Une action de groupe a été lancée contre les contrôles au faciès (Le Monde) et un front se qualifiant de progressiste, mêlant hostilité à l'égard de la police et méconnaissance de la réalité sociale, s'en félicite, la percevant comme un immense progrès.
Le faciès étant entendu comme un aspect du visage ou l'expression humaine d'un visage, il est facile de percevoir ce que cette dénonciation signifie : les personnes d'origine maghrébine et/ou africaine seraient infiniment plus contrôlées que celles dont "la peau est blanche", ce dernier point ayant été incriminé par le président de la République lors de son entretien dans Brut, au grand dam du syndicat Alliance.
En schématisant, deux sortes de contrôles peuvent être effectués par la police, à titre préventif pour ce qui relève de l'ordre public et avec une finalité judiciaire relative à la poursuite des infractions et à l'identification de leurs auteurs.
J'admets bien volontiers que le jeune maghrébin ou africain qui est interpellé dix fois dans la même journée, sur des critères qui ne paraissent pas juridiquement pertinents, est tout à fait fondé à s'indigner mais je ne suis pas sûr que, pour bien connaître l'institution policière, et la défendre quand elle ne transgresse pas les règles dont le respect fait son devoir et son honneur, cette pratique répétitive soit son quotidien.
Il faut accepter de regarder la réalité en face, et non pas au faciès, sauf si on admet par principe que les seuls faciès à ne jamais soupçonner ou vérifier seraient ceux des populations maghrébines ou africaines.
Pour ma part, si j'osais, et à mon sens nous ne tomberions pas dans un Etat policier mais seulement policé, je ne verrais aucun inconvénient à ce que les contrôles d'identité puissent être accomplis sans justification particulière, sinon celle de connaître qui a le droit de demeurer en France, citoyens irréprochables ou recherchés, et qui y réside illégalement, sans aucun titre. À parcourir certains quartiers populeux ou privilégiés, je devine ce que des contrôles d'identité inspirés par ce seul souci de parfaite connaissance de ce que la société française porte en son sein pourraient apporter de bienfaisant et de transparent.
On pourrait, dans un monde idéal, planifier et équilibrer à la perfection, sur les plans préventif et judiciaire, les contrôles : un Blanc, un Africain, un Maghrébin, un Asiatique, etc. On devine bien comme dans la France d'aujourd'hui ce serait une utopie.
Il y a des cités où, sauf à ne plus contrôler personne, l'immense majorité est africaine ou arabe.
J'ai connu des lieux, par exemple un dimanche soir gare du Nord il y a quelques années, vers minuit, où j'étais le seul Blanc au milieu d'une multitude toute de diversité. Je le constate, je ne m'en plains pas, je relève seulement que dans ces conditions, oser reprocher à la police des contrôles au faciès serait injuste.
Par ailleurs, si j'ai toujours insisté sur le fait que la globalité n'a aucun sens et est même choquante - c'est mon désaccord avec Eric Zemmour -, je n'éprouve aucune difficulté, en revanche, à souligner que dans la plupart des procédures ayant conduit à des affrontements avec la police et parfois à des issues regrettables ou même tragiques, les mis en cause étaient beaucoup plus souvent des Africains et des Maghrébins que des blancs. C'est une donnée incontestable que sociologiquement et sur le plan de la sécurité il est facile de vérifier.
Constater cette prédominance n'a rigoureusement rien à voir avec du racisme et les contrôles au faciès qu'évidemment on aurait reprochés à la police ou à la gendarmerie étaient pourtant parfaitement légitimes.
J'ai été contrôlé à plusieurs reprises dans le métro et j'en ai été très heureux dans mon for intérieur. Je n'ai pas cherché à fuir. Je n'ai insulté personne.
J'use de mon exemple pour montrer à quel point une multitude de citoyens "dont la couleur de peau est blanche", pour reprendre l'expression du président, n'auraient pas la moindre once de répugnance républicaine si elle était contrôlée, de même d'ailleurs que nombre d'Africains et de Maghrébins irréprochables.
Derrière cette offensive contre les contrôles au faciès, il y a beaucoup de démagogie, la volonté naïve de croire que des populations que le progressisme chouchoute ne sont constituées que de gentils et d'aimables jeunes gens et que la police est méchante.
Alors que l'insécurité est à son comble et que notre société est en état fracture et de dislocation, notamment à cause de phénomènes de violence gratuite et illimitée, je ne crois pas que le moment soit bien choisi pour nous affaiblir encore davantage.
Je rappelle cette banalité : notre adversaire n'est pas la police mais celui qu'elle interpelle, que la justice poursuit, condamne, et dont elle fait, on peut l'espérer, exécuter la peine.
@ Bill Noir | 05 août 2021 à 08:03"Mieux vaut ne pas penser à ce qui arrivera quand on en sera au variant Oméga."
En même temps que le variant Oméga, une méga-invasion de migrants arabo-africains continuera à venir nous coloniser, sans papiers, sans foi ni loi, sans vaccin, sans pass, sans gestes barrières ni distanciations qui seront réservés et recommandés aux seules populations blanches de souche afin d'avoir un tout petit espoir d'éviter les nombreux coups de couteau qui seront distribués sans modération ni ménagement pour nous signifier de quitter leur nouveau territoire conquis grâce aux mafias immigrationnistes collabos UE, ONG, partis de gauche PS PCF EELV LFI du grand parrain Macron.
Évidemment, Zemmour a été condamné pour avoir révélé ce terrible secret qui se déroule quotidiennement sous nos yeux, en chair et en os ; la chair couleur sang et l'os dans le cercueil.
Population qui, je le répète, mérite ce sort funeste qui l'attend ; s'inquiéter seulement pour savoir si on pourra aller au resto et sur les plages cet été prouve le niveau de crétinerie de ce populo abâtardi par la propagande officielle islamo-macronienne.
Rédigé par : sylvain | 05 août 2021 à 10:59
MADAME COVID DANS LE MONDE
On sonne l'alarme face au variant Delta.
Mieux vaut ne pas penser à ce qui arrivera quand on en sera au variant Oméga.
Rédigé par : Bill Noir | 05 août 2021 à 08:03
@ Lucile
"Je ne prétendais pas cela, et ça me chagrine que vous m'en prêtiez l'intention. C'est la citation d'un conseiller de ministre, rapportée par le journal Libération, disant qu'Emmanuel Macron voulait pourrir la vie des gens qui ne se vaccinaient pas, "leur faire ne vie de mer.e" pour les obliger à se vacciner."
Alors, non, je ne vous en prête pas l'intention. C'est simplement que, ne fréquentant plus la télévision ou la radio, je ne suis pas l'actualité de cette manière et n'étais pas au courant de cette phrase d'un conseiller de Macron. Alors, oui, sans ce contexte, il était naturel que je parte du principe que vous qualifiez alors mon comportement. Ce qui aurait été votre droit le plus strict. Mais je corrige donc ici mon tir. Merci de me le signaler.
"Je ne sais pas si c'est vrai, j'espère que non ; je trouve ça assez vicieux et lâche de la part d'un responsable politique."
La seule source "primaire" de ce propos, je la trouve chez Jean-Marc Chipot, qui, en tant qu'affilié à Dupont-Aignan n'est pas d'une fiabilité sans faille à ce sujet... Cela étant, deux remarques:
1. C'est quand même un peu le sens du pass vaccinal que de faire une vie de m*rde aux non-vaccinés. Maintenant, outre que j'approuve la mesure et qu'on peut toujours décider d'arrêter de se prendre la tête pour rien et d'imposer la vaccination sans barguigner et sans pass sanitaire, cette phrase peut avoir été prononcée dans de multiples contextes et n'est pas nécessairement irrespectueuse selon le contexte.
2. Si tout ce qu'affirme Jean-Marc Chipot est intégralement exact, cela ne me surprendrait pas. Il existe une réelle culture de l'autoritarisme et de l'absence de débat en France, et nous en crevons. L'administration s'y complaît, d'ailleurs. Donc, moi, je veux bien être encore plus brutal qu'un vulgaire complotiste sur ce point. Sauf que je prône la votation pour y remédier, et que le vulgaire complotiste prône la manifestation et l'insubordination sans borne au parlementarisme. C'est là toute la différence. Mais je pense que vous l'aviez compris.
"J'ai cité Kim, le médecin coréen, parce qu'il est d'une honnêteté convaincante depuis le début de l'épidémie, malgré son pessimisme."
Cette culture complètement verticale de l'autorité en France aboutit exactement à ce que vous déplorez: nos experts et politiques en deviennent inaudibles. Et votre Coréen a plus d'impact au niveau mondial. Mais tant que le complotisme continue à prendre racine, votre Coréen, aussi respecté soit-il dans le monde, restera accusé d'être à la solde de Big Pharma et un valet du gouvernement aux ordres de Macron. Même s'il est... coréen... c'est là, le danger de cette culture qui se met en place.
Je suis le premier à constater que nous sommes là dans ce que les Anglo-Saxons appellent un catch-22. Et nous l'avons cherché.
Rédigé par : F68.10 | 05 août 2021 à 02:25
@ F68.10 | 03 août 2021 à 18:29
"C'est trop facile de prétendre que je leur fais une vie de mer*e"
Je ne prétendais pas cela, et ça me chagrine que vous m'en prêtiez l'intention. C'est la citation d'un conseiller de ministre, rapportée par le journal Libération, disant qu'Emmanuel Macron voulait pourrir la vie des gens qui ne se vaccinaient pas, "leur faire ne vie de mer.e" pour les obliger à se vacciner. Je ne sais pas si c'est vrai, j'espère que non ; je trouve ça assez vicieux et lâche de la part d'un responsable politique. J'ai cité Kim, le médecin coréen, parce qu'il est d'une honnêteté convaincante depuis le début de l'épidémie, malgré son pessimisme.
Rédigé par : Lucile | 04 août 2021 à 21:34
@ Aliocha
"Mon sujet n'est pas théologique. Que faire pour faire entendre cela ?"
Bien sûr que si, Aliocha. C'est très précisément un sujet théologique.
