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21 novembre 2020

Commentaires

Tomas

@ Achille

Vous êtes caricatural: les "corona-parties" existent tout autant en Allemagne que chez nous, il y en a partout, la France n'est pas une exception en la matière.

Si leur système de santé est meilleur que le nôtre, ce que j'ignore d'ailleurs, ce n'est pas grâce à leurs hôpitaux privés, puisque l'offre privée allemande est équivalente à celle de la France. Comme chez nous, il y a chez eux des hôpitaux publics, des privés à but non lucratif, et des privés. La part du secteur privé en France n'est pas négligeable, puisqu'il assure notamment un quart des accouchements, pour la même proportion de lits d'hôpitaux.

Quant à leur mode de comptage des morts ce n'est pas le sujet. Je préfère avoir une dirigeante en appelant à ma responsabilité plutôt qu'un déclarant d'un ton martial "j'ai décidé". Traitez les citoyens comme des enfants, et ils réagiront comme eux, en brûlant des voitures et en brisant des vitrines. Il est temps d'en finir avec ce mépris du parlementarisme et cette infantilisation de la politique.

Achille

@ Tomas | 28 novembre 2020 à 11:53

Qu’on arrête de toujours nous dire que l’Allemagne est meilleure que nous. Quand bien même ce serait vrai, il faut tenir compte de certains paramètres qui peuvent expliquer cette situation :

1- Les Allemands sont par nature un peuple discipliné qui respecte strictement les mesures prises par son gouvernement. Les Allemands, même les jeunes, ne vont pas faire des raves parties à 300 personnes dans des appartements de 60 m² comme cela s’est produit à plusieurs reprises en France.

2- Le comptage des morts de la Covid-19 dans les EHPAD n’est manifestement pas pris en compte, contrairement à la France dont les personnes de plus de 80 ans sont nettement majoritaires dans le décompte des décès du coronavirus.

3- La gestion des hôpitaux est très différente de celle des hôpitaux français. Beaucoup sont privés et donc à ce titre ne sont pas sous la dépendance des subventions de l’Etat, ce qui leur permet de disposer des équipements et personnel qualifié à proportion de leurs besoins.

A partir de là il est facile de comprendre que les Allemands sont meilleurs que nous.

Tomas

@ Achille
"En temps de crise, qu’elle soit sanitaire, économique, sociale ou d’une tout autre nature, il faut un exécutif fort, voire autoritaire car si on commence à demander l’avis de chacun sur les solutions à adopter, aucune résolution n’est prise, la crise continue à se propager."

L'Allemagne voisine prouve que ce n'est pas si nécessaire que vous semblez le penser. Si on faisait davantage appel à la responsabilité des citoyens au lieu de dire "j'ai décidé que", si on n'inventait pas tous les arguments les plus fallacieux tout à tour ("les masques ça sert à rien", "les enfants ne transmettent pas le virus", etc.) au lieu de dire la vérité ("on n'a pas de masques", "les enfants transmettent le virus mais les maintenir confinés chez eux causerait plus de dégâts que de les envoyer à l'école"), ça passerait mieux.

A y être autant revenir à la monarchie, au moins on aura de la continuité dans l'action publique au lieu d'avoir des coups de barre dans le vide à chaque élection.

Achille

@ Tomas | 28 novembre 2020 à 00:32
« La France est vraiment un pays trop autoritaire. Avec un Parlement digne de ce nom, nous aurions peut-être des chances d'échapper à ce travers… »

En temps de crise, qu’elle soit sanitaire, économique, sociale ou d’une tout autre nature, il faut un exécutif fort, voire autoritaire car si on commence à demander l’avis de chacun sur les solutions à adopter, aucune résolution n’est prise, la crise continue à se propager.
C’est la raison pour laquelle le gouvernement a mis en place un conseil de défense composé d’experts capables de proposer des solutions. Solutions qui peuvent parfois paraître injustes, même absurdes, mais c’est à la fin des mesures de confinement que l’on pourra juger de la pertinence des décisions qui ont été prises.
Et ne doutons pas alors que rien ne sera épargné au pouvoir en place. D'autant que cela tombera pile poil en pleine campagne électorale présidentielle.
Campagne qui s'annonce explosive.

F68.10

@ Tomas
"Vous êtes un peu agaçant à vouloir avoir raison sur tout et à contredire même ceux avec qui vous êtes globalement d'accord..."

J'essaie effectivement de froisser tout le monde de la manière la plus impitoyable. Pour que ceux qui se sentent le plus froissés se demandent un peu pourquoi il est si facile de les froisser. Si je ne vous froisse pas plus, ce n'est pas faute d'essayer ! C'est que je n'y arrive pas ! Cela demande de l'effort: il faut bien observer le sens et la texture du poil pour ne pas caresser dans le mauvais sens... pardon... le bon sens du poil.

Mais puisque vous m'invitez à cesser de m'acharner sur vous, je m'exécute de ce pas.

Tomas

@ F68.10

Vous êtes un peu agaçant à vouloir avoir raison sur tout et à contredire même ceux avec qui vous êtes globalement d'accord, mais en vrac:

- oui on s'en moque de ce que disent les chansons de ce producteur. Et je me moque de ce que peut penser Shelley sur le sujet. On ne démonte pas le producteur de studio de Patrick Bruel ou de NTM parce que les chansons ne plaisent pas. J'ignore évidemment comme tout le monde ce qui s'est passé au préalable, si c'est une histoire de masque, c'est lamentable.

- aucunes données chiffrées ne sont disponibles sur les exactions de la police, et pour cause, aucune administration n'en tient, à ma connaissance. Il y avait le blog de Maurice Rajsfus, inactif depuis 2014. Sinon il y a la presse, relisez mes précédents posts, ça ne manque pas de référence, je ne vais pas m'amuser à les ressortir à chaque fois. Dans StreetPress vous trouverez plein d'articles intéressants. Sinon faites "BAC + racket + dealers" sur Google, vous trouverez des choses amusantes ou navrantes, c'est selon.

- il faut dégager les syndicats. Ben donnez-moi la solution, j'attends. C'est dans la police sans doute à peu près aussi facile que dans la SNCF, pour vous donner une idée.

- sur le service public, vous chipotez. L'objet du billet n'est pas de discuter de cette notion éminemment française. Le jour où notre hôte y consacrera un billet, je m'y collerai volontiers. Mais cela veut dire bien faire son travail, en l'occurrence.

- je n'aime pas non plus les délinquants, mais par définition ils ne respectent pas les règles et tout leur est permis. Détentrice du monopole de la violence légitime, la police doit agir dans un cadre légal.

Voilà merci, et au revoir. J'aime bien ce que vous écrivez mais trop d'abondance nuit.

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@ Mary Preud'homme

Sachez que dans toute administration, il y a un porte-parole qui est habilité à communiquer en son nom au public. Bizarrement, les soirs d'attentat, on voit débarquer sur les plateaux tous les syndicalistes, en général pour ne rien dire et pour meubler. Pourquoi ne voit-on jamais le porte-parole du ministère de l'Intérieur ou celui de la préfecture de police ?

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@ Achille

J'ai franchement du mal à croire que Macron et Darmanin prennent d'autres mesures qu'une condamnation rituelle pour éviter des cassages de vitrines de magasins ce week-end. Ni l'un ni l'autre n'ont l'envie, ni les capacités de s'attaquer à une réforme de la police qui serait longue et délicate. Donc comme d'habitude, on va communiquer, martialement s'il le faut (le "ils ont déconné" de Darmanin manque de classe, mais ça ne surprend pas chez cet épigone de Sarkozy), virer quatre ou cinq responsables (et encore), la police calmera ses penchants répressifs quelques semaines et tout repartira comme avant.

