Le XV de France : seul consensus, lien ultime ?

Si le XV de France était le seul consensus d'un pays qui n'en connaît plus, le lien ultime d'une nation qui a perdu tous les autres, faudrait-il s'en étonner ?

Je me souviens - et je fais contrition - d'une période où je me désolais que la Marseillaise ne fût chantée que dans les stades et que les grands matchs de football et de rugby apparaissent comme les seules opportunités d'une communion nationale, d'une adhésion entière.

J'avais tort puisque, sans paradoxe, aujourd'hui je ne vois pas d'autres occasions d'enthousiasme absolu, d'unité sans aigreur que l'extraordinaire emballement suscité par le XV de France qui vient de remporter sa onzième victoire d'affilée.

C'est sans doute navrant mais dans le climat actuel, dans l'ensemble des domaines susceptibles de rassembler une nation autour de son président de la République, de son gouvernement ou de ses oppositions, autour de ses services publics, autour de ses principes essentiels, autour des forces qui protègent la République, autour d'une quotidienneté à peu près acceptable, je ne perçois que rupture, dissentiment, clivage, affrontement, fureur, haine, absence d'écoute et de considération ; le délitement d'une France dont les repères se brouillent ou se brisent.

Plus rien qui rassemble sous l'égide d'un pouvoir irréprochable, en dépit des écumes partisanes.

Où pourrait-on aller chercher alors, citoyens de bonne foi, de quoi satisfaire un besoin d'union, le bonheur d'une entente durable, une fraternité qui ne soit pas illusoire, sinon dans ces moments magiques où un peuple de spectateurs et de téléspectateurs se sent dans les mêmes dispositions, investi par le même élan fier, admiratif et également partagé ?

Est-il même nécessaire de tenter un inventaire pour rappeler tout ce qui ne va pas dans notre pays et donc nous sépare en mille clans irréductibles, nous laisse en état de saisissement et d'incompréhension face à l'évolution erratique d'une société, à des pratiques de transgression, voire d'ensauvagement, à la confrontation avec un présent si dur, entre un passé sans doute embelli et un futur qui s'annonce plus comme un risque de régression que tel un progrès assuré ?

Le président de la République, soutenu ou contesté sur le plan politique, en tout cas n'est plus une figure suffisamment respectable et respectée pour emporter une sorte d'estime de principe. Se mêlant de tout, il n'est plus un dénominateur commun.

Le gouvernement, à quelques exceptions près, est composé, malgré probablement l'énergie de tous, de ministres demeurés inconnus.

La vie parlementaire, dont on imaginait qu'elle pourrait être apaisée par une majorité relative imposant du pluralisme et moins de décrets d'autorité, s'est dégradée au contraire, pour ne pas évoquer un esprit partisan ayant tout mis cul par-dessus tête.

La délinquance et la criminalité s'accroissent et on le perçoit comme une fatalité redoutable, indépendante des efforts politiques.

On tend des guet-apens à la police et quand elle est attaquée, elle est présumée coupable.

La Justice est en crise, comme d'habitude, et les peines qu'elle édicte sont mal exécutées.

De plus en plus, elle est concurrencée, voire niée par des citoyens qui la jugeant inefficace, ou trop lente, ou trop indulgente, prennent leur destin de victimes ou de justiciables en main et privatisent ce qui devrait relever de la seule mission de l'Etat.

Le droit de propriété laisse les squatteurs indifférents et ils occupent des lieux, persuadés de n'être pas délogés, dans le meilleur des cas, avant longtemps.

Les déboutés du droit d'asile restent sur le territoire et les étrangers faisant l'objet d'une obligation de le quitter ne sont pas vraiment pressés d'obtempérer, c'est un euphémisme.

Les mineurs isolés - sans doute des majeurs mais ayant le droit de refuser qu'on le démontre - perpètrent ici ou là des infractions, préservés par une miséricorde de principe.

Une Fonction publique désertée par les vocations. Des services publics - justice encore, santé, éducation principalement - "défaillants" pour six Français sur dix.

Face à ces dysfonctionnements répétés, à cet appauvrissement de ce qui doit structurer le plus efficacement possible un pays pour servir les citoyens, le pouvoir use d'une méthode surprenante : il met en oeuvre des plans d'urgence pour répondre à des constats et à des maux connus de longue date (JDD).

Et comment oublier le rôle de la France sur le plan international, cette guerre de la Russie contre l'Ukraine qui a pris tragiquement un rythme de croisière et dont les conséquences vont peser de plus en plus lourdement sur notre pays ?

Il serait facile de compléter cet inventaire. Où pourrait donc se trouver le moindre consensus, le plus petit lien dans cette France, dans ce monde de bruit et de fureur ?

Seule terrifiante éclaircie, la révolution iranienne : on a peur pour ces jeunes femmes, pour ce peuple, qui réduisent nos protestations parfois dérisoires de nation saturée de démocratie à des revendications d'enfants gâtés par rapport aux leurs si vitales, tellement existentielles!

Cette victoire du XV de France, dans la soirée du 5 novembre, durant deux heures, a mis un peu de baume sur un pays à vif, du lien dans une nation déchirée. De l'admiration alors que ceux qui devraient nous en inspirer, sur le plan politique et démocratique, nous laissent orphelins. De la fierté alors qu'on se plaît à ravaler l'orgueil national, pour complaire à la mode d'une repentance ne faisant du bien qu'aux pays qui en exigent toujours davantage.

Un temps suspendu où on rêvait que la France du rugby fût la France tout court.

Comments

[Rédigé par : Tomas]

@ Exilé

"« Si le XV de France était le seul consensus d'un pays qui n'en connaît plus, le lien ultime d'une nation qui a perdu tous les autres, faudrait-il s'en étonner ? » (PB)

Si l'unité d'un pays, à défaut de son âme, ne tient plus qu'au sort d'une baudruche visqueuse, c'est le signe qu'il a touché le fond et que le pire est à craindre."

Je ne pensais pas être d'accord avec vous un jour sur quoi que ce soit, tiens.

Même si je ne qualifierais pas un ballon de rugby de "baudruche visqueuse".

[Rédigé par : Tomas]

Fichtre, je ne viens plus trop souvent ici mais à chaque fois on n'est pas déçu.
D'abord, on voit mal comment l'équipe nationale d'un sport régional (le rugby à Paris est l'affaire de la bourgeoisie et des émigrés de l'Ovalie) pourrait représenter la nation tout entière. Les Bretons, les Picards, les Alsaciens, les Bourguignons, les Normands, ils s'en moquent, du rugby.

Et on n'est pas déçu par les commentaires encore, tel celui de Florestan68. Bien sûr qu'il y a de l'immigration dans le Sud-Ouest, et depuis longtemps. Et si on ne s'y intéresse pas, on joue au rugby dans les banlieues, Clichy-sous-Bois a une bonne école.

Avant, quand le Racing jouait à Colombes, j'y allais quand le Stade jouait. Et à chaque fois je m'amusais des petits jeunes qui nous branchaient à la sortie du métro en voyant nos maillots ou nos écharpes du mythique club toulousain. "Vous allez perdre", nous disaient-ils, soutenant donc le club jouant dans leur banlieue, quand bien même celui-ci était celui de la bourgeoisie parisienne la plus insupportable.

Moralité, la France n'a pas à avoir peur de ses immigrés, mais de ses vieux aux idées nauséabondes, même quand elles sont élégamment formulées, ou qu'elles tentent de l'être.

---

"Et comment oublier le rôle de la France sur le plan international, cette guerre de la Russie contre l'Ukraine qui a pris tragiquement un rythme de croisière et dont les conséquences vont peser de plus en plus lourdement sur notre pays ?" (PB)

Quel est le rôle que peut jouer la France dans cette guerre, à part livrer le plus d'armes possibles sans remettre en cause notre défense, et rester ouverte à la discussion ?

Nous ne sommes plus avant-guerre. La France n'est plus une grande puissance. C'est une puissance, et ce n'est déjà pas mal. Oui, les conséquences de la guerre pèseront sur notre pays, mais les bombes n'y tombent pas comme en Ukraine. C'est une réaction d'enfant gâté occidental, de soixante-huitard mal élevé par ses parents, j'aurais presque envie de dire.

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Serge HIREL | 12 novembre 2022 à 01:35

Ah ! tiens, tout de même... vous consentez à parler du sujet. Après, bien sûr, avoir mitraillé une salve d'insultes, de mensonges et de sottises supplémentaires.

"Le chic avec vous, c’est qu’on peut être certain que vous ne donnez jamais dans la mesure."

En effet. Je donne dans le vrai, c'est différent. Je ne considère pas la mesure comme une vertu. C'est le cache-sexe qui sert aux ignorants et aux hypocrites pour masquer leur vacuité.

"Vous pissez la copie au kilomètre..."

Contrairement à vous, qui intervenez excessivement rarement et de façon toujours concise.

"...pompez allègrement vos sources..."

Je ne sais pas ce que signifie "pomper des sources". Contrairement à certains ici, je n'ai pas la science infuse et j'essaie de ne parler que de choses que je connais. C'est pourquoi je pousse l'obligeance, quand c'est possible, jusqu'à indiquer où j'ai appris certaines choses.

Cela permet à ceux qui sont curieux d'approfondir le sujet -- et aussi de vérifier que je ne raconte pas n'importe quoi, contrairement à certains. Mais bien sûr, on peut aussi refuser d'apprendre des choses que l'on ignore, et pinailler de façon malhonnête sur les liens fournis.

"...avez le don d’injurier vos interlocuteurs..."

Absolument pas. C'est vous qui venez de m'adresser des injures à répétition.

Vous m'avez successivement accusé de me livrer à une "manipulation" en rapportant le nombre de patients que les hôpitaux britanniques ont laissé mourir de faim et de soif, d'être "raciste" parce que j'ai rapporté l'inquiétante prévalence des médecins immigrés condamnés, en Angleterre, pour des agressions sexuelles contre leurs patientes et pour des fautes médicales mortelles, d'avoir "les doigts collants de confiture" (autrement dit d'avoir menti), d'énoncer des "aberrations" et de procéder à des "amalgames", d'être "coutumier de dérives" (par rapport à quoi ?), d'avoir "agressé" Ellen (qui m'avait elle-même "agressé" auparavant), d'être "grincheux", de publier un "fatras", d'être "affligeant"...

