Au regard de ce titre, on pourra me rétorquer que toute délinquance est indigne et qu'il n'existe aucune hiérarchie en son sein même si, sur le plan pénal, se commettent des infractions plus ou moins graves sanctionnées par des peines adaptées.
Pourtant, depuis toujours, j'ai eu le sentiment, inspiré à la fois par mon intuition professionnelle et ma perception éthique, que certains délinquants suscitaient plus la réprobation que d'autres, engendraient une sorte de dégoût personnel, détaché de la nature même de la transgression pour projeter une répugnante lumière sur l'auteur de celle-ci. Cet opprobre supplémentaire pouvait aussi bien résulter d'un accomplissement en tel ou tel lieu généralement respecté, une église par exemple, ou au détriment de victimes très âgées à leur domicile, par ruse ou violence, ou dans la rue, ou au cours de moments particuliers qui paraissent exiger comme une tranquillité publique consensuelle à cause de douleurs et de tragédies communément partagées.
Pourtant je ne suis pas loin d'incriminer une étrange naïveté chez moi quand quelques agissements au quotidien me scandalisent plus que d'autres. Comme si, une fois le ressort de la délinquance mis en branle, j'aurais rêvé tout de même à une discrimination possible entre l'intolérable et le banalement délictuel, entre l'inhumain, le sordide d'un côté et le moins blâmable de l'autre.
De ma part c'était et cela demeure une parfaite illusion. Il n'en demeure pas moins que dans ma vie professionnelle - et je laisse de côté les crimes _ et par la suite, j'ai établi dans ma tête une échelle des valeurs implicite qui me faisait traiter d'irrécupérables quelques rares personnalités quand d'autres pouvaient ne pas être étrangères à une réinsertion à peu près réussie.
Attaquer une personne âgée après l'avoir suivie, voler dans les espaces sacrés, quelles que soient les circonstances ne pas résister à la tentation du lucre et à d'autres malfaisances, est une configuration qui nous conduit à avoir véritablement honte d'une certaine humanité à laquelle pourtant on appartient.
L'idée de ce billet m'est venue tout particulièrement quand j'ai appris que des jeunes gens avaient cambriolé la nuit, il y a quelques jours, deux ou trois EHPAD et qu'un hackeur avait piraté la cagnotte Leetchi de 20 800 euros destinée aux soignants (Le Parisien). Il y a évidemment, sur le plan pénal, des transgressions encore plus graves mais il en est peu de plus laides, de plus indécentes. Dépouiller ce qui est faiblesse à tous points de vue stupéfie même le réaliste qui ne surestime pas la nature humaine.
Comment a-t-il pu se faire que dans ces psychologies, le respect ordinaire pour les malheureux, les personnes fragiles, les êtres méritants et dans le besoin ait été oublié et une forme de retenue méprisée, en cette période et à l'égard de telles victimes ? Faut-il admettre qu'une infime minorité est en effet irrécupérable, sans barrage devant ce que la morale même la plus simple prohibe ?
Il y a donc des délinquants sans dignité. Il y a des délits qui offensent l'ordre public, l'intégrité mais plus que cela : ils révoltent. ils nous choquent autant qu'ils transgressent.
Pour le commun des transgresseurs, qui sait échapper au pire dans le pire, il reste une étincelle qui ne les écarte pas de nous tous. Juste des frères égarés, rien de plus, rien de moins.
@ Denis Monod-Broca | 27 avril 2020 à 20:43
"« crémations de voitures »
Ce qui me confirme que vous ne savez pas bien ce qu’est la barbarie humaine."
Je parlais de voitures, pas de vos neurones, y a longtemps que les vôtres sont incinérés.
Rédigé par : sylvain | 28 avril 2020 à 09:11
@ sylvain
Je note que, parmi les signes de la barbarie humaine que vous énumérez, il y a les « crémations de voitures ».
Ce qui me confirme que vous ne savez pas bien ce qu’est la barbarie humaine.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 27 avril 2020 à 20:43
@ hameau dans les nuages
""J'appelle chacun à réagir contre TOUS les abus" (Lodi)
"Voilà bien là le problème. Raisonner comme ça vous condamne à l'inaction.La tâche paraît si immense que l'on baisse les bras."
---
Non.
L'action juste commence par la pensée juste.
Et penser juste, c'est commencer par voir que toute personne ayant du pouvoir tend à en abuser.
Il faut réagir à ce qu'on peut, et d'abord à ce à quoi on est confronté... Qui verra une personne agressée l'aidera ou non, qui a vu les vieux maltraités des EHPAD réagira ou non, tel homme de pouvoir s'occupera seulement de sa carrière ou de faire appliquer des lois protectrices voire en faire adopter d'autres et essaiera de motiver son administration et au-delà.
Mais ici, désolé, nous débattons.
Il faut donc d'abord penser. Juste serait un plus.
Donc ne pas focaliser sur les petits délinquants parce que, souvent, on n'en a pas peur de loin... Les gens sont en général plus prudents, vu de près, et disent qu'après tout, la police est là pour ça.
"N'ayant pas votre pouvoir nous en avons retiré ma belle-mère afin qu'elle puisse partir chez nous en paix vu les conditions inhumaines d'hospitalisation. Nous étions obligés après le travail de faire 20 km pour être sûr qu'elle ait mangé... ils n'avaient pas le temps..."
Je ne parlais pas de pouvoir dans ce sens-là... Je dis que les gens se privent de penser, alors que ça ne coûte rien.
Quelqu'un avait affiché que la lucidité est un luxe de puissants. Dans quel sens ? Puissant intellectuellement ou socialement ?
En tout cas, je me désole que sous prétexte que trop de gens ne puissent pas agir sur ceci ou cela, ils s'interdisent aussi de penser, se dénient le droit d'être lucides.
Par exemple en prétendant les abus rares. Ou encore, quand je démontre qu'ils ne le sont pas, qu'il y a même des structures de domination, qu'on ne doit pas en parler, essayer de mobiliser, ne fût-ce, par exemple, qu'en encourageant le maintien à domicile.
Je suis faible ? On dira que tout est la faute des petits délinquants, encore plus faibles que moi, en principe, grâce aux forces de l'ordre, aux magistrats et gardiens de prison.
Je n'ai jamais dit être quelqu'un de puissant ou de faible ni habiter dans une conurbation.
Je vais vous parler de la puissance... Les gens en ont tous un peu, mais ils la gaspillent. Et allez savoir pourquoi, ce sont souvent les moins puissants qui le font le plus.
On dit que le savoir, c'est la force... Disons que c'est une certaine force, et que le savoir qu'on donne sur soi permet aux autres d'avoir un certain poids sur vous. Les gens ne vont pas jusqu'à le penser, mais instinctivement, ici, quand ils ne trouvent pas quelque commentateur de leur avis sans rien dire de convaincant contre ses thèses, ils font des suppositions sur lui dans le but de le rabaisser.
Autre chose, les gens sont en République... Et pourtant, ils ne pensent pas comme les rois qu'ils sont puisqu'ils sont rois à savoir dépositaires d'une part de souveraineté. En ce sens, ils ont tous le devoir de s'informer et d'essayer de peser sur le monde politique pour défendre leur vision du bien commun. Les Gilets jaunes ont eu ceci de digne d'essayer de rendre cette conception plus opérante en promouvant le référendum initiative populaire... Peut-être que les anciens seraient mieux défendus si les gens imposaient le RIC et s'ils s'en servaient dans de tels buts.
