L'esprit vagabonde durant les vacances. Il passe d'une marche à l'autre et à peine intéressé par un sujet, il en choisit un autre.
Pour ne rien cacher de mes errances, j'étais parti sur le couple Obama qui a accablé Donald Trump (BFM TV) puis sur Paris Match avec une magnifique et sereine photographie de Brigitte et Emmanuel Macron en couverture (je persiste : scandaleuse privatisation de leur vie conjugale et familiale au bénéfice de la seule Mimi Marchand) pour aboutir à un sentiment complexe mêlant estime et agacement.
Le président Trump est atypique : c'est un euphémisme. Avant la Covid-19 et sa désastreuse gestion de l'épidémie, j'étais persuadé qu'il serait réélu sans difficulté.
Aujourd'hui, on ne peut plus en être sûr. Le drame américain est qu'il faut peut-être souhaiter la victoire de Joe Biden, alors qu'il n'est pas un aigle démocrate ! La seule argumentation de Trump en défense qui me touche est de l'entendre rappeler au couple Obama que s'il a été élu en 2016, ce dernier n'y était pas pour rien ! De fait, aux Etats-Unis comme ailleurs, à chaque victoire d'un adversaire, les perdants ont tendance à oublier leur responsabilité comme si c'était une opération du Saint-Esprit qui avait fait gagner l'élection !
Puis Paris Match, cet hebdomadaire dont je ne peux pas me passer et je subis beaucoup de critiques pour n'avoir jamais caché cette addiction... faisant fi de son clientélisme culturel et médiatique pour privilégier souvent ses remarquables enquêtes.
En couverture donc, une belle photographie du couple présidentiel, elle souriante, lui bienveillant.
Mon premier mouvement a été de me demander ce que pourraient bien penser de cette présentation tous ceux qui aux antipodes de cette sérénité se battaient au quotidien, voire contre le président, pour disposer de moyens d'existence décents sur les plans familial et professionnel. Tous ceux qui sont plongés, pour faire un peu de démagogie, dans la vraie vie.
J'ai conscience de forcer le trait mais l'article éclairant d'Olivier Royant, dans les pages intérieures, révèle bien ce que j'ai questionné dans mon titre comme exhibitionnisme démocratique.
Des photographies d'Emmanuel Macron s'adonnant à "sa balade quotidienne en mer" prenant garde de ne pas trop éclabousser son épouse à l'arrière, du couple amoureux de dos et des visions du président en exercice lors de ses sorties de Brégançon.
Et le texte lui-même mêlant des aperçus intimes, des confidences, la quotidienneté du couple, leur vie avec enfants et petits-enfants, à des considérations intelligentes, lucides et riches d'enseignement sur la France et la situation internationale.
Tout cela entrelacé, entrelardé, au point que l'exhibitionnisme démocratique, qu'on le juge inévitable ou non, est peut-être d'abord cela : mettre tout dans un même sac au point d'ennoblir l'intime, au risque de banaliser le grave. De créer une plénitude qui pour les uns sera indécente, pour les autres hypocrite.
Un couple, un président s'abandonnant à cette modernité qui aspirant à vouloir jouer sur tous les tableaux participe insensiblement à l'image de la politique comme divertissement, à l'image du divertissement comme obligation.
Si j'étais Gilet jaune, je continuerais peut-être à cultiver cette idée choquante que le président Macron, ayant été élu par un faible pourcentage de votants, n'est pas légitime. Ce reportage, je le crains, va renforcer ce préjugé. Un chef de l'Etat n'est jamais trop sérieux !
Alors que dans de multiples débats face à des Gilets jaunes courtois (Sud Radio), je me suis battu pour souligner le scandale républicain d'une telle dénonciation.
Mais je ne crois pas que l'exhibitionnisme démocratique soit la meilleure méthode pour rapprocher le président des citoyens, le peuple de la démocratie.
@ Aliocha
"soyons charitable, ne parlons pas de Lodi"
La vérité est que ne pouvant m'accuser ni de racisme, ni de rationalisme militant vite devenu soi-disant persécuteur dans votre esprit, vous pataugez.
Et encore plus de ce que vous ne pouvez me dire ignorer Girard que vous déformez, vous, comme je l'ai montré abondamment.
Ce n'est pas par charité que vous vous taisez, c'est parce que vous n'avez rien à dire.
Vous avez bien essayé de le faire mais j'ai balayé vos sottes évaluations de ma personne comme le vent d'automne le fait des feuilles mortes.
Il est bien triste que quelqu'un ayant lu Girard, et ayant donc éminemment le devoir de défendre les victimes, ne sache argumenter qu'en accusant ses interlocuteurs.
Sous des airs doucereux quand on ne vous contrarie pas, le vernis craque vite : vous êtes tout à fait à son inverse.
Que dire après vos désastres ?
Il faut faire abstraction des personnes pour aller puiser la connaissance comme autrefois et dans certaines régions on boit encore de la bière avec de la paille : on doit filtrer le savoir de ceux qui peuvent le corrompre car il n'est rien de parfaitement pur, dans le monde.
Rédigé par : Lodi | 09 septembre 2020 à 11:42
@ F68.10
Vous êtes dans la nasse, et vous y enfoncez.
Bien sûr que vous êtes le pape de toutes vos âneries, comme Raskolnikov face à son juge, vous amenez sur un plateau la preuve de vos ignorances, je le savais dès les origines de la buse.
De vous-même et par vous-même, vous avez admis que votre science n'existe que pour justifier que la persécution est votre ressort, ce que je vois chez vous dès le commencement, retournant alors au comportement des religions archaïques polythéistes d'avant les religions du livre.
Je n'instruis aucun procès, je partage une connaissance rationnelle fondée sur l'étude des textes, religieux comme profanes, vous pourrez sans fin tenter de justifier, multipliant les références, les insultes, les humiliations, vous agitez à l'hameçon réel, vous ne saurez que corroborer de vous-même et par vous-même, vous accrocher à chaque fois un peu plus aux fers de la vérité, qui est son expression rationnelle.
Vos délires avec Marchenoir en témoignent, vos absurdes enquêtes sur mes origines le démontrent, et dire que Tipaza, pourtant bien informé de cette réalité, pense que je ne ris plus, alors que votre spectacle est du plus haut comique, soyons charitable, ne parlons pas de Lodi.
Saurez-vous cesser de vous agiter, d'appeler les mannes de tous les psychédélismes, les rites de tous les vaudous, qui ne savent que laisser la ride aux eaux de la réalité clairement formulée, après avoir sombré ?
Saurez-vous entendre que Porphyre ne signe aucune victoire face aux aveux de l'assassin romanesque, mais contemple avec le doux regard celui qui, enfin, comprend et accède au partage solidaire de ce qui n'est que la compréhension profonde des structures de notre psyché, apaisant le ressentiment, dissolvant la jalousie, et permettant d'accéder à la liberté en renonçant à la vengeance ?
Je vous le souhaite sincèrement, et témoigne une dernière fois qu'il n'y a aucune animosité à tenter de partager ce qui est vrai, et que je reconnais pour l'expression rationnelle du réel, qu'il n'est besoin d'aucune théologie pour le comprendre, mais simplement de reconnaître la toute humanité de cette réalité, le crucifié pouvant en ce contexte parfaitement être pris comme un personnage de roman :
"Le Christ nous met face à ce choix terrible : ou croire, ou ne plus croire en la violence.
Le christianisme, c'est l'incroyance."
Alors, cher semblable, incroyant ?
Rédigé par : Aliocha | 09 septembre 2020 à 07:27
@ Robert Marchenoir
"L'expérience montre que ce qui est susceptible de faire son chemin chez les musulmans, c'est l'amour au sens chrétien du terme. Passer d'un "Dieu de haine", selon le titre du livre de Wafa Sultan, à un Dieu d'amour, constitue littéralement une révélation pour ceux des musulmans qui se sont convertis au christianisme.
D'ailleurs, même sans aller jusqu'à la conversion, la révélation que les rapports humains peuvent se dérouler sur le mode de la charité chrétienne (en dehors de toute implication de foi), au lieu du mode islamique de la contrainte et de la terreur, peut constituer un bouleversement mental pour les musulmans "
Sans doute, mais il ne faut pas trop le dire, sans quoi beaucoup voudront la poursuite de l'immigration musulmane.
Que ce soit au nom de la solidarité avec les pauvres, du passé colonial, de l'amour ou de l'ascension à la rationalité des arriérés, il existe, en somme, l'idée que nous devons acceuillir et éduquer les sectateurs de la religion du croissant.
Or à mon avis, ce devoir d'éducation n'existe pas : ils ne sont ni nos fils ni nos disciples.
D'autre part, cette immigraton est la première où certains nous rendent, pour le bien d'être ici, le mal de leur ingratitude concrétisée en attentats, atteintes à la laîcité, liberté des femmes, sécurité des Juifs et que sais-je encore ?
Par conséquent, notre devoir envers nous-mêmes et pour le monde, étant de rester libres, nous avons à faire refluer les ensemenceurs de ténèbres.
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@ F68.10
À propos d'ensemenceurs de ténèbres, il est bien malheureux qu'Aliocha déforme la théorie de René Girard.
Imaginez que quelqu'un en fasse autant de votre maître à penser !
Il n'est vraiment pas juste que ce soit moi qui passe derrière pour essayer d'inciter les gens à lire Girard, que ce soit moi qui essaie de démonter ses absurdités ici, parce que, voyez-vous, le faire pour un estampillé "sans talent", ce n'est pas de la tarte. Il faut croire que les autres "fins connaisseurs" se mettent aux abris, ce qui est peut-être plus... sage, lâche ?
Ou tout simplement, fatalisme : toute oeuvre secrète ses parasites.
Quoi qu'il en soit, pour le reste, vous avez raison d'être prudent : si une oeuvre est instrumentalisée, il est difficile de déterminer les enjeux en action derrière le faux monnayage.
Comme je le répète, nous n'avons aucun devoir d'éducation des arriérés... On pourrait déjà le contester pour des gens normaux, personne n'étant venu nous apporter quelque lumière autrement que par conquête, les Romains amenant l'écriture et divers autres trucs à des Gaulois en vérité civilisés mais interdit d'écriture, de culture de la vigne et autres inventions méditérranéennes.
Evidemment, on pourrait adopter une attitude aussi inédite qu'étendre notre civilisation sans rien en retirer en terme de puissance, par pure grâce.
Pourquoi pas ? Après les devoirs inédits de libération des esclaves, des minorités telles que les Juifs, et les femmes, la grâce inédite pour des gens à qui nous ne nuisons pas, envers qui nous n'avons aucune restauration de leur droit à accomplir.
Par contre, il est bien évident pour moi que les musulmans se sont rendus indignes de toute sollicitude.
Nous n'avons pas à nous polluer par la présence de nouveaux immigrés musulmans : aux indignes les ténèbres extérieures.
On me dira sans pardon, ce que je ne nie pas, mais je me proclame aussi sans illusion, ne me croyant pas de faux devoirs et de fausses capacités : les musulmans ne sont pas plus capables de recevoir la lumière que nous ne sommes tenus de la leur apporter.
Je fais abstraction des exceptions mais leur triste sort est-il de ma faute et de mon ressort ?
Peut-être les représentants de la dernière religion monothéiste changeront-ils ? Certains prétendent qu'ils le font dans leur pays. Allez savoir, nos immigrés sont peut-être plus tarés que la moyenne, je n'en sais rien et ne pense pas devoir nous mettre un tant soit peu en danger, à le calculer même...
Ces gens qui n'en valent pas la peine.
J'espère que les musulmans s'améliorent mais nous n'avons pas à soigner des gens qui ne veulent pas l'être, rêvant, au contraire, de nous contaminer.
Aux contaminants sans remède la quarantaine, aux ténébreux les ténèbres extérieures.
Ne sachant pas trier le bon grain de l'ivraie, n'ayant pas plus de devoir que de capacité à relever les musulmans de leur abjection, il nous faut fermer la porte à un endroit qui n'est pas plus à eux que nous n'avons à l'aménager à leur intention.
Drôle de société ! On fait tout contre le suicide, qui n'est que la mise au rebut de soi par soi face à une vie où on n'a plus de place, et on s'ouvre à ceux qui nous mettent tous, peu à peu, au rebut de notre société par leur grignotage incessant de toutes nos libertés.
Vous avez dit que l'Occident ne pouvait échapper au danger, à la corvée et à la pollution que constitue la fréquentation des musulmans et que nous devions débattre avec eux.
Mais comme je l'ai dit, nous n'avons, pour commencer, aucun devoir envers des gens qui ont commis le crime sans précédent de nous rendre le mal pour le bien. Ensuite, ni le nazisme ni le communisme n'ont été vaincus par le seul débat, mais il a fallu conquérir militairement ou économiquement les pays en étant infectés et essayer de les développer... Nous croyons pouvoir faire l'économie de la soumission des rebelles pour passer directement à l'éducation et au développement, ce qui, à mon sens, est une erreur. Il faut d'abord briser peuples et croyants en quelque idéologie pour les changer et notre mentalité de repentants face à des bombardements pourtant nécessaires rend cette phase impossible... Nous ne pouvons plus faire de guerre véritable. D'autre part, nous sommes devenus trop circonspects de notre argent et trop incertains de notre civilisation pour l'établir où elle ne gâcherait pourtant rien vu l'état de décadence des sociétés en question.
Résumons : nous n'avons ni de devoir ni de capacité à rédimer ceux qui s'imaginent fils de quelque dieu éventuel mais qui ne sont, pour l'heure, que des fils de ténèbres contaminantes.
Ne grossissons pas les ténèbres constituées par les musulmans installés chez nous par les ténèbres qui grondent à nos portes.
Rédigé par : Lodi | 09 septembre 2020 à 06:23
@ Robert Marchenoir
Votre commentaire m'a fait... sourire. Un peu béatement, d'ailleurs. Je vous en remercie.