Tout cela alors que je ne me suis nullement adressé à vous, et que vous avez multiplié les attaques personnelles à mon encontre, sans jamais vous donner la peine de traiter le sujet qui m'a valu ces invectives. J'attends toujours vos excuses.

"...en évitant soigneusement de répondre à leurs arguments..."

Vous mentez. Je viens, au contraire, de me donner la peine de trois commentaires successifs et "kilométriques" (il faudrait savoir !) pour répondre à ce qui n'était, de votre part, pas un argument mais plutôt un pinaillage sans objet.

"C’est perdre son temps que de tenter un dialogue courtois et constructif avec vous."

Vous n'avez jamais essayé. Rien de constructif dans votre interpellation malveillante, et nulle courtoisie dans vos commentaires suivants exclusivement constitués d'attaques personnelles.

"Je vais donc à nouveau et pendant un certain temps m’abstenir de lire votre prose."

Oui, c'est ce que disent les hypocrites dans votre genre -- juste après m'avoir lu une fois de plus, visiblement. Il faut croire que vous avez une tendance au masochisme.

"En réalité, je partage pas mal de vos convictions, en particulier sur l’état de notre fonction publique."

Tiens donc ! Et si vous aviez commencé par là ? Voilà qui aurait été "constructif et courtois", comme vous dites.

"Sujet tabou ces temps-ci, même si une majorité de Français, sans l’exprimer, est d’avis qu’il est au cœur de nos difficultés. Vous, vous le faites, mais avec un tel extrémisme que, non seulement vous n’obtiendrez jamais le moindre résultat, mais, de surcroît, vous donnez du grain à moudre aux partisans du tout-État."

Vous n'en savez rien. Rien ne vous permet de dire que je n'obtiendrai jamais le moindre résultat. Rien de ce que je dis n'est "extrémiste".

Ce qui est extrémiste, c'est la nature communiste de l'État français, et le refus de ses partisans de concéder la moindre libéralisation du système.

Ce que je vois, c'est que depuis 70 ans (au moins) que la France est emprisonnée dans l'étatisme, aucune critique "modérée" des dégâts occasionnés par cette passion funeste n'est arrivée à inverser la tendance. L'État n'a pas cessé sa course vers l'obésité et l'oppression toujours plus grande des citoyens.

JE MONTE DONC LE VOLUME.

Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et se dit bien fort. Sinon, ça continue à roupiller dans le fond et rien ne se passe.

Je n'ai pas besoin de "donner du grain à moudre" aux étatistes. Ils se goinfrent déjà prodigieusement et sans la moindre décence.

"Mais ce n’est pas, comme vous le préconisez, en faisant disparaître l’ensemble des agents hospitaliers, en confiant la totalité des moyens de santé au secteur privé que le problème sera résolu."

Où avez-vous vu que je voulais abolir entièrement le rôle de l'État dans la santé ? J'ai dit mille fois explicitement le contraire.

Est-ce que les partisans du conformisme pourraient se donner la peine de lire ce que j'écris, de temps à autre, au lieu de m'attribuer ce qu'ils s'imaginent que j'ai dit ? Vous voyez bien que je suis obligé de monter le volume, face à des sourds pareils.

Cela dit, on pourrait fort bien imaginer un système essentiellement privé et simultanément excellent. Cela existe.

Dans les faits, la plupart des systèmes de santé se basent sur une combinaison de prestataires publics et privés. La répartition des tâches peut, et doit, faire l'objet de débats approfondis.

Mais auparavant, il conviendrait d'admettre que le système français est outrageusement déséquilibré en faveur du public, et que c'est la cause essentielle de son inefficacité.

Tout comme les systèmes britannique et canadien, qui sont encore plus communistes que le système français.

"Cet extrémisme, que, par ailleurs, vous pratiquez avec constance quel que soit le sujet que vous abordez, est tout simplement contre-productif."

C'est vous qui le dites. Personnellement, je pense que lorsqu'on a passé 70 ans à frapper contre les barreaux de la prison et que rien ne se passe, il est temps de mettre un peu de dynamite.

"Encore plus quand vous tentez de le justifier en matraquant des chiffres contestables..."

QUELS CHIFFRES CONTESTABLES ?

Arrêtez de mentir une fois de plus. Le chiffre des morts de faim et de soif dans les hôpitaux britanniques n'est pas contestable, et d'ailleurs personne ne le conteste en Grande-Bretagne.

D'ailleurs vous n'avez pas été capable de le contester, et pour cause.

En revanche, tout le monde se plaint de l'inefficacité désastreuse du National Health Service. Qu'est-ce que vous étiez en train de nous expliquer, déjà ? Qu'un système de santé étatique est plus efficace qu'un système de santé privé ? Ne vous gênez pas pour tenter de démontrer en quoi le NHS illustre votre argument...

"...et des arguments péremptoires et sans fondement du style : la NHS est communiste."

Comment ça, des arguments péremptoires et sans fondement ? En quoi le National Health Service n'est-il pas communiste ? Il a été nationalisé en 1948. D'où son nom. Il est entièrement financé par l'impôt.

C'est ce genre de ronds de jambe insupportables qui empêchent d'avancer. C'est l'insistance à ne pas appeler les choses par leur nom.

"Dans le cas de la santé, il est même anticonstitutionnel : le Préambule de la Constitution de 1946, qui est l’un des quatre éléments du bloc de constitutionnalité, précise que la protection de celle-ci est un droit que l’État 'garantit à tous'."

ON S'EN TAPE.

La Constitution, c'est un chiffon de papier. Si on veut la changer, on la change. Okay ? Il y a bien d'autres choses qui sont scandaleuses dans votre Constitution à la noix.

Il ne vous aura pas échappé que ce fameux préambule est un torchon communiste. Exemple : "Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité."

Même avec votre Constitution répugnante, on pourrait avoir un système de santé totalement privé. Que la nation garantisse à tous la protection de la santé (pas l'État ! la nation !) ne veut pas dire que les médecins doivent être des fonctionnaires, que l'État doive posséder les hôpitaux et que l'assurance-maladie doive être un monopole gouvernemental.

La loi pourrait fort bien organiser un système de santé assuré par le privé, comme elle le fait dans de nombreux autres domaines.

"Si le système de santé était entièrement confié au secteur privé, il est évident que des pans entiers, les urgences notamment, seraient abandonnés... pour cause de non rentabilité."

Non seulement ce n'est pas évident, mais c'est faux. A l'heure où nous parlons, de nombreux hôpitaux privés possèdent des services d'urgence. Ils se plaignent d'ailleurs qu'ils soient sous-employés, par la faute de l'État, dont les services de secours ne leur adressent pas suffisamment de patients !

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Robert Marchenoir | 11 novembre 2022 à 15:04

Le chic avec vous, c’est qu’on peut être certain que vous ne donnez jamais dans la mesure. Vous pissez la copie au kilomètre, pompez allégrement vos sources et avez le don d’injurier vos interlocuteurs en évitant soigneusement de répondre à leurs arguments... C’est perdre son temps que de tenter un dialogue courtois et constructif avec vous. Je vais donc à nouveau et pendant un certain temps m’abstenir de lire votre prose.

En réalité, je partage pas mal de vos convictions, en particulier sur l’état de notre fonction publique. Sujet tabou ces temps-ci, même si une majorité de Français, sans l’exprimer, est d’avis qu’il est au cœur de nos difficultés. Vous, vous le faites, mais avec un tel extrémisme que, non seulement vous n’obtiendrez jamais le moindre résultat, mais, de surcroît, vous donnez du grain à moudre aux partisans du tout-Etat.

Les fonctionnaires sont trop nombreux ? Oui. Leur efficacité et leur productivité pourraient être améliorées ? Oui. Le constat est le bon... Mais ce n’est pas, comme vous le préconisez, en faisant disparaître l’ensemble des agents hospitaliers, en confiant la totalité des moyens de santé au secteur privé que le problème sera résolu. Le récent scandale des Ehpad en est la preuve.

Cet extrémisme, que, par ailleurs, vous pratiquez avec constance quel que soit le sujet que vous abordez, est tout simplement contre-productif. Encore plus quand vous tentez de le justifier en matraquant des chiffres contestables et des arguments péremptoires et sans fondement du style : « la NHS est communiste ».
Dans le cas de la santé, il est même anticonstitutionnel : le Préambule de la Constitution de 1946, qui est l’un des quatre éléments du bloc de constitutionnalité, précise que la protection de celle-ci est un droit que l’Etat « garantit à tous ». Si le système de santé était entièrement confié au secteur privé, il est évident que des pans entiers, les urgences notamment, seraient abandonnés... pour cause de non rentabilité.
En toute chose, la mesure est le chemin le plus sûr pour arriver à ses fins...

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Serge HIREL | 11 novembre 2022 à 11:07
"Ignorez-moi, au moins pour la journée."

Vous ne manquez pas de culot. Vous commencez par me provoquer, pour une énième fois, avec une accusation malveillante et dépourvue de sens, et puis vous vous plaignez de trouver du répondant.

Commencez donc, vous, par m'ignorer, puis je verrai ce que je peux faire.

Au fait : pour ma part, j'écris en général pour dire quelque chose. Mon commentaire initial était destiné à démontrer la nocivité de l'étatisme dans les systèmes de santé.

C'est là-dessus que vous avez jugé bon de me chercher noise, à l'aide d'un commentaire imbécile et agressif.

Donc, nous sommes bien d'accord qu'il n'y avait aucune "manipulation" de ma part, ni aucun "racisme", contrairement à vos calomnies, comme je me suis donné la peine de vous l'expliquer à l'aide de trois commentaires successifs ?

J'adore les gens comme vous qui sont très courageux lorsqu'il s'agit d'attaquer, mais qui chouinent qu'on les dérange dès lors que leurs allégations sont éventées.

Et au fait, évitez de vous ridiculiser une fois de plus par un pinaillage supplémentaire. Dire que vous êtes un troll pur et simple n'est nullement contradictoire avec le fait de préciser que vous êtes un troll dénué de talent.

Vous êtes un troll pur et simple veut dire que votre interpellation n'apporte pas le moindre élément au débat. Cela veut dire qu'elle se résume entièrement à une tentative de faire dérailler la discussion à l'aide d'une provocation dirigée vers un contributeur en particulier.

Ajouter que vous êtes un troll dénué de talent signifie que vous pratiquez ce comportement déplorable avec une absence d'esprit manifeste. Certains réussissent à être drôles ou originaux dans cette activité, ce qui ne les excuse certes pas. Vous n'avez même pas cette ombre de justification pour polluer ces pages.

