Heureusement que notre police est républicaine et tolérante !
Le problème n'est pas qu'elle ait été lâchée par son ministre puis rattrapée par le président de la République, le Premier ministre et le Secrétaire d'Etat Laurent Nunez qui s'est clairement proposé pour prendre la relève de Christophe Castaner.
Le problème est que d'incohérences en contradictions, de sévérité en démagogie, d'autoritarisme en faiblesse, de lâchetés en rétractations, notre police ne peut qu'être victime d'un tournis démocratique.
Entendre l'absurdité d'un "soupçon avéré de racisme", même si elle est retirée, est dévastateur.
Inciter à des mesures inutiles sur la déontologie des policiers, à la suite d'une manifestation du 2 juin interdite mais dont les slogans haineux ont pourtant impressionné des gouvernants fluctuants, est le comble de l'aberration.
Accepter le simplisme pervers de réduire l'usage de la force légitime policière à quelques violences illégitimes commises par certains de ses membres, poursuivies sur le plan pénal ou sanctionnées par la voie disciplinaire, est non seulement injuste mais profondément déprimant pour un corps au service de la population et de la démocratie.
Ce n'est pas l'affirmation évidente que le racisme est une malfaisance et la violence illégitime une transgression grave qui va changer l'univers de la police. On aurait dû entendre depuis longtemps ces banalités capitales mais insérées dans une stratégie du pouvoir qui n'aurait pas de manière syncopée mis en évidence des données incontestables mais les auraient posées une fois pour toutes sur la table républicaine : soutien concret à la police dans ses missions au quotidien, difficiles et risquées, et rigueur à l'encontre de ses fautes avérées.
Le rôle de la police est d'autant plus fondamental aujourd'hui est qu'elle est probablement la seule institution, avec une multitude de serviteurs exemplaires de l'Etat, à pouvoir empêcher la confrontation de deux France, leur antagonisme qui, si on n'y prend garde, deviendra mortifère. Ces deux France face à face, comme l'avait annoncé très tôt Gérard Collomb.
La colère des policiers est limitée, maîtrisée : qu'on ne les pousse pas au bout du désespoir et de l'humiliation. Nous verrions alors tout ce qu'ils nous donnent et ce que le pouvoir leur enlève. (Le Figaro).
Oui, celui-ci, aujourd'hui, ne mérite pas cette police.
@ Isabelle | 13 juin 2020 à 10:25
"Pour le bannissement d'Eric Zemmour des médias : cette pétition est lancée par Priscillia Ludosky, figure des Gilets jaunes, qui révèle enfin son vrai visage. Une figure d’extrême gauche, qui pense à son avenir en politique."
Et rétrospectivement, elle révèle le vrai visage des Gilets jaunes. Priscillia Ludosky est l'une des trois ou quatre personnes qui ont lancé le mouvement. C'est sa pétition sur le prix de l'essence qui a mis le feu au gas-oil. Tous les initiateurs du mouvement ont, tôt ou tard, pris des positions de gauche.
Mais à part ça, on nous a bourré le mou pendant un an sur les gentils Gilets jaunes dont le mouvement a été méchamment dévoyé par l'extrême gauche. Comme si la tactique séculaire de la gauche n'était pas de nier qu'elle soit de gauche, qu'elle oeuvre à conquérir le pouvoir par des moyens non démocratiques, et de prétendre qu'elle représente le peuple dans son ensemble.
Soit exactement ce qu'ont fait les Gilets jaunes. Il faut dire qu'un certain nombre d'entre eux pensent être d'extrême droite. C'est tellement un fatras dans leur tête, qu'ils ne se rendent pas compte qu'une bonne partie de l'extrême droite en France est d'extrême gauche. Même Marine Le Pen vient de donner des leçons "d'anti-racisme" à sa nièce. Laquelle venait juste de rappeler que la mort d'un délinquant noir rebelle aux mains de la police américaine ne concernait en rien les Français blancs.
Si on ne peut même plus compter sur Marine Le Pen pour reconnaître la réalité de la guerre ethnique qui sévit en France, mieux : si elle tente de faire honte à Marion Maréchal parce qu'elle a osé parler de race, au sujet d'agitateurs anti-français qui eux-mêmes ne cessent d'en parler, la dernière raison de voter Rassemblement national disparaît.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2020 à 13:43
1. CASTANER : ERREUR DE CASTING
2. @ Mary Preud'homme
Ce que vous dites, sur le sujet de la police, est très juste.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 14 juin 2020 à 18:10
@ Serge HIREL
« Ces conseils sont l’œuvre de France Info, radio du service public...
Naturellement, il ne s’agit que de conseils sanitaires... mais sans le moindre rappel que participer à une telle manifestation interdite, c’est désobéir à la loi. »
Bien vu et bien dit.
« Bien sûr, France Info, filiale de Radio France, qui appartient à 100 % à l’État et dont les salariés, rémunérés essentiellement grâce à la taxe audiovisuelle, bénéficient du statut de fonctionnaires, n’est pas une radio d’État. Et ses journalistes ont raison de défendre farouchement leur indépendance éditoriale. »
Là, permettez-moi de tiquer...
L’État, à supposer qu'il veuille entretenir sa fiction d'existence démocratique, n'a pas à se mêler d'information, du moins s'il ne cherche pas à mettre la main sur des outils de propagande, comme l'AFP d'ailleurs dans un autre domaine tout aussi scandaleux.
Admettons cependant que cette radio ressorte d'un prétendu « service public » que personne n'a d'ailleurs songé à demander.
Dans ce cas, outre un éventuel sobre énoncé factuel d'une situation, il n'y a pas de ligne éditoriale qui tienne, et donc d'indépendance, dans la mesure où cette ligne serait susceptible de heurter voire de scandaliser les assujettis à la redevance (assujettis, donc sujets, comme au bon vieux temps...) ou même un contribuable comme moi qui évite comme la peste ce genre de médias publics (et même les autres) et qui n'entend évoquer leurs tristes exploits que par votre plume, lui annonçant que les impôts qui lui sont extorqués sont utilisés pour financer l'expression de thèses qui le révulsent.
Rédigé par : Exilé | 14 juin 2020 à 14:07
@ Patrice Charoulet | 13 juin 2020 à 21:10
Vous êtes bien aimable...
Je tiens à préciser néanmoins que je ne défends pas la police, pas plus que la gendarmerie d'ailleurs. Et il y a bien d'autres métiers (exercés par mes très proches) que je n'évoque jamais, tout simplement parce qu'ils ne sont pas aussi odieusement et injustement attaqués.
Je me contente de rectifier les faits là où je vois trop de hargne, de mensonges, de calomnies concernant des institutions qui méritent le respect, eu égard à l'esprit de service, au courage et au dévouement sans failles de la plupart des hommes et femmes qui les constituent, tous corps, grades et métiers confondus.
Une diversité qui généralement échappe totalement au profane qui se borne à répéter mécaniquement ce qui passe en boucle dans les médias. Sachant que bouffer du flic c'est vendeur ! Et certains s'en privent d'autant moins que c'est leur unique raison de vivre : se répandre en imprécations et accusations bien à l'abri derrière son clavier, quel pied !
Des Tomas et compagnie à l'instinct grégaire qui prétendent nous donner des leçons de morale démocratique et bafouent la loi en bandes organisées, cassant et brûlant sans vergogne sur leur passage... Et viendront ensuite se plaindre de la méchante police, pleurnicher comme des lopettes s'ils reçoivent un peu de lacrymo, hurler au scandale, au fascisme et racisme quand ladite police exécute son travail qui consiste à faire appliquer la loi... Y compris en employant la force contre des voyous et des forcenés qui bombardent les forces de l'ordre avec toutes sortes de projectiles !
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@ Serge HIREL 13 juin 15:51
Bien vu. Lu et approuvé...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 juin 2020 à 14:02
@ hameau dans les nuages
Je le fais exprès. Et vous, vous savez lire ?
Rédigé par : Tomas | 14 juin 2020 à 13:50
@ Tomas
"Si 20 000 personnes vont manifester alors que c'est interdit c'est qu'il y a un souci, peut-on penser."
Non mais vous êtes c** ou vous le faites exprès ?
Rédigé par : hameau dans les nuages | 14 juin 2020 à 00:11
@ Patrice Charoulet
C'est très bien de réfléchir mais c'est mieux de se documenter au préalable. Si vous lisiez des livres d'histoire, vous sauriez ce qu'on peut reprocher à la police française, et si vous vous documentiez sur la question vous découvririez ce qu'est la peu glorieuse réalité de l'action quotidienne de notre police. Si 20 000 personnes vont manifester alors que c'est interdit c'est qu'il y a un souci, peut-on penser.
Vous vous prétendez souvent non-raciste, si c'est le cas vous devrez vraiment vous pencher sur la question au lieu de soutenir par principe des forces de l'ordre qui sont comme toute organisation humaine sujettes à l'imperfection.
L'amour de l'ordre et de la loi (qui est le mien) ne doit pas dispenser d'un examen critique de la situation. Les pouvoirs publics doivent des comptes aux citoyens, il est temps de rendre ceux-ci.
Rédigé par : Tomas | 13 juin 2020 à 23:11
@ Michel Deluré
Effectivement, en matière de délinquance ou d'action des forces de l'ordre, les statistiques ne sont pas lues pareil et sont de toutes manières peu fiables, surtout s'il s'agit de les comparer d'une année à l'autre. Sauf des statistiques difficiles à modifier, comme le nombre d'homicides. Quant aux sondages sur la popularité de la police ils diront tout et son contraire en fonction de l'actualité et des questions posées.
