L'actualité de ces dernières semaines a montré l'insupportable progression d'une culture "anti-flics" qui s'est ancrée dans le quotidien. Il n'a fallu rien de moins que la mort de George Floyd à Atlanta, le racisme d'une certaine police aux Etats-Unis et la folie violente et dévastatrice qui a embrasé plusieurs villes pour relativiser les polémiques françaises (Le Figaro).
Mettre à mal les accusations permanentes proférées à l'encontre de notre police et rendre totalement ridicule l'allégation qu'on aurait peur d'elle parce qu'elle massacrerait "des milliers de personnes rien que pour leur couleur de peau".
Si l'épidémie a été une épreuve pour tous et une tragédie pour ceux qui ont perdu beaucoup d'êtres chers, j'ose dire que sur le plan judiciaire et pénitentiaire elle a été honteusement exploitée.
Comme un prétexte pour se donner le droit de tomber dans le pire. Avec bonne conscience puisque, paraît-il, on ne pouvait pas faire autrement et que la réalité dramatique nous aurait imposé le laxisme. Il faut voir comme certains ont sauté sur l'occasion, de quelques magistrats à la garde des Sceaux.
Il y a tout de même la bagatelle de 14 000 détenus qui ont été libérés par la ministre de la Justice pour éviter une flambée épidémique dans les prisons (4 480 prévenus et 8 995 condamnés). Sans qu'à l'évidence on se soit interrogé sur le futur de notre société avec cette mansuétude importante et qu'on ait même tenté de mettre en oeuvre des modalités et des transferts pénitentiaires qui auraient permis d'éviter une telle aberration prétendue contrainte.
Derrière cet apparent cas de force majeure qui a abouti à ce miracle d'un nombre de détenus inférieur aux places opérationnelles, il y a eu bien plus : la volonté d'en tirer profit pour faire accepter des dispositions et des pratiques que les temps ordinaires avaient contestées. Le laxisme prétendument sanitaire doit être inscrit dans le marbre pénitentiaire. Une philosophe aberrante qui avait du mal à convaincre va user d'une conjoncture troublée et parfois tragique pour s'incarner dans la réalité sans qu'on mesure les probables conséquences désastreuses pour notre société de cette vision angélique de "progressisme de gauche" qui n'a rien à voir avec un authentique humanisme : celui-ci n'est pas condamné à affirmer que le mal est un bien pour se justifier.
Le Chancellerie décrète que "il est essentiel que l'augmentation de l'activité juridictionnelle se conjugue avec une politique volontariste de régulation carcérale". Pour aller au fait, on ne met en prison quelqu'un que si quelqu'un en sort. Quelques juges de l'application des peines se sont évidemment réjouis de cette aubaine sans questionner l'avenir immédiat de ceux qui seront libérés trop vite, trop tôt et de ceux auront toute latitude à l'air libre pour sévir avant qu'on puisse les incarcérer.
Une circulaire du 20 mai - selon un procureur, "la plus laxiste qu'ait jamais diffusée la Chancellerie" (Le Figaro) - prescrit de "mettre fin aux emprisonnements de courte durée", qui bien ciblés sont souvent les plus efficaces,et de "favoriser le prononcé de peines alternatives à l'incarcération", comme si ces dernières pouvaient s'attacher à d'autres comportements qu'aux transgressions les moins graves.
Les peines de moins d'un mois sont prohibées tandis que celles de moins de six mois devront être obligatoirement aménagées. Les travaux d'intérêt général commencés avant le confinement seront considérés comme terminés même si le solde n'est pas négligeable avec l'octroi d'un tiers de remise (Valeurs actuelles).
Alors que la délinquance et la criminalité vont reprendre leur cours inquiétant et que le laxisme sanitaire, qu'on cherche à prolonger abusivement, va se briser sous l'effet du réel et que la dure loi de celui-ci rendra vaine une impossible régulation carcérale, on ne peut manquer de souligner une irresponsabilité pénitentiaire créatrice probable d'un fléau social.
Il est choquant d'exploiter une crise conjoncturelle et bouleversante pour laisser croire à ses conséquences bénéfiques, la normalité retrouvée et restaurée.
@ Exilé
Je vous cite: "si la droiture de l'homme de droite..."
Donc, il penche... du côté où il va tomber ? Ou bien...
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@ duvent
Exiler un homme de droite "loin, plus loin"...
Les castagnettes dans la tombe de Victor Hugo parviennent jusqu'à moi et, pourtant, c'est mon jour de repos...
Rédigé par : Chemins de traverse | 07 juin 2020 à 14:17
@ Exilé
"Si la droiture de l'homme de droite transparaît, comment ne pas remarquer à l'opposé que la laideur morale consubstantielle à une imprégnation par le gauchisme finit tôt ou tard par laisser des traces sur le plan physique ?"
Et si ma tante en avait, je l’appellerais mon oncle !
Votre sottise n'a d'égale que votre autosatisfaction, dont je me doute qu'elle vous apporte un plaisir infini comme quoi déjà ? Ah oui votre droiture oblique !
En outre, monsieur Exilé, il faut absolument que vous sachiez que les catégories que vous présentez n'existent que dans votre tête assez peu oxygénée, m'est avis qu'il faut immédiatement vous exiler plus loin, oui, plus loin, loin, loin... encore, loin, loin, loin...
Vous ne l'avez semble-t-il pas encore remarqué, mais vous devez savoir que la gauche et la droite, aujourd'hui, on s'en tamponne mortellement le coquillard !
Rédigé par : duvent | 04 juin 2020 à 16:45
@ Exilé
"Si la droiture de l'homme de droite transparaît, comment ne pas remarquer à l'opposé que la laideur morale consubstantielle à une imprégnation par le gauchisme finit tôt ou tard par laisser des traces sur le plan physique ?"
Rarement lu quelque chose d'aussi stupide ! J'ai dû m'y reprendre à deux fois et me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas... Si la droite est associée avec de telles coquecigrues, elle n'est pas près de gagner.
Après le délit de sale gueule des blacks et des arabes, voilà le délit de sale gueule de l'homme de gauche. Le brave homme de droite, avec une bonne tête (cf. JM Le Pen...) et le sale type de gauche avec sa gueule de raie.
Quand le charlatanisme scientiste s'acoquine avec la politique, on tombe chez Lyssenko.
À quand une appli de reconnaissance faciale qui permettra de détecter ces "mauvais Français" ? Vous connaissez sûrement un bon petit geek issu d'une bonne droite qui saurait nous vendre un truc pareil ? Trump et Bolsonaro seraient, dit-on, intéressés.
Bonne nouvelle ! Vous êtes nominé pour le cornichon d'or !
Rédigé par : Alpi | 04 juin 2020 à 10:12
"La bien-pensance n’a jamais tué personne, la haine si !"
Tout faux comme d'hab ! La bien-pensance antiraciste gauchislamiste immigrationniste indigéniste imposée de force dans ce pays, tue !
Elle propage la haine totale contre leurs adversaires blancs de souche, flics, corps de l'Etat, partis politiques qui refusent le dogme islamogauchiste antiraciste.
