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15 juillet 2022

Commentaires

Giuseppe

J'ai lu au passage que forgeron est un vrai métier, c'est le moins que l'on puisse dire. Les portails de chez nous sont en volutes aux bouts étirés à la forge et sur l'enclume, les bagues sont en plomb moulé, pas comme ces fers plats minables qui servent de bagues... Les paumelles revisitées pour être montées sur une bille, il fait cela aussi le vrai professionnel... Ils ont tous changé leur portail pour ces trucs infâmes en plastique ou en alu, papier Job... Mon portail en rigole encore, et s'il faut le voler, ils ont intérêt à avoir des "brandillons", de ceux d'un forgeron, juste pour le décrocher.

Carl Roque

Forgeron est un vrai métier technique, précis, difficile, qui demande un vrai apprentissage. Tout le monde n'est pas au niveau.

Giuseppe

On nous bassine avec la canicule, quand il fait chaud, eh bien il fait chaud, et quand il fait froid, il fait froid, la pluie évidemment ça mouille.
On nous force à l'avaler cette chaleur, à tous les repas, cette canicule, c'est à pleurer, j'épargnerai à tous ces gâtés les comparaisons avec le Sahel ou l'Ukraine et le phosphore qui brûle.

"Il parle souvent trop longuement de sorte qu'occupant le terrain, il rend les interruptions malaisées, ou audacieuses, voire provocatrices." (PB)
Tu parles d'un sujet ! Crouler sur des mots de pacotille, du verbe, et puis après ?

Sur ce, malgré tout je vais faire ma partie de manivelles, 50X18, transpirer juste pour oublier ce par quoi nous sommes cernés, par des médias en mal de papiers.
Sans oublier un Ormarine bien frais sous les bouleaux et la légère brise, lesquels commencent à perdre les feuilles, juste pour le plaisir.

Comme disait ma grand-mère, il y a des cailloux sur la route, certains les ramassent et érigent des murs, d'autres construisent des ponts.

Giuseppe

L'occasion des "Manuscrits retrouvés" de Céline dont le premier édité, "Guerre", je me suis dit c'est maintenant ou jamais...
J'ai commandé en Folio à peu près tout ce qui me manquait... Un vrai Tour de France, se coltiner Céline aujourd'hui c'est du lourd... du terrible... du chagrin... Bref, si je le compare à notre Vulcain national, ce dernier paraît plutôt bien mièvre.

Heureusement j'ai le Tour de France, exceptionnel cette année, il me permet de comparer le braquet de l'écrivain au soufflet souffreteux et au fond d'écriture de notre dieu du feu actuel.
Je ne suis pas un spécialiste, Céline connaît sans doute mieux Victor Hugo que toutes les batouilles qui parlent sans savoir, comme Volodymir connaît sans doute mieux Winston que tout autre.
On a une dette inestimable envers les Ukrainiens, j'espère que pour le prix d'un paquet de nouilles qui augmentera, on ne s'échappera pas comme en 40.
Vulcain est un peu exagéré... comme moi pour ce qui touche à la musique.

Quant au reste j'aiderai les plus proches à se passer du gaz, sans utiliser la flamme... Mes souvenirs lointains d'appelé sont remontés à la surface: une corde, un couteau et un mouchoir et on devrait se sortir d'affaire.

Michelle D-LEROY

@ Achille

Vu par la macronie idolâtre de son grand homme, penser, essayer de comprendre, cela relève du complotisme, puisque c'est mettre en doute ce qu'il faudrait obligatoirement prendre comme argent comptant. Avouez que c'est une manoeuvre dilatoire bien facile.

En tout état de cause, je continue à ne pas croire tout ce qu'on me dit sans explications claires. À mon âge, et pas seulement en politique, il me paraît inconcevable de croire tout ce qu'on me dit sans me faire ma propre opinion.

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@ Exilé

Ce qui est marquant, c'est qu'à une époque où la communication est reine, avec un Président qui aime discourir, on apprenne incidemment des choses importantes.
C'est donc bien qu'il y a, derrière, une volonté de nous les cacher.

Et à cette liste j'ajouterai encore une nouvelle lubie gouvernementale qui semble sans importance et qui pourtant me paraît plus grave qu'un simple changement.
Pendant qu'on nous parle sur tous les tons de l'âge pour partir à la retraite, le gouvernement a décidé que l'URSSAF, dès 2023, serait la trésorière des cotisations ARCCO/AGIRC. Selon lui pour des raisons pratiques. Pratiques ? Comme si aujourd'hui, avec les virements automatiques, c'était un problème.

Mais surtout une façon de disposer de sommes considérables pour une redistribution vers les caisses de son choix, publiques ou privées, selon leurs besoins. Un premier pas pour affaiblir les caisses de retraites complémentaires en les privant de leur rôle premier, la gestion des futurs retraités.

