Cette femme, cette actrice, compagne depuis vingt ans du chanteur Raphaël, mère de deux garçons, Mélanie Thierry (MT), une personnalité rare et singulière.
Rare à tous points de vue. Elle n'a aucune frénésie médiatique et elle tranche dans un milieu artistique qu'on incite à nous donner son avis sur tout, d'abord sur des sujets où il n'a aucune légitimité supérieure à celle des autres.
J'aime la fragilité délicate de MT, ce caractère empli d'incertitudes.
Avant tout, pour ne pas encourir le reproche habituel et à force lassant, d'apprécier, voire d'admirer qui ne le mériterait pas, je voudrais rappeler cette intuition proustienne qu'aucun thème n'est médiocre mais que tout dépend de la qualité du regard. Par ailleurs je n'ai jamais eu le moindre scrupule à éprouver de l'empathie, de l'estime, ne m'assignant aucune prétendue supériorité ou expérience ou ancienneté pour me refuser ce pur plaisir de franchir les frontières pour aller vers qui je souhaite connaître, échanger.
J'ai découvert, si j'ose dire, la très brillante alacrité intellectuelle d'Edouard Baer et, auparavant, vanté le talent de scénariste, de dialoguiste et d'acteur de Gilles Lellouche : je n'ai pas le sentiment de perdre ainsi mon temps et mon sérieux mais au contraire d'attirer autrement l'attention sur des artistes, des comédiens pas assez célébrés à mon sens dans un univers qui se paie trop en fausses gloires, en réputations usurpées.
MT, dans cet entretien, est miraculeuse de doute, de modestie non affectée, d'une sincère et élégante sous-estimation de soi pour mettre en lumière quelques autres, les réalisateurs qui lui font confiance et l'ont persuadée qu'elle était nécessaire au film, son compagnon Raphaël, Gaspard Ulliel qu'elle évoque avec une émouvante grâce, tous ceux qui lui ont permis de dominer une timidité qui a trouvé son magnifique remède dans le cinéma où elle ne joue pas mais est, en semblant tout simplement transposer sur l'écran sa nature, son coeur, sa sensibilité. Une grande actrice sans fard, toute d'humanité.
Et que d'incertitudes irriguant avec tant de classe ses réponses, sans la moindre affectation ni coquetterie. J'aime qu'en dehors du cadre des échanges elle n'ait pas éprouvé comme tant d'autres, pour se faire valoir, le besoin d'un engagement, d'un militantisme à la mode.
Cette retenue fait disparaître ce qui pourrait être vulgaire dans le promotionnel - son nouveau film : Une vraie famille, aux côtés notamment de Félix Moati - et constitue sa discrétion pour une fois interrompue telle une offrande qu'elle nous fait. Je suis sensible aussi à la simplicité avec laquelle elle exprime ce qu'elle pense, ce qui la désole - "Je me tire des balles dans le pied en permanence, je me dénigre tout le temps et ça me fatigue" - et la fait rire.
A l'évidence elle a une place à part dans le monde artistique. Rien de péremptoire, rien des poncifs habituels mais des questions, des doutes, des hésitations, de la modestie.
On la voit trop peu, on ne l'entend pas assez mais si on faisait le contraire, nous y gagnerions mais elle y perdrait : ce ne serait plus la Mélanie Thierry qu'on aime et est unique.
BAGUES
Dans l'émission « En aparté », je vois Fanny Ardant.
Elle a dix bagues, une bague par doigt, y compris aux pouces.
N'est-ce pas trop ?
Rédigé par : Patrice Charoulet | 20 février 2022 à 14:20
@ Patrice Charoulet | 17 février 2022 à 10:46
« Godelureau »
Vous êtes hors sujet, Patrice ! Pour poster votre commentaire, vous auriez dû attendre un billet de Philippe sur Macron...
Rédigé par : Serge HIREL | 17 février 2022 à 20:15
@ Patrice Charoulet | 17 février 2022 à 10:46
«Godelureau» "Reste que personne n'emploie plus ce mot. Qui l'a déjà entendu ?"
C'est du vieux français !
Encore un qui travaille sur des dictionnaires antédiluviens.
Faut suivre l'évolution de la langue, ce mot a été remplacé par godemiché.