La France est vraiment un pays trop autoritaire. Avec un Parlement digne de ce nom, nous aurions peut-être des chances d'échapper à ce travers, mais comme la majorité ignorante voue aux gémonies les IIIe et IVe Républiques "parce que ça changeait de gouvernement tous les 3 mois et que c'était instable" et loue la "stabilité" de la Ve République, aucune chance.

C'est pas comme ça qu'on règlera le "problème des banlieues" et celui qui lui est en partie connexe du terrorisme. Vous verrez, on aura d'autres billets indignés ici sur ces sujets...

Mary Preud'homme

@ Tomas | 27 novembre 2020 à 18:22

Les policiers de tous corps ont une obligation de réserve, on vous l'a déjà expliqué cent fois.
C'est pourquoi vous ne verrez jamais l'un d'entre eux commenter (quel que soit son grade) un sujet d'actualité. Quand bien même ces policiers ou gendarmes auraient suivi une affaire de bout en bout... Auquel cas il revient au procureur d'en faire la synthèse et non au directeur d'enquête.

Quant aux représentants syndicaux, ils témoignent et informent non en qualité de porte-parole de la police nationale, mais en tant que représentants corporatifs des différents corps de ladite police.

F68.10

@ Tomas
"On s'en moque, de ce que disent ces chansons."

Euh... non. Les gens ont le droit de s'exprimer, certes, mais n'oubliez pas que "les poètes sont les législateurs secrets du monde". -- Percy Bysshe Shelley, A Defence of Poetry, 1821.

Mais je crois que ce qui était en jeu, a priori, c'était les masques... Paraît-il. M'aurait-on menti ?

"Les policiers n'ont pas le droit de rentrer sans raison valable dans un lieu privé. Ils n'ont pas le droit de tabasser une personne sans défense. Ils n'ont pas le droit de traiter un Noir de "sale Nègre". Leur action, faut-il le rappeler, doit s'inscrire dans le cadre de la loi."

Position parfaitement jupitérienne. Je vous en félicite.

"Ce sont effectivement les syndicats policiers qui contrôlent l'institution..."

S'ils contrôlent une institution, alors il faut leur enlever ce pouvoir. De toute manière, une association qui s'exprime sur la police en ne comptant que des policiers et aucun représentant extérieur, c'est un concept... corporatiste.

"...au point d'en être les porte-parole les soirs d'attentat sur BFM, ce qui n'est pas normal. C'est là un des principaux problèmes, car cela fait longtemps qu'ils ont oublié ce que service public veut dire."

On s'en moque que ce soit un service public ou un service privé. Ce qui importe c'est qu'ils fassent correctement leur boulot. Dans un sens comme dans l'autre.

"Face à la violence, au racisme et à la corruption qui sévissent dans la police, une réforme structurelle s'impose. Ce sera long, douloureux, risqué politiquement et cher..."

C'est mieux de venir avec des données chiffrées à ce sujet que des anecdotes et du ressenti. Mais je n'ai jamais trouvé les policiers français particulièrement polis ou courtois. Plutôt l'inverse, même.

Cela dit, je ne trouve pas les racailles - les vraies, pas celles qui ont seulement une casquette à l'envers - particulièrement plus polies ou courtoises.

Tomas

@ stephane

On s'en moque, de ce que disent ces chansons. Les policiers n'ont pas le droit de rentrer sans raison valable dans un lieu privé. Ils n'ont pas le droit de tabasser une personne sans défense. Ils n'ont pas le droit de traiter un Noir de "sale Nègre". Leur action, faut-il le rappeler, doit s'inscrire dans le cadre de la loi.

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@ Achille

Ce sont effectivement les syndicats policiers qui contrôlent l'institution, au point d'en être les porte-parole les soirs d'attentat sur BFM, ce qui n'est pas normal. C'est là un des principaux problèmes, car cela fait longtemps qu'ils ont oublié ce que service public veut dire. Face à la violence, au racisme et à la corruption qui sévissent dans la police, une réforme structurelle s'impose. Ce sera long, douloureux, risqué politiquement et cher...

revnonausujai

On n'a ni vu ni entendu Griezmann s'émouvoir quand le délinquant d'habitude Yassine E. a délibérément écrasé le gendarme Mélanie Lemée, par ailleurs sportive de très bon niveau.
Footeux professionnel, c'est un peu comme p*tain, et encore, il y a des p*tains respectables (et respectueuses !).

stephane

Le producteur s'est fait tabasser.
Il produisait des chansons de banlieusards.
Que disent ces chansons ?

caroff

@ sylvain 7h24
"À noter les interventions des faux-culs footeux pathétiques, cette vidéo orientée à charge va faire le tour du monde, la police ne pourra plus bouger le petit doigt, en repentance elle devra se mettre à genoux devant tous les manif"

Oui c'est la figure obligée des stars du show-biz ou du sport d'aller dans le sens du vent dominant...
Comme vous je m'interroge sur ce tabassage en règle. Une enquête est en cours qui expliquera peut-être les raisons de cette violence. J'ose espérer qu'elle n'était pas gratuite et quand bien même elle s'expliquerait, elle ne se justifie pas.

F68.10

@ stephane
"Qu'il s'adapte déjà aux Catalans et paye ses impôts en France."

Et pourquoi ?? Il fraude ? Oui ? Ou non ?

Achille

@ Tomas | 26 novembre 2020 à 23:38
« Avec 10 millions de vues et le soutien des deux meilleurs footballeurs français, il va être difficile à Macron et Darmanin d'oublier tout ça... »

Il est clair qu’ils n’oublieront pas et même prendront les mesures appropriées afin que de tels faits ne se reproduisent plus. Il va peut-être faire un petit nettoyage dans certains syndicats de police qui sont clairement d'extrême droite. Ceci peut expliquer cela.

Ceci étant il faut noter le rapprochement des "intellectuels" et des joueurs de foot sur ce sujet épineux qu’est la violence policière. Ils ne jouent pourtant pas dans la même catégorie sur le plan cérébral, encore que parfois on peut se poser la question.

stephane

@ Tomas | 26 novembre 2020 à 23:38
"Avec 10 millions de vues et le soutien des deux meilleurs footballeurs français, il va être difficile à Macron et Darmanin d'oublier tout ça..."

Non mais vous voulez rire ? comme disait Chirac à Arlette Chabot, "vous faites de l'humour ?".
Griezmann, un des deux meilleurs footballeurs français.
Qu'il s'adapte déjà aux Catalans et paye ses impôts en France.
Je dirais que Griezmann est au football ce que Valls est à la politique.
Mbappé a davantage de quoi l'ouvrir. Déjà il est resté en France, pour le moment, et il sait jouer et parler, mais qu'il n'en fasse pas trop.
Manque plus que Lilian Thuram.
Un commentateur a dit que Maradona avait un cerveau dans son pied gauche. Où est le cerveau de Griezmann ?
Griezmann ne rend pas service à la cause des victimes de violences policières. Qu'il s'entraîne.

sylvain

Youpi ! Les gauchiasses sont en rut ce matin : ça y est, enfin on les tient ! Victoire ! Le montage vidéo sera implacable contre la police, on n’a pas vu le début bien entendu et pourquoi ça a dégénéré mais l’important c’est la dose en faveur du tabassé ; perso je pense toujours à toutes ces vidéos où l’on voit des flics tabassés, roués de coups, caillassés, cramés, qui sont effacées par les merdias gauchistes complices des racailles islamistes, je pense aux flics de Magnanville qui n’ont pas eu cette chance d’avoir une vidéo de leur égorgement et dont les médias ont très pudiquement relaté l’horreur : padamalgame padevagues pastigmatiser.

