Le président de la République a délivré un long message sur Facebook où il faisait part de sa "honte" face aux images "insupportables" de la brutalité durable et raciste dont Michel Zecler, un producteur noir, a été la victime à l'intérieur du studio comme à l'extérieur de la part de trois fonctionnaires de police, un quatrième jetant une bombe lacrymogène.
Pourquoi ces vidéos ont-elles indigné bien au-delà du cercle des opposants compulsifs de la police quoi qu'elle fasse, des idéologues aspirant à ce qu'elle seule soit livrée pieds et poings liés à ceux voulant "bouffer du flic" ?
Parce que ce déchaînement de violence, apparemment, a surgi comme une malfaisance inspirée par rien d'autre que le besoin de libérer une agressivité folle à l'encontre de cet homme traité de "sale nègre".
Parce que ce dernier, contrairement à tant de polémiques imputant à la police les comportements non civiques de ceux la fuyant ou se battant avec elle, n'a pas semblé être impliqué dans cette longue fureur policière.
Cet unanimisme mêlant président, ministres, élus, droite et gauche, journalistes, célébrités, footballeurs, humanistes patentés et compassionnels conjoncturels, pourrait réjouir alors que tout démontre que notre démocratie est rien moins qu'unie. Pourquoi cependant, face à un tel maelström, est-ce que je me sens un peu gêné, comme si c'était trop ?
Ces dernières semaines, tant de choses nous ont sollicités qui sur les plans sanitaire, de l'ordre, de la sécurité et de la police ne brillaient pas par la cohérence et la limpidité qu'on a le droit de réfléchir au-delà de cet odieux épisode.
La gestion totalement erratique d'un article 24 pourtant nécessaire pour protéger la police, notamment dans sa sphère privée, a constitué cet article comme un repoussoir instrumentalisé par les journalistes avant que le Premier ministre ajoute à la confusion par ses fluctuations.
Si le président de la République a semblé transmettre récemment des dates susceptibles de nous rassurer sur l'existence d'un dessein gouvernemental, il n'empêche que tous les exclus de novembre et de décembre, rejetés jusqu'en janvier, sont dans un état de désespérance et de colère où l'incompréhension le dispute à un sentiment puissant d'injustice. Il apparaît qu'il y aurait un "sanitaire" deux poids deux mesures et qu'on peut craindre que notre société déjà largement éprouvée s'enfonce l'année prochaine dans un gouffre tragiquement mesurable.
Sur la police elle-même, on est heureux d'apprendre que le préfet de police a demandé à ses troupes de respecter "une ligne républicaine". Je suis persuadé qu'il ne s'oublie pas dans cet avertissement.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin devient une cible commode. Il est vrai que lui-même mène une politique qui ne plaît pas à ce qu'il y a de gauche dans LREM et le fait de telle manière en mêlant, ces derniers jours, juste rigueur et démagogie précipitée qu'il peut faire douter de la constance et de la sincérité de son projet. Il donne trop l'impression d'avoir des embardées contradictoires plus qu'une plénitude digne de ce nom.
Mais à tout seigneur tout honneur. Le président de la République n'a pas seulement eu "honte". Il a affirmé qu'il "croyait en la République exemplaire et en une police exemplaire" et qu'il attendait rapidement qu'on lui soumette des mesures pour lutter contre les discriminations dans la police. Incitant à ne jamais succomber à la violence, d'où qu'elle vienne, il ne risquait pas, avec ces nobles banalités, d'être contredit. L'action est malaisée : le verbe généreux compense et console.
Le terme "croire" est signifiant. Il manifeste comme l'exigence ne relève pas de la volonté mais du souhait.
Pour cette République exemplaire, serait-ce enfin l'irruption bienfaisante d'un nouveau monde de l'éthique quand depuis 2017 l'ancien a dominé ?
Pour cette police exemplaire, il convient surtout de ne pas tirer de la brutalité inouïe que Michel Zecler a subie, des conclusions qui globaliseraient.
Mais qu'on me permette de ne pas tomber dans une absurde stupéfaction révélant à la fois une méconnaissance de la réalité et une naïveté face à la difficulté des missions policières. Dans la mesure où j'ai toujours soutenu que l'usage de la force légitime par la police était conforme à l'esprit républicain, je n'ai jamais minimisé les rares violences illégitimes que certains fonctionnaires pouvaient commettre, de sorte que je ne suis pas surpris, mais tétanisé par leur caractère délibéré.
Je n'oublie pas non plus que pendant qu'on compatissait avec ce producteur, d'autres policiers, au quotidien, étaient victimes de scandaleuses résistances, de graves atteintes et que par exemple dans le même trait de temps une quinzaine de voyous, en Seine-et-Marne, s'en prenaient à des fonctionnaires attirés dans un guet-apens.
Je ne rappelle pas ces évidences pour faire preuve de mauvaise foi mais pour mettre sur un plateau de la balance l'intolérable d'agressions ponctuelles comme celle à l'égard de Michel Zecler, et sur l'autre les mille offenses verbales et physiques causées à des policiers dans l'accomplissement de leur mission.
Il me semble que ma démarche n'est pas inutile alors qu'une foule impressionnante défile à Paris le 28 novembre, mais contre les seules violences policières et la loi "sécurité globale" qui n'avait rien de liberticide.
En même temps, dans cet étrange climat où le pouvoir semble même dépassé par le cours d'événements qu'il a pourtant initiés, la cote du président monte, celle de plusieurs ministres, comme si le pays ne se sentait pas vraiment concerné dans ses profondeurs par l'écume des anecdotes politiciennes mais jugeait passable, voire en progrès l'action du gouvernement.
Mais de grâce, que le président économise sa honte et économisons la nôtre avec lui ! On a pu déjà en dépenser beaucoup depuis 2017 et il y aura, dans notre avenir agité, mille opportunités d'indignation, de mépris, de révolte : il faudra qu'il nous en reste encore.
Car un pouvoir jamais assez exemplaire, une police jamais assez exemplaire et des citoyens jamais assez républicains !
@ caroff | 02 décembre 2020 à 13:39
« Merci Mme Michu !! »
Entre nous, vous auriez pu vous épargner ce genre de petit tacle perfide généralement utilisé par ceux qui n’ont plus rien d’intelligent à apporter dans leurs arguments et n'ont pour se défausser qu'un humour de balourd.
Je vous laisse donc à vos sondages d’OpinionWay qui suffisent à vous convaincre. Je crois que l’on s’est tout dit.
Rédigé par : Achille | 03 décembre 2020 à 07:15
J'oubliais un autre fait-divers. Celui au cours duquel deux policiers en voiture se sont fait tirer dessus par trois malfaiteurs à pied, qui leur avaient subtilisé leurs armes après les avoir roués de coups à terre. La machine médiatique va tellement vite, qu'on en oublie de faire les comparaisons qui s'imposent.
Voilà un troisième incident, avec l'agression de Michel Zecler et l'arrestation mouvementée que je mentionnais tout à l'heure, montrant à l'évidence qu'il y a un problème de fond dans la police française : un problème de recrutement, de formation et de direction.
Il ne s'agit pas seulement de bavures individuelles, et d'ailleurs, dans deux des trois cas cités, ce sont les policiers qui ont été les victimes.
Que le métier de policier soit "difficile", ce n'est pas la question. Quand des policiers se font tirer dessus, rouler dessus par des voitures, écrabouiller sous des frigos jetés du haut des immeubles, c'est la routine. C'est normal. C'est précisément pour lutter contre ça qu'on a besoin de policiers.
Ce qui ne va pas, c'est lorsqu'il y a faute. Et dans les trois cas précités, il y a eu faute grossière, impardonnable. C'est à dire que la conséquence funeste, que ce soit les policiers ou les justiciables qui en aient pâti, aurait pu, et dû, être évitée.
Ce ne sont que trois exemples, mais s'ils existent, c'est qu'il y en a évidemment des milliers d'autres que nous ignorons.
Tenez, un autre cas scandaleux qui vient d'être révélé : une non-bavure qui n'a pas fait de blessés, mais qui est passée à deux doigts du meurtre.
On est aussi passé à deux doigts de ne jamais la connaître. Elle remonte au 30 avril 2019. Mediapart vient seulement de la révéler.
Un équipage de la brigade anti-criminalité entend, sur sa radio de bord, un appel de Police-secours concernant un vol de sac à main à Paris.
Dans le Bois de Boulogne, trois voitures de police bloquent un véhicule où se trouvaient les délinquants présumés -- à ceci près qu'il s'est avéré, après les faits, que les occupants n'avaient rien à voir avec ce vol.
Huit agents sortent de trois voitures de police, et mettent les occupants en joue avec leurs armes. L'un d'entre eux tire, sans sommation, en direction de la tête du conducteur. Deux fois.
Miraculeusement, personne n'est blessé. Les balles sont passées à quelques centimètres de la tête du conducteur.
Contrairement aux règles, les policiers n'avaient ni gyrophare, ni brassard.
Pendant un an et demi, le conducteur a été accusé de violences contre les policiers (comme d'habitude, a-t-on envie d'ajouter). Il vient seulement d'être relaxé.
L'agent qui a tiré était toujours, hier, en possession de son arme.
Comme dans l'agression de Michel Zecler, les faits ont été établis grâce à la vidéo-surveillance. A ceci près que, dans ce cas, il s'agissait des caméras de la voie publique.
Comme dans le cas de Michel Zecler, le conducteur (et certains des passagers) avaient "une couleur de peau", comme dit l'article.
Allez, encore une petite pour la route. Encore un fait-divers qui n'a suscité aucun barouf médiatique. Un policier en tue un autre (une femme) d'une balle dans la tête.
