Quand les vieux sont un peu trop tombés dehors ou chez eux, on les retire du circuit.
Quelques idées contre ce triste sort :

https://www.soignantenehpad.fr/pages/sur-le-net/personnes-agees-comment-faire-pour-eviter-la-maison-de-retraite.html

Exilé

@ Lodi
« Le parapluie à hauteur d’œil du passant et qui pourrait bien le crever. »

Redoutable effectivement dans les escaliers ou les escalators quand il n'est pas dirigé pointe vers le sol.

Toujours au sujet des escalators, qui n'a pas constaté dans les grands magasins que parfois des gens qui viennent d'être déposés par un escalator sur un palier s'y arrêtent net pour discuter ou chercher leur chemin sans se rendre compte que derrière eux ledit escalator parfois bondé continue de cracher inexorablement sa masse de passagers d'un moment qui, bloqués, risquent d'être renversés, piétinés et étouffés...

Lodi

@ hameau dans les nuages

Je comprends fort bien que les chiens puissent être une compagnie, une protection ou une aide au travail voire tout cela ensemble.
Pas de problème.
Le paysan, le berger, le chasseur avec son chien : qu'est-ce qui ancre davantage l'habitant du lieu dans son pays ?

Plus généralement, n'ai rien contre les chiens, le problème, c'est leur maître. C'est le propriétaire qui doit apprendre à ne pas menacer des gens pour rien.
Point barre.

Si j'avais un chien, je l'aimerais, car comment ne pas le faire d'un être qui est votre protégé et votre protecteur, loyal ?
Mais les chiens des gens sont leur frontière de crocs face au monde, cela n'incline pas à la sympathie.

Et puis je préfère le chat, il n'y a pas photo. Le chat est tellement plus libre et plus beau.
Et si on est faible, le chat n'essaie pas de vous dominer, contrairement au chien qui peut vouloir jouer les chefs de meute avec tellement de gens qui ne savent pas commander.
Le chat ne menace pas, il fait ce qu'il veut, c'est tout. Même s'il ne fonctionne pas par meute, il arrive au petit félin de vous aider spontanément, le plus spectaculairement, parfois, en agressant un agresseur, mais souvent en ronronnant sur son propriétaire, ou même un invité qui n'oubliera pas le chat de la maison venu le soutenir au moment où il en avait le plus besoin.

Mary Preud'homme

@ fugace | 24 février 2020 à 17:17

Sauf qu'il incombe à l'assistant parlementaire de faire les recherches nécessaires avant de proposer et rédiger les amendements pour le compte de son député, qui lui ne fait qu'avaliser ce travail ingrat.

Achille

@ Tipaza | 24 février 2020 à 13:30
@ fugace | 24 février 2020 à 17:17

Toute proposition est bonne qui permettra d’arrêter ce cirque grotesque qui ne fait pas honneur à notre République !

fugace

@ Achille | 24 février 2020 à 07:43

Une règle simple : les amendements devront être exclusivement manuscrits, originaux, sans rature, sans faute d'orthographe, sans faute de grammaire.
De quoi relancer le métier de correcteurs(trices) dont manifestement tant de rédactions et/ou autres groupes demeurent sous-équipés.

Tipaza

@ Achille | 24 février 2020 à 07:43

Une règle du jeu simple.
Un seul amendement par député de la majorité et deux amendements par député de l'opposition.

Considérant que les députés de la majorité ont eu la possibilité de participer à l'élaboration des lois avec le gouvernement qui en est issu, et que l'opposition n'a pas eu cette possibilité, voilà qui faciliterait et rendrait plus fertile le débat.

Patrice Charoulet

Niacoué

Un de nos aimables confrères d'ici croit pouvoir user du mot « niacoué ». Dans la dernière édition du petit Robert, ce mot ne figure pas. En revanche on le trouvera dans le « Dictionnaire de l'argot », Larousse éd., excellent ouvrage fait par trois universitaires. Que dit ce dictionnaire ?
Niacoué, e, Niaquoué, e ou Niac : 1. Désignation raciste d'un Indochinois, d'un Vietnamien. 2 . De tout Asiatique.

Je signale un fait singulier. A La Réunion, où j'ai travaillé douze ans, il y a deux quotidiens : le JIR (Journal de l'île de La Réunion) et Le Quotidien. Le premier avait comme rédac chef un ancien de « Minute », Jacques Tillier. Il écrivait des éditoriaux où il se permettait à peu près toutes les fantaisies. Par exemple il appelait Margie Sudre, qui fut un temps ministre de Chirac, « la niaquouée » ! Chose impensable dans Le Monde, Le Figaro, Le Point...
À La Réunion, je n'ai jamais entendu ou lu quelqu'un se plaindre de cette désignation. J'imagine que Margie Sudre s'en plaignait auprès de ses proches, et avec raison.

