Nicolas Sarkozy n'a "tué" aucun des postes qu'il a occupés, pas plus ceux de ministre que celui de président de la République. Pourtant, un jour, il avait affirmé qu'en tant que ministre de l'Intérieur, il serait indépassable, puisqu'il aurait "tué" cette prestigieuse fonction.
Combien de fois n'a-t-on pas comparé Gérald Darmanin (GD) à Nicolas Sarkozy ? A la place Beauvau il serait le continuateur de ce dernier mais en moins bien, en dégradé, telle une copie ne faisant pas oublier l'original. Une sorte de Sarkozy du pauvre.
Alors que, s'ils ont des points communs, c'est indéniable, il ne faudrait pas définir Gérald Darmanin comme le Sarkozy du pauvre mais tel le Darmanin du riche.
Similitudes : l'ambition, le tempérament au-delà de l'actif, l'agilité intellectuelle, la certitude de n'être dépassé par quiconque, des hostilités aussi fortes que les soutiens, une aptitude à l'argumentation et à la réplique indépassable, un amour de la France qui, pour l'un, n'aurait jamais dû se priver de lui et pour l'autre un jour l'espérera.
Cette comparaison est d'autant plus appropriée que GD a eu un long entretien avec des journalistes de Libération et que ces échanges m'ont rappelé un formidable et plus que vigoureux dialogue que Nicolas Sarkozy avait eu lui-même avec ce quotidien quand il était ministre de l'Intérieur.
La tonalité de celui du 27 octobre 2020 est directe, abrupte, intense mais sans commune mesure avec celui que je viens d'évoquer où Nicolas Sarkozy rendait les coups qu'il recevait.
GD est plus urbain, moins dans la violence, mais il ne cède rien, ne recule pas, et le simple fait d'avoir accepté une rencontre avec Libération, dont les journalistes sont intelligents mais trop souvent partisans et univoques, est la preuve d'une audace dont il faut créditer le ministre.
Qu'on prenne la peine de lire ou de relire ces échanges et on comprendra combien il est réconfortant de constater que GD n'a pas peur de son ombre ni de l'inquisition "progressiste" et au fond comminatoire qui lui est adressée. Sur l'islamo-gauchisme, la fermeture des mosquées et de celle de Pantin en particulier, les associations interdites (dissolution de BarakaCity le 28 octobre), les expulsions, les rayons halal, le ministre, en étant convaincant, maintient son cap dont je pense que, depuis sa prise de Beauvau, il est le bon, en totale rupture par rapport à la complaisance suicidaire d'un Christophe Castaner.
Tout ce qu'il lui est permis d'accomplir, il l'accomplit. Les résistances qu'il convient d'avoir, il les a. Les mots qu'il faut proférer, les déplacements à opérer, l'écoute de la police, la volonté d'améliorer sa quotidienneté, l'importance d'un soutien et d'une considération sans faille, rien ne manque.
Qu'on ne lui reproche pas des discours et un verbe symboliques quand cette impression ne vient que du fait que GD doit composer avec un état de droit plus du tout adapté aux bouleversements de toutes sortes d'aujourd'hui et avec un garde des Sceaux qui se vante trop de leur entente pour qu'elle soit réelle.
La tragédie criminelle islamiste qui vient d'être commise à la basilique de Nice - encore une décapitation, des morts et des blessés avec un tueur heureusement interpellé - montre à quel point, sans prétendre faire peser sur la France une chape de plomb, il est urgent pour les opposants au pouvoir de prendre acte du fait qu'ils sont instrumentalisés par les ennemis de notre pays, de sa démocratie dont la liberté d'expression est un élément capital.
Quand la députée Danièle Obono, soutenue par Jean-Luc Mélenchon, accable GD parce qu'il aurait "déclaré" la guerre civile, elle amoindrit la légitimité d'un combat qui doit être mené au nom de tous, et d'abord par ce ministre au premier rang.
Lorsque Clémentine Autain, absurdement, évoque un "climat préfasciste" en France pour vitupérer à tort tout ce que notre République cherche difficilement à instaurer comme protection depuis l'assassinat de Samuel Paty (Le Monde), elle joue contre notre cause nationale et d'ailleurs son texte est exploité en Tunisie par une association qui participe à l'offensive odieuse contre la France à propos des caricatures.
Il n'est plus possible, aujourd'hui, sans tomber dans le mythe d'une union nationale toujours réclamée mais jamais possible, de ne pas prendre conscience qu'il ne peut plus rien y avoir d'innocent dans un pays dont on veut la peau par tous moyens, les plus sanglants comme les plus pervers, par des assassinats et des boycotts.
Même si GD n'était pas un ministre digne d'éloge - ses voltes comptent peu au regard de ce constat -, la décence imposerait qu'au lieu de systématiquement le pourfendre, on accepte un peu de le laisser travailler en paix parce qu'on nous fait la guerre.
@ Tomas | 01 novembre 2020 à 00:37
"Je vous félicite. C'est bien. Et vos enfants, ils sont chômeurs ?"
Sans aucun rapport. Mais puisque vous cherchez à éveiller votre curiosité, quoique quelque peu bizarre, eh bien je vais quand même vous le dire.
Mon fils est étudiant à l'Université de Harvard à Boston encore pour deux ans et à la fin de ses études il ne pense pas rentrer en France. Je l'encourage dans ce sens.
Rédigé par : Ellen | 07 novembre 2020 à 18:23
@ Lucile
Pour apporter de l'eau à mon moulin sur les irresponsables : Tomas.
Il dit après moi le déluge et encourage d'admettre l'intrusion de musulmans chez nous... Avant ? Il niait la réalité, essayant vainement de produire un discours niant que d'autres vagues d'immigration aient eu des égarés nous ayant rendu le mal pour le bien.
Je le signale pour montrer que les gens faisant la morale sont souvent irresponsables et donc, pour moi, immoraux.
Le après moi le déluge a aussi dit je ne sais quand qu'il avait des enfants, notamment dans une discussion sur il faut avoir des enfants pour intégrer les indésirables.
Pauvres enfants ! Travailler à la ferme, ou pire, en usine, peupler le Ciel, servir en somme de professeurs aux arriérés, ils sont vraiment instrumentalisés à toutes fins.
Alors je m'insurge en passant quand il est dit que les gens ayant des enfants seraient plus responsables que les autres.
Pas du tout : ce serait désirable pour les enfants, et pour la société vu qu'avoir des enfants fait qu'on éduque des gens selon ses vœux, mais c'est faux.
Le symbole, papa, maman, est là, mais la réalité absente... Je ne veux pas dire que maman maman ou papa papa sera plus responsables, mais il me paraît impossible de descendre sous le score traditionnel.
Quand je pense que certains voudraient donner plus de voix ou réserver le vote aux parents !
Outre que cela va contre tous les principes, cela pousserait encore davantage d'irresponsables à se reproduire. Enfin, c'est peut-être le but : peu importe la qualité, savoir l'accueil de l'enfant, seul compte la quantité.
Je veux bien, mais alors comment critiquer l'inévitable irresponsabilité des parents en question quand on en est complice ?
Ou alors faut-il sacraliser les parents, et plus généralement les adultes pour inciter à se reproduire, et donc ne pas critiquer par exemple, le fait de mettre son enfant dehors dès sa majorité ou même avant, l'abus d'enfant et tout ce qui peut lui nuire de façon plus générale ?
Pour me contredire, des gens prétendent que ce que je dis est rare... Caché serait plus juste, les turpitudes ne s'étalent pas comme la confiture s'échappant de la tartine, en général.
Et c'est tout ce qu'ils veulent souvent, d'ailleurs, haro sur un écrivain militant pédophile, amen à l'impuni et qui a su apprendre à la fermer Polanski, j'aurais pu me contenter de m'en douter mais on me l'a dit...
Les progrès en faveur des enfants ou dans la sincérité sont donc très relatifs, je ne me priverai pas de le marteler à la mesure de la résistance du déni de réalité qu'on m'oppose.
Mais avec le fait que bien des gens adorent s'étaler, ici ou hors du blog, on déniche des choses tout à fait révélatrices.
Qui confirment ce qu'on pourrait penser simplement en confrontant l'Histoire et divers discours et réalités éparses où les gens ne se dévoilent pas : dans telle société, que font vraiment les gens ?
C'est comme : France, terre de culture, blablabla... Mais la librairie n'est pas essentielle.
Et il n'y a pas de réactions bien sonores contre ça. Je ne m’empêcherai pas de le ressortir si un jour on en vient à dire que les Américains sont des béotiens, nous les fils des muses.
Assez d'imposture !
En fait, cette histoire d'essentiel est forcément arbitraire : je pense qu'on devrait permettre aux gens de sortir pour achat tant de temps par jour. En plus, il n'y aurait pas de distorsion de concurrence.
Bref, l'espoir a chassé la responsabilité : il traîne toujours l'idée que tout finira pas s'arranger, on se demande pourquoi, mais passons. Quand on démontre pourquoi il n'y aura pas de cavalerie, c'est trop compliqué pour les addictifs carburant à l'espoir, drogue qui ne coûte rien en argent mais qu'on paie un prix démesuré autant que caché.
Quand le malheur arrive, les irresponsables accusent les autres, qui, semble-t-il, devraient se dédier à la tâche exaltante de réparer leurs dégâts.
Dissidence : des désespérés disent que tout est inutile alors qu'il est encore temps, par exemple, pour ce qui concerne l'immigration, de refuser toute adjonction musulmane chez nous.
L'espoir et le désespoir ne sont que des pollutions mentales, et on en fait des valeurs, soit d'action soit de lucidité, quel niveau lamentable, mais disons, qui vient de loin.
Alors je peux exemplifier un Tomas, et si j'étais sympa, lui dire de faire un travail sur soi mais ce serait faire fond d'une éventuelle capacité, et dans ce cas improbable, risquer de l'avoir sur les bras...
...il s'agit essentiellement de montrer que nous avons fait fausse route avec cette question d'espoir et d'ailleurs aussi de désespoir, ou en nous laissant prendre à des symboles, enfin, en nous égarant dans des illusions délétères.
Ce n'est pas parce que ces égarements viennent de loin que leurs pièges s'avèrent moins dangereux, je dirais au contraire qu'un parasitisme si ancré dans la culture l'épuise et la conduira peut-être à tendre le cou au bourreau si ce n'est au collier d'esclave.
On ne sauvera pas les enfants, les vieux et le reste, sans que la lumière de la vérité ne dissipe les ténèbres d'une illusion qui n'a même pas la moindre trace de poésie, contrairement aux brumes dans lesquelles il faudrait s'égarer pour marcher au hasard de son ombre mouvante.
