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10 juin 2020

Commentaires

Tomas

@ Isabelle

Non c'est vrai, de même que les terroristes scandinaves ne sont pas musulmans, les quelque 80 victimes d'Anders Breivik l'auront sans doute noté.

Vos interventions régulières illuminent ce blog, vous êtes sublime, ne changez rien surtout, c'est parfait. Il faut gagner la bataille des idées, ils l'ont dit dans Valeurs actuelles et Boulevard Voltaire !

Lodi

@ Patrice Charoulet

Votre bibliothèque est peut-être une médiathèque. Dans l'affirmative, vous pouvez emprunter des CD et DVD de chansons françaises plaisant à votre femme, à vous-même ou aux deux.

La meilleure chanson française ne passe que peu à la télévision. Toutes choses égales par ailleurs, à mon avis elle est bretonne, liée à la Celtie en pleine renaissance, entre autres grâce à Stivell.

https://www.youtube.com/watch?v=Z9lKkga2Slo

https://www.youtube.com/watch?v=BlDgQOd3p-0

Evidemment, cette chanson est quelque peu émaillée de breton mais est-ce pire que le latin ou l'anglais dans tel ou tel texte ? Une langue vit avec sa mère et ses sœurs.
Si, comme dit l'autre, un homme n'est pas une île, une langue l'est encore moins. La langue latine semble avoir une fonction de racine de la nôtre, la bretonne de nous enraciner dans les rêves arthuriens, eux qui, comme vous le savez mieux que moi, ne sont pas étrangers au roman français :

https://textualites.wordpress.com/2016/09/22/avez-vous-deja-lu-le-premier-romancier-francais/

Quand je pense à cet aspect du monde, j'en ressens un lyrisme mettant les aspects moins reluisants de la réalité à l'arrière-plan. Hommage donc au monde et à un de ses bardes :

https://www.lacoccinelle.net/244163-louis-armstrong-what-a-wonderful-world.html

Aliocha

Vous ne résistez pas, Jean, vous cédez au mimétisme.
Tendre l'autre joue ne signifie pas ne pas se défendre, mais ne pas agir en esprit de réciprocité.
L'effondrement de notre civilisation tient à ce que République ou Royauté n'ont pas su, car c'est impossible, maintenir une viabilité sur la domination, les tragédies du XXe siècle le démontrent.
Où nous réussissons à inventer ce système basé sur la réconciliation qu'est l'Europe, où nous disparaîtrons.
C'est pas gagné.

Jean

@ duvent

Je conviens bien volontiers avec vous de cesser cette passe d'armes. Si elle a échoué à nous trouver quelques points de concorde, elle aura au moins permis de relever les soubassements ordinairement non perçus de nos actions, de nos positionnements.

Quant à ma mère, je ne lui reproche rien et suis en bonne entente avec elle. Il fallait choisir. J'ai choisi le pays de mon père.

Vous citez en conclusion Epictète: "Tout est changement, non pour ne plus être mais pour devenir ce qui n’est pas encore". Cette dernière suggestion assertive est lourde de sens. En général, c'est le dernier argument des adeptes du changement ou de ceux qui y consentent. Je vous répondrai – et cela conclura mon propos – que j'ai choisi de résister au changement car je désire persister dans mon être et durer. Je forme ce même souhait pour le pays dans lequel je suis né. À Dionysos, je préfère Apollon.

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@ Aliocha

Il est des violences qui sont nécessaires comme celles dont on se sert pour se défendre. Une certaine compréhension du christianisme donne à croire qu'il faut résister à toute violence et notamment la contenir impérativement en soi. Elle est assez récente et étrangement contemporaine à l'effondrement de notre civilisation. La théorie anthropologique de Girard semble montrer que l'on ne peut s'extirper de ce mimétisme de la violence. Il y a aussi la mythification de la prétendue non-violence de Ghandi. Tout converge vers la passivité et le renoncement.

Heureusement que nos rois n'agirent pas de la sorte. Sinon, il n'y aurait jamais eu de Royaume de France, ni plus tard de République française, ni non plus de civilisation française. J'ai pris le parti de résister. S'il le faut, je ressortirai mes armes et userai de la violence juste nécessaire, et sans haine, à la défense de ce que j'aime. Je crois que tout Français devrait faire de même. Il est des violences qui sont légitimes et n'en point être capable que de la pusillanimité.

Achille

Petit récapitulatif des faits d’armes de la famille Traoré à l’attention de Christiane Taubira qui ne semble pas en avoir eu connaissance.

Et ce sont ces gens-là qui réclame justice. Il serait temps maintenant d'arrêter avec cette affaire qui n'a que trop duré !
N'inversons pas les rôles.

duvent

@ Jean | 12 juin 2020 à 22:17

Je vais me donner la peine de répondre à votre longue argumentation, par correction.

Il conviendra tout d'abord de vous inviter à immédiatement prendre rendez-vous avec votre mère pour régler avec elle, et non pas avec moi, ce qui semble être un problème originel, ab ovo, et dans lequel je n'ai aucune part, sauf si vous considérez que je suis en mesure de trouver une réponse à vos questions de métis ou « bâtard » comme vous l'écrivez...

N'étant pas versé dans l'étude de la psychologie, n'étant pas métisse et n'étant pas votre mère, il me paraît judicieux ce conseil que je vous donne, de ne pas débattre avec moi de ces questions, dont par ailleurs je me tamponne mollement le coquillard, avec l'élégance que l'on me connaît...

Ceci étant posé, voyons votre conclusion en forme de menace :

« Car c'est précisément à cause d'une telle perversion des valeurs que notre pays s'effondre ; et, entendez bien, avec son effondrement, il emportera aussi toutes vos prétentions, et tout ce à quoi vous tenez. »

Ici, je trouve que vous vous êtes surpassé, mais vous devez savoir que votre prédiction n'est rien, ne vaut rien, ne sert à rien... Memento finis !

Nota Bene : Tout est changement, non pour ne plus être mais pour devenir ce qui n’est pas encore (Épictète)

Aliocha

Trop de justifications, Jean, confirment le diagnostic, vous passez à côté des similitudes des diversités culturelles, perdant à l'occasion toute capacité à échapper à l’enfermement du ressentiment.
Ainsi vous devenez le double semblable de celui que vous dénoncez, lui accordant votre complicité en cette similitude du désir d’annihilation réciproque, non pas que vous deveniez musulman en l’occurrence, bien qu'il faudrait s'entendre sur cette appellation, mais vous soumettez comme lui à la violence qui détruit tout, notamment votre culture qui, si elle ne sait pas se sortir de ce fatum, nie tout ce qui l'a fondé, le pardon notamment accordé par Clovis aux ennemis après sa conversion.
Dites-nous alors, Jean, que faites-vous de ce baptême ?

Achille

@ Michel Deluré | 12 juin 2020 à 16:14

Personnellement je serais plutôt favorable au rétablissement des îlotiers dans les cités sensibles, qui ont été supprimés par Sarkozy, on se demande bien pourquoi.

Les policiers et les petits loubards se connaissaient et cela avait pour effet des relations moins tendues entre les deux camps.
Les contrôles d’identité ne se justifiaient pas puisque les îlotiers connaissaient les jeunes de la cité ainsi que leurs parents.
Ils faisaient ainsi un rôle d’éducateurs, sans doute bien mieux que les fameux « grands frères » qui étaient surtout des meneurs et dealers.
D’ailleurs nombre de parents de ces cités étaient demandeurs vu qu’ils avaient souvent du mal à tenir leurs garnements.

