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03 mars 2023

Commentaires

Patrice Charoulet

Bien des gens collent sur leur boîte aux lettres « Pas de pub, merci ». Je ne l'ai pas encore fait. J'y penserai. À vrai dire, quand je reçois des pubs, je ne les lis pas et je les jette immédiatement.
Je ne sais pas si cela existe toujours, mais j'ai entendu parler voilà quelques années d'une « Nuit des publivores ». Il s'agissait pour les spectateurs (idiots) de se délecter, pendant plusieurs heures, de pubs. Même si c'était gratuit, et même si j'habitais à côté, je n'y serais pas allé.

La publicité, à la radio comme à la télé, me semble absolument insupportable. On a le toupet de nous imposer parfois plusieurs coupures publicitaires pendant un film.

Quels sont mes rapports avec la pub quand j'achète ? Ils sont nuls. Je vais le prouver ainsi.
Il y a treize ans, j'ai acheté une petite voiture, n'y connaissant rien, en voyant dans une revue de consommateurs que cette voiture avait eu le moins de pannes. En treize ans, je n'ai d'ailleurs pas eu une seule panne.
Je ne m'occupe jamais de marques, dans tous mes achats d'alimentation. Je compare les prix, je me soucie de mes informations diététiques et de mes goûts.
Pour mes habits, même chose. Je ne m'occupe jamais des marques. Je compare les prix et j'achète ce qui me plaît le plus.
Et en littérature, idem. Moi qui ai passé ma vie à lire, je n'ai jamais acheté de ma vie un seul prix Goncourt, un seul prix Renaudot, un seul prix Interallié, et pas un seul livre vanté dans une publicité radio ou télé.
Si tous les acheteurs étaient comme moi, les publicitaires n'auraient plus qu'à fermer boutique et à s'inscrire à Pôle emploi.

Patrice Charoulet

Modération

Un commentateur, qui signe Herman Kerhost, qui ne retient pas toujours mon attention, je crois que c'est la groupie d'un autre plus connu, constate que des propos qu'il nomme "épicés" dont j'étais la cible ont disparu de cet espace. Il devrait s'en réjouir comme je m'en réjouis. Ce blog, par chance, n'est pas une "nef des fous", il garde une certaine tenue, grâce à l'excellente modératrice que l'on sait. Elle a déjà la gentillesse de corriger les fautes d'orthographe des commentateurs. Mais dans le cas d'espèce, elle n'a pas publié ce qui lui a paru impubliable. À la bonne heure !
Si mes propos dépassaient les bornes, ce qu'à Dieu ne plaise, je suis certain que je subirais le sort commun.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 06 mars 2023 à 07:58
"Voilà qui tourne à la ratonnade de Charoulet."

Vous vous y entendez assez bien en ratonnade. Même si vous l'habillez sous des oripeaux chrétiens.

sylvain

@ Achille
"Un ministre ne peut pas s’occuper des cas particuliers si tant est qu'il en ait eu connaissance ! "

Ben voyons ! Maël est blanc de souche donc...
Les dirlos non plus c'est au rectorat de s'en occuper !
Les recteurs non plus c'est aux directeurs de s'en occuper !
Les profs non plus c'est aux recteurs et aux dirlos de s'en occuper !
Dirlos recteurs et profs non plus c'est aux parents de s'en occuper !
Les parents non plus c'est aux recteurs, dirlos, profs de s'en occuper !
L'Etat non plus c'est à la Mairie de s'en occuper !
La Mairie non plus c'est à l'Etat de s'en occuper !

Par contre si c'est Momo tout le monde va s'en occuper : ministres, recteurs, directeurs, profs, parents, assoçs antirassoçs, élus gauchistes Nupes, maires de gauche, tous en marche blanche contre le fascismeuuuh racisseuu strêêêmeuh drouâââte.

Suffit d'être du bon côté... de la Méditerranée !

Cézemmour, célepen, BEN VOYONS !

Axelle D

@ Achille | 06 mars 2023 à 12:39

Tout à fait d'accord. À chacun son rôle.

Achille

@ Isabelle | 06 mars 2023 à 08:46
« Où donc était Brigitte Macron qui a fait du harcèlement scolaire une cause nationale ?
Où donc était Pap Ndiaye ?
Ils avaient aqua-poney ? »

Il faudrait peut-être arrêter avec cette mentalité d’assisté qui consiste à toujours chercher des coupables au gouvernement ou dans l’entourage du Président.
L’Éducation nationale a des services qui sont chargés de traiter ce genre de problème. Maël n’est pas un cas isolé. Des centaines d’autres enfants subissent les mêmes harcèlements.
Un ministre ne peut pas s’occuper des cas particuliers si tant est qu'il en ait eu connaissance !