C'est déjà le principe pour le chômage. Et quand j'entends les émerveillés du macronisme s'extasier sur la réforme du chômage, cela m'amuse, vu que cette réforme n'est toujours pas effective après deux ans. Et c'est ainsi que je vois dans mon entourage des jeunes au chômage depuis des mois, toujours indemnisés, pendant que toutes les professions ou presque recherchent avec les pires difficultés des salariés.

Voilà, "Exilé", Monsieur Macron c'est cela : le verbe et l'esbroufe. Du changement en catimini pour mieux rester maître de tout, mais en même temps du changement dans la continuité.

Claggart

"Du dieu Vulcain quand l’épouse friponne..." 

Mais ne pas confondre avec l’épouse d’Héphaïstos, la volage Aphrodite...

Michel Deluré

Jupiter affirme s'être mué en Vulcain. Après tout, acceptons-en l'augure mais il est cependant un point qui semble échapper à Vulcain, à savoir qu'il n'a plus, devant sa forge dont le feu a singulièrement pâli, les mains cette fois totalement libres pour façonner son ouvrage à sa guise.

Les résultats des dernières législatives lui imposent désormais de composer, ce qui ne semble pas forcément dans sa nature, et alors même qu'il a d'emblée frappé d'ostracisme les deux forces extrêmes qu'il a paradoxalement contribué à renforcer et qui sont la représentation d'un électorat que l'on ne peut prendre pour quantité négligeable.

Ce sont donc bien des travaux d'Hercule qui attendent Vulcain et ce n'est pas son interview policée du 14 juillet qui m'a personnellement permis d'être confiant quant à sa capacité à relever ces défis.

Antoine Marquet

@ Achille

Vulcain... forgeron... Dieu ! Que sainte Barbe nous protège !

Antoine Marquet

@ Achille

Vous êtes des résistants !

Savonarole

Serait-il dans les attributs de Philippe Bilger de conseiller aimablement à Elisabeth Lévy d'arrêter de nous casser les oreilles ? Elle ne cesse de s’esclaffer comme une poissonnière avec son Kleenex à la main, et hurle qu’on l’interrompt alors qu’elle-même fait des tunnels interminables pour ne rien dire.
L’amitié c’est parfois de se dire la vérité.

Exilé

@ Michelle D-LEROY | 15 juillet 2022 à 19:25
«...il met non seulement les Français du peuple mais aussi souvent son entourage, devant le fait accompli. »

Idem pour la signature du pacte de Marrakech « pour des migrations sûres et reconnues » (mais pour qui au juste ?) alors qu'il aurait fallu commencer par ouvrir un débat sur la justification, l'utilité et les dangers de ces migrations.

Même chose pour ses prises de positions dangereuses dans le conflit russo-ukrainien sans avoir consulté la Nation qu'un sujet aussi grave concerne tout de même. 

Achille

« Vers la fin, le président a souligné - sa connaissance de la mythologie est indiscutable - qu'il ne se sentait pas ou plus Jupiter mais plutôt Vulcain, celui qui est à la forge et qui travaille sans relâche pour son pays. Pourquoi pas ? » (PB)

Ben oui, pourquoi pas? Après tout, dans les années 80 les Britanniques avaient choisi une "dame de fer" pour gouverner leur pays en la personne de Margaret Thatcher.
Nous, en France on a carrément fait appel à un forgeron pour manier le fer.
C’est encore plus fort ! :)


Achille

@ Michelle D-LEROY | 15 juillet 2022 à 19:25
« Cette affaire, comme d'autres auparavant telle l'affaire Benalla ou celle plus anecdotique de changer la couleur bleue du drapeau, se font toujours dans le plus grand secret, il met non seulement les Français du peuple mais aussi souvent son entourage, devant le fait accompli. Et quand c'est flou... »

Toujours cette fameuse théorie du complot dont se délectent les anti-macroniens primaires.

Concernant la couleur bleue du drapeau français, ce n’est pas Emmanuel Macron qui l’a changée mais Giscard. Ceci afin qu’elle corresponde au bleu du drapeau de l’Union européenne.
Emmanuel Macron n’a fait que redonner au drapeau français son bleu d’origine établi lors de la Révolution française.
Mais peut-être qu'il n'aurait pas dû, c'est ça ? :)

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@ Antoine Marquet | 15 juillet 2022 à 14:45
« Achille et Marc Ghinsberg, les thuriféraires en chef de la liturgie élyséenne ! »

Avouez que l’on a quand même un certain mérite si l’on se réfère à la tendance anti-macronienne très majoritaire des habitués de ce blog ! 😊

alain

Bonjour,

Faut pas rêver, à l'époque de cette affaire notre Président était sous-ministre socialiste, M. Sapin savait ce qui se tramait.

Quand bien même cette affaire irait jusqu'au conflit d'intérêt, notre Président risque moins que rien. Effectivement nous ne sommes pas aux USA.

