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29 décembre 2022

Commentaires

Robert

Pour que la magistrature puisse être "heureuse", il faudrait que les membres qu'elle recrute soient imprégnés du sens de la mission, qu'elle renonce dans son exercice à toute influence politique, à l'appartenance à des syndicats (tous sont plus ou moins politisés, le pire étant le SM).
En quelque sorte que, à l'instar des militaires, seul le service de la Nation et de la Loi (intelligente, cela va sans dire) les anime. Mais est-ce le sens dans lequel l’École de la Magistrature les forme ? J'en doute au plus haut point...

Giuseppe

@ Aliocha

J'ai toujours vénéré la perspicacité des femmes, leur côté leste aussi:

https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/presidentielle-2022-quel-est-le-patrimoine-de-jean-lassalle-2126255

"Des comptes bancaires bien vides".

Un vrai parcours de berger et d'agriculteur:

À l'Assemblée nationale
19 juin 2002 – 21 juin 2022 : député de la 4e circonscription des Pyrénées-Atlantiques.
Au niveau local
26 mars 1977 – 16 juillet 2017 : maire de Lourdios-Ichère.
22 mars 1982 – 29 mars 2015 : conseiller général des Pyrénées-Atlantiques (élu dans le canton d'Accous).
1er janvier 1991 – 18 mars 2001 : vice-président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques.
Au sein de partis politiques
27 mars 2010 – 22 août 2016 : vice-président du Mouvement démocrate.
Depuis le 17 mars 2016 : président de Résistons.
Autres
Président de l'association des maires des Pyrénées-Atlantiques.
Président du comité départemental du tourisme des Pyrénées-Atlantiques.
Président de l'Institution patrimoniale du Haut-Béarn (IPHB).
Président de l'Association des populations des montagnes du monde (APMM).

100 ANS DE MANDATS POUR LE BERGER !

https://www.larepubliquedespyrenees.fr/elections/presidentielle/presidentielle-jean-lassalle-en-tete-du-cumul-des-mandats-5106956.php

"À un mois du premier tour de l'élection présidentielle, Jean Lassalle est sacré champion... du nombre d'années de mandats cumulés lors de sa carrière politique ! Avec 106,8 années de mandats cumulés et une carrière de 40 ans, le Béarnais arrive en tête devant François Fillon qui a, lui, cumulé 105,3 années en 36 années."

Quand on sait le salaire minimum d'un député, tous frais payés of course on peut comprendre Femme Actuelle qui s'interroge.
Oh, elles laissent vagabonder les imaginations, sur la base d'un revenu moyen mensuel de député tous frais payés, cent ans de mandats doit représenter un beau Loto, un très beau... Le Berger ne doit pas être très dépensier, la transparence souhaitée par la HATVP a ses modestes limites:

https://www2.assemblee-nationale.fr/decouvrir-l-assemblee/role-et-pouvoirs-de-l-assemblee-nationale/le-depute/la-situation-materielle-du-depute

En fait on est plutôt proche de l'EuroMillions... Bon, un petit quand même.
Pour vivre heureux vivons berger, doit être sa devise. Autour de lui les pâtures doivent être bien grasses.
"Qu'est-ce qu'il était rigolo celui-ci, un vrai boute-en-train !"
Les bergers du côté de chez nous ont l'habitude de côtoyer les ours et les vautours, il connaissait tout cela par coeur pour mieux s'en servir.

Xavier NEBOUT

Le principal mal de la magistrature est celui de l'imposture.
Au civil, celui de l'incompétence (au sens populaire de défaut de qualification). Il faudrait au moins une maîtrise très spécialisée et une solide expérience dans son domaine pour juger de cas relevant de chaque spécialité, et au lieu de cela, nous avons des quasi polyvalents qui bricolent avec ce que leur fournissent les avocats et à condition que les conclusions ne soient pas trop longues parce qu'on n'a pas le temps de les lire.
Par contre, on a son idéologie, et cela suffit pour jouer au justicier.
La justice est encombrée par ces aléas, c'est un foutoir dont seuls les juristes expérimentés ont une idée.

Sur le plan pénal, c'est bien autre chose.
Là intervient la notion d'honneur qui devrait conduire la magistrature à refuser de juger tant qu'on n'aura pas les places de prison nécessaires pour emprisonner sans porter atteinte à la dignité.
Condamner à mort n'est pas avilir.
Mais la notion d'honneur n'est pas la même chez les hommes que chez les femmes - autre sujet inconnu.
Et on rappellera sans cesse l'imposture spirituelle à s'affubler d'une robe de prêtre pour faire dans le sacré alors qu'on ne comprend absolument rien à la spiritualité.