Bill Noir

ACTUALITÉS

SCROTUM. BG aurait fait 10 livraisons. Ce type était au bout du rouleau !

CORONAVIRUS. Ça commence à être les boules !

NÉCROLOGIE. Aujourd'hui Hervé Bourges de la télé et de l'Algérie. Hier Charasse a rejoint le GAU. Avant-hier Jean Daniel, le père noble de la presse française...

JMLP voterait pour Dati. Il a toujours été pour une symbiose France-Maghreb. Un nationaliste quoi !

PROCÈS FILLON. Macrob sera absent !

RETRAITES La France Insoumise dépose 700 000 sous-amendements ; le gouvernement n'en dispose que de 493 !

SALON DE L'AGRICULTURE. Emmanuel M recadre un âne : il lui conseille d'aller travailler ses dossiers !

NOMOPHOBIE ! (Dépendance aux smartphones) Elle affecterait la matière grise du cerveau. Heureusement qu'elle stimule la fonction sexuelle !

Zonzon

LES DEUX MAMELLES DE L'ÉCONOMIE

Concernant le « ruissellement » veuillez vous reporter aux imposantes explications des spécialistes, qui débattent de son existence.

L'autre, connue sous le terme de « grappillement » nous la devons à Giscaralabar, premier prince Souhmis, lequel envoya par-dessus les moulins le principe fondamental de l'équilibre du budget, respecté aujourd'hui par les seuls pères de famille responsables.

Laisser filer l'équilibre budgétaire, en d'autres termes faire de la dette, est une méthode de gestion à la fois élégante et irresponsable : soit on ne remboursera pas, soit ceux qui rembourseront ne sont pas encore nés.

C'est tout bon !

Le grappillement – lequel consiste à distribuer de l'argent public sans rime ni raison à des nécessiteux sans nombre – est à la charge soit d'agents nationaux, soit de personnes privées.

Dans le premier groupe (50 000 individus pour arrondir) on trouve les gouvernementaux, les parlementaires, les hauts fonctionnaires (directeurs de ministères, ingénieurs en chef, ambassadeurs, la haute piétaille de Bercy, les directeurs d’hôpitaux) auxquels il faut adjoindre les fameux 36 000 maires, conseillers départementaux et régionaux...)

Dans le second (500 000 à un cheval près) se regroupe d'abord le milieu syndical, intermédiaire entre le pouvoir et les affidés quémandant, auquel s'ajoute l'énorme masse du « milieu associatif », sorte de vaseline lubrifiante, fille redoutable de Madame Laloi de Milleneufsansun) masse, maudeste dans ses prétentions, mais innombrable dans ses assujettis.

Tout ce beau monde distribue à ses grappilleurs propres lesquels, en échange, produisent de la paix sociale. Chacun son job !

Voici que nous en sommes au sixième Souhmis et que ça commence à gripper ! Une secte, les GJ, sème la perturbation ! Il y a quelque chose de fêlé au Royaume Souhmis !
Le sixième serait-il le dernier ?
Chi lo sa ?


hameau dans les nuages

@ Lodi | 23 février 2020 à 23:48
"Les gens se servent des chiens, des parapluies et autres extensions d'eux-mêmes pour usurper de l'espace."

Oui c'est caractéristique de l'état de la société. Il faut examiner le type de chiens que les gens promènent. Et cela même dans les campagnes. Du gentil labrit comme celui que j'avais comme chien de travail ou du border colley un peu tout fou laissé libre, tous les deux étant dans leur milieu, on voit apparaître "des gens" se promenant avec des chiens de combat en laisse ou pas, soi-disant gentils mais avec une capacité de nuisance énorme.

La promeneuse originaire du canton voisin du mien et que l'on a retrouvé morte déchiquetée dans un bois (on attend toujours les analyses ADN pour déterminer les responsabilités) avait ainsi cinq chiens de ce type, cinq !...

https://images.ladepeche.fr/api/v1/images/view/5de127048fe56f4f450add95/full/image.jpg?v=1

Il y a un léger problème...

Exilé

@ Catherine JACOB
« Je me garderai bien d’avoir une opinion sur le travail de recherche de Mme Autain qu’il faudrait de toute façon avoir lu pour s’autoriser à en parler autrement que pour le citer. »

Mais le titre lui-même annonce déjà la couleur et nous devinons aisément laquelle.
Madame Autain et ses directeurs de thèse ignorent (ou font exprès d'ignorer) que l'Algérie n'était pas une « colonie » mais un territoire français composé de trois départements.

