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29 janvier 2021

Commentaires

JM0001

La gracile Lucile va-t-elle se rendre compte qu'à force de mesure et d'équilibre on peut se retrouver dans le camp des accusés ?

JM0001

LUCILE
aime ceux qui sont longs:

pas ceux qui font court, ils prennent moins la tête.

JM0001

LUCILE
ne m'aime pas, elle le déclara.

Je ne partage pas ce désamour.

JM0001

LUCILE
se demande ce que je viens faire danse blog.
Moi pareil !

JM0001

Aliocha, petit père, je ne suis pas Jean Michel 001 mais votre Jean Mineur 0001.

F68.10

@ JM0001
"Le laboratoire et la taverne, le plein air et le bouge, un voyou et un gentil, un ancien Européen et un nouveau Tiktokandwikikipiste..."

Mouais. C'est probablement quand même connu depuis le paléolithique supérieure que les rapports sexuels ont quelque chose à voir avec la procréation. Je crois que vous confondez le laboratoire ou la taverne avec la caverne.

Enfin bon... de toute manière, vous vous êtes avéré incapable d'émettre une pensée un tant soit peu intelligente ou structurée sur ces sujets...

JM0001

Aliocha : « La fécondation physiologique est la rencontre d'un gamète mâle et d'un gamète femelle »

F68.10 : « Faire un gosse, dans la quasi-totalité des cas, c'est bien mettre un zizi dans une zézette »

Le laboratoire et la taverne, le plein air et le bouge, un voyou et un gentil, un ancien Européen et un nouveau Tiktokandwikikipiste…

Mary Preud'homme

@ Herman Kerhost | 10 février 2021 à 23:06

Cf le billet de Philippe Bilger "Pierre Desproges ne serait plus compris aujourd'hui !".
Pas sans cause que Savonarole ne le soit donc plus depuis quelque temps par certains individus qui de toutes façons n'ont jamais brillé ici par leur esprit critique, leur humour et leur liberté de penser hors des sentiers battus.
Ceci n'étant qu'une apparence ne trompant en fait que les quidams sans vraie personnalité ne cédant qu'aux modes, incantations, injonctions et anathèmes émanant du dernier fort en gueule uniquement occupé à faire allégeance en toutes servilité à l'homme fort du moment et à sa suite de laquais.

F68.10

@ JM0001
"L'enfant à naître ne doit plus être un obstacle pour contracter un mariage heureux entre une Française de souche et un homme issu de l'immigration."

Je me contorsionne les doigts pour trouver les bons mots à vous adresser... mais êtes-vous au courant que militer pour l'interdiction des mariages raciaux, c'est quand même un peu sud-africain old school ? Laissez tomber cette idée: elle génère des guerres. Il faut accepter que les blacks et les blanches b*isent ensemble.

J'ai d'ailleurs un souvenir ému de ce couple à la piscine de Vevey. Elle: vieille, blanche, les fesses flasques, les seins plus exactement de toute première fraîcheur et un compte en banque suisse bien garni. Lui, black, jeune, grand, musclé, élancé, le torse naturellement en V, sans un rond et probablement sans permis de séjour. Une belle bête aurait-on dit du temps de l'esclavage.

Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que son compte en banque est maintenant mieux garni que le vôtre. Et je m'en réjouis. Ke thabile.

"Des comités d'éthique sociale sont en place dans toutes les maternités des hôpitaux civils. Mesdames, ils vous attendent pendant toute la durée de votre grossesse. Le service est gratuit."

C'est faux. On vous l'a expliqué. Vous le savez donc, maintenant.

Par ailleurs, ce ne sont pas des comités d'éthique, mais des conclaves de deux médecins. La profession d'éthicien clinique en matière médicale est une profession respectable. J'en connais en Suisse: Carlo Foppa. Je n'en connais pas en France. Ces comités ne sont donc pas, quoi que vous en pensiez, des comités d'éthique: ce sont des conclaves de médecins. Rien à voir.

JM0001

L'enfant à naître ne doit plus être un obstacle pour contracter un mariage heureux entre une Française de souche et un homme issu de l'immigration.

Des comités d'éthique sociale sont en place dans toutes les maternités des hôpitaux civils. Mesdames, ils vous attendent pendant toute la durée de votre grossesse. Le service est gratuit.

Ceci est un communiqué du Ministère de la sécurité sociale et de la mondialisation heureuse.

Herman Kerhost

@ F68.10 | 10 février 2021 à 00:56

Exactement. Merci pour ce florilège. Cela suffit à réduire à rien la critique de Savonarole, lui qui n'a jamais rien apporté de comparable.

On comprend aussi pourquoi ce troll n'a cessé de harceler ce commentateur. La vomissure sur un esprit plus élevé que le sien étant, comme chacun sait, sa motivation première.

F68.10

@ JM0001
"Psychiatre sa mère biologique était."

Factuel.

"Longue fut sa quête pour la remplacer."

Non. Ce sont des mots qui ne font sens que dans votre esprit.

"Justice Singulière aujourd'hui sa nounou devenue."

Vous devriez plutôt répondre sur le fond aux propos que je vous adresse au sujet de votre lamentable propagande sur l'interruption médicale de grossesse.

Les nounous, c'est vous qui les demandez et les imposez rhétoriquement à ceux qui n'en veulent pas. Ayez donc un minimum de décence et déterrez plutôt la hache de guerre.

"Pour lui désormais plein d'égards nous serons."

Je m'en passe. Des égards qui ne sont que prétexte à l'ostracisme et au misérabilisme, c'est justement une des plaies mentales qui fait refuser, par exemple, la scolarité aux autistes. C'est immoral. Tentez la cruauté, plutôt: c'est un peu plus franc et honnête que cette pseudo-charité que vous dissimulez derrière votre christianisme mal dégrossi.

JM0001

Psychiatre sa mère biologique était.
Longue fut sa quête pour la remplacer.
Justice Singulière aujourd'hui sa nounou devenue.
Pour lui désormais plein d'égards nous serons.

F68.10

@ Herman Kerhost
"Commentaire lamentable, comme souvent. C'est sûr que si on google "Savonarole" on ne risque pas de trouver grand-chose sur votre compte. Qui nous dit que vous n'appartenez pas à une famille de pédophile ?"

Effectivement. Par ailleurs, j'ai googlé Jean-Dominique Reffait, et je ne suis pas (encore) tombé sur une anthologie judiciaire digne du Marquis de Sade. J'y ai trouvé un franc-maçon qui aimerait bien, a priori, ouvrir le débat sur la nature, les particularismes et la légitimité de la franc-maçonnerie. J'y ai trouvé une personne qui loue la recherche de vérité de Monsieur Bilger et qui souhaite éviter des dérives fonctionnariales dans la justice. J'y ai aussi trouvé, à mon grand plaisir, une personne qui questionne les simplismes articulant justice et médecine et qui questionne la propension de la justice à se laver les mains de ce qu'elle ne comprend pas ou ne cherche pas à comprendre en déléguant le traitement de pédocriminels à la médecine et à la psychiatrie en particulier.

En particulier, il y questionne l'"efficacité" du traitement médical (ben ouais: une médecine qui ne prouve pas son efficacité, cela s'appelle du charlatanisme et quand c'est ainsi couplé à la justice, c'est une dérive inquisitoriale, même au sujet de pédocriminels) et remet en cause (à juste titre et maladroitement) les poncifs sur le concept de déviance, qui permettent de médicaliser un peu ce qui arrange la société plutôt que de médicaliser la réelle souffrance sur des bases prouvées efficaces. Il se positionnait donc à juste titre (compte tenu du contexte médiatique de l'époque) sur la ligne d'Onfray en la matière.

A priori, rien de condamnable chez Jean-Dominique Reffait. Et si jamais il vient d'une famille de pédophiles, ce que semble insinuer Savonarole, cela n'en fait pas pour autant un complice, et encore moins s'il s'est retrouvé dans la position de victime. (Ce qui devrait aller de soi pour n'importe qui doté d'un semblant de colonne vertébrale en matière de morale). Mais je n'ai rien trouvé à ce sujet.

