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"Moi j'ai croisé un extraterrestre ce matin, tout vert (pas comme elle) il a eu peur dès que j'ai dit "Ségolène" et il est remonté dans sa soucoupe volante et il est parti à la vitesse de la lumière." (Anonyme de la Toile)
Rédigé par : Giuseppe | 24 juillet 2020 à 14:03
"Ségolène Royal n'a qu'un seul défaut, c'est son compagnon".
(Arnaud Montebourg en 2007).
Autrement dit le boulet c'était lui et non elle...
À voir le bilan calamiteux de Hollande, on peut donc raisonnablement s'interroger et se demander si Ségo aurait pu faire pire ?
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 juillet 2020 à 13:57
@ sbriglia
"MBS prend suffisamment la parole, même après avoir fait assassiner Khashoggi…"
C'était pas Khashoggi le criminel ? Celui qui ose devenir journaliste américain avec les salaces secrets saoudiens en bandoulière ?
Encore un criminel qu'on a fait taire, de mon point de vue...
"Poutine prend suffisamment la parole après avoir fait exécuter ses opposants…"
Mais ce sont ses opposants qui sont des criminels !
"Cherchez un peu en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient... ça pullule les exemples !"
Ou en Amérique avec Snowden. Il y a des sujets un peu plus sérieux que de jouer au Chevalier blanc en mettant Poutine et autres conducators en accusation aussi facilement. D'autant plus que juger une dictature, cela doit se faire honnêtement et pas uniquement au moyen d'invectives. Le cas de la Biélorussie est d'ailleurs assez éclairant: clairement un Etat autoritaire, sa situation est un peu plus complexe et son bilan autocratique n'est pas uniformément mauvais. À titre d'exemple, coronavirus excepté, son système médical ne semble pas être un échec pour une dictature qui ne se soucierait pas de son peuple.
Il est toujours possible de pratiquer une forme d'onanisme pusillanime et dénué d'efficacité en accablant Loukachenko du vocable de criminel. Ce ne serait pas faux. Mais s'y complaire en oubliant que la thématique essentielle qui fait de Loukachenko un criminel est justement le fait qu'il fait taire les gens me semble difficilement relever de l'honnêteté. Et c'est justement parce qu'on devient un criminel officiel assez facilement dans ce type de contexte qu'il est important de défendre la liberté d'expression des criminels. Même chez nous, la liberté d'expression des détenus, c'est pas folichon...
Je vous cite le document en lien: "Pourtant l'administration pénitentiaire refuse, dans la plupart des cas, les demandes d'interview de personnes détenues formulées par les journalistes." Et je vous conseille d'admirer la réponse de la ministre, chef-d'oeuvre de l'intemporel art du faux-cul. Je suis donc d'accord avec vous sur un point précis: nous avons bien des leçons à donner à Poutine. Il a encore beaucoup à apprendre.
Rédigé par : F68.10 | 24 juillet 2020 à 13:51
"En Arabie Saoudite, qui est le pays avec le plus fort taux de décapitations par tête d'habitants, si je puis me permettre l'expression, je ne suis pas certain qu'on laisse les criminels exposer leurs points de vue." (F68.10)
Bien sûr que si !
MBS prend suffisamment la parole, même après avoir fait assassiner Khashoggi…
Poutine prend suffisamment la parole après avoir fait exécuter ses opposants…
Cherchez un peu en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient... ça pullule les exemples !
Rédigé par : [email protected] | 24 juillet 2020 à 10:53
@ Lucile | 23 juillet 2020 à 10:51
"Cela me fait sourire que vous disiez que Ségolène Royal n'étant pas au niveau de son compagnon, elle aurait dû 'rester à sa place'."
Vous ne devriez pas. Ségolène Royal est manifestement atteinte du syndrome de la surestimation de soi (ou effet Dunning-Kruger). C'en est d'ailleurs pathétique. Les politiciens ont tous des ego gros comme des camions, mais lorsqu'elle passe son temps à se plaindre, comme elle le fait, qu'elle n'a pas obtenu l'éminente place qu'elle méritait (j'ai pourtant fait l'ENA, gna-gna, j'ai été finaliste de la présidentielle, gna-gna), cela prouve qu'elle ne la méritait pas.
En politique, on ne vous attribue pas la place que vous méritez : vous l'arrachez, ou pas.
À chaque fois qu'elle a raté un truc, ou fait une sottise, elle prétend qu'on la critique parce qu'elle est une femme. C'est tellement systématique que c'en est ridicule.
"Intellectuellement elle n'a rien à lui envier."
Vous rigolez ? Même Marine Le Pen, qui n'est pourtant pas une lumière, ne s'est jamais donné le ridicule de chouiner : mais, euh, pourquoi je suis pas présidente, euh, c'est pas juste, euh. Elle prétend que son parti et ses idées sont persécutés par le système (euh), ce en quoi elle n'a pas tort -- et, au moins, elle ne nous casse pas les pieds avec ses prétendus mérites personnels qui ne seraient pas reconnus.
Vous remarquerez aussi que Marine Le Pen n'a jamais joué la carte de la fâmeuh, qui est persécutée par ces méchants hommes. Elle aurait pu, pourtant. Parce que pour être persécutée, elle l'a été. En plus, ce n'est pas franchement Miss France, donc elle aurait aussi pu jouer cette carte-là.
La preuve que François Hollande vaut mieux que Ségolène Royal, c'est que lui a été élu président de la République, et pas elle. À un moment, quand on prétend faire de la politique, c'est le résultat qui compte.
Hollande, malgré ses immenses défauts, ne s'est jamais donné le ridicule de continuer à foncer dans le mur en klaxonnant, même quand on lui disait : euh... vieux... y'a un mur, là.
Ségolène s'encastre dans le mur, et affirme : le mur est sexiste.
"Elle a plus de caractère que lui."
Vous voulez dire : elle est plus casse-pieds.
"Elle s'exprime mieux que lui."
J'ai rien vu.
"Son sens des responsabilités, du moins familiales, est largement plus élevé."
On n'élit pas une "mère de famille". On élit un homme politique. Margaret Thatcher était une assez mauvaise mère de famille. On s'en tape.
Après, les qualités de mère de famille de Ségolène Royal, c'est elle qui en parle. Je demande à voir. Si c'est comme ses résultats en matière d'écologie ou d'ordre juste, ça doit pas être terrible.
Et puis c'est malhonnête. Sa réponse à Philippe Bilger, lui disant "je suis une mère de famille" alors qu'il lui demandait de se présenter, est indécente. Comme le faisait remarquer je ne sais plus qui ici, Philippe Bilger ne l'a pas invitée parce qu'elle est mère de famille. Il l'a invitée parce qu'elle est une femme politique. Mais elle joue sur les deux tableaux. Un coup je mérite la présidence de la République, un coup je suis une fâmeuh, et ma plus belle œuvre, c'est ma famille. Ben... dans ce cas-là... on va choisir quelqu'un qui donne la priorité à la politique et à la France, okay ?
Au demeurant, réduire la femme à son rôle de mère de famille, je trouve ça odieusement sexiste et patriarcal. Voyez, côté intelligence, ça branle un peu dans le manche, tout de même.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 23 juillet 2020 à 20:44
@ Julien WEINZAEPFLEN | 22 juillet 2020 à 03:59
"D'un côté elle a trouvé des concepts qui ont fait date comme "l'ordre juste" qui mettait le liant de la fermeté dans sa société matricielle, et de l'autre ces concepts portaient déjà la marque de l'adjectif contredisant le nom commun qu'il qualifiait, et surtout appartenaient à une langue tellement étrange qu'ils paraissaient de la bouillie pour les chats."