[Rédigé par : F68.10]

@ Robert Marchenoir (@ Serge Hirel)
"Je suis parfaitement "ouvert à la discussion", comme on peut le voir dans mes échanges avec des commentateurs pareillement disposés."

Je confirme.

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Robert Marchenoir | 11 novembre 2022 à 07:10
« Vous êtes un troll pur et simple. » ... « Vous êtes un troll, et un pas très bon »

Il vous faut choisir... Résultat d’une nuit cauchemardesque ou simple oubli de relecture ? Un conseil qui est aussi un souhait : ignorez-moi, au moins pour la journée. Vous devez être épuisé après vos vains efforts pour ridiculiser ceux qui chatouillent votre ego. Quant à moi, il fait beau... Je vais jardiner un peu... Pour retourner la terre, faut-il utiliser une bêche plate ou une bêche-fourche ?... À votre avis ? Vous qui êtes omniscient, vous devez nécessairement avoir un avis sur cela... Et tous les jardiniers l’attendent impatiemment...

-------------------------------------------------------------

@ Achille | 11 novembre 2022 à 06:44
« En choisissant Najat Vallaud-Belkacem ministre de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pensez-vous vraiment que François Hollande pensait à défendre notre civilisation ? »

Oui... il a défendu sa conception personnelle de notre civilisation... tout comme les autres présidents. Ainsi, celle du Prince est à des années-lumière de celle du Général. Quant à Sarko... chacun a droit à l’erreur. D’après certains de ses anciens amis, il en est lui-même une.

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Serge HIREL | 10 novembre 2022 à 20:29

Je suis parfaitement "ouvert à la discussion", comme on peut le voir dans mes échanges avec des commentateurs pareillement disposés. Pas vous. Vous êtes un troll pur et simple. Les trolls, on les ignore ou on les ridiculise, selon l'humeur. Cette fois-ci, vous êtes tombé sur la seconde option. Tant pis pour vous.

Cela m'amuse beaucoup d'imaginer quel personnage insupportable vous avez pu être dans votre vie professionnelle. Manifestement, vous n'avez pas compris qu'ici, les règles sont différentes. Vos privilèges de l'époque n'ont plus cours.

Quant à la "mesure dans les propos", commencez par la manifester vous-même et par mettre fin à votre sale habitude d'agresser les autres commentateurs avec des assertions idiotes, dans l'unique but de provoquer.

Au fait, un avis intelligent sur le système de santé britannique ? français ? une réflexion originale sur le rôle respectif des entreprises privées et du secteur public en matière de médecine ? sur l'assurance-maladie privée comparée à l'assurance-maladie d'État ? des informations que nous ignorerions sur les meilleurs systèmes de santé à l'étranger, dont nous pourrions nous inspirer ? Non, rien de tout cela.

Vous n'en avez rien à faire, en réalité. Vous n'êtes intervenu que pour procéder à des attaques personnelles, pour semer la zizanie. Vous êtes un troll, et un pas très bon, avec ça.

[Rédigé par : Achille]

@ Serge HIREL | 10 novembre 2022 à 20:29
« Depuis 1958, chaque président a choisi son ou ses ministre(s) de l’Education nationale en fonction de sa conception de l’éducation. Tout comme chacun a nommé ministre de la Culture une personnalité incarnant sa réflexion en ce domaine... Nonobstant les élucubrations de RM sur l’inutilité de l’action culturelle de l’Etat, ces deux ministères sont au cœur de la mission du monde politique : défendre notre civilisation. »

Vraiment ?
En choisissant Najat Vallaud-Belkacem ministre de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pensez-vous vraiment que François Hollande pensait à défendre notre civilisation ?
Elle a descendu en flèche J-M Blanquer qui avait osé dire qu'il y avait une gangrène de l’université par l’islamo-gauchisme."

Que dire aussi de Nicolas Sarkozy qui a nommé ministre une Rama Yade qui aujourd’hui affiche ouvertement sa dilection pour le wokisme ?

Il appelait cette ouverture à la différence "la minorité visible". Ben on a vu ! :)

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Patrice Charoulet | 10 novembre 2022 à 19:28
« Quel médecin, parmi vous, pourrait nous dire pourquoi ces gens ont des oreilles rouges ? »

Je ne suis pas médecin, mais je tente cependant une réponse : en discutant entre eux, ils aiment s’échauffer les oreilles... Ce diagnostic de béotien vaut ce qu’il vaut... mais il est gratuit.

[Rédigé par : Giuseppe]

Allez, deux minutes de technique.

Comme je prends les Ukrainiens très au sérieux, je pense qu'à l'heure actuelle ils doivent bien rire sous cape des "dents de dragon" posées par la Russie de Wagner, et de son cuisinier en chef pour bâtir leur ligne Maginot à eux.
C'est bien un ouvrage de pâtissier, cela me fait penser à une poche à douille pour déposer des plots de chantilly.

Rien à voir avec ce qu'avaient réalisé les Suisses pendant la Seconde Guerre mondiale, qui eux protégeaient mieux leurs coffres-forts que Poutine les vies humaines:

https://i.goopics.net/wenfcy.png

Par contre du côté des pilleurs oligarques russes, si les photos sont bien réelles, je ne miserais pas un rouble vaillant sur ce dentier qui va sauter sous la moindre noisette:

https://i.goopics.net/5mddjp.png

La différence entre les deux systèmes est énorme, les Suisses avaient eu le temps de fixer leurs dents comme un implant sur l'os, une longrine BA de liaison... Il fallait y penser, mais protéger les biftons chez eux est une seconde nature, et avec leurs dents il est sûr qu'ils broieraient du carbone pur.

Je ne suis pas un spécialiste des oreilles rouges de plateau TV - j'ai lu ici -, mais par association d'idées, des "dents de dragon" du Pâtissier de Wagner, les Ukrainiens n'en feront qu'une bouchée... Et c'est dans pas longtemps.

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Robert Marchenoir | 10 novembre 2022 à 11:53

Que dire devant un tel fatras, plutôt drôle tant il est grotesque ? Ne perdons pas de temps à tenter encore l’impossible, raisonner un homme qui, par principe, entend ne pas être raisonnable, ni ouvert à la discussion, ni mesuré dans ses propos. Il me semble que la tirade d’Harpagon dans « L’Avare » corresponde parfaitement à votre posture ridicule. Il suffit dans le texte de Molière de remplacer « mon argent » par « mes vérités ». De Funès est irrésistible... Vous, affligeant...

https://www.youtube.com/watch?v=6QN_I41oaXQ

“Le sage change d’avis et le sot s’entête.” (proverbe espagnol)

--------------------------------------------------------------

@ Achille | 10 novembre 2022 à 07:30
« Je ne vois pas trop ce que vient faire "le Prince" dans l’adaptation de l’enseignement à une société qui évolue en permanence. »

Depuis 1958, chaque président a choisi son ou ses ministre(s) de l’Education nationale en fonction de sa conception de l’éducation. Tout comme chacun a nommé ministre de la Culture une personnalité incarnant sa réflexion en ce domaine... Nonobstant les élucubrations de RM sur l’inutilité de l’action culturelle de l’Etat, ces deux ministères sont au cœur de la mission du monde politique : défendre notre civilisation.

Dès 2017, Macron a agi comme ses prédécesseurs... mais, ce printemps, il a changé de direction : Pap Ndiaye n’est pas loin d’être l’antithèse de Jean-Michel Blanquer. Ce qui est grave, c’est qu’il est aussi l’antithèse d’une Education nationale ayant pour premier objectif de faire de « nos têtes blondes » de vrais Français. Ce choix d’un ministre woke et fier de l’être inquiète sur le degré de la volonté du Prince de respecter une France qui entend bien marquer et conserver ses particularités.
Il me semble inutile de débattre sur la pertinence de votre propos concernant l’évolution de l’EN quel que soit le président. Elle est simplement nulle. Même s’il est vrai que MLP aurait plus de mal que JLM à imposer son point de vue. Dans le premier cas, le Mammouth, habitué à marcher à gauche, résisterait de toutes ses griffes, Dans le second, il se mettrait à courir.

[Rédigé par : Patrice Charoulet]

OREILLES ROUGES

Friand de débats télévisés, je vois défiler des dizaines de tête.
Certains, par exemple Jean-Michel Aphatie, Jean Quatremer et Jean-Dominique Merchet, ont presque à chaque fois des oreilles rouges, en parlant à la télé. Quel médecin, parmi vous, pourrait nous dire pourquoi ces gens ont des oreilles rouges ? Comme une consultation de généraliste dure généralement dix minutes, peu de gens doivent poser la question, d'autant plus qu'ils consultent pour une raison de santé précise (angine, bronchite, douleur...) et que du temps est pris par la prise de tension, le dialogue patient-médecin, la rédaction de la prescription, le règlement de la consultation...

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Giuseppe | 09 novembre 2022 à 14:08
"Et... Mais ceci est une autre histoire, on ne travaille plus en France, le dentiste où je me rends m'a expliqué que désormais on est à l'heure des regroupements, loisirs et deux jours par semaine libres, bien sûr des consultations à 50 €..."

Une consultation de dentiste à 50 € ne me choque pas. Ce qui me choque, c'est plutôt le prix officiel "Sécurité sociale", qui est ridiculement bas (tout comme pour les médecins, d'ailleurs), ce qui entraîne toutes sortes d'escroqueries "bénignes" et de pénuries tolérées par tout le monde.

Il y a longtemps déjà, je me souviens être sorti de chez le dentiste en me demandant : "Seulement ?", à l'énoncé du prix de la consultation. Cela se voyait à l'œil nu qu'il perdait de l'argent en me recevant. Il suffisait de jeter un coup d'œil sur son assistante et sur son équipement.

Évidemment, la contrepartie serait qu'ils bossent, et vous avez raison de souligner qu'on ne travaille plus en France. Tous les indicateurs sont au rouge : entrée tardive dans l'emploi, retraite précoce, faible horaire hebdomadaire, recours massivement toléré aux congés-maladie de complaisance, fort taux de chômage, faible taux d'emploi, nombreux emplois fictifs dans la fonction publique et les associations subventionnées... sans compter la mentalité générale de poil dans la main.

Pour vous consoler, un pays aussi libéral que la Grande-Bretagne en est au même point : alors que les entreprises se plaignent de ne pas trouver de salariés, un cinquième de la population en âge de travailler ne le fait pas et ne cherche pas d'emploi, alerte le Telegraph.

