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11 octobre 2021

Commentaires

Lodi

@ anne-marie marson | 13 octobre 2021 à 19:26

Quand on ne veut pas se faire vacciner, on nuit volontairement aux autres. À des gens qui ne vous ont rien fait. C'est grave.

En plus, les gens refusant le vaccin se baptisent Résistants, c'est vraiment n'importe quoi. Alors, si on prend le vocabulaire de la dernière guerre, ce n'est pas le mot résistant qui leur convient, mais collabo... du virus.
Quoi d'autre ?

Il faut bien remettre les nuisibles à leur place, car eh oui, ils nuisent, et volontairement, aux autres. J'aime bien appeler les choses par leur nom, encore que parfois, il faudrait en inventer.
Car en fait, les animaux qu'on appelle nuisibles ne nuisent pas à leur propre espèce. Et ils le font pour survivre, obéissant à leur instinct.

Les antivax sont pires. C'est toujours le mal qui les guide : parfois un mal mineur, la prétention de mieux savoir que le consensus scientifique, la démesure de l'incompétent, en somme.
Ou alors, on règle ses affaires politiques sur le vaccin qui n'a rien à voir : on prend la santé des autres en otage car contre Macron, par exemple. Il y a aussi les gens qui n'en ont rien à faire des autres, comme certains l'ont écrit ici même.

Alors ce n'est pas de la "haine recuite" que j'ai pour les antivax mais du mépris.
Qu'on se rassure, ils ne me mettent pas en rupture de stock, j'ai des réserves illimitées de mépris, savoir de quoi fournir à toutes sortes de gens méprisables, admiration, sympathie, indifférence, mépris, chacun reçoit son dû, ni plus ni moins.

Les antivax gens n'ont même pas l'excuse de nuire aux autres à cause de leur religion. Evidemment, il faut se défendre des animaux nuisibles ou de ceux des croyants qui nuisent aux autres...
Mais ils ont l'excuse d'être programmés pour ce faire : la nature et la culture, ce n'est pas rien !

Les antivax n'ont pas toutes ces excuses, dans le meilleur des cas, ils sont abusés par quelques manipulateurs, il n'y a pas de quoi avoir un max de compassion à leur endroit.

"Il faut aussi maîtriser le sarcasme, voire le langage hitlérien style 3e Reich, pour répondre à des gens comme Lodi qui, outre qu’il me paraît très atteint, voue aux gens qui ne sont pas vaccinés une haine rance et recuite et irrépressible, au point de les traiter de « nuisibles » ou de « collabos du virus », voire d’assassins, et qu’on imagine à l’entrée du camp orienter les « nuisibles » direct vers les chambres à gaz pour les exterminer."

Vous ne maîtrisez rien du tout. Pour des raisons générales et particulières.

Générales : tout ce qui est excessif est insignifiant, comme l'a dit je ne sais plus qui, et à force que tout le monde traite tout le monde de nazi, cela ne fait plus guère d'effet.

Particulières : désolé, par rapport à d'autres ici, vous ne maîtrisez pas l'escrime.
Et puis, vous n'êtes pas de ces gens qui paraissant être des meilleurs, peuvent dérouter quand ils se livrent au pire ; n'étant rien, vous ne sauriez provoquer de déception.

Ça m'ennuie de vous le dire, car c'est gaspiller sa plume mais vous avez tort : une discussion, ce n'est pas je traite l'autre de nazi en croyant qu'il y aurait un art d'insulter relevant en quelque sorte du dressage, faisant qu'on n'oserait pas répliquer.
Les gens qui voient les choses ainsi sont plus proches des nazis et autres totalitaires que je ne le suis, et ne font que se dénoncer eux-mêmes par leur méthode.

De même quand ils délirent, ils se projettent ni plus ni moins, ils ne disent pas ce que je ferais si j'étais au pouvoir.
Quelle pitié de voir que certains n'ont rien compris à la vie en société... Vivre en société, c'est endurer la compagnie de nuisibles car il y en a toujours, quel scoop ! C'est aussi les empêcher de nuire, du moins autant que possible.
Je dirais que c'est l'art de l'endiguement.

Comme il faut endiguer l'immigration musulmane, le virus et tant d'autres choses. Dans la vie, il y a l'endiguement, l'équilibre des pouvoirs, car quand l'un est trop puissant, il devient nuisible.
Il y a beaucoup de choses, mais voyez-vous, insulter ne fait pas partie de l'endiguement du mal, sauf peut-être quand on le renvoie à l'envoyeur.

Pas avec "une haine recuite" mais avec mépris.
Il faut toujours employer le mot juste.

anne-marie marson

@ Savonarole | 12 octobre 2021 à 23:26

C'est vrai, il y a de moins en moins de femmes, mais elles interviennent quand même de façon intermittente, ce sont les intermittentes du spectacle du blog.
Mais nous ne sommes plus en vacances.
Et entre faire un cake aux fruits confits et répondre à F68.10 sur l’AUKUS…
Je parle de cake aux fruits confits parce que cela va devenir un problème de civilisation. Je me suis adressé au Carrefour City près de chez moi pour trouver des fruits confits : les deux vendeurs à qui je me suis adressée ne savaient pas ce que c’était. J’ai dû dire que cela ressemblait à des raisins secs pour qu’on me dirige vers le bon rayon.

Il faut laisser les sujets nobles aux couillus (je rigole).

Il faut aussi maîtriser le sarcasme, voire le langage hitlérien style 3e Reich, pour répondre à des gens comme Lodi qui, outre qu’il me paraît très atteint, voue aux gens qui ne sont pas vaccinés une haine rance et recuite et irrépressible, au point de les traiter de « nuisibles » ou de « collabos du virus », voire d’assassins, et qu’on imagine à l’entrée du camp orienter les « nuisibles » direct vers les chambres à gaz pour les exterminer.

Alors qu’en général les assassins, ce sont plutôt ceux qui injectent des substances létales à ceux qui ne le veulent pas, produits sans AMM comme les vaccins à ARNm, censés vaincre la mort.

Claude Luçon est un cas à part dans sa haine monomaniaque de Z. Mais il a des excuses, il a vécu aux Etats-Unis et comme il le dit souvent, les Américains frappent fort, et je dirais qu’en plus ils pratiquent le fuckyouisme, Macron et Le Drian en savent quelque chose avec les sous-marins.