À chacun de se faire son idée avec les informations dont il dispose. Avec les miennes, je trouve que 22 cas de sanctions pour racisme sur 150 000 policiers sur toute une année (2019), c'est peu. Et je maintiens ma position: nous Français ne méritons pas une telle police, et il est urgent de la réformer, pour notre bien et celui des policiers. Quand la confiance sera rétablie avec la population, leur travail sera plus facile.
Rédigé par : Tomas | 13 juin 2020 à 22:13
NOS FORCES DE L'ORDRE
Mary, qui a des policiers dans sa famille, connaît bien leur situation et leurs problèmes. Elle a bien raison de les soutenir constamment.
Personne dans ma famille n'est gendarme ou policier. Pourtant depuis quarante ou cinquante ans, je soutiens, chaque jour et pas seulement après un attentat terroriste, nos forces de l'ordre. Les forces de l'ordre françaises. Pas leurs homologues des Etats-Unis. Ces dernières ont d'ailleurs une particularité importante : elles varient d'un Etat à l'autre, d'une ville à l'autre. Il y a mille polices nord-américaines. Je n'ai pas d'avis sur mille polices.
Si je soutiens, chaque jour et avec une belle constance , nos forces de l'ordre, ce n'est pas pour des raisons familiales, après y avoir mûrement réfléchi.
Les prétendues "violences policières" françaises m'ont toujours laissé perplexe. Policiers et gendarmes doivent, de par la loi, utiliser la force, quand cela est nécessaire.
Je suis de temps en temps scandalisé qu'on nous montre une vidéo où un policier donne un coup de matraque à quelqu'un, sur l'air de "encore une violence policière". On devrait nous montrer à la télé tous les jours les violences commises par des délinquants, des manifestants contre nos policiers.
Sans oublier les blessures qui leurs sont infligées.Les deux ministères concernés devraient envoyer toutes leurs vidéos à toutes les télés en les priant d'informer un peu plus sérieusement les Français.
J'ai dit pourquoi je n'utilise jamais les mots "violences policières" (françaises). J'aimerais vivement entendre à la télé comme à la radio "violences manifestantes". Pas un seul jour, je n'ai eu d'indulgence pour les violences commises par les manifestants en jaune (ou en noir). Et le pouvoir actuel pourrait au moins avoir un peu de reconnaissance pour les gens qui l'ont sauvé !
Je redis que demander ses papiers à quelqu'un, même plusieurs fois par mois, n'est ni une violence policière ni du racisme. Il ne faut jamais mal nommer les choses.
Je redis au passage que je suis hostile à tous les racismes, les vrais racismes.
Vive la police française !
P.-S. Il a refusé, mais il faut le lui redemander. "Monsieur Frédéric Péchenard, auriez-vous la gentillesse de bien vouloir devenir ministre de l'Intérieur, pour remplacer M. Castaner, qui a été une erreur de casting ?". Cette nomination sera bien accueillie par tous les policiers français, qui, je le certifie, ne vont pas jeter par terre leurs menottes à cette nouvelle.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 13 juin 2020 à 21:10
@ Serge HIREL | 13 juin 2020 à 15:51
Certains ici, c'est leur habitude, voudront y ajouter des bémols mais je trouve votre commentaire très pertinent. Je ne vois rien à y changer.
Rédigé par : Nic | 13 juin 2020 à 19:46
@ Tomas 13/06 14:36
Sans doute ne lisons-nous pas les mêmes statistiques ou ne les interprétons-nous pas de la même manière !
Vous conviendrez par ailleurs qu'il doit être très difficile en la matière d'établir des statistiques fiables !
Mesurer avec précision le racisme au sein d'une population ne doit pas être chose aisée ! Pour ma part, je doute fortement que, demandant à une personne si elle est raciste, elle me déclare ouvertement oui !
Rédigé par : Michel Deluré | 13 juin 2020 à 18:45
« Coronavirus : vous souhaitez manifester malgré l’interdiction pour raisons sanitaires ? Voici quelques conseils pour le faire en toute sécurité »
Quel est le média qui, ce matin à 09h54, à quelques heures du défilé interdit organisé par le clan Traoré et consorts, a publié cet article ? Facile... Un réseau social anti-flics... le site de Mélenchon... Besancenot, le facteur de Neuilly... Peut-être un titre qui, paré d’une réputation internationale, n’en est pas moins un repaire de gauchistes...
Vous n’y êtes pas... Ces conseils sont l’œuvre de France Info, radio du service public...
Naturellement, il ne s’agit que de conseils sanitaires... mais sans le moindre rappel que participer à une telle manifestation interdite, c’est désobéir à la loi. Un peu comme si Bercy publiait quelques conseils sur le meilleur moyen de frauder le fisc sans rappeler qu’agir ainsi est un délit...
Bien sûr, France Info, filiale de Radio France, qui appartient à 100 % à l’Etat et dont les salariés, rémunérés essentiellement grâce à la taxe audiovisuelle, bénéficient du statut de fonctionnaires, n’est pas une radio d’Etat. Et ses journalistes ont raison de défendre farouchement leur indépendance éditoriale. Mais de là à profiter de la notoriété de leur antenne pour inciter leurs auditeurs à enfreindre la loi... N’y aurait-il pas dans cette attitude un soupçon - avéré - d’influence politique ? Ce qui est contraire au statut de cette institution...
Quant au cas Elise Lucet, sur France 2, qui a fait l’objet de plusieurs commentaires attachés à ce billet, il me semble que la diffusion, vendredi soir, d'images anti-flics, accompagnées d’un commentaire qui sous-entend qu’il ne s’agit pas de situations exceptionnelles, relève d’une motivation quelque peu différente, même si, au final, le résultat est identique : haro sur la police.
Après un début de carrière somme toute atone et bien propre de présentatrice sous l’aile d’Henri Sannier et de Jean-Marie Cavada, Mme Lucet s’est découvert un talent d’enquêtrice... Mais d’enquêtrice à charge, quel que soit le sujet traité, quel que soit le préjudice causé à sa ou ses cibles. Dénoncer le scandale, poursuivre un témoin ou un protagoniste qui refuse de parler, interpeller le Pape place Saint-Pierre... cela fait de l’audience facile, attire tous les piliers de cafés du commerce et permet de se créer un profil de justicière bien-aimée. Au diable le rappel de la présomption d’innocence ! Fuir devant une caméra devient la preuve suprême de la culpabilité...
Cette méthode de travail, pratiquée aussi dans certains journaux sous une forme adaptée à l’écrit, n’a rien de répréhensible... si celui ou celle qui la pratique ne s’abrite pas sous le titre de journaliste. Il ne respecte pas les règles déontologiques de ce métier, qui supposent pour le moins, dans le cadre d’un reportage, le respect des faits et la mesure dans les commentaires.
Mme Lucet est une vraie documentariste-polémiste. Un métier tout à fait honorable - et parfois rémunérateur - qui conduit ceux qui l’exercent non pas à s’approcher de « la » vérité, à l’établir, mais à démontrer coûte que coûte, grâce à une enquête pro domo, que leur point de vue initial est le bon. L’un des réputés en ce domaine est l’Américain Michael Moore, devenu la hantise de Trump.
Le jour où Mme Lucet se définira comme telle, je ne changerai plus de chaîne dès le jingle de ses émissions. Quelles que soient ses « victimes »...
Rédigé par : Serge HIREL | 13 juin 2020 à 17:52
Cette fois, le virus n’est pas chinois et n’attaque ni nos poumons, ni notre merveilleux système de santé... qui se croyait abrité derrière son stock - disparu - de masques. Sournoisement, en quelques heures, revêtu des atours séduisants de l’antiracisme, le Floyd-20 a traversé l’Atlantique, s’est glissé dans nos banlieues, a infecté le cerveau de ceux qui ne demandaient que cela et a provoqué chez eux une violente crise de haine contre l’institution de notre République qu’il entend mettre à bas : nos forces de l’ordre - 100 000 gendarmes, 150 000 policiers. Le pilier de notre démocratie qui assure sa sécurité, protège le peuple et permet la cohésion de ses communautés, trop souvent belliqueuses aujourd’hui.
En fait, comme le Covid-19, l’épidémie circulait déjà à bas bruit et rodait ses slogans grâce à des porte-voix complices, gauchistes patentés, associations victimaires, blogs et réseaux sociaux suintant la délation, relais médiatiques plus ou moins conscients de leurs propos... À petits pas, depuis des dizaines d’années, tout ce beau monde occupait déjà les tribunes pour imposer son idéologie, via cette stratégie anti-flics. Une idéologie protéiforme dont le seul but est de détruire notre société pour la remplacer par une chimère dont eux-mêmes ne parviennent même pas à définir le socle, ni les valeurs. Souvenez-vous des « CRS-SS » de 68, vociférés par Cohn-Bendit et « la chienlit » des barricades...
La menace est d’une gravité extrême. Plus effrayante que celle générée par le Covid-19.
Parce que ce virus-là est encore plus nuisible : il ne cible que les soignants de notre corps social que sont nos forces de l’ordre. Tout aussi dévoués, tout aussi compétents, tout aussi courageux que sont ceux que nous applaudissons depuis la mi-mars. Policiers et gendarmes nous sont tout aussi indispensables que médecins et infirmiers. Jeter le discrédit sur eux est tout simplement d’une malhonnêteté sans nom.