Mais il faut quelqu'un comme vous, qui a fait toute sa carrière dans le privé, pour s'en inquiéter.

La vieille blague soviétique est tout à fait d'actualité en France : "Ils font semblant de nous payer, et on fait semblant de travailler".
______

@ Serge HIREL | 09 novembre 2022 à 14:22
"Les doigts collants de confiture, vous persistez... Même le Mailonline n’est pas aussi hostile que vous au NHS, puisqu’il indique que, sur les certificats de décès concernés, la faim et la soif sont mentionnées soit comme cause principale de la mort, soit parmi ses diverses causes. Et il n’est nullement précisé si, à leur arrivée à l’hôpital, ces patients présentaient ou non des signes de déshydratation ou de malnutrition."

C'est un pari que vous avez fait avec des amis, de pinailler à mort sur tout et n'importe quoi, en contestant de la façon la plus invraisemblable les informations les plus évidentes ? Vous vous êtes inscrit au concours du troll le plus pénible, le plus pompeux et le moins spirituel ? Je vous confirme que vous avez toutes vos chances.

Seriez-vous en train de contester les statistiques officielles du gouvernement britannique, sous prétexte que votre snobisme imbécile de franchouillard confit dans son chauvinisme a inscrit une fois pour toutes, dans son tiroir à clichés, que le Daily Mail est un "tabloïd" indigne du Monde ou du Figaro ?

Seriez-vous en train de nous dire que le Daily Mail a inventé ces chiffres, que l'État britannique les a bidouillés pour paraître plus incompétent qu'il ne l'est ?

Je répète : le gouvernement britannique, qui possède les hôpitaux du pays, reconnaît que 1 022 personnes y sont mortes de faim ou de soif en 2015, et 7 949 en dix ans.

Ces chiffres seraient-il moitié moins élevés, seraient-ils dix fois moins élevés, seraient-il cent fois moins élevés qu'ils seraient encore un scandale, et une condamnation sans appel du National Health Service, qui, oui, est communiste, ne vous en déplaise, c'est un fait.

Qu'est-ce qui vous défrise dans le fait que je le rappelle ? Ça vous fait bicher, le communisme ? C'est votre genre de beauté politique ?

Je répondais à Giuseppe, qui se scandalisait qu'une femme de 77 ans soit morte de faim dans un hôpital d'État français. Vous trouvez ça normal, aussi ? Vous allez nous dire qu'elle n'est pas morte ? Qu'elle a glissé sur une peau de banane ? Que la "méthodologie" de l'étude disant qu'elle est morte n'est pas la bonne ? Vous allez nous inventer quoi, pour défendre l'indéfendable ?

Si le système de santé britannique vous intéresse sincèrement, il ne tient qu'à vous de vous instruire : recherchez ce que disent les autres médias anglais sur le sujet, consultez les statistiques officielles et les analyses des différents experts... Il ne manque pas de ressources disponibles.

Mais vous avez aussi la possibilité de m'accuser d'un "racisme" imaginaire, sous prétexte que je rappelle qu'en plus du reste, le NHS britannique paye (fort cher) des médecins d'origine étrangère qui s'illustrent dans l'agression sexuelle de leurs patientes -- ou dans des erreurs professionnelles gravissimes.

Vous n'avez pas trouvé plus conformiste, plus paresseux, plus stupide, comme accusation, Monsieur le contestataire révolté de droite qui passe son temps à nous expliquer yaka fokon dans la société française ?

Qui est "raciste", dans l'histoire ? Le docteur Krishna Singh, qui a comparu devant le tribunal de Glasgow pour avoir commis près de 100 agressions sexuelles contre ses patientes, entre 1983 et 2018 ? Ou moi, qui le rapporte ?

Le chirurgien-star Mohamed Amrani, qui a été jugé pour avoir violé une patiente après lui avoir dit : "Vous me devez bien ça, j'ai soigné votre enfant" ? Ou le Daily Mail, qui le rapporte ?

Le docteur Hadiza Bawa-Garba, qui a causé la mort d'un enfant de six ans, parce qu'elle a diagnostiqué une gastro-entérite au lieu d'un choc septique ? Ou le tribunal qui l'a condamnée à deux ans de prison avec sursis pour meurtre par imprudence, et le Conseil de l'ordre des médecins qui l'a radiée ? Photo du docteur Hadiza Bawa-Garba, noire musulmane, "victime du racisme" selon notre troll local.

Des cas comme ça, il y en a des dizaines, tout le temps. Au sein du National Health Service. Le système de santé communiste britannique. Redites-nous un peu, pour voir, que seuls des fonctionnaires sont à même de soigner correctement des malades...

Dans un système de santé privé, basé sur le marché libre, il n'y a pas pénurie de médecins. Les violeurs et les incompétents n'ont pas droit de cité, qu'ils soient étrangers ou non.

Et vous concluez en me souhaitant "de bons vieux jours, entouré d’un médecin venu de Kinshasa, d’une infirmière originaire du Bangladesh et d’une aide-soignante moscovite". Hein ? Qu'est-ce que vous dites ? Les médecins congolais ou bangladais seraient mauvais ? Vous êtes raciste, ou quoi ?

Même dans vos insultes, vous êtes incohérent. Vous êtes vraiment le troll le plus nul de ce blog.

[Rédigé par : Achille]

@ Serge HIREL | 09 novembre 2022 à 14:22
« Pap Ndiaye est-il le missi dominici chargé de rééduquer les éducateurs ou simplement le favori du moment, idiot utile pour calmer la colonie woke qui a envahi nos palais ? »

Je vous ferai simplement observer que le wokisme est un mouvement qui nous vient directement des USA comme d’ailleurs le féminisme androphobe et l’écologie hystérique qui nous annonce tous les jours l’apocalypse.
Nous sommes imprégnés jusqu’à la moelle de la culture outre-Atlantique et avons depuis longtemps perdu les repères transmis par nos ancêtres.

L’école qu’a connue Marcel Pagnol, c’est terminé. Désormais les "petites têtes blondes" (expression qui tombe en désuétude) se mettent à contredire ce qu’enseigne leur professeur d’histoire et de sciences naturelles : non nos ancêtres ne sont pas les Gaulois, non l’Homme ne descend pas du singe, non l’univers n’a pas 15 milliards d’années, etc.

Je ne vois pas trop ce que vient faire "le Prince" dans l’adaptation de l’enseignement à une société qui évolue en permanence.
Ce serait J-L Mélenchon, Marine Le Pen ou Marcel du Genou au pouvoir, cela ne changerait pas grand-chose.

[Rédigé par : Giuseppe]

Je me souviens, nous appelions cela des opérations commando, le client nous confiait la commande à la condition d'être livré en temps et en heure.
C'est ce qui faisait la différence, on ne se posait pas trop de questions, travailler sans compter, les équipes jouaient le jeu et aussi la récompense financière pour la reconnaissance.

En plus, tous, on se faisait plaisir, on aimait cela, l'abnégation... et "les décomptes se passeront d'autant mieux que nous serons livrés en temps et en heure"... Eh oui ! Parfois c'était rude, aujourd'hui est-ce que ce serait tolérable ? ça ne pleurnichait pas... Harcèlement bêtise... Au fond les rapports étaient plus sains, un seul but, avancer, plus j'y pense plus je me dis que l'on régresse.

À partir du moment où le rugby a des règles, doit-on l'interdire ? Pourtant c'est brutal et physique, c'était pareil parfois quand au pied du mur il fallait s'élever. Les règles étaient là, que des soutiers, des soldats, il y avait du mousquetaire et du Flambard, la vigilance était grande pour la santé de tous et la confiance inébranlable, expliquer la méthode et gratter les ballons qu'il fallait, il fallait y mettre la tête comme on dit chez nous.

[Rédigé par : elektra]

Le contrat social est là, foulé à nos pieds par tous les tenanciers du darwinisme social.
Le contrat social demande aux parties prenantes modération, écoute, respect mutuel et surtout interdépendance des parties prenantes.
Le libéralisme a nettoyé tout cela par la relation commerciale fugace sacralisant la primauté du profit tout en croyant faire ami-ami le temps du contrat. C'est dire que ça n'a rien à voir avec les fondements d'une civilisation.

Difficile de deviner si on repart pour un cycle complet et une période de "guerre civile" puis paix des braves, ou bien s'il s'agit d'une oscillation et que les protagonistes vont se ressaisir.
Les riches et nantis qui tiennent discrètement les manettes ne sont-ils partageurs et civilisés que quand cela chauffe pour leur matricule ?

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Robert Marchenoir | 09 novembre 2022 à 00:47

Les doigts collants de confiture, vous persistez... Même le Mailonline n’est pas aussi hostile que vous au NHS, puisqu’il indique que, sur les certificats de décès concernés, la faim et la soif sont mentionnées soit comme cause principale de la mort, soit parmi ses diverses causes. Et il n’est nullement précisé si, à leur arrivée à l’hôpital, ces patients présentaient ou non des signes de déshydratation ou de malnutrition. Ainsi, pendant la canicule de 2003, on a eu aussi à déplorer des décès dans nos hôpitaux pour cause de déshydratation... Et personne n’a dit que les équipes médicales étaient responsables de leur mort...sauf peut-être vous, puisque « l’hôpital est communiste »... Bref, l’une des entrées du goulag...

Et vous vous en donnez à cœur joie en alignant aberrations - le Daily Mail n’a pas besoin de vérifier ses informations, écrivez-vous... - et amalgames. L’emploi de l’expression « Tout indique que... » est typique de cette dérive dont vous êtes coutumier. « Tout » ? Mais encore ?... Sans oublier naturellement le petit chouïa habituel de racisme et une agression sans motif contre Ellen...

Pour conclure, je vous souhaite de bons vieux jours, entouré d’un médecin venu de Kinshasa, d’une infirmière originaire du Bengladesh et d’une aide-soignante moscovite... Bien que ces trois personnes seraient beaucoup plus utiles dans leur pays qu’auprès d’un tel grincheux.

-------------------------------------------------------

@ Achille | 09 novembre 2022 à 08:21
« Non ce n’est pas du tout le concept éducatif macronien... »

Allez, je vous crois sur parole... Mais alors quel est-il ? Quelles sont les directives précises parvenues de l’Olympe dans toutes les écoles de France et de Navarre et chez tous ces parents incapables d’élever leur progéniture sans les conseils avisés du Prince ? Pap Ndiaye est-il le missi dominici chargé de rééduquer les éducateurs ou simplement le favori du moment, idiot utile pour calmer la colonie woke qui a envahi nos palais ? Parlez, mon bon Prince... La France et ses enfants attendent votre Verbe (ou vos oukases, c’est selon...) 2 et 2 font-ils toujours 4 ? La Terre est-elle encore ronde ? Restera-t-il autorisé d’enseigner qu’en solfège, une blanche vaut deux noires ?

