"J'ai changé" : une constante présidentielle...

On a le droit de s'offrir de petites joies avec certains travers de notre vie politique et de ceux qui ont l'honneur de présider notre pays.

Si Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron sont liés par une complicité quasi amicale, le second exploitant avec un grand art la propension du premier à se croire toujours nécessaire, autre chose les unit (voir le billet du 18 août 2019 "Macron-Sarkozy : l'habileté de l'un, la vanité de l'autre...").

En effet combien de fois, durant son quinquennat, Nicolas Sarkozy ne nous a-t-il pas annoncé qu'il avait changé, moins d'ailleurs sur le plan politique que sur le plan personnel ! On pouvait faire des progrès en calcul rien qu'en dénombrant ses métamorphoses proclamées comme, d'ailleurs, dans un tout autre registre, la multitude de ses invocations à la présomption d'innocence.

Et Emmanuel Macron, notre Bonaparte de 2017 susceptible de devenir, on peut le craindre, notre Henri Queuille de 2021, n'est pas en reste, au point de nous donner le tournis. À plusieurs reprises, d'un air apparemment sincère, il nous a murmuré, quasiment sur le ton de la confidence, qu'il n'était plus le même et qu'il avait compris.

Sur le thème de l'écologie, pour les Gilets jaunes, au sujet de la réforme des retraites, pour le Covid-19 et enfin, je m'en souviens, sur sa lucidité recouvrée tenant à la confiance excessive qu'il octroyait à tel ou tel, notamment Alexandre Benalla (Huffington Post).

Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron nous ont offert, et pour le second je parie que ce n'est pas terminé, des histoires d'eux-mêmes évolutives, parfois contrastées. On ne s'ennuie pas en les laissant dérouler devant nous le fil de leurs mouvements psychologiques et politiques.

Faut-il les tourner en dérision ? je ne crois pas. Je ne suis pas sûr qu'ils aient cherché à nous tromper. Ils s'imaginaient vraiment que leurs changements affichés par le verbe allaient engendrer, dans la réalité, les voltes qu'ils souhaitaient.

Alors qu'illustres ou anonymes, au pouvoir ou non, nos tendances profondes demeurent les mêmes et qu'on s'aperçoit vite, l'âge ne faisant qu'accuser encore davantage la pente négative ou positive d'un tempérament, de cette stabilité.

Je doute par exemple que Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron se privent un jour d'une image flatteuse d'eux-mêmes.

Au fond on ne se refait pas : on s'aggrave

Il y a un paradoxe dans notre histoire politique. Les seuls qui ont indiscutablement changé sur le fond n'ont jamais eu l'envie de proclamer publiquement ces variations. Jacques Chirac ainsi a porté plusieurs casaques, influencé par des écuries parfois antagonistes. François Mitterrand a rompu en 1983 avec le catéchisme de l'idéologie socialiste qui lui avait permis de se faire élire. Mais Jacques Chirac en aurait eu trop à avouer et Mitterrand, jusqu'au bout, a tenu sur une ligne récusant le reproche d'une nouvelle orientation à tonalité libérale.

J'ai changé : une constante présidentielle. En tout cas pour Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron.

2022 sera-t-il pour le second l'équivalent de 2012 pour le premier ?

Comments

[Rédigé par : breizmabro]

@ Exilé 11 mai 11:49
"...il faisait fureur..."

Je n'aurais pas dit mieux mis à part peut-être l'oubli du tréma sur le "u", l'absence du "h" après le "r" et un "u" trop français :D

[Rédigé par : Exilé]

@ Breizmabro
« Bon d'accord son discours à la porte de Versailles c'était pas mal non plus, en moins culturel... Mais ça c'était avant, avant qu'"on" lui règle sa posologie :D »

Il faut bien reconnaître que dans ce rôle il faisait fureur...

[Rédigé par : caroff]

@ Exilé 16h23

C'est une excellente question et nous vous remercions de l'avoir posée...

-----------------------------------------------

@ Breizmabro 22h09
"Manu prendre des substances interdites ? Mais quelle horreur, comment peut-on imaginer une chose pareille..."

Sérieusement quand je le vois gesticuler et parler avec autant de volubilité en étant euphorique, avec cette impression de puissance, son absence de fatigue (apparente), je me demande, je me demande...

[Rédigé par : Breizmabro]

@ caroff le 09 mai à 12:42
"J'espère qu'il ne prend pas de substances interdites !"

Manu prendre des substances interdites ? Mais quelle horreur, comment peut-on imaginer une chose pareille...

Bon d'accord son discours à la porte de Versailles c'était pas mal non plus, en moins culturel... Mais ça c'était avant, avant qu'"on" lui règle sa posologie :D

Un p'tit remember pour la route ?

https://www.youtube.com/watch?v=a1r8Ad6nFSA

[Rédigé par : Exilé]

@ caroff
« J'espère qu'il ne prend pas de substances interdites ! »

C'est une excellente question et nous vous remercions de l'avoir posée...