Idem pour le féminisme, il est inutile de nous faire un dessin pour nous expliquer dans quel sens le sujet a pu être traité.

Nous touchons là à la question de l'honnêteté et du respect du bon sens en matière de travaux universitaires et les derniers développements délirants sur des sujets tels que le racialisme indigéniste et autres fadaises ne peuvent que nous inquiéter.

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/07/31003-20180907ARTFIG00344-comment-le-racialisme-indigeniste-gangrene-l-universite.php

Achille

En parlant de connerie, je pense qu’il est temps de déposer un projet de loi qui permettrait de supprimer les amendements pernicieux destinés à empêcher tout débat de fond sur une proposition de loi.
Tout amendement qui porte sur l’utilisation purement formelle d’un adjectif, une ponctuation, ou autre chicanerie de même genre devrait être systématiquement rejeté.
Cela permettrait aux députés de véritablement débattre sur le contenu de la proposition et d’apporter les corrections qui se justifient.

Oui mais pour cela encore faut-il que ce projet de loi soit accepté par les députés. Je suppose que LFI s’y opposera car ce parti est trop heureux de pouvoir saboter les débats en déposant des milliers d’amendements tous plus ineptes les uns que les autres.

Mary Preud'homme

@ Trekker | 23 février 2020 à 16:18...

C'est le voleur qui crie au voleur !
Seriez bien incapable d'apporter la preuve de vos allégations mensongères.
Mais si vous trouvez votre jouissance à venir me salir dans l'anonymat, sachez bien que cela ne me fait ni chaud ni froid...

Lodi

Les cons en action : je ferme mes volets et le "je laisse ma me**e sur les trottoirs" d'une passante aboie dans ma direction.
Je remarque qu'on n'a même pas la paix chez soi avec les chiens et ça la fait rire.

Les chiens gâchent la promenade du marcheur à la campagne, mais soit, ils défendent plus ou moins leur territoire. Cependant, là, je fermais de l’intérieur mes volets chez moi, au moment où triste du déclin du jour, on va se réconforter de quelque collation.
Comme le chien était type chien de chasse, j'ai pensé aux gens dérangés chez eux par l'activité cynégétique.
Non que je sois contre la récolte de viande sauvage, les gens ont le droit de manger non végan, l'humain est à la base un chasseur-cueilleur et il n'est pas utile que le gibier prolifère.
Mais je suis contre les cons. Qui envahissent les autres.
Qui tirent au hasard sans voir sur quoi d'où les accidents de chasse. Quels cons !

Les gens se servent des chiens, des parapluies et autres extensions d'eux-mêmes pour usurper de l'espace.
Le chien qui vous aboie dessus quand vous êtes chez vous, et pour un peu, son maître lui aurait donné un sucre. Quand on n'a pas de publicité au téléphone, il y a les chiens des crétins.
Le parapluie à hauteur d’œil du passant et qui pourrait bien le crever. Bref, mais je parie que la personne au chien, si elle le peut, dira du mal de moi, c'est ainsi dans la vie, les gens vous nuisent dans leurs actions puis par leurs propos.

Les cons vous con... damnent.

Exilé

« Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot. C'est te dire si, dans ma vie, j'en ai entendu des conneries. Mais des comme ça, jamais ! »
(Un idiot à Paris, Michel Audiard)

Lodi

Il y a du mal mais aussi du bien à se limiter à con ou à la limite quelques autres termes.
Con n'est guère précis, certes mais d'un autre côté, bien des mots expriment un jugement injuste, alors même qu'on le sait faux.

On découvre, par exemple, que les Néandertaliens n'étaient pas des abrutis, et tel que c'est parti, je pense plus intelligents que nous. Dans ce cas, la décadence remonterait à loin, et pourquoi pas ?
Les pharisiens n'étaient pas plus hypocrites que les autres, les sophistes et les Jésuites non plus, ces trois groupes se montrant par contre favorables à l'éducation.
Il faudrait arrêter de traiter Néron d’incendiaire ou de tyran, il n'était ni l'un ni l'autre. Enfin, que de réhabilitations à mener ! Les époques aussi, le Moyen Âge, d'abord ne veut rien lire, trop long, ensuite, n'était pas si mal. Alors que faire ?

On ne remerciera jamais assez la fiction. Nous avons Tartufe, Harpagon et... Mais dès que je commence une liste, mon esprit se ferme, vous voyez le problème pour les courses.

Enfin, il faudra un certain temps pour que la fiction remplace le préjugé.
Combien ? Si je pouvais deviner les génies qui vont émerger et la direction de leur créativité, je me pencherais prioritairement sur autre chose que sur la connerie et les insultes.

