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24 mars 2020

Commentaires

Achille

Évolution du coronavirus dans les pays les plus touchés.

Impressionnant !
On notera au passage que la France n’est pas le pays le plus touché.

hameau dans les nuages

Le confinement et la (belle) vie.

Dégoûté, écoeuré, je ne sais plus quoi dire. Une pensée pour nos agriculteurs(trices) retraitées. Mon épouse a 280 euros de retraite agricole pour avoir cotisé vingt ans. On va paraît-il nous choyer maintenant alors que l'on nous disait superflus (suivez mon regard)...

Ecoutez bien, surtout la fin, ce n'est pas long.

https://www.facebook.com/kalune.musique/videos/241703910549801/

Julien WEINZAEPFLEN

@ Serge HIREL 26 mars 2020
"A l’époque (de la grippe espagnole), sans masque, aucune mesure de confinement n’avait été prise... les autorités ayant préféré sauver l’économie plutôt que la vie."

Vous énoncez là l'idée qu'a avancée Laurent Alexandre, le défenseur en France de l'intelligence artificielle, qui voit un progrès de la civilisation dans ce choix de la vie au risque de laisser survenir une crise économique qui ne fait plus de doute après cette psychose virale et mondiale.

Je me méfie toujours quand un homme qui ne jure que par la technique me montre un progrès de l'humanité. Mon esprit simple a tendance à croire à une opposition un peu systématique entre l'homme et la machine.

Il y a deux choses à objecter à Laurent Alexandre et vous avez élevé la première objection. Sauf s'il continue de mourir chaque jour 30 % de plus de personnes du coronavirus en France que la veille et que la mortalité due à cette maladie ne suive pas une courbe avec sa montée, son pic et sa descente, les maladies qui affectent l'humanité depuis la nuit des temps, sans compter les fléaux dus au mauvais usage que les hommes font des biens et de la vie, font plus de morts que ce virus contre lequel nous serions en guerre totale.

Or on ne meurt pas que du coronavirus et je frémis de connaître, après la crise, le ratio des morts du coronavirus qu'on aura évités par rapport aux morts qu'on aura provoquées par absence de soins et tri des malades, toutes pratiques qui se faisaient sous le manteau, mais qu'on n'a plus peur d'exposer ni honte d'avouer, à l'heure de la réquisition des hôpitaux et des services de réanimation pour soigner les malades de cette unique pandémie.

Mais qu'on préfère faire moins de morts d'une maladie contagieuse que de sauver l'économie n'est qu'un progrès apparent de la civilisation. Jusqu'à l'apparition du coronavirus, on ne disait pas que la grippe espagnole avait provoqué plus de morts que la guerre de 14, parce qu'on distinguait ce qui relevait de la malveillance de l'être humain, les crimes de guerre, de ce qui était imputable à la nature à quoi l'homme ne peut pas grand-chose : les morts des maladies, des virus et des pandémies.

Il n'y a donc pas un progrès de l'humanisme, mais de l'individualisme à sauver des vies en isolant la cause de leur mort plutôt que l'économie qui suppose une activité des vivants au service des vivants. Ce que montre ce changement de paradigme salué par un croyant de l'intelligence artificielle comme Laurent Alexandre, c'est que nous avons peur de la mort et que nous n'osons plus la regarder en face.

À cela s'ajoute ce que dit Lodi: la personne du président de la République est un obstacle à son message. Jean-Gilles Malliarakis a posé le problème de manière amusante dans sa dernière chronique de "L'Insolent": pourquoi la cote de popularité de Macron remonte-t-elle en même temps que celle de Didier Raoult et que, même s'ils se parlent, les deux apparaissent aux antipodes ? J.G. Malliarakis citait le chanoine Kir qui prétendait après-guerre que Dijon était la troisième ville de France, car si l'on comptait ceux qui étaient venus saluer le maréchal Pétain et ceux qui étaient venus rendre les honneurs au général de Gaulle, on arrivait au niveau de population se déplaçant de la troisième ville de France, le facétieux chanoine feignant naturellement de croire que les deux foules n'étaient pas composées des mêmes Bourguignons.

Je prie que l'on m'excuse si ma comparaison choque. Mais Emmanuel Macron est en passe d'apparaître aux Français comme le collaborateur du coronavirus tandis que Didier Raoult s'affiche comme celui qui lui résiste et qu'on empêche de le soigner.

Emmanuel Macron a fait ressurgir la rhétorique guerrière, mais il croit utile de se référer de préférence à la guerre de 14 ("c'est Clemenceau dans les tranchées", "l'État paiera" ou la comparaison implicite avec la grippe espagnole) pour faire reculer les années 30. La manœuvre pourrait en outre réussir à le maintenir au pouvoir, car à qui confier la remise en ordre de l'économie, sinon à celui qui l'a mise à terre? Macron prétendra se maintenir contre l'aventurisme après avoir jeté le pays dans une crise aventureuse.