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@ Wil | 12 juin 2020 à 11:50

Autant que je sache, la potion du professeur Raoult était efficace sur les malades qui étaient au tout début de l’infection, c'est-à-dire lorsque leur organisme était encore suffisamment fort pour lutter contre le virus.
En fait avec quelques gélules de Doliprane 1000 et une camomille le soir avant d’aller au lit, les malades pouvaient guérir en quelques jours sans même passer par la case chloroquine.

D’ailleurs nombre de personnes atteintes du virus ont guéri chez elle, sans traitement particulier. Simplement en appliquant les gestes barrières conformément aux recommandations données sur tous les médias.
Pour les personnes âgées soufrant de pathologies cardiaque ou respiratoire, notamment dans les EHPAD, la chloroquine n’a manifestement pas eu l’effet annoncé par le professeur. Ce qui peut facilement se concevoir même sans être médecin.

Mais personnellement ce n’est pas tant l’efficacité pas vraiment évidente de son remède que je reprocherais au professeur, mais plutôt son arrogance, voire son mépris pour tous ceux qui avaient l’outrecuidance de contester ses résultats, en particulier les journalistes qu’il envoyait balader au motif qu’ils n’avaient pas les compétences et sans doute aussi les capacités intellectuelles pour comprendre ses explications de savant.

À noter qu’il en est de même pour tous ceux qui n’y connaissent rien non plus, mais qui, malgré tout, soutiennent mordicus le Pr Raoult devenu en quelques semaines l’idole des Marseillais, celui qui ose défier les grands professeurs de Paris.

Jean

@ duvent

Vous êtes bien aimable, Madame, de me répondre et de me comparer au fier et courageux Rodomonte, roi d'Alger. Je ne mérite pas tant vos éloges mais ils me flattent. Je les accepte. Pour quelqu'un qui jure de n'être point piquée, vous vous répandez bien incontinemment en invectives. La décence y perd et vous vous compromettez.

Hors celles-ci, savoureuses par ailleurs, le discours est borné.
"…car là où vous voyez un homme noir, je vois un homme, de même que là où vous voyez un homme blanc, je vois un homme".

Vous assenez comme une subtilité raffinée et extraordinaire que vous voyez en chaque homme un homme, indépendamment de sa couleur de peau ou d'un quelconque autre critère. Ecce veritas (je vous sais amatrice de citations latines, alors pour vous complaire j'ai composé celle-ci à votre intention). Vous vous dédisez cependant aussitôt en me rabaissant. Je suis, ne vous en déplaise, autant homme qu'un autre, fût-il noir ! Vous auriez rabaissé n'importe quel autre qui n'eut point obtenu le suffrage de votre intelligence supérieure. En définitive, ce fut votre seul argument. J'ai le regret, Madame, de devoir vous confier avoir la même opinion et traiter chaque homme en conséquence. Vous me l'aviez par avance déniée. N'en soyez pas, je vous prie, marrie. Vous avez fait avec moi comme Rohan avait fait avec Voltaire, avec une pareille morgue. Par un étrange inversement des valeurs, vous l'avez fait en agitant les valeurs universalistes des Lumières, comme des vérités dernières et indépassables. Or, si les Lumières sont l'apogée de la civilisation française, elles précèdent aussi le début de son déclin ininterrompu. De Gaulle même l'assurait.

Ces valeurs universalistes se rapportent à l'homme universel dont la France s'est fait la protectrice. Du moins, elle le croit. Le temps a passé. L'homme universel n'est qu'une abstraction. Qui ne voit aujourd'hui que cet universalisme parce qu'il raisonne sur quelque chose qui n'existe pas se trompe en tout ? Qui ne voit encore que cet universalisme s'est tout au long des deux derniers siècles tellement abâtardi que les valeurs qu'il présente aujourd'hui comme indépassables et qui sont reprises dans ce que l'on nomme aujourd'hui les valeurs de la République ne sont plus que la dégénérescence sénile de l'esprit français ? Tout passe. Tout croule.

Comme l'ancien monde a été balayé par le nouveau, le nouveau monde a vieilli et est à son tour en passe d'être balayé. Vous êtes, Madame, une représentante de cette société qui s'écroule. Vous en avez la licence que vous confondez avec la liberté. Vous en avez les idées que vous appelez culture. Vous en avez la morgue que vous confondez avec la supériorité. Vous en avez encore l'indifférence. Après vous le déluge, n'est-ce pas ? Mais comme vous le dites élégamment, vous vous en "tamponnez le coquillard". Moi pas.

Qu'ai-je voulu signifier ? Non pas qu'un homme noir n'est pas un homme, ni non plus qu'un homme blanc est plus homme qu'un homme noir. J'ai voulu signifier que le métissage que l'on présente comme un enrichissement enviable est d'abord une épreuve pour l'enfant à surmonter ; quand il n'y parvient pas, d'épreuve l'enfant passe à la souffrance, aux frustrations et aux rancœurs puis parfois au ressentiment envers la société qui l'accueille. On parle habituellement d'inconditionnalité de l'amour. Cette belle idée sanctionne et justifie la bonté du métissage. Je parle plutôt de responsabilité vis-à-vis de sa progéniture.

Je suis enfant d'un métissage entre deux cultures. J'ai vécu dans ma chair et dans mon âme le déchirement et le tiraillement entre deux cultures opposées. Je n'ai été ni l'enfant de l'une, ni l'enfant de l'autre, ni celui du mélange des deux. J'ai été le bâtard de chacune. Par chance, mon corps n'en portait pas la trace. Croyez-vous que ce furent les natifs qui causèrent mon impression d'altérité et de faible enracinement ? Non, Madame, les Français ne sont pas racistes. Ils accueillent sans difficulté qui veut leur ressembler. Le mal était en moi. Le mal était mon déchirement. Comment ai-je pu concilier les tendances antagonistes à ces cultures ? Disons-le tout net, je n'ai point su les concilier. J'ai adopté comme unique culture celle de mon père, et j'ai renié celle de ma mère. Je me suis fait enfant d'un seul pays, celui où j'ai grandi, celui que j'ai appris à aimer, et j'ai renoncé à ma double nationalité. Voyez-vous, Madame, vous jugez dans l'abstrait quand je vivais ces choses dans ma chair. Votre universalisme passe tout à fait à côté des choses.

Mais n'en restons pas là. L'absorption d'éléments étrangers s'est jusqu'à récemment toujours faite dans notre pays sans grande difficulté en une ou deux générations. Cette mécanique est désormais enrayée. Les nouveaux arrivants viennent avec le désir de conserver leurs identités et la volonté de la faire primer sur celle du pays d'accueil, avec en sus la détestation de l'accueillant, de l'ancien colon. De colonisé (c'est du moins ce qu'ils croient avoir été), l'immigré veut devenir colon et imposer ses mœurs. Dans ce contexte, le métissage est-il une chance ? le plus souvent non. Quand la mère européenne fait un enfant à l'étranger musulman, pense-t-elle à son enfant ? Songe-t-elle qu'elle en fera un déraciné ? Songe-t-elle au risque qu'elle fait encourir à son enfant d'en faire un être de ressentiment qui se retournera contre son pays au profit de ses origines fantasmées ? Songe-t-elle au pays qui l'a vu naître et à qui elle doit tout ? Songe-t-elle au risque qu'elle lui fait encourir de faire de son enfant un ennemi de son pays ? non, assurément elle n'y songe pas une minute. Elle va idéaliser l'amour, la très vulgaire passion d'amour sans aucun souci de responsabilité.