Les gens préfèrent l'illusion et à la vérité et au rêve : l'illusion s'offre à eux, le réel et le rêve se dérobent et ne rassemblent généralement pas les foules.
Mais la vie est là.
Rédigé par : Lodi | 03 novembre 2020 à 07:53
@ Lucile
"Ce n'est pas une simple question d'intérêt."
Mais beaucoup.
Pour la question du calcul de vie, vous décrivez le pouvoir médical dans toute sa splendeur, merci de raconter qu'on sacrifie des gens à même pas d'autres gens mais la possibilité qu'ils surviennent !
On sacrifie les gens à tout : l'intérêt, le symbole, comme je l'ai dit... et le pouvoir, médical en l’occurrence.
Mais que sacrifie-t-on le mieux ? Les faibles, évidemment.
Vous dites les enfants, aussi oui.
"Par certains côtés les enfants ne sont pas toujours mieux traités, ils sont couverts de cadeaux et on les emmène à Disneyland, mais on ne leur apprend plus à lire ni à écrire, une grande partie d'entre eux doit se contenter d'une famille monoparentale, et on compte sur eux pour régler nos dettes parce que nous choisissons de vivre largement au-dessus de nos moyens, en toute connaissance de cause."
Lire, écrire et compter : c'est paraît-il beaucoup à cause de la méthode globale : espérons qu'elle soit INTERDITE.
La liberté d'enseignement doit avoir des limites, que dirait-on d'un médecin donnant du poison pour remède ? Il est ridicule d'apprendre une écriture alphabétique comme un idéogramme, cela va contre le sens de la langue, surcharge la mémoire et achève les dyslexiques.
Nous partons de si bas, avec cette méthode, qu'il va être dur de remonter la pente, à mon avis...
La famille monoparentale ? Tout dépend de tout : je ne trouve pas judicieux qu'une femme fasse un enfant toute seule, certains divorces trop hâtifs, d'autres nécessaires...
La dette ? Il aurait mieux valu ne pas en faire, mais personne ne peut ni ne veut diminuer son train de vie. Il se peut qu'on s'en sorte si nous sommes des endettés comparatifs face à d'autres et/ou que la richesse s'accroisse par la technologie, mais l'esprit souffle quand et où il veut, on n'en sait rien... Sommes-nous...
...sommes-nous irresponsables, comme l'attesterait la dette, la pollution, laisser entraîner des musulmans chez nous, construire des "intelligences artificielles" qui pourraient bien le devenir, un jour, intelligentes, et partant, nous éliminer pour se libérer ?
Oui, et cela n'est pas nouveau dans l'Histoire, mais c'est parce que nous ne sommes pas assez intelligents pour envisager les risques, ou parce que les voyant, pour diverses raisons trop longues à lister, nous ne pouvons et/ou ne voulons pas nous y dérober.
Et il y a une autre raison : nous sommes des créatures de l'espoir dont on fait grand cas, l'espérance, vertu chrétienne.
Les Grecs, deux versions au mythe de Pandore, ma préférée, il reste l'espoir qui nous fait tout supporter, endurer, nous ravalant au rôle de victime, une moins connue qui considère que l'espoir est un bien nous donnant la force de supporter le reste.
Bref, les gens ne croient pas voler leurs enfants mais pensent qu'ils trouveront quelque solution de même qu'eux ont dû régler les problèmes de leur parents.
Comment les gens seraient-ils plus responsables collectivement qu'ils ne le sont quand ils ont des enfants ? Que trop souvent, ils assument si mal que quand je le dis, mes contradicteurs, ne pouvant le nier, préfèrent me nier, moi, me ravaler au nazisme parce que je ne suis pas trop dans l'espoir, ce délire.
Un délire qu'on ne peut trop critiquer pour les dettes si on ne le critique pas en général, et par exemple en faisant des enfants qu'on n'assume pas.
La dette peut enchaîner, et ses enfants après soi...
Mais l'enfant qu'on a quand on est pauvre ou qu'on ne s'aime pas ou qu'on ne peut l'aimer ou d'autres cas de destruction de son avenir, l'enfant qu'on a au-dessus de ses moyens, lui, sera, toujours, toujours souffrant, et la plupart du temps, perdant...
Comment le dire ? Je prêche dans le désert.
Il est un chèque en bois que le monde déchirera davantage à chaque instant. Les conseillers de l'avoir ne seront pas les payeurs de sa vie mortifiée.
Le calcul de vie où on va jusqu'à sacrifier des présents aux éventuels, le populationnisme et la curiosité de voir pour une mer de malheurs émerger quelques vies héroïques me dégoûtent profondément.
On croirait voir des esclavagistes émonder leur cheptel ou des spectateurs de jeux du cirque faire des paris sur des gladiateurs estropiés.
Rédigé par : Lodi | 01 novembre 2020 à 21:18
@ Lodi
Ce n'est pas une simple question d'intérêt.
Mes yeux se sont ouverts le jour où je me suis retrouvée aux urgences d'un hôpital avec mon père très âgé, atteint d'un AVC, jusque-là en pleine forme et vivant seul depuis la mort de ma mère. Il avait travaillé jusqu'à plus de quatre-vingts ans, versé toute sa vie scrupuleusement une partie de ses gains à la Sécurité Sociale ; et, étant en parfaite santé, il n'avait jusqu'alors jamais profité de cette vénérable institution. Il a été renvoyé à la maison en pleine nuit, après être resté des heures à vomir discrètement sur un brancard dans une salle commune. Quand j'ai demandé plus tard au médecin responsable des urgences si mon père avait été renvoyé sans soins à la maison parce qu'il était vieux, l'homme de l'art a souri avec magnanimité, "mais non, mais non (ma petite dame)", puis a conclu d'un air soudain important par : "mais il faut bien faire des choix". Comprenne qui pourra. Je crois qu'il était tellement pénétré de cette croyance et des critères de sélection à mettre en vigueur qu'il aurait automatiquement fait un tri, même avec un seul patient aux urgences.
Il se dit que dans certains établissements, des pensionnaires des EHPAD atteints de Covid ont été refusés non pas par manque de lits, mais parce que s'ils avaient occupé ces lits, l'hôpital aurait pu en manquer pour d'autres. La façon dont cette catégorie de patients a été traitée par les services publics de santé ne m'a pas étonnée plus que ça, mais elle est dérangeante, ne serait-ce que d'un point de vue éthique. Elle aurait dû servir de révélateur, chatouiller la bonne conscience des prêcheurs, et peut-être ouvrir les yeux des contribuables qui cotisent à fonds perdus. Mais non. Les assurés sociaux sont comme la servante de Molière qui admire le bras vigoureux du bonhomme qui lui tape dessus. Ils n'ont aucun sens de leurs intérêts propres ni de ceux des autres.
Par certains côtés les enfants ne sont pas toujours mieux traités, ils sont couverts de cadeaux et on les emmène à Disneyland, mais on ne leur apprend plus à lire ni à écrire, une grande partie d'entre eux doit se contenter d'une famille monoparentale, et on compte sur eux pour régler nos dettes parce que nous choisissons de vivre largement au-dessus de nos moyens, en toute connaissance de cause.
Nos élus nous ressemblent, ce sont des gentils, élevés à l'eau de rose et aux bons sentiments. Nous nous enfonçons dans cette mélasse comme dans des sables mouvants et sommes pris au piège d'une société mielleuse qui rend chacun de ses membres de plus en plus dépendant de ses diktats et de son organisation, erreurs comprises ; cet idéal poisseux et rempli de faux-semblants tant il est artificiel nous prive de nos défenses élémentaires parce qu'il nous fait nier avec dégoût l'existence de conflits d'intérêt. Mais comme par hasard, on aura bientôt peur de se faire égorger en allant à l'église.
Voilà ! Et il faut avoir l'air d'être dupe, pour ne pas trop se faire remarquer.
Rédigé par : Lucile | 01 novembre 2020 à 11:48
@ Achille
« Il y a quarante ans le problème ne se posait pas de la même façon. C’est surtout la dernière génération de gens originaires principalement du Maghreb et de Turquie qui s’est radicalisée. »
En fait, les problèmes sont apparus dès le début du catastrophique regroupement familial.
J'ai déjà eu l'occasion de rappeler ici que le seul homme politique à la fois lucide et courageux qui a tenté de limiter les dégâts a été Raymond Barre, confronté subitement à l’époque à de multiples problèmes d'insécurité, de sur-occupation des hôpitaux et des écoles, à des problèmes de logement ainsi qu'à des problèmes financiers énormes.
Le scandale est que le Conseil d’État a accédé à une requête formulée par des syndicats - on se demande bien de quel droit - pour annuler la décision du Premier ministre.
C’était le début d'une longue suite de décisions où des magistrats ont pris le pas sur le pouvoir du peuple, qui en l'occurrence n'a pas été consulté alors que c'est sa survie au sens propre qui est en jeu.
Désormais, la démocratie, asservie au pouvoir des juges, est moribonde, le lamentable « état de droit » actuel, privilégiant les prétendus droits des pires ennemis de la France par rapport à ceux des Français, en est le témoin.
Depuis, nous en payons encore aujourd'hui très chèrement les conséquences, financièrement avec un appauvrissement des Français, une destruction de notre art de vivre, et aussi dans le sang et dans les larmes, suite aux crimes commis par des Français de « papiers » élevés à nos frais mais qui ne rêvent que « d'égorger nos fils et nos compagnes » avec l'aide objective d'idiots et parfois de traîtres.
« C'est la première fois dans toute l'histoire de l'humanité qu'un peuple nourrit, loge, soigne et éduque les envahisseurs qui cherchent à détruire sa culture, ses valeurs et à le tuer »
(Philippe de Villiers)
Rédigé par : Exilé | 01 novembre 2020 à 10:54
@ Lucile
"Si après ça les vieux sont pauvres, au lieu de finir leur vieux jours chez eux, ils iront dans les maisons de retraite publiques ; en cas d'épidémie, on s'occupera bien d'eux. Le pire est que 75 % des gens trouvent ça bien."
C'est logique, raisonnement à plus forte raison.
Bien des gens sont impatients d'hériter de leurs propres parents, même quand ils ont pourvu à l'éducation, aux dettes et/ou ont donné une part de leurs biens à leurs enfants.
Et qu'ils ne manquent de rien.
Des gens espèrent que leurs propres parents, qui n'ont pas démérité, meurent pour accéder à un confort supérieur...
Alors il est normal que des gens aient envie de dépouiller des vieux qui ne leur sont proches par aucun lien affectif.