En attendant, il exige qu'on ne lui demande de comptes qu'après que la crise sera soldée. C'est ici que la comparaison avec la Seconde Guerre mondiale reprend du service et de la pertinence. Car à l'époque des nazis, on prétendait ne pas savoir où étaient déportés les juifs et ce qui se passait dans les camps. Ne pas convoquer le mal absolu. Certes, d'autant que ce que nous vivons me paraît davantage relever des théories d'Emmanuel Goldstein dans "1984" que des remugles de la guerre. Mais comment comprendre le refus de soigner les malades pour limiter les dégâts du virus avec un médicament antipaludéen qui a fait ses preuves d'efficacité, de faibles effets secondaires, des risques cardiaques limités, et qui était en vente libre jusqu'il y a un an ou deux? Pourquoi ne pas se diriger vers le fait de tester et de masquer tout le monde et de ne confiner que les malades, selon ce que préconise l'OMS ? Le gouvernement fait comme s'il n'y pensait même pas. Comment expliquer ce confinement foutraque où l'on interdit aux gens de se balader dans les parcs et en forêt pour confiner le virus à l'intérieur de la ville, mais où l'on recrute en masse des ouvriers agricoles, sans compter ceux qui devraient sans formation aller aider dans les hôpitaux engorgés ? Qu'est-ce que ce confinement où ni les caissières ni les policiers ne portent de masque et où l'on peut continuer de voyager dans les transports en commun où l'on se tasse ou en avion ?

Si le maréchal Pétain avait promulgué la constitution pour laquelle le parlement lui avait donné les pleins pouvoirs en même temps qu'il avait mission d'entamer les pourparlers avec les Allemands, constitution qui n'était pas qu'une diversion politique, sans doute n'aurait-il pas pu collaborer comme il l'a fait. Macron prétend gouverner seul en s'appuyant sur un parlement croupion et sur une majorité dont on a vu la servilité.

Une amie me disait cet après-midi que le coronavirus était en train de saper les trois piliers sur lesquels était fondé notre modèle social: notre confiance en la technique, une économie libérale et les libertés individuelles. Le coronavirus joue ici comme un accélérateur de l'autodestruction des sociétés occidentales, fatiguées d'être libres, saturées d'être riches. dommage, j'aimais bien le monde dans lequel je suis né et ce n'est pas parce que je n'ai pas d'enfants que je n'aurais pas souhaité laisser un monde meilleur aux enfants des autres.

Lucile

@ Serge HIREL
"Même la grippe, son aïeul peu redouté, parvient, bon an mal an, à un bilan qui ne devra plus être négligé : environ 10 000 morts".

Ce chiffre donné partout est invraisemblable. Il est sans doute brandi pour pousser les gens à se faire vacciner.

Dans un article passionnant de Contrepoints sur la confiance que l'on peut accorder aux données sur le Coronavirus, l'auteur écrit : "Selon une étude à l’échelle mondiale de la grippe saisonnière (…) la grippe conduit à des complications pulmonaires chez de nombreux patients dont huit ou dix millions finissent à l’hôpital et dont 145 000 sont morts en 2017.

Selon Santé Publique France, 14 000 personnes seraient mortes en France la même année ! Pourtant, la France, c’est 1 % de la population mondiale, alors, le chiffre de 14 000 morts de la grippe en France en 2017 ne peut sortir que de la tête de gens qui ne réfléchissent pas du tout. 1 % de 145 000, ça fait 1450, pas 14 000 ! Ou alors, il faut expliquer pourquoi la grippe tue dix fois plus en France que dans le reste du monde !

De plus, en France, selon l’Institut national d’études démographiques (INED), le taux de mortalité de la grippe est d’un peu moins de 1 pour 100 000 habitants (soit moins de 600 morts par an). Ce taux a baissé considérablement au cours des cinq dernières décennies à mesure que le vaccin se généralise et que les réanimations se modernisent.
Sur six millions de malades, cela nous donne environ 0,01 % de taux de létalité pour la grippe en France.

https://www.contrepoints.org/2020/03/21/367049-covid-19-peut-on-faire-confiance-aux-donnees

Donc autant l'étude mentionnée que les travaux de l'INED conduisent à penser que le chiffre réel tourne autour de 600.

F68.10

@ Lodi
"Mon excuse sans en dire plus, on peut, sans le faire exprès, conseiller aux gens de s'affirmer et qu'ils plient devant vous tant on met d'ardeur à les encourager et d'écoute à leur problème. Comme si son énergie dévorait la leur, c'est fulgurant. Alors on n'est jamais trop prudent."

Alors rassurez-vous: j'ai toujours refusé de plier (non que je n'y ai toujours réussi, mais c'est une autre histoire).

"Le malentendu sur le malentendu me paraît une idée à exploiter. Comme quoi, on trouve toujours une petite surprise, comme le corbeau se servant d'outil pour fabriquer un autre outil."

J'imagine que vous faites référence aux capacités d'apprentissage de l'utilisation des outils par les corbeaux. On a des phénomènes similaires avec les poulpes et l'intelligence artificielle moderne.

Mais oui, je crois que nous divergions sur ce qui relevait du malentendu ou pas.

Serge HIREL

Comparé aux mesures prises dans certains pays, notamment asiatiques, qui, bien qu’ils aient été plus vite touchés que nous par le Covi-19, s’y étaient infiniment mieux préparés, il n’est pas exagéré de dire que le confinement à la française est une méthode de combat probablement efficace, mais qui date d’un lointain passé...

Retour au Moyen Âge ? Pas tout à fait cependant, ni sur le plan sanitaire, ni sur celui des contraintes imposées à la population. Nous en sommes à la « distanciation sociale » sous peine d’amende, pas à l’isolement forcé sous peine de mort.

