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29 février 2020

Commentaires

Tomas

En fait, vous mélangez cocaïne et usage des réseaux sociaux et ça donne ce genre de comportements suicidaires:

https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/cesar/un-directeur-de-casting-promet-une-carriere-morte-a-l-actrice-adele-haenel-apres-son-depart-precipite-des-cesar_3852175.html

Vu l'appétit compulsif de la profession cinématographique dans son ensemble pour les deux choses ce genre de débats ne va pas cesser de sitôt...

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 03 mars 2020 à 10:42

En somme, vous êtes un gentil garçon, il est gentil d'être gentil, il est méchant d'être méchant, et c'est vrai puisque vous l'avez lu dans des livres.

Merci d'avoir fait avancer le débat.

Je remarque qu'à force de tourner en rond comme à votre habitude, vous ne nous expliquez toujours pas en quoi il y aurait oppression des femmes par les hommes depuis la nuit des temps, en quoi une révolution des relations entre les sexes serait nécessaire, et en vertu de quoi elle serait possible.

Ce qui est à la fois l'origine de notre discussion, la raison pour laquelle vous m'avez pris à partie, et l'un des débats de fond qui sous-tendent le scandale des César dont il est question ici.

Débat qui n'a rien à voir avec le racisme, une fois de plus. Même si vous n'avez pas pu vous empêcher de le remettre sur la table.

F68.10

@ Patrice Charoulet

"Internée en psychiatrie à quinze ans". Pas très différent de Foucault.

"Alcoolique". Pas très différent de Bukowski.

"Prostituée". Pas très différent de Grisélidis Réal.

"Critique de films pornographiques". Pas très différent de Christophe Bier.

"Ecrivant sous coke". Pas très différent de Sigmund Freud.

"Auteur d'un livre titré "Baise-moi !"." Pas son meilleur livre, de mon point de vue: "King Kong Théorie" a plus de substance et "Bye Bye Blondie" a plus de sensibilité, en son genre... Un analogue en serait "The Catcher in the Rye" (L'Attrape-cœurs, grand classique) en plus punk. Et sur des thèmes choquants, "Baise-moi !" n'est rien par rapport à d'autres oeuvres: encenser Sade et déboulonner "Baise-moi !" n'est pas très cohérent, en tout cas pas sur le pur plan du choquant. Et Kenzaburō Ōe est encore bien plus choquant.

"Bon, j'abrège."

Moi aussi. J'aurais pu parler d'Antonin Artaud, aussi, qui est pas mal dans son style.

"Je ne lirai pas un livre de cette dame et quand on me parlera d'une tribune d'elle dans « Libération », je ne la lirai pas la prochaine fois."

Vous faites bien ce qu'il vous plaît. Mais ce qui forme la culture de demain ne se décide pas uniquement par les esprits dits éclairés. Il y a des formes plus populaires de culture qui s'inscrivent dans le long cours comme faisant partie de la culture. Et il me paraît douteux qu'il ne reste rien de Virginie Despentes dans un demi-siècle. Je parie que Modiano sera moins lu.

La France prend beaucoup de retard dans le domaine de l'influence culturelle: les séries américaines, et il y en a de très bonne qualité, envahissent la culture (ce qui ne me déplaît pas). Les dessins animés japonais aussi (ce qui ne me déplaît pas non plus): quelle est l'introduction la plus facile d'accès au Comte de Monte-Cristo pour les illettrés ? Gankutsuou. Il y a de multiples autres exemples.

Nous avons beaucoup de souci à nous faire si nous ne valorisons pas plus des formes de culture moins classiques que ce que le ministère de la Culture a en réserve. Sans même parler de valeur marchande de la culture, il faut bien prendre en compte que notre influence culturelle passe aussi par la valorisation d'artistes arrivant à taper fort à la fois au box-office de la littérature (ou autres) et par la qualité des sujets traités. Aux Etats-Unis, donner un poste de prof de fac à David Copperfield pour enseigner la magie était faisable à l'université de New York. En France, on donne des cours d'illusionnisme au CNAM ? Cela ne m'a pas trop l'air d'être l'ambiance... Je nous trouve bien complaisants avec nous-mêmes...

Pour faire simple: il me paraît incohérent d'encenser Houellebecq tout en tapant sur Virginie Despentes.

breizmabro

@ hameau dans les nuages 03 mars à 12:36

D'un autre côté (j'en ai marre de dire "en même temps") Dominique nique nique s'en est bien sorti aussi, grâce à l'argent de sa femme.

Polanski a avoué (contrairement à DSK) avoir drogué puis abusé (violé) de Samantha Geimer alors âgée de 13 ans lors d'une soirée particulièrement arrosée en alcool et en coke.

La maman de Samantha Geimer l'aidera à porter plainte, immédiatement, contre Polanski (elle n'attendra pas quarante ans !)

Lors de son audition, Polanski dira qu'il buvait beaucoup et se droguait régulièrement (amphètes et coke) depuis la découverte du corps de Sharon Tate enceinte de 8 mois, assassinée de 17 coups de couteau, et de ses ami.e.s présents ce jour d'août 69, au retour d'un tournage en extérieur (il en fournira la preuve au procureur).

Polanski sera jugé dans le cadre du "plaider-coupable" américain en avouant les faits.

Il sera immédiatement incarcéré à la prison de Chino.

Le procès civil fera l'objet d'une négociation puisque Samantha Geimer dira sous serment que c'était son agent qui avait insisté pour qu'elle aille à cette soirée "chez Roman" pour promouvoir sa future carrière.

Plus tard, ayant eu connaissance de l'intégralité des circonstances de ces dérives dont elle avait été la victime, elle lui écrira pour lui pardonner en lui demandant que d'un commun accord il ne soit plus question de parler de cette affaire soldée.

Quelques jours avant les Oscars elle espérait (elle l'a écrit) qu'il soit récompensé pour son travail.

La suite vous la connaissez.

Patrice Charoulet

Dans plusieurs débats TV-radio, j'entends parler d'une tribune violente publiée dans un journal au sujet de la cérémonie des César par une certaine Virginie Despentes, qui, me dit-on, aurait écrit des livres. Comme je n'ai jamais lu une ligne de cette dame, je me renseigne et veux lire ces lignes violentes, étant d'un naturel curieux. J'ai retenu le nom du journal : c'est « Libération ». Je ne lis jamais ce journal, mais ma mairie communiste me le fournit gratuitement dans ma bibliothèque municipale sur un présentoir, à côté de « L'Humanité ». J'ouvre et je lis. Deux pleines plages. Je lis toujours les écrivains la plume à la main, pour noter les « bonheurs d'expression ». La pêche est abondante, quand je lis La Fontaine, Stendhal, Flaubert et quelques autres. Cette fois, je n'ai rien pu noter. Rien. Mon verdict est que cette dame n'est pas écrivain. J'ai bien lu qu'elle pense grand mal des riches, des puissants, des dominants, et qu'elle a même réussi à parler du 49.3 - il fallait le faire ! - mais enfin ce sont deux pages particulièrement médiocres, allez, osons le mot, deux pages nullissimes.

Rentré chez moi, je veux en avoir le cœur net : je lis ce que Wikipédia m'en dit. Internée en psychiatrie à quinze ans, alcoolique, prostituée, critique de films pornographiques, écrivant sous coke, auteur d'un livre titré « Baise-moi ! »... Bon, j'abrège.
Je ne lirai pas un livre de cette dame et quand on me parlera d'une tribune d'elle dans « Libération », je ne la lirai pas la prochaine fois. Je retourne à mes (vrais) écrivains.