Enfin, certains couillus de ce blog me paraissent proches de la dépression automnale, comme :
@ vamonos | 11 octobre 2021 à 02:38
"Toutefois, on peut supposer qu'il cherchait ailleurs ce qui lui était refusé dans son foyer."
Ou :
@ sbriglia | 12 octobre 2021 à 09:33
"Il était séducteur, il aimait jouer au golf..."

sylvain

@ Wilfrid Druais | 13 octobre 2021 à 13:15
"Ah ben oui et si ma tante en avait on l'appellerait mon oncle."

Houlà faut évoluer mon vieux, faut dire Oncle 1 et Oncle 2 ; Tante 1 et Tante 2 ; ça fait plus genré progressiste moderniste.

Mais c'est prévu par les Mengele du sexe LGBT : on va castrer les oncles et greffer les tantes, y a pas de raison que l'un soit mieux pourvu d'attributs que l'autre et vice au verso.

sbriglia

"Savonarole intervenant toujours à propos, le plus souvent avec humour et grand Seigneur de ce blog avec les dames, ça fait du bien !"

C'est d'ailleurs ce que me disait calamity jane en secouant nerveusement les épis de blé de sa blonde chevelure…

Giuseppe

@ Wilfrid Druais

Je l'ai quelquefois écrit, vous êtes un écrivain de polars, de ceux que j'affectionne. Ceux de la collection de Marcel Duhamel.

Mary Preud'homme

@ Savonarole

Muchisimas gracias !
Savonarole intervenant toujours à propos, le plus souvent avec humour et grand Seigneur de ce blog avec les dames, ça fait du bien !

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@ JP Ledun

Apparemment vous vous seriez fait prendre à l'appeau ?

sylvain

La gauche, championne du chômage

Fin du septennat Giscard : 1,5 million de chômeurs.
Fin du double septennat Mitterrand : 4 millions de chômeurs.

Voter à gauche est bien la solution pour résorber le chômage
Génial...!!... Il suffisait de se le rappeler...

C’est bien connu : les Français ont la mémoire courte.

hameau dans les nuages

Pauvre bétail, nous sommes alignés comme à la parade sur le champ de foire, le masque sur le museau et la tête entravée.

Alors que les négociants discutent du bout de gras au "rendez-vous des maquignons":

https://twitter.com/BFMTV/status/1447818584277852163

Lodi

@ Mary Prud'homme et aux autres

Qu'on critique Axelle-Mary de service de "soufrière", je l'admets, pas qu'on condamne sa personne pour :

- Narcissisme. Qu'est-ce que cela veut dire, qui ne s’intéresse pas à soi sans parler de le faire savoir, en tout cas ici ? Ecrire, qu'on le veuille ou non, c'est se projeter vers les autres. Ce que chacun fait avec ce qu'il est, existe-il une façon d'être interdite ?

- Conserve. Tant que nous n'aurons pas trouvé de traitement contre le vieillissement, le temps est notre ennemi. Il nous dévore. Pourquoi en vouloir à une personne chez qui cela se voit moins que chez d'autres comme si c'était elle, l'ennemi ?
Sans se moquer des ruines, Hitchcock savait reconnaître ce qui est bien conservé, et avait une attitude toute pragmatique face à cela.

Comme j'ai déjà eu des problèmes ici, où on est mal interprété dès qu'on n'est pas dans le dénigrement, l'un serait un larbin, l'autre un pantin, un autre un affidé, je précise que je ne fais que défendre un humain, un semblable, sans parler d'une infime partie de mes idées.
Pour ceux qui n'ont pas suivi : il ne faut plus accepter la vieillesse et la mort mais les combattre par la science... Sans parler du fait que j'incite chacun à voir le délicieux "Mais qui a tué Harry ?".

Pour Harry :

http://www.kinopitheque.net/mais-qui-a-tue-harry-the-trouble-with-harry/

Pour la mort de la mort :

https://www.lesmots-leschoses.fr/livre/9782875422200-la-mort-de-la-mort-les-avancees-scientifiques-vers-l-immortalite-jose-cordeiro-david-wood/

Voyez-vous, à la fin de ce livre, on donne toutes sortes de conseils pour présenter au mieux des idées aussi révolutionnaires que la mort de la mort, mais comme on me l'a dit avec un grand talent ici, je ne vais pas présumer être capable de les suivre, et je dirais plutôt à chacun de les lire.
Que vaut-il mieux ? Se regarder s'effondrer plus ou moins vite comme un château de sable, fuir cette vision en essayant d'écraser les châteaux de sable voisins en se moquant de leur effondrement, ou combattre ?

On accepte la mort et les atteintes préliminaires qui l'accompagnent car on en a l'habitude, mais elle est semblable à un tyran, comme le montre cette fable :

https://www.nickbostrom.com/fable/dragon-tyran.html

sylvain

Résultat comparatif du projet pour la France de Mitterrand et Sarkozy :

"D’un côté on a donc François Mitterrand qui a mené une politique économique à contretemps qui a ruiné durablement la France, les Français et notre compétitivité :
taux de chômage qui augmente de 40 %, baisse spectaculaire des salaires dans la valeur ajoutée (passé de près de 70 % à 62,5 % en 5 ans… et même à 60 % en 1993) dette en augmentation de plus de 30 %...
Bilan : la sensation qu’éprouvent les Français de s’enfoncer dans une crise sans fin date des années Mitterrand !

Nicolas Sarkozy qui a fait face en cinq ans à une succession de crises bien plus graves que celles affrontées par François Mitterrand et qui a su protéger la France en étant à l’origine de la régulation de l’économie avec le G20 et la gouvernance économique de la zone euro, en menant un grand plan de relance par l’investissement et un soutien aux plus fragiles, en sauvant les banques et l’épargne des Français…

Les chiffres sont sans appel : le chômage est moins fort en 2011 qu’en 1986, la part des salaires dans la valeur ajoutée est plus élevée, l’augmentation de la dette mieux maîtrisée dans un contexte plus hostile en 2008 qu’en 1981 !

Même si je trouve un peu tiré par les cheveux de comparer 1981, année fastes et 2011 année de crise, cela calme un peu les esprits de lire quelques réalités noir sur blanc.