La puissance et l'impuissance sont donc choses relatives : selon le temps et le lieu, ils varient. Mais il ne faut pas renoncer et peser sur les choses quand il y a une chance de les faire avancer.
J'ai dit qu'il ne faut pas gaspiller son pouvoir ni le sous-estimer.
Mais il ne faut pas le surestimer non plus : il faut toujours éviter aux personnes âgées de tomber en maison de retraite et vous avez très bien fait d'en retirer une victime.
Vraiment, je vous en félicite... Si plus personne ne tombait là-dedans, ce serait fabuleux.
Mais enfin, j'incite chacun à lutter selon le temps, le lieu et son pouvoir contre ce qu'il peut.
Je ne vais pas me limiter à encourager votre action, même si elle est bonne. Ou dire qu'il faut arrêter les délinquants et respecter les gentlemen cambrioleurs et mépriser les méprisables.
Aux gens qui ne pensent que structure ou futur, il faut rappeler l'être humain et le présent, à ceux qui sont dans l'autre cas, l'autre face de la réalité.
Pour prendre un exemple : dans la lutte contre le coronavirus, l'Etat et les entreprises privées, les soignants et les paysans, les riches et les pauvres, tout le monde est bienvenu.
"Sachez qu'en ruralité tout n'est pas parfait loin de là mais qu'il existe une certaine solidarité et qu'on vient encore à la rescousse des faibles injustement attaqués. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles la grande délinquance passe son chemin."
Vous n'avez pas de chance : je me rappelle d'un endroit que je ne citerai pas où un vieux allait dans un bar et était toujours ennuyé par les jeunes, chose que j'ai apprise pas hasard, on en parlait, il faut bien sortir des considérations sur le pluie et le beau temps.
Et comme je connaissais des gens là-bas, je leur ai dit que nous pourrions peut-être dire aux gens d'arrêter... Mais tout le monde trouvait ça normal tout en parlant de leur merveilleuse morale religieuse. C'était le type fait pour être embêté dans le bar...
Bon, coutume locale, je n'ai pas su trouver un consensus sans quoi la chose ne peut s'arrêter... Très bien, je vais ignorer le problème pour me consacrer à ce qui motivait ma présence en ces lieux : les balades en solitaire.
La délinquance n'a pas passé son chemin en Sicile rurale.
Je pense que la mafia va devenir encore plus puissante avec le coronavirus, soit dit en passant. Elle s'apprête à parasiter des marchés publics de l'Etat et à distribuer un peu d'argent aux pauvres pour accroître son pouvoir de clientèle.
Alors moi, la sainte campagne...
Je ne fais pas des villes des lieux paradisiaques non plus... Un jour, un vieux s'est écroulé dans l'isoloir et aucun responsable du bureau de vote ne l'a aidé. J'ai fini par pénétrer ce lieu avec la crainte de regarder ses bulletins : risquer de savoir ce qui m'est interdit me gênait passablement, mais vraiment, l'homme semblait incapable de se relever.
J'ai dû m'y coller. L'homme était étonnamment léger, assez gravement malade, je crois. Eh bien ! Un des responsables du bureau de vote s'est moqué de lui. Pauvre homme ! Sa femme, quant à elle, était atteinte par la maladie d’Alzheimer.
Que j'ai pu aider ou non dépend du rapport de force. Que je parvienne à faire réfléchir ou non dépend de mon talent !
Comme il paraît que je n'en ai pas, si je parviens jamais à quelque chose, on aura avec moi une preuve expérimentale de l'énergie du vide.
Quoi qu'il en soit, il ne faut pas renoncer ni se taper la tête contre les murs mais faire preuve de patience et de stratégie.
Mais en attendant :
"Celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre."
L'Art de la guerre de Sun Tzu
Rédigé par : Lodi | 27 avril 2020 à 20:23
@ Xavier NEBOUT
Tout à fait Monsieur, tout comme les tranchées en 1914-1918, c'était du cinéma allemand !
Rédigé par : Cyril Lafon | 27 avril 2020 à 19:57
@ Cyril Lafon
Les Einsatzgruppen qui fusillaient dans les fosses, c'est du cinéma soviétique. Ça se voit même à l'éclairage.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 27 avril 2020 à 16:16
@ Denis Monod-Broca | 27 avril 2020 à 12:02
"Si vous considérez que la France de 2020 est retournée à la "barbarie humaine", c'est que vous ne savez pas ce qu'est la barbarie humaine".
La barbarie humaine que l'autruche gauchiste Denis Monod-Broca feint de ne pas voir, se déroule sous nos yeux, dans les banlieues maghrébines islamistes : insécurité maxi, prisons remplies à 200 % de chances pour la Ceufran, zones de guerres des teucies, police en déroute, juges corrompus gauchistes complices du crime, tabassages caillassages, crémations de voitures, tirs de mortier, impunité totale pour préserver la paix sociale, l'Etat s'incline sous les fourches caudines de la sauvagerie des barbares et la moitié du peuple, de gauche bien entendu, collabore à leurs humiliations répétées.
Denis Monod-Broca ne sait pas que les ophtalmos peuvent lui fournir des oeillères de meilleure qualité que celles fabriquées dans son racaillistan bien-aimé.
Rédigé par : sylvain | 27 avril 2020 à 14:10
@ sylvain
Si vous considérez que la France de 2020 est retournée à la "barbarie humaine", c'est que vous ne savez pas ce qu'est la barbarie humaine.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 27 avril 2020 à 12:02
@ Lodi
"J'appelle chacun à réagir contre TOUS les abus"
Voilà bien là le problème. Raisonner comme ça vous condamne à l'inaction.La tâche paraît si immense que l'on baisse les bras
https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/70898624_400247937347013_329415320064229376_n.jpg?_nc_cat=104&_nc_sid=730e14&_nc_ohc=R8L9M8NAM2IAX93Q1Hr&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=8d97d3f15e49520515c61045248e1568&oe=5ECC45C8
Plus humble et pragmatique, je ne cherche pas à soulever des montagnes. Et mettre deux tartes à quelqu'un qui agresse un être faible est à ma portée et est le début de la sagesse. Je vous laisse le soin de prendre d'assaut les conseils d'administration des EHPAD et aussi d'hôpitaux avec vos petits bras musclés.
N'ayant pas votre pouvoir nous en avons retiré ma belle-mère afin qu'elle puisse partir chez nous en paix vu les conditions inhumaines d'hospitalisation. Nous étions obligés après le travail de faire 20 km pour être sûr qu'elle ait mangé... ils n'avaient pas le temps...
Je suppose que vous habitez dans une conurbation. Sachez qu'en ruralité tout n'est pas parfait loin de là mais qu'il existe une certaine solidarité et qu'on vient encore à la rescousse des faibles injustement attaqués. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles la grande délinquance passe son chemin. Le prix à payer est encore trop fort. Si tu veux la paix, prépare la guerre. Oui je sais c'est très mal... Mais que voulez-vous tout le monde n'a pas la vocation de Blandine.