Alors oui, je dis effrontément que la femme européenne qui fait un enfant à un musulman aujourd'hui est traîtresse à ses aïeux, à son pays et elle l'ignore. Elle est traîtresse comme l'était la femme française qui faisait un enfant à l'occupant allemand. Comprenez bien. Votre érotisme de précieuse pédante me révulse. Car c'est précisément à cause d'une telle perversion des valeurs que notre pays s'effondre ; et, entendez bien, avec son effondrement, il emportera aussi toutes vos prétentions, et tout ce à quoi vous tenez.

Patrice Charoulet

« DONNEZ-MOI DE LA MOULAGA »

Il y a un seul téléviseur chez moi. Assis sur le canapé, chaque soir, je laisse ma (chère) femme choisir son programme, après neuf heures. Quand l'émission ne me plaît pas - ce qui arrive très souvent - j'ouvre mon ordinateur et je lis des choses ou j'écoute des choses, avec mes écouteurs.
Ce soir ma (chère) femme a choisi « La chanson de l'année », sur TF1. Je pense que je ne vais pas l'écouter. Mais enfin, j'écoute la première chanson, insignifiante. La deuxième chanson est un monument de bêtise et de vide. Le « chanteur » - si j'ose dire - répète, entouré de danseuses, pendant trois minutes ces mots : «  Donnez-moi de la moulaga ». Je dis à ma femme : « Quelle honte ! C'est une des vingt meilleures chansons de l'année ? Mais qui les choisit , ces chansons ? Et ça veut dire quoi «moulaga » ? » Ma femme l'ignore. J'ouvre mon ordi. J'apprends que ce mot, en argot américain, signifie depuis les années trente « argent ». Résumons : ce « chanteur » nullissime a répété pendant trois minutes « Donnez-moi de l'argent ! » Je le redis : Quelle honte !

Je mets mes écouteurs et ne regarde plus cette émission de TF1.
Je vais m'occuper d'autre chose.

Exilé

@ Mary Preud'homme
« ...dans une nation civilisée on devrait être libre de choisir ses amis ou ses amours selon ses affinités, attirances, convictions etc. sans être systématiquement jugé en mauvaise part, catalogué comme ceci ou cela par des opinions publiques malsaines et malveillantes qui ne se repaissent que de scandales et préjugés... »

Nous sommes parfaitement d'accord, je ne m'en prenais pas à vous mais j'ai eu le tort d'emprunter un raccourci.
Chacun est parfaitement libre d'épouser qui il veut, c'est clair, et personne n'a à lui reprocher ce qui relève d'un choix personnel qui peut être estimable.

Mais nous devons bien être conscients du fait que nous vivons dans une société placée sous la pression de diverses modes qui parfois virent à la tyrannie, au risque d'entraîner des décisions d'ordre politique aberrantes.

Je ne suis pas les médias de divertissement, mais à une époque les radios diffusaient par exemple des chansons vantant les charmes supposés du métissage, afin d'influencer l'opinion, ce modèle ayant été repris ailleurs de façon insidieuse par exemple dans le domaine de la publicité, afin de persuader les Français qu'il s'agissait là de la chose la plus normale et la plus souhaitable pour la société actuelle.

Comme je ne suis pas un perdreau de l'année, je ne crois pas que ce courant d'opinion fabriquée ait relevé uniquement du seul hasard sans qu'il n'ait été avant tout destiné à servir des intérêts plus ou moins obscurs à des fins troubles.

Savonarole

Amusant de constater que tous nos commentateurs qui se piquent de tout savoir sur les ravages supposés de la mondialisation sont infichus de dire trois mots en anglais.
Dès qu’ils doivent avoir recours à une expression anglaise c’est un naufrage de l’Education nationale. Voilà des gars qui sont supposés avoir fait Sciences Po, l’ENA, ou une école de journalisme, rien à faire, une langue de plomb leur colle au palais dès qu’ils ont trois mots à dire en anglais.

Eric Zemmour prononce “made in France” comme un gamin de classe de sixième qui découvre l’anglais.
On est bien loin de nos bons prêtres des Missions étrangères de la rue Bonaparte de Paris, qui dès le 17e siècle parlaient couramment le mandarin et autres langues d’Asie.
Précurseurs de la mondialisation dans un autre domaine.
Nous ne sommes pas près de vendre des Peugeot à la terre entière...

Michel Deluré

@ Achille 12:06 08:53

Très honnêtement Achille, je pense que dans la grande majorité des cas les contrôles effectués au faciès sont sélectifs et ciblés et la probabilité que les personnes ainsi visées par ces contrôles soient exemptes de reproches est souvent faible.
Ce n'est nullement le fait du hasard si ces personnes-là sont contrôlées.

Il n'est d'ailleurs pas surprenant que ces contrôles s'effectuent en priorité et en majorité dans des quartiers urbains où délinquance et trafics règnent et perturbent le quotidien des citoyens que je qualifierais d'ordinaires et qui, eux, n'ont rien à se reprocher.

J'habite dans une ville moyenne où existent, comme dans toutes les villes, des quartiers dits sensibles et je peux vous affirmer que les contrôles effectués au faciès le sont sur des groupes déjà bien repérés et identifiés et dont les activités supposées se situent généralement en marge de la loi.

Les citoyens, dont le faciès est le même que celui de ces groupes identifiés, et qui vivent en ces mêmes lieux mais qui ont, eux, un comportement de citoyens normaux, intégrés dans notre société et qui en respectent ses règles ne sont pas, sauf exception, importunés par ces contrôles.

Mary Preud'homme

@Exilé | 12 juin 2020 à 11:53

Qui vous parle de métissage comme solution ? Pas moi en tout cas qui n'ai rien d'une bisounours...

Ce que beaucoup de personnes devraient commencer par intégrer dans leur logiciel (et peut-être vous) c'est que dans une nation civilisée on devrait être libre de choisir ses amis ou ses amours selon ses affinités, attirances, convictions etc. sans être systématiquement jugé en mauvaise part, catalogué comme ceci ou cela par des opinions publiques malsaines et malveillantes qui ne se repaissent que de scandales et préjugés...

Et je ne vois pas à quel titre un inconnu, un quidam quelconque bourré de préjugés pourrait se permettre de s'immiscer dans ma vie et me donner des leçons.
Perso j'écris sous mon nom propre, je suis fière de mes origines, issue d'une famille française qui remonte au 12e siècle et à laquelle je me suis efforcée en de multiples circonstances de faire honneur...
Une liberté à laquelle je tiens et que je ne dénie à personne qu'il soit mon semblable ou me soit totalement étranger.

Isabelle

@ caroff

Et puis les terroristes de l'islam ne sont pas scandinaves... Il y a des évidences sans cesse niées.

sylvain

@ caroff | 12 juin 2020 à 12:42
"...mais les policiers sont comme des chasseurs de cèpes: ils vont là où ils ont le plus de chances d'en trouver ! "

Bien envoyé ! surtout qu'on aurait la chance d'y croiser nos islamogauchistes Achille, Tomas, Elusen et Cie.