Oui, à l'évidence Sarkozy est pour le moment le meilleur Président que la France ait eu, et Mitterrand le plus mauvais mais comme il était de gauche, tout lui a été pardonné."

https://fr.calameo.com/books/00052511877048982bf27
 

Savonarole

Je vois qu’ici une meute de roquets édentés s’acharne contre Mary Preud'homme ou son alias Axelle D.
La testostérone règne sur ce blog, nous avons déjà presque perdu Lucile et Catherine JACOB, sans compter l’inestimable calamity jane, pour qui je garde toujours les mêmes projets…
Les couillus du blog éliminent progressivement notre gent féminine.
Alors comme ça, on va se retrouver ici entre couillus du calcif ?

sbriglia

« Je me marre en voyant la terreur nordique au charisme de serpillière sale qui jouait les kékés depuis des mois du genre "Je suis un homme moi ! Un vrai, un dur, un tatoué ! » (Wilfrid Druais)

Merci Wilfrid pour ces moments de franche rigolade…
Savonarole a un sérieux concurrent…

Tomas

"En substance, il a dit que pour lui, la vraie virilité était sa fidélité à son épouse."

Il l'a dit, il a dit beaucoup de choses. La question est de savoir s'il l'a fait. J'ai comme un doute !
Mitterrand, dont on ne parle pas particulièrement ces temps-ci, est un homme politique. Tous les hommes politiques sont des grands b....s, à quelques très rares exceptions près (Barre et Jospin, paraît-il).
Pas de quoi s'émouvoir.

Jean-Paul Ledun

Axelle D plutôt bien conservée...

Salut Mary,

Je n'aime pas les conserves...

Bien à vous.

sylvain

LE FAUX ATTENTAT DE L'OBSERVATOIRE

Quand on pense que le PS actuel se réclame du mitterrandisme ; et de plus ce sont les mêmes qui ont sévi sous le mafieux Tonton, dit la Mitte.

"La nuit du 15 au 16 octobre 1959 sera l'une de celles qui voilent le destin de François Mitterrand d'une lumière glauque.
A minuit moins le quart, l'élu de la Nièvre sort de la brasserie Lipp, boulevard Saint-Germain.
Il prend le volant de sa 403 pour regagner son appartement de la rue Guynemer.
S'apercevant qu'il est suivi, il fait un détour par le jardin du Luxembourg, à la hauteur de l'avenue de l'Observatoire.
Il arrête sa voiture, enjambe une haie et se jette à plat ventre dans le gazon.
Un rafale de pistolet mitrailleur est alors tirée sur la voiture vide.

Le lendemain, l'affaire est la une de tous les journaux.
L'Humanité demande la dissolution des "bandes fascistes", la SFIO est solidaire, Mitterrand est un héros.
A quarante-trois ans, l'adversaire du gaullisme devient également victime des ultras de l'OAS, des activistes de l'Algérie française.
Trois jours plus tard, un journal d'extrême droite, Rivarol, publie les révélations d'un des agresseurs de François Mitterrand, Robert Pesquet, qui affirme n'avoir eu d'autre commanditaire que Mitterrand lui-même, soucieux de faire remonter sa cote de popularité.

Cette affaire d'attentat bidon est catastrophique pour le sénateur de la Nièvre.
Il semble qu'il ait été pris à son propre piège par des hommes exploitant, à l'encontre de leur commanditaire, les effets de cette détestable affaire.

Poursuivi pour outrage à magistrat, après la levée de son immunité parlementaire, François Mitterrand bénéficiera d'un non-lieu ainsi que ses "agresseurs", à la suite d'une loi d'amnistie en 1966".

http://bousculade.free.fr/politique/mitterrand/mitterrand_attentat_observatoire.php

Michel Deluré

@ Jérôme 12/10 14:57

Permettez-moi d'avoir quelques doutes sur la fiabilité de vos critères d'appréciation !

sylvain

Papamadi pour les Nuls :

1936 : Mitterrand avait débuté au sein des croix de feu du colonel de La Rocque, qui aurait fait passer Le Pen pour un centriste (lui est mort en déportation pour avoir combattu le nazisme) et ensuite au sein de la Cagoule.

1959 : il a manipulé l'opinion en perpétrant un attentat contre sa propre personne...

1961 : il a rencontré Mao, qui fut plus qu'un dictateur, pire qu'Hitler...

1981 puis 1987 : créateur de l'ISF, mais que pour les pauvres riches (taxation sur les terrains et non sur les revenus).

1985 : protection des terroristes italiens
Mais bon, il faut rien dire ou on sera taxé de fasciste...

Affaires et magouilles africaines PAPAMADI :

Quand on a présidé comme son mari a présidé, c'est à dire plus qu'en monarque: Mitterrand, sa cour, ses femmes, ses petites magouilles au frais de la République...
Son parcours étonnant et tellement opportuniste: de Vichy au PS... on ne peut que louer le grand homme et sa femme qui a tout avalé et en a profité pendant des années !!
Quant à Castro ce n'est pas un révolutionnaire, c’est un dictateur ne vous en déplaise et des morts il en a de très nombreux sur la conscience !!

Et juste pour rappel:

1984: François Mitterrand rend visite en Syrie à Hafez Al-Assad, promu dictateur d'un régime mafieux grâce à un coup d'Etat.
1985: François Mitterrand reçoit à Paris le général Jaruzelski, lequel, après un coup d'Etat (un autre), soumet la Pologne à une dictature de plomb.
A ses yeux, le général Jaruzelski est un « patriote polonais » !
1995: Mitterrand reçoit Fidel Castro en visite officielle à l'Elysée. L'occasion pour Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés (sic), de déclarer que Fidel Castro « n’a rien d’un dictateur » et que le régime cubain « avait réalisé le summum de ce que le socialisme pouvait faire !

Sans compter:

1984: en Crète, François Mitterrand rencontre un certain... Kadhafi !
1986: François Mitterrand s’oppose au survol du territoire français par les avions américains qui vont bombarder le palais du colonel à Tripoli.
1990: l'année suivant l'attentat commandité par Kadhafi contre un DC-10 d'UTA (170 morts, dont 54 Français), le gouvernement socialiste livre trois Mirage à la Libye.

Macron fera mieux, mais avec les islamistes envahisseurs conquérants du grand remplacement et de l'épuration ethnique des blancs de souche cathos hétéros alliés aux Mengele genrés des LGBT.