Florilège:

"Un peu de tristesse aussi : le franc-maçon que je suis – et du Grand Orient de France, en plus ! – sait qu’il y a des critiques véritables à formuler sur la franc-maçonnerie mais se désespère de lire un jour une vraie remise en cause, documentée et intelligente, qui porterait le fer dans la plaie. Non, l’anti-maçonnisme demeure idiot, frappe toujours à côté de la plaque, énonce des crétineries que l’inlassable répétition ne saurait transformer en vérité." -- Jean-Dominique Reffait

"Franchement, Monsieur Bilger, de quelle école de magistrats sortez-vous ? Depuis quand un avocat général ne considère-t-il pas comme faute professionnelle d'avoir un regard critique sur les dossiers qu'on lui présente ? [...] Que s'est-il passé dans votre jeunesse ? Avez-vous eu une [...] vraie vocation de vérité et non d'accusation ? J'avoue que l'extra-terrestre Bilger me laisse rêveur ;)" -- Jean-Dominique Reffait

"JP Ledun et sbriglia, lorsque j'écris que le viol d'enfant n'est pas une perversion naturelle mais culturelle, cela n'a évidemment rien à voir avec une démarche esthétique ou intellectuelle ! Il s'agit de savoir si cela relève de la maladie ou non. Ce n'est pas un débat byzantin, JP Ledun, car vous savez très bien que cet argument de la maladie accompagne le suivi de ceux qui sont mis en liberté : dans la mesure où le criminel "se soigne", la société, par l'intermédiaire de la justice, se considère tranquille. [...] Contrairement à ce que vous suggérez l'un et l'autre, mon propos n'exonère aucunement les responsables de tels actes, au contraire !" -- Jean-Dominique Reffait

Herman Kerhost

@ Savonatroll | 09 février 2021 à 15:58

Commentaire lamentable, comme souvent. C'est sûr que si on google "Savonarole" on ne risque pas de trouver grand-chose sur votre compte. Qui nous dit que vous n'appartenez pas à une famille de pédophile ?

Jean-Dominique Reffait n'a pas disparu, il a simplement autre chose à faire. Ce n'est pas une obligation de venir commenter sur Bilger.com vous savez... Il y a une vie ailleurs que sur Internet. Votre remarque ne vaut donc rien. Mais enfin, puisque vous aimez traîner les gens dans la boue, il aura eu au moins l'utilité de satisfaire votre désir de nuire.

Que JDR ait dit des bêtises durant les années (qui n'en dit pas ?) où il commentait ne signifie pas qu'il ne disait que des bêtises. Quoi qu'on pense de ce qu'il défendait ici, il est indéniable qu'il a positivement contribué à la qualité des commentaires. Contrairement à vous.

C'est à cause de pervers comme vous que la plupart des commentateurs font usage du pseudo pour signer leurs textes.

Mary Preud'homme

@ Savonarole, 9 février 15:58

Il se trouve que j'ai une très bonne mémoire.
C'est pourquoi je me souviens fort bien de mes nombreux accrochages avec JDR, au demeurant belle plume, mais qui avait du mal à supporter la contradiction notamment venant d'une personne, outre de droite, qu'il estimait moins cultivée que lui. Néanmoins, quelles qu'aient été nos escarmouches portant essentiellement sur des questions de choix politiques, cela n'a jamais dégénéré en insultes ou basses attaques ad hominem (de part ou d'autre). À ce sujet, je me souviens même qu'il a à plusieurs reprises reproché à notre hôte de laisser polluer les débats par des commentateurs (réfugiés dans l'anonymat) maniant l'injure et la diffamation sans contrôle.*

Concernant son départ de ce blog, il me semble qu'il a coïncidé avec l'élection présidentielle de 2017 et le succès de son champion "En marche" Emmanuel Macron, qu'il soutenait ouvertement.

*cf archives du blog de Philippe Bilger, billet du 11 août 2011 "La liberté jusqu'où ?"

Savonarole

@ Mary Preud'homme

La mémoire est courte sur ce blog.
On tresse aujourd’hui des couronnes au feu dénommé « JDR »
Une famille qui a défrayé les faits divers d’il y a 10 où 15 ans, il suffit de taper leur nom pour voir surgir un best of de ce qui arrive à Olivier Duhamel, pédophilie, ou mariage forcé pre mortem sur un lit d’hôpital, un roman français.
De gauche jusqu’au mur, il n’a jamais dévié, seule la honte du socialisme français explique sa disparition. À mon avis, il est aujourd’hui dans une abbaye cistercienne, Paray-le-Monial. Où il se fouette dès poltron-minet.

Ce fameux « JDR » habitait Champigny et nous daubait sur l’art d’y vivre, à l’entendre on y aurait passé ses vacances, il nous racontait qu’il avait traversé sa ville avec un sac à dos rempli de billets de banque sans jamais avoir été molesté. On peut se demander ce que Bercy pourrait lui demander sur ce qu’il faisait dans le RER avec des biftons.
En fait, « JDR » est mort de honte.

F68.10

@ JM0001
"Si vous êtes enceinte des œuvres d'un autochtone sans boulot que vous vous apprêtez à quitter pour refaire votre vie avec un bel homme brun venu du désert, il vous est loisible dans l'intérêt de l'enfant à venir, du futur beau-père et du vôtre de vous rendre dans un établissement républicain (et gratuit) ce pour y avorter, pendant toute la durée de la grossesse moins un jour."

Votre art de toucher le fond est inimitable. Ce n'est même pas du racisme, là... c'est un bloc de stupidité compact.

"Il vous suffira d'exposer votre situation sociale devant le comité d'éthique."

Le "comité d'éthique" ne se réunit que si tel est son bon plaisir. Il ne se réunit pas sur demande souveraine de Madame, sauf dans votre réalité parallèle où les tapis volent et où les licornes existent.

Explications ici.

"Ceci est un message du ministère de la justice, de la paix des ménages et des chances pour la France."

Ceci est un message du la mission interministérielle de lutte contre la stupidité en ligne.

Un peu de contexte:

"Le résumé d'une thèse de doctorat en médecine soutenue, le 6 mars 2013, par Madame Lucie Versnaeyen souligne que, dans la pratique, des IMG ont été admises pour des motifs plus larges: « Au niveau médical, le peu de la littérature existante sur le sujet retrouve trois grands types d’indications de recevabilité d'une demande d'IMG pour péril psychique. La première est le risque majeur de passage à l’acte autoagressif lié à la grossesse. Les suivantes renvoient à la notion d’une souffrance psychique incompatible avec la poursuite de la vie mentale de la femme: une maladie mentale sévère et/ou chronique aggravée par la grossesse et un risque pour la santé mentale de la femme en cas de poursuite de la grossesse.»" -- Le Figaro, 2020.

Cela, c'est la situation actuelle. Et comme vous le voyez, ce n'est pas vraiment Madame qui décide, en pleine possession de ses moyens mentaux.

Le concept de détresse psychosociale élargit et consacre les critères psychiatriques d'interruption médicale de grossesse. Le consentement de la mère dans ces cas... excusez-moi, mais je doute qu'on lui demande beaucoup...

Le même article cite:

"Désormais, le péril grave risque d'être constaté indépendamment même du risque pesant sur la santé de la femme, simplement comme conséquence d’une «détresse psychosociale» à géométrie variable: situation sociale précaire, risque de violence conjugale ou intrafamiliale, fragilité psychique ne risquant pas de mettre la vie de la mère en danger." -- Le Figaro, 2020.

Et ce qui est frappant, dans cet article, rédigé, dans l'ensemble, par des milieux chrétiens, c'est qu'ils se soucient du gosse, certes, mais qu'à aucun moment ils ne remettent en cause l'idée ou évoquent les problèmes du caractère potentiellement non-consensuel de ce type de pratiques lorsque deux médecins, saisis non pas par la femme mais par des membres de son entourage, décideront, sans l'accord de la femme, qu'on l'avorte parce qu'elle n'a pas de pognon, parce qu'elle se ferait taper, ou des trucs du genre.

C'est là qu'on sent le sens des priorités des milieux chrétiens sur les thématiques médicales: jamais aucune remise en cause de décisions médicales, en l'occurrence l'avortement, au motif d'un pouvoir trop puissant des médecins sur les patients, les femmes ici en l'occurrence. Non, cela, ils aiment bien. Ils ont besoin de cette puissance médicale et besoin de la préserver pour garder une courroie de transmission permettant d'imposer leurs soucis sociétaux via la médecine. Alors ils n'y touchent pas...

Alors ils pleurent sur le sort du gosse. Et par contre, lorsqu'il s'agira de retirer le gosse à sa mère pour les mêmes motifs qu'ils considèrent inacceptables à justifier un avortement, là, ils seront à fond les bielles pour demander un pouvoir médical fort. On ne les entendra pas pleurer sur le sort de la mère à qui on retirera le gosse au motif de pauvreté. Sauf si la mère est bigote, auquel cas, ils joueront, à l'occasion, les pleureuses. Mais si la mère est black, p*te et animiste, ils n'en auront rien à cirer.