C'est l'arme fatale des gauchistes et des islamistes, antiracisme à sens unique, islamophobie "étoile jaune" qui permet tous les excès : délits, agressions, crimes... toujours impunis et même encouragés, comme étant une réaction saine et naturelle victimaire.
Les banlieues sont squattées par des gens de couleur à 90 %, les prisons de même.
Les agressions, brutalités, tabassages de passants innocents jusqu'à la mort sont exécutées par des gens de couleur à 90 %, pour une cigarette, un regard de travers...
Les flics n'arrêtent et ne contrôlent que des gens de couleur ? c'est normal ce sont eux les pires délinquants multirécidivistes chouchoutés par les juges de gauche et relâchés indéfiniment.
Le vrai racisme a explosé depuis que les ligues des gourous de l'antiracisme ont politisé le racisme et créé des associations grassement subventionnées. Même constat pour l'homophobie.
90 % est un chiffre très très gentil, la couleur dominante dans les prisons est la même que dans les rames banlieues du saindenikistan, quand on y aperçoit un blanc, on dit "tiens voilà un albinos".
La bien-pensance islamogauchiste n'est possible et efficace que si en parallèle on propage la haine, même méthode que les nazis pour accéder au pouvoir, sauf que les futurs SS seront noirs.
Rédigé par : sylvain | 04 juin 2020 à 10:01
@ Achille 16h14
"Je préfère être une caricature de la bien-pensance, fût-elle dégoulinante, que celle de la haine qui déborde des propos ouvertement racistes que l’on peut lire sur ce blog."
On vous parle civilisation ou culture en évoquant souvent, et à juste raison, l'incompatibilité entre nos valeurs et celle véhiculées par le Coran et vous répondez racisme....
Rédigé par : caroff | 04 juin 2020 à 09:35
Adama Traoré : Camélia Jordana appelle à “prendre les armes” pendant la manifestation
"Aux côtés de ses comparses artistes et militantes Leïla Bekhti, Adèle Haenel, Marina Foïs ou encore Adèle Exarchopoulos, la chanteuse a également partagé de nombreuses vidéos de sa colère sur les réseaux sociaux. « Nous étions comme vous pouvez le voir, bien plus de 20 000 personnes. Et on ne voit qu’une seule rue », s’est-elle notamment vantée sur Instagram, alors que la manifestation avait été interdite par la préfecture." (Valeurs Actuelles)
https://www.valeursactuelles.com/societe/video-adama-traore-camelia-jordana-appelle-prendre-les-armes-pendant-la-manifestation-120039
Saluons le Général d'Armée Christian Rodriguez qui défend ses hommes face à cette famille de délinquants soutenus par des mouvements gauchistes violents dont LFI. La technique éculée de l'inversion accusatoire. Les racailles sont de pauvres victimes !
« Le tribalisme antiraciste l’emporte sur l’obligation de dire la vérité. La subjectivité a remplacé le journalisme, et les médias ont placé la vérité et l’objectivité dans une impasse. Ils ont considéré que la politique identitaire supplante leur éthique professionnelle et la recherche de la vérité, et cela a eu pour effet de leur revenir en boomerang, comme cela devait arriver.
Les journalistes ont adhéré au culte de la victimologie, qui est devenu un gros business, car être une victime, c’est revêtir le manteau de l’innocence permanente. C’est devenir une icône morale certifiée. Et quand vous devenez une icône morale certifiée, vous devenez un innocent permanent…»
Et le transgresseur ou celui qui est prétendu coupable, devient un coupable permanent, dont on peut tirer une sorte de réparation permanente. » Jason D. Hill
Rédigé par : Isabelle | 04 juin 2020 à 08:12
@ Walson | 03 juin 2020 à 14:26
Walson qui donne sa leçon d’intelligence, c’est un peu comme si Ribéry donnait un cours de philosophie ! :)
Rédigé par : Achille | 03 juin 2020 à 22:45
@ Aliocha | 03 juin 2020 à 14:08
C’est dingue ça, je n’ai rien dit et vous me faites parler !
L’Autriche connais pas. J’ai pas le temps de m’ennuyer. Les mondes policés me font suer.
Rédigé par : Savonarole | 03 juin 2020 à 21:01
Il est sûr qu'une vaste épidémie dans les prisons et de nombreux malades et décès auraient provoqué un scandale bien plus grand que l'indignation résultant de la libération anticipée de prisonniers.
Donc, sous les ordres de la Chancellerie, l'Administration pénitentiaire s'exécute.
A cet égard, un benchmark serait intéressant. Comment ont réagi les autres payes européens ?
Au fond, il en est des prisons comme de l'économie. On lâche du lest, on abandonne les grands principes.
Rédigé par : jack | 03 juin 2020 à 20:16
Suis-je le seul à avoir noté la surprenante ressemblance de la personne illustrant ce post avec Galoubet (par Almé et Viti), qui forma avec Gilles Bertràn de Balanda, dans les années 70-80, l’un des couples les plus célèbres du concours de saut d’obstacles ? Galoubet était connu pour les ruades qu’il faisait de temps à autre, entre ou même au-dessus des obstacles. Qui sait si un jour prochain la dame ne nous gratifiera pas d’une traversée bondissante de la place Vendôme, avec force croupades et ruades ?
Rédigé par : ALFRED LELEU | 03 juin 2020 à 18:44
@ Achille 11h 28
Ce n'est pas parce que Dati ne l'a pas fait qu'il faut s'abstenir, comme boussole, on fait mieux.
Les riverains qui s'opposent ? Quand c'est des éoliennes, objets inutiles et onéreux appartenant à des compagnies privées mais qui permettent des enrichissements sans cause, là, on passe outre, mais quand l'Etat veut construire des bâtiments publics, il ne pourrait pas l'imposer !
Responsabiliser les parents ? Je parlais tantôt d'angélisme, je ne pensais pas faire un tel understatement, le seul levier serait financier et nous n'aurions pas fini d'entendre les pleurnicheries de tout ce que ce pays compte d'andouilles "progressistes".
Voyons, Achille, seriez pas en train de tourner réac ? La secte va vous excommunier !
Rédigé par : revnonausujai | 03 juin 2020 à 17:54
@ Lucile
« Bravo pour les portraits, un régal. »
A la lumière de la recension que vous tracez de ces portraits, ne pourrions-nous pas en conclure qu'ils sont un reflet de l'âme de leur titulaire et au-delà de leur tropisme politique ?
Si la droiture de l'homme de droite transparaît, comment ne pas remarquer à l'opposé que la laideur morale consubstantielle à une imprégnation par le gauchisme finit tôt ou tard par laisser des traces sur le plan physique ?
Rédigé par : Exilé | 03 juin 2020 à 16:57
L’indignation n’est plus ce qu’elle était.
C’est tout de même curieux de lutter contre le racisme de la police américaine en pillant des supermarchés.
Le véritable credo apparaît soudain, magasins de sport (ils adorent ça), rayon Jack Daniel’s et Cognac ou Budweiser, et vêtements du genre sapin de Noël.
