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11 novembre 2021

Commentaires

Raphael

Laure Adler, cette même personne qui expliquait il y a quelques mois à de jeunes féministes activistes du genre séparatiste dans une de ses émissions radiophoniques que les femmes n'avaient pas la parole et devaient donc s'en saisir, alors qu'elle-même est installée depuis 40 ans dans l'univers médiatique...
Certaines fins de carrière sont parfois très pathétiques.

Robert Marchenoir

@ Ninive | 15 novembre 2021 à 11:19
"Je consacre mes soirées à la lecture de livres d'historiens, de philosophes, d'explorateurs, de scientifiques, de romanciers [...]."
"Par contre il m'est impossible de vous lire sachant que vous allez traiter Poutine de tous les noms d'oiseaux des tropiques... désolé mais j'admire ce personnage dans son rôle de président de la Russie et j'aurais souhaité que nous puissions avoir l'équivalent en France."

N'hésitez pas à ajouter, à votre liste de lecture, de bons ouvrages sur la Russie contemporaine. Je peux vous donner des noms.

Dans l'hypothèse où vous liriez pour apprendre la vérité, naturellement. Si, comme votre commentaire le laisse entendre, vous ne lisez que pour confirmer vos préjugés, je ne peux rien pour vous.

Si, un jour, vous vous décidez à un minimum d'honnêteté, vous pourrez aussi tenter de nous expliquer pourquoi tant de Russes émigrent vers cet Occident si vilipendé par Vladimir Poutine, et pourquoi ce dernier est obligé d'assassiner ses opposants politiques afin de se maintenir au pouvoir.

Vous faites semblant de vous préoccuper du sort des Français, mais visiblement, le sort des Russes (et celui des Chinois) ne vous intéresse pas beaucoup.

Je remarque que vous ne vous donnez toujours pas la peine d'expliquer comment l'invasion migratoire de l'Europe organisée par Loukachenko peut être, selon vos dires, "un montage pour continuer à discréditer ce pays que ceux qui dirigent l'UE veulent écraser", alors que le dictateur biélorusse ne se cache nullement, dans son style inimitable de bandit communiste, d'être à l'origine de cette opération.

"Nous arrêtions la drogue et les migrants, maintenant c’est à vous de les déguster et de les attraper vous-même", a-t-il dit le 2 mai dernier. Avant de mettre sa menace à exécution ces jours-ci, en donnant aux migrants irakiens, qu'il importe par avions entiers, des bombes lacrymogènes pour attaquer les soldats polonais.

Vous ne nous expliquez pas davantage comment votre "admiration" de Poutine peut être compatible avec votre opposition à l'invasion migratoire de la France -- que le chef de l'État russe s'emploie à organiser, par son soutien à Loukachenko.

Françoise Thom, la russologue bien connue, écrit sur le blog collectif Desk Russie : "Dans toute cette affaire, l’éléphant dans la pièce, qu’en Europe on s’efforce de ne pas voir, est le rôle de la Russie dans ce qui n’est pas une crise migratoire, mais une guerre hybride contre l’Europe."

"Il s’agit d’attiser l’affrontement politique au sein de la Pologne, l’antagonisme entre la Pologne et l’UE, et pourquoi pas de lancer la pichenette qui fasse basculer la Pologne vers le Polexit. Si les Polonais sont obligés d’employer des armes à feu contre les migrants, on imagine la campagne en Europe dénonçant 'les fascistes' de Varsovie."

"Mais le calcul de Poutine va plus loin, et nous retrouvons ici son flair infaillible pour la malfaisance. [...] La volonté de paralyser l’Europe en la culpabilisant se manifeste à tout instant. [...]"

"Au Kremlin, on considère qu’un déferlement bien médiatisé de migrants en Europe relancerait le moteur grippé des partis extrêmes, surtout s’il s’accompagnait de quelques attentats islamistes spectaculaires. [...]"

"Laissons la parole à la presse russe, qui laisse souvent percer les desseins du Kremlin : 'Au fur et à mesure que le nombre de réfugiés augmente, les sentiments xénophobes en Europe augmenteront. Cela renforcera les partis politiques d’extrême droite. S’ils arrivent au pouvoir, [...] ils peuvent détruire l’Union européenne en répétant le Brexit en France et en Allemagne' (Svpressa)."

Je vous signale que les premiers immigrants illégaux introduits sur le territoire européen à la pointe du fusil, par le dictateur de Minsk, viennent d'arriver à la Grande Synthe, camp de tentes près de Dunkerque, organisé "de façon quasi militaire" par des trafiquants sanguinaires qui font des profits insolents en tentant de les faire passer en Grande-Bretagne.

C'est ça, que vous voulez ? Ça vous fait jouir, que des bandits tirent quatre balles dans le corps d'un Africain, parce qu'il n'était pas capable de leur payer le prix de la traversée ?

Pour qui roulez-vous, Monsieur Ninive ? Pour la France, ou pour la Russie ? Ça ne peut pas être les deux.

Serge HIREL

@ caroff 13 novembre 2021 à 11:13

La « loi 101 », dont le nom exact est « Charte de la langue française », est beaucoup plus complète que la « loi Toubon », qui, avec son Dictionnaire des termes officiels de la langue française, a valu à l’intéressé le sobriquet « Allgood »...
Elle permet aux Québécois de maintenir la primauté du français à flot chez eux, au milieu d’un univers anglophone, même si, depuis 1977, l’anglais, via les jeunes générations et une part de l’immigration dans la Belle Province en partie non francophone, lui taille de sérieuses croupières.
Montréal se prononce trop souvent « Mountrial »... ce qui réjouit Ottawa, qui est néanmoins obligé, depuis 1965, de partager avec le gouvernement québécois le droit fédéral de sélection des immigrants. Aujourd’hui, les 2/3 des 50 000 étrangers qui s’installent annuellement au Québec - un quota qui privilégie l’immigration économique - parlent le français à leur arrivée. Les autres sont instamment priés de l’apprendre et des institutions publiques dédiées leur en fournissent les moyens.

En France, cet apprentissage, pourtant essentiel, est laissé aux mains d’associations plus ou moins caritatives, toujours mondialistes, et sans beaucoup de moyens. FOG ne fait que constater le résultat de cette politique de gribouille dans les rues de Marseille.

Robert Marchenoir

@ Ninive | 13 novembre 2021 à 09:40 + 14:40
"N'avez-vous pas compris que l'affaire des émigrés venant de Biélorussie est un montage pour continuer à discréditer ce pays que ceux qui dirigent l'EU veulent écraser ?"
"https://www.lefigaro.fr/international/la-russie-n-a-rien-a-voir-avec-la-crise-migratoire-a-la-frontiere-pologne-bielorussie-affirme-poutine-20211113"

Hahaha... le complotiste en chef... puisque Poutine le dit, ça ne peut qu'être vrai, n'est-ce pas ? Parce que Poutine n'est pas le champion du monde du mensonge, peut-être...