Giuseppe

@ hameau dans les nuages | 29 décembre 2022 à 19:02

J'ai toujours fait confiance aux femmes, elles ont la finesse de l'analyse, alors je fais confiance à Femme Actuelle:

https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/emmanuel-macron-vaccine-pourquoi-le-chef-de-letat-a-recu-une-double-injection-2124107

Mes yeux, quand je regarde la montagne sont protégés de verres Pouilloux, spécialité Vuarnet, équipant les lunettes des skieurs de mon époque, je viens de casser malencontreusement - après des années et des années de service - une branche. Je voudrais récupérer les verres gravés reconnaissables entre mille pour les faire revivre...

Pour le reste, du côté de chez nous, le Berger n'a pas bonne presse, il est celui qui s'est fait la laine sur le dos des citoyens, il n'a fait que cela, rentier à vie de mandats, sa faconde cachait un appétit de loup. Chacun y reconnaîtra les siens.
Très habile, roublard, un peu canaille aussi sans aucun doute, sinon il n'aurait pas duré, un curé qui savait oindre ses ouailles ou oelha en gascon...
Bonnes fêtes, sous le plusbeaupanoramadumonde of course.

Giuseppe

@ Aliocha | 29 décembre 2022 à 16:03
"N'interdisez pas la corrida, s'il vous plaît, sinon Giuseppe...", la dernière à laquelle j'ai assisté c'était aux arènes de Tarragone, nous étions jeunes, les vacances "sol y sombra" comme on disait à l'époque, une "novillada".

On peut interdire la corrida pour moi, nous préférions le sable chaud, c'était l'époque où l'Espagne était un feu d'artifice, la Costa del Sol, la Costa Blanca, les gambas grillées au port de L'Ametlla de Mar achetées à même les bateaux... Les pays nordiques qui débarquaient en nombre, le soleil et la mer... Ils en rêvaient, elles en rêvaient.

Une incroyable liberté de tout, qui s'échappait de partout, la corrida était le moindre de nos soucis... Heu... On pourrait y passer la nuit, Licor 43 Cuarenta Y Tres évidemment et les cheveux qui vous tiendront la tête... On se demandait quand les gens dormaient nous en rencontrions jusqu'au bout de la nuit...

hameau dans les nuages

@ Giuseppe | 29 décembre 2022 à 14:36

Je crois que la vision quotidienne et magnifique du pic du Midi de Bigorre trouble votre vue.

Attendez que la France se libanise avec un communautarisme sanglant. La Syrie est l'un des rares pays du Proche-Orient où la communauté chrétienne a été respectée. Ce n'est pas un hasard.

Libre à vous bien sûr d'approuver Laurent Fabius qui soutenait les djihadistes ainsi qu'Hillary Clinton à travers sa fondation:
https://www.ege.fr/infoguerre/2016/11/les-strategies-d%25e2%2580%2599influence-des-clinton-en-lybie-et-en-syrie

Regardez la Libye. Le "dictateur sanguinaire" a été éliminé et depuis c'est le chaos et les vagues d'immigration vers l'Europe.

Que croyez-vous ? Que c'est par humanité que l'"on" intervient partout, Irak, Afghanistan, Syrie, Lybie ? Partout cela pue le gaz.

https://www.cairn.info/revue-confluences-mediterranee-2014-4-page-95.htm

L'exploitation médiatique dans le registre de l'émotion du petit Aylan mort sur une plage ne vous a pas suffi ? Laissez tomber BFM et France Info. Les bougies, les nounours et les marches blanches pour nos victimes.

Ah oui au fait ! Jean Lassalle dit Jeannot. Quatre mini-AVC depuis janvier suite au "vaccin". Il a déclaré que Macron et d'autres responsables politiques n'avaient reçu aucune dose. Il attend toujours les plaintes pour diffamation… Quel dictateur sanguinaire aurait eu l'idée d'imposer à sa population une telle horreur ?

Thierry

De quelle justice parlez-vous ?
La plupart des Français n'ont accès qu'à une seule justice : celle qui les condamne à payer 90€ pour avoir été flashé par un radar caché au bout d'une ligne droite à "56km/h, retenu 51km/h". Là c'est tolérance zéro, sans procès, sans défense. On ne veut pas savoir si vous étiez en retard de quelques minutes, que vous alliez rater votre train, avec les conséquences que cela peut avoir pour le reste de votre journée, de votre travail, de votre famille. La plus extrême rigueur s'abat sans sommations pour des fautes insignifiantes et surtout sans préjudices pour autrui !