La mère n'est qu'un objet pour eux.

On a vu les mêmes tours de passe-passe sur de multiples sujets. Notamment la prostitution. L'alliance du féminisme de gauche et du conservatisme chrétien pour taper sur les p*tes en menaçant, par exemple en Suède, de retirer leurs gosses, cela ne gêne pas grand monde... Et après ce sont ces mêmes féministes qui viennent faire le chantage moral aux mâles comme quoi, pour eux, les femmes seraient soit des mères soit des p*tes. N'importe quoi... Le monde à l'envers.

Redescendez sur Terre.

JM0001

Si vous êtes enceinte des œuvres d'un autochtone sans boulot que vous vous apprêtez à quitter pour refaire votre vie avec un bel homme brun venu du désert, il vous est loisible dans l'intérêt de l'enfant à venir, du futur beau-père et du vôtre de vous rendre dans un établissement républicain (et gratuit) ce pour y avorter, pendant toute la durée de la grossesse moins un jour.
Il vous suffira d'exposer votre situation sociale devant le comité d'éthique.

Ceci est un message du ministère de la justice, de la paix des ménages et des chances pour la France.

Mary Preud'homme

@ Herman Kerhost

Merci de m'avoir répondu.

Je suis indéniablement de droite, votre croyance ne vous a donc pas trompé !

Concernant les propos anciens que vous m'accusez de remettre sur le tapis afin de les utiliser hors contexte, il me semble que vous êtes loin d'avoir suivi le fil. À moins que vous ne fassiez preuve d'un manque total d'impartialité. Sinon vous sauriez qui de moi ou du monsieur que vous soutenez n'a cessé d'instrumentaliser et ressortir hors contexte des remarques ou confidences anciennes que j'aurais pu faire à d'autres que lui afin d'illustrer un sujet précis...

Et s'il l'a fait c'était bien dans l'unique objectif de me clouer au pilori, en m'administrant "une bonne correction" comme il disait, ajoutant qu'une femme de "mon âge", etc. je ne vais pas rappeler toutes les injures et les allusions salaces dont il m'a gratifiée alors... Ce que toute personne de bonne foi a pu remarquer ici, sauf vous apparemment.

Herman Kerhost

@ Mary Preud'homme | 07 février 2021 à 15:08
"Sauf erreur JDR était sans ambiguïté de gauche et avait une belle plume"

C'est quoi le rapport ? Et puis, je croyais que vous étiez de droite ? Je ne défends pas Robert Marchenoir pour ses idées politiques. Même si je suis d'accord avec certaines d'entre elles. Ce que je défends c'est l'usage qu'il fait de sa liberté d'expression.
Par exemple, je ne vous aurais pas accusée d'être une traître à votre race. Je comprends pourquoi RM l'a fait, mais je n'aurais pas été aussi loin.
Cependant, il faudrait, pour mieux comprendre, relire les échanges qui avaient donné lieu à ce propos. Or, tout le monde a oublié. C'est bien pourquoi ramener des propos anciens dans la discussion d'aujourd'hui est un procédé malhonnête. Et c'est ce en quoi vous vous êtes distinguée.

"JDR avait (...)une belle plume claire et concise qui n'a vraiment rien à envier à celle de Marchenoir (se revendiquant lui de plus à droite que la droite) beaucoup plus brouillonne, sans originalité et qui ne cesse de nous ressasser dans des posts interminables les mêmes scies et détestations compulsives et sectaires."

C'est à ça que je remarque que ce ne sont pas vos neurones qui s'expriment, mais vos tripes. Rien n'est plus faux que ce que vous venez d'écrire.

"J'ajoute qu'en dépit de multiples escarmouches JDR, lui, ne m'a jamais insultée, ne m'a jamais manqué de respect de façon directe ou allusive."

Je ne vais pas aller vérifier, mais je crois que vous vous trompez. Il est même possible que le même vocabulaire fut employé...

"Comme quelques autres ici, en particulier sbriglia et Savonarole."

Vous voulez dire que ces deux là aussi vous ont insultée ?

"Par ailleurs, si nous devions examiner les archives de ce blog pour y mesurer la constance de nos convictions, de nos fidélités et de nos choix, je ne suis pas sûre que vous ayez à y gagner en crédibilité cher Hermann, en tout cas beaucoup moins que moi à en juger par vos volte-face idéologiques."

Aucune volte-face. Je suis toujours de gauche. Mais je ne suis plus antiraciste, si c'est à cela que vous faites référence. J'ai en effet été anti-raciste pendant longtemps. La simple observation des faits, et des lectures mieux choisies, m'ont fait revoir mon jugement. C'est donc par un déclin (léger) de mon ignorance que j'en suis arrivé au constat de la nocivité de l'idéologie (c'en est une) de l'anti-racisme.

Ce n'est pas un manque de constance que d'avoir changé d'opinion sur une douzaine d'années. Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.

F68.10

@ JM0001
"Par honnêteté intellectuelle il précise : « Le risque d'arbitraire existe, toutefois. »"

Exact. Ce qui signifie que si deux médecins en décident, ils peuvent faire un peu ce qu'ils veulent sur la femme enceinte sans qu'elle soit nécessairement d'accord. Il ne me paraît d'ailleurs pas inconcevable que la "détresse psycho-sociale" puisse paradoxalement venir d'un désir de garder l'enfant dans un contexte qui rende cela compliqué...

Rappelez-vous, JM0001, que les certificats de virginité (parfois frauduleux en plus d'être illégaux, et frauduleux car paradoxalement établis pour de justes motifs...) sont des choses qu'on pratique encore en France de nos jours. Bien qu'ils soient interdits...

Donc, oui, le monde médical est un peu compliqué, et plein de subtilités que vous ne semblez pas maîtriser.

En tout cas, l'idée, que vous insinuez, que Madame se promènerait guillerette, dans un cadre féérique, à la rosée du matin, pleine de joie de vivre, et qu'elle décide, une coupe d'hydromel à la main, à 8 mois en demi de se faire avorter sur un coup de tête en prétendant la détresse psycho-sociale auprès de deux médecins complaisants prêts à pratiquer une interruption médicale de grossesse... non... cela ne se passe absolument pas comme cela.

Je le répète: il ne s'agit pas d'un droit accordé aux femmes. Et c'est même réellement immoral de votre part que de populariser l'idée que ce le soit. Des jeunes filles trop jeunes et trop bêtes pourraient être tentées de croire, en vous lisant, que c'est pour elles un droit. Un choix.

Il n'en est rien.

Renseignez-vous donc un peu. Voici un témoignage d'une interruption médicale de grossesse:

"On nous a fait passer devant un conseil de médecins pour savoir s'il fallait ou non garder le bébé. On avait l'impression que du fait de la rareté de notre cas, tout le monde voulait avoir le dossier en main, mais au bout du compte personne ne savait rien et ne pouvait nous donner de réponses claires. De mon côté j'ai cherché des témoignages sur Internet de parents ayant eu des enfants atteints de trisomie 9 mais il n'y en avait aucun. Je ne pouvais pas me rendre compte de l'impact que ça pourrait avoir sur ma vie. Nous avons donc décidé de procéder à une IMG." -- Emeline

Là, Madame manifeste son accord. Mais rien que ce témoignage devrait vous convaincre qu'en matière d'interruption médicale de grossesse, l'initiative en revient au corps médical. En dans le cas de la "détresse psycho-sociale", nous risquons d'avoir nombre d'arbitraires pas béatement joyeux, qu'on trouve déjà en psychiatrie, qui se surimposent sur ce contexte.

Mais, non, ce n'est pas un choix de Madame comme le serait le choix entre banane ou chocolat. Vos commentaires répétitifs sur le sujet propagent des idées fallacieuses et dangereuses au sujet de l'interruption médicale de grossesse. Qui, rappelons-le, n'est pas l'interruption volontaire de grossesse.

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@ JM0001
"Un commentateur éminent et prolifique, qui a une connaissance intime de l'art médical pour avoir fréquenté de nombreux établissements psychiatriques..."

Oh ! Vous savez ma paranoïa de scientologue remonte à bien plus loin dans le temps: depuis le moment où je fus fécondé, j'ai été sous la surveillance médicale permanente et constante d'un psychiatre. Qui d'ailleurs me louait son utérus. Mon carnet de santé est éloquent quant à l'intensité et la ferveur de cette prise en charge précoce et permanente.