La Russie n'a rien à voir avec l'invasion de migrants provoquée par la Biélorussie en Pologne, dites-vous ? En tous cas, elle soutient cette agression de la Biélorussie, et s'en réjouit tout à fait officiellement. Au plus haut niveau.

Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, a dit que Lukachenko ne violait pas le droit international en faisant cela (ce qui est faux). Il a dit que l'Union européenne n'était pas fondée à réclamer l'arrêt de cette invasion de son territoire. Il a accusé la Pologne et la Lituanie de contrevenir aux droits de l'homme en empêchant les migrants de pénétrer chez elles. Il a prévenu que la Russie ne mènerait aucune médiation dans cette affaire. Il a rejeté la responsabilité de l'invasion sur les États-Unis, et leur politique au Moyen-Orient. Il a dit que c'était à l'Union européenne de régler la question, et qu'elle devait donner de l'argent à la Biélorussie pour cela, puisqu'elle a donné de l'argent à la Turquie pour qu'elle empêche les migrants de passer en Europe.

Dmitri Peskov, le porte-parole de Vladimir Poutine, a déclaré que c'était la Biélorussie qui était la victime dans cette affaire. Il a estimé que Loukachenko faisait tout pour rester dans les limites de la légalité.

Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, qui est une habituée des déclarations insultantes envers l'Occident, a dit que c'était la faute de la Pologne, qui avait envoyé 2 000 soldats participer à la force internationale en Irak, et qu'elle devait admettre, en conséquence, au minimum 2 000 migrants irakiens sur son sol.

Vladimir Poutine a bien fait savoir qu'il s'était entretenu à plusieurs reprises de cette affaire avec Loukachenko, ce qui montre son accord avec les déclarations précédentes.

Finalement, la Russie a envoyé à plusieurs reprises des bombardiers à capacité nucléaire participer à des exercices au-dessus de la Biélorussie, expliquant que c'était lié à l'invasion migratoire de la Pologne provoquée par la Biélorussie.

Il y a même eu un exercice de parachutage, au cours duquel deux parachutistes russes sont morts... à cause du vent (de grands professionnels, les soldats russes !).

La seule incertitude qui subsiste est de savoir si c'est Poutine qui a incité Loukachenko à faire venir des immigrés musulmans de tous les coins du monde pour les pousser vers la Lituanie et la Pologne en leur pointant des fusils dans le dos, ou s'il s'est contenté de le féliciter et de le soutenir pour sa bonne idée.

On reconnaîtra qu'il s'agit d'un détail de l'histoire de la guerre russo-soviétique contre l'Occident, et que cela revient exactement au même.

Pour la bonne bouche, précisons que le dictateur biélorusse ne s'est pas contenté d'organiser un pont aérien en provenance d'Irak, de Turquie, du Liban et d'ailleurs, pour acheminer des candidats à l'immigration illégale vers l'Europe. D'après un ancien ambassadeur de Biélorussie, réfugié politique à Varsovie, le régime de Minsk a fait venir des terroristes islamiques d'Afghanistan, et leur a fait suivre un entraînement par ses forces spéciales, avant de les mêler aux autres "réfugiés climatiques fuyant la guerre", poussés vers la frontière polonaise. Il affirme tenir cela d'une source au sein des services secrets biélorusses.

Ce n'est pas la première fois que la Russie organise l'invasion migratoire musulmane de l'Europe. La barbarie délibérée de ses attaques en Syrie avait entre autres ce but (bombardement d'hôpitaux enterrés pour résister aux avions, etc.). Mais on oublie que Poutine a directement poussé des immigrants musulmans à traverser sa frontière avec la Scandinavie, pour déstabiliser l'Europe, comme d'habitude.

S'il n'est pas étonnant que notre commentateur pro-chinois local soutienne la Russie dans cette affaire, je suis curieux de voir comment Éric Zemmour, Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan et toute la smala des politiciens "de droite" qui, à la fois, soutiennent le régime russe et s'opposent à l'immigration, réagiront dans cette affaire.

Jordan Bardella a témoigné d'une évolution intéressante sur ce point. S'il a fait un discours à ce sujet, au Parlement européen, en mettant odieusement en cause la responsabilité de l'Union européenne (on admirera la propension de tous ces prétendus "patriotes" à la traîtrise en temps de guerre ), il a tout de même dénoncé le rôle de "puissances étrangères hostiles".

Sans les nommer, comme le grand courageux qu'il est, mais tout de même : l'une de ces puissances est incontestablement la Biélorussie, mais il a utilisé le pluriel. Quelle peut donc être cette autre puissance, sinon la Russie ?

C'est, à ma connaissance, la première fois qu'un responsable du Rassemblement national (et, en l'occurrence, son dirigeant) traite implicitement la Russie de puissance étrangère hostile.

Je me demande, en tous cas, comment toute la racaille politique habituée à lécher les pompes à Poutine (ce qui inclut les ineffables Nicolas Sarkozy et François Fillon, ainsi que de nombreux caciques LR), pourra continuer à entretenir le mythe de la Russie "qui nous défend contre l'invasion migratoire musulmane", après ce nouvel acte de guerre hybride contre l'Europe et la France, en provenance de Moscou et de son protectorat biélorusse.

Et juste pour fixer les idées, je rappelle qu'on a déclenché des guerres pour beaucoup moins que ça. En fait, l'OTAN devrait activer non seulement son article 4 (qui permet à n'importe quel de ses membres d'exiger des consultations de ses alliés -- ça, c'est fait), mais son article 5, qui permet à celui de ses membres qui est attaqué de réclamer l'assistance des autres, assistance qui peut aller jusqu'à l'exercice de la force armée.

La résolution d'Éric Zemmour et de Marine Le Pen à sortir du commandement intégré de l'OTAN prend une résonance particulière à la lumière de ces événements. Comment peut-on, à la fois, prétendre soutenir la volonté de souveraineté nationale de la Pologne et de la Hongrie, et vouloir se retirer de l'alliance militaire la plus apte à les défendre ?

Claude Luçon

@ Ninive | 13 novembre 2021 à 09:40

Ce qui se passe sous nos yeux est une copie de ce qu'a fait Hitler mais lui n'avait que des trains pour transporter ses victimes qu'il allait aussi chercher dans les pays étrangers !
Vous devez être un disciple de Zemmour ! Ce copain de Poutine et suppôts !
Et vous connaissez le dicton : quand on est c...

À propos cher courageux anonyme, le texte ne vous était pas adressé, alors dans le futur mêlez-vous de vos affaires !
Un conseil, relisez l'histoire de WW2 !
Vous semblez être un expert en haine mais c'est tellement plus simple de l'exprimer anonymement !