Jérôme

Bonjour Philippe,

François Mitterrand devrait plaire ici, sur un blog d'adorateur du Z.
Pétainiste, vaguement collabo... résistant de l'avant-dernière heure, pour ne pas être tondu, il a bien dû coucher avec deux trois Allemandes, où pire, propriétaire d'un berger allemand, bref que du bon pour le blogueur bilgériste.
Pote de Bousquet et consorts...
Je ne comprends pas cette vague d'indignation posturale à l'évocation de son nom.
C'est le meilleur président de la Ve sans aucun doute.

sylvain

Mensonge socialiste :

Si l'abolition de la peine de mort a été faite sous Mitterrand ce n'est pas par grandeur d'âme. Mitterrand avait refusé la grâce à de très nombreux Algériens condamnés à mort et exécutés du temps où il était ministre de l'Intérieur. Mais parce que la France, membre éminent de l'UE, avait l'obligation de l'abolir.
Mais je suis un fan de la peine de mort et je regrette sa suppression qui a fait exploser la criminalité.

Axelle D

@ bernard | 12 octobre 2021 à 11:44

Merci bernard.
Quelle perspicacité ! Vous me faites rosir de plaisir !

bernard

@ Axelle D (plutôt bien conservée !)
« Je ne suis pas mal pour mon âge à en juger par les remarques de ceux qui me côtoient et me connaissent, voire en se rapportant aux réflexions spontanées et étonnées qui fusent au hasard de nouvelles rencontres lorsque j'annonce mon âge réel.
Âge que d'ailleurs j'assume sans complexe tout en continuant de mener une vie très active sur tous les plans… »

Bravo, oser écrire ça en 2021, ça c’est de l’antiwokisme, du bon féminisme, de la bonne pensée incorrecte, loin des mentalités communistes ou extrême-libérales, aussi puritaines l’une que l’autre.
Et qui ne peut choquer que les "matou.e.s mitou.e.s".

Femme, femme, femme, fais-nous voir le ciel
Femme, femme, femme, fais-nous du soleil

Axelle D

L'acharnement à vouloir me noircir, la méchanceté et les sarcasmes de Marchenoir et sbriglia alliés à un manque total d'humour et de dérision et d'introspection pour eux-mêmes, qu'ils projettent sur ma personne, me comblent d'aise !
C'est dire le niveau de mon narcissisme !
Salut les frustrés et refoulés !

Ellen

@ Robert Marchenoir | 12 octobre 2021 à 07:52
"On imagine les noms d'oiseaux que s'attirerait un représentant du sexe fort qui se laisserait aller à des vantardises similaires"

Sexe fort dites-vous ? La chimie ça aide à remonter le grisbi et comme dit la pub - tu vois, maintenant c'est du béton. Quels vantards...

Achille

@ Patrice Charoulet | 12 octobre 2021 à 10:29
"1- L'ironie n'a pas été comprise.
2- On m'insulte et on me déshonore publiquement.
Est-ce admissible ?"

Ouh là là, cher Patrice Charoulet. Vous avez fait un trait d’’ironie qu’en fait j’avais bien compris.
J’en ai fait un autre que manifestement vous n’avez pas compris !

Si je vous ai vexé, croyez bien que j’en suis désolé et je vous fais mes plus plates excuses.

Patrice Charoulet

DE L'IRONIE

Étant particulièrement sceptique sur les capacités de séduction de Zemmour (63 ans) sur la jeune énarque (28 ans) qui travaille pour lui, j'ai ironisé en scribouillant: « D'ailleurs Zemmour a un corps sexy et un visage très avenant ». Le sens était : « Il est racho et sa tronche fait fuir ».

Commentant ma prose, un habitué se permet d'écrire : « Allons bon (suivent mon prénom et mon nom) va défiler à la prochaine marche des fiertés ! ». On agrémente cela d'une frimousse exprimant la satisfaction.
Commentaire du commentaire:
1- L'ironie n'a pas été comprise.
2- On m'insulte et on me déshonore publiquement.

Est-ce admissible ?

Ellen

@ Wilfrid Druais | 11 octobre 2021 à 21:59

Quand je dis "la malheureuse Anne Sinclair", il faut l'entendre par la honte que son ex-mari DSK a jetée sur elle et sur la scène internationale.
Un directeur général du FMI condamné pour viol aux USA et pour prostitution, affilié à une bande de maquereaux notoires et à Dodo la Saumure en France et en Belgique, ça pèse trop lourd sur les épaules d'une épouse trompée, bafouée et blessée dans son coeur et dans son âme.

Moi, si j'étais Anne Sinclair, je l'aurais laissé croupir en taule aux USA sans dépenser un sou. Ça lui aurait servi de leçon. Aujourd'hui, on n'entendrait plus parler de ce gros dégoûtant.

sylvain

Remember :

À peine au pouvoir, Mitterrand qui cherche à rétablir des relations détériorées avec nos alliés et notamment le Président Reagan, s'enferre dans l'affaire Farewell à propos de laquelle il donnera l'ordre de satisfaire aux exigences d'un prétendu agent soviétique ''retourné'' qui s'avèrera un imposteur.

Mitterrand donnera là une première mesure de sa médiocre dimension politique.

La France sous Mitterrand est déjà ridicule. Faut-il le rappeler Mitterrand outre la faillite de la France, ce fut l'affaire de l'Observatoire, celle du Carrefour du développement et la scandaleuse amnistie parlementaire, le sang contaminé... Ce fut l'affaire Grossouvre, ce fut l'affaire Pelat, ce fut la ténébreuse affaire Bérégovoy et tant d'autres au point que son propre fils est encore en examen pour des manipulations financières.

Mitterrand c'est la gale politique.
Cette terrible maladie contagieuse qui a fini par gagner même une grande partie de ce qui prétend lui être opposé.

Politiquement parlant, Mitterrand c'est la séduction du vice.

Les Français commirent l'erreur de réélire cette fripouille politique auquel on s'efforce de donner une image intellectuelle et de la hauteur, mais les subterfuges médiatiques ne peuvent tenir lieu de vérité très longtemps. Les faits sont tenaces.

Macron est encore plus machiavélique que Mitterrand, c'est pour cette raison qu'il sera réélu.

sbriglia

"Quand on pense que sbriglia (me semble-t-il) s'était offusqué, jadis, que je traite Mary Preud'homme d'obsédée sexuelle…" (Robert Marchenoir)

Je confirme.