JM0001

Un commentateur éminent et prolifique, qui a une connaissance intime de l'art médical pour avoir fréquenté de nombreux établissements psychiatriques, nous déclare qu'il ne faut pas moins de neuf mois moins un jour pour que le corps médical puisse déclarer l'état de « détresse psycho-sociale » chez une patiente atteinte de grossesse.

Par honnêteté intellectuelle il précise : « Le risque d'arbitraire existe, toutefois. »

F68.10

@ Mary Preud'homme
"Mais c'est vous seul qui jouez les victimes en permanence F68.10, avec toutes vos misères étalées sur des kilomètres"

Ce qui est fait est fait. Ce n'est pas vous qui trouviez infect qu'on vous reproche (selon vous) d'exposer vos tranches de vie ? Bon alors... un peu de tenue.

Non: les femmes ne sont pas spécifiquement castratrices (cela, c'est la théorie de ma chère mère, Mary... ben oui... elle est psychiatre...). Les femmes ne sont pas spécifiquement maltraitantes non plus. (Sinon, je ne me tuerais pas répétitivement à mettre en lien le documentaire Maternophobie...)
Ma mère est d'ailleurs une femme qui, outre son côté parfaitement givré sur la médecine, est dans l'ensemble une femme estimable, qui s'est retrouvée piégée à son propre jeu: la médecine. Les médecins ne sont pas tous pourris, mais le SMpP existe bel et bien et ils refusent, dans l'ensemble, en France de le reconnaître. Nous avons d'ailleurs un ratio 3:394 (page 48) de détection entre la France et la Grande-Bretagne à ce sujet. Et dans le contexte du SMpP, les médecins sont bel et bien des tortionnaires, ce qu'ils reconnaissent d'ailleurs eux-mêmes dans la littérature.

Par contre, vous illustrez à la perfection les raisons pour lesquelles les personnes qui témoignent du SMpP sont, sans aucune exception, depuis Julie Gregory, des femmes: ce chantage à la haine des femmes est un des tabous que recouvre le SMpP, et n'importe quel mâle qui en est victime doit y faire face sans relâche. Et vous n'êtes pas l'exception qui réfuterait cette règle que j'ai dû me résoudre à établir empiriquement compte tenu de la masse de déni que j'ai pu observer depuis pas mal d'années.

C'est d'ailleurs en large partie ce qui caractérise la maltraitance: le fait qu'elle prenne toutes vos intuitions à revers. Ce qui garantit et impose le silence.

"Quant à votre copain Marchenoir, ça ne vaut pas mieux avec toutes ses rancoeurs, son racialisme..."

Vous avez remarqué que je n'ai pas les positions de Marchenoir sur le racisme et le racialisme ? Non ? C'est dommage. Permettez-moi de vous présenter des petites scènes de pièces de théâtre dans l'école où j'ai grandi et que j'encense:

"Le temps est venu que les aigles volent ! Le temps est venu de devenir roi ! Le temps est venu de défier l'homme blanc !"-- Pièce de théâtre au sujet de Sa Majesté Moshoeshoe Ier, MEMPS 4 Impala Assembly 2013.

J'ai de très bons souvenirs de cet endoctrinement. Toute mon enfance !

"Par ailleurs qui de vous, lui ou moi n'a eu de cesse que de s'immiscer dans des échanges où il n'était invité à aucun titre ?"

Rhôôôôôô !! Vous appelez la populace à prendre parti sur Marchenoir, et vous refusez qu'on vous expose notre point de vue ? Quelle hypocrisie manifeste ! N'importe qui a le droit d'intervenir dans un échange. Il n'y a pas de "permis de parler". Pour les conversations privées, il y a Telegram.

"Jusqu'à les transformer en guéguerres d'ego interminables, assommantes et vaines alors qu'il n'avait à aucun titre voix au chapitre ?"

Vous êtes pas mal dans ce genre-là. Pas tout à fait au niveau de duvent, mais vous vous défendez dans la catégorie gonflage d'ego en baudruche...

"Allons, allons, calmez-vous, prenez des vacances..."

Je n'ai pas à prendre de conseils de vous. Vous n'êtes pas ma mère... Je retourne donc à Harry Potter et les Reliques de la Mort. Parce que tel est mon bon plaisir.

Mary Preud'homme

@ F68.10

Mais c'est vous seul qui jouez les victimes en permanence F68.10, avec toutes vos misères étalées sur des kilomètres, les femmes castratrices ou maltraitantes et votre mère en particulier, les médecins tous incapables ou pourris etc. Quant à votre copain Marchenoir, ça ne vaut pas mieux avec toutes ses rancoeurs, son racialisme et ses haines recuites contre les gauchistes réels ou présumés, les gaullistes, les poutinistes imaginaires, les féministes, antiracistes et non racistes assimilés, les paysans, les fonctionnaires... Sans oublier les parachutistes, éducatrices, contraltistes et traductrices !!

Par ailleurs qui de vous, lui ou moi n'a eu de cesse que de s'immiscer dans des échanges où il n'était invité à aucun titre ? Jusqu'à les transformer en guéguerres d'ego interminables, assommantes et vaines alors qu'il n'avait à aucun titre voix au chapitre ?

Allons, allons, calmez-vous, prenez des vacances et recentrez-vous sur des sujets de discussion qui en valent la peine et où vous ne viendrez pas seulement pour vous "montrer" de façon maniaque et compulsive afin de polluer le débat.

https://youtu.be/fHJuqMzfNwI

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@ Herman Kerhost | 06 février 2021 à 15:52

Sauf erreur JDR était sans ambiguïté de gauche et avait une belle plume, claire et concise qui n'a vraiment rien à envier à celle de Marchenoir (se revendiquant lui de plus à droite que la droite) beaucoup plus brouillonne, sans originalité et qui ne cesse de nous ressasser dans des posts interminables les mêmes scies et détestations compulsives et sectaires.
J'ajoute qu'en dépit de multiples escarmouches JDR, lui, ne m'a jamais insultée, ne m'a jamais manqué de respect de façon directe ou allusive. Comme quelques autres ici, en particulier sbriglia et Savonarole. Question d'éducation sans doute...

Par ailleurs, si nous devions examiner les archives de ce blog pour y mesurer la constance de nos convictions, de nos fidélités et de nos choix, je ne suis pas sûre que vous ayez à y gagner en crédibilité cher Hermann, en tout cas beaucoup moins que moi à en juger par vos volte-face idéologiques.

F68.10

@ Mary Preud'homme
"Avec son humour décalé, duvent a l'art d'envoyer n'importe qui dans les cordes et surtout les prétentieux. Un talent qui a mis bien des fois Marchenoir et vous-même KO, ce qui fait bobo à votre ego."

Meuh non... où avez-vous la tête ? Elle est juste désagréable, ne raconte que des banalités, et son humour ne vaut pas mieux que ce qu'on rencontre en hôpital psychiatrique.

"Concernant vos couplets embrouillés et contradictoires sur le racialisme, le sexisme etc. ils mériteraient de figurer dans le Guinness de l'hypocrisie."

Absolument pas. Ils décrivent bien la nature du contentieux qui vous oppose à Marchenoir. Et vous restez essentiellement coite sur chacun des points soulevés.

"Comme si l'on devait s'excuser d'être une femme, d'avoir tel âge, telle couleur de peau."

Cela ne vous a absolument jamais été demandé. Vous jouez la persécutée à peu de frais. Comme d'hab.

"Comme s'il fallait absolument éviter de mentionner tel ou tel détail de sa vie privée, une expérience, un vécu, de crainte de se faire railler méchamment, insulter et diffamer par un névrosé psychorigide."

Ce n'est pas ce qu'il vous reproche.

"Pour couronner le tout, vous venez de m'en apprendre une bonne : ainsi mon défunt mari était un "phénotype" non-européen, excusez du peu."

C'est pourtant bien ce que vous racontez, non ? C'est quoi votre problème? Un problème de formulation ? Un choix de mot ? Ou vous prétendez maintenant qu'il avait un phénotype hyperboréen ?

"Phénotype, génotype, monotype, stéréotype, quelle famille !!"

Chacun de ces mots figurent bien dans le dictionnaire.

——————————————-

@ duvent
"Dans cette phrase « elle », c'est moi..."

Je vous le confirme.