À noter les interventions des faux-culs footeux pathétiques, cette vidéo orientée à charge va faire le tour du monde, la police ne pourra plus bouger le petit doigt, en repentance elle devra se mettre à genoux devant tous les manifestateurs et tateuses, baisser la tête et se laisser cracher dessus pendant des heures.
Bravo les gauchiasses vous avez touché le gros lot, ça s’arrose !

Tomas

Après ce énième scandale policier, qui risque de faire plus de bruit que les exploits de la BAC d'Argenteuil (https://sport.francetvinfo.fr/football/jai-mal-ma-france-tweete-antoine-griezmann-en-reference-un-producteur-noir-tabasse-par-des?), on se demande quels arguments pourra encore trouver notre hôte, et les habituels thuriféraires de la police, pour défendre celle-ci.

Avec 10 millions de vues et le soutien des deux meilleurs footballeurs français, il va être difficile à Macron et Darmanin d'oublier tout ça...

Une réforme de la police passerait d'abord par la dissolution de ses syndicats...

Achille

@ Savonarole | 25 novembre 2020 à 12:32
« Sacré sylvain, il est le seul ici à ne pas avoir de prédateurs. Personne ne le conteste, personne ne lui tombe sur le râble, en l’accusant de fachisme d’esstrème drouâte. »

Franchement Savonarole que voulez-vous qu’on réponde à ce brave sylvain, qui se revendique blanc, hétéro et facho invétéré ?
Il fait penser à ces piliers de bar qui dès qu’ils ont un coup dans le nez se mettent à parler tout seul, voyant des Elusen et des Garry Gaspary partout.
On regarde juste de temps en temps vers lui en veillant à ce qu’il ne tombe pas de son tabouret.

Patrice Charoulet

Macron : Caméléon.

Mary Preud'homme

@ Claggart

Pas la peine de me prendre pour une branque, je sais fort bien que la Marine nationale (alias la Royale si souvent citée par CL) est une des composantes des Forces armées avec l'Armée de terre, l'Armée de l'air et de l'espace, la Gendarmerie nationale et les services de soutien interarmées.
Et si vous aviez bien relu mon post au lieu de sauter comme un cabri pour faire le malin, vous auriez compris le sens de mon raisonnement.
Reposez arme !

Claggart

@ Mary Preud'homme 24 novembre 18 h 50

À propos de Claude Luçon, auquel me lie notre souvenir commun d'oynbo* au Nigeria, vous écrivez "vous n'êtes pas le premier officier de l'armée à être devenu ingénieur".

Si vous aviez lu avec un peu d'attention les commentaires de Claude Luçon, vous devriez savoir :

- qu'il n'a pas appartenu à l'Armée mais à la Marine nationale

- que ce n'est pas un officier devenu ingénieur mais un ingénieur devenu officier

Mais ce serait sans doute trop vous demander.

*homme blanc en langue yorouba

Mary Preud'homme

@ Mary Preud'homme | 25 novembre 2020 à 19:58

Un ami vient de me faire remarquer que ma phrase manquait de clarté.
Explication de texte : je voulais dire que Marchenoir estime que je l'emm**** et non qu'il m'emm**** moi, dès lors qu'il m'est totalement indifférent sur ce coup et me poursuit de plus en plus souvent là où il n'est en rien concerné.
En pure perte donc, si bien qu'au train de mon indifférence, il ne serait pas près de me rattraper.

F68.10

@ Mary Preud'homme

Vous souhaitez dézinguer un commentateur sur la base de votre humeur, tout en refusant qu'on vous mette le nez dans vos contradictions ?

Cela ne se passe pas comme cela dans le vrai monde vrai des gens vrais. Vous vous exprimez, et vous recevez des propos en retour. C'est comme cela. C'est normal. Cela ne s'appelle pas "vous poursuivre"... Navré.

Mary Preud'homme

@ Robert Marchenoir | 25 novembre 2020 à 19:32

Ce Marchenoir qui s'obstine à me poursuivre, hélas sans succès, s'il court aussi vite que je l'emm****, il n'est pas prêt de me rattraper !

Robert Marchenoir

@ Savonarole | 25 novembre 2020 à 12:32
"Curieusement, sylvain bénéficie d’une mansuétude qui en dit long sur nos commentateurs et commentatrices qui n’en pensent pas moins, mais qui affichent une parenté qu’ils n’osent pas avouer. Hypocrisie toute française..."

L'hypocrisie est de votre côté. Personne ne s'en prend à sylvain*, parce que contrairement à vous, il est franc et sincère, il a des convictions, il les exprime clairement, et en plus, il est drôle.

De plus, ses convictions sont justes, et basées sur des faits réels.

Et enfin, sa principale occupation, sur ce blog, n'est pas, contrairement à vous, de laisser tomber goutte à goutte ses sarcasmes venimeux sur les autres commentateurs, en tentant d'être le plus blessant possible.
______

(*) Même ça, c'est faux. Il m'est arrivé de m'en prendre à sylvain, et d'autres commentateurs aussi.
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@ Mary Preud'homme | 24 novembre 2020 à 18:50
"Vous êtes assommant avec vos souvenirs, officier dans la Royale par ci, pétrolier par là, baroudeur qui a tout vu tout connu !"

Hahaha... vous ne manquez pas de culot. C'est l'hôpital qui se moque de la charité.

Au moins Luçon nous raconte-t-il sa vie avec quelque pertinence, au lieu de se précipiter, comme vous, pour revendiquer une autorité sur n'importe quel sujet, sous le prétexte (invérifiable) que vous en auriez tâté. Tenez, ici encore :

"Vous n'êtes pas le premier officier de l'armée à être devenu ingénieur, magistrat ou commissaire de police... J'en ai même plusieurs dans ma famille, mais qui n'en font jamais étalage et auxquels il ne viendrait pas l'idée saugrenue de mélanger les genres ou de se poser en grand manitou quel que soit le sujet."

Contrairement à vous, qui le faites à leur place.

Personne n'a le droit de parler de police, sur ce blog, sauf Mary Preud'homme. Parce qu'elle, elle est commandant en chef de la police de France général émérite de la gendarmerie fronçése commissaire de police gardien de la paix stagiaire maman de commissaire de police. Et pourvue de flics dans sa famille.

Enfin, d'après ce qu'elle nous dit. Sans la moindre preuve, sans que nous soyons en mesure de vérifier et, franchement, avec un degré de vraisemblance assez faible, lorsqu'on constate son incapacité à apporter des informations inédites et pertinentes, à chaque fois qu'elle fait mine de pontifier sur le sujet.

En dehors de nous dire, bien sûr, que les FDP FDO gentils policiers et mignons gendarmes sont formidables, merveilleux et en tout temps irréprochables.

Et maintenant, j'attends le :

"Vous vous en prenez à ma famille ! Comment osez-vous ! Ignoble personnage ! Je vais appeler mon papa gendarme et il va te casser la figure !"

Etc., etc.

J'en profite pour relever votre mignonne anecdote, selon laquelle vous auriez giflé votre maîtresse de maternelle, une religieuse, à l'âge de quatre ans.

Souvenir pas du tout assommant, bien sûr, et intimement lié à l'article du jour de Philippe Bilger.

Je ne sais plus quels commentateurs ayant relevé que ça expliquait tout, et que vous n'aviez pas changé, vous vous êtes empressée de leur prodiguer vos invectives habituelles de petit flic méprisant, un rôle que vous tenez à merveille. Comment prouver qu'on a tort à l'instant même où l'on prétend avoir raison.