J'ai tout compris, ne vous en déplaise, et je trace ma très modeste route.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 27 avril 2020 à 11:07
Depuis Badinter, et l'avènement de sa gauche bisounoursiste complice de l'excuse du crime, nous sommes retournés à la barbarie humaine, la sauvagerie sociale du tout-permissif, les criminels ayant un boulevard devant eux pour accomplir leurs exploits ne se privent pas de passer et repasser à l'action se sachant présumés innocents, relâchés, relaxés, excusés par cette mafia judiciaire extrême gauchiste, par les merdias de gauche complaisants et favorables aux racailles, aux malfaiteurs, aux casseurs anars, aux tueurs bourreaux et autres monstres envers lesquels ils ont les doux yeux de Chimène, et qui en arrivent à en faire des héros romantiques avec un mépris absolu pour les victimes désignées coupables du malheur qu'elles ont subi.
Il faut vraiment être un salopard de très haut niveau pour supporter cette idéologie criminelle du multirécidivisme, de la présomption d'innocence même si le cadavre gît sur le sol devant son tueur, ce cynisme des responsables de notre sécurité qui arrogent à ces salopards tous les droits de l'homme à tuer, à ces avocats ignobles qui paradent et se pavanent pour défendre l'indéfendable, c'est du gauchisme à l'état pur, l'apologie des criminels qu'ils soient des bas-fonds de la lie de la fange sociale jusqu'aux serial killers de l'humanité, c'est du socialisme, du gauchisme.
La gauche aime le sang, le crime, la barbarie, la sauvagerie, elle s'en nourrit, elle en jouit, c'est sa génétique, tout le spectacle que ses protégés racailles banlieusards nous offrent actuellement est encouragé par les élus de gauche, les associations gauchistes, les droits de l'homme racaille et les non droits de l'homme policier tabassé harcelé, la gauche aime le désordre, l'irrespect, l'incivisme, le racisme antiblancs, les minorités de la haine absolue, tout ce qui détruit le tissu social ; repentisme culture de l'excuse, provocs pleurnichisme victimisme et les bataillons de musulmans maghrébins électoraux sont leur arsenal, leurs armes absolues pour détruire ceux qui ont encore une conscience morale, un honneur, du civisme, l'amour de leur pays, de leur culture, de leurs moeurs, de leur histoire, tout ce que la gauche déteste et s'empresse de détruire avec un zèle jouissif.
La suppression de la peine de mort a été et restera un des plus grands crimes contre la société livrée aux barbares.
Les gauchistes approuvent et protègent toutes ces racailles mous du bulbe qui n’assument aucune conséquence de leurs actes :
Celui qui intervient violemment dans une interpellation en cours et se plaint des conséquences,
Celui qui refuse de se faire contrôler et finit par terre,
Celui qui fait des rodéos avec des motos de cross, sans casque, et qui se casse la figure…
Le coupable ce n’est pas le flic qui tente de faire appliquer la loi comme le serinent en boucle ces crétins de gauchiasses, c’est l’abruti qui adopte le comportement à l’origine de la réponse policière.
Respectez les règles et les gens et vous vivrez une vie paisible, sans affrontement avec la police et sans risque de perdre un oeil, de finir handicapé ou entre quatre planches !
Mais demander à un gauchiste d'avoir du civisme, du respect, de la morale, c'est mission impossible.
Rédigé par : sylvain | 27 avril 2020 à 10:04
@ sylvain 26/04 23:19
Ainsi, affirmer que « nous vivons une époque détestable » relèverait d'une idéologie gauchiste !
Voilà qui est nouveau et qui a dû échapper à nombre d'intervenants sur ce blog, même aux plus férus en matière de gauchisme.
Quant à moi, qui n'ai point été endoctriné par l'idéologie gauchiste, je n'en partage pas moins l'avis d'Achille. Et je peux vous préciser que cette période de confinement m'a permis d'en faire moi-même le constat en étant victime, comme d'ailleurs nombre d'autres personnes, d'actes de délation bien évidemment anonymes comme en des temps que l'on croyait révolus.
Ces agissements, particulièrement vils, ne constituent-ils pas la preuve que nous vivons une « époque détestable » ?
Rédigé par : Michel Deluré | 27 avril 2020 à 09:13
Pas de sous pour les gueux des hôpitaux mais quand il s'agit de remplir leurs intestins là c'est gueuleton assuré.
L'Europe qui ne sert à rien, comment nous citoyens pouvons accepter de telles pratiques, tous ces machins chers à Mongénéral sont des machines à gaver des oies sans efficacité.
Déplorable état d'esprit. A vomir.
https://www.liberation.fr/planete/2020/04/26/l-union-europeenne-soigne-ses-anciens-dirigeants_1786434
Rédigé par : Giuseppe | 27 avril 2020 à 09:09
@ Lodi | 26 avril 2020 à 22:27
https://www.bing.com/videos/search?q=je+suis+malade+compl%c3%a9tement&view=detail&mid=C6C01857797E69F1BADDC6C01857797E69F1BADD&FORM=VIRE&PC=ACTS&cc=FR&setlang=fr-FR&PC=ACTS&cvid=977c010023b84c4ea565a44eb01adb94&qs=SW&nclid=15C83A8F90539D2E74BB203BDEE3C118&ts=1587957009767
Rédigé par : Y.S. | 27 avril 2020 à 05:13
@ Achille | 26 avril 2020 à 21:02
"Les voyous qui avaient le code de l’honneur comme dans les films d’Henri Verneuil, avec dialogues ciselés par Michel Audiard, c’est terminé. Les caïds n’ont plus le charisme d’un Jean Gabin ou d’un Lino Ventura, le physique ravageur d’un Alain Delon, la gouaille de Jean-Paul Belmondo"
Désolé de vous contredire mais les archétypes de voyous que vous citez étaient des personnages de cinéma. Dans les année 60-70, les truands célèbres et bien réels s’appelaient Guérini, Zampa, Marcantoni, Mesrine, etc. Ceux-ci et leurs homologues moins connus n'étaient guère adeptes d’un pseudo-code de l’honneur mais pratiquaient souvent des actes d’une certaine sauvagerie.
Le "code de l'honneur" était surtout pratiqué par les personnages incarnés par les acteurs que vous citez.
A titre d’exemple, pour punir les prostituées qui avait fauté, il les brûlaient vives et, détail sordide, ils relevaient leur jupe, arrosaient d’essence notamment leur pubis, puis mettaient le feu à cet endroit. Il n’était pas rare à cette époque de retrouver dans une carrière ou une calanque le cadavre calciné d’une femme.
Ce type de pratique n’était pas le fait de quelques marginaux, mais était d’usage assez fréquent parmi les truands qui souvent débutaient ; ne pas oublier que le proxénétisme était le socle de leurs activités délictueuses, les autres (hold-up, cambriolages, trafics divers, etc.) n’étaient souvent possibles que grâce au premier…
Rédigé par : Trekker | 26 avril 2020 à 23:50
@ Achille | 26 avril 2020 à 21:02
"Nous vivons une époque de plus en plus détestable."
Cette idéologie gauchiste à laquelle vous adhérez en est la cause, regardez-vous dans un miroir avant de donner des leçons.
Rédigé par : sylvain | 26 avril 2020 à 23:19
@ hameau dans les nuages
"Gnia gnia gnia ! Les autres font pareil ! C'est pas moi Msieur qui ai commencé, c'est lui !
Cela relève de la cour d'école."
