La diversité jusqu’au ridicule, jusqu’au grotesque.
Ce concept ressassé, choyé, dorloté, chéri comme la preuve ultime du progressisme, exhibé telle une éclatante démonstration du progressisme, opposé comme une arme foudroyante à tous ceux qui auraient le front de préférer une unité tranquille et homogène à une pluralité neutre ou dangereuse, cultivé comme si sans lui notre monde allait courir au désastre et l’humanité à sa ruine.
La diversité, j’en ai assez de l’entendre invoquer sans qu’on m’offre jamais la moindre preuve de la richesse qu’elle serait censée apporter.
Parce qu’il faudrait y aspirer par principe sans se soucier le moins du monde de l’équilibre qu’elle va rompre, de l’harmonie qu’elle va détruire. Il y a de plus en plus un totalitarisme de la diversité qui prétend corriger ce que le hasard des vies, des dons, des talents et des libertés avait su inventer. Et qui, pour n’être pas forcément égalitaire - un zeste de blanc, de noir, de jaune et de rouge ! -, était pourtant souvent remarquable. On nous enjoint la diversité, singulièrement et collectivement, comme si c'était mieux : peut-être mais on n'en sait rien !
La diversité, sans qu’on y regarde de près, est un dogmatisme. Il est faux de penser qu’il y aurait là une évidence morale à accepter sur un mode inconditionnel. La valeur de la diversité doit se démontrer. Pour ma part, j’opte sans hésiter pour mille Blancs, Noirs ou Jaunes ensemble dès lors que cette unité est bienfaisante plutôt que de fabriquer, par caprice, une globalité contrastée, contradictoire et parcourue par des courants hostiles, une tension permanente. L'unité aussi a ses charmes et n'est pas que repli frileux.
Chaque jour nous confronte à des exemples qui, selon le tempérament de chacun, peuvent susciter dérision ou indignation. Ainsi, afin d’accroître la diversité parmi ses membres, la compagnie musicale britannique English Touring Opera va se séparer de 14 de ses musiciens blancs. La diversité obtenue au forceps : la violoniste Zhang Zhang, de l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, s’est élevée avec force et courage contre cette nouvelle facette d’une modernité dévoyée (Le Figaro).
Cette notion de diversité prospère car elle paraît avoir une indéniable légitimité éthique. Elle fait partie de ces mantras qu’il faut prendre garde à ne pas discuter sauf à être disqualifié, sorti carrément de l’humanité.
Pourtant c’est en les considérant froidement au regard de leur effectivité et de leurs résultats qu’on parviendra sinon à les éradiquer – certains méritent de demeurer – du moins à les soustraire au radotage permanent d’un humanisme s’adorant lui-même.
La diversité au moins n’est pas à adorer mais à questionner.
L’injonction de la diversité... Rien de grotesque... Tout juste à bas son... Mais néanmoins efficace... et inquiétant.
https://www.angely.net/wp-content/uploads/2021/09/BM42web.pdf
Non, ce ne sont pas les deux futures « perles noires » de l’équipe de France...
Non, Saint-Jean d’Angély n’est pas en Seine-Saint-Denis...
Non, aucun quartier de cette petite sous-préfecture de Charente-Maritime n’est un territoire perdu de la République...
Mais elle est aux mains d’une maire progressiste, proche de Ségolène, qui, socialiste, fut tentée par la Macronie, qui l’a éconduite, et qui, aujourd’hui bonne élève des racialistes, applique l’une de leurs principales injonctions : rendre visibles les minorités, imposer leur présence dans les médias. Quoi de mieux que la « une » d’un bulletin municipal, même si la photo ne renvoie à aucun article ?
Quant à la population de cette jolie petite ville, très française de souche, elle est bien loin - pour l’instant - du chaos des banlieues. Elle vit paisiblement, compte quelques familles d’origine non européenne et beaucoup d’autres au seuil de la pauvreté. Tout va bien... si ce n’est l’apparition de quelques tags et deux ou trois dealers venus d’ailleurs aux abords du lycée et du collège. Rien de grave... si ce n’est que, voici vingt ou trente ans, les mêmes phénomènes se sont produits dans des villes, elles aussi pour la plupart de gauche (Trappes, Mantes-la-Jolie, Sarcelles...) dont, aujourd’hui, le nom est devenu synonyme de délinquance.
Rédigé par : Serge HIREL | 22 septembre 2021 à 13:26
@ Tipaza | 20 septembre 2021 à 18:53
Merci de penser à moi !
Je vous promets de ne vous raconter que mes expériences non pétrolières chez les Beaucerons, des indigènes particuliers, à partir de maintenant.
Ce bouquin m'intéresse, je viens de lire son résumé et l'ai commandé à Amazon ! Merci !
Cela m'inspirera peut-être pour en écrire un titré "Ethnologue malgré moi" !
À chaque fois que j'ai essayé en relisant les premières pages je me déçois tout seul, écoeuré par la pauvreté du texte qui est plutôt du genre spécifications techniques que roman d'aventures !
N'est pas écrivain qui veut !
Rédigé par : Claude Luçon | 21 septembre 2021 à 16:41
@ Tomas | 20 septembre 2021 à 22:13
"Quant à Charlie non merci, pas mon truc depuis que Lefred-Thouron est parti. Ça fait bien longtemps, quand Patrick Font avait été condamné pour pédophilie et qu'il avait voulu faire un dessin rigolo là-dessus, vous voyez, ça date."
Vous arrêter à cela c'est pusillanime, l'ingénieur de recherche de structures qui menait ses cours distribuait les journaux "La cause du peuple", et alors ? Nous n'aurions pas dû assister à ses cours ? Pourtant le campus scientifique n'avait rien à voir avec le Mirail littéraire à l'époque.
Charlie a évolué, comme tous, des pommes pourries il en existe dans tous les paniers de fruits, et l'on devrait renoncer aux fruits et à la salade qui les fait rois ?
Je suis stupéfait de la qualité des dessinateurs de Charlie, dont l'un me rappelle le trait de Reiser, j'adôôre, je me suis mis en tête de rassembler tous les albums du dernier, j'ai retrouvé en faisant du rangement ses dessins, je me suis pris d'un grand rire de fraîcheur, loin de tous ces cinglés féministes et de tous ces frappadingues de l'écoféminisme et de leur intersectionnalité... Ouf !
Je suis en veille, curieux, pas bon sur tout, mais je pense savoir écouter, et quand il existe des blessures, un pansement, et en avant !
Mon contrat d'engagement comportait les paroles suivantes "soyez curieux !", le PDG ne m'a JAMAIS demandé un quelconque diplôme - nous ne faisions pas de la recherche non plus -, on s'occupe de problèmes parce que les gens s'ennuient, et ont besoin d'histoires à dormir debout tous les jours !
Rédigé par : Giuseppe | 21 septembre 2021 à 14:13
@ Giuseppe
Moi je ne suis ni pour ni contre, je constate que la diversité a existé, existe et existera toujours. Le jour où elle n'existera plus, on périra tous d'ennui.