On n’a constaté aucune intrusion violente chez le Burberry ou Barbour de Minneapolis.
On est bien loin des bonzes vietnamiens qui s’immolaient à Saïgon pour protester contre les Américains. Sans évoquer les Japonais qui s’ouvraient le bidon au sabre car ils étaient vexés d’avoir perdu la guerre.
À la prochaine révolution j’envahis Fauchon, Hermès, LVMH.
Rédigé par : Savonarole | 03 juin 2020 à 16:22
@ caroff | 03 juin 2020 à 13:5
« Vous êtes définitivement devenu une caricature de la dégoulinante bien-pensance sur ce blog. »
Je préfère être une caricature de la bien-pensance, fût-elle dégoulinante, que celle de la haine qui déborde des propos ouvertement racistes que l’on peut lire sur ce blog.
La bien-pensance n’a jamais tué personne, la haine si !
À chacun ses valeurs.
Rédigé par : Achille | 03 juin 2020 à 16:14
@ herman kerhost | 03 juin 2020 à 14:13
"Oui, on s'ennuie sans Robert Marchenoir. Je continue à espérer qu'il revienne. Robert, tu nous manques !"
Moi je dépéris à vue d'oeil depuis la disparition d'Elusen, tous les traitements antidépresseurs ont échoué, que vais-je devenir ?
M. Bilger, au secours !!
Rédigé par : sylvain | 03 juin 2020 à 16:09
"ll y a tout de même la bagatelle de 14 000 détenus qui ont été libérés par la ministre de la Justice pour éviter une flambée épidémique dans les prisons" (PB)
Ce qui fait de la place pour les multirécidivistes qui ont violé les règles du confinement et sont passibles de la correctionnelle avec des peines allant jusqu'à six mois de prison ferme assorties d'amendes de plusieurs milliers d'euros !!
On marche sur la tête là ! On relâche de vrais délinquants pour enfermer des voleurs de pommes !
A noter qu'en deux mois lors de plusieurs millions de contrôles, environ 540 000 personnes ont été verbalisées (pour un montant de 135 euros par quidam et 200 euros en cas de récidive).
Et c'est aux policiers et gendarmes qu'est revenu une fois de plus le rôle de méchants, désignés comme boucs émissaires pour faire appliquer une loi complétement floue, alors qu'il n'entre pas dans les attributions de ces fonctionnaires ou militaires de l'interpréter à partir d'un document papier qui peut avoir été falsifié à souhait, laquelle interprétation de culpabilité et mauvaise foi est de l'unique ressort du juge.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 juin 2020 à 15:31
Bobby, reviens les fouetter, hameau en reveut, Leleu s'ennuie et Herman en réclame de la statistique bien blanche à souhait, la bible à la main comme la poupée téléréelle mimant l'antithèse du message dont il croit se voiler alors qu'il le dénude aux yeux du monde entier, reviens, Bobby, nous démontrer à quel point tu ressembles aux anti-racistes, aux communistes, qu'ensemble vous dégagez la voie du réel, j'en ai déjà parlé, aussi acérée que le fil de l'épée et sur laquelle, fou chantant, j'adore danser la victoire de la vérité délaissée.
Rédigé par : Aliocha | 03 juin 2020 à 14:39
@ caroff | 03 juin 2020 à 13:57
C'est un cocu, il se venge comme il peut. Comme quoi il n'y a pas que les casseurs pour avoir un Q.I. raplapla. Je pense qu'on le paie pour être aussi...
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@ Patrice Charoulet | 03 juin 2020 à 12:16
0 pointé
Et puis ne pensez plus aux crottes des mouettes et des chiens, faites un bon geste et offrez-vous une Chiraclette.
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@ Jean | 03 juin 2020 à 01:53
Il aurait mieux valu que la pandémie se déclare dans les prisons que dans les Ehpad, un délinquant coûte plus cher à la société qu'un grabataire. Attila n'avait pas pensé à cela et pour se faire pardonner son erreur il a ouvert les prisons.
Rédigé par : Walson | 03 juin 2020 à 14:26
@ boureau 13h46
À la question de l'animateur : "Est-ce que vous diriez que la justice sanctionne en fonction de la couleur de la peau et que la police tue en raison de la couleur de la peau ?" D. Guiraud a répondu tout net : "C'est ce qui se passe".
Aucune réaction indignée de Pascal Praud."
Deux remarques:
-Pascal Praud me paraît assez limité intellectuellement lorsqu'il vient à être comparé à Christine Kelly par exemple, mais pas seulement...
- Il n'est pas interdit de penser qu'il a pour tâche de rééquilibrer les positions décoiffantes (mais justes) de Zemmour sur la même chaîne...
Finalement il n'aurait jamais dû quitter le champ du football !
Rédigé par : caroff | 03 juin 2020 à 14:19
Affaire A. Traoré : que fait la justice ? Complaisante face à cette manifestation de 20 000 personnes environ. Bizarre, pas d'amendes, pas de gaz lacrymogènes, pas de LBD, pas de CRS... Rien, le néant. Ils sont chez eux et nous ne sommes plus chez nous.
Cette première démonstration de force depuis le déconfinement répondait aux mots d’ordre de 195 organisations soi-disant "antiracistes" mais farouchement anti-blancs et anti-police. 195 organisations, qui dit mieux !
On pourrait être un peu mesquin en posant la question du financement des ces 195 organisations "antiracistes" qui agissent probablement en tant qu'associations loi 1901 et nous coûtent "un pognon de dingue". Nous finançons donc les gens qui nous tapent dessus, difficile d'être plus sots.
La macronie ne bronche pas, comme d'habitude. Pour être INTOUCHABLE, prière de ne pas être blanc. Si vous êtes blanc, vous avez forcément tort. Si vous êtes blanc, vous pouvez faire une marche blanche silencieuse. Si vous êtes noir, vous pouvez vociférer, menacer et casser. Dommage des noirs faisant une marche blanche, on aurait enfin un peu d'humour de leur part.
Notre pays va sans doute connaître la guerre civile alors que les Français, dans leur grande majorité, n'étaient pas racistes. Bien au contraire, ce sont des moutons face à la meute qui s'installe de plus en plus sur notre territoire.
Rédigé par : Isabelle | 03 juin 2020 à 14:16
@ ALFRED LELEU | 03 juin 2020 à 09:50
Oui, on s'ennuie sans Robert Marchenoir. Je continue à espérer qu'il revienne.
Robert, tu nous manques !
Rédigé par : herman kerhost | 03 juin 2020 à 14:13
Tiens, la nonne espagnole se naturalise autrichienne, Savonarole va donc visiter Salzbourg en son été déconfiné, espérant profiter de l'aubaine.
Rédigé par : Aliocha | 03 juin 2020 à 14:08
@ Michel Deluré | 03 juin 2020 à 10:46
« Faute de régler à froid des problèmes qui sont parfaitement identifiés, et celui des prisons en est un depuis longtemps, on s'expose toujours à n'avoir d'autre stratégie, lorsque des situations exceptionnelles interviennent, que de sauver les meubles en catastrophe en prenant des décisions dans l'urgence et qui ne peuvent être forcément qu'imparfaites. »
En politique il y a rarement de bonnes solutions. Il faut toujours choisir parmi les moins mauvaises.