Nic

@ Wil | 12 juin 2020 à 11:50

Tout à fait d'accord. Raphaël Enthoven a été totalement ridicule, au point que je me suis demandé s'il n'avait pas un peu forcé sur la coco...

Il parle de science comme dans un livre alors qu'il n'a toujours pas compris que le Pr Raoult proposait un traitement médical, ce qui relève de buts et de contraintes totalement différents.

Et lui, R. Enthoven, du haut de ses certitudes, de sa morgue et de sa suffisance, qu'a-t-il fait contre le CODIV-19 pour se permettre de traiter un professeur de médecine de charlatan ? R. Enthoven, combien de vies sauvées ?

Bref, il semblait vraiment en service commandé. Je le vois tout à fait en première ligne contre Front Populaire et Michel Onfray. Il a la tête et la mentalité de l'emploi. Un collabo de plus du système...

caroff

@ Achille 8h53
"Une solution pour éviter les problèmes de faciès serait que les policiers n’effectuent plus de contrôles d’identité aléatoires, généralement ciblés puisqu’à l’appréciation des agents de la patrouille."

Bien sûr qu'il faut des contrôles au faciès car la pêche est généralement bonne. Dans certains départements que je fréquente, 9 interpellés sur 10 pour délit ou crime sont issus de la communauté maghrébine !
Il ne faut pas s'en réjouir, bien au contraire, mais les policiers sont comme des chasseurs de cèpes: ils vont là où ils ont le plus de chances d'en trouver !!

Mary Preud'homme

@ Achille 08:53

Pour une fois sortez de votre village Achille...

Dans les écoles de police et de gendarmerie on apprend davantage aux fonctionnaires et militaires à se fier au langage corporel et au langage tout court, qu'à la façon de se vêtir ou à la couleur de la peau.
Nombre de policiers ou gendarmes basanés ou d'origine maghrébine (qui représentent 10 % des effectifs) vous diront d'ailleurs que même en civil, ils se font rarement arrêter et contrôler et si c'est le cas tout se passe avec respect de part et d'autre.

Si vous aviez un tant soit peu vécu dans les cités et les quartiers où des djeuns zonent à longueur de journée vous sauriez cela et n'auriez pas la prétention d'apprendre leur métier à des professionnels du service d'ordre qui n'effectuent des contrôles qu'avec discernement...

Quant aux djeuns et "petits crapauds" déguisés en costume cravate, ils se font traiter de bouffons par leurs homologues voyous et se remarquent à des kilomètres eu égard à leur dégaine...

Sans compter les racailles qui narguent, provoquent et insultent la police et recherchent systématiquement l'affrontement.

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@ Exilé | 12 juin 2020 à 09:44

On ne peut pas réécrire l'Histoire en la falsifiant ou en en gommant des pans entiers afin de complaire à des minorités sectaires...
Ces méthodes staliniennes sont dangereuses et ne sont ni plus ni moins qu'une nouvelle forme de négationnisme et de grave atteinte à la liberté.

Un révisionnisme grossier à combattre par tous les moyens...

Exilé

@ Mary Preud'homme
« Ces histoires d'homme (ou femme) blanc et d'homme (ou femme) noir sont ridicules et totalement dépassées quand on vit depuis près de cinquante ans dans une famille où les uns et les autres se sont mélangés harmonieusement (...) »

Le problème est que si les membres de votre famille, seuls ou en groupe, venaient à être entourés par des admirateurs de M. Traoré - ceux qui lèvent le poing en signe de paix - il n'est pas sûr que ces derniers seraient disposés à donner envers eux dans le tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ...

Quant au métissage obligatoire pour régler la question, comme le voudrait un certain courant dans le monde médiatique, il ne ferait en fait qu'aggraver les choses, il suffit de se reporter par exemple au sort des métis dans la merveilleuse Afrique du Sud « arc-en-ciel » où ils sont victimes de discriminations, pour s'en convaincre.

Wil

@ Achille
"R. Enthoven, lui, préfère se présenter en tant que professeur de philosophie. Il extrait les propos d’une personnalité qui a les faveurs des médias, les dissèque pour en révéler la signification profonde, voire le message subliminal, ceci avec une clairvoyance remarquable."

Ah Raphaël Enthoven, quel grand philosophe !
Comme quand il est passé chez Praud hier et qu'il a fait un caca nerveux au sujet de Raoult qu'il a traité de charlatan parce que la chloroquine n'est qu'un placebo, tout en disant dans la même phrase qu'il n'y connaissait rien lui-même et que donc il n'avait pas d'avis.
Encore un de "ces grands esprits français que le monde nous envie", c'est sûr...

Quant à Onfray, si vous pensez qu'il est de droite souverainiste, c'est soit que vous ne l'avez pas écouté et que vous parlez sans savoir, soit que vous n'avez rien compris ce qui décrédibilise de fait Enthoven.

Dominique

La vie passionnante de Patrice Charoulet... il s'abonne à une revue...

Exilé

Il me semble qu'on traite avec beaucoup trop d'indulgence ces phénomènes de "normalisation" artistique, voire d'éradication qui ont été le fait de quelques dictatures et dont Georges Orwell, dans 1984, a donné une terrifiante illustration.

Mais au-delà de la censure artistique, c'est aussi, particulièrement en France, l'Histoire qui peut faire l'objet de réécritures ou bien d'occultations.
En 1989, la mairie du Ve arrondissement de Paris avait organisé une très belle exposition sur Louis XVI et les Indiens d'Amérique.
Étaient exposées entre autres de belle peaux peintes dans un style « naïf » ayant exprimé l'allégeance faite par certaines tribus indiennes au Roi de France.

Cette exposition a été jugée politiquement non conforme par les organisateurs de la célébration du « bisangtenaire » de 1789 et son organisateur, un bibliothécaire ou un historien de la ville, a été sanctionné.

La liberté d'expression à sens unique.

sylvain

Pour être plus efficace, la police doit réemployer les bonnes vieilles méthodes d’antan qui étaient redoutables pour les délinquants :

Le contrôle au faciès qui donne des résultats positifs, sachant que c’est dans une certaine population communautaire immigrée africaine qu'il y a le plus de délinquants, c’est prouvé chiffré avéré. Les prisons occupées à plus de 90 % par ce genre de personnes en sont une preuve flagrante.

Utiliser les statistiques ethniques pour cataloguer les masses de délinquants passés présents et à venir, toujours les mêmes mais interdites par la loi islamogauchiste qui sévit et réprime ceux qui osent en parler.

Zemmour, le résistant au fascisme islamogauchiste l'a payé très cher.

Mais toutes ces méthodes payantes doivent être appliquées en loucedé par les forces de l’ordre : pas de vidéos, pas de briefings, pas d’interviews sur ce sujet, pas de réseaux sociaux... seulement, sans rire, se concerter grâce au "téléphone arabe". LOL !

Achille

Pauvre Castaner. Il est vrai qu’il n’a jamais vraiment été accepté par les policiers. Mais là il les a vraiment mis en colère.
Pourtant ses propos n’avaient rien de vraiment condamnables.
Il a dit qu’il y avait des cas avérés de racisme lors d’interventions de la police. Qu’ils soient rares, ce qui est vrai n’est pas vraiment le problème. Un représentant de l’ordre doit se montrer exemplaire, même dans les cas d’interventions difficiles, afin de ne pas jeter l’opprobre de son comportement sur toute la profession.