Entendons-nous bien, je ne suis pas pour une politique de discrimination positive (dont les discriminés positifs sont les premières victimes, bien sûr), ni pour le métissage obligatoire pour tous (c'est aussi totalitaire que l'eugénisme nazi). Mais voir les blogueurs conservateurs comme notre hôte populariser des mouvements pour l'essentiel cantonnés outre-Atlantique (et encore je gage, pas partout) ça me fait doucement sourire.
Ce n'est pas une injonction de diversité à vrai dire fort marginale et totalement incantatoire chez nous qu'il dénonce, c'est la fin du monde où seuls les mâles blancs bien nés accédaient aux postes de responsabilité et aux bons salaires. Il faut s'y faire, il faudra batailler davantage pour y arriver maintenant que les femmes travaillent et que les immigrés font des études.
Quant à Charlie non merci, pas mon truc depuis que Lefred-Thouron est parti. Ça fait bien longtemps, quand Patrick Font avait été condamné pour pédophilie et qu'il avait voulu faire un dessin rigolo là-dessus, vous voyez, ça date.
Rédigé par : Tomas | 20 septembre 2021 à 22:13
@ Claude Luçon
Hors sujet, mais on me pardonnera, ça ne m'arrive pas souvent !
Vous avez tellement raconté votre vie de prospecteur en long, en large et en travers dans tous les déserts du monde, que lorsque j'entends parler de pétrole, paf, je pense à Claude Luçon !
Parmi les livres que je lis en ce moment, se trouve le livre de Sylvain Tesson, "Géographie de l'instant".
Voici ce qu'il écrit dans un paragraphe consacré au pétrole:
"Le pétrole est un produit résultant de la décomposition d'organismes végétaux et animaux. Le processus dure des millions d'années. Le pétrole peut donc être considéré comme un concentré de temps. Or c'est grâce à ce concentré de temps, à ce précipité de durée (au sens chimique du terme) que nous disposons de carburant pour nous déplacer. Nous distillons le temps pour nous affranchir de l'espace."
La formule est superbe, j'ai pensé la partager avec vous.
J'adore Sylvain Tesson. Ses livres sont des trésors de sensibilité et d'intelligence pure.
Rédigé par : Tipaza | 20 septembre 2021 à 18:53
Après les prises de position de Sarkozy et Hollande et aujourd'hui face à l'élévation du Général Meyer à la grand-croix de la Légion d'honneur, le doute s'installe envers le président: habileté ou esprit progressif de reprise en main des affres de l'histoire ? Pour tous nos Harkis et ceux qui ont agi pour leur réinsertion, c'est bien. Le petit-fils de l'un d'eux est devenu un grand médecin. C'est l'unité reconstituée. Personnellement, je suis très ému.
Mais d'un politique, on peut douter toujours: le miel et le sucre.
Rédigé par : genau | 20 septembre 2021 à 18:35
@ Tipaza 20/09 10:12
La position de Tocqueville à l'égard du principe d'égalité était en fait assez ambiguë, car il craignait à la fois qu'elle ne « porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau » - en cela, l'exemple de notre pays ne lui donne pas tort ! - tout en y voyant cependant « une passion mâle et légitime qui excite les hommes à vouloir être tous forts et estimés ».
Les hommes n'étant égaux qu'en tant qu'ils sont libres, et cette liberté ne pouvant être garantie dans les régimes démocratiques que formellement par l'Etat, Tocqueville craignait donc qu'une « passion débordante pour l'égalité » ne conduise en fait ces peuples démocratiques à sacrifier la liberté sur l'autel de l'égalité, seul un régime autoritaire, despotique, étant de nature à imposer un nivellement garantissant toute dérive inégalitaire.
C'est surtout cette dérive qui hantait Tocqueville dont l'approche de la démocratie se fondait sur une égalité essentiellement juridique des citoyens dans une perspective libérale de la société. Marx et ses émules avaient à l'opposé une autre approche, considérant que, sans égalité sociale et économique s'ajoutant à l'égalité juridique, il ne saurait y avoir de liberté.
Rédigé par : Michel Deluré | 20 septembre 2021 à 18:24
@ Ellen | 20 septembre 2021 à 09:22
Mais quelle vision claire ? Quelle vision de ce qui marche et de ce qui ne marche pas ? Au fait, qu'est-ce qui marcherait avec Macron ? Certainement pas la fourniture de sous-marins à l'Australie, qui est le dernier camouflet en date. Ah, je me plais à imaginer le plaisir sous cape de ceux qui viennent de l'humilier. Ils ont dû considérer qu'on rentre dans Macron comme dans du beurre. Eh oui ! Dès qu'il a affaire à autre partie que son peuple martyr, il peine à s'imposer. On lui a déjà reproché, maintes fois, et à juste titre, d'être fort avec les petits, mais très limité avec les autres. Sa puissance étant inversement proportionnelle à son arrogance. Il faut vraiment chercher dans quel domaine il a marqué des points.
En cherchant mordicus à le défendre, vous ne vous aidez pas et vous n'aidez pas vos semblables. Comme pour l'écoeurant politiquement correct, comme pour la vomitive diversité qui n'aura apporté de « richesse » qu'aux crimes qu'elle affectionne, il vient un moment où il sied de dire les choses comme on les ressent. Et les dire sans ambages. Il en va de la dignité personnelle de chacun !
Rédigé par : GERARD R. | 20 septembre 2021 à 17:58
La France est incroyablement clivée et divisée.
Le clivage traditionnel droite-gauche est une notion dépassée au profit d’une division avec d’un côté des progressistes qui se disent essentiellement de gauche parce qu’ils se targuent d'être de grands humanistes et de l’autre des personnes plus conservatrices.
Il n’y a qu’à écouter les discours de deux candidats PS déclarés pour s’en rendre compte. Anne Hidalgo avec son élitisme mondialisé et melting-pot et sa fausse candeur représente la gauche hors sol et de l’autre un Arnaud Montebourg qui aime la France et cela se sent, son sujet étant de défendre les Français oubliés, les terroirs, le travail et les rémunérations qui vont avec. Il représente le socialisme traditionnel, celui qui défendait les oubliés, les pauvres et les travailleurs.
On voit bien où nous mènent le progressisme et la diversité qu’on nous impose depuis des années.
Lorsqu’en effet un pays reçoit peu à peu des gens venus d’ailleurs essentiellement musulmans et que le nombre dans certains quartiers dépasse largement celui des autochtones, ce pays finit par ne plus savoir qui il est ni où il va.
Pour rester dans sa cohérence progressiste et mondialiste, la gauche, qui se veut ou plutôt se croit élitiste, use en surabondance de procédés dignes de dictatures. En faisant taire les velléités des récalcitrants par des manipulations intellectuelles telles que les accusations en racisme ou en xénophobie, allant même jusqu’à interdire de plateaux TV ceux qui dérangent le ronron de la belle pensée, devenus trop populaires. Des leaders trop populaires et donc jugés populistes. Une de leurs pratiques habituelles issues du communisme : ranger les gens dans des catégories infréquentables en leur faisant des procès d'intention.
La France d’aujourd’hui est ainsi faite de mondes séparés, de quartiers de métropoles mais aussi de petites villes en Région où la diversité a tellement gagné de terrain que les Français, s’y sentant étrangers, fuient vers d'autres horizons pour l'instant plus traditionnels.