Je suis tout à fait d'accord avec l'ensemble de votre propos très ajusté.
Juste une remarque - mais vous qui êtes un littéraire cultivé devrait le retrouver.
"L'ordre juste" est mis je pense dans la bouche de Cimourdain par Victor Hugo dans son dernier roman "Quatrevingt-treize".
Bon, drôle de personnage SR... Elle aurait mis la France à sac, me semble-t-il.
Elle a usé bon nombre de collaborateurs et fait fuir beaucoup d'autres. Cimourdain à la fin, aller jusqu'au bout pour éliminer le plus beau qui soit.
Rédigé par : Giuseppe | 23 juillet 2020 à 16:13
Toute la France savait (euh ! sauf un village d'irréductibles) que F. Hollande pendant la campagne électorale de 2007, fréquentait Madame Merci pour ce moment... journaliste à Paris Match qui se devait de parler de S. Royal en pleine campagne électorale...
Je m'arrête là.
Rédigé par : Chemin de traverse | 23 juillet 2020 à 13:51
@ sbriglia
"Oui... c'est même aussi le déshonneur des dictatures..."
Aux Etats-Unis, des journalistes ont l'habitude d'interviewer des criminels. C'est une activité normale. Ted Bundy par exemple.
En Arabie Saoudite, qui est le pays avec le plus fort taux de décapitations par tête d'habitants, si je puis me permettre l'expression, je ne suis pas certain qu'on laisse les criminels exposer leurs points de vue.
Vous percevez la nuance ?
Rédigé par : F68.10 | 23 juillet 2020 à 13:17
"C'est l'honneur d'une démocratie que de donner la parole aux criminels."
Rédigé par : F68.10 | 22 juillet 2020 à 17:21
Oui... c'est même aussi le déshonneur des dictatures...
Rédigé par : [email protected] | 23 juillet 2020 à 11:41
@ Robert Marchenoir
Cela me fait sourire que vous disiez que Ségolène Royal n'étant pas au niveau de son compagnon, elle aurait dû "rester à sa place".
Intellectuellement elle n'a rien à lui envier. Elle a plus de caractère que lui, elle s'exprime mieux que lui, et son sens des responsabilités, du moins familiales, est largement plus élevé. Leur vision du socialisme est différente sur certains points, mais de là à dire qu'elle aurait dû laisser la politique à Hollande et tenir une pharmacie, la boutade sera appréciée des pharmaciens.
Elle présidente, je pense qu'au moins la fonction aurait été assumée avec plus de tenue ; les baisers sur l'estrade au son de la Vie en rose, les scènes de ménage à la Lanterne et les livraisons clandestines de croissants chauds rue du Cirque nous auraient été épargnés. Pour le reste, ces deux ennemis de la finance ont tous deux besoin de beaucoup d'argent ; ils engloutissent des sommes qu'ils empruntent, et n'ont sans doute toujours pas compris que les Français payent leurs impôts à la sueur de leur front.
Il est vrai que François Hollande a lancé Emmanuel Macron, mais le jeune énarque qui admirait Obama plaisait aussi à Ségolène Royal, qui elle, se pensait l'inspiratrice d'Obama.
Hollande surtout aurait dû rester à sa place.
Rédigé par : Lucile | 23 juillet 2020 à 10:51
@ Claggart
"Vraiment cette entrevue déshonore ce blog."
Je ne trouve pas. Même plutôt le contraire. Et pour tout vous dire, j'aimerais bien que Monsieur Bilger interviewe sur son blog des criminels qu'il a condamnés ; et aussi qu'il a fait libérer (un en particulier, un "pote" à Mesrine, François Besse).
C'est l'honneur d'une démocratie que de donner la parole aux criminels. Comme aux States. Cela ne signifie en rien qu'on ait l'obligation d'être d'accord avec eux. Faut pas tout confondre...
Rédigé par : F68.10 | 22 juillet 2020 à 17:21
Après avoir lu cet article de l'Express sur l'enfance et la jeunesse de Ségolène Royal, je comprends mieux qui elle est. Son féminisme bovin s'explique, de même que s'explique cette extraordinaire réponse à la question rituelle "Auriez-vous l'amabilité de vous présenter ?" : je suis une mère de famille, et mes enfants vont bien.
De même, je crois comprendre pourquoi Philippe Bilger lui a si ostensiblement donné du "Madame la présidente".
D'accord. Elle a des excuses. C'est le malheur de la France, toutefois, qu'elle ait rencontré François Hollande, que ce dernier ait fait savoir à Jacques Attali, qui l'avait repéré, qu'il fallait aussi prendre sa fiancée, que cette dernière n'ait pas eu la finesse de comprendre qu'elle n'était pas au niveau de son compagnon et qu'elle devait rester à sa place, que ce dernier l'ait quittée, et finalement qu'elle ait réalisé son émancipation par la politique, alors qu'elle aurait sans doute fait une bonne pharmacienne -- ou n'importe quel autre métier utile.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 22 juillet 2020 à 16:00
Quelque chose m'a toujours étonné chez Ségolène Royal, c'est la synthèse hybride que sa personnalité constitue.
D'un côté, elle "observe la France" et elle la ressent ; et de l'autre, tout son discours est un concentré du gloubi-boulga idéologique qui s'étire du féminisme, dans son cas victimaire, à l'écologie, et qui ne peut pas bâtir un modèle de société, tant c'est un anti-modèle, un modèle sans incarnation.
Et à peine ai-je écrit cela que je dois ajouter: "Pourtant elle avait raison de proposer une nation matricielle" intégratrice et acceptant d'être métissée, où les adoptants et les adoptés s'accepteraient mutuellement et changeraient ensemble la matrice. Comme elle le dit dès le début de l'entretien, c'est une "mère de famille" soucieuse de "garder les enfants" comme la moquait Laurent Fabius.
D'un côté elle parle vrai et de l'autre elle parle faux. Ce "parler faux" est même la raison pour laquelle elle a perdu l'élection présidentielle de 2007 selon Carla Bruni que je suis dans son analyse.
Son parler faux vient de ce qu'elle a fait une "révolution sémantique" où ses trouvailles ont été moins foudroyantes que bourdoyantes, comme cette "bravitude" sur laquelle elle revient, qu'elle aurait dénichée aux tréfonds de l'ancien français et qu'elle continue de défendre, alors que la poésie de ce faux néologisme a fait rire tout le monde et échappé à tous ses auditeurs, elle exceptée qui l'a proféré, et il la fait encore frémir comme une saillie de Christiane Taubira.
Et d'un autre côté sa révolution sémantique est de la plus parfaite "novlangue": le "reste-à-vivre" pour les fins de mois, "la vie chère" pour le pouvoir d'achat et la "démocratie participative" pour le mélange indigeste entre la démocratie représentative et la démocratie directe, pour ne prendre que les trois exemples qui me viennent, mais tout est à l'avenant.