Si vous parlez de l'autre justice, celle qui remue ciel et terre pour accumuler toutes les chances de réduire la faute d'un criminel, alors ne soyez pas étonné de l'image qu'elle a auprès de ceux qui n'ont jamais droit à ces petites attentions faute d'avoir commis un crime suffisant pour les obtenir. Si vous parlez de cette justice qui s'implique dans le débat d'idées et qui définit ce qui est correct et ce qu’il n'est pas correct de dire, convenez que le terme "justice" n'est pas pertinent, et que "ministère de la vertu et du vice" est plus approprié. le débat d'idées ne devrait jamais entrer dans le domaine de la Justice... et pourtant celle-ci se complaît à l'arbitrer.

Exilé

@ H. | 29 décembre 2022 à 14:23
« Navré pour vous mais la Justice n'est pas et ne doit pas être un service "public" ou alors, elle n'est bonne qu'à être une énième officine de notre Etat-providence. »

Exactement.
La justice est avant tout un état d'esprit, une qualité humaine dont seul un petit nombre est revêtu, qui ne s'apprend pas de façon scolaire et dont l'exercice ne devrait relever que de l'équivalent d'un sacerdoce, sous la forme d'une mission de confiance attribuée par ceux qui font appel à elle.
Ce ne devrait en aucun cas être un métier, surtout dans le contexte actuel avec tout l'environnement syndical aux remugles soviétiques pestilentiels qui en France vient tout infester.

Robert Marchenoir

@ H. | 29 décembre 2022 à 14:23
"La Justice n'abritera des magistrats, greffiers et fonctionnaires heureux que lorsqu'elle sera reconnue, fidèle en cela à Montesquieu, comme étant le troisième pouvoir, et non une vulgaire autorité."

Aaaaah... encore l'une de ces formules imbéciles et dépourvues de sens dont la France a le secret. La justice pourrait être une autorité, ou alors elle pourrait être un pouvoir ; et il y aurait une différence.

En fait, elle devrait être un pouvoir, car alors elle aurait plus de pouvoir que si elle était une autorité ; et cela serait préférable.

Les somptueux cuistres qui diffusent ces sottises ne se rendent pas compte que pour les Français normaux, c'est à dire tout le monde sauf une poignée de personnes s'autorisant à s'autoriser, cette phrase ne veut strictement rien dire.

Ou plus exactement, ils s'en rendent fort bien compte, car c'est le but de la manip : assommer les Français sous des sentences prétendument inattaquables auxquelles personne ne comprend rien. Mais qui assurent le statu quo et garantissent les privilèges d'une petite élite.

Dans le même ordre d'idées, citons le célèbre "En France, c'est l'État qui a créé la nation" (sous-entendu : contrairement à tous les autres pays de m... qui n'ont pas la chance d'avoir notre noble État à nous).

J'ai lu cette phrase un million de fois, mais je n'ai jamais lu, une seule fois, une tentative d'explication de ce qu'elle signifie. C'est quoi, un État qui construit une nation ? À quoi distingue-t-on un État qui construit une nation d'une nation qui construit un État ? Qu'est-ce qui fait dire à ces gens qu'en France, c'est l'État qui a construit la nation ?

Est-ce un bien, d'ailleurs, que l'État construise la nation ? Ou est-ce une perversion abominable qui doit être révoquée dans les meilleurs délais ?

Hein ?

Par exemple, pourrait-on me montrer un pays où l'État n'a pas construit la nation (tous les autres, à en croire les sous-entendus des cuistres inopérants qui répètent cette formule en se croyant malins), et me démontrer que ses citoyens vivent dans les griffes du malheur en raison de cet état de fait ?

Ce serait la moindre des choses, puisque ce genre de morceau de langue de bois est brandi au-dessus de nos têtes pour nous intimer : surtout, ne touchez pas à un seul cheveu de l'État obèse et de la fonction publique toute-puissante, qui maintiennent la France en esclavage sous le fardeau de la dépense publique la plus lourde du monde.

Pour en revenir aux magistrats, la dernière chose qu'il faudrait leur accorder, c'est plus de pouvoir.

Plus de toner pour mettre dans les imprimantes, je veux bien. Plus de prisons, c'est indispensable. Plus de postes, c'est sans doute nécessaire. Mais plus de pouvoir ?

Les juges, au sens large, ont un pouvoir tout à fait excessif en France. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d'État s'amusent à tripoter la loi selon leurs caprices, avec des conséquences désastreuses comme la submersion migratoire.

Voilà bien un domaine où, si l'on appliquait la méthode ancestrale du jury d'assises, c'est à dire des "bouchers" et des "plombiers" traduisant la sagesse populaire (comme le dit avec mépris le camarade Charoulet), et non des fonctionnaires pervertis coupant les cheveux en quatre, on aurait des chances de vivre dans un pays plus heureux et plus pacifique.