Le dîner de con a de quoi rendre méfiant... Le paranoïaque et le peu sociable y découvriront de bonnes raisons de refuser une invitation ou de s'y rendre à reculons.
Curiosité, apprécier quelqu'un et essayer de s'en rapprocher, besoin de réseauter, que de raisons de risquer de se commettre !

Bah, à vrai dire, ce n'est pas pire qu'Internet. Je ne vois pas comment organiser un dîner de con sur la toile, mais sinon...

Denis Monod-Broca

@ Xavier NEBOUT
« La méthode Coué ne vaut pas en matière d'histoire. »

C’est bien vrai, ça !

Catherine JACOB

@ Exilé | 23 février 2020 à 11:26

J’avais noté l’existence du diplôme, pas pour le niveau mais pour son sujet. C’est vrai que l’histoire est plus souvent qu’à son tour objet de falsifications opportunes mais, comme je ne m’y connais en matière d’histoire de l’Algérie pas plus que n’importe qui, je me garderai bien d’avoir une opinion sur le travail de recherche de Mme Autain qu’il faudrait de toute façon avoir lu pour s’autoriser à en parler autrement que pour le citer.

Je rappellerai juste ce mot d’un Professeur des Universités honoraire ayant enseigné en Sorbonne, mot prononcé à l’occasion d’une conférence sur les couleurs à laquelle j’ai assisté et au cours de laquelle bien sûr, le jaune fluo a lui aussi été évoqué et objet d’un début d’analyse: « En matière historique, vingt ans ce n’est rien du tout. »

Michel Deluré

@ Achille 23/20 11:28

Le virus dont nous parlons est effectivement très résistant et, pire que celui de la grippe auquel vous faites allusion, il peut muter non seulement dans le temps mais surtout d'un individu à un autre !
Il y en a même qui, porteurs du virus dès leur conception, ont toutes les chances d'en présenter ultérieurement les formes les plus virulentes, surtout s'ils évoluent en prime dans un environnement (professionnel par exemple) propice à son développement.
Et en la matière, je vous rejoins, toute campagne de dons serait vaine.

Exilé

La "connerie" devient un objet d'étude.

Étudions donc puisque l'on nous y invite, en commençant par nous poser quelques questions.

Jusque-là, nous avons surtout abordé la question sous l'angle individuel, pour résumer : le « c.n » c'est l'autre.

Mais qu'en est-il de la « c...rie » de groupe, celle d'un bloc épais de « c.ns » - sachant que souvent ils se reproduisent entre eux et se cooptent - qui peut finir par atteindre une telle masse critique que tout cela peut affecter l'équilibre d'un pays et d'une nation ?

Nous pouvons toujours nous protéger des « c...ries » d'un seul « c.n » en évitant de le fréquenter.
Mais que pouvons-nous faire quand notre vie actuelle est affectée, parfois de façon dramatique, par les « c...ries » de ceux qui nous ont précédés sans que nous ne puissions rien faire pour amender cette situation ?

De même que nous sommes trop souvent en droit d'émettre des doutes sur la santé mentale du Législateur, pour ne pas évoquer d'autres fonctions, est-il sacrilège de se demander si la « c...rie »  n'aurait pas été érigée en principe politique et institutionnalisée en France en 1789 ?

Gamain

SCROTUM Suite

« Les deux vidéos intimes de Benjamin Griveaux diffusées par l'artiste russe Piotr Pavlenski, le 12 février, n'étaient pas les seules. Il en existait au total encore cinq mettant en scène l'ancien candidat à la mairie de Paris, selon le témoignage d'Alexandra de Taddeo. »

L’excès de ces prestations n'a-t-il pas été déterminant dans la démoralisation et l'abandon du candidat ?

Présentement on se demande s'il n'existerait pas des prestations de même sorte « visant d'autres personnalités de premier plan ? »

Autant dire que cette perspective inquiète le monde politique. C'est hon !

Trekker

@ Claude Luçon | 22 février 2020 à 22:09
"…vous l'aviez mentionné à Trekker ! Je le connais et je sais que lui avait le courage de sauter en parachute, armé en plus, pendant des années... vous ?"