Pas au cours d'une intervention qui aurait mal tourné. Non : au siège de la police judiciaire à Paris. Terrorisme ? crime passionnel ? coup de folie ? pas du tout.
Deux policiers jouaient à dégainer leur arme et à se viser mutuellement. Le truc que le moindre redneck semi-débile, aux États-Unis, sait qu'il ne faut jamais faire, sous aucun prétexte, même avec des armes déchargées.
L'une des armes était chargée. C'était celle d'un adjoint de sécurité. Il a tiré.
Commentaire d'un responsable policier : "c’est un drame stupide qui vient de détruire deux vies". Ce n'est pas un drame stupide. C'est une faute lourde due à la hiérarchie qui a permis cette situation. Quel gradé de la police a-t-il été révoqué suite à cet homicide ? Ne répondez pas tous en même temps, merci.
Ne me dites pas qu'il n'y a pas un problème. Ce n'est pas un problème d'individus. Ce n'est pas "une minuscule minorité de brebis galeuses comme il y en a dans toutes les professions".
C'est un problème de fond, qui touche toute la police du sol au plafond. Et dont, par conséquent, les grands chefs à plumes sont les premiers responsables. Par définition.
Il est absurde de se mettre sur la figure, à ce sujet, par blog interposé, entre "pro-police" et "anti-police". Ce n'est pas la question. Comme le montrent ces exemples, cette incurie insupportable fait des victimes chez les policiers comme chez les civils.
D'autant que personne ne peut se dire défenseur de la police sans se scandaliser d'une telle situation.
La question n'est pas de savoir si l'on peut se satisfaire ou non de cet état de choses. La question est de savoir comment y remédier.
Et non, ce n'est pas uniquement, ni même avant tout, une question de "moyens".
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 décembre 2020 à 00:41
@ Achille 8h41
"Rassurez-vous, j’ai bien remarqué que certains, sur ce blog, ne partageaient pas mon opinion. Ceci étant, leurs arguments sont tellement simplistes qu’ils ne sauraient me convaincre que j’ai tort."
L'inverse est également vrai et par ailleurs ce n'est pas sur un blog que je vais changer mon opinion sur la marche du monde...
"Quant à l’institut OpinionWay, il s’évertue laborieusement à sortir les sondages les plus défavorables sur Emmanuel Macron. Je le soupçonne d’avoir un panel un petit peu trop orienté pour être véritablement crédible."
Point du tout, vérifiez sur leur site qu'ils travaillent pour de multiples commanditaires. Votre assertion confirme ce que j'ai dit: vous n'aimez pas que les chiffres ne vérifient pas ce que vous pensez !
"Si vous voulez des chiffres je peux vous en sortir. Le problème est qu’ils évoluent en permanence au gré des événements qui font l’actualité et la plupart sont invérifiables. Donc je n’en vois pas bien l’utilité."
Merci Mme Michu !!
Rédigé par : caroff | 02 décembre 2020 à 13:39
@ caroff | 01 décembre 2020 à 17:39
« C'est amusant votre façon de vouloir faire tout correspondre à votre opinion. N'avez-vous pas remarqué que certains, y compris sur ce blog, ne partagent pas vos prises de position sans beaucoup de nuances et surtout sans chiffres ? »
Rassurez-vous, j’ai bien remarqué que certains, sur ce blog, ne partageaient pas mon opinion. Ceci étant, leurs arguments sont tellement simplistes qu’ils ne sauraient me convaincre que j’ai tort.
Quant à l’institut OpinionWay, il s’évertue laborieusement à sortir les sondages les plus défavorables sur Emmanuel Macron. Je le soupçonne d’avoir un panel un petit peu trop orienté pour être véritablement crédible.
Si vous voulez des chiffres je peux vous en sortir. Le problème est qu’ils évoluent en permanence au gré des événements qui font l’actualité et la plupart sont invérifiables. Donc je n’en vois pas bien l’utilité.
Les seuls chiffres qui comptent sont ceux qui seront donnés au second tour de l'élection présidentielle et vous nous avez déjà donné la réponse. :)
Rédigé par : Achille | 02 décembre 2020 à 08:41
@ Tomas | 01 décembre 2020 à 19:53
"Encore une fois, 98 policiers blessés, ce sont aux deux tiers de simples égratignures."
Affirmation gratuite : sur quels faits avérés et prouvés repose-t-elle ?
"…et une ou deux centaines de trublions radicalisés…"
Vous persévérez à taxer de trublions radicalisés ces individus, qui ne sont que des casseurs violents. L’emploi de ce vocable n’est pas innocent, car il ne vise qu’à minimiser la nature de ces personnes. D’ailleurs vous tentez avant et après ce qualificatif de justifier ces violences, et ceux qui les commettent..
Rédigé par : Trekker | 02 décembre 2020 à 01:28
@ Jean sans Terre | 01 décembre 2020 à 19:19
Vous omettez un minuscule détail : les policiers n'avaient pas le droit de se trouver là où ils se trouvaient. Partant, tout votre raisonnement à base de "local exigu" s'effondre.
De toute façon, auraient-ils eu le droit de pénétrer de force dans un local professionnel privé, pour dresser une prune au motif de non-port de masque (sentez-vous déjà le truc qui coince ?), qu'il aurait été profondément stupide de le faire, précisément en raison de l'exiguïté du local. Alliée à l'énormité du client.
Rien que cela signe la nature de Rantanplan des gaziers en question.
Cette opération m'en rappelle une autre, non illégale, celle-là, et qui n'a fait aucun bruit particulier. Elle s'est cependant soldée par des blessures pour le policier fautif, autant que je me souvienne, et aurait pu avoir des conséquences beaucoup plus dramatiques.
Des policiers poursuivaient d'authentiques malfaiteurs, cette fois-ci. Ces derniers étaient en voiture. A un moment donné, le véhicule s'arrête, et un policier s'approche. La portière est ouverte, j'ignore par qui.
Le policier se penche à l'intérieur de la voiture pour en extraire le conducteur. Mais celui-ci démarre, et se met à traîner le policier qui s'accroche à la voiture !
Comment peut-on être aussi stupide ? Je vous garantis que jamais un policier américain n'aurait commis un acte aussi risqué pour lui-même : aux Etats-Unis, une voiture arrêtée pour un contrôle est présumée être un objet extrêmement dangereux, dont on ne s'approche qu'avec les plus grandes précautions.
Cela nous renvoie aux carences du recrutement et de la formation auxquelles je faisais allusion.
Ou alors, vous pouvez vous référer au sketch de Coluche, qui semble toujours d'actualité.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 02 décembre 2020 à 00:21
@ Savonarole | 01 décembre 2020 à 15:49
"C’est plutôt ce blog qui est devenu lugubre, grâce à deux pisseurs de copies assommants et qui de surcroît se sont arrogés la mission messianique de corriger les copies des autres."
Vos pisseurs de copie, ce sont Marchenoir et Preud'homme n'est-ce pas ? Car pour le volume des commentaires, je ne leur arrive pas à la cheville (trois pattes de mouche et quinze points de suspension, vous exagérez, il n'y en a que trois... la preuve !).
"Votre combat héroïque contre Breizmabro a clapoté dans l’indifférence générale, sans elle vous n’avez plus rien à dire et vos « élèves », qui à vous lire, dévorent ce blog, doivent avoir une piètre idée de vous. Trois pattes de mouche et quinze points de suspension, kolossale finesse."
C'est faiblard, très faiblard, ça sent bon le dépit.
Mon diagnostic était le bon : vous avez mangé des moules pas fraîches, c'est couillon... (trois points de suspension et pas quinze).
Prenez un suppositoire, c'est radical contre le dépit et les moules.
Rédigé par : Deviro | 01 décembre 2020 à 21:29
@ Tipaza | 01 décembre 2020 à 16:24
« Si les abstentionnistes sont trop nombreux, alors ceux qui iront voter feront l'élection, contre la majorité silencieuse qui se sera abstenue. »
Les dernières élections municipales qui ont permis à des écologistes complètement déjantés de devenir maires de grandes villes comme Lyon, Bordeaux, Grenoble, mais aussi d’imposer leurs exigences à la Mairie de Paris, doivent être un signal d’alarme pour les citoyens qui ont tendance à ne pas se rendre aux urnes lors des échéances électorales, en particulier, l’élection présidentielle et les élections législatives qui déterminent la politique du pays pour cinq ans.
C’est un problème de pédagogie. Il faut inciter les citoyens à se déplacer aux urnes à chaque élection, comme cela est fait actuellement par spots sur les gestes barrières.
Rédigé par : Achille | 01 décembre 2020 à 21:02
@ Ali hocha | 01 décembre 2020 à 08:26
"La conversion marchenoirienne."
Il n'y a aucune conversion. Ce que j'ai dit ici, je l'ai toujours dit. C'est cela que vous avez du mal à comprendre.
En revanche, je fais mienne votre conclusion, moins littéraire que d'habitude, mais plus pittoresque : "Ci pas fassil', ci di bolo, boco, boco d'bolo !"
______
@ caroff | 01 décembre 2020 à 09:51
Merci. Cependant, ma "flèche contre Valeurs Actuelles", je la maintiens. Je suis atterré par le niveau de ce journal (que je lis en version électronique).
Il y a une désinvolture envers la vérité qui est consternante, une confusion entre les opinions et les faits qui va encore plus loin qu'il n'est d'usage dans les médias français, et une complaisance appuyée pour les faussaires autoritaristes : Raoult, Poutine et Trump.