Un petit mot sur les "populations religieuses". Il ne s'agit bien sûr pas de taper sur les populations religieuses, mais simplement de ne pas se voiler la face sur certaines situations: je vous suggère si vous avez le temps, d'écouter la discussion entre le pakistanais Amed et Tracie Harris à 17:42. C'est -- y compris dans le contexte de notre discussion avec Aliocha -- cela que je juge être le but à atteindre. Et pour un Pakistanais avec la peine de mort pour blasphème à la clé, ce n'est pas une mince affaire:
"Tracie Harris: Attendez, voici une question légitime que j'ai pour vous, cependant, Amed: si la science nous sortait un nouveau modèle qui affirmerait que l'univers s'effondre et ne se dilate pas, considéreriez-vous alors le Coran comme étant fondamentalement défectueux ? Que c'est faux, que le passage est faux, que le livre est faux et qu'il est incorrect dans ce qu'il prétend?
Amed: Oui, en effet.
Tracie Harris: Vraiment?..."
En ce qui concerne ma "virtuosité", elle fut chèrement acquise.
@ Aliocha
"Mon dieu, mon dieu, jusqu'où s'arrêteront-ils, avec moi !"
Quand nous aurons illuminé les chemins obscurs de l'univers! J'ai parfois des rêves de gamin...
"Quelle alacrité, inspecteur efsoixantehuitpointdix ! L'amiral va vous décorer de l'ordre de Léon Bloy du Darlan de Vichy, vous aurez vos entrées à la basilique pour la Saint Robert, ne vous inquiétez pas."
Il faut quand même que vous soyez conscient qu'à chaque fois que vous sortez une ânerie, par le corollaire de Russell du lemme de Guillaume de Soissons, vous m'offrez la papauté sur un plateau.
J'aimerais bien que vous soyez conscient que c'est une mauvaise idée que de multiplier les papes dès qu'on raconte des âneries.
Rédigé par : F68.10 | 09 septembre 2020 à 00:26
Aliocha nous voit, c'est donc qu'il est aveugle, démonte nos impostures, n'a donc pas d'arguments, l'amour est transgression au nouvel Occident, hérésie le pardon, nous voulons de la science, du bien discriminant, des mythes et du mensonge pour justifier sans fin nos violentes ascèses.
La maïeutique a fonctionné, l'athée et l'intégriste s'accordent aux violons du rite des barbares, déguisent leur victime pour mieux sacrifier à leur partage, dissimulant que tout, exactement tout, est démontré.
Diable, meurtre, mensonge, rien de divin dans tout cela, de l'humain, rien que de l'humain.
Rédigé par : Aliocha | 08 septembre 2020 à 23:10
@ F68.10 | 08 septembre 2020 à 05:24
"Il ne me semble donc pas possible d'en tirer les déductions que vous en tirez."
Je ne tire pas de déductions : je fais des hypothèses, qui ne seront, bien entendu, jamais infirmées ni vérifiées. Mais face à tant de contradictions, de duplicité et de malveillance, il importe de dévoiler les possibilités.
"Au plus pourrait-on le soupçonner d'être un membre du Hizb-ut-Tahrir en mode duplicité..."
Comment ça, au plus ? Un membre de cette secte, ou de n'importe quelle autre partie de la galaxie musulmane.
"Mais cela ne change rien à ses arguments."
Il n'y a aucun argument. Vos efforts, constituant à opposer la rationalité au délire, sont admirables, mais ils servent surtout à démontrer l'absurdité de la partie adverse, ainsi que votre virtuosité.
"Contrairement à vous, je crois que l'argumentation, et non pas le 'dialogue pacifique et respectueux de nos différences', est susceptible de faire son chemin dans les populations religieuses."
Je n'ai jamais dit une chose pareille. Mais c'est, de toute façon, un autre débat : les populations religieuses, c'est autre chose qu'Aliocha, qui n'est, d'ailleurs, pas du tout religieux. Il est engoncé dans un vernis sectaire et pseudo-religieux, ce qui est tout à fait différent.
D'autre part, de quelle religion parlons-nous ? Selon qu'il s'agit du christianisme ou de l'islam, les choses sont complètement différentes. Le christianisme est parfaitement accessible au discours rationnel. L'islam, non.
L'expérience montre que ce qui est susceptible de faire son chemin chez les musulmans, c'est l'amour au sens chrétien du terme. Passer d'un "Dieu de haine", selon le titre du livre de Wafa Sultan, à un Dieu d'amour, constitue littéralement une révélation pour ceux des musulmans qui se sont convertis au christianisme.
D'ailleurs, même sans aller jusqu'à la conversion, la révélation que les rapports humains peuvent se dérouler sur le mode de la charité chrétienne (en dehors de toute implication de foi), au lieu du mode islamique de la contrainte et de la terreur, peut constituer un bouleversement mental pour les musulmans. Pour les femmes, en particulier, qui sont les premières à souffrir de cette conception des rapports humains.
Après, je découvre, à la faveur d'un fait-divers récent, qu'il y a aussi des musulmans qui se convertissent au judaïsme -- enfin, il y en a eu au moins un, qui a dûment subi une agression antisémite en conséquence.
Le parcours est d'ailleurs aussi étonnant vu d'un côté que de l'autre.
"Les gens sont capables d'évoluer, et Aliocha n'est pas condamné à la cécité."
Vous êtes visiblement nouveau, ici...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 septembre 2020 à 20:53
@ Aliocha
"On se dit, c'est pas vrai, ce n'est qu'un rêve, et voilà que pourtant, on tombe sur un éléphant à trois pattes nommé Lodi, qui se demande pardon à lui-même, allez savoir pourquoi, se fouettant sévèrement jusqu'au sang, en proclamant, vilain Aliocha, méchant !"
Quel crétin ! Quand on m'accuse injustement, c'est bien méchant, certes. Pourquoi ne pas dire aux injustes qu'ils sont injustes, je leur dois des égards pour leur iniquité ?
D'un autre côté, de fausses accusations me font penser à mes vrais manques. Lesquels ? Ce n'est certes pas d'instrumentaliser mes idées par vanité. Alors au regard de vous et de quelques autres, on pourrait dire que je ne commets aucune faute mais quand on a des critères plus exigeants, il n'en va "mystérieusement" pas ainsi.
Autre "mystère", une exigence est une exigence, personne n'a à savoir sur quoi elle porte. Et de toute manière, même connu par hypothèse pour son voisin, un but est une exigence pour soi et un mystère pour les autres.
Rédigé par : Lodi | 08 septembre 2020 à 19:54
Quelle alacrité, inspecteur efsoixantehuitpointdix ! L'amiral va vous décorer de l'ordre de Léon Bloy du Darlan de Vichy, vous aurez vos entrées à la basilique pour la Saint Robert, ne vous inquiétez pas.
Mon dieu, mon dieu, jusqu'où s'arrêteront-ils, avec moi !
Rédigé par : Aliocha | 08 septembre 2020 à 14:46
@ Robert Marchenoir | 08 septembre 2020 à 10:16
Cheers ! Et merci aussi à Pascale et Philippe Bilger.
Rédigé par : Lucile | 08 septembre 2020 à 14:16
J'ajoute une chose : il y a un bout de temps que j'avais renoncé à attendre quelque chose de ce fil. J'avais tort.
Perdu au fin fond de la hiérarchie temporelle du blog, refuge d'un débat hyper-pointu entre quelques personnes, il a néanmoins réussi à attirer des lecteurs, et surtout il a produit des interventions d'un niveau incroyablement élevé.
À quoi est-ce dû ? A la liberté, défendue envers et contre tout par Philippe et Pascale Bilger, et sûrement contre les pratiques de la plupart des auteurs de blogs, qui auraient zappé cet échange depuis longtemps.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 septembre 2020 à 10:16
Tiens, tiens, notre oracle de la méthode scientifique monté à dos d'une baleine qui se nomme Raoult, vient nous exposer les conclusions de son enquête irréfutable, nous démontrant que dénoncer la persécution chez les barbares destine à être brûlé au bûcher pour cause de persécution. C'est à suivre le chemin de Chartres, mais comme on ne part plus de Paris, on finit à Trifulsi par être décoré par sa sainteté Tipaza de l'ordre de Léon Bloy.
Voilà ce qu'il en coûte d'avoir conscience de n'être qu'un Aliocha, on prend les chemins de traverse à rebours jusqu'à la meule de foin, tombant sur Lucile et Savo, je vous dis pas le tableau !
Effrayé par tant de lubricité et prenant le maquis, voilà que l'on rencontre un baron nommé du nom de sa maladie, construisant un temple à la raison avec guillotine intégrée, nous jurant que cette fois, tout serait démontré, que sans violence il n'y a pas de labo, que le petit Jésus est un salaud, que c'est prouvé depuis sa première communion.
On se dit, c'est pas vrai, ce n'est qu'un rêve, et voilà que pourtant, on tombe sur un éléphant à trois pattes nommé Lodi, qui se demande pardon à lui-même, allez savoir pourquoi, se fouettant sévèrement jusqu'au sang, en proclamant, vilain Aliocha, méchant !
On se défend alors comme on peut, on dénie, on dit que, non, on ne cherche que duvent, que c'est volatil, ces êtres-là, qu'elle est passée par genau, qu'elle reviendra par là prendre notre défense car il nous a semblé qu'elle avait bien compris en compagnie de Mary, toute la difficulté de démontrer qu'être de la race inférieure des zèbres destinait à témoigner que la machine scientifique à discrimination intégrée n'était qu'une religion comme les autres, un mythe à justifier la violence, une usine à interdit façon Auschwitz, que la victime était sacrée et le bourreau violent, que c'est l'enfer qui monte, et pas Don Juan qui descend, qu'avoir compris cela était le seul moyen d'être démocrate et laïque, qu'il n'était plus besoin du rideau pour dissimuler le rien de ses turpitudes, que maintenant tout se voyait au jour nouveau qui se lève sur la terre bientôt détruite.
C'est alors que soudain, terrible et souverain, se dresse le tribunal comme un nœud de vipères, l’aréopage du salon Verdurin se présente en majesté et Marchenoir, l'accusateur de la cour des miracles, prononce le verdict définitif, la sanction juste et sans contradiction, laissant le public pantois d'admiration :
"Mg uaaah gof’nn syha’h, f’k’yarnak ‘a ! Badaboum, badaboum, badaboum"
Impressionné par tant de rectitude, à deux genoux on admet la décision, on promet que, oui, demain on arrête l’Évangile, qu'effectivement ce n'est pas bon pour nous, qu'on regrette d'avoir vu Lucile et tous ses compagnons tels qu'ils sont, que la meute est le bien, la violence est le bon, et la science et la persécution le seul mythe qui tient, que vous avez raison, raison, raison...
Rédigé par : Aliocha | 08 septembre 2020 à 08:07
@ Robert Marchenoir (@ Aliocha)
"Et une autre chose est sûre : Aliocha n'est pas celui qu'il prétend être."
Ces incohérences ne sont pas impossibles: les gens ne maîtrisent pas aussi bien l'histoire de leur famille qu'ils peuvent le croire. L'expression "bon blanc bien catholique" peut aussi être tournée en dérision, et ne prouve pas une usurpation d'identité culturelle. La terminologie d'"associateur" est en revanche effectivement bien curieuse, mais vu le degré d'allumage et de fanatisme d'Aliocha, il n'est pas inconcevable qu'il réutilise ce type d'élément rhétorique, même en connaissance de cause sur les implications du concept du shirk.
C'est vrai que c'est assez frappant de voir la rhétorique d'Aliocha tourner in fine plus autour du concept d'idolâtrie et même de Tawhid que de Girard stricto sensu, dont il se sert un peu comme d'un paravent ; mais il n'est pas inconcevable qu'il se soit fait sa petite forme d'oecuménisme maison dans le fondamentalisme.
Il ne me semble donc pas possible d'en tirer les déductions que vous en tirez.
Au plus pourrait-on le soupçonner d'être un membre du Hizb-ut-Tahrir en mode duplicité, mais cela ne change rien à ses arguments. D'autant plus que même en Europe, nous avons eu, par exemple avec Izetbegovic, et son oeuvre L'Islam entre Est et Ouest, des arguments théocrates très au fait du substrat culturel et philosophique de l'Occident ; et qu'en conséquence de quoi, il existe nécessairement une articulation argumentative entre fondamentalistes, qu'ils soient chrétiens ou musulmans, sur ces thèmes.
C'est vrai que son obsession à se sentir visé par mes propos même quand il ne l'est pas semble signer chez lui un problème plus personnel que philosophique avec les associateurs ou les négateurs telles que ma personne ; mais si on s'arrête à cela, on refuse l'idée d'argumenter.
Et contrairement à vous, je crois que l'argumentation, et non pas le "dialogue pacifique et respectueux de nos différences", est susceptible de faire son chemin dans les populations religieuses. Par exemple, cette conversation entre un Pakistanais et des athées texans est assez révélatrice de l'impact possible de telles conversations. Les gens sont capables d'évoluer, et Aliocha n'est pas condamné à la cécité.
Rédigé par : F68.10 | 08 septembre 2020 à 05:24
Aliocha | 04 septembre 2020 à 08:04 :
"Je suis [...] petit-fils d'un capitaine de frégate qui saborda son navire en la rade de Toulon avant de rejoindre Darlan à Vichy, et de voir brisée sa carrière brillante qui le destinait aux plus hauts postes, en 44 au ministère de la Guerre, dans l'antichambre du général de Gaulle qui refusa de le recevoir."
revnonausujai | 04 septembre 2020 à 18:23 :
"Ben non, l'amiral Darlan a quitté Vichy pour Alger, où son fils était hospitalisé, le 4 novembre 1942 et il y est demeuré jusqu'à son assassinat ; la flotte s'est sabordée à Toulon le 27 novembre 1942. Y a comme un défaut !"
Tiens, tiens, tiens...
Aliocha | 04 septembre 2020 à 08:04 :
"Je suis un bon blanc bien catholique."
Aliocha | 05 septembre 2020 à 10:24 :
"Évitez, je vous en conjure, de vous associer aux associateurs, ceci dit pour vous éviter les enfers d'une damnation qu'à leur exemple vous choisiriez de vous-même."