Au fait, est-il normal que les conducteurs de voitures à pétrole voient parfois leur alcoolémie contrôlée et que les gens qui conduisent le char de l’État - celui qui navigue sur un volcan - ne fassent l'objet d'aucun contrôle de leur consommation éventuelle de substances stupéfiantes, qui est pourtant paraît-il monnaie courante dans les hautes sphères politiques ?

[Rédigé par : Achille]

@ Tipaza | 10 mai 2020 à 10:05

Pour ne rien vous cacher je préfère le style un peu guindé, genre droit dans ses bottes, d’Edouard Philippe - qu’il a emprunté à son mentor Alain Juppé - que le style baba cool d’Emmanuel Macron qui veut capter le public de 7 à 27 ans.

Il est temps qu’il change de conseiller en communication car les prochaines élections c’est dans deux ans et il y a du monde à convaincre, mais certainement pas de cette façon.

[Rédigé par : boureau]

""J'ai changé" : une constante présidentielle..."

Pour une constante, c'est une constante !

Comme les marronniers dans la presse, quand le confinement vous asphyxie, revenons aux fondamentaux saisonniers et sylvestres !

Même eux n'y croient pas ! Alors nous !!

Cordialement.

[Rédigé par : sylvain]

Eho les gadjots, vous l'avez voulu votre Macrounet, vous avez voté pour lui sans réfléchir !

Vous avez voulu faire barrage au RNHAINEUX fasciste raciste réac xéno islamophobe, au retour des Zeures sombres, à la bête immonde, aux bruits de bottes, au populisme, nationalisme... vous vous êtes mis à genoux devant les islamogauchistes capitalistes mondialistes de Soros, UE ONG mafias et leurs rafiots cossus remplis d'esclaves africains qui finissent confinés dans vos banlieues craspouilles shootés malades sales agonisants mais surtout pas chez vous ni devant chez vous, le plus loin possible, on est généreux et solidaires mais y a quand même des limites, n'est-ce pas bande de faux c*ls ?

Eh bien vous allez en ch*er maintenant ! assumez vos débilités chroniques d'incultes politiques.

[Rédigé par : Achille]

@ Cactus | 09 mai 2020 à 14:32

Rassurez-vous Cactus, je n’ai rien contre vous. Vos commentaires sont un peu abscons et éclectiques, mais pas inintéressants. Ils ont aussi le mérite de n’être pas trop longs et donc je les lis avec intérêt, même s’ils me laissent souvent perplexe.

[Rédigé par : Giuseppe]

Petite digression sur ces voraces qui comme sous l'Occupation auraient vendu père et mère pour le méchant fric, c'est à vomir.
Et l'autre qui trouvait ça normal, le chanvre est encore trop cher.

https://grandgrenoble.alpes1.com/news/locales/24178/qui-est-tewfik-derbal-le-grenoblois-qui-a-mis-olivier-veran-dans-l-embarras

[Rédigé par : Xavier NEBOUT]

Il est bien difficile de connaître le cœur des ambitieux de la politique. Ils balancent entre l'idée d'eux-mêmes et celle du pays mais sont plus ou moins liés à la bande qui les ont aidés à être élu.
De Gaulle avait les résistants, de la pègre marseillaise aux jeunes fondus d'alors type Denoix de Saint Marc, en passant par les communistes, des juifs, et ceux de la dernière heure qui ont été les plus fervents.
Les autres ont suivi avec le nom de de Gaulle, jusqu'à Mitterrand qui est arrivé avec une pègre d'une autre nature, la pègre intellectuelle de gauche.

Or, Macron est une pure émanation de cette pègre, et dans le pire, ses aristocrates, les loges comme les mafias italiennes, ont leurs vénérables qui n'ont plus le sens du bien et du mal.

Aujourd'hui, les mafias francs-maçonnes et les lobbies pharmaceutiques ont fait des milliers de morts sous prétexte de sauvegarde de la recherche et en réalité dans l'attente du butin. Macron en est le pantin.
Il n'a pas le loisir de changer, tout au plus celui de se repentir. Mais un faible d'esprit qui s'est donné à une mère de substitution en est-il psychiquement capable ?

[Rédigé par : Isabelle]

E. Macron dans tous ses états : la culture pour tous, surtout dans les quartiers défavorisés ! "L'été sera apprenant", nouveau slogan à la mode !

