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13 juillet 2020

Commentaires

Lodi

@ kacendre

Wonder woman ? Pour les femmes, pour les hommes et pour les jeunes, il y a mieux comme série, par exemple :

https://www.youtube.com/watch?v=G1NmUU9WtUc

Enfin, les histoires de mâles et de femelles, franchement... Il faut que toutes les personnes possible se battent contre le mal, comme là :

https://www.youtube.com/watch?v=4ChCtYmZfRI

kacendre

Et gendarme woman... ça serait pas bien... aussi ?

Lodi

Ça déborde aussi ici. Absolument pour la liberté d'expression, je suis aussi pour la responsabilité qui va avec. Je ne donne pas dans le respect inconditionnel des morts, seulement pour ceux qui sont respectables. Il me semble qu'on peut difficilement être plus digne de respect qu'en mourant pour la liberté de ses concitoyens.

Mort ou vif, il est injuste de prendre des gens qui n'ont rien fait de mal de haut. Et c'est encore pire quand ces personnes ont fait quelque chose de bien... En plus, quand ce bien nous est destiné, il se manifeste là une triste ingratitude. Ne pas respecter assez des gens qui nous aident sous prétexte qu'ils sont Américains, femmes et demain allez savoir quoi est terriblement injuste.

Les gens ! Ils sont contre le suicide de gens qui ont leurs raisons de mourir mais ont des comportements destructeurs de leur société... S'il n'est plus considéré comme honorable de se battre, je ne vois pas qui voudra enfiler un uniforme. Si... Les gens qui n'en ont rien à battre de se battre, on sera bien protégé. Les gens se plaignent du manque de motivation des autres et font tout pour les décourager.

Bien évidemment, chacun a une part de destructivité... Il me semble qu'en mettant des obstacles à une destructivité individuelle on "qui veut faire l’ange fait la bête".
Empêcher les gens autodestructeurs de se tuer ou de se droguer et j'y inclus l'alcool à très forte dose pour s'éclater.

...en mettant obstacle à la destructivité de soi par soi, on fait que cette force ne trouve plus à se déverser que sur les autres.
Forcément...

Or trop d'indulgence ou trop de sévérité pour les uns et les autres déséquilibre tout le reste, condamnant à accumuler les injustices. Être injuste est mal en soi, rend encore plus injuste et détruit les autres : qu'ils encaissent en silence et ils sont de vils soumis, qu'ils se défendent des enragés. Enfin, en général, on va me trouver des exceptions avec le fameux d'un mal sort un bien... C'est aussi rare que surévalué.

Comme le pardon, qui je le signale n'advient que parce que le mal existe... Si le monde était meilleur, il n'aurait pas à exister, si toutefois il est un bien qu'il existe.
Car souvent :

1 - Il est ce que réclament les gens pour avoir le droit de nuire aux autres impunément. Il faut bien connaître les cas pour leur montrer où tendent leurs actes et leurs discours aussi tortueux et salissants.

2 - Brandi par des gens qui nuisent aux autres... Mettons le mari qui bat sa femme mais ne le fait pas ce soir alors qu'il le fait en principe si la soupe n'est pas assez bonne mais qui dira qu'il lui pardonne. En vérité, c'est la femme qui doit en appeler à la vengeance publique, la Justice.

3 - Brandi par les lâches. Notre femme qui se laisse faire. N'oublions pas que quand on est dominé à ce point, homme ou femme, dans ce cas ou d'autres, on est aussi rampant en général. La lâcheté est la règle, le courage l'exception.

4 - Un investissement qui se prend pour de la morale. Il faut pardonner aux autres pour aller au Ciel. Le crachat du prochain est donc mon ticket d'entrée. La femme battue peut s'imaginer supérieure moralement et qu'en plus elle ira au paradis. Un investissement qui s'assume. La personne qui a besoin d'une autre personne peut lui offrir de ne pas se venger d'un nuisible, que ce soit pour affaire, par amour ou toute autre raison, que le récipiendaire du cadeau soit un proche du nuisible ou soit un ange à qui on ne peut refuser de jouer les anges gardiens.

Bref, défendons nos droits comme si nous n'allions jamais rien pardonner malgré l'investissement le plus rentable sans parler de la confiscation d'une part importante de la vengeance par la Justice, respectons les droits des autres comme s'ils avaient le pouvoir de nous détruire pour nos injustices.

Robert

En revenant sur ce billet, votre phrase, Monsieur Bilger, "la réalité ne s'arrête pas en attendant que, par exemple, le ministre de l'Intérieur soit de retour de Bayonne où il a eu le discours ferme et sans complaisance qui convenait" m'a fait penser à la manifestation organisée par Assa Traoré, de Beaumont-sur-Oise, où Adama Traoré a été interpellé, jusqu'à Persan, devant la gendarmerie où il est décédé.

Si l'on en croit Le Monde
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/07/18/mort-d-adama-traore-une-marche-organisee-samedi-a-beaumont-sur-oise-avec-des-militants-ecologistes_6046590_3224.html

"Avant la marche, les familles de Cédric Chouviat, Lamine Dieng, Ibrahima Bah, Babacar Gueye, Gaye Camara et Sabri ont pris la parole pour dénoncer la mort de leurs proches, à cause des « violences policières ». « Zineb, Bouna, Theo et Adama, on n’oublie pas, on ne pardonne pas », a notamment scandé la foule, parfois le poing levé, haranguée par Assa Traoré, juchée sur un camion.
« Quand on demande justice pour Adama, on demande justice pour tous les Adama, tout le monde », a-t-elle lancé, dénonçant « l’impunité policière ». « Le combat, on le lâchera jamais. (…) Vous êtes devenus des soldats malgré vous. »"

Un parfait amalgame d'une série d'affaires judiciaires dont le lien sur ce plan n'est pas immédiat.
Ici, l'autorité de la Justice est mise à bas tant par les procédures intentées par la famille Traoré et son ou ses conseils qui conduisent les magistrats instructeurs à ordonner des suppléments d’enquêtes et d'expertises, notamment médicales auprès de médecins belges, supposés ainsi plus indépendants que les experts français...

Si l'on comprend que le ministre de la Justice ne s'exprime pas sur une affaire en cours, en revanche je reste surpris, c'est un euphémisme, par l'absence de poursuites contre l'organisatrice de manifestations interdites et contre les propos tenus tant par Assa Traoré que par d'autres représentants de cette mouvance activiste.
Je m'étonne aussi de l'absence de réaction de l'autorité administrative, en premier lieu du ministre de l'Intérieur.

"Cela déborde !" en effet, à l'instar du titre de ce billet, mais rien n'est apparemment fait pour endiguer ce mouvement. Où donc est passée l'autorité de l’État ?

herman kerhost

@ Robert Marchenoir | 19 juillet 2020 à 04:28
"Je ne connais même pas ce gazier ! Mais je vais me renseigner, vous pensez bien..."

Ça m'aurait bien sûr étonné, mais puisque j'avais remarqué que vous francisiez parfois des expressions anglaises, j'ai pensé que peut-être, par hasard, vous connaissiez ce commentateur américain, qu'il n'est pas rare d'entendre jouer avec les mots de cette même façon.