J'ai été patient, fut un temps avec vous, quand vous essayiez de me faire mariner avec Girard en utilisant le mot "anthropologie" à toutes les sauces.
Cela n'a jamais fait illusion. J'ai été cool avec vous en vous expliquant en quoi l'anthropologie était censé être une science, et vous m'avez prouvé par A + B que vous ne comprenez pas plus ce que signifie le mot science que vous ne comprenez le sens du mot anthropologie.
Vous alignez les mots en prétendant énoncer des vérités anthropologiques alors que vous ne faites que ressasser une théologie de niveau assez vil, et peu impressionnante. Tout en semblant prétendre que "théologie" est un mot vil, ce qu'il n'est pas.
Vous ne comprenez rien à rien, vous le prouvez à longueur de temps, et vous êtes l'archétype de personnes qu'il convient de ridiculiser ou même d'insulter si nécessaire, selon les modalités que j'ai exposées à Lucile.
Rien que la ligne suivante:
"Les idées n'existent qu'en leur incarnation, il est donc inutile de vouloir les tuer, ce n'est simplement pas nécessaire, il suffit de les contredire pour les démonter."
Je suis navré de vous le dire, mais vous êtes désespérant à la lecture et bel et bien un crétin: les idées ont bien un cycle de vie: elles naissent, vivent, se déploient dans le temps et l'espace en se reproduisant dans les esprits des humains et meurent quand plus personne n'y croit.
Qui croit encore en Zeus, à l'heure actuelle ? Personne. Cette idée a vécu et est maintenant morte.
Les idées peuvent donc bel et bien mourir. Et on peut les tuer si on s'y prend bien.
Quand donc allez-vous arrêter d'écrire des contre-vérités flagrantes ? Puis de vous plaindre qu'on est trop long quand on vous explique vos erreurs ?
Rédigé par : F68.10 | 04 août 2021 à 12:48
Mon sujet n'est pas théologique. Que faire pour faire entendre cela ?
Les idées n'existent qu'en leur incarnation, il est donc inutile de vouloir les tuer, ce n'est simplement pas nécessaire, il suffit de les contredire pour les démonter.
L'anthropologie que je défends est une éthologie des comportements religieux, connaissance scientifique de ceux-ci qui dégage l'organisation nécessaire à la contention de la violence sociale du groupe humain.
Le débat n'est donc pas théologique, l'athéisme est à mon sens parfaitement légitime, dans la mesure où il admet la description objective de la genèse des dieux décrite dans les textes, pouvant parfaitement être pris pour des fables, des histoires racontées qui décrivent notre réalité toute humaine et ses systèmes de représentation.
Le comportement des institutions religieuses a enfermé cette réalité pour s'associer aux systèmes d'oppression sociale, décrivant une transcendance qui n'a d'autre but que d'imposer un ordre par la force, alors que les textes décrivent ce qui est la faiblesse de cette organisation basée sur un mensonge, et donc vouée à l'échec.
Il est donc vain de vouloir mimer ces intégrismes au nom d'un athéisme qui ne sera que la copie en son organisation de l'erreur pourtant objectivement dénoncée, ne sachant avoir pour imposer ses vues que la réédition du rituel d'expiation, ce sadisme revendiqué par notre athée radicalisé, qui ne sait s'exprimer que par l'idée du meurtre qui, dans les systèmes archaïques, est le fondement généalogique et artificiel d'une fausse divinité seule à même d'imposer un ordre qui saurait réguler les rivalités sanguinaires de ces prédateurs que sont les humains.
Il est à mon sens préférable d'accéder à cette connaissance objective de ce fonctionnement mental de représentation qui permettrait de renoncer à toute violence rivalitaire au bénéfice de cette rationalité apaisante, la connaissance n'étant plus un moyen de répéter symboliquement, là est la déviance religieuse, le meurtre, mais d'apprendre à s'en passer, se désaccoutumant de cette mauvaise habitude toxique et létale pour accéder à un nouveau stade d'évolution mieux à même d’appréhender notre réalité.
On pourra bien sûr décrire ce pragmatisme comme théologique, on ne saura alors que démontrer sa propre religiosité aveugle qui ne tient qu'à une chose, légitimer sa propre violence archaïque.
Rédigé par : Aliocha | 04 août 2021 à 08:21
La question la plus stupide de la semaine : « Les bars et les discothèques favorisent-ils les contaminations ? »
Rédigé par : Bill Noir | 04 août 2021 à 08:04
Pour une fois, j'ai envie de relater mon expérience personnelle sur ce sujet. Je ne suis pas contrôlé par la police, on me jauge et on me laisse passer. Pourtant, l'été, je suis bien bronzé, à cause de mes origines ibériques.
Dans les transports, on me contrôle une fois par an, par routine, je suis en règle et je valide mon titre de transport.
Par contre, quand je prends l'avion, je subis le syndrome du contrôle au faciès et au passeport où il est écrit que je suis né en Algérie. Parfois, dans certains pays, le contrôle peut durer longtemps, plus qu'en France en tout cas. Je n'en veux à personne, je constate, je peux comprendre que cela puisse indisposer.
Les autorités françaises sont sympas en comparaison d'autres pays. La France n'est vraiment pas une dictature, même pas un régime autoritaire. On est bien en France.
Rédigé par : vamonos | 03 août 2021 à 19:46
@ Aliocha
"Ou comment noyer le poisson en faisant long pour dissimuler ses incompréhensions..."
Euh... non. Je ne fais pas long. Je fais court. Je me cite:
Pour éviter les guerres de religion, tuons les idées plutôt que les gens.
13 mots. C'est court. Court à formuler. Mais, oui, c'est long à expliquer à un public d'intolérants qui n'ont toujours pas compris qu'ils ont raté une marche essentielle dans l'établissement d'une culture du débat en massacrant les protestants. Cela ne date pas d'hier: 1572...
La liberté de conscience est en effet historiquement en germe dans les positions de Martin Luther. 1517. Pas dans le catholicisme. Et vous, Aliocha, êtes toujours incapable d'enclencher un débat, y compris dans le domaine théologique. Nous sommes encore au XVIe siècle avec vous...
D'ailleurs, Luther ne dit pas autre chose que moi: lui aussi prône la raison et le débat, qui se doit d'être effectif avec un ultima ratio, et ce afin de ne pas avoir à trancher les arguments par la violence. Thèse n° 90: "Vouloir soumettre par la violence ces arguments captieux des laïques, au lieu de les réfuter par de bonnes raisons, c'est exposer l'Eglise et le Pape à la risée des ennemis et c'est rendre les chrétiens malheureux."
Jamais Luther n'a prôné la thèse que toutes les idées se valaient et que toutes les croyances sont respectables. Fumisterie que vous essayez de nous vendre comme d'autres les indulgences en leur temps.
--------------------------------------------
@ Lucile
"Bien sûr qu'il faut essayer de faire prévaloir la raison et la vérité, mais il y a manière et manière ; et quand on le fait de manière vindicative, en cherchant à l'emporter sur autrui, en lui disant qu'il est stupide, en le culpabilisant, et en lui déniant sa liberté de pensée"
Contrairement aux apparences, ce n'est pas ce que je fais. Je me contente de recadrer le débat avec des gens qui, comme Aliocha ou Isabelle, n'ont nulle honte à jouer des tours les plus odieux et, oui, à manier l'insulte de manière claire et carrée. Une insulte ne remporte pas un argument: elle permet au mieux de recadrer le débat en jouant sur la honte et le ridicule pour permettre aux arguments de réellement se confronter plutôt que de s'éviter volontairement les uns les autres en un adroit ballet de sophismes.
"Le fanatisme de la vérité en mode justicier n'est pas bon pour la vérité."
Il ne s'agit absolument pas là d'un fanatisme de la vérité. Il s'agit là de démolir les "arguments" des gens qui se contrefichent comme d'une guigne de la notion même de vérité: il n'y a pas de débat à avoir avec des gens qui nient la pertinence même de la notion de vérité. Il convient donc de leur faire prendre conscience (en se permettant le même niveau d'entourloupes rhétoriques que le faux chrétien qu'est Aliocha ou la fausse pessimiste qu'est Isabelle se permettent) qu'il convient de revenir sur une discussion honnête où le vrai importe et l'emporte. Et donc, justement, mettre un terme à la pratique des entourloupes rhétoriques.
Vous citez le coréen Woo-Joo Kim. Je ne le connais pas (je vais écouter son approche). Ses propos ne peuvent (probablement) s'adresser qu'à des gens qui ont un respect pour la notion de vérité. Je me charge des autres.
"C'est son approche rationnelle qui l'a rendue performante, et non sa capacité à dompter des foules supposées récalcitrantes en leur faisant sciemment "une vie de mer*e" au nom de la vérité pour qu'ils s'y rendent."
C'est trop facile de prétendre que je leur fais "une vie de mer*e". Le comportement des gens comme Aliocha et Isabelle est particulièrement offensant, et je suis tout à fait en droit de prétendre qu'il me font "une vie de mer*e" si l'envie m'en prend. Ils n'ont pas de droit particulier à se sentir offensés s'ils me nient le droit d'être offensé.
"Un article récent du Spectator cite comme exemple de désinformation grossière et contre-productive les harangues du ministre de l'Education nationale français..."
Je n'ai jamais cautionné les comportements médiatiques grégaires de nos hommes politiques, journalistes, scientifiques et médecins. Je peux défendre certains de leurs propos, mais je suis particulièrement hostile à nombre de leurs attitudes, surtout dans les médias. Je suis bien le premier ici à dénoncer la prétention des politiques à se passer de caution populaire du type votation sur des thématiques de santé publique. La différence en est que les anti-vaccins ne souhaitent que râler et hurler contre Macron, tandis que, moi, je propose une réforme institutionnelle. Ce qu'ils ne font pas. Je prétends donc encore ici avoir le dessus en terme de morale.
"Même votre idée de faire du langage "un outil contraignant dans le débat" me paraît non seulement maladroite, mais surtout la porte ouverte à tous les abus, et à toutes les déraisons, alors que je ne doute pas de vos bonnes intentions."