"Un intermittent parle aux intermittents pour « réinventer un été différent »"

"...Puis la visioconférence entre dans sa phase lyrique. Les jeunes des quartiers défavorisés pourraient assister à des répétitions dans les théâtres. « On va changer leur vie si on arrive à faire ça », lance le poète de l’Élysée. À coup sûr, les jeunes de Chanteloup-les-Vignes qui ont incendié le chapiteau du cirque venu les distraire sont impatients de découvrir le potentiel pyrotechnique d’un théâtre. Emmanuel Macron est passé à la relance des professions du bâtiment. D’une pierre, deux coups. Intermittents et maçons entrevoient la sortie du tunnel. Les marchands de matériaux exultent. Le monologue se termine sur une note d’espoir. L’été sera apprenant, à la fois culturel et tourné vers l’immobilier. Macron a quitté la terre ferme des réalités pour rejoindre la stratosphère de l’énarque agité dont il avait l’air." Jany LEROY (Bd Voltaire)

https://www.bvoltaire.fr/un-intermittent-parle-aux-intermittents-pour-reinventer-un-ete-different/

[Rédigé par : Tipaza]

@ Achille | 10 mai 2020 à 08:25

Le commentaire de caroff m'était passé inaperçu, mais votre réponse est partielle, et partiale puisque voulant minimiser le numéro de saltimbanque de Macron.

Il parlait à des saltimbanques et il a joué le saltimbanque.
J'avais constaté déjà la capacité "caméléonesque" (*) de l'individu Macron à s'adapter à ses interlocuteurs et à leur dire ce qu'ils voulaient entendre, ou ce que lui croyait qu'ils voulaient entendre.

Mais j'ai bien apprécié votre remarque sur la traduction simultanée pour les sourds, que nous inflige la moindre déclaration de nos officiels. Le plus cocasse étant lorsque Jérôme Salomon parlait des risques de l'obésité concernant le covid-19 et que l'interprète était plus qu'obèse, gargantuesque.

Votre remarque rejoint ma remarque sur le cinéma muet.
Il avait l'air de parler en se regardant dans un miroir, un grand classique d'acteur !

Finalement bien que de bords différents nous faisons... parfois... la même lecture des faits ;-)

(*) Profitons de ce que nous pouvons encore nous exprimer en français pour faire quelques néologismes.
En arabe ce sera plus difficile, bien que je possède un stock de mots que la modération pourra difficilement censurer. Quoiqu'il y aura probablement une mise à niveau de modération également le moment venu ;-)

[Rédigé par : Jérôme]

Bonjour Philippe,

S'il était moins idiot et plus juste socialement, Morveux 1er nous débarrasserait de cet infâââme statut d'intermittents du spectacle.
Voilà déjà une bonne réforme.
Tous ces ââârtistes qui après vingt ans se produisent devant trois machinistes, deux cousines et le régisseur et se pensent juste au-dessus de la moyenne parce que personne ne les comprendrait.
Ces profiteurs, acteurs, société de prod, BHL et ses avances sur recette, Romain Goupil, l'inestimable rien de la culture qui ne gagnent d'argent que parce que nous payons tout le reste.
Allez zou. Terminé.
Moins de machinistes, éclairagistes, pseudo-artistes travaillant 52 jours par an pour se faire entretenir au frais de la princesse.
Les écrivains, peintres, sculpteurs n'ont pas de statut. Ils travaillent parallèlement. Et quand ça fonctionne tant mieux pour eux.
L'exception culturelle française... L'assistanat des médiocres, des feignasses et des profiteurs.

[Rédigé par : Isabelle]

@ breizmabro

Merci pour la vidéo de notre Président qui fait des moulinets.
Mais quelle mouche l’a piqué ?
On devrait lui expliquer que les éoliennes brassent du vent mais pour un résultat plus que mitigé.

Il doit avaler les mêmes substances que Sarkozy ou que Juliette Binoche.
Sarkozy, lui aussi, avait parfois des airs d’halluciné. Il était souvent excité comme une puce.

Ils nous brassent tous beaucoup d’air tout en nous le pompant.

Quand nous voyons Macron, Trump, Kim Jong-un et d’autres, on se dit qu’il n’est pas nécessaire d’éteindre les veilleuses la nuit pour préserver la planète…

En attendant, l'Académie française propose que l'expression "Quand les poules auront des dents" soit remplacée par "Quand les Français auront des masques".

Mais nous sommes chanceux. Un père regarde la télévision avec sa fille. Il lui dit : "Heureusement en ces temps difficiles, il nous reste quelques humoristes". Sa fille lui répond : "Mais Papa c'est la porte-parole du gouvernement".

[Rédigé par : Aliocha]

Merci, Breizhie, pour la vidéo, c'est rassurant.
Il n'a pas changé, vif, inventif, intelligent, bref, un régal pour ceux qui ne sont pas trop dans le ressentiment, c'est vrai qu'en France à ce point de vue, il est mal barré.

[Rédigé par : Achille]

@ caroff | 09 mai 2020 à 12:42

Vous n’avez encore rien compris. La personne chargée de faire la traduction aux malentendants n’étant pas disponible c’est Emmanuel Macron lui-même qui s’est chargé de faire la traduction gestuelle.

Ceci étant, je reconnais une fébrilité inhabituelle dans cette prestation que pour ma part je préfère oublier...