D'un côté elle a trouvé des concepts qui ont fait date comme "l'ordre juste" qui mettait le liant de la fermeté dans sa société matricielle, et de l'autre ces concepts portaient déjà la marque de l'adjectif contredisant le nom commun qu'il qualifiait, et surtout appartenaient à une langue tellement étrange qu'ils paraissaient de la bouillie pour les chats.
En 2007, elle parlait interminablement, autre point commun qu'elle partage avec Emmanuel Macron, et je me souviens de m'être souvent dit: "Comme elle nous saoule, comme elle est assommante, soporifique." Et pourtant j'aimais l'entendre.
J'ai voté pour elle aux deux tours en 2007 et je crois ne l'avoir jamais regretté. Il est possible que la France serait devenue une puissance écologique avant l'heure, moins probable que le problème de la démographie en Afrique ait été réglé, mais Ségolène aurait été plus climatiquement correcte et moins clivante que Nicolas Sarkozy. L'atmosphère de la société française aurait été plus respirable. Et pourtant Nicolas Sarkozy était plus compétent.
D'un côté elle dit que "dans la politique, il n'y a rien à prendre et tout à donner", ce qui est réellement beau et certainement sincère. Et de l'autre, elle ne peut s'empêcher d'être ambitieuse et candidate à tout.
Si l'occasion se représentait en 2022 ? D'un côté elle a raison de dire que d'avoir été finaliste de l'élection présidentielle vous installe de manière structurelle dans la vie politique et de l'autre que les Français n'attendent plus rien de la politique, et n'attendent plus personne, constat désespéré qu'elle fait comme en passant et qui est alarmant. Si l'occasion se représentait, d'un côté elle se voudrait fédérative et de l'autre, elle a son âge et la classe politique s'est dotée dans tous les partis de jeunes loups dont les dents rayent le parquet d'une manière différente de celle de Ségolène et de François Hollande, ce couple dont les affaires privées avaient accaparé le parti socialiste, comme s'en plaignait assez inélégamment le flamboyant Arnaud Montebourg.
François Bousquet n'avait pas tort d'analyser en 2007 que Ségolène Royal et que François Hollande, c'étaient un peu les élèves du fond de la classe qui pouvaient être brillants sans être bons, mais qui nous arrêtaient, car ils nous ressemblaient. Ils ressemblaient à la médiocrité de leurs compatriotes que nous étions. Et pourtant elle se prend pour l'une de ces "femmes charismatiques qui changent le cours de l'histoire", comme Barack Obama qu'elle assure (pas dans cet entretien) avoir inspiré avec sa plateforme "Désir d'avenir".
D'un côté Ségolène dénonce les "élites administratives" et de l'autre, cette façon de s'envisager candidate à vie en étant fière de son bilan sans avoir fait grand-chose est comme un comble d'arrogance. Et pourtant si elle se représentait, je ne serais pas mécontent et je pourrais voter pour elle. Car Ségolène est un moindre mal qui pourrait faire du bien.
Rédigé par : Julien WEINZAEPFLEN | 22 juillet 2020 à 03:59
Je m'étonne vraiment, cher Monsieur, je suis même abasourdi, que vous, homme de loi, ayez reçu cette dame au passé plus que douteux ; il faut rappeler au peuple deux affaires :
- sa condamnation par les prud'hommes pour des salaires impayés à ses collaborateurs.
- ses propos lors de l’affaire d'un enseignant injustement accusé d'agression par un élève, qui s'est par la suite rétracté ; cet enseignant s'est suicidé. La Royal, alors ministre de l'Enseignement, avait affirmé solennellement, je dirais plutôt stupidement, "un enfant ne ment jamais".
Vraiment cette entrevue déshonore ce blog.
Rédigé par : Claggart | 21 juillet 2020 à 19:43
L'organe est important, le physique et la voix donc - quand aujourd'hui tout est décortiqué et scruté - font partie d'une panoplie indispensable.
Bach est le plus grand compositeur de tous les temps, il a tout inventé, tout le monde a copié, au moins pour tous ceux qui lui ont succédé...
Bach éternel.
Ah oui ! Je m'éloigne, la voix de SR est catastrophique, catastrophique ! Elle hérisse le poil comme lorsque la pointe raye le verre ou que vous traînez un gravier sur un sol carrelé Buchtal (https://www.agrob-buchtal.de/fr/) ; attitude physique moquée et si bien imitée par Canteloup, être imitateur c'est avoir la "feuille" quand vous ne possédez pas le solfège.
Darmanin pour les sous de l'Etat cela passe, un billet de banque n'a pas besoin de parler, pour l'Intérieur il n'a ni le physique - juvénile et manque flagrant de pectoraux -, et encore moins la voix, petite bouche aux lèvres étriquées, il n'a pas la bonne anche pour son organe et l'instrument avec lequel il doit communiquer, d'ailleurs quand il s'exprime il parle avec un seul côté de l'anche.
Il n'est pas à sa place, il lui manque le volume, et l'organe, l'instrument adapté à l'écoute d'un public qui demande la rigueur.
Marlène Schiappa c'est pareil, la pire de tous sans doute... Elle cumule les deux, SR et Darmanin, sauf qu'elle a le physique du percheron et la voix d'une flûte désaccordée.
Notre hôte a un timbre particulier, comme Castex, le rythme aussi, dérangeant au début, mais adapté l'un et l'autre à un physique qui ressemble à la voix - ce serait un peu long à expliquer -, ce qui est sûr c'est que pour Castex c'est une arme à venir, pour notre hôte c'est le langage de la radio, il faut se rappeler les commentateurs du Tour de France de l'époque.
Pour les deux derniers ils font partie des mentonnières d'un instrument de concert, le bayan, plus souple et adopté dans tous les conservatoires à l'étude de Bach, le timbre et le rythme des plus grands.
Supérieur au piano pour les possibilités, mais encore trop confidentiel.
Pour finir et ne pas encombrer ce billet je me suis toujours interrogé sur le succès d'Isabelle Huppert - il est vrai auprès d'un public de bobos, Glenn Gould aurait cassé son piano, Alexander Hrustevich ses mentonnières:
https://youtu.be/SzA8O-aTOTQ
Castex a le physique de l'emploi et l'organe, mais le chef d'orchestre lui laissera-t-il le champ de l'interprétation ?
Allez, pour finir, quand tout est au rendez-vous :
https://youtu.be/fHc_KebWVag
Rédigé par : Giuseppe | 21 juillet 2020 à 13:47
@ Catherine JABOB 19 juillet 2020 15 :27
« 3e larron potentiel »...
Je ne suis pas sûr que ce terme soit le meilleur sous votre plume pour désigner Madame Royal à qui, d’évidence, vous accordez votre haute considération. De mémoire, le premier est le bon larron, le deuxième le mauvais - les cathos s’arrêtent là - et le troisième est le pire parce qu’il profite de manière malveillante des désaccords des deux autres...
Madame Royal, tiens, voilà qui lui va bien. C’était ainsi qu’on appelait Marie-Thérèse de France, la fille aînée de Louis XVI et de Marie-Antoinette, qui avait échappé de peu à la guillotine. Elle a passé sa vie à courir de cour en cour pour récolter des honneurs et n’a laissé dans l’Histoire qu’une maigre trace, même si Napoléon, son ennemi, lui avait décerné le titre de « seul homme de la famille des Bourbon »... Un trait de caractère que certains prêtent aussi à Ségo...