Vous me sembliez confondre "obsédée sexuelle" et "narcissique".

Le second adjectif me semble, après ce énième déboutonnage quelque peu obscène, le plus approprié même si, par le passé, on avait aussi eu droit à sa taille de guêpe : on ne sort jamais de sa robe de chambre qu'à son détriment…

Robert Marchenoir

Salutaire coup de gueule bilgérien. Ça commence à bien faire, avec le "corps du Roi" et cette fascination suspecte des Français pour les exploits sexuels de leurs présidents...

J'ai trouvé piquante l'interrogation : "Qui, aujourd'hui, peut de bonne foi affirmer ne pas connaître, par exemple, les détails [...] de sa liaison avec la journaliste suédoise Christina Forsne [...] ?" Ben... ma pomme, par exemple. Non seulement je ne connais pas les "détails", mais j'apprends ici même l'existence de cette greluche. Je connaissais les moeurs de saint François, pas le détail de son carnet de bal...

Quand travaillait-il, en effet ? (*) Entre une liaison passionnée et "littéraire" (**), et une visite des bouquinistes sur les quais ? Pendant ce temps-là, Anicet le Pors, son ministre de la Fonction publique, visiblement soucieux d'émuler son prédécesseur Maurice Thorez sous de Gaulle, nous collait trois fonctions publiques là où l'on n'en avait qu'une, déjà bigrement encombrante...

Si les Français étaient un peu plus libéraux, un peu plus démocrates, peut-être leurs dirigeants passeraient-ils du statut de dieux vivants à celui d'hommes normaux ; en conséquence de quoi, nous nous serions épargné l'humiliation, vis-à-vis du monde entier, d'un Valéry Giscard d'Estaing aux mains encore baladeuses, deux ans avant sa mort ; nous aurions échappé au risque de nous retrouver avec un authentique détraqué sexuel à l'Elysée, en la personne de Dominique Strauss-Kahn...

Sans donner dans le mitou, on peut réclamer un peu plus de sérieux de la part de nos présidents comme de la part de leurs électeurs.

On peut aussi s'amuser des déboutonnages qu'occasionne, chez certaines, un tel sujet...

"Je ne suis pas mal pour mon âge à en juger par les remarques de ceux qui me côtoient et me connaissent, voire en se rapportant aux réflexions spontanées et étonnées qui fusent au hasard de nouvelles rencontres lorsque j'annonce mon âge réel. Âge que d'ailleurs j'assume sans complexe tout en continuant de mener une vie très active sur tous les plans..." - Axelle D (plutôt bien conservée !) | 11 octobre 2021 à 20:15

Quand on pense que sbriglia (me semble-t-il) s'était offusqué, jadis, que je traite Mary Preud'homme d'obsédée sexuelle... l'on voit ici que mon diagnostic était prescient ; à l'époque, il avait été formulé sur la base de preuves plus ténues...

On imagine les noms d'oiseaux que s'attirerait un représentant du sexe fort qui se laisserait aller à des vantardises similaires... et ce n'est pas faute d'avoir, ici, des messieurs persuadés de leurs mérites et empressés à les faire connaître...
______

(*) Dans l'un de ses billets à Anne Pingeot, François Mitterrand précise : "Figure-toi que je t'écris cette lettre... pendant le Conseil des ministres".

(**) Littéraire, il faut le dire vite... "Pour le temps qui vient, je ne désire qu'approfondir nos raisons d'assortir notre incomparable entente de la beauté et de la grâce dont j'écoute en vous comme en l'approche." La vache ! Quel style de cochon !

Lodi

"Malgré son entourage élyséen et gouvernemental, avec des personnalités qui pouvaient être de qualité, il lui restait à l'évidence des tâches à accomplir, des arbitrages à opérer, des choix fondamentaux à effectuer."

Il me semble qu'il devait demander aux subordonnés de synthétiser au maximum aussi bien que savoir les choisir.
Savoir s'entourer et savoir trancher comptent plus que le nombre d'heures passées à hésiter. Ce qui ne veut pas dire ne pas peser le pour et le contre. Mais arrêter de travailler et y revenir peut réinitialiser le cerveau et lui permettre d'être plus efficace.

Pendant qu'on s'occupe d'autre chose, le cerveau continue à faire son travail sans qu'on s'en rende compte, il se réinitialise, et quand il revient à la décision à prendre, peut la voir sous une autre perspective.
C'est utile.

Un Président qui n'aurait pas d'amours diverses risquerait aussi d'être encore plus coupé du peuple : au moins au début, avant d'être trop dans l'orbe du chef de l'Etat, l'être aimé est assez près des réalités, et a assez d'autorité pour faire remonter quelques problèmes au chef de l'Etat.

Séduire l'être aimé permet de rester dans la séduction, ce qui est le mieux que puisse généralement faire un politicien pour être près du peuple.
Sinon, on a quoi ? Un Président qui les abreuve de son mépris comme l'illustre le "Gaulois réfractaire", venez me chercher" et autres foucades.
Mépris impardonnable et donc impardonné qui, problème, se retourne contre le peuple dans la mesure où certains s'opposent à Macron en refusant le vaccin, que c'est malin.

De plus, sauf si l'être aimé est un fonctionnaire de l'Union européenne, le chef de l'Etat fréquente qui le rattache à son pays, loin d'une possible tentative d'évasion ridicule du rôle également ridicule de roi de ce pays que lui donnent les institutions comme le peuple.

Une hypothèse de Denis Monod-Broca qui me paraît bien trop évoluée pour les Présidents que nous avons, et qui serait, en tout état de cause, une bien mauvaise action.
Le rôle d'un chef n'est pas de prendre le pouvoir pour en changer sournoisement la portée et le sens par l'Europe, mais de soit se soumettre aux désirs du peuple, soit lui proposer de changer notre honteuse Constitution.

Ne pas se plier à son rôle et à ses promesses, ne pas expliquer la nécessité de changer de fonctionnement, non, le Président n'est pas un faiseur de miracles, c'est cela, la vraie mauvaise action de Mitterand.
Crier au coup d'Etat permanent mais garder le pouvoir, comme tout le monde est dévoré par l'anneau du pouvoir dans "Le Seigneur des anneaux". Plus on est conscient des abus à défaut peut-être du mécanisme mimétique et du bouc émissaire, plus on dénonce un abus, et plus on est coupable de le laisser prospérer comme un virus.