C’est le cas de banlieues qui font parler d’elles de façon récurrente, Grigny, Trappes ou Mantes-la-Jolie, Val-de-Reuil et beaucoup d’autres mais aussi de certains arrondissements de Paris devenus des territoires perdus de la République.
J’ai décrit sur ce blog l’évolution de la ville de Créteil où j’ai vécu de 1974 à 1981 et où je ne pourrais plus vivre aujourd’hui. C’est malheureusement le cas de beaucoup de villes nouvelles pourtant si bien conçues et si bien pensées à l’origine, où les maires ont logé et relogé des familles immigrées peu à peu depuis quarante ans, s’assurant ainsi leur réélection dans la durée.
Le maire PS de Créteil élu depuis 44 ans, nomme ses magnifiques feux d'artifice tirés sur le lac en juin : "Créteil accueille le monde", au moins il assume puisque dans cette ville on compte les Français d'origine !
Mon fils vivait dans le XXe arrondissement, une rue calme et encore agréable dans les années 2000, pourtant, un jour il m’a dit « quand je sors le soir et que je dois rentrer tard, je ne prends plus le métro mais un taxi, car des groupes de dealers sont menaçants ». Ces jours-ci j’ai pu voir un rassemblement des habitants « anti-crack » de ce quartier, justement devant la porte de son immeuble. Ce qui était un ressenti est devenu une réalité invivable.
Car, oui, qu’on l’admette ou non, la diversité crée l’insécurité, déstabilise nos fondements traditionnels et sociologiques qu’ils soient culturels, religieux ou moraux. Des regroupements ethniques créent des rivalités, des haines importées de pays d’origine engendrent des clans et des bagarres sauvages et d’un autre âge.
D'ailleurs ceux qui pleurent (à juste titre) sur le sort des femmes afghanes, devraient un peu plus déplorer le sort de certaines femmes de nos cités, interdites par exemple d'aller boire un café dans un bar ou qui portent une jupe trop courte et subissent l'opprobre des hommes qu'elles croisent.
Nos dirigeants sur cet aspect des choses ne veulent pas se remettre en question car ce serait se renier, ils préfèrent asséner leurs vérités que bien souvent ils savent fausses et faire des parias de ceux qui dénoncent cet état de fait. De la politique à l'état pur avec tout ce qu'il y a de nocif pour l'avenir de notre société.
Alain Finkielkraut dit qu’il ne pourrait plus vivre dans le Xe arrondissement de Paris. Il réclame le droit à la continuité historique et dénonce un progressisme qui est en train d’effacer les traces du génie français. Il faut selon lui rattacher son avenir à ses racines.
Que du bon sens !
Mais que faire alors que la situation est déjà ingérable et que toute idée d’assimilation est taxée d’extrême droitisme.
A force de vouloir diversifier les populations et donc par-delà les coutumes, les mœurs et les cultures, on produit un monde hétéroclite où plus personne ne ressent ni attachement ni fierté nationale avec tout l’individualisme qui en découle mais aussi les ressentiments et mêmes les haines que cela engendre.
Un avenir plutôt sombre.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 20 septembre 2021 à 17:54
@ Achille | 20 septembre 2021 à 09:29
"Ce qui serait assez cocasse c’est que les Chinois rachètent la commande des douze sous-marins passée à la France par les Australiens."
Ça ne risque pas d'arriver. La Chine a ce qu'il lui faut. Pour des raisons politiques et stratégiques, la Chine a déjà acheté des sous-marins à propulsion nucléaire dotés de missiles balistiques de contre-attaques dernière génération, à son partenaire, la Russie.
Rédigé par : Ellen | 20 septembre 2021 à 16:50
@ Tipaza | 20 septembre 2021 à 10:12
Je ne connais rien de plus raciste que la discrimination positive.
Dès lors que c'est pointer du doigt toute une catégorie d'étudiants qui bien qu'ayant été lauréats de concours ou d'examens, sans aucune aide ou discrimination positive, mais uniquement grâce à leur travail et leurs efforts, vont être néanmoins soupçonnés d'en avoir bénéficié, eu égard à leurs origines ethniques ou culturelles réelle ou supposées...
Ce qui conduit à nier leurs efforts, rabaisser leurs mérites et in fine les rabaisser et les inférioriser.
Rédigé par : Axelle D | 20 septembre 2021 à 16:42
Question ponctuelle, née de l'absence de réflexion, abandon à l'instinct d'uniformité pour mieux gouverner, illusion d'optique.
C'est agaçant, hautement hypocrite, mais sans intention autre que de se choisir un hochet.
La mondialisation qui va avec ne résoudra rien si ce n'est proposer des équations dont on aura simplifié un terne sans modifier la pléthore des inconnues.
Toutes les critiques du passé n'éclairent pas le présent et plaider en permanence la culotte de zouave est un privilège des puissants, de surcroît intéressés. Donc, problème de gouvernance, indissociable de la volonté de puissance. Nietzsche n'est pas mort.
Il n'y a aucune prévision à faire, tout est possible, ni bien ni mal. Le rêve des eaux calmes, du fleuve paisible n'existait pas quand les continents se formaient, que les montagnes s'élevaient et pourtant, nous étions là, en puissance.
La seule épine dans le pied c'est la conduite commerciale et publicitaire de cette tendance qui en signe la malhonnêteté intellectuelle et la précarité. Pour laisser la place, à qui ? à quoi ? L'exemple chinois est à méditer.
Rester dans le réel, le pratique contraint à se perdre dans l'incomplétude de nos esprits. Aller se perdre au fond des bois expose à l'ire de l'administration. Lutter, argumenter épuise sans résultats. Alors comme les vieillards de Goethe: "s'asseoir sur les coteaux en vidant son verre, pendant que les peuples là-bas se cassent la tête".
Rédigé par : genau | 20 septembre 2021 à 16:34
Ce qui m'importe ce sont les enfants issus de mariages mixtes ou pluriethniques et leur devenir.
Sachant qu'un enfant métis ne peut avoir, durablement, deux cultures juxtaposées. Tôt ou tard il en aura forcément une seule, aussi métisse que lui-même et s'étant construite à sa mesure au fil de son vécu et de ses expériences.
En outre, étant appelé à faire sa vie dans l'un ou l'autre pays d'origine, il se retrouvera finalement imprégné de la culture du pays que ses parents auront choisi pour lui ou, mieux encore, qu'il aura choisie lui-même. Avec bien souvent à la clé, eu égard à son parcours, une combativité et une ouverture d'esprit très supérieures à la moyenne...
Ce qui évidemment semble difficile à comprendre pour des esprits étroits, sottement manichéens et incapables de voir au-delà des apparences...
Le plus curieux est que les personnes les plus virulentes à l'égard des métis dont les géniteurs, dois-je le rappeler, n'ont pas choisi de les engendrer en raison d'une idéologie obscure, mais essentiellement par amour mutuel, sont des personnes frustrées, pleines de rancoeurs et ayant bien souvent tout raté, y compris leur propre progéniture !
Rédigé par : Axelle D | 20 septembre 2021 à 16:28
@ Tipaza
"Tocqueville voyait déjà dans ce principe, l'essence de la future décadence des démocraties à commencer la plus grande, les USA."