Plus sérieusement, il est temps, et même urgent, que l’exécutif se ressaisisse et présente une vision claire de la méthode qu’il entend employer pour que notre pays ne continue pas à stagner dans les bas-fonds des classements mondiaux en matière d’éducation. Et surtout, Achille, ne me dites pas que le Prince n’y est pour rien. Cela fait six ans qu’il tâtonne... et que la situation se dégrade encore plus.

-------------------------------------------------------

@ hameau dans les nuages | 08 novembre 2022 à 17:14

Sans l’ombre d’une hésitation, Momo fait partie de notre communauté nationale, qu’il soit de nationalité marocaine, naturalisé Français ou Français de naissance. Nous connaissons tous de tels immigrés. Eux sont « une chance pour la France » et chacun partage votre point de vue, sauf peut-être certains débatteurs obnubilés par le QI...

Cela dit, alors qu’autrefois, avant « les événements », Momo aurait représenté la quasi-totalité des Maghrébins résidant en France, il est aujourd’hui, sinon l’exception, du moins une espèce plus rare. Et il est vrai que, si on ne le connaît pas, le regard qu’on porte a priori sur lui n’est pas des plus bienveillants. Il est la première victime de l’immigration de masse, non contrôlée, non maîtrisée.

Momo et tous ses semblables - j’ose encore croire qu’ils sont des centaines de milliers - ne retrouveront leur place et leur tranquillité dans notre société que lorsqu’on aura réussi, d’abord, à séparer avec fermeté le bon grain de l’ivraie (*), ensuite à entamer le processus d’intégration du « bon grain », ce même processus qui a permis la « francisation » de Momo.

Comme le suggère Macron, cela peut se faire au sein des plus petits villages, mais à une seule condition : que l’ivraie ne puisse pas s’y installer. Pour elle, qui ne comprend que les rapports de force, les solutions coercitives sont indispensables, y compris la résidence surveillée loin du « quartier » dès la première incartade. Méthode dont on ne devrait pas non plus exonérer les délinquants « de souche ». Un hiver sur le plateau du Larzac doit calmer l’ardeur guerrière... Ils seraient comme au bled, la neige en plus.

(*) Bien sûr, pour faciliter la manœuvre, il convient d’abord de s’assurer de ne plus en importer... D’où la nécessité de limiter le droit d’asile à ses seul vrais éligibles, de déterminer des quotas d’immigrés par métier et de mettre fin au regroupement familial.

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Robert Marchenoir | 09 novembre 2022
"Continuez à prétendre que des hôpitaux d'État et une assurance-maladie d'État sont les mieux à même de soigner correctement les gens. Je penserai à vous lorsque ce sera votre tour de mourir de faim dans un établissement de notre merveilleux système-de-santé-que-le-monde-entier-nous-envie."

Il a été chercher son CD, sans explications, il paraît qu'un certain taux dans le sang qu'il affichait aurait dû le faire mourir d'une embolie pulmonaire, et puis au fond cela n'a pas fait avancer la date de RV du pneumologue... Peut-être un lira le CD.

Alors à quoi bon se tracasser.

Ce dont je suis sûr, est que plus de moyens est une hérésie, quand on bouffe du pognon sur un chantier, ce n'est pas plus de moyens mais plus d'intelligence, plus de travail, travailler, y "mettre la tête" comme au rugby, activer la réflexion et redresser la barre... Il faut du courage pour cela, renverser la table, bosser et donner encore plus l'exemple, pour produire mieux et plus.

Et... Mais ceci est une autre histoire, on ne travaille plus en France, le dentiste où je me rends m'a expliqué que désormais on est à l'heure des regroupements, loisirs et deux jours par semaine libres, bien sûr des consultations à 50 €...
Rentrer du pognon, mais faire du ski, de la plage et du soleil... Une autre époque, une autre vie... Vous pouvez dormir tranquilles... Vous pouvez crever tranquilles.

[Rédigé par : Achille]

@ Serge HIREL | 08 novembre 2022 à 18:55
« Est-ce la façon dont la macronie envisage l’éducation des jeunes ? Fort heureusement, il reste encore quelques parents qui en ont une autre conception. Et même quelques profs, qui ont de plus en plus de mal à être entendus dans les couloirs du ministère woke. »

Mon "Fort heureusement" était du second degré, nuance que vous semblez avoir du mal à discerner.
Non ce n’est pas du tout le concept éducatif macronien que de laisser les enfants regarder des séries crétinisantes américaines à la télé, affronter de méchants aliens depuis leur console Nintendo ou encore s’échanger des photos d’eux-mêmes "à poil" sur Facebook. C’est hélas la triste habitude qu’ont pris de trop nombreux parents, toute classes sociales confondues, pour pouvoir se consacrer tranquillement à leurs problèmes d’adultes.
Après on s'étonne que les jeunes deviennent des sauvageons !

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Serge HIREL | 08 novembre 2022 à 18:55

Contrairement à vos allégations agressives et malveillantes, n'y a aucune "manipulation" dans mon commentaire.

Oui, l'article du Daily Mail que j'ai donné en lien date de 2017. Oui, il se base sur des statistiques relatives à une période donnée, par définition. Je sais lire, figurez-vous, et je présume que mes lecteurs savent lire aussi.

Non, contrairement à ce que vous prétendez, le Daily Mail est un excellent journal qui dévoile souvent ce dont les autres ne parlent pas. Y compris sur des sujets concernant la France, figurez-vous.

Non, contrairement à ce que vous dites, il n'a pas besoin de "vérifier" ces informations, car ce sont des chiffres officiels. Quand l'État vous dit : je suis tellement nul que j'ai laissé 1 022 patients mourir de faim et de soif, en 2015, dans les hôpitaux que je dirige (et 7 949 en dix ans), vous le croyez sur parole.

Contrairement à vos accusations grotesques, tout indique, au contraire, que si la situation dans les hôpitaux anglais était aussi grave il y a sept ans déjà, elle ne s'est pas améliorée depuis. Au contraire. N'importe quelle personne qui suit un tout petit peu la situation du National Health Service sait cela.

Et d'ailleurs, on s'en tape. En 2015, le NHS était un organisme d'État, et il a laissé 1 022 malades mourir de faim et de soif dans ses établissements. Cela devrait suffir à prouver la nocivité de l'étatisme, même si les hôpitaux anglais avaient été privatisés depuis -- or ils ne l'ont pas été.

Je pourrais vous alimenter tous les jours en histoires d'horreur concernant la médecine anglaise : malades gisant par terre dans la rue pendant une journée entière le temps que l'ambulance arrive, patients renvoyés chez eux dix fois de suite avec une aspirine avant de mourir (c'était un cancer du cerveau), agressions sexuelles commises par des médecins d'origine étrangère sur leurs patients... mais ça ferait de la peine à Ellen, qui veut bien ventiler ses indignations à elle mais est incommodée par celles des autres.

Continuez à prétendre que des hôpitaux d'État et une assurance-maladie d'État sont les mieux à même de soigner correctement les gens. Je penserai à vous lorsque ce sera votre tour de mourir de faim dans un établissement de notre merveilleux système-de-santé-que-le-monde-entier-nous-envie.

[Rédigé par : F68.10]

@ Ellen
"...commentaires trop longs et souvent sans rapport avec le billet, étalages interminables sur le QI et les neurones entre Blancs et Noirs n'ayant aucun lien avec le billet du jour. Ça devient insupportable."

Je vous confirme que cela fait quelques décennies déjà que je trouve ces discussions sur le QI particulièrement insupportables, Madame.

[Rédigé par : Ellen]

M. Bilger, je continuerai de lire vos billets mais cette fois sans y intervenir pour livrer mon opinion. Beaucoup de vos correspondants en ont fait de même. Ils se sont retirés du circuit. Pour cause: commentaires trop longs et souvent sans rapport avec le billet, étalages interminables sur le QI et les neurones entre Blancs et Noirs n'ayant aucun lien avec le billet du jour. Ça devient insupportable.

Persévérez dans vos convictions et demandez à Sud Radio de vous laisser le temps de réponse nécessaire sans vous mettre la pression vous demandant d'être bref.
Merci.

Ecoutez Laurent Obertone, le seul à qui tout le monde laisse la parole illimitée.

[Rédigé par : Jérôme]

Vous dites, cher hôte : "de ministres demeurés inconnus."
Inconnus est de trop.

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Robert Marchenoir | 08 novembre 2022 à 16:44

Vous voici pris en flagrant délit de manipulation. L’article du « Mailonline » que vous citez date du 9 janvier 2017 et les statistiques qu’il publie portent sur deux ans (2015-2017). Strictement rien ne dit que cette situation dramatique perdure... Même si le NHS n’est pas un modèle du genre en matière de services rendus. Le 13 octobre dernier, l’agence Belga indiquait que, fin août, sept millions d’Anglais étaient sur liste d’attente pour accéder aux soins...
De plus, le Daily Mail et Le Mail on Sunday, auxquels ce site appartient, ne sont pas particulièrement réputés pour leur souci de vérifier leurs infos...

--------------------------------------------------------------------

@ Achille | 07 novembre 2022 à 07:36
« Fort heureusement, nos petits-enfants ont tous un smartphone, une console de jeux, un écran plat dans leur chambre et se fichent complètement des lamentations des adultes. »

Est-ce la façon dont la macronie envisage l’éducation des jeunes ? Fort heureusement, il reste encore quelques parents qui en ont une autre conception. Et même quelques profs, qui ont de plus en plus de mal à être entendus dans les couloirs du ministère woke...

--------------------------------------------------------------

@ Claude Luçon | 07 novembre 2022 à 15:43
« ...connus sous le faux titre de journaliste et même Grand reporter... »

https://rsf.org/fr/6-mois-de-guerre-en-ukraine-8-journalistes-tu%C3%A9s#:~:text=Evgueni%2C%20Brent%2C%20Maks%2C%20Pierre,des%20forces%20russes%20en%20Ukraine.