Souvenons-nous de l'affaire Benalla, qui me paraît être plus grave que celle-ci (existence d'une police parallèle dont nous ne savons toujours rien).
À l'époque M. Macron disait en gros : "S'ils ne sont pas contents, qu'ils viennent me chercher". Je ne sais à qui étaient adressées ces paroles mais à ma connaissance il n'y a pas eu beaucoup de poursuites au vu de la gravité des faits.

De plus il bénéficie d'une immunité totale, évoquer la moindre inculpation à son sujet est une perte de temps.

Selon que vous serez puissant ou misérable...

Michelle D-LEROY

Pendant son premier mandat, Emmanuel Macron se prenait pour Jupiter, hier il dit se prendre pour Vulcain le Dieu des forgerons, personnellement je crois plutôt que ce Président, si amoureux de son image, si imbu de sa personne, de son intelligence et de sa modernité, est beaucoup plus proche de Narcisse.
Ceci dit, autrefois les journalistes osaient bousculer le Président pour le pousser dans ses retranchements, il est donc troublant d'assister à cette parodie d'interview.

En fait ce n'est pas une découverte mais une confirmation.

Quant à l'affaire Uber, le seul vrai problème c'est d'avoir géré seul et en catimini l'installation de cette société et de son nouveau concept en France sans même en avoir parlé avec le Président de l'époque.

Avant même de reprocher à M. Macron d'avoir oeuvré en sourdine, on pouvait penser, au nom du libéralisme et de la volonté d'américaniser la société française, de déréguler l'économie trop pépère, que donner du travail au plus grand nombre pour résorber le taux de chômage important à ce moment-là, était une excellente initiative.
Mais rapidement on a pu observer que les chauffeurs Uber, auto-entrepreneurs, devaient travailler 80 heures par semaine pour vivre correctement de leur travail et que les jeunes livreurs de repas avec leurs revenus de misère ont fini par cumuler livraisons et deals pour arrondir leurs fins de mois.
Pas de quoi être tellement fiers du résultat. On ne peut pas être "en même temps" social et libéral : deux mots qui vont très mal ensemble.

Le Président se plaint de ne pas être aimé des Français, qu'il se pose les bonnes questions !

Nous savons qu'il s'est servi du tremplin de son ministère des Finances pour préparer sa campagne présidentielle de 2017. Qu'il a utilisé le budget qui lui était alloué pour donner des dîners et s'entourer des plus influents patrons et économistes, médias et élites, français et étrangers, et maintenant que l'affaire Uber a été divulguée, on comprend comment il a pu financer son nouveau parti, car les Français ne sont pas si naïfs pour croire que M. Kalanick n'a pas récompensé largement son implantation en France.

Cette affaire, comme d'autres auparavant telle l'affaire Benalla ou celle plus anecdotique de changer la couleur bleue du drapeau, se font toujours dans le plus grand secret, il met non seulement les Français du peuple mais aussi souvent son entourage, devant le fait accompli. Et quand c'est flou...

C'est je décide seul puisque je suis le premier personnage de l'Etat et s'ils ne sont pas contents "qu'ils viennent me chercher".

Une façon de gouverner qui n'a rien de démocratique et qui lui a valu d'être réélu avec une abstention record et de se retrouver face à l'Assemblée telle qu'elle est aujourd'hui.
Pas de quoi parader !

Exilé

« j'aurais attendu une interrogation directe sur le point suivant : convenait-il de se rengorger alors qu'à l'évidence, sur beaucoup de plans, Uber n'avait pas servi les intérêts français ? » (PB)

Mais M. Macron, qu'il s'agisse d'Uber ou d'autres sujets, est-il vraiment habité par la défense des intérêts français ?
Pour l'instant qu'il s'agisse de questions industrielles, commerciales ou diplomatiques, tout semble démontrer le contraire.

Patrice Charoulet

Langue française

Un peu d'autodérision.

Prof de français jusqu'à 65 ans, je me pique de découvrir dans le langage d'autrui les fautes de français qui s'y trouvent. Je suis surarmé : j'ai environ deux cents dictionnaires unilingues, dont cinq dictionnaires de difficultés de la langue française. J'ouvre mes dictionnaires dès qu'un problème de langue française est devant moi. Presque tous les jours et, parfois, plusieurs fois par jour.

Un de mes amis, dont la langue française n'était pas la langue maternelle, et qui a dû travailler en France après ses vingt ans, m'adresse un courriel pour me signaler une faute de français qu'il trouve dans l'une de mes pauvretés récentes. Quelle est cette erreur ? Trouvant un mot plus court que l'autre, j'ai mis trois fois de suite « car », au lieu d'utiliser « parce que » et, plus grave encore, me dit-il, j'aurais mis « car » , non après une virgule, mais après un point. Très surpris, je l'ai remercié en lui disant que j'allais ouvrir mes cinq dictionnaires de difficultés de la langue française.pour vérifier. Je suis allé de découverte en découverte. À l'issue de ce parcours, je parviens à cette conclusion : il a raison et j'ai eu tort. Pendant toute ma vie, je n'avais jamais entendu parler de cela.