Bien sûr que cela ouvre la porte aux abus. C'est pour cela qu'il convient d'être intraitable envers ces abus. Mais quelle alternative propose Aliocha ? Celle de prétendre que critiquer des théories est de la persécution et de la violence physique. Quelle alternative propose Isabelle ? Celle d'ignorer les arguments qu'on lui oppose purement et simplement et de hurler au scandale quand un président met les pieds à Tahiti... C'est quoi, ce sketch ?
Je rappelle que Tahiti et les îles voisines nous servent à étendre notre zone économique exclusive et sont un instrument important dans la politique que nous aurons sous peu vis-à-vis de la Chine. C'est donc important que Tahiti soit française. Mais quand on entend nos nationalistes parler, on dirait que l'Influence de la France dans le monde, ils s'en contrefichent. Ce sont des irresponsables.
Rédigé par : F68.10 | 03 août 2021 à 18:29
Mieux vaut bile noire que sécrétions baveuses !
Rédigé par : Ma Zonzon | 03 août 2021 à 08:01
Ou comment noyer le poisson en faisant long pour dissimuler ses incompréhensions ; l'insulte est aveu de faiblesse, merci à Lucile de l'avoir confirmé.
Ne reste plus à notre Éminence qu'à convaincre les gens de son bord, de son club, de sa caste déjà remplacée, hélas, par les jacqueries qu'il n'aura su qu'exacerber.
Rédigé par : Aliocha | 02 août 2021 à 15:20
@ Aliocha
"Les mots tuent, le reste est littérature inutile de justifications de sa propre violence réciproque."
Oui. Les mots tuent des idées. Et c'est une très bonne chose. C'est en discutant entre scientifiques qu'on connaît maintenant les mécanismes de l'immunité, de la biologie moléculaire et de la génétique et qu'on a maintenant un moyen, les vaccins, de tenter de gérer une pandémie qui a fait 4 millions de morts. En tuant les idées fausses pré-existantes.
Les mots tuent les idées. Nous devons veiller à ce qu'elles tuent les idées fausses. Car en tuant les idées fausses, nous tuons ainsi des idées qui tuent de vrais gens, comme celle que les vaccins sont inutiles.
Tuer des idées, cela permet donc de sauver des vies.
C'est donc très bien de tuer des idées.
"Tranchez donc, ami, et restez en cette illusion de ne pas vous savoir archaïque, qui ne sait même pas reconnaître la réalité sacrificielle..."
Badaboum, badaboum, badaboum...
Ce savoir archaïque date de 1994. Dans l'ouvrage "The Myth of the Framework: In Defence of Science and Rationality". C'est là (page 7: "By criticizing our theories, we can let our theories die in our stead.") que l'idée que de laisser les idées mourir en lieu et place de notre personne est articulée explicitement la première fois. (À ma connaissance.)
Cette idée-là n'a donc rien d'archaïque. Sauf pour un idiot comme vous qui se gargarise de mots comme "sacrificiel" alors qu'il est près à ne pas défendre les vaccins au motif de ne pas laisser la critique de la croyance antivaccinale légitimer par capillarité la critique du théisme.
"...des termes qu'il emploie, et du rituel qu'il inflige à son ennemi, pourtant votre semblable en cette ignorance..."
C'est vrai que c'est mieux que de ne jamais chercher la vérité en matière scientifique et médicale. On en serait encore à croire que ce sont les juifs qui empoisonnent les puits quand une épidémie survient.
"...réduisant la grande qualité de vos arguments auxquels, notamment sur la vaccination, j'adhère pleinement, au néant des destructions que votre négation du phénomène religieux vous destine, vous vouant à mimer les curés sectaires et persécuteurs."
Plutôt que de vous gargariser de mots comme "sectaires" et "persécuteurs", pourquoi ne pas nous expliciter comment vaincre le mouvement anti-vaccin efficacement afin de sauver des vies ? Comment comptez-vous sauver des vies sans tuer cette idée ?
"Il n'y a aucune croyance derrière cela, mais la description de notre réalité relationnelle..."
Effectivement, à force, j'ai le sentiment que votre délire n'est pas justiciable de l'appellation de croyance mais seulement de celle de délire.
"...sans laquelle vous ne saurez jamais imposer vos injonctions morales..."
Le problème n'est pas d'imposer des injonctions morales aux anti-vaccins. Mais de convaincre les gens de mon bord que la question de la défense de la rationalité, de la défense de la science, de l'impact néfaste des religions, du danger de la politisation du complotisme et de l'affaiblissement de l'autorité de l'État que cautionne le mouvement antivaccin, que tout cela sont des sujets bien plus sérieux qu'une énième jacquerie, et qu'il convient de monter une offensive culturelle visant à imposer la primauté du débat rationnel sur le culte anti-démocratique de l'idiotie.
Il y a donc des gens qu'il convient de réveiller avant de créer la masse critique permettant de forcer les anti-vaccins (pour commencer) à réellement débattre. Et pour cela, il convient de montrer qu'il y a des moyens de débattre effectivement, et donc de légitimer le ridicule comme marqueur de la fin d'un débat. C'est ainsi qu'on expliquera aux gens de mon bord que les débats valent la peine d'être entrepris puisqu'il y a bien la possibilité de vaincre son adversaire.
Les scientifiques le savent, qu'il y a des vainqueurs et des perdants dans les débats. Les religieux le nient: ils ont trop à perdre à accepter que leurs croyances soient dézinguables. Il ne faut donc pas céder sur cela.
"...car nous ne pouvons, comme je le fais avec vous sous vos tirs incessants, qu'inviter à partager ce qui est observation rationnelle de notre réalité."
Il n'y a rien de rationnel dans votre "observation" de la "réalité". Vous ne proposez que de vous coucher devant ceux qui racontent les plus grosses sornettes au prétexte d'une tolérance qui n'en a que les apparences.
Constatant que nous tournons en rond, et que nous n'avons rien, au fond, à nous dire, je vous invite à laisser ce fil de discussion reposer. Et j'ai mieux à faire: le billet sur l'affaire Mila va nécessiter un peu d'huile de coude, et je m'en voudrais de la dépenser inutilement à vous répondre: uriner dans un violon a ses limites en terme d'efficacité et d'utilité intellectuelle.
Rédigé par : F68.10 | 02 août 2021 à 11:50
@ F68.10 | 01 août 2021 à 22:43
Bien sûr qu'il faut essayer de faire prévaloir la raison et la vérité, mais il y a manière et manière ; et quand on le fait de manière vindicative, en cherchant à l'emporter sur autrui, en lui disant qu'il est stupide, en le culpabilisant, et en lui déniant sa liberté de pensée, en lui enjoignant de penser juste d'emblée, sans la possibilité de tâtonner ni de peser le pour et le contre, eh bien non seulement on n'est plus dans la raison, mais on fiche tout par terre. Le fanatisme de la vérité en mode justicier n'est pas bon pour la vérité.
Concernant la lutte contre le Covid, en écoutant le professeur sud-coréen Woo-Joo Kim, on peut se faire une idée de ce qu'est une information honnête et intelligente. Il estime que de tous les dirigeants du monde, c'est madame Merkel qui a le mieux géré la lutte contre l'épidémie dans son pays, et de très loin, parce qu'elle seule l'a fait avec une approche scientifique et non en politicienne manipulatrice autant préoccupée par les sondages et les prochaines élections que par le bien public.
Top Infectious Disease Expert From Korea Explains The Delta Variant
https://www.youtube.com/watch?v=CJ3Yk01zWu8
C'est son approche rationnelle qui l'a rendue performante, et non sa capacité à dompter des foules supposées récalcitrantes en leur faisant sciemment "une vie de m...e" au nom de la vérité pour qu'ils s'y rendent.
Un article récent du Spectator cite comme exemple de désinformation grossière et contre-productive les harangues du ministre de l'Education nationale français qui est allé jusqu'à raconter que le vaccin empêchait ceux qui le recevaient de transmettre le virus. Cet article du Spectator explique comment, même avec les meilleures intentions, en défendant partialement, bêtement, rageusement une bonne cause, on réussit à en détourner la majorité. Je ne trouve plus les références, il était pourtant encore en ligne hier ; de toutes façons, ça paraît tellement évident qu'on peut se passer de le lire.
Même votre idée de faire du langage "un outil contraignant dans le débat" me paraît non seulement maladroite, mais surtout la porte ouverte à tous les abus, et à toutes les déraisons, alors que je ne doute pas de vos bonnes intentions.
Rédigé par : Lucile | 02 août 2021 à 11:13
Les mots tuent, le reste est littérature inutile de justifications de sa propre violence réciproque.
Tranchez donc, ami, et restez en cette illusion de ne pas vous savoir archaïque, qui ne sait même pas reconnaître la réalité sacrificielle des termes qu'il emploie, et du rituel qu'il inflige à son ennemi, pourtant votre semblable en cette ignorance, réduisant la grande qualité de vos arguments auxquels, notamment sur la vaccination, j'adhère pleinement, au néant des destructions que votre négation du phénomène religieux vous destine, vous vouant à mimer les curés sectaires et persécuteurs.
Il n'y a aucune croyance derrière cela, mais la description de notre réalité relationnelle, sans laquelle vous ne saurez jamais imposer vos injonctions morales, car nous ne pouvons, comme je le fais avec vous sous vos tirs incessants, qu'inviter à partager ce qui est observation rationnelle de notre réalité.
Rédigé par : Aliocha | 02 août 2021 à 08:56
Les peuples d'Europe n'ont, au grand jamais, pris conscience des menaces qui pesaient sur eux.
Un manque de lucidité mortel.
Le moment est venu de payer les conséquences de cette faute existentielle.
Rédigé par : Bill Noir | 02 août 2021 à 07:56
@ Aliocha
"Les armes, la contrainte, la honte, l'humiliation, le sadique décrit bien les fondements de sa pensée magique et sectaire..."
Bon. C'est reparti.
Soyons donc clair: l'humanité a deux méthodes essentielles pour trancher ses différends.