Tenez, regardez ce consternant machin du directeur délégué de la rédaction, Cyril de Beketch. Fils de Serge, le co-fondateur de Radio Courtoisie, il est maquettiste à l'origine, et ne semble pas avoir progressé beaucoup depuis.
Style abominable et fond pervers : cette supposée critique de la vidéo complotiste Hold-up, consacrée au Covid-19, prétend ne pas approuver l'objet tout en en faisant, en réalité, l'éloge. Figure habituelle des complotistes : je le dis mais je l'ai pas dit, Poutine-n'est-pas-un-ange-mais, je n'approuve pas nécessairement mais je reste ouvert aux points de vue différents, etc.
Un chef-d'œuvre d'hypocrisie et de promotion de la bêtise.
______
@ Henri Gibaud | 01 décembre 2020 à 11:09
Si votre métaphore a le mérite d'une plus grande précision, au prix d'une crudité sans doute excessive, je préfère la mienne, sans vouloir vous vexer. J'ai tenté de la faire bon enfant et de m'en tenir à une gauloiserie tolérable.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 01 décembre 2020 à 20:46
@ stephane | 01 décembre 2020 à 15:10
Vous auriez dû noter que lorsque j'interviens sur le sujet c'est toujours en réaction à des propos malveillants, faux, partiaux ou diffamatoires sur la police, provenant d'individus sectaires qui haïssent cette institution en général comme d'autres haïssent les Noirs en général, les Arabes, les Juifs, les curés, les homos etc.
Je ne défends donc pas la police mais je rétablis parfois des faits, afin de ne pas laisser des informations fausses, méchantes et humiliantes circuler impunément sur ce blog. Je le fais toujours en connaissance de cause, après avoir vérifié mes informations ou m'être renseignée auprès d'un professionnel sur le sujet.
J'ajoute que les policiers (commissaires) et gendarmes (officiers) qui figurent parmi mes proches sont des personnes dotées de grandes qualités humaines, ne ménageant ni leur temps ni leurs efforts pour exercer un métier de plus en plus difficile, dangereux et souvent si mal reconnu.
Voilà, voilà !
Quant à moi, j'ai beau avoir du courage, de la ténacité et même parfois de la témérité, je sais que je n'aurais jamais eu le cran de supporter longtemps ce que beaucoup de ces hommes et femmes endurent jour après jour sans broncher. À part quelques dérapages comme ceux relatés ces derniers jours, hélas mis en scène avec un acharnement et un manque total d'objectivité afin de bien enfoncer des hommes auxquels on a peut-être trop demandé et qui ont craqué. Ou auxquels on demande n'importe quoi, comme vérifier des attestations ou s'assurer du port du masque, ce qui est très loin d'être le coeur de leur métier. Un boulot qui devrait revenir à des vigiles ou à des "miliciens" payés sur le budget des mairies ou des conseils régionaux.
Sur ce, je vais reprendre ma musique, ma seconde passion après ma famille.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 décembre 2020 à 20:14
@ Michel Deluré
Comme vous, j'évite d'émettre des jugements lorsque je n'ai pas de "critères objectifs" pour juger.
Il se trouve qu'en l'occurrence, j'en ai. Relisez mes posts sur la police, vous y trouverez toutes les informations utiles.
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@ Achille
Encore une fois, 98 policiers blessés, ce sont aux deux tiers de simples égratignures. À votre âge vous devriez connaître la pratique.
Je ne suis pas adepte de la violence et ne la cautionne pas en l'espèce (il y a malheureusement des fois où c'est nécessaire, demandez à ceux qui ont conquis la liberté, les congés payés et la sécurité sociale dont vous profitez), mais on ne peut mettre dans le même sac plusieurs centaines de milliers de manifestants pacifiques et une ou deux centaines de trublions radicalisés. Quant il y a manifestation c'est qu'il y a conflit, et les conflits sans violence sont malheureusement exceptionnels. Si vous aimez l'ordre permanent, vous étiez fait pour la Biélorussie d'antan.
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@ Xavier NEBOUT
Vous n'avez pas tort, il y a un lien, même ténu, entre les black blocs et la masse. Mais que voulez-vous, dans ce pays, il faut casser pour se faire entendre, ce que je regrette, croyez-le bien. Mais sans coups de fourche, on en serait encore à cette monarchie absolue dont vous rêvez, et qui ne nous laisserait à vous et à moi qu'une poignée de fèves à chaque repas. Je ne suis d'ailleurs écologie oblige pas forcément contre mais alors, que tout le monde soit logé à la même enseigne !
Rédigé par : Tomas | 01 décembre 2020 à 19:53
@ Savonarole | 01 décembre 2020 à 15:49
Merci.
Rédigé par : stephane | 01 décembre 2020 à 19:34
Je suis assez étonné par les commentaires que je lis et l'unanimité presque générale dans la condamnation des policiers impliqués. Je vois un homme résister vivement à un contrôle de police. Il ne paraît pas violent. Néanmoins, il se débat. Les images sont assez confuses. Il n'apparaît pas évident que le témoignage des policiers fût mensonger. Il n'apparaît pas non plus que les policiers fussent aussitôt violents mais plutôt que leur violence fût progressive et la conséquence de la résistance prolongée de l'homme. L'exiguïté du lieu, la résistance de l'homme, le risque de survenue d'autres hommes venant défendre l'homme et déséquilibrer le rapport de forces ont obligé les policiers à faire plus usage de la force jusqu'à une supposée disproportion.
Je dis que jamais la situation n'aurait dégénéré si l'homme n'avait pas résisté au contrôle de police. Il m'apparaît dès lors que c'est la résistance de l'homme qui est cause de cet accroissement de violence rendue inévitable par son acte de rébellion. Si à la place, il avait simplement consenti à se faire contrôler, rien de tout cela ne serait arrivé.
Je dis encore que les forces de police n'ont pas fait un usage immodéré de la force, que passé un certain niveau de violence résultant de la résistance de l'homme à l'autorité et à cause du risque grandissant à l'encontre des policiers, ils ont été mis dans la nécessité de faire un usage plus fort de la force, que cet usage était impossible à maîtriser intégralement car la nature du risque était inconnue mais pourtant énormément menaçante. J'en conclus provisoirement qu'il n'y a pas eu mise à tabac mais contrôle qui a dégénéré en raison de la résistance de l'homme.
À tous les contempteurs des forces de police, je dis qu'à émasculer complètement les agents des forces de l'ordre, vous légitimez la violence qui se répand dans la société, vous légitimez les violences urbaines de samedi quand il eut fallu les réprimer avec la plus féroce ardeur. On ne fait pas une omelette sans casser d'œufs. On ne garantit pas l'ordre public sans taper sur les malfrats.
Quant à la position du président et du ministre de l'intérieur, elle est lâche et politique. Laissons l'IGPN puis la Justice éclaircir complètement les faits puis agissons en conséquence. En attendant, leur intervention est trop hâtive pour être judicieuse. Elle n'est que de basse politique et peut-être sans aucun accord avec la réalité des faits.
Rédigé par : Jean sans Terre | 01 décembre 2020 à 19:19
GORILLE ET GUENON
Sur ce blog où l'on peut lire des textes remarquables de Philippe Bilger, l'un d'entre nous parle de "gorille black". De qui s'agit-il, à l'en croire ? Du malheureux producteur de musique qui ne portait pas de masque, et, qui, pour cette raison, a été interpellé par trois policiers français dans l'entrée de son lieu de travail, puis tabassé pendant de longues minutes. Sûrs d'agir dans l'impunité, ils n'imaginaient pas être filmés et avaient rédigé un texte, dans un cadre professionnel, qui visait à transformer un innocent en coupable. On connaît la suite.
Le « gorille » de ce monsieur me rappelle le terme « guenon » employé, il y a quelques années, par une élue lepeniste pour désigner une ministre de la Justice.
À mon humble avis, ces mots-là ne devraient être acceptés sur aucun blog, même si l'on dit être favorable à la liberté d'expression. Ces choses-là se font, hélas, au pays qui autorise le Klu Klux Klan. Mais nous sommes en France.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 01 décembre 2020 à 18:58
@ Mary Preud'homme | 01 décembre 2020 à 14:49
"Vous devriez vous renseigner avant de venir déverser ici vos sarcasmes : dans plusieurs administrations, les fonctionnaires ont aussi des grades et des tenues d'uniforme : pompiers professionnels, douaniers, forestiers, etc."
Et encore une bonne occasion de vous taire de perdue !
En dehors des CRS, et encore avec modération (refus de service, compagnies complètes en congé maladie pour cause de chambres d'hôtel de surface non syndicale...), la discipline n'est notoirement pas la vertu principale de la PN.
Les pompiers sont les descendants de la garde nationale existant jusqu'au Second Empire, d'où les appellations et insignes de grade traditionnels chez eux.
Les douaniers et les forestiers, qui ont d'ailleurs des appellations spécifiques, ont, du Premier Empire jusqu'à la Seconde Guerre mondiale incluse, formé des unités combattantes en cas de guerre, ce qui justifie historiquement le port d'insignes de grade similaires à ceux des armées.
À propos de pseudo-administrations en uniforme, les contrôleurs de la SNCF ou de la RATP et les agents de sécurité desdites, qui ont aussi des pouvoirs de constatation des infractions, n'éprouvent pas pour autant le besoin de se faire appeler major, capitaine ou commandant.
Rédigé par : revnonausujai | 01 décembre 2020 à 17:50
@ Achille
"Quant à votre article, il relève de la politique-fiction série B, quand bien même il émanerait du Figaro."
C'est amusant votre façon de vouloir faire tout correspondre à votre opinion. N'avez-vous pas remarqué que certains, y compris sur ce blog, ne partagent pas vos prises de position sans beaucoup de nuances et surtout sans chiffres ?