Votre diatribe concerne-t-elle aussi ces huit journalistes tués pour avoir tenté de vous informer ? Dans le monde du pétrole, il est vrai qu’il n’y a pas de petit ingénieur, il n’y en a que des grands, mais, parmi eux, il a existé des professeurs Nimbus qui ont inventé « l’avion renifleur »... Pour votre info, le titre de grand reporter est acquis par un reporter après quelques années de bouteille ou désigne un journaliste couvrant un conflit.

[Rédigé par : caroff]

Il me semble que le rugby n'est pas un sport aussi "totalisateur" que le football. En France, il y a 244 000 licenciés pour le ballon ovale et 2,4 millions pour le ballon rond. En outre, la couverture géographique du Top 14 est réduite au sud de la Loire hormis les deux clubs parisiens.
En pro-D2 c'est à peu près identique (Vannes est l'exception).

Je suis aussi frappé par le public des matchs de rugby de l'équipe de France qui est loin d'agréger la "diversité" des matchs de football. Je ne parle pas du public du foot au Stade Vélodrome avec une palanquée de jeunes des cités qui viennent soutenir l'OM.
Rien de tel dans les rencontres de rugby.
Par conséquent, je ne crois pas aux vertus rassembleuses de notre XV de France que j'encourage depuis 1964 avec un coeur vibrant !

[Rédigé par : Serge HIREL]

Panem et circenses... Il y a cent ans, encore abasourdis par la boucherie que fut la Grande Guerre, les Français étaient pourtant fiers, fiers de leur patriotisme, fiers parce qu’unis, ils avaient vaincu le Kaiser. Il y a un peu plus de cinquante ans, les Français étaient fiers de leur « Concorde », de leur « France », de leur électricité nucléaire... Mais, déjà, le mal couvait, cette fierté n’étant plus qu’industrielle. Mai 68 et la chienlit qui, depuis lors, n’a cessé de se développer, l’a aggravé... au point qu’aujourd’hui, la fierté des Français ne s’exprime plus que le soir des matchs gagnés... au point qu’on glorifie un boulanger dont on découvre un peu tard la proximité avec des individus bien décidés à nuire aux Français.

Panem et circenses... On sait tout des larmes de la candidate renvoyée de la Star’Ac, rien des chercheurs français qui veulent faire de l’hydrogène l’énergie de demain. On sait tout du « scandaleux » salaire du PDG de Total, rien de la puissance économique que représente ce groupe pour la France. On sait tout des gesticulations médiatiques du Prince en Egypte, rien des circonstances réelles de sa défaite cuisante au Mali, face à un régime manipulé par Poutine.

Comme l’Empire romain au déclin de sa suprématie, la France, plus que tout autre Etat européen, est devenue une société du spectacle, où les artifices masquent la décadence, où d’authentiques aspirants tyrans se la jouent défenseurs des droits, où seules les causes les plus futiles déclenchent l’union d’un instant. Dans nombre de dictatures, les exploits sportifs, acquis plus ou moins sans recours à la drogue, ont servi de symbole de leur puissance, ont galvanisé leurs citoyens.

En France, aujourd’hui, nous sommes dans l’exact contraire : la victoire sportive fait oublier la ruine, dissimule le chacun pour soi... Quelle importance attacheront les Français aux 70 milliards d’euros de déficit commercial probable en 2022 si les Bleus reviennent du Qatar avec une troisième étoile ? Le Prince est devenu maestro en matière de roublardise ludique et donnera le meilleur de lui-même en 2024. Les JO de Paris seront son chef-d’œuvre.

Notre hôte dresse une liste impressionnante des carences dont souffre la France. Elle n’est malheureusement pas exhaustive tant, de quelque côté que l’on regarde, il faut la compléter, en particulier en ce qui concerne la gabegie de l’assistanat social. Je crains que, même en s’y consacrant nuit et jour, nul ne puisse réussir à venir à bout de ces travaux d’Hercule... Alors continuons à nous contenter d’applaudir les Dupont, à nous satisfaire de médailles en chocolat... à défaut de justifier nos fiertés par d’authentiques exploits, tel celui de 1918 : le retour total à notre souveraineté. La mort de la France sera douce...

[Rédigé par : hameau dans les nuages]

@ sylvain | 08 novembre 2022 à 15:23

Votre boulanger, ou celui d'Achille, est comme le plombier Momo que je connais. Il travaillait dans une grande surface alimentaire. Avant de le connaître j'entendais parfois un "On demande Momo à la caisse centrale !". Il est devenu artisan plombier à son compte. Je l'ai fait venir dernièrement pour une soudure mal placée à faire. Plus Français que certains Français.

Ce sont ces gens-là que je défends contre cette pègre gauchiste ayant fait de la sociologie militante sur les bancs de la fac, ainsi que contre ces humanistes-caviar œcuméniques.

Ces français d'origine immigrée, en l'occurrence marocaine, seront pris dans la tempête au premier chef car reniés par les deux côtés de la barricade. Délit de faciès d'un côté et apostasie de l'autre.

Comment peut-on ne pas comprendre cette évidence ?

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Giuseppe | 08 novembre 2022 à 09:32
"Mourir de faim dans un hôpital c'est quoi l'étape suivante ?"

C'est tout à fait normal. Vous réagissez parce que c'est la première fois, mais ensuite vous vous habituerez. En Angleterre, c'est une chose banale depuis longtemps : deux patients meurent de faim ou de soif chaque jour dans les hôpitaux.

Le point commun entre la France et l'Angleterre ? Tous deux ont un système de santé communiste. Le britannique est encore plus communiste que le français, donc on y meurt beaucoup plus.

Le communisme, c'est la pénurie et la famine.

La seule façon d'y remédier, c'est de réclamer une libéralisation et une privatisation du système de santé, et non "plus de moyens".

Plus de moyens pour les hôpitaux d'État, ça veut dire plus de vieilles dames mourant de faim parce que des fonctionnaires imbéciles et irresponsables leur refusent à manger sous prétexte "qu'elle va être opérée demain", alors que les mêmes repoussent sans cesse l'opération.

En Angleterre, la privatisation du National Health Service est enfin entrée dans le débat public. Les grands médias de droite en parlent ouvertement. Et pourtant, le caractère communiste du système de santé est une religion irrationnelle à laquelle communient la plupart des Britanniques, quel que soit leur bord politique.

Quel homme politique, média, intellectuel, économiste, médecin ou leader d'opposition français milite pour une large privatisation de la Sécurité sociale et des hôpitaux ?

Il faudrait, pour cela, que les Français, "peuple" et "élites" confondus, cessent de considérer les fonctionnaires comme des saints, les infirmières comme des religieuses (mais seulement celles qui sont payées par l'État, bien sûr !), et ainsi de suite.

[Rédigé par : sylvain]

@ Achille

Votre boulanger, du temps de Fernand, ne sortait pas la nuit pour incendier des voitures, caillasser les flics, les pompiers et médecins, donner des coups de couteau, voler et violer, il n’avait pas le temps, il bossait, la nuit il la passait devant four et pétrin.

Un immigré bosseur, un bon parmi les milliers d’autres délinquants parasites sociaux profiteurs des aides et allocs généreusement distribuées, suffit de squatter escaliers et salles d’attentes des CAF la journée, dealer copieusement dès la tombée de la nuit, tirer aux mortiers sur les postes de police et éventuellement éventrer égorger étriper une bonne femme de ménage qui se rendait de bonne heure à son travail, en prétextant que c’est Allah qui a guidé son bras.

Mais je fais du Zemmour là ! BEN VOYONS !

[Rédigé par : Giuseppe]

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/la-famille-de-la-ministre-de-la-transition-%C3%A9nerg%C3%A9tique-agn%C3%A8s-pannier-runacher-li%C3%A9e-%C3%A0-des-paradis-fiscaux-et-un-g%C3%A9ant-du-p%C3%A9trole/ar-AA13RKZn?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=9dd3dacf78b74849cf339ab9bf85e75d

Pendant que l'on discute de la couleur des maillots - c'est important aussi -, les oligarques français continuent leurs petites affaires.
On a vu le patriotisme fiscal de Cahuzac et de tant d'autres qui ne valent pas le chanvre dont on fait les cordes.

On ne crachera jamais assez sur ces personnages, lapidés de crachats ils mériteraient, traîtres à leur pays ils vont planquer ailleurs comme les plus immondes crapules et autres receleurs.

Alors éblouissons-nous des exploits d'Antoine Dupont, il est extraordinaire d'abnégation pour son pays, il a un salaire 880 fois moins élevé que celui de Mbappé, et en plus il se fait chasser et prend des coups juste pour être le meilleur joueur de rugby du monde, que les Rosbifs nous envient, Eddie Jones qui le bade.

Tout cela est bien cruel, en plus les profiteurs de notre pays, Castaner qui ne mérite rien va hériter d'une rente, traverser la rue sous Manu et un salaire qui dépasse l'entendement. Des postes dorés sur tranche pour ceux qui ont dévalué notre beau pays qui l'ont mis en friche.

Je suis en colère, Buzyn qui pleurniche, elle aurait pu clamer haut et fort à l'époque, elle en avait les compétences, elle a clamé avec force très doucement ce que le pays allait vivre.

Elle peut raconter tout ce qu'elle voudra elle n'est pas crédible non plus, surtout quand on connaît l'histoire de sa parenté. Crier c'était à sa portée, mais les couloirs soyeux du pouvoir et les postes qui l'attendaient, méritaient bien de murmurer juste ce qu'il fallait pour que personne ne l'entende, et qu'elle puisse écrire plus tard qu'elle avait dit et écrit.

Alors oui la politique est pourrie, un exemple de plus, une femme est morte de faim dans un de nos hôpitaux dont on nous dit que nous avons la meilleure protection de santé du monde, que le mondeentiernousenvie of course.
Un ami a été évacué d'urgence et il attend maintenant un rendez-vous dans 6 mois... Un pneumologue... "Avez-vous le CD ?...", de quel CD pouvait-on lui parler, personne n'y avait fait allusion... Un b*rdel sans nom, pour ce qui fait notre fierté, que lemondeentiernousenvie.

Enarques un jour, misère toujours, Antoine Dupont après ses exploits devrait être comme Jake Sullivan, l'homme qui parle à l'oreille de notre Président, et non pas toutes ces batouilles qui l'entourent depuis des années.

Le chanvre dont on fait les cordes ne coûte pas cher, et le coup de pied aux fesses encore moins. "Avez-vous le CD ?" sous le même toit, le même hôpital, la même misère. J'ai peur d'être malade, j'ai surtout peur de la co*nerie dont on fait des victoires.