Option 1: faire mourir les gens qui n'ont pas les bonnes idées.
Option 2: faire mourir les mauvaises idées des gens à la place des gens.
Contrairement à ce que vous semblez croire ou vouloir faire croire, il n'est pas possible, compte tenu des enjeux modernes, de persister à croire qu'il est possible que chacun ait ses propres idées et que nous laissions nos différends suspendus dans l'air, en l'absence d'un jugement de nature sociale, intellectuelle et morale sur ces sujets. Nous sommes confrontés à beaucoup trop de défis modernes pour tolérer des différences massives d'opinions dans les domaines des sciences et de la morale que nous accepterions de laisser non résolus. C'est reculer pour mieux sauter à l'ère d'Internet.
Les vaccins sont le dernier exemple en date. C'est un thème qu'il convient de trancher. Ne pas trancher ce thème, c'est laisser chacun libre de prendre ou pas le vaccin dans un contexte de pandémie. Cela paraît tolérant, mais c'est en fait exactement l'inverse: car c'est trancher de fait en faveur des plus immoraux. Qui de plus nient le pouvoir de l'État de prendre ce type de mesures qui sauvent des vies. Des néo-anarchistes anti-science qui se parent de conservatisme et de catholicisme pour rejeter même l'opinion du pape. Beurk ! Beurk et re-beurk !!
L'enjeu est donc lourd. Il faut donc le trancher. Et il convient donc de faire en sorte que la société développe des mécanismes pour trancher cela par le débat. L'alternative en est ce qu'on voit de nos jours: si la société ne s'organise pas pour trancher ce type de débat, c'est l'État qui tranche, et les premiers qui ne veulent pas d'une discussion raisonnée sont les premiers à hurler à la dictature. Cette situation n'est pas admissible.
Pour contraindre les gens à peser le pour et le contre, il importe donc de pouvoir utiliser les mécanismes de la liberté d'expression: celle de la liberté de diffuser ses idées pour forcer la société à se confronter aux problèmes qu'elle ne souhaite pas affronter. Et l'utiliser jusqu'au bout: la ridiculisation et l'ostracisation des opinions absurdes.
Ce n'est nullement de l'intolérance. L'intolérance, c'est justement fermer ses oreilles aux opinions qu'on vous présente, ne pas les écouter, disqualifier ses interlocuteurs sous les prétextes les plus oiseux et fallacieux. Si une personne vient vers vous avec des arguments construits, et que vous refusez d'engager le débat, c'est vous l'intolérant.
Et face aux mécanismes visant à refuser l'établissement d'un débat, mécanismes qu'Isabelle a utilisés à profusion, mécanismes garantissant que la réelle intolérance fleurisse, celle qui consiste à ignorer autrui, il convient de faire preuve d'intolérance. De se confronter aux gens jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'ils cèdent sous le poids de leur bêtise.
C'est ainsi que fonctionne la liberté d'expression dans le domaine où son efficacité est à peu près garantie: la science. La science, c'est justement développer des mécanismes pour que le faux succombe. Pour l'éliminer.
La différence en est que, dans le monde scientifique, le réel monde scientifique, le ridicule tue réellement. Et facilement. Dans le reste de la société, le ridicule se cache derrière les croyances. Et c'est pour cela qu'il convient de détruire impitoyablement les croyances. Pour permettre au ridicule de récupérer son pouvoir effectif de tuer les mauvaises idées. Pour éviter que les gens ne trouvent aucun autre moyen d'éliminer les mauvaises idées que d'éliminer les gens qui en sont les supports.
Vous préférez que nous nous tuions les uns les autres ? Ou vous préférez que ce soient vos idées qui meurent à votre place ?
Vous voulez mourir pour vos idées ? Ou vous acceptez de défendre vos idées jusqu'à ce qu'elles succombent sous le poids de la critique, et ce tout en préservant votre vie ?
Qui cherche la guerre ? Qui cherche à l'éviter ? Vous ? Ou moi ?
Et en ce qui concerne les vaccins, qu'on soit pro-vaccin ou anti-vaccin, chaque camp tombe d'accord sur le fait que des vies sont en jeu. Les pro-vaccins affirment que les vaccins protègent d'un virus meurtrier. Les anti-vaccins affirment que les vaccins tuent ; jusqu'à, pour certains, comparer cela au génocide nazi. Chaque camp admet donc que l'enjeu importe. Chaque camp admet donc, a priori, l'importance de régler ce différend scientifique.
Sauf les gens comme vous qui se moquent de laisser les gens crever tant qu'on ne touche pas à vos croyances. Tant qu'on vous laisse dans votre coin, libre de harceler et morigéner les autres en les accusant d'être des persécuteurs et de tuer la réincarnation du Christ que vous êtes. Et, à cette fin, vous êtes prêt à prétendre qu'attaquer vos idées, c'est vous attaquer vous, personnellement, quasi physiquement. Pendant que des vies sont réellement en jeu. Vous êtes immoral de ne pas vous rendre compte de la nature de l'enjeu en jouant le persécuté en peau de lapin. Il convient de vous le dire.
Je revendique donc de faire du langage un outil contraignant dans le débat. Une arme qui tue des idées au lieu des gens. À 100 %.
Pour éviter les guerres de religion, tuons les idées plutôt que les gens.
Rédigé par : F68.10 | 01 août 2021 à 22:43
Cher Lodi (01/08 9h52)
Je vous prie de bien vouloir m'excuser d'être un peu cavalier dans ma réponse mais je n'ai jamais bien trop su quel était votre sexe et ne peux guère vous donner du Cher Monsieur ou Chère Madame comme il siérait.
J'ai lu attentivement votre libelle, je ne peux y répondre sans faillir à l'honneur… déformer, pour faire rire, le nom, le surnom, le faux nom (et ce qui en tient lieu ici : le pseudo) de la personne à laquelle on s'adresse – même quand il s'avère que c'est une ordure considérable, je n'y suis pas tenu… je vous répondrai obligeamment quand vous vous adresserez à ma personne en tant que Bill Noir !
P.-S.: il semble me souvenir - la mémoire commence à me lâcher – que j'ai déjà expliqué dans les colonnes de ce blog quelle était l'étymologie de ce pseudo, laquelle est précisément celle que vous avez donnée.
CODICILLE
Cher-e Lodi,
S'il s'avérait que votre adresse déclenche une avalanche de moqueries sur la personne de Bill Noir en raison de son pseudo, il serait aisé pour lui de prendre des vacances au loin et de mandater, pour pallier sa disparition, un de ses frères, son père ou ses nombres oncles paternels, sa belle-sœur et même sa mère, Ma Zonzon, qui se ferait un plaisir, malgré son âge de se lancer sur la blogosphère.
Rédigé par : Bill Noir | 01 août 2021 à 18:11
@ Bill Noir
Si quelqu'un passe pour un benêt prétentieux, il réconcilie les personnes concernées contre lui, cela peut être utile. Non ?
En tout cas, je vous ai permis de décharger votre bile noire. Vous avez raison d'avoir choisi ce pseudonyme dont je me demandais la signification exacte.
Merci de montrer pourquoi il y a peu de conciliateurs... En plus de l’égoïsme de chacun, tout le monde sait que les parties risquent de taper sur lui, sans parler des spectateurs trop heureux de trouver l'occasion de cracher leur bile noire sur quelqu'un.
Mais comme il est bien naturel que personne ne veuille se soumettre à l'autre et qu'il n'y a pas de troisième voie sans conciliation, les disputes ne peuvent que durer et s'envenimer.
Si de nos jours, certains essaient de favoriser des procédures de conciliation, merci de montrer pourquoi, à mon avis, cela fera long feu : les parties veulent qu'on prenne parti pour eux, les spectateurs des combats de coqs qu'ils sont trop feignants et peureux face aux amis des bêtes pour organiser.
Après quoi, les gens de "bonne volonté" qui ne sont pas intervenus au début du conflit, à savoir quand il était temps, parlent de pardon. C'est sûr qu'on ne se donne pas la peine de concilier les points de vue : on demande à quelqu'un de laisser les armes en échange de rien, le rien de se faire bien voir du public comme si on luttait pour des gens qui n'ont rien fait quand il était temps et non pour la victoire.
Mais eux, ce ne sont pas des benêts prétentieux, pas du tout...
Le covid montre qu'il aurait fallu ne pas braquer les gens avant cette crise : à présent, des gens sont contre un vaccin à cause d'opposition politique au gouvernement en plus du reste.
Il faut absolument éviter les divisions, quand elles existent, il faut éviter qu'elles deviennent un obstacle au bien commun.
Mais ce qui est fait est fait : pas question pour moi de pardonner à Macron les provocations qui ont favorisé l'irrationalité des "résistants" au vaccin, pas question de pardonner aux réfractaires au vaccin non plus.
C'est à cause de tout cela que le covid risque d'être plus mortel chez nous qu'ailleurs.
Je n'ai rien d'un benêt prétentieux, bile noire, je vois venir des choses, morts, chômage, des choses qu'il est de l’obligation morale de chacun d'essayer d’empêcher, mais qu'il n'est du devoir de personne de pardonner.
Si par la fréquentation de quelqu'un qui est l'inverse d'une bile noire, j'essaie de ne mépriser personne, je dois dire que les antivax... et vous-même me rendez à ma nature de rancunier méprisant.
Allez, on dégage, j'ai plus de bile que vous en plus du reste.
Rédigé par : Lodi | 01 août 2021 à 09:52
Dans la vie privée le conciliateur est souvent un benêt prétentieux.
En politique le pacifiste est presque toujours un criminel.
Rédigé par : Bill Noir | 01 août 2021 à 07:43
Les armes, la contrainte, la honte, l'humiliation, le sadique décrit bien les fondements de sa pensée magique et sectaire qui entraînent l'échec de ses arguments pourtant raisonnables à savoir se communiquer raisonnablement, ne sachant en passer que par les rituels d'expiation qui feraient de lui le représentant d'un bien apte à discriminer ce qui pour lui est le mal, recréant la confusion de la genèse des dieux menteurs qui, toujours, sont des victimes, et se voient enfoncés par celui qui repère leur erreur en leur culte idolâtre, n'ayant plus alors d'autre moyen que de répéter cette erreur pour la dénoncer.