Michael Savage est un conservateur indépendant, anti-immigration, pro-Trump mais n'hésitant pas à le critiquer. Il se fait remarquer par ses emportements, envers le monde politique mais aussi envers les auditeurs qu'il ne laisse pas parler, ou qu'il houspille brutalement:

https://www.youtube.com/watch?v=UGDslSgSRsM

"Concernant la polémique du jour, le plus sain d'esprit, ici, c'est bien sylvain."

Je ne me suis pas exprimé sur "la polémique du jour". Laquelle, d'ailleurs ? L'affaire "gendarme-gendarmette" ? Je n'ai pas d'opinion là-dessus. Je m'en fiche un peu, à vrai dire... Querelle inutile et insignifiante.

Giuseppe

@ Robert Marchenoir | 19 juillet 2020 à 04:28

Belle lucidité, Bob, belle lucidité.

Mary Preud'homme

"Il y a des gens totalement amputés de l'organe..."
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 juillet 2020 à : 4 heures 28

Amputé de l'organe ? ça sent le vécu on dirait...
Pas sans cause que vous ayez des insomnies et compensiez vos graves frustrations avec du harcèlement virtuel, notamment à l'égard des dames.

Robert Marchenoir

@ herman kerhost | 18 juillet 2020 à 01:32
"Votre style, ici, me fait penser à celui de Michael Savage, qui sévit (à mon grand bonheur !) sur les ondes américaines. N'y aurait-il pas une influence venant de cet homme estimable dans votre commentaire ?"

Je ne connais même pas ce gazier ! Mais je vais me renseigner, vous pensez bien...

Concernant la polémique du jour, le plus sain d'esprit, ici, c'est bien sylvain.
______

@ Mary Preud'homme | 18 juillet 2020 à 13:39
"@ Giuseppe | 18 juillet 2020 à 11:02"
"Vous êtes surtout très vantard et m'as-tu-vu."

Hahaha. Avis de spécialiste... Il y a des gens totalement amputés de l'organe de la honte, et vous en faites partie. S'il y a quelqu'un ici qui devrait s'abstenir de porter ce genre d'accusation, c'est bien vous...

Mary Preud'homme

@ Giuseppe | 18 juillet 2020 à 11:02

Vous êtes surtout très vantard et m'as-tu-vu.

Rien à voir avec votre région de naissance ou de résidence que je connais bien, y ayant quelques attaches de longue date et où les authentiques "montagnards" sont à l'inverse de vous réputés pour leur discrétion et leur courage sans ostentation.


Walson

@ sylvain | 17 juillet 2020 à 23:01

Il n'y a pas que les "ette" mais il y a aussi les "ards" et ils sont nombreux dans ce blog.

Tout cela à la suite de la mort d'une femme gendarme. Quel manque de respect vis-à-vis d'une morte pendant son service ou même sans service.

Vous remarquerez que je n'ai pas participé à cet hallali, n'étant pas en osmose avec les infidèles.

Giuseppe

@ Mary Preud'homme | 18 juillet 2020 à 00:22

Je vous ai invitée à lire le lien enfin de comprendre les pouvoirs du maire et donc les missions susceptibles d'êtres exécutées par ses services de police.

Rompez !

Chez nous les policiers municipaux sont des sportifs et dernièrement un a rattrapé à la course un délinquant qui essayait de fuir à vélo, peut-être sans grande envergure, mais dans notre bled on a le sens de la police, de vrais athlètes de la loi municipale et de ses applications.

Acariâtre vous disais-je, de plus atteinte de strabisme, vous ne voyez pas plus loin que le bout de vos lunettes, la mauvaise foi l'emporte sur votre lucidité.
Avoir à tout prix raison ne fait pas de vous une spécialiste, la vie est une application des codes et souvent de leur interprétation.

https://www.calculersonimc.fr/les-polices-luttent-contre-lobesite/

Cela vous incitera à être un peu rationnelle, apprenez la formule par coeur, vous verrez ce que sont les athlètes autour de vous.
Chez nous sont les guides de haute montagne, les escaladeurs de col, et les coureurs de trek, le muscle saillant et les neurones bien aérées, que du vrai, du sain, du solide.

Je pense que vous devriez venir découvrir notre pays, vos discours parfois un peu lourds méritent d' être affûtés à l'aune de notre culture.

Reposez... armes !

Repos !

Achille

@ Chemin de traverse | 18 juillet 2020 à 04:51
« La découverte du nombre de féministes ici est stupéfiante !
"Question d'uniforme" ! Qui a parlé ? :) »

Certains de mes donneurs et donneuses de leçon de sémantique étant des fans de Zemmour, je doute que ce soient des féministes convaincus…

 Chemin de traverse

@ Achille

Avez-vous repris des moules ?
Et, puisque vous insistez, serait-il possible que l'affaire de la gendarme mette une nouvelle couche de ressentiment dans l'espace de P. Bilger ?

La découverte du nombre de féministes ici est stupéfiante !
"Question d'uniforme" ! Qui a parlé ? :)

herman kerhost

@ Robert Marchenoir | 16 juillet 2020 à 21:31
"Gendarmette, gendarmette, gendarmette...
Mélanie Lemée, gendarmette. Gendarmette. Mélanie Lemée. Gendarmette, gendarmette, gendarmette. Mélanie Lemée est une gendarmette."

Votre style, ici, me fait penser à celui de Michael Savage, qui sévit (à mon grand bonheur !) sur les ondes américaines. N'y aurait-il pas une influence venant de cet homme estimable dans votre commentaire ?

Mary Preud'homme

@ Giuseppe qui a encore perdu une occasion de se taire (cf post du 17 à 10:15)

Les policiers municipaux ont l'appellation d'agent de police judiciaire adjoint ; si bien qu'aucun d'entre eux, quelle que soit sa catégorie d'emploi, ne peut avoir la qualification d'officier de police judiciaire (OPJ) contrairement à vos allégations sorties du chapeau de votre voisin de bistrot....

Le cas échéant ils doivent donc "obligatoirement" en référer et transmettre toute affaire qui ne serait pas de leur ressort, notamment tout ce qui a trait au pénal, à l'autorité compétente soit à la police nationale ou à la gendarmerie.

À copier cent fois et ne pas effacer.

sylvain

Je vois que le terme gendarmette gêne beaucoup ici.

Je propose le terme pandorette, pandore, pandorette ou bien keufette, keuf, keufette.

J'en ai d'autres mais j'ai promis de bien me tenir sur ce blog.

Robert Marchenoir

@ caroff | 17 juillet 2020 à 10:07
"Vous passez votre temps à aboyer sur les contributeurs qui n'emploient pas les termes qui conviennent : je me souviens que vous aviez fait la leçon à l'un d'entre nous car il avait, le malheureux, employé l'adjectif 'étatsunien' !!"

En effet, et j'ai eu raison de le faire. Je vous explique la différence. Absolument personne, ici, n'a harcelé en meute quelque commentateur que ce soit pour avoir utilisé le répugnant néologisme "étatsunien".