Autre conclusion : on n'en a jamais fini avec la langue française, qu'on ne connaît jamais complètement.

Antoine Marquet

Achille et Marc Ghinsberg, les thuriféraires en chef de la liturgie élyséenne !

Claude Luçon

"Le problème qui s'est posé le 14 juillet est que l'une des journalistes, avec en permanence un sourire bienveillant... (PB)

Il faut la comprendre, il est beau gosse, on ne sait jamais... nous avons eu les très abordables Giscard, Mitterrand, Chirac et Hollande avant lui !

"le gouvernement était-il informé de vos liens privilégiés avec Uber ?" (PB)

S'il ne l'avait pas déjà il faudrait lui donner la Légion d'honneur pour nous permettre d'avoir enfin des chauffeurs de taxi polis, honnêtes et leur voiture propre.
Il faut le faire savoir à l'étranger, bien des touristes évitaient Paris à cause de la saleté des taxis et de l'insolence et de la malhonnêteté des chauffeurs et des garçons de café !

Trois exemples :
*mon épouse et moi montons dans un taxi parisien qui sentait la sueur humaine et le chien, sur le siège avant, mal, très mal lavé. Incapables de résister à l'odeur pestilentielle j'arrête le taxi, lui paie le bout de course dû, puis rajoute un billet en lui disant "c'est pour vous permettre de faire donner un bain au chien" !

**arrivant à Paris de Montréal j'ai eu droit à un interrogatoire serré du chauffeur de taxi, en particulier d'où je venais ?
À l'arrivée, ayant probablement conclu que j'étais québécois, le chauffeur me demande son dû, ignorant que je visitais Paris souvent, il me demande le double de ce que j'estimais. Je lui ai demandé gentiment de bien vouloir écarter son genou qui cachait le compteur situé bas, j'avais raison le compteur indiquait la moitié !

**il y a bien longtemps, avant les ceintures de sécurité et ballons gonflables, j'arrête un taxi et m'installe à l'arrière. D'où le chauffeur me dit "pourquoi vous asseyez-vous derrière ?" réponse "parce que c'est la place du client !", réplique du chauffeur, "c'est insultant pour moi vous me prenez pour un serviteur !" "Non, pour moi le siège à côté de vous s'appelle la place du mort !". J'ai pris le métro !

Nous avions en France toute une série de mafias, outre les chauffeurs de taxi : pharmaciens et notaires encore aujourd'hui. Il est grand temps de les combattre,
Vive Macron dans le cas d'Uber !

"Quand on a abordé sur le tard des sujets plus sensibles, les retraites" (PB)

Là, Macron a manqué d'imagination !
Il devait argumenter sur le fait que la retraite devait être prise en fonction de la très présente politique sur le réchauffement climatique et le souci des consommateurs-citoyens français pour le futur de leurs enfants ! Mais aussi pour le futur de nos hôpitaux.
En effet un individu qui travaille pollue moins la planète et participe moins à son réchauffement.
Pour s'occuper, le retraité utilise plus sa voiture ou les avions ou les bateaux de croisière donc produit plus de CO2.
Pour se distraire, le retraité va à la chasse, à la pêche, fait du surf, du trekking et ce faisant massacre la faune et la flore quand il n'y met pas le feu !
En jouant à la pétanque le retraité fait du forage par impact avec ses boules et utilise du terrain qui devrait être rendu à la nature !

À la retraite les pékins, déjà dodus en grand nombre en France, prennent du poids et développent toutes sortes de problèmes de santé en mangeant trop et en ne faisant pas, comme au travail, de l'exercice tous les jours.
Il fallait voir les Gilets jaunes de tous sexes lors de leurs manifs, dodus comme des dindons américains à la veille de Thanksgiving, manifestant en cuisant des merguez sur les ronds-points !
Voilà pourquoi nous manquons de lits et d'infirmières, lesquelles doivent en outre faire de la musculation pour soulever les patients.
Le travail est bon pour la santé et le budget dédié à la santé !
Macron aurait dû y penser !
Boutades peut-être, mais raisonnables !

Une question à laquelle il ne semble pas avoir eu droit est la remarque jugée offensive d'une de ses ministres concernant... "ces gens-là !"
Les commentaires vont bon train, un crime impardonnable ?
Somme toute nos LGBT ont le droit de nous casser les pieds avec leurs Gay Pride annuelles, s'exposant en un carnaval ridicule, envahissant les avenues de toutes les grandes villes du monde mais le reste des autres 90 % exagèrent quand il font une manif pour tous ?
Ils n'ont pourtant qu'une majorité très relative comme le hurlent à tous vents nos joyeux LFI à propos de Macron !