A mon époque, ce qui demandait le plus de courage et de ténacité chez les parachutistes militaires, c’était l’entraînement/instruction au sol non lié au futur saut. A voir les divers documentaires télévisuels actuels sur ce sujet, celui-ci est un peu moins rude et surtout plus technique que dans les années 60-70. Il présentait alors quelques similarités avec celui de la Légion étrangère, entre autres en matière de discipline, rusticité de certaines phases d’instruction et brimades-sanctions physiques.
Hormis le saut depuis la tour de départ, dénommé en langage para « Brigitte » (allusion à caractère sexuel à Brigitte Bardot). Mais cette tour de départ, hantise de la majorité des débutants avant leur premier saut, fut supprimée de l’instruction en 1967 : elle générait plus de refus de saut que dans l’avion, et même chez des brevetés prémilitaires (qui avaient déjà effectué quatre sauts d’avion).

Ne soyez pas surpris de la rancoeur persistante de Mary Preud’homme à votre égard, il en est de même depuis quatre ou cinq ans à mon encontre. J’ai eu le malheur à cette époque de la prendre en flagrant délit de mensonge concernant les conditions de passage en ouverture commandée (O.C.) - chute libre début des années 60, cela dans le cadre sportif et donc civil. Cette dame ne supporte pas d’être contredite, même quand elle affabule !

Bill Noir

Je dois reconnaître que Marine Le Pen a été particulièrement brillante au « Grand Jury » !

Il serait désolant que cette « famille », responsable au premier chef de l'intronisation et du maintien des Souhmis depuis plusieurs décennies, arrive in fine au pouvoir !

Quel gâchis ! Ce serait trop hon !

https://www.rtl.fr/actu/politique/presidentielle-2022-j-ai-de-grandes-chances-d-etre-elue-lance-marine-le-pen-7800146181

FROMMER Jean-Loup

Compte tenu de votre qualité d'ex-magistrat, je m'attendais à un paragraphe sur le "Mur des Cons"...
Déçu !

Archibald

C'est grâce à un virus - un méchant hon - qu'ils vont fermer les frontières !
Whouah !

Zonzon

L'affaire Fillon est une affaire Macroc, et elle le restera !
Oh ! Hon !

Marc GHINSBERG

Philippe Bilger commet un billet sur la "connerie".
Il n'a peur de rien. Il ose tout !

Giuseppe

@ Achille | 23 février 2020 à 11:28

J'ai bien aimé le nouveau nom du virus que vous avez fait muter, semble-t-il.
Ceci dit le bonheur - c'est selon aussi - est peut-être dans une suite de petits plaisirs simples que l'on s'octroie.

Par contre ce qui nous a agacés, et cela devient très pénible, c'est la suite de panneaux statistiques qui s'affichent et dont le spectateur se fiche.
Il n'est pas là pour remplacer les spécialistes qui les recueillent de leur côté, et eux de les analyser.
Pénible à subir, même s'il n'y a pas d'action, par l'image le spectateur veut rester sur le stade et regarder ce qui l'entoure, les sourires, les déguisements, l'ambiance de ces temps suspendus ; les statistiques affichées tirent un rideau de complètement inutile, sans intérêt. C'est nul.

Laissons les statistiques aux statisticiens ! Et la seule occasion de mettre en oeuvre l'informatique à chaud, eût été justement de nous montrer par une ligne virtuelle s'il y avait en-avant de passe ou pas de Virimi Vakatawa.

Ces imbéciles de la réalisation oublient simplement l'essentiel.
Une statistique ne fait jamais gagner un match ! Et encore moins faire vivre le passionnel. Zéro pointé à ceux qui ont décidé de cet affichage.

boureau

@ Catherine JACOB 23 février 2020 08:40

Votre rêve est à portée de main !

Un petit carré sylvestre près de votre fils : que du bonheur !

Foin des grands parcs ou grands jardins, nous n'en avons plus les moyens physiques.

Quelques mètres carrés de l'ultime plaisir : communier au plus près et simplement avec cette merveilleuse nature que l'on a généralement ignorée pendant des décennies.

Vous y découvrirez des plaisirs fabuleux : des compagnons rouges-gorges qui accourront dès qu'ils vous verront un râteau à la main ; des fleurs simples mais si belles parce que c'est vous qui les avez plantées ; des insectes inconnus qui ne nous feront plus peur parce que vous savez et qu'ils savent que vous oeuvrez pour eux ; une paix silencieuse incroyable que vous n'avez jamais connue...

Ne perdez pas de temps, le printemps sera là dans quelques semaines et la tâche printanière est immense même avec seulement quelques mètres carrés !

Je crois que personne ne déteste l'Europe, car c'est alors se détester soi-même ! C'est "Union européenne" qui est exécrée.

Continuez à faire ce que vous avez toujours fait, semble-t-il : ce qui vous plaisait.

Moi, j'ai toujours pris Candide au premier degré : "cultivons notre jardin". Et mon jardin (et maintenant celui de ma fille) me le rend au centuple.