Aliocha | 05 septembre 2020 à 23:06
"Vous êtes une barbare, Lucile [...], une associatrice, une polythéiste selon les musulmans [...]".
Tiens, tiens, tiens...
Le type commence par nous dire qu'il est "un bon blanc bien catholique", expression qu'un catholique n'emploie jamais pour se décrire lui-même, mais que les anti-chrétiens emploient abondamment pour se moquer des catholiques.
Puis, il traite ses adversaires d'associateurs, insulte spécifiquement musulmane, visant particulièrement les chrétiens dans leur foi elle-même, et crime justiciable des plus grands châtiments selon l'islam.
De plus, il passe son temps à nous vaporiser de gentils poèmes truffés de chameaux dans les dunes.
De plus, il est fanatiquement "anti-raciste".
De plus, il est un fanatique tout court :
Aliocha | 05 septembre 2020 à 10:24 :
"L'idéologie sainte que je sers, seule à même de décrire la réalité."
De plus, il en arrive à traiter Lucile de "barbare", sous prétexte qu'elle a osé le contredire -- Lucile, une femme, sans doute le commentateur le plus diplomate de ce blog, dont l'opposition s'est bornée à affirmer : "Ces postulats ne sont pas partagés par grand monde sur le blog, ce point rendant à lui seul la discussion vaine". Soit la contradiction la plus soft du siècle.
De plus, il soutient Macron avec un fanatisme totalement incompatible avec le reste de ses positions. Qui imagine Emmanuel Macron en porte-drapeau de la religion chrétienne, du renoncement à soi, de l'amour universel ?
Une chose est sûre : Aliocha est un fanatique (il vient de le déclarer lui-même), par conséquent toute discussion avec lui est sans objet.
Et une autre chose est sûre : Aliocha n'est pas celui qu'il prétend être.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 septembre 2020 à 04:22
@ Chemin de traverse | 06 septembre 2020 à 12:15
"prendre le chemin de traverse où l’on respire"
Excellente idée, c'est la solution.
Rédigé par : Lucile | 07 septembre 2020 à 00:42
@ F68.10
Non, vous recommencez et ne cesserez jamais, l'anthropologie ne dépend pas de l'existence ou non de Dieu, mais décrit votre comportement comme le mien, qui sont religieux, que l'on croie ou pas, qui sont des croyances équivalentes, basée sur une incertitude commune et partagée, que vous le vouliez ou non, le texte décrit la transcendance qui permet de réguler la violence, et qui est l'amour, ou le respect d'autrui, définition du saint, c'est-à-dire le renoncement à la persécution, cette vision sacrée que vous épousez.
Vous voulez gagner, prévaloir, démontrer que vous avez raison, persécutez donc, vous vous détruisez, c'est votre choix, ne l'imposez pas aux autres.
Pour ma part, je continuerai à vous inviter, ne vous en déplaise, à envisager cette réalité, qui est humaine et non divine, entendrez-vous une fois cela ?
Mais arrêtons là, vous avez raison.
Rédigé par : Aliocha | 06 septembre 2020 à 23:04
@ Aliocha
"Le problème est que votre épistémè n'admet pas que ma position n'est pas théocratique..."
Même pas. Le problème principal est que vous ramenez votre girardisme à toutes les sauces et que vous n'avez toujours pas résolu la contradiction suivante: vous demandez à ce qu'on accorde à statut scientifique à la théorie girardienne tout en niant la légitimité de la démarche scientifique. Comme je vous l'ai dit, cela force l'incrédulité.
Si vous ne rameniez pas incessamment votre girardisme, et que vous acceptiez qu'on ait le droit de ne pas penser comme vous, il serait plus facile d'entamer un dialogue.
En l'état, vous ne pouvez à la fois vous prévaloir de la science tout en rejetant la science, et simultanément m'accuser de bigoterie. Il y a un truc qui ne tient franchement pas debout dans votre argumentation.
"...le réel et son observation ne peuvent pas faire l'économie de la connaissance du phénomène religieux..."
Bien sûr que si. Si vous voyez une pomme devant vous, il n'est pas besoin de faire référence à un phénomène religieux pour affirmer qu'il s'agisse là d'une pomme. Le moins d'hypothèse est nécessaire pour arriver à votre conclusion, le plus solide elle en devient. C'est un phénomène logique parfaitement connu: c'est une propriété des treillis, notion logique dans laquelle se situe chacune de mes et de vos assertions. En somme: chaque fois que vous insistez sur le fait que l'existence de Dieu est nécessaire à votre argumentation alors que vous pourriez vous en passer, vous affaiblissez votre argumentation. Car vous la faites dépendre d'hypothèses parfaitement inutiles que vous laissez votre contradicteur libre d'attaquer.
C'en est même trop facile, et c'est justement pour cela que j'ai l'impression de faire un carnage à chaque fois que j'argumente avec vous. Carnage qui vous permet alors de revendiquer le statut de Saint-Sébastien percé de flèches, comme Marchenoir l'a souligné, avec une déconcertante facilité, mais qui ne modifie pas pour autant la place de vos assertions dans ce treillis. En somme, vos assertions n'en sont pas plus vraies.
En fait, elles en deviennent même aussi faibles que les assertions sur l'existence de Dieu ou de la validité du girardisme... Et nous retournons alors à la case départ, le degré zéro de nos discussions: le statut scientifique du girardisme quand on refuse l'idée que la science ne soit pas une idéologie. C'est coton, n'est-ce pas?
"...dans la relation entre les humains que l'étude des textes permet, et qui est à mon sens le seul moyen de résoudre le paradoxe que vous décrivez..."
Le moyen le plus simple de résoudre le paradoxe, c'est de faire dépendre de Dieu, إن وجد الله, ce qui en dépend, et de ne pas en faire dépendre ce qui n'a nul besoin de lui pour être argumenté avec efficacité. C'est exactement ce que j'essaie de vous apprendre.
"...la persécution, préalable au débat selon vous, ce qui explique vos dérives..."
Je ne vois pas en quoi il s'agit de dérives. Ce n'est pas une dérive d'argumenter sur ce qui est vrai et ce qui est faux. Même les théocrates le font: ils argumentent sur la validité de la croyance en Dieu. Et, sur ce point précis, c'est parfaitement leur droit. C'est juste curieux qu'ils revendiquent avoir le droit d'argumenter et simultanément le droit de rejeter toute argumentation qui leur est opposée au motif d'une "persécution" somme toute assez imaginaire.
"...interdisant alors de dégager des lignes de force commune dans ce qui est son objectif..."
Non. Lorsque vous ne faites pas dépendre votre argumentation de Dieu, on peut tout à fait se mettre d'accord sur des objectifs communs. Mais à chaque fois que vous faites dépendre votre argumentation de Dieu, et surtout que vous prenez prétexte d'un vague point d'accord pour prétendre que cela valide votre position girardienne, je suis contraint de vous démolir. À chaque fois. J'aurais espéré que cela devienne clair avec le temps...
"...l'élaboration d'un consensus pour mieux décrire la réalité et définir les bases d'une action qui intégrerait les perspectives différentes dans le respect de chacune..."
À aucun moment je ne nie le besoin de prendre en compte les croyances et préférences de chaque composante de la société. À aucun moment. Mais si vous en profitez pour valider dans mes mots un quelconque girardisme ou une quelconque thèse métaphysique, je reviendrai à la charge pour dissocier les notions de tolérance et de coopération de celles de Dieu et du girardisme.
"...sans qu'aucune ne prenne le pas sur une autre..."
Il y a le vrai et le faux. La tolérance envers les croyants ou les mécréants n'implique pas un relativisme qui accepterait que le vrai n'ait pas la prééminence sur le faux dans notre société. Nous ne pouvons pas faire l'économie de la recherche de la vérité. Ce qui signifie que si la position athée est vraie, il est important qu'elle prévale ; importance en proportion de ses conséquences concrètes. Ce qui n'a rien à voir avec la mise en place de pogroms de chrétiens... Rien. À. Voir.
"...dégageant alors le principe transcendant qui admet de remettre en question cette persécution préalable..."
Vous réclamez qu'on n'ait pas le droit qu'on vous critique. Ce n'est pas comme cela qu'on recherche la vérité en société. Donc, clairement: Non.
Bon. Je vous suggère qu'on arrête ici.
Rédigé par : Baron Samedi (a.k.a F68.10) | 06 septembre 2020 à 22:12
La meute se mobilise pour la patronne du dard divin, ils ne sont plus que trois ou quatre, mais bientôt une foule à se soumettre aux grands inquisiteurs :
"Tu les a vus, les hommes « libres », ajoute le vieillard d’un air sarcastique. Oui, cela nous a coûté cher, poursuit-il en le regardant avec sévérité, mais nous avons enfin achevé cette œuvre en ton nom. Il nous a fallu quinze siècles de rude labeur pour instaurer la liberté ; mais c’est fait, et bien fait. Tu ne le crois pas ? Tu me regardes avec douceur, sans même me faire l’honneur de t’indigner ? Mais sache que jamais les hommes ne se sont crus aussi libres qu’à présent, et pourtant, leur liberté, ils l’ont humblement déposée à nos pieds. Cela est notre œuvre, à vrai dire ; est-ce la liberté que tu rêvais ? » "
https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Fr%C3%A8res_Karamazov_(trad._Henri_Mongault)/V/05
Que les braves résistent donc à la meute et lisent les textes, tout, exactement tout y est décrit.
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@ Tipaza
Ah, votre Lucile et son désir de plaire, vous voilà tout mobilisé !
Vous avez fort bien compris ce que je raconte, Tipaza, il n'y a que votre mondanité qui vous empêche de le reconnaître.
Allons, allons, un peu de courage, camarade, pour accéder à la vérité, il n'y a pas besoin d'être sélectionné au salon des sacrificateurs.
Rédigé par : Aliocha | 06 septembre 2020 à 14:44
Lucile fait le constat que, pendant les deux mois de congé, l'espace de Philippe Bilger a vu se répandre le marquis de l'incompréhension littéraire qui n'a de l'amour chrétien que la notion ségrégationniste : moi, ceux que j'aime et éventuellement ceux (pas celles) qui pensent comme moi !
En ouvrant la page et constatant les pavés d'incongruités passant du martyr à l'adoration absolue, une seule solution : prendre le chemin de traverse où l'on respire... vierge de pollution visuelles.
Rédigé par : Chemin de traverse | 06 septembre 2020 à 12:15
@ Aliocha | 05 septembre 2020 à 23:06
Aliocha dans son rôle de Saint-Sébastien postmoderne ou macronien comme on voudra.
L'antique Saint-Sébastien souffrait sous les flèches qui lui étaient destinées.
Notre new Saint-Sébastien renvoie dix flèches pour une reçue, tout en se plaignant d'en recevoir.
Il adore le rôle de victime, mais c'est pour mieux rendre les coups reçus.
Le type même du masochiste proustien, manipulant le faux, l'usage de faux et l'hypocrisie suprême, qualité de survie dans le salon des Verdurin.
Madame Verdurin n'osait plus rire parce qu'une fois elle s'était décrochée la mâchoire.
Aliocha n'ose plus rire parce que le rire est le propre de l'homme et qu'il n'est que littérature incomprise.
Rédigé par : Tipaza | 06 septembre 2020 à 08:04
@ F68.10
Le problème est que votre épistémè n'admet pas que ma position n'est pas théocratique, que le réel et son observation ne peuvent pas faire l'économie de la connaissance du phénomène religieux dans la relation entre les humains que l'étude des textes permet, et qui est à mon sens le seul moyen de résoudre le paradoxe que vous décrivez, la persécution, préalable au débat selon vous, ce qui explique vos dérives, interdisant alors de dégager des lignes de force commune dans ce qui est son objectif, l'élaboration d'un consensus pour mieux décrire la réalité et définir les bases d'une action qui intégrerait les perspectives différentes dans le respect de chacune, sans qu'aucune ne prenne le pas sur une autre, dégageant alors le principe transcendant qui admet de remettre en question cette persécution préalable, cette négation de la position d'autrui en préalable à la discussion et qui, on le voit bien actuellement chez les Américains, n'est pas loin de la guerre civile où les minorités notamment s'enferment dans leur déni, et ne trouvent leur cohésion que dans le retour du sus à l'ennemi, qui est un retour à la barbarie.
Si vous admettez la perspective de la victime pardonnante, et c'est un choix, libre et consenti, s'ouvre alors un autre chemin pour le débat, qui permettrait alors d'inventer, car effectivement nous en sommes à un point où nous n'avons que très peu d'instruments pour résoudre ce paradoxe, un autre mode de fonctionnement que la persécution pour se parler, ce que j'appelle ma foi étant la croyance, non pas en une représentation ou l'autre d'un créateur supposé, mais que c'est la réalité qui nous invite à cette imagination, tous les textes, et leur déni par Lucile indique, comme vous, que vous ne répondez pas favorablement à cette invitation que le réel nous propose, préférant la réédition des destructions, l'accusation préalable de la persécution, retournant au mensonge des mythes, et vous interdisant d'élaborer avec autrui sans l'évincer, la tentative de décrire cette réalité, votre paradoxe atteignant alors son climax, votre refus de la connaissance du phénomène religieux n'aboutissant qu'à le reproduire, faisant de vous-même votre propre dieu, donc en votre choix persécuteur, de vous autodétruire.
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@ revnonausujai
Si vous ne comprenez pas que ne pas comprendre ne légitime pas d'évincer sans argument, vous ne pouvez comprendre qu'il n'y a aucun pétage de câble à vous signifier que vous vous révélez vous-même en cette éviction, mais simple constatation.
Je ne suis aucunement soumis au désir de plaire qui est la règle mondaine, passez donc votre chemin, je vous en prie, la popularité chez moi n'est pas une obsession.
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@ Robert Marchenoir
Mais pourquoi donc aurais-je votre mail ?
Pardonnez-moi, mais je n'ai aucune intention de vous envoyer des mots doux en privé, je préfère en public vous administrer les baffes que vous méritez.
Au risque de me répéter, reprenez-vous, vous divaguez.