Il s'agit d'un sondage de l’institut OpinionWay, pour l’indicateur de protestation électorale Fondapol-Le Figaro, ni plus ni moins sérieux qu'un autre, publié le 25 octobre dernier.
Cependant, soyez rassuré, votre champion sera vraisemblablement au deuxième tour, mais ce sondage annonce une probable forte abstention si le choix de 2022 est aussi misérable que celui de 2017.
Rédigé par : caroff | 01 décembre 2020 à 17:39
@ Achille | 01 décembre 2020 à 14:55
Le vrai problème n'est pas ce qui se passe dans l'isoloir, mais le différentiel entre ceux qui iront dans l'isoloir et ceux qui n'iront pas.
Si les abstentionnistes sont trop nombreux, alors ceux qui iront voter feront l'élection, contre la majorité silencieuse qui se sera abstenue.
On vient d'en voir un bel exemple à Bordeaux et Lyon, où les écolos ont été élus à la mairie avec un nombre de voix, par rapport aux inscrits, stupéfiant et carrément indécent.
C'est aussi le cas de l'élection de Macron, dont la légalité est totale, mais la légitimité bien moindre.
Rédigé par : Tipaza | 01 décembre 2020 à 16:24
@ Deviro | 01 décembre 2020 à 13:37
C’est plutôt ce blog qui est devenu lugubre, grâce à deux pisseurs de copies assommants et qui de surcroît se sont arrogés la mission messianique de corriger les copies des autres.
Vous me voyez assez satisfait de ne plus vous amuser, j’ignorais que vous aviez de l’humour.
Votre combat héroïque contre Breizmabro a clapoté dans l’indifférence générale, sans elle vous n’avez plus rien à dire et vos « élèves », qui à vous lire, dévorent ce blog, doivent avoir une piètre idée de vous. Trois pattes de mouche et quinze points de suspension, kolossale finesse.
Rédigé par : Savonarole | 01 décembre 2020 à 15:49
@ Mary Preud'homme
Alors j'ai mal lu ; pourtant je trouvais honorable et même souhaitable de défendre la police, et je vous défendais entre autres pour cela. J'ai bien dit la police, pas ces 4 policiers. Ces 4 policiers qui se sont fait avoir comme des bleus tel DSK au Sofitel de New York, ont le droit d'être défendus, mais hélas pour eux le procès-verbal ne semble pas correspondre aux images de la VAR. Ça sent la commission sénatoriale avec Philippe Bas et la convocation du préfet. Lui ferait un bon candidat 2022.
Rédigé par : stephane | 01 décembre 2020 à 15:10
Si la honte pouvait se quantifier en tonnes, je dirais que celui qui en diffuse le plus, pour le pays et sur les Français - il se reconnaîtra - éprouve lui-même de la honte. C'est plutôt curieux. Bien entendu, le fait que cette énième bavure policière implique une victime noire va exacerber ce sentiment de honte chez celui qui, tout comme son prédécesseur, aura clairement marqué sa préférence compassionnelle pour les victimes, en fonction de la couleur de leur peau. Belle mentalité pour cet apôtre du non-racisme. Aucune honte, aucune gêne jamais exprimée aux victimes blanches de tout poil, de la police ou des racailles. Jamais ! "White Lives matter" il ne connaît pas, ce dégénéré. Pauvres Français, comme je vous plains !
Rédigé par : GERARD R. | 01 décembre 2020 à 15:09
@ caroff | 01 décembre 2020 à 14:03
« Vous n'avez jamais manifesté de votre vie j'imagine ! »
Si mais il y a longtemps. J’étais syndiqué CFDT. Mais de mon temps, les manifs ne se terminaient pas en batailles rangées avec les FDO. On se retrouvait tous à la brasserie située en fin de parcours pour boire une bonne bière.
Manifestants de la Marche des Libertés et Gilets jaunes. Ce sont les mêmes, je vous dis : même dégaine, mêmes banderoles, même slogans débiles.
Quant à votre article, il relève de la politique-fiction série B, quand bien même il émanerait du Figaro.
« En vue de 2022, près de huit électeurs inscrits sur dix (79 %, + 2 points en un an) affirment envisager l’abstention, le vote blanc ou le vote antisystème - Le Pen, Mélenchon, Dupont-Aignan ou un candidat de la gauche révolutionnaire. ».
Complètement ridicule !
Qui peut croire une ânerie pareille ? Le problème avec ce genre de sondages, c’est qu’on peut leur faire dire n’importe quoi, à commencer ce qu’on veut faire croire aux lecteurs.
Croyez-vous sincèrement que les Français seront assez stupides pour laisser un Dupont-Aignan, un Mélenchon au pouvoir ? Concernant MLP ça se discute, mais là encore je pense que l’électeur seul dans l’isoloir, se dira au dernier moment « Bon faut pas non plus jouer au c*n ».
La majorité silencieuse ira voter. Elle représente bien plus que deux Français sur dix et ne laissera jamais à un parti populiste la possibilité de s’installer à l’Elysée.
Les Français sont râleurs, c'est un fait avéré depuis toujours, mais ils ne sont pas inconscients.
Rédigé par : Achille | 01 décembre 2020 à 14:55
@ revnonausujai | 01 décembre 2020 à 11:45
"Incidemment, cette histoire montre qu'il ne suffit pas de singer appellations et insignes de grades militaires pour acquérir discipline et sens de la primauté de la mission."
Vous devriez vous renseigner avant de venir déverser ici vos sarcasmes :
. Dans plusieurs administrations, les fonctionnaires ont aussi des grades et des tenues d'uniforme : pompiers professionnels, douaniers, forestiers, etc.
. Concernant les officiers de la police nationale (second corps), cette appellation résulte de la réunion des anciens corps des officiers de paix et des inspecteurs de police, à la suite de la réforme de 1995.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 décembre 2020 à 14:49
@ jack
Difficile de vous répondre sans être méchant. Je passe.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 01 décembre 2020 à 14:37
"Exemple, on m'a traité tout à fait injustement de raciste ou assimilé au nazisme, ici"
Rédigé par : Lodi | 01 décembre 2020 à 07:10
Et ça vous a contrarié ? Ben moi je suis hyperfier quand quelqu'un m'appelle raciste, nazi etc., surtout quand c'est un gauchiasse, ça prouve que je leur ai mis le doigt là où ça fait mal et les voir enrager, postillonner, hurler, ça me remplit de joie.
Souvent je rajoute : homophobe islamophobe, ce sont mes labels rouge appellation origine protégée.
Donc je récapitule : Blanc de souche, de droite ultra, catho, fasciste, hétéro, homophobe, islamophobe, s'il y en a d'autres n'hésitez pas je prends, j'aime collectionner les médailles et décorations.
Rédigé par : sylvain | 01 décembre 2020 à 14:12
@ Achille 10h01
"Quant à votre "l'autonomisation des porteurs de pancartes", ça ne veut rien dire, car si chacun commence à prêcher pour sa propre paroisse, c’est le début du grand foutoir. Les Français ne sauraient accepter ce genre de comportement et je pense qu’ils le feront savoir à l’élection présidentielle de 2022."
Vous n'avez jamais manifesté de votre vie j'imagine !
Dans ces manifestations, il y avait des gens sincèrement accablés par la rédaction de l'article 24, d'autres qui étaient surtout affligés par la façon dont le gouvernement ne maîtrise pas grand-chose en général et enfin des violents dont le but est la déstabilisation du "système".
"On en est toujours au niveau Gilets jaunes, normal puisque ce sont les mêmes..."
Qu'en savez-vous ? Rien...
On peut imaginer au contraire que ce sont des citoyens plus politisés que ceux que vous désignez et qui, à l'origine, s'indignaient de la hausse de la fiscalité sur les carburants !
Quant à la réaction des Français sur laquelle vous projetez la vôtre, il n'est pas sûr qu'elle exauce vos voeux !
Lisez cet article:
"En vue de 2022, près de huit électeurs inscrits sur dix (79%, + 2 points en un an) affirment envisager l’abstention, le vote blanc ou le vote antisystème - Le Pen, Mélenchon, Dupont-Aignan ou un candidat de la gauche révolutionnaire. Déjà très forte lors du premier tour de la présidentielle de 2017 (60,9 % des inscrits), cette «protestation électorale» traduit une «déconsolidation démocratique», analyse Dominique Reynié...
https://www.lefigaro.fr/politique/presidentielle-2022-tentes-par-la-protestation-les-francais-sont-en-demande-de-protection-20201025
Rédigé par : caroff | 01 décembre 2020 à 14:03
Quel nez, Achille, vous êtes un fin limier !
Non, trêve d'ironie, la ficelle si grosse est là pour, face aux censeurs sévères, ne pas trop se prendre au sérieux, rappelant notre rôle minuscule de commentateurs de blog.
Rédigé par : Allie, hoche : ah ! | 01 décembre 2020 à 13:59
@ stephane
Ceux qui ont lu mes différents commentaires auront noté que je ne défends pas la police, mais que j'ai simplement essayé de trouver des circonstances atténuantes à ces trois policiers jetés à la vindicte, y compris par leur ministre alors que l'on ne connaissait qu'une partie de l'affaire, celle véhiculée par les médias et qui les enfonçait sans rémission. Donnant ainsi l'impression que ces trois hommes, telles des brutes racistes assoiffées de vengeance se seraient acharnés et défoulés sans raison sur un pauvre type qui ne se débattait même pas.
Or la réalité est tout autre, ainsi que nous l'ont expliqué ces trois policiers, expérimentés, et jusqu'à présent bien notés par leur hiérarchie.