Oui mais justement les USA montrent que la démocratie a d'autres limites que ce principe d'égalité, limites qui s'y mêlent.
Voyons-le par les Indiens et les Noirs ! Comment des gens dont l'origine est d'avoir été dépossédé de leur terre par ladite démocratie, ou de leur corps par ladite démocratie *, sont-ils censés adhérer à l'idée de mérite selon les critères de la société dont ils sont les reliefs du festin ?
Disons que c'est possible mais que ce n'est pas dû... Pour aider à comprendre : si des extraterrestres nous massacraient, parquaient, et voulaient bien, finalement, laisser certains des plus méritants partager leur table tandis que les congénères grignoteraient les restes, tenterions-nous de nous hausser jusqu'à eux ou les rabaisserions-nous jusqu'à nous ? C'est la question. Nous demandons beaucoup : le ferions-nous ?
Bref, ce frein à l'égalité indépendant à la personne mais ressortant de l'Histoire, je vais l'appeler chaîne de la défaite.
Les Indiens sont enchaînés... A moins qu'ils ne récupèrent l'Amérique ? Et les Noirs ? Cette terre n'a jamais été à eux, ils ne sont plus d'Afrique, ils sont de nulle part.
Les Juifs ont été très persécutés, c'est vrai, mais d'un autre côté, ils ont toujours fait partie de l'Occident.
Donc ils ont plus ou moins fait partie du contrat. La chaîne de la défaite a été moins lourde sur eux et ils ont conquis une terre.
Rédimés.
Pas les Indiens, pas les Noirs, on comprend que le marais, je dirais, les gens pas assez bas, ignobles, pour être des soumis, et pas assez grands, divins, pour aller contre leur destin, soient plein de ressentiment... Si en plus des gens les rabaissent, il ne faut pas s'étonner de mouvements de revendications parfois excessifs.
Mais d'abord, on parle de compétence, je veux bien, mais tout est finalement subordonné à l'argent donc au pouvoir. Alors, l'argent est un pouvoir, la politique aussi, donc on peut se dire que si certains s'emparent du pouvoir par l'argent, on peut le faire par la politique.
Je pense qu'il faut qu'on reconnaisse le passé, aide les gens qui en ont besoin à survivre mais qu'on ne nomme que des gens compétents.
Plus que jamais.
Sans quoi, comment l'opposer aux enchaînés de l'Histoire ?
Il n'empêche que nos anciennes victimes doivent se plier à la loi commune.
A commencer par les victimes pleines de ressentiment, ce qui les regarde et ne serait pas une perte, mais aussi leurs enfants, vu que les perdants maudissent le monde sans se gêner pour l'infliger aux enfants qui n'y auront pas plus leur place.
C'est ce que je trouve le plus choquant, pour ma part...
Parce qu'en fait, il n'y a plus guère de bisons à chasser, et des goûts de luxe, un mode de vie occidental installé.
Et que ce qui est candidat à nous remplacer, musulmans et même Chinois et autres sont encore moins tendres que nous en tant que liberticides, et pas spécialement tendres avec les peuples faibles, il n'est qu'à voir l'esclavagisme des musulmans sur les chrétiens et autres animistes.
Il ne s'agit pas de prétendre que les victimes ne sont pas des victimes, seulement qu'elles le seraient davantage à nous couler.
Par contre, se rallier à nous et nous à elles est à notre bénéfice mutuel. Comme moindre mal mais pas seulement, il y a une renaissance indienne et une bourgeoisie noire.
En somme, il n'y a pas d'avenir pour qui ne sait, comme les Japonais, nous imiter tout en restant soi-même, vaste problème.
Pour ceux qui le peuvent, au contraire, tout est ouvert.
Globalement, les choses vont mieux, et souvent, le convalescent impatient peut risquer sa santé avec des imprudences !
Celle des autres aussi en politique. Il ne faut pas le permettre. Se tourner vers l'avenir serait aussi un plus : vers la mer et les étoiles, deux étendues qui nous ont toujours appelés et vers lesquelles notre destin manifeste est de nous établir.
Nous l'avons prétendu ? Il faut vraiment être universels : je veux dire rester nous-mêmes tout en ralliant le monde à notre panache... blanc ou autre, qu'importe ?
De liberté.
* Les autres nations n'ont pas fait mieux, les champions de la lutte contre l'esclavage sont les Anglais.
Rédigé par : Lodi | 20 septembre 2021 à 12:47
@ HOPE | 20 septembre 2021 à 09:07
Je pense que l'on peut considérer les deux qui ont le même sens :
Poème de Chassignet suivant :
"Mortel pense quel est dessous la couverture
D’un charnier mortuaire un corps mangé de vers,
Décharné, dénervé, où les os découverts,
Dépoulpés, dénoués..."
Pierre de Ronsard:
"Je n’ai plus que les os, un squelette je semble,
Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé..."
Mon voisin ne circule plus qu'en vélo désormais, non pas par culture essentialiste, mais ne se déplaçant que dans un petit périmètre il juge que c'est plus utile à sa santé. Etant d'une école qui réparait tout, capable de faire des yeux à un chat, il a du mal à admettre tout ce qui touche à l'électroque "qui tombe toujours en panne, et que plus personne ne veut réparer", en cela je pense qu'il a en grande partie raison.
Portez-vous bien aussi.
Rédigé par : Giuseppe | 20 septembre 2021 à 12:29
"La diversité jusqu’au ridicule, jusqu’au grotesque."
suivie de :
"Cette notion de diversité prospère car elle paraît avoir une indéniable légitimité éthique." (PB)
Voilà les deux phrases qui résument, non seulement le billet, mais l'état de la société et la façon dont nous sommes arrivés à ce stade de grotesque.
La légitimité éthique, le poison qui nous tuera, est un dérivé du principe d'égalité poussé à ses extrêmes les plus mortifères.
Tocqueville voyait déjà dans ce principe, l'essence de la future décadence des démocraties à commencer la plus grande, les USA.
Il y voyait le ferment de la décomposition de la société, chacun s'estimant en droit, oui en droit au sens juridique, pouvoir revendiquer une vie égale à celle de l'autre, sans se préoccuper des devoirs afférents pour obtenir ce droit.
Depuis Tocqueville, ce processus n'a fait que s'accélérer et chaque fois, le mieux étant l'ennemi du bien, chaque pas vers une égalité plus grande a été un pas vers la décomposition de la société avec la perte d'un autre principe fondateur implicite de la démocratie, le principe du seul mérite pour accéder à une situation.
C'est ce principe de mérite qui fut explicité sous la forme de principe d'égalité par les révolutionnaires. Le mérite fut ensuite effacé au profit de l'égalité facile et sans douleur par la revendication perpétuelle.
L'accélération décisive a été donnée par la discrimination dite positive, dans le but "louable" de mettre fin aux inégalités sociales.
Et c'est ainsi que les diplômes qui garantissaient une certaine qualité de formation ont été galvaudés et distribués à l'encan, avec des pourcentages au bac par exemple, qui paradoxalement marginalisent définitivement ceux qui ne l'ont pas.
Et la discrimination positive se poursuit pour les grandes écoles en France ou les universités prestigieuses aux USA.
