Lorsque la polémique et l'indignation concernant Gabriel Matzneff (GM) battaient leur plein, avec la révélation de ceux qui avaient soutenu un auteur, une oeuvre et des journaux intimes se flattant sans vergogne d'actes criminels à l'encontre de très jeunes enfants, l'hésitation n'était pas de mise et la cause était juste : il fallait dénoncer cette honte et la complaisance du milieu culturel et littéraire à cet égard.
Je n'en suis que plus à l'aise pour dire que trop c'est trop.
Surtout quand de près ou de loin, Christophe Girard, apprécié par la maire de Paris dans le secteur culturel dont elle lui avait confié la charge, n'avait pas eu la moindre chose à se reprocher dans la gestion de l'affaire Matzneff ou dans ses propos à son sujet.
À la demande de Pierre Bergé, il avait octroyé une aide à l'écrivain et il avait déjeuné trois fois avec lui, sans en être l'ami a-t-il précisé, contrairement à l'affirmation de GM, ce qui n'est pas encore interdit, que je sache, en France ! En faisant régler par la mairie trois notes de fais. Quel scandale !
Il avait été entendu comme témoin dans la procédure diligentée pour GM et ceci aurait dû dissuader Anne Hidalgo de lui renouveler sa confiance après sa réélection. Je ne vois pas pourquoi et au contraire il faut féliciter cette dernière pour avoir apporté son soutien jusqu'au bout à Christophe Girard. Jusqu'à sa démission.
En stigmatisant l'attitude de deux femmes écologistes, dévoyant la belle cause du féminisme avec une hystérie vindicative et une intolérance faisant fi de l'équité et de l'honnêteté.
Le garde des Sceaux, questionné par ailleurs et en général, a souligné qu'il était pour le "combat féministe" mais que "certains et certaines se comportaient comme des ayatollahs" (BFM TV). Parfaitement applicable rétrospectivement à l'attaque de Christophe Girard.
Celui-ci, poussé à bout, a jeté l'éponge et il a bien fait.
J'ai apprécié son geste qui n'était pas dû à une quelconque faiblesse de caractère. Au contraire. "Contre la justice de la rue et des réseaux sociaux, je n'ai pas démissionné sous la pression mais parce que j'ai estimé que ce serait invivable", ajoutant qu'il n'avait pas l'intention de se laisser "emmerder" par des comptes qui lui seraient en permanence demandés alors qu'il n'avait rien à se reprocher. Fustigeant, à cause de ce processus choquant, le "retour de Robespierre", il a estimé "la démocratie en danger" et, avec cette présomption d'innocence bafouée, il se voit comme "le premier fusible, il y en aura d'autres" (Le Parisien).
Je comprends cette lucide amertume, cette lassitude anticipée avec sa volonté de damer le pion par le haut à ses accusatrices délirantes.
Le sentiment de l'injustice est le pire qui soit quand il est fondé.
Je n'évoque même pas le fait que durant la campagne municipale, entre Anne Hidalgo et les écologistes qui la soutenaient, il n'avait jamais été question de Christophe Girard et du problème qu'il aurait représenté.
À considérer l'ensemble des fidélités et des indignations liées à GM, j'avoue que le sort réservé à Christophe Girard est tout à fait scandaleux. Ceux qui n'ont pas hésité à flatter cet auteur, à lui rendre hommage, à lui octroyer des prix, en pleine connaissance de ses turpitudes puisqu'il les décrivait, au nom paraît-il de la littérature, continuent à droite comme à gauche, dans les pages culturelles, une vague repentance formulée, à afficher leur légitimité ébréchée, leur goût contestable et leur clientélisme malsain.
Rien de tel chez Christophe Girard.
Mais c'est lui qui a dû partir et même s'il a bien fait, il est la seule victime en l'occurrence.
@ Gavot
Sur la violence et l'exercice des jeunes gens.
Nous sommes parvenus, ainsi que vous l'affirmez, au terme de cet échange. Il est inutile, semble-t-il, de le continuer. Je regrette que vous ayez l'insulte facile et l'argument léger. Vous n'opposez finalement que le caractère délictueux de ces jeux d'adolescents, vous abstenant de clairement et directement signifier les motifs de votre réprobation. En somme, vous vous défaussez.
Vous avez néanmoins raison sur un point. Je l'aborde parce qu'il permet une digression intéressante sur un autre sujet sociétal dont traite M. Bilger dans plusieurs autres articles. J'ai, reconnaissons-le sans fioriture, une tendance marquée à la violence. Tout le monde l'a à un niveau variable. Il me semble que la civilisation peut se définir en partie par une éducation de la violence.
La violence peut s'entendre comme la force vitale d'un individu, qu'il peut tourner vers l'extérieur ou retourner contre soi, qu'il peut brider ou qu'il peut lâcher sans retenue. La civilisation me paraît être une contention de cette violence et son orientation vers des fins plus relevées.
Le risque, à trop la contenir, est de tout à fait l'étouffer pour ne plus faire à la fin que des individus châtrés dénués de toute force vitale ou dont le trait principal serait l'extrême nervosité.
Or, et je n'en fais pas là une vérité mais un sujet d'étonnement, quel est le marqueur différenciant entre les populations jeunes de souche européenne et celles de souche étrangère ? Les unes sont plus violentes quand les autres sont plus timorées. Bien évidemment, je ne fais pas là une généralité et je n'exclus pas les particularités. Je constate grossièrement et sans nuance. Je laisse en suspens chacun se questionner.
Pour ma part, je n'ai pas une sévérité aussi intransigeante que la vôtre. Je préfère de loin de jeunes personnes qui dévient et qui s'éprouvent à de jeunes personnes trop sages et trop rangées. S'il est un moment dans la vie où les personnes doivent se risquer et tenter innocemment ce que plus tard elles ne pourront plus faire en raison de leurs responsabilités, c'est bien lors de l'adolescence. D'ailleurs cette fonction rituelle de passage à l'âge adulte a été abolie dans nos sociétés. On voit combien cette absence dessert les jeunes personnes qui ont des difficultés incroyables désormais à s'affranchir et à grandir.
Revenons à l'idée principale de violence. Est-il possible de l'éradiquer ? Est-il souhaitable d'y parvenir ? Je réponds catégoriquement non. Je fonde mon assertion sur le constat que toute société possède en son sein des éléments violents et que ceux-ci, parce qu'ils disposent de la force, auront tendance à dominer et à asservir les plus faibles. Partout l'on constate que le plus violent domine. Est-ce pour autant que la violence, parce qu'elle est force brute, est légitime ? Assurément non. Il faut que la force soit disciplinée et éduquée. Mais il faut absolument qu'elle soit.
Pour appuyer mon idée, je prendrai deux exemples: les Romains et l'aristocratie française du XVIe et du XVIIe siècle. Personne ne pourra leur dénier une haute civilité tout comme personne ne pourra nier la grande violence dont ils étaient capables. Maintenant, opposons à ces exemples l'homme contemporain. Il est considérablement plus faible et impuissant. Il n'est guère non plus plus éduqué et cultivé. Je préfère les premiers malgré leur violence. Je les préfère justement à cause de leur violence et de leur capacité à en faire un usage supérieur et discipliné. Ils avaient la force et l'éducation. Nous n'avons ni l'une ni l'autre.
L'absence de force est une faiblesse qui prédestine à la soumission et à l'asservissement. L'éducation vient après. L'homme éduqué mais faible est voué à subir les violences de l'homme brutal.
Dans nos vieux pays, nous n'avons plus ni éducation, ni force. Les nouveaux barbares qui peuplent nos provinces n'ont pas d'éducation, ou du moins pas la nôtre, mais la force violente. Je laisse chacun conclure sur le résultat que l'on peut attendre, ceci malgré les politiques et les lois élaborées qui seront impuissantes à y rien changer.
Je fais le choix parfaitement conscient de cultiver ma force, non pas comme violence brutale mais comme violence disciplinée par l'éducation, non pas celle du temps mais celle que j'ai redécouverte et peut-être fantasmée dans l'histoire ancienne de mon pays. Et lorsqu'il le faudra, je saurai en user. Mais l'impuissance, l'effémination des caractères et des esprits, non merci.
J'étais peut-être, puisque vous l'insinuez et que je ne peux le dédire, un être refoulé mais avant tout j'étais un gaillard vif qui s'amusait de tout et de rien. Et oui encore, hier et maintenant, j'assume et suis assez fier de ce potentiel de violence, que je maîtrise comme il me plaît, ne serait-ce que pour, à une violence barbare et injuste, être en mesure d'opposer une violence plus forte encore. Et si un jour un de mes fils ou petits-fils commettait une incartade aussi innocente que celle qui vous offusque, les paroles de la chanson de Sardou à la gloire de son père se rappelleraient à ma mémoire: "Petit, tu m'as fait bien plaisir, tu m'as rappelé ton grand-père. […] plein de pudeur et d'indulgence, pour la violence de mes passions, pour cette belle intransigeance, que suivraient tant de concessions"
https://www.youtube.com/watch?v=T-qsha32bY4
Bref, il faut à la société française un peu plus de virilité et un peu moins de cette civilité émasculée de façade qui n'est autre chose que la marque de l'asthénie et de la faiblesse. Vous allez encore dire que je me vautre comme un cochon. Soit, mais quant à moi, avant qu'on ne parvienne à m'égorger, il faudra s'y prendre à plusieurs reprises, au risque et péril de l'assaillant. Et comme je suis capable de violence brutale et assez intelligent, il se pourrait bien que je saute au cou de mon agresseur avant qu'il ne l'ait seulement tenté. Ma force, je peux l'utiliser à n'importe quelle fin, notamment celle de réduire le barbare plutôt que de m'en plaindre. Et ceci, je le dois à toutes les frasques où je me suis exercé et où j'éprouvai mon jeune courage.