Parce que présenter les manquements au règlement de quelques-uns d’entre eux comme le sommet visible d’un immense iceberg raciste et violent hors mesure installé dans nos commissariats et gendarmeries relève d’une odieuse manipulation de l’opinion. Tout groupe social compte un pourcentage minime d’individus hors des clous. Pendant la crise sanitaire, des chefs d’entreprise ont déclaré en chômage partiel des salariés qui travaillaient, des professeurs, terrés chez eux, ont choisi d’abandonner leurs élèves... Dit-on que tous les patrons sont des profiteurs, que tous les enseignants sont des fainéants ? Pourquoi, parce que quelques-uns d’entre eux le sont, policiers et gendarmes seraient-ils tous des maniaques de la matraque et des adeptes de la ratonnade ?
Parce que, cette fois encore, les dirigeants politiques, dès les premières heures, ont fait preuve d’une inconscience qui dépasse l’entendement. Imaginez-vous Pasqua, Peyrefitte, Bonnet, Chirac, Debré, Baroin, Villepin, Chevènement... se comporter comme Castaner, hurler publiquement avec les loups contre leurs propres troupes ?... Et que dire du chef de l’Etat, garant de l’indépendance de la justice, qui, semble-t-il, a foulé au pied ce devoir impérieux en ordonnant au garde des Sceaux de rencontrer le clan Traoré ? Il a récolté un camouflet à la hauteur de sa bévue... Et c’est tant mieux.
Pour ma part, cher Philippe, il me semble que, pour le titre de votre billet, vous auriez pu faire le choix d’en inverser les termes : « Cette police ne mérite pas ce pouvoir ». Depuis trois ans - et bien avant également, mais de manière plus sporadique -, elle a sans broncher obéi aux injonctions d’un gouvernement incapable de maîtriser les revendications - justifiées ou non - autrement que par l’affrontement. En d’autres temps, heureusement révolus, espérons-le, certains, troublés à la fois par leurs convictions personnelles, des ordres trop souvent confus et des reculades qui leur font endosser des responsabilités qui ne sont pas les leurs, auraient pactisé, fraternisé avec ces Français que le pouvoir les envoyait mater...
Fermer les yeux sur l’organisation illégale de manifestations contre eux n’est-il pas à la limite ultime de ce qu’ils peuvent endurer sans rompre l’ancrage profondément républicain et légitimiste de leurs corps ? Macron, Castaner, Belloubet et E. Philippe - qui se tait - jouent avec le feu...
Pour tout dire, il n’y a pas que la police qui ne mérite pas ce pouvoir qui admet, voire favorise, les injures à son égard. C’est notre nation tout entière qui est ainsi bafouée, violentée, soumise à un groupe d’individus qui ne l’aiment pas.
Comme dirait Hulot, « le temps est venu » de remercier sans ménagement Macron et sa bande de pantins... Pour sauver notre République en danger.
Rédigé par : Serge HIREL | 13 juin 2020 à 15:51
@ Michel Deluré
Non, non, non. On vous répète que notre police est raciste et violente, chiffres, rapports, articles et témoignages à l'appui, et des gens comme vous font l'autruche. Il faut mettre fin à ce scandale d'Etat qu'est la discrimination rampante et quotidienne à laquelle procède la police dans ses contrôles d'identité et son traitement des personnes à qui elle a affaire.
Ça commencerait pas la démission du ministre et la nomination d'un nouveau chargé de faire le ménage.
En précisant que tout ceci vaut pour la police, mais pas pour la gendarmerie largement épargnée par ces maux.
Rédigé par : Tomas | 13 juin 2020 à 14:36
Il est apparemment dans l'air du temps de taper actuellement sur le dos de la police. Certains, après une période de confinement peut-être mal vécue, éprouvent-ils une besoin de défoulement et trouvent-ils là un terrain idéal pour s'adonner à ce loisir ?
Dans ce débat, il me semble pourtant que l'objectivité et l'honnêteté intellectuelle commanderaient entre autres :
. de relativiser, par rapport au nombre total d'interpellations effectuées, celles qui se soldent soit par le décès, soit par des lésions graves, des personnes interpellées du fait des seules méthodes d'interpellation,
. de tenir compte des conditions dans lesquelles doivent intervenir ces interpellations, les personnes à interpeller étant la plupart du temps loin de n'être que des oies blanches et étant de ce fait plus portées à la rébellion et à la violence,
. de ne pas oublier que dans la majorité des cas, la violence des forces de l'ordre n'est qu'une réponse à la violence souvent délibérée du camp adverse,
. de ne pas faire l'impasse, ce qui serait la moindre des choses, sur le lourd tribu que les forces de l'ordre payent aussi dans le cadre de ces interpellations et de ne pas s'apitoyer que sur le sort de ceux qui transgressent la loi alors que l'on se moque du sort de ceux qui la font respecter.
Les forces de l'ordre exercent une mission particulièrement ingrate et les citoyens ont souvent à leur égard des exigences qu'ils ne voudraient pas s'imposer à eux-mêmes.
Pourtant, que policiers et gendarmes rendent leur uniforme et que deviendrait notre société ?
C'est la raison pour laquelle il est du devoir de nos gouvernants, certes de corriger et de sanctionner les dysfonctionnements ou manquements de notre police, mais avant tout de lui apporter son soutien indéfectible et de lui donner les moyens d'assurer sa mission dans les conditions les plus satisfaisantes.
Rédigé par : Michel Deluré | 13 juin 2020 à 13:50
@ Walson | 13 juin 2020 à 09:07
"Nos ministres sont un ramassis de crétins (…) de même que les députés LREM sont des zombies..."
👍
Rédigé par : finch | 13 juin 2020 à 13:45
@ Mary Preud'homme
Boudiou, quelle flamme. Comme dans votre rédaction, les mains vous tombent le long des cuisse(sic), vous êtes sur une jambe. Mais là, c'est Madame Bilger qui est responsable, pas vous. Vous n'auriez pas supporté.
Certaines années, on abaisse la moyenne des concours, c'est arrivé à l'ENM, parce que le niveau est mauvais, en général. Alors...
Et puis, il y avait quand même autre chose dans mon billet.
Rédigé par : genau | 13 juin 2020 à 11:47
C'taprem, défi laid de toute la littérature c*l turelle gogochone Joffrin, Booba, les journalopitres pouet pouet des cercles de l'islamogauchisserie.
Les c*ls en l'air, c*ls en fleurs, c*ls coincés, les bébés loupés, castagnette et micronibus, seront présentement à genoux pour honorer leur turlutte finale.
À la (Allah) question : "irez-vous génuflexionner à la Roche-sur-le-Fion (attention pas d'amalgame, le fion est un gâteau vendéen) pour vous repentir des massacres vendéens ?
Réponse : "Il n'y a pas de singes en Vendée !" Et tac !
Quel est le rapport ?? propos zoophobes, à dénoncer, schnell !
Nous savons tous que cette Vendée est de drouâââte, c'est affreux !
Et ce Fuy du Pou qui continue à ne pas vouloir négationner ni révisionner l'histoire de France comme l'exigent les maîtres du Boboland gaugochon, quel toupet ! Envoyons-y un troupeau de Traoré pour y remettre de l'ordre, fissa !
Rédigé par : sylvain | 13 juin 2020 à 11:18
@ Alain
« Merci à Robert II pour son commentaire. J'avais envie de réagir, je partage entièrement ce qu'il écrit.
M. Bilger depuis un certain temps vos billets commencent à sentir le cuir bien ciré et la croix gammée. »
La croix gammée ? Vous parlez de l'extermination programmée de population ? Lorsqu'on évoque le nazisme, encore faut-il pour être crédible un instant, donner des éléments de comparaison très concrets.
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@ Achille
« Un point sur lequel je serais plutôt d’accord avec Christophe Castaner c’est la suppression de la méthode d’étranglement qui serait la cause de la mort de Cédric Chouviat, le livreur à scooter décédé en janvier à Paris suite à une intervention musclée. [...] Il est clair que cette méthode présente des dangers quand elle n’est pas parfaitement maîtrisée, d’où l’intérêt pour les policiers d’une formation sérieuse sur cette technique d’immobilisation. D’autant que l’opération dépend en grande partie du gabarit du délinquant.
[...]
D’où l’intérêt de définir une méthode qui évite les issues fatales lors d’une intervention contre un délinquant qui refuse de se faire contrôler et qui passerait par une formation poussée en sport de combat. »
Le livreur à scooter ? Faut-il parler de son curriculum vitae à celui-là aussi ? On peut disserter sur les mérites de techniques mal maîtrisées. Sauf à renoncer à policer la société, les policiers devront continuer à arrêter des gens qui s'y opposeront physiquement. On peut retirer des techniques, retirer des moyens, d'autres devront y être substitués.
Face à cette évidence, il est question de généraliser l'usage du Taser, de l'utiliser à l'américaine comme une arme pour arrêter et non seulement dans le cadre de la légitime défense.
Attention les yeux, il pourra y avoir d'autres morts, et pas forcément des rebelles comme Chouviat.
Ou sinon, on peut se rassurer en se disant qu'il faut « définir une méthode qui évite... », comme si on découvrait l'Amazonie, que le territoire était vierge, qu'on allait, plus malins que tous les autres avant, trouver une solution magique à laquelle personne n'avait songé auparavant.
Rédigé par : Marcel P | 13 juin 2020 à 10:30
Pour le bannissement d'Eric Zemmour des médias : cette pétition est lancée par Priscillia Ludosky, figure des Gilets jaunes, qui révèle enfin son vrai visage. Une figure d’extrême gauche, qui pense à son avenir
en politique.
https://www.change.org/p/conseil-sup%C3%A9rieur-de-l-audiovisuel-eric-zemmour-x%C3%A9nophobe-doit-%C3%AAtre-banni-des-m%C3%A9dias
La dictature en marche ! Elle ne marche plus, elle court.