Rédigé par : Aliocha | 06 septembre 2020 à 07:50
@ Aliocha
"...une associatrice, une polythéiste selon les musulmans, créant des dieux pour justifier votre propre violence, qu'ils se nomment Lodi, Marchenoir et F68.10"
C'est nouveau, ça vient de sortir, Lucile prendrait Marchenoir, F68.10 et moi-même pour des dieux ? Mêler les musulmans à la théorie de René Girard ne vous réussit pas, mais c'est bien normal : que peut-il sortir de bien à se référer à des arriérés ? Rien, vous en êtes encore une fois la preuve. Selon la théorie, c'est la victime qui est divinisée, donc vous qui vous prenez pour une victime.
Mais cela, vous ne pouvez pas le dire, on verrait vite que vous ne faites semblant d'être une victime que pour vous diviniser, ou dit plus vulgairement, vous monter du col. C'est indécent pour les vraies victimes et désastreux pour Girard, vous servant de sa théorie en lui nuisant, vous vous en avérez un véritable parasite.
Lucile ne vous lynche pas, elle ne vous divinise pas non plus. Alors lui sortir :
"Vous êtes donc admise, telle la vestale des temps anciens, au temple depuis deux mille ans écroulé, et accéder au grade de tyrannette des gravats, vous donnant l'illusion de la victoire que je vous laisse, vous pardonnant bien volontiers par amour de votre sexe, bien que j'aurais préféré que vous l'assumiez tel qu'il est en la toute-puissance de sa réalité."
Elle ne vous lynche pas, et vous l'insultez en la traitant de tyran, pardon, tyrannette, ce qui est rabaissant, le ette signifiant petit, franchement, aimeriez-vous qu'on vous nomme Aliochette ?
S'ensuit l'inévitable pardon du chrétien et assimilé qui porte des accusations fausses et se moque des gens à sa victime, car s'il y en a une, c'est elle que vous accusez à tort et rabaissez.
Après tant de mauvaises actions, vous prétendez le sexe féminin tout-puissant, mais c'est cela, bien sûr... Occupez-vous plutôt des avanies que subissent les femmes, au lieu d'essayer de leur donner l'illusion d'être toute-puissantes.
Les croyants et assimilés, merci de le démontrer encore, sont beaucoup plus des tyrans, à traiter indûment les autres de tyran, des escrocs en jouant au qui perd gagne, les femmes étant le "sexe sacrifié" selon l'expression heureuse de Talleyrand, que des gens capables de faire le bien pour le bien, identifiant nature, vérité et dieu comme Spinoza...
Les perdants perdent, c'est tout : que leur dépouilles servent à faire des dieux n'en fait pas plus des gagnants que le vison n'est vainqueur de ce qu'on le porte en fourrure. Les femmes sont censées être douces, gentilles, au service des autres, ni plus ni moins que les domestiques dont on fait rarement des gagnants, dans la société. Les hommes, incapables pour beaucoup de se battre pour que les femmes, leur mère, leur amante, leur amie, leur soeur ou autre, soient leurs égales en fait et en droit, leur sortent ce genre de sottises auxquelles ces dernières se raccrochent car cela est bon pour leur ego et les autorise à faire des lois liberticides comme celles de la Prohibition : on n'est ni libres ni égales mais on a le pouvoir de contraindre les autres.
Je précise que je n'ai rien contre les femmes ni d'ailleurs les domestiques, mais ils ne mènent pas la monde vers son salut en sous-main : moins n'est pas plus, les dominés ne sont jamais que des dominés.
Sans compter que les femmes ne devraient pas devoir faire semblant d'être plus spirituelles que les autres pour être traitées comme eux.
Les handicapés et les vieux sont moins forts qu'un homme jeune valide mais cela ne donne pas le droit de les maltraiter si évidemment on ne s'en prive pas. Mais ils ont aussi leur contrainte, le vieux est censé être sage, l'handicapé courageux, c'est cela, oui... Ces personnes doivent se faire pardonner leur faiblesse en jouant un rôle qu'ils n'ont pas choisi.
C'est n'importe quoi : qui est magistrat, parent, professeur, a choisi un rôle à assumer : qui est fort ou faible physiquement n'est pas le porteur d'une quelconque mission, d'une improbable vocation.
On a la fâcheuse tendance à dédouaner les éventuels incapables d'une fonction choisie et de coller une fonction obligée à qui n'en veut mais. Or seuls les libres sont responsables, et les vieux n'ont pas choisi de décliner, les femmes d'être asservies car faibles et encore davantage quand enceintes donc dans la dépendance des autres, les handicapés d'être ceux qui ont besoin des valides.
"l'athéisme ou le racisme par exemple, ses rituels, se payer Aliocha ou l'un ou l'autre de ces gens, ces autres qui ne font pas partie de votre élite autoproclamée, éditant des interdits - vous feriez mieux de vous taire, me signifiez-vous régulièrement - sans laquelle la cohésion sacrée de ce petit clan n'existerait pas."
Lucile vous dit de vous taire car vous dites n'importe quoi et que cela la fatigue, encore que moins que moi en voyant combien vous discréditez Girard mais je ne dirais pas aux gens de se taire... Je pense que c'est parce que le commandement a un côté fort ennuyeux : se laisser aller à la chasse aux idées nouvelles ou commander, il faut choisir.
On peut dire que je ne me gaspille pas mais aussi que je fais de la non-assistance à Girard, aux croyants que vous discréditez. Je m'abstiens aussi de commander quand je ne peux contraindre car j'ai une sainte horreur de gaspiller mon autorité, ce qui est encore une forme d'égoïsme.
Si votre opinion comptait, on pourrait dire que je craindrais que vous croyiez que je porte à votre liberté d'expression, car vous voyez toujours tout n'importe comment alors qu'il est loisible à chacun de tout dire sans contraindre personne ici.
Bref, Lucile se dévoue. Elle a un côté élite qui en défrise certains ici, savoir, expression très tenue et commandement qui ressort d'une certaine manière même quand je ne vois pas trop l'opportunité de commander dans un rapport de force défavorable. Style et principe... Ce n'est pas une défense de l'athéisme, car je pense que Lucile et son inspirateur Spinoza sont dans un monothéisme loin de son intolérance pourtant presque consubstantielle et d'une mentalité qui n'a rien de beau pour l'amour du savoir, de la nature et de dieu confondu en ce sens que la volonté et la nature de dieu s'exprimeraient dans un monde où chercher dieu ou la vérité ne sont qu'un, et pourquoi pas ? À mon avis, plus un créateur vaut quelque chose plus il s'exprime, sans pour autant s'étaler, dans son oeuvre, or le Créateur étant censé être parfait, chez lui, l'un et l'autre ne font qu'un.
Lucile n'est pas athée, et il ne ne me semble pas être Don Juan, Charlus, le diable ou allez savoir quoi, la prochaine fois ?
Est-ce que le jeu c'est de dire c'est chaud, c'est froid, et finalement, je jette le masque ou une autre stupidité du même genre ?
Les gens sont si prévisibles une fois qu'ils ont déçu, il y a, par exemple, le parasite de René Girard quand je croyais naïvement, ah, mon éternelle naïveté ! que quelqu'un allait servir la vérité et les victimes, entre autre déchus, pour reprendre un vocabulaire religieux.
Rédigé par : Lodi | 06 septembre 2020 à 06:06
@ Aliocha (@ Lucile)
"J'ai des convictions, vous l'aurez remarqué"
Alors, moi, effectivement, je l'ai remarqué. Et je tiens à vous préciser, contrairement à ce que vous semblez croire, que mon but n'est absolument pas de vous condamner sur vos convictions intimes ou de faire de vous un athée. Ce n'est pas cela... C'est de vous illustrer certaines conséquences de vos convictions sur lesquelles vous ne pouvez pas vous attendre à susciter un accord de la part de personnes qui ne pensent pas comme vous. Je fais notamment allusion à une certaine discussion que nous avons eue sur la place des athées non girardo-compatibles dès que cela touche au pouvoir législatif. Ce sont des choses que certaines personnes comme moi ne peuvent pas laisser passer. Il y a d'autres exemples.
Ce qui est frappant, et je vous l'avoue m'inquiète, c'est de voir que vous ne semblez pas capable de mettre des distances entre vos convictions intimes et l'impact que vous vous efforciez qu'elles aient dans l'espace public. Pour moi, il est effectivement impensable de laisser le champ libre à des gens que j'appelle les théocrates. Et paradoxalement, ce qui n'est pas commun pour un francophone, je revendique de laisser la place aux théocrates dans le jeu politique jusqu'à les autoriser à revendiquer une théocratie dans le champ politique. Et, ce, même pour les fondamentalistes musulmans non-violents. Ce qui implique que j'aie le droit de les combattre dans le même champ politique à travers le débat d'idées.
Vous faites donc les frais de ma conviction sur la place des opinions théocrates en démocratie. Je la trouve très tolérante, mon opinion... Certains antifas non complaisants avec les religions ont une position bien plus raide quant aux opinions théocrates. Et même la laïcité française, je trouve, est assez raide face aux opinions religieuses ou sectaires, position laïque que je trouve parfois difficilement acceptable.
Je vous prie donc de voir dans notre mode d'interaction, qui vous paraît confrontationnel, une paradoxale revendication de la légitimité de l'expression des opinions théocrates en République laïque. Opinions qui doivent être débattues et combattues. Pas pudiquement réduites au silence dans le cadre d'un clivage gauche-droite qui est la pierre de touche de l'analyse politique de l'extrême gauche.
Et cette position, qui peut paraître paradoxale, s'explique par ma défense radicale de la liberté de conscience, y compris la vôtre, qui se couple radicalement aussi avec une défense radicale de la liberté d'expression: la vôtre et la mienne. Ce qui signifie aussi que quand je trouve que le débat devrait arriver à terme pour cause d'improductivité et de tournage-en-rond, j'en arrive à demander qu'on vous fasse taire. Pour justement vous apprendre à mieux parler, et à mieux défendre votre point de vue. Cela peut paraître paradoxal, mais c'est ainsi.
Quant à la place de la rationalité et de la science dans la vie publique, j'essayais effectivement de vous apprendre deux ou trois choses à ce sujet. Je tenais effectivement à vous expliquer, par exemple, en quoi le terme "idéologie" était lié à des questions "épistémiques" et par là à la rationalité. Ce n'est pas pour rien que ces concepts ont émergé au fil du temps. Une des raisons en est, que vous le vouliez ou non, l'émergence des règles de débat et de recherche de la vérité qui, d'un milieu académique et originellement religieux (car les questions de rationalité jouent un rôle important en théologie et philosophie, historiquement), se sont progressivement déversées dans le milieu du débat public avec le développement de la liberté d'expression. C'est pour cela qu'il me paraît impensable, sur un sujet tel que le racisme, où la question de l'épistémologie et de la science y est inextricablement liée historiquement, de ne pas vous faire remarquer qu'il est impossible de comprendre quoi que ce soit à ce sujet si le terme "épistémique" suscite autant de rejet et de confusion chez vous.
Rien ne vous empêche, y compris avec un prisme religieux, de comprendre quelles sont les règles de débat rationnel sur lesquelles s'est progressivement bâtie la science, y compris en relation avec la religion, qui elle aussi a des règles de débat plus ou moins rationnelles. Ce qui ne signifie même pas les accepter, mais simplement les comprendre.
Il m'est fascinant, qu'à travers tous nos échanges, vous n'ayez pas saisi là mon intention. Et il est probable que vous continuerez à la rejeter longtemps. Mais voilà: ce que vous prenez pour une "persécution" est une introduction aux règles de débat rationnel auxquelles votre position théocratique sera contrainte de s'ouvrir si jamais il devient possible et réaliste d'abattre ce clivage droite/gauche qui rend tout tel débat impossible.
Comme vous le voyez avec Xavier Nebout, sur un thème tel que l'avortement, il est impensable de ne pas faire communiquer et débattre les athées et les religieux. Dans le monde anglo-saxon, on y arrive tant bien que mal à avoir de tels débats. La preuve en est la séquence du débat Turek-Hitchens que je lui ai montrée et soumise. En France, il n'y a absolument RIEN de tel, et si votre position est marginalisée au sein de la société française, s'il y a un tel rejet axiomatique de la droite-conservatrice-théocratico-facho, c'est justement -- en partie -- parce que des débats de ce style n'arrivent pas à émerger.
67 millions de crétins qui n'arrivent pas à faire émerger des débats polis, courtois et rationnels, et qui préfèrent s’injurier dans l'octogone du Palais Bourbon dès qu'ils le peuvent.
Il est temps d'y remédier.
Et vous devriez m'en remercier.
Rédigé par : Baron Samedi (a.k.a F68.10) | 06 septembre 2020 à 00:38
Vous ne devriez pas Lucile, ne pas vous appliquer les savants conseils que vous donnez à vos affidés, vous risquez de me donner l'occasion de préciser ce que je connais bien, je vous en sais donc gré.
J'ai des convictions, vous l'aurez remarqué, et tout l'exercice face à la violence de vos protégés consiste à décrire, suivant en cela Marcel Proust, que votre petit comité fonctionne comme une société archaïque, avec ses mythes, l'athéisme ou le racisme par exemple, ses rituels, se payer Aliocha ou l'un ou l'autre de ces gens, ces autres qui ne font pas partie de votre élite autoproclamée, éditant des interdits - vous feriez mieux de vous taire, me signifiez-vous régulièrement - sans laquelle la cohésion sacrée de ce petit clan n'existerait pas.
Ce qui permet, scientifiquement en vous observant comme un entomologiste vos agissements d'insecte, de définir le saint par opposition, une cohésion qui ne serait pas fondée sur le mensonge des mythes - nous sommes d'une race supérieure, par exemple - mais sur notre réalité naturelle de persécuteur, ce que le texte a révélé, la victime pardonnante offrant une perspective radicalement différente sur les rapports humains, dévoilant ce mécanisme religieux que vous et vos affidés pratiquez dans l'aveuglement supérieur de vos inconsciences.