Rédigé par : Tipaza | 17 février 2022 à 12:10
« Godelureau »
En lisant Jouhandeau, je tombe sur « godelureau ». Qui a jamais entendu ce mot-là ?
Dans le dictionnaire de Richelet (1680), on lit : « Jeune homme qui fait le damoiseau, et qui est propret, qui songe à plaire et principalement aux dames. Le mot de « godelureau » n'entre que dans le burlesque et le plus bas style, comme il paraît par les poésies de Scarron et d'autres poètes comiques. »
Dans le Littré, on lit : « Familièrement et par dénigrement, jeune homme d'une conduite étourdie, qui fait le joli cœur auprès des dames. » Suivent des citations de Scarron, Molière et Regnard.
Dans le Dictionnaire général de la langue française, on lit : « Jeune galantin. » Citations de Scarron et de Molière.
Dans le petit Larousse, on lit : « ( Fam. et vieilli) Jeune homme empressé auprès des dames. »
Dans le petit Robert, on lit : « Jeune élégant prétentieux. »
Dans le dictionnaire de l'Académie française (2005) , on lit : « (Fam.) Jeune homme léger qui fait le galant et l'agréable. »
On y voit plus clair. Reste que personne n'emploie plus ce mot. Qui l'a déjà entendu ?
Rédigé par : Patrice Charoulet | 17 février 2022 à 10:46
@ Serge HIREL | 16 février 2022 à 11:19
J'ai une vie en dehors du blog, des enfants, beaux-enfants, petits-enfants et quelques amis fidèles, plus de nombreuses activités dans le domaine musical, culturel et associatif et je me déplace beaucoup. Mes journées et une partie de mes nuits sont donc bien remplies, c'est pourquoi je ne réagis pas forcément au quart de tour à la suite d'un billet, même s'il me touche ou m'interpelle.
Quant aux films de MT, j'en ai vu plusieurs, la Danseuse et... Au revoir là-haut, où deux de mes proches étaient d'ailleurs figurants, etc. Mais vous n'êtes pas obligé de me croire !
Concernant Darmanin, il ne peut être mon ami vu que je ne le connais pas "personnellement", mais indirectement par l'intermédiaire de personnes dignes de foi.
Espérant avoir répondu à votre attente et à vos interrogations, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur, etc. etc.
Rédigé par : Axelle D | 16 février 2022 à 14:14
@ Axelle D | 16 février 2022 à 00:17
Votre message du 15 février à 12:12, posté plus de deux jours après la parution du billet de Philippe, ne donnait pas l’impression que vous aviez une telle ferveur ancienne pour cette actrice. Celui-ci me dit que vous venez d’apprendre son existence et que vous avez lu rapidement la fiche Wikipédia qui la concerne dans le seul but d’exercer votre rage contre moi, sous n’importe quel prétexte.
Comme dit votre ami Darmanin, calmez-vous, ça va bien se passer... mais vous pouvez aussi, Axelle, continuer à patiner... dans la semoule.
Rédigé par : Serge HIREL | 16 février 2022 à 11:19
@ Serge HIREL | 15 février 2022 à 20:10
Il est possible que PB vous ait appris l'existence et les qualités intrinsèques de Mélanie Thierry mais ne faites pas pour autant de votre cas particulier d'ignorant de la personnalité singulière et attachante de cette actrice, un cas général, sachant que sans être particulièrement féru en matière de culture cinématographique ou télévisuelle, nombreux sont ceux qui connaissaient de longue date cette actrice sensible, sachant qu'elle a joué dans une quarantaine de films, plus une douzaine de séries télévisées, sans compter quelques prestations au théâtre.
Rédigé par : Axelle D | 16 février 2022 à 00:17
Voici un bel exemple des méfaits du show-biz ! Mélanie Thierry, 40 ans, 23 ans de carrière, déjà une longue filmographie et des partenaires prestigieux, y compris à Hollywood, est en haut de l’affiche, mais qui le sait ? Notre hôte certes, mais où sont ces millions d’admirateurs qu’elle mérite, qui s’émerveillent devant d’autres acteurs et actrices au talent moindre, aux CV plus ternes, mais qui, par des déclarations intempestives ou des postures extravagantes, attirent la lumière et fréquentent assidûment les plateaux TV « où il faut être vu » ?