Giuseppe

La télé ce n'est pas du journalisme.
Comme Wikimachin n'est pas de l'Histoire.

Entre une Caroline Roux insupportable, qui ne laisse pas développer, toujours en équilibre instable sur son siège, coupant sans arrêt son interlocuteur, une Julie Hammet, autre animatrice au stylo dans la main en guise d'argument, qui n'arrête pas de caqueter pour intervenir, en placer une à tout prix, et dont le rythme et la hauteur de voix sont insupportables.

Et bien sûr l'impératrice du genre Léa Salamé, le stylo coupe-papier pour ouvrir les enveloppes, marteau du commissaire-priseur en bandoulière, qui pose la question suivante sans que la précédente ait obtenu un semblant de réponse.

C'est un ensemble détestable qui donne l'impression au couillon qui regarde qu'il est informé, en fait c'est de la bouillie pour chats sans intérêt pour un spectateur ignare, des questions sans réponses, mal dégrossies, tout est nul dans les deux sens, l'intérêt du stylo l'emporte sur l'intelligence.
Volodymir devrait leur apprendre leur métier, le coeur de ce qui devrait être leur ouvrage, elles ne sont que des "stoppeuses" de l'info.

Darius Rochebin - je ne sais pas s'il choisit ses partenaires -, toujours est-il que c'est plus souple et moins agressif, sa partenaire est bien plus discrète et laisse filer le cours de l'information. Ce qui repose l'âme et adoucit l'audition de ceux qui aiment écouter Bach.

Brunet et Praud sont des camelots qui vendent leur soupe, le premier a beau se moquer de la télé russe, en fait il sert la même tambouille en faisant croire aux gens qu'il les renseigne, aidé de sa compère citée ci-avant digne d'une criée devant l'étal du poissonnier.

Praud c'est du Grand Zampano, il s'aime, mais n'aime pas être interrompu, ce qu'il dit est parole d'évangile, il fourguerait des pompes aux semelles trouées pour le prix du neuf sans les ressemeler. Il est le prix de la facilité et de la fainéantise, on ne peut pas dire qu'il qu'il fasse d'efforts, son public est cossard donc il est à l'écoute.

Axelle D

Les deux figurantes commises d'office par leur chaîne dans la série "Cabotinage au sommet" n'ont pas pu en placer "une" et durent se résigner à faire pots de fleurs.

Macron "l'homme qui tire les couvertures à lui". Ce qui ne date pas d'hier !

https://youtu.be/6pImiQAvLwE

Achille

« Pour exposer brutalement ma perception, nous avons eu droit à un monologue présidentiel coupé par quelques questions. Emmanuel Macron a pu "dérouler" sur l'Ukraine, sur l'armement, sur le gaz russe, sur les crédits militaires, sur la sobriété énergétique. Quand on a abordé sur le tard des sujets plus sensibles, les retraites, l'Assemblée nationale et Uber, nous sommes évidemment restés sur notre faim. » (PB)

Nous n’avons manifestement pas eu la même perception de cet entretien.
D’abord ce n’était pas un monologue, vu que les deux journalistes n’ont cessé d’interrompre le Président environ toutes les trente secondes.
À chaque fois il a pris le temps de répondre à leurs questions y compris les plus délicates, quitte ensuite à essayer de reprendre le fil de ses explications sur les grands projets en cours et notamment la situation actuelle qui est conditionnée principalement par le conflit russo-ukrainien et la nouvelle vague de Covid-19 qui, nous dit-on, va reprendre en septembre prochain.

Bref, un entretien qui n’était pas sans intérêt dans lequel, contrairement à vous, je n’ai perçu aucune pointe de mépris envers les partis de l’opposition. Tout juste un peu de compassion envers une opposition qui n'a d'autre préoccupation que de contester tout ce que décide Emmanuel Macron quoi qu'il propose, à commencer par les propositions utiles au pays, quitte pour cela à voir LFI, le RN et LR s’entendre sur un point d’article d’un projet portant sur les mineurs pour revendiquer une pathétique victoire qui risque d’avoir de dramatiques conséquences sur la remontée du virus dans les mois à venir.

Tout cela est assez pitoyable !

F68.10

@ Marc Ghinsberg
"Pourtant en ce 14 juillet les deux journalistes ont appliqué, plus ou moins délibérément, la méthode d’interview que Philippe Bilger pratique brillamment et dont il ne cesse de nous vanter les mérites. Elle repose sur le principe que celui qui pose les questions doit s’effacer devant celui qui y répond et qu’il convient en conséquence de laisser l’interlocuteur développer sa pensée sans l’interrompre."