La mère de « Madame », elle, l’avait surnommée Mousseline-la-Sérieuse... Là, ça ne colle plus : notre impératrice des pingouins n’est ni onctueuse, ni sérieuse.
D’accord, cette plaisanterie aux dépens de votre idole est injuste. Mais vous ne pouvez pas dire de même du point de vue que j’exprime dans mon commentaire du 18 juillet 20:05. Les faits et méfaits que j’y expose sont tous aisément contrôlables.
Rédigé par : Serge HIREL | 21 juillet 2020 à 10:58
SR a bénéficié du souffle d'un PS qui était en haut de la vague, son culot habituel a fait le reste, les Eléphants n'étaient que des grenouilles.
Partout où elle est passée des bilans financiers catastrophiques, le peuple au dernier moment a eu quand même un peu peur d'une femme, un peu misogyne à l'époque sans doute.
À part avoir occupé des maroquins comme on fait ses courses au marché, qu'a-t-elle donc produit ? Impôts à gogo, voiture électrique mort-née et le sommet, le pompon de la gabegie, jeter à la ferraille au prix de la casse, 1,2 milliard de portiques.
Elle l'écolo badigeonnée de vert aurait dû alerter, plus fort que Buzyn puisqu'elle faisait partie du gouvernement.
Rien ne l'écorche, avec l'argent des autres les dépenses sont incalculables disait le défunt Cruchade.
Pour le reste n'ayant pas inventé les courants de Foucault, le fil à couper le beurre elle aurait pu.
https://youtu.be/I177Kfv7R-w
Avignon et La Rochelle n'en ont pas voulu, mais toujours à faire croire qu'elle fait partie des indispensables, de Jadot à Faure qui la rejettent, il ne lui reste plus que son parti pour faire peur. Un peu comme les radicaux de gauche qui pouvaient tenir une assemblée dans une cabine téléphonique chère au Volatile.
Rédigé par : Giuseppe | 21 juillet 2020 à 10:01
@ caroff 20 juillet 2020 20:30
Ségolène Royal : forte personnalité.
J'ai précisé, sans ambiguïté, ma position par rapport à Ségolène Royal.
Ceci étant, pour arriver à être au deuxième tour face à Sarkozy, après avoir déjoué les innombrables pièges de ses compagnons du PS, il faut de la ténacité.
Elle a bien des défauts certes, mais mon analyse est politique, en ce sens que je ne la juge pas, j'essaie d'estimer ses chances pour l'avenir au moment où nous parlons. Elle a de solides partisans parmi les Français. Pour l'instant, elle manque de structures. Ça se construit... peut-être !
Je ne voterai pas pour elle. Mais je reconnais que c'est une personnalité. Evidemment ce n'est pas Thatcher ! Mais elle fait partie des quelques femmes politiques de caractère et de... culot en France et elles ne sont pas légion.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 20 juillet 2020 à 22:54
@ Savonarole
Cher Savonarole,
Vous êtes excédé de voir des intervenants dans les débats TV, qui seraient "profs à Sciences Po" ou "du CNRS". Je comprends un peu votre irritation. Et le Martin-Genier dont vous parlez est spécialement ectoplasmique.
Moi qui suis friand de débats (CNews ou LCI pour l'essentiel), ce que je ne supporte absolument pas c'est le titre, généralement usurpé, "éditorialiste".
Après tout, vos CNRS et vos Sciences Po sont de là. Mais Patrice Duhamel, éditorialiste, Gérard Miller, éditorialiste, Eric Decouty, éditorialiste, et vingt autres, où peut-on lire leurs éditoriaux ? Ecrire ça sous leur nom est une fleur qu'on leur fait. Souvent, c'est "journaliste" qui conviendrait, ou ancien journaliste. Ce serait moins impressionnant, je l'accorde, mais plus vrai.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 20 juillet 2020 à 20:54
@ Savonarole 20 juillet 2020 11:31
Patrick Martin-Genier
Effectivement il bat des records en matière de CV.
Le nombre extravagant de professeurs référencés à Sciences Po a été il y a quelques années une des causes de la faillite financière de l'établissement. L'Etat a renfloué bien sûr ! Sans rien dire ni rien changer. Copinage !
Je l'ai vu, ce brave Martin-Genier - sûr de lui et dominateur comme aurait dit le Grand - en Spécialiste des Affaires européennes, en Spécialiste des USA, en Spécialiste des Collectivités, en Spécialiste de Droit public, en Spécialiste de Droit constitutionnel etc. etc. etc.
Il enseigne à Sciences Po, mais aussi à l'IEP de Paris, mais aussi à l'INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales) etc. etc. etc.
Toujours copinage.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 20 juillet 2020 à 20:46
@ boureau 16h44
"Je maintiens que Ségolène Royal est une personnalité forte à la Thatcher. Les convictions ne sont pas les mêmes, mais la "fortitude" et la "pugnacitude" si !"
Etonnant cette comparaison !
D'un côté vous avez une Ségolène qui plie devant la fronde due à la mise en place de portiques destinés à faire payer aux poids lourds une taxe analogue à celles qui existent dans d'autres pays comme l'Allemagne. Cette abandon coûtera la modique somme d'un milliard d'euros, ce qui fera grincer des dents la Cour des comptes https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/ecotaxe/le-scandale-de-l-ecotaxe-un-echec-de-10-milliards-d-euros_2206638.html.
De l'autre vous avez Margaret Thatcher qui tient tête à l'IRA, ne cède pas face aux grèves de la faim (10 morts...) et part à la chasse à la dépense publique avec succès.
Des philosophies politiques totalement opposées et surtout un style qui ne laisse aucune place à la démagogie du côté de la "Dame de fer".
Ségolène ? Une dame en carton-pâte enrobée de "bravitude"...
Rédigé par : caroff | 20 juillet 2020 à 20:30
En bonne logique, la moitié des gens n'en auront rien à faire, mais Ségolène Royal a œuvré contre la pédophilie.
https://www.leparisien.fr/societe/le-plan-de-segolene-royal-contre-la-pedophilie-12-09-2001-2002432485.php
Pourquoi dire que la moité des gens n'en auront rien à faire ? Un écrivain était pédophile : vilipendé. Un cinéaste aussi : la moitié des gens défendait son impunité. La plupart des gens, notamment des gens réfléchis, curés, profs, ne vont pas se vanter de leurs abus sur enfants. Or c'était le critère quand j'interrogeais sur la différence de traitement entre l'homme de l'image et l'homme de l'écrit.
Tiens, tiens... Et si je tue quelqu'un sans m'en vanter et pars à l'étranger, hum ? Pourtant, bonnes gens, s'il est toujours mal de nuire à enfant, imaginons, je ne sais pas, l'enfant devenu grand qui tue son pédophile, par exemple, hum ? On ne dira pas que la Justice est là pour ça ? Je pense... Par contre, la Justice a une limite en sens inverse, au pédophile, l'immunité, que dis-je ? L'immunité glorieuse peut être accordée.
J'ai su que SR avait lutté contre la pédophilie en lisant "L'enfant interdit" de Pierre Verdrager, mais ai eu la flemme de rechercher où, sans parler de recopier. Alors j'ai envoyé un lien, ce qui en plus fait plus convaincant, pour la plupart des gens.