Quant à moi, je dirai qu'il y a de fortes chances pour que cette anecdote soit inventée, par vous-même ou par vos parents. Je connais peu de petites filles de quatre ans qui giflent leur institutrice, et encore moins avec suffisamment de force pour faire tomber leur cornette, ainsi que vous l'avez prétendu.

Mais surtout, cette anecdote est fortement incriminante, qu'elle soit vraie ou fausse.

Vous vous vantez d'un acte de violence envers un adulte auquel vous deviez obéissance -- et simultanément vous nous vantez la loi et l'ordre, tout ce qui porte képi est un héros, etc.

Je note que vous ne nous avez pas dit quelle faute votre institutrice aurait sanctionnée.

En revanche, il va de soi, à vous entendre, que vous étiez parfaitement innocente de ce qui vous était reproché. Vous étiez une blanche colombe à l'époque (bien que, de votre propre aveu, vous n'ayez aucun souvenir de cet épisode) ; vous l'êtes toujours aujourd'hui.

Mitsahne

L’indécrottable président était attendu mardi soir par 29 millions de Français avides de propos sur Covid.
Nous avons eu droit à un auto-satisfecit discutable : « nous avons sauvé des vies » a dit l’IQNG (l’indigent qui nous gouverne). C’est évident et nos admirables soignants peuvent en témoigner qui ont réanimé des condamnés.

Pour le reste, il ne s’agit que de mesurettes qui desserrent un peu le carcan administratif, mais on reste pantois devant les trente personnes par cathédrale qui seront autorisées à assister à la messe ! Et l’extravagante ‘’attestation de déplacement dérogatoire’’ reste obligatoire jusqu’au 15 décembre. La guignolade continue.

Cela étant, il va falloir compter aussi au passif les désespérés qui se suicident et qui vont se suicider dans les mois qui viennent. Dans le secteur dit « non essentiel » (tourisme, restauration, culture particulièrement), c’est la panique, l’effondrement. Des milliers de commerces vont être sinistrés, des dizaines de milliers de travailleurs vont se retrouver sur la paille. Une vague de pauvreté va s’abattre sur le pays et nul ne peut prévoir jusqu’où les dommages causés vont dégénérer. Pour peu que l’hiver soit vigoureux, nous allons assister à des milliers de drames révoltants.

Un président inapte assisté d’un haut-comité-théodule crevant de peur devant la possibilité de dizaines de milliers de morts dus au virus (dont il n’est pas responsable) a préféré sacrifier une grande partie de l’économie de la France à l’idée de voir des statistiques de décès qui pourraient lui être défavorables dans la perspective des prochaines élections. Il n’a pas compris que les morts, il les aura quand même (et sans doute un peu plus), mais ils lui seront imputables directement puisqu’il a organisé la débâcle d’une guerre annoncée par lui !

Ce gouvernement d’infâmes se distingue particulièrement par une déclaration de l’affligeant Rémi Salomon (AP/HP) qui a osé dire : « coupons la bûche en deux, papy et mamy à la cuisine, et nous autres au salon ! ».
Une telle délicatesse mérite une bonne baffe au confiné Salomon. Malgré mes rhumatismes de 91 ans, je lui botte généreusement ce qui lui sert de cerveau.

Ah, quel plaisir d’être gouvernés par de si brillants imbéciles !
J’attends avec impatience les explications de texte de notre savoureux Premier ministre jeudi. Qu’est-ce qu’on est gâtés !

F68.10

@ sylvain
"Et aussi qu'il y en a un ici qui vous mène tous en bateau et que moi j’ai démasqué."

Qui donc ?

sylvain

@ Savonarole | 25 novembre 2020 à 12:32

C'est tout simplement qu'ils en ont marre que je les renvoie dans les cordes et à leurs chères études.

Et aussi qu'il y en a un ici qui vous mène tous en bateau et que moi j’ai démasqué.

N’est pas Elusen Gaspary qui veut.

sbriglia

"Quel être humain tend la joue gauche après s'être fait gifler la droite ?"

Ben un policier justement.

Rédigé par : Tomas | 24 novembre 2020 à 22:19

Cultissime…

De la lecture de l'Evangile considérée comme l'épreuve majeure pour appartenir à la Police nationale.

Lucile

Je dois avoir mauvais esprit mais voici comment je résume l'intervention d'EM hier à la télé :

"Je vous tiens toujours en laisse, mais soyez contents, j'allonge la laisse".
Sauf que ça lui a pris presqu'une demi-heure.

Ce matin le baromètre IPSOS est toujours à 37 % d'avis favorables.
https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-politique

duvent

@ Savonarole | 25 novembre 2020 à 12:32

Au cri s'oppose Le Silence... Connaissez-vous ce tableau de Nikolaï Doubovskoï ?

http://www.willemsart.com.au/nikolai-dubovskoy-silence-falls/

Savonarole

@ sylvain | 24 novembre 2020 à 09:56

Sacré sylvain, il est le seul ici à ne pas avoir de prédateurs.
Personne ne le conteste, personne ne lui tombe sur le râble, en l’accusant de fachisme d’esstrème drouâte.
Sylvain c’est « Le cri » du peintre norvégien Edvard Munch.
https://www.google.fr/search?q=le+cri+munch&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjcyo2lz53tAhVIxhoKHY48B_oQ_AUoAXoECA0QAw&biw=1366&bih=626

Curieusement, sylvain bénéficie d’une mansuétude qui en dit long sur nos commentateurs et commentatrices qui n’en pensent pas moins, mais qui affichent une parenté qu’ils n’osent pas avouer.
Hypocrisie toute française...

Patrice Charoulet

POLICE À PARIS

Quel célibataire français vivant seul, au RSA ou au SMIC, vu le montant des loyers, peut louer un logement à Paris ? Aucun.
Quand on vient d'Afghanistan et qu'on a réussi à venir à Paris, en quel honneur devrait-on avoir droit aux frais de l'Etat à un logement parisien ? En ce cas, on dort donc où l'on peut, dans une tente sommaire par exemple. Des associations françaises, animées des meilleures intentions, organisent une installation groupée de ces tentes sommaires et de leurs occupants dans un lieu parisien. Il est décidé de chasser ces occupants, en recourant aux forces de l'ordre. Tous les Français, sur toutes les télés, ont été gratifiés de scènes filmées (croche-pied, coups de matraque, etc.). Et nous sommes gratifiés, derechef, de la ritournelle « violences policières ». Le préfet de police est une fois encore montré du doigt et serait trop dur. Même le ministre de l'Intérieur lui demande un rapport sur ces faits qualifiés d'inadmissibles !

De qui se moque-t-on ?
Quand des personnes sont priées d'aller ailleurs, et refusent, doit-on leur offrir un bouquet de fleurs, et leur donner des caresses avec le sourire ?
Les associations organisatrices avaient un projet politique et ont mené leur combat en convoquant les cameramen, qui nous ont montré ce qu'ils ont bien voulu nous montrer et zappé ce qu'ils ont bien voulu zapper.
Epilogue : les personnes qui ne dorment plus place de la République vont dormir ailleurs.

sylvain

Félicitations et soutien de toute l’opinion publique normale civique patriote qui respecte l’autorité et les valeurs de la République, à tous ces policiers qui se battent héroïquement contre tous ces déchets de la société polluée par l’islamogauchisme : PS PCF EELV LFI, associations gauchistes islamistes, droits de l’homme corrompus mafieux et défenseurs des droits des racailles seulement, état de droit des islamogauchistes seulement, juges extrêmes gauchistes complices des délinquants maghrébins islamistes, des casseurs de gauche, des provocateurs à la haine et surtout ces élus députés de la ripoublique hors la loi qui ne respectent plus l’état de droit, la Constitution, un comble et qui incitent les migrants et autres parias de la société à défier la police et créer le désordre, l’anarchie et les actes de violence.