Les invités de Monsieur Bilger sont des gens à qui Monsieur Bilger tente de donner de la parole et de la visibilité. L'exercice de Monsieur Bilger est donc en large partie adapté. Et, comparativement, Monsieur Bilger dirige l'échange au sens où ses invités répondent effectivement aux questions qu'il met en avant. C'est un échange.

On ne peut pas en dire autant de l'entretien de Monsieur Macron.

Par ailleurs, Monsieur Macron, en tant que responsable politique de premier plan, est bien une personne qu'il convient, pas nécessairement de pousser agressivement dans ses retranchements, mais a minima d'interroger comme on mènerait une enquête pour aller au fond des choses.

On n'interroge pas un homme politique en exercice comme on le fait d'un grand avocat. Un homme politique est comptable de son action devant la société au moyen des divers mécanismes institutionnels comme le vote. Un grand avocat ne l'est nullement, en tout cas pas par les mêmes moyens.

Cela justifie amplement différentes pratiques de l'entretien entre ce que fait Monsieur Bilger et ce que font ces deux journalistes.

Et ce n'est pas injurier ces deux journalistes que d'affirmer qu'elles sont loin d'avoir pris le risque de l'interview injurieux en mode poissonnières.

Cela étant, Macron n'a aucune obligation de répondre à de tels entretiens, et n'a aucune obligation de se mettre personnellement en danger en choisissant des journalistes hostiles. Ce qu'il a d'ailleurs fait, dans le passé, dans un entretien avec Edwy Plenel en 2018.

Est-ce que les Français lui sont reconnaissants d'avoir pratiqué l'exercice de l'interview en milieu hostile ? Non. Pourquoi retenterait-il l'expérience ? Par pur esprit masochiste qu'on attendrait d'un président ? Aucune raison.

Je valide l'essentiel du billet de Monsieur Bilger. Mais j'aurais du mal à mettre le blâme uniquement sur l'esprit de corporatisme du monde du journalisme. La léthargie journalistique de cet entretien ne me semble pas procéder seulement du corporatisme mais d'une culture de la déférence. Déférence qui n'est pas pour autant la même chose qu'un réel respect des idées ou de l'interlocuteur. C'est ce dernier point qui m'attriste.

J'ai bien aimé la performance de Monsieur Macron. Avec qui, sur l'essentiel, je suis en accord. Cela ne m'empêche nullement de partager l'appréciation de Monsieur Bilger. Mesdames se sont faites balader et n'ont pas pris la main sur l'entretien.

Par contre, contrairement à Monsieur Bilger, je ne pense pas que les questions sur Uber auraient été pertinentes. On va avoir un festival d'indignations ces prochains temps, et il n'y a aucune urgence à traiter ce point dans cet entretien de politique générale. LFI s'en chargera, avec la mauvaise foi qui les caractérise. On en aura des "questions". Plein. Que tout le monde soit rassuré. Cet entretien n'aurait à mon sens rien apporté en traitant ce thème.

Mais oui. J'aimerais plus de punch dans ces entretiens.

caroff

Sur Uber, il n'est pas interdit de se demander, comme pour McKinsey, s'il n'y a pas eu collusion.

En revanche, il paraît sensé qu'un ministre prête l'oreille aux initiatives privées lorsque celles-ci vont dans la direction souhaitée par le responsable politique.

C'est le contraire qui serait irresponsable...

Pour les deux "journalistes", il suffit d'écouter France 5 et TF1 pour deviner qu'elles ne s'aventureront pas dans l'asticotage de l'homme qui s'écoute parler !

Robert

Monsieur Macron est passé d'Héphaïstos, dieu grec boiteux du feu et de la forge, fils de Zeus, à Vulcain, dieu romain de la forge et du feu ; mais fils de Jupiter, lui aussi boiteux quoique l'iconographie cachait ce défaut constitutif !
J'en conclus que monsieur Macron ne se voudrait plus Jupiter, mais son fils forgeron.... Encore que je voie mal monsieur Macron un marteau à la main, transpirant dans sa forge vulcanienne !

Cependant son propos montre qu'en réalité il veut continuer à rester Jupiter dans son comportement. Rien ne change dans sa façon d'aborder les problèmes de la France.

S'il s'autorise à stigmatiser le vote d'opposition de LR en matière sanitaire, il considère que LR sur sa politique économique devrait voter comme un seul homme en faveur de ses choix jupitériens. Et il compte même sur le concours du Sénat pour ce faire. On a d'ailleurs hier matin pu voir le président de la République poser amicalement sa main sur le bras du président du Sénat lors de sa rencontre sur la tribune officielle du 14-Juillet. Pour l'amadouer ?