P.-S.: La palmarès des César est fixé « à bulletin secret » par des milliers des gens de la profession. Et Foresti savait, avant le début de la cérémonie, la liste des lauréats, dont le cinéaste objet de la polémique. Feindre être écoeurée, en fin de soirée, est... du cinéma.

Jérôme

Bonjour Philippe,

Vous n'aviez pas suggéré que votre blog ne se transforme pas en forum ?
J'ai dû mal vous lire.

hameau dans les nuages

@ Mary Preud'homme | 02 mars 2020 à 23:01

On ne sera jamais aussi vulgaire qu'une personne ayant assez d'ascendant sur une fille de 13 ans pour la sodomiser après l'avoir droguée. On n'est plus au niveau de propos ou d'intentions qui eux pourraient être considérés comme vulgaires ou déplacés.

Je trouve que Popol s'en sort bien grâce à son argent.

https://www.youtube.com/watch?v=_6FNKXtt95k

Si vous voyez ce que je veux dire.

Achille

Je n’ai vu aucun extrait du film « Les Misérables » aussi je ne saurais dire s’il mérite le César du meilleur film.
A noter toutefois que son titre, qui reprend celui du célèbre roman de Victor Hugo, est un joli coup marketing qui va attirer le public, ne serait-ce que pour comparer l’histoire qui y est racontée avec celle de l’illustre écrivain.
Ceci étant, le mot « misérable » possède deux acceptions :
celle qui évoque la misère, le dénuement. Mais aussi celle qui dénonce ce qui est dérisoire, insignifiant.

Reste à savoir quel terme est le mieux approprié.

Concernant le film « J’accuse », je n’en ai vu que quelques courts extraits. Mais vu les références de Roman Polanski et le succès qu’il rencontre dans les salles, je pense qu’il a largement mérité le César du meilleur réalisateur.

Bravo au jury qui ne s’est pas laissé déstabiliser par les manœuvres d’intimidation de certaines personnalités du monde du cinéma qui ont tendance à cracher dans la soupe et de certaines associations féministes tendance hystérique.
Comme dirait Jean Dujardin : « Ça pue dans ce pays ! »

Zonzon

Je n'ai pas regardé l'Athélé samedi soir. Allez donc savoir pourquoi !
Du coup, dimanche toute la journée, j'ai été atterré par les commentaires qu'on pouvait lire ici !

Ce n'est que lundi en fin de journée, que je suis sorti de l'accablement !
En regardant CNews de 19 h à 21 h.

J'ai d'abord appris qu'il existait une petite chose du nom de Adèle Haenel, césarisée moult fois durant la dernière décennie, devenue célèbre – d'après ce que j'ai pu comprendre – pour avoir été harcelée/attouchée une douzaine de fois, entre 12 et 15 ans, par un dénommé Christophe Ruggia dans le domicile duquel elle se rendait régulièrement pendant les week-ends.

Que cette jeune dame provoqua un pataqués du tonnerre quand elle sortit superbement de la salle après avoir appris qu'un dénommé Paul Anski avait reçu un prix !

Qu'il s'ensuivit des réactions, probablement excessives, de la part d'un certain nombre de personnalités du monde des Arts et des Spectacles, les pour, les contre... etc.

J'avoue être largué... le cinéma français il y a bien longtemps qu'il ne m'intéresse plus… cette filandreuse affaire n'y va rien changer !

Et puis il y eut le mot de la fin, celui de Zemmour : « Si j'étais le père de cette femme, je ne lui laisserais pas faire du cinéma ! »

Dans l'affaire Vanessa Springora, Zonzon (06/01) considérait la mère comme coupable responsable « de complicité de crime, d'incapacité notoire à élever des enfants, d'être une mère maquerelle. »

Quoi d'autre ?

Aliocha

Ce sera difficile, forcément Marchenoir, mais nous allons y arriver.
À l'habitude, vous me fustigez à grand coup d'anti-socialisme, socialiste que je ne suis pas, pour encore vous agiter au bout de l'hameçon moral, qui est le vôtre et non le mien, mais je vous remercie de me permettre de préciser par vos intégrismes haineux la réalité que je tente, à grand-peine il est vrai, de mettre en lumière, et qui est la pathologie moderne de la relation qu'entretiennent les cultures différentes comme les individus.

Ce ne sont donc ni les cultures ni les individus qui, comme vous semblez le croire à tort en prétendant que je cherche à éradiquer les cultures, sont à évaluer, mais la relation qu'ils entretiennent, racistes et antiracistes, féministes et machistes, socialistes et antisocialistes, et nous pouvons allonger la liste à l'infini, comprenant que chaque culture est l'expression nécessaire d'une morale indispensable à l'ordre des sociétés humaines, leur similitude se trouvant dans le conflit qu'elles entretiennent entre elles et qui, malgré elles car elles n'en ont pas conscience, comme vous vis-à-vis de l'antiracisme, aboutit à leur indifférenciation, donc à leur destruction.

C'est donc à cela que nos textes religieux et littéraires invitent, car on ne pourra jamais enjoindre quiconque à cette connaissance, à prendre conscience individuellement de cette réalité que ce n'est ni vous, ni moi qui sommes capables tout seul de formuler cette vérité mais que, si nous admettons la formulation de la loi qui régit cette relation et je ne vous invite à rien d'autre, nous saurons alors dans l'effort de la relation apaisée que nous entretiendrons malgré nos différences, nécessaires et respectables en elles-mêmes, laisser la place à la transcendance, qui n'est que l'expression de la vérité comme description toujours en évolution du réel.

Il n'y a pas, à mon sens, de meilleure description de la démocratie, celle qui me permet de vous mettre face à vos contradictions, vous invitant sans cesse à cette conscience, ce qui me vaut dès l'origine et pas seulement de votre part d'être fustigé ici, car je ressens malgré nos différences et vos pics d'agressivité que vous êtes fondamentalement démocrate, que nous sommes en des temps où ceux qui savent porter cette conscience doivent impérativement répondre favorablement à cette invitation, apaisant le conflit de leur différence sans renoncer à leur particularité nécessaire, sans admirer la force, comme le dit Simone Weil, sans haïr l'ennemi, sans mépriser les malheureux, qu'il n'y a que nous, Occidentaux, qui pouvons accomplir cette geste, celle qui est seule à même de protéger l'humanité contre les démons qui l'investissent et la mènent au gouffre de son autodestruction.

Zonzon

Le Pape Pie XII était-il clair sur l'hitlérisme ? L'actuel est limpide sur l'islamisation de l'Europe !

Mary Preud'homme

La bécasse archivulgaire Foresti, tant dans ses propos que dans son accoutrement pour tenir le rôle de maîtresse de cérémonie, la célébration des César est vraiment tombée bien bas !!

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 02 mars 2020 à 16:04
"On va vous aider à comprendre, Marchenoir, le racisme..."

Eeeeh bien voilà ! le racisme, le racisme, vous dis-je ! Je contredis une féministe sur ses positions féministes, et vous trouvez le moyen de tout ramener à la race, encore une fois ! Mais à part ça, vous n'êtes pas du tout obsédé ! Vous avez le culot de nous dire, de surcroît, que vous n'êtes pas anti-raciste ! Qu'est-ce que ce serait si vous l'étiez !