Je ne vais donc pas épiloguer et me répéter indéfiniment, même si un Marchenoir (pervers) me fait dire (une fois de plus) ce que je n'ai jamais écrit.
Non je ne cautionne pas la violence mais j'essaie de comprendre ce qui s'est passé, réaffirmant au passage que je n'ai jamais cru à la fable de ce producteur docile et doux comme un agneau qui se serait fait tabasser uniquement parce qu'il n'avait pas de masque !
Je ne puis croire enfin que lesdits policiers se soient blessés eux-mêmes tout en proférant en choeur des injures racistes...
Il me semble donc que, quelles que soient leurs fautes et leur perte de contrôle dans une situation inextricable, ils ne méritent pas la révocation.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 décembre 2020 à 13:49
@ Savonarole | 30 novembre 2020 à 21:41
Vous êtes moins marrant depuis quelque temps.
Je devine pourquoi et cela m'attriste: vous avez mangé des moules pas fraîches ?
Rédigé par : deviro | 01 décembre 2020 à 13:37
@ Denis Monod Broca
Ah bon ! les actes terroristes seraient donc le fait de Suédois par exemple ?
Rédigé par : jack | 01 décembre 2020 à 13:19
M. Zecler explique qu'il a des amis policiers, qu'il reste en contact avec eux et qu'il ne faut pas tout mélanger ; paroles de bon sens d'un citoyen qui a quand même pris une sacrée dégelée qui aurait pu l'aigrir.
Ça rend d'autant plus méprisable la curée médiatico- gauchiste qui voudrait faire de cette histoire lamentable une machine de guerre contre la police.
Au passage, les dernières déclarations de DardMalin sont stupéfiantes en ce qu'elles contiennent d'ignorance des structures et de l'organisation tant de la gendarmerie que de la police et d'amateurisme dans l'évaluation des situations.
Les personnels de carrière de gendarmerie sont soit officiers soit sous-officiers, elle ne manque donc pas de ces derniers dans ses rangs ; l'appellation "garde mobile" a été remplacée par "gendarmerie mobile" en 1954, il serait temps de mettre les fiches du cab à jour !
La police est une administration civile qui n'a pas de sous-officiers dans le corps d'exécution mais des gradés d'encadrement ; d'ailleurs sur les 4 clampins, un est brigadier (port de galons d'adjudant), le manque d'encadrement n'est donc pas en cause. Maintenant, s'il veut mettre un officier de police (capitaine ou lieutenant) par patrouille de trois, va falloir usiner une palanquée de galons en zinc !
Incidemment, cette histoire montre qu'il ne suffit pas de singer appellations et insignes de grades militaires pour acquérir discipline et sens de la primauté de la mission.
Rédigé par : revnonausujai | 01 décembre 2020 à 11:45
Entre nous vouloir s’en prendre à Michel Zecler qui a le gabarit de Teddy Riner à quelques centimètres et kilos près, c’était très présomptueux. Surtout pour le non port du masque et, nous dit-on, son sac qui sentait le cannabis…
Rédigé par : Achille | 01 décembre 2020 à 11:44
@ Tomas 30/11 19:39
Ce qui nous sépare, entre autres, c'est que je n'ai pas pour habitude de porter des jugements aussi tranchés que vous lorsque je ne possède pas de critères objectifs sur lesquels fonder mon jugement et que je me garde bien alors, dans ces circonstances, d'utiliser le superlatif dans mes propos pour qualifier ceux que visent mes critiques.
Rédigé par : Michel Deluré | 01 décembre 2020 à 11:19
@ Robert Marchenoir | 01 décembre 2020 à 08:49
Votre image "le rôle du petit garçon mal élevé qui fait un concours de quéquettes" fleure bon ses années 50 ou 60, mais déjà dans les années 70, avec la disparition temporaire de Charles Trenet, on osait de moins en moins, et puis le féminisme, puis le Coral, etc.
Laissez-moi vous proposer une transposition de cette métaphore pour qu'elle demeure aussi culottée que l'originelle. Et mille mercis par avance pour votre avis, approbateur ou non.
Voici : "le rôle de la petite fille transgenre qui harcèle les garçons genrés en sortant son clitoris mal coupé".
Rédigé par : Henri Gibaud | 01 décembre 2020 à 11:09
@ Tipaza
"Le même qui se plaint d'avoir été brimé, persécuté, martyrisé pour ses opinions dénonce les "opinions intolérables" des autres !"
Alors, même pas. Quand j'avais deux ans et demi, du temps de mes premières intoxications "suspectes", je n'avais pas vraiment d'opinions, tolérables ou pas. Je n'avais pas vraiment d'opinions tout court... Mais il est vrai qu'on m'en a prêté des opinions: ceux d'un polytox accroc au fluor. Vous voyez, la drogue, cela commence par une pastille de fluor pour se nettoyer les dents à deux ans et demi, et cela finit jusque dans la tombe comme dans Las Vegas Parano ! C'est bien connu. On appelle cela "la culture de mort", si j'ai bien compris...
La beauté de la persécution pour les opinions qu'on a, c'est justement qu'on n'en a pas besoin, d'opinions. On vous les prête. Puis on invente les faits, pour faire plus joli dans le tableau. Et on vous harcèle jusqu'à ce que vous acceptiez que vous ayez les opinions qu'on vous prête et pas les vôtres. Au final, il suffit juste de trouver qu'à un moment, too much c'est too much, et là, cela devient... vraiment une opinion ; intolérable !
Personnellement, je peux entendre à peu près tous les plus sombres délires. Ne vous gênez pas pour moi ! Le hic, c'est que, quand d'autres vont lire certains propos sur ce blog, cela ne va pas faire un pli: ces opinions publiées ici vont radicaliser les opinions anti-extrême drouâte et anti-flics. Ce n'est pas comme cela qu'on peut gérer l'action de la police par la société civile dans un pays civilisé. C'est en effet donner tous les arguments pour retirer tout pouvoir décisionnel à la populace et le concentrer dans les mains des technos tant honnis. Qui ont maintenant un boulevard pour argumenter, que, eux, ils font la part des choses et sont sages. Bref: vous sciez la branche sur laquelle vous vous êtes assis en endossant le costume du sectaire qui souhaite cogner de manière indiscriminée.
En un mot: on dessine le marquage au sol, on vous demande de vous y allonger et de faire le mort, et vous obéissez de votre plein gré. C'est pas beau ? On prend des photos ?
"C'est beau la liberté de penser... comme lui ?"
Non. Vous avez la liberté de penser comme bon vous semble. Et même, de mon point de vue, de vous exprimer avec des opinions que même moi je trouverais intolérable. C'est dire. Parlez-moi de vos éventuelles pulsions ou passages à l'acte zoophiles, ne vous gênez pas: j'ai déjà à peu près tout entendu. Ce serait du réchauffé, et je suis blindé.
Le petit détail, c'est que d'autres ont aussi le droit d'écouter et d'y réfléchir ; et que jusqu'à nouvel ordre, ils ont aussi le droit de penser comme ils veulent et de s'exprimer comme ils veulent. Et si vous souhaitez qu'ils s'expriment autrement - vu que je ne doute pas qu'il y ait des critiques sur ce blog sur l'expression d'autres personnes dans l'espace public à ce sujet - il serait peut-être de bon ton de faire en sorte que les propos qu'on lit sur ce billet soient mis sous le tapis. Ou plus simplement: que certains admettent qu'ils racontent n'importe quoi, qu'ils n'ont aucun respect pour la notion même de factualité, et qu'ils vont faire des efforts ! Promis ! Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer !
Ce sera alors plus facile pour moi de taper sur les idiots qui font passer la lutte contre l'extrême droite comme seul programme politique, la mesure phare en étant le musellement de la liberté d'expression. Je vous remercie d'avance du soutien que... je n'en doute pas... tous m'apporteront ici. Cela me permettra de pousser par la suite mon argumentaire augmentant la proportionnelle aux législatives et des réformes institutionnelles qui permettraient au RN, comme en Suisse à l'UDC, d'être inclus dans le champ politique d'une manière qui le rende à peu près raisonnable, coopératif dans ses bons jours et néanmoins tout aussi radical sur le fond. Mais honnête, car confronté à la réalité, et surtout pas seul aux manettes.
Mais pourquoi ai-je, au sujet d'un tel soutien, un doute, tout d'un coup ?
Parce qu'ici, c'est la France, que les Français parlent aux Français, et que c'est pas beau à voir...
Rédigé par : F68.10 | 01 décembre 2020 à 10:34
Il faut tout de même reconnaître que sur les vidéos, les flics n'y vont pas de main morte et qu'on a davantage l'habitude de voir cela dans l'Amérique de Trump.
Mais la police a ses défenseurs et c'est très bien.
Je ne pense pas que le producteur ait été tabassé du fait de sa couleur de peau et il eût été tout aussi ennuyeux qu'il ne le fût pas pour la seule raison qu'il aurait été blanc.
Ce genre de scénario rappelle l'affaire du cimetière de Carpentras où la classe politique était tombée dans le panneau et où ce furent des surenchères de moralité.
Robert Marchenoir et Mary Preud'homme vont finir par s'entendre. Ils me font penser à Signoret et Gabin dans "le Chat". Ils seront mignons quand ils se tiendront par la main et se feront des bisous dans le même EHPAD.
"Mary... Oui mon Robi... Tu te souviens comment on s'est rencontrés ? Oh oui mon Robi, Pascale et Philippe, tu en as eu des nouvelles ? Ils devraient venir mais Pascale doit d'abord passer à Dieppe car Patou n'a pas pu rentrer à la bibliothèque..."