Patrice Charoulet

@ Aliocha 6 mars 7h58

Cher Aliocha, ce que vous nommez plaisamment "ratonnade" ne m'émeut guère et ne suscite que mon sourire amusé. Je répondrai à cette meute assez tordante par un silence serein.

Patrice Charoulet

Macron mal-aimé ? Une des raisons capitales est celle-ci : toute supériorité suscite l'antipathie, voire la haine.
Je suis de l'heureux petit nombre, totalement dénué d'envie, qui convient de toute supériorité gaiement. Que ce soit en littérature, en philosophie ou en politique.
Et l'heureux petit nombre n'aurait pas la stupide idée d'aller se mettre dans un cortège à banderoles et gueulards débraillés et avinés.

Bill Noir

i-MAGE

Je n'ai pas regardé les émissions TV que Philippe Bilger mentionne. Maël je l'ai aperçu dans une brève séquence de rue tournée par un caméraman à l’affût. On y voit, de dos, un homme qui marche tenant la main d'un enfant fragile… ce lien – on nous certifie qu'il s'agit du harcelé et de son père – nous rassérène… cet être, innocente victime d'un temps mauvais, est protégé par celui qui vient de terrasser un des plus redoutables fléaux de l'époque : l'Education nationale.

On nous a donné quelques détails. Dans l'école de Maël il y avait un seul harceleur avec des goûts simples et limités, il se suffit d'un seul harcelé, le choix était difficile, il aimait ses aises, il fallait que ça dure, du définitif, un grand harcèlement de légende, un « Roméo et Juliette » du temps macronien.
L'affaire a tenu 3 ans, Maël n'en pouvait plus, L'administration surveillait la chose ; forcément ils sont payés pour ça… parfois de dégoût, de mourir l'envie nous prend.
Un jour, l'enfant a décidé : je ne veux plus retourner à l'école, il tint 3 mois. Son compagnon était en manque, ses parents étaient de force pour résoudre le problème, tous deux travaillaient dans la grande maison. Ils étaient sages, ils décidèrent d'abandonner Maël et de transférer leur voyou dans un autre établissement, sans crainte, ils savaient que leur rejeton saurait se faire un nouveau souffre-douleur encore plus beau !

On imagine mal toutes les démarches que le père de Maël dut entreprendre et les embûches que l'EN mit sur sa route… on espère que la vie va reprendre son cours normal et que le petit garçon oubliera la lâcheté de cette corporation de gens qui sont payés pour apprendre le beau, le vrai, le bien à la jeunesse …

L'i-MAGE nous montre ce papa-lutteur-chevalier de ce temps qui osa se mesurer à mains nues à l'ordre régnant, et qui l'emporta. Il est assis comme un qui vient de livrer un long combat. Hébétude ou surprise dans ce visage d'un homme qui n'avait peut-être jamais espéré sauver la vie de son fils. Ses mains, posées calmement sur ses genoux, ne semblent pas être celles de celui qui va repartir au combat contre l'Immonde. La lassitude domine dans son expression.
Quelqu'un manque ; par discrétion ? Une maman est-elle dans cette maison, une épouse se cache-t-elle dans un recoin de cet appartement bien ordonné ? Une mère victime de cet affaissement d'une société monstrueuse qui roule macroniquement vers sa disparition ? Une maman, hors du champ, qui en profite pour couvrir de baisers son fils sauvé ?

P.-S.: je vous parlerai de Patrice Charoulet un autre jour.

Isabelle

Deux ans que le jeune Maël était harcelé à l’école au point qu’il voulait en finir.
Où donc était Brigitte Macron qui a fait du harcèlement scolaire une cause nationale ?
Où donc était Pap Ndiaye ?
Ils avaient aqua-poney ?

Aliocha

Voilà qui tourne à la ratonnade de Charoulet.
Vous me direz, pour une fois, on est en plein sujet du billet !
Allez savoir, CNews va peut-être proposer une émission qui se nommerait le pogrom réconciliateur.
Bolloré serait ravi du pic d'audience.

Robert Marchenoir

@ Axelle D | 05 mars 2023 à 20:24

J'ai bien compris que vous réclamiez le privilège de traîner les gens dans la boue sans susciter de réponse, mais ça ne va pas être possible. D'ailleurs vous adorez ça. Vous avez un besoin irrépressible d'attirer l'attention sur vous.

Un conseil : mettez moins d'adjectifs et faites plus court. Votre prose est déjà pathologique au départ, mais là vous abusez un peu. Halte au massacre des bébés-phoques, halte au massacre des électrons !

F68.10

@ Axelle D
"Quel que soit le sujet, vous ne pouvez pas vous empêcher de venir me titiller de façon perfide." -- vous @ Marchenoir

Vous avez quand même un sacré culot de venir vous plaindre de cela...

"Vous causerais-je des insomnies à ce point qu'à plus de 4 heures du mat, vous ne trouviez rien de mieux à faire."