Bien entendu il a fait comprendre qu'il avait plusieurs armes à sa disposition, dont le référendum. Or, ce dernier, tout comme la dissolution de l'Assemblée nationale, peut se révéler comme un boomerang qui ramènerait le président de la République dans ses buts car il s'agit d'armes souvent à double tranchant : le général de Gaulle en subi les effets en 1969 et monsieur Chirac en 1997 (dissolution qui l'a conduit à une cohabitation de cinq ans avec monsieur Jospin) ou en 2005 avec l'échec de son référendum sur le traité constitutionnel européen...

Le président de la République l'a effectivement joué "droit dans ses bottes", à la mode Juppé, face à deux journalistes peu incisives dans leurs questions, la symbolique du 14-Juillet n'incitant pas à mettre le président de la République en difficulté en ce jour de fête nationale.
Je crains seulement que, la période de vacances terminée, la reprise en septembre soit particulièrement difficile et qu'il soit conduit à reporter certains de ses projets, voire contraint de modifier sa méthode de décision, d'autant qu'on a bien compris qu'il compte à présent sur l'entregent de madame Borne pour faire aboutir son projet sur les retraites. Avec une fronde sociale à la clé ? L'avenir le dira.

D'autant encore que la Russie ne fait pas diminuer sa pression militaire sur l'Ukraine tout comme, passée en économie de guerre depuis plusieurs années, les sanctions économiques décidées par la partenaire américain chef de l'OTAN mises en œuvre par l'Union européenne se retournent contre les pays européens eux-mêmes. Comment se sortiront-ils de l'impasse actuelle ? Là est la vraie question.

Reste un autre point non évoqué : la volonté des Etats-Unis d'étendre le domaine d'action de l'OTAN à l'Asie du Sud-Est. Déjà que l'Afghanistan était hors de son domaine géographique d'action défini par le traité de l'Atlantique nord, qu'en sera-t-il de l'obéissance de nos décideurs européens au suzerain états-unien alors que la défense européenne devient un élément essentiel à la survie de l'Union européenne face à une Russie menaçante, voire impériale, survie qui se jouera à l'Est sur son propre continent...

revnonausujai

Emmanuel Macron, vulcanisé comme un vulgaire pneu rechapé, a dit:
"Il faudra donc partager la charge de l'augmentation des prix payés aux pays producteurs d'hydrocarbures entre les ménages, les entreprises et l'État".

Après des années passées aux manettes dont certaines à Bercy, il ne sait pas que le pognon de l'Etat, c'est celui qu'il ponctionne aux entreprises et aux particuliers et que donc ce sont ceux-ci qui seront rackettés !
Et on s'étonne de la dégringolade !

Pierre Durand

Je regrette également le manque de mordant des journalistes en général. Ils devraient être les porte-parole des interrogations de l'opinion et ne remplissent pas du tout cette mission.

Y a-t-il un lien entre le manque de mordant, la soumission devant l'autorité et le prestige du pouvoir, et la féminité ?
Quand on imagine la somme de connaissances qu'il faut avoir acquises avant d'avoir une idée de cette importante question, on se dit qu'il est plus reposant de penser qu'un homme ou une femme aurait dans cette circonstance le même comportement. Quand en plus c'est dans l'air du temps on ne s'en privera pas.

Je suis d'accord avec Macron sur la réforme de l'assurance chômage. À ce propos on répète à l'envi que les indemnités sont dues car le chômeur se les paie par ses cotisations comme pour n'importe quelle assurance. Ce propos est une escroquerie : l'assurance chômage est déficitaire et le contribuable participe aux sommes versées. Il a donc le droit de fixer des limites à sa générosité.

Je suis d'accord avec Macron "sur l'Ukraine, sur l'armement, sur le gaz russe, sur les crédits militaires, sur la sobriété énergétique".

Sur les retraites mon opinion est que le nécessaire doit être fait pour que les comptes soient équilibrés. Je suis opposé à toute intervention de l'Etat dans cette question. La retraite par points est pour moi la solution.

Au sujet d'Uber je n'ai pas de question à poser à Macron.

J'ai été indigné par la tactique de Macron contre l'Assemblée nationale, qui consiste à dénoncer auprès de l'opinion l'idée mensongère et démagogique d'une collusion baroque de LR, la Nupes et le RN qui ont voté contre l'article 2 de sa énième loi sur la covid.

Les groupes avaient selon moi le même devoir de voter contre car l'idée était de déléguer au gouvernement la possibilité de contrôler aux frontières. Ils ne sont pas contre le contrôle mais le parlement veut garder la main et il a raison. L'exécutif a toujours trop tendance sous prétexte d'efficacité de s'arroger des pouvoirs au détriment du parlement. Cette fois-là le parlement, qui n'a plus une majorité de godillots, a dit non, et j'espère qu'il le fera à chaque fois que ce sera nécessaire. On comprend que cela déplaise à Macron. Il n'est pas au bout de ses peines, et je m'en réjouis.