Que ce confinement qui va se prolonger soit plus difficile à supporter pour certains que pour d’autres, c’est un fait. Mais, dans « la vraie vie » - celle d’avant et après le coronavirus -, les conditions d’existence étaient et seront-elles les mêmes pour tous ? En fait, rien ne change ces jours-ci, sinon que le fossé entre les nantis et les pauvres s’approfondit. Il est plus facile intellectuellement de remplacer un dîner en ville par la lecture d’un bon bouquin dans son meilleur fauteuil que de se morfondre en se préparant à un avenir encore plus morose dans un appartement déjà trop petit quand les enfants sont à l’école...

Bref, déjà un tantinet mensongère, notre belle devise nationale, pour l’instant, s’est quelque peu étiolée.

Liberté : hors celle de penser et de s’exprimer, il en reste une pincée que l’on s’administre à soi-même grâce à l’« autorisation de sortie ».

Egalité : elle est encore moins réelle que d’habitude.

Fraternité : oui... à condition qu’on oublie le rejet des « Parisiens » et qu’on ne retienne que ces applaudissements qui remercient les soignants... et qui devraient aussi s’adresser à tous ceux qui, au risque d’être contaminés, assurent leur tâche, modeste parfois, mais essentielle au maintien d’une qualité de vie minimum.

Face à la sinistrose, attisée par les chaînes info qui se complaisent dans la morbidité et les querelles entre les « sachants », essayons de positiver... Pensons à demain... Imaginons que le coronavirus aura bonifié notre société et que le peuple, enfin libre et fraternel, comme en 1789, demandera et obtiendra des comptes de la part de ceux qui, sans insouciance ou par intérêt, l’ont laissé entrer et s’installer, faute de masques, de tests et de riposte rapide. On n’échappe au réel que par le rêve...

Tout en partageant la douleur des familles qui perdent un être cher dans les conditions douloureuses imposées par le confinement, essayons aussi de relativiser ces statistiques inquiétantes et de conserver espoir. Certes, le Covid-19 est un serial killer. Pour l’heure, il tue entre 200 et 300 personnes par jour en France... Mais ses comparses - les cancers, les maladies cardiovasculaires, les accidents -, aidés souvent par le tabac, l’alcool et les excès, fauchent, depuis des années, chaque jour, plus de 1 600 personnes... sans provoquer d’émoi particulier. Même la grippe, son aïeul peu redouté, parvient, bon an mal an, à un bilan qui ne devra plus être négligé : environ 10 000 morts. Et souvenons-nous qu’en 1918-1919, la « grippe espagnole » a fait 50 millions de victimes dans le monde, dont 240 000 en France. A l’époque, sans masque, aucune mesure de confinement n’avait été prise... les autorités ayant préféré sauver l’économie plutôt que la vie. Ce n’est pas le cas aujourd’hui.

Lodi

@ F68.10

Mon excuse sans en dire plus, on peut, sans le faire exprès, conseiller aux gens de s'affirmer et qu'ils plient devant vous tant on met d'ardeur à les encourager et d'écoute à leur problème.
Comme si son énergie dévorait la leur, c'est fulgurant. Alors on n'est jamais trop prudent.

Le malentendu sur le malentendu me paraît une idée à exploiter. Comme quoi, on trouve toujours une petite surprise, comme le corbeau se servant d'outil pour fabriquer un autre outil.

Pierre Blanchard

Grand-duc d'Europe confinée !

Confinés nous sommes (envoyé par un ami)

Bonjour à toutes et tous les confiné(e)s

j'espère que vous vous portez bien

profitez de votre temps libre pour visionner les webcams

pensez à la patience des femelles grand-duc qui couvent...

autant confinées que nous... Et même plus !

c'est du direct, donc à voir en fin de journée ou le matin tôt

;-)

pour observer plus d'activités

http://uhu.webcam.pixtura.de/?AktuelleSeite=0

https://www.youtube.com/watch?v=SfZVMJxMTPE

F68.10

@ Lodi
"J'ai conseillé à quelqu'un de faire son devoir ou son plaisir ou les deux, et non le plier à ce que je conseillais, malentendu."

En l'occurrence, je considère de mon devoir d'évaluer les informations qu'on me soumet, et donc les deux textes que vous m'avez soumis. Alors, s'il s'agit d'un malentendu, c'est un malentendu sur la nature du malentendu.

Lodi

J'ai conseillé à quelqu'un de faire son devoir ou son plaisir ou les deux, et non le plier à ce que je conseillais, malentendu.
Quel talent ! Je vais quand même faire mon Girard sur la communication. Pourquoi Macron n'est-il guère cru, pourquoi les médecins et chercheurs le sont-ils davantage ?

En méprisant les gens "qui ne sont rien" et en laissant éborgner pas mal de monde, il s'est mis en rivalité, en conflit avec une part de ses concitoyens.
C'est ce que je nommerais la DÉCHÉANCE DE L’AUTORITÉ.
Surtout visible dans l’éducation. Ce n'est pas, comme on l'a prétendu, l'apprenant qui rivalise mais l'autorité qui se sent parfois bêtement menacée... Et donc rivalise.
Ce qui veut dire qu'elle n'arbitre plus, elle s'abaisse au même niveau. Et elle rejette l'autre.