De toute façon vous ferez toujours des insatisfaits.
Les décisions pour lutter contre l’expansion du covid-19 en sont l’exemple le plus caractéristique. Mais on pourrait aussi évoquer la réforme des retraites et bien d’autres projets de loi encore.
Quoi qu’elle fasse, la majorité, qu’elle soit de gauche ou de droite, devra toujours faire face à des insatisfaits.
Nous aurions pu penser qu’Emmanuel Macron en supprimant le clivage gauche-droite, aurait apporté un peu de sérénité dans le monde tourmenté de la politique. Eh non, il a réussi une chose, à réunir la gauche et la droite certes, mais contre lui.
Rédigé par : Achille | 03 juin 2020 à 14:07
Ce qui se passe aux USA est un aveuglement volontaire de toute une partie de la population.
Ravage du politiquement correct. A tel point que certains vont même jusqu'à laisser la famille du défunt exprimer en des termes élogieux, sans jamais contredire ce discours mensonger, que George Floyd était un ange, alors que c'était un criminel qui avait commis braquage à main armée et était trafiquant de drogue.
Presque tout le monde fait semblant dans le pays de croire que les noirs sont opprimés, et que les blancs sont de sales racistes.
Or, les chiffres ne laissent planer aucun doute. Les noirs sont ceux qui commettent la plupart des crimes. Lorsque quelqu'un tue, cela veut généralement dire qu'un blanc est mort ou qu'un noir est mort mais que le tueur est aussi noir.
Non seulement tout le monde peut voir cela tous les jours dans les journaux (et s'empresser de l'oublier), mais il y a pire. Ces chiffres sont également vrais quand il s'agit de la police et de la population. Un flic noir tue plus de noirs ou de blancs qu'un flic blanc.
Il y a des statistiques qui montrent cela très bien.
https://www.statista.com/statistics/585152/people-shot-to-death-by-us-police-by-race/
Alors, il est possible que celui qui a écrasé la tête de George Floyd soit un raciste. Mais dire que ce crime est un crime raciste, alors que sur les quatre policiers il n'y avait qu'un seul blanc, euh... comment dire ?
C'est vrai que les autres (asiatiques et métissés, un peu noir donc, se sont bien cachés derrière le véhicule, et ne méritent donc pas d'être comptés dans le casting. Quelle hypocrisie !
Moi si j'étais noir, j'aurais honte de ma couleur si j'entendais tous les discours de pitié à mon égard. Sachant que ce seraient les miens qui mériteraient d'être stigmatisés.
https://www.takimag.com/article/oh-cool-more-riots/
Rédigé par : herman kerhost | 03 juin 2020 à 14:07
@ Lucile | 03 juin 2020 à 13:32
Bien observée cette galerie de portraits.
À l'aune de notre pays qui n'est plus que représentation et communication, alternant entre enflure, prudence, provocation, satire et caricature !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 juin 2020 à 14:05
@ Achille 11h28
"On pourrait déjà commencer par virer les flics qui ont leur carte au RN. Ça limiterait le nombre de bavures policières.
Élémentaire mon cher Walson !"
Et pourquoi pas ceux qui sont encartés à LFI ou à Debout la France ?
Je vous rappelle que les fonctionnaires doivent obéissance à leurs supérieurs et ne pas manifester dans l'exercice de leur métier leur sympathie pour tel ou tel mouvement politique.
Qui plus est ils ne doivent pas indiquer par leur comportement une appartenance religieuse:
https://www.gereso.com/actualites/2018/12/03/respect-du-principe-de-laicite-et-obligation-de-neutralite-agents-publics/
Ainsi je serais d'avis de virer en premier lieu les agents publics qui font du prosélytisme religieux (les islamistes)...
Vous êtes définitivement devenu une caricature de la dégoulinante bien-pensance sur ce blog.
Rédigé par : caroff | 03 juin 2020 à 13:57
@ Lucile
En effet, les portraits de P. Bilger sont un régal. Dommage qu'ils contribuent à ce que nous pensons de ce pays à la dérive.
Quant à la petite dernière, N. Belloubet, vous parliez de fée... Elle me fait penser à la fée Carabosse.
Voici le dernier tweet de notre hôte, j'acquiesce totalement :
"Il y a longtemps qu’on sait #AdamaTraore que l’action de sa sœur et de ceux qui la soutiennent n’a + rien de #judiciaire. Ms qu’elle relève d’un #communautarisme vindicatif. Elle a traité les experts officiels de #racistes et d’être contre les #Noirs
@CNEWS
Une machine infernale !" P. Bilger
Je ne sais pas où nous allons exactement mais nous y allons.
La macronie fait de l'autorité à retardement. Faut pas brusquer la meute vociférante. On ne sait jamais, elle peut mordre ou pire... C. Castaner était plus féroce avec les citoyens blancs qui demandaient des conditions de vie plus décentes (gilets jaunes pacifiques, pompiers, infirmières). Facile d'être fort avec les faibles et de s'aplatir face aux forts en gueule.
Je ne sais plus quoi écrire sur ce pays. Très envie de le quitter, si seulement...
Rédigé par : Isabelle | 03 juin 2020 à 13:56
Chacun ses goûts, hameau, personnellement je préfère les câlins, et n'ai même pas regardé vos horreurs.
Bon Valhalla.
Rédigé par : Aliocha | 03 juin 2020 à 13:51
- Affaire Adama Traoré
- La complaisance de certains médias pour l'extrême gauche.
- La stupidité de Pascal Praud sur CNews.
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Dans son émission ce matin, P. Praud interrogeait David Guiraud de la France Insoumise qui participait à la manifestation interdite organisée par la famille Traoré.
À la question de l'animateur : "Est-ce que vous diriez que la justice sanctionne en fonction de la couleur de la peau et que la police tue en raison de la couleur de la peau ?" D. Guiraud a répondu tout net : "C'est ce qui se passe".
Aucune réaction indignée de Pascal Praud.
Et, quelques minutes après en quittant cet invité à distance, P. Praud lui a fait un coup de lèche magistral : "Merci pour la mesure de vos propos. Il peut exister des hommes de bonne volonté".
J'en suis tombé de mon fauteuil !
Seul P. Bilger a eu le courage de faire remarquer que les propos de D. Guiraud pouvaient paraître surprenants.
Par contre, quand P. Praud, quelques minutes plus tard a interrogé Jean Messiha du RN, alors là, ça été un tout autre langage : la soupe à la grimace. J Messiha a eu droit à toute la panoplie de P. Praud : amalgames, parole coupée à de nombreuses reprises, accusations gratuites, mauvaise humeur, visage en rogne, volonté de nuire, etc. etc.
P. Bilger est intervenu, là encore, pour mettre de la perspective.
P. Praud montre, avec le temps, le peu d'épaisseur de sa culture et ses partis pris deviennent de plus en plus évidents.
Les remarques bienvenues de P. Bilger ne suffisent plus à relever la mauvaise qualité journalistique de cette émission.