Mais nous vivons à une époque où la susceptibilité est à fleur de peau. Ceci que l'on soit une racaille colorée ou un policier blanc bleu. Il serait temps de se calmer !

Une solution pour éviter les problèmes de faciès serait que les policiers n’effectuent plus de contrôles d’identité aléatoires, généralement ciblés puisqu’à l’appréciation des agents de la patrouille.

Il est évident qu’un quidam en costume cravate et attaché-case, qu’il soit d'ailleurs blanc ou noir, aura moins de chance (si l’on peut dire) d’être contrôlé qu’un type avec une tenue négligée, un grande barbe, la casquette à l’envers et des tatouages sur les bras.

Les contrôles d’identité devraient se limiter uniquement aux cas d’infractions, d’incivilités. Mais tout citoyen doit être en mesure de se promener dans la rue sans être interpellé par les forces de l’ordre au motif qu’il a une sale tête et une tenue négligée.

La tenue vestimentaire, le look que l’on se donne, par goût ou par provocation, est aussi une forme de liberté d’expression et n’a pas à être l’objet de contrôle d’identité.

xc

@ genau | 11 juin 2020 à 16:56
"Une autre vidéo donne le nombre de tués par la police en 2018: 268 noirs et 370 blancs."

Il faut tenir compte de la proportion des deux groupes dans la population des USA:
https://fr.statista.com/statistiques/570757/pourcentage-de-la-population-des-etats-unis-en-et-2060-et-par-origine-hispanique/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Race_%28recensement_des_%C3%89tats-Unis%29

Aliocha

Oh oui, frères et sœurs, que la perplexité du rêve est joyeuse, et nous avons les moyens, renonçant au mépris de nos différences, de formuler ensemble ce qui sauve à l'endroit du péril.
Nous avons l'occasion de danser sur ce fil aiguisé comme une lame qu'est notre réalité entre les deux enfers de notre ambivalence, moi je suis seul et eux ils sont tous.
Si nous admettons pour vrai, et elle l'est, la connaissance évangélique, nous reconnaîtrons partager cette solitude, sans céder à la tentation d'en exclure les autres, s'en excluant réciproquement par volonté de sacrifice qui n'est, après le triomphe de la croix, que désir de pouvoir.

Là est notre joie profonde, accepter l'invitation du Rabbi d'échapper aux enfers de nos particularités solitaires bien réelles, pour accéder au royaume de la reconnaissance mutuelle de leurs similitudes, en la capacité qu'il nous a donnée de savoir inventer sa formulation hors de la geste païenne, sans accuser autrui mais en le conviant à partager cette réalité commune.
C'est si simple, ce que nous partageons est notre solitude.

Mary Preud'homme

@ Walson | 11 juin 2020 à 16:35
"Notre pays regorge d'hommes et de femmes capables de le remplacer au pied levé."

Bien d'accord.
Pour éviter un discours trop long, je ne citerai que les trois premiers qui me viennent à l'esprit :
Laurence Parisot, Pierre de Villiers et Frédéric Péchenard.

Hélas la première pressentie pour être Premier ministre de Macron a été écartée car risquant de lui faire de l'ombre et de viser plus haut.
Le second, patron de l'Armée, a été recadré comme un malpropre par ce même cheffaillon Macron et a démissionné.
Quant au troisième, remarquable stratège policier il a été viré par Hollande aussitôt promu, pour être remplacé par un fonctionnaire terne et à la botte.

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@ sylvain | 11 juin 2020 à 10:52

Quand Marion Maréchal dit que le racisme n'est pas le premier problème en France, je l'approuve entièrement.
Or, contrairement à elle vous nous ramenez sans cesse le sujet, avec le rappel de votre couleur de peau, souche, religion etc. qui ferait de vous un vrai Français, à savoir un homme qui fait honneur à son pays. Alors que vous n'en êtes que le repoussoir !
On aimerait donc en savoir un peu plus sur vos états de service (y compris militaires), vos engagements au service de la Nation, etc.
Car il ne suffit pas d'aimer la bibine, le bon vin, le camembert ou le saucisson pour se revendiquer Français de souche. Mais faire honneur à son pays et être prêt à le défendre au péril de sa vie c'est autre chose...

Savez-vous Monsieur qu'un véritable brave ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil et sait reconnaître chez ses pairs, nonobstant leur origine ou leur apparence les qualités d'un honnête homme, d'un bon soldat et d'un citoyen amoureux de sa patrie ?

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@ Alpi | 11 juin 2020 à 19:07

Relisez bien dans quel contexte Tomas a écrit cela : "j'aime bien faire dans le social"

Sa remarque n'avait en fait pour but (après qu'il se soit fait moucher d'importance et s'en trouve désarmé et incapable de répondre sur le fond) que de me réduire à n'être qu'une pauvre femme qu'il condescendait à écouter par pitié !

Lodi

"Ainsi on brise nos rêves d'enfance, on souille notre mémoire, on nous oblige, croit-on, à reconsidérer nos admirations et à perdre nos illusions."

Le rêve des uns est le cauchemar des autres. Il ne faut pas censurer les œuvres mais on peut comprendre ce qu'il en est de voir ses ancêtres en esclaves qui n'ont rien de Spartacus.
Je ne sais plus qui a dit que la plupart des Français ont des ancêtres serfs. Comparaison boiteuse : les nobles n'ont pas gardé une prééminence telle qu'elle pèse sur les roturiers. Et puis, la différence entre sang bleu ou rouge ne saute pas aux yeux. Être Noir, c'est être enfermé dans une peau vous désignant comme descendant d'esclave, et selon certaines théories, biologiquement inférieur, disgrâce historique et corporelle.

Essayez d'imaginer ça... Voyons, si des extraterrestres prenaient le pouvoir et l'exerçaient un certain temps mais qu'ils veuillent bien intégrer les Terriens à leur culture plus scientifique et leur concéder une égalité de droit, ils pourraient toujours parler de leur Histoire pleine de bruit et de fureur, en attendant, tout Terrien serait regardé de haut par au moins une partie de l'élite galactique, avec les risques de violences réciproques que cela induit fatalement.

Je ne pouvais pas dire et si les Noirs avaient envahi l'Europe ? Car c'était impossible. L'agriculture et le reste n'a pas pu se développer autant en Afrique, à cause des maladies, entre autre. Pareil : j'aimerais lire quelque uchronie sur les Aztèques conquérant l'Europe, mais pour rire, il y a d'autres raisons rendant ça impossible. Bref, la question n'est pas de dire que mal se comporter avec les gens retombe sur les agresseurs, bien sûr que non, mais de s'imaginer ce que cela ferait et de s'en abstenir par le pur amour de la justice.
Réparer le mal commis aide moins les victimes et est plus difficile. Cela ne veut pas dire de s'agiter en dépit du bon sens non plus, de parler d'esclavage à chaque exploitation, de confondre des peuples différents et de diviser la nation au risque de la guerre civile.