Marin

@ Philippe Bilger

Cher Philippe, croyez-vous qu'il y aura encore une chance pour ce beau pays avec une histoire aussi riche ? Vu les commentaires à votre post, qui confirment la gangrène de la France, je suis vraiment sceptique. La France avait atteint son apogée, quand, je ne sais pas vraiment, mais certain depuis 1981, un déclin perpétuel. La chute est inébranlable, mais ne baissons pas les bras.

caroff

@ Serge HIREL 00h56
"L’Education nationale peut se ressaisir et, comme les Québécois l’ont fait dès 1977, nos élus nationaux peuvent voter une « loi 101 » qui, parmi ses dispositions, oblige à accorder au terme français la même visibilité que son correspondant étranger"

La loi Toubon du 4 août 1994 y pourvoit !
Malheureusement elle n'est pas appliquée correctement comme l'indique entre mille exemples le vocabulaire de la défense repris par le Président et la ministre Parly:https://www.defense.gouv.fr/aid/actualites/la-red-team-defense-publie-ses-deux-premiers-scenarios

Serge HIREL

Il y avait le « classico » foot PSG-OM... Voici le « classico » bobo Canebière-Marais... Tout aussi futile. Tout aussi navrant. Mais encore plus fabriqué de toutes pièces. Les deux belligérants n’ont-ils pas été nourris au même lait, celui du Sphinx, qui les a couvés, protégés, catapultés dans ce monde faisandé où s’ébrouent journalistes en cour et politiciens en mal de gloire ?
Tous deux ont été des monstres sacrés de la Mitterrandie triomphante, lui, caracolant à la tête de titres prestigieux y compris Le Figaro, que Tonton, maître des banques nationalisées, lui a apporté sur un plateau d’argent, elle, grimpant d’échelon en échelon, de querelle en querelle, jusqu’à la présidence de France Culture, que jamais, au grand jamais, sans cet entregent malsain, elle n’aurait obtenue, tant sa conception de la culture est sectaire et recroquevillée sur le tiermondise, aujourd’hui devenu la « cancel-culture », le « wokisme », le racisme anti-Blanc.

Tous deux, l’âge venant, ont été moins lumineux, lui, sans vraiment quitter les salons parisiens, immigrant à Marseille, aux côtés d’un Tapie en train de se refaire, et prenant le rôle du « sage » sur les plateaux TV, elle, multipliant les piges ici et là, telle une prêtresse qui s’est donné pour mission jusqu’à la mort de proclamer non seulement la parole de la gauche caviar, mais aussi un féminisme exacerbé, au point qu’elle se dit « Officière » de la Légion d’honneur...

Bref, il ne fallait pas espérer qu’une rencontre entre ces deux-là débouche sur un dialogue culturel de haut vol. Il fallait qu’ils se battent pour faire du tapage sur les réseaux sociaux, pour qu’on parle d’eux entre les vaccinations et la COP 26 sur les plateaux TV, et ainsi se donner l’illusion d’être encore importants. Adler a dégainé sur une phrase de FOG qu’elle avait lue trop vite. Lui n’a pas su s’imposer, élever le débat... Elle l’a annihilé en le tirant vers ses obsessions. Affligeants l’un et l’autre.

Pourtant, le problème que FOG soulève dans ses mots il est vrai un peu ambigus mérite d’être porté au premier rang de nos préoccupations culturelles : la place du français, non seulement dans le monde, mais aussi, désormais, en France. Bien sûr, on ne peut que regretter qu’en Algérie, troisième pays le plus peuplé où l’on pratique la langue française, celle-ci soit, depuis 1962, reléguée au rang de langue étrangère. Jamais aucun effort n’a été entrepris pour que les dirigeants algériens, tous issus du FLN, reviennent sur cette décision haineuse.

Cependant, nous devons encore plus nous inquiéter de la quasi absence d’apprentissage du français parmi les nouveaux immigrés, notamment parmi les bénéficiaires du regroupement familial. Sans le français en partage, il n’y a aucune chance d’intégration, encore moins d’assimilation.

Le pire, pourtant, n’est pas là. Il y a déjà bien longtemps maintenant que l’Education nationale n’est plus capable de former des générations d’élèves capables, tous, de lire et d’écrire, disposant d’un vocabulaire suffisant pour s’exprimer sans employer des termes venus d’ailleurs, des mots fourre-tout sans sens précis, des expressions passe-partout tel ce « y’a pas de souci » qui répond à n’importe quelle demande.
La mondialisation et, avant elle, la puissance des vecteurs de la culture populaire anglophone ont fait le reste. On a aimé les Beatles et c’est très bien... Mais, dans la foulée, faute d’un même impact de l’industrie musicale française, on s’est mis à chantonner en anglais... Puis le vocabulaire anglo-saxon a suivi, porté notamment par le numérique naissant, dont les termes techniques provenaient essentiellement d’outre-Atlantique. Aujourd’hui, on « booste », on respecte un « timing », on présente sa « playlist », on pratique le « coworking » et les émissions TV sont diffusées en « live ». La liste est longue, inépuisable... et nul, sauf sur ce blog, ne fait plus un effort pour trouver le terme correspondant en français ou, plus exactement, les termes, tant notre langue est riche et précise. Un « cluster » en français est un « foyer d’infection », un « groupe d’entreprises » ou encore une « grappe de jeunes pousses »...

Sur cette question de la langue, le « grand remplacement » a déjà largement débuté. Mais il n’est pas trop tard pour se reprendre. L’Education nationale peut se ressaisir et, comme les Québécois l’ont fait dès 1977, nos élus nationaux peuvent voter une « loi 101 » qui, parmi ses dispositions, oblige à accorder au terme français la même visibilité que son correspondant étranger. Une loi qui, entre autres, mettrait fin aux délires des publicitaires qui s’aggravent de jour en jour.
Non, si nous le voulons, la langue française « n’a pas dit son dernier mot ». Pas plus que la France.

Claude Luçon

Totalement hors sujet mais complètement d'actualité !

À Philippe

Nous voyons tous ce qui se passe à la frontière Pologne/Biélorussie !
Des humains sont utilisés par des politiciens pourris en Biélorussie avec la bénédiction de Poutine !
Il faut contrer cela de la même façon : que tous les médias des pays de l'Ouest, par tous les moyens possibles, sur toutes les TV, disent à l'opposition biélorusse : "Vous vous êtes déjà manifestés en masse dans les rues de Minsk contre Loukachenko, aujourd'hui allez, toujours en masse, porter aide pacifiquement à ces malheureux que votre dictateur utilise comme outils de propagande, de pression sur vos voisins polonais ! Portez-leur à manger, portez-leur des couvertures, des tentes, des réchauds et bonbonnes de gaz... Aidez les ONG et profitez-en pour montrer au monde que vous êtes toujours présents, c'est une occasion de vous faire de nouveau connaître ! Le bazar s'ensuivra en Biélorussie et le monde verra qui est Loukachenko ! C'est votre problème aussi, pas seulement celui des démocraties européennes, vous avez là le moyen de faire trembler ce monstre ! Et si l'armée biélorusse vous bloque pour stopper une aide humanitaire, elle s'humiliera aux yeux du monde entier".

Philippe vous avez maintenant une voix dans les médias en plus du magistrat que vous avez été, lancez une campagne avec vos amis journalistes !

Giuseppe

@ Wilfrid Druais | 12 novembre 2021 à 13:43

Et en plus vous êtes un excellent psychanalyste.
C'est la même réflexion que je faisais de temps à autre à mon excellent collègue ESTP lorsque nous échafaudions des stratégies de contournement ou parfois aussi pour éviter les coups de pieds aux fesses pour avoir failli.