Merci pour vos interventions cher P. Bilger.
Cordialement
P.-S.: Histoire de rafraîchir les mémoires : le papa Traoré fut un tranquille polygame comme de nombreux autres noirs issus de l'Afrique subsaharienne, avec deux femmes blanches puis deux femmes noires et dix-sept enfants. Ce n'était pas la misèèèèère que l'on nous serine tous les jours ! Quant à Adama, nouveau martyr de la cause noire, son casier judiciaire fut long comme un jour sans pain !
Ceci n'excuse pas cela mais ça fait du bien de le dire.
Rédigé par : boureau | 03 juin 2020 à 13:46
Bravo pour les portraits, un régal.
Sebastian Kurz, superbe, classe, la vieille Europe, je ne sais pas ce qu'en pensent les autres dames, mais je retiens ma respiration, je suis sous le charme.
Buzyn, mi figue-mi raisin (ça rime), avec des airs de petite fille sage un peu triste, mais "soutenue par sa bonne conscience".
Bellamy, look comme il faut, fossettes, pas vraiment Hercule, mais l'œil vif et les oreilles en alerte. Sa force est mentale.
Ensuite Bigard, pouah, je sais bien qu'il en rajoute, mais il n'en a pas besoin.
Enfin la garde des Sceaux, sortie d'un film de Walt Disney, erreur de casting, elle croit avoir un rôle de fée, mais elle fait peur aux enfants sages et elle fait rigoler les durs à cuire.
Rédigé par : Lucile | 03 juin 2020 à 13:32
Bonjour monsieur Bilger,
Votre billet tombe - malheureusement - à pic si j'ose dire.
Je n'ai pas commenté depuis des lustres (un peu marre des politiques, tous, et de tous ceux qui manifestent en pleine pandémie) mais ce matin en entendant encore France Info (pendant que je me rase), je me suis décidé à leur écrire ceci par mail:
"C'est grave l'amalgame que vous avez fait entre ces cops indignes aux USA dans l'affaire Floyd et la police française: je suis excédé par la partialité de vos journalistes d'information, jour après jour, qui pour moi n'ont donc pas cette qualité professionnelle d'impartialité: l'information, surtout venant d'une radio nationale et publique, devrait avoir une présentation objective et non caricaturale et orientée, comme cela a été fait pour cette marche interdite "Justice pour Adama Traoré". Rien de mieux que la réponse cinglante de Linda Kebbab à votre "journaliste", qui osait encore se draper de l'étonnement de sa réponse à cette information, en la coupant en permanence.
Je n'ai donc rien à ajouter à cette réponse "en défense" de Linda Kebbab, porte-parole policière: écoutez-la à nouveau si vous aussi vous êtes étonnés par mon mail sur l'impartialité de l'information de votre chaîne,
NB: je ne suis ni flic, ni de quelque parti ou mouvement politique que ce soit".
Précision: le journaliste a repris, presque comme une vérité, le discours de personnes ayant initié ou participé à cette manifestation interdite: la nouvelle expertise demandée par la famille a infirmé l'autopsie officielle et conclu hier à un décès suite au placage policier... alors qu'il s'agit en fait d'un avis médical ; les gendarmes ont gazé les manifestants pacifiques en les coinçant de tous les côtés, ils sont donc présentés comme des nervis, des cops qui chargent sans raison... et le journaliste annonce (et donc dénonce) tout cela... même s'il a bien, c'est un minimum, dit que la manifestation (2 000 personnes) était interdite.
Quand on voit aussi certains leaders politicards (comment les appeler autrement ?) qui disent maintenant que le déconfinement doit aussi redonner aux manifestations toute leur place, cela promet ! Les commerçants et artisans et leurs salariés, après tout ce qu'ils ont subi depuis les GJ et la CGT/Sud vont encore être pris en otage, définitivement ?
J'ai honte de ce pays, ou plutôt des abrutis et irresponsables qui veulent définitivement le démolir par tous les moyens, après ces trois crises (GJ + CGT/Sud et Covid19).
Rédigé par : Lome | 03 juin 2020 à 13:07
@ Aliocha
Vous, vous êtes bon pour l'Achoura. :)
https://www.youtube.com/watch?v=OfAjlsd7MB4
Rédigé par : hameau dans les nuages | 03 juin 2020 à 12:36
« LIKE »OU « + 1 » ?
Ex-prof de français, ayant passé ma vie dans les livres, j'ai découvert Internet il y a quelques années, un blog numérique, celui de Philippe Bilger, il y a trois ans, à faire un copier-coller il y a deux ans, Facebook l'année dernière. Que de découvertes ! Mieux vaut tard que jamais. J'ai tout l'avenir devant moi.
Sur ce blog numérique, j'ai appris que je pouvais commenter. J'ai commenté comme j'ai pu, et sans talent.
Sur Facebook, j'ai appris qu'au lieu de commenter, des lecteurs pouvaient se contenter de mettre un « Like », ce qui est une façon, m'a-t-on dit, d'approuver sans y consacrer trop de temps. Parmi tous les gens qui m'ont gratifié d'un « Like », j'ai même eu le plaisir un jour de noter un professeur d'Université, qui avait été reçu premier à l'agrégation de philosophie. J'en ai été très honoré !
Ces jours-ci, sur le Net, je suis tombé par hasard sur un « Lexique geek ». J'ai noté plusieurs choses. Notamment que l'on peut employer « +1 », « signes utilisés sur Internet et dans les les textos (que je ne sais toujours pas utiliser sur mon portable) pour indiquer que l'on est du même avis ».
Je me suis donc livré à une facétie sur ce bloc numérique qui a bien voulu recevoir un millier de commentaires de votre serviteur en trois ans. En guise de commentaire, j'ai employé « +1 » , comme on emploie « Like » sur Facebook, quand on approuve un texte, une vidéo, un dessin plaisant, et qu'on l'on ne dispose pas de beaucoup de temps pour écrire.
Je me suis demandé si l'excellente modératrice de ce blog me passerait cette facétie. Elle a laissé passer, avec une grande gentillesse. Je ne suis pas sûr d'avoir envie de récidiver.
Un habitué de ce blog s'en étonne en disant qu'on aura tout vu. Je confirme :
Vous aurez tout vu ! Et vous aurez tout lu !
Rédigé par : Patrice Charoulet | 03 juin 2020 à 12:16
@ revnonausujai | 03 juin 2020 à 07:28
« plaidoyer pour la mise en oeuvre d'un programme de plusieurs dizaines de milliers de places de prison supplémentaires. »
Rachida Dati quand elle était garde des Sceaux avait promis l’ouverture 13 200 places supplémentaires. C’était en 2012 et on attend toujours.
Il est vrai que dès qu’une nouvelle prison est envisagée, les habitants du lieu de son emplacement se lancent aussitôt dans des pétitions pour ne pas avoir à subir ce genre de voisinage. Des prisons d’accord, mais chez les autres !