[Rédigé par : Deviro]

@ sbriglia | 09 mai 2020 à 17:25
"Quand un banquier vous dit hésiter entre Parmenide et Heraclite, pressez-vous de vérifier que votre portefeuille est toujours dans votre poche arrière..."

Je ne sais pas ce qui m'a pris... J'ai vérifié !
Un TOC ? Ou peut-être un symptôme insoupçonné du corona ?

[Rédigé par : Tipaza]

@ breizmabro | 09 mai 2020 à 12:54

Merci pour m'avoir permis de découvrir ce superbe numéro de narcissisme.
Si vous voulez mon avis, avec une telle gestuelle, la parole est inutile. Il aurait fait un acteur de cinéma muet parfait.

Certains préfèrent quand même chevaucher le Dragon !

http://la-relation-amoureuse.fr/culture/livres/chevaucher-le-dragon-pour-connaitre-lamour/

[Rédigé par : herman kerhost]

@ Nic | 09 mai 2020 à 17:59

Exactement. Ça marche aussi pour Trump. On s'en moque de ce qu'il dit, ce qui compte est ce qu'il fait. Et ce qu'il fait n'est pas si mal que ça jusqu'à aujourd'hui.

Ce qui va tous nous tuer ce ne sont pas les virus mais l'antiracisme. Ou plutôt, l'antidiscrimination.

On ne ferme pas les frontières, puisque ce serait "raciste" de le faire. Or on s'aperçoit que c'est bien l'ouverture des frontières et le voyage aérien qui auront diffusé massivement le virus. C'était évident pour tout le monde, sauf pour les antiracistes, ces faux gentils. Trump voulait fermer les frontières à la Chine en janvier, et bien sûr tout le monde lui est tombé dessus.

En France, on met tout le pays en quarantaine, même les territoires où le virus est quasiment absent, puisqu'on refuse de discriminer quoi que ce soit. Sauf les individus, ça on peut se le permettre. Un individu, on ne l'entend pas râler (c'est ainsi que la chimio de mon père, pour un cancer des poumons, a été reportée de trois semaines...).

Et qu'on ne me dise pas que si certaines régions sont épargnées par le virus, c'est grâce au confinement. Tout est affaire de densité de population. Le virus y fera son chemin aussi, n'en doutons pas, mais à une rapidité qui ne mettra pas à mal la capacité d'accueil des urgences.

Je suis bien content de ne pas être en France en ce moment. Je ne doute pas un instant que je n'aurais certainement pas respecté les règles de confinement. J'ai déjà connu la prison, et je ne supporte pas le sentiment de perte de liberté. Inconcevable. Certainement pas avec un virus qui tue 0,02 personnes sur 100, et peut-être dix fois moins à mon âge.

Cela ne veut pas dire qu'il n'y a aucun risque pour une personne comme moi de mourir de ce virus. Mais tous les jours je prends des risques pour ma santé. C'est la vie, et celle-ci n'est pas éternelle.

[Rédigé par : Ellen]

@ breizmabro 09 mai 2020 à 12:54

Merci pour le lien.

Il a mis le turbo à ses éoliennes pour nous refiler le bourdon ou quoi ?
On dirait qu'il est en plein dans son scénario: panique à bord et sauve qui peut.

[Rédigé par : Giuseppe]

"Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron nous ont offert, et pour le second je parie que ce n'est pas terminé, des histoires d'eux-mêmes évolutives, parfois contrastées. On ne s'ennuie pas en les laissant dérouler devant nous le fil de leurs mouvements psychologiques et politiques." (PB)

Quand on supprimera tous les avantages liés à la fonction des anciens présidents, et tout le tralala qui va avec, ils disparaîtront d'eux-mêmes et puis dans la foulée ceux liés à la fonction d'anciens Premier ministre... Ces derniers plus discrets mais n'en profitant pas moins.

Jamais anciens monarques n'ont été autant choyés que dans notre République, les pays nordiques sont toujours stupéfaits qu'un pays comme le nôtre puisse entretenir jusqu'à leur dernier souffle des personnages éliminés démocratiquement.

Il reste un boulot titanesque à mener, ce sont les premiers pas qui comptent et le reste suivra naturellement.
On n'a pas le premier kopeck vaillant et ils ont encore le gîte et le couvert, drôle de vision de la démocratie, ce sont les premières économies, celles qui pèsent le plus lourd pour une vision plus saine du rapport aux élus.

Au fait je me demandais avec mon voisin si nos crânes d'oeuf avec tous ces milliards de masques jetés sur le marché et dans les poubelles ou à même les rues bien évidemment, si si, si avec le mode d'emploi était inscrit le mode à jeter ?

Tous ces grands théoriciens du masque de l'énarchie visionnaire, bientôt vont nous expliquer qu'ils avaient prévu, tout en le prévoyant, mais que c'était en cours et que nous verrons ce que nous allons voir.
Un désastre à venir sans aucun doute, après le plastique des emballages, le masque et comment s'en débarrasser.