Coquerel le Mélenchon bis, cherche par tous les moyens à instaurer une guerre civile en toute impunité, payé par nos impôts, confortablement installé sur les bancs de l’AN, il appelle à l’émeute, à la haine de la France et à ne plus respecter l’état de droit, le vrai mais instaurer celui de ses amis délinquants anti-France.

Depuis le soir de l’évacuation, le gouvernement, les élus de gauche, les médias tapent sans cesse sur les policiers, même leurs syndicats et leur ministre, tous en collaboration honteuse avec ces malfrats. Un comble, toute honte bue.

Si j’avais des syndicats pareils, ils seraient les premiers à bénéficier de mes bavures !

Quand on appelle barbarie ou sauvagerie un croche-pied, ça montre le niveau de ces crapules gauchistes, en fermant les yeux sur les coups, insultes, provocs et jets de pierres sur les policiers.

Heureusement que Zemmour hier soir a rétabli la vérité sur cet événement crapuleux organisé par la gauche qui ne respecte jamais l’état de droit, s’arroge le droit à la violence légitime ; les policiers les ont bien remis en place avec un bon et salutaire rappel à la loi musclé.

Bravo aux policiers qui sont honteusement trahis et lâchés par leur gouvernement et à Zemmour qui les a bien réconfortés.

Honte nationale à tous ces députés délinquants de gauche complices de cette peste islamogauchiste.

Lodi

"Vous êtes assommant avec vos souvenirs, officier dans la Royale par ci, pétrolier par là, baroudeur qui a tout vu tout connu", lance Mary Preud'homme à Claude Luçon.

Eh bien moi, j'aime bien que chacun parle de lui quand il le veut, éventuellement de sa famille aussi tiens, comme comment s'adapter à un bipolaire ?

Forcément, chaque fois que quelqu'un le fait, on peut trouver qu'il se donne le beau rôle ou fantasme, mais ça ne me dérange pas, tant que la personne ne profite pas de la narration de sa vie pour nuire aux autres ; de manière consciente ou inconsciente sans parler de la zone grise qui existe entre les deux. Je ne trancherai pas, mais au fond, peu importe, le tout est de prévenir le malheur.

Dans ce dernier cas, qui ne me semble pas avéré ici, je sors mon armure et je vais au combat.
Et on me dit que j'envie les autres... Faux, j'explique combien certains sont malheureux et combien en suivant les conseils malvenus de certains heureux, ils rajouteraient encore à leur malheur et au malheur général.
Evidemment, quand on parvient à comprendre, enfin comprendre, disons du moins percevoir un peu la différence entre le malheur et le bonheur, on peut se projeter et dire qu'on envierait.

C'est un début d'empathie, on fait ce qu'on peut... Dans un autre style, il y a huer le méchant dans un spectacle.
Le problème : quand on confond l'acteur avec le personnage ou l'auteur avec l'histoire.
Même problème pour le commentateur de blog, qui l'eut cru ? Je veux dire d'une part qu'il paraît que les gens sont en principe réfléchis ici, et qu'on peut s'étonner d'avoir des crises de nerfs avec sa p'tite histoire.

Cela montre la toute-puissance de l'histoire et la toute-impuissance de l'auteur.
Cas général : il y a plein de mythes où le monde a été créé tout à fait involontairement si j'ai la flemme d'y renvoyer, cossard en diable. Cas général : les acteurs sont là pour recevoir les tomates et les auteurs quelque diabolisation que ce soit.

Comme je n'ai peur de rien - en fait de tout, mais quand faut y aller, faut y aller - je vais recommencer mes p'tis contes, le bonheur qui parfois aggrave le malheur, tiens.

Il y a le cas des gens qu'on pousse à fonder une famille alors qu'ils n'ont pas d'argent et guère de perceptives, mais tout est relatif, l'homme trouve une Noire, mais découvre deux problèmes, d'une part, le racisme de son milieu, d'autre part, la possibilité d'avoir à l'assumer matériellement sans parler de sa famille.
Evidemment, l'amour peut... pas tout, mais quelque chose. Sauf qu'il n'y a pas d'amour là-dedans mais la pression d'un milieu et un certain désir de ne pas être seul se heurtant à des obstacles par trop infranchissables. La fin n'est ni heureuse ni malheureuse, enfin, un peu triste, la déception ne fait pas de bien. Mais certains sont trop naïfs, découvrant sur le tard que les autres font dans la double contrainte, et que trouver une Noire du Tiers-Monde en difficulté et épouser une Japonaise intégrée ne sont pas la même chose.

Evidemment, comme tout est dans le non-dit, pour qu'il comprenne plutôt que de sombrer dans une dépression, il faut que quelqu'un prenne sur lui d'expliquer quelque peu la théorie des races sans y croire, les annonces d'Internet où il a trouvé sa dame, l'endogamie sociale et que trop de gens infléchissent les vies des autres comme dans un jeu de rôle dont on tend à diriger le comportement sans vouloir bien sûr souffrir en retour des avanies de sa petite figurine.

Mais si le malheureux, qui n'est pas une petite figurine, vous raconte ses désarrois, comment ne pas expliciter les implicites le faisant tourner en rond comme quelque égaré dans un labyrinthe ?
Surtout ne pas croire qu'on ne serait jamais abusé soi-même, dans des cas certes assez différents, et le dire le plus possible pour ne ni s'élever ni abaisser l'autre. Chacun peut avoir besoin que l'autre vous traduise le monde ou avoir à le faire pour un autre.
Mais que penser de ceux qui illusionnent les autres ?

Même problème pour la création d'entreprise, tout le monde n'en a pas les capacités, et d'autre part, il y a vraiment des emplacements dont il n'est pas besoin d'avoir fait une étude de marché pour voir qu'ils ne conviennent en aucun cas. Quoi, tu as acheté ça ?
Mais si le vin est tiré, on ne peut par contre pas dire à l'autre que c'est plus que compromis, juste suggérer de diminuer fortement ses frais pour que le public finisse par découvrir le lieu. Mais le truc, c'est qu'on croit souvent que les créateurs d'entreprise ont un fort niveau de vie, alors il se peut que la personne ne veuille pas diminuer ses frais.

Dans ce p'tit conte, il y a une erreur personnelle, l'emplacement, erreur provoquée par quelqu'un qui y avait un gros intérêt monétaire, on se joue de quelqu'un non pour jouer mais s'enrichir.

Et une erreur collective : les entrepreneurs ne font pas de sacrifice pour leurs affaires. Si... Mais on ne parvient pas toujours à l'expliquer.
Ce n'est pas étonnant : entre une erreur collective agréable et l'amertume de la réalité présentée par quelque personne assumant le rôle fatigant de porteur de mauvaise nouvelle, qu'est-ce que la nature humaine sera portée à faire choisir au public ?

On pousse les gens à fonder, que ce soit une entreprise ou une famille, sans les avertir du prix, bonjour la double contrainte, par exemple pour notre entrepreneur, consommer, et avoir l'argent donc le temps d'attendre que son affaire finisse par décoller.