Cela devrait lui mettre la puce à l'oreille, il n'y a que sur soi-même que nous avons pouvoir de corriger ce vice qui de la dénonciation d'un pharisianisme ne sait que produire du pharisien, le coup de poing un coup de poing, pulvérisant alors tout argument raisonnable, et qu'il n'y a guère que cet effort sur soi-même qui puisse permettre de partager cette subversion de l’intérieur même de ce vice atavique, espérant alors que la correction qu'on s'impose saura produire sa réciproque, la pédagogie par l'exemple en quelque sorte.
Si, a contrario, on veut imposer à l'autre ce qu'on ne sait s'imposer à soi-même, il est naturel que celui qui est moins renseigné se réfugie en ses erreurs, légitimé qu'il est par l'exemple de celui qui se prétend supérieur, et n'est que le double égal de celui qu'il combat, faisant de sa geste raisonnable mais incapable de la partager autrement que par la force aveugle, la réplique de ce qu'il dénonce.
La démonstration est imparable, il s'agirait enfin de se renseigner sur ce qui n'est plus croyance, mais connaissance du phénomène de la croyance, cela permettrait aux raisonnables de s'apercevoir qu'en se moquant des idolâtres, on les enfonce dans leur idolâtrie, s'en rendant alors complice, devenus alors aussi risibles qu'eux.
L'histoire est aussi vieille que l'arroseur arrosé, l'humilié ne sait entendre que l'humiliation, l'offensé que l'offense, il s'agirait d'enfin faire taire son ressentiment personnel pour mettre à distance ce phénomène si simple, si basique au sens mathématique, qu'il n'affleure pas à l'entendement de nos complications.
2+2=4.
Rédigé par : Aliocha | 01 août 2021 à 07:07
@ Lodi
@ Lucile
Honnêtement, j'ai donné de multiples occasions à Isabelle de traiter du fond du sujet. À chaque fois que je levais une incohérence, un mensonge, une instrumentalisation de la vérité au motif de taper sur ses têtes de turc préférées, elle esquivait systématiquement tout en surenchérissant dans l'indignation et l'invective surjouée. C'est cela que j'appelle l'hystérisation du débat. Eh oui, j'entreprenais d'y couper court. Je ne le cache pas.
Isabelle avait le choix: elle pouvait continuer ou changer d'approche. Ou se taire. C'est par mon expression que je la contraignais à faire ce choix. Expression de l'une contre expression de l'autre... il n'y a donc là nulle irrégularité. Elle a choisi de se taire. Elle avait pourtant deux autres options. Semble-t-il donc qu'elle a préféré se taire plutôt que de poursuivre dans la voie de l'hystérisation du débat. Elle pouvait aussi, second choix, redescendre sur Terre, se mettre à dialoguer posément en reconnaissant que ses interlocuteurs n'ont aucune obligation morale ou intellectuelle de partager ses outrages moraux et à reprendre la discussion sur cette base. Elle a pourtant préféré se taire.
Cela signe simplement le fait que s'exprimer ne lui importe que lorsqu'on lui laisse champ libre pour vilipender qui lui plaît. Et, quand on lui rend sa position intenable, elle se terre. Parce qu'affronter les opinions d'autrui sur le fond n'est pas ce à quoi elle s'imagine que son expression publique doive servir.
Je veux bien que le mot "hystérisation" s'accompagne de connotations désagréables vis-à-vis des femmes (je ne l'utilisais pas spécifiquement en un sens psychanalytique: je n'ai simplement pas d'autre terme dans ma besace pour qualifier ce comportement). Mais je ne peux pas en toute conscience laisser passer cette pratique du débat. Oui, ce terme joue sur la honte. Oui, en temps normal il est à éviter. Mais face à une personne qui met un point d'honneur à vous ignorer et de ce fait à ne pas respecter son interlocuteur, c'est bien par les mécanismes de la honte ou du ridicule que l'expression publique acquiert un pouvoir contraignant. Pouvoir contraignant qui n'est réellement efficace que lorsque l'humiliation est adossée à des propos bien réels de la personne humiliée et non pas des propos qu'on lui prête.
"Prenons, par exemple, le cas des gens qui pensent qu'Elvis est toujours en vie, voulez-vous bien ? Quel est le problème fondamental relatif à cette assertion ? Je veux dire... pourquoi cette croyance ne vicie-t-elle pas le fonctionnement de nos départements universitaires et de nos entreprises ? Je vais vous dire pourquoi, et c'est très simple. Nous n'avons en effet pas adopté de lois interdisant de croire qu'Elvis est toujours en vie. Cela étant, bien prosaïquement, le fait est que chaque fois que quiconque affirme avec aplomb sa conviction qu'Elvis est toujours en vie, que ce soit dans le cadre d'une conversation, d'une conférence, lors d'un entretien d'embauche, il en paie immédiatement le prix ! Il en paie le prix en son pesant de rires mal dissimulés ! Et c'est là une très bonne chose ! Ensuite, il peut toujours dire "ce n'est pas une affirmation scientifique, c'est une question de foi, quand je te regarde, tu es peut-être Elvis"... Rien ne l'empêche de tenter ces gambits !..." -- Sam Harris en 2007, à l'American Jewish University, face au rabbin David Wolpe.
C'est cela, le pouvoir contraignant du langage: la honte et le ridicule en sont bien l'ultima ratio. Et sont des armes légitimes de ce fait. Et, à un moment, il convient de se résoudre à enfreindre les convenances sociales derrière lesquelles nos complaisances se nichent pour viser la jugulaire en la matière. Et ne pas la lâcher. Jusqu'à ce que le débat revienne sur le fond. C'est pour cela que le but n'était pas de faire le vide en poussant Isabelle au départ, mais bien de la faire revenir dans le jeu, en espérant que cet épisode lui ait été profitable.
Rédigé par : F68.10 | 31 juillet 2021 à 14:13
@ Lodi | 30 juillet 2021 à 21:40
Critiquer les propos, les opinions et les argumentations, c'est la règle du jeu dans un débat, donc pas de problème, au contraire. C'est même ce qui fait la saveur des commentaires. Les propos, non les personnes. Une autre règle du jeu est de commenter le billet proposé, et nos comportements sont critiquables quand nous nous écartons de cette règle. De ce point de vue, peu d'entre nous échappent à la critique.
Rédigé par : Lucile | 31 juillet 2021 à 13:58
Martinique... Mélanésie...
Les colonies « ça eut payé » pour certains mais « ça paye pu » pour tout le monde !
Rédigé par : Bill Noir | 31 juillet 2021 à 07:32
@ Lucile
@ F68.10
Vous avez raison tous les deux ! Isabelle compte bien des côtés critiquables et Lucile a raison de montrer que les termes de la critique... peuvent être recadrés, ainsi le terme "hystérie" par exemple.
Il serait souhaitable que nous progressions tous, qu'Isabelle soit, que dire ? moins critiquable, et surtout que je réussisse une fois, eh oui, une fois à rapprocher des gens.
J'imagine qu'il y a des arrivistes qui n'arrivent pas, des héros vaincus à la première bataille et des diplomates que personne n'écoute. Atroce non ? Tenter quelque chose ressemble trop à "la défaite dont vous êtes le zéro !"
Voilà, j'aurai fait ma tentative d'humour... Qu'est-ce qu'il ne faut pas improviser !
Précision : je n'incite pas à s'apprécier entre gens de valeur pour dire que tout va très bien madame la marquise, juste dans l'intérêt des personnes concernées et pour voir si cela pourrait bien aboutir, pour changer... Mais en vérité, positiver pour positiver à nier les problèmes est digne de moquerie et très bien tourné en dérision dans La vie de Brian.
Faute que le reste vous ait forcément plu, je suppose du moins que vous apprécierez ce lien :
https://www.youtube.com/watch?v=2FmS9qQjHjQ
Rédigé par : Lodi | 30 juillet 2021 à 21:40
@ F68.10 | 29 juillet 2021 à 22:16
Mais comment définissez-vous exactement une personne "hystérique", ou "l'hystérisation du débat" ? Je pense qu'il vaudrait mieux expliquer ce que vous reprochez à Isabelle en termes autres que psychanalytiques, surtout que vous n'avez pas l'air d'approuver cette discipline. Ce serait plus efficace. Employés dans une argumentation publique, ces qualificatifs prennent à mon avis, que vous le vouliez ou non, une tournure insultante pour l'interlocuteur. Une fois en passant ça va encore, mais quand ça revient systématiquement, toujours pour la même personne, ça fait beaucoup et ça n'ajoute rien à la qualité du débat, in my humble opinion. Je me demandais combien de temps Isabelle tiendrait.
Et pourtant, que celui qui n'a jamais hystérisé le débat lui jette la première pierre.
(Je qualifierais même d'hystérisation du débat tout recours à ce terme, car il manipule les sentiments de l'autre et joue sur sa honte.)
Et un peu d'humour, en supplément, si possible, mais ça, ce serait le rêve.
Rédigé par : Lucile | 30 juillet 2021 à 14:50
Je suis époumoné de rire depuis que la place des Vosges est envahie de migrants, ce malheureux Jack Lang devra à son tour supporter ce que lui et sa monarchie socialiste font endurer à ce peuple de souillons depuis des décennies.
Un beau retour de boomerang, un délice des dieux et des yeux !
Je ne suis pas hors sujet puisque la police va pouvoir exercer un max de contrôles au faciès, c'est pas ce qui manque sous les fenêtres de Jack Lang, l'association islamogauchiste a tout prévu, la pleunicherie victimaire habituelle devant micros et caméras, les couleurs de tentes arc-en-ciel, une petit clin d'oeil aux LGBT, ça se refuse pas, les éditorialistes collabos macroniens qui intiment l'ordre de ne pas intervenir car il y a, tenez-vous bien, des "risques de bavures" LOL !