Et puisque nous sommes dans la provocation. Disons-le tout net. Les étrangers sont plus forts parce qu'ils sont les plus violents et qu'à leur violence nous n'avons à opposer que des vœux pieux et indignés. Même nos jeunes femmes admirent en eux cette virilité et cette passion dont sont dépourvus la plupart de nos jeunes hommes. Il n'y a pas d'alternative. Il faut cultiver le goût du sang et de la violence, mais avec raffinement. Lacédémone, les tournois initiatiques du Moyen Âge, les exercices de force, qu'importe, tout plutôt que Mai 68 et les valeurs de la République !
Rédigé par : Jean sans Terre | 08 août 2020 à 15:47
@ Jean sans Terre | 07 août 2020 à 14:39
Vous continuez à vous vautrer.
Après nous avoir complaisamment et longuement parlé de vous, de vos frasques passées, réelles ou prétendues, qui en disent long sur vos fantasmes et vos dégoûts intimes, vous m'accusez avec une rare grossièreté de verser dans des vices qui vous révulsent et dont vous êtes manifestement obsédé (j'apprends au passage le terme de chronophilie qui n'est apparemment pas l'amour des montres).
Il se trouve que, contrairement à vous et certains commentateurs, je ne parle pas de moi sur ce blog sauf si par extraordinaire mon expérience peut permettre de faire avancer un débat. D'abord parce que c'est plutôt discourtois, ensuite parce que je ne parle pas à des inconnus de sujets personnels.
Je retiens de cet échange assez peu enrichissant avec vous que, si votre historiette vaseuse est exacte, vous êtes un délinquant, que vous en êtes fier et que vous avez une tendance à la violence qui mériterait d'être questionnée.
Au plaisir de ne jamais vous croiser.
Rédigé par : Gavot | 07 août 2020 à 16:34
@ Gavot
Maintenant que j'ai délibérément fanfaronné, en répondant à votre question, pour vous permettre de donner prise à votre dénigrement, montrez-nous avec courage votre goût et faites-nous l'éloge de la pédérastie ou de l'éphébophilie car, en définitive, vous ne vous opposez à moi que parce que j'ai moqué comme un travers la chronophilie. Mais vous n'oserez pas. Vous préférerez le secret ainsi que font tous ceux qui sont affectés d'un vice honteux qu'ils s'ingénient à cacher à leur entourage ou au public.
Rédigé par : Jean sans Terre | 07 août 2020 à 14:39
@ Jean sans Terre | 06 août 2020 à 23:59
Vous vous vautrez. Dans tous les sens du terme.
Rédigé par : Gavot | 07 août 2020 à 10:25
Encore une histoire de popotin comme seul ce milieu froufrou plumes au c*l parigot tête de veau aime nous en abreuver et nous admonester de moraline pédoporno à nous les ringards bouseux attardés qui rejettent leur avant-gardisme modernisme progressiste écoeurant.
Odeurs de vomis bobos gauchos pervers qui se répand dans ce milieu de détraqués sexuels, érigé en modèle depuis des décennies par le service public gauchiste des Ruquier, Ardisson dans les médias et la Mairie de Paris LGBT EELV islamogauchiste.
C'était mon BEURK du jour !
Rédigé par : sylvain | 07 août 2020 à 10:03
Tiens ! un sondage intéressant qui vient de sortir. Il confirme, et au-delà, ce que je disais sur l'absence complète de représentativité du mouvement Black Lives Matter, non seulement par rapport à la population américaine dans son ensemble, mais par rapport aux Noirs : 81 % de ces derniers veulent que la présence de la police dans leur quartiers reste identique... voire augmente.
Et ce, alors que 32 % des Noirs américains rapportent qu'ils voient déjà "souvent" ou "très souvent" la police dans leur quartier, contre 22 % des Blancs.
Autrement dit, l'écrasante majorité des Noirs américains s'oppose à l'une des principales revendications des Black Lives Matter : l'abolition de la police par la suppression de ses budgets, et, à défaut, une diminution drastique de ces derniers.
Revendication qui a d'ores et déjà été satisfaite par plusieurs grandes villes américaines.
Le communisme s'implante par des minorités révolutionnaires, pas par un hypothétique soulèvement populaire.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 07 août 2020 à 07:22
Ce vice, mon cher Gavot, c'est la bave dégoulinante de la lippe du vieux lascif en mal de chair fraîche. Vous attendiez que je vous livre cet aveu. Eh bien, le voici ! Vous allez m'expliquer qu'il n'est pas un vice. Il est bien vrai que notre société est permissive et tolérante. Tout est permis, n'est-ce pas ? Tout, enfin presque… tant que la société en convient. Ainsi donc, le convenu est autorisé. Il est même fortement recommandé et encouragé. Mais, mon cher, "vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà". Cela vaut pour les lieux mais aussi les époques. Je moralise. Vous moralisez d'une autre manière. Tout est moral en société même l'amoralisme ou l'immoralisme. Ceci posé, je choisis celle qui me convient le mieux. Je méprise trop mon époque pour à son moralisme me conformer. Si je juge telle conduite un vice, elle l'est, au moins pour moi. Tolérez, je vous en prie, ce relativisme ! Le relativisme de l'époque en est un autre, qui n'a pas plus de valeur. Quelles sont donc ces valeurs dans une époque où tout se confond ? Je vous le demande. Je ne doute pas que vous seriez en peine de me répondre.
S'il vous plaît, ne m'évoquez pas les valeurs de la République. Personne ne sait ce qu'elles sont, ou plus précisément tout le monde sait trop qu'elles ne sont rien ou, au mieux, des restes décatis de valeurs qui ne servent que pour l'ostentation. Soyons donc conséquent. Réaffirmons en chœur que tout est permis.
Enfin, Gavot, ne soyez par trop sévère. Nous nous retînmes, nous abstenant d'incivilité urbaine, comme il est désormais entendu de nommer l'ultraviolence. Avec mes bratti boys, on aurait pu tolchoquer le dedoochka. Mais non, nous sommes restés dans les bornes de la civilité. Ainsi, jeu innocent se rapportant au vif plaisir qu'éprouvèrent de jeunes personnes à voir ravaler la bave de vieilles personnes que leur lascivité dégoûtante déversait sur eux. Vous admettrez que nous aurions pu être bien plus nocents. Il en est qui ne se privent pas et pour qui on a toutes les indulgences.
P.-S.: pour que vous ne croyiez pas que j'en veux aux homosexuels, il nous est arrivé de faire un même tour à des hétéros avec une jeune fille bien fraîche pour appât et un plaisir décuplé.
Rédigé par : Jean sans Terre | 06 août 2020 à 23:59
En filigrane de cette affaire, l'indéfectible, car permanente proximité de l'homosexualité et des son corollaire (quasi ?) obligé: la pédomanie. Proximité, qui n'apparaît évidemment, ni aux niais, ni aux... progressistes. Pourtant...
La décadence n'a jamais grandi aucune civilisation...
Rédigé par : GERARD R. | 06 août 2020 à 13:37
@ Jean sans Terre | 05 août 2020 à 13:28
"Quant aux vieux hommes, je continue à sourire de nos frasques passées. Qu'il était amusant de voir leur figure passant de la bave lascive à la panique terrorisée. Ce n'était finalement que jeu innocent et moqueur d'un vice bien plus méprisable.(...)"
C'est assez extraordinaire, vous recouvrez un comportement lâche et violent d'une nostalgie bienveillante et amusée, déroulant au passage une auto-justification que je retrouve au quotidien et selon le même mécanisme chez les voyous, petits ou grands, à la seule différence qu'ils n'ont eux, en général, aucune prétention littéraire.
Au passage, pourriez-vous expliciter quel "vice bien plus méprisable" de ses pauvres hommes devrait vous valoir l'indulgence dont vous vous gratifiez ?
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@ Isabelle | 05 août 2020 à 15:51
Peut-être devriez-vous laisser en paix la mémoire de Barbara dont l'immense talent et les blessures secrètes ne devraient pas servir à justifier une indécente violence à l'encontre des homosexuels, y amalgamant au passage la pédophilie et l'inceste, ce qui est totalement stupide.
Rédigé par : Gavot | 06 août 2020 à 09:56
@ hameau dans les nuages | 05 août 2020 à 18:54
"...au point en ce moment de remettre en marche un Solex. Seul le port du casque obligatoire rend ridicule un peu la chose."
Hum ! "Les motards représentent 21 % de la mortalité routières et 44 % des accidents graves alors qu'ils représentent moins de 2 % du trafic.
L’énergie cinétique est égale à 1/2 fois la masse du véhicule multipliée par sa vitesse au carré (EC = 1/2 mv2). Comme l’exprime très bien cette équation, la violence du choc, ou l’énergie dégagée, est grandement influencée par le poids mais surtout par la vitesse du véhicule.
- Un choc à 50 km/h équivaut à une chute dans le vide du haut d’un édifice de 3 étages."
La vitesse potentielle d'un solex se situe entre 30 et 45 km/h selon le modèle.