Les Noirs, pas avantagés comme je l'ai dit, ne sont cependant pas juridiquement inférieurs et leur situation est contrastée à savoir meilleure ici qu'aux Etats-Unis tandis qu'il ne fait pas bon être Juif partout chez nous. Chacun ses points plus ou moins faibles ou fort, question préjugé, sécurité et le reste, c'est évident.
C'est cela, la réalité. Ni enfer ni paradis. Comment dire ? Les préjugés demeurent mais s’estompent : nous sommes en convalescence.

Cela ne veut pas dire qu'on doive détruire le legs du passé. Entre les préjugés et ce qui a été bâti par d'autres injustices encore, il ne resterait plus grand-chose. Peu d'aliments ne sont pas à la base la mort d'un être vivant, peu de réalisations culturelles ne sont pas à la base des lynchages, de l'exploitation, de la guerre et des préjugés.
Mais soit nous nous tuons, soit nous nous nourrissons. Le reste n'est qu’hypocrisie.

Mary Preud'homme

Ces histoires d'homme (ou femme) blanc et d'homme (ou femme) noir sont ridicules et totalement dépassées quand on vit depuis près de cinquante ans dans une famille où les uns et les autres se sont mélangés harmonieusement et ont une descendance épanouie et bien intégrée qui manifestement vit à son époque et non à celle des colonies, comme nombre de commentateurs (attardés) de ce blog. Autant de jeunes qui se sentent totalement et profondément Français, travaillent et s'engagent, y compris dans l'armée ou la police dernier rempart contre le fascisme et la tyrannie.
Sans pour autant renier leurs racines ou faire l'impasse sur l'un de leur parent né ailleurs et qui un jour a librement choisi la France comme terre d'adoption et d'élection.

sylvain

Nazis, talibans, communautés noires racistes antiblancs : même combats, mêmes méthodes fascistes haineuses violentes.

Nazis : juifs persécutés, tabassés, vitrines taguées, fracassées, culture et littérature éradiquées, livres brûlés, avant le grand holocauste.

Talibans : sculptées dans les falaises de Bâmiyân, les statues de Bouddhas géants explosées en 2001, et le terrorisme islamiste qui suivra pour le plus grand malheur de leur peuple et du monde.

En somme, nos indigénistes racistes antiblancs anti-France antiflics, ne font qu'imiter ces criminels terroristes et adoptent les mêmes méthodes que les nazis et les talibans à leurs débuts, avant de passer à l'étape supérieure : attentats, crimes, manifs violentes dans le but d'abattre les blancs, les cathos, et éradiquer définitivement tout ce qui a construit notre nation.

La troisième guerre mondiale sera une guerre de races, de couleurs, le totalitarisme indigéniste noir sera le nouveau fascisme, une dictature féroce qui mettra la race blanche à genoux.

Achille

Encore une bonne intervention de Raphaël Enthoven qui était interviewé par Alba Ventura ce matin sur RTL.

Contrairement à Michel Onfray qui se déclare philosophe et qui depuis quelque temps dès qu’il passe sur une radio ou un plateau TV, fait surtout de la promo pour sa nouvelle revue « Front populaire », titre à connotation de gauche des années 30, mais avec des idées clairement de droite souverainiste.

R. Enthoven, lui, préfère se présenter en tant que professeur de philosophie. Il extrait les propos d’une personnalité qui a les faveurs des médias, les dissèque pour en révéler la signification profonde, voire le message subliminal, ceci avec une clairvoyance remarquable.

C’est moins impressionnant que les longues démonstrations savantes à la Onfray, mais plus éclairant pour ceux qui l’écoutent.

Patrice Charoulet

ABONNEMENT A VIE

Je viens de m'abonner à la nouvelle revue en ligne du philosophe Eric Deschavanne « Le débat utile ». Très bonne revue. En ligne, autrement dit gratuite. A la bonne heure !

Nouvelle revue de Michel Onfray , « Front populaire ». Onfray a été invité dans vingt radios et télés pour annoncer l'événement.
La revue se vend au numéro. On peut opter entre divers abonnements : un an, deux ans...
La dernière option est assez cocasse : abonnement à vie, 1 500 euros !
Voilà un homme confiant. Il a déjà eu plusieurs AVC. S'il meurt le mois prochain et que la revue s'arrête, les abonnés à vie seront-ils remboursés ?

Je vais lire la revue en ligne.

Tomas

@ Alpi

OK, je suppose que vous ne prenez pas vos cinq semaines de congés par an et que vous payez de votre poche tous vos frais médicaux, les plus onéreux inclus ?

La France est quand même ce pays formidable où chômeurs et retraités sont (encore ?) correctement traités et payés, ce qui est naturellement une excellente chose, mais où les gens récriminent en permanence en pronostiquant un déclin inéluctable et fatal, sans oublier d'aligner les énormités au passage. À vous il manquait l'immanquable citation d'Audiard qui sera bientôt un véritable marqueur politique et identitaire je prévois !

duvent

@ Jean | 11 juin 2020 à 19:25
« Je vous ai vexée à dessein. Vous n'ignorez pas, Madame, que dans notre société la courtoisie cesse avec l'égalité. Je ne pouvais souffrir que vous dissiez n'importe quoi juste afin de provoquer. Veuillez me pardonner de vous avoir corrigée. »

Monsieur, vous vous donnez beaucoup d'importance, et cela je ne peux l'empêcher...

Puisque vous ne m'êtes rien, il sera très difficile et même impossible de me vexer, mais enfin, vous croyez que vos desseins sont à ce point puissants, et cela vous rend de plus en plus amusant !

Quant à vous pardonner de m'avoir corrigée, je vois bien là le sot que vous êtes.

Ainsi, me voilà contrainte de vous dire que vous ne m'avez corrigée en rien, et que c'est grande bouffonnerie de votre part que d'y prétendre.

Cependant, je suis magnanime et je vous concède de m'approcher avec votre discours cauteleux, qui suscite le mépris, et c'est ainsi que j'affirme qu'il n'y a chez vous rien qui vaille, et certainement pas votre analyse de l'homme noir ou blanc...

Je ne suis pas noire, et il semble que vous non plus, en conséquence de quoi, je vous le dis : ce que vous pensez de l'homme en général, de celui de couleur en particulier : moi femme inconnue, de vertu modérée, de culture délicate, de liberté absolue, je m'en tamponne joyeusement le coquillard !

Mais, car il faut un mais, et un puis, vous devriez de temps à autre penser à regarder le monde que vous tenez dans vos mains, car vous êtes un puissant personnage de comédie, et ce monde que vous tenez dans vos petites mains d'homoncule, il va où l'homme sans conscience, et sans vertu, ni courage, le mène, dans des sphères inconnues et dangereuses.

Mais il y a le vent et qu'y a-t-il dans le vent ?

Il y a les yeux orange des gorilles, et dans les yeux orange des gorilles il y a une pensée que vous ne connaissez pas mais qui flotte et tourne dans la tête des hommes qui voient...

Il y a les écailles des loups sur lesquelles l'arc-en-ciel bondit et vole dans la tête des hommes qui voient...

Il y a la laine des cabris qui douce et chaude embrume les yeux des hommes qui voient...

Il y a les parfums des genêts suaves et sucrés qui enivrent les hommes qui voient...

Il y a l'eau des cascades, fulminante et vaporeuse, qui lave les hommes qui voient...

Il y a l'amour pur qui guérit et soigne les hommes qui voient...