Y a des jours comme ça, on déboucherait du champagne pour arroser ce genre d'événements, j'espère que d'autres hordes de migrants vont se rajouter sur cette place normalement interdite aux pouilleux et souillons qui auraient dû aller squatter des places plus appropriées : la Chapelle, Barbès, Pantin...
Décidément il n'y a plus de respect doit se dire le froufroutant précieux ridicule socialo Jack Lang, le téléphone de sa collègue complice gauchiste immigrationiste Hidalgo doit être en surchauffe pour qu'elle chasse manu militari tous ces perturbateurs.
"j'ai dit de faire venir plein de migrants mais pas devant chez moi !"
Pourvu que ça dure, on n'a pas l'occasion de rire en ce moment !
Même image que celle de Grégory Doucet EELV de Lyon qui rogne de rage devant les rodéos urbains sous ses fenêtres, lui qui admire tant ses racailles quand elles font le souk chez les autres.
Que du bonheur !
Rédigé par : sylvain | 30 juillet 2021 à 09:22
@ Bill Noir 29/07 09:19
Mais cela justement peut ne pas concerner que l'immigration, les contrôles "au faciès" pouvant ne pas s'appliquer qu'à des populations issues de cette immigration, même si cela représente la grande majorité des cas !
Rédigé par : Michel Deluré | 30 juillet 2021 à 08:54
Ça y est, Macron nous met sur le dos les maladies des populations mélanésiennes. Mais quand on visionne leurs adiposités lascives on se dit qu'ils ne meurent pas forcement des méchantes et subtiles émanations de nucléons insidieux.
Rédigé par : Bill Noir | 30 juillet 2021 à 07:51
@ Exilé | 29 juillet 2021 à 10:08
« Vous finissez par devenir un peu lassant avec vos procès d'intention reflétant vos fantasmes stéréotypés. »
Je suis bien conscient que je vous fatigue avec mes commentaires qui ne vont pas du tout dans le sens des vôtres. Mais ce ne sont absolument pas des procès d’intention, encore moins des fantasmes.
Je me contente simplement d’écouter les discours des leaders du RN, de Debout la France, ainsi bien sûr que les éditos de Zemmour.
Et là je suis en droit de me dire (et de le dire sur ce blog) que les consignes des instances dirigeantes seraient bien plus dures que celles du pouvoir en place si c’était la droite dure qui accède à l’Elysée.
Dire le contraire serait faire preuve de mauvaise foi.
Rédigé par : Achille | 29 juillet 2021 à 23:19
@ Lucile (@ Isabelle)
"Je n'aime pas la façon dont elle est traitée ici, en particulier je trouve que le mot "hystérie" qui lui est sans cesse accolé est pour le moins inélégant si l'on parle de la manière, injuste car on pourrait l'attribuer à tout le monde, et surtout très faible du point de vue de l'argumentation, car il s'agit d'une attaque personnelle, une attaque récurrente qui plus est."
Je suis le premier coupable de cette accusation d'accusation d'hystérie. J'ai même fait pire. Maintenant, comment ne pas qualifier d'hystérisation la pratique d'Isabelle de faire feu de tout bois ? Sa pratique de ne jamais traiter la moindre contradiction qu'on lui oppose ? Si Isabelle se comportait de manière moins agressive et dédaigneuse, je me comporterais aussi de manière moins agressive et dédaigneuse.
"Isabelle s'en va, vous pouvez être content. Mais faire ainsi le nettoyage par le vide, ce n'est pas un exploit."
Faire le nettoyage par le vide n'est pas toujours simple quand on a affaire à un disque rayé. Cela étant, effectivement, ce n'est jamais une issue souhaitable. Qu'elle reste donc. J'essaierai, dans la mesure du possible d'engager des discussions plus constructives. Ce qui ne peut s'accomplir seul.
"Elle est sans animosité, comparée à vous."
Euh... sans animosité ? Pas exactement. Mais passons. Ce n'est pas le point principal en jeu.
Rédigé par : F68.10 | 29 juillet 2021 à 22:16
@ Isabelle | 28 juillet 2021 à 13:36 + 16:42
"Je suis uniquement contre le pass, vieux ronchon."
Mauvaise foi éclatante. Vous êtes contre tout, en fait. Surtout contre la cohérence -- et je ne parle pas de la correction.
"Vite un vaccin contre la goujaterie !"
Cessez votre féminisme imbécile et geignard. Vous rentrez dans l'arène, vous ne vous privez pas d'invectiver la terre entière, souffrez donc que l'on vous réponde.
Les mijaurées dans votre genre voudraient le beurre et l'argent du beurre : le droit de raconter n'importe quoi et de traîner tout le monde dans la boue, plus l'impunité au nom de leur sexe. Ça ne va pas être possible.
"L’un de nos amis féru d’astronomie vient de se suicider. Retraité et ne pouvant plus profiter de sa passion à cause des restrictions Covid (arrêt des activités pendant de longs mois), il a jeté l’éponge."
"Un autre ami, il y a quelques mois, est mort aussi. Ne pouvant plus pratiquer de sport, il s’est laissé aller et a fait un AVC. Combien de morts économiques ou de morts de trop de solitude… Cette hystérie hygiéniste est en train de tous nous broyer."
Je ne crois pas un mot de vos salades.
Un retraité passionné d'astronomie, en temps de Covid, est dans une situation idéale pour observer le ciel : il est chez lui, il a tout son temps.
Et quand bien même : on ne se suicide pas parce qu'on ne peut pas regarder les étoiles. Vous nous prenez pour des jambons.
Si vraiment vous avez un proche qui s'est suicidé, c'est qu'il souffrait d'un déséquilibre mental. N'essayez pas de mettre ça sur le dos du gouvernement.
En fait, une étude récente du Lancet montre que contrairement aux chouineries complaisamment répandues, la pandémie n'a pas provoqué d'augmentation des suicides. C'est même le contraire : sur 21 pays étudiés, 12 pays ou régions ont connu une baisse des suicides.
Quant aux accidents vasculaires cérébraux, ils ne sont pas provoqués par l'arrêt des activités sportives.
D'ailleurs, il a toujours été possible de faire du sport, même au plus fort du confinement. Vous avez oublié les autorisations spéciales jogging ?
Et pour finir, ne sont-ce pas ceux qui hurlent contre la "dictature sanitaire", tels que vous, qui nous expliquent, depuis le début, que le gouvernement a peur de son ombre, que la mort fait partie de la vie, et qu'il faut libérer l'activité économique quitte à ce qu'un certain nombre de vieux ou de faibles meurent du Covid, parce que ça ou autre chose, leur temps était venu ?
Il faudrait savoir : les morts c'est grave, ou les morts c'est pas grave ?
"Moi aussi, je jette l'éponge du moins sur ce blog."
Bonne idée. Avec ce point d'orgue grotesque du gentil retraité qui se suicide parce que le méchant gouvernement lui a interdit de regarder les étoiles, vous confirmez que votre rôle, ici, a essentiellement consisté à marteler une propagande continue ne reculant devant aucune fausse nouvelle.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 29 juillet 2021 à 22:06
@ Isabelle
Je viens de voir votre jet d'éponge.
J'aimais votre cohérence même si j'avais des désaccords avec vous.
Mais à part dire "c'est la faute à Macron" il y a peut-être lieu de creuser le pourquoi des choses, non ?
Le battement d'aile du papillon. C'est accorder une bien trop grande importance à Macron que de le rendre responsable de tous les maux et de ceux de vos amis. Au fond vous êtes la plus macrono-dépendante de ce blog. Amoureuse ?
Rédigé par : stephane | 29 juillet 2021 à 15:46
@ Deviro
"Votre pensée interpelle et m'amène à vous poser la question suivante, tout à fait triviale : à même "configuration" et à même "périmètre", les choses étant ce qu'elles sont et évoluant telles qu'elles évoluent, qu'auraient fait Hollande, Sarkozy, Chirac, Mitterrand, Giscard, Pompidou et de Gaulle ? J'attends avec gravité, espoir, et un rien d'angoisse vos suggestions et réponses".
Question sans intérêt, et orientée : tout en prétendant faire la leçon à Isabelle, ce qui est déjà gonflé, vous la poussez à répondre à l'image que vous vous faites d'elle. Vous savez bien que si elle y répond, elle se livrera à des spéculations sans aucun intérêt. C'est Emmanuel Macron qui est à l'heure actuelle le chef de l'État, et on a le droit de critiquer sa gestion de la pandémie sans se demander si Chirac ou Sarkozy ou Hollande auraient fait autrement, ce qui est parfaitement oiseux. Je n'aime pas la façon dont elle est traitée ici, en particulier je trouve que le mot "hystérie" qui lui est sans cesse accolé est pour le moins inélégant si l'on parle de la manière, injuste car on pourrait l'attribuer à tout le monde, et surtout très faible du point de vue de l'argumentation, car il s'agit d'une attaque personnelle, une attaque récurrente qui plus est. Votre dernière phrase est ironique et méprisante.
Isabelle s'en va, vous pouvez être content. Mais faire ainsi le nettoyage par le vide, ce n'est pas un exploit. Sa présence ici ne m'a jamais dérangée. Elle est sans animosité, comparée à vous.
J'attends, moi, sans gravité, sans angoisse, mais aussi sans espoir, que vos interventions consistent en autre chose que des sarcasmes sur les intervenants de ce groupe. Le jour où vous vous risquerez à nous dire ce que vous pensez sur tel ou tel sujet, plutôt que de nous rapporter quels qualificatifs moqueurs "vos" étudiants rigolards et méprisants attribuent à telle ou telle personne intervenant ici, on pourra discuter sérieusement avec vous.
Rédigé par : Lucile | 29 juillet 2021 à 12:50
Les plus belles femmes s'appellent Isabelle. Ce pseudo revigore les fantasmes des vieux messieurs qui attendent avec impatience les commentaires d'Isabelle sur ce blog. Isabelle, de grâce, ne les laissez pas tomber.