[Rédigé par : Exilé]

@ Giuseppe | 08 novembre 2022 à 09:32
« .. on n'a pas d'électricité les centrales rouillent... »

Notre pays qui a su de débrouiller tout seul dans le domaine du nucléaire ne sait plus ni entretenir ses centrales ni même en construire de nouvelles qui fonctionnent et dans les délais, que ce soit en France ou à l'étranger.
Mais rassurez-vous, s'il est impossible de trouver des techniciens qualifiés dans l'art de la soudure dans l'énorme réservoir de main-d’œuvre français, y compris du côté des merveilleuses "chances pour la France" que le monde entier nous envie, les descendants des soldats du général Pershing vont venir à la rescousse :
https://www.bfmtv.com/economie/edf-appelle-des-soudeurs-americains-a-la-rescousse-pour-reparer-ses-reacteurs_AN-202210210045.html

Gageons que ces immigrés temporaires sauront se faire remarquer et estimer par leur sérieux et qu'ils pourront ensuite repartir chez eux avec une juste rémunération sans pour autant faire entretenir ad vitam æternam par le contribuable français toute leur famille y compris leurs ascendants.

[Rédigé par : Robert]

@ Tipaza | 08 novembre 2022 à 08:46
@ Michelle D-LEROY | 07 novembre 2022 à 20:09

Certes les règles du rugby ne sont pas si complexes qu'elles peuvent apparaître. Mais celle du hors-jeu n'a pas la limpidité de celle du football !
J'ai appris à apprécier ce sport collectif à mon arrivée à Castres en 1961 : qui ne connaît à présent le CO ?

Je retiens, cher Tipaza, ce passage de votre commentaire, puisque nous rejoignons dans nos analyses :
"Plus fondamentalement, je partage également les commentaires de Florestan68 et particulièrement celui de Robert qui insiste sur l'évaporation du sentiment national en politique au profit d'une approche européenne, qui se veut mondialiste par des valeurs présentées comme universelles".

Cela me conduit à évoquer en incidente un article que je viens de lire et qui pose la question de la collusion entre nos instances de la justice administrative et la CEDH. Cet article, intitulé "La CEDH abdique devant le Conseil d'État" se trouve sur le site Liberté, Libertés chéries à cette adresse : http://libertescheries.blogspot.com/2022/11/la-cedh-abdique-devant-le-conseil-detat.html

Après cette lecture, on se demande quelle instance nationale ou européenne défend encore les droits des citoyens ! Certes on s'éloigne du rugby, encore que les générations actuelles d'arbitres, notamment dans les matches internationaux, me semblent bien plus rigoureuses et honnêtes qu'il y a quelques années. À comparer avec l'approche de la CEDH...

[Rédigé par : Achille]

@ Exilé | 08 novembre 2022 à 10:33

À l’époque de Fernand Raynaud, c’étaient les Italiens et les Polonais qui posaient problème. C’est en tout cas ce qu’affirment de vieux Italiens de ma connaissance qui vivent à Villerupt. Ville où 80 % de la population est d’origine italienne. Pour s’en convaincre il suffit de regarder les noms sur les boîtes aux lettres des habitations.

À noter au passage que Jordan Bardella est lui aussi issu de l'immigration.
Si l’on en croit sa fiche Wiki , "il vient d'un foyer d'origine italienne. Sa famille maternelle quitte le triangle industriel dans les années 1960. Sa grand-mère paternelle (Réjane Mada) est aussi en partie issue de l'immigration, avec un père algérien d'ethnie kabyle (Mohand Seghir Mada) venu en France dans les années 1930 pour travailler comme manœuvre dans le bâtiment à Villeurbanne."

Bon il a bien rétabli sa conversion vu que désormais "il est en couple avec Nolwenn Olivier, nièce de Marine Le Pen, fille de Marie-Caroline Le Pen (sœur aînée de Marine Le Pen) et de Philippe Olivier. Devenu ainsi un habitué de la propriété familiale de Montretout", ce qui, au passage, n'est pas vraiment apprécié par certains de ses amis de son propre parti.

C’est ce qu’on appelle une belle intégration sociale puisque maintenant le voilà président du RN à seulement 27 ans ! :)

-----------------------------------------------------------

@ hameau dans les nuages | 08 novembre 2022 à 09:45
Vous voulez manger de ce pain-là ?
https://www.leparisien.fr/paris-75/makram-akrout-le-boulanger-meilleure-baguette-de-paris-ne-livrera-pas-lelysee-04-10-2021-HNEIPAZHAJF4NDUM2WRUT6YQP4.php

Manifestement le pain est excellent. Ce sont les idées qui posent problème.
Mais s’il perd un client comme l’Élysée, je pense que Makram Akrout reviendra rapidement à de meilleures dispositions.
Sinon son chiffre d’affaire risque de s’en ressentir et il ne pourra plus faire marcher les Français à la baguette et certainement pas le Président !

[Rédigé par : sylvain]

@ hameau dans les nuages

Les bobos- socialos- communos - gauchos et tout ce qui finit en os, les Nupos, ne sont que de fieffés démagos hypocrites menteurs hâbleurs, la crème et le gratin des parasites profiteurs assistés de la société.

Ils sont très partageurs... de l’argent des autres.
Ils sont très accueillants et solidaires des migrants... chez les autres.
Ils sont pour un ISF sur la fortune des gens de droite, pas sur celle des gens de gauche.
Ad nauseam.

Ils diabolisent la droite en se parant de toutes les vertus mais les seuls vrais fascistes qu’on ait en France sont à gauche.

Des réactions fachos staliniennes (de Fournas) : ils voudraient bien envoyer les zemmouriens et RNistes dans un goulag mais ils ne le peuvent pas, ils sont fermés pour le moment.

La gauche revient au pouvoir ? Ils demandent leurs réouvertures, c’est à cela que l’on reconnaît le fascisme de gauche.

Fascisme de gauche : goulags.
But : exterminer les opposants.

Le fascisme de gauche, par pudeur, appelle cela des camps de rééducation, nous y sommes, la nupisation wokiste de la société y contribue avec un zèle hallucinant : pas besoin de barbelés de miradors, c’est ringard, la propagande merdiatique islamogauchiste LGBT distillée par les films, séries, pubs, émissions de téléréalité, divertissements, mode, odieux visuel, sont bien plus efficaces que les goulags staliniens.

[Rédigé par : Exilé]

@ Achille | 07 novembre 2022 à 20:57
« Allez, un petit sketch de Fernand Raynaud "L’étranger".
Il date des année soixante mais il n’a pas pris une ride ! »

Sauf que ce que nous vivons et subissons actuellement n'a plus aucun rapport avec ce qui aurait pu se passer dans les années soixante dans le sketch fictif de Fernand Raynaud.

Même la Bible, qui préconise à plusieurs reprises l'accueil de l'étranger, étranger qui n'avait par ailleurs pas le même sens que de nos jours et n'était pas nécessairement membre d'une autre nation, étranger isolé de passage, fait la distinction avec des étrangers réunis en peuples constitués hostiles se comportant de façon dévastatrice à l'encontre de la nation qui avait péché. 

« Voici, je ferai venir contre toi des étrangers. Les plus violents d'entre les peuples. Ils tireront l'épée contre ton éclatante sagesse. Et ils souilleront ta beauté ».
(Ézéchiel 28:7)

Ceci dit, dans certains secteurs, le nouvel étranger est de fait le franco-Français isolé, qui ne trouve plus que des boucheries halal, des boulangeries-pâtisseries qui ne lui proposent plus que des « cornes de gazelle » mais plus de religieuses, sachant que les charcuteries ou bien les commerces vendant autrefois des boissons alcoolisées ont été éradiqués depuis belle lurette.

[Rédigé par : hameau dans les nuages]

@ Achille | 08 novembre 2022 à 08:03

Vous voulez manger de ce pain-là ?

https://www.leparisien.fr/paris-75/makram-akrout-le-boulanger-meilleure-baguette-de-paris-ne-livrera-pas-lelysee-04-10-2021-HNEIPAZHAJF4NDUM2WRUT6YQP4.php

[Rédigé par : Giuseppe]

https://actu.orange.fr/france/patiente-morte-de-faim-au-chu-de-dijon-le-bouleversant-temoignage-de-ses-enfants-magic-CNT000001UvT9t.html

Nous sommes dans un pays de cinglés... 2022, et l'on nous parle d'intelligence artificielle, d'un lascar du PSG à qui l'on fait un pont d'or, un Président qui ne fait que des discours, pendant qu'un grand dadais ministre de l'Economie et des Finances court après une inflation.

Et pendant ce temps-là on crève, le sport a ses limites, il ne guérit pas, il n'améliore pas la compétence et surtout on pourrit de bêtise immonde.

Mourir de faim dans un hôpital c'est quoi l'étape suivante ?... Tous les procès du monde n'y feront rien et à cette heure-ci j'ai honte, honte à en vomir.
J'irai toujours au stade, mais bon sang que nous sommes un pays triste.
On ira faire la Coupe du monde au Qatar.

Les dirigeants se succèdent avec la même nullité, on n'a pas de gaz mais il faut mettre un pull, on n'a pas d'électricité les centrales rouillent, on n'a pas d'hôpital, la mort au bout du couloir... Quelle belle mort, mourir de faim dans un lit d'hôpital... Pas au pays de Bourbaki, non, non, en France au pays d'une des plus grandes puissances du monde, celle qui va dicuter de CO2, alors qu'on n'arrive même pas à trouver un bout de pain. À vomir.

[Rédigé par : Tipaza]

@ Michelle D-LEROY | 07 novembre 2022 à 20:09
"Et je n'ai même pas le plaisir de regarder le rugby dont j'ignore totalement les règles."

La règle est simple, elle traduit le sado-masochisme anglo-saxon.
Il s'agit d'avancer vers la ligne d'en but adverse en passant le ballon à un partenaire en retrait. Plus schématiquement le joueur avance pendant que le ballon recule !
Un fois ceci compris, vous avez tout compris, le reste est constitué de détails qui changent régulièrement.

Plus fondamentalement, je partage également les commentaires de Florestan68 et particulièrement celui de Robert qui insiste sur l'évaporation du sentiment national en politique au profit d'une approche européenne, qui se veut mondialiste par des valeurs présentées comme universelles.