Vous êtes en ce sens beaucoup plus religieuse que moi, vous êtes une barbare, Lucile, sous les airs bon teint de votre dédain, à ne pas entendre ce qui libère du mensonge de l'organisation de toutes cultures, fondées sur cette trinité inversée du diable, du meurtre et de son mensonge, une associatrice, une polythéiste selon les musulmans, créant des dieux pour justifier votre propre violence, qu'ils se nomment Lodi, Marchenoir et F68.10, n'étant pas le moindre ridicule de votre position, et qui vous contaminent par leur désir de domination, ne résistant pas à les imiter, mesurant ma popularité pour m’intimer comme vos petits camarades, l'ordre de la boucler, ce qui est la conclusion comme la motivation de votre démonstration éclatante.
Vous êtes donc admise, telle la vestale des temps anciens, au temple depuis deux mille ans écroulé, et accéder au grade de tyrannette des gravats, vous donnant l'illusion de la victoire que je vous laisse, vous pardonnant bien volontiers par amour de votre sexe, bien que j'aurais préféré que vous l'assumiez tel qu'il est en la toute-puissance de sa réalité.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2020 à 23:06
@ Aliocha
"Si vous ne comprenez pas, retournez donc à vos petites pépées en évitant de me prêter vos habitudes petites-bourgeoises qui ne concernent que vous, et prenez garde à votre foie, ne vous étouffez pas au gloubi-boulga que ces excès ne manqueront pas de produire."
Eh ben mon grand, on pète un câble ?
1 - Ce que l'on conçoit bien, s'énonce clairement ; cela a été dit il y a trois siècles et reste d'actualité. Manifestement, ce n'est pas le cas de vos écrits.
2 - Je souligne, sinon peut-être un mensonge délibéré, mais au moins une poussée mythomane et vous me répondez "habitudes de petit-bourgeois", vous avez bien raison, quand les faits contredisent la théorie, refusons de voir les faits.
3 - Vous avez bien noté que mon allusion aux plaisirs terrestres tournait en dérision vos exordes hystérico-religieux, bravo !
4 - Vous pourriez respecter l'orthographe de mon pseudo, je ne vous appelle pas "allo-chat" ; tiens, encore un animal satanique !
Rédigé par : revnonausujai | 05 septembre 2020 à 18:58
@ Aliocha
"Si vous ne comprenez pas, retournez donc à vos petites pépées en évitant de me prêter vos habitudes petites-bourgeoises qui ne concernent que vous"
Il n'y a rien de petit-bourgeois à vouloir s'appuyer sur un minimum de rationalité pour faire sortir l'humanité de l'ignorance, de la pauvreté, de la misère, du malheur, et de quantité d'autres maux. Même Bakounine était de ce point de vue. Et il n'était pas "petit-bourgeois":
"D’un côté, la science est indispensable à l’organisation rationnelle de la société ; d’un autre côté, incapable de s’intéresser à ce qui est réel et vivant, elle ne doit pas se mêler de l’organisation réelle ou pratique de la société. Cette contradiction ne peut être résolue que d’une seule manière : par la liquidation de la science comme être moral existant en dehors de la vie sociale, et représenté, comme tel, par un corps de savants patentés ; par sa diffusion dans les masses populaires. La science, étant appelée désormais à représenter la conscience collective de la société, doit réellement devenir la propriété de tout le monde. (…) C’est pour cela qu’il faut dissoudre l’organisation sociale séparée de la science par l’instruction générale, égale pour tous et pour toutes, afin que les masses, cessant d’être des troupeaux menés et tondus par des pasteurs privilégiés, puissent désormais prendre en main leur destinée historique." -- Mikhaïl Alexandrovitch Bakounine, Dieu et l'Etat
Rédigé par : Baron Samedi (a.k.a F68.10) | 05 septembre 2020 à 18:14
Au fait, Aliocha, est-ce vous qui avez transmis mon adresse mail à Patrice Charoulet ?
______
@ F68.10 | 04 septembre 2020 à 23:52
Alors nous sommes d'accord sur le fait que vous "tiquiez". Parfois, votre humour au douzième degré fait obstacle à la compréhension...
Concernant la ségrégation, on ne peut que vous donner raison. Mais je vous ferais remarquer que les mécanismes de correction que vous réclamez existent déjà. La concentration ethnique que vous déplorez se fait malgré ces dispositions.
De façon générale, le fait que les Pakistanais se retrouvent avec les Pakistanais, et les Irlandais avec les Irlandais, est une constante de l'immigration dans tous les pays, qui provient simplement de la nature humaine.
Le regroupement ethnique spontané est, d'une part, une méthode de survie pour les populations concernées, et, d'autre part, un moteur pour l'immigration. C'est parce qu'il existe déjà des Irlandais (ou des Maliens, ou des Chinois de telle région) dans le pays hôte, que les Irlandais, les Maliens ou les Chinois de telle région sont fortement incités à aller rejoindre leurs compatriotes déjà présents sur place. C'est en partie en vertu d'un tel mécanisme que des milliers d'Africains sont prêts à risquer leur vie pour passer de Calais en Angleterre.
La seule solution est en amont, dans l'arrêt de l'immigration de masse. Aucune mesure corrective ne peut mettre fin à cette "ségrégation" en aval.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 septembre 2020 à 17:07
@ Aliocha
"...l'idéologie sainte que je sers, seule à même de décrire la réalité"
Au moins, on peut peut-être s'entendre sur les points suivants :
- c'est une "idéologie" que vous défendez
- vous vous considérez comme son "serviteur"
- vous la qualifiez de "sainte", vous la percevez donc comme une idéologie religieuse
- vous affirmez qu'elle "décrit la réalité"
- et qu'elle est la "seule" à pouvoir le faire
- parce qu'elle se "soumet" à la "science de la connaissance que les textes nous amènent". Autrement dit elle se fonde sur des textes.
- tout opposant tourne donc le dos à la réalité
- s'associer à d'autres pour réfuter cette idéologie revient à une auto-damnation
Ces postulats ne sont pas partagés par grand monde sur le blog, ce point rendant à lui seul la discussion vaine.
Rédigé par : Lucile | 05 septembre 2020 à 16:01
@ revnonausujai
Si vous ne comprenez pas, retournez donc à vos petites pépées en évitant de me prêter vos habitudes petites-bourgeoises qui ne concernent que vous, et prenez garde à votre foie, ne vous étouffez pas au gloubi-boulga que ces excès ne manqueront pas de produire.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2020 à 14:20
@ Aliocha
"Vous n'êtes pas le nombril du monde, F68.10, l'imposteur en chef s'appelle Marchenoir"
OK, OK, OK, ne vous fâchez pas !... C'est simplement, je vous jure, que c'est très difficile de déterminer quels fragments de vos phrases sont adressés à qui, quand et comment. C'est difficile. Par exemple, quand vous parliez d'"agressivité pédante et obscure", sans vouloir me prendre pour "le centre du monde" -- comme si l'idée m'en croisait la tête... -- il est quand même gênant de ne pas savoir si vous vous adressez au conducator ou à la valetaille que nous sommes...
"Effectivement, revenons au sujet, mes origines culturelles sont parfaitement accessoires au regard de l'idéologie sainte que je sers..."
Le melon que vous avez est assez fascinant. Idéologie "sainte", vous dites? Humm... est-ce qu'un argument serait capable d'ébranler, un jour, إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ, votre sainte certitude ? Ou est-ce quand même assez carré, dans votre tête, chez vous ?
"...seule à même de décrire la réalité car seule à savoir se soumettre à la science de la connaissance que les textes nous amènent..."
Ah oui... vu comme cela, vu qu'il est certain que seule votre idéologie "sainte" permet de décrire la réalité, il est clair comme de l'eau de roche que tout ce qui n'est pas compatible avec votre idéologie "sainte" ne peut être tenu pour épistémiquement solide. Donc, ipso facto, seule votre idéologie "sainte" permet de déterminer ce qui relèverait de l'idéologie, car non-basé sur des bases épistémiques solides qui ne peuvent qu'être compatibles avec votre idéologie "sainte". En gros, pour faire simple: c'est votre idéologie "sainte" qui permet de déterminer si autrui est raciste.
Eh ben... dire que nous sommes en 2020... Je me demanderai toujours comment notre espèce a réussi à descendre des arbres pour se mettre à deux pattes puis bâtir une civilisation qui posa le pied sur la Lune; car quand on prend connaissance de votre point de vue, cela force l'incrédulité.
"...et que les sommations totalitaires qui voudraient justifier la violence fondamentale et inconsciente de nos tyranneaux que je ne lis qu'en travers..."
Ah oui... c'est totalitaire de vouloir discuter avec vous. C'est totalitaire de vous apporter la contradiction. Nous devons nous laisser verser vos homélies telles du miel dans les oreilles, et ne jamais vous opposer des arguments car c'est totalitaire. Et pour bien vous protéger du totalitarisme, vous ne nous lisez que de travers. Comme je vous comprends...
"...car elle n'est qu'une somme de truismes sophistes pour déguiser sous les gravats de leur érudition..."
Donc, si je vous comprends bien, vous faites l'apologie de l'ignorance ? Alors je vais vous remettre une couche de savoir:
Si jamais des facteurs sociaux et culturels influencent le QI de populations, il s'agit là d'une question et de données qui font partie intégrante de la science. Pas d'un motif permettant de rejeter le QI comme non-scientifique.
J'ai fait court et simple. Pour faciliter votre acquisition de connaissances.
"...l'effondrement mental de ce dont ils ne s'aperçoivent même pas, alors qu'ils l'avouent malgré eux, qu'elle n'est que la réédition des rituels de l'échec de leur désir de domination à laquelle leur soumission au mal..."
J'en frissonne...
"Que cela ne vous empêche pas d'accorder vos attentions à l'histoire de mon grand-père si cela vous intéresse, mais évitez, je vous en conjure, de vous associer aux associateurs..."
Les "associateurs"... vous êtes anti-trinitarien ? Je croyais que les chrétiens étaient des mouchrikoun ! Mais bon, je ne suis pas un "associateur", mais bel et bien un négateur. Je crois utile de le préciser.
Rédigé par : Baron Samedi (a.k.a F68.10) | 05 septembre 2020 à 14:09
@ Aliocha | 05 septembre 2020 à 10:24
SVP, mettez des sous-titres français à votre gloubi-boulga.
P.-S.: les tribulations de votre grand-père ne m'intéressent pas plus que ça ; ce que je soulignais, c'est la fausseté historique de vos allégations et le peu de confiance à leur accorder.
P.S. 2: Marchenoir et F68.10 écrivent ce qu'ils veulent, comme moi j'écris ce que je pense ; ça ne signifie ni que je les soutiens ni que je les désapprouve ; tout au plus peut-on croire que les grands esprits se rencontrent (ouaf ouaf !)
Enfer et damnation, cigarettes, whisky et petites pépées, programme à envisager !
Rédigé par : revnonausujai | 05 septembre 2020 à 11:59
Vous n'êtes pas le nombril du monde, F68.10, l'imposteur en chef s'appelle Marchenoir, vous êtes son lieutenant, comme Lodi est le vôtre, vous rejoignant tous dans la tyrannie de petits tyranneaux qui vous détruit, puisque vous l'avez choisie.
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Effectivement, revenons au sujet, mes origines culturelles sont parfaitement accessoires au regard de l'idéologie sainte que je sers, seule à même de décrire la réalité car seule à savoir se soumettre à la science de la connaissance que les textes nous amènent, et que les sommations totalitaires qui voudraient justifier la violence fondamentale et inconsciente de nos tyranneaux que je ne lis qu'en travers, car elle n'est qu'une somme de truismes sophistes pour déguiser sous les gravats de leur érudition, l'effondrement mental de ce dont ils ne s'aperçoivent même pas, alors qu'ils l'avouent malgré eux, qu'elle n'est que la réédition des rituels de l'échec de leur désir de domination à laquelle leur soumission au mal, dont la définition n'appartient à personne sauf à la réalité que seule l’anthropologie religieuse sait dégager, les vouent à la destruction, sans même qu'il faille bouger le petit doigt.
Que cela ne vous empêche pas d'accorder vos attentions à l'histoire de mon grand-père si cela vous intéresse, mais évitez, je vous en conjure, de vous associer aux associateurs, ceci dit pour vous éviter les enfers d'une damnation qu'à leur exemple vous choisiriez de vous-même.
À bon entendeur cohérent, s'il en existe encore.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2020 à 10:24
@ Aliocha
"...ce qui explique son irrespect fondamental du prochain et ses accointances avec Lodi, car vous comprenez, dieu, c'est eux"
Je ne raisonne pas en terme de divinité, sans quoi le pouvoir me suffirait.1 Pour en avoir sur ce blog, je m'accointerais avec des idées qui ne sont pas les miennes, répudierait la réflexion pour le style et m'allierais aux forts et écraserais les faibles.
Je ne sais comment pensent les autres, mais comme vous ne faites que déformer les idées des commentateurs voire leur comportement, votre avis est à écarter.
En fait, je désire l'éternelle jeunesse, la surintelligence, la résurrection des morts, et la conquête spatiale par les humains sans parler de la perénisation du monde, en somme, le salut universel.
Bien sûr, ce n'est pas en servant de serpillière que je pourrais militer pour l'avancement de tout cela, mais en vérité, je fais mon possible pour servir mes idées plutôt que me servir d'elles.
Croyez bien que pour certaine chose j'ai demandé à plus adapté que moi de prendre ma relève 2 mais si on peut ne pas assez croire en moi pour recevoir ce que je dis, on peut aussi trop le faire pour se substituer à ma personne : affirmation et rétractation de soi ne servent pas autant que les promoteurs de ces attitudes peuvent le penser, ce qui n'a rien d'étonnant car tout dépend du temps et du lieu dans la stratégie.
Enfin, c'était pour autre chose que le blog mais c'est une attitude générale chez moi.
Outre évidemment que nous sommes tous victimes de la souffrance et de la mort, des personnes ont une double peine, celles qui lynchées, exploitées ou les deux, sont des intouchables au sens hindouiste. Je défends ces personnes mais mon attitude est la même : si quiconque de plus compétent passe, je lui céde volontiers la place, comme à F68.10, et surtout pas avec un prêchi-prêcha moralisateur immoral qui ne peut que décourager quiconque de défendre les pauvres Noirs mis actuellement sur la sellette. Quelle injustice !