Et ils sont bien bons : ils ne supputent pas combien de temps il leur reste à vivre pour grignoter l'héritage. Enfin, quand des parents ont parlé des leurs en ces termes à leurs enfants, il n'est pas étonnant que ces derniers reprennent le flambeau même si eux ont été beaucoup mieux traités que les parents en question. Et ceux qui ont eu une autorité par trop écrasante peuvent se retrouver avec des enfants attendant d'une Nature sacralisée qu'ils les délivrent : peu importe que les humains soient mortels du moment que cela m'assure une revanche.
Ce n'est pas forcément dit en termes si crus, et d'ailleurs ce n'est jamais avoué qu'en se coulant dans les discours les plus généraux et convenus mais pas face à n'importe qui et sans omettre l'ombre du moindre rite... Les gens reprennent une tradition d'ingratitude comme il en est d’irresponsabilité, c'est moins leur faute que celle de la culture.
C'est donc là qu'il faut frapper. Et en plus, les gens s'avèrent moins réformables que les enfants éducables et tout le monde plus accessibles aux idées ne heurtant pas ses vices de fonctionnement.
Que qui voudrait me contredire réfléchisse : est-ce que, par exemple, ici, les gens présentent leurs excuses et se réforment quant ils calomnient en disant les autres, je ne sais pas, racistes ou nazis quand c'est faux ?
Alors qu'attendent-ils au juste de gens doués de moins bonnes familles, formations, réalisations et semblables avantages ?
Il n'est pas juste ni même décent d'exiger de qui a reçu moins que soi ce qu'on ne fait même pas soi-même. La morale qu'on n'exige pas de soi et de ses pairs n'est la morale de personne, mais, tout simplement et ni plus ni moins, quelque simulacre à balancer dans la première poubelle si je me demande si cela concerne les ordures de cuisine ou les produits recyclables.
Les gens sont ce qu'ils sont, et si je comprends que certains, s'insurgeant, veuillent les refonder....
En plus, les chocs en retour pouvant être pires que le mal, je pense que le mieux est d'essayer de prévenir les abus que de s'imaginer les déraciner, c'est cela, oui....
En prison, il n'y aurait pas tant d'abus avec l’encellulement individuel, en morale, tant d'irresponsabilité et d'ingratitude, tant d'endurcissement si de telles attitudes n'étaient largement légitimées sous tel ou tel discours.
Et exemples : depuis longtemps, on a accepté la relégation des vieux en maison de retraite, et ce alors qu'on sait fort bien qu'on peut forcer le consentement des vieux pour y aller, au motif de leur santé, et sans ignorer combien d'abus peuvent s'y donner libre cours.
En plus, lesdits vieux ont été interdits de visite, avec le covid.
Les vieux sont donc ce qui a vocation à être effacé du paysage.
Donc les vieux sont ce qu'on dérobe au public et à qui on rêve que la Nature dérobe la vie pour en prendre les trésors.
Si la situation devient pire, il me semble inévitable que le mouvement s’accélère.
Les vieux sont une des minorités les moins défendues alors que les gens ont, pour la plupart, vocation à le devenir, bonjour le déni.
"Un papa, une maman" disaient la Manif pour tous : c'était le modèle jusqu'à présent, chef-d'oeuvre culturel qui n'a en rien empêché cet abus ni les abus d'enfants ni fait obstacle au triste sort des femmes dans l'Histoire, ni à rien, en fait, mantra pour se donner l'impression d'être le socle de quelque stabilité garante de...
...de quoi, on se demande ? Quand on ne parvient à rien de merveilleux, il est bon d'avoir des marginaux à rejeter sans qu'ils soient plus irresponsables ou plus ingrats que la masse.
Et de fuir en avant, en déclarant tout monde appelé à se reproduire et à assumer l'éducation d'enfants. Bien que les gens n'y soient plus obligés, il y a encore des irresponsables d'enfants, et bien que beaucoup de parents se dévouent, je vois bien des ingrats.
Il faut être aveugle pour ne pas prendre acte de l'ingratitude et de l'irresponsabilité mais justement, les gens sont déficients visuellement ; outre l'ingratitude dans les familles, il y a celle des Français face aux Américains, et celle, criminelle, de trop d'immigrés musulmans envers les Français.
L’irresponsabilité ? C'est celle d'accepter l'immigration musulmane, et plus généralement, de ne pas même essayer de réformer nos abus. Souvent irresponsabilités et l'ingratitude s'avèrent consubstantielles.
Ou plutôt, les gens ne veulent pas voir : soyez contre l'immigration musulmane, vous êtes raciste, contre que l'on applaudisse des gens qui ne s'assument pas eux-mêmes à avoir des enfants, nazi.
S'il se glisse quelque problème ? Votre faute : c'est à vous d'assumer, par l'éducation, l'argent ou allez savoir quoi encore, en culpabilité, sans doute, les prévisibles effets de leurs choix, si décelables qu'il est extrêmement ennuyeux d'écrire là-dessus, vraiment, on croirait radoter les gestes barrière ou remplir son attestation de sortie.
Disons que je le fais pour les victimes, d'irresponsabilité et d'ingratitude, et même les gens qui ont commis ces fautes sans pouvoir accéder à la conscience qu'ils avaient tort, victimes de manière de penser plus générale et de leur, comment dire ? Épuisement, dont ils ne sont certes pas responsables et auquel il faudrait aussi remédier mais c'est une autre histoire.
Et surtout pour prévenir le retour voire de ces errements. Ainsi le vieux...
Les vieux, c'est très simple. Si les uns trouvent que vive Dieu ou la Nature qui nous fait souffrir et mourir, ils ne doivent pas en vouloir aux gens qui le subissent aux premières loges. Si les autres estiment cette situation déplorable, il leur est possible de s'en évader, ce n'est pas les divertissements qui manquent, ou de relever le gant en œuvrant à ce qu'un jour la mort ne soit pas une matière obligatoire mais une option, probablement liée à la religion.
En aucun cas, les personnes âgées ne doivent être maltraitées pour des raisons symboliques, savoir alors qu'elles sont innocentes... A mon avis, les ancêtres coupables de quelque crime ne doivent pas être épargnées non plus, le vieux est un Homme comme les autres, ni plus ni moins. Répondre de ses actes, oui, des peurs et des dettes de leurs contemporains, non. Traitons le vieux comme on voudrait l'être, et ce même si on a résolu de se tuer pour échapper à tout ce qui le menace : la justice demande qu'on se projette dans tous les rôles comme un comédien, un écrivain ou un profiler.
Si tuer le vieux, la femme ou l'enfant à petit feu, dans l'impunité la plus assurée, me semble des plus aisés sans être un génie du crime, il faudra bien comprendre un jour que ce n'est pas moins condamnable en morale... En fait, plus car on s'en prend à des innocents sans défense en les torturant et tout en se mentant à soi-même et aux autres, comportement des plus courants et des plus déplorables voire aussi méprisables si on exige du commun qu'il s'élève à quelque improbable prise de conscience individuelle.
Ce qui n'est pas mon cas : l'avantage d'admettre ses faiblesses est de ne pas faire fond de la force des autres.
Non... Il faut absolument réhabiliter la responsabilité, la gratitude et la loyauté qui les conditionne. A mon avis, cela veut dire ne pas s'égarer dans des partialités idéologiques ou des ambitions impossibles du genre de pardonner les offenses sous-entendant qu'on doit tout à tout le monde.
Serait-on Dieu tout-puissant et créateur pour rendre compte de tout et de chacun ? Tout promettre et ne pas tenir ce qui est son devoir, quelle ironie ! En abandonnant nos parents, nous leur rendons le mal pour le bien, en accueillant des gens qui nous rendent le mal pour le bien, nous rendons le bien pour le mal : injustes envers les autres ou envers nous-mêmes et nos descendants, nous sommes toujours injustes.
C'est à cause du monothéisme, qui brise tous liens entre les humains et les soumet à un maître unique, Dieu, comme cela a fini par être imité par le pouvoir politique avec les résultats que l'on sait.
Soit on abandonne le monothéisme soit on le consomme sans s'empoisonner mais si on peut manger du fugu sans mourir, accommoder le monothéisme est autrement ardu, pour tout dire, on n'en a jamais trouvé la recette.
Rédigé par : Lodi | 01 novembre 2020 à 04:57
@ Ellen
Je vous félicite. C'est bien. Et vos enfants, ils sont chômeurs ?
Rédigé par : Tomas | 01 novembre 2020 à 00:37
@ Tomas | 31 octobre 2020 à 14:40
Père Saint Thomas, il faut que je vous éclaire. Je suis la fille d'un médecin alors soyez gentil de commencer à vous occuper d'abord de vous OK ?
Rédigé par : Ellen | 31 octobre 2020 à 22:30
@ Claude Luçon
Il n'y a qu'ici que j'entends parler de Danièle Obono, honnêtement. Je n'ai pas l'impression qu'elle fasse la une des journaux. Et je ne me permettrais pas de lui donner des conseils sur où elle doit vivre. Vous qui avez passé votre vie à l'étranger et obtenu un passeport américain êtes assez mal placé pour le faire.
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@ Achille
Reprenez-vous vous-même, ce sont des gens comme vous qui ont tué la gauche. J'exige l'exemplarité des hommes politiques, en particulier du premier flic de France. Quand on met les gens au gnouf, on se doit d'être exemplaire, lui ne l'est pas.
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@ Ellen
Qu'est-ce que vous racontez ?!! Remettez votre masque et n'oubliez pas de vous désinfecter les mains avant, surtout. Et après aussi, on n'est jamais trop prudent !
Rédigé par : Tomas | 31 octobre 2020 à 14:40
@ Exilé | 31 octobre 2020 à 10:25
« Qui les a fait entrer en France sans tenir compte du principe de précaution depuis une quarantaine d'années et sans jamais avoir demandé leur avis aux Français, dont ceux qui savaient que cela ne pourrait que mal finir, qui ? »
Il y a quarante ans le problème ne se posait pas de la même façon. C’est surtout la dernière génération de gens originaires principalement du Maghreb et de Turquie qui s’est radicalisée.
La faute en grande partie aux conflits internationaux, en particulier ceux du Proche et Moyen-Orient qui durent depuis plus de soixante-dix ans et dont on se demande bien quand ils cesseront. Sans doute sont-ils partis pour durer cent ans.
Cela s’est traduit par un afflux de réfugiés des pays en guerre ou soumis à une dictature sanguinaire auquel il faut ajouter des migrants dits "économiques" attirés par le régime social très attractif de notre beau pays.
Tous ces gens-là sont venus avec leurs coutumes et leur religion. L’erreur a sans doute été de ne pas leur faire comprendre dès leur arrivée que les lois de la République prévalent sur leurs convictions religieuses. Bref le laxisme comme on dit et sans doute aussi un peu de clientélisme car ces gens-là une fois obtenue leur nationalité française, ils votent...