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@ Xavier NEBOUT | 04 août 2020 à 16:14
«Vouloir jeter Macron et sa bande est une chose, vouloir les guillotiner en est une autre - encore que du côté covid-19 et la mafia pharmaceutique...»
Couper des têtes est de longue tradition, la coutume du... "Gaulois réfractaire".
Diodore de Sicile, Bibliothèque Historique, V, 29 (traduction F. Hoefer) :
« Aux ennemis tombés, ils coupent la tête et l’attachent au cou de leurs chevaux. Ils donnent à porter à leurs serviteurs les dépouilles tachées de sang, et chantent le péan et l’hymne de la victoire. Ils clouent ces trophées aux maisons, ainsi que d’autres le font à l’égard des animaux pris à la chasse. Quant aux têtes des ennemis les plus renommés, ils les embaument avec de l’huile de cèdre et les conservent soigneusement dans une caisse. Ils les montrent aux étrangers en se glorifiant que leurs pères eux-mêmes n’ont pas voulu donner ces trophées pour beaucoup d’argent. On dit que quelques-uns d’entre eux, montrant une fierté sauvage, se sont vantés de n’avoir pas voulu vendre une tête contre son poids d’or ».
Sur YouTube ce très intéressant petit extrait de film archéologique intitulé "Quand les Gaulois perdaient la tête": https://www.youtube.com/watch?v=GczRbefa16k#:~:text=Quand%20les%20Gaulois%20perdaient%20la%20t%C3%AAte
À titre personnel, je me demande s'il n'y aurait pas une filiation pensable entre la coutume architecturale italienne du mascaron et la coutume belliqueuse d'affirmation territoriale gauloise de la tête coupée.
Rédigé par : Catherine JACOB | 06 août 2020 à 08:14
@ Isabelle
Il est convenu dans un certain milieu d'apprécier Barbara. Je n'ai jamais vraiment réussi à m'élever à son style musical. Je n'aimais pas son timbre de voix et ses paroles dont j'appréciais peu la connotation intellectualisante. Dans ses débuts, elle chantait même mal et de façon criarde. Le talent et l'obstination lui ont fait atteindre toutefois la perfection la plus élevée qu'elle pouvait tirer de son organe vocal. Le parcours de la femme est un modèle de persévérance, de volonté de ne pas subir et de surmonter toutes les difficultés. Par où, la dame est admirable.
Revenons aux sujets plus capitaux qui vous obsèdent et que je partage. Tout esprit pas tout à fait corrompu par l'esprit du temps ne peut que se lamenter des crimes qui sont tolérés aujourd'hui dans notre société. Que des enfants, des personnes vulnérables ou âgées, des femmes soient violentés par de plus brutales qui ne jouissent que de la force barbare comme supériorité ne peut qu'indigner.
Ces barbares bénéficient d'une complaisance coupable. Il est des crimes, des délits qui ne méritent que la mort pour sanction. Or, sous le prétexte fallacieux d'un humanisme vicié, nous consentons au pire. Il faut rétablir la peine de mort. L'abrogation de la peine de mort n'a de sens que dans une société chrétienne qui fait de la rédemption une valeur cardinale. Or, nous avons tous admis que dans notre société laïque et déchristianisée que Dieu est mort. Dès lors plus rien ne justifie de supporter et de tolérer la commission de tous ces forfaits sinon notre lâche faiblesse, d'autant que notre société n'a pas un scrupule si grand à attenter à la vie d'humains innocents aux extrêmes de la vie.
Si j'étais roi, toutes les violences dont nous avons entendu parler ces dernières semaines seraient châtiées sur la place publique. J'aurais fait également supplicier le Rwandais qui a brûlé la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes après lui avoir permis la confession de ses péchés s'il l'avait demandé. J'aurais fait tirer après avertissement dans la foule irrespectueuse s'en prenant aux symboles et à l'histoire de notre pays. En cela, j'aurais montré où est la force et la souveraineté et j'aurais rabaissé la plèbe au caniveau d'où elle ne devrait jamais émerger.
Rédigé par : Jean sans Terre | 06 août 2020 à 00:08
@ Giuseppe | 05 août 2020 à 13:45
Pour ce qui est des carburateurs à deux temps, je suis bien d'accord sur le prix prohibitif du même acheté en France que le concessionnaire de la marque achète à pleins cartons. Ils pleurent de voir leur clientèle déserter sans se remettre en cause.
Pour ce qui est aussi des engins dont vous parlez, je suis complètement imperméable à leur utilisation au point en ce moment de remettre en marche un Solex. Seul le port du casque obligatoire rend ridicule un peu la chose.
"La guerre pour faire table rase de tout, mais qui a envie de la guerre ?"
Elle nous sera imposée. Ceux qui la déclarent ne sont jamais ceux qui la font. Et elle sera civile.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 05 août 2020 à 18:54
@ Jean sans Terre
Je vous envoie ces mots de la chanteuse Barbara qui explique avec élégance comment elle a tenté d'oublier le pire... Honte à tous ces pédophiles de Paris ou d'ailleurs...
Très peu de choses sont dévoilées pendant très longtemps « Moi qui ne me souviens jamais d’un passé qui m’importune… », puis le rideau se déchire brutalement dans ses mémoires posthumes :
« Les enfants se taisent parce qu’on refuse de les croire. Parce qu’on les soupçonne d’affabuler. Parce qu’ils ont honte et qu’ils se sentent coupables.
Parce qu’ils ont peur […]
De ces humiliations infligées à l’enfance, de ces hautes turbulences, de ces descentes au fond du fond, j’ai toujours ressurgi. Sûr il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après… » Barbara
https://www.youtube.com/watch?v=tk6YruMrx2s
Rédigé par : Isabelle | 05 août 2020 à 15:51
@ Mary Preud’homme
Mary présidente, vite ! Monsieur Bilger Premier ministre, sbriglia à la culture... ça aurait déjà de la gueule ainsi, non ? Reste à compléter ma liste car après, les autres, je ne les connais pas assez pour m’y risquer...
Rédigé par : Cactus | 05 août 2020 à 15:28
Oui monsieur Sylvain un pays de chassieux ! Si je tire la chasse, vous passez par le trou ? Rassurez-moi ! Sissi !!
Rédigé par : Cactus | 05 août 2020 à 15:19
@ hameau dans les nuages | 04 août 2020 à 13:14
Tant que l'on y était nous avons dépecé le carbu de la débroussailleuse d'un très proche, Huayi... encore chinois. Neuf fois sur dix c'est là ou les membranes qui sont sèches et/ou fissurées. Toujours se procurer un kit d'avance, on amorce au E10 (ma voiture consomme du E10), avant de passer au mélange 2 % !
Au fait, il vaut mieux changer le carburateur entier que d'acheter une membrane made in France qui vous coûte le prix de deux bras ou trois si vous en avez un de plus.
Je suis sorti faire des courses ce matin, les doryphores sont là, et bien sûr en allant chercher la presse, le Canard, un de ces touristes n'avait pas le masque, il paraît que c'est obligatoire dans les lieux confinés.
La dernière fois que j'en ai fait la remarque il m'a été répondu que je n'étais pas là pour mordre, alors je me contente de répondre que je n'en ai rien à fiche de leur vie, que c'est la mienne que j'essaie de protéger... Inutile, c'est prêcher dans le vide, alors je passe mon chemin.
Je ne crois pas une seconde à un rapatriement de ce qui désormais se fabrique dans tous les pays exotiques de la planète, personne - et moi le premier - n'a envie de payer un carburateur aux alentours de 40 € alors que n'importe quel site chinois vous le propose à quatre fois moins que son prix.
Les masques commandés à des entreprises françaises ne trouvaient même plus preneurs dès lors que les appros étaient devenus réguliers. Et l'Etat de repartir au Vietnam - je crois - pour reconstituer ses stocks et lâcher comme de vieilles chaussettes ces entreprises locales qui s'étaient investies.
Il ne faut pas rêver, une société de production, à moins de se lancer dans une autosuffisance personnelle et d'accepter une frugalité d'après-guerre, n'acceptera jamais de perdre un confort et des biens de consommation, parfois superfétatoires, mais qui contribuent à un mode de vie actuel.
"On ne revient jamais en arrière en économie !" disait le défunt Cruchade sauf si le canon se met en action. La guerre pour faire table rase de tout, mais qui a envie de la guerre ?
Reste plus que la fuite en avant et de temps en temps acheter des poireaux au marché local pour se donner bonne conscience ou le poulet fermier (pas celui élevé en batterie à l'ENA), certes goûteux mais hors de prix dans un pays qui compte 9 000 000 de citoyens qui vivent sous le seuil de pauvreté.
On vit donc une époque formidable, les GAFAM n'ont jamais été aussi prospères et nous globalement toujours aussi c*ns.
"Nous allons vivre une époque formidable !"
Maintenant même les roadsters dépassent la barre des 200 chevaux, ce qui est totalement déraisonnable sur la route et pas du tout politiquement correct...mais « mamma mia » qu'est-ce que c'est bon ! La preuve avec l'accélérateur de particules routier que Ducati propose aujourd'hui : la Streetfighter V4, ici en version S dotée des suspensions Öhlins semi-actives."
https://auto.orange.fr/2-roues/essais/ducati-streetfighter-v4-CNT000001rZuXL.html
Et contre cela la lutte est inégale, la bougie n'est pas pour demain, le rêve c'est tous les jours, les jouets c'est tous les ans.