Vous ne comprenez RIEN. On ne parle pas de commencer comme dans une dispute... Il n'y a pas de dispute entre délinquants et non-délinquants à propos des personnes âgées.
Ce qu'il y a, c'est une attitude "sans dignité" de bien des gens envers les personnes âgées.
"Vous justifiez ainsi votre tétanie dans l'action. J'espère que voyant une personne âgée agressée vous interviendrez au lieu de passer votre chemin pensant que les fonds de pension de toute façon font pareil dans les maisons de retraite ?"
Quelle tétanie dans l'action ?
J'appelle chacun à réagir contre TOUS les abus. Je ne cherche pas à justifier une éventuelle absence d'action de ma part.
Mais puisqu'on en est au procès d'intention, je vous en sers un illico !
Je pourrais vous dire que concentrer tout l’opprobre sur les voyous permet de ne pas voir les abus des "gens bien".
Et donc de ne pas aller vérifier ce qui se fait dans les maisons de retraite et dans les familles.
"Ainsi de suite vous sortez du chapeau des faits condamnables minoritaires pour en faire la majorité et ainsi..."
La vérité, c'est que personne ne sait compter des abus qu'on cache. Forcément... Mais au cours de l'Histoire, et partout et toujours j'ai pu voir qu'on a tendance à abuser des faibles.
C'est condamnable et majoritaire. Mais qu'est-ce que je peux dire à un paysan ne comprenant même pas que c'était le cas des paysans ? Il y a aussi des femmes dans le déni. Est-ce que la lucidité serait un luxe de puissant ? comme dit l'autre.
Enfin, par charité envers vous, et surtout pour réveiller les gens du blog. Il ne faut pas les jeunes soient trop confiants ou on abusera des vieux sans qu'ils s'en rendent compte. S'il vous plaît, ne les poussez pas à aller en maison de retraite !
Que les vieux résistent aux pressions tant qu'ils le peuvent !
Et à cause de Hameau dans les nuages, je dois essayer de faire toucher du doigt que l'eau est humide.
Alors que les faibles ont tendance à être abusés ! Ce sont les autres qui devraient prouver que, par exception, on n'abuse des faibles que de façon très minoritaire.
Réfléchissez-y !
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/elder-abuse
https://www.cairn.info/revue-vie-sociale-et-traitements-2005-2-page-116.htm
https://www.liberation.fr/societe/1999/02/15/sos-papys-battusle-reseau-allo-maltraitance-des-personnes-agees-recense-les-violences-dans-les-maiso_264957
Le dernier : la tenue de grabataire et le dressage des vieux à vite manger m'a bien plu.
Il est ÉVIDENT que cela maltraite TOUS les pensionnaires et qu'on n'a pas là le cas de quelques individus maltraitants, des méchants, alors que les autres, la majorité, on va supposer, serait bons.
Tout commence le premier jour : ce n'est pas un système qui se dégrade mais le système qui est ainsi et dresse les vieux dès le premier jour de même qu'on conditionne les prisonniers.
Enfin, on peut préférer diaboliser les voyous dans la rue, je dis voyous dans la rue car on pourrait dire voyous des familles ou voyous des maisons de retraite, mais le voyou, c'est celui des rues, qui fait désordre.
Parce que sur ce blog et ailleurs il y a la jurisprudence Polanski ! Si on échappe à la justice et qu'on est bien intégré socialement, on ne saurait être un transgresseur, ou alors ça ne compte pas, ou si on a des brebis galeuses, c'est SI minoritaire.
En fait, ça ne me paraît pas si minoritaire que ça. Mais caché, alors là "les maisons sont coiffées", c'est sûr.
A l'inverse, rien ne dit que les voyous des rues soient plus souvent que la population générale, proportionnellement à son nombre, à abuser des vieux.
Aucune idée... Est-ce qu'on se fait plus pincer en abusant des vieux qu'en cambriolant les...
...résidences secondaires ?
On admirera la transition.
"Et la résidence secondaire cambriolée ! Ouais d'accord mais comment il a fait pour se la payer ? C'est pas clair non plus !"
Vous déformez mes propos.
Je dis qu'un voyou peut gagner sa vie de façon plus dangereuse mais plus digne qu'en s'en prenant aux vieux.
Et que ça rapporte.
Mais comme ça peut donner des vocations... Dans un sens c'est un moindre mal face à voler des vieux ou des pauvres ou de pauvres vieux.
Mais comme c'est un mal, je balance un lien pour se protéger de ce vol. Parce que j'écris de la manière la plus responsable possible.
Or si je condamnais les résidences secondaires, je ne me donnerais pas cette peine... Je ne suis ni contre le fait d'en avoir ni à suspecter les gens sur la manière dont ils les ont acquises.
Je suis dans le moindre mal. Comme notre hermine... Mieux vaut voler des gens qui peuvent un peu mieux se défendre que de pauvres vieux en maison de retraite.
"D'ailleurs vous-même parlez, parlez, parlez en circonvolutions, ce n'est pas clair non plus... :)"
Ce qui est clair est que vous ne comprenez pas grand-chose.
Vous niez le réel : on a tendance à abuser des faibles.
Vous me prêtez des intentions fausses.
Après le fond, la forme, vous critiquez le style mais le vôtre étant ce qu'il est, que vous dire ?
A certains je pourrais me plaindre qu'ils sont impitoyables... A vous je dirais que vous êtes pitoyable.
Rédigé par : Lodi | 26 avril 2020 à 22:27
Eh oui, les temps ont changé. Les voyous qui avaient le code de l’honneur comme dans les films d’Henri Verneuil, avec dialogues ciselés par Michel Audiard, c’est terminé
Les caïds n’ont plus le charisme d’un Jean Gabin ou d’un Lino Ventura, le physique ravageur d’un Alain Delon, la gouaille de Jean-Paul Belmondo.
Désormais nous avons affaire à des petites bandes de loubards capables de vous suriner pour un mauvais regard, attaquer une vieille femme pour lui voler son sac à main.
La dignité ne fait plus partie de l’école de la rue. Un retour à la vie sauvage en somme.
Et rien ne permet de penser que les comportements changeront. Il suffit de voir ce qui se passe pendant la crise sanitaire : délations, diffamations, violence dans les ménages, mais aussi dans la rue.
Nous vivons une époque de plus en plus détestable.
Rédigé par : Achille | 26 avril 2020 à 21:02
@ sylvain
« Ben ouais, sauf que, une fois guillotinés on était sûr que ces salopards ne recommenceraient pas.
Alors qu’avec ces salopards de juges gauchistes complices du crime, on est sûr qu'ils recommenceront ad vitam aeternam.
C'est ça l'avantage de la guillotine, je suis POUR ! »
Vouloir se débarrasser des salopards, c’est typiquement un réflexe d’assassin, un réflexe qui fait de vous un salopard. Comment ne vous en rendez-vous pas compte ?
Allez-vous me répondre que, dans la vie, il faut être plus salopard que les salopards ?
Si vous le faites je vous demanderai si vous connaissez la différence entre la civilisation et la barbarie, entre la loi et la loi de la jungle...
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 26 avril 2020 à 19:56
@ Patrice Charoulet | 25 avril 2020 à 22:13
Monsieur Charoulet vous vous exprimez courageusement et vous dites ce que beaucoup d'entre nous pensent.