Alors l'écarté ne comprend pas, croit imiter mal alors qu'il n'imite que trop bien, à la hauteur voire dépassant l'autre : ce qui n'a rien de surnaturel car le disciple part avec l’acquis du maître.
Mais si l'enseignant ne comprend pas ça, il éloigne l'autre de lui, ou en fait un authentique rival, et la lutte ne doit pas prendre fin... L'un se croit en tort et l'autre l'est : du point de vue de chacun, il serait destructeur de son identité de céder.

Macron n'a pas su être un chef, rival des Gilets jaunes, et eux n'ont pas laissé émerger de leader tant le chef Macron, et quelques autres, les avait traumatisés.
Par contre, les médecins et chercheurs ont de l'autorité. On applaudit les soignants chaque soir.
Ce qui ne veut pas dire que les médecins et chercheurs soient exempts de rivalité, mais elles ne touchent pas trop le public.

Normalement, on se réconcilie sur le dos de boucs émissaires ou de l'ennemi, en l'occurrence un virus. Macron, je suppose, voulait le dire mais sa personne est un obstacle à son message. Donc, si je devais conseiller notre chef vénéré, il faudrait qu'il S'OUBLIE, ne pense plus à lui aux élections, à la popularité, à la gloire, seulement aux mesures qu'il doit prendre pour les Français.
S'oublier ne veut pas dire ne pas SE SURVEILLER parce que le naturel revient vite.
Ce qui, d'une certaine façon, vaut pour tout le monde. Notamment pour l'épidémie et d'autres crises. Je ne dis pas que ce ne soit pas une vie, seulement que le self-control comme le fait de l'inspirer est très difficile.
Voyons cela en musique :

https://www.youtube.com/watch?v=wugWGhItaQA

hameau dans les nuages

Je vous envoie un peu d'air frais en cette période de confinement exacerbant les caractères:

La magnifique vallée glaciaire d'Ossau avec le "Jean-Pierre", pic du Midi d'Ossau ressemblant à une molaire dominant la vallée et dans la demi-ombre au fond la petite ville de Laruns...

https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/80302415_10218967456951290_1001951857964220416_n.jpg?_nc_cat=111&_nc_sid=e3f864&_nc_ohc=W68TVo_SHAkAX_Tp1zW&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=d7c9b28697eb17b27d30dafae37f59fe&oe=5E9FF8F2

Sophie

Confinement des bobos qui sont allés se réfugier en province, dans des déserts médicaux. Ils ont oublié d'emmener quelques neurones dans leurs valises !

« Relativement épargnée jusqu'ici, la Vendée connaît une hausse des contaminations depuis quelques jours. L'épidémie "monte très très vite", affirme Philippe Feigel qui recense 30 personnes prises en charge à l'hôpital de La Roche-sur-Yon. »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-des-urbains-venus-se-refugier-en-vendee-ont-diffuse-l-infection-affirme-un-medecin_3879267.html

Sophie

Pour nous détendre en cette période de plus en plus malsaine et improductive, une brève de confinement.

"Si les écoles restent fermées trop longtemps, les parents trouveront un vaccin avant les scientifiques"

Tous ces scientifiques (vrais ou faux) qui ne sont pas capables de travailler sereinement tous ensemble, sans se tirer dans les pattes !

Vamonos

Quand je lis les commentaires, quand je vois la frénésie journalistique autour de la nouvelle information qui a éclipsé toutes les autres, alors je ne ne peux que constater que les Français n'ont toujours pas pris la mesure de ce qui est en train de se passer au niveau planétaire.

Le confinement n'est pas une vie, il s'agit d'une survie. Les gens qui sont à l'abri avec de la nourriture, de l'eau et des sanitaires peuvent s'estimer privilégiés. C'est mon cas et je pense avec compassion et souffrance à des pays que j'ai visités où il fallait manger avec les mains, où l'eau potable est à fabriquer soi-même. Tous ces gens prennent de plein fouet la vague de la pandémie. Ils sont déjà en mode survie tous les jours en temps normal alors en ce moment, la grande faucheuse les cueille.

La semaine dernière mille saints-hommes ont prié tous ensemble en position du lotus. J'ai la photo. Kala, la grande déesse qu'ils redoutent, est en marche.

Isabelle

Après le coronavirus et le confinement accepté ou subi, il faudra repenser la France mais, attention les eurocrates sont déjà à la manœuvre. Les nations ne vont-elles pas perdre encore plus de souveraineté ?

"JPB. Il faudra donc récupérer une indépendance industrielle et financière… Pourquoi ne pas convoquer un nouveau Bretton-Woods pour remettre à plat l’ensemble du système international — européen tout au moins ?"

"Peut-être — mais ni Bercy ni Bruxelles ne se laisseront faire. Le schéma le plus probable, c’est que les eurocrates, désireux de relancer l’Europe après la crise, imagineront des eurobonds, afin de renforcer le fédéralisme." Julien Aubert (LR)

https://blog.causeur.fr/bonnetdane/julien-aubert-apres-le-coronavirus-il-faudra-repenser-la-france-003073#ligne

Aliocha

Au vu des réactions à la formule de notre hôte, on ne peut que constater les effets qu'un confinement vital en l'espèce engendre dans l'esprit de nos concitoyens, à qui il est insupportable au premier chef d'être confrontés à eux-mêmes, où la réalité extérieure tout à coup est semblable à notre structure mentale, enfermée, et même dans le couple, dans les solitudes de ses représentations.