Je suis, à ma connaissance, le seul dans ce pays à m'élever contre la stratégie délibérée, organisée et concertée, consistant à salir les Américains en les traitant "d'étatsuniens".

J'ai contre moi une grande partie de la gauche, de l'université, des médias, et jusqu'à l'arbitre des élégances journalistiques, Le Monde, qui se fait un devoir d'employer ce barbarisme diffamatoire.

Il ne s'agit pas d'un "malheureux commentateur de ce blog", le pauvre bichon, et je serais bien en peine de me rappeler de qui il s'agissait.

Il s'agit d'une entreprise délibérée de la gauche française, rejointe par une partie non négligeable de la droite, consistant à refuser aux Américains le droit d'être appelés par le nom qu'ils se donnent.

Imaginez le tollé si Le Monde appelait les Polonais les Polacks, les Chinois les niaquoués, les Noirs les nègres ou les Arabes les bougnoules. Eh bien, pour les Américains, on a le droit. Non seulement on peut, mais on doit, rapetisser les Américains en leur faisant bien sentir qu'ils n'ont pas autorité sur l'ensemble du continent américain, mais seulement sur les États-Unis.

Comme si les Américains prétendaient le contraire.

Je ne connais pas un seul autre pays dans le monde qui ait cette pratique à un aussi haut niveau. Peut-être l'Iran des mollahs, l'URSS au temps de Staline, et encore.

Et ça ne dérange personne. Ça ne choque personne que les Français tentent de faire oublier que leurs infirmières prennent un mois de congés-maladie frauduleux par an, que leurs policiers travaillent 27 heures par semaine, que leurs professeurs pratiquent le "télétravail" depuis la nuit des temps (et montrent les dents dès qu'on fait mine d'exiger leur présence au bureau), que la quasi-totalité de la population fraude la Sécurité sociale avec entrain et abandon, qu'en conséquence leur chômage et leurs impôts sont parmi les plus élevés du monde développé -- en se concertant pour substituer le mot "étatsunien" au mot américain, à chaque fois qu'il paraît dans une publication ayant quelque importance.

Tout le monde trouve ça normal. Tous nos travers à nous sont la faute des Américains.

Serge HIREL

UN SUFFIXE MALVENU

Qui se souvient de Christine Chauvet, Nicole Ameline, Françoise de Veyrinas, Françoise Hostalier, Elisabeth Dufourcq, Colette Codaccioni, Elisabeth Hubert ? Un indice : elles ont été collègues de Corinne Lepage, Françoise de Panafieu, Anne-Marie Couderc, Anne-Marie Idrac et Margie Sudre... Eh oui, ce sont les « Jupettes », membres du gouvernement Juppé de 1995. A l’époque, ce suffixe, mi-malicieux-mi-coquin, se voulait irrévérencieux, voire misogyne. La référence au film « le Gendarme et les Gendarmettes », sorti en 1982, était évidente et, réputation du Président oblige, l’on pouvait aussi y déceler une allusion à « Promotion Canapé », tourné, lui, en 1990... Bref, d’après les locuteurs de cette expression, ces « drôles de dames » n’étaient pas à la hauteur de leur emploi.

Inutile de dire qu’aujourd’hui, personne n’oserait appeler « Castettes » - attention à la prononciation... - Marlène, Françoise, Elisabeth, Roselyne et les autres. Pas plus qu’on ne peut appeler « gendarmette » une jeune femme qui a donné sa vie au service de la France.

Patrice Charoulet

ANNE-SOPHIE MERCIER

Dans « Le Canard », je ne lis que trois choses : la page 2 (les petites nouvelles politiques), la chronique judiciaire, brève mais toujours plaisante et le portrait que fait Anne-Sophie Mercier d'une personnalité politique.
Ces portraits sont riches, instructifs, bien troussés et parfois accablants.

C'est le cas pour le portrait de ce mercredi : Barbara Pompili. De même que Darmanin n'était pas le premier choix, Pompili n'a été prise qu'après plusieurs refus : Pascal Canfin et Ségolène Royal, apprend-on.

Je connais moins Barbara Pompili qu'Anne-Sophie Mercier. Je n'ai entendu que son discours sur le perron de son nouveau ministère, le jour de la passation de pouvoir. En l'écoutant, je m'étais dit : cette dame a un excellent profil de conseillère municipale de sous-préfecture. Ministre ? Ah bon. Numéro trois du gouvernement de la France ? Ah bon. Il fallait donner ce signal, après la (petite) poussée verte des municipales. Cela ne mange pas de pain. Et le Président fera ce qu'il voudra. Elle va compter pour des prunes.
Comme Hulot, dont je me demandais quand il partirait.

Mais cette dame, trop contente d'être là, ne partira pas. Je l'annonce avec tranquillité. Je n'en dirais pas autant pour Eric Dupond-Moretti.
Je prédis que lui partira ; avant deux ans, avant six mois, avant trois mois ? quand il comprendra qu'il compte pour du beurre. Ce que tout le monde a déjà compris.

Walson

@ sylvain | 15 juillet 2020 à 15:44

Toujours en forme et vous avez raison.

"...le malade de l'Elysée est en phase terminale"

Malheureusement non !
Certains rêvent de lui botter le c*l et j'en fais partie.

"Vous avez vu son regard d'halluciné, d'illuminé ?"

Vous aviez remarqué vous aussi et on le conserve comme une perle rare... faut-il que nous soyons collectivement tombés bien bas pour raisonner comme l’hôte de ce lieu.

breizmabro

@ Martchi du 17 juillet à 5 plombes du mat.

C'est la chloroquine de Didier Raoult qui vous rend nerveux :D

Mais si vous étiez honnête, ce dont je ne doute pas, vous pourriez au moins reconnaître que l'IHU de Marseille, sous le contrôle du Professeur Raoult, a, dès le mois de MARS : testé, isolé les contaminés et soigné ceux-ci avec ce qu'il avait sous le coude.

Toutes les télés se sont moquées des files d'attente devant l'IHU de Marseille de gens qui venaient se faire tester.

Aujourd'hui, cinq mois plus tard, en JUILLET, les mêmes chaînes de télé filment des files d'attente de gens qui souhaitent se faire tester devant les AP-HP, vu que des professeurs d'hôpitaux (j'ai arrêté de compter le nombre de professeurs des divers services de tous les hôpitaux PARISIENS venus "hors service" nous délivrer THE parole ;) ont, enfin, décidé qu'il fallait, comme l'avait fait l'IHU de Marseille : tester, isoler, et soigner les contaminés avec du Doliprane.

700 000 tests seront effectués a dit le ministre Véran !

À la date d'aujourd'hui seuls 200 000 tests ont été effectués, et encore tous n'ont pu être vérifiés par manque de révélateurs.

En même temps, comme dit Manu, "pas de testés positifs pas de malades".

Tout le monde au boulot... et au trot. Non mais !