D'ailleurs nous en étions arrivés à un de ces corollaires certains que le-monde-entier-nous-enviait : le meilleur client est celui qui a de l'argent - condition nécessaire mais pas suffisante - mais surtout qu'il ne lui appartienne pas... Le Cardinal avait dû faire carrière dans le BTP et d'autres aussi. Bon, le problème avec les politiques est qu'ils sont vite atteints de boulimie, il paraît qu'il n'y a que chez eux que cet effet secondaire existe.

Exilé

Qu'on mesure bien l'enjeu de cette polémique entre la vérité et la liberté d'un côté et de l'autre l'obligation d'avoir honte d'être blanc, on ne pourra que faire l'autruche (c'est la politique d'Emmanuel Macron) ou se révolter.

Désormais, les Blancs sont condamnés à raser les murs, en tentant d'éviter des agressions qui ne seront pas qualifiées d'actes racistes par les magistrats, mais tout au plus d'incivilités.
Pourquoi se gêner puisque le racisme anti-Blancs n'existe pas ?

...Jusqu’à ce fameux cours d’éducation morale et civique intitulé: « Le racisme anti-Blancs existe-t-il ? » Une question qui n’en était pas une, selon la lycéenne, tant l’enseignante a verrouillé les échanges pour imposer sa réponse: « Non, il n’existe pas. »

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/antiracisme-ideologie-lgbt-decolonialisme-comment-on-endoctrine-nos-enfants-a-l-ecole-20211112

Au fait, y a-t-il des juristes qui seraient en mesure de nous expliquer pourquoi le délit de racisme ne s’appliquerait pas au cas où des personnes blanches en seraient les victimes ?

Denis Monod-Broca

@ Exilé

Rancunier, d'accord, et il avait bonne mémoire, mais assoiffé de sang ?!?...

sbriglia@RM

Rédigé par : Robert Marchenoir | 12 novembre 2021 à 06:17

Je partage...
Et pourtant…
Que penser de Leni Riefenstahl et de ses Noubas ?

Où quand la sexualité féminine de droite et de gauche se confondent…

MENIER

La démocratie à la sauce Bilger. Adler est une pestiférée. Les seuls journalistes accrédités sont ceux qui cachetonnent chez CNews, Europe 1, Sud Radio et Valeurs Actuelles.

Michel Deluré

Mais est-il finalement si étonnant que dans la « capitale française du cosmopolitisme, ville monde... » la langue française, dans toute sa pureté, ne règne pas en maître ? L'étonnant est presque que FOG le découvre avec beaucoup de retard et qu'il en soit surpris. Comment pourrait-il en être autrement ?
Pour son information, je peux même confirmer à FOG qu'il existe en France bien d'autres villes, beaucoup moins importantes que Marseille, et où il est parfaitement possible de faire hélas le même constat en traversant certains quartiers.

Ce qui est préoccupant, c'est qu'avec la disparition progressive de l'usage de sa langue, à ne pas confondre avec l'évolution de cette même langue, un pays perd tout simplement ce qui est l'un de ses particularismes essentiels, constitutifs de son identité.

Louis

"Quand je me rends à pied à la gare Saint-Charles en passant par la Canebière, j'ai le cœur serré parce que pendant le trajet je n'ai entendu personne ou presque parler français. Que va-t-il arriver à notre langue ?".

Je me fais la même remarque lorsque je remonte la rue Jean Jaurès à Brest et je m'interroge sur le devenir de ces personnes, des étrangers en France dont le téléphone reste le seul lien avec leurs racines... Il y a de quoi être inquiet... De Gaulle, reviens...

sylvain

FOG se croit chez lui au Marseillistan ? A-t-il perdu la raison ? Il faudrait qu’il passe d’urgence son logiciel à l’antivirus islamiste, quel relou !
Mais non mon cher, vous êtes chez eux dans le très proche Orient arabo-africain musulman islamiste ; avez-vous les yeux, les oreilles et les narines bouchées ?
N’êtes-vous pas au courant que ceux qui veulent rentrer chez eux doivent passer sous les fourches caudines des dealers racailles maghrébins, baisser la tête et fermer les yeux en signe de soumission sous peine de représailles ?

Attention, si vous résistez ils vont afficher votre portrait, noms et prénoms de tous les membres de votre famille dans les halls d’entrée de votre immeuble avec primes pour tous ceux qui s’occuperont de vous et de vos proches, la justice de gauche est de leur côté, ne l’oubliez pas.

Pendant que vous serez chez vos dentistes et vos proctologues pour vous faire réparer des coups et blessures subies, vos impunissables agresseurs se rendront chez le juge pour la forme en ressortant avec un ixième rappel Allah loi comme c’est la routine dans tous les racaillistans.

Ne me remerciez pas pour tous ces conseils, bien que facho de droite extrême, catho blanc de souche, je suis très humaniste.
Et en plus je lis Zemmour, c’est grave docteur ?

Exilé

Qu'on mesure bien l'enjeu de cette polémique entre la vérité et la liberté d'un côté et de l'autre l'obligation d'avoir honte d'être blanc, on ne pourra que faire l'autruche (c'est la politique d'Emmanuel Macron) ou se révolter.

Se révolter ?
Je sens que Philippe Bilger est en train, sous la pression des événements, de se laisser tenter par l'extrémisme...

Exilé

@ Denis Monod-Broca
« De Gaulle « assoiffé de sang » ?!? Dans quel sens ? »

Assoiffé de sang, je ne sais pas mais toujours est-il qu'il était assez orgueilleux et rancunier, à la façon de la mule du Pape et qu'il faisait payer cher des années plus tard à autrui le fait de n'avoir pas eu la même vision des choses que lui.

Par exemple, je crois me souvenir que Philippe Pétain préparait dans les années trente un ouvrage militaire, secondé par Charles de Gaulle.
Un jour, en relisant les épreuves mises en forme par ce dernier, il a biffé au crayon plusieurs parties du texte où CDG développait probablement des idées qu'il reprendra plus tard dans ses propres ouvrages.
Toujours est-il que de Gaulle s'est alors senti humilié et il est possible que son ressentiment à l'encontre de celui qui était son protecteur soit né de là.

duvent

Il faudrait pour bien faire, que cesse le polissage de mules, le lustrage de charentaises, dès que l'occasion se présente.

Puis et avant même d'avoir fini de lustrer et de polir, pour avoir l'air courageux et indépendant, tenter la décapitation avec une urbanité de la plus belle eau ! Car après, il y aura la lessive à faire...

Pendant ce temps, la grande inquisition médiatique se déroule lascive et langoureuse...

De postures en impostures, changer les autres sans le pouvoir, changer soi-même sans le vouloir, et vice versa !

Que de jérémiades, que de pleurs, que de lamentations !!

Ce monde me les brise avec une constance qui m'émeut, m'émeut, m'émeut...