La solution la plus efficace passe par la responsabilité de parents dont les jeunes de 14 ans sont encore en train de traîner dans les rues à 2 heures du matin.
Parfois une bonne torgnole de la maman devant les copains peut être une méthode salutaire.
Exemple d’une mère responsable
A condition toutefois que le gamin ne porte pas plainte pour violence sur mineur…
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@ Walson | 03 juin 2020 à 10:28
« Au fait, Achille, il serait grand temps de supprimer les tribunaux et les flics sauf pour les types du RN. »
On pourrait déjà commencer par virer les flics qui ont leur carte au RN. Ça limiterait le nombre de bavures policières.
Élémentaire mon cher Walson !
Rédigé par : Achille | 03 juin 2020 à 11:28
14 000 détenus en liberté non surveillée. Mais que dire des derniers événements parisiens ?
Nous sommes un pays communautarisé. C'est fait.
Les États-Unis sont le terrain de jeu des indigénistes qui préparent une guerre civile.
Elle arrive chez nous également, quel pataquès pour cette affaire A. Traoré.
Merci à J-L Mélenchon et sa bande de crétins de LFI, à Esther Benbassa et tant d'autres qui soufflent sur les braises. Honte à eux !
https://www.valeursactuelles.com/societe/adama-traore-le-prefet-de-police-accuse-detre-lorigine-des-heurts-120028
Les Français n'étaient pas racistes mais avec ces soi-disant anti-racistes qui sont plus racistes et fascistes que les Français blancs qu'ils dénoncent en permanence, tout est à présent mis en place pour le pire... Quand des abrutis veulent copier le modèle américain, le rap, la sous-culture, la mentalité raciste pourrie qui va avec...
Rédigé par : Isabelle | 03 juin 2020 à 11:28
@ Walson | 03 juin 2020 à 10:28
Vous êtes tombé dans le piège tendu par Achille vous aussi, comme beaucoup ici.
Achille, comme Tomas, Elusen et d'autres pingouins du cercle des poètes gauchistes pas tous disparus, est un troll provoc islamogauchiste qui jouit de vous voir courir au quart de tour et profite de votre naïveté ; il ne croit même plus à ce qu'il dit mais se sert de ces vieux poncifs slogans d'attardés gauchistes soixante-huitards has been pour vous faire enrager et ça marche, bravo Achille !
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@ Exilé
"L'école de la criminalité, c'est plutôt la rue (après l'école), avec l'aide tacite des « autorités » qui ferment les yeux."
Je multi plussoye +++++++++++++++++++++++++
Et l'école socialiste elle aussi : profs gauchistes, cours version révisionniste négationniste : colonisation, nouveau genre, islamisme, prosélytisme, propagande gauchiste, culture de l'excuse... "demandez l'programme de gauche !"
Catéchisme gauchiste toujours en cours chez les gérontocrasses incontinents mentaux attardés de gauche : solidarité, humanisme, partage, progressisme, modernisme, avant-gardisme, nouveau genre, sexualisme racialisme et autres fables cucul-turelles très prisées sur les Rézossocios.
Quand je pense que ce charlot de Victor Hugo est toujours cité en modèle de gauche : "Il faut fermer les prisons et ouvrir des écoles"... même les racailles sont mortes de rire en lisant ce guignol.
Une école qui est devenue un site supplémentaire de vente de drogue, de racket, loi de la jungle, djeuns cailleuras intouchables, profs punching-balls, annexes des teucies islamistes... elle est belle l'Education nationale socialiste, y a du lourd là !
Allons-y, c'est mon jour de bonté, je me plussoye ++++ tant qu'y a Gégène y a du plaisir.
Rédigé par : sylvain | 03 juin 2020 à 11:25
...le racisme d'une certaine police aux Etats-Unis... (PB)
Évitons de reprendre les clichés simplistes ressassés par des médias français contaminés par le gauchisme.
Au États-Unis la mission de la police est de faire respecter « la loi et l'ordre » et contrairement à la police française - du moins quand cette dernière se trouve face à certains éléments intouchables - elle n'a pas l'habitude de se laisser faire sans réagir.
Les gens qui ont l'occasion de subir un simple contrôle routier pour un excès de vitesse par exemple, peuvent être invités à poser leurs mains sur le capot du véhicule, à maintenir les jambes écartées et à ne pas faire de geste brusque, au risque pour eux de se faire abattre immédiatement, quels qu'ils soient.
C'est la règle du jeu.
Et ce n'est pas parce que certains des individus qu'elle interpelle parfois de façon « musclée » - mais cela arrive aussi en France - sont noirs que cette police est spécialement « raciste ».
Il arrive aussi que des blancs soient tués par des agents de police noirs, et cela n'a pas donné lieu pour autant à des flambées de violences urbaines ou a des campagnes médiatiques monstres, en dépit parfois du caractère trouble de ces actes.
Rédigé par : Exilé | 03 juin 2020 à 11:05
@ Achille 02/06 20:48
Il est certes parfaitement possible de voir dans ce que j'appellerai cette «évasion organisée» certains aspects que l'on peut juger positifs. Pour ma part, j'y vois surtout une décision contrainte, imposée par les circonstances.
Faute de régler à froid des problèmes qui sont parfaitement identifiés, et celui des prisons en est un depuis longtemps, on s'expose toujours à n'avoir d'autre stratégie, lorsque des situations exceptionnelles interviennent, que de sauver les meubles en catastrophe en prenant des décisions dans l'urgence et qui ne peuvent être forcément qu'imparfaites.
Nous en avons eu un autre exemple récent avec la pandémie de Covid-19 lors de laquelle l'exécutif n'a pu que retenir la seule stratégie qui s'imposait à lui en raison des circonstances.
Que la prison ne soit pas la seule réponse à apporter au problème de la délinquance, j'en suis d'accord avec vous.
Mais à l'évidence, elle en constitue cependant souvent une solution incontournable.
Qu'il faille combattre la délinquance en amont, soit, mais lorsque cette action et les peines de substitution n'y suffisent pas, et c'est souvent le cas, il faut bien alors recourir à la prison.
Libérer en nombre des détenus pour ne pas être confronté à une éventuelle crise, c'est reconnaître un échec dans la gestion du dossier en cause.
C'est surtout adresser un bien mauvais signal à tous les délinquants en puissance que de leur offrir le visage d'une justice bienveillante à leur égard.
Rédigé par : Michel Deluré | 03 juin 2020 à 10:46
@ Claude Luçon | 03 juin 2020 à 02:05
Nous n'avons pas les mêmes lunettes !