La mouche en son bocal tout à coup s'aperçoit qu'elle est aussi responsable de la corruption des institutions, que la colère de bon sens de Michel Onfray finit fatalement dans le pogrom, et que le gilet jaune a le même mode opératoire qu'un virus, oui, lui aussi minuscule, mais à même de mettre à terre l'organisme démocratique.

Nous en sommes donc, merci notre hôte de savoir le souligner, à la croisée des chemins où les démocrates doivent choisir entre l'illusion et la réalité de notre condition, se laisser aller au déni de la violence pour mieux ne pas s'envisager tels que nous sommes, ou y renoncer pour partager ce lien mutuel, adhérant alors à ce que les règles monastiques imposent à ceux qui en font le choix, dessinant la rigueur absolue nécessaire pour porter le destin des humains :

"Les liens entre un être et nous n’existent que dans notre pensée. La mémoire en s’affaiblissant les relâche, et malgré l’illusion dont nous voudrions être dupes, et dont par amour, par amitié, par politesse, par respect humain, par devoir, nous dupons les autres, nous existons seuls. L’homme est l’être qui ne peut sortir de soi, qui ne connaît les autres qu’en soi, et, en disant le contraire, ment."

https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Proust_-_Albertine_disparue.djvu/46

Merci, notre hôte, de savoir partager notre réalité commune, définissant en conséquence que seule une vie de travail est à même d'en formuler l'aveu, résistant alors aux comportements moutonniers qui n'en sont que la dénégation.

Sophie

@ Savonarole

Point de vue du Professeur Didier Raoult :

"Le risque que le coronavirus chinois change les statistiques de mortalité française ou mondiale est nul. Il y a dans cette disproportion entre réalité et bruits plusieurs éléments : la peur des maladies nouvelles, l'intérêt des laboratoires qui vendent des antiviraux (Gilead a fait une progression boursière spectaculaire), l'intérêt de ceux qui produisent des vaccins par précaution (bien que l'on ne sache pas si la maladie sera encore là dans un an), de ceux qui sont heureux d'être sur un plateau de télévision comme experts virtuels, de ceux qui font de l'audimat sur la peur, et de ceux qui se voient en sauveurs providentiels. Cet événement aura confirmé pour moi qu'il y a plus de vérités dans les réseaux sociaux et que la labellisation « fake news » est parfois l'arme désespérée de certains médias pour continuer à exister. Une de mes vidéos a temporairement été étiquetée « fake news » par le détecteur du journal "Le Monde" ainsi que par le ministère de la Santé. J'avais diffusé l'information des autorités chinoises sur l'usage d'un médicament dont j'ai déjà parlé et que je connais bien (la chloroquine et son dérivé l'hydroxychloroquine), sur son efficacité dans les études préliminaires sur 100 cas, confirmée par une courte communication et par une conférence de presse du Pr Zhong, une autorité chinoise reconnue dans le monde entier. Cela a déclenché des réactions violentes, qui exigeaient que je retire ma communication, et j'ai même reçu des menaces anonymes pour lesquelles j'ai porté plainte. Il est de plus en plus difficile de savoir de quoi on parle et nous avons créé un site d'information hebdomadaire sur YouTube intitulé « On a le droit d'être intelligent » (...). Il y a 20 virus associés aux infections respiratoires qui circulent dans le monde. Peut-être que le coronavirus de Chine deviendra le vingt et unième, ni plus ni moins grave, peut-être disparaîtra-t-il momentanément ou définitivement, peut-être restera-t-il limité à un écosystème spécifique, comme le Coronavirus d'Arabie Saoudite (MERS corona). L'avenir nous le dira (...)" Didier Raoult

https://www.laprovence.com/article/papier/5941575/les-4-verites-du-professeur-raoult.html

Les militaires et autres professions qui travaillent en Afrique prennent de la nivaquine depuis des lustres, sans aucun effet secondaire pour une grande majorité d'entre eux. Ils prennent ce médicament pendant plus de 5 mois parfois.

De qui se moque-t-on une fois encore ?

Vous n'avez pas besoin de tests. Parce que nous n'en avons pas
Vous n'avez pas droit aux masques. Parce que nous n'en avons pas.
Vous n'aurez pas droit au Plaquenil (nivaquine). Parce que nous n'en avons pas suffisamment ?!
Ou parce que ce n'est pas assez rentable pour certains labos ?!

Comment est-il encore possible de les croire après tous ces mensonges ?

Cette "gueguerre" de vrais experts, de faux experts, de mandarins est plus épuisante à la longue que le virus.

Triste et piètre spectacle !
Je préfère les éboueurs, les caissières, les soignants, les forces de l'ordre etc. qui continuent d'œuvrer en toute discrétion pour le bien de tous.

Tous ces personnages qui se donnent le titre "d'élites" sont petits et mesquins, intéressés sans doute ?!

Exilé

Le confinement c'est une vie !

Ah ! Et si seulement il pouvait calmer notre malheureux pays du bougisme dont il est atteint !

Que dire de ce slogan idiot « mangez bougez » diffusé à grands frais par un État qui se mêle de ce qui ne le regarde pas et qui pendant ce temps-là, nous en avons une preuve flagrante de plus de nos jours, ne fait pas son travail ?