Achille

Ainsi donc j’ai commis l’impardonnable outrage d’avoir appelé "gendarmette" une jeune fille de 25 ans, morte dans l’exercice de ses fonctions par la faute d'une caillera bien connue des services de police.
Cela m’a valu des remontrances indignées de la part de cinq ou six intervenants qui sont très pointilleux sur la terminologie des mots à utiliser quand il s’agit de cette noble profession de gendarme pour laquelle j’ai toujours eu le plus grand respect. Je pensais, sans doute naïvement, apporter une touche d’affection, de sensibilité à ce drame en utilisant le mot défendu de "gendarmette".

En retour j’ai eu droit aux appellations de "gros beauf vulgaire", "parfait goujat" et "pauvre type" de la part de Mary Preud'homme qui ne lésine pas sur le vocabulaire ordurier pour défendre ses convictions.

Si cela peut vous rassurer, à l’avenir, je n’utiliserai plus ce terme, en tout cas sur ce blog. Ceci afin de ménager la sensibilité de certains commentateurs et surtout commentatrices que cette appellation insupporte.
Fin de la polémique !

Ceci étant je reprendrais bien un peu de moules.

Robert

@ sbriglia | 17 juillet 2020 à 00:24
@ caroff | 17 juillet 2020 à 10:07

Merci à vous de remettre les pendules à l'heure, mais cela attire l'ire et les foudres de Robert Marchenoir.

De fait, beaucoup a déjà été dit sur l'usage du mot "gendarmette". Ce terme en soi, à rapprocher de "fliquette" pour la police, est sans intérêt particulier, sauf qu'il dénature les fonctions régaliennes exercées par les femmes servant dans la police ou la gendarmerie et les dévalorise de manière évidente.

Dans le quotidien, cela est sans importance.

En revanche son usage après le décès en service de Mélanie Lemée dans les circonstances dramatiques que l'on sait me semble pour le moins inapproprié.

Les arguments développés tant par Achille que par Robert Marchenoir pour en justifier l'usage me sont apparus spécieux. Je ne puis que le regretter.

Lodi

Je regrette l'inexistence du neutre dans notre langue. Il est certes poétique, parfois, de dire le soleil, enfin le, ça dépend des peuples, et d'y associer la lune, mais enfin, on pourrait y ajouter le neutre pour ceux qui le désirent dans les usages qu'ils désirent... Le neutre me paraît par exemple idéal pour la fonction, que ce soit de gendarme ou d'autre chose.

Le langage mathématique n'a pas aboli les langues... Le neutre n'abolirait pas les images précédentes mais s'y ajouterait. On peut adopter un langage plus précis sans abolir les brumes du passé mais en variant les usages selon le contexte.
Je pense qu'on a tort de vouloir faire table rase du passé mais tout autant de faire table rase du futur en ne prenant pas en compte des questions inaperçues autrefois.

Dans un autre domaine,il est dommage d'avoir prétendu Colbert raciste à cause du code noir quand il reconnaissait les mêmes droits aux affranchis qu'aux autres gens. Il ne s'agissait donc pas de race mais de classe... Je ne dis pas que ce soit mieux mais il est plus dur de s'exciter sur Colbert comme esclavagiste à son époque... Enfin, un jour on reprochera l'esclavage aux Grecs et aux Romains quand ils n'ont fait que le reprendre de, de quand, tiens ? Certains disent le début du néolithique, d'autres disent avant même, affaire à suivre, donc, j'adore.
Il faut au contraire louer ceux qui ont fait une vraie révolution, la révolution abolitionniste, tant cela allait contre des habitudes ancrées, mais attention, ils l'ont fait en réformistes. Des modèles à suivre, absolument.

Bref, il ne faut pas diaboliser le passé mais on n'est pas obligé non plus de le reproduire. À défaut de neutre, on peut féminiser des mots de fonction, mais il y a un hic... l'esthétique.
On croirait ces films ou bandes dessinées noir et blanc colorisées pour plaire au plus grand nombre : à fuir.

Des mots non prévus pour féminisation risquent de mal sonner. Autre chose : les mots féminins ont souvent une connotation dérisoire. Si on disait madame la gendarmette ou la gendarmette, je crois que les gendarmes des deux sexes comprendraient qu'on jette quelque chose de dérisoire sur leur fonction. Savoir si c'est conscient ou non est encore une autre affaire, je ne sais plus qui a dit que le langage nous parle, ce qui est assez vrai.

Je pense qu'il faut un neutre pour les objets, les fonctions et pour les gens qui se sentent entre deux sexes sans compter des intelligences artificielles qui ne se sentiraient pas le goût de choisir entre deux options dont aucune n'a a priori de sens pour elles.

Enfin... Tout cela n'a aucune importance. Si le français n'évolue pas mais que les réalités le font, on reprendra, probablement mal, des tournures étrangères et probablement américaines.
Les anti-Américains seront encore dans tous leurs états alors qu'il faudra considérer que nos amis malaimés nous fournissent encore ce qui nous manque, merci à eux.

Giuseppe

@ Mary Preud'homme | 16 juillet 2020 à 23:31

Je n'ai jamais écrit mal attifées.
Je n'ai pas le bon goût de la couturière que vous semblez être.

Ne parlez pas de mon bled, justement vos extrapolations ne font que révéler votre côté acariâtre et parfois ridicule dans l'excès ; chez nous les montagnes favorisent justement ce corps local, que des isards, des hurdlers !

Ce sont les images diffusées sur les chaînes nationales qui me semblent refléter un certain embonpoint - applicable aux hommes bien évidemment.
Je ne sais pas s'il existe des statistiques en France mais :

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/10/12/97001-20181012FILWWW00037-13-des-americains-trop-gros-pour-l-armee.php

Il paraît que l'on suit ce pays, alors je compte sur vous pour porter la bonne parole, vous devez être écoutée "en haut lieu".

Je taquine bien sûr.

Giuseppe

@ Mary Preud'homme | 16 juillet 2020 à 23:31

À mon avis vous avez besoin d'un stage de recyclage, "le bon ordre, la sûreté, la sécurité..."

Je vous laisse le soin de tout lire, ils sont à mon humble avis un des premiers éléments de sécurité de proximité. Je crois même que certains réclamaient, vu leurs compétences élargies, le port d'arme.

Rompez !

https://www.collectivites-locales.gouv.fr/maire-et-prevention-delinquance-0

"Ces pouvoirs sont de trois ordres :

- de police générale, avec pour objet l'exécution des lois et des règlements ainsi que des mesures de sûreté générales. Le maire agit en tant qu'agent d'Etat, sous l'autorité du préfet qui peut se substituer à lui.

- de polices spéciales, incluant la police municipale ayant pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publique.

- d'officier de police judiciaire et officier d'état civil, exercés sous la surveillance du procureur de la République. "

caroff

@ Robert Marchenoir 21h41
"Gendarmette, gendarmette, gendarmette. Mélanie Lemée, gendarmette. Gendarmette, Mélanie Lemée. Gendarmette, gendarmette, gendarmette. Mélanie Lemée est une gendarmette."

Ben Monsieur Marchenoir bat la breloque... il en bégaye le pauvre !
Peut-être une surdose d'hydrochloroquine ?