Alors, vous comprendrez Monsieur Jean, que vos rodomontades et vos rires sardoniques de héros de sofa, me laissent rêveuse et perplexe.

Wil

Dans la série "journaliste français honnête ou l'oxymore pour les nuls", on a eu droit ce matin à l'inénarrable propagandiste bien-pensant Gilles Bornstein qui interviewait Gilbert Collard sur France Info.

- Bornstein: "Est-ce qu'il n'y a plus de racisme dans la police qu'ailleurs ?"
- Collard : "Pourquoi y aurait-il plus de racistes dans la police que dans la presse, ou qu'ailleurs ?"
- Bornstein: "Ben, je sais pas, par exemple dans la police il y a plus de gens qui votent Rassemblement National".

https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/franceinfo/l-instant-politique/l-instant-politique-du-jeudi-11-juin-2020_4005025.html

Donc, sans surprise, pour ce crétin de Bornstein si on vote RN on est forcément raciste.
CQFD

Et il a tellement le courage de ses opinions qu'il dit évidemment ensuite qu'il ne l'a pas dit, ce qui est vrai, il n'a fait que le sous-entendre tellement fortement que tout le monde a compris que c'était ce qu'il voulait dire.

Mais Bornstein n'est qu'un parmi tous les crétins de sa caste de privilégiés médiatiques qui ont tellement le melon qu'ils se croient indispensables à l'évolution de l'humanité.

Je me souviens d'une fois où un des invités de Laurence Ferrari sur CNews lui proposait en rigolant "Je connais des gens très biens qui sont royalistes vous savez ? Si vous voulez, je vous les présenterai", et Ferrari de répondre "Non merci" l'air dégoûté.
C'est sûr, les roycos, faut pas s'en approcher, c'est vachement dangereux, ça pue et ça a des maladies et tout...
Et ces gens passent leur temps à donner des leçons de tolérance...
Si j'avais eu des enfants et qu'ils m'avaient dit "Papa, je veux être journaliste", j'aurais répondu "Quelle honte ! Je te renie".

Exilé

@ Alpi
« D'ailleurs, pour paraphraser Clemenceau, dès qu'on accole l'adjectif social à un nom, on le dénature. »

Pour ne pas oublier la Contribution Sociale Généralisée...

Michelle D-LEROY

Yann Moix qui n'est pas forcément ma tasse de thé, mais scandalisé qu'on puisse modifier les dialogues d'un chef-d'oeuvre du cinéma à des fins anti-racistes, rappelle aujourd'hui ce que disait Pierre Desproges en 1985 et il a entièrement raison :

"Je me souviens de Pierre Desproges, écrivant : « Quand un Noir dit qu’un Blanc est con, on dit que le Blanc est con. Quand un Blanc dit qu’un Noir est con, on dit que le Blanc est raciste. » C’était en 1985. Et c’est à méditer en 2020."

Sans devenir des racistes de base, de grâce, gardons notre dignité face à cette nouvelle mode qui oscille entre soumission et reniement de notre culture et de notre passé. Un reniement qui visiblement ne gêne pas nos politiques, prêts à tout pour gagner des électeurs.

Jean

@ duvent

Madame, je n'aime pas aimer. J'aime qui j'estime.

J'ai voulu que ma fille s'instruisît à mon école plutôt qu'à celle de la République. Si elle dut ressembler à quelqu'un, autant que ce fût à moi. Je crois qu'elle m'aime tout comme je l'aime. Je respecte sa liberté. Elle respecte la mienne. La liberté n'est pas la licence et l'amour ne va pas sans estime, même et surtout vis-à-vis de son enfant.

Dans votre extrait, il y a bien un homme noir. Il aurait pu être blanc. Il aurait dû être blanc, puisqu'il en avait tous les traits. Mais il était noir afin de montrer le racisme congénital des blancs. C'était la visée de ce film éducateur. Il n'est point d'homme sans racine. Il n'est point d'homme universel sans le long œuvre de la culture. Ces hommes sont des exceptions et ne seront jamais la norme. L'homme noir de votre extrait n'existe pas ou il se nomme Barack Obama !

J'ai grandi avec deux cultures dans une région déchirée par la guerre entre ces deux cultures. Je sais le tiraillement dans lequel l'enfant grandit entre deux cultures différentes. Je sais comment il en pâtira toute sa vie et combien il en ressortira le plus souvent tordu et avec une sensibilité pour toujours exacerbée. Vous adoptez la position de l'inconditionnalité de l'amour qui surmonte toutes les résistances et qui s'en nourrit, le vieux mythe de la passion amoureuse sans cesse repris depuis Tristan et Yseult et adapté aux mœurs contemporaines. Je ne doute pas que vous n'ignoriez pas que la passion amoureuse mène en son terme ultime à la mort. La passion amoureuse ne s'occupe que d'elle-même, comme Saint Augustin, comme vous avec votre amour de l'amour. Je n'adopte point cette posture. J'adopte la position de l'enfant, celle de la victime innocente du choix des parents. Comme d'ailleurs pour notre époque et ce qu'elle lèguera, personne ne se soucie de cet enfant. Les idées pieuses justifient tout et absolvent jusqu'aux pires choix. L'intention était bonne. Mais l'intention ne suffit pas. Je lui préfère la responsabilité.

Je vous ai vexée à dessein. Vous n'ignorez pas, Madame, que dans notre société la courtoisie cesse avec l'égalité. Je ne pouvais souffrir que vous dissiez n'importe quoi juste afin de provoquer. Veuillez me pardonner de vous avoir corrigée.

Alpi

@ Walson
"Notre pays regorge d'hommes et de femmes capables de le remplacer au pied levé."

On veut des noms !

Alpi

@ Tomas, 10 juin, 23:18
"J'aime bien faire dans le social..."

Quand j'entends le mot social, je sors mon revolver !
D'ailleurs, pour paraphraser Clemenceau, dès qu'on accole l'adjectif social à un nom, on le dénature.
Ainsi la sécurité sociale n'a plus rien à voir avec la sécurité, l'assistante sociale n'assiste personne, les acquis sociaux ne sont plus acquis, le dialogue social ressemble plus à un monologue. Je n'ose même pas parler de la justice sociale !

Mitsahne

ON EST GOUVERNES

À l’Elysée, on envisage de prendre enfin des mesures sérieuses contre les atrocités blanches. Les maires de France seront incités à prendre des arrêtés pour interdire les chutes de neige au-dessus de leur commune.
Des recherches seront entreprises pour qu’il puisse tomber, à volonté, de la neige de couleur. Le ministère à l’Egalité des chances devrait débloquer les crédits nécessaires.

Dans le même élan de purification, le ministère de l’Education nationale va demander à l’Académie française d’accréditer l’orthographe de « faire semblant » en « faire sans blanc ».

Non mais !

(On dit que le président va faire ajouter à son patronyme le surnom de SCHWARTZKOPF, dans un souci de volonté d’apaisement des masses communautaires noires, avec l’accord d’Angela Merkel).

Nic

@ Isabelle | 11 juin 2020 à 18:03

Ah non, défense de toucher aux Tontons Flingueurs !

"J'disais l'Égypte comme ça ! J'aurais aussi bien pu dire… le Liban."

Xavier NEBOUT

Marion, sauve-nous !