Vous me prenez à partie parce que je ne saurais pas distinguer la vérité et le bien, et qu'est-ce que c'est, pour vous, la vérité et le bien ? La négation de la race ! On parle des relations entre les sexes, personne n'a dit un mot sur les Noirs ou les Arabes, et hop ! le racisme ! Parce les fondements de la sexualité ne sont pas identiques dans toutes les races, peut-être... Pauvre malade...

Je m'étonne que vous n'ayez pas interrompu mon séminaire sur les disjoncteurs différentiels, il y a quelques mois, en m'accusant de racisme. Différentiels, les disjoncteurs, Aliocha, différentiels !

"Si vous admettez que nous sommes en évolution, le machisme qui a opprimé les femmes depuis la nuit des temps se révélant lui aussi faux..."

Où avez-vous trouvé que le machisme a opprimé les femmes depuis la nuit des temps ? Je viens de vous dire qu'il s'agissait de sornettes idéologiques. Ne faites pas semblant de m'embringuer dans une autre de vos lubies gauchistes.

"Je laisse bien et mal aux définitions diverses des cultures différentes, et m'attache à définir une vérité qui permet de s'émanciper de la tyrannie des cultures et de leur morale, toujours génératrice de conflits."

D'accord. Donc vous voulez éradiquer les cultures. Vous voulez égaliser le monde entier dans un nuage grisâtre. En fait, vous êtes pire qu'un "anti-raciste" : même l'identité culturelle des peuples, vous cherchez à la détruire ! Vous êtes vraiment un fou dangereux.

Vous n'avez pas l'air de comprendre que, s'il y a conflit entre cultures incompatibles et morales contradictoires, c'est parce qu'on laisse prospérer l'immigration de masse. La nature des peuples est de vivre séparés. Au lieu de réclamer des mesures efficaces contre l'immigration, vous vous employez, tel un bon socialiste, à préconiser des remèdes de charlatan à une situation que vous encouragez.

A grands renforts de Proust, en plus. Comme si Proust n'était pas l'expression d'une culture en particulier. Comme si l'on pouvait vaporiser du Proust en spray sur les Africains ou sur les Chinois.

Mais il faut vous reconnaître une certaine cohérence : la rage de nier la nature humaine. Les races et leurs différences n'existent pas, c'est pourquoi il convient de voir des racistes partout. Les sexes et leurs différences n'existent pas, c'est pourquoi il convient de voir du "machisme" et de "l'oppression des femmes" depuis la "nuit des temps".

D'ailleurs, l'existence des races est la conséquence même de la sexualité et de la nature sociale de l'homme. Il est absolument logique que votre délire totalitaire gauchiste vous entraîne à nier les premières comme la seconde.

breizmabro

@ Jérôme 02 mars 13:59
"La France est un pays où il vaut mieux être pédophile que rappeur, à moins qu'on ne soit rappeur pédophile"

Ou alors être rappeur ET séquestratreur avec violences physiques sur un mec qui avait couché avec la soeur de son pote en lui disant que la charia doit s'appliquer pour les femmes ? Wouououah ! L'Oscar du bon goût revient à... ?

C'est dommage, la nouvelle Adèle H., notre rebelle du 16e, était partie avant de faire un commentaire à ce sujet.

Non mais vous allez où là ? Aux César ce mec présentait un film sur la pauvreté des banlieues et il vient salle Pleyel, le repère des bobos parisiens, en smoking !! Même Omar Sy aurait ri en voyant ça.

S'il avait été honnête il serait venu à cette cérémonie en jean, baskets et sweet à capuche pour faire honneur à son film.

Dans le temps, dans ma campagne, on appelait ce genre de mec des "petzouilles" c'est tout.

Aliocha

On va vous aider à comprendre, Marchenoir, le racisme n'est ni bien ni mal, c'est une notion fausse, c'est donc un progrès que de le souligner, dans la mesure où l'anti-raciste, voilà qui ne devrait pas vous déplaire et souligne que je ne suis pas anti-raciste, n'en tire pas argument, ne tombe pas dans un mouvement réciproque de discrimination inversée.

Aussi, si vous admettez que nous sommes en évolution, le machisme qui a opprimé les femmes depuis la nuit des temps se révélant lui aussi faux, dominant l'élément féminin par la force physique, ne devrait pas aboutir aux excès féministes que l'on peut remarquer actuellement, où certaines femmes se laissent aller au mouvement réciproque qui pourrait aboutir à l'élimination de l'élément masculin.

Donc, et malgré que vous en ayez, ma position n'est pas morale, je laisse bien et mal aux définitions diverses des cultures différentes, et m'attache à définir une vérité qui permet de s'émanciper de la tyrannie des cultures et de leur morale, toujours génératrice de conflits.
Pour prendre un exemple tout à fait au hasard, je ne dis pas que votre racisme est mal, je dis simplement qu'il est faux, démontrant au passage que tous ceux qui s'en réclament, anti-racistes dont je ne suis pas y compris, sont des imposteurs irresponsables, croyant au contraire que c'est dans l'équilibre de la relation des cultures comme des êtres qui l'entretiennent que se trouvera la définition commune d'un avenir viable pour l'humanité.

breizmabro

@ caroff 02 mars à 14:37

Ce matin j'ai lu le papier de la Virginie Despentes en question. Affligeant !

En premier lieu elle aurait mieux fait de changer sa photo sur le site de son journal parce que, d'un coup, en la voyant, on réalise ses frustrations de ne pas d'être aussi belle que.. Fanny Ardant par exemple, ou plus classe que Deneuve ou Bardot.

Perso je lui conseillerais de prendre langue avec Brigitte Macron qui lui fournira les conseils adéquats pour son relooking, sans même que Deviro en prenne ombrage ;)

Mis à part ça, son article à charge, sans contradiction bien évidemment, est d'une bassesse crasse, je ne sais même pas comment un journal comme Libé a pu publier ça !

adéo caroff

caroff

Jean-Paul Brighelli sort son flinguot pour dézinguer Virginie Despentes qui joue les mères-la-pudeur à propos de Polanski.
Sidérant que tous ces gauchistes qui ont, soit dans Libé, soit dans le défunt "Actuel", tressé des couronnes de fleurs à tous ceux qui pourfendaient la vieille morale bourgeoise, soient devenus avec l'âge, des bigots et bigotes !!

https://blog.causeur.fr/bonnetdane/

Bien vu et bien envoyé !

Jérôme

Bonjour Philippe,

Complice du viol, peut-être pas, quoique.
Du violeur certainement.
Quand un petit c*n de banlieue, rappeur de son état, babille des inepties, on ne différencie guère l'homme de l'oeuvre. Tout est jeté et conchié.
Pour Polanski, les belles âmes, les intellectuel(le)s de gôche et de drôate n'ont que différenciation à la bouche.
C'est un violeur qui a sodomisé une petite fille deux fois en la droguant.
Il a toujours tout fait pour échapper à la justice.
Il ne mérite aucun pardon.
La France est un pays où il vaut mieux être pédophile que rappeur, à moins qu'on ne soit rappeur pédophile. On aura probablement une petite chance de s'en sortir avec la bienveillance de l'establishment.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 02 mars 2020 à 10:44

Vous racontez toujours autant de sottises, mais il y en a un peu moins que d'habitude.