On avertit sur Internet du coût et du tracas d'avoir un animal, c'est un peu moins le cas quand on fonde une famille alors que les conséquences seront bien plus graves autrement. On peut faire de l'esprit avec des livres d'un passé où la misère était très grande, pour ridiculiser les conseils de prudence, mais on oublie que l'auteur-providence sauvera ses héros s'il le veut tandis que je ne vois aucune providence pour rédimer les gens de leurs malheurs. Et que ses vies misérables étaient d'un temps où on ne pouvait guère éviter de se reproduire car la pilule n'existait pas. Alors se sentir sauvé par l'auteur dans une fiction, c'est super, qui se priverait de vivre un faux malheur et d'accéder à une fin heureuse ou du moins, parfois, pleine de sens ?
Mais la fiction est un monde à part, et il ne faut pas confondre une oasis de bonheur et de sens et le désert du monde.

F68.10

@ Serge HIREL
"Je m’attendais à votre réaction... Fétichiste, moi ?!"

Un petit peu quand même.

"Vous en êtes un autre, avec votre obsession du recours aux associations et à l’opinion publique pour rendre la justice..."

Alors permettez-moi de vous poser une question: croyez-vous que l'arbitrage juridique a sa place dans les conflits commerciaux ? Ou que tout devrait systématiquement se traiter devant la justice ? Pour une raison de pragmatisme, de coût, et d'efficacité, je cautionne l'arbitrage. Simplement parce qu'il vaut mieux traiter toutes les questions de conflit commercial sur des projets au long cours au fil de l'eau, plutôt que de laisser l'incertitude juridique se cumuler en même temps que les intérêts tournent, en attendant des années qu'un "vrai" juge se prononce.

Le juge, c'est en dernier ressort. C'est cela ma position. Et effectivement, cette position peut être étendue à d'autres questions. Telles que la liberté d'expression sur Internet. Je ne vois absolument pas ce qu'il y a de choquant à cela.

Position d'ailleurs tout à fait jupitérienne:

Constat: "S’ajoute à cela un fait nouveau, mais qui est en train de se structurer de manière perverse, que sont les réseaux sociaux et Internet. Et cette création formidable [...] est aussi devenue deux choses dangereuses : un instrument de viralisation des émotions [...] et un élément de dé-hiérarchisation de toutes les paroles [...]. Nous n’avons pas organisé d’ordre public de cet espace." -- Jupiter, 16 novembre 2020.

Remède: "Ensuite sur les grands sujets dits de bien commun [...] le multilatéralisme étatique ne suffit plus. Quand on parle de nouvelles technologies, vous avez besoin d’engager des plateformes qui se sont développées hors de toute règles [...] malgré les États, en tout cas les États-Unis d’Amérique l’acceptant. [...] Et donc il y a eu une espèce d’invention d’un univers commun par des acteurs privés qu’il faut progressivement réguler. [...] Mais vous devez coopérer et les engager. [...] Quand on parle de climat, de la même manière, on doit engager des ONG, des entreprises, parfois des régions, des villes, des États fédérés. Moi, j’assume ce pragmatisme pour avoir des résultats." -- Jupiter, 16 novembre 2020.

"Mais deux fétichistes, s’ils ne s’entendent pas, peuvent s’écouter et nous retrouverons bien une occasion de reprendre notre débat."

Avec joie. Vous êtes plutôt chaussures, vous ? Vous avez une waifu ?

"Mais le fait est que la plupart des « journalistes » ne respectent en rien les règles du métier de journaliste et ne sont que des militants de la cause qui est la leur qui se déguisent en journalistes pour, vis-à-vis des autorités et du grand public, bénéficier du statut et de l’aura des professionnels."

Mouais. C'est un peu plus complexe que cela. Quoi qu'il en soit, ils existent, et il faut les engager. Il est inutile de se contenter d'affirmer que ce sont des faux journalistes. Même problème en médecine à l'heure actuelle: devant la prolifération des charlatans, c'est au péquin moyen de venir défendre la science. L'autorité du mandarin ne suffit plus dans le débat public. C'est bien le constat jupitérien qui est en jeu: la dé-hiérarchisation de toutes les paroles. Ce n'est pas spécifique au journalisme. Et je vous avoue que cela me réjouit de pouvoir taper sur mes têtes de turcs en continu: les médecins. Pour d'autres, leurs têtes de turcs ce sont les vrais journalistes. Ou les faux journalistes. Comme dirait Marchenoir: les règles ont changé. Il n'y a plus de retour en arrière.

"Ils ont bien sûr le droit d’informer, de communiquer, de militer, mais pas s’usurper un statut."

Je récuse la légitimité de l'existence d'un tel statut.

"Qu’ils aient le courage de se présenter avec leur vraie casquette !"

C'est à vous d'aller les enfumer dans leurs terriers, de leur rendre la vie invivable jusqu'à ce qu'ils mettent genou à terre. Les règles ont changé. Mais pour cela, il va d'abord falloir faire comprendre à quoi sert un journaliste au Français de base, et aussi lui faire comprendre en quoi c'est grave quand des journalistes racontent n’importe quoi. Il faudrait plus de Name and Shame en France. Beaucoup plus.

"Quant aux forces de l’ordre qui seraient un « danger », je ne vous suis pas sur ce terrain. Un danger, oui, pour les malfrats, mais une protection pour les autres. Et leurs membres n’ont pas, comme quiconque, à supporter dans leur vie privée des dangers liés à leurs activités professionnelles."

Je crois que vous m'avez lu de travers. Je veux bien protéger la vie privée des policiers. Mais voilà: le monde n'est pas parfait. Personne n'a protégé ma vie privée, par exemple... je ne me sens pas le devoir de le faire pour autrui. Et si cette vie privée est à mettre en balance avec la question de l'information du public, cette dernière prime. Il n'est pas clair que ce point soit bien clair dans l'esprit du gouvernement !

Et puis 1. j'en ai marre qu'on fasse passer les policiers pour des chochottes 2. la question de la vie privée est un point qui est instrumentalisé: ce qui est visé est bien d'assurer de manière beaucoup plus générale une sérénité, sur ce point, au travail de la police. Pas véritablement de protéger la vie privée des policiers...

Tomas

@ sylvainpoliciers
"Quel être humain tend la joue gauche après s'être fait gifler la droite ?"

Ben un policier justement. Quand on a le monopole de la violence légitime et une arme à feu, on ne répond pas aux voyous avec leurs armes.

Ça s'appelle l'Etat de droit, et ça fait toute la différence entre notre pays et l'URSS.

Robert Marchenoir

@ Claude Luçon | 24 novembre 2020 à 01:48
"Par le passé les médias survivaient, comme toute entreprise, par le talent de son personnel [...]. Aujourd'hui les médias tirent une bonne partie de leur revenus des publicités qu'il vendent sur la télévision [...]. Ils n'informent plus seulement, ils fournissent d'abord les moyens de vente à des publicitaires."

Votre vision angélique des médias "d'avant" n'a aucun rapport avec la réalité. La publicité a toujours été un élément majeur de l'équilibre financier des quotidiens, sous différentes formes : réclame, "publi-rédactionnels", petites annonces...

Le Monde lui-même, arbitre des élégances journalistiques, a longtemps publié d'épais encarts financés par des pays étrangers, qui n'étaient autres que des tartines de propagande à la gloire de tel ou tel gouvernement (en plus de la publicité pure et simple, évidemment).

Publier un quotidien régional, en France, cela s'est longtemps borné à vendre un épais cahier de petites annonces et de faire-part, enveloppé dans quelques dépêches de l'Agence France-Presse vaguement réécrites, avec de grosses cuillerées de propagande des élus locaux pour faire glisser le tout. Sans oublier les photos de famille des équipes sportives de Neuneu-sous-Glinglin.