En fait, pour beaucoup, enfant, ce n'est rien, un investissement, un professeur, un curé, un Polanski - mais pas un écrivain qui ne pèche pas en silence, le vilain - eux, ont une valeur... Un enfant peut fort bien devenir quelqu'un qui n'est RIEN. On est à une époque où un Président peut dire ça de certains de ses concitoyens : à plus forte raison, que peuvent penser les avocats des pédophiles ?
Et ou alors, on nous sort le pardon, le rampant sera pardonné... Le drogué qui ne rampe pas, non. "Je cède à la force", c'est ce qu'il faudrait dire pour tout suicidant ou drogué arrêté, je tombe sous la force de lois injustes.
Ce ne sont pas les conseilleurs, les payeurs, ceux qui enferment les autres dans la prison de leur vie qui doivent la subir.
Ce ne sont pas les prêcheurs de l'impunité qui se sentiront concernés si d'autres abuseurs tentent leur chance parce qu'ils le valent bien ou que des abusés se tairont, considérant que le rapport de force est contre eux, comme c'est étonnant, dans un monde où "ce n'est pas pécher que de pécher en silence."
L'impunité des pédophiles puissants... Peut-être faudrait-il légiférer pour réduire l'arbitraire ? Pétitions pour les transgresseurs, au bout de tant de signatures, relaxe ? Si on a tant d'argent, ou de prix artistique ou scientifique, relaxe ?
Et encore, cela n'est rien, mais je ne sais pas si vous savez qu'on est menacé par des météorites... En bonne logique, si on peut abuser d'une jeune car on crée une oeuvre intéressante, les sauveurs du monde devraient avoir droit à plus. Ou de tuer cent victimes, chacun a droit à cent... Cent face au monde, c'est quoi ? Rien.
Problème, problème, on découvre après sa mort qu'un artiste était génial mais il a vécu dans la dèche, je propose que comme droits d'auteur annexe de l'argent aux héritiers et en plus du droit moral, il y ait un droit d'abuser. Pourquoi pas ? J'adore développer les conséquences des implicites qui sont si bien tant qu'on ne les extirpe pas de l'ombre.
Comme je ne peux pas que dire le mal, je dis le bien, donc ce qu'a fait SR. Cherchant sur Internet, j'ai lu qu'elle avait affirmé qu'on envoyait des profs pédophiles dans l'Outre-Mer. Je n'en sais rien mais des infirmières criminelles aux Etats-Unis changeaient juste d'hôpital, aucune équipe hospitalière n'ouvrant d'enquête et encourageant plutôt les éléments douteux à partir. De même, les prêtres pédophiles étaient déplacés...
Je ne sais pas si SR a visé juste ou à côté, mais à son niveau, mieux vaut ne pas parler sans preuve. Cependant, cela ne serait pas étonnant, comme on l'a vu, on déplace les problèmes.
Et ça marche très bien... Parce que trop de gens ne veulent pas vraiment qu'on cesse d'abuser les enfants mais que personne ne s'en vante, que cela ne se sache pas.
En bonne logique, rien ne devrait changer.
Rédigé par : Lodi | 20 juillet 2020 à 14:40
Réponse à deux habitués
Une excellente habituée, Catherine JACOB, qui a l'immense courage d'écrire ici sans pseudo me déclare injuste avec Ségolène Royal. Elle m'a mal lu. J'avais d'abord trouvé cet entretien plein d'intérêt, convenant que je connaissais peu, curieusement, cette femme politique.
Ne lisant pas tous les commentaires, j'en ai lu plusieurs, en appréciant les qualités des uns et des autres. Je lis ceux que j'admire et/ou que j'estime. Le commentaire de Serge HIREL, qui a aussi l'immense courage d'écrire sans pseudo, m'a semblé plein de talents d'écriture. J'ai relevé plusieurs bonheurs d'expression, plein d'admiration pour ces trouvailles. Qui écrit cela, Madame, lui ou moi ?
Si vous contestez ces affirmations, ne vous adressez pas à moi, mais à lui.
Un autre habitué à pseudo, plus récent, qui s'épanouit aussi chez Rioufol, alors que j'y suis toujours tricard, pense que j'ai loué Serge Hirel par ruse (il parle du renard de La Fontaine) dans l'espoir d'obtenir le courriel de Serge Hirel. Mauvaise pioche ! Serge Hirel a déjà eu la gentillesse de me le fournir et nous avons communiqué. Je l'ai loué, ce jour, non par intérêt, mais par admiration.
Je saisis l'occasion pour répondre à ceux qui dénigrent, ici, mon souhait de savoir le courriel d'autres commentateurs. Un. Il y a une foule de gens à qui je ne demanderai pas cela, qu'ils soient sous pseudo ou non. Deux. Je n'ai demandé le courriel que lorsque je ne souhaitais pas embêter l'ensemble du lectorat avec des sujets sans aucun intérêt pour eux, mais qui me paraissaient
ne concerner que lui et moi. Mon but dans la vie n'est pas d'obtenir le courriel des gens. J'ai d'autres plaisirs.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 20 juillet 2020 à 12:00
Concernant les titres et les diplômes, il en est un en France qui fait fureur c’est celui de “Professeur à Sciences Po”, alors là, ça vous cloue le bec. Si le gars est “Professeur à Sciences Po”, c’est qu’il sait de quoi il cause. Chaque fois qu’il l’ouvre à la télévision, immédiatement un bandeau s’incruste sous sa bobine, “Professeur à Sciences Po”...
C’est comme les “chercheurs du CNRS”, on en a des milliers. Ou comme Anne Nivat, épouse de Jean-Jacques Bourdin, qui plastronne avec “Grand reporter de guerre“, à l'abri en URSS pendant dix ans. Mais quand donc les Français vont-ils cesser de se prendre pour des héros de pacotille ?
Mais il faut s’arrêter sur de cas de Patrick Martin-Genier, professeur à Sciences Po.
Depuis le Brexit, ce monsieur a été invité quotidiennement sur toutes les lucarnes, il n’a cessé de vilipender le Royaume-Uni, les Anglais, le “clown Boris Johnson”, il nous prédisait que tous les Anglais allaient mourir pour avoir voté pour le Brexit. Une sorte de grippe espagnole électorale qui devait faire 50 millions de morts au Royaume-Uni.
Á ce que je vois d’ici, Nissan vient de quitter la Catalogne pour installer ses usines de montage en Angleterre, Coca-Cola s’installe aussi chez les Brexiters. Et j’en passe.
Et ce monsieur est bardé de diplômes et “professeur à Sciences Po”, quelle plaisanterie !
Ce matin, le revoici, il commente sur CNews l’élection de Lyon, un bandeau nous annonce que Monsieur Patrick Martin-Genier est “spécialiste de Lyon”...
Au prochain débat sur la prostate et ses dangers, il est probable qu’il interviendra en tant que spécialiste.
Rédigé par : Savonarole | 20 juillet 2020 à 11:31
Je sais que la proposition qui suit peut vous paraître ridicule, mais vous qui, si j'ai bien compris, êtes plutôt favorable aux Gilets jaunes, pourquoi invitez-vous uniquement les "grosses têtes" qui directement ou non dirigent ou influencent notre société ? Jamais un ouvrier, un petit paysan, un artisan... Eux aussi sont capables de penser, de proposer...
Rédigé par : Narcisses | 20 juillet 2020 à 10:23
@ Isabelle | 19 juillet 2020 à 13:52
Effectivement le même venin que celui d'E. Guigou coule dans les veines de la Ségolène.