Je veux dire par là que votre commentaire est intégralement faux, mais que pour une fois, il se hisse à un niveau de rationalité qui lui permet d'être réfutable.

Allons-y, donc, tout en étant conscient de l'infinie futilité de la chose. Cela ne sert à rien de gravir le Mont-Blanc, mais comme il est là, on lui monte dessus, voilà tout.

"Il est compréhensible, Marchenoir, qu'étant incapable de nous donner une définition simple, vous soyez à même de faire la différence entre vrai ou faux et bien ou mal, soit la différence entre science et morale."

Là, déjà, je vais me réfuter moi-même. J'ai été trop bon. Cette phrase ne veut rien dire. Elle n'est même pas grammaticalement correcte.

Je suis incapable de donner une définition simple de quoi ? L'illettrisme aliochien semble suggérer une définition du vrai et du faux, du bien et du mal. Mais ce n'est pas ce que signifie cette phrase.

Admettons toutefois que cela ait été l'intention de l'analphabète de service.

Je serais donc incapable de donner une définition du vrai, du faux, du bien et du mal, et par conséquent, je serais à même de faire la différence entre le vrai et le faux, d'une part, le bien et le mal, d'autre part.

Évidemment, c'est absurde. En fait, le débile mental qui vient de se réveiller ne peut que vouloir dire le contraire : puisque je serais incapable de définir le vrai et le faux, alors je serais incapable de les différencier.

Admettons donc que telle était bien l'idée (si l'on peut dire) du sous-doué du jour.

J'en suis déjà à une vingtaine de lignes pour répondre à un commentaire qui doit en comprendre dix -- et je n'ai toujours pas atteint la fin de la première phrase de l'intéressé. Loi de Brandolini.

Maintenant que les vagissements du bébé ont été décryptés (en tenant compte d'une marge d'erreur évidemment importante), on peut tenter de les réfuter.

Je ne suis pas incapable de donner une définition simple du vrai et du faux, du bien et du mal, parce que je n'ai jamais essayé. Je ne suis pas chargé de le faire. Personne ne me l'a demandé. Je ne fais pas partie du grand service public de définition du vrai et du faux.

Au demeurant, serais-je payé par la douzième branche de la Sécurité sociale pour définir le vrai et le faux, le bien et le mal, qu'il serait parfaitement impossible de le faire dans le cadre par essence limité des commentaires de ce blog. Blog dont la vocation, d'ailleurs, n'est nullement philosophique, mais plutôt politique (et parfois sportive).

J'entends par là, bien sûr, définir le concept de vérité, le concept de bien. S'il s'agit d'affirmer ponctuellement que telle chose est vraie, et que telle action est blâmable, tout le monde, ici, passe son temps à ça, et moi aussi.

"Pour vous aider..."

Euh... non. Un olibrius qui m'oblige déjà à tartiner trente lignes pour comprendre ce qu'il a bien pu vouloir dire en deux ne peut certainement pas se vanter de m'aider.

"...vous comprendrez peut-être que la seconde sert à se cacher, alors que la première révèle."

Somptueuse sottise. La morale ne sert pas à se cacher, sauf à être un nihiliste absolu. Vous passez votre temps ici à donner des leçons de morale, et maintenant vous prétendez que la morale ne sert qu'à se cacher. Votre sens moral à vous est singulièrement défaillant, puisqu'à géométrie variable.

"Notre nouvelle venue est dans la même confusion que vous."

Non. Je dis le contraire de ce qu'elle dit. Il y en a donc forcément un des deux qui a raison davantage que l'autre.

Je sais bien que votre posture consiste à renvoyer sans cesse tout le monde dos à dos, avec vous au milieu (et largement au-dessus). Mais enfin, le systématisme même de l'opération montre votre malhonnêteté.

Maintenant, et maintenant seulement, on peut en venir au fond du sujet. Si vous pouviez faire un effort, la prochaine fois, pour simplifier...

"Vous comprendrez peut-être que [...] notre nouvelle venue est dans la même confusion que vous, que son exigence de transparence ne saurait cacher ce que logiquement elle entraîne, qu'équilibrer la relation homme-femme n'est pas établir une domination féminine ni se venger d'oppression pourtant bien réelle, mais définir ensemble les conditions d'un respect mutuel au bénéfice des deux parties."

Il n'y a pas besoin "d'équilibrer la relation homme-femme". Elle s'équilibre très bien toute seule. Votre assertion est d'une stupéfiante impudence : elle suppose que les milliards d'hommes qui nous ont précédés, durant des millions d'années, ont déséquilibré la relation homme-femme, ces imbéciles. Tandis que vous (en compagnie d'Anwen) êtes miraculeusement plus intelligent et plus sage que ces milliards d'abrutis, en conséquence de quoi vous avez entrepris "d'équilibrer la relation homme-femme".

Après quoi, le monde ne sera plus jamais le même.

C'est théoriquement possible, mais avouez que la probabilité est infime.

De même, il n'y a pas besoin de "définir ensemble les conditions d'un respect mutuel au bénéfice des deux parties."

Pas plus qu'il n'y a besoin de définir ensemble la nature d'une grenouille.

"Une sorte de contrat que le libéral que vous êtes devrait cautionner."

Voilà qui montre votre incompréhension totale du libéralisme. Le contrat, pour un libéral, porte sur ce qui est contractualisable. La nature humaine ne relève pas du contrat. Elle est. Il faut faire avec.

Les relations entre les sexes procèdent de la nature humaine. De la biologie. Elles ne sont pas modifiables. Nous pouvons nous efforcer de les comprendre, d'en tenir compte, mais certainement pas les changer. Nous pouvons, à un niveau très superficiel, modifier les règles de l'institution du mariage, nous pouvons changer les règles qui punissent le viol, mais la révolution à laquelle prétend le féminisme est une escroquerie.

Le libéralisme n'est concevable qu'en union avec le conservatisme. L'essence même du libéralisme consiste à respecter la nature humaine, et à tenir compte du fait qu'elle est immuable. Distinguer ce qui relève de la nature de l'homme et ce qui relève de sa créativité est au cœur de la philosophie libérale.

Mettons, aussi, que c'est tout simplement le fruit de la sagesse.

Pour en revenir au sujet du billet, la sagesse, ici, consisterait à reconnaître que le cinéma consiste essentiellement à faire rêver les foules, en montrant des jolies femmes plus ou moins habillées ; qu'en conséquence, il est essentiellement réalisé par des hommes ; et que bien entendu, ces derniers ont à la fois, pour but, de faire les plus beaux films du monde, et d'en profiter pour mettre les plus belles femmes du monde dans leur lit.

Tandis que ces dernières se pressent auprès des premiers, afin d'avoir confirmation que leurs charmes surpassent ceux de toutes les autres femmes ; et d'en tirer les bénéfices, en matière de satisfaction personnelle et de carrière, qu'elles sont susceptibles d'en tirer.

Après, et après seulement, on peut envisager de remonter les bretelles aux gros dégueulasses et aux prostituées mondaines, si les uns ou les autres exagèrent.

Mais cela n'a rien à voir, ni avec une "justice intégrale" synonyme de dictature, ni avec une "oppression" millénaire qu'il conviendrait de corriger.

breizmabro

@ anne-marie marson 02 mars à 08:59

C'est vrai mais vendredi soir elle était... écoeurante (!) de lourdeurs, d'approximations dans sa gestuelle, d'efforts racoleurs, bref elle était à éviter. Ce que j'ai fait.