La justice "pouvoir ou autorité", l'État "construisant la nation" ou l'inverse, voilà bien le genre de finasseries pseudo-intellectuelles avec lesquelles la clique fonctionnaro-politicienne tente d'obscurcir la réalité dans le but de perpétuer ses privilèges.

Sans même y parvenir, puisque, nous l'apprend ici Philippe Bilger, le magistrat français barbote dans le malheur et la morosité.

Michel Deluré

À la question de savoir si un magistrat à le droit d'être heureux, vous précisez PB : « C’est une question que je ne cesse de me poser. Même devenu honoraire, elle me taraude et me conduit, pour aller à l'essentiel, à me demander pourquoi la tristesse est généralement consubstantielle à la magistrature ».

Mais je ne pense pas que ce sentiment de tristesse que peuvent naturellement éprouver certains magistrats soit le seul apanage de cette profession. Il me semble que dans nombre de domaines qui touchent directement au sort de l'humain, tout intervenant doté d'un minimum de conscience éprouve ce même sentiment.

Agir dans le cadre de sa profession, sur le sort d'un quelconque individu, en parfaite connaissance souvent des conséquences parfois dommageables que cet acte aura sur la vie de cet être et éventuellement, par ricochet, de son environnement, ne peut assurément pas laisser indifférent tout décideur normalement constitué. Moi-même, j'ai ainsi éprouvé ce type de sentiment après avoir pris des décisions dont je savais, même si elles étaient parfaitement fondées, qu'elles avaient pour conséquence de condamner économiquement certains entrepreneurs dont la situation financière n'était plus viable, ce dernier argument ne suffisant pas à me faire accepter ma propre décision en toute sérénité.

Aliocha

N'interdisez pas la corrida, s'il vous plaît, sinon Giuseppe va finir par bouffer Lassalle avec Laurence Haïm au réveillon, en guise de dinde aux marrons.
Notre hôte, quant à lui, s'est déjà envoyé pour Noël en guise de chapon farci, n'y voyez aucune allusion psychiatrique italienne, un Macron sauce Dupond-Moretti.

18 Si j'offre un sacrifice, tu n'en veux pas, tu n'acceptes pas d'holocauste.
19 Le sacrifice qui plaît à Dieu, c'est un esprit brisé ; tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
20 Accorde à Sion le bonheur, relève les murs de Jérusalem.
21 Alors tu accepteras de justes sacrifices, oblations et holocaustes ; alors on offrira des taureaux sur ton autel.

https://www.aelf.org/bible/Ps/50

Je taquine, bien entendu...

duvent

A-t-on le droit d'être un magistrat heureux ?

Elle est bien bonne celle-là !
M. Bilger, vous savez que je n'y vais jamais par quatre chemins, alors vous ne m'en voudrez pas de vous répondre ceci : Et puis quoi encore ?
Est-ce que par hasard, être heureux est une fin en soi ?
Est-ce que par hasard, être heureux est si bien que ça ?
Est-ce que par hasard, être heureux est un droit ?
Est-ce que par hasard, celui qui est heureux est au courant, qu'il est heureux ?

Bon, vous et moi, nous savons une chose, et il est bon de la savoir ; être heureux, c'est un truc de branquignoles, et encore j'ai châtié mon langage, car je ne veux pas choquer, ou plutôt, j'aimerais bien choquer, mais je sais que ce n'est pas l'heure, en cette fin d'année horrible...

Moi, je ne dirai qu'une chose et elle est vraie, non seulement je ne vois pas la raison pour qu'un magistrat soit heureux, mais j'aime mieux qu'il ne le soit pas, ça permet une sorte d'empathie qui n'est pas naturelle...

Pour vous convaincre du bien-fondé de ma théorie, celle du malheur qui fond comme un aigle sur le magistrat-petit-mulot-noir, et de sa grande valeur, voici une anecdote qui non seulement n'a rien à voir avec le sujet qui nous occupe, mais qui de surcroît achèvera je l'espère de vous démoraliser...

Anecdote :

Moi, bibi, une bougresse parmi tant d'autres, j'ai profité de l'absence de mes parents (cette année ils font du tourisme, sous des cieux toujours bleus où jamais il ne pleut... beurk !), pour n'en faire qu'à ma tête...

Donc, ils nous ont laissés, nous leurs enfants (une bande de conn*rds d'un autre monde...), en nous faisant des recommandations, la plus importante étant : Aimez-vous les uns les autres !

Ouais ! C'est ça !