P.-S.: vous passez votre temps à aboyer sur les contributeurs qui n'emploient pas les termes qui conviennent: je me souviens que vous aviez fait la leçon à l'un d'entre nous car il avait, le malheureux, employé l'adjectif "étatsunien" !!
J'ai exprimé mon point de vue comme l'a également fait sbriglia (00h24) et il n'est point besoin d'en appeler à Poutine, Franco et Staline pour stigmatiser ceux qui pensent que le choix des mots n'est pas innocent.

Achille

On peut reprocher bien de choses à Robert Marchenoir, notamment sur le plan des idées, mais certainement pas d’être un « faux-cul » ainsi que le prétend sbriglia qui fut pendant longtemps son plus indéfectible soutien.
C’est un peu le problème de ces gens qui n’hésitent pas à renier leurs idoles à la moindre contrariété.

À noter également que l’inverse est vrai. C’est ainsi que dernièrement Marine Le Pen et ses fans trouvent soudain des vertus républicaines au Général alors que celui-ci a été traîné plus bas que terre par le fondateur de son parti qui le traitait de dictateur.
Ainsi en est-il de la nature humaine et sa versatilité.

Mary Preud'homme

@ sbriglia | 17 juillet 2020 à 00:24

Merci sbriglia.

Connaissant Alicia Champlon depuis son enfance, j'ai suivi l'affaire de bout en bout et assisté aux nombreux hommages qui lui ont été rendus.
Elle et sa collègue Audrey (mère de deux enfants qui avaient 6 ans et 13 ans à l'époque) ont été assassinées en service dans des conditions atroces.
Deux femmes qui aimaient leur métier, engagées et battantes et qui ne ménageaient pas leur peine.
Ce qui mérite le respect.

Idem pour Mélanie L à laquelle Teddy Riner lui-même a rendu un vibrant hommage, ainsi que plusieurs sportifs de haut niveau.

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@ Robert Marchenoir | 17 juillet 2020 à 05:24

Le gendarmet kabégiste repenti du blog dans ses œuvres logorrhéiques d'autosatisfaction massive !
Désopilant !

Robert Marchenoir

@ sbriglia | 17 juillet 2020 à 00:24

Je fais bien de ne pas rechercher les fans : leurs dilections sont versatiles. Et ils sont hypocrites, en plus. Vous me traitez de faux-cul, mais c'est vous qui m'insultez sans avoir le courage de me nommer. Il est loin, le temps où vous vous prétendiez mon plus fidèle lecteur...

C'est de vous être fait contredire sur saint Didier Raoult, qui vous rend boudeur à ce point ? Tenez, je reviens à notre affaire tantôt, mais auparavant, j'attire votre attention sur cette réfutation de l'étude de votre chouchou sur la chloroquine, qui vient d'être publiée par Frits Rosendaal, professeur d'épidémiologie clinique à l'université de Leyde. Dans l'International Journal of Antimicrobial Agents, la même revue scientifique où Raoult avait publié son étude en mars dernier. Revue dirigée par Philippe Gautret, co-signataire de celle-ci et employé de Raoult... ce qui n'est pas du tout un conflit d'intérêt, soit dit en passant ! Gilead a bon dos...

La réprobation de la communauté scientifique internationale, face à cette étude ni faite ni à faire, avait été telle, à l'époque, que la revue s'est sentie obligée de faire appel à un expert indépendant, afin d'en réaliser une analyse contradictoire.

C'est ce travail qu'elle vient enfin de publier, sous la plume de Frits Rosendaal. Son verdict est accablant.

Résumé : "Cette étude souffre de défauts méthodologiques majeurs, qui lui ôtent largement, sinon complètement, toute valeur informative. Le ton du rapport, qui présente l'étude comme prouvant l'efficacité de la chloroquine, et va même jusqu'à recommander son emploi, n'est pas seulement infondé ; étant donnée la demande désespérée pour un traitement, à l'époque, ajoutée aux effets secondaires potentiellement graves de l'hydroxychloroquine, il est résolument irresponsable."

Conclusion : "Il s'agit d'un manuscrit dénué de valeur informative, affecté de graves manquements méthodologiques. Les résultats de l'étude ne justifient pas les conclusions hardies du texte quant à l'efficacité de l'hydroxychloroquine contre le Covid-19. En fait, l'opinion de l'expert que je suis est que cette étude ne permet pas d'aboutir à quelque conclusion que ce soit."

Cela a été publié le 13 juillet, et ce n'est jamais que ce que je dis sur cette affaire depuis le début. De concert avec les scientifiques du monde entier. Je vous conseille de lire l'original de bout en bout. Si vous regardez bien, les constatations de l'auteur aboutissent à accuser Didier Raoult de fraude. Le mot n'est pas prononcé, mais c'est ce qui ressort clairement de ce qu'il écrit.

Ce ne serait pas la première fois. Didier Raoult a déjà été sanctionné pour ce motif par une revue scientifique américaine.

Pour une synthèse grand public de cette contre-expertise, ainsi que des commentaires d'autres scientifiques, voyez ici.

Maintenant que le terrain est déblayé sur l'hydroxychloroquine, venons-en au "racisme". Il est assez comique de vous voir rejoindre aussi tardivement les rangs des "anti-racistes" indignés, juste au moment où les émeutiers révolutionnaires des Black Lives Matters révèlent les véritables objectifs de cette idéologie subversive.

Vous écrivez de moi, sans me nommer :

"Et les mêmes qui nous saoulent de leur prose ségrégationniste sont les premiers à nous donner des leçons de maintien."

Les Français harcelés, insultés, menacés, volés, attaqués, blessés ou tués par la voyoucratie immigrée apprécieront d'être traités de ségrégationnistes. Ils apprécieront de voir qualifiée de ségrégationnisme la juste revendication d'être souverains en leur pays, de pouvoir décider quels étrangers sont admis à s'installer chez nous, de vivre en paix sur le territoire de leurs ancêtres, sans avoir à se faire couvrir d'ordure par je ne sais quel ancien avocat tentant de faire des effets de manche au détriment de la vérité.

Vous prétendez défendre la mémoire de Mélanie Lemée, qui doit d'avoir perdu la vie à l'immigration de masse qui nous envahit. Mais combattre l'idéologie "anti-raciste" qui justifie cette immigration, perpétue son existence et alimente la haine des envahisseurs à notre égard, cela est mal, cela est "ségrégationniste" !

Quant à votre indignation à propos du terme de "gendarmette" employé par Achille, et à votre participation à la meute grotesque lui cherchant noise à ce propos, oui, elle est ridicule. Ridicule, et déplacée.

Vous êtes un homme d'un certain âge, à ce que j'ai compris, et vous adoptez la bisounourserie la plus terminale des jeunots contemporains. Lesquels versent des torrents de larmes à l'occasion du décès de n'importe quel inconnu, pourvu qu'il ait été annoncé à la télé. Et prétendent interdire, de surcroît, à quiconque de parler librement à son sujet, sur Internet, sous prétexte "qu'on est en deuil", et "que ça ferait de la peine à la famille".