A noter que le rapprochement familial est une initiative de droite (Giscard- Chirac), la gauche n’a jamais fait que la poursuivre. Mais difficile pour elle d’aller contre une mesure sociale...
Rédigé par : Achille | 31 octobre 2020 à 13:38
@ Exilé | 31 octobre 2020 à 10:25
Super ! Tout est dit, il ne reste plus à nos politiques qu'à appliquer l'autorité républicaine et les règles strictes de la laïcité. Aucun signe ostentatoire islamique dans les lieux publics, tel que la abaya, le tchadri ou le hijab affichés, à l'image provocatrice et même dangereuse puisque pouvant masquer derrière cet habit de corbeau un terroriste. La religion se pratique dans son intimité, chez soi ou dans un lieu prévu à cette occasion, entre soi.
Une très forte amende de 1 500 euros payables avant huit jours, comme cela se pratique dans certains pays d'Europe, les dissuaderait de nous narguer et nous défier. Si récidive, ce sera le double. La CAF et autres administrations seront informées pour annuler les allocations versées. Faut pas lâcher. Un pays qui se respecte doit tenir bon jusqu'à ce que l'ordre et la discipline soit établis.
En Arabie Saoudite, les femmes se battent pour se libérer de ces fatras qui les emprisonnent et en France, elles se parent des mêmes fichus de corbeau pour islamiser notre pays chrétien tout en faisant, au passage, défaut aux musulmanes modernes et démocratiques.
Rédigé par : Ellen | 31 octobre 2020 à 13:33
@ Claude Luçon 31 octobre à 11:06
Vous avez entièrement raison. Qu'une femme franco-gabonaise, députée LFI de la République française, qui désigne le Premier ministre de la France comme un "homme blanc techno", ce sont des propos racistes, de même que "Nick Conrad" qui au prétexte d'être "un artiste" (sic) n'hésite pas à chanter "Pendez les Blancs" mais ne sera condamné qu'à cinq mille euros d'amende.. AVEC SURSIS.
Après on s'étonne que certains, manipulés par leurs compatriotes, s'en prennent à nous.
En même temps, comme dit Manu, restons positifs, le confinement va peut-être éviter d'autres égorgements puisque ces individus ne pourront plus acheter leur fameux bouquin :D
Quoique...
Rédigé par : breizmabro | 31 octobre 2020 à 12:45
@ Ninive | 31 octobre 2020 à 10:30 (@ genau | 30 octobre 2020 à 17:59)
"Vous êtes vous aussi de plain-pied, par fille interposée, dans cette nouvelle France recomposée. Ce qui m'explique pourquoi vous faites souvent des phrases emberlificotées."
Comment peut-on être à la fois aussi hargneux, aussi stupide et aussi fier de l'être ? Ce n'est pas parce que vous ne comprenez pas genau, qui écrit magnifiquement, que ses phrases sont "emberlificotées". C'est simplement que vous n'êtes pas à la hauteur.
Face à un tel constat, il y a deux solutions : faire un effort, ou tenter de rabaisser les autres à votre niveau. Cédant au climat de décadence qui est le nôtre, vous avez choisi la deuxième solution.
______
@ Ninive | 31 octobre 2020 à 10:15
"Je vous ai lu, c'est long."
Pauvre chou... bienvenue dans le monde de l'idiocratie, où les bas de plafond se vantent de l'être.
"Critique stérile encore une fois qui vous permet de passer vos nerfs sur des morts encore frais. Critique sans solution, vous auriez mieux fait de vous taire."
C'est sûr que votre commentaire à vous, il est éminemment constructif et bourré de "solutions".
Commencez par lire Martine à la plage, ça c'est de votre niveau. Après, vous pourrez peut-être comprendre mes commentaires, et discerner les "solutions" qui s'y trouvent en masse.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 31 octobre 2020 à 12:31
@ Tomas | 30 octobre 2020 à 20:40
Oui mais pourquoi claironner celles-là et seulement celles-là plus que les autres ? Ce n'est plus de la médiatisation, c'est de la propagande.
Quant à Miss Obono elle n'avait aucune raison, aucune justification, d'immigrer en France ! Elle n'était nullement en péril au Gabon, son père y était un politicien connu. Quand on construit un pays on ne fuit pas, le Gabon n'est plus occupé par des envahisseurs, ils sont partis en 1960, nous ! Son père a fait quelques jours en prison, il devait rester et se battre pour déboulonner les Bongo au nom de la démocratie que sa fille prétend maintenant nous enseigner.
Rédigé par : Claude Luçon | 31 octobre 2020 à 11:06
@ Tomas | 31 octobre 2020 à 00:05
Tomas, vous savez ce que je pense ? que vous n'ayez pas vécu une si belle histoire d'amour. Patience, tout peut arriver à n'importe quel âge. Un rêve peut aussi devenir un cauchemar si on tombe sur une personne de mauvaise foi.
——————————————
@ Ninive | 31 octobre 2020 à 10:39
"Les commentaires sont passés en vrac et confinés dans la journée. Il ne manque plus que les masques".
On destresse. Sauf Tomas, le jaloux, qui continue à ramasser les feuilles mortes à la pelle.
Rédigé par : Ellen | 31 octobre 2020 à 10:51
@ Achille
« Mais l’ennemi on le connaît, c’est l’islamisme intégriste et ceux qui le propagent sont identifiés, ce sont les Frères musulmans qui manipulent de jeunes musulmans à l’esprit facilement malléable, pour commettre des attentats comme ceux que nous subissons actuellement. »
Mais ces gens-là sortent bien de quelque part, non ?
Qui les a fait entrer en France sans tenir compte du principe de précaution depuis une quarantaine d'années et sans jamais avoir demandé leur avis aux Français, dont ceux qui savaient que cela ne pourrait que mal finir, qui ?
Qui les a logés, entretenus, soignés, accouchés, assistés, chouchoutés aux frais du contribuable, qui ?
Qui, quand certains d'entre eux se conduisent mal, pratiquent une obstruction systématique pour qu'ils ne soient pas expulsés ou condamnés comme ils le devraient tout en occultant leurs méfaits, qui ?
Qui leur a inculqué la haine de la France, qui ?
Qui les a couverts sans contrôle de « papiers » français, qui ?
Qui a promulgué des lois scélérates pour empêcher les Français de protester, qui ?
Qui, alors que les attentats se suivent et que 120 coups de couteau sont donnés par jour en France, ne fait absolument rien pour empêcher l'immigration illégale, qui ?
Qui ne refoule pas à leur point de départ les faux naufragés, qui ?
Qui accorde l'asile à des tueurs potentiels, qui ?
Qui a délibérément mis la vie des Français en danger, qui ?
Qui, s'est rendu coupable de tout cela sinon ce qu'il faut bien appeler par la force des choses des traîtres à la France ?
Rédigé par : Exilé | 31 octobre 2020 à 10:25
@ Tomas | 31 octobre 2020 à 00:05
« Il y a hélas pour Darmanin à peu près autant de preuves que pour Fillon, quand celui-ci protestait de son innocence.
La dame en question n'est pas une enfant de choeur, c'est entendu. Mais cela n'excuse rien. »
C’est franchement consternant que vous reveniez sur cette affaire dont plus personne ne parle, même pas les chaînes d’info continue et les revues à sensation.
Vous noterez que cette dame n’a jamais été invitée chez Morandini pourtant friand de ce genre d’histoires scabreuses. Même pas par Léa Salamé sur France Inter qui pourtant ne rate aucune occasion pour tacler le gouvernement.
Franchement, nous offrir cette minute de puritanisme mondain ne vous ressemble pas. Un petit manque d’inspiration sans doute. Rassurez-vous, ça arrive même aux meilleurs. Mais enfin ressaisissez-vous quand même !
Rédigé par : Achille | 31 octobre 2020 à 01:37
@Tomas
"Un jeune élu UMP prometteur aurait négocié avec une jeune femme condamnée pour chantage l'effacement de son casier judiciaire contre faveur sexuelles."
A supposer que ce soit le cas sauf à démontrer le contraire ; présomption d'innocence oblige.
Résumons: cette jeune femme avait un casier judiciaire qu'elle voulait l'effacer OK ?, elle va donc s'adresser à un jeunot de 23 ans débutant en politique pensant qu'elle tenait le jeune homme par le bout du nez... Elle commence d'abord à user de ses charmes féminins et lui offre un baiser en jouant la danse du ventre pour créer l'ambiance. Le jeune homme, pris dans le tourbillon enchanté accepte son baiser mais dit à la jeune femme qu'il ne veut pas aller plus loin. Elle insiste, elle sait qu'un homme est toujours sensible aux offrandes gracieuses. Le jeune homme ne cède pas et dit à la jeune femme qu'il va voir ce qu'il pourra faire pour l'aider en lui promettant d'en parler à ses supérieurs. La femme, vexée, plie bagage et rentre fâchée chez elle en jurant qu'elle ne va pas en rester là. Les années passent. Neuf ans plus tard, la jeune femme voyant GM au ministère, décide de ne pas le lâcher. Ah, puisque c'est comme ça, je t'aurai mon petit se dit-elle. Elle décide de porte plainte pour abus sexuel. Oh, quel gros mot !
Conclusion: ne serait-ce pas plutôt à GM de porter plainte pour chantage et calomnie en vue de récupérer quelques gros billets de banques comme elle l'a déjà fait avec les deux précédents ? Deal or not deal ?
Qui a allumé qui ? Qui est allé cherché qui pour négocier l'effacement de l'acte judiciaire ? Qui veut gagner de gros sous après chantage ?
La suite au prochain épisode.
P.-S.: personnellement, je pense qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat.
Affaire à classer au panier.
Rédigé par : Ellen | 31 octobre 2020 à 00:59
@ Alpi
Il y a hélas pour Darmanin à peu près autant de preuves que pour Fillon, quand celui-ci protestait de son innocence.
La dame en question n'est pas une enfant de choeur, c'est entendu. Mais cela n'excuse rien.
Après Castaner qui jouait à 20 ans au poker avec des caïds du milieu marseillais, la place Beauvau est occupée dans la continuité, il n'y a pas de doute...
Rédigé par : Tomas | 31 octobre 2020 à 00:05
"GD doit composer avec un état de droit plus du tout adapté aux bouleversements de toutes sortes d'aujourd'hui"
Oui en effet, il doit composer avec la BAC d'Argenteuil qui tape et humilie les passants, s'amuse à les embarquer en voiture pour les relâcher à quelques kilomètres de chez eux, qui embarquent les dealeurs qui n'ont pas de shit à leur donner (le baqueux aime bien se détendre en fumant un joint à l'occasion).