Donc, chacun a affûté son épée, l'a sortie du fourreau, et nous voilà prêts pour festoyer !
A-t-on le droit d'être un humain heureux ? Ouais ! C'est ça !

J'ai donc délibéré comme il se doit, et j'ai annoncé à ma sœur, la pure conne, qu'il n'était pas du tout question que je l'aime, car voyez-vous, M. Bilger, je n'aime pas les cons !
Être con, ce n'est pas une maladie, ça ne vous tombe pas sur le coin de la figure comme ça !
Être con, c'est une compétence, ça a des exigences la connerie, ça ne laisse rien au hasard, ça se travaille  !
Donc, voilà, pour ne pas nuire à l'équilibre du monde, pour ne pas faire pencher la balance que du côté du mal, pour ne pas être le lâche témoin de la dégringolade, pour ne pas prêter main-forte à la saloperie, et parce qu'il faut écraser l’infâme, j'ai pensé qu'il fallait commencer par balayer devant sa porte ! C'est une bonne idée non ? C'est une bonne résolution pour l'année horrible qui vient avec son visage de guingois, et son regard oblique ! Oui c'est une bonne résolution, faites-en autant, et ne cherchez pas dans les ordures, les perles rares !

Joyeux réveillon !

Giuseppe

"Comme si elle s'interdisait d'être heureuse et fière. Comme si elle ne s'estimait légitime et honorable que ployant sous le fardeau, gangrenée par le doute, bourrelée de remords et honteuse d'avoir condamné." (PB)

Ouais, ouais... Beaucoup d'états d'âme, on pleurniche dans tous les sens dans notre pays, chacun se regarde le nombril, on ne fait que cela, de l'introspection de bazar.

Et pourtant on manque de tout, plus on se penche sur ses petites craintes, plus le pays est à sac, et pendant ce temps-là, les décomplexés de tous genres s'étalent, savourent, en profitent à pleins poumons, crachent sans vergogne sur tous ces penseurs de l'éphémère.

Ils puent, ils sont putrides, mais on se bouche le nez, heureusement ces résistantes ukrainiennes des plateaux TV nous rappellent à nos veuleries, nous ramènent à nos hontes et déboires de la Débâcle, les vermoulus sont toujours là, tout le reste est badinage et philosophie de ferblantier, combattre l'oubli facile, ils coulent chez nous des jours paisibles, même pas des idiots utiles, ils sont ce que sont à l'Europe Eva Kaili et les autres crapules, on badine, on badine... on se mire dans le miroir... "Miroir, mon beau miroir, suis-je toujours la plus belle ?"

"C’est le bon client qu’on invite en plateau pour amuser la galerie. Candidat à la présidentielle, le député « proche du peuple » flirte pourtant depuis des années avec l’extrême droite la plus rance.
« Je suis dans l’incapacité de dire si ce qu’il fait est bien ou mal », disait le député Jean Lassalle de Bachar el-Assad, dans Sud-Ouest, le 9 janvier 2017. Un demi-million de morts, des tortures et des viols systématiques, une politique d’extermination dans les geôles syriennes : il ne peut pas dire « si c’est bien ou mal » ?

Alors que Paris appelait officiellement au départ du président syrien, l’un des plus grands criminels de guerre de ce début de siècle, le député des Pyrénées-­Atlantiques se rendait même à deux reprises à Damas pour rencontrer le dictateur. En 2015 comme en 2017 (un voyage organisé par SOS Chrétiens d’Orient, ONG d’extrême droite pro-Assad), il est accompagné des députés LR poutinôlatres Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani (passé depuis au RN). Face à ses propos révisionnistes, Vanessa Burggraf rappelle au candidat à la présidentielle de 2017, dans l’émission On n’est pas couché, que les bombardements sur Alep du régime syrien à coups de barils de TNT étaient des faits avérés. Mais Lassalle lui rétorque sans se démonter : « Moi aussi, j’ai cru qu’ils étaient avérés. »"

Moi aussi, j'ai cru qu'ils étaient avérés... Ils devraient faire honte à tout le pays... Ils nous vendraient à la découpe, et dire qu'ailleurs on pend pour un voile mal mis. Marc Bloch le pur doit se retourner dans sa tombe.

H.

Navré pour vous mais la Justice n'est pas et ne doit pas être un service "public" ou alors, elle n'est bonne qu'à être une énième officine de notre Etat-providence. La Justice n'abritera des magistrats, greffiers et fonctionnaires heureux que lorsqu'elle sera reconnue, fidèle en cela à Montesquieu, comme étant le troisième pouvoir, et non une vulgaire autorité, à l'égal de l'exécutif et du législatif, deux organes qu'on aurait du mal à qualifier de service "public", paravent bien commode pour dissimuler des machines administratives obèses et inefficaces.