Nous sommes entre les mains d'une mafia qui veut notre peau.
Rédigé par : Y.S. | 26 avril 2020 à 19:11
@ Cyril Lafon | 26 avril 2020 à 14:25
J'ai l'impression que vous vouliez dire quelque chose.
Rédigé par : Y.S. | 26 avril 2020 à 19:06
Touche pas à mon pote
Faut brûler la France
La justice aux cinglés
Moi ze ve venir en France.
Pourquoi ?
La zecu, les femmes, si tu travailles pas on te paie, tu peux mettre le feu partout et si tu te fè choper, tu cries aussitôt RASISTE et ils se barrent car ils ont peur de toi. Vraiment la France est un grand pays pour l'Africain, alors je veux aller voir Macron pour lui dire merci toubabou.
Rédigé par : Y.S. | 26 avril 2020 à 19:00
@ Cyril Lafon | 26 avril 2020 à 14:25
« Avant 1981, les guillotines présentes dans les prisons, alors en état de fonctionnement, n'ont nullement empêché la commission de crimes ! »
Ben ouais, sauf que, une fois guillotinés on était sûr que ces salopards ne recommenceraient pas.
Alors qu’avec ces salopards de juges gauchistes complices du crime, on est sûr qu'ils recommenceront ad vitam aeternam.
C'est ça l'avantage de la guillotine, je suis POUR !
Rédigé par : sylvain | 26 avril 2020 à 16:07
@ carl roque
Grosso modo d'accord mais vous savez comment utiliser les masques, vous ?
Pourquoi n'a-t-on pas de messages télévisés concernant l'utilisation des masques et les erreurs à ne pas faire, que je constate, au doigt mouillé, pour plus de la moitié des cas, dans la rue et les magasins ?
Ça c'est le problème, en plus du manque de masques malgré sainte Roselyne.
Rédigé par : S Carioca | 26 avril 2020 à 15:02
Le délit, dans son concept-même est condamnable, certains sont condamnables sans être pour autant immoraux, rouler à 130 km/h sur une voie express est interdit, pour autant y a-t-il une immoralité à évoquer ?
Eu égard aux délinquants sans dignité que vous évoquez Monsieur Bilger, il est évident que ces derniers, outre la transgression juridique dont ils font l'objet, se manifestent par un dégoût, une abjection morale, exemple le vol de peluches sur la sépulture d'un enfant.
De plus, comment expliquer l'accomplissement de tels actes, commis par des semblables ?
Ces délinquants ont parfaitement conscience de ce qu'ils font, ils sont même, j'ose l'écrire, intelligents, non pas dans la commission stricto sensu du délit mais dans leur être-même (l'intelligence zéro, tout comme la mémoire zéro n'existent pas !).
Nombre d'Einsatzgruppen qui, lorsque la Wehrmacht a envahi l'URSS en juin 1940, fusillaient hommes, femmes et enfants dans des fosses communes, étaient élevés sur le plan social, certains étaient des diplômés de l'Enseignement supérieur, et pourtant !
Ces délinquants sont soustraits à la morale des plus banales, par la banalisation de la conscience, simplement attirés par le côté lucratif du délit.
Tout le monde sait très bien que l'argent dénature l'être humain, au point d'en perdre la raison et la morale, parfois pour en arriver jusqu'au crime, tel l'assassinat d'une personne pour percevoir les primes du contrat d'assurance-vie que cette dernière a souscrit, sachant que l'on en est un bénéficiaire, a fortiori si l'on en est le seul bénéficiaire.
L'accomplissement de tels délits s'explique très souvent par l'histoire du délinquant, l'environnement socio-éducatif dans lequel il a grandi, le lieu géographique dans lequel il a évolué, la scolarité qu'il a eue, les fréquentations qu'il a pu avoir. Comme le dit très bien Eric Dupond-Moretti, nous sommes tous le fruit de notre histoire, mais les histoires varient entre les personnes.
La financiarisation de l'être humain et des objets renvoie l'humanité à un second degré, l'argent puis l'humain, le financier puis la chaleur humaine !
J'écris ceci en dehors même du contexte sanitaire qui nous régit aujourd'hui.
Est-ce que la Justice peut lutter contre ces délinquants sans dignité ?
Certainement pas, non pas parce qu'elle serait incompétente, trop laxiste, trop lente ou que sais-je encore, mais tout simplement parce que ni la Justice, ni les valeurs de la République, ni le Code civil ou le Code pénal n'influent sur la psychologie humaine, tellement cette dernière est complexe.
Avant 1981, les guillotines présentes dans les prisons, alors en état de fonctionnement, n'ont nullement empêché la commission de crimes !
Rédigé par : Cyril Lafon | 26 avril 2020 à 14:25
@ Patrice Charoulet
Il n’y a pas de « crime impardonnable », le confinement n’est pas en soi un « crime impardonnable » mais, très certainement, il aurait pu et dû être décidé plus tôt et aurait pu alors être moins strict, à la suédoise.
Il est vrai que le confinement a été décidé pour protéger des victimes visibles mais en oubliant les victimes invisibles qu’il ferait immanquablement.
Myopie classique, mise en évidence, dans un autre domaine, par Alfred Sauvy : l’augmentation du SMIC profite aux chômeurs visibles mais oublie les chômeurs invisibles qui résultent de l’adaptation des entreprises à cette augmentation.
Mais comment faire ? Laisser l’économie tourner et laisser mourir ceux que des hôpitaux submergés ne peuvent pas prendre ? Nous sommes en quelque sorte prisonniers de la technique : ayant les moyens de soigner, nous ne pouvons pas y renoncer...
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 26 avril 2020 à 12:51
"Des délinquants sans dignité"
Ah bon ? Vous découvrez cette attitude à votre âge cher P. Bilger ?
"Il y a donc des délinquants sans dignité" écrivez-vous ! Bien sûr !
Oui, comme il y a des juges sans dignité, des médecins sans scrupule, des artistes sans talent, des conducteurs sans lucidité...
Par cotre les délinquants - avec dignité - je demande à voir !
Pour des actes qui existent depuis la nuit des temps, vous avez l'air de les apprendre. Naïveté facile ou humeur d'un jour ? Ou confinement tranquillement bourgeois ?
Et vous finissez dans l'humanisme social à la macronienne : "Juste des frères égarés, rien de plus, rien de moins".
Il y a des égarements qui commencent à me faire monter la moutarde au nez. Pas vous apparemment cher P. Bilger.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 26 avril 2020 à 11:49
@ Lodi | 26 avril 2020 à 08:23
Gnia gnia gnia ! Les autres font pareil ! C'est pas moi Msieur qui ai commencé, c'est lui !
Cela relève de la cour d'école.
Vous justifiez ainsi votre tétanie dans l'action. J'espère que voyant une personne âgée agressée vous interviendrez au lieu de passer votre chemin pensant que les fonds de pension de toute façon font pareil dans les maisons de retraite ?
Et la résidence secondaire cambriolée ! Ouais d'accord mais comment il a fait pour se la payer ? C'est pas clair non plus !
Ainsi de suite vous sortez du chapeau des faits condamnables minoritaires pour en faire la majorité et ainsi...
Et c'est ainsi que ce pays s'enfonce dans l'indifférence et la lâcheté, s'enfermant au sens propre comme au sens figuré.