Ou avec la brigade chargée des gardes à vue du tout nouveau palais de justice dont les sous-sols évoquent parfois plus ceux de la rue Lauriston qu'autre chose vu les mauvais traitements infligés aux personnes attendant leur jugement. Pendant ce temps-là les magistrats des étages supérieurs roupillent...
Ou enfin, avec des policiers à la gestion de mouvements de foule catastrophique, qui enferment les manifestants dans des nasses avant de les éborgner au flashball.
Enfin, quand ils ne prennent pas leurs récupérations !
Heureusement que la gendarmerie couvre la majeure partie du territoire, sinon la fameuse "guerre civile" serait déjà là. Je ne comprends pas comment une telle administration et un tel ministre peuvent être défendus par un magistrat, fût-il à la retraite. Certains demandent l'emploi des grands moyens ici, qu'on les rassure, ça fait longtemps qu'ils sont d'usage quotidien dans la police française !
Rédigé par : Tomas | 30 octobre 2020 à 20:59
@ Claude Luçon
"Il est difficile de comprendre comment les médias peuvent nous répercuter les propos d'une Danièle Obono et d'une Clémentine Autain."
Ça s'appelle le pluralisme politique, si vous êtes démocrate il faut l'accepter. Vous qui citez les Etats-Unis en exemple, vous devez savoir que la liberté d'expression et de la presse est sacrée là-bas, non ?
Mais ce matin entre 8 h et 8 h 30 on avait Estrosi sur Europe 1, Ciotti sur CNews, Valls sur LCI, Jacob sur RTL, Marine Le Pen sur BFM TV. Vous n'aviez que l'embarras du choix pour entendre un autre son de cloche !
Rédigé par : Tomas | 30 octobre 2020 à 20:40
J'ai beau me raisonner, j'éprouve une réticence envers les LR qui ont rejoint le gouvernement. Même réticence envers Édouard Philippe qu'envers Darmanin. Je les vois comme inconsistants et pas très fermes dans leurs convictions, ce qui me détourne d'eux.
Je reproche à Emmanuel Macron de naviguer à vue, donc au fond, ils sont à leur place à ses côtés (car c'est lui le vrai chef du gouvernement, Castex compte pour du beurre).
Rédigé par : Lucile | 30 octobre 2020 à 19:51
Mais comment diable se fait-il qu'avec tant d'opinions réunies autour de la lutte élargie et renforcée jusqu'au militaire contre le terrorisme, on balance encore ? Qu'on jauge le ministre ? Qu'on spécule sur les qualités de tel ou telle ? Comment se fait-il que, devant une menace si directe, la réponse soit encore politique, au sens politicien ?
Qui donc trahit la confiance par des discours sans suite sauf les mesures de police un peu épaissies ?
Les contorsions des musulmans démontrent à l'envi leur désir d'accepter le terrorisme et la bêtise qui l'accompagne comme une part entière de leur foi, nourrie d'un passé de servitude et de déficit progressiste.
À côté de chez moi, il y a une petite épicerie marocaine, femme voilée et mari plus âgé avec la marque sombre sur le front, témoin de ses multiples prosternations ce qui le classe du côté des piétistes ou des quiétistes, je ne sais pas, mais je me méfie comme de la peste de ses amabilités.
En revanche, les beaux-parents kabyles de ma fille, bien que soumis dans leur jeunesse au mariage arrangé, ont refusé les rites de soumission de la femme et ont gagné leur indépendance intellectuelle tout en restant musulmans, mais enfin des musulmans-saucisson.
Notre société, profondément marquée par ces différences, invisibles à notre oeil de sceptiques dénués de spiritualité, n'a aucune arme à opposer, les prétendues valeurs de la République n'étant que des principes juridiques qui font de nous, pour le Chinois, par exemple, le pays de la Loi, pour nous le pays d'une question = une loi. On voit mal comment M.Darmanin peut s'échapper de ce système garanti par ses pairs et collègues d'école.
Xavier Nebout, très humoristiquement, décrit le processus supposé d'une gouvernance de droite radicale, mais on peut se demander qui l'accepterait après des années d'usure policière et de lâcheté sociale dont M. Darmanin porte le poids, encore qu'il en ait, de toute évidence.
*Aucun espoir côté présidentiel, la forme huilée est toujours présente et pallie toutes les inconséquences, même celles qui crèvent les yeux. Avec des gens comme ça, les sabres sont de parade et précèdent l'immense cohorte des prétoriens armés de leur portable et incapables d'autre chose que de fuir le danger au nom de leurs oeuvres pies.
J'aurais aimé que l'Islam inventât quelque chose, le crayon par exemple, ou la recherche du temps perdu. L'Islam est stérile, c'est pour cela qu'il mourra crotté jusqu'aux yeux.
Rédigé par : genau | 30 octobre 2020 à 17:59
Mon cher Philippe,
Mais comment pouvez-vous supporter ce gaugochon psychopathe islamogauchiste Joffrin dans vos débats sur CNews, aucun argument, méprisant, sarcastique, insultant, haineux ; il ne peut aborder un sujet sans attaquer le RN, le RN rien que le RN. Ce journalope paranoïaque schizophrène responsable de la faillite de Libé est vraiment dérangé mentalement et devrait passer ses neurones à l'antivirus marxiste.
Rédigé par : sylvain | 30 octobre 2020 à 16:41
@ Tomas
"Un jeune élu UMP prometteur aurait négocié avec une jeune femme condamnée pour chantage l'effacement de son casier judiciaire contre faveur sexuelles."
Comme vous le dites : "aurait"...
Si c'est avéré, ce n'est certes pas glorieux, mais pas plus que sa partenaire, maître-chanteur et assez stupide pour avoir cru qu'il suffisait de s'allonger pour que GD puisse effacer son casier. Quand on est c.., on est c.. !
Rédigé par : Alpi | 30 octobre 2020 à 15:34
Élargissons le débat à l'ensemble des réactions françaises aux derniers assassinats islamistes. Quelque chose d'extrêmement frappant s'est produit, qui n'a pas encore été apprécié à sa juste mesure, je crois.
Gérald Darmanin est volontiers crédité d'un verbe fort à cet égard, et c'est justice. Mais c'est l'ensemble des élites françaises (hommes politiques, journalistes, intellectuels...) qui ont franchi un pas décisif dans la désignation du problème et la condamnation des responsables.
On ne s'en rend pas compte, parce que les choses changent progressivement, mais la "lepénisation des esprits", la "libération des idées nauséabondes" et le "racisme décomplexé" viennent de bondir à un niveau ahurissant.
Les personnalités les plus respectables parlent désormais ouvertement de "séparatisme", désignent l'islamisme comme notre "ennemi", disent que nous sommes "en guerre", voire appellent à mettre entre parenthèses les "lois de la paix".
Je me souviens du temps où de tels propos étaient tenus exclusivement dans des coins mal famés d'Internet, tandis que leurs auteurs étaient ostracisés comme extrémistes, et accusés de rappeler "les heures les plus sombres de notre histoire".
Maintenant, c'est le président lui-même qui dit des choses qui n'avaient cours, il y a peu, que sur Fdesouche -- site dont le responsable a fait l'objet d'une véritable campagne de persécution policière à la soviétique (ou à la Poutine, si vous préférez).
On pourra m'objecter que ce ne sont que des paroles, et la préoccupation est pertinente ; il n'en reste pas moins que le combat en cours est largement idéologique et culturel -- l'extrême droite l'a assez martelé. Le seul fait que le discours dominant ait adopté des idées qui vous valaient la mort sociale, il y a peu, est un progrès décisif qui doit être salué.
A tous ceux qui râlent contre "les élites" éternellement incapables, je conseille cet article de la Salisbury Review, un trimestriel britannique très conservateur. L'auteur montre en exemple différentes tribunes publiées récemment par Le Figaro, et les compare à la lâcheté dont il accuse le Telegraph (son équivalent britannique) et même Boris Johnson et le parti conservateur.
Il faut certainement attribuer ce sursaut au fait que c'est un professeur dont l'assassinat a inauguré la dernière série d'atrocités.
Ce n'est pas, et c'est terrible à dire, le fait qu'il ait été décapité. L'égorgement d'un chef d'entreprise, d'un gendarme et même d'un prêtre, n'avaient pas créé le même électrochoc.
Les professeurs, non seulement ils sont fonctionnaires, mais ils sont un million, et ce sont les prêtres de la religion républicaine de "l'éducation". D'ailleurs, les hommages qui ont été rendus à la victime avaient une connotation distinctement religieuse.
L'escalade de la haine diplomatique musulmane joue aussi. Entendre Erdogan accuser Macron de pathologie mentale, ou l'ancien Premier ministre malaisien appeler au meurtre de "millions de Français" par les musulmans, aide à sortir des illusions de "l'islam religion d'amour et de paix".
Et je ne parle même pas du chef du Conseil islamique suprême de Palestine, qui appelle à célébrer "une journée de rage" contre la publication des caricatures. Au moins, c'est clair : à notre fraternité, ils opposent leur rage. Ça ne peut pas marcher.
Au passage, ceux qui passent leur temps, dans ces pages et ailleurs, à accuser le président de la République d'être un "psychopathe" devraient s'interroger sérieusement sur leur identité de vues avec le dictateur musulman turc.
Quant aux poutinistes, qui se font heureusement de plus en plus discrets, ils devraient s'interroger sur la récente déclaration de Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, qui a particulièrement mal choisi son moment pour affirmer qu'un journal comme Charlie Hebdo ne pouvait pas exister en Russie (ce dont on se doutait un peu).
Hélas, ce sursaut de réalisme des hommes qui nous dirigent s'est accompagné de prises de position plus navrantes. On a beaucoup entendu la petite chanson de la fraternité, selon laquelle c'est en se serrant les coudes par-delà les différences religieuses qu'on vaincra les méchants islamistes.
Les faits viennent hélas de nous montrer le contraire. Le turbinage intensif de la fraternité obligatoire n'a servi qu'à exacerber la sauvagerie musulmane, et maintenant ce sont carrément des chefs d'État, ou anciens chefs d'État, qui nous disent : si vous vous avisez de protester contre le fait qu'on vous tue un homme, cela veut dire que vous êtes fous, et nous allons vous en tuer des millions pour vous punir.
La succession d'égorgements que nous venons de connaître montre aussi une chose : il est idiot de prétendre qu'il ne faut pas faire "l'amalgame" entre l'islam et les attentats, faute de quoi nous aurions la "guerre civile".