"Nous vivons une époque formidable", et demain sera pareil.
Rédigé par : Giuseppe | 05 août 2020 à 13:45
@ Gavot
Je connaissais le sens vieilli du mot. Je faisais sciemment de la provocation. J'attendais quelques réactions véhémentes. Il n'y en eut qu'une, la vôtre. Les autres personnes doivent être plus policées. Ils ne débordent plus depuis longtemps de ce qui est autorisé.
Le jeu était certainement bête, nous en avions d'autres plus sots encore qui éprouvaient nos forces et nous faisaient risquer nos vies. Les jeunes Lacédémoniens faisaient pires. Il est bon que la jeunesse s'éprouve. Quand le fera-t-elle sinon ? Certainement pas à cinquante ou à quatre-vingts ans. Il est trop tard. L'occurrence dont on parle est, dans les faits, assez innocente même s'il faut bien convenir que les courses-poursuites étaient idiotes. On ne circulait toutefois pas à cent à l'heure dans les rues. Le risque était, somme toute, limité. Mais admettons.
Quant à la faute pénale, c'est vrai tout est désormais circonscrit, réglementé, voire interdit dans notre ancien pays de franchise et de liberté. C'était déjà le cas il y a trente ans, moins certes que maintenant. On étouffe. Les jeunes étouffent. Il faut de l'air frais, un peu de folie et de déraison mais certainement pas cette discipline vermoulue qui bouche à la jeunesse tout l'horizon.
Homosexualité refoulée, dites-vous ? pourquoi pas. En psychanalyse, on parvient à tout, surtout à l'absurde. Il est vrai que je me suis à cet âge interrogé: pourquoi donc autant d'hommes venaient à moi ? J'ai mis pas mal de temps à comprendre. Alors les filles étaient moins audacieuses, les garçons quant à eux plus directs. Ainsi, ils essayaient. Moi, dans le fond, je n'étais pas méchant. Je leur répondais poliment sans ne jamais avoir aucun geste de rejet. Nonobstant mon refus poli, ils m'étaient à l'extrême reconnaissants de seulement ne pas les avoir rejetés. Ce qui me valait leurs faveurs et leur amitié. Par chance, car de ma part ce n'était pas calculé, je jouissais de la compagnie gracieuse de leurs amies. Je n'en abusais jamais. J'étais timide et tout simplement mieux né et éduqué.
Je rattrapai cela plus tard mais avec infiniment plus de délicatesse. Je n'étais tout simplement pas de mon temps et avais des mœurs différentes de mon époque à laquelle je résistais le plus que je pouvais. Je n'aimais pas mon temps. Je ne l'aime toujours pas. J'ai voulu et veux toujours vivre avec la beauté pour la vie exhausser. Le monde n'en a que plus de saveur.
Quant aux vieux hommes, je continue à sourire de nos frasques passées. Qu'il était amusant de voir leur figure passant de la bave lascive à la panique terrorisée. Ce n'était finalement que jeu innocent et moqueur d'un vice bien plus méprisable. Ils voulaient des émotions fortes pour retenir la vitalité qui en eux lentement s'échappait. Ils en ont eu plus qu'ils ne désiraient !
Rédigé par : Jean sans Terre | 05 août 2020 à 13:28
@ Gavot | 05 août 2020 à 09:47
Je n’aurais pas mieux dit. Encore un qui nous fait part de ses souvenirs du temps où il était jeune et dont on se fiche éperdument.
Rédigé par : Achille | 05 août 2020 à 12:49
Notre époque ne sait ce qu'elle veut. On crie, à raison, au scandale, sur les oeuvres et le personnage de G.Matzneff et dans le même temps, on met au programme de l'agrégation de Lettres, sous l'intitulé "Formes de l'amour", des poèmes de Pasolini adressés à son jeune amant. Ce n'est rien d'autre que de la pédophilie...
Horreur et scandale.
Rédigé par : Anne H | 05 août 2020 à 12:29
Nous sommes dans un monde en ébullition. Ça craque de partout. Ce qui se passe au Liban est une tragédie. Explosions comptant plusieurs dizaines de morts et quelques milliers de blessés. Carlos Ghosn ne doit pas dormir tranquille. Lui qui cherchait un abri sûr, eh bien ce n'est pas gagné.
Rédigé par : Ellen | 05 août 2020 à 11:30
@ Jean sans Terre | 04 août 2020 à 01:06
Vous vous amusez avec nostalgie de ce que vous appelez "un jeu débile qui nous esclaffait" qui est en réalité un délit puisqu’il s'agit de violences sans ITT aggravées par trois circonstances (en réunion, avec armes et préméditation) qui à l'époque vous faisait risquer à vous et vos "bougres de copains" jusqu'à 5 ans d'emprisonnement (7 années aujourd'hui).
On y rajouterait même de nos jours une quatrième circonstance aggravante de violences "à raison de l'orientation sexuelle" (article 222-13 du C. pénal).
Votre lamentable récit au travers du vocabulaire employé ("joli garçon" "minois si mignon") permet néanmoins de s'interroger sur les racines de cette violence tant il est usuel de dire, en psychologie de comptoir, qu'il s'agirait là de l'expression d'une homosexualité refoulée. Je dois dire que l'image que vous choisissez de ces jeunes hommes brandissant à la main des battes de base-ball plaide en faveur de cette interprétation... quant à l'usage du qualificatif "bougres" pour vos copains, je ne peux croire que vous ignoriez sa signification première.
Rédigé par : Gavot | 05 août 2020 à 09:47
@ Isabelle | 04 août 2020 à 15:07
Isabelle, il faudrait des millions d'autres Français pour dénoncer cette réalité qui ne fait que s'aggraver et met la France et l'Europe en péril.
La France n'a jamais été aussi défigurée, maltraitée et violentée depuis que nos politiques de tous bords ont laissé piller aveuglement et volontairement notre pays, qui aujourd'hui, se trouve dans une situation intenable.
Tant que nous n'aurons pas à la tête du pays un vrai chef, jamais la France ne pourra se relever. Et ce sera de pire en pire.
Nous avons la France à l'image de nos politiques: des incapables et des traitres !
Rédigé par : Ellen | 05 août 2020 à 06:58
Christophe Girard était un très mauvais adjoint à la Culture. L’affaire Dutilleux en a apporté la preuve.
Son amitié pour Matzneff serait indifférente s’il n’avait permis à celui-ci, en lui louant un appartement, de perpétrer ses activités délinquantes et si les repas offerts à cet individu jusqu’à une date très récente avaient été réglés sur sa cassette personnelle.
Rédigé par : Merville | 05 août 2020 à 02:07
Les Libanais ont de la "chance" que ce ne soit pas une période de coupe du monde ou de J.O., sinon leur attentat n'aurait fait qu'une brève voire un sous-titre sur les chaînes info et le reste.
Je me souviens de l'attentat en Irak qui avait été le plus meurtrier de l'histoire du pays, pas de pot il était tombé le soir de la finale de la coupe du monde France-je ne sais plus qui, résultat, personne n'en avait parlé.
Rédigé par : Wil | 04 août 2020 à 23:37
L et G allaient de pair, faisaient la paire, avant de devenir trio, avec B, puis quatuor, avec T, et se perdre dans la foule des QIA+..., ils s’aimaient alors, à deux, faisaient tout ensemble, défilaient en de mémorables fiertés, remportaient les mêmes succès... Mais voici qu’au sein de Conseil de Paris, ils se déchirent sans pitié. Il en va souvent ainsi. Quand on est trop proche, quand on désire trop les mêmes choses, quand le mimétisme s’en mêle, la haine succède à l’amour, la discorde à la concorde.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 04 août 2020 à 22:59
Tous ces pays nordiques m'épateront toujours, il faut reconnaître que c'est la grande classe, non seulement plus efficaces économiquement, mais en plus tout en... Enfin chacun jugera, quand la valeur n'attend pas le nombre des années :
https://i.goopics.net/JN53X.png
La force et l'esprit, l'efficacité au bout. Seule la victoire est belle.
Je comprends le général Georgelin quand il a tapé du poing sur la table.
Deux ans il a fallu à Renzo Piano pour mettre les pendules à l'heure, un ouvrage extraordinaire, alors j'espère que notre militaire ne se laissera pas endormir pour quelques voûtes en pierre et quelques menus échafaudages.
Le plus dur à affronter pour ce dernier sera l'inertie de tout un ensemble de corporations qui protégera son pré carré.
Si la volonté de fer est là, les volumes à bouger sont négligeables par rapport à ce qu'a fait Renzo Piano, tout est dans la force, et l'esprit.
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/biens-d-equipement-btp-immobilier/genes-inaugure-son-nouveau-pont-deux-ans-apres-un-effondrement-meurtrier-854182.html
Rédigé par : Giuseppe | 04 août 2020 à 21:44
@ Exilé | 04 août 2020 à 08:51
On ne badine pas en effet avec les scandales en Suède, une fois avérés.
Puisqu’il est question de culture, le ministre femme suédois de la Culture, avait en effet omis de s’acquitter de la redevance audiovisuelle pendant seize ans. Montant de la facture : 22 000 couronnes, soit 2 350 euros. Et quand bien même 2 350 euros ne sont pas 336 000€, ce ministre s'est vu contraint de démissionner.