À quand un gouvernement de populistes d'extrême-gauche à la tête de ce pays qui agonise ?!
Vous parlez de l'extrême droite, qui n'est qu'à droite vu que la droite ne sait plus où elle se situe. La droite est en coma profond ! On continue de l'espérer vainement.
Eh bien, vous aurez bientôt l'extrême gauche au pouvoir... Macron et sa bande d'amateurs lui préparent le terrain. Affaire à suivre.
Rédigé par : Isabelle | 13 juin 2020 à 10:25
@ Alain 12 juin 2020 19:50
"M. Bilger depuis un certain temps vos billets commencent à sentir le cuir bien ciré et la croix gammée".
Vous mériteriez quelques coups de pieds au c*l bien sentis pour ces propos outranciers et connotés envers notre hôte.
Si, dans notre éventail d'intervenants médiatiques sur les grands chaînes d'infos, il y a une personnalité qui a l'intelligence de se maintenir dans une attitude non outrancière et courageuse, c'est bien lui.
Très courageuse !
N'avez-vous pas compris, tête de linotte, que, quels que soient les défauts de certains policiers ou gendarmes (et elles existent cesdites "brebis galeuses"), la police et la gendarmerie sont les derniers remparts avant le chaos et la guerre civile ?
Des réformes oui, des sanctions oui, mais aussi de l'autorité et des exigences au plus haut niveau de l'Etat. Ce qui manque le plus.
Mais dans quel monde d'imbéciles vivez-vous pour exprimer de tels propos sur notre hôte ?
Je ne vous salue pas.
Rédigé par : boureau | 13 juin 2020 à 10:15
@ Wil
Christine Kelly est menacée et insultée parce qu'elle présente une émission avec E. Zemmour, Eric de Riedmatten, Marc Menant et H. Hyman. Emission toujours intéressante, avec quatre intervenants de qualité qui ont de l'humour et de la classe.
Pour cette raison, elle est menacée mais où sommes-nous ?
En dictature. Alors, non. Pas d'accord pour crier avec la meute. PAS A GENOUX !
Plus que marre des meutes vociférantes que nous allons encore devoir subir aujourd'hui 13 juin avec la famille de délinquants notoires, les Traoré !
Que les policiers laissent faire et n'interviennent pas. Laissons la meute beugler une fois de plus, en toute impunité.
Rédigé par : Isabelle | 13 juin 2020 à 10:14
@ Marcel P
D'abord ce petit article de France Info sur le racisme ordinaire dans la police pour compléter les expériences personnelles de Jérôme (qui sont les miennes au demeurant).
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/violences-policieres/tout-le-monde-le-sait-le-voit-et-le-subit-des-policiers-racontent-le-racisme-dans-leurs-rangs_4006021.html
La vision de deux France que vous esquissez me semble complètement caricaturale (notre pays est plus divers que cela) et contradictoire avec le portrait de l'immigration dans notre pays que vous faites. Celui-ci est fort juste: ne formant pas un bloc ethnique et culturel unique, nos immigrés n'ont guère d'autre choix que de se franciser génération après génération grâce à l'Education nationale, à TF1 et BFM, au PMU et au foot d'abord, puis au reste ensuite.
Pour la énième fois, on vous dit que le passé de la famille Traoré n'est pas le problème. Un homme est entré vivant avec des gendarmes dans un commissariat, il en est ressorti mort, cela mérite à tout le moins une enquête. Sur le reste, je ne me souviens pas avoir pris position sur ce fait divers tragique mais si vous la voulez, c'est celle de Jérôme.
Quant aux syndicats: il est normal qu'on les voie protester, par exemple, lorsqu'on impose à chaque policier le port d'un numéro matricule: il défendent leur bifteck, c'est normal, telle est la vocation d'un syndicat.
Lorsque le soir du Bataclan ils défilent sur les plateaux télé pour vous faire un cours de contre-terrorisme en direct, ils dépassent leur fonction de représentation syndicale de leurs corps de métier pour devenir porte-parole de la police. Ce n'est pas normal, alors qu'il y a un porte-parole au ministère de l'Intérieur.
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@ caroff
@ Michel Deluré
@ Achille
Dans l'article ci-dessus, vous noterez la différence de traitement dans les contrôles sanitaires entre Blancs et pas Blancs. Il n'y a aucune raison de contrôler quelqu'un dans l'espace public sur la seule foi de sa couleur de peau, de son âge ou de sa tenue, tant qu'il ne commet pas ou n'est pas sur le point de commettre un délit.
Rédigé par : Tomas | 13 juin 2020 à 09:43
Chaque sensibilité s'étant exprimée, je voudrais simplement demander : que sont devenus les centaines de millions correspondant aux heures supplémentaires impayées pour les policiers ? Les journées de récupération ?
Pendant les manifestations des Gilets jaunes les revendications étaient celles-là !
Sinon, pourquoi le chef de la police parisienne, par exemple, s'il est consulté, serait-il incapable de parler d'homme responsable à homme de gouvernement responsable ?
Quand on sait le nombre de circulaires que reçoivent les principaux et les proviseurs qui contreviennent d'un jour sur l'autre au fonctionnement des établissements scolaires, on se dit que s'il en est de même dans les instances de police, le pire est à craindre.
"Ordre et contre-ordre égale désordre".
Rédigé par : Chemins de traverse | 13 juin 2020 à 09:13
@ Mary Preud'homme
« Selon vous les policiers, en premier lieu les gardiens de la paix recrutés à bac +, lauréats d'un concours où seuls 25 % ont des chances de réussite et devant suivre ensuite une formation d'un an en école de police seraient des abruti finis.
Sans parler des officiers recrutés à bac + 3 à 5 et commissaires à bac + 5 à 7 qui eux doivent réussir pour accéder à une formation en école supérieure de police un concours réputé parmi les plus sélectifs de l'administration, plus 18 mois à 24 mois (pour les commissaires) à l'ENSP. »
Attention à ne pas confondre formation et moralité !
Le problème de la France actuelle est que trop souvent les élites ne sont que des bêtes à concours dépourvues de moralité, nous le constatons aussi hélas dans d'autres domaines comme la justice, l'administration, l'enseignement, le journalisme, la médecine, la science, comme l'épisode du Covid-19 nous l'a rappelé, sans bien entendu oublier le monde politique.
Il ne faut pas généraliser, car à côté de brebis galeuses il existe encore partout des gens à la fois compétents et d'une grande rigueur morale, mais ce ne sont pas toujours eux qui ont voix au chapitre ou qui sont les plus décorés.
Mais je reviens à l'un de mes dadas, comment un pays reposant sur une base révolutionnaire athée fortement teintée de gauchisme peut-il se targuer de respecter une morale qui ne peut être que d'ordre transcendantal ?
Rédigé par : Exilé | 13 juin 2020 à 09:07
@ finch | 12 juin 2020 à 18:10
Nos ministres sont un ramassis de crétins et on les a choisis pour ne pas faire de l'ombre à Macron-Judas.
Il en est de même des députés LREM qui sont des zombis qui ne doivent même pas différencier leur droite de leur gauche.
Rédigé par : Walson | 13 juin 2020 à 09:07
Macron ne mérite pas la France.
https://www.bvoltaire.fr/macron-evoque-sa-possible-demission-devant-ses-donateurs-londoniens/
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L'affaire Traoré pour les nuls :
https://www.youtube.com/watch?v=xgm6Oq2g_tI&feature=youtu.be
Pourquoi ces délinquants n'étaient pas en prison ?
Que fait la justice de ce pays ?
Rédigé par : Isabelle | 13 juin 2020 à 08:30
@ Wil | 13 juin 2020 à 00:32
Encore un coup de trop dans le nez ? L'alcool vous rend très agressif. Si vous êtes comme ça avec toutes les femmes rien d'étonnant que vous ne trouviez aucune compagne. Vous êtes un misogyne. Je vois que votre meilleure amie c'est la bouteille, gardez-là. Mais cessez d'insulter gratuitement.
Vous avez un sacré problème psychique.
Rédigé par : Ellen | 13 juin 2020 à 03:39
@ genau | 12 juin 2020 à 16:56
À vous lire les bras m'en tombent des mains le long des cuisses.
Selon vous les policiers, en premier lieu les gardiens de la paix recrutés à bac +, lauréats d'un concours où seuls 25 % ont des chances de réussite et devant suivre ensuite une formation d'un an en école de police seraient des abruti finis.
Sans parler des officiers recrutés à bac + 3 à 5 et commissaires à bac + 5 à 7 qui eux doivent réussir pour accéder à une formation en école supérieure de police un concours réputé parmi les plus sélectifs de l'administration, plus 18 mois à 24 mois (pour les commissaires) à l'ENSP.
Il y a des limites à la désinformation et je tenais à vous le rappeler, vous qui sans doute ne savez pas faire la différence entre un policier dûment formé et diplômé, à commencer dans le premier corps et un auxiliaire de police (ADS) recruté lui sans diplôme dans le cadre des emplois jeunes bricolés par les socialistes depuis l'ère Jospin afin de pallier le manque d'effectifs et "fabriquer" une police à l'image des banlieues à problèmes.