Les premiers immigrés dont certains nous rendent le bien d'être reçus par le mal de leur ingratitude déclinée en attentats et attaques plus sournoises sont pourtant les musulmans et non les Noirs. Il ne faudrait plus en recevoir plutôt que d'essayer de mettre des arriérés au niveau et d'expluser les pires comme si notre pays était un établissement scolaire. Quelle idée... Nous en sommes donc réduits à pomper, comme les Shadoks :
https://www.youtube.com/watch?v=6NJP-ClYld4
Inutile de dire que je ne pompe pas, ce qui, concernant les arriérés, serait se demander comment les intégrer, les éduquer et autres choses semblables : à ceux qui les ont voulus de les assumer.
Mieux : d'assumer leur échec en appelant à la fin de leur implantation désastreuse chez nous. Nul ne doit rendre le bien pour le mal que ceux qui y croient et à condition de ne pas nuire aux autres : or les musulmans1 portant atteinte à tous par les attentats et à la majorité en s'en prenant aux libertés... Je dis majorité car les liberticides seraient bien sûr ravis d'être dans leur sillage pour abolir la liberté que notre pays perd sans cesse, de la Terreur à Vichy, sans pourtant s'interdire de faire la leçon aux autres.
Restons libres, ne soyons pas occupés, et d'autant que personne ne nous sauvera, cette fois... Cet objectif est déjà bien extraordinairment difficile pour des incapables dans notre genre.
Tout le monde sort ses ancêtres paraît-il merveilleux en en faisant l'arbre qui cache la forêt de la catastophe nationale.
Ce qui compte pourtant est qu'ils n'ont pas su éviter le pire et qu'il est de notre devoir de le faire. Il ne s'agit pas d'imiter leur échec mais la réussite des pays invaincus et libérateurs, en un mot, anglo-saxons. Il ne faut que s'inspirer du courage des rares Français en ayant eu pour changer nos modèles, nos institutions, notre mentalité et nos comportements, en un mot, passer d'un pays intermittent de la liberté comme des artistes sont intermittents du spectacle, et devenir des citoyens d'un pays où l’on aime plus la liberté que la vanité. Ce qui veut dire écarter l'arrivage de nouveaux indésirables et se mettre à l'école de l'exercice de traditions démocratiques autrement ancrées que les nôtres, autrement capables d'équilibrer les pouvoirs et ainsi de garantir des abus et des coups d'Etat.
1 Le pouvoir est toujours lié à la divinité, qui l'exerce ne doit pas le faire trop longtemps comme il ne faut pas trop boire, sans quoi il risque fort l'ivresse du pouvoir.
2 Plus apte pour une chose, moins apte pour une autre : à quiconque de plus adapté de prendre la relève à mon avis. Je vais devoir assumer un rôle qui certes devrait me revenir, d'un certain point de vue, mais sans en avoir vraiment les aptitudes, eh bien, je vais devoir évoluer dans un domaine où il est totalement assuré, contrairement à ce qu'on a dit ailleurs, que je suis sans talent... Quand les gens ne peuvent pas vous sentir, ils vous dénient vos dons, dans le cas inverse vos manques mais dans tous les cas, c'est pour se débarasser de vous.
Après quoi, ils sont au spectacle, bouffon ou héros, de vos aventures, si j'ose dire, se retirer de tout et s'armer d'indifférence à tout, mais dans notre société, s'il n'y a pas de service militaire, chacun doit fournir aux divertissements des autres, voyez-vous ça.
Comme on panse ses blessures comme on peut et qu'on s'en veut d'avoir bien joui des autres, on prétend que l'échec n'est pas l'échec ou que la douleur élève, enfin, des consolations qui ne tiennent pas la route... Des inconscients ont peut-être besoin de se brûler pour savoir ce qu'est le feu, pas moi, quand quelque chose m'arrive, outre le malheur, je ressens de l'ennui, oui, de l'ennui, je me dis que je n'avais pas besoin de le vivre pour le savoir. Quel ennui, vraiment... Colossal. Ce qui abaisse abaisse, eh oui, et c'est tout : il est bienheureux qu'au lieu de radoter que le mal soit un bien, certains aient songé à abolir l'esclavage, pour changer un peu. Donc, dans l'idéal, je me bats pour le bien, dans l'idéal parce que sans talent n'est-ce pas, et surtout sans celui d'être, en somme, charismatique, on va au-devant de sacrés problèmes. Confondre ma capacité de progression ou celle de faire sortir certains de leurs réflexions habituelles ne veut pas dire plaire, rassembler, fédérer, ce qui serait plus leur vocation. Que des diplomates, des gens charismatiques m'envoient au casse-pipe, merci, merci encore ! Pas une écorchure pour leur peau, le pire pour moi, si je perds, ça ne leur fait rien, si je gagne, ils gagnent aussi, c'est vraiment l'idéal. Au fond, pourquoi pas, les gens ne vous font héros que pour ne pas l'être.3
2 On me dira pas tous. Mais à la guerre, traditionnelle ou hybride, armée ou culturelle, comme à la guerre.
Voulons-nous rester libre ? Toutes les autres considérations sont parasites. S'amuser à pomper l'eau d'un navire qui prend l'eau ? Le réparer, à la limite.
3 Ou on se fait héros pour ne pas être comme ceux qui vous déçoivent ou imiter ceux qui vous plaisent. Sauf qu'à part dans les histoires où le héros s'arrange pour faire triompher le héros, dans le monde, la lutte est souvent bien trop inégale, pour quiconque est assez intelligent pour s'en rendre compte.
Rédigé par : Lodi | 05 septembre 2020 à 09:07
@ Aliocha
"Si vous voulez, revenonsausujai, sous les ordres de Darlan, avant ou après, il faudrait d'ailleurs que je me renseigne."
Ah, vous affirmez d'abord, vous vérifiez ensuite ?
Vous avez tout dit, rien à ajouter !
Rédigé par : revnonausujai | 05 septembre 2020 à 07:52
@ Aliocha
"Mais ce n'est qu'un détail pour donner à notre imposteur l'occasion de me traiter de traître..."
Je ne vous ai pas traité de traître. Je trouve même que vous êtes d'une fidélité... excessive à vos idées. Mais je crois que vous parliez-là de Marchenoir.
"...comme notre scientifique des pensées magiques qui nous ramène ses tests de QI..."
Ah voilà, cela parle de moi. Alors oui, je ramène les tests de QI sur le tapis, non pas parce que cela m'enchante, loin de là, mais simplement parce que cette question fait l'objet du conflit au sujet du racisme entre Marchenoir d'un côté et Mary Preud'homme et vous de l'autre. Comme l'a adéquatement relaté Lodi.
Il n'est donc pas possible de traiter la nature de ce conflit au sujet du racisme sans mentionner cet item. Vous m'en voyez navré, mais traiter de la pertinence de votre définition et de son applicabilité à Marchenoir -- ce qui est bien votre intention, de l'appliquer à la position de Marchenoir, me semble-t-il... -- ne peut faire l'économie de cette discussion.
Ne serait-ce que par pur acquit de conscience.
En ce qui me concerne, mon intérêt personnel est, je ne vous le cache pas, de disséquer votre position au sujet de la rationalité, de l'idéologie et de la morale, sujet qui m'intéresse énormément compte tenu de mon lourd passé en chambres capitonnées. J'imagine que vous ne verrez pas d'inconvénients à ce que j'examine vos représentations mentales à ce sujet (et ce indépendamment de la question, pour moi annexe, du QI). Et il se trouve que vous êtes effectivement bavard à ce sujet précis:
"...qui sont exactement des mesures effectuées sur une base culturelle, donc idéologique, qu'il prend pour mesure scientifique, alors qu'il me somme d'avouer que je prends la science pour une idéologie."
Donc, si je vous comprends bien, et vous comprendrez bien que je cherche scrupuleusement à ne pas déformer vos propos, vous semblez affirmer les choses suivantes:
1. Que je vous "somme" d'avouer que vous prenez la science pour idéologie. Alors non. Il me semble que vous avez prouvé par vous-même dans le passé que c'était votre position. Je ne vous sommais pas. Je vous invitais à nous exposer votre position noir sur blanc pour faire avancer la discussion et que nous sachions, enfin, sur quel pied danser.
2. Vous faites scrupuleusement attention dans vos propos à justement ne rien affirmer quant à la question "un résultat scientifique peut-il être considéré comme idéologique ?". Nous ne sommes donc toujours pas avancé en la matière du point soulevé en 1.
3. Par contre, vous semblez prétendre que le QI n'est pas un concept scientifique. Ce qui permet de dévier la conversation du point 2. ci-dessus qui était réellement celui qui suscitait mon intérêt et sur lequel ma question portait. Je me permets aussi de vous rappeler que nous avons déjà traité de la question de la scientificité du QI, et que, sans appel, nous vous avons réfuté. Le QI n'est pas une mesure effectuée sur une base culturelle (*), et vous pourrez danser autour d'un totem en invoquant la pluie que cela n'y changerait rien.
Mais, en fait, votre diversion est encore plus perverse que cela. Donc je reformule la question de manière simultanément plus hypothétique et plus précise: supposant que dans cinquante ans, nous ayons une mesure objective, non "culturelle" et scientifique permettant de comparer les capacités cognitives entre populations humaines ; et supposant que nous obtenions des résultats montrant des différences cognitives entre groupes humains, par exemple des groupes ethniques ; serait-ce votre position qu'affirmer cette vérité scientifique tomberait sous le coup de potentielles accusations d'idéologie? Oui ou non?
Cette dernière question est très bien posée. Ce n'est pas comme si je vous "sommais" de répondre "oui" ou "non" à la question "avez-vous cessé de violer des enfants ?", auquel cas ni "oui" ni "non" ne seraient des réponses correctes. À moins d'avoir de sérieux problèmes à régler...
Ah ! Et je ne vous somme en rien. J'ai juste besoin de comprendre quelle est votre position à ce sujet. Évidemment, en l'absence de réponse de votre part, il nous serait impossible de savoir si discuter du QI des Noirs, des extraterrestres, des aborigènes et des bulots serait susceptible d'être en soi raciste. Ce serait gênant...
En tout cas, le verdict de Wikipedia semble bien être qu'une assertion tenue pour vraie sur la base de purs motifs épistémiques ne saurait être raisonnablement tenue pour idéologique. Et que donc, discuter des QI entre groupes humains n'est pas a priori du racisme, même si on affirme des différences de QI entre groupes humains.
En tout cas, quelle que soit votre affiliation ethnique réelle ou supposée, ce type de pénible pilpoul montre bien qu'il est assez usant de discuter avec des gens qui ont un QI de bulot ou qui le feignent. Vous devriez applaudir nos efforts incessants...
(*) Aparté: le QI n'est effectivement pas une mesure qui dépend d'un contexte culturel. Les motifs qui peuvent expliquer des différences de QI, par contre, peuvent être attribués à des facteurs sociaux ou génétiques ou autres. Mais contrairement à l'opinion d'Aliocha, ces considérations ne prouvent pas la non-scientificité du QI, mais font justement l'objet d'études scientifiques sur le QI. Les aspects culturels dans les causes de différences de QI font donc justement partie intégrante de la science. Ce petit tour de passe-passe aliochesque méritait d'être souligné compte tenu de son niveau affligeant de sournoiserie si c'est là chose intentionnelle.
Rédigé par : Baron Samedi (a.k.a F68.10) | 05 septembre 2020 à 04:06
Si vous voulez, revenonsausujai, sous les ordres de Darlan, avant ou après, il faudrait d'ailleurs que je me renseigne. Mais après Toulon, mon grand-père se retrouva à Vichy, ça je le confirme, précisant que mes origines culturelles sont maintenant lointaines, et que je ne pratique aucune religion.
Mais ce n'est qu'un détail pour donner à notre imposteur l'occasion de me traiter de traître, il n'est pas à ça près, et à faire de moi l'ennemi qu'il imagine pour mieux se délasser les nouilles, comme notre scientifique des pensées magiques qui nous ramène ses tests de QI, qui sont exactement des mesures effectuées sur une base culturelle, donc idéologique, qu'il prend pour mesure scientifique, alors qu'il me somme d'avouer que je prends la science pour une idéologie.
La contemplation de ses contradictions est effectivement un abîme, comme son agressivité pédante et obscure qui ne sait qu'adorer ce qu'il croit ne pas être définissable, et qui est sa propre violence, illustrant à merveille que sans Dieu, les hommes deviennent des dieux les uns pour les autres, autres qu'ils dénient, ce qui explique son irrespect fondamental du prochain et ses accointances avec Lodi, car vous comprenez, dieu, c'est eux, on en reviendra donc en boucle aux tyranneaux infantiles, s'interdisant tout accès au réel.
Ils vont tous aller en retraite à Trisulti, Steve Bannon y a laissé sa cellule, avant d'aller à leur destination naturelle, l'asile ou la prison, rejoindre ceux qu'ils dénoncent, racailles, sauvageons et autres anti-racistes militants radicalisés qui sont leurs semblables, malgré leur désir d'être des barons, subir la même rude punition que la vie leur inflige ou leur infligera.
Le plus triste est qu'ils interdisent toute joie à prendre leur délire incontinent d'autant plus au sérieux que confusément ils le savent absurde, allons donc nous abreuver à la source, parmi ceux qui connaissent le vrai et qui, même s'ils n'ont pas réussi l'agrégation ou passé les tests discriminants, ont l'intelligence de la placer après le mouvement du cœur qui l'engendre :
https://www.youtube.com/watch?v=lP2bumHNLs8
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2020 à 01:21
@ Robert Marchenoir
"Qu'entendez-vous par là ? Que vous êtes en désaccord avec moi ? Ce n'est pas le cas."
Exactement. Sur la phrase en question, je suis effectivement d'accord avec vous. Et c'est pour cela que "je tique" face à la situation actuelle que vous décrivez.