D'ailleurs vous-même parlez, parlez, parlez en circonvolutions, ce n'est pas clair non plus... :)
https://www.youtube.com/watch?v=3DN1YZd-vZM
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@ Vamonos | 25 avril 2020 à 20:47
"les délinquants vont devoir rendre gorge".
Hélas ! hélas ! Cela va être le contraire.
Voyez cette image hautement symbolique. La Gendarmerie patrouille dans la nuit noire, épiant les phares de voiture ou de mobylette sur les routes désertes en pleine campagne. Mettre une cartouche de 135 euros à l'amant allant voir sa copine ou le gars rentrant chez lui après être allé boire un coup en catimini. On ne peut pas dire que la relation soit au beau fixe avec cette histoire de confinement.
La Gendarmerie donc, à la recherche de bandits de grands chemins déserts tombe sur Goupil. la voiture s'arrête, un gendarme descend avec son jambon beurre et délicatement donne à manger au renard. La scène est immortalisée et confiée au journal local qui en fait un bel article, vidéo à l'appui. Il faut bien apporter la preuve et faire un rapport circonstancié... (J'ai hésité à mettre l'article vu la susceptibilité de Gendarmes maintenant originaires le plus souvent de la ville.)
Sûr que mes amis ayant eu leur poulailler dévasté par le passé ont apprécié... Et que l'image de la Maréchaussée sera renforcée chez les anthropomorphistes et autres chasseurs de poule. C'est tellement doudou un renard...
Vous me direz que les loups aussi...
On va vivre une époque formidable.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 26 avril 2020 à 10:57
Le pardonnable et l'impardonnable.
Il y a des fautes qui peuvent être pardonnées parce que pouvant être réparées, et d'autres qui ne le peuvent pas.
Au bas de l'échelle nous trouverons l'injure - étymologiquement, ce qui va à l'encontre de la lumière. Selon les circonstances, elle sera ou non une atteinte impardonnable au mystère de l'être. Dire froidement et posément à une femme qu'elle est laide, ne pourra jamais être pardonné par cette dernière - contrairement d'ailleurs à une violence physique.
Dire à une femme qu'elle est laide peut la conduire au suicide.
Voler les souvenirs de son prochain ne peut être pardonné car il peut s'agir d'objets dont la valeur est essentiellement spirituelle, et être privé des supports de ses racines peut briser l'âme et conduire une personne âgée à se laisser plus ou moins aller à mourir.
La faute contre l'esprit, à l'avant de l'être, ne peut être pardonnée. C'est le droit chrétien.
Non seulement la victime ne pourra pardonner un préjudice d'ordre spirituel, mais l'auteur de la faute qui ne pourra jamais non plus se la pardonner.
Dès lors, il n'y a pas de salut possible, la vie n'a plus de sens, et la mort est une délivrance.
C'est ainsi que dans le fabuleux film "Le retour de Martin Guerre" sur des faits réels de 1560, l'usurpateur remercie le juge de l'avoir condamné à mort.
Mais dans le pays qui a tourné le dos au spirituel au point de ne même plus rien comprendre au sens de ce mot, dans notre civilisation pourrie jusqu'à l'os, Philippe Bilger lui-même est réduit à la démission intellectuelle, et ses commentateurs au hors sujet.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 26 avril 2020 à 10:44
Il est des périodes qui, plus que d'autres, mettent en lumière les différentes facettes de la nature humaine. Il en est ainsi de celle que nous traversons.
Le bien et le mal s'y mêlent, comme dans les temps plus ordinaires, mais ils s'y expriment, tant l'un que l'autre, avec plus d'intensité, profitant en ces périodes de motivations stimulées, d'un champ d'expression élargi.
Si l'imagination se met à leur service de manière souvent sans limites, ce ne peut être malheureusement en ces circonstances et s'agissant du mal que pour le pire, révélant en ce domaine les instincts les plus vils, les plus répugnants de la nature humaine.
On aimerait alors pour ceux qui profitent de ces circonstances les sanctions les plus sévères, à la hauteur de la lâcheté de leurs actes et du dégoût, de l'écoeurement qu'ils inspirent.
Rédigé par : Michel Deluré | 26 avril 2020 à 10:33
Mais pourquoi l'incroyant prône-t-il le châtiment de ses aigreurs ?
Parce qu'il est croyant, en ses aigreurs !
Signé : une buse qui s'amuse.
Rédigé par : Aliocha | 26 avril 2020 à 10:32
Et ceux-là vous croyez qu'ils ont des états d'âme pour notre santé ? Si on les radiographiait on verrait un tiroir-caisse à la place du coeur, le jackpot à l'infini :
https://www.bing.com/videos/search?q=ils+veulent+nous+faire+avaler+la+pillule&&view=detail&mid=60072F94E14D5555656B60072F94E14D5555656B&&FORM=VRDGAR&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3Dils%2Bveulent%2Bnous%2Bfaire%2Bavaler%2Bla%2Bpillule%26FORM%3DHDRSC3
Rédigé par : Giuseppe | 26 avril 2020 à 09:56
Lors d'un débat sur la délinquance de plus en plus violente et de plus en plus jeune, mené sur un plateau TV en 2002 avec deux politiques socialistes, un procureur pour mineurs du 93 et un psychiatre, l'un des députés de l'Essonne à la montre Rolex offerte par l'Arabie saoudite avait pris la parole et sorti une des plus grandes imbécillités, affirmant que ça ne sert à rien de les condamner mais qu'il vaut mieux tous les psychiatriser.
Pas de psychiatrisation et pas de punition. On laisse faire pour répandre l'épidémie de la délinquance ! Et les premières visées, les victimes âgées les plus fragiles et sans défense, jusqu'à s'infiltrer dans l'EHPAD pour fracturer leurs coffres et les dépouiller du peu d'argent (maximum 80 euros/mois) que leur laisse ces institutions-mouroirs après les avoir fait cracher au bassinet. Savez-vous que le principal actionnaire est Korian, le grand spéculateur à la Bourse ?
Rédigé par : Ellen | 26 avril 2020 à 09:46
Faut-il admettre qu'une infime minorité est en effet irrécupérable, sans barrage devant ce que la morale même la plus simple prohibe ?
La morale ?
Mais que reste-t-il de l'idée de morale dans un pays dont les représentants sans foi ni loi ont pour devise « ni Dieu ni maître » ?
Nous ne faisons que récolter ce qu'ils ont semé, éventuellement avec notre passivité voire notre complicité.
Rédigé par : Exilé | 26 avril 2020 à 09:38
"Il y a donc des délinquants sans dignité" (PB)
Autrefois les vieux du village disaient qu'ils étaient des "sans honte".
Sans dignité ou sans honte, c'est presque la même chose.
Presque parce que le "sans dignité" se rapporte à soi-même, l'effet que donne un miroir d'un comportement transgressif.
Le "sans honte" se rapporte à un observateur extérieur portant jugement moral.
C'est peut-être ce qui manque actuellement dans notre société, un observateur extérieur.
Le "extérieur" signifiant un observateur portant la responsabilité de la morale.
Évidemment ça peut être Dieu, mais si je dis Dieu, les athées et les agnostiques me diront que la morale n'a rien à faire avec une transcendance, ce qui est vrai et faux en même temps.