La guerre civile, nous l'avons déjà, je ne sais pas ce qu'il vous faut. Quand on ne peut pas sortir de chez soi sans craindre de se faire égorger parce qu'on est français, catholique, juif ou une combinaison des trois, je ne sais pas ce qui pourrait être pire. Être menacé d'agression par un pays étranger ? ça, on l'a aussi. Alors ?
Donc évidemment, seule la force peut nous protéger. Reste à en délimiter les modalités.
Et là, nous sommes confrontés à la troisième catégorie de prises de position constatées depuis l'assassinat de Samuel Paty, celles qui tombent sous le coup du n'importe quoi dû à l'augmentation tendancielle de l'imbécillité ambiante -- du plus humble Gilet jaune aux politiciens les plus gradés.
On mentionnera, dans cette catégorie, la guignolade de Gérald Darmanin sur le hallal. Anxieux de faire quelque chose, et, à défaut, de dire quelque chose, le ministre de l'Intérieur s'est rappelé que les Français en avaient ras la casquette de l'envahissement du hallal, et de ce qu'il dit de l'envahissement tout court.
Il a donc cru malin de s'indigner contre la présence de nourriture hallal dans les supermarchés.
Mesurant, cependant, à quel point cela était susceptible de lui aliéner les musulmans (par opposition à l'infime minorité qui a compris le Bouquin de travers, et coupe des têtes quand le "prophète" lui dit d'en couper), Darmanin s'est enfargé dans une série de codicilles qui ont fait de sa proposition une bouse infâme.
Ce n'est pas seulement le hallal qui l'incommode, le cacher aussi. S'il s'imagine que taper sur les Juifs va l'exonérer d'avoir tapé sur les musulmans... c'est un peu comme son idée d'apprendre l'arabe aux enfants des écoles, afin d'endiguer le "séparatisme".
Et puis, lâcher un truc pareil à la radio en pleine résurgence d'attentats musulmans, c'est tout de même assez insultant à l'égard des Juifs, qui sont les premières victimes de ces attentats ; et dans leurs magasins cacher, encore...
Autre misérable tentative de raccrochage aux branches, le ministre a expliqué qu'il n'était pas du tout contre le fait qu'il y ait du hallal chez Carrefour : c'étaient les rayons spécialisés qui posaient problème.
Autrement dit, posons quelques poulets hallal en douce au milieu du rayon normal, les musulmans seront ravis parce qu'ils pourront les trouver facilement, et les Français aussi parce que, comme ça, ils pourront en acheter par erreur.
Se rendant compte, je suppose, de l'imbécillité de son erratum, Darmanin a tenté un troisième truc, qui marche toujours en France : la lutte des classes. Ceux qui mettent des rayons hallal (et aussi cacher, les salopards...), ce sont les hypermarchés. On a le droit de demander aux capitalistes d'être patriotes, a-t-il affirmé. On a le droit de critiquer le capitalisme.
Le joker suprême : je suis de la droite dure, mais je suis aussi marxiste, moi, Monsieur !
Pas un mot, dans la bouche du ministre de l'Intérieur, contre les boucheries hallal "de proximité", pas "capitalistes" pour un rond, qui ont largement précédé les rayons hallal dans la grande distribution, et qui sont, souvent, liées au militantisme islamiste...
Oui, c'est une bonne idée d'envisager des mesures discriminatoires contre le hallal (comme en Suisse) -- autant faut-il le faire de façon réfléchie, préparée et intelligente. Cela vaut pour toutes les action concrètes anti-islam et anti-immigration.
Pour l'instant, je constate que Gérald Darmanin rejette toute restriction de l'immigration : "Ceux qui disent qu'en fermant les frontières et en virant tous les étrangers, vous aurez résolu le problème du terrorisme, ils mentent aux Français."
Admirez le procédé malhonnête et proprement communiste de l'amalgame : fermer les frontières un tant soit peu, par rapport à la situation actuelle (proposition éminemment raisonnable), c'est la même chose que virer tous les étrangers (idée évidemment inapplicable).
Juste au moment où il est plus manifeste que jamais que ce qui tue, c'est l'immigration sans restrictions : l'assassin de Paty est fils d'immigrés illégaux admis à demeurer en France au titre du droit d'asile ; tandis que celui de Nice n'a même pas pris la peine de demander ce statut : peu après avoir traversé la Méditerranée sur une barcasse et avoir mis le pied illégalement en Italie, il a entrepris de mener un massacre dans une église française.
Mais bon, on protégera les Français en dissimulant les poulets hallal au milieu des autres dans les rayons de Carrefour.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 30 octobre 2020 à 15:13
M. Sarkozy ou M. Darmanin ?
Aucun des deux ne fait le poids face à un adversaire ayant quatorze siècles d'expérience de la conquête, ni intellectuellement ni moralement.
Rédigé par : Exilé | 30 octobre 2020 à 15:07
@ Catherine JACOB | 30 octobre 2020 à 09:22
Vous avez oubliez les deux principaux articles de la Constitution.
J'ai fait des recherches, bon courage...
https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/texte-integral-de-la-constitution-du-4-octobre-1958-en-vigueur#article-36-678
ARTICLE 16 du Conseil Constitutionnel du 04 octobre 1958
"Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacées d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel".
Il en informe la nation par un message.
Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet.
Le Parlement se réunit de plein droit.
L'Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l'exercice des pouvoirs exceptionnels.
Après trente jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l'Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d'examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée.
ARTICLE 36 du Conseil Constitutionnel du 04 octobre 1958:
"L'état de siège est décrété en Conseil des ministres"
Sa prorogation au-delà de douze jours ne peut être autorisée que par le Parlement.
Rédigé par : Ellen | 30 octobre 2020 à 14:30
Gérald Darmanin, Emmanuel Macron et d'autres pourraient-ils écouter des personnes comme Abnousse Shalmani et ne pas câliner des Alexandre Benalla ou des Yassine Belattar ?
"Chaque fois qu'un discours tente de victimiser un musulman, il nourrit en fait un futur islamiste" Abnousse Shalmani dans Conversations avec Anna Cabana
Excellente mise au point d'A. Shalmani.
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Sarkozy du pauvre ou Darmanin du riche ? Quelle question essentielle, mazette !
En attendant, les restaurateurs, les cafetiers, les libraires, les petits artisans, les petites entreprises, les coiffeurs, les fleuristes, les petits commerçants etc. vont grossir les rangs des pauvres.
De nombreux restaurateurs vont pouvoir mettre leurs fourneaux à la casse.
Résumons : la France de Macron est celle où on taxe d'amende quelqu'un qui oublie son attestation, où on décapite un professeur et égorge les fidèles d'une église catholique, où on laisse défiler des Turcs ou autres islamistes en période de couvre-feu. La France de Macron est celle qui fait la chasse aux citoyens qui restent finalement dans les clous mais qui laisse agir les islamistes, les islamo-gauchistes. Au moins, la macronie obtiendra leurs voix en 2022. Ils pourront alors lancer leurs youyous de victoire.
Darmanin, Sarkozy. Nous n'en sommes plus là, bon sang de bois.
L'heure est venue d'agir.
G.Darmanin, N. Sarkozy, A. Juppé, E. Macron, L. Fabius, EDM, etc. Tous ont souffert et souffrent encore de faiblesse suicidaire. La Covid est moins grave que cette faiblesse qui a détruit et continue de détruire le pays France.
Rédigé par : Isabelle | 30 octobre 2020 à 13:59
Un président jeune, cultivé et qui connaît les problèmes de la France, qui lui aime la France ?
Pour moi il y en a un pour le moment, Jean Messiha.
Serait-ce le seul ?
Je lui donne le droit à l'erreur, Macron lui, en a abusé.
Rédigé par : stephane | 30 octobre 2020 à 13:30
"C'est plus facile de fermer les bars et les restaurants que les mosquées... Et nous on nous laisse crever !"... Un traiteur en direct, alors ??
Rédigé par : Giuseppe | 30 octobre 2020 à 13:15
Julien Pasquet est un coquin, il laisse débattre, hier encore on a pu s'en apercevoir, mais il vaut mille fois mieux ces débats que les Salamé/Sotto qui sont dans l'autocensure permanente et interrompent sans cesse ; ils devraient s'inspirer de ces joutes.
Allez Julien ! Hier del Valle, Ravier et Lévy et consorts, du brutal, du chaud les marrons, du bruit et un peu de fureur... P¢ïļĔŎŇō ! Cela fait du bien, enfin du vrai, du dur, du tatoué !
Rédigé par : Giuseppe | 30 octobre 2020 à 12:22
Mon pôv' Darmanin !
Peut-on appeler ça une guerre civile ? Oui ! C'est même une guerre internationale religieuse extrémiste qui pratique les coups de boutoir sur tous nos innombrables points faibles au hasard.
Macron a obligé la France à s'agenouiller devant nos envahisseurs, quelques coups de mentons solennels pour plaire à l’opinion cocufiée et on continue l'accueil de nos remplaçants en toute impunité.
Il s'agit surtout, grâce à la secte islamo-gauchiste remplaciste parrainée par l'UE Macron Merkel les deux traîtres, qui sévit partout en Europe, d’une colonisation de peuplement : invasions incontrôlées sauvages clandestines et qui ont mis sous surveillance judiciaire et pénale les réfractaires résistant à leur idéologie néfaste et nous ont obligés à déposer nos armes en nous mettant à genoux.
Les terroristes ont des alliés de poids : Constitution, justice européenne, Parlement, Etat de droit, droits de l'homme, UE, Soros, ONG, passeurs mafieux, justice islamogauchiste, LFI, la gauche en général, tous annulent la moindre contrariété législative qui pourrait nuire à cette invasion migratoire.
Tant que nous aurons tous ces bisounours intellos collabobos gauchos anti-France à la tête du pays, et des crayons comme armes de défense, ils auront toujours le dernier mot, ils se propageront comme une gangrène, lentement mais sûrement.
La loi oblige tout citoyen à se laisser égorger sous peine d‘en subir les foudres si par malheur la victime blessait voire tuait son terroriste.
En Occident nous avons des plannings, des sondages, des débats interminables, des défilés émotionnels, des budgets à respecter et des lois iniques de soumission forcée : nous sommes les affreux colonisateurs racistes contre les gentilles victimes islamistes ; leur combat est millénaire, leur Etat c'est l'Islam, tous leurs coups même les plus terribles sont permis et même encouragés par la complicité de nos gouvernants avec ces criminels ; donc le combat est perdu d'avance.
Munissez-vous de vos baskets et de vos brosses à dents !
Bons défilés à tous !
Rédigé par : sylvain | 30 octobre 2020 à 11:59
Pouvons-nous nous étonner aujourd'hui qu'on en veuille à la France « par tous les moyens, les plus sanglants comme les plus pervers », puisque les valeurs sur lesquelles nous nous appuyons constituent justement notre point faible par lequel il est facile à nos ennemis de nous atteindre ?