"Bon, puisque vous vous immiscez dans la conversation entre Mary Preud'homme et Lucile dans le seul but de me faire des compliments..."

Erreur: je m'"immiscais" dans la conversation car elle demandait le pal pour Marchenoir et demandait l'approbation de la foule, dont je fais partie. Ou peut-être souhaite-t-elle un sort un peu plus clément, mais il faudrait le lui demander. Vous ne faisiez que passer par là, et les propos de Mary Preud'homme à votre sujet me concernaient assez directement. Donc, ben voilà... Collateral dammage.

"Quant à vous, je ne peux pas vous tanner la couenne, pour la raison que vous nous avez dit combien vous avez été maltraité, et cela m'empêche d'être sans égards. Sans quoi..."

Ah non ! Allez-y ! Sans vergogne ! Torturez-moi ! On verra bien si cela me chatouille.

"Ici, s'arrête votre existence à mes yeux et ici, je reprends ma liberté de n'avoir aucune considération pour votre point de vue..."

J'en suis ravi.

"Il faut savoir que dans ce bas monde déambulent toutes sortes d'âmes, la mienne est fugace et légère, elle n'apporte rien, elle ne change rien, elle n'enlève rien, elle n'est rien, elle ne fait que passer et ce faisant elle dérange, c'est cela qui est extraordinaire, et c'est cela qui m'amuse, et vous déplaît..."

C'est pratique, un tel aveu du type "je raconte n'importe quoi et j'en suis fière". Dont acte.

duvent

@ F68.10 | 06 février 2021 à 00:52
« Le niveau zéro de la pensée, en somme. Si elle a affirmé quelque chose de relativement intéressant, il faudrait m'en faire signe. »

Dans cette phrase « elle », c'est moi…

Bon, puisque vous vous immiscez dans la conversation entre Mary Preud'homme et Lucile dans le seul but de me faire des compliments, je me sens redevable, et même un peu confuse, d'accaparer autant d'attention.

Je prie donc les lecteurs de ce blog et les propriétaires d'accepter mes plates excuses...

Quant à vous, je ne peux pas vous tanner la couenne, pour la raison que vous nous avez dit combien vous avez été maltraité, et cela m'empêche d'être sans égards. Sans quoi...

Ici, s'arrête votre existence à mes yeux et ici, je reprends ma liberté de n'avoir aucune considération pour votre point de vue, lequel scientifique ou autre, fera le plus grand bonheur des visiteurs de ce blog.

N'ayant aucun souvenir d'avoir signé un contrat me liant à vous, n'étant l'employée de personne, n'ayant fait aucune promesse à M. Bilger sur la qualité de mes commentaires, n'ayant pas convenu avec les femmes d'une connivence de bon aloi, n'ayant pas murmuré à l'oreille des chevaux, je crois pouvoir dire que je suis encore libre de dégoiser, déblatérer, causer, jaser, fabuler, broder, inventer, forger, et dire ce qui me plaît et qui n'a aucune valeur ni mathématique, ni physique, ni chimique, ni politique, ni philosophique, ni..., ni... !

Et cela, vous l'auriez compris depuis fort longtemps si vous vous étiez attardé sur un pseudonyme choisi précautionneusement...

Il faut savoir que dans ce bas monde déambulent toutes sortes d'âmes, la mienne est fugace et légère, elle n'apporte rien, elle ne change rien, elle n'enlève rien, elle n'est rien, elle ne fait que passer et ce faisant elle dérange, c'est cela qui est extraordinaire, et c'est cela qui m'amuse, et vous déplaît...

Ce monde, vous et tout le reste je m'en tamponne mollement le coquillard, je ne suis pas ici, je ne suis pas maintenant, je suis un peu le loup de genau... une louve !

Prince Ochalia

Eh bien, professeur Rogue, vous voilà donc à l'épilogue.
Point donc de simagrées à justifier, Marchenoir est imbuvable sur le racisme, c'est de la plus élémentaire liberté d'expression de le lui signifier, lui intimant le silence à lui enfoncer dans la gorge ses insanités.
Qu'il se taise donc sur le sujet, et écoute ses maîtres, one, two, three, four, and get funky (début du show à 2.30):

https://www.youtube.com/watch?v=8lPmsn3DeOI

Herman Kerhost

Le niveau intellectuel des commentateurs est consternant. L'affect a pris le dessus. On ne débat plus, on se plaint. "Maman, y'a monsieur Marchenoir qui fait que m'embêter !"

Mary Preud'homme pense qu'elle a le droit d'insulter tout le monde (et c'est ce qu'elle fait) sans jamais se prendre un revers en pleine poire. Voilà où on en est. Bravo, les gars !

Un conseil à ceux qui prennent la défense de Mary Preud'homme: allez donc faire un tour dans les archives du blog (pour Savonarole, ça ne devrait pas poser de problème, fouiller les archives de Google est déjà sa seconde passion - après em*erder le monde). Bien sûr, il faut aussi avoir trois ou quatre neurones qui circulent encore, et un peu de bonne foi pour tirer l'affaire au clair.

RM n'est pas (loin s'en faut !) la première personne à se farcir Mary Preud'homme ou le troll espagnol. Curieusement, ses deux-là ont souvent les mêmes cibles... Hier, c'était, entre autres, Jean-Dominique Reffait. Celui-ci ne désirait même plus répondre à celle-là, et de mémoire, n'a jamais jugé utile de répondre aux provocations journalières de Savonarole. JDR avait des choses intéressantes à dire, il devait donc être fusillé.

Il suffit de dire un truc qui ne plaît pas à certains commentateurs pour déclencher leur rage à n'en plus finir. Le ressentiment est leur moteur inconscient.

Mary Preud'homme

@ F68.10

Avec son humour décalé, duvent a l'art d'envoyer n'importe qui dans les cordes et surtout les prétentieux. Un talent qui a mis bien des fois Marchenoir et vous-même KO, ce qui fait bobo à votre ego.
Il serait donc très présomptueux de ma part de vouloir défendre une femme qui bien mieux que moi excelle dans l'art de la réplique et fait mouche à chaque fois...

Je n'ai jamais caché non plus que les "ni ni" et autres béni-oui-oui m'agacent prodigieusement et que je leur préfère de beaucoup ceux qui, à défaut de prendre parti, ont au moins la décence de se taire.

Concernant vos couplets embrouillés et contradictoires sur le racialisme, le sexisme etc. ils mériteraient de figurer dans le Guinness de l'hypocrisie.

Comme si l'on devait s'excuser d'être une femme, d'avoir tel âge, telle couleur de peau. Comme s'il fallait absolument éviter de mentionner tel ou tel détail de sa vie privée, une expérience, un vécu, de crainte de se faire railler méchamment, insulter et diffamer par un névrosé psychorigide.

Pour couronner le tout, vous venez de m'en apprendre une bonne : ainsi mon défunt mari était un "phénotype" non-européen, excusez du peu. Il était temps que je l'apprenne, j'aurais pu mourir sans le savoir dites donc !
Va falloir que j'en parle aux enfants et corrige ma biographie en ce sens...

Phénotype, génotype, monotype, stéréotype, quelle famille !!

F68.10

@ JM0001
"Les femmes enceintes de la France macronienne ont désormais le choix. Au terme de leur grossesse, et ce jusqu'au dernier jour, elles peuvent soit avorter soit accoucher. Ceci est un message du ministère de la santé, du confort et du bien-aise de la population."

N'importe quoi. Il s'agit d'interruption médicale de grossesse. Pas d'interruption volontaire de grossesse. Ce qui signifie que l'interruption pour motifs médicaux peut, dans l'ensemble, être relativement non-consensuelle.

Ce n'est pas exactement un "progrès des droits des femmes". C'est probablement parfois une solution, mais l'aspect "médical" et non pas "volontaire" n'en fait pas une sinécure, ni un droit, ni quoi que ce soit de funky pour la femme qui passe par là.

Certes, il s'agit là de "détresse psycho-sociale", sur le papier. Mais ce n'est pas parce que vous prétendez être en détresse psycho-sociale que le corps médical jugera que c'est le cas. Le risque d'arbitraire existe, toutefois. Mais vos propos relèvent dans l'ensemble de la propagande. Pas d'une analyse honnête de la question.

Lucile

@ Tipaza | 06 février 2021 à 06:10

Pobre de mi, que burla !
(burla : farce)
La Nonne espagnole

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@ Achille

Merci d'avoir répondu.

JM0001

Les femmes enceintes de la France macronienne ont désormais le choix. Au terme de leur grossesse, et ce jusqu'au dernier jour, elles peuvent soit avorter soit accoucher.