Qu'une jeune fille évaporée, élevée dans ce qui nous sert d'Éducation nationale, ne sache pas faire la différence entre son nombril et le reste du monde, c'est déjà suffisamment préoccupant. Mais si les vieux s'y mettent aussi, c'est vraiment la fin des haricots !

Gendarmette veut dire femme gendarme. Ni plus, ni moins. Ça commence à bien faire, ces petits flics auto-institués qui se mêlent de dicter à la cantonade ce qu'on a le droit de dire, à quel moment et au sujet de qui. Les kaguébistes de droite ne valent pas mieux que les kaguébistes de gauche.

À moins que vous ne veniez de vous fiancer avec Mary Preud'homme ?

Chemins de traverse

Le coq vient de chanter : il est cinq heures et la campagne s'éveille !
Quelle paix !

À constater que pour un vocable employé l'une est maltraitée et que le justicier continue à se justifier...
Encore un qui s'imagine grand avocat à quatre chiffres de l'heure ! et de surcroît plus féministe que les féministes...
Aux foudres, citoyennes ! il est encore de sortie. "V.R.S.".

sbriglia

Il y a cinq ans, deux femmes gendarmes étaient tuées à Collobrières dans le Var.

Je n’ai pas lu, à l’époque, que deux "gendarmettes" avaient été abattues froidement par un délinquant.

La condition féminine a donc, en cinq ans, évolué : on utilise désormais, pour ces femmes gendarmes, un diminutif...

...mais pas pour les hommes curieusement (on cherche, en vain, le diminutif de gendarme... pandore n’en est pas un...)

...que l’on qualifie d’affectueux pour le cas où l’usage du seul diminutif serait quelque peu réducteur.

Affectueux pour quelqu’un que l’on ne connaît pas !
L’affection, ici, a bon dos...

Et les mêmes qui nous saoulent de leur prose ségrégationniste sont les premiers à nous donner des leçons de maintien.
Les mêmes qui envoient le lance-flammes sur le style d’une commentatrice nous déplacent la cage à roulettes et hurlent à la police de la pensée.

Faux-cul, va !

Mary Preud'homme

@ Giuseppe | 16 juillet 2020 à 14:08

La chasse aux crapules n'entre pas dans les attributions de la police municipale... Renseignez-vous un minimum avant d'écrire ce genre de sottises ! Et si vous trouvez les policières municipales de votre bled trop grosses et mal attifées, adressez vos doléances à votre maire car c'est lui le patron de ces agents territoriaux qui n'ont rien à voir avec la police nationale ou la gendarmerie nationale.

Achille

Cela déborde !

Qui mieux que Claude Malhuret pouvait décrire la situation actuelle du pays.
Discours magnifique, plein d’humour et d’impertinence, mais aussi de sagesse en réponse au discours de politique générale du Premier ministre.

Bien sûr J-L Mélenchon, la CGT et les Verts en prennent pour leur grade. Mais quel régal !

Patrice Charoulet


MINISTRES

Quelques phrases, notées en lisant des livres, durant des lustres, sur les ministres :


Un vizir aux sultans fait toujours quelque ombrage.(Racine)
*
Que d'amis, que de parents naissent en une nuit au nouveau ministre ! (La Bruyère)
*
Il faut tenir le pot de chambre aux ministres tant qu'ils sont en place, et le leur verser sur la tête quand ils n'y sont plus. (Maréchal François de Villeroi)
*
Si les singes avaient le talent des perroquets, on en ferait volontiers des ministres. (Chamfort)
*
Un ministre n'a point de principes. (Chamfort)

*
Toutes les ambitions étaient éveillées, et chacun espérait devenir ministre : les orages font éclore les insectes. (Chateaubriand)
*
Les bévues des ministres coûtent cher. (Courier)
*
Avec la presse telle qu'elle est et le roi que nous avons, les ministres ne sont que des commis piloriés. (Hugo, 1847)
*
Ministre. Dernier terme de la gloire humaine. (Flaubert "Idées reçues")
*
Les ministres passent. (Léon Daudet)
*
Rien ne ressemble à un homme de gouvernement comme un homme de gouvernement. (Péguy, 1903)
*
Des ministres tarés et d'anciennes filles publiques étaient tenus pour des parangons de vertu. (Proust)
*
Tout ministre est saint Louis sous son chêne pour commencer, et Louis XIV dès qu'il le peut. (Alain)
*
Les ministres sont les mandataires de la Nation. (Alain, 1909)
*
Il y a toujours à faire dans un ministère qualifié de secondaire. (Georges Mandel, 1934)
*
Un ministre a mieux à faire qu'à parler. (Georges Mandel, 1934)
*
Les préfets sont des veaux, les ministres sont des veaux, l'Etat est servi par des veaux. (Charles de Gaulle, 1963, parlant à Alain Peyrefitte)
*
Vous n'êtes pas ministre des pieds-noirs, vous êtes ministre des rapatriés.
(Charles de Gaulle)
*
Vous êtes ministre de l'Agriculture, vous n'êtes pas ministre des agriculteurs. (Charles de Gaulle, 1964, s'adressant à Pisani)
*
(Christian Fouchet, ministre) Il n'est tout de même pas à ranger parmi les froides queues ni parmi les couilles molles. (Charles de Gaulle)
*
Monsieur le ministre des Affaires étrangères, ayez donc l'obligeance de bien vouloir cesser d'enfoncer des portes ouvertes en nous faisant croire que ce sont des arcs de triomphe. (Charles de Gaulle, s'adressant à Maurice Couve de Murville)
*
Il n'y a pas de pire infortune pour un peuple que d'être livré à des abouliques, à des incapables, à des idiots. (Mauriac, 1966, parlant des ministres d'alors)
*
Un ministère de la Condition féminine ? Et pourquoi pas un sous-secrétariat d'Etat au Tricot ? (Charles de Gaulle, 1967)
*
On nomme des secrétaires d'Etat aux Choux farcis. (Alexandre Sanguinetti, 1969)
*
Druon se réveille ministre de la Culture. C'est le Malraux de Pompidou.(Morand, 1973)
*
Un ministre, ça ferme sa gueule. Si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. (Chevènement)
*
Les quatre ministres communistes du gouvernement sont allés à l'école.
(Mitterrand, à San Francisco, 1984)
*
Notre ministre de l'Inculture, Jack Lang... (Jean-Edern Hallier, 1989)
*
Contrairement à ce qu'on croit et à ce qu'on dit sottement, la politique n'enferme pas ; elle ouvre. Il n y a rien de plus faux que de décrire les ministres enfermés dans leur tour d'ivoire. Enfermés dans les ennuis, oui. (Sarkozy, 1995)
*
Vous auriez été le maire du palais et moi, le roi fainéant. (Mitterrand, à Jacques Delors, qui aurait voulu être à la fois Premier ministre et ministre de l'Economie)
*
Un bon ministre des Affaires étrangères est d'abord un bon stylographe.
(Régis Debray, 1993)
*
Les cabinets ministériels regorgent d'énarques ? La belle affaire ! Ils ne font qu'exercer leur métier. (Nicolas Bazire, 1996)
*
On a sacrifié deux ministres non pas à l'intérêt général, non pas à l'opinion publique, mais à deux corporations. Ce n'est pas bien. (Raymond Barre,2000)
*
Un Premier ministre, ça se chahute. C'est là pour ça. (Chirac, 2001)
*
Quand on s'occupe des chômeurs, on (: Elisabeth Guigou) ne devrait pas s'habiller comme ça. (Bernard Kouchner, 2001)
*
Les fonctions gouvernementales obligent souvent à la schizophrénie. (Patrick Devedjian, 2001)
*
Dominique de Villepin (ministre des Affaires étrangères) fait tout, moi, je fais le reste. (Renaud Muselier, secrétaire d'Etat, 2002)
*
Les administrations restent, les ministres passent. (Thierry Wolton, 2003)