Cela dit, leurs agents du fisc devraient venir faire des stages à Bercy, car je ne pense pas que cela eût pu arriver en France sur un laps de temps aussi long. Quant au ministre femme du commerce, elle avait employé au schwarz comme disent les Alsaciens, la nourrice de ses enfants. Ce qui atteste tout de même d’une moralité parfois peu scrupuleuse chez les élites suédoises alors que les citoyens y bénéficient d’un droit de regard institué dès 1766 sur les petites indélicatesses privées comme sur l’utilisation des fonds publics. Qu’est-ce que ce serait donc, s’ils n’en disposaient pas !
En tout cas les coupables une fois découverts ne font pas long feu dans les administrations publiques. Que ce soit pour quelques omissions ou pour avoir acheté des couches culottes et une barre chocolatée avec une carte bancaire professionnelle quand bien même un remboursement a eu lieu par la suite.
Maintenant, le cas des notes de frais concernées semble différent dans la mesure où il semble que les déjeuners d’un adjoint à la culture avec un auteur, même sulfureux, soient davantage professionnels que privatifs. Je ne sais pas beaucoup d’exemples du contraire, à savoir que ses dépenses professionnelles soient réglées par le porte-monnaie personnel de l’agent. Mais ça existe sans doute.
Rédigé par : Catherine JACOB | 04 août 2020 à 21:22
"Face aux fous furieux qui réclament l'accès aux toilettes des femmes" (Robert Marchenoir)
George Sand, habillée en homme, au cours d’une soirée : « Nous les hommes... »
Musset, l’interrompant : « Viens, on va pisser... »
Rédigé par : sbriglia | 04 août 2020 à 21:19
L'ancien porte-parole du gouvernement et ex-candidat aux municipales de Paris, Benjamin Griveaux, a été chargé par le Premier ministre d'une mission parlementaire sur l'alimentation des jeunes, selon le Journal officiel publié mardi.
Comme quoi LREM fait la preuve qu'il sait recycler... nos impôts ;)
Rédigé par : breizmabro | 04 août 2020 à 20:01
Finalement, cette affaire de notes de frais, d’agapes amicales payées par le contribuable, n’est qu’une peccadille. Il ne faut néanmoins pas l’oublier. Mais la vraie question qu’il faut examiner à propos de Christophe Girard est le bilan de son action à la tête des services culturels de la Ville de Paris. Ce M. Culture, installé depuis 2001, a-t-il fait progresser la capitale, l’a-t-il maintenue à son rang - le premier -, a-t-il préparé l’avenir... ou s’est-il contenté de vivre sur l’acquis ? A-t-il pris conscience du phénomène irréversible de la mondialisation de la culture, au sens économique du terme ?
Pourquoi le touriste vient-il à Paris ? Certes pour profiter de son patrimoine exceptionnel - l’émotion mondiale provoquée par l’incendie de Notre-Dame en a été une preuve -, pour participer à la vie trépidante de certains quartiers, pour descendre les Champs... La Tour Eiffel - hors coronavirus - ne désemplit pas...
Mais vient-on à Paris pour repérer les tendances de demain, les fulgurances de la création, les modes qui émergent ?...
La réponse, cette fois, n’est pas unanime à en croire certains classements, certes anglo-saxons, qui mettent en avant Londres, New York, Berlin, voire Rome ou Vienne... Et, l’an dernier, Paris a reculé de six places - de la 19e à la 25e - dans le classement des villes les plus agréables du monde. Merci aux Gilets jaunes... mais merci aussi à la politique de la mairie, laxiste en matière de propreté, féroce en matière d’accès automobile. M. Girard, coincé par ses engagements « verts » et « roses », a-t-il suffisamment alerté Anne Hidalgo sur les effets néfastes de ses lubies ?
Tout ceci mériterait qu’à l’occasion de son départ, un bilan soit dressé de son action. Ce qui permettrait, si nécessaire, de peut-être réussir à redresser la barre... et de rivaliser à armes égales avec ces concurrentes qui, depuis vingt ans, ont fait mieux qu’émerger.
Tout en sachant qu’en matière de culture, les responsabilités sont partagées entre la Ville et l’Etat et devraient l’être avec le Grand Paris.
Rédigé par : Serge HIREL | 04 août 2020 à 17:56
Règlement de comptes à LGBT Corral ; à quand un western-péplum avec Hercule nettoyant les écuries de Paris, Texas ?
Rédigé par : revnonausujai | 04 août 2020 à 17:08
« Fustigeant, à cause de ce processus choquant, le "retour de Robespierre", il a estimé "la démocratie en danger" et, avec cette présomption d'innocence bafouée, il se voit comme "le premier fusible, il y en aura d'autres". » (PB)
« En mars 2015 a lieu une polémique au sujet de l'inauguration d'une plaque commémorative sur l'immeuble où habitait le compositeur Henri Dutilleux dans le 4e arrondissement de Paris. Christophe Girard et son adjointe Karen Taieb révèlent la note du Comité d'histoire de la Ville de Paris présidé par Danielle Tartakowsky indiquant des « faits de collaboration avec le régime de Vichy », qui rendraient l'installation de la plaque non appropriée, faisant allusion à la composition d'une musique d'un film à la gloire des sportifs, commandité par le régime de Vichy.
Ces propos déchaînent une réaction considérable dans les réseaux sociaux et le milieu musical, où Dutilleux est au contraire connu pour son humanisme et son engagement dans la Résistance. Les historiens et spécialistes rappellent l'appartenance de Dutilleux au Front national des musiciens et blâment l'« ignorance assez comique » du maire du 4e arrondissement. Le pianiste Philippe Cassard juge ces attaques contre le compositeur « ignobles ». Il n'échappe pas à la condamnation des hommes politiques de gauche tel Jack Lang qui se dit « abasourdi par ce mélange d’incompétence et de veulerie. » (Wikipédia)
Bref, on pourra préférer lire les éloges de Jean d’Ormesson, Montherlant et bien d’autres sur les écrits de Gabriel Matzneff que d'assister à ce spectacle surréaliste : Philippe Bilger défendant le Saint-Just de la gauche bobo victime de sa progéniture intellectuelle dévoyée…
Rédigé par : sbriglia | 04 août 2020 à 16:23
Pour compléter l'info d'Isabelle 03/08/20 14:10
Edwy Plenel ne recule vraiment devant rien. La semaine dernière, sur Twitter, le patron de Mediapart volait au secours du maire écologiste de Colombes, Patrick Chaimovitch, qui avait dressé un parallèle entre la police de Vichy et celle d’aujourd’hui lors d’une cérémonie de commémoration de la rafle du Vel d’Hiv. Le journaliste a récidivé, dimanche 2 août, toujours sur le réseau social, en comparant cette fois le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin… au secrétaire général à la police de Vichy René Bousquet. (Valeurs actuelles)
https://www.valeursactuelles.com/societe/policiers-et-rafle-du-vel-dhiv-edwy-plenel-compare-darmanin-au-chef-de-la-police-de-vichy-122344
Outre que Plenel montre encore une fois qu'il ne recule devant aucune infamie pour vendre sa sauce, et qu'il peut le faire en toute impunité, c'est l'occasion de s'interroger sur les collaborationnistes en 1942.
En effet à l'époque, non seulement les Allemands eux-mêmes ignoraient le sort des juifs qu'ils déportaient, mais de nombreux Français pensaient sincèrement que l'avenir de l'Europe était avec l'Allemagne contre la Russie, et l'affaire était loin d'être simple.
En tout état de cause, il n'y a jamais lieu en politique, de condamner les gens sincères, même s'ils se trompent.
Vouloir jeter Macron et sa bande est une chose, vouloir les guillotiner en est une autre - encore que du côté covid-19 et la mafia pharmaceutique...
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 04 août 2020 à 16:14
Christophe Girard est parti. Les islamistes sont, eux, de plus en plus présents.
Montée de l'islamisme en France, Mohamed Louizi subit son énième procès (le cinquième ou le sixième). Ils finiront par l'avoir à l'usure. Son compte Twitter est fermé ?!
https://www.causeur.fr/mohamed-louizi-rachid-el-kheng-islamisme-proces-macron-167665
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C. Girard est parti.... 6 000 migrants Tunisiens viennent d'arriver en Italie.
Il n'y a pas la guerre en Tunisie ?! Retour à l'envoyeur.
Bientôt en France à réclamer des allocations, des soins et tutti quanti.
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/refugies-tunisiens-a-lampedusa-pres-de-6000-migrants-sont-actuellement-sur-la-petite-le-italienne?id=3050475
Il paraît, pourtant, que nous ne devons pas propager la Covid.
Hakim El Karoui pense ponctionner les retraités français pour faire face à l'effort sanitaire.
Il faut arrêter de nous prendre pour les perdreaux de l'année.
Rédigé par : Isabelle | 04 août 2020 à 15:07
"J'ai reconnu des erreurs, j'ai payé", estime François de Rugy.
Il n'a rien payé du tout ! C'est la moindre des choses qu'il prenne la porte et un comportement de vorace de son acabit ne mérite rien de plus que la porte, et dans la gestion sereine de nos vies publiques on ne veut plus le voir.
Trahir la confiance du citoyen pour quelques crustacés et bouteilles fines, la confiance ne se monnaye pas, n'a pas de prix.