Ceci est un message du ministère de la santé, du confort et du bien-aise de la population.

Achille

@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37
""L'indulgence du jury ?" De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question."

L’infâme Laubardemont disait un jour : "Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme de France, et j’y trouverai de quoi le faire pendre." (Le Dico des citations)

À noter que pour les honnêtes femmes ça marche aussi !:)

Tipaza

@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37 (@ Achille)
""L'indulgence du jury ?" De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question."

Ah, chère Lucile, ce n'est pas la bonne question.
Vous essayer de rationaliser l'irrationnel, et ce faisant vous finissez par culpabiliser.
Il faut inverser la cause et la conséquence.
La bonne question c'est : pourquoi suis-je accusée.
Qu'y a-t-il chez ceux qui m'accusent, qui les poussent à m'accuser ?

Il faut porter le regard de l'anthropologue et parfois celui de l'entomologiste sur les commentaires et les commentateurs.
Et la partie devient passionnante, souvent même amusante.

Remarquez, vous pouvez aussi répondre avec l'humour de la nonne espagnole qui avait tant surpris.
Bref, hispanique ou anglo-saxonne, prenez de la distance, en restant présente. ;-)

F68.10

@ Mary Preud'homme (@ Lucile)
"Concernant duvent, qui aurait l'âge de ma fille ou de ma belle-fille d'après ses dires, il me semble qu'elle ne se laisse jamais influencer..."

C'est sûr qu'en se mettant du persil dans les oreilles, question isolation mentale, c'est assez béton.

"...sait garder son indépendance d'esprit et de jugement en toutes circonstances, tout en pointant avec humour l'angle juste d'attaque ou de défense afin d'affirmer son point de vue..."

Euh... non. Elle n'affirme aucun point de vue. Sauf de dire qu'elle est une femme et qu'elle n'aime pas les hommes car ils prennent les femmes pour des "hystériques, inutiles et idiotes traîtresses" (sic). Le niveau zéro de la pensée, en somme. Si elle a affirmé quelque chose de relativement intéressant, il faudrait m'en faire signe.

Il n'y a pas d'idées formulées, chez duvent. Vous ne la soutenez que parce qu'elle tape sur Marchenoir et moi-même. C'est du pur esprit partisan chez vous. Rien de plus.

"Et encore moins le courage de prendre parti comme l'ont fait ici quelques-uns."

Ah ! Et maintenant l'injonction de Mary Preud'homme à prendre parti ! S'agit-il d'une injonction à défendre Marchenoir ? Ou d'une injonction à le condamner ? Sûrement d'une injonction à en juger en toute liberté et en tout âme et conscience... Sûrement... Alors allons-y:

Jusqu'ici, j'ai dans l'ensemble évité de prendre position dans le conflit entre vous-même et Marchenoir sur le qualificatif de "traître à votre race" à votre encontre. Je n'apprécie que très peu qu'on ramène des thématiques raciales sur le tapis (et ce n'est un mystère pour personne que j'ai une opposition avec Marchenoir sur ce thème) et je renâcle à cautionner les attaques personnelles notamment visant la famille d'autrui.

Cela étant, Marchenoir vous a aussi signifié que ces qualificatifs ne tombent pas de nulle part. Et il vous a fourni une explication de sa position. Il y a deux options: 1. soit on prend position sur les positions racialistes de Marchenoir 2. soit on accepte - compte tenu, entre autres, que ce blog soit dans l'ensemble plus à droite que ma personne... - que des positions racialistes relèvent de la liberté d'opinion, et il convient alors de prendre position dans ce contexte sur ses propos à votre encontre dans un contexte où (selon lui) vous instrumentalisez votre vie familiale afin d'imposer une doxa "antiraciste" (selon lui).

C'est dans ce contexte qu'il convient de juger ses propos. Si on souhaite procéder à un minimum de distinctions. Sinon, on peut dire "méchant raciste", mais j'avoue que j'en ai ma claque des simplismes. Ou on peut aussi affirmer que c'est mal de s'en prendre à la famille d'autrui, mais ce n'est pas exactement ce que fait Marchenoir non plus: il ne condamne aucunement le fait que vous vous soyez mariée avec une personne de phénotype non-européen.

Il s'oppose surtout à l'argumentation que vous tirez de votre expérience personnelle sur un sujet qui est beaucoup plus vaste.

Malgré mon opposition avec Marchenoir sur le racisme et le racialisme, il a de mon point de vue raison de s'opposer vigoureusement à cette attitude rhétorique qui est la vôtre. Maintenant, personnellement, j'emploierais franchement d'autres mots...

Voilà: j'ai fait ma B. A. J'ai eu "le courage" de "prendre parti": je viens de taper sur les doigts de Marchenoir. Je vous laisse donc et retourne à Harry Potter et le prince de sang-mêlé.

Mary Preud'homme

@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37

Il me semble que le vocable "conflit" soit pour le moins impropre (sinon fort indulgent) dans le cas d'une agression répugnante et diffamation à sens unique en l'occurrence, laquelle ne date pas d'hier.

Quant à mes souhaits, rien d'autre que ceux d'un peu de silence des "sans opinion" ne se prononçant jamais à votre image lissée, faute d'attendre de leur part l'élémentaire franchise de nommer les choses et les faits tels qu'ils sont. Et encore moins le courage de prendre parti comme l'ont fait ici quelques-uns.

Lucile

@ Achille | 05 février 2021 à 19:42

"L'indulgence du jury ?" De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question.

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@ Mary

Ce n'est pas parce que vous avez un conflit avec Robert Marchenoir que vous en avez un avec moi. Sauf si vous le souhaitez.

Mary Preud'homme

@ Lucile | 05 février 2021 à 14:55
"Heureusement beaucoup réussissent encore à écrire des commentaires intéressants sans cultiver rageusement leurs antagonismes."

Vous voulez sans doute faire allusion à votre ami Marchenoir, toujours si convaincant dans l'art de manier le dialogue contradictoire et tellement convivial ? MDR

Quant à Savonarole c'est un seigneur comme je l'ai déjà écrit, si bien que lui faire la roue pour lui complaire aboutirait au résultat inverse.
Idem pour sbriglia qui m'a souvent égratignée et moqué mon côté belliqueux, mais dont j'ai pu reconnaître à maintes occasions les qualités humaines.
Concernant duvent, qui aurait l'âge de ma fille ou de ma belle-fille d'après ses dires, il me semble qu'elle ne se laisse jamais influencer, sait garder son indépendance d'esprit et de jugement en toutes circonstances, tout en pointant avec humour l'angle juste d'attaque ou de défense afin d'affirmer son point de vue...

F68.10

@ duvent
"Si c'est possible pour vous, ça devrait l'être pour moi aussi, qu'en pensez-vous ?"

Tout à fait ! Et c'est bien pour cela que je me permets de vous affirmer que ce serait sympa que vous me lâchiez les basques. Parce que c'est mon bon plaisir que de vous le notifier.

Maintenant, sur le fond, vous n'apportez rien à la discussion, hormis me notifier que devrais enfin adopter vos valeurs, sentiments, us et coutumes. Et je vous le dis tout net: non.

"Mais vous avez bien raison de ne pas être gêné, il y a juste un petit problème, c'est que vous parlez plus de féminité que n'importe quelle femme sur ce blog, est-ce-que vous ne trouvez pas ça étrange ?"

Non: c'est vous qui nous la ramenez systématiquement en pleine face et qui ensuite jouez les vierges effarouchées parce qu'on vous le fait remarquer. Vous inversez les rôles, et vous le savez.

"Il est vrai que je ne peux pas me défaire aisément de la mienne, j'ai pensé un temps me faire pousser une moustache, et j'ai hésité longuement sur le style, plutôt Hitler, Charlot, ou Oliver Hardy ?? Je n'ai pas su choisir, les femmes sont tellement nulles en « moustacherie »..."

Demandez aux homosexuels, alors. Ils sauront vous conseiller. Cuir moustache, comme on dit.

"Bref ! Revenons à nos moutons..."

Non. Vous ne faites aucune remarque intéressante ni de substance. Vous pourrissez la discussion pour le plaisir de manifester votre ire. Inintéressant.

"Écoutez, il faut que je vous laisse, là tout de suite, je dois retrouver mon honneur que j'ai oublié sur le comptoir du café des bons amis..."