Ce peut être aussi la Voie taoïste qui gouverne l'ordre de la société. On adhère ou pas à ce concept de Voie par laquelle la Vie se développe en suivant un ordre naturel.
Autrefois dans les sociétés antiques, il appartenait à l'empereur de rendre compte au peuple du dérèglement de la société, climatique ou épidémique.
Et l'empereur devait faire pénitence et contrition pour rétablir l'ordre naturel qui avait disparu.
Vous vous rendez compte de la différence avec notre société où non seulement l'empereur ne rend pas compte du dérèglement climatique dont il est en partie responsable puisque mondialiste, mais de surcroît il ment, en faisant dire à ses porte-parole successifs des mensonges énormes qui perturbent encore plus l'ordre de la société.
Autrement dit il aggrave le désordre dans le fonctionnement de la société.
Ah, l'histoire du masque ! Quel exemple parfait du mensonge qui n'est même pas un mensonge d'État comme tous les régimes en connaissent.
Le mensonge d'État a pour objet la préservation de l'État dans ses fondements en sacrifiant le superflu.
Mais le mensonge à répétition de Jérôme Salomon, et des autres disant un jour le contraire de ce qu'ils avaient dit une semaine avant, n'est pas un mensonge de préservation étatique.
C'est un mensonge de lâcheté pour dissimuler, et bien mal, des fautes de direction.
Un petit mensonge de petites gens.
C'est tout un art de mentir. Il faut se souvenir de son mensonge, ne pas le contredire, l'adopter pour le conduire éventuellement sur le droit chemin, qui n'est pas celui de la vérité, laquelle n'existe pas en politique, mais pour s'en servir en le desservant le jour venu.
Incapables de pareille subtilité, "Ils" sont nuls de chez nuls, circonstances aggravantes à leur incompétence.
Comment voulez-vous qu'un délinquant ait la moindre dignité lorsqu'il s'aperçoit de la nullité, de l'absence de dignité et surtout du vide de moralité de dirigeants qui devraient être exemplaires.
Rédigé par : Tipaza | 26 avril 2020 à 08:59
Nous avons une double délinquance, celle des caïds de banlieues et celle du gouvernement élyséen. Les premiers agressent avec une violence extrême et se jouent des forces de l'ordre, et le second se joue du peuple et des 8 300 résidents les plus fragiles morts de covid-19 en deux mois sans aucune protection sanitaire pour un total de 23 000 ans sans compter tous les morts à leur domicile du covid-19 et ceux morts par manque de soins à cause des hôpitaux saturés sur tout le territoire national.
Revenons un peu en arrière.
Je me demande ce que pouvait bien se raconter et tramer en "conseil des ministres à huis clos", le cinquième en deux semaines, sachant que tous les ministres n'étaient pas invités à la table comme de coutume une fois par semaine pour partager les idées.
Juste quelques chefs de cuisine au fourneau pour nous préparer la soupe à la grimace ?
Au lendemain du premier tour des municipales du 15 mars et après la défaite d'Agnès Buzyn (LREM), il fallait rebattre les cartes. On annule tout et on recommence. Comme le gouvernement a pris deux mois et demi de retard sur la prévention du Covid-19 il fallait monter un gros stratagème :
1. Y avait le feu au lac. Un conseil de défense très restreint s'était tenu à l'Elysée le lundi 16 mars au soir autour d'Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour tirer les leçons du premier tour du scrutin municipal et dresser un état des lieux de la propagation du Covid-19 alors que l'Italie comptait ses morts par milliers et que la France était officiellement passée au stade 3 de l'épidémie le samedi 15 mars, la classe politique se divisait depuis samedi soir sur la pertinence de maintenir ces élections et la possibilité d'organiser le second tour pour le dimanche d'après.
Comme ce gouvernement jouait à quitte ou double, il ne restait qu'une seule solution après le retard pris, museler le pays et envoyer la population confinée à la maison.
Fermeture de tous les établissements scolaires décrétée dès le jeudi par le chef de l'Etat Macron, annoncée par le Premier ministre Edouard Philippe le samedi soir, clôture de tous les lieux recevant du public non indispensables à la vie du pays (écoles, restaurants, bars, hôtels, discothèques, cinéma, théâtres, coiffeurs, dentistes, kinés, salons d'exposition, salles de sports, commerces non alimentaires, excepté les bureaux de tabac (l'Etat) vendant les tickets à gratter de la FDJ (perdants à 96 %) privatisée montée en Bourse il y a un mois à + 380 % pendant que d'autres entreprises chutent, etc.).
Un vrai jeu de dupes !
Avant le 15 mars on nous parlait de défense des municipales, et deux jours après on nous parlait de défense du pays contre l'épidémie.
Comme il s'agissait d'un cinquième conseil de défense à l'Elysée depuis le 29 février, les seuls ministres réunis à ce conseil en petit groupe (faut pas qu'il y ait de fuites par les petits oreilles indiscrètes) étaient: le Pr. Jérôme Salomon (directeur général de la santé), Olivier Véran (Santé), Jean-Yves Le Drian (Affaires étrangères), Christophe Castaner (Intérieur), Florence Parly (Défense), Bruno Le Maire (Economie) et Jean-Michel Blanquer (Education).
Tout ce petit monde a rétropédalé pour tenter de se racheter. Mais pas tout à fait puisque quelques jours plus tard, ils en sont tous revenus à corriger leurs copies. Des couacs, encore des couacs.
Pendant ce temps, la Chine observant l'inaptitude et l'incohérence de nos dirigeants à prendre au sérieux l'épidémie qui ravage déjà le pays et l'Europe, se frotte les mains et prépare dans son pays communiste sa propre défense contre les pays qui l'accuseraient d'avoir créé le covid-19 et menti au monde entier sur toute la ligne.
Notre gouvernement, en pleine formation, teste les Français: "Ne vous inquiétez pas les enfants, l'Etat s'occupe de tout, il a trouvé des milliards d'euros pour vous tirer du pétrin. Pendant que vous resterez chez vous, payés à ne rien faire, l'Etat continue à travailler pour votre bien-être.
C'est quand le gouvernement est menacé qu'il devient vite mère nourricière ?
En retour l'addition va être salée. Je le répète, ce sont les fautifs qui doivent payer : la Chine responsable et coupable de l'épidémie mondiale et la BCE tuteur de toutes les banques européennes. Les populations ont déjà donné leur part, des morts injustes par centaines de milliers et la souffrance de leurs familles ajoutée à celle des millions de salariés mis au chômage.
Restez chez vous, le gouvernement vous protège... Sans blague !!
Rédigé par : Ellen | 26 avril 2020 à 08:54
"Attaquer une personne âgée après l'avoir suivie"
Le délinquant imite.
Il n'est pas le seul à siphonner la retraite des personnes âgées :
https://www.marianne.net/societe/maison-de-retraite-comment-plombe-compte-vieillesse
Il n'est pas le seul à les maltraiter :
https://actu.orange.fr/france/videos/sante-la-maltraitance-des-personnes-agees-en-hausse-CNT000001cXcZL.html
Institutions, proches et en augmentation ! Telle est la violence dirigée contre les personnes âgées.
Générale, donc... Je dis donc que si les délinquants ne s'y adonnaient pas, ils seraient PLUS vertueux que le reste de la population. C'est beaucoup demander à des gens qu'on accable contradictoirement de son mépris.