Demandez plutôt aux intéressés ce qu'ils pensent de cette pseudo-police éphémère n'ayant ni formation, ni pouvoir d'investigation ou de sanction et destinée uniquement à boucher les trous et servir de cache-misère, avant de nous pondre vos réflexions critiques totalement déplacées sur la police authentique qui elle fait bien son boulot et a passé concours et suivi des formations sans privilège ou exonérations d'aucune sorte !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 13 juin 2020 à 00:45
@ Isabelle
""Mépris total pour les ignobles qui s’en prennent sur
@Twitter à l’excellente @christine_kelly
Elle est « épuisée » mais qu’elle soit assurée du fait qu’une multitude la soutient
@Valeurs" P. Bilger
En effet, soutien total à Christine Kelly."
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CK est tellement idiote qu'elle n'arrive même pas à lire ses fiches correctement alors qu'elle fait de la télévision depuis des décennies... ce qui ne se voit pas grâce à son charcutier esthétique. Quel talent !
Elle a 51 ans ! Elle est plus vieille que moi et elle a l'air d'en avoir 35 à la TV. Je sais, les filtres et tout et tout, mais quand même.
Cette femme est la caricature du quota "positif" de couleur de peau.
Elle ne serait pas noire et jolie, jamais on n'aurait entendu parler d'elle.
Christine Kelly, c'est une Audrey Pulvar mièvre.
Tellement mièvre qu'elle a fait partie du CSA.
CQFD.
Rédigé par : Wil | 13 juin 2020 à 00:32
Tiens, c'est ça la police:
https://www.youtube.com/watch?v=Zitd-9DeDUo
Trust, le plus grand groupe de rock de l'Histoire de France... qui a mal tourné comme tous les groupes de rock.
Et Bernie Bonvoisin, le chanteur et parolier, qui finit trente ans plus tard par appeler à voter Ségolène Royal à la présidentielle pour pouvoir continuer à se vendre chez Ruquier comme la dernière des prostituées médiatiques.
Tous les mêmes.
Rédigé par : Wil | 13 juin 2020 à 00:13
Entre les pro-"police-milice" qui a massacré du Gilet jaune à coeur joie après avoir obtenu sa prime de 300 euros, merci Macron !, à la Bilger, Zemmour et compagnie et les anti-"police coloniale" communautaristes et journaleux médiatiques bien-pensants qui forcent tout le monde à se justifier d'être blancs, sauf eux-mêmes évidemment, et donc une police forcement raciste (cf interview de Collard par Bornstein que j'ai postée sur le billet précédent), c'est la chienlit totale dans ce pays.
C'est "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?"
https://www.youtube.com/watch?v=POj6UyEsVEs
Au passage, profitez des extraits de ce film que vous ne verrez plus parce que visiblement misogyne. Ben oui !
Pour ceux qui pensaient qu'après le confinement, la vie reprendrait comme si de rien n'était, c'est râpé.
Les gens sont encore plus c*ns qu'avant, comme si c'était possible.
Combien de fois ai-je vu des abrutis se promener dans le bois devant chez moi avec des masques même quand ils étaient seuls...
Einstein avait décidément raison.
"Il y a deux choses infinies, l'Univers et la connerie humaine, et encore pour l'Univers, c'est pas sûr".
Rédigé par : Wil | 13 juin 2020 à 00:00
« Une chose est certaine, militaires et policiers sont la proie d'une vindicte largement causée par l'incurie des politiques. »
Rédigé par : Jérôme | 12 juin 2020 à 16:39
Remarquable commentaire, tout entier frappé au coin du bon sens.
Merci, Jérôme, de rappeler les fondamentaux.
Même Mary doit abonder, je pense...
Rédigé par : sbriglia | 12 juin 2020 à 23:29
Je fais référence à l'émission d'Elise Lucet, Envoyé spécial du 11 juin 2020.
https://www.youtube.com/watch?v=WNUyaSsCBtE
Les quelques cas de violence policière sont patents. C'est parfois cruel. Les nombreux coups de matraque sur les manifestantes GJ sont terribles à voir. Je me demande quel danger subversif elles représentaient au point de subir un tel châtiment et de devoir être hospitalisées et traumatisées pour la vie. L'interview de la responsable de l'IGPN est sidérant. Il est de nature à décrédibiliser cette institution juge et partie et de vite trouver une voie de garage à cette dame. Il faut imaginer et mettre en place une structure un peu plus impartiale.
Cela étant, j'espère qu'il s'agit de cas isolés et non pas d'un comportement habituel des forces de l'ordre car le pays a besoin de forces de l'ordre respectables, respectées et craintes à bon escient.
Rédigé par : jack | 12 juin 2020 à 22:38
"Entendre l'absurdité d'un "soupçon avéré de racisme", même si elle est retirée, est dévastateur."
Les Présidents et autres ne devant pas dire ça mais jouant les démons de la perversité :
https://fr.wikisource.org/wiki/Nouvelles_Histoires_extraordinaires/Le_D%C3%A9mon_de_la_perversit%C3%A9
...ça suffit !
Un chef n'est ni un démon de la perversité, ni un Créon, ni une Antigone ou je ne sais quoi d'autre encore, pourquoi pas ?
Attention, on peut être intelligent, bon combattant voire un des sauveurs du monde, dans la fiction Game of Thrones, détendons-nous, et ne pas être un chef, incapable d'unir, trop dans ses objectifs particuliers, en l’occurrence la vengeance, et trop dans le combat. Sa soeur, au départ bien fadasse est une bonne gouvernante, mais place à Arya :
https://www.youtube.com/watch?v=KwTm-oA3XdI
On a deux modèles de chefs d'envergure qui pensent à autre chose que juste aller sur le trône et ils couchent ensemble, le semblable va vers le semblable. Une révolutionnaire veut sauver le monde entier et peu importe le prix à payer :
https://www.youtube.com/watch?v=kYmJA3khfRE
John, lui, était un garde de nuit dont voici le serment :
“Les ténèbres s'amassent, et voici que ma garde commence. Elle ne prendra fin que le jour de ma mort. Je ne prendrai pas d'épouse, ne posséderai pas de terres et n'engendrerai pas d'enfant. Je ne porterai pas de couronne et ne gagnerai aucune gloire. Je vivrai et mourrai à mon poste. Je suis l'épée au cœur des ténèbres. Je suis le guetteur sur les remparts. Je suis le bouclier qui protège le royaume des humains. Je voue ma vie entière et mon honneur à la Garde de Nuit, pour cette nuit et toutes les nuits à venir.”
— Serment de la Garde de Nuit[src]
Après bien des péripéties dont il n'est pas coupable et après avoir réformé la Garde comme il le fallait, John aide Deneris, mais découvre que zut alors, lui aussi est un descendant du roi des sept couronnes, et pire que Denerys ne veut pas que régner vertueusement sur les sept couronnes, non... mais sur le monde entier d'une manière révolutionnaire, à savoir, pour une justice totale, peu importe les destructions de cités et trancher la tête de tous les partisans un peu trop tièdes.
Alors John tue celle qu'il aime. On dirait du Corneille, l'amour, le devoir... Mais pas d'antichambre, une cité en cendres, ça change, esthétiquement, il n'y a rien à redire.
Douleur des fans du feuilletons : deux héros charismatiques s'aiment, sont des dirigeants d'envergure et l'un tue l'autre.
Finalement, c'est l'espèce de chaman handicapé qui gouverne, pas trop mal d'ailleurs, mais on se demande bien pourquoi, on dirait parce qu'il n'y plus personne d'autre, tout simplement car John est dépressif et retourne dans le nord, on le comprend.
Abstraction faite des modalités, révolution ou réforme, plus profondément, le chef c'est celui qui est capable de maintenir son peuple libre. Exemple :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Je_maintiendrai
Les chefs doivent viser la conservation et les peuples de tels chefs sans oublier de se préserver des chefs par le maintien d'institutions équilibrant les pouvoirs.
Rédigé par : Lodi | 12 juin 2020 à 22:37
@ Jérôme
Belle compilation d'expérience personnelle qui ne vaut pas tripette. Vos avis sur des confidences sur tatami et généralisations sur les gendarmes faces aux policiers (scoop : pour l'affaire Traoré, on parle de gendarmes qui exercent dans le Val-d'Oise , effectivement, ça n'a rien à voir avec le gendarme du village de Lozère), votre avis sur « Mme Traoré » qui a « raison de demander que l'on fasse la lumière » alors qu'il est manifeste que pour elle rien n'est clair tant que ce n'est pas l'approbation de ses théories, à vrai dire, ce n'est qu'un avis d'un pécore de plus, un mec qui croit tenir un scoop en affirmant qu'il est « nécessaire de pouvoir procéder à des investigations qui ne soient pas sous le contrôle de la hiérarchie de ceux qui ont potentiellement commis un délit », sachant qu'on parle d'information judiciaire, de magistrat du siège, etc., tout un tas de choses assez significatives pour qui ne s'intéresse même que de très loin au droit.
Restez au café du commerce.
« Une chose est certaine, militaires et policiers sont la proie d'une vindicte largement causée par l'incurie des politiques. »
Vindicte entretenue par les mecs qui ont toujours beaucoup à dire sans rien savoir.
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@ Tomas
Vous ne voyez pas en quoi « la police évite la confrontation de deux France (lesquelles d'abord), même si M. Collomb le dit. C'est plutôt les deux France qui se confrontent à la police ».
La France se résumerait à la famille suprématisme noire Traoré, au bloc d'extrême gauche, avec la bénédiction des journalistes façon Le Monde (qui dans le désordre, à publié des éditoriaux, au fils du temps, pour le maoïsme, les Khmers rouges ou la pédophilie - aujourd'hui pour déboulonner des statues, légitime combat antiraciste, en omettant de préciser que de Gaulle ou encore Churchill sont aussi visés) ?
Vous pensez que dans le CV de la famille Traoré, on dénombre combien de baffes aux petits T(h)omas ? Vous pouvez bien, par conception raciste du monde, penser avoir l'adhésion d'un groupe.