Quant à vous Isabelle, je me demande si vos interventions sur ce blog sont nécessaires car, hormis quelques participants lucides, les autres intervenants sont des franchouillards qui racontent leur guerre une fois que celle-ci est terminée pour les autres. J'en ai fait le décompte, la moitié des commentateurs masculins sont hors sol, heureusement les femmes ont toutes les pieds sur terre.
Ce qui veut aussi dire que les femmes devraient se regrouper dans un parti, politique exclusivement réservée aux femmes non lesbiennes, pour imposer aux Freluquet de ce pays les mesures à prendre pour sauver la patrie.
Rédigé par : Walson | 20 juillet 2020 à 09:03
@ Serge HIREL | 20 juillet 2020 à 00:48
« Il est vrai que continuer à s’agiter face aux balles qui sifflent de toutes parts, y compris en provenance de votre propre camp, peut ressembler à de la bravoure. D’autres n'y verront que de l’inconscience... »
Pour exister en politique, que l’on soit un homme ou une femme, il faut un brin d’inconscience, vu les coups que l'on reçoit sans rien espérer en retour.
Les exemples ne manquent pas : J-L Mélenchon, Nicolas Dupont-Aignan, François Asselineau, pour ne citer que les hommes politiques...
Rédigé par : Achille | 20 juillet 2020 à 08:59
@ Robert Marchenoir | 19 juillet 2020 à 23:26
« Thomas Sowell : le grand avantage d'avoir fait Harvard, comme moi, c'est qu'on sait à quel point être diplômé de Harvard ne veut pas dire grand'chose. »
C’est le propre de tout diplôme.
Un diplôme est la preuve d’une capacité d’acquérir des connaissances et de les restituer lors d’examens où ces connaissances sont validées dans les conditions où elles ont été acquises.
Parce que l’acquisition et la restitution sont faites dans le même cadre fermé intellectuellement, il y a dans le diplôme une certaine forme d’artificialité de la mise en évidence de ce que l’on considère en général comme l’intelligence.
Être diplômé c’est d’une certaine façon être formaté.
Or la vie est tout, sauf un système fermé, c’est un système ouvert, et particulièrement ouvert sur l’imprévu.
Maîtriser les situations et les problèmes qui se posent ne demande pas seulement des connaissances mais la capacité d’interaction entre l’expérience, les connaissances et l’innovation en permanence. Pour cela il faut le plus souvent s‘extraire du formatage diplômant qui effectivement ne veut pas dire grand-chose, comme le dit si bien Thomas Sowell, dont j’apprécie par ailleurs beaucoup de sa vision de la société.
Et j’en reviens à ce que certains ici pourraient considérer de ma part comme une idée fixe, l’intelligence artificielle.
Le travail des ingénieurs informaticiens sur l’intelligence artificielle porte essentiellement sur la capacité des systèmes intelligents d’apprendre à l’exécution de chaque instruction devant un problème pour améliorer les performances lorsque le problème ou un problème analogue mais différent se présentera.
Car jamais un problème ne se présente de la même façon, et cela nos ancêtres le savaient qui disaient : « On ne se baigne jamais dans la même eau ».
C’est cet adage qui devrait figurer sur le fronton des grandes écoles et universités.
Ça rendrait modeste les diplômés quant à la valeur opérationnelle de leurs diplômes.
Rédigé par : Tipaza | 20 juillet 2020 à 06:42
Merci à Catherine JACOB pour son commentaire sur le cas Ségolène Royal.
Sans doute êtes-vous la femme accomplie et lucide qui n'éprouve pas le besoin d'en remontrer.
Et merci à P. Bilger pour cet entretien !
Rédigé par : Chemin de traverse | 20 juillet 2020 à 06:00
@ Achille 19 juillet / 23 :47
«...on lui accorde une certaine bravoure face à l’adversité ».
Il est vrai que continuer à s’agiter face aux balles qui sifflent de toutes parts, y compris en provenance de votre propre camp, peut ressembler à de la bravoure. D’autres n'y verront que de l’inconscience...
Rédigé par : Serge HIREL | 20 juillet 2020 à 00:48
@ Walson 19 juillet 15:32
« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur » (Beaumarchais et « Le Figaro »). Je compte sur Patrice « chat roulé » pour savoir aussi sortir ses griffes à mon égard...
Rédigé par : Serge HIREL | 20 juillet 2020 à 00:28
À lire les commentaires, une chose est sûre, Ségolène Royal ne laisse personne indifférent.
C’est un personnage clivant, comme peut l’être, par exemple, Bernard Tapie dans un autre registre.
Les réactions à son égard vont de la détestation épidermique irraisonnée à une véritable admiration pour son imperturbabilité face aux critiques qui lui parviennent de toutes parts.
Ses arguments pour défendre le droit des femmes sont quand même plus subtils que ceux de Caroline De Haas qui relèvent d’un profond refoulement.
Concernant l’écologie, l’autre combat qu’elle mène depuis longtemps est bien plus structuré que celui que mènent les Verts qui mélangent allègrement écologie, lutte contre les violences policières et antiracisme de circonstance.
Ségolène Royal serait un homme on dirait qu’il est "couillu", mais comme c’est une femme on lui accorde une certaine bravoure face à l’adversité (ou "bravitude" puisque désormais ce mot fait partie de son personnage).
Rédigé par : Achille | 19 juillet 2020 à 23:47
Histoire de mesurer la superficialité et l'erreur de Ségolène Royal, quoi de mieux que d'écouter, à sa suite, un autre entretien d'une durée similaire, mais avec un vieux mâle
blancnoir : l'Américain Thomas Sowell, l'un des penseurs libéraux les plus intéressants aujourd'hui ?Cela remet à leur juste place tous les délires socialistes, féministes ou "anti-racistes" dont l'ex-femme de François Hollande n'est que le millionième promoteur, avec encore moins de talent que d'autres, si c'est possible.
Remarquez la réfutation précoce des mensonges propagés par les Black Lives Matter (l'entretien date de 2018).
Sowell ne s'appuie pas sur l'idéologie, il s'appuie sur des faits. Recueillis à travers le monde entier. Par exemple, en région parisienne, les vols avec violences perpétrés par les immigrés arabes contre les immigrés chinois.
Un autre point intéressant : Thomas Sowell a changé d'avis. A vingt ans, il était marxiste. Ségolène Royal n'a jamais changé d'avis. Ce ne sont pas quelques misérables faits qui vont la détourner de ses certitudes.
Ségolène Royal : j'ai fait l'ENA, quand même, je vaux autant que ces messieurs.
Thomas Sowell : le grand avantage d'avoir fait Harvard, comme moi, c'est qu'on sait à quel point être diplômé de Harvard ne veut pas dire grand'chose.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 juillet 2020 à 23:26
@ Tipaza
En l'écoutant, je me suis dit qu'elle pouvait gagner les prochaines présidentielles. Anne Hidalgo s'est bien fait ré-élire à Paris après en avoir fait un laboratoire d'expérimentations au moins aussi ruineux que celui de Ségolène en Poitou-Charentes. Mais quand on est socialiste, l'argent ça ne compte pas, et puis les enfants paieront. Je me demande si Anne Hidalgo ne se verrait pas elle aussi à l'Élysée. Elle a plus de chances d'y parvenir que Ségolène Royal. Elles ont des points communs. Toutes deux sont bourrées d'idées inspirées entre autres par le socialisme et par l'écologie, et elles n'hésitent pas une seconde à les essayer.