"Vous vous contentez de reproduire un poncif de "l'anti-racisme", mais vous vous gardez bien de définir en quoi consisterait cette "ségrégation", quels en seraient les "effets", et en quoi ils seraient "désastreux".
Mon niveau de "racisme" ne semble pas convenir à grand monde sur ce blog... Mais quel que soit ledit niveau, mon daltonisme n'a pas encore atteint le niveau ne me permettant plus de distinguer le blanc du noir. Les positions dites de droite sont assez unanimes à partager mon constat, et je parle donc de ségrégation.
Il ne s'agit pas de ségrégation légale, au sens où il n'existe pas une seule loi en France, à ma connaissance, susceptible d'être considérée comme raciste sur un plan formel. Il s'agit simplement d'un constat. Et oui, je trouve complètement absurde d'entasser de la "diversité" sur de la "diversité".
Le bonhomme qui vient du Pourristan le plus émigrationniste se retrouve à débarquer au milieu de populations dite de la "diversité". Tous les Français sont français en France -- j'ai bien compris -- mais si l'Afghan qui débarque voit comme archétype du Français un Français d'origine sénégalaise, il y a comme qui dirait un petit problème d'entassement de la "diversité" sur de la "diversité". Cela me paraît factuel comme constat, et cela ne nécessite aucune considération sur la justice sociale pour être tenu comme factuel. Et je pense que c'est assez désastreux.
Franchement, je serais même pour rétablir quelques discriminations dans la loi, réservées par exemple aux sociétés privées de gestion du parc immobilier, et les rémunérer/pénaliser -- éventuellement par des mécanismes de marché, genre droits carbone -- si elles n'arrivent pas à équilibrer un truc genre coefficient de Gini ou une forme de critère entropique dans l'attribution des logements afin de garantir que tout ce beau monde se disperse petit à petit pour déghettoïser les ghettos.
Ce n'est même pas une question de justice sociale. Cela offense simplement mon sens de l'esthétique -- pour ne rien dire de mon sens de l'éthique -- que de voir la situation actuelle. C'est très égoïste comme point de vue.
"Bref, en quoi il y aurait, actuellement, en Occident, un "racisme" à l'encontre des non-blancs (c'est dire une injustice), et en quoi il serait à l'origine de maux subis par ces derniers."
Même pas besoin de prendre position sur ce point pour discuter de la déghettoïsation que je préconise. Un recours aux mécanismes de marché pour défendre mon sens de l'esthétique me paraît suffisant comme base de discussion.
Rédigé par : F68.10 | 04 septembre 2020 à 23:52
"Vous pourrez ad libidum recommencer en boucle de justifier l'injustifiable" (Aliocha)
Ne vous laissez pas envahir par le sexe, Aliocha...
"Ad libitum"... selon le codex duventus...
Rédigé par : sbriglia | 04 septembre 2020 à 23:38
@ F68.10 | 04 septembre 2020 à 09:50
"Eh bien, là, effectivement, je tique."
Qu'entendez-vous par là ? Que vous êtes en désaccord avec moi ? Ce n'est pas le cas. Vous dites :
"J'avoue ne pas avoir été fasciné par la capacité des 'antiracistes' de faire quoi que ce soit qui aille au-delà de la police des mots quand il s'agit de vraiment faire quelque chose contre 'le racisme'."
C'est exactement ce que je viens de dire.
Quant à ceci :
"Je suis le premier à reconnaître les effets désastreux de la ségrégation qui existe actuellement."
Vous vous contentez de reproduire un poncif de "l'anti-racisme", mais vous vous gardez bien de définir en quoi consisterait cette "ségrégation", quels en seraient les "effets", et en quoi ils seraient "désastreux".
Bref, en quoi il y aurait, actuellement, en Occident, un "racisme" à l'encontre des non-blancs (c'est dire une injustice), et en quoi il serait à l'origine de maux subis par ces derniers.
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@ Aliocha | 04 septembre 2020 à 08:04
"Je suis un bon blanc bien catholique."
Vous êtes donc un traître à votre race. C'est une information.
En revanche, vous êtes un très mauvais catholique, pour différentes raisons que je viens d'expliquer ici.
"Racisme : idéologie postulant une hiérarchie des races."
Il n'existe donc pour ainsi dire aucun raciste parmi les Blancs, et moi moins que les autres : je n'ai jamais professé une "idéologie postulant une hiérarchie des races". En revanche, il y en a un nombre non négligeable parmi les Noirs, les Arabes, les Chinois ou d'autres. Vous trouverez aisément les références.
"Quant à mon positionnement politique, mettez vos oreilles et notez-le, je l'ai déjà dit cent fois, je suis de centre-gauche, tendance Delors-Rocard."
Ah boooon ? Alors ça, ça m'en bouche un coin, voyez-vous ! J'étais persuadé que vous étiez quelque part entre le Rassemblement national et Génération identitaire. Comme quoi, on peut se tromper du tout au tout sur les gens...
Sinon, j'adore votre style de dialogue "bien catholique"... C'est marrant, mais les catholiques convaincus que je fréquente ne parlent pas comme ça. Y'a un truc, comme qui dirait, fondamentalement différent. Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus... je me perds en conjectures... mais y'a un truc.
"De vous réduire à voir ce que vous êtes, un toxico de la haine, etc."
Badaboum, badaboum, badaboum.
Avez-vous songé à louer vos services comme entraîneur de logiciels d'intelligence artificielle ? Votre pipotron humain est assez au point : vous pourriez aisément donner un vernis de crédibilité à quelque machine informatisée produisant du texte automatique.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 septembre 2020 à 22:42
@ Aliocha
"Je note, F68.10, votre prise de distance avec Marchenoir sur le sujet raciste, et constate avec bonheur que vous intégrez enfin le principe mimétique des abîmes et des doubles monstrueux, peut-être intégrerez-vous bientôt que ce qui nous sépare est moins important que ce qui nous rassemble."
Ah ! Mon petit inquisiteur personnel me décerne des bons points ! Dites-moi quand j'en ai assez pour obtenir une image, en bon iconodoule que je suis...
Plus sérieusement: je n'ai aucunement à me justifier de racisme ou de non-racisme face à quiconque. Je ne tolère pas qu'on glisse sous ma peau ainsi ; et la Parole Obligatoire comme préalable à la Rédemption est un concept que je honnis. Radicalement.
Alors laissez-moi préciser que je valide intégralement l'idée que seule la méthode scientifique permette de déterminer si, oui ou non, les habitants de Kepler-1649c sont plus c*ns que ceux de Trappist-1f. Il me paraît important d'apporter un soutien sans équivoque à Robert Marchenoir sur ce point précis, et d'affirmer haut et fort qu'aucun salamalec antiraciste simpliste n'est susceptible de me faire dévier de cette ligne. Quand les objections ne sont pas simplistes, c'est une autre paire de manches...
En ce qui concerne Nietzsche: à aucun moment Nietzsche ne double ce constat de l'injonction à détourner son regard de l'abîme ; ce que vous, par contre, faites dans vos imprécations et homélies. Des traditions non-chrétiennes en font même parfois une voie d'accès privilégiée à ce que Xavier Nebout appelle le spirituel.
Je crois que nos positions sont bien plus irréconciliables que ce que vous souhaitez en laisser paraître. Un adorateur d'Éris a pour principe de ne jamais être d'accord avec autrui tant qu'il le peut.
"Il suffit de dire qu'Éris n'est pas odieuse ou malicieuse. Mais Elle est espiègle, et peut être un peu sal*pe parfois." -- Principia Discordia
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@ Aliocha (@ Robert Marchenoir)
"Racisme: idéologie postulant une hiérarchie des races." -- Aliocha
Alors voilà le petit hic dans votre définition, qui explique très bien pourquoi Robert Marchenoir voit dans les définitions du racisme quantité de non-pensés ou non-dits qui rendent cette question infiniment pénible à traiter avec les gens butés: une idéologie, c'est, nous dit Wikipedia, "a set of beliefs or philosophies attributed to a person or group of persons, especially as held for reasons that are not purely epistemic". En français: "un ensemble de croyances ou philosophies attribuées à une personne ou un groupe de personnes, spécifiquement lorsqu'elles sont tenues pour des raisons qui ne sont pas purement épistémiques".
Maintenant, admirez le jeu de chassé-croisé: il y a un an, la même page donnait la définition suivante: "An ideology is a collection of normative beliefs and values that an individual or group holds for other than purely epistemic reasons." En français: "collection de croyances et valeurs normatives qu'un individu ou groupe tiennent pour vrai pour des raisons autres que purement épistémiques". À l'époque, cette définition était sourcée, et en provenance du Oxford Companion to Philosophy. Elle est toujours sourcée dans la page actuelle comme provenant de la même source, mais elle a été -- je tousse -- "subtilement" amendée.
Si nous prenons la définition d'il y a un an, une position scientifique et rationnelle ne peut être qualifiée d'idéologie. Car une telle position serait tenue pour des motifs purement épistémiques.
Avec la nouvelle définition, nous avons l'apparition d'une imprécision permettant de qualifier une position scientifique et rationnelle d'idéologie. Avec un peu de mauvaise foi, certes, mais néanmoins, c'est possible.
Dans un cas, l'affirmation d'une différence de QI entre groupes humains sur de purs motifs scientifiques peut être qualifiée de raciste selon votre définition. Dans l'autre cas, non.
Et vous comprenez bien que le terme "raciste" a des implications non-triviales. Qui ne tiennent donc qu'à une imprécision, ou à une touche de laxisme, dans la définition du terme "idéologie". Terme que vous utilisez dans votre définition de "racisme".
C'est pourquoi il est alors important, si vous tenez à conserver votre définition du racisme, de nous expliquer noir sur blanc votre position: une position rationnelle et scientifique peut-elle être une position idéologique ?
De toute évidence, compte tenu de votre passif sur ce blog, il est clair comme de l'eau de roche que votre réponse est que la science est une idéologie. Mais ce serait mieux que vous nous l'écriviez noir sur blanc, en réponse à ce commentaire, pour que nous puissions nous y référer pour de futures discussions.
Et bien évidemment, tant que vous tiendrez cette position, des gens comme moi vous tomberont dessus à bras raccourcis. Sans même avoir besoin de mentionner le racisme ou de prendre position à ce sujet.
Rédigé par : F68.10 | 04 septembre 2020 à 19:05
@ Aliocha
"...petit-fils d'un capitaine de frégate qui saborda son navire en la rade de Toulon avant de rejoindre Darlan à Vichy"
Ben non, l'amiral Darlan a quitté Vichy pour Alger, où son fils était hospitalisé, le 4 novembre 1942 et il y est demeuré jusqu'à son assassinat ; la flotte s'est sabordée à Toulon le 27 novembre 1942.
Y a comme un défaut !
Seriez pas parent avec Hervé Morin, celui qui a vu les alliés débarquer en Normandie 17 ans avant sa naissance ?
https://www.bing.com/videos/search?q=herv%c3%a9+morin+debarquement+de+normandie&docid=608052715051614723&mid=C0C2E8F6612DD1F45F73C0C2E8F6612DD1F45F73&view=detail&FORM=VIRE
Rédigé par : revnonausujai | 04 septembre 2020 à 18:23
Je note, F68.10, votre prise de distance avec Marchenoir sur le sujet raciste, et constate avec bonheur que vous intégrez enfin le principe mimétique des abîmes et des doubles monstrueux, peut-être intégrerez-vous bientôt que ce qui nous sépare est moins important que ce qui nous rassemble.
Rédigé par : Aliocha | 04 septembre 2020 à 15:23
@ Robert Marchenoir
"L'asymétrie et l'impunité sont les deux caractéristiques de "l'anti-racisme". Cela ne coûte rien de se proclamer "anti-raciste", et personne ne peut démontrer que vous ne l'êtes pas."
Eh bien, là, effectivement, je tique. Autant je suis le premier à reconnaître les effets désastreux de la ségrégation qui existe actuellement, le premier à refuser qu'on traite mal les gens en raison de leur origine ou leur culture -- ou même qu'on les traite mal tout court... quelle idée saugrenue... -- j'avoue ne pas avoir été fasciné par la capacité des "antiracistes" de faire quoi que ce soit qui aille au-delà de la police des mots quand il s'agit de vraiment faire quelque chose contre "le racisme".
Et par contre, je reconnais dans nombre de comportements rhétoriques des antiracistes le même type de fanatisme que je retrouve, effectivement, dans les religions telles que l'islam (mais pas que...) avec cette licence d'"interdire le mal" qui vous est accordée (sans blague...), mais que je retrouve aussi dans le domaine de la psychiatrie (et généralement dans le domaine de la médecine) un peu à tous les niveaux. La même conceptualisation du Vrai, du Bien, de la légitimation de la violence au nom du Vrai et du Bien.
Au fond, toujours la même notion: tout, absolument tout, est permis au nom d'une notion de salut.
Ben non...
Ce qui ne signifie pas que le racisme n'existe pas, ni qu'il n'y ait une pelletée de problèmes à gérer autour de cette question. Simplement que c'est impossible de réfléchir à un sujet si les réponses à toutes les questions sont prescrites par un oracle ou une doxa.
Et pour clore cette petite discussion sur ce que vous appelez l'antiracisme, de concert avec les premiers concernés, je me permets de leur rappeler cet aphorisme plein de sagesse:
"Celui qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même. Et quand ton regard pénètre longtemps au fond d'un abîme, l'abîme, lui aussi pénètre en toi." -- Nietzschichinou, Par delà le bien et le mal, maxime 146, page 132.
Rédigé par : F68.10 | 04 septembre 2020 à 09:50
@ Robert Marchenoir
Camarade, je suis un bon blanc bien catholique, petit-fils d'un capitaine de frégate qui saborda son navire en la rade de Toulon avant de rejoindre Darlan à Vichy, et de voir brisée sa carrière brillante qui le destinait aux plus hauts postes, en 44 au ministère de la guerre, dans l'antichambre du général de Gaulle qui refusa de le recevoir.
Quant à mon positionnement politique, mettez vos oreilles et notez-le, je l'ai déjà dit cent fois, je suis de centre-gauche, tendance Delors-Rocard.