Bonne chance avec votre Tiny House (la Bretagne en construit de superbes).

Cordialement.

Serge HIREL

Bon, bien sûr, on peut faire du « con » et de la « connerie » le sujet de multiples cours de psychologie, le thème d’une montagne de mémoires de sociologie, voire le centre de recherches psychiatriques, d’autant plus que les exemples sont inépuisables, les lieux d’étude ne manquent pas et les pratiquants sont légion. Mais il est possible aussi d’examiner ce phénomène universel sous l’angle de la linguistique. Sans pour autant remonter à... l’origine du monde.

Ces dernières décennies, le « con » a pris une ampleur telle dans l’expression qu’il a détrôné la quasi-totalité des autres injures, ce qui, paradoxalement, l’a conduit à perdre de sa puissance. Il a même fallu le soutenir en lui adjoignant un adjectif : « sale », « jeune », « vieux », pauvre »... Avez-vous remarqué ? Le « riche con » n’existe que très rarement... Ce qui semble une atteinte grave au principe de l’égalité.

« Con » est simplement devenu vulgaire, au sens premier du terme, lié à sa racine latine. Il fut une époque où il supplantait, de toute sa vulgarité, ses nombreux confrères, façonnés au fil du temps par des locuteurs qui, imaginatifs, identifiaient leurs « cons » de manière plus précise.
Voilà bien une preuve que ce siècle affaiblit notre belle langue, même si le zèle sans cesse renouvelé des féministes radicalisés a conduit - sans demande de leur part - à créer au moins un nouveau mot : la « conne ». Ouf ! La parité est désormais respectée.

Que n’aurait-il eu plus d’allure ce député - certes grossier - qui a affublé deux de ses consoeurs du titre de « jeunes connes » (ce qui, de plus, est faux quant à l’âge) en les apostrophant d’un « Gourgandines ! » ou d’un « Ecervelées ! » ! Et l’aimable conversation aurait pu se poursuivre agréablement, ces dames assommant leur détracteur d’un « Malotru ! » ou d’un « Malappris ! ». Hélas, ces joyaux de la langue française sont en péril...

Ah ! Que la France serait plus belle si, aux carrefours et sur les ronds-points, pour exprimer leur point de vue, les automobilistes énervés diversifiaient leurs injures au lieu de se contenter d’un « Con ! » sans relief. Les cochers, eux, s’apostrophaient d’un « Olibrius ! », d’un « Ganache ! », d’un « Maraud !», voire d’un « Maroufle ! »...
Bon, bien sûr, il faut être de son temps... et savoir renouveler la langue. Que diriez-vous, lors d’une prochaine altercation avec un conducteur « con » de lui lancer un tonitruant « Suppôt d’Hidalgo ! » ?

Mary Preudhomme

@ Claude Luçon | 22 février 2020 à 22:09

Vous avez vraiment du temps à perdre pour aller chercher tout ça et farfouiller dans de vieilles histoires ou des confidences de jeunesse où vous n'étiez nullement concerné, me prêtant au passage vos propres rancoeurs ! D'autant que la rancune ne figure pas parmi mes défauts étant plutôt du genre à dire immédiatement ce que je pense et à classer l'affaire !
Vu ?

---------------------------------------------------

@ Savonarole, 22 février 19:54

Je n'avais jamais lu cette pièce de Pagnol, mais puisque vous me la recommandez, il va falloir que je m'y colle et répare "promptement" cette lacune !

Ange LERUAS

@ Tipaza 23 février 7h31
« Je préfère écrire :
On peut être intelligent et con "en même temps" !
Ce qui permet, mine de rien, de cibler un personnage en particulier, dont l'intelligence spéculative n'est pas mise en doute mais dont la personnalité le conduit à une succession d'erreurs qui détruisent ce que son intelligence réalise. »

Il est vrai que la connerie est un sujet sans fin où on peut se servir de quelques mots pour justifier d'une personne qu'elle est intelligente et con à la la fois. Être les deux en même temps ne relève plus de la personne mais de l'idée d'un autre sur son con.

Il est vrai qu'il est intelligent de vouloir des retraites équitables, et con dans la façon de rechercher cette équité. La solution est conne mais celui qui la décide est-il pour autant con ?
Il le serait s'il se singularise des autres qui eux savent comment faire pour que nos régimes de retraite soient équitables. Ce qu'il me semble ne pas être le cas ; puisque, parmi nos élites et nos blogueurs, aucun ne définit ce que doit être une retraite équitable. Et, en même temps, aucun ne paraît savoir ce qu'est l'équité puisque ce mot paraît banni de toutes discussion. Être con ne serait-il pas ne pas savoir ce qui devrait être su ? Mais sommes-nous sûr que ce que nous savons n'est pas con, avant de traiter de cette manière son interlocuteur ?