Pour ses mœurs, que dire ? Si le plus beau me semble le parfait amour, autosuffisant, entre deux êtres, il est rare. Dans ce cas, il est bien naturel que chacun puisse chercher un complément ailleurs, et pour cela, mieux vaut que chacun ait l'intelligence de comprendre qu'il en est des vies comme de la musique, il peut y avoir des pièces en solo, en duo, en trio, en quatuor... Dans tous les cas, il est préférable que chacun ait été d'accord au départ, qu'il ne s'agisse pas de trahison mais d'ajustement.

Par exemple, si les deux partenaires n'ont pas une même soif d'effusions charnelles ou autre divergence, en sont venus à différer sur son style. L'affamé doit-il contraindre celui ayant peu d'appétit à manger, le gros mangeur doit-il forcer l'autre à la diète ? Cela ne me paraît pas des plus justes...

La véritable trahison est de le faire si on n'a obtenu l'amour de l'autre par l'imprudente promesse de n'avoir que lui. À mon avis, on peut s'engager à ne jamais laisser tomber l'autre, mais à ne voir que lui, comme si le monde allait forcément vous faire la grâce, et lui faire la grâce, d'être dans un amour parfait du type des "amoureux sont seuls au monde", c'est problématique... Chez certains, ça peut être naïf, chez des bêtes de proie comme les hommes d'Etat, ça me paraît... trompeur, très trompeur.

En fait, c'est fou le nombre de choses auxquelles on ne peut pas s'engager, qu'on ne peut pas dire ou même penser quand on est lucide ! Parfois, cela peut être gênant, on est privé de tant de possibilités !
Mais la véritable tromperie est de passer outre et de promettre quand même. C'est cela, le mal. Faiblesse ou calcul ? C'est assez secondaire pour celui qu'on a induit en erreur sur toutes ses perceptives de vie.

Par contre, il est possible qu'on fasse alliance avec sur quelqu'un qui comprend la situation.
Dans ce cas, entre gens lucides, entre égaux, il ne devrait pas y avoir de victime. Par contre, le renfort aux effusions charnelles risque, lui, d'être victime. C'est toujours le même problème : des gens s'attendent à être uniques, s'ils ne le sont pas au début, ils voudront peut-être le devenir en prenant la place de l'autre.
Autre problème, le renfort peut être instrumentalisé par un membre du couple voire par les deux. C'est l'oubli de toute justice : on n'a pas à se venger d'une situation en intrumentalisant l'un ou l'autre.

Si le monde est mal fait, vu que les pures amours mutuelles sont rares, qu'y faire ? Jouer quand même au mieux sa partition, que ce soit en solo, duo, trio, quatuor ou tout ce qu'on voudra. C'est toujours la question de l'harmonie à tendre à trouver entre soi et le monde.

J'ignore si Mitterrand a su trouver des dames envisageant le monde à sa manière, s'il les a illusionnées, ou s'il les a convaincues, je sais, et c'est autrement grave, que pèse sur lui une faute qu'il ne peut récuser puisqu'il la voyait chez les autres.
Il n'a pas changé notre honteuse Constitution. Cette honte pèse sur lui et sur ses successeurs.

Combien de temps avant une Constitution plus protectrice de nos libertés ?

genau

Mitterrand… Surgi des enfers comme Don Juan échapperait au commandeur, le voilà, cher hôte, qui renaît sous votre plume assassine, histoire de le tuer deux fois, que dis-je trois fois : jeune, je revois sa photo de dos fuyant la mort conspiratrice, dans les jardins de l’Observatoire, affaire dont on nous a priés, nous, les minables, de ne pas nous occuper, même la Justice ne s’en est mêlée que d’un petit coup de shaker. Et, le même jour, Libération en première page, une cible figurant un bonnet phrygien en mire et un trou noir dans le mille, entonnait le péan la République assassinée. Les étudiants de gauche, pardessus lama serré et clope au bec, la mine grave, étaient prêts à entonner le Dies irae, persuadés de vivre sur les pentes d’un volcan. J’en revois deux, devenus de grands policiers ; ils faisaient leur premier exercice de camouflage. Foutaises, tromperie, injure au peuple, mais aussi calembredaine et outrage à la presse, qui n’en demandait pas tant.

La suite ? Une inculpation d’outrage à magistrat, sans effet, au gré de la cécité politique habituelle, puis un non lieu, à la faveur d’une amnistie générale, cela, tout le monde le sait.
Mitterrand redevient important et on sait la suite. Enfin, on ne va pas lui en vouloir pour ce moment d’égarement, mais tout de même, il y a là-dedans un germe d’ellébore fétide, laquelle, à haute dose, empoisonne.

Cet homme avait un charme fou, une insolence qui compensait sa petite taille, une culture étourdissante, et un sens aigu du mensonge moral. Tout pour être Fouché sauf la cruauté. Peut-être en raison de l’évolution des mentalités, sut-il pratiquer une forme de dénigrement pour complaire à la tourbe et en rire au fond de lui. Esthète et gourmet, il n’a rien ignoré de ce qui était ortolan, et n’a jamais tiré son portefeuille pour le payer. Il fait partie de la caste d’Etat, cette phalange protéiforme, aujourd’hui issue de grandes écoles jadis de Sciences Po et qui confond depuis toujours l’amour de la France avec l’amour du pouvoir.

De décision scabreuse en renoncements de cohabitation, il a ondoyé, malade, accroché à un demi-traître ; il l’avait bien mérité, il sut faire face perinde ac cadaver et ça vaut bien un adieu narquois, pas chagrin du tout, mais élégant, quand même.

Axelle D

@ Patrice Charoulet !

Il m'avait semblé à première vue, mais comme la remarque n'était pas suivie d'un point d'exclamation (marquant l'ironie) j'avais préféré parler de loufoquerie...

Patrice Charoulet

@ Achille
@ Axelle D

J'ironisais.

stephane

À entendre les ministres de Balladur, Mitterrand était très fatigué et allait fréquemment se recoucher.
Je croyais naïvement que c'était dû à la maladie, tout comme son dépôt de gerbe à sa descente d'avion en Corée.
On nous aurait menti ?