Maintenant, les petites annonces, les faire-part et la publicité proprement dite ont disparu, aspirés par Internet, et il reste... quoi ?

Certes, les médias souffrent de la décadence générale en termes d'instruction et de valeurs morales, mais leur dépendance à la publicité ne date pas d'hier. Et ne parlons pas de leur dépendance consentie au parti communiste, quelle que fût leur orientation politique officielle, en raison de l'absence de résistance au chantage des ouvriers imprimeurs de la CGT.

"J'appartiens comme beaucoup d'autres aux pékins qui coupent la France en deux : les Bavards et les Bosseurs. Ces termes sont issus de l'IESF et de ses 1 200 000 membres."

Dont vous faites partie, bien entendu. En parlant de publicité...

Serge HIREL

@ Claude Luçon 24 novembre 2020 à 01:48

Vous confirmez mon message précédent : vous êtes un exemple parfait d’une opinion publique qui accable médias et journalistes sans rien connaître de ce secteur, de ses règles, de ses pratiques, de ses difficultés.

"Aujourd'hui les médias tirent une bonne partie de leur revenus des publicités qu'il vendent sur la télévision."

Faux. La presse écrite ne se finance pas par une taxe sur la publicité télévisée. Et elle n’est pas « subventionnée » par l’Etat. Elle perçoit des « aides » qui lui permettent de maintenir un prix de vente la rendant accessible au plus grand nombre. Il s’agit donc d’« aides au lecteur ».

"Les journalistes (...) sont maintenant et d'abord un outil de vente d'automobiles"

Faux. La ligne éditoriale d’un journal (papier ou TV) est définie par l’équipe rédactionnelle, qui défend avec vigueur ses prérogatives. Je vous accorde toutefois qu’à la télévision, il arrive que l’ordre dans lequel sont diffusées les infos - le « chemin de fer » - tient compte de la nécessité pour la régie publicitaire que le taux d’audience soit maintenu. Par ailleurs, le CSA surveille la publicité clandestine que serait la présence d’un annonceur hors écran publicitaire.

« ...nombre de téléspectateurs, soigneusement comptés numériquement... »

Faux. Le taux d’audience est établi à partir d’un panel de 5 000 foyers - 11 400 personnes de 4 ans et plus - représentatif de la population française, au domicile desquels sont installés les audimètres de Médiamétrie, institut de sondage dont le capital est détenu conjointement par les médias, les annonceurs et les agences.

"Je (...) classe tout ce monde dans une et même corporation, celle des médias..."

C’est à peu près aussi pertinent que de mettre dans le même sac tragédiens et clowns... ou ingénieurs chimistes et bricoleurs du dimanche. « Reporter » et « grand reporter » sont des classifications de la grille salariale de la convention collective des journalistes. Les fonctions sont les mêmes, pas les revenus...

"Nous avons tous le droit de photographier"

Faux... en partie. Y compris pour les journalistes, le droit au respect de la vie privée interdit de photographier une personne qui s’y oppose, pas même un bâtiment si son propriétaire ne donne pas son accord. Photographier n’est pas diffuser. C’est d’ailleurs là l’enjeu de l’article 24, qui n’interdit pas de filmer un policier en action, mais s’oppose à la diffusion de la vidéo ou de la photo si le but de celle-ci est malveillant vis-à-vis de lui.

Tour ceci dit, je vous laisse bosser et retourne à mes bavardages...

Tomas

@ Achille
"Une gauche réaliste, progressiste, qui n’a rien à voir avec la gauche neuneu qui utilise encore des slogans du début du siècle dernier, oubliant qu’entre-temps le monde a changé."

Non. La France a changé, le prolétariat s'est extrait de la misère et a accédé à l'éducation et à un niveau de vie correct. Mais de telles injustices perdurent encore partout dans le monde, grâce en particulier à l'impérialisme des pays capitalistes, pour parler comme les "communistes ringards", comme vous dites de votre air goguenard satisfait, partisan d'une "gauche réaliste" pour se donner bonne conscience.

Enfin, avait changé, devrais-je dire. Raréfaction des ressources aidant et population de la planète croissant, et l'appétit des satisfaits de votre genre et des plus riches restant insatiable, un mouvement de paupérisation des classes moyennes est lancé, particulièrement visible depuis la crise de 2008. L"analyse de la "gauche neu-neu" reste donc valable.

sylvain

Ce soir sur CNews on a eu droit à un immense Zemmour sur le sujet des migrants, un génie de vérité, d'analyses concrètes et très pointues.

Par contre, un piètre et minable Marc Menant qui a encore dénigré la police comme il l'avait fait à 14 h lors du débat de la Belle équipe.

Mary Preud'homme

@ Claude Luçon | 24 novembre 2020 à 14:37

Vous êtes assommant avec vos souvenirs, officier dans la Royale par ci, pétrolier par là, baroudeur qui a tout vu tout connu ! Intarissable et saoulant ! Voilà maintenant que vous vous vantez d'être venu au secours de pauvres policiers toulonnais, à moins qu'il s'agisse de gendarmes les malheureux car vous confondez tout ! Sacré Zorro va !

Et si au lieu de noyer le poisson et nous raconter une fois de plus vos prouesses, réelles ou fantasmées, vous commenciez par admettre que concernant l'affaire Benalla, vous vous êtes bel et bien planté. sachant en outre que pour un ex-officier de marine (ou de n'importe quelle arme d'ailleurs) ce n'est pas très loyal de soutenir un mutin et même de le faire passer pour une sorte de héros.

Chacun son métier Monsieur... Et vous n'êtes pas le premier officier de l'armée à être devenu ingénieur, magistrat ou commissaire de police... J'en ai même plusieurs dans ma famille, mais qui n'en font jamais étalage et auxquels il ne viendrait pas l'idée saugrenue de mélanger les genres ou de se poser en grand manitou quel que soit le sujet.
Stop !

sylvainpoliciers

La police est respectable mais plus respectée !

Heureusement que je ne suis pas flic car j'aurais commis une bavure depuis longtemps !
Comment peuvent-ils se faire insulter, cracher dessus, se faire attaquer, se faire tuer sans aucune réaction ?
Quel être humain tend la joue gauche après s'être fait gifler la droite ?

Le problème n'est pas les forces de l'ordre, mais la population gauchiste ! Et là, il y a du ménage à faire, et ce n'est pas avec des sifflets et des pistolets à eau que ce sera fait, comme le veut Hidalgo avec sa police municipale froufrou plume au c*l, ces agents ne seront que des kamikazes qui se feront descendre en toute impunité sous les applaudissements de la gauchiasserie.

Honte à l'émission "la Belle équipe", où certains ont chargé les policiers, et surtout insisté sur un croche-pied qualifié de violence policière, on croit rêver.

Serge HIREL

@ F68.10 23 novembre 2020 à 19:36

Je m’attendais à votre réaction... Fétichiste, moi ?! Vous en êtes un autre, avec votre obsession du recours aux associations et à l’opinion publique pour rendre la justice... Mais deux fétichistes, s’ils ne s’entendent pas, peuvent s’écouter et nous retrouverons bien une occasion de reprendre notre débat.

Sur la distinction entre vrai et faux journaliste - journaliste et « journaliste » -, je vous accorde que certains détenteurs de la carte de presse, qui en fait des journalistes au sens du droit, ne méritent pas cette appellation, si on la prend dans son sens populaire. Mais le fait est que la plupart des « journalistes » ne respectent en rien les règles du métier de journaliste et ne sont que des militants de la cause qui est la leur qui se déguisent en journalistes pour, vis-à-vis des autorités et du grand public, bénéficier du statut et de l’aura des professionnels. Ils ont bien sûr le droit d’informer, de communiquer, de militer, mais pas s’usurper un statut. Qu’ils aient le courage de se présenter avec leur vraie casquette ! Leurs propos n’en seraient que plus forts et les journalistes y retrouveraient une crédibilité que cette confusion qu’ils créent a mise mal en point.