Rédigé par : stephane | 01 décembre 2020 à 10:25
@ Ali hocha | 01 décembre 2020 à 08:26
« Et en conclusion en forme d'hommage à Maître Gibaud, malgré Achille sur son arbre perché, à dire avec l'accent marocain :
Ci pas fassil', ci di bolo, boco, boco d'bolo ! »
Aliocha, votre camouflage me fait penser à Zonzon qui excellait dans cet art du pseudo glissant et qui a disparu des écrans radar, du moins sous ce pseudo.
Je n’ai rien contre les pseudos, vu que j’en utilise un moi-même, mais le mien je ne l’ai jamais changé depuis tout le temps que je m’exprime sur ce blog. Simple question d’honnêteté vis-à-vis des autres intervenants.
Ceci étant je serais bien en peine d’avoir l’accent marocain, vu que je ne connais pas un mot de cette langue. Faudrait plutôt voir du côté de Mélenchon qui est né à Tanger.
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@ caroff | 01 décembre 2020 à 09:51
« C'est à portée de quelques clics et au niveau de n'importe quel manifestant de quelque bord qu'il soit. Je présume, comme vous, qu'il y a des "meneurs" dans ce genre de manifestations, mais il ne faut pas sous-estimer l'autonomisation des porteurs de pancartes ! »
Je n’ai jamais prétendu que les manifestants n’étaient pas capables d’aller chercher le nom des députés qui ont adopté la loi Sécurité globale avec son article 24, soi-disant litigieux.
Je dis que ces manifestants sont manipulés par ce que vous appelez des "meneurs" qui n’ont d’autre objectif que de semer le trouble dans la population au point d’inciter certains manifestants un peu demeurés à commettre des exactions qui pourraient parfois déboucher sur un drame.
Quant à votre "l'autonomisation des porteurs de pancartes", ça ne veut rien dire, car si chacun commence à prêcher pour sa propre paroisse, c’est le début du grand foutoir. Les Français ne sauraient accepter ce genre de comportement et je pense qu’ils le feront savoir à l’élection présidentielle de 2022.
Rédigé par : Achille | 01 décembre 2020 à 10:01
Heureusement que dans notre pays nous avons encore quelques poches de résistance, Zemmour, Valeurs actuelles. etc. à l’horreur islamogauchiste qui se répand et contamine les citoyens avec une propagande plus efficace qu’un coronavirus : l’islamovirus gauchiste.
Beaucoup, à gauche et surtout au gouvernement collabo, en sont atteints et semblent jouir des effets secondaires qui sapent leur boite crânienne censée abriter un cerveau destiné à une putréfaction inévitable.
Hier soir encore, une très belle analyse de Zemmour sur la gauche et ses extrêmes, ce cancer terrible qui répand insécurité, islamisme violent haineux, un néofascisme nazi qui a fait de la France un vaste coupe-gorge à ciel ouvert.
Rédigé par : sylvain | 01 décembre 2020 à 09:57
@ Achille 21h24
"« Ces informations sont disponibles sur le site de l'AN: faut-il les retirer ? »(caroff)
"Non car les manifestants n’iront jamais les chercher sur le site de l’AN.""
C'est à portée de quelques clics et au niveau de n'importe quel manifestant de quelque bord qu'il soit. Je présume, comme vous, qu'il y a des "meneurs" dans ce genre de manifestations, mais il ne faut pas sous-estimer l'autonomisation des porteurs de pancartes !
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@ Robert Marchenoir 8h49
À part votre flèche contre VA, je souscris entièrement à votre réponse-diatribe à ceux qui défendre les indéfendables salopards qui ont fait honte à la police. Je le dis d'autant plus volontiers que mon premier réflexe fut celui de Mary Preud’homme et consorts qui ont sorti la boîte à excuses pour tenter de dédouaner l'avalanche de coups.
Or seuls les faits sont têtus et ils sont accablants pour les shérifs du XVIIe !
Rédigé par : caroff | 01 décembre 2020 à 09:51
@ Mary Preud'homme | 30 novembre 2020 à 23:58
"Cette engeance de vipère de Marchenoir fait très fort..."
Ça y est. La mémé perd à nouveau les pédales. Insultes racistes caractérisées de la part de notre anti-raciste en carton (une engeance est une race), et puis ça repart dans les mensonges purs et simples, mais cette fois-ci sous forme d'attaques personnelles :
"...qui trouve normal qu'un policier se fasse insulter et caillasser par les voyous parce que ce serait son boulot..."
Je n'ai jamais dit une chose pareille. D'ailleurs, vos petits chéris n'ont pas été caillassés. On ne sait même pas s'ils ont été insultés.
Il est possible qu'ils l'aient été. Ils ne l'auraient pas volé. Si cela s'est effectivement produit, ce serait par les jeunes collègues de Zecler montés du sous-sol, attirés par le barouf fait par vos angelots en bleu, en train de massacrer leur patron dans le hall d'entrée.
En effet, je le dis, je le redis et je le redirai autant de fois que cela sera nécessaire pour pénétrer votre cervelle de vieille fasciste dégénérée : se faire insulter n'autorise pas un policier à frapper quelqu'un. Surtout si, comme cela est allégué ici, la personne frappée n'est pas l'insulteur !
En tout état de cause, vous nous montrerez le passage du Code de procédure pénale qui autorise les policiers à frapper les gens qui les insultent -- ou à les frapper tout court.
Si vous n'avez pas le sang-froid nécessaire pour vous faire insulter, sans, pour autant, vous mettre à cogner sur tout ce qui bouge, alors vous n'avez pas la compétence nécessaire pour être policier. Votre profil correspond précisément aux énergumènes dont on ne veut à aucun prix dans la police.
"...qui trouve normal que les femmes, parents ou enfants de policiers se fassent menacer ou doivent se cacher parce que c'est dans l'ordre des choses, dès lors qu'on a un père, mère, fils ou fille qui exerce ce métier dont on devrait avoir honte !"
Je n'ai absolument jamais dit une chose pareille. J'ai, à de nombreuses reprises, dit exactement le contraire.
Il n'y a pas le moindre rapport entre le phénomène que vous décrivez, et l'agression perpétrée par des policiers qui nous occupe actuellement.
Il est certain que si vos amis délinquants en bleu voulaient que leurs enfants n'aient pas honte d'eux, ils devraient commencer par ne pas se comporter comme ils l'ont fait dans le XVIIe arrondissement de Paris.
"Qui trouve normal qu'une racaille vous manque gravement de respect parce qu'il ne connaît pas les codes et ignore la politesse élémentaire."
Vous mentez comme un policier du XVIIe arrondissement.
Je n'ai jamais dit une chose pareille.
J'ai dit exactement le contraire à peu près un million de fois.
Michel Zecler n'est pas une racaille.
Il n'est plus question de politesse, dès lors que vous êtes entouré de quatre sauvages armés qui vous démolissent à coups de pieds et de poings.
Malgré cela, même vos voyous assermentés n'ont pas accusé Zecler de les avoir insultés. Peut-être pourriez-vous lire les articles dont vous vous réclamez... Mais savez-vous simplement lire ? Savez-vous faire autre chose que hurler, hurler, insulter les autres et mentir ?
"Et pour se rendre intéressant, ce triste sire de s'abriter prudemment concernant le sujet du jour derrière les propos de Jean-Michel Fauvergue qui fut certes un grand policier mais hélas rallié à LREM..."
Ah, voilà. Peu importe qui est cet homme, peu importe sa valeur, peu importe ce qu'il dit. Peu importe que l'imposteur Mary Preud'homme, qui prétend parler ici au nom de la police alors qu'elle passe son temps à la déshonorer, soit une particule de poussière au regard de Fauvergue.
Ce dernier "a rallié LREM", par conséquent rien de ses exploits au service des Français ne compte plus, rien de ce qu'il dit aujourd'hui, et qui réduit vos propos au rang d'éructations insensées, n'a de poids.
Vous êtes bien, ainsi que je le dénonçais tout à l'heure, la figure même du sectarisme imbécile, haineux et méprisant.
Heureusement que vous êtes "anti-raciste". Qu'est-ce que ce serait si vous étiez intolérante et bornée !
N'hésitez pas à nous expliquer quels articles de loi autorisent les policiers maintenant emprisonnés à se comporter ainsi qu'ils l'ont fait.
Malgré votre immense connaissance du métier des forces de l'ordre, il semble que vous n'ayez pas encore compris que les policiers sont censés respecter la loi.
"Et ne connaissant pas plus que vous ou moi les véritables circonstances de cette affaire en cours d'instruction."
Ben voyons. L'échappatoire classique des partisans de mauvaise foi, quand c'est leur camp qui se trouve en mauvaise posture.
On connaît très bien ces circonstances, on en connaît en tous cas suffisamment pour savoir que vos amis ont commis des fautes graves.
Vous ne nous avez toujours pas expliqué quelle partie des propos du procureur Rémy Heitz serait fausse.
Vous perdez tellement les pédales que vous en remettez une couche, et que vous m'insultez derechef... sur le mauvais fil, à côté (Trop de prophètes de malheur démocratique - 30 novembre 2020 à 22:14) :
"Admettre qu'une petite femme comme moi l'a devancé sur ce coup, vous imaginez l'affront ?"
Vous n'avez devancé personne. Cessez de vous avilir, en nous infligeant ce pénible spectacle de vous-même. Nous parlons de choses sérieuses, de questions politiques graves, et vous jouez le rôle du petit garçon mal élevé qui fait un concours de quéquettes.
Arrêtez un peu de dégoiser envers tout le monde, et allez vous faire soigner chez un psychiatre compétent.