Achille

@ Patrice Charoulet | 11 octobre 2021 à 17:05
« Zemmour a un corps sexy et un visage très avenant. »

Allons bon Patrice Charoulet va défiler à la prochaine marche des fiertés ! 😊

stephane

Je vois que Mitterrand est supposé plaire aux femmes et qu'il y a stigmatisation quand une femme de ce blog ne le trouve pas à son goût. Quelle loyauté envers cet imposteur !
Franchement, Chirac ce n'est même pas comparable.
Oui Mitterrand a encore le droit de ne pas plaire, tant physiquement que politiquement.

Axelle D (plutôt bien conservée !)

@ Patrice Charoulet | 11 octobre 2021 à 17:05
"D'ailleurs Zemmour a un corps sexy et un visage très avenant."

Sacré Charoulet, il n'en rate pas une question loufouquerie ! "Il est vraiment, il est vraiment, il est vraiment phénoménal... Il mériterait, il mériterait d'être dans le journal !"

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@ sbriglia

Je ne suis pas mal pour mon âge à en juger par les remarques de ceux qui me côtoient et me connaissent, voire en se rapportant aux réflexions spontanées et étonnées qui fusent au hasard de nouvelles rencontres lorsque j'annonce mon âge réel.
Âge que d'ailleurs j'assume sans complexe tout en continuant de mener une vie très active sur tous les plans...

Quant à votre Mitterrand, je persiste et signe, il m'a toujours dégoûtée, qu'il s'agisse de l'homme public ou privé. Et je me suis souvent demandé comment une femme de la classe de Danielle Gouze avait pu rester toute sa vie avec un tel être, infidèle, sans honneur et corrompu jusqu'à la moelle...

phineus

Je parcours les commentaires pour voir si par bonheur il y en a un de Monsieur Masset. L'inconvénient c'est que dans les autres les lieux communs apparaissent encore plus communs et que la platitude se dévoile encore plus plate.

Patrice Charoulet

MITTERRAND ET ZEMMOUR

Les ébats entre Mitterrand moribond et la jeune fille de vingt ans ne devaient pas être éblouissants.
L'écart d'âge entre Zemmour (63 ans) et Sarah K. (28 ans) est moindre. D'ailleurs Zemmour a un corps sexy et un visage très avenant.

Jérôme

Bonjour Philippe,

Entre adultes consentants où est le souci ?
Je préfère ça aux aventuriers d'hôtels africains tringlant de la prostituée prépubère en expliquant que ça les aide à vivre.
Il faut un peu de tenue mais de la vertu...
Qui disait que les ardents défenseurs d'un excès de vertu n'attendent pour seule récompense de celle-ci que les vices qu'ils dénoncent ?
Mitterrand, un humain rempli de travers.

Michel Deluré

Mais faire de la politique, n'est-ce point avant tout maîtriser l'art de la séduction ?
Séduire l'électorat ou séduire une personne du sexe opposé ne relève-t-il pas de la même stratégie avec parfois hélas les mêmes désillusions pour celui (ou celle) qui a été séduit ?

Le séducteur possède en lui ce besoin impérieux de conquérir en toutes circonstances, peu importe qu'elles soient publiques ou privées, en maniant de manière expérimentée ces armes que constituent une attirance irrépressible, un charme bien réel mais parfois indéfinissable.

Comment alors attendre de lui qu'il ait la sagesse d'établir une frontière entre domaine public et domaine privé alors même que le pouvoir rend encore plus irrésistible sa faculté d'attirance et décuple sa capacité de séduction ?

jmarcio

Bonjour,

J'ai l'impression que si des nouvelles révélations sur sa vie intime venaient à paraître, cela ne changerait plus rien à l'image que l'on peut avoir de lui.
Ça ne servira, peut-être, que pour l'exactitude historique.

Par contre, des essais comme celui récent de Michel Onfray, dont j'ai lu juste la critique faite par PB mais pas encore le livre, restent très intéressants et pertinents.

sbriglia

"Séducteur ce vieux schnock aux lèvres minces et cruelles, à la denture de traviole et au sourire niais !" (Axelle D)

Comme quoi certaines autres femmes, et non des moindres, donnent priorité à l'intelligence, à la culture, au verbe, et à ce charme indéfinissable que même ses adversaires patentés lui accordaient, subjugués par ce masque romain qui lui conférait son aura.

Ce fut, quoi qu'on dise, un président qui laissera sa place dans l'histoire de France, par l'empreinte de ses grands travaux et aussi par le fait que la France était alors une nation qui tenait son rang.

Il était séducteur, il aimait jouer au golf, visiter les librairies, fureter chez les bouquinistes, partir à Venise avec une conquête, manger des ortolans la tête sous une serviette, s'échapper en Égypte : la belle affaire ! Il présidait et laissait à son Premier ministre le soin de "diriger le Gouvernement"... conformément à la Constitution.

C'était un homme de droite, imprégné des humanités provinciales, sachant caresser les arbres comme d'autres le cul des vaches... un jouisseur austère... "un chrétien démodé du XIXe siècle, aimant le goût des tombes et des nécropoles, les brûlures de la chair, les accommodements avec le monde, l'obsession mauriacienne et bernanosienne de Dieu ou de ses avatars, la tentation du "péché", la gravité à la fois solennelle et chafouine du comportement, la voix, la lippe en attente de l'hostie ou du baiser qui damne... Ce n'est pas d'un personnage de Balzac mais bien de Mauriac dont Mitterrand est fils." (Jean Cau)

Nul besoin de le porter aux nues ou au nu (on vous a connu plus inspiré dans les titres, Philippe) ; pour cela laissons le sfumato de l'histoire achever le tableau…

"Un vieux schnock" ? Mais qu'êtes-vous donc de mieux, madame ?

Solon

Résumons-nous: un vrai socialiste, ministre de l'Intérieur, menant la repression en Algérie, un vrai faux attentat, de vrais faux bulletins de santé, de vraies ponctions dans l'argent public à des fins personnelles, de vraies fausses écoutes téléphoniques, de vraies affaires douteuses, de vrais suicides, une vraie politique de gauche abandonnée après le plongeon de l'économie française pour laisser la place à une politique ultra-libérale, j'allais oublier la Nouvelle-Calédonie et le sang contaminé. Que de motifs d'une éternelle admiration...