J'avais pris des places pour son spectacle à Mogador, j'ai demandé l'annulation. Faut pas non plus pousser mémère... :D

J'ai préféré Blanche Gardin trash en 2018 lors de la remise des prix que la "mother fucker" Foresti en 2020.

Par contre pas un mot sur le film de Benjamin. Pas une nomination, pas une allusion. Déçue déçue...

Ah ben non, zut zut, j'ai oublié, "on ne mélange pas la vie privée et la vie professionnelle si elle est publique" ! Tout le monde me l'a pourtant soufflé. Naturellement chacun sait, sauf moi visiblement, que réalisateur de film pour grand public n'est pas une profession... publique. Du reste Mimi Marchand peut en attester.

Ceci dit il serait temps que les "je suis belle et rebelle" tiennent compte de l'avis de Samantha Geimer qui dit qu'elle en a marre que l'on ressasse sans cesse (plus facile à écrire qu'à dire) cette affaire car ça l'empêche de tourner cette page de sa vie depuis... 1977 !

Mais il y aurait d'autres dénonciations de viol par d'autres femmes mais qui n'ont pas eu le courage, ou un papa, ou une maman, pour les aider à porter plainte durant quarante ans !

Admettons, mais personnellement j'ai une citation de MaÎtre Thierry Lévy qui me revient en mémoire :

"Je ne dirai pas que l’accusation n’est pas humaine parce que c’est très humain d’accuser les gens, de les calomnier, de les vilipender.
Ce que je dirai en revanche c’est que dans l’accusation, il y a quelque chose de substantiellement mensonger car on ne peut accuser quelqu’un et surtout le traiter comme une personne irrémédiablement coupable qu’en dissimulant sciemment une partie de la vérité"

Clap de fin !

Aliocha

Il est compréhensible, Marchenoir, qu'étant incapable de nous donner une définition simple, vous soyez à même de faire la différence entre vrai ou faux et bien ou mal, soit la différence entre science et morale.
Pour vous aider, vous comprendrez peut-être que la seconde sert à se cacher, alors que la première révèle, et que notre nouvelle venue est dans la même confusion que vous, que son exigence de transparence ne saurait cacher ce que logiquement elle entraîne, qu'équilibrer la relation homme-femme n'est pas établir une domination féminine ni se venger d'oppression pourtant bien réelle, mais définir ensemble les conditions d'un respect mutuel au bénéfice des deux parties.
Une sorte de contrat que le libéral que vous êtes devrait cautionner.

Charles

"Il fallait, bien entendu, que "les Misérables" obtiennent le César du meilleur film"

Je me disais qu'il faudrait bien entendu que vous disiez pis que pendre de cette cérémonie.
Vous saviez sans doute que vous la honniriez mais vous devez sans doute avoir un caractère profondément masochiste sauf à ce que le plaisir de dire du mal soit plus important que l'obligation de regarder ce spectacle.

Des films que j'ai vus, ce palmarès ne m'a pas semblé irréel. Seul le nombre de nominations de "J'accuse" m'avait un peu surpris car ses qualités ne me semblaient pas si grandes, un bon film sans plus, avec un bon acteur.

anne-marie marson

Florence Foresti est drôle à petites doses.

Sinon, la plupart du temps, elle est insupportable.

Achille

@ revnonausujai | 01 mars 2020 à 17:58

Gamellard, vous avez dit gamellard ?

Mais lorsqu’on prend la carte d’un parti, et surtout lorsqu’on est investi par celui-ci pour le représenter à l’Assemblée nationale, il convient de respecter certaines règles.

1- D’abord vérifier que les idées de ce parti sont bien conformes à ses propres convictions.
2- Ensuite, en particulier lorsque son parti est la majorité, défendre les projets de son parti.
3- En cas de désaccord avec une décision de son parti (et donc du gouvernement si ce parti est la majorité), discuter en interne avec la direction de son parti et surtout ne pas claironner ce désaccord devant les médias, histoire de se faire mousser.

La discipline est la base de toute organisation bien structurée. Elle est le gage de son efficacité. Sans elle un parti est condamné à jouer les seconds rôles, voire à disparaître. Nous avons pu le voir dernièrement avec le comportement des « frondeurs » qui ont conduit le PS à se ridiculiser lors de la dernière élection présidentielle de 2017.
Il est toujours possible pour un militant de quitter son parti s’il sent qu’il n’est plus en phase avec ce qu’il propose. Il se déclare alors en candidat sans étiquette, il crée son propre mouvement, le cas échéant il va rejoindre un autre parti comme par exemple Thierry Mariani…

Tomas

@ hameau dans les nuages

Pourquoi perdez-vous du temps à me répondre (je n'appelle pas ça contredire, il vous faudrait des arguments pour cela) ?

Je pense savoir ce que vous pensez du sujet et réciproquement j'imagine, et je ne suis pas là pour vous écouter raconter vos malheurs.

C'est perte de temps, comme l'a d'ailleurs récemment rappelé M. Bilger.

Valéry

On peut résumer la soirée des César comme ceci: les mêmes qui ont vociféré, vitupéré et exigé l'interdiction des ondes pour Zemmour - pour avoir été condamné pour des propos -, les mêmes qui quittent la salle à tour de rôle pour protester contre Polanski, ce sont bien les mêmes qui feront une standing ovation à Ladj Ly, condamné pour outrage à répétition contre les forces de l'ordre, puis à de la prison ferme (3 ans !) pour enlèvement et séquestration, à la suite desquels la victime s'est trouvée avec des séquelles physiques permanentes.

Vous vouliez savoir pourquoi le gauchisme est devenu une maladie mentale, ne cherchez pas plus loin :

https://i.ytimg.com/vi/ecE0Vb1IV6k/maxresdefault.jpg

revnonausujai

@ Achille 10h50

Je ne parlais pas spécialement du 49.3, épée de Damoclès nécessaire pour maintenir aux ordres une majorité rétive ; d'ailleurs l'intensité dramatique m'en apparaît largement surfaite, l'enchaînement des péripéties étant évident ; il y aura une ou deux motions de censure, les oppositions la voteront et la "fameuse" aile gauche de LREM, ou du moins les moins gamellards de ses membres, s'abstiendront, ce qui entraînera l'échec de ladite censure, bref, même pas un polar de gare à cent sous !

Non, mon hors-sujet portait sur l'action gouvernementale face à la menace virale ; cette action se résume à deux caractéristiques: trop peu, trop tard.
Hélas, ça semble une constante et cela me conforte dans mon rejet de la secte macronesque ; peu me chaut que ce rejet soit qualifié de primaire, secondaire ou supérieur !

Trekker

@ Mary Preud'homme | 29 février 2020 à 19:25
"Ce qui manifestement n'a pas été du goût de quelques starlettes ambitieuses, lesquelles majeures et censées, elles, être consentantes et arguant de leur charme pour se faire introniser par Polanski, n'ont pas supporté d'être finalement écartées faute de talent... Et ne pensant alors qu'à se venger de leur déconvenue par tout moyen, ont accusé Polanski des pires turpitudes, dont elles se seraient néanmoins accommodées si elles s'étaient traduites pour elles en retombées juteuses de carrière ou un intérêt quelconque ?"