Je vais vous donner l'occasion de me traiter de la sorte en vous exposant une solution conne puisqu'elle se singularise de vos savoirs forcement intelligents.
Dans un régime de retraite il faut savoir distinguer deux choses.
1° Ce qui relève du volet économique : c'est-à-dire ce qui correspond, lors de votre période d'activité au temps de production (économie) que vous passez pour offrir aux retraités les moyens de consommer 13 % de la consommation nationale dit-on. Qui, pour être équitable, devrait, quand vous passez de l'activité à la retraite, vous permettre de compenser votre solidarité envers les retraités lors de votre temps activité, une fois à la retraite. Pendant laquelle vous devriez récupérer votre solidarité dans son intégralité. C'est-à-dire pour l'ensemble des retraité : 13 % de la consommation nationale correspondant au temps passé par les actifs, à la période de votre retraite, pour produire ces 13 % de consommation nationale.

L'équité est donc une équivalence d'effort de solidarité envers les autres, compenser par une solidarité à son égard lors de la retraite. Reste à quantifier cet effort envers les autres qui va donner droit à la solidarité des actifs envers vous, quand vous passez à la retraite.

Supposons que l'actif passe 27 % de son temps pour cette solidarité en travaillant 41,5 années 46 semaines par an à raison de 35 heures par semaine puis, vive 20 ans à la retraite : quelle compensation peut-il avoir, suite à cet effort : 41,5x46x35x27% = 1840/20/52 = 17,34 heure par semaine ce qui fait que le revenu moyen d'un retraité quand le revenu moyen (l'année de la pension pour tenir compte de l'inflation) de l'actif est de 1850E/mois devient 1850/35X17,34= 916E/mois c'est-à-dire sensiblement 50 % du revenu de l'actif.
Ce principe a pour prémisse que la solidarité, c'est que chacun passe un même temps que son voisin pour une solidarité donnée.

Bien entendu ce que je dis ici est une connerie puisque je n'ai jamais entendu, ni lu dans les écrits, de la part de notre élite pas plus que dans ce blog, dire qu'une solidarité équitable demande de passer un temps similaire à son voisin pour cette dernière pour en trouver une compensation plus tard, c'est une connerie comme l'était celle de Galilée prétendant le contraire de ce que l'intelligence disait.

Voilà pourquoi les cons sont écartés et les intelligents ont, par des successions de réformes, adapté le régime de retraite à la hauteur de leur intelligence. Et vont me démontrer ma connerie qui consiste à dire que si pour la recette cela peut être vrai, pour la dépense c'est une connerie puisque tous les actifs n'arrivent pas à la retraite et tous les actifs ne vivent pas 20 ans à la retraite. Pour une fois il faut dire que cela est intelligent. Mais alors la recette est supérieure à la dépense que fait-on de ce surplus ?

Faut-il s'en servir pour que le retraité profite de ce surplus pour leur permettre de profiter davantage de solidarité des actifs que la solidarité qui avait été la leur lors de leur période dite de cotisation ?
Profiter plus de la solidarité des autres que la solidarité que nous avons envers les autres est un concept intelligent, pas con, nos élites bardées d'intelligence nous l'ont dit. Comme cela nous allons pouvoir équilibrer les régimes comme celui des fonctionnaires avec un cotisant pour un retraité, de la SNCF avec un cotisant pour 1,6 retraité et le privé 1 cotisant pour 0,7 retraité. Comme cela le retraité privé n'aura pas 228 % de la retraite moyenne de la SNCF ou 143 % de la retraite moyenne du fonctionnaire, puisqu'il profitera car même de cette manne laissée par les prédécédés pour majorer le revenu moyen de sa retraite (dans le privé) de 50 % du revenu moyen des actifs à 70 % pour s'approcher de celle (théorique) des fonctionnaires mais toujours bien au-dessous de la SNCF où il se travaille moins en semaine, et moins d'année et peut-être moins de semaine dans l'année.

Voyez-vous notre intelligence nous masque que notre vie sociétale ne doit pas être équitable mais sociétale. Alors qu'elle doit être les deux mais, pour cela, il ne faut pas mélanger les genres. Voilà pourquoi je vais vous dire une autre connerie. Il faut à côté de ce volet équitable de compensation de solidarité entre les générations actifs et retraités, un autre volet social.