______
@ Claude Luçon | 30 novembre 2020 à 23:32
"Relisez-vous ! Ou comprenez-vous ce que vous écrivez ? Des menaces de mort anodines ! Du genre de celles de Coulibaly ?"
Oui, moi, je comprends ce que j'écris. Vous, vous faites semblant de ne pas comprendre. Vous jouez au c...
Je ne parle pas de Coulibaly. Coulibaly n'est pas coupable de menaces de mort, il est coupable d'un massacre.
Je parle du mode d'expression qui est celui d'une grande partie des jeunes issus de l'immigration, et même des autochtones, désormais.
Comme je l'écrivais, "je vais te n... ta race, ta mère la p... et je vais te tuer" est l'équivalent, aujourd'hui, de "le fond de l'air est frais, vous ne trouvez pas, et comment va le petit dernier ?"
C'est comme ça que parlent les enfants dans les cours d'école, aujourd'hui. Ce ne sont pas des "menaces de mort".
Si vous êtes flic, et que vous éprouvez le besoin de frapper quiconque dit ce genre de chose, alors vous êtes mal barré.
"Il semble être redevenu jeune en insultant ces policiers."
Arrêtez de mentir. Même ces policiers marron, maintenant en prison pour mensonge, n'ont pas accusé Zecler de l'avoir insulté.
"De Valeurs actuelles : 'Arrestation de Michel Zecler : le producteur de rap aux antécédents judiciaires chargés transportait du cannabis'."
Valeurs Actuelles est un torchon innommable. S'il vous dit que Mozart faisait de la musique, ne le croyez pas : vérifiez.
On a retrouvé un demi-gramme de cannabis dans la sacoche de Zecler. Les flics ont prétendu qu'il sentait le cannabis alors qu'ils patrouillaient en voiture...
Quand vous êtes policier, vous n'avez pas le droit de frapper les gens parce qu'ils ont des antécédents judiciaires chargés, ce qui n'était d'ailleurs pas marqué sur la figure de l'intéressé. Ils étaient en patrouille anti-Covid, et ils l'ont abordé parce qu'il ne portait pas de masque.
"Le Parisien lui, dévoile de nouveaux détails : dans le studio de Michel Zecler, un sachet transparent contenant ce qui pourrait être de la résine de cannabis a été retrouvé le lendemain par les enquêteurs."
Non, ce n'est pas un nouveau détail. Ce sachet contenait un demi-gramme de cannabis. Des millions de Français, dont certainement de nombreux policiers, possèdent des quantités de cannabis beaucoup plus grandes pour leur propre usage.
Posséder du cannabis n'autorise pas la police à vous frapper. Dans quelle langue faut-il vous le dire ?
"Demandez-vous combien de temps vous résisteriez à vous faire insulter de la pire des façons avant de réagir ?"
Trente-cinq ans, environ, est le chiffre nécessaire pour un policier. Chacun son métier.
Pour ma part, je n'ai jamais démoli un Noir à coups de poings. Ni un Blanc, d'ailleurs. Vous pensez que je ne me suis jamais fait insulter, peut-être ? Ce n'est pas moi qui suis dans le box des accusés. Votre procédé rhétorique est éculé.
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@ Denis Monod-Broca | 30 novembre 2020 à 22:11
"La nuance et la mesure, décidément, vous ne connaissez pas."
Je les connais très bien, et je les pratique lorsqu'il le faut.
Mais il y a un temps pour tout. En l'occurrence, ce n'est pas la nuance qui est nécessaire. C'est la justice. Le symbole de la justice est le glaive.
Vous appartenez à cette race de gens qui se croient supérieurs aux autres parce qu'il refusent de trancher. La mollesse n'est pas une vertu.
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@ F68.10 | 30 novembre 2020 à 22:07
Je suis contre tous les politiquement corrects. Ceux du camp d'en face, et ceux du mien.
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@ Savonarole | 30 novembre 2020 à 21:41
"Et blabla, et blabla, et que je te décortique chaque phrase pour mieux te pendre, la jouissance suprême du pervers narcissique."
C'est vous qui êtes un pervers narcissique, jamais intéressé que par votre petit nombril, et par la diffamation d'autrui. Moi, je m'occupe des faits.
Et cela passe par décortiquer les phrases, en effet. C'est ce qui distingue l'homme de la bête -- ou des calomniateurs dans votre genre, qui passent leur temps à faire des phrases et à jeter leur venin dans le vide.
Cela s'appelle se livrer à l'exercice de la raison, et à la recherche de la vérité.
Sinon, quelque chose d'intelligent à dire sur la bavure du XVIIe arrondissement ? Non, c'est bien ce que je pensais.
Et lâche, en plus. Vous n'avez même pas le courage de nommer les gens que vous insultez.
Et dépourvu d'imagination, de surcroît. Combien de fois nous avez vous copié-collé ce même commentaire, exactement ?
Même faire des phrases, vous n'en êtes pas capable. Sous-dandy qui n'en a pas les moyens.
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@ stephane | 30 novembre 2020 à 21:26
"Vous faites un amalgame. En ce qui me concerne je montre ma satisfaction du soutien que Mary Preud'homme apporte à la police."
Mary Preud'homme ne soutient pas la police : elle l'enfonce.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 01 décembre 2020 à 08:49
Pendant des siècles, les Juifs furent accusés, injustement, sans raison, des pires crimes. C’est au tour des Musulmans de l’être, par beaucoup de gens en France et ailleurs, et c’est le cas sur ce blog.
Historiquement, culturellement, spirituellement, il y a bien des différences entre Juifs et Musulmans. Mais, quant à la tendance des foules à accuser, il n’y a pas de différence entre hier et aujourd’hui : il s’agit toujours de montrer du doigt des coupables, de se défouler en accusant. C’est injustifié, injuste, et cela ne mène à rien de bon.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 01 décembre 2020 à 08:42
Bravo à F68.10 pour avoir encadré la conversion marchenoirienne, avec accessit à caroff et Serge Hirel, sans oublier, pardonnez-moi, Aliocha, Patrice Charoulet, et Mary, bien sûr, qui, en l'occurence, se retrouve malgré elle à démontrer que le corporatisme extrême est un racisme comme les autres.
Comme quoi, foi et raison sont des alliées redoutables à même de démontrer que le racisme à la française n'est pas une maladie incurable, que tout est réformable en ce pays, même Marchenoir, que police et éducation sont suffisants pour envisager que la France devienne enfin la France, dans la mesure où police et justice soient suffisamment éduquées pour s'appliquer à elles-mêmes les principes qu'elles garantissent, que si la réforme est menée par des Fauvergue plutôt que par des Benalla, la barbouzerie élyséenne retrouvera le chemin du Droit, où le héros du football aura un autre chemin épique que de renoncer au trophée, car il aura eu alors un autre choix que de répondre à l'infamie par la brutalité, en affirmant que le génie de son jeu n'est pas à la force brutale, mais à la vérité du juste, que la liberté ne se trouve pas par voracité sans frein mais par application du Droit à tous, cette invitation faite à chacun de participer à la victoire qui sait ne pas dominer, la victoire éclatante de la fraternité.
Et en conclusion en forme d'hommage à Maître Gibaud, malgré Achille sur son arbre perché, à dire avec l'accent marocain :
Ci pas fassil', ci di bolo, boco, boco d'bolo !
Rédigé par : Ali hocha | 01 décembre 2020 à 08:26
@ F68.10 | 30 novembre 2020 à 22:07
"...ceux qui ont des opinions intolérables et qui jouent les persécutés par le politiquement correct."
Le même qui se plaint d'avoir été brimé, persécuté, martyrisé pour ses opinions dénonce les "opinions intolérables" des autres !
Il nous dit : "C'est beau le tango", j'ai l'impression qu'il nous danse un paso doble, celui du double langage évidemment !
https://www.youtube.com/watch?v=vJmWNsi2m0s
C'est beau la liberté de penser... comme lui ?
Rédigé par : Tipaza | 01 décembre 2020 à 07:14
Il ne faut pas insulter les policiers mais comment l'éviter quand les gens s'insultent les uns les autres ou s'amalgament à n'importe quoi ? Exemple, on m'a traité tout à fait injustement de raciste ou assimilé au nazisme, ici.
Eh bien, imaginons que ces douceurs ne soient pas enrobées de considérations plus ou moins intellectuelles selon les cas, planquées au milieu d'autres interventions, assorties de menaces physiques, et qu'au lieu de se retrouver sans savoir qui frapper et en solo face aux coups, j'étais détenteur de la force, allez savoir ce que je ferais...
Ce n'est pas pour dire de ne pas sanctionner les abus, c'est pour dire qu'il faut se rappeler du fouet des insultes avant de trouver si naturel de ne pas y répondre par la force, dédaigneux de polluer sa bouche pour répondre à des gens qui, ayant sali le langage par l’injustice, se ravalent à n'être plus justiciables que de coups.
À mon avis, pour résister à cette tendance, il faut être à une bonne distance, je veux dire point trop attaché à son propre honneur ou à celui de son groupe mais dans la sorte de fiction de son groupe tel qu'il devrait être pour la mission qui est la sienne, étendard dont il vaudrait mieux avoir une immense fierté pour compenser le reste.
Difficile que ladite fierté émerge en circuit fermé, il faut qu'elle soit alimentée par le public.
Un public qui vaille quelque chose, sinon qu'il ne se plaigne pas du spectacle... Il ne faut ni croire à la police et soutenir tout ce qu'elle fait ni croire à ses opposants et se montrer naïf sur leurs propres allégations et leurs propres débordements.