Il y a les gens qui se lèvent tôt et ceux qui travaillent tard.

"Vous semblez n'être venu sur ce blog que pour y déverser votre hargne et vos multiples frustrations à l'égard de toutes sortes de gens..."

Hmmmm... ok. Je me permets de vous citer après application d'un filtre audio passe-haut:

"... perfide ... à côté de la plaque ... rien de mieux à faire ... allégations bancales ... obsessionnellement sectaires ... harceler ... troller et salir ... basses attaques ... sauvages et lâches ... préjugés qui vous taraudent ... déverser votre hargne ... multiples frustrations ... terrorisme ... fourbe ... accusations saumâtres ... calomniatrices ... tortueux desseins !" -- vous

Et c'est vous qui accusiez Marchenoir d'être un frustré de la vie ?

"Nota : j'ai déjà écrit que le pseudonyme permettait surtout de protéger son entourage de certaines attaques ou publications susceptibles de les mettre en cause ou de leur nuire. Ce qui m'a conduit moi-même à renoncer à publier sous mon patronyme, notamment sur ce blog..."

Sage décision.

Axelle D

@ Robert Marchenoir | 05 mars 2023 à 04:42

Quel que soit le sujet, vous ne pouvez pas vous empêcher de venir me titiller de façon perfide et en remettre des couches, hélas à côté de la plaque, comme une fois de plus ici dans votre adresse à Charoulet !

Vous causerais-je des insomnies à ce point qu'à plus de 4 heures du mat, vous ne trouviez rien de mieux à faire pour conforter vos allégations bancales et vos prises de position obsessionnellement sectaires que venir me harceler, virtuellement, une fois de plus ? À moins que vous n'interveniez ici que pour troller et salir... À en juger par le nombre de personnes qui subissent vos basses attaques, d'autant plus sauvages et lâches qu'ils se sont montrés, eux ou elles, contrairement à vous, totalement francs, voire naïfs et dénués des multiples préjugés qui vous taraudent et dont vous nous abreuvez à longueur de temps.

Vous semblez n'être venu sur ce blog que pour y déverser votre hargne et vos multiples frustrations à l'égard de toutes sortes de gens, institutions et professions. Comme s'ils étaient responsables et comptables de vos échecs et devaient en répondre, eu égard à ce qu'ils ont dévoilé d'eux-mêmes...
Un terrorisme intellectuel aveugle que vous recouvrez le plus souvent d'artifices de bonne conscience, de moraline circonstancielle et fourbe et d'accusations saumâtres, calomniatrices et totalement dénuées de fondement (telles que communistes, poutinistes, fascistes ou racistes à rebours) à l'égard de tout contradicteur ou opposant à vos tortueux desseins !

Nota : j'ai déjà écrit que le pseudonyme permettait surtout de protéger son entourage de certaines attaques ou publications susceptibles de les mettre en cause ou de leur nuire. Ce qui m'a conduit moi-même à renoncer à publier sous mon patronyme, notamment sur ce blog...

Herman Kerhost

Je m'aperçois que les propos épicés que j'avais adressés dans mon commentaire, à l'intention de Patrice Charoulet, et qui étaient destinés à montrer qu'on pouvait injurier un commentateur sans dissimuler son identité, ont disparu à l'édition. Du coup, le "signé: Herman Kerhost" tombe un peu à l'eau. Dommage.

stephane

Rouler à 45 quand c'est limité à 50, ou à 75 quand c'est limité à 80, c'est pousser les gens à bout et les obliger à faire des excès de vitesse tellement ils sont excédés d'être derrière un escargot.
Et c'est cela qui crée des accidents car les suiveurs sont incités à doubler et peuvent se prendre la voiture venant en face.

Ce genre de donneurs de leçons ferait mieux de continuer à utiliser ses jambes pour aller à la Poste ou à la bibliothèque municipale et les routes seront plus sûres.
Il y en a vraiment qui sont nés pour pourrir la vie des autres, jaloux qu'ils sont d'une liberté qu'ils ne veulent pas accepter pour eux-mêmes.

Lodi

@ Marcel P
"Je pense qu'il y a un malentendu : si on parle de ridicules enfantillages où le pire affront est une insulte répétée provenant d'un seul enfant, on ne peut pas parler d'enfant « battu », « agressé », « persécuté », « rescapé », etc., il n'est pas question de torture mentale ou physique."

Eh bien, ce n'est pas si ridicule que ça : il suffit de voir quelques comportements entre certains, ici, alors que ce ne sont pas des enfants à l'école !
Je veux dire par là que les intervenants sont plus libres car l'école, on est obligé d'y aller presque tous les jours, et qu'on ne peut pas s'échapper avant l'heure, comme si on était dans un troupeau de bestiaux ou dans un chenil.
Très loin de la liberté du chat qui va où il veut, et se réfugie dans un arbre face à une meute ! Mais si on le cherche vraiment, il déchirera, et ce sera bien fait pour les poursuivants.