Isabelle

Les féministes vont-elles demander la censure de ces dialogues des Tontons flingueurs ? C'est très à la mode en 2020....

Mme Mado va nous manquer avec son furtif et son affectueux du dimanche... Et le comble, invoquer Tombouctou, n'est-ce pas raciste ça ?!

https://www.youtube.com/watch?v=AEv9VLQegvY&feature=youtu.be

duvent

@ Jean | 10 juin 2020 à 23:36 (@ duvent)
« Madame, vous aimez choquer par impertinence. J'ai regardé l'extrait. Je n'y ai vu qu'un homme noir parler avec la culture d'un homme blanc. Un film de blancs pour éduquer des blancs en somme. C'est banal. Votre érotisme s'exalte à la transgression. C'est banal aussi.
Si ma fille avait agi de la sorte, je ne lui aurais rien dit. Je n'aurais pas manifesté de colère. Je lui aurais simplement tourné le dos pour ne plus jamais la revoir. Sans doute, est-ce racisme. Je me serais permis cette liberté comme elle se serait permis la sienne. »

Dites-moi, Monsieur Jean, d'où sortez-vous que j'aime choquer ?
Sans doute l'êtes-vous, mais cela ne suffit pas pour conclure que j'aime choquer, non, pas du tout !

Moi, j'aime aimer « Nondum amabam, et amare amabam » !
Tandis que vous n'aimez que vous-même, au point d'avouer, alors que je ne vous demandais rien, que cet amour inconsidéré pour vous-même vous conduirait, dans la situation des parents dans "Devine qui vient dîner...", à vous détourner de votre fille !

Eh bien je ne vous félicite pas Monsieur Jean, car là où vous voyez un homme noir, je vois un homme, de même que là où vous voyez un homme blanc, je vois un homme.

Tandis qu'à vous lire je vois un âne ! Un âne qui brait et qui se prend pour un pur-sang arabe, c'est amusant...

P.-S.: votre fille que vous n'avez pas eu à renier a dû en faire des choses, sans que vous n'en souffriez trop. Elle vous aime plus que vous ne l'aimez, c'est très triste !

Serge HIREL

HBO, filiale de WarnerMedia, deuxième groupe mondial de production audiovisuelle, lui-même propriété d’AT&T, le plus gros fournisseur de services téléphoniques aux Etats-Unis, a un seul et unique objectif : faire du fric pour satisfaire les actionnaires du conglomérat, essentiellement des fonds de pension. Ceux-ci ont une sainte horreur d’être pris dans les remous de l’actualité, lesquels sont toujours nuisibles aux affaires... Il convient donc pour les dirigeants de HBO, qui ne sont jugés que sur le critère de la rentabilité financière, de s’en tenir à distance, avant même la moindre alerte...

Ce chef-d’œuvre aux dix Oscars - dont le premier accordé à une actrice noire... - fait tout simplement les frais de leur trouille d’être rattrapés par le vent de folie qui déferle aux USA et ailleurs après la mort d’un délinquant récidiviste à Minneapolis. Dans ce type de groupe avant tout financier, l’aspect culturel et patrimonial de l’offre est le cadet des soucis...

De plus, dans ce beau pays du roi-dollar, tout le monde se fiche - ou presque - des droits moraux qui, attachés aux œuvres, en interdisent toute modification... Là-bas, il ne s’agit que de produits commerciaux...
La messe est dite : pour l’instant, « Autant en emporte le vent » ne peut plus être en rayons... et, si nécessaire, doit être amputé des images qui pourraient attirer la haine des « racialistes » en transe.

Ceci dit, en France, cela n’interdit pas aux amoureux du grand cinéma et, au nom de la solidarité, aux défenseurs de notre fameuse « exception culturelle », de dire haut et fort leur dégoût face à cette censure préalable, leur mépris pour ces dirigeants qui, en fait, ne respectent même pas leurs clients. C’est à ceux-ci et à eux seuls de choisir de visionner ou pas ce film vieux de 80 ans. Et notre cher - financièrement - service public se grandirait en programmant ce film à bref délai. Ce qui obligerait le distributeur, Warner Bros, à devoir indiquer clairement s’il attache plus d’importance à Wall Street qu’à sa mission supposée de promouvoir le 7ème art américain.

Michel Deluré

Consternante perspective que celle qui conduira à nous couler dans un même moule d'où sortira une société formatée, conditionnée, aseptisée, insipide, une société contrainte de maîtriser ses attitudes, son langage, son simple regard afin de ne surtout pas transgresser les usages en vigueur de la bien-pensance et de ne pas froisser les susceptibilités de certains, une société condamnée à se repentir en permanence de son Histoire dont les générations actuelles ne sont pas responsables, une société s'abaissant à expurger ses œuvres parfois les plus anodines de toutes références qui pourraient être jugées par autrui comme choquantes, offensantes.

Qu'il faille éradiquer certains maux de la société et ne pas rééditer certaines erreurs de l'Histoire, cela ne fait aucun doute.
Mais cela ne doit pas pour autant nous conduire à faire étalage de nos faiblesses et par conséquent à nous condamner à terme à la soumission à l'égard de ceux qui seront trop heureux d'exploiter ces faiblesses.

genau

Je suggère la lecture sur Dreuz (bon d'accord, pas toujours net) du document vidéo de Candace Owens, présentatrice noire à la télévision qui explique pourquoi elle ne veut pas entendre parler de Floyd martyr et le préjudice que cette horrible affaire porte aux noirs américains.

https://www.dreuz.info/2020/06/10/video-de-candace-owens-je-ne-soutiens-pas-g-floyd-et-je-refuse-de-le-voir-comme-un-martyr/comment-page-1/

Une autre vidéo donne le nombre de tués par la police en 2018: 268 noirs et 370 blancs.
Nous sommes en train de vivre, avec la complicité de nos gouvernements et de nos hommes politiques, un cauchemar, pas en raison du danger, lequel d'ailleurs ? mais en raison du dérèglement des esprits.

On a tout dit des Traoré, c'est devenu sans intérêt, le drame reste la mauvaise foi partiale de nos médias qui tentent de nous terroriser et surtout de nous culpabiliser. On en est à l'acte de malveillance.

Isabelle

Pour essayer d'élever le débat...

MENDIANTS ET ORGUEILLEUX

À propos d’élections :

« Eh bien ! Cela s’est passé il y a quelque temps dans un petit village de Basse-Egypte, pendant les élections pour le maire. Quand les employés du gouvernement ouvrirent les urnes, ils s’aperçurent que la majorité des bulletins de vote portaient le nom de Barghout. Les employés du gouvernement ne connaissaient pas ce nom-là ; il n’était sur la liste d’aucun parti. Affolés, ils allèrent aux renseignements et furent sidérés d’apprendre que Barghout était le nom d’un âne très estimé pour sa sagesse dans tout le village. Presque tous les habitants avaient voté pour lui. Qu’est-ce que tu penses de cette histoire ?
Gohar respira avec allégresse ; il était ravi. « Ils sont ignorants et illettrés, pensa-t-il, pourtant ils viennent de faire la chose la plus intelligente que le monde ait connue depuis qu’il y a des élections. » Le comportement de ces paysans perdus au fond de leur village était le témoignage réconfortant sans lequel la vie deviendrait impossible. »

Albert COSSERY, extrait de "Mendiants et orgueilleux", un superbe livre.


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