Aider les enfants des classes défavorisées par des soutiens financiers est une chose louable, qui a été réalisée de tout temps, sous des formes multiples, mais réserver des places au motif de la couleur de peau n'est pas la même chose.
La discrimination positive et facile continue à faire des ravages, y compris dans des domaines inattendus comme la musique et l'article de Zhang Zhang est admirable de ce point de vue.
Pour le moment la discrimination positive qu'elle dénonce n'a pas atteint la médecine et chirurgie, la boucle sera bouclée à ce moment.
Si on pousse plus loin les raisons de cette revendication diversitaire grotesque, on voit qu'elle est le résultat de la nouvelle philosophie et morale du relativisme absolu, par laquelle tout se vaut et qui nie la hiérarchisation ; qui non seulement la nie mais la combat.
Car au fond le principe de mérite procède de cette hiérarchisation, et donc supprimer toute hiérarchie morale, artistique ou autre c'est faire admettre un principe d'égalité dévoyé jusqu'à ce qu’une certaine diversité n'ait plus besoin de démontrer ses capacités pour s'imposer.
Le curieux est que ceux qui devraient défendre le principe de mérite précisément au nom de l'égalité vraie, abondent dans sa disparition, en s'imaginant faire le bien, alors qu'ils ne font que le détruire.
Rédigé par : Tipaza | 20 septembre 2021 à 10:12
@ Axelle D | 19 septembre 2021 à 21:09
« Drôle de tambouille ! »
Ben oui, mais la tambouille américaine cela fait bien longtemps que les Français doivent s’en accommoder.
Ils vont dans les fastfoods, boivent du Coca-Cola, regardent les séries crétinisantes américaines, donnent des prénoms américains à leurs enfants, et pour finir se raccrochent à tous les mouvements pseudo-intellectuels qui nous viennent d’outre-Atlantique.
Bon c’était mon petit côté zemmourien de la journée. Rassurez-vous ça va passer ! :)
Rédigé par : Achille | 20 septembre 2021 à 10:11
@ GERARD R. | 20 septembre 2021 à 06:32
De quel contradicteur parlez-vous ? Il n’y a pas de contradicteur, il y a juste une vision claire de ce qui marche et de ce qui ne marche pas, de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est pas. Et ça, il faut le dénoncer pour éviter de trop s'enliser dans les bêtises. On ne peut plus se permettre de toujours être politiquement correct et dire merci patron quand il déraille.
"Eric Zemmour : à prendre et à laisser…" est le titre d’un des billets précédents de M. Bilger qui pourrait aussi concerner M. Macron quant à ses revirements sur les faits, et ses propos maladroits et controversés.
Rédigé par : Ellen | 20 septembre 2021 à 09:22
@ Giuseppe
"Réponse courte, qui décharne, dépoulpe, déchiquette ces nouveaux courants qui détestent les Lumières"
Dépoulpe !? Du verbe dépoulper alors ?? J’avais quelque peu abandonné ce blog mais je constate que j’ai vraiment bien fait d’y revenir ! 😊 Amitiés à votre voisin surtout.
P.-S.: pour ce qui est de la 4L, je crois me souvenir que malheureusement…
Portez-vous bien s’il vous plaît :)
À bientôt j’espère.
Rédigé par : HOPE | 20 septembre 2021 à 09:07
Puisse faire Dieu, que l'un des plus grand pervers ethnomasochistes, accessoirement et accidentellement -j'espère - président de la Raie Publique, lise ce billet, rédigé par l'un de ses plus grands adorateurs... Ô contradiction, quand tu nous tiens !
Rédigé par : GERARD R. | 20 septembre 2021 à 06:32
@ Patrice Charoulet | 19 septembre 2021 à 14:31
C'est de la préhistoire que vous nous décrivez là. À cette époque il n'y avait pas de carte d'identité, pas de passeport avec visa et pas de cartes géographiques ni même de boussole pour se déplacer. Les gens allaient à pied sans savoir qu'ils rentraient sur des terres inconnues d'alors.
Et puis, ce que vous essayez de nous expliquer, les enfants dès la 6e le savent déjà.
Nous sommes au XXIe siècle je vous précise. Si vous voulez vivre libre et dans un pays en paix, les indésirables fanatiques religieux qui nous détestent et nous font la guerre ne sont pas les bienvenus. Voilà, c'est tout.
Rédigé par : Ellen | 19 septembre 2021 à 23:37
@ Tomas | 19 septembre 2021 à 11:26
Je suis contre la diversité, ou plutôt qu'elle reste chez soi, c'est la fin de la solidarité et de la liberté et le début de la vengeance.
Il est faux de dire que la lutte des classes est remplacée par cette nouvelle culture, même les plus endurcis des luttes, en l'occurrence Charlie, crachent depuis le début sur ces ignominies que sont la "cancel culture" et toutes les "wokeries" de la Terre.
L'écriture inclusive, Dieu quelle imbécillité de plus ! Et des statues d'une autre époque déboulonnées, comme si nous étions des esprits simples, des simples d'esprit ; rien ne sera jamais effacé, c'est digne de tous les esprits et pays totalitaires, pourquoi effacer le parcours d'une vie, d'un pays ?
Brûler des livres, mon grand-père doit se retourner dans sa tombe, nul besoin d'être bourgeois pour comprendre et défendre ce que sont les libertés.
Il ne faut pas confondre me semble-t-il des combats de frappadingues avec la défense de revendiquer une plus grande égalité des chances et plus de respect mutuel.
Toute société qui fonctionne est pyramidale, l'intelligence c'est d'en maîtriser les contours.
Nous sommes en dictature paraît-il, on voit que nous sommes dans un pays de gâtés et comme l'on s'y ennuie sans doute, on se crée des imaginaires et finir comme les femmes afghanes sous le knout, ou encore sous les lacets de câbles métalliques au nom de ces cultures essentialistes.
Je vous recommande la lecture des derniers Charlie à ce sujet, ce n'est pas qu'ils sont un havre de paix sur tout, mais tant qu'ils publieront je me sentirai en liberté et en sécurité, ils ont répondu mieux que je ne pourrais le faire, en particulier dans leur dernier numéro.
Rédigé par : Giuseppe | 19 septembre 2021 à 21:27
@ Achille
"The right word at the the right time and at the right place"... Ce qui est valable tant pour les Américains que ceux qui leur empruntent servilement certains termes nébuleux dans l'air du temps, tels que "woke" sans manifestement en comprendre le sens, la portée, le sel et tout en se défendant de les copier !
Concernant "woke" par exemple (mot dérivé du verbe wake), la question est de savoir s'il vaudrait mieux par les temps qui courent être éveillé ou réveillé ou au contraire endormi, indolent et inconscient ?
Surtout ne répondez pas tout de suite et attendez d'être bien réveillé !
D'autre part, concernant le substantif wok, à part désigner dans le domaine culinaire une grande poêle à deux anses, ustensile originaire d'Asie, alias une grande sauteuse, je ne vois pas ce que ce mot fourre-tout vient faire dans notre belle langue pour désigner les nouveaux progressistes, racialistes, gauchistes, anarchistes, féministes et autres fétichistes de tout poil ?!
Drôle de tambouille !