Par chance, il y a Repp :
https://www.youtube.com/watch?v=x3LTNL4m_OE

Tipaza

Et quand on pense que Laure Adler fut pendant six ans à la direction de France Culture, on comprend mieux ce qu'est devenu le service public de l'audiovisuel, et surtout ce qu'est devenue la culture en France.

Et quand je dis ça, il est clair que j'exagère parce qu'il n'y a plus de culture et qu'il ne reste que peu de France. Sauf dans les montagnes, derniers refuges du "Camp des saints", version Jean Raspail.

sylvain

@ Metsys
« …la biographie de Mitterrand par Laure Adler... C'est encore plus croustillant qu'un poulet de Bresse bien rôti. »

Euh non merci, une bio écrite par cette dinde de salon socialopitre, même à l’approche de Noël, personne ne voudra se la farcir.

Robert Marchenoir

Commençons par Laure Adler. Elle fait partie de cette section assez importante de la gauche française, dont les convictions "anti-racistes" sont ancrées dans une enfance africaine. Elle a grandi en Guinée et en Côte d'Ivoire. Ce n'est qu'à l'âge de 17 ans qu'elle s'est installée définitivement en France.

"Je suis arrivée en Afrique à l'âge de six jours, et je me définis comme africaine", déclarait-elle au JDD en 2012. "J’en porte des traces dans mon corps, ma langue, mon imaginaire. J’ai été élevée par un homme nommé Wait. Il me racontait la terre et le ciel dans sa langue. [...]"

A 18 ans, elle tombe amoureuse d'un ethnologue africaniste. "Il m’a pris dans ses bagages pour me faire vivre un temps au rythme d’un petit village du Tchad. [...] Je suis persuadée que je mourrai en Afrique."

Disons-le clairement : Laure Adler fait partie de ces gens qui veulent négrifier et arabiser la France, par nostalgie de leur enfance coloniale et romantisme imbécile. Ce facteur est plus important qu'on ne le croit, et il n'est jamais évoqué dans le débat politique.

L'avantage, c'est qu'elle est tellement nunuche qu'elle vend la mèche. En jetant : "Vous êtes Blanc, quoi, et fier de l'être... il n'y a pas assez de Blancs autour de vous", à Franz-Olivier Giesbert qui se plaignait de "n'entendre personne ou presque parler français" lors de ses trajets à Marseille, elle avoue clairement que le prétendu "anti-racisme" est, avant tout, un ethnomasochisme des Blancs, un racisme anti-Blancs, une idéologie qui incite au génocide des Blancs par remplacement de population.

Rapprochons cette posture de celle d'une autre "africaine" et femme de gauche, la photographe Marie-Laure de Decker. Elle doit sa célébrité à Valéry Giscard d'Estaing, qui l'a adoptée comme sa photographe favorite quand il était ministre des Finances. La rumeur leur prête une liaison, démentie par l'intéressée. Mais elle ne fait pas mystère de ses avances...

Marie-Laure de Decker a récemment donné un long entretien à France Culture où elle raconte, sans le moindre complexe, avoir réclamé, à Giscard, des "papiers" pour l'un de ses "amis" et sa famille : Eldridge Cleaver.

C'était l'un des dirigeants des Black Panthers, mouvement négro-communiste américain. Il a fait de la prison pour viol et tentative de meurtre. Derrière les barreaux, il a pris la tête de la section locale de Nation of Islam, une secte noire qui fut le précurseur de l'islamo-gauchisme aux États-Unis.

Libéré sur parole, il a fui à Cuba, puis dans l'Algérie du FLN, où il a fait de l'agitation communiste internationale. En 1969, il s'est rendu en Corée du Nord, puis a activement fait l'éloge du "modèle" nord-coréen.

Dans son livre Soul on Ice publié en 1968, Eldridge Cleaver avouait être un violeur en série. Il a commencé par violer des Noires dans le ghetto, pour s'entraîner, explique-t-il. Puis il s'est mis à violer des Blanches, ce qu'il présente comme un acte politique, un geste "insurrectionnel".

Voilà l'homme que Marie-Laure de Decker présente comme quelqu'un"[qu'elle] aimait beaucoup, réfugié en France clandestinement". Giscard demande quand même la fiche de Cleaver aux services secrets, et la tend à Marie-Laure de Decker en lui demandant : "Vous êtes sûre que vous êtes amie avec lui ? Regardez : viol, trafic de drogue, insurrection..."

Et la Grande Photographe de Gauche répond : "C'est rien, ça c'est le baratin de la CIA, ça n'existe pas" (à partir de 2 mn 15s).

Du coup, Giscard fait : "Je vais vous donner des papiers pour lui, et je vais vous inviter à déjeuner". Marie-Laure de Decker s'extasie sur le jeune ministre des Finances, "tellement gentil avec Cleaver" au cours de ce repas au Louvre.

Pendant lequel Giscard pose cette question formidable : "Pourquoi vous, les Noirs d'Amérique du Nord, vous ne rentrez pas en Afrique ?" Hélas, de Decker ne rapporte pas la réponse du révolutionnaire américain. Voilà comment la lubricité d'un ministre français a permis à un criminel en fuite de bénéficier de l'asile de la "République".

Tout au long de l'entretien, Marie-Laure de Decker ne cesse d'exprimer son indifférence, voire son mépris, pour ces hommes politiques français qui ont pourtant lancé sa carrière : "Moi, ce qui m'intéresse, c'est... l'Afrique !" (à partir de 6 mn 56 s).

La France, pour elle, semble un pays étranger. Elle évoque ainsi ses reportages au Tchad : "Parce que les Français, faut voir comme ils nous ont bombardés, oh là là..." (à 20 mn).

La journaliste : "C'est quoi, la grande cause des années 2020 ?" (à 16 mn).

La petite fiancée de Giscard : "Respecter l'Afrique ! Respecter les Africains ! Les traiter aussi bien qu'ils nous ont traités quand on allait chez eux... Ça, je pense que c'est le grand effort à faire. C'est pas un effort, c'est juste une constatation. De voir que les vrais grands poètes sont des Africains... les grands musiciens, c'est des Africains... les grands écrivains sont africains... l'Afrique est d'une richesse... pas seulement de sous-sol, mais de cerveau, d'esprit, de cœur, tellement immense..."

"Je pense qu'il faut totalement faire confiance aux Africains. Si on arrête de les bourrer d'armes, comme on fait maintenant... On pourrait peut-être voir, par nos yeux, voir nous-mêmes quels frères on a, quelles richesses on a, quels gens merveilleux, pleins de sagesse, de savoir..."

Voilà voilà... Homère, africain... Shakespeare, africain... Bach, africain... Molière, africain... les grandes universités, les bibliothèques séculaires, les tripotées de prix Nobel, africains... L'allumée totale, qui vit dans un monde imaginaire depuis toujours.

La journaliste (à 14 mn 7s) : "Qu'est-ce que ça a de particulier, une séance photo avec des gens de pouvoir ? Qu'ils s'appellent François Mitterrand, ou qu'ils soient des chefs d'État étrangers ?"

La grande âme de gauche : "C'est comme si on photographiait un pot de fleurs. Je préfère photographier un Toubou, un beau Toubou, [plutôt] que n'importe quel Blanc."