Totalement d’accord avec votre propos. Comment donner une crédibilité et une telle aura médiatique à ces starlettes prêtes à tout pour leur célébrité ! L’hypocrite puritanisme US est dorénavant ancré dans notre société…

Tipaza

@ Anwen | 01 mars 2020 à 09:05
"Il faut maintenant, aux femmes, un effort de volonté pour remonter la pente descendue par leurs aïeules"

Bravo, allez-y, continuez !
"Il n'y a pas d'efforts inutiles, Sisyphe se faisait des muscles." (Roger Caillois)

PS: je partage l'opinion de Robert Marchenoir | 01 mars 2020 à 13:53, mais la retenue de paroles imposée par l'Ordre cistercien m'empêche d'en dire plus.

Robert Marchenoir

@ Anwen | 01 mars 2020 à 09:05
"Il n'est plus temps de tergiverser, il faut aller droit au but, sans hésitations et sans défaillances. Et ce but c'est : la vérité absolue et la justice intégrale."

Sainte Juste, I presume ?

Entre les gaullistes appelant au gouvernement des Purs et les féministes appelant à la justice intégrale, on est mal barrés, sur ce blog... Quand on voit, déjà, ce que donne la justice partielle infligée par les tenants du politiquement correct, on frémit d'imaginer ce que pourrait être la justice intégrale dispensée par les mêmes...

"Il dépend des femmes d'amener [les hommes] à faire, avec elles, la brillante rénovation dont elles ont rêvé, et de conjurer la crise morale qui s'accentue de jour en jour, en marchant avec franchise et résolution dans le Bien, en ayant toutes les audaces contre le Mal."

Zut, on a touché la soeur d'Aliocha. Comme si un échantillon de la famille n'était pas suffisant...

"Il faut maintenant, aux femmes, un effort de volonté pour remonter la pente descendue par leurs aïeules ; il faut qu'elles renoncent aux anciens systèmes qu'employaient les femmes faibles, qu'elles renoncent aux petites ruses, aux obliques détours, aux équivoques."

Oui, enfin il faut que les femmes cessent d'être des femmes. On avait bien compris.

Je les préfère féminines, désolé. Et nous sommes quelques-uns, je dois vous prévenir.

Serge HIREL

Quelle soirée extraordinaire !
Foresti, déjà sur le déclin, outrageusement « popu », grossière, vulgaire, sans talent ;
« Ecoeurée », le nouveau hashtag star, qui deviendra viral type « Charlie » ;
Darroussin, acteur reconnu, qui ânonne et trébuche sciemment sur le nom de Polanski ;
Polanski, le paria, absent, mais tellement omniprésent ;
Riester, l’ange protecteur, qui se prend une baffe... méritée ;
Adèle Haenel, gamine quelconque en colère ;
Ladj Ly, ex-taulard, qui vole Hugo et dénonce la « misère » en smoking ;
Fanny Ardant, qui rejoint Bardot et Deneuve au panthéon des femmes libres ;
La salle Pleyel, nouvelle salle des assises, où ne manquait que la guillotine.

...Et tous ces pantins qui se disent artistes et ne sont que des intermittents à la recherche d’une gloire éphémère.
J’ai honte pour le cinéma français, pour tous ses grands réalisateurs, tous ses immenses acteurs. Où étaient vendredi soir les Carné, Truffaut, Chabrol, Audiard, Resnais, Godard, Gabin, Guitry, Fernandel, de Funès, Noiret, Montand, Blier, Serrault, Delon, Belmondo, Darrieux, Arletty, Piaf, Moreau, Morgan, Signoret, Girardot, Dorléac... et combien d’autres ? Cette piétaille a-t-elle seulement pensé à ses pères ?

Cette « cérémonie » n’était pas digne de l’art qu’elle prétendait illustrer. Et l’objectif de ses fondateurs - rivaliser avec les Oscars américains - ne sera jamais atteint. Mieux vaudrait qu’elle soit la dernière.
En fait, cette médiocrité s’explique: elle reflète au mieux celle du cinéma français d’aujourd’hui. Chaque année, un peu plus de deux cents films sont produits, et seuls cinq ou six - dont des navets au plan culturel, type « Bienvenue chez les Ch’tis » - attirent plus de deux millions de spectateurs. Si elles étaient financées exclusivement par des capitaux privés, la majeure partie de ces « œuvres » n’existerait pas... et le monde ne s’en porterait pas plus mal.

Mais la gent « artistique » a le verbe haut et fort... et ses entrées rue de Valois, quel que soit le locataire. L’Etat, sans le clamer, se montre généreux et, respect de la liberté du créateur oblige, ne fait pas de tri entre les dossiers sur le seul critère qui pourtant vaille: la qualité du projet artistique. Via le CNC et France Télévisions, l’argent public ruisselle et malheur à celui qui ose se démarquer du troupeau et ne pas se prosterner devant le veau d’or: l’idéologie gauchiste.

Avez-vous remarqué néanmoins que les Français ne sont pas dupes ? On annonce à grands renforts de satisfecit que le nombre de spectateurs dans les cinémas ne diminue pas. Environ deux millions par an (213 en 2019). Mais on oublie souvent d’ajouter que le pourcentage de ceux qui visionnent un film français se réduit comme peau de chagrin (44,5 % en 2014, 39,3 % en 2018, 35 % en 2019).
Les grands favoris sont les films américains (55,2 % des spectateurs en 2019), qu’ils soient des « blockbusters » hollywoodiens à grand spectacle ou des œuvres des studios indépendants, un secteur en progression outre-Atlantique, quand le film d’auteur reste le parent très pauvre en France, faute de soutien sérieux aux ciné-clubs.

Les Américains ne pourraient-ils pas, un de ces jours, se fâcher quand ils s’apercevront qu’ils financent des productions franco-françaises, via la taxe prélevée par le CNC sur chaque billet d’entrée ? Certes, les films américains tournés en partie en France bénéficient d’une incitation fiscale généreuse, mais son montant global n’est pas à la hauteur des recettes de cette taxe provenant de leurs succès en salle... Quant à la balance export-import de notre industrie du cinéma, inutile d’être un comptable hors pair pour déterminer le gagnant...

Il me semble dans ces conditions que les happy few de la salle Pleyel, non seulement auraient dû éviter de se prendre pour des juges au pénal, mais se taire en raison de la présomption d’innocence, et aussi congratuler chaleureusement Polanski, qui méritait cette récompense et fait honneur au cinéma français.
Sa vie privée ne regarde que lui... et les magistrats, si nécessaire. Il est vrai que dans ce milieu plutôt glauque, on l’utilise sans sourciller pour faire la « une » de la presse people... De quoi être... écoeuré.

Michel Deluré

La litanie des remerciements invariablement débitée par chaque primé(e) et les immanquables doléances exprimées lors de cette cérémonie, au point d'en constituer ses signes particuliers, m'ont depuis très longtemps déjà détourné de ce fastidieux rituel.
Et si jamais l'envie m'était venue cette année de remordre à l'hameçon, les circonstances particulières entourant cet événement m'en aurait vite dissuadé car tous les ingrédients étaient réunis pour qu'il subisse le sort que l'on connaît.