Je crois bien que, si nous la rencontrions dans la rue, moi le premier, nous n’y prêterions guère attention, tant sa silhouette n’aurait rien de l’image convenue de la star de cinéma. Et pourtant, elle est inoubliable pour quiconque l’a vue, patiente-amante, dans la série « En thérapie », diffusée sur Arte, ou, voici quelques années, jeune alcoolique paumée, dans « Le dernier pour la route », rôle qui lui a valu un César.
Mélanie Thierry, vis-à-vis du show-biz, a un premier défaut, qu’il faut ériger en qualité. Elle ne dédaigne pas les films construits pour remplir les multiplexes, ni les téléfilms qui assurent les audiences, mais préfère le cinéma d’auteur, plus confidentiel, mais ô combien plus proche de ce que devrait être l’art de l’image. Elle aime monter les marches de Cannes, mais sait aussi passer quinze jours auprès de détenues pour se mettre dans la peau d’Ombline, une jeune condamnée qui va accoucher en prison.
Mélanie Thierry ne fait pas « le job ». Elle fait son « métier ». Elle ne joue pas. Elle s’investit. Comme d’autres, mais avec le surcroît que lui apporte sa nature : la franchise, l’empathie, la spontanéité. Une « pro », pas une simple « professionnelle ». Mais cela ne pèse pas pour les ordonnateurs du show-biz qui veulent des paillettes, du glamour et toujours plus de rêve.
Son second défaut est encore pire, mais est aussi une qualité tout aussi importante que son attachement à la vérité de son art. Mélanie Thierry aime la vie normale, lisse, discrète, sinon secrète. Elle se donne à fond pour promouvoir ses films, se montre bonne copine dans les cérémonies à la gloire du métier, mais préfère sa Bretagne, sa Normandie, ses enfants et son compagnon. La vraie vie.
Une réponse lors d’un entretien accordé au quotidien de Morlaix Le Télégramme résume à elle seule sa philosophie personnelle. Interrogée sur sa quasi-absence des réseaux sociaux, elle répond :
« Ils ne ne m’intéressent pas parce que le dialogue y est restreint. Je ne vois que des gens qui n’arrêtent pas de s’engueuler. C’est le problème. Impossible d’être subtil ou d’avoir un avis sans déclencher des réactions hostiles. »
Voilà, tout est dit. Et il faudra que Philippe, et nous qui, maintenant, la connaissons un peu grâce à lui, longtemps encore, nous nous contentions de ces apparitions lumineuses, sur le petit ou le grand écran, dans des rôles qui, souvent, incitent à la réflexion sur un fait de société qui se déroule sous nos yeux, mais que nous ne voyons pas.
Notre attente, cette fois, ne sera pas longue : Dans « La vraie famille », qui sort dans les prochains jours, elle joue - non, elle est - une mère d’accueil qui, après cinq ans d’amour pour un enfant, doit le rendre à son père naturel. Les critiques la disent « bouleversante ».
Mélanie Thierry nous change des Jordana, des Masiero, des Haenel et autres Omar Sy... Et c’est tant mieux.
Rédigé par : Serge HIREL | 15 février 2022 à 20:10
@ Ellen | 14 février 2022 à 11:59
Merci pour cette vidéo nous montrant en effet une jeune femme pleine de grâce qui ne se laisse pas démonter par quelques questions "volontairement" provocatrices ou des insinuations grossières. Le charme, le naturel et la classe, rien de tel pour désarçonner ou faire fondre son interlocuteur tout en relevant le niveau de l'échange.
Rédigé par : Axelle D | 15 février 2022 à 12:02
Erreur de jeunesse sans doute, le fait que Mélanie Thierry participe à une émission sans fond.
Elle en connaissait certainement le principe voyeur.
Dommage.
Merci quand même.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun @ Ellen | 14 février 2022 à 16:53
@ Jean-Paul Ledun | 14 février 2022 à 10:07
Ou alors, parfois c'est quand le sujet du billet ne correspond pas à l'humeur du jour de certains, qu'ils préfèreront malicieusement en faire abstraction et passer à ce qui les préoccupe le plus.