Le mal qui ronge l'appareil judiciaire vient essentiellement de cette funeste qualification. Rétablir le troisième pouvoir est la condition sine qua non à toute action pérenne en sa faveur.

Exilé

« ...le caractère ronchon d'un service public répugnant à l'être ; alors qu'il n'y a pas plus bel éloge que d'être crédité de ce terme si naturellement démocratique... » (PB)

C'est oublier que si tout cela peut s'appliquer dans la plupart des pays étrangers normaux, il existe un particularisme français faisant que la fonction publique présentant par son statut un caractère intangible, syndicalisée à outrance dans le seul intérêt de ceux qui ont pu l'intégrer de différentes manières dont parfois une variante du népotisme, se traduit trop souvent par un véritable boulet financier et sociétal assené avec une volonté de nuisance sadique sur le dos de ce qui reste de Français, contraints de subir, de se taire et de payer.
Pas très démocratique, tout ça, nous en sommes même réduits à une forme de servage légal exercé par de néo-privilégiés.

C'est oublier que dans d'autres pays, la fonction publique a vu ces dernières années ses quotas drastiquement réduits, comme en Suède, en Nouvelle-Zélande ou ailleurs, les fonctionnaires qui ne disposent pas du scandaleux système français d'emploi à vie se voient généralement proposer des contrats de droit commun de durée limitée.

https://www.lettreducadre.fr/article/fin-du-statut-de-la-fonction-publique-l-exemple-suisse.35045

Isabelle

Un magistrat heureux, un Français heureux ?
Quel que soit le sujet abordé, nous avons peu de motifs de nous réjouir. Le pessimisme et la lucidité prévalent.
Nous devrions totalement changer de paradigme mais nous continuons de foncer droit dans le mur.
Il n’y a plus ni droite, ni gauche. Le clivage en place aujourd'hui est : souverainistes versus mondialistes.

https://twitter.com/MohamedLOUIZI/status/1606935881608208384

Françoise Boulanger

Voilà, cher Philippe, ce que je retiens de votre magnifique billet et qui doit, qui devrait, s'appliquer à tous les domaines de notre société :

« En certaines circonstances, j'ai ressenti que nous n'étions pas loin, sinon d'une justice exemplaire - en cour d'assises, plus d'une fois, j'en ai eu l'intuition - du moins d'une magistrature rassemblée mais sans corporatisme, orgueilleuse mais sans vanité, accordée avec le peuple mais sans démagogie. Hélas ces moments de grâce n'ont pas duré. »

L'orgueil, la fierté de soi donc, n'est surtout pas comparable à la vanité, qui elle est le propre des ignares. Si tous les politiques pouvaient s'inspirer de votre pensée, la France serait le plus beau pays du monde !

Tipaza

"A-t-on le droit d'être un magistrat heureux ?"

Depuis quelque temps, les billets se suivent et plongent dans l'introspection, mais aujourd'hui ce n'est plus de l'introspection c'est carrément de la métaphysique.
Tout ce qui se rapporte au bonheur est par nature relié transcendant, forcément, puisque ""tous les hommes se haïssent naturellement l'un l'autre" (voir Pascal ou mieux un précédent billet).

Alors heureux ou malheureux ?

Heureux sous Macron serait de la provocation, inadmissible même de la part d'un intouchable, c'est à dire d'un magistrat qui dans un État de droit est l'essence même du bien et du mal, selon les valeurs de l'UE.

Malheureux, hum, là il faudrait faire la différence entre :
- l'insatisfaction professionnelle qui amène à se surpasser pour vaincre l'adversité, au fond c'est une vertu extravertie, source de progrès personnel et collectif,
- et l'impuissance devant la noblesse de la tâche et les difficultés rencontrées pour l'exercer. Difficultés qui pour beaucoup sont personnelles, car rien n'oblige les magistrats à suivre la doxa sociétale et par contre à juger en leur âme et conscience prouvant ainsi qu'ils ne sont pas de simples applicateurs de textes et règlements.

Toutes réflexions faites, oui je crois que les magistrats ont toutes les raisons d'être malheureux et même dépressifs, puisque l'homme étant foncièrement mauvais (voir Pascal) leur tâche de mise en ordre de la société ne s'achèvera jamais.
Un peu comme les médecins des services d'urgence savent que leurs patients finiront tous par mourir un jour ou l'autre.