Le titre du billet parle du XV de France, il ne parle pas du XV franco-allemand, ou d'un XV européen, ou autre supercherie consistant à dissoudre l'esprit national dans une coopération qui n'est que trop souvent une soumission à l'autre, comme c'est le cas avec le couple franco-allemand.

C'est un XV de France qui gagne.
Dans cette victoire le sentiment national peut être exalté sans être stigmatisé par les mondialistes pervers, et ce sentiment national est amplifié par l'unité culturelle de l'équipe, dont la composition reflète bien l'état de peuplement souhaité par beaucoup, c'est à dire une faible diversité parfaitement intégrée et assimilée.

Au fond de lui, le peuple français est franco-français, sans exclure les autres, et c'est ce que démontre la composition du XV de France, dont les victoires sont celles que l'on souhaiterait voir dans d'autres domaines que le rugby.

[Rédigé par : sylvain]

Puisque nous sommes sur le billet rugby, j’ai une idée formidable comme à chaque fois : avec tous ces millions de migrants désoeuvrés qui squattent parcs jardins squares de toutes nos villes et villages, pourquoi ne pas les initier au rugby ? Nous pourrions même organiser une sorte de CAN des nations africaines de rugby puisqu'elles sont dorénavant toutes représentées chez nous, et avec les futurs arrivages il n’y aura pas pénurie comme pour les boulangers de notre Fernand national.

Faudra juste que les stadiers, arbitres et dirigeants vérifient qu'ils n'aient pas de couteau dans les poches des shorts, et qu’ils n’amènent pas de tapis de prière sur les pelouses, pas de crack non plus en guise de citrons Allah mi-temps.

Je vais illico presto subito envoyer ce message Allah FFR.
Ne m'applaudissez pas, je vais rosir de modestie.

[Rédigé par : Achille]

@ sylvain | 08 novembre 2022 à 07:37

Ben oui, sylvain, que voulez-vous. On est dans le pétrin.
La France a mangé tout son pain blanc. Désormais il lui faut se satisfaire du pain au sarrasin (sans gluten). Et peu importe qui met la main à la pâte ! :)

[Rédigé par : sylvain]

J’adore Achille qui défend le gentil boulanger immigré, je pense qu’il va aussi défendre les milliers de migrants criminels qui distribuent et nous offrent généreusement et gratuitement des milliers de coups de couteau sous prétexte qu’il y aurait parmi eux des futurs Fernand Raynaud boulangers. C’est pour ça que la macronie va en distribuer dans tous les villages de France, il y a pénurie de boulangers, ça vaut bien quelques coups de couteau, ben voyons.
En attendant, le Hidalgokistan ne risque pas de manquer de boulangers, on annonce aux infos une invasion de migrants sans précédent, les Zotorités auraient été prises de court et dépassées, BEN VOYONS !

[Rédigé par : Vamonos]

Si le rugby était un moyen de réconcilier les frères ennemis de manière durable, les Springboks ne seraient pas en proie à des luttes intestines.

Dans l’un des pays les plus dangereux du monde, le rugby est profondément assimilé à la suprématie blanche. Les politiques de quotas ont rapidement démontré qu’elles étaient contre-productives. Les sponsors veulent bien une équipe mixte et même avec plus de Noirs à la condition que l’équipe gagne et que l’argent rentre, que le retour sur investissement soit correct. Or, ce n’est pas le cas.

Les meilleurs joueurs partent à l’étranger où ils se font naturaliser. De plus, les spectateurs noirs préfèrent le foot ou bien applaudissent carrément les adversaires des Springboks.

[Rédigé par : hameau dans les nuages]

@ sylvain | 07 novembre 2022 à 18:01

Oui Béarn et Pays basque sont des lieux de passage comme pour les palombes. À part l'extrême gauche, ceux qui favorisent leur accueil sont souvent des cadres supérieurs retraités jouant les grenouilles de bénitier et qui ont tellement d'amour à donner… Ce qui est étonnant c'est que bien que possédant un patrimoine immobilier conséquent, ils ne le mettent pas à contribution. Et ils seront les premiers à souhaiter la réquisition de ce qui appartient aux autres. Heureusement dans le monde rural tout arrive à se savoir et je pense que des gens raisonnables indiqueront leurs adresses aux migrants qui resteraient sur le bord de la route ou de la voie ferré faute de place.

Il se dit qu'un élu très connu du Landerneau local, pro-migrants et à la tête d'une famille nombreuse très comme il faut, vient de voir débouler dans la famille un enfant ébène issu d'une relation amoureuse. Et que les portes se ferment depuis. Mais vous savez ce que c'est. Les gens sont tellement mauvaises langues !

[Rédigé par : Achille]

@ Exilé | 07 novembre 2022 à 11:26
« J'ai l'impression que vous oubliez qu'il y a quelques milliards de gens comme eux qui rêvent aussi de débouler dans un tel pays de cocagne.
Qui va payer ? Vous ? »

Allez, un petit sketch de Fernand Raynaud. L’étranger.
Il date des année soixante mais il n’a pas pris une ride ! 😊

[Rédigé par : Michelle D-LEROY]

Un beau billet avec une liste non exhaustive de tous les problèmes qui s'accumulent et qui annoncent un avenir sombre.

Les commentaires de Robert à 12 h 31 et Florestan68 à 13 h 29 correspondent à mon ressenti, en regardant "le délitement d'une France dont les repères se brouillent ou se brisent" (PB).

Et c'est bien là le problème, ce sont les repères qui sont soit inexistants, soit si différents entre générations, entre les populations urbaines et rurales et surtout entre cultures diverses. Sans oublier les revendications et les provocations parfois violentes de minorités multiples.
Et malheureusement je ne vois personne à l'horizon pour calmer les esprits, rassembler ou même essayer de remettre un peu d'ordre, c'est plutôt l'inverse. L'adage "diviser pour mieux régner" a trouvé ses limites.

En tout état de cause, ce qui me rassure, si je puis dire, c'est de constater que je ne suis pas seule à faire le même constat...
Et je n'ai même pas le plaisir de regarder le rugby dont j'ignore totalement les règles.

[Rédigé par : Exilé]

« Le droit de propriété laisse les squatteurs indifférents... » (PB)

À la limite, ils ne font que leur sordide travail et au point où ils en sont, c'est le cadet de leurs soucis.
Ce qui est grave, c'est surtout que ni la justice, ni les parlementaires ni les prétendus pouvoirs public en général ni les organisations supposées veiller au respect des droits de l'homme ne bondissent comme un seul homme sur ce qui est à chaque fois une atteinte à un droit garanti (?) par la Constitution, en coopérant au moins par leur passivité ou par leur inertie à ce forfait qui devrait entraîner une réponse rapide comme l'éclair.
Et en nous obligeant de nous demander une fois de plus à quoi ils peuvent bien servir.

[Rédigé par : sylvain]

@ Florestan68 | 07 novembre 2022 à 13:29
"...le Sud-Ouest, terre de rugby par excellence, est relativement épargné par l'immigration massive."

Houlà ! Nous ne devons pas avoir le même ophtalmo ni les mêmes observateurs. Des cars entiers arrivent d'Espagne par Irun, par Portbou et par les cols pyrénéens classiques ; nos amis espagnols nous en font volontiers cadeau par centaines, les gendarmes ne se déplacent plus, les associations gauchistes les accueillent et les instruisent sur leurs droits mais surtout pas sur leurs devoirs ce serait fasciste et raciste.

Quelques mots appris par coeur, quelques traces bizarres attestant qu’ils ont été torturés dans leurs pays, droit d'asile droit du sol droit d'avoir tous les droits.
Le Sud-Ouest vote à gauche, c‘est génétique chez eux, ils se sentent obligés de faire du "de gauche" et surtout pas du "Zemmour".
BEN VOYONS !

[Rédigé par : Claude Luçon]

"Le XV de France : seul consensus, lien ultime ?
Un temps suspendu où on rêvait que la France du rugby fût la France tout court." (PB)

Il faut dire "Les XV" de France car il fallait aussi regarder plus tôt les filles se coltiner avec les Néozélandaises.
Elles ont perdu d'un petit point mais quelle bataille !
Cet exemple est chez les Français et les Françaises !
Un sport venu de l'autre Bretagne, cette ancienne colonie angevine, qui lui a apporté le fameux french flair que Jalibert et Penaud ont rappelé aux Australiens samedi :)

Le rugby montre une chose intéressante, nos migrants l'évitent ! Pourquoi ?
Il n'y a aucune tradition de rugby en Afrique noire ni en pays musulmans, en Asie seul le Japon participe, pas de Chinois par contre !

Mais il est faux de croire que le chromosome du rugby ne s'est pas répandu dans notre société, sinon comment expliquer les millions qui se sont manifestés dans les rues de nos villes après le drame de Charlie et du Bataclan, ceux qui acclamaient les soignants pendant le confinement, ceux qui se précipitent pour aider les résidents des villes et villages noyés sous les inondations des pluies torrentielles, ou ceux qui vont aider les pompiers quand nos forêts brûlent, ceux qui participent aux battues pour retrouver une jeune femme disparue... l'esprit est là, il ne manque qu'un coach qui sache conduire les bonnes volontés.

Le rugby a souffert de cette absence jusqu'à l'arrivée du trio Galthié, Servat et Ibanez !
Pour l'instant le reste du pays doit se contenter des Mélenchon auto-nommé Monsieur Répubique, Zemmour l'homme qui hurle à l'oreille des pékins, Bardella dit le Bel Antonio du RN, Ciotti notre mini-Mussolini, tous issus de sociétés où le rugby ne règne pas !
Il nous faut un président gaillard, ce qu'ils étaient de Charles de Gaulle à Chirac, la débâcle a commencé avec Sarkozy le petit, mais qui à part Edouard Philippe ?

On dirige avec sa tête mais aussi avec ses muscles !
On ne passe pas son temps à critiquer tout et rien ce que font nos vendeurs de publicité en déblatérant sur tout et n'importe quoi, autrement connus sous le faux titre de journaliste et même Grand reporter, il semble qu'il n'y ait pas de Petit reporter dans la profession !

[Rédigé par : Patrice Charoulet]

Cher Philippe,

Je crois être le Français qui s'intéresse le moins au foot.
Pour le rugby, c'est pire : je ne peux pas regarder cinq minutes cette chose à la télé.
J'ajoute que je n'ai jamais acheté une seule fois dans ma vie le journal "L'Equipe".
Dans l'union nationale que vous décrivez, je ne figure donc pas.