Je vous laisse imaginer l'explosion de haine médiatique si un photographe de droite, et de sexe masculin disait : "Je préfère photographier une Suédoise, une belle Suédoise aux yeux bleus et aux cheveux blonds, plutôt que n'importe quel Noir".

Pour clore ce festival d'ethnomasochisme, d'incitation à la haine raciale et de soutien à la subversion communiste, Philippe Bilger sera peut-être intéressé d'apprendre pourquoi Marie-Laure de Decker admirait l'avocat Thierry Lévy, père de son deuxième fils : "[parce qu'] il haïssait les juges" (à partir de 20 mn 26s).

Passons à de Gaulle. "Des événements que je croyais connaître", écrit notre hôte au sujet du livre de Franz-Olivier Giesbert. C'est l'impression que j'ai eue au sortir de De Gaulle et les communistes, d'Henri-Christian Giraud : toute la mythologie française de la Seconde Guerre mondiale s'écroule après ce livre.

Pour qu'un homme ayant "pratiquement tout lu en langue française sur Charles de Gaulle" s'étonne de "découvrir", sous la plume de Giesbert, un personnage "d'un absolu cynisme, d'une rouerie politique sans pareille" et "qu'on peut qualifier 'd'assoiffé de sang'", un homme caractérisé par "une tactique toute de dissimulation et d'implacable volonté", par "une indifférence absolue à l'égard du juridisme", faut-il que le mythe gaulliste soit épais, tenace, impénétrable même aux meilleurs esprits !

Faut-il qu'une image falsifiée du général de Gaulle obère non seulement l'histoire (ce qui est, après tout, un mal relatif), mais surtout, ce qui est bien plus grave, l'idée que nous pouvons avoir de l'intérêt général aujourd'hui, et les remèdes que nous pouvons concevoir aux maux politiques qui sont les nôtres !

PAUL

Le wokisme vient des USA. La gauche a toujours été fascinée par les Américains semant le désordre partout dans le monde. Elle court maintenant après le wokisme comme un poulet sans tête, Laure Adler en premier.

Denis Monod-Broca

De Gaulle « assoiffé de sang » ?!? Dans quel sens ? Je ne comprends pas. On peut faire beaucoup de reproches à de Gaulle mais pas celui-ci.

Philippe

Laure Adler, la précieuse ridicule ! Tout est dit. Pas mieux.

fanseventies

Cette pauvre dame Adler en dérive totale est à la représentation politique ce que le radeau de la méduse est à la peinture... un cliché hyperréaliste d'un naufrage de la gauche moraliste en état de mort cérébrale !

Tomas

"Qu'on mesure bien l'enjeu de cette polémique entre la vérité et la liberté d'un côté et de l'autre l'obligation d'avoir honte d'être blanc, on ne pourra que faire l'autruche ou se révolter. Cette seconde branche de l'alternative, qui pourra nous l'offrir dignement ?" (PB)

Mais personne. Il se passera ce qui doit se passer. Ce qui peut donner des raisons d'espérer, en particulier pour la survie de notre langue, c'est que personne ne peut raisonnablement prétendre le prévoir avec certitude.

Jérôme

Bonjour Philippe,

FOG est un hâbleur inintéressant coupant la parole, parlant fort en guise d'arguments. Une pure tanche, digne représentant du médiocre milieu "intellectualiste" français qui vous séduit tant. Comme les Fine quelle crotte, Botul Henri Lévy et autres bavardeurs insanes.

Claude Luçon

FOG a raison, n'a rien découvert, Marseille date des Phéniciens ou avant, les Pieds-Noirs puis les Algériens ont toujours considéré que Marseille était la ville la plus au nord de l'Algérie, ils traversaient la Méditerranée comme si c'était une quelconque rue métropolitaine.
On y a parlé bien des langues au fil des âges, même allemand de 1941 à 1944 !

Le français tel que nous le parlons aujourd'hui n'est vraiment né que vers 1750 quand Richelieu a créé l'Académie française avec mission de faire le ménage dans les patois des diverses régions.

Le français n'a jamais cessé de changer. Jusque vers 1750 mon nom, comme celui de la ville vendéenne, s'écrivait Lusson, et Auxerre s'écrivait Ausserre, et ils ont changé par la volonté de l'Académie française ! Chose que ni la ville, ni moi, ni les Ausserrois ne lui avons pardonné. Quelle idée idiote d'introduire la cédille et le x dans le français !

Un professeur de langue de Harvard, il y a environ 15 ans a déterminé que 64 % des mots anglais étaient d'origine ou de souche française !
Par ailleurs en bien des pays quand on veut être snob ou prétendre être intellectuel on glisse quelques mots en français dans la conversation ! Comme quelques-uns d'entre nous ici, dont je suis, se laissent aller en glissant un rien d'anglais dans nos commentaires.

En outre les Alsaciens parlent souvent allemand entre eux, les Ch'tis avec l'accent belge, inversement on parle français dans le Val d'Aoste italien même si Mussolini a italianisé le pays, patronyme compris, dans les années 20 !
Dans les années 70 Boumédiène a imposé l'arabe, avec peu de succès, le français devenant une langue étrangère, celle des colonisateurs dont Macron a jugé bon de les critiquer, mais il l'a fait en français, à Alger !

Il faut que FOG se concentre sur ses collègues des médias qui écorchent régulièrement et trop souvent notre si belle langue.
Même ici sur le blog nous sommes quelques-uns à voir la qualité de notre français améliorée après son vernissage par notre rigoureuse modératrice.

Le français est une langue vivante, elle change elle aussi avec l'âge, mais sans vieillir !

Le français de CdG était parfait mais comme il l'a rappelé, le problème avec les Français est qu'ils sont mi-Francs, mi-Celtes, alors nous avons pu apprécier mais aussi subir ce contraste chez lui.
Le vénérer un jour, comme en juin 1940, le maudire un autre jour, comme en mai 1962 !

On se console en pensant qu'avec des citoyens pareils, même sans Zemmour, il n'a pas pu faire tout, tout seul, lui conserver l'honneur mais blâmer ceux, autour de lui, qui réglaient, mal, les détails !
Au bout du compte c'est ce contraste qui nous manque, ce mélange miraculeux autrement appelé "génie français" ou "système D."
Un amour passionné du pays associé à un besoin irrésistible de le critiquer.
Vanter nos lumières, notre système démocratique et social mais manifester contre à propos de vaccination, de CO2 et de radioactivité ou autre bricole que ni le Franc, ni le Celte ne comprennent vraiment !
Tout en pleurant en voyant Notre-Dame brûler ou en s'associant parce qu'une partie du patrimoine national s'écroule et en se relevant les manches pour le reconstruire volontairement ici et là !

Quant à Laure Adler, d'après Wikipédia :
"...lors du mouvement de Mai 68, elle est déléguée pour l'Union nationale des comités d'action lycéens (UNCAL) à Paris. Elle découvre alors Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir et Marguerite Duras."
Le genre de virus dont on ne se remet jamais comme en témoigne le pays aujourd'hui et dont il reste quelques cas incurables genre Cohn-Bendit en dépit de leur rappel régulier sur LCI !