On the road again
I just can't wait to get on the road again
The life I love is makin' music with my friends
And I can't wait to get on the road again
On the road again
Goin' places that I've never been
Seein' things that I may never see again
And I can't wait to get on the road again
Here we go, on the road again
Like a band of Gypsies we go down the highway
We're the best of friends
Insisting that the world keep turnin' our way
Sur la route une fois de plus
J'ai hâte de reprendre la route
La vie que j'aime c'est faire de la musique avec mes amis
Et j'ai hâte de reprendre la route
Sur la route une fois de plus
Je vais dans des endroits où je n'ai jamais été
Je vois des choses que je ne reverrai peut-être jamais
Et j'ai hâte de reprendre la route
C'est parti, sur la route à nouveau
Comme une bande de gitans, nous descendons l'autoroute
Nous sommes les meilleurs amis
Insister pour que le monde continue de suivre notre chemin
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@ Achille | 02 juin 2020 à 20:48
Somme toute pour :
- des voitures brûlées,
- des vols de sacs de personnes âgées,
- un cassage de gue*le en règle,
- une tentative de viol
on doit s'excuser et dire c'est pas bien ne recommencez pas sinon plus d'allocs.
Et la taule c'est fait pour les blancs, fatalement fachos, qui ne votent pas pour le PS.
Cher Achille je souhaite qu'il vous arrive tous les malheurs que je viens d'évoquer et surtout n'allez pas vous plaindre, personne ne vous écouterait car pas d'amalgame, touche pas à mon pote sous peine d'être raciste.
Au fait, Achille, il serait grand temps de supprimer les tribunaux et les flics sauf pour les types du RN.
Rédigé par : Walson | 03 juin 2020 à 10:28
Quelqu’un pour aller frapper à la porte de Marchenoir et réveiller notre ambianceur de blog ?
Rédigé par : ALFRED LELEU | 03 juin 2020 à 09:50
Ah, les gens, tous coupables sauf moi...
Rédigé par : Aliocha | 03 juin 2020 à 09:38
@ Vamonos | 02 juin 2020 à 23:50
"Patrice Charoulet a plussoyé sans faire de phrases"
Bonjour cher Vamonos, un petit plussoiement vaut mieux que de très longs discours soporifiques comme on en subit ici, on a l'impression d'assister à des conférences de gérontologues asthmatiques d'EHPAD, au bout de dix lignes je craque, les redites succèdent aux redites en boucle indéfiniment, la roulette de ma souris est en surchauffe à force de zapper.
Des tonnes et des tonnes pour dire et redire que tous ces LREM sont des criminels collabos islamos immigrationistes traîtres vendus pervers détraqués sexuels qui ont fait de la France une vaste poubelle fosse septique à racailles délinquants protégés encouragés.
Dernière en date, ce commerçant de la Drôme ou de l'Isère multi-agressé multicambriolé, qui a voulu se protéger et réagir, justice et police ayant abandonné ce malheureux, qui va finir par passer en justice pour faute très lourde aggravée, je ne me rappelle plus le motif révoltant que j'ai entendu.
Un monde de m*rde, un monde de LREMERDE. La Racaille En Marche.
Rédigé par : sylvain | 03 juin 2020 à 09:08
@ Achille
« J’ajouterai que la prison est souvent une école de la criminalité pour les primo-délinquants car ils sont mis en contact avec des malfaiteurs chevronnés, voire des criminels qui dans le milieu carcéral passent pour des caïds, si bien qu’en sortant de prison ils sont encore plus dangereux que lorsqu’ils y étaient entrés. »
Ah, encore un poncif répété par les perroquets de la bien-pensance !
C'est ignorer que de nos jours, pour être condamné à faire effectivement de la prison, il faut généralement avoir un CV particulièrement chargé et être déjà compromis jusqu'au cou dans des activités relevant parfois du grand banditisme.
L'école de la criminalité, c'est plutôt la rue (après l'école), avec l'aide tacite des « autorités » qui ferment les yeux.
Rédigé par : Exilé | 03 juin 2020 à 09:04
Principe de base :
Quand tu votes pour Macron, bah, t'as la politique à Macron.
Alors, pas la peine de venir se plaindre de quoi on s'est rendu complice.
Celui qui disait vouloir "enfourcher le tigre" aurait déjà dû s'assurer de savoir tenir sur un poney.
En attendant, notre très autoritaire ministre de l'Intérieur ferme les yeux sur tous les interdits qui se sont auto-autorisés.
Bref, peut-être une bonne nouvelle, l'espoir d'un dernier baroud avant d'aller rejoindre mes ancêtres au Valhalla.
Rédigé par : GLW | 03 juin 2020 à 08:22
"...cette vision angélique de "progressisme de gauche" qui n'a rien à voir avec un authentique humanisme : celui-ci n'est pas condamné à affirmer que le mal est un bien pour se justifier." (PB)
Il n'y a pas que la gauche pour prétendre qu'un mal soit un bien.
Il existe plusieurs méthodes. Par exemple, on dit que du mal sort un bien, comme là, vive le virus pour libérer les prisonniers, aller contre le capitalisme... Et que sais-je encore ?
Les croyants et trop d'humanistes justifient la souffrance et la mort, par exemple. Trop de gens donnent leur assentiment à toute sortes de servitudes, mettant les libertés perdues ou en risque de l'être sous le tapis au nom d'une liberté "véritable" ou "intérieure" qui ne se relèvera jamais d'avoir été ainsi instrumentalisée.
Ou alors dans combien de siècles ? La faute des moralistes liberticides est énorme, tant moralement que dans ses conséquences.
Par quoi commencer, tant tout est imbriqué ? Voyons, la liberté d'expression ou d'aller et de venir ne souffre pas de doute, intériorité se dérobe. La liberté intérieure doit être démontrée et ne l'a jamais été par les croyants et moralistes s'en servant pour massacrer d'autres libertés.
Aussi, en première analyse, on peut penser qu'ils se servent d'un simulacre auquel ils sont les premiers à croire, mais la croyance, on le leur laisse, pour restreindre et rabaisser leurs contemporains.
Croire, non merci, je ne m'abaisse pas à croire, mais il existe une liberté intérieure, il faut avoir lu le livre sur l'expérience de Libet.
https://www.decitre.fr/livres/l-esprit-au-dela-des-neurones-9782844549464.html
La plupart des gens ne veulent pas savoir : ils se servent d'une liberté contre une autre, ou bien, voyant cela, se détournent de la liberté polluée par ceux qui ne cessent de s'attaquer à celles des autres.
Affligeant spectacle !
Le mal causé par les moralisateurs liberticides est énorme : contre les libertés et contre l'acceptabilité d'une idée à laquelle ils croient. Si la liberté existe, ils sont bien coupables et devraient passer leur temps à se culpabiliser plutôt que de culpabiliser les autres. Parce que ces gens fonctionnent à ça : on ne les voit pas défendre la liberté, leurs anciennes victimes ou promouvoir un livre de science, non, il faut qu'on leur fasse confiance quand ils n'en méritent aucune :
https://www.youtube.com/watch?v=NoX-4Hm1rPU
Que chacun cesse de vouloir empêcher les autres d'être ce qu'ils sont tant qu'ils n'interfèrent pas avec la liberté des autres. Si les gens pouvaient voir les rêves des autres, intervenir dans les rêves des autres, ils interféreraient avec leurs songes.
On dit bien que si on profère certains mots on commettra certains actes donc censurons les mots. On enchaînera donc avec les songes !
Idée proche, bon livre :
https://www.fayard.fr/litterature-etrangere/le-palais-des-reves-9782213021997
Rédigé par : Lodi | 03 juin 2020 à 07:46
À la quête des campements
Arrête-toi aux relais et pleure
Sur les ruines des demeures !