Rédigé par : Axelle D | 19 septembre 2021 à 21:09
Soyons clairs : la diversité, ce n'est jamais que le dernier avatar de la lutte menée par la gauche contre la civilisation occidentale.
Ceux qui s'en réclament n'ont évidemment pas davantage pour but la diversité, que les socialistes n'ont pour but la liberté. La diversité n'est jamais qu'une arme à sens unique, anti-libérale, anti-capitaliste, anti-blanche, anti-masculine et anti-occidentale.
Il s'agit toujours de mobiliser les mécontents, les jaloux et les incapables au service de la destruction de la société.
N'importe qui peut se saisir de la bannière diversitaire pour réclamer des privilèges indus -- sauf, bien sûr, les membres des "catégories non protégées". Concept désormais officiel, dans la mesure où il existe officiellement des "catégories protégées".
Si vous n'êtes ni noir, ni arabe, ni asiatique, ni musulman, ni femme, ni handicapé, ni homosexuel, ni transsexuel, eh bien allez vous faire f..., comme dirait Jean-Paul Belmondo.
Vous avez aussi la douteuse consolation de voir les diversitaires s'écharper entre eux, car bien sûr, une telle idéologie conduit immanquablement à des conflits internes. C'est ainsi que les féministes les plus politiquement correctes sont dépassées sur leur gauche par les transsexuels, et clouées au pilori sous l'appellation infamante de TERF.
Croyez-moi, vous n'avez pas envie d'être une TERF. Si le rumeur se répand que vous êtes une "trans-exclusionary radical feminist" -- et il suffit, pour cela, de refuser que des hommes non castrés prétendant être des femmes concourent à des compétitions sportives féminines -- vous risquez de perdre votre emploi de professeur, d'être mis à la porte par votre éditeur, de perdre vos moyens d'existence et d'être perpétuellement clouée au pilori.
Même une TERF homosexuelle ne trouvera pas grâce face à la rage politiquement correcte. Comme en URSS, les révolutionnaires les plus impeccables sont constamment éliminés par des révolutionnaires encore plus révolutionnaires.
De même, la vague actuelle d'agressions envers des Asiatiques aux États-Unis est certes effroyablement raciste, mais les médias américains passent en général sous silence le fait que leurs auteurs sont, la plupart du temps, des... Noirs.
Hélas, ça faisait une belle jambe, aux pensionnaires du Goulag, que les membres du parti communiste s'exterminent entre eux.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 septembre 2021 à 20:47
Les blondes aux yeux bleus et les brunes aux yeux verts ne veulent plus abîmer le corps que leur maman leur a donné. Elles ne veulent plus d’enfant ou alors moins de trois. L’émancipation de la femme européenne a provoqué un effondrement du taux de natalité. Par contre les femmes aux cheveux noirs crépus font des enfants dès que possible, elles aiment la maternité, elles n’ont pas forcément le choix non plus. Quand l’homme rentre à la maison, il ordonne et elles sont bien obligées de subir. C’est comme ça et puis c’est tout. Le nombre de bébés est plus important chez les Noirs, les Arabes et les Chinois que chez les Blancs. C’est un fait indéniable.
Arrivés sur le marché du travail, la disparité est visible. Les employeurs sont sollicités pour diversifier leur masse salariale et tant pis si la qualité n’est pas proportionnelle à la qualité. Je pourrais prendre mon expérience professionnelle pour argumenter, on me dirait que cela n’est pas une preuve suffisante. Pourtant, j’ai remarqué que le taux d’absentéisme est bien moins élevé chez les Blancs, les certificats de complaisance ne sont pas une vue de l’esprit. Tout cela va changer parce que les Blancs fatiguent, l’âge est un handicap certain. Il faut renouveler la masse salariale. Alors la France perd des contrats, les entreprises sont rachetées par des groupes étrangers. Quant à la fonction publique, elle fonctionne à coups de subventions.
Dans l’exemple qui nous préoccupe, l’orchestre britannique semble être composé de Blancs, cela semble normal, j’ai rarement vu des Noirs jouer du violon ou du hautbois. Un chef d’orchestre métissé est une exception rare. Il y a quelques années, le concert du Nouvel An de Vienne fut dirigé par un maestro noir. Cela n’a pas duré plusieurs années, les musiciens n’en pouvaient plus des approximations. Pourtant, il faut bien essayer d’intéresser les populations noires ou arabes, on ne va pas les laisser regarder sans rien faire. Les Asiatiques et les Blancs vont devoir partager les places, on verra si les partitions seront lues, interprétées et restituées. La réalité va confronter les fantasmes de l’idéologie.
L’homme blanc est plus que jamais une cible désignée. Il est sommé de laisser la place, du balai, de l’air.
Rédigé par : vamonos | 19 septembre 2021 à 20:44
L’humanité est une. Ceci posé, la diversité est aussi une réalité. Elle s’impose à tout esprit rationnel : diversité homme-femme, diversité des cultures, diversité des histoires, diversité des mœurs, diversité des fois... Le monde est ainsi fait... et c’est très bien... Jusqu’au jour où quelques esprits s’affirmant éclairés se prennent pour des lumières et se mettent en tête que ces diversités, au mieux, appartiennent au passé et que l’humanité n’est qu’une. Tous frères, tous égaux, tous libres. Le concept est séduisant, mais il est aujourd’hui démontré que, depuis toujours et dans toutes les sociétés, il s’avère faux. En tout cas, un objectif qui s’apparente au mirage.
Tendre vers la fraternité humaine, l’égalité sociale, la liberté de chacun, toutes les démocraties modernes caressent ce même rêve sans qu’aucune, pour l’heure, ne soit parvenu à le réaliser. Il fut un temps où les dirigeants des peuples dits alors « civilisés », tout en se construisant un empire qu’ils pillaient, ont cru pouvoir faire le bonheur des « sauvages » en leur imposant leurs lois et leurs fois par la force... Esclavage d’abord, asservissement ensuite, colonialisme hier, assimilation aujourd’hui... On sait aujourd’hui que ce chemin-là n’est plus praticable.
Et voilà que, soudain, en France, voici une quarantaine d’années, le balancier, jusqu’alors fermement maintenu par l’Etat-patrie, est parti dans l’autre sens, à la faveur d’une immigration non maîtrisée, du recul spectaculaire de la religion dominante et d’une dégringolade de notre cohésion au profit d’un individualisme mortifère imposé par le socialo-communisme alors triomphant et suffisamment retors pour obliger les forces de droite à soutenir ses dérives, en tout cas à ne pas les combattre bec et ongles.
Aujourd’hui, des Assa Traoré tiennent le haut du pavé, l’idéologie « woke » vocifère, des héros français sont vilipendés et nos banlieues applaudissent au soir des attentats... Le fait de quelques « minorités », direz-vous... Non, le fait de certaines « diversités », qui sont plus des factions que de simples communautés d’origine ou de mœurs. Des factions qui - hormis les Asiatiques - ne se contentent pas de pratiquer, de défendre leurs manières de vivre, mais combattent sans vergogne la nôtre. Sans le vouloir, elles sont aussi le terreau d’une partie de la délinquance et du terrorisme.