Les Noirs, ça n'existe pas, ce sont mille ethnies. Votre solidarité/pitié, la famille Traoré s'en cogne. Lorsqu'on manifeste dans les rues de Paris en revendiquant la déportation des populations arabes hors de l'Afrique qui devrait être exclusivement noire, les considérations géopolitique du petit T(h)omas, ça ne vaut pas tripette.
« Ce sont eux qui monopolisent la communication de la police. Et personne ne s'émeut »
Si des policiers non protégés par le mandat syndical s'exprimaient, vous seriez le premier à crier au scandale, au non-respect du devoir de réserve.
Rédigé par : Marcel P | 12 juin 2020 à 22:33
Un point sur lequel je serais plutôt d’accord avec Christophe Castaner c’est la suppression de la méthode d’étranglement qui serait la cause de la mort de Cédric Chouviat, le livreur à scooter décédé en janvier à Paris suite à une intervention musclée.
Certes les médias en ont parlé pendant quelques jours, mais cela n’a pas eu le même retentissement que la mort d’Adama Traoré vu que la victime était un blanc.
Il est clair que cette méthode présente des dangers quand elle n’est pas parfaitement maîtrisée, d’où l’intérêt pour les policiers d’une formation sérieuse sur cette technique d’immobilisation. D’autant que l’opération dépend en grande partie du gabarit du délinquant.
Un gaillard qui a la taille et le poids de Teddy Riner ne se manie pas de la même façon qu’un gringalet qui a la morphologie de Jamel Debbouze.
Quant à l’utilisation du pistolet à impulsion électrique (Taser) il peut s’avérer dangereux. Il y a eu un mort suite à son utilisation l’an dernier.
D’où l’intérêt de définir une méthode qui évite les issues fatales lors d’une intervention contre un délinquant qui refuse de se faire contrôler et qui passerait par une formation poussée en sport de combat.
Rédigé par : Achille | 12 juin 2020 à 22:24
Je retiens, Monsieur Bilger, ce passage de votre introduction:
"Le problème est que d'incohérences en contradictions, de sévérité en démagogie, d'autoritarisme en faiblesse, de lâchetés en rétractations, notre police ne peut qu'être victime d'un tournis démocratique."
Ce que je relève d'abord c'est que, tant qu'il s'est agi de maintenir ce pouvoir face aux Gilets jaunes (je ne saurais oublier les toutes premières attaques frontales d'une brutalité inouïe des "habits noirs" sur les Champs-Élysées lors des toutes premières manifestations de novembre-décembre 2018 qui ont sans aucun doute conditionné les réactions ultérieures de la police parisienne notamment), les mêmes gouvernants ont couvert nombre de réactions manifestement excessives de quelques unités de police.
À présent, face aux manifestations interdites mais « tolérées » des groupes "black panthérisés", le gouvernement, sans doute inquiet de voir certaines banlieues risquer de faire sécession ou, pire, de se soulever par des émeutes sans doute plus graves qu'en 2005, fait une volte-face complète en reprenant les antiennes des manifestants : racisme prétendument institutionnel de la police, voire de l’État, violences policières systématiques. Nombre de médias, par leur traitement souvent partisan et mettant quasi exclusivement en exergue les seules "violences policières" en omettant trop souvent les actions violentes contre les policiers, qui conditionnent certainement les réactions de ces derniers, jouent par recherche d’audience le jeu de ces groupes dont l'action est manifestement subversive.
Périodiquement on ressert aux forces de l'ordre la sortie d'un nouveau code de déontologie. Certes, police et gendarmerie nationales, du fait de leurs différences de statut (civil pour l'une, donc syndiquée, militaire pour l'autre) et de modes d'action doivent exercer la "violence légale" dans des formes normalisées, sachant qu'ensuite ils répriment les infractions en interpellant leurs auteurs. Certes aussi, en interne ces institutions se doivent d'exercer des contrôles rigoureux. Toutefois ceux-ci n'ont pas à être mis en place publique et soumis au seul jugement de ceux qui agissent contre les forces de l'ordre, la parole des délinquants étant trop souvent mise à égalité avec celle des personnels de police et de gendarmerie. Tentation que quelques magistrats manifestent aussi publiquement.
Or, ce sont les seules institutions auxquelles les gouvernements successifs resservent ces mêmes poncifs au gré de l'évolution de l'opinion, notamment de celle de la périphérie de la capitale et des grandes métropoles.
Puisque monsieur Castaner a évoqué (il semble qu'à présent il fasse marche arrière, ce qui est aussi une forme "d'En Marche !") des suspensions de policiers sur des "suspicions avérées" de racisme chez les membres des forces de l'ordre et uniquement dans leurs rangs, je voudrais lui suggérer de créer dans le même élan un « code de déontologie des délinquants » pour leur apprendre à se comporter "de manière citoyenne" devant la police ou la gendarmerie !
On voit combien toutes ces palinodies suintent de démagogie, cela pour garder le vote des populations des banlieues uniquement pour tenter de garder le pouvoir.
Ces dirigeants pensent-ils seulement à la France qu'ils laissent bafouer en permanence et ils se gardent bien de poursuivre ceux qui y attentent. Il est vrai que seule la France doit être coupable parce que ces populations importées l'exigent au titre de la mémoire de leur prétendu esclavage. Que je sache, les populations du sud Sahel ni celles du Maghreb, contrairement à nos concitoyens des îles Caraïbes, n'ont jamais été rendues esclaves par la France sur leurs territoires respectifs et ce sont bien des trafiquants de même couleur qu'elles qui faisaient des razzias pour rafler des hommes et des femmes qu’ils vendaient pour leur grand bénéfice commercial aux négriers européens… Sans compter la traite négrière faite par les Arabes. Cela, les "déboulonneurs" de statues ne l'imaginent même pas, preuve de leur immense culture historique, sans doute !
Le meilleur connaisseur de cette Afrique reste à mon sens Bernard Lugan. S’il n’a que très rarement l’occasion de figurer dans les émissions de radio ou de télévision faisant appel aux « experts », la lecture de ses billets ou extraits de documents ou livres sur son site (https://bernardlugan.blogspot.com/) donne un éclairage réaliste des situations africaines actuelles et passées et permet de connaître le dessous de nombreuses cartes.
En France, l’on muselle plus aisément la parole du Français moyen que celle des activistes racialistes, soutenus par l’extrême gauche quand ce n'est pas par le pouvoir aux commandes du pays, dont personne ne s’inquiète, tandis que notre Université ouvre grandes les portes à ces thèses qui visent à détruire la société française et les principes a priori intangibles qui la fondent. Mais seule la police serait intrinsèquement raciste et doit recevoir l’opprobre médiatique et même ministériel !
Rédigé par : Robert | 12 juin 2020 à 21:53
@ Jean le Cauchois
« L'affaire Adama Traoré, initiée par l'interpellation difficile d'un multirécidiviste il y a 4 ans, mettant en cause les forces de l'ordre après le décès de l'interpellé dans les locaux de la gendarmerie: pourquoi faut-il plus de 4 ans pour terminer la procédure ? »
Essayons de raisonner selon la logique.
- Si le regretté M.Traoré était un multirécidiviste, c'est qu'il était connu pour avoir perpétré un certain nombre de faits graves, qui auraient normalement dû le faire bénéficier d'un séjour en prison, au chaud et aux frais de cet idiot de contribuable, n'est-ce pas ?
- Donc, en principe, une fois en prison, il n'aurait pas pu récidiver, exact ?
- Et s'il n'avait pas pu récidiver, il n'aurait pas pu se trouver dans une situation où il aurait risqué de rencontrer la police, au cours d'un match plus ou moins amical avec elle, toujours exact ?
- Alors, ne faudrait-il pas pointer un doigt accusateur sur une justice qui, en ayant laissé en liberté un homme qui aurait normalement dû être protégé par l'univers carcéral est responsable de sa mort, exact ?
- Ce qui exclut alors la responsabilité de la police (ou de la gendarmerie), exact ?
Rédigé par : Exilé | 12 juin 2020 à 19:56
Merci à Robert II pour son commentaire. J'avais envie de réagir, je partage entièrement ce qu'il écrit.
M. Bilger depuis un certain temps vos billets commencent à sentir le cuir bien ciré et la croix gammée.
A moins de traiter Mme Lucet de menteuse je ne comprends plus votre acharnement à défendre une institution qui comporte autant de brebis galeuses.
Oui il y a de bons policiers, oui il y en a de très mauvais qu'il faut au plus vite écarter. Dans l'affaire de Marseille (des policiers avec des casques non homologués) un bref instant l'affaire Benalla m'a traversé l'esprit.
Si vous pensez qu'avec un tel fonctionnement on va "pouvoir empêcher la confrontation de deux France, leur antagonisme qui, si on n'y prend garde, deviendra mortifère" vous vous trompez. On va de cette façon vers de très graves ennuis.
Ceci dit on comprend, à la vue du reportage d'hier soir, que vous défendiez cette police, il y a entre la justice et la police une certaine connivence.
De grâce arrêtons de jouer avec le feu.
Rédigé par : alain | 12 juin 2020 à 19:50
Lorsqu'Emmanuel Macron a nommé Christophe Castaner, il savait qu'il n'avait pas la carrure, c'est pourquoi il lui a adjoint un Secrétaire d'Etat en la personne de Laurent Nuñez.