Rédigé par : Giuseppe | 04 août 2020 à 14:07
En fait on s'en tamponne durement le coquillard de Christophe Girard, ce qui nous intéresse, c'est ça rien que ça :
ehttps://www.voltage.fr/news/port-du-masque-un-pere-de-famille-passe-a-tabac-dans-une-laverie-du-val-d-oise-53405
J'espère qu'ils seront pendus haut et court, cette équipe digne d'Orange mécanique. Comment peut-on accepter cela ? C'est une priorité avant que l'on passe à des milices et le Français moyen se munit des mêmes armes dans son véhicule.
Désespérant ! Même le meurtre du chauffeur de Bayonne n'a pas servi de leçon, quand on veut éradiquer, seule la loi du Talion est efficace.
On peut raconter toutes les fadaises que l'on voudra, ces crapules qui ont agressé ce père de famille méritent le même châtiment.
On parle de réponse adaptée, alors nous allons prendre ces crapules et en face on va mettre les mêmes du bon côté comme l'étaient les éducateurs d'un centre spécialisé.
Assez de ces voyous, de ces crapules qui pour un oui ou un non sont prêtes à vous détruire pour une histoire de masques, laissez-nous nous défendre nous savons faire, sans attendre les policiers qui arrivent souvent - ce n'est pas leur faute - après la bataille.
Oui la loi du Talion, ces crapules ne méritent pas autre chose, venir agresser devant ses enfants le père... On croit rêver ! "Ils sont irrécupérables" me disait le directeur d'un centre de la dernière chance, alors n'accordons plus de deuxième chance.
Être en colère n'est pas une fatalité, on ne peut plus être sans arrêt en colère, il n'est plus possible de rester passif, la justice doit passer, "à deux centimètres près" ces crapules sans état d'âme fracassaient une famille pour un masque, même pas un euro sur le marché.
Voyons leurs casiers judiciaires qui doit être aussi long qu'un jour sans pain. Le pedigree de ces crapules - qui en moins de temps qu'il ne faut le dire avaient des battes de baseball à portée de main - qui sont bien sûr les chances de la France, ceux qui vont sauver le pays de par leur travail et leur investissement... Assez, et surtout le crier et dénoncer sur tous les toits, on en a assez, on va prendre les armes si cela continue.
Rédigé par : Giuseppe | 04 août 2020 à 13:56
@ Giuseppe | 03 août 2020 à 22:39
À propos de votre moteur à deux temps, attention au mélange... 2 % maxi... :)
Cela me rappelle le slogan de l'époque, à savoir que la France devait être comme une mobylette et marcher au mélange.
On en est à combien d'huile dans l'essence dans notre beau pays ?
J'ai habité le quartier de la Benauge de Bordeaux. Ce matin un jeune Franco-Turc est passé au tribunal pour avoir menacé d'égorger sa victime. Que du banal à Bordeaux maintenant. Mais en remontant sur la page Facebook de cet olibrius, ce que les forces de l'ordre sont à même de faire, je l'ai retrouvé tirant couché au fusil à lunette avec la mention "je suis prêt", photo datant de 2015.
Nous allons vivre une époque formidable.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 04 août 2020 à 13:14
Pendant que l'actualité est la dictature sanitaire et malsaine, avec des restrictions des libertés sans précédent, vous jouez au prof de morale sur un non-sujet.
Vaste enfumage !
Quel est votre véritable objectif dans cet enfumage ?
Rédigé par : Le Rabouilleur | 04 août 2020 à 10:46
Le problème de Christophe Girard n’est ni son homosexualité affichée (qui ne devrait d’ailleurs ne pas être un plus), ni son amitié reniée avec un pédophile supposé (jusqu’à plus ample informé rien ne dit que ce qu’il a écrit corresponde à une réalité). Son vrai sujet est la calamiteuse politique culturelle qu’il se vante avoir menée. La création du 104, soi-disant lieu de culture, vrai souk de création de pacotille, déjà un gouffre financier avant l’arrivée de la Covid, qui va devenir un abîme de plus à combler par les contribuables parisiens ; et nos poches monsieur Girard, un lieu de prédation ? L’idée de Paris-Plages hésite entre un barnum absurde (pourquoi une plage au bord d’une rivière imbaignable ?), et un lieu de convivialité entre éphèbes et musculeux du quatrième arrondissement (ce qui ne relève pas d’un service au public) ; un peu de tenue monsieur Girard ! Et pourquoi oublier les sculptures de ses amis dont il affublé la capitale : les immondes et dispendieuses fleurs de Jeff Koons, les affligeantes fontaines (?) des Bouroullec au rond-point des Champs-Elysées, la vandalisation de la place de la République au profit d’un aménagement hideux ; merci de ces faux créateurs à monsieur Girard.
En bref le déguerpissement de cet adjoint à la Mairie de Paris est une très bonne nouvelle pour le futur de la création artistique et le développement de la culture dans notre cité.
Rédigé par : Olivier Seutet | 04 août 2020 à 10:13
"Christophe Girard est parti, il a bien fait !"
Il a raison.
Continuer à se laisser pourrir la vie professionnelle et personnelle par des ayatollahs féministes gauchistes aux poings fermés, devenues en peu de temps plus atteintes par l'hystérie compulsive collective que pour la réelle défense de la femme maltraitée, serait encore plus dommageable pour la tranquillité de Christophe Girard, de la police et des résidents de Paris et d'ailleurs.
Un peu de calme dans les rues ne serait pas un luxe. Marre de leurs manifs !
Rédigé par : Ellen | 04 août 2020 à 09:27
@ Mary Preud'homme
Bravo madame, rien à ajouter de plus, c'est parfait !
Rédigé par : Myrto | 04 août 2020 à 09:22
Ne connaissant comme Girard en rapport avec le domaine culturel que « René Girard» bien connu de nombre de commentateurs de ce blog, décédé en 2015, le père de la théorie mimétique, ainsi que Frédéric Girard qui est notamment l’auteur d’une communication sur «l’ État des études sur la pensée japonaise en France » (2004) manifestement essentiellement occupé de l’étude du bouddhisme, je me suis dit : « Tiens, jamais deux sans trois, qui c’est celui-là ? ».
N’étant pas en effet Parisienne, je ne connais pas les adjoints à la culture de la mairesse de Paris, et j’ai dû, pour comprendre, effectuer la petite recherche habituelle et donc consulter sa notice biographique qui m’a appris qu’il avait, lui aussi, un rapport avec le Japon puisque c’est à Tokyo qu’en 1976, il a fait la connaissance de Pierre Bergé et d’Yves Saint Laurent qui avaient un accord avec les Grands Magasins SEIBU depuis 1963, grands magasins où étaient organisés les défilés de la collection Saint Laurent .
Nous étions nous aussi à cette époque au Japon, mais, bien que Français et en rapport avec la promotion de la culture française au Japon, n’avons jamais rencontré ces personnages tant lors de leurs visites de Tokyo que de Kyoto, ni même, par la suite bien que Saint Laurent ait été fortement influencé par les arts japonais et notamment le Kabuki. Je suppose que la communauté LGBT était à l’époque un milieu assez fermé, et n’ai eu de contact qu’avec des Japonais qui travaillaient pour L’Oréal, autrement dit avec un courant culturel parallèle et, comme on sait, les droites parallèles ne se rejoignent qu’à l’infini…
Et donc, en effet, ce Girard-là qui, en juin 2013, a épousé le cinéaste Olivier Meyrou, était, j’imagine, plutôt connecté au Japon de Roland Barthes, celui de « L’empire des signes » où se trouve notamment une grammaire de la Tempura , beignet érigé au statut de signe alors que, bien que réinterprété et sans doute est-ce cela qui eût dû être ‘signe’, il s’agit d’un plat que les Portugais qui débarquèrent sur les côtes nippones au XVIe siècle y ont importé et dont le nom, « tempura » ou la première syllabe s’écrit avec le caractère pour « Ciel » (天ぷら), est réputé être est le mot « tempora » qui désignait le jour où les missionnaires avaient mangé du poisson, car ils avaient pour habitude de cuire poissons et fruits de mer dans une pâte à beignet durant le jeûne des Quatre-Temps. .
Bref, ce Girard-là gravitait donc manifestement dans un milieu un peu réservé, peut-on dire, et militant de la cause, celui du PS LGBT, puisqu’il a écrit sur la page de garde : « de son livre Père comme les autres, publié en 2006 : « Je suis père et homosexuel, j'ai écrit ce livre pour que ces deux mots aillent ensemble. »
Il est réputé donc être le père de trois enfants ce qui explique sans doute que, bien qu'innocent, je veux le croire en tout cas, de toute sympathie pour les pratiques prônées par GM, il ait préféré démissionner afin de les protéger des Ménades de notre époque dont la transe serait à relier initialement aux « rituels nocturnes du feu célébrés en plein air dont toute présence étaient exclue pour la simple raison que », comme dans le cas de la mayonnaise qui veut que si ragnagna tu as, mayo tu rateras, mais cependant à l’inverse, « celle-ci les ferait échouer. Le « Feu divin » serait en effet un mari jaloux. » On mentionne que -
Jean Haudry, « Le feu dans la tradition indo-européenne », Archè, Milan, 2016 (ISBN 978-8872523438), pages 385-386-, et comme souvent d’ailleurs, « ces rituels qui n’avaient rien de subversif au départ, le sont devenus en perdant leur signification. »
On précise également que « Ces pratiques ont reçu une interprétation psychanalytique de la part d'un psychiatre autrichien, Paul Diel, dans son ouvrage, Le symbolisme dans la mythologie grecque, à savoir qu’on peut y voir le « symbole du déchaînement frénétique des désirs multiples » et de la « libération à l'égard de toute inhibition » dont le « châtiment est l'écartèlement ».