Ouvrez les yeux sur la vidéo. Vous serez séduit par l'adorable et la très jolie Mélanie. À cet âge, c'est l'innocence même avant d'acquérir dans la durée une vraie expérience de la vie...
https://www.youtube.com/watch?v=QnUwIfMyvFc
Rédigé par : Ellen | 14 février 2022 à 11:59
En fait la plupart des blogueurs ici présents n'en ont absolument rien à cirer de vos billets, cher Philippe.
L'important pour eux, c'est de continuer leur petite gueguerre politico-ennuyeuse...
Décevant.
Vous nous offrez un portrait tout en finesse d'une âme.
Je n'avais jusqu'à ce jour jamais entendu parler de MT.
Je vais ouvrir l'œil désormais.
Ce genre de personne est quand même très rare.
Merci Philippe.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 14 février 2022 à 10:07
@ Xavier NEBOUT
"la place d'une femme n'est pas sur une scène.... mais dans son foyer à se consacrer à l'honneur de son époux et la gloire de ses enfants."
Pendant que l'épouse s'occupe de la maison, des enfants et de leurs devoirs scolaires, qu'elle compte les quelques sous que son bourreau de mari lui laisse par mois pour faire vivre toute la famille, le taliban XN’s'envoie en l'air dans des boîtes à bordel entre 5 et 7 pour honorer sa virilité machiste de dépravé.
C'est le motif de divorce à tort exclusif du taliban moyenâgeux.
Rédigé par : Ellen | 14 février 2022 à 09:36
@ elektra
Quand vous avez raté Ulm (ou même un sous-truc de province, genre Saint-Cloud), il faut bien une femme pour vous faire croire à votre réussite. On choisit ensuite selon ses mœurs…
Rédigé par : Auguste Soufflot | 13 février 2022 à 20:04
Mélanie Thierry est une femme sensible et c'est bien pour cela qu'elle incarne ses rôles à la perfection avec beaucoup de force et de sincérité.
Sa discrétion et celle de son compagnon musicien et désormais écrivain les rendent d'autant plus sympathiques.
Pourvu qu'elle garde cette réserve et cette pudeur encore longtemps car à force d'enchaîner les rôles difficiles avec brio dans des films marquants, elle reçoit récompenses et bonnes critiques en retour... de quoi donner la grosse tête.
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@ Xavier NEBOUT
"la place d'une femme n'est pas sur une scène.... mais dans son foyer à se consacrer à l'honneur de son époux et la gloire de ses enfants."
On se croirait en Afghanistan.
Je vous rappelle que nos grands-mères (enfin en tout cas les miennes) étaient déjà des femmes de tête, décidées, à la fois protectrices de leurs enfants et dirigeant, orientant les affaires de la famille de main de maître.
Lors de la Première Guerre mondiale, elles ont remplacé les hommes de la famille et cela leur a fait comprendre que leur place n'était plus qu'aux fourneaux.
Alors un siècle plus tard, il serait temps d'admettre cette équité, à moins que votre humour ne soit mal compris.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 13 février 2022 à 19:10
@ elektra | 13 février 2022 à 16:16
« Si 1er cas (improbable), peut-être bien que sa facilité de pontifier ne lui vient que de l'impossibilité de se taire... »
Non ce n’est pas du second degré. Xavier Nebout a une vision très zemmourienne de la femme. :)
Rédigé par : Achille | 13 février 2022 à 18:18
Incroyable XN dans son post du 13 février 2022 à 11:10 !
Tout le monde sait que la place d'une femme n'est pas de valider les névroses des hommes qui la fréquentent, pas plus que le contraire. L'ascendant masculin ne vient que de la force, sinon c'est parfaitement à l'équilibre.
Revenons à XN : impossible de savoir s'il pense ce qu'il écrit ou bien s'il se moque de l'inénarrable doxa machiste.
Si 1er cas (improbable), peut-être bien que sa facilité de pontifier ne lui vient que de l'impossibilité de se taire...
Rédigé par : elektra | 13 février 2022 à 16:16
NEBOUT Président !
https://youtu.be/adCyaYx4h_M
Rédigé par : Axelle D | 13 février 2022 à 14:07
Que ce soit dans le christianisme, l'islam et toutes les autres religions pour ne pas dire civilisations, la place d'une femme n'est pas sur une scène à jouer les saintes ou les marie-salope pour susciter le bavardage des oisifs, mais dans son foyer à se consacrer à l'honneur de son époux et la gloire de ses enfants.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 13 février 2022 à 11:10
Du démon à l'ange, de Nordahl Lelandais à Mélanie Thierry, les billets se suivent et font le grand écart, de quoi nous donner le vertige.