Toutefois, il faut quand même remarquer que depuis son élection, Emmanuel Macron, hormis son Premier ministre, s'est entouré de ministres sans personnalité. J'en déduis donc tout simplement que c'est voulu, pour qu'ils ne lui fassent pas d'ombre et pour que lui-même puisse tirer les ficelles des marionnettes à son gré.
En ce qui concerne ce qu'a dit Christophe Castaner depuis les manifestations anti-racistes, on ne peut donc savoir si c'est juste un ministre qui n'est pas au niveau ou si c'est le président de la République qui lui a soufflé ce qu'il fallait dire, pour ne pas contrarier de futurs électeurs de banlieues.
Par ailleurs Nicole Belloubet non contente d'avoir reçu une fin de non recevoir de la famille Traoré vient de déclarer qu'il s'agit d'un simple mouvement d'humeur de la police. Soit elle est à côté de ses pompes, soit elle le fait exprès.
Nous assistons à la déconfiture de la macronie avec chaque jour son lot de renoncements, d'erreurs monumentales et d'abandons de tout ce qui a fait la France jusqu'à un passé récent.
Dès son élection le Président nous a rabâché que la droite et la gauche n'existaient plus, que c'était du passé et une vue obsolète de Français réacs ou aux idées passéistes. Pourtant, dans cette crise de la police face aux accusations de racisme, nous pouvons observer sur les plateaux télés tous les journalistes de gauche irrécupérables, les vieux routards anti-flics et pro-immigration s'en donner à coeur joie pour accuser les violences policières.
Et l'émission d'Elise Lucet que je n'ai pas regardée (car quel que soit le sujet traité, il est exagérément traité à sens unique) n'échappe pas à ce genre d'une gauche pour le coup passéiste aux relents staliniens. Sans parler des acteurs ou célébrités qui attisent les haines avec des propos plus que clivants.
S'il existe quelques brebis galeuses dans la police, ce que je peux croire, cela doit être traité en interne avec l'IGPN comme tout dérapage et tout dysfonctionnement de n'importe quel service public ou privé serait traité avec la hiérarchie.
En ce qui concerne les violences policières contre les manifestations de Gilets jaunes, c'est autre chose, car samedi après samedi, on a pu observer des individus qui n'avaient rien à voir avec les GJ venir piller, casser, démolir et les policiers (souvent après des semaines de présence dans ces manifs) épuisés ont pu surréagir. On ne sait même pas non plus quels étaient les consignes de leur hiérarchie pour se débarrasser du problème. On a même vu un employé du Président tabasser un couple lors d'une manifestation du 1er Mai.
A contrario, on a vu des responsables de la Préfecture de Police ignorer volontairement (ou presque) un terroriste en puissance qui est passé à l'acte, tuant quatre de ses collègues. C'est aussi ce qui arrive quand on veut fermer les yeux sur la radicalisation de certains individus, qu'il faudrait taire pour ne pas mettre d'huile sur le feu.
Personne ne peut nier que la violence et la délinquance ont augmenté ces dernières années, que les trafics dans les banlieues sont réels au point même de faire fuir de ces quartiers les immigrés qui souhaitent vivre tranquilles, que la haine racialiste devient un réel problème comme on l'a vu à plusieurs reprises ces derniers temps lorsque des militants voulaient interdire des spectacles ou interdire les Blancs dans une assemblée. Incriminer la police de racisme généralisé revient à donner raison à ceux qui veulent diviser les Français.
Le plus inquiétant, c'est de constater que ce sont justement tous ceux qui n'ont que la formule du "vivre-ensemble" à la bouche qui cherchent la division.
Demain, des manifestations sont prévues pour soutenir la famille Traoré. Une famille composée d'un père aujourd'hui décédé, de quatre épouses et de 17 enfants. Inutile de se demander combien cette famille à quatre branches a coûté en éducation, logement, santé, allocations diverses pour qu'ensuite ils nous détestent à ce point.
Les Français sont bonne poire, depuis quarante ans, ils acceptent beaucoup de choses, mais un jour à force d'être maltraités cela pourrait s'envenimer et dégénérer alors que le gouvernement faisant suite à une crise sanitaire inédite, s'apprête peut-être à créer de nouvelles taxes et à demander des efforts aux Français lambda.
Une escalade de violence n'est pas souhaitable et je ne le souhaite pas mais j'espère que nos autorités gouvernementales s'emploieront à calmer le jeu fermement et en se faisant respecter au lieu de laisser pourrir la situation et de laisser l'animosité gagner du terrain. Le "diviser pour mieux régner" a ses limites.
Le seul souci du Président est sa réélection, pas son pays ni ses habitants, mais uniquement les avantages qu'il peut tirer de certaines situations. C'est souvent vrai des hommes politiques, mais là on est dans le paroxysme de l'égotisme.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 12 juin 2020 à 18:50
ECOUTEZ VILLIERS !
On le sait (je ne l'ai dit que cent fois) : j'ai toujours voté RPR, UMP, LR. On peut difficilement voter Philippe de Villiers. Je viens d'entendre Villiers, à Sud Radio, parlant le 10 juin avec Bercoff.
Je dois avouer que j'approuve à 90 % ce qu'il vient de dire. Quelle lucidité !
https://www.youtube.com/watch?reload=9&v=E_vkYswmmtg
Rédigé par : Patrice Charoulet | 12 juin 2020 à 18:13
Une fois de plus, le pouvoir est vraiment stupide. Les conseillers de la place Beauvau sont nuls et Castaner n'aurait jamais dû faire sa lamentable sortie. Les policiers en ont marre : ils ont été usés, exploités jusqu'à la corde, au-delà de l'imaginable, pendant les trente-six derniers mois. Ils ont sauvé la tête (contre la horde des Gilets jaunes qui marchaient sur l'Elysée et déchaussaient les pavés fin 2018) de ceux qui dirigent piteusement le pays qui, pour les en remercier, s'en servent maintenant allègrement comme paillasson sur lequel décrasser leurs godasses, les accusent d'être racistes en herbe ("on va vous punir pour cela !…"), et poussent le vice jusqu'à les désarmer face aux interpellations dangereuses (plus d'autorisation de contrôle cou-tête… : la demande polie et courtoise de bien vouloir obtempérer façon fleur bleue doit dorénavant devenir la règle !). Coupés du terrain et des réalités du dur labeur, ils infantilisent la police, débitent des fadaises, et croient, après-coup, s'en tirer à bon compte en s'excusant, en professionnels de la prosternation, d'avoir été crétins.
Castaner avait déjà du mal auparavant à enfiler le costume de premier flic de France. Il était vraiment mal taillé, mal fagoté pour l'individu. Dorénavant, c'est fini : il ne dirige plus rien, et est devenu la honte et le paria de ses troupes. En digne cadre de l'aile gauche du Parti socialiste (bon sang ne saurait mentir…), il a assumé enfin de basculer par la roche Tarpéienne.
Quant à Nicole Belloubet, la videuse impénitente des pénitenciers, elle s'est autorisée de juger ceux qui, péniblement, les remplissent. Avec son talent et son doigté inouïs…
Les policiers pensaient que leurs ennemis institutionnels, les voyous, se cantonnaient à la rue. Reluquant désormais les couloirs du pouvoir, ils n'en sont plus tout aussi convaincus.
Rédigé par : finch | 12 juin 2020 à 18:10
SCOOP
Un cas de plus dans la bande à Macron-Judas ;
La cour d’appel de Paris a ordonné la reprise des investigations à l’encontre du ministre des Comptes publics. Une jeune femme l’accuse d’avoir exercé sur elle, en 2009, une «pression morale» pour obtenir un rapport sexuel. Source Le Parisien.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/accusations-de-viol-la-justice-rouvre-le-dossier-darmanin-11-06-2020-8334009.php
Au fait c'est quoi cette vidéoconférence entre Macron-Judas et de richissimes Anglais qui auraient financé sa campagne électorale ? Une puissance étrangère qui finance un président français, tout cela pue le poison ! Qui sont ces richissimes, certainement pas des sans-papiers et certainement des gens qui voulaient diriger l'Europe par l'intermédiaire d'un pantin.
Des plaintes seront-elles déposées contre cette piraterie pour ne pas employer un autre mot ? L’invasion de l'Europe serait-elle organisée par cette bande de pirates pour mieux nous dominer ?
Rédigé par : Walson | 12 juin 2020 à 17:59
@ Robert II | 12 juin 2020 à 11:56
Résumez-vous !
Puis je suggérer : "22 v'là les flics" ?
Macron ne sait pas choisir ses cadres. Un copain n'est pas nécessairement un manager. Castaner s'il l'était, ce qui n'est pas le cas, devrait savoir que dans toute organisation, particulièrement une organisation chargée de l'ordre public, "on ne lave pas son linge sale en public " !
Quant au racisme il faut dire à Mme Traoré et autres d'aller en Afrique dire aux Hutu du Rwanda qu'on ne doit pas massacrer les Tutsi, aux Soudanais blancs de ne pas massacrer les Soudanais noirs, qu'au Nigeria les Hausa ne doivent pas massacrer les Yoruba et Ibo, et réciproquement... et qu'en France on n'accuse pas la police de violence quand c'est la règle dans sa propre famille.
Lui dire aussi qu'en Afrique anglophone on ne doit pas confondre "homme blanc" et "yellow monkey" et en celle francophone qu'un "blanc" n'est pas nécessairement "sale' !
Il va falloir apprendre à nos médias que nous sommes sept milliards d'Homo sapiens sur la Planète et que les saints y sont très rares, mais ceux qui s'égarent humainement sont eux très, mais vraiment très, nombreux !
Il faudrait enfin qu'insulte verbale faite à un policier soit un délit punissable et puni, ce qui éviterait à certains policiers d'appliquer eux-mêmes la punition de façon trop brutale.