Le pire est que des politiques français, du centre droit à l’extrême gauche - certains visent la Présidence - les soutiennent. Les uns ouvertement, beaucoup d’autres plus sournoisement, en dénonçant les « violences policières », les « contrôles au faciès », en défendant un multiculturalisme qui entend étouffer notre culture et notre histoire, en prônant l’écriture inclusive, en divisant le peuple en genres, en multipliant les coups de canif, voire de poignard, contre nos institutions, en les gangrenant... En prétendant que la France n’accorde pas aux « diversités » la plénitude de son hospitalité, qu’elle leur doit.
Non, Messieurs et Mesdames les « progressistes », la France n’est pas une masure ouverte à tous vents, soumise aux volontés de groupes humains qui, par la terreur ou l’application dévoyée de l’Etat de droit, entendent en faire un territoire à leur merci. Depuis quelques jours, une voix s’élève au-dessus des autres pour l’affirmer. Vous aurez beau vomir Z, vous amuser de lui, le traîner dans la boue, son discours restera celui de la majorité des Français, qui n’a rien contre les « diversités », qui se réjouit de leur apport culturel indéniable, qui les accueille les bras ouverts, mieux que beaucoup d’autres peuples, mais qui exige que celles d’entre elles qui se comportent en factions prêtes à les soumettre soient mises hors d’état de nuire.
La diversité n’est pas un dogme, pas même une doctrine politique. Pour le peuple français dont elles ont vocation à devenir membres au fil des générations, elles doivent être une nouvelle étape de son parcours vers l’unité sans cesse espérée et le maintien sans concession de sa souveraineté.
Rédigé par : Serge HIREL | 19 septembre 2021 à 15:12
La diversité est présente naturellement dans le monde, celui-ci n'étant qu'un ensemble constitué de différents éléments, entre autres humains, répartis sur la surface de notre planète et ayant chacun leurs spécificités, leurs caractéristiques, leur ADN, chacun de ses éléments contribuant au bon fonctionnement de l'ensemble.
Quelle absurdité, quel non-sens, alors qu'aucune théorie scientifique ne vient justifier l'intérêt d'une telle nécessité, que de prétendre rompre cet équilibre naturel pour imposer au sein de chaque société un ordre nouveau.
Comment imaginer qu'en déstructurant totalement chacun de ces divers éléments, l'ensemble fonctionnera demain mieux qu'hier ?
S'engager dans cette voie, c'est même à terme abolir la diversité, source de richesse et d'émulation, qui régit l'organisation actuelle de notre monde pour lui substituer une uniformité appauvrissante, inquiétante, guère enthousiasmante.
La diversité ne peut être que voulue, sincère, elle ne doit nullement être imposée par un quelconque diktat.
Rédigé par : Michel Deluré | 19 septembre 2021 à 14:52
« 7 000 000 d'années : apparition des premiers ancêtres de la lignée des « hommes ». 3 500 000 ans : début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli (Afrique, Tanzanie). 2 700 000 ans : apparition de l'Homo habilis et premiers outils débités. »
Voyages et mélanges, sans interruption, depuis ces temps. Métissage universel. Diversité perpétuelle. Pas de quoi s'émouvoir.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 19 septembre 2021 à 14:31
@ Jean-Paul Ledun | 19 septembre 2021 à 01:34
Excellente analyse.
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@ Jérôme 19 septembre 09:26
"Les apologues de la société métissée sont ceux qui gèrent mal leur relation à la différence. Ils ont probablement peur d'eux-mêmes."
Très juste.
Rédigé par : Axelle D | 19 septembre 2021 à 14:18
La diversité jusqu’au ridicule, jusqu’au grotesque.
Cette injonction va de pair avec celle nous vantant une France colorée - ce qui est au passage une forme de racisme à rebours - sans que personne ne puisse nous dire exactement en quoi cela ne pourrait être qu'un bien.
Rédigé par : Exilé | 19 septembre 2021 à 12:36
Pas de circonvolutions, pas de précautions oratoires, juste la plus belle réponse en si peu de mots, adressée à tous ces frappadingues de l'essentialisme, à ces adeptes cinglés de la culture "woke" qui n'est que pour dynamiter une juste société. Il faut voir l'autodafé qui s'est produit au Canada, des livres que l'on brûle, de futurs assassins de la Liberté.
Vous prenez la couverture de Charlie du 8 septembre et la réponse dans Charlie de cette semaine "DÉCONSTRUIRE LES ENCULÉ.E.S" à un adepte de ces mouvements qui ne font que transformer une Nation en un archipel décrit par Jérôme Fourquet.
Réponse courte, qui décharne, dépoulpe, déchiquette ces nouveaux courants qui détestent les Lumières.
Rédigé par : Giuseppe | 19 septembre 2021 à 11:50
"L'injonction de la diversité..." (PB)
Souvenons-nous du jour où E. Macron avait menacé plusieurs pays d'Europe d'une sanction financière lourde s'ils s'obstinaient à refuser les quotas de migrants illégaux issus des pays islamistes. Ces pays de l'UE avaient doublement raison de résister et refuser l'injonction à la diversité de Macron. Pour preuve, aujourd'hui, notre président se trouve bien empêtré avec sa diversité imposée au point qu'il ne sait plus où en donner la tête avec sa loi contre le "séparatisme" et comment régler le problème devenu catastrophique pour la France. Alors, oui, les politiques et surtout Macron, pour se donner bonne conscience n'arrêtent pas de pondre des lois républicaines, d'injecter un pognon de dingue pour endiguer la criminalité et le terrorisme, de distribuer les allocations de plus en plus faramineuses, et malgré toute la musique qu'il met sur papier, rien ne marche.
Pour être honnête, la diversité n'est intéressante et enrichissante que dans certaines mesures et sous conditions. Déjà ne pas accepter sur notre sol ceux qui nous haïssent et veulent notre peau serait un premier départ pour rester lucide et prévoyant, pour éviter dans le futur proche une révolution ou une guerre civile. Il suffit d'une goutte de plus pour faire déborder le vase, et c'est la révolte sanglante assurée.
Emmanuel Macron réfléchit après la guerre déclarée.
Rédigé par : Ellen | 19 septembre 2021 à 11:41
"à tous ceux qui auraient le front de préférer une unité tranquille et homogène" (PB)
Au moins avec vous les choses sont claires, que les Blancs bourgeois dont vous êtes continuent à conduire le pays et tout ira bien.
La demande de diversité est un dévoiement de la lutte des classes, qui existe toujours.
Dans les faits, dans notre pays (car vous ne donnez que des exemples étrangers, je remarque) il n'y a pas de politique en faveur de la diversité, mais une diversité qui s'impose au fur et à mesure que les immigrés et leurs enfants progressent dans la hiérarchie sociale et économique.
Je comprends que cela défrise un réactionnaire comme vous, nostalgique de la France blanche d'antan, mais ce temps est passé. Nous vivons dans la mondialisation, dont il faut accepter toutes les manifestations.
Rédigé par : Tomas | 19 septembre 2021 à 11:26
Plus un film ni une série ne seront subventionnés sans l'éloge de la diversité en race et en genre - et le mélange du tout sera recommandé.
Chez moi, les filles sont prévenues au cas ou une amourette s'égarerait - ce qui est très peu probable mais..: inutile d'y poindre le bout d'un nez ou seulement un mot, car c'est la maison familiale et donc la famille, ou la "diversité".