Le public, et notamment, on dira, les premières loges du public, magistrature et journalistes, doivent adopter cette attitude.
Tout pouvoir, et peut-être tout individu, doit contrebalancer les abus des autres de même qu'il est endigué, selon l'équilibre des pouvoirs. Chacun est le créateur de ses actes et le critique de ceux des autres.
Il faut être attentif aux deux et se rappeler d'une face de la réalité quand on est dans l'autre.
Mais oui ! Si des Sélénites intelligents existaient, oublieraient-ils l'autre face de la lune ? Cela ne serait pas plus ridicule que d'être, comme le dit notre hôte, hémiplégique, sur quelque problème que ce soit.
Rédigé par : Lodi | 01 décembre 2020 à 07:10
@ Claude Luçon | 30 novembre 2020 à 23:32
Concernant Zidane et son coup de boule pour défendre ses proches j'ai adoré.
Un champion doublé d'un homme de coeur et d'honneur ça se respecte et mérite l'admiration qui se fiche pas mal du qu'en dira-t-on.
Bravo Zizou !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 décembre 2020 à 00:49
"Pensez à Zidane et son coup de tête il y a bien des années, lui n'aimait pas qu'on insulte sa mère ! Pourtant pour un Italien [...] pas par hasard que des policiers saturés d'insultes perdent les pédales !"
Rédigé par : Claude Luçon | 30 novembre 2020 à 23:32
Sincèrement mon bio-ordi mortel dans ma box crânienne avait opéré ce rapprochement entre un comportement "sorti des gonds" et une possible monstrueuse provocation sur le film des studios Z'ecler, l'image du coup-de-boule écervelé du Berbère Zi-Zi ressortant de ma bio-ROM. Donc je vous exprime satisfaction que ma cervelle soit sûre de ne pas avoir été la seule, merci même si sur l'essentiel il (mon cerveau) me considère que Maître Marchenoir a emporté le morceau par sa plaidoirie.
"Allez, que l'on se batte" comme on trouve dans Rabelais à propos des moeurs dans le pays de Procuration, tout "chaffouré et graffigné", peuplé de "Chiquanous et Procultous"...
Rédigé par : Henri Gibaud | 01 décembre 2020 à 00:30
@ Robert Marchenoir | 30 novembre 2020 à 20:52
"Mais vous n'avez pas honte" : bravo, avec cet emploi de "la honte" vous n'êtes pas hors-sujet...
Plus sérieusement : votre splendide prise de parole ragaillardit : bravo !
Comme vous le savez, un gaillard ou une gaillarde comme Brive c'est un lieu fortifié, une place forte.
Oui à vous lire on se sent rétabli, restructuré : la dérive en tontons-macoutes atroces de ces inscrits en uniformes et armés au budget de la République nous minait... vous avez en somme dénoncé des crypto-collabos, traîtres inconscients de l'être comme il y en eut pléthore au temps des Lacombe Lucien.
Il y a donc bien un progrès permis par la physique notamment l'électronique : nous pouvons avec vous alerter sévèrement les pauvresses et pauvres concitoyens qui se laissaient abuser par le prestige de l'uniforme jusqu'à la confusion abjecte entre force tranquille et agressivité-régression.
Bravo Robert Marchenoir !
Et vous citez longuement cet excellent flic de haut niveau, M. Fauvergue (peu importe qu'il ait été recruté par le bureau aventuriste du Présid'Enfant). Il est passionnant de rapprocher les précieuses données afférentes que vous amenez avec ce qu'a publié l'édition du Canard encore en vente demain, sur la curieuse société "Fauhestia.Cons" aux statuts déposés en juillet 2019, après qu'il eut signé un rapport parlementaire en 2018 : "D'un continuum de sécurité vers une sécurité globale"...
Le Palmipède daté mercredi 25 novembre laisse clairement entendre que M. Fauvergue anticipe par investissements concrets sur une inéluctable privatisation de la sécurité publique ainsi par conséquent post-régalienne. Après l'uberisation du tertiaire ambulatoire, la "Bob-Denardisation" généralisée des postures et opérations de forces ? Logique d'externalisation des risques à des sous-traitances borgnes qui recruteront des néo-mercenaires ? Le précédent des cinémomètres routiers privés n'a pas assez ouvert nos yeux sur ces borgnes (kilométriques) ?
Pour autant je demeure d'une méchante circonspection à l'égard de nombreuses tendances gauchistes du Canard, mais il faut toujours le surveiller, cela permet entre mille pépites d'archiver le Trésor du 23 juillet 1997 "Anonymat garanti pour m******ats pédo****es".
Je vais encore me faire des z'amis !!
Rédigé par : Henri Gibaud | 30 novembre 2020 à 23:59
À propos de clichetons cette engeance de vipère de Marchenoir fait très fort :
Qui trouve normal qu'un policier se fasse insulter et caillasser par les voyous parce que ce serait son boulot
Qui trouve normal que les femmes, parents ou enfants de policiers se fassent menacer ou doivent se cacher parce que c'est dans l'ordre des choses, dès lors qu'on a un père, mère, fils ou fille qui exerce ce métier dont on devrait avoir honte !
Qui trouve normal qu'une racaille vous manque gravement de respect parce qu'il ne connaît pas les codes et ignore la politesse élémentaire.
Etc.
Et pour se rendre intéressant, ce triste sire de s'abriter prudemment concernant le sujet du jour derrière les propos de Jean-Michel Fauvergue qui fut certes un grand policier mais hélas rallié à LREM, ayant adopté depuis la voix de son maître et ne connaissant pas plus que vous ou moi les véritables circonstances de cette affaire en cours d'instruction.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 30 novembre 2020 à 23:58
@ Robert Marchenoir | 30 novembre 2020 à 20:52
"A l'exception des menaces de mort, qui sont vraisemblables et tout à fait anodines. Pour un jeune issu de l'immigration, proférer des menaces de mort à l'égard de n'importe qui, c'est un peu comme dire "bonjour Madame" pour les gens normaux."
Relisez-vous ! Ou comprenez-vous ce que vous écrivez ?
Des menaces de mort anodines ! Du genre de celles de Coulibaly ?
Proférer des menaces de mort à l'égard de n'importe qui, c'est un peu comme dire "bonjour Madame", pourquoi pas Monsieur ? Les jeunes Noirs ne salueraient que les dames !
Voici ce que déclarait ce jeune issu de l'immigration :
"Âgé de 41 ans, Michel Zecler, qui a grandi à Bagneux, en région parisienne, a expliqué ce jeudi sur le plateau de "Touche pas à mon poste" qu'il était un homme sans histoires, même s'il avait eu quelques ennuis dans sa jeunesse qui l'avaient conduit en prison".
Apparemment sa jeunesse ne fait donc pas partie de l'homme qu'il est ! Pourtant il semble être redevenu jeune en insultant ces policiers.
Bien sûr qu'il était sans histoires, il ne faisait que des délits qui l'envoyaient en prison.
Des délits ne sont pas des histoires, ce sont des faits !
De Valeurs actuelles : "Arrestation de Michel Zecler : le producteur de rap aux antécédents judiciaires chargés transportait du cannabis".
Le Parisien lui, dévoile de nouveaux détails : dans le studio de Michel Zecler, un sachet transparent contenant ce qui pourrait être de la résine de cannabis a été retrouvé le lendemain par les enquêteurs.
Prenez quelque temps et relisez Descartes, ou lisez-le si vous ne l'avez pas encore fait ! Un rien de logique et de cohérence vous serait très utile !
Il va falloir, un jour peut-être, que les Français comprennent que les Coulibaly, Traoré, Zecler et autres prennent les Français pour des naïfs, en profitent sachant que de toute façon Mélenchon et sa horde d'Insoumis sont là pour justifier leurs actes et nos journalistes pour amplifier la chose.
Demandez-vous combien de temps vous résisteriez à vous faire insulter de la pire des façons avant de réagir ?
Pensez à Zidane et son coup de tête il y a bien des années, lui n'aimait pas qu'on insulte sa mère ! Pourtant pour un Italien c'était une chose anodine.
Ce n'est d'ailleurs pas qu'en France !
Pour vous qui connaissez les USA vous devez savoir que ce n'est pas par hasard que des policiers saturés d'insultes perdent les pédales !
Rédigé par : Claude Luçon | 30 novembre 2020 à 23:32
@ Robert Marchenoir
La nuance et la mesure, décidément, vous ne connaissez pas.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 30 novembre 2020 à 22:11
@ Robert Marchenoir
"Il n'y a aucune différence de nature entre vous, seulement une différence de cible."
Exact.
"Donc si je comprends bien, Jean-Michel Fauvergue, ancien patron du RAID, c'est un "pétochard", lui aussi ?"
Je dirais même plus: une cou*lle molle !
Trêve de plaisanteries: merci pour ce commentaire très bien senti à l'attention de Denis Monod-Broca, sylvain, Isabelle, Xavier NEBOUT, stephane, genau. C'est dans de telles situations que les masques tombent. Je suis le premier à dire que le politiquement correct est plus que pénible, mais il faut aussi prendre la mesure des réelles opinions qui se dissimulent derrière ce chassé-croisé de mauvaise foi au sujet du politiquement correct entre d'un côté, ceux qui l'imposent, et de l'autre, ceux qui ont des opinions intolérables et qui jouent les persécutés par le politiquement correct. C'est beau, le tango...
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@ Tomas (@ Michel Deluré)
"On a les critères de comparaison qu'on mérite."
Ouf ! L'honneur est sauf ! Nous ne sommes pas au niveau des escadrons de la mort nigérians le SARS.
Rédigé par : F68.10 | 30 novembre 2020 à 22:07