Questionne alors les traces usées
Des campements de printemps :
« Où sont passés les bien-aimés ?
Où sont allés leurs chameaux fauves ?
Observe-les fendre la vapeur qui plane
À travers les ruines désertées. »
Dans les mirages tu les vois
Semblables à des jardins.
La brume, aux yeux, fait paraître
Immense leur silhouette vaporeuse.
Ils voyagèrent par désir de se rendre
À al-‘Udhayb pour y boire
Une eau limpide et douce
Semblable à la jouvence de vie.
Je les suivais, m’informant d’eux
Auprès du vent léger d’orient :
« Ont-ils plantés leurs tentes
Ou recherché l’ombre de l’arbre de Dâl ? »
J’ai laissé, dit le zéphyr,
À Zarûd leurs tentes arrondies.
Les chameaux poussaient leurs plaintes,
Harassés par la marche de nuit.
Ils avaient laissés pendre,
Sur leurs tentes, des auvents
Qui protégeaient leur beauté
De la chaleur de midi.
Lève-toi et vers eux presse-toi
À la recherche de leur traces.
Avance jusqu’à eux en te balançant
Aux rythmes rapides de tes chameaux.
Et quand tu t’arrêtes
Aux repères de Hâjir,
Et que tu traverses, grâce à eux,
Vallées et montagnes,
Leurs campements se rapprochent ;
Leur feu apparaît en brillant,
Un feu qui est allumé
À la vive flamme de la passion.
Fais s’agenouiller les chameaux.
Que les lions ne t’effrayent point
Car les désirs enflammés
Te les feront voir tels des lionceaux.
Ibn'Arabî, L'Interprète des désirs
Même la fille du Nil démontre avec éclat qu'il n'y a plus de soumission puisque la domination n'existe pas, qu'entre les deux enfers nous est proposé ce chemin aussi fin que la lame, aussi aiguisé que le rasoir, et que le vent d'Orient sut nous apporter cette bonne nouvelle qui permet de relever la tête, les yeux remplis de joie, oui, le juste existe et il est là, à notre main, les juifs n'ont pas tué le Christ, c'est Dieu qui l'a élevé, permettant au jour d'entrer en cette nuit du temple, abattant le rideau sur la nouvelle loi, pied posé sur la pierre rejetée du soin que nous serons capable de nous porter les uns aux autres, sachant enfin sur nous-mêmes exercer notre souveraineté aux rythmes balancés des chameaux fauves harassés, des aspirations spirituelles incarnées au plus profond du cœur de nos réalités, capable d'accueillir toutes formes, pâturage pour gazelles et abbaye pour moine, Tables de la Thora et feuillets du Coran, car partout où les montures se tournent, il n'y a que l'amour pour fonder notre foi.
Ja, genau, aus Liebe will mein Heiland sterben :
https://www.youtube.com/watch?v=pXEDv7tgYbw
Rédigé par : Aliocha | 03 juin 2020 à 07:40
@ Achille 20h48
Excellent plaidoyer pour la mise en oeuvre d'un programme de plusieurs dizaines de milliers de places de prison supplémentaires.
Quant à croire que des éducateurs persuaderaient des "jeunes complétement paumés", donc sans aucune qualification, donc voués à des emplois subalternes et mal payés, d'abandonner la voie lucrative des trafics en tout genre, tout commentaire sur votre angélisme serait superflu.
Rédigé par : revnonausujai | 03 juin 2020 à 07:28
@ Walson | 02 juin 2020 à 18:29
En gros voici ce qu'ils chantent et répètent :
"Je suis si fatigué de pleurer,
Je suis dehors à nouveau sur la route
Je suis à nouveau sur la route
Je suis si fatigué de pleurer,
Mais je suis à nouveau sur la route"
Que voulez-vous de plus ?
C'était l'hymne des soixante-huitards !
C'est exactement ce qui se passe en France, on y pleure depuis 1968 et on part sur la route, par millions, vers les vacances, pour se consoler.
Encore que nous avons frôlé le désastre à cause du Covid-19 avec le confinement ! Ce virus prétendait nous donner une vraie raison pour pleurer.
La chanson est de nouveau de circonstance depuis hier !
On peut reprendre la route et recommencer à pleurer, en gilet jaune, sur le pouvoir d'achat, la retraite à 60 ans, les vacances, les 35 heures, la violences des CRS et les policiers, les masques, la réouverture des écoles, Didier Raoult et la chloroquine (j'en prends depuis 50 ans pour cause de palu), le prix du diesel, la pollution, l'ISF, la désindustrialisation, etc. le bordel effectivement !
J'étais à Bahreïn en 68, la musique n'y était pas jazzée, il n'y avait pratiquement pas de route, alors on ne pleurait pas !
On y pratiquait 'Muharram', leur façon à eux et aux Iraniens de pleurer douloureusement une fois l'an !
Sylvain Tesson a très justement dit: "La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer".
Rédigé par : Claude Luçon | 03 juin 2020 à 02:05
Admettons que la pandémie ait provoqué un risque sanitaire à l'intérieur des prisons, éventuellement un risque d'émeutes ingérables. Considérons que l'administration pénitentiaire ne disposait alors pas de solution satisfaisante pour faire face à ces risques. Il fut pris en conséquence la décision de libérer par anticipation des milliers de détenus.
Considérons que l'épidémie cesse, maintenant ou plus tard. Le risque sanitaire ou le risque d'émeutes n'existe plus. Dès lors, la raison de dispenser les punis de purger leur peine cesse aussi. Il convient que les libérés retournent en prison pour accomplir les peines conjoncturellement et provisoirement suspendues.
Or ce choix n'est pas fait. On en déduit que le ministère de la Justice se sert du prétexte de la pandémie pour passer outre les décisions de justice afin de régler des difficultés qui relèvent de sa responsabilité et qu'il ne parvient plus à résoudre.
Ce qui signifie que le pouvoir exécutif empiète sur le pouvoir judiciaire, voire le contourne. Ce qui est une entorse grave à la séparation des pouvoirs. Rien ne le justifie a priori. Si toutefois les circonstances y obligeaient, il serait envisageable de le considérer. Mais en aucun cas le pouvoir exécutif ne devrait avoir pouvoir de l'imposer, sans heurter aussitôt les principes fondamentaux de l'état de droit.
Rédigé par : Jean | 03 juin 2020 à 01:53
La mansuétude jusqu’au laxisme mènera la France à sa perte.
Ce qui s’est passé aujourd’hui à Paris avec la manifestation violente le prouve, interroge et fait peur.
Voilà des décennies que peu à peu par manque de courage les politiques laissent filer au nom de l’humaniste, cela finira mal.
Et pour minimiser j’entends ce soir que cette manifestation était la même que celles des GJ. Peut-être dans sa violence mais pas dans son esprit. La presse comme les politiques procèdent au mensonge intellectuel pour rester les sachants et démontrer que tout va bien.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 03 juin 2020 à 00:59