(Venant d'être nommé ministre de l'Economie) Je peux en sortir mort. (Sarkozy, 2004)
*
Nul n'est propriétaire de son ministère. (Michèle Alliot-Marie, 2004)
*
On n'est pas Premier ministre pour compter les jours. (Dominique de Villepin, 2006)
*
Être Premier ministre, c'est un sport dans lequel on est sûr de perdre.(Sarkozy, 2006)
*
J'ai été le ministre du développement durable le moins durable. (Alain Juppé, 2008)
*
Être ancien ministre, c'est s'asseoir à l'arrière d'une voiture et s'apercevoir qu'elle ne démarre pas. (François Goulard, 2012)

Achille

@ Robert Marchenoir | 16 juillet 2020 à 21:31
« Et ce sont les mêmes qui se plaignent qu'on "ne peut plus rien dire", que "les médias du système" imposent "la doxa en vigueur", que la vraie voix du vrai peuple est censurée par les "journaputes", et que Zemmour est persécuté par la justice pour avoir dit des trucs qu'il fallait pas ? »

Je pense que vous avez très bien résumé la situation !

Exilé

@ Isabelle
Ci-dessous, des cartes qui valent tous les discours.

En effet.
Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais la couleur grise est affectée au « secret statistique ».
Que cherche-t-on à nous cacher au juste et pourquoi ?
Bref, nous sommes dans une démocratie - n'est-ce pas ? - mais il est des choses que le peuple doit éviter de savoir, surtout en matière de démographie, il risquerait de faire la révolution dès demain matin.
Au vu de ces procédés, il faut bien reconnaître que ce peuple si décrié n'est pas non plus très aidé pour disposer des éléments lui permettant de voter correctement...

Robert Marchenoir

Gendarmette, gendarmette, gendarmette.

Mélanie Lemée, gendarmette. Gendarmette, Mélanie Lemée. Gendarmette, gendarmette, gendarmette. Mélanie Lemée est une gendarmette.

Zut alors. Qu'est-ce que c'est que tous ces pisse-froid qui se mettent à faire la police du vocabulaire ? On est où, là ? chez Salazar ? chez Staline ? chez Franco ? chez les colonels grecs ? chez Poutine ? chez Fidel Castro ? chez Gourbangouly Berdymoukhamedov ?

Et ce sont les mêmes qui se plaignent qu'on "ne peut plus rien dire", que "les médias du système" imposent "la doxa en vigueur", que la vraie voix du vrai peuple est censurée par les "journaputes", et que Zemmour est persécuté par la justice pour avoir dit des trucs qu'il fallait pas ?

C'est ça, le régime politique dont vous voulez ? Un régime où il faudrait se mettre au garde-à-vous devant tout ce qui porte l'uniforme, et où une meute de consternants donneurs de leçons se disputerait pour faire la morale sur trois mètres de commentaires de blog, sous prétexte que quelqu'un a utilisé un diminutif affectueux pour parler de quelqu'un que personne ne connaissait, ici, et qui vient de mourir ?

boureau

Taxe d'habitation

Encore une promesse de Macron qui saute.

Les 20 % de Français les plus riiiiiiches ne seront pas exonérés de cette taxe d'habitation. Les promesses n'engagent que ceux...

Cela permettra d'augmenter les cadeaux aux nouveaux venus : le repas à 1€ pour les étudiants (sic) étrangers (re-sic) ou par exemple l'augmentation de 100€ pour la rentrée scolaire pour chaque enfant de Farida !

Les b*isés comptez-vous !

Cordialement.

Lodi

@ sylvain
"La féminisation a dévalorisé tous ces métiers"

Je pense plutôt que si les femmes peuvent exercer certains métiers, c'est qu'elles se battent pour cela mais aussi parce que les hommes de pouvoir sentent qu'il y en a moins dans les secteurs en question et qu'ils les abandonnent comme toutes les personnes sentant les secteurs peu porteurs sur le marché.

Qu'on soit un homme ou une femme, il ne faut jamais oublier qu'on a le pouvoir. Dans ce cas, les autres ne l'oublient pas... Il ne faut pas être du genre à dire qu'on est le chef pour un rien, ce qui en fait douter, ou dire le contraire pour se faire bien voir.
Poubelle.
On ne parle que pour dire du mal des gens ou dire du bien de l'amour... C'est idiot, il y en aurait à dire bien d'autres choses, par exemple sur le pouvoir. Pas juste comment le conquérir et comment ne pas le perdre, l'accroître, non, le célébrer au même titre que la beauté.
Ce qu'on ressent, ce qu'il permet. Sans connotation morale... Non que ce soit sans intérêt mais on en a beaucoup parlé. Je veux bien qu'on plaigne les victimes du pouvoir, ceux qui le subissent et ceux qui l'exercent s'ils ne l'ont pas choisi, cas rare, ou s'ils sont dépassés, cas fréquent, mais exercer le pouvoir c'est exercer...

...une maîtrise sur les autres et sur soi comparable à celle d'un grand maître des échecs gagnant plusieurs parties à la fois. La tension et la détente du fauve en chasse.
L'art royal.

Robert

@ Achille | 16 juillet 2020 à 07:45

Je n'ai que faire de vos leçons, surtout en matière de courage intellectuel. Pour qui me connaît, votre propos ne peut que faire sourire !
Quant au choix de passer par un autre commentaire, cela évite simplement une redite, mais cette simplicité semble vous échapper : vous ne pouvez vous empêcher de croire au complot contre vous. Évitez de jouer les commentateurs martyrs de ce blog.

Exilé

...les mineurs d'aujourd'hui n'ont plus rien à voir avec ceux de l'ordonnance de 1945...

Il faut aussi noter que l'âge de la puberté a baissé, pour des raisons encore mal expliquées (perturbateurs endocriniens ?).
Par ailleurs, il dépend aussi d'autres facteurs, comme une étude l'a montré à Madagascar, tels que les origines sociales, ethniques et géographiques.

https://www.persee.fr/doc/bmsap_0037-8984_1993_num_5_1_2347

Giuseppe

Quand je vois ces policières municipales - souvent - au minimum en surpoids, obèses au sens médical... C'est dur à dire mais c'est un fait, les crapules sont agiles, il faut les mêmes en face, et ensuite les protéger, recruter les meilleurs comme sur un stade, ceux qui ont la foi, qui rêvent d'en être comme on peut rêver d'être pompier, mais pour faire la chasse aux crapules. Surtout en prendre soin de ces gardiens du troupeau, loin des polémiques stériles, un ministre qui les couve, les élève.