Mais après tout, Isabelle n'est qu'un pseudo, il s'agit peut-être d'un autre vieux monsieur qui a toujours rêvé d'être une femme. Sur ce blog, il y a quelques transfuges, j'en mettrais ma main au feu.
Rédigé par : vamonos | 29 juillet 2021 à 12:45
@ Marcel
"C'est pourtant l'essence de la police de proximité : celle qui fait que lorsqu'un délit est commis, les policiers du voisinage en identifient et arrêtent l'auteur rapidement, parce qu'il n'est pas un anonyme mais quelqu'un dont le comportement, les fréquentations et occupations font que des policiers ont trouvé utile de savoir quel était son nom."
Je partage ce point de vue. Je ne suis pas certain que ce soit à mettre en relation avec les contrôles d'identité, plutôt à la connaissance, et la confiance que cette connaissance mutuelle finissait par établir entre les uns et les autres.
J'ai une question pour vous. Une vraie, pas un faux-semblant.
J'ai cru percevoir que vous êtes policier.
Pensez-vous que l'on pourrait rapidement et "facilement" retrouver le type de relations qui s'étaient établies à l'époque de la police de proximité, compte tenu de l'évolution assez négative dans les quartiers un peu chauds, du regard que portent les habitants sur la police ?
Rédigé par : Jérôme | 29 juillet 2021 à 10:47
@ Isabelle
Vous avez bien raison d'apprécier Schopenhauer et Cioran. Moi aussi.
Votre analyse politique des habitués de ce blog me semble inexacte.
Sur cinquante, vous aurez du mal à trouver deux ou trois macronistes. En revanche, le nombre d'habitués d'extrême droite est beaucoup plus grand et ne me réjouit pas.
On peut être vacciné, pour les vaccins et le reste, et ne pas être macroniste.
Quant au décès de deux de vos amis, qui ont de quoi vous affliger - cela se conçoit - il n'y a pas là de quoi ne plus commenter un blog influent.
La question qui se pose à chacun d'entre nous est la même : ai-je envie de m'exprimer, ai-je envie d'écrire ? Il y en a d'autres : ai-je faim ? ai-je soif ? La réponse est parfois : non.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 29 juillet 2021 à 10:43
@ Achille
« Et on n’ose imaginer quels seraient les ordres et consignes des "instances du pouvoir exécutif", si c’était le RN qui accédait au pouvoir… :) »
Vous finissez par devenir un peu lassant avec vos procès d'intention reflétant vos fantasmes stéréotypés, comme si la réalité ne nous donnait pas de multiples exemples de méthodes pas très élégantes pratiquées depuis plusieurs années par des pouvoirs non marqués par l'étiquette d'infamie RN.
Rédigé par : Exilé | 29 juillet 2021 à 10:08
@ Metsys 28 juillet 14h07
Vieil homme, souffrez qu'on vous embrasse !
----------------------
@ Isabelle 28 juillet 16h42
Vous reviendrez, croyez-moi… en cette matière de l'éternel retour j'ai l'expérience de ma chère famille… !
----------------------
@ genau 28 juillet 23h02
Moi, j'aime bien les vieux histrions… mais quand en plus ils excellent en cuisine méditerranéenne c'est le délire.
------------------------
@ Michel Deluré 28 juillet 11h16
« Lorsque la probabilité d'être en situation irrégulière ou lorsqu'un niveau de délinquance est plus élevé dans une population type et dans certaines tranches d'âge de cette population... »
Vous ne trouvez pas que c'est un peu long comme formulation pour désigner « l'immigration » ?
------------------------
@ Xavier NEBOUT 28 juillet 12h08
« ...on embarque tout le monde, et on ne ressort de la kommandantur qu'une fois soigneusement passé à la moulinette… »
Comme ça fleure bon la vieille droite pétainiste...
----------------------------
@ GERARD R 27 juillet 14h45
« …les décérébrés qui ont fait élire Macron... »
Salut Gérard… bonnes vacances !
-------------------------
@ Exilé 27 juillet 14h19
« …la justice, ou du moins ce qui en tient lieu... »
Bien envoyé !
-----------------------------------
@ Denis Monod-Broca 27 juillet 12h23
« Qu'est-ce qui fait tenir ensemble un groupe social, une Nation ? »
C'est une bonne question… merci de l'avoir posée à la ville et au monde !
Rédigé par : Bill Noir | 29 juillet 2021 à 09:19
Encore un virus létal, l'amnésie :
racisme
Apprenez à prononcer
nom masculin
1.
Idéologie postulant une hiérarchie des races.
2.
Discrimination, hostilité violente envers un groupe humain.
Les couinements des moralistes sectaires ne font qu'ajouter à la confusion, chacun de l'ennemi a la mine patibulaire, du prochain est le con.
À quand Jupiter s'apercevra que le voilà depuis deux mille ans cloué tel la buse au bois de la croix, que les victimes s'abusent à reproduire ce commerce qui justifie les supplices plutôt que d'accepter l'invitation, que diable, sans morale et sans secte, se retrouver un soir, chacun avec son faciès, son masque qui bâille sur ses résolutions, et savourer ensemble la poutargue et le veau aux olives qui mijote doucement sous la main de celle qui sait chanter la paix, oh oui c'est bien toi que j'entends, qui me donna la force de la patience de toutes les évolutions, de toutes les espérances, la petite fille de France si libre et si folle au point d'imaginer qu'il est possible de s'aimer, et d'accéder au pardon.
"...Et dans tes bras, faire une escale
Et dans tes yeux, me faire la malle
Rien que nous deux, sans boussole et sans voile
Avec toi pour étoile."
Rédigé par : Aliocha | 29 juillet 2021 à 07:56
@ Isabelle | 28 juillet 2021 à 16:42
« Moi aussi, je jette l'éponge du moins sur ce blog. Il y a trop de macronistes fanatiques qui excusent tous les agissements de leur gourou ! »
Ainsi donc ce blog serait un repaire de macronistes fanatiques ? Sincèrement je n’avais pas remarqué,
Mais désormais je me sentirai un peu moins seul.
À noter qu’il y a beaucoup de dépressifs parmi vos amis. Il est vrai que vous n’êtes pas une nature à inspirer la joie de vivre. Vous fileriez le bourdon à toute une compagnie de joyeux fêtards.
Il vous arrive de sourire de temps en temps ?
Rédigé par : Achille | 29 juillet 2021 à 07:07
@ Exilé | 28 juillet 2021 à 13:14
"Je suis de ceux qui admirent les possibilités offertes par la technique, mais qui n'oublient pas qu'elle n'est qu'un moyen comme un autre, normalement au service de l'humanité, sans prendre la place de l'homme."
La technique ne peut être qu'au service de l'humanité pour la simple raison que c'est l'humanité qui la conçoit et la fabrique pour ses besoins !
Il y a une différence fondamentale entre l'homme et la technique : l'homme peut déconnecter ou retirer la source d'énergie indispensable au fonctionnement de la technique, ce qui n'est pas réciproque !
Exemple : en route avec un membre de ma famille, un petit neveu, tout fier de sa nouvelle BMW avec tous les gadgets possibles, une voie suave de femme issue du pupitre n'arrêtait pas de lui parler, m'empêchant de papoter avec lui !
Irrité, j'ai poussé un puissant "Ta gueule !" en direction de l'inconnue virtuelle.
Mon neveu a compris, il a coupé le son !
La technique perd à tous les coups si on sait comment la traiter ! :)
Rédigé par : Claude Luçon | 28 juillet 2021 à 23:25
Isabelle, ne partez pas, moi, j'aime bien vos couinements.
Bisque bisque rage, oui, bien sûr, on l'attend, l'emportement, mais au moins on vit. Pardon, je ne suis rien qu'un vieil histrion, mais je réussis très bien la cuisine méditerranéenne.
Rédigé par : genau | 28 juillet 2021 à 23:02
@ Isabelle | 28 juillet 2021 à 16:42
"L’un de nos amis féru d’astronomie vient de se suicider.
Retraité et ne pouvant plus profiter de sa passion à cause des restrictions Covid (arrêt des activités pendant de longs mois), il a jeté l’éponge. Un autre ami, il y a quelques mois, est mort aussi. Ne pouvant plus pratiquer de sport, il s’est laissé aller et a fait un AVC. Combien de morts économiques ou de morts de trop de solitude…
Cette hystérie hygiéniste est en train de tous nous broyer.
Moi aussi, je jette l'éponge du moins sur ce blog. Il y a trop de macronistes fanatiques qui excusent tous les agissements de leur gourou !"
Il était féru d'astronomie...
Il ne pouvait plus faire de sport...
Le bruit court qu'il y a une pandémie mondiale et nous en sommes en France à 111 000 morts (chiffre sous-estimé) avec un risque d'engorgement des hôpitaux.
Votre pensée interpelle et m'amène à vous poser la question suivante, tout à fait triviale : à même "configuration" et à même "périmètre", les choses étant ce qu'elles sont et évoluant telles qu'elles évoluent, qu'auraient fait Hollande, Sarkozy, Chirac, Mitterrand, Giscard, Pompidou et de Gaulle ?
J'attends avec gravité, espoir, et un rien d'angoisse vos suggestions et réponses.
Merci d'éviter dans votre réponse des arguments tels que "de Gaulle aurait f*utu le virus dehors" ou "Sarkozy se serait dém*rdé pour avoir des masques", réponses qui me chagrineraient au point d'éventuellement provoquer un AVC chez moi.
Rédigé par : Deviro | 28 juillet 2021 à 22:08
@ Isabelle
"L'un de nos amis féru d'astronomie vient de se suicider. Retraité et ne pouvant plus profiter de sa passion à cause des restrictions Covid (arrêt des activités pendant de longs mois), il a jeté l'éponge."
Et que les gens qui passent contre leur gré en psychiatrie coercitive se suicident, cela vous touche, ou pas ? Avez-vous une morale à géométrie variable, ou pas ?
Votre ami s'est suicidé. Un autre de vos amis a fait un AVC parce qu'il ne pouvait plus pratiquer de sport... Au-delà du fait que ces exemples, je les trouve un peu gros, et au-delà du fait que votre habitude de masquer la vérité n'incite pas à vous donner du crédit, traitons cette thématique.