Achille

Comme le disait André Malraux « Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie », repris magnifiquement dans une chanson par Alain Souchon.

C’est, en effet, dans ces moments de désarroi, où un virus meurtrier survient pour ravir notre vie ou celle de ceux que l’on aime, que l’on commence à se dire que finalement, même si parfois elle se montre dure, injuste, nous occasionnant des peines, des colères, des frustrations, la vie sait aussi se montrer généreuse en nous offrant des instant de joie, de bonheur, d’amour.

Tout est bon à prendre dans la vie, le bon comme le mauvais. Ce dernier nous apportant souvent une expérience salutaire.

Alors profitons chaque jour du moment qui passe car demain il sera peut-être trop tard.
En d’autre terme faisons le con finement (en deux mots)…

Isabelle

@ Savonarole
"Bien que malade, le docteur Jean-Paul Hamon continue à poursuivre de sa haine Didier Raoult, dont il n’arrive pas à la cheville. Un plouc généraliste de quartier et syndicaliste.
Pascal Praud l’adore, on se le cogne tous les matins, comment allez-vous Jean-Paul ?
Il a essayé le traitement de Raoult, trois jours, et il nous dit préférer mourir."

Intéressant cet éclairage moins dithyrambique concernant ce docteur qu'on voit très souvent sur les plateaux de TV.

Affaire à suivre ?!

Julien WEINZAEPFLEN

Le confinement pacifie-t-il les mœurs ? C'est peut-être parce que j'ai moins de charge musicale, mais à moi, il a donné l'occasion d'écrire cette analyse au vitriol:

http://etudestorrentielles.blogspot.com/2020/03/analyse-paranoiaque-dune-psychose-virale.html

Je ne sais pas si nous sommes gouvernés par des incompétents, je ne suis pas épidémiologiste, mais le gouvernement joue une partition perverse, sur un plan rhétorique, sémiotique et politique.

- Rhétorique : "Nous sommes en guerre", nous excite-t-il.

- Sémiotique: "Surtout n'allez pas visiter vos anciens, qui auraient le plus besoin que vous les accompagniez, laissez-les mourir d'indifférence comme pendant la canicule de 2003, qui doit ne rien vous avoir appris, comme la présente crise doit ne rien nous apprendre", sous-texte du "Quoi qu'il en coûte" d'Emmanuel Macron, le roi du fake talk, et de son "J'en tirerai toutes les conséquences, toutes les conséquences", répète-t-il sur un ton pénétré.

- Politique : "Nous préférons allonger 300 milliards pour redresser les entreprises après avoir mis l'économie par terre et en ne débloquant que 2 milliards pour l'hôpital, plutôt que de mettre ou d'avoir mis ce qu'il faut ou fallait pour commander massivement des masques et des tests, qui auraient permis de ne confiner que les malades et de les soigner dès que la maladie se serait déclarée au lieu de paralyser toute une économie."

Quant à Michel Onfray et à son décevant dernier billet cité favorablement par Sophie, d'autant plus décevant que ne prenant pas date avec l'histoire, car Michel Onfray juge de la crise du coronavirus en expliquant comment régler le problème des cités de non droit, il m'a inspiré ces quelques mots sur mon mur Facebook:

"C'était bien la peine que Michel Onfray fondât l'Université populaire de Caen pour réagir à la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2002 pour finir par parler comme lui ou de "territoires perdus de la République" comme Georges Bensoussan à un moment où le virus ne choisit pas les citoyens sur qui il tombe, un peu comme Dieu fait briller son soleil sur les méchants comme sur les bons.
Ce n'était pas la peine qu'il fût l'un des premiers (j'en étais aussi, mais comme un obscur que je suis) à diagnostiquer que la première guerre du golfe marquait une rupture de civilisation qui allait galvaniser le Sud contre le Nord pour que, faisant le bon diagnostic à cette époque, il se trompe de guerre aujourd'hui.
Ce n'était pas la peine qu'il dénonçât à raison l'inanité conceptuelle de la guerre contre le terrorisme pour fustiger en temps anachronique, en pleine lutte contre une contagion virale, la guerre civile qui pourrait nous menacer demain.
Un peu plus de 100 ans après la guerre de 14, la guerre bactériologique a remplacé la guerre contre le terrorisme. C'est une autre ineptie au service de la même manipulation.

Macron est un chef d'opérette, mais la guerre qu'il mène aujourd'hui n'est pas une guerre à la Clausewitz, c'est une guerre shupétérienne où, de concert avec ses collègues, les grands dirigeants du monde, il profite du premier virus qui passe pour semer un chaos économique afin de tout refonder sur des bases qui soient l'exact contraire de ce qui serait espéré par les organisations révolutionnaires, favorables à un grand réajustement du monde."

Antoine Marquet

@ Tomas

En cette période il n'est pas raisonnable de fréquenter des magasins bien achalandés... je les préfère déserts !

Mary Preud'homme

@ Paul Duret | 24 mars 2020 à 19:00

Ne pas oublier les Français (soit 35 %) qui dans différents métiers, pour sauver des vies, maintenir l'ordre public, nous approvisionner ou assainir nos rues et notre environnement ont continué à trimer dur pendant toute la quarantaine et parfois au détriment de leur propre santé.
Aussi serait-ce la moindre des choses que ceux qui sont restés chez eux en attendant des jours meilleurs leur rendent la pareille, une fois l'alerte de la pandémie écartée et travaillent en retour sans se plaindre, voire deux fois plus, au redressement du pays.