Ce n'est pas cette année une œuvre que cette cérémonie a honorée, ce qui était pourtant son objet, c'est un homme qu'elle a jugé.
Or, la question n'était pas de savoir si cette œuvre, parce que son auteur en est un être peu respectable par certains aspects de sa vie, ne devait pas être primée. Elle était de savoir si objectivement elle était bien la meilleure et méritait donc à ce titre, elle et elle seule, d'être récompensée.
Refuse-t-on à un délinquant qui passe son bac alors qu'il est incarcéré et le réussit, de lui délivrer ce diplôme au seul motif qu'il a été jugé et condamné ?
A l'inverse, que de commentaires et de protestations aurions-nous probablement entendus si cette œuvre, qui compte tout de même dans la filmographie 2019, avait été écartée et oubliée de cette sélection !

Je n'ai aucune sympathie pour l'homme Polanski s'il est effectivement celui qui est l'auteur des faits qui lui sont reprochés. Je condamne même très fermement ce comportement de prédateur et souhaiterait qu'il soit sanctionné et je n'en comprends que mieux les réactions indignées de certain(e)s. Mais cela est l'affaire de la justice.
Sachons détacher les qualités de l'oeuvre des perversions de son auteur.

Vamonos

L'affaire Dreyfus continue de créer des clivages 120 ans après le début de sa médiatisation. L'Aurore était le nom du journal dans lequel est paru le manifeste de Zola. La vérité est sortie du puits, elle n'y est jamais retournée. Le choix du réalisateur Polanski incombe à des décideurs qui ont choisi de confier ce scénario clivant à un réalisateur à l'aura sulfureuse. Bingo, ils ont eu l'oscar ce qui signifie des centaines de milliers de spectateurs en plus et du pognon, du bon gros pognon.

Encore un mot sur Polanski, la justice américaine n'est pas la même que la nôtre. L'affaire est close au civil mais pas au niveau fédéral. Comme en plus la victime a reconnu avoir été indemnisée et qu'elle a admis les faits, Polanski a du souci à se faire au cas où il retournerait sur le sol de la bannière étoilée.

jack

Est-ce que ceux qui boycottent Polanski ferment la radio lorsqu'elle diffuse les chansons de Michael Jackson ?

Achille

@ revnonausujai | 01 mars 2020 à 09:16

Le PM a appliqué le 49.3 et, comme c’est la coutume dans ces cas-là, l’opposition va déposer une motion de censure. Opposition de gauche (PS, LFI, PCF) et de droite (RN, DVD, les « durs » de LR).
Peut-être même que l’aile gauche de LREM se joindra à elle, ainsi que ceux qui se sont déjà dissociés du parti.
Cela fait du monde. Le gouvernement risque de chuter et la réforme des retraites remise en cause.

Le 49.3 même s’il est critiquable sur le principe a le mérite de permettre à la majorité de mener les réformes qu’elle estime nécessaires pour la France et pour laquelle elle a été élue.
Supprimer cet article de la Constitution, ainsi que Mélenchon et sa clique le souhaiteraient, c’est revenir au régime des partis de la IVe République avec pour effet un gouvernement qui change tous les six mois.
Pas sûr que la démocratie en sortirait grandie et que les Français seraient gagnants de ce retour au foutoir politique des années 50.
Wait and see !

Ruth

Et notre hôte a oublié l'éprouvant monologue décousu d'Aïssa Maïga : avec sa robe peu seyante, pendant plus de cinq longues minutes, celle qui était venue remettre un prix s'est lancée dans un monologue assez confus et déplaisant, d'où il ressortait une forme de racisme anti-blancs, en toute bonne conscience, dans l'air du temps et de la doxa gooochiste de Saint-Germain-des-Prés.
Un moment fort pénible.

Quant à Florence Foresti, ne remontant pas sur scène pour conclure la cérémonie car se disant "courageusement" sur Instagram "écoeurée" du césar de Roman Polanski, c'était tout aussi lamentable. Ce film était nommé et pouvait donc le recevoir. Si cette perspective lui répugnait tant, il fallait se retirer AVANT. Mais le cachet sans doute conséquent et l'exposition médiatique bienvenue ont dû bloquer sa réflexion jusqu'au tout dernier moment...

Je recommande à ceux qui ne l'ont pas encore vu de se rendre à "J'accuse". Depuis des décennies, Roman Polanski est un réalisateur de grand talent.

Et je hais les actes qu'il a commis et largement reconnus.

Lodi

@ Anwen
"Il faut maintenant, aux femmes, un effort de volonté pour remonter la pente descendue par leurs aïeules ; il faut qu'elles renoncent aux anciens systèmes qu'employaient les femmes faibles, qu'elles renoncent aux petites ruses, aux obliques détours, aux équivoques."

Vous avez raison. Mais beaucoup de femelles, de même que de mâles, ne sont bonnes qu'à une chose : relativiser la liberté.
Et attaquer au hasard qui la défend. Par exemple, si quelqu'un défend les femmes, s'adresser à cette personne comme à une femme.

Comme ça, si c'est une femme évadée de deuxième division, de sa cage, elle y retourne promptement, si c'est un homme solidaire, il est conduit à laisser nier une part de son identité ou à dire qu'il n'est certes pas une femme, ces créatures justement rabaissées puisqu'elles ne sont jamais capables que de rendre le bien pour le mal.
Parce qu'il faut bien dire que comme bien des faibles de nos jours, comme trop d'immigrés par exemple, gratitude, connais pas. C'est vrai, les femmes ont longtemps rampé devant les hommes, mais nuisent à ceux qui ne sont pas dégue*lasses avec eux dès qu'elles le peuvent.

Les ruses minables de séduction, je me montre tant et plus mais je ne couche pas pour rendre l'autre dépendant en le faisant attendre...

...parce que si l'homme va ailleurs, c'est un crime.
Entre violer les gens et les attendre en étant leur captif, il y a l'attitude civilisée, à mon avis.

De justice.
Imaginons qu'on soit à table.
Celui qui a faim finit son assiette voire se ressert, celui qui n'a pas faim s'arrête.
Aucun ne dicte sa conduite à l'autre.
Le sexe est cet instinct où chacun se sent légitime de commander le partenaire. Infect, si des asexuels nous lisent, j'espère qu'ils en ont bien conscience, et sauf l'amour, qui fait tout faire, comprennent bien qu'il est des plus superflus voire dégradants de descendre dans cette arène.

Mais il y a pire !
Quand un des partenaires oblige l'autre dans le domaine de la reproduction. Or puisque nous en sommes aux sournoiseries des femmes, certaines font un enfant dans le dos des hommes.
La preuve est difficile à établir, bien sûr.

https://www.marieclaire.fr/,couple-je-lui-ai-fait-un-enfant-dans-le-dos,20296,16561.asp

Il y a, c'est vrai, la question de l'horloge biologique.
Mais sans en exagérer les espoirs, il existe une solution :

https://www.santemagazine.fr/actualites/congelation-dovocytes-des-gynecologues-rappellent-le-risque-dechec-333049

Shadok

150 000 Catalans ont chanté leur hymne hier à Perpignan, ils ont bravé la grippe espagnole, superbe !

Shadok

@ stephane | 01 mars 2020 à 08:04

Bravo, c'est excellent !
Pour le reste, à Cannes rien de nouveau: réunion célébrant le culte du c*l et du fric ; berk, ça pue de plus en plus, réunion pour pédophiles et cinglés.