Cayrol, Barbier et tous ces experts de tout et de n'importe quoi des plateaux TV vont nous expliquer tout cela dans peu de temps eux aussi, c'est comme quand ils voient l'animal, ils arrivent à discerner que ce pourrait être un taureau.
Ils vont nous dire sans doute avec, qu'on pourrait en faire, comme au Népal, des tissus de prière que l'on irait accrocher au sommet du mont Ventoux (pour les Tours de France à venir).

[Rédigé par : breizmabro]

@ sbriglia

Jeanson et Audiard dans une même phrase est-ce bien raisonnable pour les droits d'auteur :D

[Rédigé par : Giuseppe]

Quand on relit un éditorialiste, lui pour le moins ne change pas, le bobo dans toute sa splendeur, et l'écharpe de la couleur du tapis de ses aspirations, la presse est sauvée avec lui et Aphatie, l'information est en marche, vers où ?
Mystère et boule de gomme, il ne manque plus que Jacquattali le national de l'étape, qui doit bien avoir un passé d'épidémiologiste pour nous expliquer que le vent c'est du vent et la pluie c'est de la pluie ; allez, on ne se moque pas :

https://youtu.be/1vWXHBa7XW4

[Rédigé par : Achille]

Je ne suis pas sûr que ce soit vraiment un bon plan pour un président de dire « j’ai changé ! ».
Les Français n’aiment pas le changement ou alors pour les autres.

Les syndicalistes ne veulent que l’on touche à leurs avantages acquis. Nous avons pu le voir avec la réforme des retraites ou le retrait des 35 h pour revenir aux 39 h.
Certaines corporations qui disposent de niches fiscales sortent aussitôt les chiens de garde dès qu’un gouvernement envisage d’y mettre un peu d’ordre.
Les pires étant sans doute les fonctionnaires de l’Éducation nationale qui font régulièrement grève pour manque de moyens, trop d’effectifs dans les classes, ne pas toucher au bac sur sa forme actuelle vu qu’elle leur permet de toucher un petit plus avec la correction des copies. Ceci alors qu’ils disposent du plus gros budget de l’État.

Un président qui dit qu’il a changé, qu’il change ou qu’il changera, c’est toujours un peu inquiétant. On se demande toujours ce qu’il est en train de mijoter.

[Rédigé par : Exilé]

2022 sera-t-il pour le second l'équivalent de 2012 pour le premier ?

Et c'est reparti avec 2022, comme si nous n'étions pas en 2020 avec toute une cohorte de problèmes graves à résoudre en priorité, maintenant, sur lesquels M. Macron sera jugé par l'Histoire, qu'il soit élu ou non en 2022.

Qu'a donc fait de positif M. Macron en trois ans de mandat, parmi la suite longue comme un jour sans pain de discours que même ses partisans désapprouvent, de maladresses, de fautes, de provocations, d'incohérences, de futilités, de scandales, de dépenses inconsidérées, d'incuries, de gaspillages, de violences, de cafouillages, de valses hésitations, de mensonges, de fuite de ses responsabilités, de manœuvres anti-françaises dont les plus récentes sont le vote prochain de la loi Avia liberticide et l'annonce de la mise en place de l'apprentissage de la langue arabe en CM1 et CM2 comme si les élèves ne devaient pas commencer par apprendre à parler, à lire et à écrire le français ?

Et si pour se racheter il nous donnait au moins un exemple de ce qu'il saurait faire correctement et dont nous pourrions le remercier ?

[Rédigé par : Michelle D-LEROY]

@ Breizmabro

En effet ça vaut son pesant d'or cette séquence !

"Merci pour ce moment".

[Rédigé par : Nic]

Ce que dit Macron, on s'en moque, c'est ce qu'il fait qui compte. Et sur ce point, le tableau n'est pas brillant. Fermez le ban !

[Rédigé par : sbriglia@breizmabro]

"Il y a des Bretonnes qui connaissent Jeanson, je tiens à vous l'apprendre !
Il y a aussi des poissons volants, mais qui ne constituent pas la majorité du genre !" 

Savonarole va aller à Canossa.

[Rédigé par : sbriglia]

@ Deviro

Quand un banquier vous dit hésiter entre Parmenide et Heraclite, pressez-vous de vérifier que votre portefeuille est toujours dans votre poche arrière...

[Rédigé par : Achille]

Ce ne sont pas les présidents qui changent, c’est le monde qui évolue de plus en plus vite, obligeant les présidents à s’adapter aux événements qui ne figuraient pas dans leur programme présidentiel.
Le coronavirus que personne n'a vu venir en est le dernier exemple et il est plus que probable que d’autres situations surgiront au cours de ce XXIe siècle complètement fou.
Crises économique, sociale, sanitaire, politique. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait.