Et c’est là qu’on revient plus directement au sujet en ce qu’en effet, sur le, plan symbolique uniquement bien évidemment, un « certain féminisme » peut être considéré comme une forme de moderne d’état sauvage du « ménadisme ».
Cela étant, il est certaines nominations qui, en des temps de féminisme trouble comme l’est le temps présent, représentent a minima ce que j’appellerais des Fashion faux pas.
Rédigé par : Catherine JACOB | 04 août 2020 à 09:06
En faisant régler par la mairie trois notes de fais. Quel scandale !
En Suède, qui n'est pas une république bananière, une ministre avait été obligée de démissionner pour moins que cela.
Rédigé par : Exilé | 04 août 2020 à 08:51
Ce n'est jamais qu'une manifestation de plus du stade terminal du politiquement correct : poussé à l'extrême, celui-ci explose sous ses contradictions.
Un politicien, militant homosexuel de sexe masculin, est déboulonné de son poste par d'autres politiciens, militants homosexuels de sexe féminin.
Je reprendrais bien une bière et un peu de saucisson.
Cela fait un bout de temps, maintenant, que nous assistons à ces pittoresques joutes au sein du même camp, tout à fait similaires aux éliminations successives et réciproques des communistes à l'ère stalinienne.
L'une de ces contradictions les plus amusantes est le conflit qui oppose les féministes aux transsexuels militants. Des insultes spécifiques ont même été forgées à cet effet, comme toujours chez nos amis gauchistes.
Face aux fous furieux qui réclament l'accès aux toilettes des femmes et aux compétitions sportives féminines, bien qu'ils soient dotés d'un appareil génital masculin (mais ils ont "fait leur transition en tant que femmes", donc on est obligé de les considérer comme tels, à moins de vouloir être classé parmi les délinquants), les féministes les plus enragées d'hier sont désormais considérées comme d'horribles réactionnaires abonnées à Saint-Nicolas-du-Chardonnet (y compris lorsqu'elles sont militantes homosexuelles), sous prétexte qu'elles s'obstinent à prétendre qu'une femme est une femme, et un homme un homme.
En conséquence, elles sont des TERF. Ne m'obligez pas à traduire : il vous suffit de savoir que c'est vraiment très vilain. Je vous garantis que pas plus que vous n'avez envie d'être "raciste", vous n'avez envie d'être une "trans-exclusionary radical feminist".
Je passe sur les "anti-racistes" blancs qui sont évidemment des ordures de caniveau face aux Noirs de gauche, les Blanches "anti-racistes" qui n'ont en mains que deux jokers au lieu de trois pour leurs consœurs noires (et ont donc intérêt à ramper devant elles)...
A ce sujet, je signale un fait rarement évoqué : non seulement les Black Lives Matter ne sont pas "un mouvement spontané d'indignation populaire contre les violences faites aux Noirs", non seulement c'est un mouvement politique organisé, ancien, extrémiste, avec une stratégie, des dirigeants, une histoire et des objectifs, mais c'est un mouvement à la fois noir, marxiste, homosexuel et manipulé par des Juifs de gauche.
Cette fusion nucléaire de politiquement correct est incarnée par Patrisse Cullors. Oui, lorsqu'un Américain porte un prénom aussi ridicule, vous pouvez être sûr que c'est un Noir.
Patrisse Cullors, co-fondatrice du mouvement Black Lives Matter en 2013, avait affirmé, lors d'une interview deux ans plus tard, que les membres fondateurs du mouvement étaient non seulement "des marxistes", mais "des marxistes dûment formés au marxisme".
Cela, en réponse à un intervieweur complaisant, qui lui soumettait certaines critiques émanant des militants noirs eux-mêmes, selon lesquelles les BLM n'auraient aucune idéologie bien précise.
Pas du tout, a-t-elle répondu, nous sommes des marxistes, et nous avons tous les certificats en bonne et due forme pour le prouver.
Et c'est exact. Patrisse Cullors a été recrutée et formée par Eric Mann, un Blanc, directeur du Labor Community Strategy Center, un groupuscule fondé en 1989 dont l'objectif est d'embrigader les Noirs au service de "la">https://leftcoastforum.org/tag/eric-mann/">"la résistance pro-communiste à l'empire américain".
Eric Mann est, de plus, typique de cette longue succession de Juifs de gauche qui, aux États-Unis, ont entrepris de manipuler les Noirs, depuis près d'un siècle, au profit de leur objectif révolutionnaire communiste. Le marxisme n'a fait que changer de cheval : la classe ouvrière ayant déçu, les Noirs sont présumés servir avantageusement de substitut.
En 1968, Eric Mann a été responsable régional du mouvement gauchiste Students for a Democratic Society. Un an plus tard, il rejoignait sa faction la plus extrémiste, les Weather Underground, dont l'objectif avoué était le renversement de l'État américain. Après avoir participé à l'une de leurs actions violentes, contre l'université de Harvard, il a été condamné à 18 mois de prison.
Il est intéressant de noter que le Labor Community Strategy Center d'Eric Mann a fort proprement infiltré les institutions de l'ONU, au nom de diverses causes de gauche : en tant "qu'ONG", il a participé à la conférence contre le racisme à Durban en 2001, à la conférence sur le développement durable à Rio en 2012...
Il fut aussi un participant officiel de la COP 21, à Paris, en 2015 (mais à part ça, le "réchauffement climatique" est une question strictement scientifique, pas du tout un cache-sexe du gauchisme mondialiste...).
Pour en revenir à Patrisse Cullors, c'est une homosexuelle, qui vit avec la co-fondatrice des Black Lives Matter pour le Canada : une certaine Janaya Khan, qui se déclare "queer" et "non binaire", et au sujet de laquelle j'ai été incapable de trouver un seul article comportant un indice sur son sexe véritable, en dehors des photos. Elle se présente comme narratrice d'histoires, militante, écrivain et activiste (mais pas au féminin, grands dieux !).
Sur les trois fondateurs des Black Lives Matters, Patrisse Cullors, Alicia Garza et Opal Tometi (*), trois sont des femmes, toutes sont des féministes et deux sont des homosexuelles déclarées. Alicia Garza se dit "queer", tout comme Patrisse Cullors, et a épousé ce que le jargon politiquement correct appelle "un homme transgenre" (j'ignore s'il s'agit du point de départ ou du point d'arrivée). En tous cas, vous pouvez admirer le bestiau ici. Pour moi, il s'agit d'une lesbienne particulièrement hommasse, mais je ne tiens pas à connaître les détails.
Pourquoi est-ce important ? parce que ce n'est pas qu'une question de "vie privée", bien sûr. Le verbiage du militantisme homosexuel est omniprésent chez les Black Lives Matter. Ils ne ratent pas une occasion de fustiger "la pensée hétéronormative". Ils déclarent explicitement leur but de détruire la famille : "Nous voulons saboter la norme occidentale de la famille nucléaire".
C'est d'autant plus piquant qu'un mépris extrême des homosexuels est particulièrement répandu chez les Noirs.
Et remarquez autre chose : les fondatrices des Blacks Lives Matter incarnent une minorité parmi la minorité.
Elles sont très loin de la classe ouvrière noire que les Black Lives Matter sont censés représenter. Elles-mêmes et leurs "compagnes" s'affichent en fashionistas évaporées sur des photos de mode du dernier snob. Tout en nous délivrant leur catéchisme politique, bien sûr.
Elles déclarent ouvertement être des professionnelles de la "justice sociale". Elles sont payées pour ça. Elles en vivent. Voilà qui rappelle furieusement nos fonctionnaires, nos syndicalistes et nos "associatifs".
Même leur militantisme sexuel prend le parti d'une minorité extrême au sein de ce qui est déjà une infime minorité. Patrisse Cullors et Alicia Garza (**) ne se revendiquent même pas de l'homosexualité : elles se définissent comme "queer". La première vit avec une "non binary", la seconde a épousé un "transgender". Je ne serais pas étonné d'apprendre que les militants homosexuels "normaux" leur reprochent de subvertir leur cause.
En France, ces gens seraient qualifiés de bobos foldingues qui se la pètent. Quelle proportion de la population américaine représentent-ils ? Beaucoup, beaucoup moins que 1 %...
Pour résumer : tout fait ventre, chez les communistes, pour détruire la civilisation occidentale qu'ils haïssent. Aucun déguisement idéologique n'est trop grossier. Nous avons, ici, un véritable concentré de subversion, qui s'attaque à tous les piliers sociaux en même temps.
Enfin, pour revenir à Christophe Girard, sur lequel je n'ai pas l'intention de m'apitoyer : ce que lui reprochent ses opposants n'est pas seulement d'avoir invité Gabriel Matzneff à déjeuner sur note de frais. C'est de lui avoir procuré des allocations publiques et un logement, successivement comme responsable de la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent et comme élu municipal.
J'ai été parmi les premiers à me scandaliser des activités de Gabriel Matzneff, lorsqu'il les étalait complaisamment dans Le Monde et que la société le portait au pinacle.
Je n'en suis que plus à l'aise pour réclamer, aujourd'hui, que ceux qui l'encensaient hier aient le courage d'assumer leur créature, et lui laissent la menue monnaie que l'État fort et stratège dispense à tant de ses obligés.