Je l'ai déjà dit, mais votre mémoire d'obsédé violent ne sait pas repérer les nécessités de ses amnésies, que vous vouliez recommencer une discussion où déjà vous refusiez de définir le racisme pour le justifier et où je me vis obligé de vous réduire à voir ce que vous êtes, un toxico de la haine, en témoigne.
Vous pourrez ad libitum recommencer en boucle de justifier l'injustifiable, cela ne saura que confirmer ce qui a déjà, et sévèrement, été jugé, et vous offrir à l'habitude aux récidives, aggravant votre cas, tentant par des procès d'intention de dissimuler vos usurpations délétères d'odieux falsificateur, rappelant encore une fois, puisque c'est nécessaire au vu des cécités pathologiques de votre surdité, que vous êtes le double monstrueux de ce que vous dénoncez, un épouvantable tyranneau totalitaire, à l'image de vos petits camarades de jeu, qui eux au moins ont l’honnêteté de reconnaître et de revendiquer leur barbarie aztèque, mais partagene avec vous l'incontinence de leur dérive, et auxquels ainsi qu'à vous en son temps j'ai signifié que je me tiens à leur disposition pour analyser la puanteur de leur défécations.
Continuez donc, braves vieillards, à organiser votre chute, vous ne m'empêcherez jamais de témoigner qu'il est possible de danser sur ce fil aiguisé entre les deux enfers des pro et des anti, que les racistes que vous êtes rejoignent en ce choix les antiracistes dont je ne suis pas au gouffre du néant, laissant à ceux qui ont choisi de chausser les mocassins de la foi danser la victoire du réel, celui qui sait nommer simplement le mensonge de votre état :
Racisme: idéologie postulant une hiérarchie des races.
Rédigé par : Aliocha | 04 septembre 2020 à 08:04
@ F68.10 | 01 septembre 2020 à 23:16
Votre remarque à Aliocha touche au cœur de l'idéologie "anti-raciste", et montre pourquoi elle est aussi attirante pour ses adeptes.
"L'anti-racisme", c'est une licence pour persécuter très concrètement des individus en particulier, après avoir proclamé son amour du genre humain en général. Autant cette dernière vertu est théorique et invérifiable, autant la malveillance exercée en conséquence est bien réelle, et touche des personnes parfaitement identifiables.
L'asymétrie et l'impunité sont les deux caractéristiques de "l'anti-racisme". Cela ne coûte rien de se proclamer "anti-raciste", et personne ne peut démontrer que vous ne l'êtes pas. Ce joker acheté avec de la monnaie de singe vous permet ensuite d'exercer des exactions parfaitement réelles envers des personnes qui les subissent vraiment, sans que personne ne puisse s'y opposer, puisque vous le faites au nom du bien.
L'accusé prétendument "raciste" ne peut se défendre, puisque le "racisme" n'a aucune définition précise, et peut désigner à peu près n'importe quoi. D'ailleurs, l'accusateur se garde bien de préciser son grief, selon les bonnes vieilles recettes de tous les totalitarismes.
Le tout est de tirer le premier. "L'anti-raciste" auto-proclamé l'est par définition, dans une tautologie indémontrable qui ne souffre aucune réfutation. Le "raciste" l'est du fait même qu'il est accusé par "l'anti-raciste", et qu'il n'a pas pris la précaution de jouer le rôle de son agresseur avant lui.
Tout cela ne serait qu'un jeu verbal pour pervers hypocrites, si cela ne se tenait que dans les profondeurs des commentaires de blog. Hélas, cela reflète une lutte impitoyable qui se joue dans le monde réel, et se termine régulièrement dans le sang et le meurtre.
Vous remarquerez que le mécanisme de "l'anti-racisme" est exactement le même que celui de l'idéologie de gauche en général (ce que j'appelle souvent, pour simplifier et donner la mesure des choses, le communisme).
L'être-de-gauche, lui aussi, est une "unique selling proposition", une offre que vous ne pouvez pas refuser, une posture irrésistible qui présente tous les avantages et aucun inconvénient.
En échange de se proclamer généreux, attentif aux miséreux et soucieux de redresser les torts (allégation qui ne coûte rien et que personne ne peut vérifier), l'homme de gauche gagne le droit d'accuser tout le monde et sa mère d'être un vil exploiteur (variantes : bourgeois, riche, macronien... les qualificatifs ne manquent pas).
Plus votre gentillesse à l'égard d'autrui est générale et de principe, plus vous pouvez vous permettre d'être authentiquement méchant envers les individus bien réels que vous croisez.
L'islam, aussi, est basé sur ce mécanisme. Du seul fait que vous vous proclamiez musulman, vous avez le droit de persécuter tous ceux qui ne le sont pas. En prime (caractéristique spécifique à cette idéologie), vous gagnez le droit de traiter toutes les femmes en objets sexuels. Ce dernier point est, il me semble, décisif dans le succès mondial de l'islam.
On ne s'étonnera pas de constater que les "anti-racistes" sont, très souvent, de gauche, et complaisants avec l'islam.
Tandis que les musulmans sont massivement de gauche, et immanquablement "anti-racistes".
Cette contradiction interne de "l'anti-raciste" ou de l'homme de gauche est une constante, aussi immuable, mettons, que la constante de Planck. Il suffit de gratter une seconde le cobaye Aliocha pour qu'aussitôt, il passe de l'amour immodéré du genre humain à la haine de votre personne en particulier. La collision verbale que vous avez relevée se reproduit sous des centaines de variantes.
Le plus comique (et là, nous tenons un spécimen sans aucun doute particulier, qui transcende "l'anti-racisme" du tout-venant), est la façon dont il se transforme périodiquement en Saint-Sébastien percé de flèches, affichant voluptueusement son martyre : rhôôô, je suis une pauvre victime, tout le monde me persécute, c'est un complot contre ma personne.
Juste après avoir gratuitement insulté la dernière personne qui passait à proximité.
Remarquons qu'après des années passées à répandre sa haine "anti-raciste" sur ce blog, Aliocha n'a toujours pas eu l'honnêteté la plus élémentaire de nous annoncer à quelle race il appartenait.
D'où parles-tu, camarade ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 septembre 2020 à 05:51
Et Marchenoir, ils s'acoquine aux deux tyranneaux, pour rire ?
C'est plus de la bêtise, c'est de l'incontinence, l'heure de la couche à sonné, Lodi, la tototte et au lit.
Bonne nuit, les petits !
Rédigé par : Aliocha | 02 septembre 2020 à 22:47
@ Lodi (@ Aliocha)
"F68.10 a souffert d'atteinte à sa liberté, il détecte votre côté liberticide..."
Exact. C'est patent.
Rédigé par : F68.10 | 02 septembre 2020 à 16:22
@ Aliocha
Vos jeux de mots sont foireux. J'ai dit à de nombreuses reprises mes désaccords avec Elusen sans frapper au-dessous de la ceinture en le traitant d'islamiste ou autres saletés et n'ai jamais approuvé ces comportements.
F68.10 est également sans reproche.
En fait, il est bien bon de ma part de le défendre quand il m'a traité de raciste ! C'est parce que j'essaie d'être juste, soit une chose inconcevable pour des gens comme vous.
Quant à votre cas, chacun y voit ce qui lui importe, tout le monde peut constater que vous êtes haineux malgré vos airs doucereux, donc pour Robert Marchenoir très passionné par le racisme et l'anti-racisme, ce sera à cette sauce.
F68.10 a souffert d'atteinte à sa liberté, il détecte votre côté liberticide, et quant à moi, très tôt dans la vie m'est apparue la réalité de la vie, de la mort, la mortalité, et l'immortalité. À part ça, il y a la rivalité qui peut aller jusqu'au duel et à l'assassinat... Je discerne surtout cet aspect chez vous. Là, c'est Elusen, un absent, donc sans défense, qui en fait les frais.
Ce n'est pas ma faute si vous êtes un lâche, mais lâche à un point qui bat les records. En plus, F68.10 et moi vous avions dit de ne pas vous en prendre à l'absent, mais vous récidivez.
Absolument atterrant, lamentable...
Les remarques de Robert Marchenoir, F68.10 et moi sont toutes vraies et reliées, de même qu'un éléphant a quatre pattes semblables à des piliers, une trompe et deux défenses. Enfin, pardon à l'éléphant, soit dit en passant, on compare avec ce qui tombe sous l'esprit.
Mais je parie que vous allez jouer les innocentes victimes au détriment des vraies, tiens, un truc en passant, sur les couleurs, tant de gens étant obsédés par la question de la race dans ce blog :
https://www.un.org/africarenewal/fr/magazine/décembre-2017-mars-2018/en-finir-avec-la-persécution-des-albinos
Rédigé par : Lodi | 02 septembre 2020 à 14:26
Mais dis donc, Didon, qui a fait fuir Elusen ?
Vous ne seriez pas de mauvaise foi, Lodi, vous ne témoigneriez pas de vos hypocrisies.
Marchenoir me déguise en anti-raciste haineux, F68.10 en inquisiteur, et vous en assassin, chacun se voit lui-même au miroir d'Aliocha.
Miroir, mon beau miroir, dis-moi, dis-moi, que c'est moi le plus moi.
Maintenant je n’ai plus
Ni génies pour me seconder, ni magie pour enchanter,
Et je finirai dans le désespoir,
Si je ne suis pas secouru par la prière,
Qui pénètre si loin qu’elle va assiéger
La miséricorde elle-même, et délie toutes les fautes.
Si vous voulez que vos offenses vous soient pardonnées,
Que votre indulgence me renvoie absous.
Rédigé par : Aliocha | 02 septembre 2020 à 10:12
Oui, la paille et la poutre, même les normaliens y viennent.
On avance bien.
Rédigé par : Aliocha | 02 septembre 2020 à 08:21
@ Aliocha
Je vous "somme" parce qu'il est amusant de prendre un ton comminatoire à qui ne cesse de donner des ordres, tout simplement !
Et je risque ? Rien : vous m'avez déjà traité indûment de tyran.
Je ne l'ai fait que pour un pauvre absent, Elusen, les absents ont toujours tort : si on parle de victimes, les victimes idéales, certes puisqu'elles ne peuvent pas se défendre !
Sur la question de dieu et diable, vous vous ressemblez fort : vous y croyez et chacun a son champion, qui serait gentil et l'autre méchant quand rien ne prouve que les interéssés existent et que l'un d'eux nous aide en quoi que ce soit.
C'est vraiment n'importe quoi.
Sinon, je suis toujours parfaitement honnête, intellectuellement parlant, et signale en passant que les sophistes valaient bien mieux que ce que leur réputation a fait d'eux.
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@ F68.10
Il me fallait défendre Elusen l'absent... Devrais-je en faire autant pour Aliocha s'il s'en allait ? Le cas est douteux : qui attaque les absents ne me semble pas prioritaire pour qu'on restitue les termes exacts de sa pensée, grand mot, certes, dans bien des cas.
Enfin, disons intention de pensée.
Je ne vois pas pourquoi l'humour me serait interdit car en vérité je ne vois pas pourquoi et comment je devrais interdire quelque chose aux débatteurs.
Mais les moralistes à la Aliocha ne comprennent pas la justice : qui est dans son droit est dans son droit, qui est dans son tort est dans son tort et le temps ne fait rien à l'affaire. Autre chose : s'en prendre à un absent, de plus aimé de personne, est déloyal au plus haut point car en principe nul ne le défendra jamais.
Il ne s'agit, en vérité, pas d'un duel mais d'un assassinat. Comme je l'ai dit, Aliocha prétendant défendre les victimes veut se payer des victimes sans défense.
Encore un Tartufe comme ceux pensant que peu importe le viol de Polanski puisqu'il ne se vantait pas de son crime... Alors faisons-en autant de tous les criminels.
Après tout, même à l'heure d'Internet, certains savent s'envelopper dans le silence.
L'avantage : vider les prisons, redonner de la respectabilité aux curés et autres respectables pédophiles.
Amusant d'observer des gens favorables à la repression jusque pour des drogués - à quand le rétablissement de la puniton des sucidants ? - défendre des abuseurs qui ne sont même pas leurs amis : en France, on piétine principes et victimes pour étendre son petit pré carré de privilège.
Au cas où on me lit, je me mets la moitié du blog à dos avec Polanski, mais pour moi cette affaire ne se refermera jamais, elle est bien trop grave et révélatrice à la fois.
Avec ça et d'autres choses, je ne suis pas populaire : sans talent, style "qui chie et chiant" pour résumer un commentateur tournant autour du pot pour l'exprimer raciste, abyme de mauvaise foi, tyran et diabolique, je collectionne. Et on voudrait que j'aime ceux qui me crachent dessus, que je renonce à leur rendre leur dû ? Pardon mais je suis tout sauf un crachoir.
Vous allez dire, pourquoi rester ? Parce que les billets sont bons et les patrons sympatiques, qu'un certain débat est possible, que je n'ai pas trouvé un jardin épicurien et que le paradis privé de l'opium m'est hélas inaccessible.
Le seul mal qu'on pourrait trouver à redire à l'opium dans mon cas serait que je renoncerais à écrire ici, ce qui au vu des réactions constituerait un débarras pour beaucoup, et que j'abdiquerais peut-être certaines ambitions, mais en somme, je n'ai juré à personne de les accomplir et il n'y aurait rien là de déloyal.
De toute façon, elles sont extrêmement ardues, autant renoncer dans l'indifférence flottante à ce qui renoncera à soi, sentant ses pensées glisser comme l'eau, le sable ou les nuages que je peux contempler plus utilement que les tableaux dans les musées où le regard des autres a toujours tué le mien sur les oeuvres.
Renoncer ou pas, après tout, m'adresser à vous me fait penser qu'il faut sortir de l'impuissance apprise ou ne pas y entrer, suivant les cas, un pied dans le rêve, un dans la réalité, comme Corto Maltese, un dans le présent, un dans le passé, comme Mort Cinder, en somme, la liberté, c'est de choisir l'errance entre les mondes.
Rédigé par : Lodi | 02 septembre 2020 à 05:29