J'écoutais une interview du chef (cuisinier) Jacques Pépin, chef à l'Élysée du temps de Charles de Gaulle et qui a fait ensuite une très belle carrière aux USA. Sa cuisine est simple, gourmande, provinciale (lyonnaise), et tellement juste que c'est du grand art. Il n'est pas ennemi de l'innovation mais n'en fait pas sa raison d'être. Il explique que quand on lui recommande un restaurant en lui disant : "vous verrez, le chef est très créatif", oh la la, il a plutôt envie de prendre la poudre d'escampette. Ce doit être un peu le même souci que j'ai avec Anne Hidalgo et Ségolène Royal ; ce sont des "femmes étonnantes" comme le dit Catherine Jacob, mais leur cuisine est un peu trop créative à mon goût, et pour être bassement terre à terre, je remarque que ni l'une ni l'autre ne payent la note.
Rédigé par : Lucile | 19 juillet 2020 à 22:17
Qui pourrait nous dire ce que cette dame a apporté de remarquable et de concret à la France et aux Français ?
Quel est son rapport qualité / prix ?
Rédigé par : Exilé | 19 juillet 2020 à 19:46
@ Robert Marchenoir 18 juillet 2020 04:31
Vous vous noyez dans les mots !
Je maintiens que Ségolène Royal est une personnalité forte à la Thatcher. Les convictions ne sont pas les mêmes, mais la "fortitude" et la "pugnacitude" si !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 19 juillet 2020 à 16:44
- "Madame, auriez-vous la gentillesse de vous présenter ?"
- "Je suis une mère de famille de quatre enfants... qui vont bien" et que je raconte ma vie dont tout le monde se fiche.
- Euuuh... Et nom, prénom, profession, ça vous dit rien ?
- Ben non alors ! Pas besoin, ma "stupiditude" est connue dans le monde entier, je n'ai plus besoin de me présenter.
Il ne lui manque plus que l'"assent" de Marseille et elle est parée pour le prochain numéro des Marseillais en Thaïlande ou je ne sais où sur NRJ 12.
On imagine la tragédie française qu'aurait été la crise de 2008 avec "Bécassine" Royal au pouvoir.
Rédigé par : Wil | 19 juillet 2020 à 15:58
@ Vamonos | 19 juillet 2020 à 09:24
Je n'ai utilisé le terme "épousé" que dans le sens général, et pour cause, terme qui d'ailleurs n'implique pas obligatoirement le mariage, car j'ai vécu moi-même 55 ans avec la même femme dont au départ 10 ans "dans le pêché". Son premier mari américain n'avait pas apprécié, ils nous a fait attendre son divorce dix ans.
Les Américains avaient libéré la Sicile avant la France, il n'appréciait pas qu'un Français le "libère" de sa femme italienne. Une libération par débarquement en sens inverse en somme, et en Sicile en plus. Une sorte de libérateur venu aussi de loin (Mozambique dans mon cas) qui se prenait pour Patton sans armée.
Dans les années 50/60 divorcer était chose compliquée surtout quand trois nationalités étaient concernées, le minimum était 7 ans.
Aujourd'hui bien sûr se marier est devenu désuet et inutile, je parlais de l'antiquité chrétienne.
Cordialement
Rédigé par : Claude Luçon | 19 juillet 2020 à 15:34
@ Patrice Charoulet
"Ceux que j'admire ici se connaissent. Serge HIREL est du nombre."
C'est comme dans la fable du Corbeau et de Renard. Serge Hirel, résisterez-vous à la tentation d'ouvrir votre large bec et de laisser tomber votre "émile" dans les pattes du chat roulé ?
Rédigé par : Walson | 19 juillet 2020 à 15:32
@ Patrice Charoulet | 19 juillet 2020 à 11:44
Vous êtes injuste et tous ceux qui ont écouté cet entretien en campant sur leurs positions précédentes également.
Ségolène Royal est une femme étonnante, même si on ne croit pas tout ce qu'elle dit.
Philippe Bilger avec son art de débusquer la vérité et de faire sortir le loup du bois, nous a mis en face du 3e larron potentiel de la présidentielle 2022. Je lui en suis reconnaissante.
Maintenant je ne sais pas si, dans ce cas de figure, l'union des gauches serait une bonne stratégie. Cela a été celle de Mitterrand qui, en 1981, lui a permis d'emporter l'élection. Mais, à sa place, c'est un plat dont je ne reprendrais pas.
En revanche, une stratégie assise sur l'expérience personnelle acquise, le développement de la faculté de résilience, la paix avec soi-même, une vision de l'avenir qui limiterait la tendance euryèce de la grande finance ainsi qu'une juste coopération internationale où les femmes trouveraient à s'épanouir autrement que dans une dimension surmoïque mortifère, la valorisation des territoires et du terroir, une volonté bonne, l’adaptabilité au réel dès lors qu'il manifeste dans l'évidence une distorsion d'avec le théorique, le droit à l'erreur, il me semble que tout ça pourrait fonctionner même s'il fallait se présenter avec une étiquette d'indépendante.
Je pense qu'il y a eu beaucoup de vrai dans ses affirmations concernant l'intendance qui, en 2007, ne suit pas, même si la raison n'en est pas forcément à rechercher dans un machisme exubérant...
Concernant également le fait qu'une femme qui a des idées originales, se trompe parfois ou exprime un désaccord d'avec un aréopage masculin, est considérée comme jouissant d'une santé mentalement inquiétante, je l'ai expérimenté maintes et maintes fois.
"Vous êtes folle" ou "Elle est folle" est souvent l'argument massue qui se passe de devoir démontrer en quoi la folle a tort. Elle a tort parce que, tout simplement, la pauvre, elle est folle. CQFD.
Maintenant concernant l'histoire de la Cosette spinalienne qui ignorait l'existence des grandes écoles avant, une fois titulaire d'une licence d'économie de Nancy II, d'entrer au CUEP, je suis sceptique.
En revanche concernant le fait que dans les choix que fait une mère, le poids des conséquences potentielles sur le bien-être et l'avenir de son ou de ses enfants est déterminant, je le crois également. Une mère a souvent en effet, l'esprit de sacrifice chevillé au corps même si les choix qu'il commande se révèlent parfois discutables.
Rédigé par : Catherine JACOB | 19 juillet 2020 à 15:27
J'écoute rarement les entretiens, souvent trop longs et je m'endors.
Là, j'ai zappé d'office.
Il paraît que la dame veut rassembler la gauche !
Très bonne nouvelle car plus ils seront nombreux à vouloir le faire et moins cela se fera.
Et comme dirait Fabius, qui va garder les petits-enfants ?
Rédigé par : Paul Duret | 19 juillet 2020 à 15:06
En préambule ce qu'elle aurait le mieux réussi dans sa vie est son rôle de mère de famille et ses quatre enfants aujourd'hui adultes et qu'elle juge épanouis.
Propos hélas contredits par la suite de ses confidences où l'on sent pointer les frustrations d'une femme ambitieuse et malaimée se figurant être une nouvelle Jeanne salvatrice et recherchant désespérément à compenser des manques affectifs patents par une quête éperdue de reconnaissance et d'amour du plus grand nombre.