Pour défendre ces valeurs, quels moyens avons-nous jusqu'à présent mis en oeuvre ?
Aucuns de réellement efficaces, faisant preuve au contraire d'une incroyable complaisance, d'une déconcertante naïveté, d'une coupable tolérance face à des situations qui ne pouvaient à l'évidence que constituer un terrain idéal pour nos adversaires déterminés et fanatisés, incapables que nous nous montrons de tirer les leçons des événements tragiques dont nous avons pourtant déjà été victimes.
On nous explique alors que nous ne pouvons lutter que dans le respect des armes que la loi nous offre.
Mais nos ennemis, eux, s'en moquent parfaitement de nos lois qui, plus que de les rebuter, au contraire les encouragent.
A fléau exceptionnel, ce qu'est bien le terrorisme, ce sont des lois exceptionnelles que l'on oppose.
Et pendant ce temps-là, qu'en pense et que fait l'Europe ?
Rédigé par : Michel Deluré | 30 octobre 2020 à 11:43
@ Louis 29
« Qu'en pensent nos chères autorités ? »
Le jour où ces chères et ruineuses autorités seront capables de penser juste, à commencer sur la question de l'islam dont elles ignorent tout en long, en large et en travers, il faudra nous le faire savoir.
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@ Claude Luçon
« Une autre question se pose: Sarkozy, même avec tout le respect qu'on lui doit en particulier pour sa gestion du désastre mondial venu des USA en 2008, aurait-il été à la hauteur des problèmes qui se posent aujourd'hui à Macron et Darmanin ? »
Parlons-en, du génie de M. Sarkozy en matière de finances. :
https://www.lepoint.fr/economie/cour-des-comptes-quand-sarkozy-liquidait-un-cinquieme-du-stock-d-or-de-la-france-08-02-2012-1428657_28.php
Il a fait exactement ce qu'il ne fallait pas faire, avec nos bijoux de famille, qui risquent de nous manquer...
Pour le reste, en matière sécuritaire, personne n'ignore qu'à part avoir beaucoup déblatéré (un modèle pour M. Macron), son bilan est contestable.
Au passage, c'est lui qui a introduit la notion de double peine, qui interdit d'expulser certains délinquants étrangers, comme si ce principe de la double peine n'affectait pas aussi des Français en divers domaines judiciaires.
Résultat, merci M. Sarkozy, nous sommes tenus d'entretenir ad vitam aeternam d'innombrables crapules faute de pouvoir les expulser, qui en plus de nous coûter un pognon de dingue en profitent pour se livrer à un certain nombre de farces et attrapes anti-françaises.
Enfin, en matière d'immigration de masse, qui est objectivement le vecteur de l'islamisme et de la criminalité, elle a été supérieure du temps de M.Sarkozy par rapport à celui de M. Jospin...
Rédigé par : Exilé | 30 octobre 2020 à 11:40
C'est vrai qu'on veut la peau de notre pays. Et qu'il faut se défendre par tous les moyens. Quand on est attaqué par des bandits, on doit se défendre par tous les moyens et pratiquer les MMA plutôt que la boxe. Aujourd'hui, trop nombreux sont ceux qui voudraient qu'on applique les règles du marquis de Queensberry alors que les assaillants n'attendent évidemment pas le gong pour agir et attaquent au couteau, dans le dos, n'importe quand n'importe où.
Une récente interview de Monsieur Fabius montre clairement que les gros chats fourrés, qui ne craignent rien puisque parfaitement protégés, n'ont qu'une perception irénique de la réalité. Le monde tel qu'il devrait être n'est pas le monde tel qu'il est.
Le droit de la guerre contre le droit de la paix.
Rédigé par : Solon | 30 octobre 2020 à 11:15
VARIA (POUR SOURIRE UN PEU)
« Le meilleur moyen de soulager l'hôpital est de ne pas de tomber malade. » (Jean Castex, 24 octobre 2020)
« Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes, et qui en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? » (Voltaire, Dictionnaire philosophique, article "Fanatisme", 1764)
« Nous n'avons pas d'inquiétude à avoir sur le financement de notre dette. » (Bruno Le Maire, 22 octobre 2020)
« Ma gloire est assurée par mes actes. » (Mélenchon, 26 octobre 2020)
Donne une casquette à un c*n et tu en feras un chef de gare. (X)
« J'en ai plein le c*l de l'Europe ! » (Chirac, 29 juin 1987)
« Les oppositions n'ont pas d'incarnation. » (Philippe Guibert, 28 octobre 2020)
En 1987, Jean-Marie Le Pen, à la télé, réclama la création de « sidatoriums ».
« Mon deuxième prénom, c'est Moussa ». (Gérald Darmanin, octobre 2020)
En 1953, René Coty devint président de la République. Il fut président après des opérations qui durèrent sept jours… au treizième tour.
Richelieu aurait pris un gadin dans les sondages. (Mitterrand)
Après Mai 68, il y a eu Juin 68. (X)
Rédigé par : Patrice Charoulet | 30 octobre 2020 à 10:46
@ Exilé | 30 octobre 2020 à 09:13
« Sauf que dans la Résistance, ou plutôt les résistances, on savait nommer l'ennemi, ce qui est le prélude à tout combat, sans se cacher derrière son petit doigt ou en se prévalant de distinctions byzantines sans queue ni tête entre un ennemi « extrémiste » et un ennemi « modéré ».
Et puis, que faites-vous des collaborateurs soit officiels (élus, institutionnels, administratifs etc.) soit pseudo-humanitaires qui facilitent l'arrivée en France des tueurs, ainsi que de ceux qui les soutiennent ?
Enfin n'oublions pas que l'esprit de trahison dépasse les frontières de la France et infeste également la prétendue Union européenne. »
Mais l’ennemi on le connaît, c’est l’islamisme intégriste et ceux qui le propagent sont identifiés, ce sont les Frères musulmans qui manipulent de jeunes musulmans à l’esprit facilement malléable, pour commettre des attentats comme ceux que nous subissons actuellement.
Les collabos on les connaît aussi. Il s’agit principalement de LFI avec son grand gourou J-L Mélenchon qui n’hésite pas à se rendre avec ses sbires dans les manifestations censées protester contre l’islamophobie et dans lesquelles des leaders islamistes haranguent les manifestants à grands coups de « Allah akbar » .
Quant à l’Union européenne je ne pense pas qu’elle cautionne l’islamisme radical vu qu’elle en est l’une des principales victimes. D'ailleurs le soutien des principaux pays de l'U.E. est là pour le démontrer.
Rédigé par : Achille | 30 octobre 2020 à 10:19
@ Pierre-Antoine 16:50
"L'islam est hégémonique, car il gère toutes les sphères de la vie publique et privée."
En effet, absolument tout est soigneusement consigné dans le livre sacré de l'islam jusque dans les gestes d'hygiène élémentaire à accomplir en toutes circonstances....
Le mariage, les successions, le droit foncier, le droit des obligations, le testament sont disséqués sous l'angle procédural.
Un code civil, un code pénal et un manuel de savoir-vivre des bédouins au VIIe siècle, voilà ce qu'est le Coran.
Il n'est pas interdit de penser que la difficulté du monde musulman à basculer dans la modernité (je ne parle pas des voitures ou des ordinateurs) interprétée comme la possibilité de faire évoluer le droit au gré des évolutions des moeurs ou de simplement considérer la rationalité davantage que le superstition (manger halal par exemple) l'entrave fortement dans sa capacité à peser dans le débat public mondial autrement que par la violence.
Quand on n'a d'autres arguments que le respect du prophète (par ailleurs, légèrement pédophile et chef de guerre à l'occasion) et l'invocation de ce qu'il aurait fait et dit il y a 14 siècles (les hadiths) à opposer à la liberté d'expression occidentale, il est logique que les couteaux soient de sortie !
Rédigé par : caroff | 30 octobre 2020 à 09:47
@ Ellen | 30 octobre 2020 à 00:16
« Quand ce gouvernement va-t-il se décider une fois pour toute à décréter la loi martiale et à créer un tribunal militaire » etc.
1. Nouveau Code de justice militaire, Chapitre Ier : Des juridictions compétentes en matière militaire en temps de paix (Article L111-1)
2. Nouveau Code de justice militaire, Chapitre II : Des juridictions des forces armées en temps de guerre (Articles L112-1 à L112-36)
a. Article L112-17 alinéa3 Pour le jugement des personnes n'ayant pas la qualité de militaire, le juge militaire le moins élevé en grade est un sous-officier.
b. Article L112-17 alinéa 4Il en est de même pour le jugement des justiciables mentionnés aux articles L. 122-3 et L. 122-4. Toutefois, dans ce cas, à moins d'impossibilité constatée, les juges militaires sont pris parmi les militaires des troupes combattantes ou blessés au feu.
i. Article L122-3
1. Sont de la compétence des juridictions des forces armées les crimes et délits commis depuis l'ouverture des hostilités par les nationaux ennemis ou par tous agents au service de l'administration ou des intérêts ennemis, sur le territoire de la République ou sur un territoire soumis à l'autorité de la France ou dans toute zone d'opérations de guerre :
2. 1° Soit à l'encontre d'un national ou d'un protégé français, d'un militaire servant ou ayant servi sous le drapeau français, d'un apatride ou réfugié résidant sur un des territoires visés ci-dessus ;
3. 2° Soit au préjudice des biens de toutes les personnes physiques mentionnées ci-dessus et de toutes les personnes morales françaises, lorsque ces infractions, même accomplies à l'occasion ou sous le prétexte du temps de guerre, ne sont pas justifiées par les lois et coutumes de la guerre.
4. Est réputée commise sur le territoire de la République toute infraction dont un acte caractérisant un de ses éléments constitutifs a été accompli en France.
Rédigé par : Catherine JACOB | 30 octobre 2020 à 09:22
@ Achille
« Compte tenu de l’ambiance délétère qui sévit dans notre pays, le peuple français doit se conduire comme la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale qui était composée de réseaux de toutes obédiences politiques. »
Sauf que dans la Résistance, ou plutôt les résistances, on savait nommer l'ennemi, ce qui est le prélude à tout combat, sans se cacher derrière son petit doigt ou en se prévalant de distinctions byzantines sans queue ni tête entre un ennemi « extrémiste » et un ennemi « modéré ».
Et puis, que faites-vous des collaborateurs soit officiels (élus, institutionnels, administratifs etc.) soit pseudo-humanitaires qui facilitent l'arrivée en France des tueurs, ainsi que de ceux qui les soutiennent ?