2° le volet social d'un régime de retraite qui se doit d'intervenir pour des cas conjoncturels, celui qui vit plus de 20 ans de retraite, celui de la reconversion, de temps passé à élever des enfants, de temps activité incomplète, de pénibilité, de pré-retraite conjoncturelle et d'autres au bon vouloir de la société qui en délibère, puisque la solidarité n'est que celle des actifs envers les inactifs ou envers les cas sociaux conjoncturels qui représentent une masse de consommation pour ces régimes de retraite à définir sociétalement : 13 % de la consommation nationale ou autres pourcentage envers cette solidarité pour les retraités, en partie pour un volet économique et en partie pour un volet social dont le financement, pour ce volet social, pourrait être ce que les prédécédés nous laissent.

N'étant plus à une connerie de plus ou de moins (à ne pas ébruiter), j'affirme que notre consommation nationale se partage à raison de 54 % pour les actifs et 46 % pour les inactifs dont 28 % pour la retraite soit 13 % de la consommation nationale, dont on dit payé par des cotisations soit environ 300 milliards alors que la somme des revenus des actifs se situe à 700 milliards soit une cotisation de 43 % des revenus ??
Ce qui veut dire que les revenus des actifs ne sont que 30% du PIB ??

Une dernière pour terminer ; les actifs et les inactifs vont se partager notre consommation nationale : soit directement familialement (55 %), soit indirectement au travers d'organismes étatiques, mutuellement (13 %) (contribution des rétributions d'actifs et attributions aux inactifs) et collectivement (32 %) (contribution des rétributions d'actifs et attributions aux inactifs). Et cette théorie est celle qui traduit des solidarités dans notre vie sociétale. Les statistiques, que des conneries.

Pour l'instant j'ai été traité d'utopique, de ne pas avoir les pieds sur terre ou de m'embourber, de craindre comme Icare de retomber si je m'élève trop, et même : de prof atterré réactionnaire de Dauphine par Filoche, je n'ai jamais été traité de con directement, j'attends pour mieux apprécier l'auteur car, comme vous, je ne pense pas l'être, sauf quand, toutes les cinq dernières minutes, comme Raymond, je me dis : Bon Dieu mais c'est bien sûr, que je suis con je n'y avais pas pensé...
Alors aidez-moi à penser pour ne pas être c.. !

Xavier NEBOUT

@ Denis Monod-Broca

La méthode Coué ne vaut pas en matière d'histoire.

De Gaulle n’est pas le seul officier à avoir mené brillamment combat contre l’armée allemande en mai 40 lors de la bataille de France... dites-vous.

De quoi parlez-vous ? d'Abbeville ?

A moins que ce soit du défilé de l'armée d'Afrique à Tunis, à laquelle Leclerc n'a pas voulu se joindre ?

Ou encore et surtout au refus de de Gaulle de reconnaître Pétain comme chef de l'Etat à la Libération, car là est son plus grand crime tant sur le plan moral qu'économique, et politique.

Xavier NEBOUT

@ Patrice Charoulet

Si on veut comprendre le nazisme, il faut d'abord connaître l'histoire des peuples de la profondeur des forêts et du froid qui se heurtaient à la possession de ceux qui étaient arrivés avant eux dans les pays tempérés avec leurs plaines fertiles.
Peuples libres de la notion de propriété des pays arides contre droit de propriété des agriculteurs, cela explique encore de nos jours les conflits en Afrique, mais aussi et surtout, l'obligation de surmonter les rigueurs de la nature et d'être des guerriers par essence dominateurs.

Ensuite, il faut faire preuve d'imagination seule mère des réalités, et se situer dans l'imaginaire de l'empire de F. Barberousse qui était celui de l'époque d'Hitler.
"Au temps d'Eschyle, la Thessalie était un lieu sinistre. Il y avait eu là autrefois des géants; il y avait là maintenant des fantômes" nous disait Victor Hugo en introduction des Burgraves.

Et là où cette conférence commence sur une erreur fondamentale, preuve de l’ignorance de l'éminent professeur, c'est que le christianisme de Vatican 2 issu de l'humanisme n'est pas celui de saint Louis. La svastika est ignorée.

Ensuite, il fait abstraction du cantonnement économique de l'Allemagne à ne pas disposer d'empire contrairement aux autres grands pays d'Europe.

Alors moi, les universitaires gauchos, j'en ai ma claque !

Achille

@ Michel Deluré | 23 février 2020 à 10:15

Nos chercheurs ont réussi à maîtriser la rage, la peste et le choléra, même si ces maladies persistent encore sous une autre forme en politique.
Ils ont même trouvé un vaccin contre la grippe dont l’efficacité n’est pas absolue vu que ce virus mute d’année en année.

Mais contre le "connardvirus", je crains qu’il n’y ait pas de remède. Un appel aux dons me paraît inutile.

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