Bon, vous avez tous compris que le jour est proche où il faudra souhaiter des "bonnes années" à la cantonade, ce qui m'exaspère, alors j'en profite pour dire des choses désagréables maintenant. Même si je ne les pense pas tout à fait sous cette forme. ;-)

Aliocha

Et si le dysfonctionnement trouvait son origine en la passion qui ne trouve sa rétribution qu'en l'accession à une noblesse qui ne sait plus alors se définir qu'en termes de dépendance, le magistrat alors pourrait ressentir que la fierté de sa fonction éminente est proportionnelle au renoncement à l'orgueil d'un bonheur qui ne se définirait plus en grammaire de caste mais, en accord populaire qui fait fi de toute démagogie, saurait alors être l'exemple éminent qui donne légitimité à proférer le jugement nécessaire à l'ordre indispensable au bien-être de la communauté.

"Car, si je rebâtis les choses que j'ai détruites, je me constitue moi-même un transgresseur, car c'est par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu."

https://saintebible.com/lsg/galatians/2.htm

Je laisserai au moribond qui appelle notre prière le soin de conclure ma supplique :

"C’est moi, mais ce n’est plus moi: voilà la formule de l’existence chrétienne fondée sur le Baptême, la formule de la résurrection à l’intérieur du temps. C’est moi, mais ce n’est plus moi: si nous vivons de cette manière, nous transformons le monde. C’est la formule qui contredit toutes les idéologies de la violence, et c’est le programme qui s’oppose à la corruption et à l’aspiration au pouvoir et à l’avoir."

https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/homilies/2006/documents/hf_ben-xvi_hom_20060415_veglia-pasquale.html

Achille

« Il n'empêche qu'un magistrat heureux ne serait pas une contradiction dans les termes. Certes cela ne supprimerait pas la bêtise, l'ignorance, le mépris ou les outrages mais au moins la majorité des citoyens serait convaincue de la grandeur et de l'humanisme d'une institution favorisant si bien l'épanouissement de ses serviteurs. » (PB)

J’imagine qu’il doit être difficile pour un magistrat qui est confronté tous les jours aux dossiers les plus sordides, d’être totalement heureux. Parfois il doit lui arriver de désespérer de la nature humaine, non ?
Certes les affaires d’escroquerie, détournements de fonds, emplois fictifs, corruptions de toutes sortes, ne sont pas vraiment traumatisantes. Je dirais même que les magistrats semblent éprouver un réel engouement à poursuivre de leur assiduité d’anciens personnalités éminentes du monde de la politique, même d’anciens présidents de la République.
Par contre les dossiers relatifs à des prédateurs sexuels, de tueurs en série et au terrorisme doivent être beaucoup plus difficiles à traiter. Même si avec l’expérience un juge finit par se blinder.

Je pense que, d’une façon générale, la majorité des citoyens ont une plutôt bonne opinion des magistrats. Ceci même si une affiche punaisée dans le local du Syndicat de la magistrature et qui a fait l’objet d’un de vos livres, laisse planer quelques doutes sur "la grandeur et l'humanisme d'une institution favorisant si bien l'épanouissement de ses serviteurs".
Mais les magistrats font un métier difficile et il faut donc bien leur accorder quelques moments de faiblesse…

Lodi

Ce n'est pas que l'on aime croiser des moroses, mais je vais défendre les gémissants !
D'abord, le judiciaire n'est qu'une autorité, grâce à notre Constitution, pas un pouvoir comme il se doit. Si les magistrats manquent de moyens, ce n'est pas étonnant : est-ce que les pouvoirs peuvent donner autre chose que des restes à une simple autorité ?
Il y a une mécanique du mépris, d'abord, le judiciaire n'a qu'une autorité, ensuite, peu de moyens, et enfin, dans cette cascade de mépris, parfois des mot aimables, nom d'un "petit pois".

Donc, il y a contradiction, les magistrats devraient avoir un rôle honorable, mais il n'est pas si reconnu que ça, à l'arrivée...Bien sûr, cela peut concerner d'autres personnes participant à la Justice, mais comme c'est le magistrat qui tranche, au final, c'est lui qui devrait avoir le plus de pouvoir. Or c'est la personne qui a l'habitude du pouvoir qui est le mieux a même de voir qu'il lui en manque, que ce pouvoir soit les fameux moyens, ou le pouvoir symbolique alloué par la Constitution, ou alloué par les hommes politiques et la société en général.

Bref, en un mot comme en cent, il est bien naturel que les gens en manque de quelque chose soient malheureux, surtout si cette chose leur est en principe promise. Double contrainte : tu as du pouvoir, mais en fait, tu n'en as pas beaucoup. Des restes ! Console-toi en prenant la place des jurés avec des réformes visant à faire des économies et avoir une justice moins démocratique, donc plus contrôlable.