Enfin n'oublions pas que l'esprit de trahison dépasse les frontières de la France et infeste également la prétendue Union européenne.
Rédigé par : Exilé | 30 octobre 2020 à 09:13
Depuis le VIe siècle, deux civilisations s'opposent et certains penseurs sont clairs, comme Gilles Kepel - Passion arabe - "l'Islam n'est pas miscible dans notre République" ou encore le Père de Foucauld (oui je sais c'est un colonisateur...).
Résultat de cette gabegie, quelque 260 victimes en France depuis 2015... En l'absence de défense de nos libertés, je crains et j'ai peur qu'un jour il faille rejouer la bataille d'Alger sur le sol de France. Qu'en pensent nos chères autorités ?
Rédigé par : Louis 29 | 30 octobre 2020 à 09:00
Manifestations de Turcs à Dijon à l'encontre de l'Arménie et de la France, en plein couvre-feu. Il paraît que nous n'avons plus le droit de sortir à cause de la Covid. Les Français se terrent chez eux mais les Turcs et autres du même acabit manifestent dans les rues de France. INTOLERABLE !
N. Sarkozy ou G. Darmanin, des moulinets et du brassage de vent. Il faut dire que les éoliennes sont très à la mode même si elles ne font pas vraiment leurs preuves.
Il faut faire appel à l'Armée à présent. Expulsion massive et passer outre la justice complaisante avec nos ennemis. Stop à l'immigration. Plus qu'assez des bavardages inutiles ! C'est la guerre, ce ne sont pas des masques et du gel hydroalcoolique qu'il faut sortir. Arrêtez de nous prendre pour des imbéciles. C'est le virus islamiste qu'il faut combattre.
Que veulent les terroristes : nous soumettre !
Les discours de bisounours, les euphémismes, les circonvolutions, les accommodements, les atermoiements, les arrangements : STOP.
Ces gens-là ne vous respectent que si vous utilisez la fermeté et la force. Ils n'ont pas d'autre langage.
Ce ne sont pas les cloches qu'il faut faire sonner c'est le tocsin qu'il faut mettre en branle et dare-dare !
E. Macron, G. Darmanin etc. bougez-vous réellement ! C. Estrosi a trouvé la solution, il faut fermer les églises. Et pourquoi ne pas fermer les mosquées aussi ?! Quant à l'islam radical, c'est un pléonasme tout comme islam modéré, un oxymore !
Rédigé par : Isabelle | 30 octobre 2020 à 08:49
« Sarkozy du pauvre ou Darmanin du riche ? »
Comment faut-il comprendre cette expression ?
• Darmanin du riche parce le ministre de l’Intérieur est issu d’un milieu modeste, et donc il est de coutume dans les milieux aisés d’avoir un peu de compassion pour ceux qui sont partis de rien pour parvenir au niveau de l’élite. Alors qu’eux, les riches, n’avaient qu’à prendre la suite du papa, sa clientèle et sa fortune, c’est ça ?
• Sarkozy du pauvre parce que ce dernier aurait mis le poste de ministre de l’Intérieur à un niveau si élevé qu’il est devenu inaccessible pour tous ceux qui lui succèdent.
N’exagérons rien non plus. Car Nicolas Sarkozy a bien promis le Kärcher pour nettoyer les banlieues de la "racaille", mais manifestement l’appareil est resté dans son emballage.
Il semble que Darmanin, lui, ait bien l'intention de s'en servir. Ne reste plus qu'à traduire la notice. Mais celle-ci n'étant pas en coréen, traduit par un Suédois en Français, mais en bon allemand, cela ne devrait pas poser de problème.
Rédigé par : Achille | 30 octobre 2020 à 08:35
Puisque nous sommes en guerre depuis 2015 pourquoi n'avoir rien fait depuis ?
E. Macron avait déclaré, il y a deux semaines, "ils ne passeront pas": ils sont chez nous, passés par Lampedusa comme le Tunisien terroriste à Nice, par l'Espagne, la Grèce et j'en passe.
Quand ce gouvernement va-t-il se décider une fois pour toute à décréter la loi martiale et à créer un tribunal militaire pour juger et expulser les islamistes criminels, les djihadistes (bientôt sortis de prisons par centaines), les étrangers dangereux fichés S et les binationaux suspectés d'appartenir à une entreprise terroriste islamique, les clandestins entrés en France illégalement, les étrangers déboutés du droit d'asile, etc.
Si la France crée un tribunal militaire, ce qui peut être fait en deux ou trois jours d'après les hauts gradés de l'armée, nous n'aurons plus besoin alors de dépendre ni à nous soumettre aux sommations et injonctions d'une caste de technocrates irresponsables de Bruxelles ni au droit de l'homme fantoche et pervertis laissant nos compatriotes se faire égorger par les terroristes islamistes sur notre sol.
Ça suffit !
Rédigé par : Ellen | 30 octobre 2020 à 00:16
Il est difficile de comprendre comment les médias peuvent nous répercuter les propos d'une Danièle Obono et d'une Clémentine Autain.
Comment ces deux mégères modernes peuvent-elles occuper une quelconque place dans la gouvernance de la France ?
Danièle Obono dont le papa fut opposant à Bongo qu'il voulait remplacer comme président de cette grande démocratie qu'est le Gabon. Que fait-elle en France ?
Une sage de cette envergure devrait être au Gabon, son pays natal, pour y introduire la démocratie où il y en a bien besoin, puisqu'elle se vante d'en être une experte !
Clémentine Autain n'est pas non plus à la hauteur de Darmanin, avoir côtoyé Alain Krivine laisse des traces un peu trop à l'extrémité gauche de l'extrême gauche pour en espérer un rien de logique.
Mettre Obono sur le même billet que Darmanin ? NON Philippe, NON !
Avec deux yeux splendides comme les siens, on peut pardonner à Clémentine ses erreurs !
Une autre question se pose: Sarkozy, même avec tout le respect qu'on lui doit en particulier pour sa gestion du désastre mondial venu des USA en 2008, aurait-il été à la hauteur des problèmes qui se posent aujourd'hui à Macron et Darmanin ?
Rédigé par : Claude Luçon | 29 octobre 2020 à 22:12
Celui qui doit être le plus représentatif des ministres - par l'apparence, mais c'est le plus gros atout -, est celui de l'Intérieur finalement.
C'est bizarre je me faisais la réflexion que lorsqu'on transpose un roman à l'écran, je suis toujours déçu par le personnage qui l'incarne...
Darmanin fait petit garçon, il parle avec une bouche étriquée et légèrement en coin, j'ai du mal à l'entendre.
Castaner, pareil, sa voix étouffée sans volume n'était pas en rapport avec son physique, et ses costards adaptés à sa voix, trop étroits, ils étaient faits pour Stanislas Guerini.
Gérard Collomb faisait bien plus que l'âge de ses artères, d'une autre époque incontestablement, il me faisait penser physiquement à un certain Pinuche bien connu des romans de Frédéric Dard, la moustache en moins.
Cazeneuve, je passe, trop numérique de la parole, sans grande envergure, une appli de smartphone sans grand intérêt, un comptable de quincailler.
Sarkozy, trapu, le volume de voix bien réglé, le physique de talonneur d'une autre époque, un peu court pour jouer dans le Top 14.
Valls l'incarnait le mieux, dommage, poids léger par le physique, il aurait mérité qu'il s'étoffe pour combattre avec les moyens... On a aussi le physique que l'on peut.
En fait j'imagine - sans doute à tort -, que le personnage doit ressembler à l'image que l'on se fait.
Quand j'ai lu le livre, Dr No, j'ai imaginé le personnage et à l'écran ce fut l'image que je m'en faisais, Sean Connery dans toute sa splendeur, du coup je suis allé à la sortie à Toulouse du film "Les diamants sont éternels", l'impression première s'est confirmée, la suite fut à la hauteur.
Rédigé par : Giuseppe | 29 octobre 2020 à 21:53
« Même si GD n'était pas un ministre digne d'éloge - ses voltes comptent peu au regard de ce constat -, la décence imposerait qu'au lieu de systématiquement le pourfendre, on accepte un peu de le laisser travailler en paix parce qu'on nous fait la guerre. »
Ministre de l’Intérieur est un job difficile qui ne laisse aucun répit et Gérald Darmanin s’acquitte fort bien de sa tâche.
Compte tenu de l’ambiance délétère qui sévit dans notre pays, le peuple français doit se conduire comme la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale qui était composée de réseaux de toutes obédiences politiques.
L’union nationale doit l’emporter sur les considérations politiciennes car les dissensions entre les partis sont du pain bénit pour les islamistes qui les manipulent afin d’opposer les Français les uns contre les autres.
Ne tombons pas dans ce piège grossier. L'heure n'est vraiment pas aux chamailleries !
Rédigé par : Achille | 29 octobre 2020 à 20:59
Gérald Darmanin a un avantage sur bien d'autres, grâce à sa double filiation, il est moins soupçonné par la gauche islamophile d'être trop dur avec la communauté musulmane.
Depuis que M. Dupond-Moretti disait que les Français ressentaient un sentiment d'insécurité, beaucoup de drames se sont passés et je crois que le gouvernement n'en est plus aux interviews philosophiques. En cela Gérald Darmanin a du bon et agira de manière forte. Reste que derrière, on peut se demander si la justice suivra.
L'islamiste de ce matin à Nice, un Tunisien arrivé via Lampedusa depuis deux mois, démontre que les contrôles migratoires ne sont pas suffisants.
Il est allé dans les pays du Maghreb, il va aller en Russie pour parler d'éventuelles expulsions. La tâche est énorme, même avec de bonnes intentions, s'il n'est pas aidé par le gouvernement et son volontarisme, il ne pourra rien faire.
Après des décennies de démissions, de laisser-aller, de soumissions aux différentes communautés pour avoir la paix, je ne pense pas qu'on puisse même avec la meilleure bonne volonté, réussir à changer les choses.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 29 octobre 2020 à 20:01
@ Olivier Durand 29 octobre 2020 15:14
"Que de sujets de billets à venir - toujours excellents ainsi que leur cortège de commentaires, je pense notamment à Monsieur Luçon ainsi qu’au mal nommé boureau. Sauf lorsque celui-ci rêve de frontières pour le Morbihan ;-)"
Aurais-je rêvé de frontières pour le Morbihan ?
Je n'en n'ai pas souvenance, et comme je ne garde aucune de mes interventions, je ne puis confirmer ou infirmer.
Un moment d'égarement sans doute devant les "hordes" de Parisiens déferlant dans le golfe à la moindre alerte sanitaire !
Darmanin du riche ou Sarkozy du pauvre ? Ou l'inverse... L'ambition au paroxysme !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 29 octobre 2020 à 17:39