Focaliser sur le délinquant me semble un biais discutable, même si peut-être inévitable chez un magistrat honoraire.
Mais comme je l'ai dit, c'est la société qui est maltraitante envers les seniors.
Il faut être constructif, paraît-il... Alors lançons un appel à tout le monde, "gens bien", mais l'est-on quand on bat quelque innocent, vieux, conjoint dans son couple, enfant ?
Il est vrai qu'on défend encore la fessée ou de menacer les enfants ! Et il en est pour dire de battre sa femme pour éviter le divorce.
Bref, et si personne ne DIT qu'il faut battre les vieux, combien pour les abandonner ou leur faire payer de ne pas l'être par des coups ?
Bref, que les "gens bien" et les autres cessent d'accabler les faibles.
Enfin, des "gens bien" ne maltraitent personne, et des voleurs sachant voler peuvent cambrioler des gens qui ne sont ni les plus faibles ni les moins générateurs de butin d'où quelques conseils pour s'en protéger :
https://www.verisure.fr/guide-securite/cambriolage/definition/cambriolage-maison/residence-secondaire
"Cet opprobre supplémentaire pouvait aussi bien résulter d'un accomplissement en tel ou tel lieu généralement respecté, une église par exemple, ou au détriment de victimes très âgées à leur domicile, par ruse ou violence, ou dans la rue, ou au cours de moments particuliers qui paraissent exiger comme une tranquillité publique consensuelle à cause de douleurs et de tragédies communément partagées".
Je suis d'accord, mais là encore, il n'y a pas que des gens dans l'exercice d'une délinquance pour briser une paix consensuelle.
Tandis que j'applaudissais les soignants, et plus généralement, les personnes permettant de tenir pendant le confinement, un fâcheux est venu me dire que c'était débile et le reste de ses théories dont j'ai oublié une bonne part sauf qu'il était nazi, musulman et antisémite au point de désirer que ce peuple subisse à nouveau un génocide. Que dire ? Qu'ils n'étaient jamais que des boucs émissaires.
Mais comment ferais-je mieux que les parents de ce garçon ? Maman sociologue et père militaire, d'où le fiston aussi, je crois, je ne sais plus trop, cela date de plusieurs jours... Et donc, si je me sens un peu en dessous de ma forme habituelle, je ne viens plus applaudir, car il faut déployer une certaine énergie pour contrôler ce genre d'individu. Moi qui évite extrémistes de droite, de gauche et musulmans, hors du blog, on ne peut décidément y échapper... Ouvrir ses fenêtres, c'est applaudir en communion avec le ciel au-dessus de soi, mais c'est vite gâché, comme tout en ce bas monde.
Les provocateurs de ce genre m'ennuient profondément...
Il y a pourtant un bémol, les croyants provoquent, eux aussi :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-un-conseiller-proche-de-trump-affirme-que-les-homosexuels-sont-l-origine-du-covid-19-6795040
Ils sont dangereux, en rejetant la responsabilité du virus sur des innocents, ils incitent tacitement le reste de la population à les persécuter.
Si donc des homosexuels, ou d'autres gens, voyons, femmes freinées quand elles veulent avorter et je pense que d'autres cas échappent à mon attention, venaient perturber l'office, cela pourrait se comprendre.
Tu menaces ma liberté, je menace la tienne. Tu tends à prendre le contrôle de mon corps, j'occupe ton lieu de culte. C'était ce que faisaient les excitées aux seins nus en France.
Mais c'était malavisé. D'une part, certains croyants sont innocents, d'autre part, cela ne sert qu'à se faire plaisir et ne fait pas avancer ses pions... Pitoyable.
On rentre sur le champ clos du débat public armé de sa seule intelligence, elle qui est le moyen et la fin de toute activité intellectuelle comme la vérité est le but de la recherche.
Bref, les croyants sont dangereux, désignant des victimes, comme on l'a vu plus haut, et se mettant parfois, quand monothéistes, en guerre les uns contre les autres ou des gens qui ne sont pas plus affriolés par leur croyance que moi par la laitue à laquelle je préfère la mâche ou le cresson. La joie de certains pour le paraît-il châtiment de Dieu, celle des écologistes qui deviendra orgasmique lors de la disparition de notre espèce si j'en juge par leur attitude et celle d'extrémistes contents de ce qui leur semble une opportunité m’écœurent.
Ces réactions, à vrai dire prévisibles, me donnent un regain d'aigreur bien naturel pour les matrices de tels comportements, en plus de souhaiter la mort immédiate par le fléau de ceux qui se réjouissent du fléau. Comme l'univers n'est pas juste, cela ne risque pas d'arriver, mais tout de même, c'est rageant.
On parlait de style des bandits ?
Les serial killer pourraient être utiles, et au lieu de s'en prendre par exemple, à de pauvres prostituées, nous faire le ménage des braillards de la fin du monde.
Rédigé par : Lodi | 26 avril 2020 à 08:23
Peut-être que plus jeunes, on ne leur a pas assez parlé ou que leur doigt d'honneur était en fait un appel au secours et a été mal interprété. :)
Sinon la bataille entre avocats au barreau de Valence est assez croustillante, certains estimant que l'égorgeur de Romans-sur-Isère était comme un frère pour eux.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/terroriste-presume-de-romans-les-messages-injurieux-qui-sement-l-emoi-au-barreau-de-valence-10-04-2020-8297628.php
Quand la justice est une impasse, la rue est un boulevard.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 26 avril 2020 à 00:24
"Des délinquants sans dignité…"
Ah mais où est passé le bon vieux temps des Arsène Lupin et Simon Templar ?
Rédigé par : Claude Luçon | 25 avril 2020 à 23:33
A mes yeux, le crime impardonnable est d'avoir décidé ce confinement général, avec pour conséquence la ruine de l'économie française. La situation provoquée par MM. Macron et Philippe risque de rappeler l'année 1929. Rappelons que le tabac provoque 75 000 morts par an en France, qu'on ne s'en émeut guère et qu'on continue à en autoriser la vente... même en cas d'épidémie (les ventes ont d'ailleurs augmenté pendant le confinement, ce qui augmentera le nombre de morts cette année). Et rappelons que le nombre de morts coronavirus sera proche du nombre de morts de la grippe de certaines années. Et que la clique Véran-Buzyn-Salomon et quelques autres médecins de bureau a fait obstacle par tous les moyens à la bithérapie du professeur Raoult en interdisant aux généralistes de le prescrire et aux pharmaciens de le donner. Autre crime dont ils devront rendre compte après ce calamiteux quinquennat, qui je l'espère ne sera pas renouvelé. Ces gens me dégoûtent au souverain degré, plus que vos petits délinquants. J'attends qu'un sondeur me téléphone pour donner mon opinion sur cette engeance.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 25 avril 2020 à 22:13
La loi martiale est devenue inévitable. Les délinquants devront rendre gorge.
Rédigé par : Vamonos | 25 avril 2020 à 20:47
@ carl roque | 25 avril 2020 à 20:29
Exact. Mais l'un n'empêche pas l'autre.
Rédigé par : Lucile | 25 avril 2020 à 20:46
Pour moi, envoyer la population dans les rues en période de pandémie, sans masque, en disant que c'est inutile et même dangereux, ça c'est vraiment de la délinquance grave.
Rédigé par : carl roque | 25 avril 2020 à 20:29