Passez-lui le bonjour quand vous l'aurez retrouvé. Quant à moi, je vais me détendre avec Harry Potter. Plus intéressant que votre personne.

Achille

@ Lucile | 05 février 2021 à 14:55
« Alors comme ça, je passe en conseil de discipline. »

En fait dans ce conseil de discipline je joue plutôt le rôle de délégué de classe qui essaie d’obtenir l’indulgence du jury pour ma camarade de blog.
Mais je reconnais que vous avez en Lodi un allié précieux qui sera toujours présent pour assurer votre défense avec une belle pugnacité.

Concernant Marchenoir, pas de souci pour lui, il a son fidèle Hermann qui surveille tout ce qui se dit sur le blog et surgit comme un diable de sa boîte dès que quelqu’un tient des propos inconvenants sur son champion.

duvent

@ F68.10 | 05 février 2021 à 15:16
« En gros: lâchez-moi les basques. »

Est-ce-que vous m'autorisez à vous citer ?

« ...je fais ce que bon me semble. »

Si c'est possible pour vous, ça devrait l'être pour moi aussi, qu'en pensez-vous ?

« Et si je précisais bien que je ne revendique aucune compétence en matière de déploiement de serviettes hygiéniques, c'est bien pour vous signifier que votre obsession à toujours ramener votre féminité en avant pour décrire les mâles, et par extension le premier contradicteur mâle qui vous déplaît, comme des ordures, c'est bien malhonnête, inepte, hors-propos, trollesque. Et il convient de vous le faire remarquer sans aucune gêne. »

Mais vous avez bien raison de ne pas être gêné, il y a juste un petit problème, c'est que vous parlez plus de féminité que n'importe quelle femme sur ce blog, est-ce-que vous ne trouvez pas ça étrange ?
Personnellement, cela ne me dérange pas que vous parliez de féminité, de la mienne ou de la vôtre, il ne faut pas se gêner pas vrai ?

Il est vrai que je ne peux pas me défaire aisément de la mienne, j'ai pensé un temps me faire pousser une moustache, et j'ai hésité longuement sur le style, plutôt Hitler, Charlot, ou Oliver Hardy ??
Je n'ai pas su choisir, les femmes sont tellement nulles en « moustacherie »...

Bref ! Revenons à nos moutons...

Avez-vous remarqué qu'il manque des lettres à votre abécédaire ? J'en ai appris plein d'autres, très jolies, que je brode les jours de pluie devant ma fenêtre, sur des mouchoirs en dentelles pour les phtisiques 19 et 20 et 21...

Alors quand je lis mon portrait sous votre plume, je suis émue :

« Mais votre mépris et votre condescendance ainsi que vos injonctions visant à déterminer à la place d'autrui ce qui doit leur importer vous déshonorent. »

Pourquoi, me direz-vous ? Mais parce que vous croyez qu'une bougresse dans mon genre pourrait souffrir du déshonneur, mais de quoi parlez-vous exactement ??
Allez jusqu'au bout de votre raisonnement, parce qu'il manque quelque chose qui s'appelle la logique, et c'est ainsi que lorsqu'on mésestime quelqu'un, on ne vient pas lui faire le coup du déshonneur.

Écoutez, il faut que je vous laisse, là tout de suite, je dois retrouver mon honneur que j'ai oublié sur le comptoir du café des bons amis...

JM0001

Nous admirons et remercions tous ces camarades qui fouillent Tiktokandwikiki inlassablement pour nous en rapporter des sédiments dont nous n'avons que faire.

F68.10

@ duvent
"La prochaine fois que vous aurez envie de parler de « serviettes hygiéniques » ou de « votre mère », il conviendra de me prévenir quelques jours avant..."

Euh non... je fais ce que bon me semble. Et si je précisais bien que je ne revendique aucune compétence en matière de déploiement de serviettes hygiéniques, c'est bien pour vous signifier que votre obsession à toujours ramener votre féminité en avant pour décrire les mâles, et par extension le premier contradicteur mâle qui vous déplaît, comme des ordures, c'est bien malhonnête, inepte, hors-propos, trollesque. Et il convient de vous le faire remarquer sans aucune gêne. Ni permis décerné de votre autorité.

"Si d'aventure vous étiez très occupé à des choses très importantes, il me paraît judicieux, voire recommandé, d'économiser votre énergie à des fins plus grandes et plus utiles que de venir répandre avec une constance qui m'éblouit votre ressentiment dont l'efficience et l'utilité est égale à la râpe à parmesan sur une andouillette de Vire.
Je vous dis cela par pure bonté !"

Ah oui. Mais bien sûr. Vous me donnez encore des conseils sur ce que doivent être mes aspirations. Par pure bonté, bien sûr. C'est sûrement ce côté féminin et maternel que vous brandissez en bouclier ou glaive rhétorique qui vous autorise probablement à penser à la place des autres. Je me trompe ?

"...de façon à ce que je puisse prendre des renseignements hautement scientifiques, car malheureusement, je dois le reconnaître, et cela m'est pénible, je n'ai pas de compétence satisfaisante en ces deux domaines, dont il semblerait que le second me soit totalement inconnu..."

Vous semblez bien fière de votre ignorance revendiquée. Mais puisque que vous vous enquérez d'à quelles superbes et supérieures fins j'emploie mon temps libre dans le cadre du vaste plan cosmique qui nous occupe tous perdus que nous sommes sur notre magnifique petit caillou... je me permets de vous donner satisfaction.

Alors voilà: prenez un ensemble et interprétez une relation ternaire dessus liant trois éléments a, b et c en une assertion ab→c. Considérez quatre règles d'inférence h-inductives (au sens de B. P. et I. ben Y.) du type suivant:

xy→u   xy→u   xv→w   xv→w
yz→v   uz→w   yz→v   uz→w
----   ----   ----   ----
xv→w   xv→w   xy→u   xy→u
uz→w   yz→v   uz→w   yz→v

Théorème de F68.10: sous l'hypothèse que la relation ternaire → interprète une loi de composition partiellement définie, ces règles d'inférence h-inductives axiomatisent les groupoïdes.

Voilà. Vous n'en avez très probablement rien à faire des choses pas entièrement triviales qui occupent parfois mon temps libre. D'autres, dans des instituts respectés, s'en moquent - peut-être - un peu moins. Moi, je considère cela utile. Vous, apparemment, les valses de Méphistophélès vous bottent un peu plus. Mais votre mépris et votre condescendance ainsi que vos injonctions visant à déterminer à la place d'autrui ce qui doit leur importer vous déshonorent.

En gros: lâchez-moi les basques.

Lucile

@ Lodi

Je suis vraiment très touchée de votre passage me concernant, parce que je dois l'avouer, même si je me suis fait une raison, les attaques personnelles m'intimident et me chagrinent d'où qu'elles viennent ; et donc un commentaire sympathique apaise les morsures subies par l'ego.

J'ai fini par comprendre que pour certains les cultures françaises et anglaises sont en opposition, et si l'on aime l'une cela implique forcément à leurs yeux que l'on ignore l'autre ou qu'on lui manque de respect. Pour moi ça ne marche pas comme ça - pour vous non plus, c'est évident - mais bon, les gens sont comme ils sont, comme on dit au café du commerce. Pour la culture, il me manque des pans entiers de connaissances, et je ne fais aucun effort pour m'y mettre car je suis dilettante. Je picore là où me mène ma fantaisie. Mais je picore beaucoup, et j'ai de la mémoire.

Ceux que vous appelez "les cinglants" rendent la participation au blog épineuse ; de plus en plus, on y marche sur des œufs, et ce n'est pas bien plaisant. Il faut s'y faire, donc on s'y fait. Mais où est le plaisir ? Heureusement beaucoup réussissent encore à écrire des commentaires intéressants sans cultiver rageusement leurs antagonismes.

Merci encore, cher Lodi.

--------------------------------------------------

@ Achille

Je pense que vous avez un bon fond, mais je suis un peu consternée de vous voir discuter mon cas avec Savonarole, surtout pour lui dire que vous êtes moins "sévère" que lui à mon égard. Je sais bien que vous pensez plaider ma cause, et je vous en remercie, mais enfin, quelle faute ai-je commise au juste ? Alors comme ça, je passe en conseil de discipline. Dans le cas de Savonarole, ce n'est pas de la sévérité, c'est de l'antipathie.