Achille

FOG, encore un journaliste qui se prend pour un historien. Un peu comme Zemmour en somme, mais peut-être en plus rigoureux sur les faits historiques.
Il a écrit une biographie sur François Mitterrand, une autre sur Jacques Chirac et même une sur Bernard Tapie.
J’ai lu celle sur Mitterrand. Bon, bonne plume, personnage sympathique. J’aimais bien l’émission littéraire qu’il animait sur France 5 voici quelques années.

Ceci étant, concernant Marseille, il est clair que le genre de café du Vieux-Port que nous avons vu dans la trilogie de Pagnol a depuis longtemps été remplacé par un marchand de kebab-frites avec viande garantie halal.
Mais pour l’instant il est encore possible de passer sa commande en français. Donc pas de panique !

Lodi

"Je recommande aux citoyens qui se sont émus des saillies d'Emmanuel Macron dénigrant les Français d'user avec modération des véritables philippiques du général contre le tempérament de ceux-ci, leur veulerie, des "veaux" incapables de comprendre ce qu'exigeaient la France et sa grandeur, perdus si de Gaulle n'avait pas été là."

Encore une victime du mythe de l'homme providentiel : le général. Bien sûr, on aurait été perdu sans lui, ce qui lui donne le droit d'insulter les Français... Ses successeurs, à défaut d'avoir jamais rien fait de bien extraordinaire, pourront toujours l'imiter car quoi de plus aisé que de cracher sur son prochain ?

Et moi, je dis que si on ne veut pas être un crachoir, il faut se déprendre des mythes de sauveurs divins ou humains trop humains.
Et qu'il vaut mieux être un susceptible qu'un paillasson, rancunier que complaisant, et mieux vaut voir tout en noir et voir par ses yeux que s'en laisse accroire.

Le pouvoir est une nécessité et quand on veut faire l'ange de la révolution, on fait la bête de quelque tyrannie.
La voie moyenne, juste, est d'équilibrer les pouvoirs. Tout simplement... Chacun empêche les autres d'être trop nuisibles. Ce n'est certes pas exaltant, mais le pouvoir n'est pas exaltant : si l'être humain valait davantage, il n'y aurait ni violence ni hiérarchie. S'exalter avec de la politique me paraît bizarre, il n'y a pas de quoi le faire pour le moindre mal, le genre de corvée nécessaire à la vie en commun.
Enfin bon, il y a bien des livres type la magie du rangement, de nos jours, et de tout temps des livres qui bon sang de bonsoir vont vous expliquer comment la politique va être formidable.

Je comprends qu'on ait des amis, des amants, des amours, des admirations et même des ennemis, mais en faire des passions politiques est dangereux pour un pays : il se crée des clans de passionnés par la politique prêts à se taper les uns contre les autres et à diviser la nation jusqu'à la guerre civile.

Et moi, je dis que si on ne veut pas être un cracheur, il faut ne pas avoir besoin que les autres aient besoin de soi.
Il ne faut pas vouloir être un homme providentiel, ainsi on n'en voudra pas aux gens de ne pas vous avoir attendu. On ne s'attendait pas, après tout, et on sait combien il est dangereux qu'un pays ait besoin d'un chef trop prestigieux donc tenté de s'affranchir de toutes les règles.


Giuseppe

Je complète mon propos:
"Spécialiste de l’histoire de la France au XXe siècle, Julian Jackson est professeur d’Histoire à Queen Mary, University of London. Sur toutes les listes des meilleurs livres de l’année en Grande-Bretagne, sa biographie de De Gaulle a été couronnée du très prestigieux Duff Cooper Prize."

"Des événements que je croyais connaître, notamment la prise du pouvoir en 1958, la guerre d'Algérie, les rapports du général avec Raoul Salan, l'OAS, la tactique toute de dissimulation et d'implacable volonté, son hostilité à l'encontre des pieds-noirs et..." (PB)

Mongénéral qui débarque pour la première fois à Alger s'étonne qu'aucun cadre du pays n'était intégré dans l'administration routinière locale - cela confirmait sans doute que c'était sans espoir et que pour lui l'aventure était bien terminée.
Ce qui en disait long me semble-t-il sur sa vision de l'abandon de l'Algérie et des autres colonies d'Afrique qu'il voyait plus en partenaires pour le futur.
Ce dont on est sûr c'est qu'il suivait minute après minute les accords d'Evian et qu'il était plus attentif à en finir pour de bon qu'à négocier.

Pour avoir assisté à une cérémonie officielle à La Réunion, je me suis rappelé ce qu'avait constaté de Gaulle, le maire local (très connu) et ses colistiers y compris les services étaient du cru, pour ce qui semblait pour moi une réussite.

Savonarole

FOG est un petit voyou de la sphère médiatique.
Il aura passé sa vie à trahir tous ceux dont il se targuait d’être un proche et qu’il revendiquait de tutoyer.
De Chirac à Sarkozy et bien d’autres, il a attendu qu’ils soient bien morts ou ensevelis politiquement pour sortir un livre accablant, tel le dard du scorpion. Un être détestable.
Qu’aujourd'hui on monte en stèle de marbre sur ce blog une crapule de son genre démontre à quel point on craint pour ses ronds de serviette médiatiques, car FOG est un parrain. Pascal Praud l’a bien compris ce matin.

Quant à Laure Adler, qui s’appelle Laure Clauzet comme tout le monde, elle souffre manifestement du refus de vieillir, à 71 ans elle se croit encore une quinquagénaire pétulante, sa pauvreté capillaire mille fois remaniée n’y fait rien, une Belphégor déchue. Un tue-l’amour.

Tempête dans un verre d’eau et jus de crâne.

caroff

Les Algériens ont coutume d'appeler Marseille la 49e wilaya (préfecture) d'Algérie tant est considérable le nombre de leurs ressortissants !
C'est un des lieux de rassemblement de la diaspora qui a l'impression d'"être au pays" avec tous les avantages procurés par la France (protection sociale, soins de qualité, etc.). Comme on dit c'est "gagnant-gagnant". Qui plus est, ainsi que me le confiait une amie maghrébine, il est possible de rester des mois, voire des années, confiné dans la sphère ethnique d'origine : elle croisait par exemple des compatriotes qui n'avait jamais parlé le français à Marseille tout en vivant normalement. Les commerces de bouche, les coiffeurs, les marchands de fringues, les caboulots sont souvent tenus par des Maghrébins: pourquoi s'embêter à parler français dans ces conditions ?

Bien entendu il ne s'agit que de la frange "migrante" ou issue du regroupement familial qui reste majoritairement à l'écart du monde du travail. La particularité de Marseille est également d'abriter un trafic de drogue dans les quartiers nord qui génère, d'après certaines sources, environ 800 millions € de CA. Ceci permet une relative paix sociale en raison des sources de revenus rendus ainsi disponibles à de nombreuses familles "issues de l'immigration".