Une tendresse évidente emplit tout le texte, serait-ce parce que Mélanie Thierry ressemble à Valérie Pécresse ?
Vous ne voyez pas la ressemblance ?
C'est parce que vous n'avez pas lu le billet avec suffisamment de concentration, car elle est pourtant évidente.
Voici ce qu'elle dit d'elle-même :
"Je me tire des balles dans le pied en permanence, je me dénigre tout le temps et ça me fatigue"
Avouez que VP aurait pu, aurait dû, dire la même chose.
Après s'être revendiquée de Chirac, puis maladroitement de Sarkozy, être allé solliciter un soutien qu'elle n'a pas - encore ? - obtenu auprès de celui-ci, bref avec d'être tiré une rafale entière dans les deux pieds.
J'aime bien cette femme, je parle de Mélanie, évidemment !
Rédigé par : Tipaza | 13 février 2022 à 10:48
Sublime et magnifique Mélanie Thierry, tout le monde est d’accord. Qui n’en serait pas tombé amoureux, allez avouons-le !
MAIS ! Un grand MAIS !
Je trouve que vous vous égarez et dispersez cher Philippe, la doxa du jour c'est la mise à l'honneur de vedettes de la diversité de couleurs, de gauche et LGBT.
Nous sommes assommés et sommés de subir de gré ou de force une apologie propagande tsunami de pubs séries films divertissements où sont mis à l’honneur couples mixtes, homos, genrés, colorés, où l'on voit par exemple deux barbus se rouler une galoche pour vanter la qualité d'un produit, des candidats mâles pendant les jeux saluer leurs maris, deux autres barbus eux aussi s'embrasser devant leur fourneaux pendant une émission culinaire, que je rebaptise cul-linéaire.
Barbes très islamistes, un clin d'oeil obligatoire à ces « très chères » communautés.
C'est une nouvelle idéologie terrible qui détruit tout ce qui faisait nos valeurs notre fierté notre culture :
La cancel culture dictature woke BLM progressiste LGBTQXYZ etc. le racialisme indigéniste raciste anti-Blancs qui a ses bunkers à Sciences Po (prononcez : chiasses pot) et surtout à la (Allah) mairie du Parikistan go fast du crack, siège social de toutes les tares islamogauchistes escrologistes polysexuelles genrées inclusives, du beau monde !
Un climat de haine, de menaces, de chantage, de la part de ces sectes totalitaires du nouveau meilleur des mondes immondes : quotas de ces nouveaux humanoïdes potiches imposées par l’odieux visuel du sévice public sous peine de lourdes amendes.
Il faut détruire le mâle blanc, la femelle aussi.
Il faut de la burqa, du burkini, des footeuses en foulard et bientôt en hijab, exhiber en public un maximum de signes ostentatoires islamistes, supprimer et déboulonner ceux des chrétiens pour ne pas heurter les musulmans.
Mélanie Thierry est blanche de souche, un nom trop gaulois franchouillard, si en plus elle est hétéro et chrétienne, c'est la bérézina.
Reprenez-vous et rejoignez le troupeau cher Philippe, repentez-vous, agenouillez-vous, Taubira risque d'être notre prochaine présidente de la raie publique, faites plutôt l’apologie d'une femme de couleur, de gauche, homo, victime de cette France blanche raciste et fasciste, c‘est pas ce qui manque et vous aurez peut-être un cabinet ministériel dans son gouvernement en remerciement.
Rédigé par : sylvain | 13 février 2022 à 09:34
Vous avez bien exprimé ce qui apparaît de cette femme si gracieuse et à l’apparence douce et fragile.
J’ai toujours été surprise de la ressemblance physique entre Raphaël, son mari, et elle.
Il y avait cette même grâce chez Gaspard Ulliel. Cette discrétion médiatique qui fait aussi leur charme.
Rédigé par : Roignant Viviane | 13 février 2022 à 02:02