Zemmour, monte, il monte très vite. Qu'il se redresse encore un peu pour afficher enfin la "belle posture" - celle sans laquelle on ne tient pas un cheval en dessous et donc sans laquelle on ne peut prétendre être un aristocrate - car les Français aussi gauchistes soient-ils, ne veulent consciemment ou inconsciemment être dirigés que par un aristocrate.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 19 septembre 2021 à 10:54
Eh bien la supériorité de la France en la matière est… son Code du travail qui prévoit la nullité de tels licenciements et la réintégration des salariés virés sur des motifs racialistes…
Pour une fois, réjouissons-nous mes frères !
P.-S.: heureux de vous retrouver, cher Jean-Paul… vous manquiez…
Rédigé par : sbriglia | 19 septembre 2021 à 10:40
Pour le moment nous subissons la dictature criminelle des diversités, ils épient, surveillent, guettent le moindre faux pas des blancs de souche et se tiennent à peu près tranquilles malgré tous leurs crimes, tant que nous leur déversons des milliards pour acheter la paix sociale qui ralentit le futur massacre prévu, une guerre civile sans fin contre nous dès que le robinet à subventions sera tari.
Zemmour l'a bien expliqué avec force arguments, chiffres et preuves.
Seule réaction de ses ennemis islamogauchistes macroniens : "c'est un raciste, etc." ! Propos simplistes de collabos soumis qui donnent raison à Zemmour.
Rédigé par : sylvain | 19 septembre 2021 à 10:05
Nous sommes calés sur la culture américaine qui n'est pas la nôtre et abreuvés de belles paroles par des gourous qui se réclament de l'élite du changement lorsqu'un racisme trouve ses bases dans ce qui cherche à combattre... et ça passe aux heures de grande écoute et ça fait des titres... Bref, comme la chasse et l’hélicoptère money il faut chercher des voix - Prions mes frères.
Rédigé par : Louis | 19 septembre 2021 à 09:35
Bonjour Philippe,
Jacques Vergès disait ne pas être un apôtre du métissage. Eh bien moi non plus. Si la vie nous fait rencontrer un, une, conjoint, conjointe d'autre culture, couleur de peau, je n'y vois rien à redire. L'amour, l'amitié se doivent d'aller librement et sans frontières.
Mais faire du métissage l'alpha et l'omega de la société est éminemment "raciste".
Que les différences se préservent, pour mieux se rapprocher quand elles en ont envie, l'intérêt que l'on porte à l'autre, différent de soi, n'existera qu'en préservant celles-ci.
Ce qui ne signifie pas, dans ma bouche, qu'elles soient inconciliables, suivez mon regard, juste que l'indifférenciation nous mènerait dans un monde pauvre que nous supporterions probablement moins que l'actuel tant décrié.
Les apologues de la société métissée sont ceux qui gèrent mal leur relation à la différence. Ils ont probablement peur d'eux-mêmes.
Rédigé par : Jérôme | 19 septembre 2021 à 09:26
Le "wokisme" ! Encore une déferlante d’un progressisme dévoyé qui nous vient des Etats-Unis, tout comme le mouvement #MeToo qui en France a donné #BalanceTonPorc et qui a valu à nombre de personnalités du monde de la politique, des affaires, du show-business et du journalisme d’être accusées de harcèlement sexuel, voire de viol, par des femmes vouées à la cause d’un féminisme échevelé qui veut absolument faire du mâle un être pervers et dominateur.
Le "wokisme" donc consiste à faire de l’Homme blanc un raciste, colonisateur, esclavagiste. Ben voyons !
Ce mouvement ne sévit pas seulement aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne. On a vu ses effets en France également avec les manifestations organisées par Assa Traoré et sa secte d’indigénistes.
Cette dernière a même eu le soutien du Time Magazine qui l’a désignée comme "gardienne de l’année" en décembre dernier. Perfide presse américaine !
On retrouve encore le wokisme au Canada où 5 000 livres ont été détruits parmi lesquels Tintin en Amérique, Le Temple du soleil (un autre Tintin), Astérix et les Indiens, trois albums de Lucky Luke, car ils constituaient une atteinte à l’honneur des Amérindiens. Les pauvres bichons !
À noter que Tintin au Congo avait déjà connu le même bannissement par des associations de lutte contre le racisme. Ce dernier ne concernant que les Noirs, bien sûr !
On est en plein délire. Si l’on devait faire ce genre de sélection racialiste dans les clubs de football, certaines grandes équipes de France, mais aussi d’Europe, seraient obligées de se séparer de leurs meilleurs joueurs, non pas parce qu’ils sont blancs, mais parce qu’ils sont colorés, voire carrément noirs.
Il me semble que pour composer une équipe, dans quelque domaine que ce soit, les critères à prendre en compte sont d’abord le talent, l’état d’esprit, la motivation. Certainement pas la couleur de peau, l’appartenance sexuelle, la religion, l’opinion politique.
Il est urgent de fuir ces concepts dégénérés en provenance d’une certaine presse américaine propagandiste. Doctrines prétendument humanistes qui s’introduisent principalement dans nos universités via des syndicats d’étudiants libertaires et dont les principaux effets sont de provoquer les conflits intercommunautaires.
Stop au "prêt-à-penser" en provenance d’outre-Atlantique. Il faut vivre avec nos propres référence culturelles (Voltaire, Rousseau, Hugo) et non pas par Coca Cola et McDonalds.
Rédigé par : Achille | 19 septembre 2021 à 07:39
Il y a comme un goût amer et recuit dans ce « combat » pour la diversité.
La diversité existe, je l'ai rencontrée !
Seulement, celle-ci est naturelle et spontanée.
La diversité qui coule de source est un enrichissement.
La diversité par la force va faire des dégâts.
Ayant cru bien faire, dans quelques années la roue va tourner... au détriment des "divers" d'aujourd'hui.
À mon avis.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 19 septembre 2021 à 01:34
La diversité fait partie de ces idées qui semblent avoir une vie propre, autonome, qui apparaissent un beau jour, par hasard, on ne sait d’où, nées spontanément de l’air du temps, mais qui, au lieu de disparaître comme la plupart, au contraire prospèrent, s’imposent, règnent en maître, contre toute raison.
Curieux phénomène vraiment, et qui mérite d’être sérieusement interrogé.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 19 septembre 2021 à 01:20
"L'injonction de la diversité..." (PB)
Ce titre est une mise en garde par sa justesse, son actualité et son réalisme !
On peut penser que la diversité n'est qu'une simple technique politique conçue et destinée à créer un chaos social qui n'aurait qu'une issue : une dictature pour rétablir l'ordre !
On peut ainsi considérer la situation actuelle en France, guidée en cela avec enthousiasme par nos médias et la recherche, ou plus précisément la fabrication, de "l'Homme providentiel" !
N'oublions pas que les USA ont frôlé ce scenario le 6 janvier dernier !
Les mois prochains vont nous dire si nous sommes ou pas sur ce même chemin !
Nous avons déjà un avatar enthousiaste de Trump et ce n'est pas Mélenchon !
Rédigé par : Claude Luçon | 18 septembre 2021 à 19:56