Alors FOG peut s'étonner ou déplorer qu'on ne jacte plus beaucoup le francaoui mais le constat est celui-là.
Comme disait Collomb, l'ancien ministre de l'Intérieur, les communautés ne font plus nation: elles vivent côte à côte avant de vivre face-à-face. Ce n'est pas qu'à Marseille que cette réalité a pris forme: la liste est désormais trop longue des lieux où le français a laissé la place au dialectal arabe maghrébin ( le "darija") ou au wolof.
Ceci n'aide pas à l'insertion ou à l'assimilation des enfants dont les parents ne maîtrisent pas la langue française. Deux cents heures d'apprentissage sont requises pour les migrants en France contre six cent soixante en Allemagne: comment s'étonner que nous traînions des boulets !

Quant à la dame Adler, résidu mitterrandien qui complémente sa retraite en vaticinant de façon imbécile chez M. Karim Rissouli, l'arbitre des élégances wokistes sur le service public, je lui souhaite de ne pas me croiser sur un trottoir !

Metsys

Méfiez-vous de de Gaulle, car il disait rarement ce qu'il pensait, et encore moins au vulgum pecus. Mais si vous voulez de l'authentique, je vous conseille la biographie de Mitterrand par Laure Adler... C'est encore plus croustillant qu'un poulet de Bresse bien rôti.
Enfin, vous vous plaignez à juste titre de la disparition de la langue française, et d'autres se désolent ou se réjouissent de l'extinction de la gauche. Je pense donc que ceci réunira tous les suffrages :

https://youtu.be/sJoFhhbT0fA

Giuseppe

"Franz-Olivier Giesbert a écrit une Histoire intime de la Ve République dont le tome 1 - Le Sursaut - est à la fois original et remarquable. J'invite tous ceux qui sont passionnés par le gaullisme et Charles de Gaulle à le lire parce qu'ils sortiront de l'encens et de l'hagiographie ou d'une détestation tellement obtuse qu'elle n'aurait rien de crédible." (PB)

Pas d'accord, mais pas d'accord du tout sur les propos historiques de FOG.
Combien j'aurais souhaité entendre l'historien anglo-saxon Julian Jackson invité aussi ce soir là. Beaucoup plus, bien plus, il était dans le bouton de guêtre pour la vérité associée à la puissance de celui qui a travaillé son sujet sous toutes les coutures du costume du Général Motor.

Je me targue d'avoir lu aussi tout (je pense) ce qui est écrit sur de Gaulle, FOG éructant n'a pas laissé de place à la parole lucide, historienne, de cet invité animé, brillant, les historiens anglo-saxons sont les meilleurs analystes de cette époque.

Il avait beaucoup à nous apprendre sur "l'acteur" de Gaulle qui ne considérait comme valable que ce qu'il avait écrit, c'était le point de vue de Julian Jackson, je le partage totalement.
La technique de "l'oreille", lancer une idée et la laisser remonter pour être entendue.

En fait sur ce chapitre FOG ne connaissait pas bien ou très peu le fond du personnage. Combien de divisions pour FOG ? Il a été insupportable, à la limite de la vocifération (j'exagère un peu), il n'entendait que lui-même, miroir mon beau miroir...

Pas un n'a cité Louis Terrenoire, je sentais l'historien Julian Jackson prêt à le faire, je vais acheter son livre. Pas celui de FOG, il voulait convaincre à tout prix, accaparant le débat, mais un peu court, trop juste pour parler de la Ve, à part avoir formulé une évidence prise par notre hôte comme de l'exceptionnel.

Tu parles d'un courage devant Laure Adler, EZ en dit mille fois plus sans sourciller !

FOG est un écrivaillon pour groupies, pour l'histoire il a besoin de lire les classiques, les Rostand de l'histoire, les Flambeau de la vie de cette période.

"...d'un absolu cynisme, d'une rouerie politique sans pareille, qu'on peut qualifier "d'assoiffé de sang" et angoissé bien avant l'heure par l'identité de la France dont il était sûr qu'elle serait balayée par l'arrivée d'une multitude d'Algériens et la démographie qui était de leur côté." (PB)

Mais même Hollande, notre replet national, est un cynique ! Un vrai cynique ! Quasi tous les politiques sont des cyniques, parfois leur immense ego les trahit, on l'a vu pour Hollande piégé comme un enfant de choeur par Davet et Lhomme.

Mais il s'en fiche Pépère, il a craché sans vergogne sur certains et crache encore sur d'autres qui l'ont accompagné, les foulant aux pieds, aussi cyniques que lui, qui sont prêts eux aussi à avaler des turpitudes et des oursins tout crus, sans faillir, pour un maroquin, pour exister.

Penser que l'on ne construit la Tour Eiffel qu'avec de bons sentiments c'est ignorer le coeur du réacteur, "assoiffé de sang", ils le sont presque tous, leur bouclier est qu'ils sont uniques parce qu'ils ont occupé le poste suprême de président de la République ou cherchent à le conquérir.
Pépère en joue à chaque intervention, il signifie qu'il a été le guide suprême du pays et que certains sont en train de critiquer ce qu'ils ont peut-être adoré un jour ou un moment... Imparable.

Billet sur un épisode pusillanime, l'essentiel étant ailleurs et FOG en fossoyeur des idées lumineuses des autres à vite jeté des pelletées de terre pour enterrer tout ce qui pouvait lui faire de l'ombre ce soir-là, en particulier le livre de Julian Jackson.
Insupportable FOG.

sylvain

Laure Adler ? Bof ! Cette grenouille du bénitier mitterrandien a passé sa vie à coasser sur les plateaux télés son catéchisme gauchiste ringard relou has been ; une éternelle loser insipide et soporifique 😴 ; son insuccès pitoyable n’a fait que lui faire gagner les galons de crapaud revanchard haineux pataugeant dans sa fange.
Triste destin de fossile socialo en putréfaction.

Mais FOG a tort s'il se croit chez lui à Marseille, ville souk d'Alger rive droite, colonie arabe, et notre Fatma de la Garde, la nouvelle mosquée du Marseillistan qui veille sur nos envahisseurs maghrébins venus de leur plein gré ne pas vider les poubelles comme ne le dit pas la chanson 🎵 mais accélérer l'épuration ethnique organisée par l'UE-ONG mafias trafiquants d’esclaves migrants en vue du grand remplacement prévu de notre civilisation.

Après JM Le Pen qui avait vu juste, Zemmour, ce héros résistant à cette charia inquisition, l'avait dit depuis longtemps avant FOG mais comme tous les traîtres vendus corrompus collabos pétainistes des partis soumis LREM LR PS PCF EELV LFI NPA, résistants de pacotilles de dernière minute, il découvre l'eau tiède lui aussi.
FOG ou FLOP ? Encore un pléonasme !

P.-S.: Journée des Poilus de 14-18 ; respect absolu.
Quelle tête feraient-ils s'ils voyaient l’état catastrophique de la France d'aujourd’hui, livrée aux envahisseurs islamistes criminels par tous ces collabos de gauche islamogauchistes macroniens ?

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