Tomas

Pour les privilégiés dont nous sommes vous et moi, qui pouvons travailler à distance et vivons dans un logement confortable dans un quartier plaisant pourvu de toutes les commodités dont des commerces bien achalandés, le confinement s'apparente à un dimanche éternel, la promenade du jour raccourcie juste, mais aussi avec moins de pollution.

Mais pour ceux pour qui chaque euro et chaque mètre carré compte, ce doit être une torture, et ils méritent au moins autant que les personnels soignants que l'on pense à eux.

Giuseppe

Quand le gouvernement ne sait pas comment nous expliquer que les masques arrivent, tout en arrivant ils arrivent, mais ils sont commandés, et sont là, mais pas tous enfin presque… Laurent Nunes, quand la femme est bien l'avenir de l'homme, encore des imbéciles pour parler de l'égalité de la femme, alors qu'elle est supérieure, sans coquets et bonnets point de salut ! se le tenir pour dit ! :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/coronavirus-soutien-gorge-et-filtre-daspirateur-en-guise-de-masque/ar-BB11E9b6?MSCC=1585082030&ocid=spartandhp

Ellen

@ HOPE | 24 mars 2020 à 12:09

Gardez "espoir". Ce que Philippe Bilger voulait dire par "le confinement c'est une vie", est aussi à traduire par "le confinement sauve des vies".
C'est pénible, mais nous devons en passer par là pour continuer à vivre. On n'a plus le choix.

Savonarole

@ Ellen | 24 mars 2020 à 16:47

Bien que malade, le docteur Jean-Paul Hamon continue à poursuivre de sa haine Didier Raoult, dont il n’arrive pas à la cheville. Un plouc généraliste de quartier et syndicaliste.
Pascal Praud l’adore, on se le cogne tous les matins, comment allez-vous Jean-Paul ?
Il a essayé le traitement de Raoult, trois jours, et il nous dit préférer mourir.

Hamon fait partie de cette franc-maçonnerie médicale liée à l’Inserm qui ne supporte pas qu’un grand laboratoire de type Sanofi ne fasse pas partie du grand jeu qui se joue.
Des milliards sont en jeu, et Didier Raoult avec son remède qui date de de Gaulle et ne coûte que 10 centimes d’euros par cachet passe pour un druide d’Astérix.
Un grand couillon de ce blog lui a reproché ses cheveux longs, ça en dit long sur la diversité intellectuelle de ce blog.

Dans les années 2000, Grigori Perelman, mathématicien russe, remporte tous les plus prestigieux prix. Le bonhomme est un ermite, cheveux longs, vivant reclus, son lieu de travail est un capharnaüm indescriptible, il refuse tous les prix.
Il fallait lire la presse française d’alors, Libération, les Inrockuptibles, Charlie, Télérama et j’en passe. Ils le trouvaient tous rock 'n’ roll, sublime, forcément sublime puisqu’il était rock 'n’ roll.
Mais là, Didier Raoult c’est pas pareil, c’est un cinglé, un druide, un climatosceptique (c’est un nouveau délit en France ?), bref un dérangé, un agité du bocal.
S’il y a des comptes à rendre, c’est du côté de l’Inserm qu’il faut chercher.
Mediapart et le Canard y travaillent.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Grigori_Perelman

Paul Duret

@ Sophie

Pour sortir de la crise économique en cours, une fois le confinement terminé, il va falloir se retrousser les manches.
Bien sûr, chacun va défendre son droit à en faire moins que le voisin, supposé plus protégé, plus riche, plus chanceux ou tout simplement plus travailleur et plus avisé.
C'est ainsi que fonctionne la France depuis quelques décennies, malheureusement.
Mais soyez certaines que si notre économie ne repart pas rapidement, d'autres pays prendront la place laissée vacante.

Giuseppe

@ Sophie | 24 mars 2020 à 16:39

J'aime bien le lien à la fin de la lecture.

boureau

"Le confinement c'est une vie"

Vous êtes bien le seul cher P. Bilger !
Si je puis me permettre : est-ce bien sincère ? Provocation un peu légère eu égard à la situation de millions de personnes.

Les applaudissements de 20H c'est effectivement très bobo grande métropole.

Cordialement.

Sophie

Les confinés sont en vacances !

TROP c'est TROP !

Le Darmanin n'a pa pu s'empêcher de parler. La macronie envisage de sucrer au moins une semaine de congés payés à tous les confinés.

Les confinés sont en vacances, tiens donc !

Par contre, pas un mot pour rattraper tous les évadés fiscaux et la liste est longue, très longue.

A l'heure d'Internet, on peut le faire sans problème. Qu'ils arrêtent de nous raconter des bobards ! Aux USA, je crois qu'ils le font déjà.

Yannick Noah, Omar Sy et tant d'autres, soi-disant "personnalités préférées" des Français (qui fait ce genre de sondage débile ?), sont allés planquer leur "flouze" ailleurs pour ne pas contribuer à l'effort national, via les impôts.

Mais pas touche à leur fric bien planqué ! Les Français qui souffrent déjà et vont perdre des proches pour certains devront en plus se passer de quelques semaines de vacances après cette catastrophe.