Quel courage de couper les vivres à un vieillard la veille de sa mort ! C'est un peu comme les gardiens de camps nazis que l'on traîne en fauteuil roulant devant les tribunaux, soixante-quinze ans après les faits.
______
(*) Opal Tometi, de surcroît, est ce qu'on appellerait en France une immigrée. Elle est fille d'immigrés nigérians, ce qui constitue une distinction sociale importante parmi les Noirs aux Etats-Unis : par définition, elle ne peut pas prétendre avoir été victime de l'esclavage... Les Noirs américains n'ont pas une tendresse excessive pour les immigrés noirs.
(**) Alicia Garza se dit juive, en sus, en vertu d'un beau-père qui l'était (et la Jewish Women's Archive la reconnaît comme un des siens) : noire, juive, femme, adepte d'une secte marginale parmi les homosexuels et marxiste, elle collectionne les jokers politiquement corrects !
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 août 2020 à 05:07
@ Isabelle
Le sujet du jour était passablement ennuyeux. Les commentaires m'ont parfois fait sourire, notamment votre évocation de Philippe Lavil qui n'est pas sans lien avec le souvenir de quelques excentricités adolescentes.
Durant l'été de mes dix-huit ans, il y a une trentaine d'années, nous nous ennuyions quelquefois le soir. Avec mes copains, nous avions un jeu débile qui nous esclaffait. J'étais joli garçon, avec un minois si mignon et si aimable qu'il attirait autant les filles que les garçons. Je prenais alors ma 2 CV jaune canard. Mes copains étaient cachés à l'arrière, recroquevillés au pied de la banquette. Je mettais le poste à fond. La chanson que je faisais passer était "Avec les filles je ne sais pas" de Lavil. J'allais aux abords des parcs à homosexuels et faisais quelques sourires racoleurs aux vieux pervers du coin. Ils mordaient vite à l'hameçon. Je reprenais la route vers les quais, faisant signe à mes amoureux d'un soir. Sur les quais, je m'arrêtais. Eux s'arrêtaient un peu plus loin, sortaient de leur voiture et venaient me rejoindre.
C'est alors que je faisais signe à mes bougres de copains qui surgissaient soudainement en vociférant bruyamment avec à leurs mains des battes de baseball brandies rageusement. Les vieux hommes déguerpissaient si vite qu'on aurait cru qu'ils avaient retrouvé leurs vingt ans. Une course poursuite s'engageait chaque fois puis passé cinq à dix minutes, nous cessions.
Il n'y avait dans nos jeunes têtes aucune idée de violence. Nous nous amusions à effrayer l'amateur de chair fraîche. On riait beaucoup. Tous ont chaque fois fui, aucun ne nous a affrontés.
Revenons à Lavil. À la fin de la chanson, il y a : "avec les filles je ne sais pas". C'est toujours le contraire de ce que me disait un… ami… Marcel, vous savez… Zanini… le playboy… lunettes américaines, moustache américaine, shampoing américain … lui, il sait mais moi "je ne sais pas quand il faut ou quand il faut pas, parler du temps ou parler d'amour, aller chez lui ou faire la cour…"
J'adorais cette chanson. Pour me consoler ou consoler mes amis quand le chagrin nous prenait après une rupture ou un échec amoureux, je passais cette chanson et la chantais jusqu'à rire de moi-même. Trente ans ont passé et depuis je suis comme Marcel: je sais…
Passons à Zanini, Turc musicien de jazz, toujours vivant et presque centenaire, connu surtout pour son succès "Tu veux ou tu veux pas" avec le final amusant "Quoi ? Ah tu dis oui... Aaaaaaaaaah, eh ben moi j’veux plus !
Ouh ! la la", moins connu pour être le père d'Alain Zannini, dit le Nabot, puis Nabe tout court, un ancien d'Hara-Kiri, antisémite virulent, grand admirateur du terrorisme islamique.
Décidément, le diable se niche dans les détails.
Rédigé par : Jean sans Terre | 04 août 2020 à 01:06
@ Achille
"Il n’était peut-être pas l’ami de Gabriel Matzneff, mais il étai celui de Pierre Bergé à qui il ne pouvait rien refuser vu qu’il lui doit toute sa carrière aussi bien dans le monde des affaires que dans la politique."
Girard ? Et moi qui croyais qu'il devait tout à Delanoé...
"On dit même qu'il fréquentait le Fucking Blue Boy, mais cela ne nous regarde pas, ce n'est pas du sport".
https://www.youtube.com/watch?v=AeT0KV0FPnY
Rédigé par : Wil | 03 août 2020 à 22:46
"Christophe Girard est parti : il a bien fait !" (PB)
Tout cela sera vite oublié et au fond n'est pas bien important, l'actualité est ouateuse, pas grand-chose de percutant ni d'essentiel à se mettre sous la dent pour nous faire croire en quelque chose d'exceptionnel.
Le pays est en mauvais état, il vient de subir plusieurs AVC consécutifs, le citoyen se demande quelles en seront les séquelles.
Alors pour rester en éveil je me suis attaqué au démontage du carburateur de ma débroussailleuse qui avait des sautes d'humeur... Stupéfaction il était Chinois.
Ils sont partout ! RUIXING pour ne pas le nommer, décidément rien ne leur échappe, de bonne facture, copié sans doute, mais intelligemment conçu.
Pendant que l'on blablate, que l'on auditionne sans fin des médecins sur la pandémie, que l'on égratigne Hidalgo, les Chinois construisent.
Après avoir dépecé l'objet de mon courroux, il faut reconnaître qu'ils font très bien les choses, je réalise que nous nous perdons dans trois gouttes d'eau, le gicleur est un modèle de simplicité biblique et nous sommes de mauvais praticiens, des hâbleurs ; par contre ils savent mettre les crépines au bon endroit elle y était, et pendant que nous discourons de tout, de rien, de minuscules débats, eux ils aspirent.
Demain Girard sera oublié, Paris perdra de plus en plus d'habitants, tout cela n'est pas bien important, la rentrée va quand même être difficile, du chômage à gogo et une désespérance va s'installer plus forte que jamais.
Heureusement un des secteurs les plus industrieux - les fourmis du pays, ce dont les Chinois raffolent - a repris sont activité depuis belle lurette, il va nous sauver comme le carburateur d'une débroussailleuse participe à un effort d'ensemble, ne rien négliger ; mais quand va-t-on enfin arrêter ces auditions et autres réunions sans intérêt si ce n'est celui de perdre du temps ?
https://agicap.fr/article/enjeux-du-secteur-du-btp-post-crise/
L'essentiel est là, le carburateur est en place et au premier coup de lanceur le moteur tourne. "Selon la FFB (Fédération Française du Bâtiment), 80 % des entreprises déclarent qu’il faudra attendre la fin de l’année 2020 pour retrouver leur rythme de production potentielle." Pour le reste il suffit d'y mettre un peu d'essence, le potentiel des faiseurs est présent, c'est l'essentiel, non ?
Rédigé par : Giuseppe | 03 août 2020 à 22:39
@ GLW | 03 août 2020 à 19:55
« Et évidemment, il est indispensable d'aller serrer la main et déjeuner avec une personne qui écrit des bouquins où il explique qu'il tripote des jeunes enfants. Mais forcément, Paris c'est pas comme à Outreau, pas le même monde. »
Il n’était peut-être pas l’ami de Gabriel Matzneff, mais il étai celui de Pierre Bergé à qui il ne pouvait rien refuser vu qu’il lui doit toute sa carrière aussi bien dans le monde des affaires que dans la politique.
Même en politique il y a les décideurs et les exécutants. Bergé étant un généreux mécène du PS et des Verts, il était difficile de l’envoyer promener. Pour le coup c’est Anne Hidalgo qui l’aurait viré.
Rédigé par : Achille | 03 août 2020 à 22:26
Lui aussi il a bien fait mais pour d'autres raisons.
Tout ce qui est réputé répréhensible le sera après son abdication... Elle est pas belle la vie... d'un exil doré sur tranche.
Tous les hommes sont égaux comme disait Coluche, "Tous les hommes naissent égaux, qu'ils soient blanc, noir, petit, gros, maigre, grand, riche, pauvre, handicapé, malade... Même ceux qui naîtront Noir, petit et pauvre, mais eux ils auront vachement plus de mal !"
https://actu.orange.fr/monde/l-ex-roi-juan-carlos-soupconne-de-corruption-quitte-l-espagne-CNT000001saCEA/photos/l-ancien-roi-d-espagne-juan-carlos-le-1er-avril-2018-a-palma-de-majorque-cac4e2f1c67523a8a11aa4e508bf684c.html
Rédigé par : Giuseppe | 03 août 2020 à 21:19
En dehors du fait d'afficher son homosexualité "urbi et orbi", d'avoir convolé avec un homme, de se vanter d'avoir trois garçons, par quels moyens (pauvres gosses), de s'empiffrer aux frais de la Mairie de Paris et d'être le copain de Matzneff, aujourd'hui renié lâchement, existe-t-il des critères sérieux qui vaudraient à cet homme sa célébrité dans l'opinion de la seule bobocratie et nulle part ailleurs ? À savoir chez les vrais gens qui en ont marre de ces guignols "genrés et complexés" qui sous prétexte de mode "homo" n'ont pour objectif que de saper les plus sûrs fondements de notre société et de cultures millénaires.
Et si ce monsieur a finalement décidé de jeter l'éponge, c'est un bon point pour lui et peut-être le début d'une prise de conscience de ses erreurs.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 août 2020 à 21:11