Quant aux forces de l’ordre qui seraient un « danger », je ne vous suis pas sur ce terrain. Un danger, oui, pour les malfrats, mais une protection pour les autres. Et leurs membres n’ont pas, comme quiconque, à supporter dans leur vie privée des dangers liés à leurs activités professionnelles.

Claude Luçon

@ Mary Preud'homme | 24 novembre 2020 à 12:31

À part les accusations de la presse, politiciens et autres bavards, donnez-moi la liste des sanctions que lui ont infligées les magistrats de nos tribunaux ?

Gendarme pour gendarme, j'ai été officier de marine ce qui depuis la formation de la Royale par Richelieu (évêque de Luçon) faisait d'un officier de marine aussi un officier de police du même grade, ce qui m'a valu, accompagné d'un premier maître et quelques marins, des patrouilles musclées dans les rues de Toulon au grand soulagement des policiers toulonnais !

Mary Preud'homme

@ Claude Luçon 24 nov 01:48

Vous écrivez vraiment n'importe quoi monsieur. Contrairement à vos allégations fantaisistes, la police nationale (tous corps et grades confondus) a toujours dénoncé avec une belle unanimité (David Le Bars porte-parle du SCPN en tête) le comportement on ne peut plus scandaleux et choquant de ce Benalla, soutenu il est vrai par le pouvoir, au point que ce guignol se permettait de commander les plus hauts fonctionnaires de la police, arguant de sa connivence avec Macron. Il est vrai qu'avec le grade bidon de colonel (et pourquoi pas général !), cet individu se croyait tout permis...
C'est d'ailleurs l'intervention de plusieurs responsables de la PN qui mit un terme à la honteuse mascarade de cette racaille !

Pour rappel :
"En voyant la vidéo mettant en scène Alexandre Benalla en train de jouer les gros bras lors d'une opération de maintien de l'ordre le 1er Mai à Paris, les responsables policiers et porte-parole syndicaux sont sous le choc. «Nous sommes ici face à un comportement de petite frappe de cité qui tranche avec l'attitude professionnelle des CRS engagés ce 1er Mai et avec lesquels il ne faut surtout faire aucun amalgame, s'insurge Patrice Ribeiro, patron du syndicat Synergie-officiers. S'il arrive que des “observateurs” soient acceptés sur un dispositif, il est impensable qu'ils fassent usage d'une fausse qualité de policiers en portant des brassards et qu'ils se livrent à des violences selon une logique de videurs de boîte de nuit…»"

sylvain

@ F68.10 | 24 novembre 2020 à 02:17
"Le déni est un phénomène assez fascinant."

Mini bémol mais de taille, pour un islamogauchiste, le déni est très FASCISANT surtout, mais il est vrai que toute cette gaugochonnerie est fascinante d'horreur, j'en conviens.

sylvain

RAS LE BOL !

Place de la Ripoublique, Montbéliard-la-honte hier soir, et dans toutes les villes de France sous le joug des islamogauchistes haineux fachos racistes anti-blancs anti-France, c'est le même refrain.

Ras le bol de tous ces migrants parasites profiteurs acquissociauïstes prétextes alibis pour les gauchistes.

Ras le bol des agitateurs semeurs de m*rde écolos-LFI islamogauchistes.

Ras le bol des merdias de gauche délateurs collabos qui soutiennent les fauteurs de troubles, narguent défient provoquent et harcèlent la police.

Ras le bol de ce Gouvernement qui se met à genoux dès que la crapulerie de gauche proteste : Darmanin ce matin s'excuse d'avoir évacué trop méchamment ces pauvres migrants chouchous des journaloputes et des élus racailles : Coquerel avec un rouleau de PQ bleu blanc rouge en bandoulière démago et tous ces malfrats humanistes arrivistes opportunistes faux derches...

Ras le bol de voir les policiers sans cesse humiliés, lâchés par leur hiérarchie et syndicats.

Ras le bol des juges rouges hors la loi complices des racailles.

Ras le bol de voir les citoyens silencieux calmes civiques payer pour tous ces malfrats impunis.

RAS LE BOL !

F68.10

@ Claude Luçon
"Mais nos journalistes n'avaient rien d'autre à se mettre sous la dent et, surtout, il fallait à tout prix attaquer Macron, d'une façon ou d'une autre, pour la simple raison qu'il montrait une certaine condescendance à leur égard."

Le déni est un phénomène assez fascinant.

Claude Luçon

@ F68.10 | 22 novembre 2020 à 20:34

L'affaire Benalla n'était qu'un fait divers qui ne méritait pas la publicité qui lui a été faite.
Mais nos journalistes n'avaient rien d'autre à se mettre sous la dent et, surtout, il fallait à tout prix attaquer Macron, d'une façon ou d'une autre, pour la simple raison qu'il montrait une certaine condescendance à leur égard.
D'ailleurs pouvez-vous vraiment dire quel crime a commis Benalla ?
On peut au moins le féliciter d'avoir accompli son devoir de citoyen faisant une double "arrestation citoyenne" ce qui lui était permis, doublement, outre être un citoyen il portait un brassard que la police lui avait donné lors des faits.

——————————————

@ Serge HIREL | 22 novembre 2020 à 19:51

Merci pour la leçon, on apprend à tout âge.
Toutefois je me dois de compléter mon texte précédent par ce qui suit, que j'avais omis sciemment. :
Par le passé les médias survivaient, comme toute entreprise, par le talent de son personnel. Un journaliste se devait de rapporter un fait parfaitement analysé et confirmé pour attirer les lecteurs et assurer les revenus de son media. Plus les subventions de l'Etat bien sûr.
Aujourd'hui les médias tirent une bonne partie de leur revenus des publicités qu'il vendent sur la télévision.
Le prix de ces publicités est fonction du nombre de téléspectateurs, soigneusement comptés numériquement, qui zappent sur un canal ou l'autre.
Les journalistes sont descendus d'un cran !
Ils sont maintenant et d'abord un outil de vente d'automobiles, d'assurances, de dentifrices, de repas "comme le pékin l'aime", de lieux de vacances...
Ils n'informent plus seulement, ils fournissent d'abord les moyens de vente à des publicitaires.
Ce qui change énormément leur motivation.

Je sais aussi dans mon ignorance distinguer un journaliste d'un commentateur, d'un reporter, d'un grand reporter (pourquoi grand ? il y a des moyens et des petits ?), d'un commentateur, d'un philosophe... mais classe tout ce monde dans une et même corporation, celle des médias, et c'était de corporation dont je parlais. Je parlais aussi des réseaux sociaux Facebook et autres Twitter à la disposition d'anonymes qui n'hésitent pas à mettre en danger la vie des familles de nos policiers et pas que, comme la décapitation de Samuel Paty le prouve.

Bien sûr que les journalistes ont le droit de photographier !
Nous avons tous le droit de photographier, pas qu'eux !
C'est de l'utilisation des photographies avec les moyens de diffusion d'aujourd'hui dont il s'agit.

J'appartiens comme beaucoup d'autres aux pékins qui coupent la France en deux : les Bavards et les Bosseurs.
Ces termes sont issus de l'IESF et de ses 1 200 000 membres.
Il est inutile je présume de vous souligner qui sont les Bavards !

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