Virons ce gouvernement dès que possible. On n'en peut plus !

Tous comme ces mandarins de la médecine qui ne sont pas capables de s'entendre et de parler d'une seule voix, quel exemple pour le reste du peuple français !

Manque total de dignité et de grandeur.

Ellen

Déjà en décembre 2019, les AP-HP étaient au plus mal et ont envoyé un signal d'alarme en affichant sur leurs banderoles : "l'Etat compte ses sous, nous on va compter nos morts".

On y est !

https://www.youtube.com/watch?v=BErtjJJbrM8

Nous avons des centaines de morts, des milliers de malades, et plus de sous.

Le maître des horloges et sa verticalité a pris a sacré coup sur la tête.

Quant à Marisol Touraine, elle devrait avoir honte d'avoir fait détruire des centaines de millions de masques FFF2, les meilleurs et les plus sûrs.

Que d'argent gaspillé par nos bureaucrates ! Des milliards partis en fumée et à la poubelle.

Ellen

A Sud Radio, les Vraies Voix, "Le coup de gueule du Dr. Jean-Paul Hamon : "La France, un pays de tiers monde", c'est une honte !, les administrations et le gouvernement, des incapables"...

https://www.youtube.com/watch?v=JVqowCkz1TE

J'aime les gens qui parlent franc sans qu'on leur coupe la parole.

Sophie

"Les confinés et les cons... finis."

Les racailles de banlieue continuent de sévir un peu partout sur le territoire et narguent, comme toujours, les forces de l'ordre.

Ce billet de Michel Onfray : "Faire la guerre".

Ce président insolent, spécialiste des pistolets en plastique, se permettait de donner des leçons au chef d'Etat-Major des Armées, lors du 14-Juillet.

"Sur la réponse à donner au terrorisme islamiste, on n'a pas non plus découvert sa grande vision ! En-dehors d'un discours annoncé avec force trompettes qui ne fut qu'un blabla proféré pour conjurer le "séparatisme" (comme ces choses-là étaient gentiment dites et doucereusement proférées !), une photo résuma le tout: à la sortie du laïus, une jeune fille intégralement voilée se fit photographier en sa présence, ce qui est formellement interdit par la loi, mais le chef de l'État ne trouva rien à dire: c'est sa façon à lui de lutter contre le séparatisme - le laisser agir et dire en même temps qu’il ne faut pas qu'il agisse ! En même temps, encore et toujours..." M.Onfray

https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/faire-la-guerre?mode=video

Ellen

"Le confinement c'est une vie !"
"Il arrive que dans une quotidienneté tranquille on dise par plaisanterie : "c'est pas une vie" ! (PB)

Très beau billet et qui va droit au coeur.

"Confinement et durcissement"
Une chose que je n'arrive plus à saisir dans ce gouvernement c'est cette contradiction permanente entre chaque annonce.

Après avoir voté dimanche à l'AN, à la majorité absolue, sur le durcissement du confinement et le couvre-feu de 22:00 à 05:00 demandé par certains maires, accepté par les Préfets et le gouvernement, j'apprends à l'instant que le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume a lancé, ce matin sur BFM TV, un appel à l'armée de l'ombre des hommes et des femmes qui n'ont plus d'activité en raison de la crise du coronavirus, à rejoindre la grande armée de l'agriculture française. Et ajoute, il y a aujourd'hui la possibilité d'avoir 200 000 emplois directs dans l'agriculture, privée de la main-d'œuvre, notamment étrangère, qu'elle emploie habituellement. Le ministre de l'Agriculture appelle les Français "qui n'ont plus d'activité" à aider les agriculteurs en allant "dans les champs".

C'est bien, mais après ? Rien n'est prévu pour ces volontaires - pas de mode de transport, pas d'hébergement, de nourriture, etc.

Rien n'est jamais clair dans ce qu'ils annoncent chez la macronie. Il y a tout le temps des zones d'ombres indéchiffrables.
Chacun y va de sa petite idée et la lance aux médias sans donner de précisions ni de détails.

Enfin les élus se réveillent et commencent à ouvrir les yeux. Nos agriculteurs et leurs produits locaux commencent à être reconnus. Mais c'est un peu tard !

Isabelle

Brèves de confinement :

"Une pensée pour Benjamin Grivaux qui est en confinement avec sa femme..."

On en trouve d'autres sur le net, histoire de se détendre !

Exilé

J'ai presque honte de cet aveu : le confinement c'est une vie !

http://www.bouquineux.com/?telecharger=2394&Maistre-Voyage_autour_de_ma_chambre

HOPE

"J'ai presque honte de cet aveu : le confinement c'est une vie !"

Mais vous pouvez avoir presque honte effectivement, c'est inimaginable d’écrire une phrase pareille. C'est naturellement de la provoc et en contradiction avec une partie de votre blog, heureusement. Le confinement est une véritable épreuve pour des millions de personnes puisqu'il s'accompagne de mille problèmes. D'argent, d’éloignements dramatiques, famille et amis malades, absence aux enterrements... des parents 24h/24 avec deux ou trois enfants dans des appartements trop petit. C'est la vie ? Le confinement c'est la vie POUR VOUS ! Remarquez, je n'en suis pas tout à fait surpris... Respectueusement je vous assure.

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