Rédigé par : Claude Luçon | 12 juin 2020 à 17:35
Il serait temps qu'un homme arrive...
Le niveau de recrutement des gardiens de la paix est vertigineux, idem pour les gendarmes.
En 2018, 39 policiers ont été révoqués dont certains avec privation des droits à la retraite. Je ne commente pas.
La lecture de beaucoup de rapports de police est ébouriffante: ni orthographe, ni morphologie, ni syntaxe, ce serait la police d'Obono qui se moque de la France comme d'une guigne.
La population ne supporte plus ces dandinements autoritaires "papiers" "coupez le moteur", pourtant simples et nécessaires, c'est-à-dire qu'elle ne supporte pas l'autorité qui s'appuie sur une force aussi mécanique.
Il n 'y a rien là-dedans qui mérite vergogne, mais il n'y a plus rien qui attache la population à son gouvernement sauf les syndicalistes qui réclament encore plus ce que l'Allemagne n'a même pas osé faire, une population tête basse, oeil vague, heureusement confinée ou en vacances prudentes.
Une population qui voit passer les décrets, les arrêtés, avec toujours plus de détails sur la vie quotidienne, des numéros au secours partout, des accusations constantes et assénées, alors, alors, on s'en moque, on laisse aller et le président le sait mais ne le comprend pas.
On a entendu Le Maire refuser la baisse des impôts TVA au prétexte que les entreprises pourraient en profiter pour augmenter leurs marges plutôt que de baisser les prix mais il veut, en distribuant de l'argent qu'il n'a pas, relancer l'économie sans jamais parler de la façon dont il va récupérer ces fausses largesses, il s'en moque, il sera parti. En attendant, il condamne nos entreprises à disparaître en les maintenant dans un défaut de compétitivité proverbial.
Mais nous, agrégat populaire qui savons ce qu'est une bougette, bourse à deux compartiments, à l'origine du mot budget, nous n'avons plus de recours, puisque l'Etat incompétent et hiérarchique fait tout et que nous sommes prêts à être les dhimmis que l'Europe nous oblige à être depuis 1967 vis-à-vis d'un monde religieux et incapable d'évoluer qui attend en affûtant ses couteaux.
Je me suis souvent cru obsessionnel jusqu'à ce que je reprenne mes études de sciences politiques en analysant tous les documents constitutifs du dialogue euro-arabe, aidé en cela par la synthèse de Bat Ye'or. C'est limpide.
Heureusement, les arabes politiques sont tellement limités qu'ils ne se sont pas rendu compte que nous évoluions, alors que, eux, figés dans leurs codes religieux, restaient les pieds plantés dans le sable du désert.
On peut craindre que cela ne suffise pas à endiguer leur invasion, manipulée maintenant par les Noirs, leurs ennemis héréditaires, leurs esclaves de jadis, qui brandissent le drapeau moral du racisme, suivis par les mêmes charcutiers de notre République.
Amen, c'était un trop-plein.
Rédigé par : genau | 12 juin 2020 à 16:56
@ Marc GHINSBERG du 12 juin à 12:55
Eric Ciotti est pour la loi et l’ordre, la Police et l’Armée sont pour lui un horizon indépassable, sauf pour sa pomme.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2016/09/14/eric-ciotti-partisan-d-un-retour-du-service-militaire-n-a-pas-effectue-le-sien_4997492_823448.html
Rédigé par : Savonarole | 12 juin 2020 à 16:44
Bonjour Philippe,
Avec ce type de billet vous êtes sûr d'attirer à vous les sycophantes glaireux qui nagent entre deux posts.
J'en reviens à notre commandant toulonnais, qui apparemment a été opportunément mis à la retraite pour ne pas subir quelconque poursuite de sa hiérarchie.
J'espère que le judiciaire ne s'en tiendra pas là.
Quid de ceux qui frappent gratuitement comme on l'a vu sur nombre de vidéos, qui tirent de façon tendue avec leur LGBT, euh pardon leur LBD.
J'ai très, très, très rarement fréquenté des flics qui ne tiennent pas des propos obscènes.
On peut incontestablement leur trouver des circonstances atténuantes tant leur métier est dur.
Mais voilà, c'est ainsi, de l'œuf qui a fait la poule ou de l'inverse je ne veux pas juger.
Globalement à 90% tous les flics que j'ai croisés tiennent des propos xénophobes. En vieux sportif j'en ai croisé un seau, que ce soit sur des tatamis ou avec des gants sur les patounes. Qu'on ne vienne pas me raconter la mer en prétendant que non la police, bla bla bla.
Je le redis, il y a des circonstances atténuantes. Nous avons péché non par manque de lois mais par manque d'autorité.
Je trouve par ailleurs qu'ils sont trop contraints dans l'utilisation de la force.
Lors de la manifestation de Gilets jaunes, quand des voyous s'en prennent à des motards et que l'un d'entre eux sort la sulfateuse, ça ne m'aurait fait ni chaud ni froid qu'il tire. Leurs vies étaient en danger. Ils ont fait montre d'une sacré souplesse.
La situation dans laquelle ils sont, qui les exaspère, ils la doivent aux atermoiements des politiques.
Fermeté et correction. C'est du bon sens.
Je les soutiens pleinement dans l'accomplissement de leur devoir, je dis bien de leur devoir, pas de ce qui outrepasse leur devoir.
Il est dommage par ailleurs que tout ce tralala vienne d'une possible bavure des gendarmes. Je trouve que dans l'ensemble ils sont d'un commerce bien plus agréable que le flic, bien plus respectueux. Jugulaire, jugulaire, et encore, quand on est poli, ce qui est mon cas, ils peuvent se montrer très coulants.
C'est très dur de se montrer équitable. Pour les uns, la moindre remontrance s'apparente à de l'anti-France si ça touche les forces de l'ordre, de l'autre côté, le soupçon, la rhétorique du soupçon, se met en branle dés que l'on fait montre de respect pour l'institution et d'un regard critique sur les plaintes des justiciables à l'endroit des forces de l'ordre.
Je reprends l'exemple de Mme Traoré.
Elle a raison de demander que l'on fasse la lumière sur ce qui s'est passé dans cette gendarmerie.
Les sycophantes du site sont absurdes quand ils exhibent le pedigree des frangins comme une quasi-excuse pour tout ce qui pourrait leur arriver.
Elle a raison de dire qu'il est nécessaire de pouvoir procéder à des investigations qui ne soient pas sous le contrôle de la hiérarchie de ceux qui ont potentiellement commis un délit.
Mais en conséquence, Mme Traoré a cependant tort sur deux points essentiels :
Elle réclame une condamnation. Ce n'est pas sérieux, on ne condamne pas sans preuves. C'est d'autant plus vrai que la présomption d'innocence est grandement réclamée par les mêmes à leur profit, et qu'on ne pourrait condamner sur la base d'une expertise commanditée par l'une des parties, en l'occurrence la famille. L'indépendance de l'expertise et de l'investigation concerne les deux parties.
Le deuxième point est que l'interpellation de son frère était injustifiée. Ce n'est pas sérieux. Si je marche avec un garçon recherché par la police, son frère en l'espèce, et que je mets à courir quand les pandores arrivent, il me semble justifié que ceux-ci supposent que j'ai quelque chose à me reprocher et qu'il veuille m'interpeller. Qui plus est s'ils connaissent mon pedigree.
Mais, et c'est un MAIS, ça ne veut en rien dire que les gendarmes n'ont pas commis une bavure. Il faut savoir ce qui s'est passé dans ce laps de temps où un garçon rentre vivant dans une gendarmerie et en ressort mort. C'est un autre sujet. Qui doit se traiter indépendamment du pedigree et des circonstances de l'arrestation.
Mais je comprends bien que selon ses propres penchants (j'évite dilection on va me dire que je me prends pour un autre), on ait tendance à montrer plus d'indulgence pour une partie plus qu'une autre, au risque de perdre toute objectivité, c'est ce qui est dommage dans ce type d'affaire et qui amène à des situations si tendues qu’on ne peut plus s'écouter.
Une chose est certaine, militaires et policiers sont la proie d'une vindicte largement causée par l'incurie des politiques.
Rédigé par : Jérôme | 12 juin 2020 à 16:39
Eho les flics, esgourdez-moi bien !
Faut plus que vous étrangliez les racailles, faut plus les tenir au sol, faut plus les secouer, alors faites ce que je vous dis :
Comme au rugby, la cocotte, une bonne mêlée ouverte autour du salopard, enfermez-le, entourez-le, couvrez-le, tenez-le debout et un flic de taille deuxième ligne l'arrose, l'avoine, lui balance un max de marrons dans sa tronche de cake, ni vu ni connu, à l'abri des portables vidéos, une fois bien castagné, ouvrez la mêlée, laissez sortir la racaille groggy, KO, dandinant comme un ivrogne, un flic en position demi de mêlée n'a plus qu'à le cueillir gentillement comme une fleur.
Méthode d'une grande équipe de rugby des années 60 / 70, l'arbitre n'y voyait que tchi, ils éliminaient le joueur adversaire le plus performant et c'était in the pocket.
Si vous pouviez faire pareil avec Castaner, que du bonheur !
Rédigé par : sylvain | 12 juin 2020 à 16:26
@ Marc GHINSBERG
« Il en est un qui doit se réjouir des malheurs de Castaner, c’est Éric Ciotti. D’ailleurs ne dit-on pas que le chauve sourit ? »
Chauve qui peut !
Rédigé par : Exilé | 12 juin 2020 à 16:07