Jusqu'à 66 ans passés où elle n'a toujours pas renoncé à jouer (dans deux ans) les ultimes recours pour sauver la France en grand péril !
Plutôt que se consacrer à l'art d'être grand-mère avec la petite Jeanne et les autres à venir comme elle nous faisait croire au début de l'entretien.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 19 juillet 2020 à 14:34
@ Wil | 18 juillet 2020 à 22:54
Wil prenez votre plume vous êtes aussi dans la lignée de Raymond Chandler.
Vous faites partie de mes écrivains préférés, avec...
Elle, j'en transpire encore, elle m'aurait pris tout ce que je n'avais pas, et plus encore, une Danaïde à sa façon comme les grands bourgeois du PS qui pensent défendre la condition humaine, alors qu'ils ne défendent d'un maroquin et un art de vivre gras et confortable.
Wil, je vous offre mon Starwalker en échange du premier paragraphe.
Rédigé par : Giuseppe | 19 juillet 2020 à 14:20
Ségolène Royal, ambassadrice des pinguoins. Manque total d'envergure face aux dangers qui nous menacent. On perd notre temps, une fois de plus.
Comme E. Guigou en son temps, elle va mettre un voile pour visiter une ou plusieurs mosquées et essayer d'avoir quelques voix des Musulmans... Sur le sol français, nous aurons bientôt plus de mosquées que d'églises ou de cathédrales puisqu'elles brûlent les unes après les autres dans l'indifférence quasi générale. On espérait Darwin, nous voilà avec Allah sur les bras. J'aimerais rappeler que la grande majorité des Français est athée... Mais c'est une majorité bien silencieuse qui ne vote plus apparemment.
Le Canossa permanent. "Lessivés, nous serons demain supplantés."
"L’incessante requête de l’Algérie et le déboulonnage des statues participent du même mouvement : nous sommes dépossédés de nous-mêmes. Les peuples occidentaux doivent au pire disparaître, au mieux s’intégrer à la « diversité » afin d’expier via le métissage la pureté de sang – comme on disait dans l’Espagne du XVe siècle – responsable, avec leur obstination et leur arrogance, d’à peu près tout les malheurs connus par le monde depuis le commencement. Le capital, qui a bien saisi tout le profit qu’il peut tirer de la mort des nations, encourage et finance même l’érection de la nouvelle Babylone. Aussi, c’est à une terrible alliance des forces du progrès et de l’argent que les patriotes font face. Résister, c’est être réactionnaire voire fasciste. Que faire ? Assumer. Il est trop tard pour la nuance. Nous devons nous engager dans cette guerre mémorielle avec la même détermination que nos ennemis. Nul n’oblige les Africains à s’installer en France ; s’ils ne sont pas satisfaits, si nos mœurs et nos panthéons les dérangent, leur vaste et riche continent les attend. Ne nous excusons de rien, jamais. Chantons notre histoire face à ceux qui la souillent. Car, comme l’écrivait Orwell dans 1984 : « Qui commande le passé commande l’avenir ».
https://www.causeur.fr/canossa-penitence-black-lives-matter-algerie-assa-traore-179216
Pendant qu'on papote à propos de Ségolène Royal et de ses "capacités" supposées et fantasmées, des magistrats continuent à se moquer des Français.
"Un homme de 39 ans, ressortissant rwandais, a été arrêté dans le cadre des investigations de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Pour son avocat, il est important de “relativiser la situation”."
https://www.valeursactuelles.com/societe/video-incendie-de-la-cathedrale-de-nantes-lavocat-du-ressortissant-rwandais-en-appelle-la-misericorde-121857
Qui va payer la facture pour réparer les dégâts ? Les dindons de Français qui ne votent pas ou qui votent pour Macron, Hollande ou d'autres du même acabit, dont Ségolène Royal.
Ce pays court au désastre avec l'aval de certains de ses citoyens. Tout ceci est lamentable.
Rédigé par : Isabelle | 19 juillet 2020 à 13:52
Relevé sur Twitter :
Ségolène Royal : "J'ai su faire un herbier avant d'apprendre à lire"
Réponse d’Antoine de Caunes :
« Il ne fallait pas le fumer. »
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 19 juillet 2020 à 13:03
Mes admirations
Je défie qu'on puisse trouver en France un blog (influent) où le nombre des commentateurs admirables soit si grand. Ceux que j'admire ici se connaissent.
Serge HIREL est du nombre.
"Même les pingouins la connaissent"
"Ségo, c'est d'abord Ego"
"Croit-elle à sa fable ?"
"Du féminisme à l'ancienne"
"Le Petit Chaperon Vert"
Chapeau, l'artiste !
Rédigé par : Patrice Charoulet | 19 juillet 2020 à 11:44
Ségolène Royal et la fibre écolo à l'image des Verts ?
Quand va-t-elle demander des créneaux horaires pour les femmes en burkini dans les piscines ? Histoire de ratisser quelques voix de plus.
"Sport à Paris : les élus écolos demandent des créneaux réservés aux femmes."
Quand EELV ne réclame pas des créneaux réservés aux femmes, ils sont à la manif Traoré à Beaumont. Il faut bien passer le temps.
https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1284579977296576512
Les députés féminines de EELV et de LFI : "Ils portent l’écharpe de la République et défilent au milieu de ceux qui scandent "à bas la police" et "policiers assassins"
"Jamais nos policiers n’ont été aussi critiqués, dénigrés.
Ceux qui cautionnent et encouragent ne sont pas dignes de porter l’écharpe tricolore !" Eric Ciotti.
https://www.facebook.com/ECIOTTI/photos/a.497267443697592/3069885259769118/?type=3&theater
Rédigé par : Isabelle | 19 juillet 2020 à 11:37
Il y a lieu de s'étonner de la haine que suscite ici SR.
Dans le genre socialiste, comment faire mieux ? Elle prône en quelque sorte un plan Marshall sans dire qui seront les Américains.
Elle ne fait que pousser le système Macron, sauf que ce dernier est en train de pleurer à Bruxelles pour que les Européens payent.
Il faudrait réduire le nombre des payés à faire semblant de servir à quelque chose, et remettre les femmes au foyer, mais plutôt la guillotine que de le reconnaître.
Notre chance serait peut-être que les cathédrales continuent à brûler ; peut-être que cela réveillerait quelque chose dans les cœurs. Peut-être... (Il faudra peut-être se soucier de la religion des personnes qui pénètrent dans nos églises - y compris celle des ouvriers chargés de leur entretien, de leur rénovation, et de leur surveillance.
Notamment lorsqu'ils ne sont pas blonds.)
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 19 juillet 2020 à 10:40
Il m'a été impossible d'écouter cette interview, connaissant trop bien l'animal et ses limites, même après son passage chez les pingouins qu'elle a sérieusement em*erdés en voulant les convaincre de voter pour elle.
Bref, je me demande pourquoi monsieur Philippe Bilger aime déterrer les morts et cajoler les sala*ds.
Rédigé par : Walson | 19 juillet 2020 à 09:35
@ Claude Luçon | 18 juillet 2020 à 21:31
Cher Claude,
Vous pouvez cesser de vous poser la question au sujet du mariage de M. Hollande parce qu'il ne s'est jamais marié, ni avec Ségolène, ni avec une autre.
Rédigé par : Vamonos | 19 juillet 2020 à 09:24