Quant à l’année 2022, nous aurons le temps de voir ce qu’elle va nous offrir. Vu l’état d’esprit ambiant je crains que comme le dit Michel Houellebecq, le monde d'après soit "le même, en un peu pire".
Aussi il faut goûter au bonheur qui s’offre à nous chaque jour un peu comme si c’était le dernier.

[Rédigé par : Exilé]

@ Deviro
« Je n'ai aucune culture, c'est qui ces mecs ? des Grecs ? »

Je crois savoir que M. Sarközy a des attaches familiales avec la Grèce.
Quant à M. Macron, je ne sais pas, mais au vu de l'expérience nous sommes parfois autorisés à nous le demander.

[Rédigé par : PAUL]

Un exemple de l'hypocrisie du système. Extrait d'une lettre expédiée à une députée:
"J’apprends que le gouvernement se propose de faire voter un texte exonérant « toutes les personnes dépositaires d’une mission de service public » de toute responsabilité dans le cadre de la gestion de la pandémie.

Cette manipulation vise à l’évidence à faire obstacle à la recherche de responsabilité pénale des membres du gouvernement et des hauts fonctionnaires. Nos plus hauts responsables deviendraient irresponsables !

Réponse genre élément de langage copier coller:
de nombreux élus sont aujourd’hui préoccupés du risque de poursuites pénales auquel ils pourraient être exposés, en raison de leur rôle dans le processus de déconfinement. Nous avons entendu leurs inquiétudes, il est légitime que ces acteurs clés de la reprise de l’activité puissent agir et prendre des initiatives sans se sentir en permanence menacés par l’éventualité de poursuites exercées à leur encontre.

La loi du 10 juillet 2000 dite "Fauchon" a réalisé un juste équilibre entre exigence de responsabilité et légitime protection des élus. Pour autant, nous avons précisé en commission des Lois, par une disposition générale, sans créer de régime spécifique à l’actuel état d’urgence sanitaire, que l’appréciation de l’éventuelle faute de l’élu, ou du responsable public ou privé, doit être effectuée in concreto, c'est-à-dire en prenant en considération les circonstances particulières de la situation, et notamment l’état des connaissances scientifiques sur la catastrophe sanitaire au moment des faits.

Cette approche constitue une réponse équilibrée aux préoccupations des élus locaux. Amicalement."

En se cachant derrière les élus locaux c'est toute la haute administration y compris les ministres qui tentent de se protéger (avouant ainsi qu'il y a de quoi les attaquer). Donc quand on amuse la galerie en disant "j'ai changé" cela n'engage que ceux qui veulent bien en être dupes !!

[Rédigé par : Exilé]

J'ai changé : une constante présidentielle. En tout cas pour Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron.

Sauf que sur le terrain, ils ont laissé faire les mêmes âneries qu'ils ont lancées et qui nous envoient dans le mur.
Pis encore, ils en ont rajouté sans même avoir envisagé de freiner et de faire machine arrière...

[Rédigé par : Cactus]

Pour faire plaisir à monsieur Achille (quels talents !) et ce loin de Gouyette, j’aborderai rapidement les sujets cités ci-dessus loin de tout attributs : la constante étant un nombre qui n’affecte aucune variable, j’accepte volontiers le monôme de fin d’année autour d’un pot républicain, en plein désordre ambiant... oui je sais je mérite un zéro de conduite ! Sissi, beau destin, Jean Vigo, un maître !

[Rédigé par : Chemins de traverse]

Père et fils ?
OU
Paire de fil(ous) !

[Rédigé par : Vamonos]

Emmanuel Macron chasse les électeurs sur le territoire de l'extrême gauche, il essaie de récupérer des voix sur le thème de la révolution permanente. Il est en marche vers une nouvelle manière de concevoir la politique. Macron fait du marketing, il vend du vent, il faut un sacré talent pour vendre du vent. Macron répète qu'il a changé et en même temps il a toujours le même discours. Avec moi, cela ne marche pas.

[Rédigé par : Tipaza]

C'est Henri Michaux qui disait:

"Avec tes défauts, pas de hâte.
Ne va pas à la légère les corriger.
Qu'irais-tu mettre à la place" !

Et c'est bien vrai que depuis que l'un et l'autre nous annoncent avoir changé et corrigé leurs défauts, ils apparaissent de plus en plus vides.
Sachant qu'ils n'étaient remplis que du vide de leur vanité, on mesure l'abyssal néant qu'il en reste.

Bon, il leur reste d'avoir été, sur le grand livre de l'Histoire, une simple virgule.
Pas même des points de suspension.

[Rédigé par : Isabelle]

"Je n'ai pas changé" comme le chantait Julio Iglesias.

Ils ne changent pas. Qui va encore tomber dans cette vaste supercherie ?
Sarkozy, Hollande, Macron : on prend les mêmes et on recommence. Ensuite, on constate les faits, la réalité à savoir le déclin de notre pays.