Macron se moque du monde, et fait preuve de mauvaise foi.
Je n'ai pas lu cette simple argumentation dans la presse - le respect du rôle du parlement - en revanche j'ai entendu Ruth Elkrief le soir sur LCI enfourcher le cheval de Macron et interroger avec une insolence moqueuse le RN puis la Nupes sur cette question de "l'attelage baroque", et sans ne rien comprendre à la réponse relativement claire des interrogés. Certainement pas un grand moment de journalisme.

Sans compter que chaque groupe peut voter contre une même loi pour des raisons différentes, les uns approuvant un aspect, en désapprouvant un autre, sans que ce soit le même.

Un exemple appliqué à la future réforme des retraites : la Nupes et le RN pourront voter contre les 65 ans tout en approuvant la prise en compte de la pénibilité et en n'accordant aucune importance à un financement rigoureux, LR pourra lui voter contre parce qu'il estime que le financement n'est pas bien prévu. Macron devra accepter des compromis s'il veut espérer trouver une majorité et c'est ce qui rend la politique plus respirable depuis peu.

Vulcain, on va le vulcaniser, i.e introduire de la souffrance pour qu'il soit plus souple.

Marc Ghinsberg

Jamais content…

Pourtant en ce 14 juillet les deux journalistes ont appliqué, plus ou moins délibérément, la méthode d’interview que Philippe Bilger pratique brillamment et dont il ne cesse de nous vanter les mérites. Elle repose sur le principe que celui qui pose les questions doit s’effacer devant celui qui y répond et qu’il convient en conséquence de laisser l’interlocuteur développer sa pensée sans l’interrompre.

Cette méthode a effectivement l’avantage de permettre à l’interviewé d’aller au fond de sa pensée sans être diverti par des considérations accessoires, elle a l’inconvénient de lui permettre éventuellement d’affirmer des contre-vérités ou des approximations sans être contredit.

S’agissant d’Emmanuel Macron, celui-ci est évidemment accusé de tous les maux : « J'entends bien qu'Emmanuel Macron use d'une méthode très efficace qui tient à sa nature, à son talent pour l'explication (non contredite) et à sa rouerie intellectuelle et politique. Il parle souvent trop longuement de sorte qu'occupant le terrain, il rend malaisées les interruptions ou audacieuses, voire provocatrices. »

C’est vrai que le Président parle longuement car sa réponse est l’aboutissement d’un raisonnement argumenté, voire documenté. Ce n’est pas, hélas, toujours le cas de l’auteur de ce billet qui enfourche le dernier scandale d’État estival : l’affaire Uber, construite de toute pièce, comme si l’existence des lobbies était pour certains une révélation et comme si l’on ignorait qu’Emmanuel Macron était favorable à ouvrir la concurrence dans des secteurs protégés. Philiipe Bilger parle d’une « proximité » entre la société Uber et le Président, formule d’une absolue tartufferie qui laisse tout sous-entendre, sans évidemment apporter le début du commencement d’une preuve.

Bref ceux qui montent en épingle cette « affaire » brassent du vent.
En cette période de canicule, on considérera qu’ils font œuvre utile, qu’ils en soient remerciés.

Celtapiou

Un seul mot pour résumer cette entrevue vacancière : « doucereuse ».
Comme le sucre des confiseries gélatineuses… que déconseille la Faculté !

Achille

« Sur ce dernier thème - les liens d'une absolue proximité entre la société mondiale Uber et le président -, face aux éloges dont il se gratifiait pour avoir favorisé la première - j'aurais attendu une interrogation directe sur le point suivant : convenait-il de se rengorger alors qu'à l'évidence, sur beaucoup de plans, Uber n'avait pas servi les intérêts français ? » (PB)

Ah oui et quels étaient les intérêts français ?

C’est quand même curieux cette affaires de lobbying qui ressort 7 ans après les faits concernant des contacts entre un ministre de l’Économie et des entreprises étrangères. Opérations qui se sont pratiquées depuis toujours et donc n'ont strictement rien d'illégales, d'autant qu'elles ont permis la création de milliers d'emplois !

Fallait-il protéger le monopole des chauffeurs de taxi qui était un système archaïque ne profitant qu'à la classe aisée qui pouvait se payer un taxi, les "gueux" devant voyager en métro, et ne créait aucun emploi. Le procédé consistait en des magouilles permettant à un chauffeur de taxi de vendre sa licence à prix d’or quand il décidait de prendre sa retraite.

Par ailleurs Emmanuel Macron, à cette époque, n’était qu’un ministre qui était sous la tutelle du ministre des Finances (Michel Sapin). Ce dernier avait donc accès aux initiatives prises par son ministre de l’Économie, sans parler, bien sûr, du Premier ministre et du président de la République.
Cette ouverture du marché des taxis et autres activités satellites qui en ont découlé était forcément débattue en conseil des ministres.

Quand on veut noyer son chien on l’accuse de la rage, encore faut-il apporter des arguments un peu plus crédibles !

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