Et sinon, il y a une mécanique de la douleur. On peut être triste du déclassement de la Justice, donc du sien. Cela peut faire porter un regard abattu sur le monde, lequel n'est peut-être pas dépourvu de lucidité. S'il y a Justice, c'est parce que les humains ne s'entendent pas entre eux, c'est triste, non ? Bon, tant qu'on y est, on va dire qu'ils sont méchants, alors qu'à mon avis, ils ne sont rien.
Evidemment, la mécanique de la douleur peut aller dans l'autre sens : je suis triste du fait de la nature humaine, et quoi encore ? Pourquoi n'ai-je toujours pas de greffier mais par contre une photocopieuse en panne ?
Injustice !

Vamonos

Dans une profession qui se féminise inéluctablement, les magistrats heureux deviennent de plus en plus rares.
La passion noble et exaltante serait forcément féminine et balaye les objections en observant que la raréfaction des hommes n’est que le résultat d’un défaut de vocation.
La Magistrature et la Finance (de nouvelle génération) ont en commun de se lamenter sur le manque de moyens alors qu’elles prennent leurs décisions dans des immeubles neufs qui valent la peau du postérieur.
Mieux vaut rester honnête et se tenir à l’écart de cette profession quitte à sembler faire preuve de misogynie.

Robert Marchenoir

Ah ben v'là autre chose ! Les magistrats seraient maussades et ronchons par nature ? Première et funeste nouvelle !

Et pourquoi donc ? Qu'est-ce qui justifierait ce blues existentiel ? Certes, le flot de la délinquance et du mal ne tarit jamais, mais enfin le juge punit des coupables, de temps à autre, il me semble. Cela devrait suffire à le convaincre de son utilité sociale.

Comparez au malheureux médecin, le seul expert qui est certain d'échouer à la fin ! Ils devraient se suicider en masse, normalement.

Regardons au-delà des frontières, afin de creuser l'enquête : le magistrat patagon cultive-t-il la mélancolie, le procureur slovaque broie-t-il du noir ? Je veux dire de l'homme de couleur ? Enfin zut ?

N'y a-t-il pas là, plus qu'une inclination intrinsèque à la fonction, quelque conséquence de la façon dont le métier s'exerce chez nous ? Ne serait-ce pas la fonction publique française qui serait en cause, plus que le secteur lui-même ? Des années de sous-financement, alliées à toutes les hypocrisies qui vont avec, ne produiraient-elles pas ce pessimisme indécrottable ?

Ellen

Abraham Lincoln, avant d'être assassiné avait écrit:
"L'Amérique ne sera jamais détruite par le reste du monde. Si nous faiblissons au point de perdre nos libertés, ce sera parce que nous nous serons détruits nous-mêmes".

La France n'a toujours pas compris ce message et continue de mener notre pays à sa destruction.

Les coupables sont près de nous. Ce sont nos gouvernants et les juges sous leurs pressions politiques qui ont permis que les personnes dangereuses se trouvent encore en circulation et libres alors qu'ils ont tous la responsabilité absolue et la mission sacrée de protéger la population sur son territoire. Laxisme ? J'm'en foutisme ? Impuissance congénitale ? Irresponsabilité aveugle ? Soumissions ? À n'en pas douter, il y a un peu de tout ça !
La France ne sera pas détruite par ceux qui font du mal, mais par ceux qui la regardent faire sans agir et qui refusent d'intervenir en laissant les 700 000 OQTF rester en France sans aucun suivi.

Il n'est pas bon de dire la vérité en France sous peine d'être censurés et traduits devant le tribunal. Ça devient de pire en pire...

Nos vrais et grands écrivains français de renommée mondiale nous manquent.

J'apprends par la presse que la grande mosquée de Paris porte plainte contre Michel Houellebecq après la sortie de son entretien avec Michel Onfray dans Front populaire, pour soi-disant provocation à la haine...
Pensez donc, rien que ça ! C'est le monde à l'envers :

Comme dit Didier Bourdon dans sa chanson "On peuplu rien dire"... chez nous ! Doit-on continuer encore et encore de subir l'innommable sans rien dire ?

Qui a tué plusieurs centaines de personnes, enfants compris, sur notre sol entre 2012 et 2016 ? Qui a tué la petite Lola en 2022 ? Ne jamais oublier ! Et c'est la mosquée de Paris qui prétend que ce sont les deux écrivains français qui propagent la haine ?

J'espère que le tribunal prononcera un non-lieu en première instance et en appel s'il devait avoir lieu.

La mosquée de Paris devrait se souvenir des centaines de personnes innocentes tuées sur notre sol par des islamistes ! La haine, c'est eux qui l'ont contre les Français.

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