Tiens, en Afrique, les mentalités ne changent pas non plus !
Après avoir exigé l’annulation des dettes africaines, le président de la République du Sénégal Macky Sall achète un palace à New York.

Le Sénégal achète un immeuble à 25 millions de dollars près du siège de l'ONU

https://news.sen360.sn/actualite/le-senegal-achete-un-immeuble-a-25-millions-de-dollars-pres-du-siege-de-l-039-onu-1500540.html

Ou comment le peuple sénégalais va pouvoir profiter des millions de dollars qui viennent d'être donnés à leur président. Rien ne change sous le soleil français, rien ne change sous le ciel africain.

"L'homme est un loup pour l'homme", chacun pour soi. Celui qui n'a pas compris cela est bien naïf...

Quant aux citoyens des différents pays, les dirigeants de ce monde impitoyable n'en ont rien à battre.
Que des mensonges, du blabla, de l'esbroufe, de la comédie, des promesses non tenues etc. etc.
Comment voulez-vous avoir encore envie de voter dans de telles conditions ?

Et vogue la galère ! Finalement, l'être humain court à sa perte. Ce n'est plus qu'une question de temps.
Profitons-en tout de suite, chacun pour soi et tant pis pour les autres.
Soyons pessimistes mais heureux.

F. Schiffter interrogé par un journaliste :
"Peut-on être à la fois pessimiste et heureux, comme vous le soutenez dans "le Bluff éthique" ?

Oui, mais cela ne se décrète pas… Se réjouir de la tragédie de vivre n’est pas une affaire de raison ni de volonté – de sagesse –, mais de complexion personnelle. Je crois que tout le monde est pessimiste, au sens où tous les hommes font l’expérience de l’inconsistance et de l’absurdité de leur existence. Nous sentons intimement qu’il n’y a pas de monde, ni ordre ni architecture universels, que nous sommes des monades acosmiques livrées au non-sens et à la dissolution de toutes choses. Mais il y a deux manières de vivre avec ce sentiment. D’une part il y a le grand nombre des pessimistes malheureux, que l’inexistence du monde terrorise tant qu’ils se convertissent à l’optimisme du salut et gobent le bluff éthique – tous ces discours qui font miroiter une vie bonne, réussie, authentique, réconciliée avec la mort, la vieillesse, la souffrance et l’échec. D’autre part il y a le petit nombre des pessimistes heureux, qui, eux, s’accommodent du pire et prennent parfois le parti d’en rire – car ils ont ce sens de l’insignifiance que l’on appelle l’humour. Bien sûr, quand ils philosophent, les pessimistes heureux s’avèrent décevants aux yeux de la foule, car ils ne délivrent aucun message de consolation. Assurés, comme Wittgenstein, qu’ils doivent se taire quand ils ne pourront rien dire de significatif sur la meilleure façon de vivre, ils aggravent leur cas quand ils évoquent ce dont personne ne veut entendre parler, à savoir le néant de tout. F. Schiffter

https://www.philomag.com/les-idees/entretiens/frederic-schiffter-les-pessimistes-heureux-saccommodent-du-pire-4457?title=&status=1&field_game_type_tid%5B264%5D=264&field_game_type_tid%5B262%5D=262&field_game_type_tid%5B263%5D=263&field_game_type_tid%5B261%5D=261&page=12%2C7

[Rédigé par : Mary Preud'homme]

Nicolas Sarkozy n'a vraiment rien de Macron.
Le premier se jouant du second comme d'une marionnette dont il guette les faux pas avec gourmandise tout en feignant de venir le soutenir.
Ne pas oublier que Sarko est et restera un animal politique...

Par ailleurs lorsqu'il était aux manettes, il aurait été bien inspiré de ne pas changer à partir de la deuxième année de son mandat, sans doute mal conseillé par des communicants technocrates compulsifs totalement ignorants de la politique de terrain. Ce en quoi Sarkozy au contraire excellait.
Si seulement il avait tenu parole - ignoré les conseilleurs frileux et mis son programme initial en oeuvre, notamment en faisant appliquer à la lettre sa fameuse formule "travailler plus pour gagner plus", remis de l'ordre dans les banlieues et les territoires de non-droit et amorcé le dégraissage de pans entiers de l'administration - nous n'en serions pas arrivé à faire élire Hollande par défaut et Macron (par traîtrise) à la suite.

[Rédigé par : breizmabro]

"J'ai changé" ou "il faut se réinventer"...

Combien de fois Manu nous a fait le coup de la "réinvention" ? J'ai arrêté de compter mais lors de son discours devant LA Culture (avec un grand C*l) française j'ai bien compris que le changement était devenu la Réinvention (avec un grand 'R' comme dans 'Réa').