Le cuisinier éducateur d'un centre de la dernière chance - de vraies crapules jeunes -, boxeur amateur, a remis au pas un délinquant avec un "niveau de réponse approprié", pas d'esbroufe juste ce qu'il fallait pour le remettre en ordre de marche et la direction qui suivait, pas de chichis, pas de plainte, l'éducation rude ou l'échec et la case prison.

Il faut des plaqueurs, ne pas se mentir, les queues de cheval qui passent sous une casquette, et un physique nourri aux barres chocolatées n'ont rien à faire dans un corps qui est chargé de garder le troupeau, il faut du physique, du lucide et du brutal, le reste est littérature.
"Un sur cent sera récupéré, dernièrement nous avons eu un carreleur...", le reste c'est irrémédiable et le déchet gigantesque malgré tous les efforts fournis, toute l'énergie déployée, tout les sentiments investis et jetés aux orties.

Avez-vous vu comment agit un chien de montagne, il fait fuir même les loups, mon grand-oncle recruté dans l'escorte royale d'un dernier roi d'Espagne accusait ses 1,90 m sous la toise, pas une demi-portion obèse pour courir derrière les délinquants.
Ils étaient tous triés sur le volet et la demande était pléthorique, ils n'avaient peur de rien.

Jamais un pompier à son époque n'aurait reçu une balle, l'occasion aurait été trop belle le nettoyage immédiat pour servir d'exemple, et le politique au service de ce salut public.

Un ancien du RAID disait qu'il était un peu tard, que les barrières étaient tombées... Il paraissait bien désabusé, rien n'est perdu, mais "the right man in the right place" est plus que jamais d'actualité.

Quelle tristesse, des lutteurs, des sauteurs d'obstacle, des gardiens de troupeaux habitués et un berger pour les soutenir et les guider.
Des sans peur et sans reproche, et vous aurez des corps d'élite pas des fonctionnaires qui le vendredi ont terminé leur mission de police.

Et le reste de le nuit et de la semaine ? "When the cat is away the mice will lay"... Pas de miracles, du muscle, du solide, du ruck viril mais correct et de temps à autre le nettoyeur haute-pression 24H/24H, on doit pouvoir manger par terre à même le sol.

Isabelle

Merci mille fois à Patrice Quarteron. Quand l'intelligence parle enfin.

"Patrice Quarteron met KO les professionnels de l’indignation sélective"

"Le sportif s’étonne que des indignés professionnels comme Yannick Noah ou Camélia Jordana ne disent rien pour la gendarme Mélanie Lemée ou le chauffeur de Bayonne…"

https://www.causeur.fr/patrice-quarteron-racisme-anti-blanc-179228

Isabelle

@ Exilé
"Comment ne pas reconnaître que le chaos qui ne fait que croître en France est en grande partie une conséquence d'une forme d'invasion faussement « douce » par des gens qui ne lui veulent pas que du bien, ce qui conduit à une parcellisation de notre pays en enclaves étrangères en « peau de léopard » qui ne fait que s'étendre ?"

Ci-dessous, des cartes qui valent tous les discours. Un pays fracturé, un pays envahi par les islamistes, les Frères musulmans salafistes, les mosquées, les musulmans... Nous devrions discuter de la théorie de l'évolution mais nous sommes englués dans une religion barbare, misogyne, phallocrate et rétrograde.

Mohamed Louizi qui sait de quoi il parle nous alerte comme tant d'autres, depuis de nombreuses années, en vain...

Si les "bisounours", les soi-disant "bien-pensants" et le fan-club de la macronie n'aiment pas les faits concrets, qu'ils regardent les cartes de géographie... Ils comprendront peut-être ce qui est en jeu. Mais j'en doute !
Les autruches aiment rester la tête dans le sable en attendant de se faire méchamment plumer.

http://www.fdesouche.com/1399869-evolution-de-la-part-de-population-dorigine-extra-europeenne-chez-les-0-18-ans-dans-les-grandes-villes-francaises-chiffres-officiels

Exilé

Si l'indulgence ne me paraît pas un sentiment choquant à l'égard de ministres qui sont forcément dépassés par le flot divers et contrasté de ce qui accable notre pays...

Indulgence, indulgence...

Ces gens-là n'ont pas été forcés d'accepter ces postes le couteau sous la gorge, ils devaient bien savoir à quoi ils devaient s'attendre - dans le cas contraire c'est plutôt grave - qui plus est ils se sont même présentés comme ayant par ce fait des solutions à proposer, non ?

Alors exécution, et ils reviendront nous voir à la fin de leur exercice pour solliciter notre indulgence, du moins si tout ne part pas en vrille...

Mary Preud'homme

Il faut être bien dans sa peau pour accepter la controverse, reconnaître ses torts, ses erreurs de jugement et se remettre en question chaque fois que c'est nécessaire.

Or ce n'est pas le cas d'Achille qui préfère se raidir, prêter à l'autre ses propres défauts, ici l'hypocrisie et la mesquinerie, et mordre hargneusement les mollets de qui ose lui pointer ses fautes. Sans compter ses attaques ad hominem où il m'invente une parentèle à ras des pâquerettes afin de me ridiculiser. Pauvre garçon, s'il savait à quel point son système de défense est pitoyable et méprisable !

Pat ailleurs, il y a quelques jours j'ai rencontré les parents d'Alicia C, l'une des deux gendarmes assassinées en 2012 et ils me confiaient combien chaque nouveau drame ravivait leur propre chagrin.
Et qui aurait envie de qualifier la fille défunte de ces personnes, à l'époque adjudante de gendarmerie, de gendarmette, sauf à être un parfait goujat et pauvre type ?


Alpi

Ce blog est vraiment un lieu de haute tenue et d'un niveau de réflexion inouï : on s'y écharpe pour savoir s'il est convenable d'utiliser le vocable "gendarmette" pour désigner la malheureuse victime féminine appartenant au corps de la gendarmerie, tuée par un salopard au volant. Édifiant.

Chapeau les artistes !
Si j'étais Philippe Bilger (mais je n'ai pas cette prétention), je serais fier de vous.

caroff

@ Achille 7h45
"Non, je suis le seul sur ce blog à avoir utilisé le mot « gendarmette »"

L'emploi de cette dénomination renvoie au film tourné en 1982 par Jean Girault "Le gendarme et les gendarmettes" avec, bien entendu, Louis de Funès comme acteur-vedette.
Ce vocable se veut humoristique et s'emploie parfois avec une once de dérision qui ne convient pas dans le contexte d'une gendarme tuée dans l'exercice de ses fonctions.

sylvain

Scandaleux !

Les policiers mis en examen dans l'affaire de la mort de Cédric Chouviat.

Si ce livreur n'était pas revenu provoquer, narguer et faire le clown devant les policiers, il serait toujours en vie.

Chouviat est seul responsable du déroulement des faits et de sa mort.

Terminé !

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