Claggart

"…magnifiques hommages à Bernard Tapie" (PB)

Je m'étonne que notre hôte s'associe, du moins c'est ce que ce propos laisse entendre, à la tonne d'éloges dithyrambiques à un personnage qui a collectionné les condamnations pour:

- publicité mensongère
- corruption
- subornation de témoin
- abus de biens sociaux
- fraude fiscale
- banqueroute
- ...

Sans oublier que son rôle de chef d'entreprise s'est limité à racheter pour 1 franc symbolique des entreprises en difficulté, virer les employés, et les revendre avec une juteuse plus-value.

Pour conclure, un bonimenteur plutôt qu'un créateur.

Cela étant dit, paix à son âme.

Ellen

"Toutefois, on peut supposer qu'il cherchait ailleurs ce qui lui était refusé dans son foyer" Vamonos à 02:38 en sait quelque chose... (Rire)

Tant que ça ne nous porte pas préjudice, chacun voit midi à sa porte.

Comme pour Bill Clinton, la star planétaire qui a tant amusé le monde entier pendant un an avec sa Monica. En passant, les juges américains se sont régalés.

Notre DSK, le flambeur vicieux, confondant la femme de chambre afro-américaine avec son épouse Anne Sinclair, la malheureuse qui a payé au final quelques millions de dollars pour lui sauver sa tête…

Notre Hollande, le collégien maladroit, qui s'enfuit en douce de l'Elysée par l'escalier de service en scooter pour voir sa belle en nuisette.

Notre Sarkozy, le déambulateur, ça s'est calmé depuis le départ de Cécilia. Avec Carla, c'est du sérieux.

Un spécimen très rare, notre jeune Macron âgé de 43 ans aujourd'hui et toujours fidèle depuis ses 16 ans à son premier amour malgré ses 68 gâteaux d'anniversaire. Il est bien le seul qui n'a pas besoin d'aller voir ailleurs. Vous lui présentez les plus belles créatures féminines et il n'en veut pas. Avant de batifoler, la tête, la tête d'abord au risque de perdre la femme de sa vie.

Concernant François Mitterrand, l'ancienne génération ne s'exposait pas dans les médias et dans Paris Match pour dévoiler au public sa vie privée et encore moins les infidélités et les amours comme font nos actuels hommes politiques pour nous démontrer qu'ils sont modernes.

Claude Luçon

La fidélité n'était pas une qualité de François Mitterrand, en amour comme en politique.
Seul cas connu : "Baltique, la chienne de François Mitterrand. Née en 1986, la chienne labrador du président François Mitterrand (1916-1996) l’accompagnait souvent, en particulier lors de ses promenades, et avait une telle importance dans sa vie que plusieurs auteurs choisirent de raconter les années au pouvoir de son maître à travers des "mémoires" de son chien..."

https://www.chien.com/le-chien-50/chiens-celebres-50004/baltique-la-chienne-de-francois-mitterrand-19190-4_19.php

---

J'ignore si Mitterrand aimait le football, celui des jeunes femmes peut-être, mais Dieu que les Espagnols nous ont barbés pendant 90 minutes hier soir avec leur jeu à la baballe, ils méritaient de perdre rien que pour cela, heureusement on pouvait suivre un match de rugby en même temps et cliquer de temps à autre sur le foot pour savoir si les Espagnols allaient enfin tirer au but !
À la réflexion les Espagnols aimait tellement leur ballon, par jalousie ils l'ont gardé pour eux.

Heureusement nos Espagnols à nous ont compris que le but du jeu est de marquer et l'arbitre a récompensé la furia francese en fin de partie, on était en Italie !
On peut supposer que dans l'équipe de ses compagnes, Mitterrand était le ballon !

stephane

@ lucterius

Très juste.
Habitant moi-même dans une rue proche d'une autre ayant le nom de cet ancien président, je me garde bien d'indiquer le chemin pour ne pas avoir à prononcer ce nom nauséeux.
À l'heure où on déboulonne les statues, on ferait bien de reconsidérer ces plaques de rues.
Le comportement de ce parasite ne saurait justifier les excès de ses successeurs, mais il a lancé un mouvement: "Goinfrez-vous, servez-vous, c'est aux frais du contribuable".

Ce qui me débecte le plus chez cet homme n'est pas tant sa vie sentimentale, dans la mesure où il n'y a pas eu de viol, mais des événements comme lorsqu'il commandait une blanquette de veau au chef cuisinier de l'Elysée, à minuit, pour lui dire "C'est ça votre blanquette ? Allez apprendre à cuisiner !" et la commande de plats à base de fruits de mer à des heures plus que tardives, obligeant Jacques Le Divellec à dépanner son collègue sans cesse sous la menace du souverain.
Ce Monsieur est inqualifiable humainement parlant.
Chirac avait ses défauts, mais il respectait les vrais travailleurs.

Metsys

Comme vous le dites au début de votre billet, on ne se donnait pas la peine de s'interroger ainsi sur Louis XV. Un peu d'esprit suppléait à tout.
C'est ainsi que le duc d'Ayen avait répondu au Roi, alors que ce dernier s'émerveillait des compétences de la Du Barry : "On voit bien que Votre Majesté n'est jamais allée au bordel".
Et à la mort du Bien-Aimé, en 1774, aprés un accès foudroyant de petite vérole : "Sachez, Monsieur, qu'il n'y a rien de petit chez les Grands"...

De Gaulle imitait Louis XV en se rendant au Québec sur un croiseur, le Colbert en plus... Mitterrand, mais aussi Chirac, s'en inspiraient sur un autre plan. De gustis et coloribus non est disputandum.
Ceci étant, si on en reste à l'intelligence politique, Louis XV a flagellé puis supprimé les Parlements, alors que Mitterrand a démoli le PCF, et Rocard dans la foulée. Deux performances dignes de Machiavel...

lucterius

"Les Français qui l'avaient élu puis réélu (sans être au fait, pour la plupart, de l'existence de Mazarine, de sa mère Anne Pingeot et de ce que l'Etat faisait pour elles ; ni de ses capacités physiques amoindries par ce cancer qui leur était caché)" (PB)

A-t-on idée des frais qui ont été, dans ce but intime, engagés par l'Etat ? Pour des frais de campagne dépassés, Sarkozy vient d'être condamné à un an de prison ferme tandis que pour Mitterrand tout le monde passe l'éponge et pas une seule ville de France qui n'ait de place ou de rue à son nom.

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