Un président en bras de chemise retroussée (alors que Philippe Bilger se présente cravaté lorsque, confiné chez lui, il fait face aux téléspectateurs de CNews), les mains virevoltantes s'agrippant à ses cheveux pour faire jaillir l'imagination, celle qu'il faut pour "enfourcher le tigre" (prénommé Corona je suppose). Bref le comédien Manu en plein casting.

Naturellement certains ont oublié ce moment magique du one man show de Manu, c'est pourquoi je leur délivre ce court extrait d'un spectacle vivant inoubliable... :D

https://www.youtube.com/watch?v=FiY_n4UfjGA

A quelqu'un qui disait "je suis convaincu par cette intervention", H. Jeanson lui avait répondu "vous aurez votre revanche". Je ne peux dire mieux ;)

Adéo.

[Rédigé par : Jérôme]

Bonjour Philippe,

Un homme aussi fin que vous, leur accorder le moindre crédit pourrait faire croire que vous êtes naïf.
Comme le disait ce bon Alexandre-Benoît Bérurier, d'un président l'autre nous fait tomber de charrette en syllabe.
J'ai des lettres aussi qu'est-ce que vous croyez.

[Rédigé par : Deviro]

@ Marc GHINSBERG | 09 mai 2020 à 11:36
"Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron plus disciples d'Héraclite que de Parménide ?"

Je n'ai aucune culture, c'est qui ces mecs ? des Grecs ?

[Rédigé par : caroff]

Ce qui ne change pas avec Macron c'est le verbiage abscons et une gestuelle de plus en plus débridée. J'espère qu'il ne prend pas de substances interdites !

https://www.youtube.com/watch?v=FiY_n4UfjGA

"On va collectivement construire une visibilité, une demande de visibilité"
Allo le 15 !

[Rédigé par : Lucile]

Emmanuel Macron ne change pas, tel un homme ordinaire qui subirait le poids du temps : lui, il se "ré-invente".

[Rédigé par : Denis Monod-Broca]

"J'ai changé" !

Qu'elle est étrange, et orgueilleuse, cette croyance dans les bienfaits du changement !
La France aussi, bien sûr, doit être changée, en permanence, à "les" entendre, l'Europe tout autant, sans parler du monde...
Est-il donc si difficile pour un individu d'être lui-même ? Pour une nation d'être elle-même ?
N'est-ce pas là le plus honorable but de l'existence, être soi-même, ne pas mentir à soi-même et aux autres sur ce que l'on est ?

[Rédigé par : Michelle D-LEROY]

"Macron-Sarkozy : l'habileté de l'un, la vanité de l'autre..." (PB)

Côté vanité, je ne pense pas que Macron soit inférieur en la matière à Sarkozy.

Côté habileté, je pense que Macron, bien que formé chez Hollande, a encore beaucoup à apprendre. La stratégie politique, les conseils de cabinets de communication ou de "Mimi" n'égalent pas l'expérience de quarante ans de politique entre coups bas, duplicité, hypocrisie et retournements de situation sans oublier les faux amis. Je crois Nicolas Sarkozy blindé.
Côté expériences diverses et variées, financière ou sociale, politique intérieure et extérieure, Sarkozy le bat au poteau, c'est sûr. Il est aguerri comme un vieux politique qu'il est, il a la cuirasse solide et connaît la nature humaine sur le bout des doigts.

Le jeune Macron a voulu nous bluffer depuis la cour du Louvre, il n'a pensé qu'à sa cour et ses courtisans, les citadins, les nantis et ceux qui croient l'être. Il n'avait rien compris au peuple en général ni à tous ceux, modestes et travailleurs de l'ombre qui veulent exister. Des Gilets jaunes sortis de nulle part et méprisés et qui, par un retournement de situation se retrouvent glorifiés grâce au confinement et aux travaux de première nécessité.

Fréquentant Honfleur ou Le Touquet, il ignorait sans doute que les Français, ces Gaulois réfractaires et modestes peuplaient encore nos territoires, son seul souci concernait le prolétariat : les banlieues et la diversité. Inexpérience ou naïveté ? La politique n'est pas un long fleuve tranquille et tout ne s'apprend pas à l'ENA.

Jacques Chirac et François Mitterrand, Georges Pompidou et Charles de Gaulle étaient des enfants qui avaient des attachements en province, qui aimaient la France profonde, les gens, les savoir-faire et les produits du terroir. Ils ne les oubliaient pas et aimaient revenir dans leurs fiefs pour se rapprocher de ces territoires. Pour eux la France ne se limitait pas à la capitale ou à la Rotonde.

Sarkozy en cela n'est pas mieux que Macron.

[Rédigé par : Jean]

"Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent" - Henri Queuille
ou
"Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent" - Jacques Chirac
ou encore
"Les promesses des hommes politiques n'engagent que ceux qui les reçoivent - Charles Pasqua.

Paroles d'experts.

[Rédigé par : Marc GHINSBERG]

Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron plus disciples d'Héraclite que de Parménide ?