Le confinement a un impact. A un impact sur la santé mentale, entre autres. Il convient donc de mettre en balance ces données dans l'évaluation du confinement. Le faites-vous, autrement que par des exemples personnels ? Vous saisissez-vous des statistiques pour les compiler et les passer à la moulinette ? Pas ici. Mettez-vous ces deux morts personnels dans la balance de tous les effets du confinements et de la vaccination ? Qui, eux, sont dans l'ensemble a priori positifs ? Non.
Personnellement, je ne le cache pas, j'aurais été sensible à des arguments économiques ou géopolitiques anti-confinement. Et je serai sensible aux évaluations qu'on fera de cela dans le futur. Mais, à l'heure actuelle, il s'agit de sortir de la logique du confinement. Par la vaccination. L'enjeu, il est là. Vos deux exemples, s'ils sont vrais, montrent donc qu'il importe de vacciner.
"Moi aussi, je jette l'éponge du moins sur ce blog. Il y a trop de macronistes fanatiques qui excusent tous les agissements de leur gourou !"
Macron n'est pas mon गुरु. Je peux vous donner le nom de gens que je considère un peu plus comme mon गुरु. Je cite d'ailleurs un nom en boucle, sur ce blog: William Bartley. Il est mort. Je vénère donc un गुरु mort. (Notons que pas mal d'organisation hindoues considèrent la connotation péjorative du mot "gourou" - गुरु - comme particulièrement diffamante, et j'ai tendance à être d'accord avec elles.)
Être pour la vaccination, cela n'a rien à voir avec être macroniste. C'est simplement que c'est Macron qui est en charge de cela à l'heure actuelle. Parce qu'on est en France et qu'on vénère un président en lieu et place d'un गुरु (et ce serait plus intelligent de vénérer un गुरु: cela montrerait quand même plus de respect pour la notion de savoir que vous n'en manifestez...). Idéalement, cela devrait être une institution neutre en charge de ce type de problème, et pas le président. Comme la CDC. Comme Anthony Fauci. Cela ne devrait pas être le travail d'un président. Le président ne devrait que se contenter de cautionner le travail d'une telle institution. C'est là le modèle que je promeus. C'est un modèle à mille lieux de la focalisation obsessionnelle sur Emmanuel Macron. Un modèle qui assurerait plus de continuité dans l'action que ne l'assurent les échéances d'une élection présidentielle.
Mon anti-anti-vaccionalisme n'est donc pas un macronisme. C'est vous qui vous ingéniez à établir un lien qui ne devrait pas exister entre Macron et les vaccins. Et vous le savez. Et vous en jouez. Vous n'avez pas d'excuse.
Vous voulez jeter l'éponge sur ce blog au sujet des vaccins ? libre à vous. Et libre à vous de continuer à cogner sur Macron et les vaccins. Vous vous heurtez simplement actuellement à une impasse qui n'est que celle des limites de votre rhétorique, vis-à-vis de laquelle je suis satisfait de participer à développer de l'intolérance. Maintenant que vous avez heurté ce mur, vous avez deux options: 1. Jeter l'éponge. 2. Changer votre rhétorique pour défendre vos opinions. C'est à dire chercher à étayer vos positions par des arguments et ne pas utiliser des artifices rhétoriques que nous retournerons implacablement contre vous. En somme: entamer un réel dialogue que vous avez esquivé jusqu'ici. S'il vous faut un tuteur en la matière, je peux faire un petit effort. C'est vous qui voyez...
"Je suis uniquement contre le pass, vieux ronchon [i.e. Robert Marchenoir]. Faut tout lire au lieu d'inventer. Toujours aussi déplaisant. Vite un vaccin contre la goujaterie !"
Vous n'êtes peut-être que contre le pass. Mais vous avez, pour défendre votre point de vue, affirmé des choses explicitement fausses du point de vue scientifique. Vous avez violé la vérité. Vous avez abusé de ficelles rhétoriques. Et vous trouverez des vieux ronchons sur votre chemin qui ne vous laisseront jamais champ libre pour vous complaire dans ce type de manipulation mentale de masse.
"Salut !"
Tchô.
----------------------------------------------------------
@ Tipaza
"Ce qui prouve que l'intelligence n’a rien à voir avec Normale Sup, mais nous le savions."
Normale Sup permet quand même de détecter des jeunes gens intelligents. Le problème n'est pas là: il se situe dans ce qu'ils font de cette intelligence et dans l'aura excessive que la société concède à ce type de concours au détriment d'autres processus plus aboutis de validation de la compétence. Les publications, par exemple. Entre autres.
Rédigé par : F68.10 | 28 juillet 2021 à 21:20
Cher Philippe Bilger,
Je vous rejoins dans votre indignation face aux voyous relâchés, faute de preuve.
Quand on s'en prend à des policiers, la peine doit être la même pour tous ceux qui ont fait partie de la bande. Ils doivent tous assumer les excès de certains.
Inutile de savoir qui a fait quoi.
Tous responsables... et tous coupables.
Chacun saura alors à quoi s'en tenir avant de faire partie d'une bande.
Rédigé par : Florestan68 | 28 juillet 2021 à 20:43
Se prévaloir de sa lucidité, passe encore ; mais se prévaloir de sa couleur de peau, autrement dit de sa dose de mélanine !
Rédigé par : Patrice Charoulet | 28 juillet 2021 à 17:08
L’un de nos amis féru d’astronomie vient de se suicider. Retraité et ne pouvant plus profiter de sa passion à cause des restrictions Covid (arrêt des activités pendant de longs mois), il a jeté l’éponge.
Un autre ami, il y a quelques mois, est mort aussi. Ne pouvant plus pratiquer de sport, il s’est laissé aller et a fait un AVC. Combien de morts économiques ou de morts de trop de solitude… Cette hystérie hygiéniste est en train de tous nous broyer.
Moi aussi, je jette l'éponge du moins sur ce blog. Il y a trop de macronistes fanatiques qui excusent tous les agissements de leur gourou !
Salut !
Rédigé par : Isabelle | 28 juillet 2021 à 16:42
Je fais une très courte digression, mais j'adôôôre le Une de Charlie de ce jour.
Cela fait du bien.
Le parallèle avec une autre Une de leur part pour enfoncer toujours plus profond la bêtise.
Pour finir, faisons des statistiques ethniques et arrêtons de se cacher derrière le petit doigt, on saurait ainsi qui fait quoi, et éviter de se lancer à chaque fois dans des approximations dont se régalent tous les frappadingues, tous les timbrés complotistes de la terre, racialistes et autres.
Jusqu'à preuve du contraire elle n'a pas porté plainte :
https://www.huffingtonpost.fr/entry/pascal-bruckner-rokhaya-diallo_fr_5f914710c5b62333b2427023
Et là où en est-on ?
https://www.francetvinfo.fr/societe/racisme/visee-par-des-propos-racistes-sur-sud-radio-rokhaya-diallo-interpelle-le-csa_4228507.html
Ils n'aiment pas notre pays, et quand enfin quelques rares se lèvent sans mettre le mouchoir devant la bouche, c'est tout de suite l'exécution sommaire.
Rédigé par : Giuseppe | 28 juillet 2021 à 15:00
"C'est mon désaccord avec Eric Zemmour"
Mais voyons, Monsieur Bilger, vous n'y pensez pas ! Un désaccord avec le futur Président ! Car comme disait l'autre, c'est Zemmour qu'il nous faut. Cela aurait d'ailleurs été un peu prédit par Chateaubriand :
Lorsque, dans le silence de la pensée En Marche, l’on n’entend plus retentir que les colères de Brigitte et les gueulantes de Dupond-Moretti. Lorsque personne ne tremble plus devant Manu et qu'il est à dix mois de la disgrâce, un intellectuel d'origine berbère paraît, chargé de la vengeance du peuple. C’est en vain que Macron prospère, Zemmour monte déjà dans les sondages ; il croît inconnu auprès de Pécresse et de Bertrand, et déjà l’intègre Providence a livré à un plumitif obscur la gloire de diriger la France.
Rédigé par : Metsys | 28 juillet 2021 à 14:07
Étant en vacances dans ma montagne à vaches, où l’internet est d’une lenteur, quand il fonctionne, à calmer les pulsions de fake news, et où il faut parcourir la colline pour arriver à trouver la cabine téléphonique de plein vent, qui délivrera un maigre réseau 4G, je découvre le problème sociétal et la solution trouvée par nos élites gouvernementales.
Si j’ai bien compris il y a un problème de contrôle au faciès, et pour éliminer le problème qu’il pose, on impose à nouveau le port du masque chirurgical sur les côtes atlantiques et méditerranéennes.
Masques dont le rôle est de cacher le faciès précisément !
Mais c’est génial comme procédure, il suffisait d’y penser. Ce qui prouve que l’intelligence n’a rien à voir avec Normale Sup, mais nous le savions.
Plus de faciès donc plus de contrôles discriminatoires au faciès.
Par contre seront sanctionnés ceux qui montrent leur faciès au soleil ou la lune, et ce quel qu’il soit !
Je ne suis pas sûr que la procédure soit si parfaite que je le croyais en première lecture, mais je suis en vacances, et mes petites cellules grises également.
Voici ma position : je suis pour le contrôle au faciès à condition qu’il permette d’arrêter les futurs délinquants.
Et pour cela nous avons l’aide d’une science, la psychomorphologie qui est l'étude des correspondances entre la psychologie et les prédominances morphologiques d'une personne. Cette science devrait être enseignée dans toutes les écoles de police.
Elle est un outil qui sert à la connaissance de l'homme d'après sa physionomie, outil à utiliser avec un certain recul, car l'intuition reste importante pour comprendre l'être humain.
https://psychotherapie.ooreka.fr/astuce/voir/493215/psychomorphologie
Bon, je repars ruminer cette pensée en compagnie des vaches de mon voisin.
Rédigé par : Tipaza | 28 juillet 2021 à 13:52