PR CALGUÈS

César: informe bout de ferraille imitant un Oscar, remis lors d'un raout de congratulations entre professionnels et bisounours nombrilistes du cinéma français scandaleusement subventionnés.

hameau dans les nuages

@ Tomas
"Monsieur Bilger
Avez-vous vu les Misérables ? J'ai vu le court métrage, il était remarquable et criant de vérité. Ne vous en déplaise, la part du déterminisme social et économique est déterminante dans le passage à la délinquance et au crime"

Très drôle ! Ce déterminisme social est tellement prégnant qu'en ce moment des émeutes se déroulent en Grèce face à l'assaut de personnes qui aimeraient bien goûter à nos valeurs (en monnaie sonnante et trébuchante).
Dites-nous tout. Votre belle-famille en est originaire ?

sylvain

Pas plus tard qu'aujourd'hui et à partir de dorénavant, je dissocierai l'oeuvre du peintre Hitler de l'homme qu'il était au pouvoir.
Hitler aurait eu un César à Cannes s'il avait été comédien dissocié.
Dissocions, dissocions ! Tiens, tout à coup j'ai comme une envie de saucisson !

sylvain

Un immense César à Nadine Morano qui a envoyé bouler Aïssa Maïga qui a odieusement profité de son passage sur scène pour vomir son racisme antiblancs ; bravo à ce tweet merveilleux qui l'invite à repartir si la France ne lui convient pas.

Pas un seul participant n'a osé s'insurger et l'envoyer paître, tous coincés de trouille sur leurs sièges, en bons islamogauchistes.

Pour ceux qui soutiennent Popolanski, s'ils faisaient partie d'un jury de la meilleure boulangerie, iraient-ils récompenser leur boulanger pour la qualité de son pain s'il avait violé leurs filles ? c'est ce qui s' est passé à Cannes : l'horreur césarisée.
Ce milieu pourri jusqu'à la moelle n'a aucune éthique, aucune déontologie, il sent le racisme antiblancs, le gauchisme extrême, l'apologie criminelle gauchiste.

revnonausujai

@ Achille

Comment être à la fois lucide et clairvoyant hors du sujet politique et délirer totalement dès lors que le foutriquet et ses sbires sont en cause !
Dr Achille et Mr Hyde !

Petit hors-sujet, quoique ! La dernière du Premier sinistre : "On ne peut pas empêcher les virus de passer les frontières" !
Ben non, pauvre tache, les virus ne passent pas les frontières tout seuls grâce à leurs mollets hypertrophiés, ce sont les porteurs de virus qui les passent ; même si le barrage n'est pas cent pour cent étanche, tous ceux qui seront bloqués ne créeront pas de foyers d'infection sur le territoire ; autant de soucis en moins pour les services sanitaires.
On savait déjà que ce gouvernement se composait de branquignols bons à rien, Averell démontre que ce sont d'abord des crapules assassines !

Anwen

La lettre vs l'esprit.
« Quand tout se fait petit, femmes vous restez grandes » a écrit Victor Hugo.
Les hommes, actuellement, sont encore indécis sur le parti à prendre vis-à-vis de la femme.
Il dépend des femmes de les amener à faire, avec elles, la brillante rénovation dont elles ont rêvé, et de conjurer la crise morale qui s'accentue de jour en jour, en marchant avec franchise et résolution dans le Bien, en ayant toutes les audaces contre le Mal. L'ère des concessions est passée, elles ont fait sombrer l'humanité dans la dégénérescence des peuples. Il faut maintenant, aux femmes, un effort de volonté pour remonter la pente descendue par leurs aïeules ; il faut qu'elles renoncent aux anciens systèmes qu'employaient les femmes faibles, qu'elles renoncent aux petites ruses, aux obliques détours, aux équivoques.
Il n'est plus temps de tergiverser, il faut aller droit au but, sans hésitations et sans défaillances.
Et ce but c'est : la vérité absolue et la justice intégrale.

Achille

@ Patrice Charoulet | 29 février 2020 à 22:02

Petit récapitulatif sur l’utilisation du 49.3 sous la Ve République :

Debré 4 fois, Pompidou 6 fois, Barre 8 fois, Mauroy 7 fois, Fabius 4 fois, Chirac 8 fois, Rocard 28 fois, Cresson 8 fois, Bérégovoy 3 fois, Balladur 1 fois, Juppé 2 fois, Raffarin 2 fois, Villepin 1 fois, Valls 6 fois.

1- On notera que Barre et Chirac ont utilisé 8 fois le 49.3 (plus que Valls).
2- Que J-L Mélenchon qui pousse des cries d’orfraie suite à l’application du 49.3 par le PM était ministre de Michel Rocard qui l'a utilisé 28 fois et même un de ses plus fidèles soutiens. On ne l'a pas beaucoup entendu s'indigner à l'époque. :)

Zonzon

@ breizmabro 29 février à 21 h 15, à 22 h 08
« En même temps comme dit l'autre, tous ces jeunes députés LREM qui ont de jeunes enfants… »

Qui ont de jeunes enfants ou qui sont de jeunes enfants ?

« Du coup ni Foresti, ni Adèle H(aenel) n'ont rien eu à dire sur ce personnage tout de même assez dangereux pour les femmes puisqu'il est pour l'application de la charia (genre pas de b..se en dehors du mariage).
Vous avez raison Foresti et Adèle H., l'application de la charia ce sera plus cool pour vous. »

Dans le fond, Cannes 2020, c'était pas autre chose que de l'attaque-y-a !

Pour ce qui me concerne, de répéter toujours la même chose sans avoir le sentiment d'être saisi, je commence à fatiguer.
Et puis je m'en moque un peu, j'ai encore une petite chance, vu mon âge, de mourir en Chrétienté !

Note. Dites-moi, Adèle H c'était pas un film ça, un film du temps où le cinéma français existait encore… l'Adjani (encore une arabe celle-là), la belle Adjani qui s'était barrée de la Comédie-Française, avec tous ces pédés qui y nichaient !

Tiens je me la rappelle sautillante, mutine, infante, comme si c'était hier, dans Ondine avec Jean-Luc Boutté, le malheureux qui nous a vite quittés… ces deux-là ils étaient beaux comme des Dieux !

C'était en 74, la vache ! Cinquante ans ! 74, Giscard, le premier Souhmis, le commencement de la dégringolade, le début de l'arabisation… qui ne s'arrêtera plus…

Allez, bon dimanche petite.

stephane

Et le César 2021 du meilleur court métrage est attribué à Benjamin Griveaux pour « la Débandade ».

Tipaza

Puisque tout est politique, sachons tirer la leçon politique de l'oscar mérité de Polanski.
C'est une superbe gifle pour Boboland et la bobocratie.
Le politiquement correct à la pudibonderie orientée et sélective, selon que vous serez un mâle blanc ou immigré, le féminisme agressif et hargneux, les pèlerins de l'éternelle repentance, ont subi une défaite.

Certes leur défaite n'a pas été totale puisque "les Misérables" ont obtenu une injuste récompense. Il faut bien que la doxa ait son injuste dû, mais enfin, tout n'est pas encore complètement gangrené dans le monde de l'audiovisuel.

C'est une bonne nouvelle puisque ce milieu avec celui des médias formate l'opinion et influence les élections, les vraies, celles où se décide notre avenir.
Allons, la partie n'est pas complètement perdue pour 2022, d'ailleurs il n'est de bataille perdue que celle que l'on n'a pas menée.

stephane

Qui vote aux César ?
A Dieppe on en connaît un qui vote depuis des années et on va peut-être enfin finir par savoir pour qui, mais aux César ?

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