Ni lui ni vous n'êtes mes juges ou le censeur du pensionnat. Tiens, ça me rappelle des souvenirs. Dans mon lycée, la surveillante générale était hommasse, courte sur pattes, et elle avait de la moustache. Elle portait des lunettes rondes comme des hublots, avec des verres très épais qui lui faisaient des petits yeux noirs brillants ; elle avait un chignon serré, une démarche dandinante, et une voix traînante. En fait, on l'imaginait comme ça plus qu'on ne la voyait, car elle était omniprésente mais isolée dans son bureau, un lieu où il ne faisait pas bon se trouver. Elle s'appelait Mademoiselle Merlin, comme l'enchanteur. Vous ne voudriez tout de même pas lui ressembler.

Je me suis quand même aperçue un jour qu'elle était fort gentille, et elle a même fini par me sourire. Je ne désespère donc pas tout à fait, en ce qui vous concerne du moins, parce que pour Savonarole, ça sera plus difficile....

Une autre petite remarque, vous disiez plus haut que vous étiez prêt à vous sacrifier pour un jeune. Je ne sais pas d'où sort cette idée. Il y a de la place pour tous, et je ne vois pas en quoi la mort prématurée des vieux peut permettre aux jeunes de mieux vivre. La propagande gouvernementale fait croire aux jeunes qu'on les a "sacrifiés" pour prolonger les vieux. Laissez-moi rire. Si on regarde les chiffres, ni les jeunes ni les vieux n'ont été spécialement protégés. Ces derniers parce qu'ils sont morts à la pelle et qu'on ne les laissait pas venir "encombrer" les hôpitaux... les jeunes parce qu'une ère de pauvreté s'annonce maintenant pour eux, et pour leur avenir. Bien sûr on dira aux vieux qu'on a fait tout ça pour eux, et qu'il faut passer à la caisse, c'est bien normal après tout qu'ils donnent leurs économies, déjà que certains ont encore l'audace de vivre après 80 ans. Commencer à faire croire que les vieux restent en vie au détriment des jeunes est une honte absolue. Une étude a été faite sur la question : de tous les pays du monde, ce sont la France et l'Italie qui colportent le plus ce raisonnement binaire, et pernicieux, digne d'un film catastrophe.

duvent

@ F68.10 | 04 février 2021 à 19:50

Vous, vous êtes un drôle !
Je n'ai guère la passion de vos écrits, mais je retiens le meilleur, qui se résume à peu...
Si d'aventure vous étiez très occupé à des choses très importantes, il me paraît judicieux, voire recommandé, d'économiser votre énergie à des fins plus grandes et plus utiles que de venir répandre avec une constance qui m'éblouit votre ressentiment dont l'efficience et l'utilité est égale à la râpe à parmesan sur une andouillette de Vire.
Je vous dis cela par pure bonté !

Par ailleurs, je dois vous préciser (parce que ma bonté est illimitée) que c'est en vain que vous descendez la poubelle que je suis, et plus vainement encore, passez votre coup de balai...

La prochaine fois que vous aurez envie de parler de « serviettes hygiéniques » ou de « votre mère », il conviendra de me prévenir quelques jours avant, de façon à ce que je puisse prendre des renseignements hautement scientifiques, car malheureusement, je dois le reconnaître, et cela m'est pénible, je n'ai pas de compétence satisfaisante en ces deux domaines, dont il semblerait que le second me soit totalement inconnu...

Ayant un sens du devoir qui confine au délire, je me ferai un point d'honneur de vous donner des réponses à la mesure de votre attente vertigineuse...

Achille

@ Savonarole | 04 février 2021 à 22:02

Je ne serai pas aussi sévère que vous concernant Lucile, même s’il est vrai qu’elle semble fascinée par les connaissances des deux hyperactifs du blog et accepte d’échanger notamment avec Marchenoir malgré ses propos indignes envers Mary Preud’homme. Mais c'est sans doute son attirance pour les "intellectuels" qui veut ça...

De même F68.10 ne tient jamais de propos vraiment agressifs, ou alors cela m'a échappé. J’avoue que je ne suis pas tous ses commentaires qui sont souvent hors sujet et d’une longueur qui me font renoncer à les lire en entier.
Il me fait plutôt penser à ces surdoués un peu à l’étroit dans ce monde trop normal et donc qui n’est pas à leur démesure.
Bref, pas le mauvais bougre finalement, mais franchement invasif pour ne pas dire envahissant. Mais il paraît que je le suis moi-même selon certains commentateurs de ce blog, alors je ne saurais lui en faire grief… :)

duvent

Oh ! Comme cela est fâcheux, le grand, le puissant, l'inénarrable Marchenoir reste muet, tandis que les sapeurs-pompiers veillent... Jusqu'ici, tout va bien...

Mais enfin, j'ai écrit « fâcheux » ! Ce mot est trop faible, il est même complètement inapproprié, que dis-je, il ne traduit pas du tout le désarroi dans lequel me plonge le silence du Minotaure et les caquètements de la basse-cour. Il ne décrit pas la réalité, car ce qui a été infligé à Marchenoir peut être qualifié d'injustice affreuse, d'ignoble offense, de terrible affront.

Dès lors, je regarde cette petite armée d'affidés piétiner le sol, faire monter la poussière, piailler férocement, et je m'inquiète, et je me perds en conjectures. Est-ce que par un hasard dont je ne sais rien, j'y serais pour quelque chose ??
NON, pas du tout, et comment cela serait-il possible, je vous le demande ??

Non, non, non, Sa Majesté Marchenoir ne se commet pas, et comme elle a raison !
Tandis que SMM mâchouillait sa petite rengaine amère, la folie gagnait du terrain, et elle s'en prenait maintenant aux corps sains abritant des esprits plus sains encore...
Mais la petite armée doute et craint le pire pour SMM, la voilà qui s'organise un peu nonchalamment, SMM, pendant ce temps, hurle à qui veut l'entendre : Noli me tangere !!

Et moi, bonne camarade, je veux bien l'entendre, je lui tends aimablement quelques délices de Capoue, et je lui susurre : Ô athlète contrefait, gymnaste au ruban, petit voltigeur, « tu sais vaincre, mais tu ne sais pas profiter de la victoire » !

Une plume en tungstène, une encre fielleuse préparée par une femme (car il est écrit partout que 7 fois sur 10, derrière le poison se trouve une femme... Etrange ! Bizarre !), voilà les attributs de ce quasi Dieu...
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...

P.-S.: merci à Mme Preud'homme pour le partage, je ne connaissais pas.

Achille

@ F68.10 | 04 février 2021 à 15:07

Concernant le professeur Didier Raoult, je ferai les remarques suivantes :

1- Il ne fait pas partie de ces médecins, qu’ils soient d’éminents épidémiologistes, simple médecins généralistes, syndicalistes qui passent leur temps sur les plateaux de télévision pour nous expliquer doctement ce que le gouvernement devrait faire ou ne pas faire, fort de leurs dix ou quinze années d’études, ce qui ne les empêche nullement de se contredire entre eux quand ils ne se contredisent pas eux-mêmes.

Je pourrais citer dans ce registre, l’incontournable professeur Philippe Juvin, mais aussi Martin Blachier, Jean-Paul Hamon, Patrick Pelloux , Rachida Inaoui-Rozé, Brigitte Milhau. Cette dernière étant devenue carrément animatrice dans la matinale de CNews.

En fait Didier Raoult est en permanence dans son institut hospitalo-universitaire et les journalistes pour l’interviewer doivent se rendre dans son bureau. Ceci plaide plutôt en sa faveur.

2- Tout les détracteurs de Raoult, y compris ses confrères les plus éminents, reconnaissent ses compétences concrétisées par des distinctions pour ses travaux dans le domaine médical.

Je suis bien incapable de donner un avis éclairé sur ses propos qui vont à contre-courant de la politique qui est appliquée actuellement par le gouvernement, mais je ne me permettrais pas de le considérer comme un farfelu, même si son look et son comportement le font plus passer pour un savant fou que pour une sommité mondiale du domaine médical.

Je pense qu’il est possible pour les plus grands experts de se tromper, cela s’est déjà vu par le passé. Il est possible aussi qu’il ait raison contre tout le monde, mais cela nous ne le saurons que dans quelques mois quand la pandémie sera derrière nous. En espérant que cela ne tarde pas trop car un vent de folie est en train de régner sur les plateaux TV depuis trop longtemps déjà et il est temps d’arrêter la partie, car les Français sont au bord de l’implosion, et pas seulement les Français d’ailleurs.

JM0001

Ai-je vécu assez longtemps pour me payer le plaisir raffiné d'avoir à défendre Marchenoir Robert ?

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