Enfin, il est vrai qu'entre être ennuyé par un ou deux crétins, qu'on recadrera aussi sec, et être victime de lynchages incessants, il y a un monde !
Il existe certes des cas intermédiaires, à mon avis fascinants comme tout ce qui est liminaire, mais on n'est pas là pour ça, seulement pour protéger les plus vulnérables.

Vaste problème...

Herman Kerhost

L'anti-racisme est le vice qui permet aux hommes mauvais de se parer de vertu...

Aliocha

Et Marchenoir, d'où nous parle-t-il, si ce n'est de sa prison mentale qui pour lui est la vraie vie, et n'a d'autres arguments pour détruire son talent que de dénigrer son prochain, au nom du christianisme aussi blanc que son suprémacisme dévoyé ?

Quand on lui précise la taille qu'on mesure et le poids qu'on fait, il en conclut qu'on est musulman, l'intelligence de sa bêtise est à la mesure de son idéologie du haro sur le baudet, dont il avoué tout seul de quelle inspiration elle était, pourtant discréditée à tout jamais.

Un peu de purée poétique l'aiderait à faire le point sur lui-même, et éviterait les dithyrambes inutiles enfoncées toujours en ses obscurités qui font de lui un personnage qui de plus en plus ressemble au héros de l'éternel mari de Dostoïevski, celui-là qui plus il hait, plus se soumet, et voudrait voir la kippa sur la tête du Führer, pour légitimer ses fureurs.

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26
« Tout récemment, j'assiste à un débat télévisé. »

Holà ! Deux fautes en une seule phrase.
D’abord, une faute de concordance des temps. « Tout récemment » qualifie un instant du passé. Le verbe doit donc être conjugué à l’imparfait, au passé simple ou au passé composé.
Ensuite, une faute de vocabulaire. Vous n’avez pas « assisté » à un débat télévisé. Vous l’avez « regardé » ou « visionné ». « Assister » sous-entend une présence physique sur les lieux de l’événement.

Quant à votre opinion sur Dominique Rizet, elle est bâtie sur une extrapolation de ce qu’il a dit. « Je roule trop vite » ne signifie pas qu’il ne respecte pas le 50 km/h en ville...
Illustration in vivo du fameux proverbe : « Avant de balayer devant chez les autres, balayez devant votre porte ».

P.-S. : je partage en grande partie l’opinion de Robert Marchenoir sur « le fonctionnaire » (05 mars 2023 à 04:42).

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 11:03

Les réseaux sociaux sont le Far West d’aujourd’hui, à la fois promesse d’un Eldorado et lieu de tous les dangers. Comme nombre de ceux qui ont participé à la Conquête de l’Ouest, certains de ceux qui les fréquentent préfèrent ne pas révéler leur véritable identité, pour diverses raisons. Les unes sont sérieuses - l’obligation de réserve qu’ils transgressent, la protection des leurs qu’ils priorisent, par exemple -, d’autres sont beaucoup moins avouables.

Ceux-là, comme les bandits qui pullulaient au Far West, sont là pour flinguer, pour détrousser ceux qui osent s’aventurer sur ces terres encore sans propriétaire en respectant néanmoins les codes des sociétés civilisées. Comme au Far West, peu à peu, les enjeux économiques l’emporteront et ces voyous seront neutralisés. Le Far West n’est-il pas devenu aujourd’hui la riche Californie, qui a conservé cette soif de conquête en devenant le fer de lance de l’ère numérique ?

Le mieux n’est donc pas de vitupérer sans cesse contre cette pratique du pseudo, mais d’identifier et de harceler ceux qui l’utilisent comme une arme, dans le seul but de nuire. Ce qui n’est pas le cas de tous les pseudos de ce blog, qui, en ce domaine, est plutôt à classer parmi les plus vertueux.

Vous souhaitez avec insistance que chacun décline son identité et sa profession. Soit... Mais dans quel but ? Ne vous adresser qu’à ceux des commentateurs qui, pouvant exhiber des diplômes prestigieux, vous paraissent dignes d’un dialogue avec vous ? Ou, au contraire, éprouver la jouissance malsaine d’étaler votre savoir personnel pour épater les quelques béotiens sans peau d’âne qui osent s’exprimer sur ce blog malgré leurs piètres connaissances, en particulier des difficultés du français ?

Pour ma part, outre la satisfaction de mon goût du débat, je fréquente ce blog avec plaisir parce que je m’y nourris des points de vue de tous ceux qui y participent, sous pseudo ou non, « bandits » ou pas. Certains des contributeurs sont quelque peu abscons, d’autres irritants, la plupart ouvrent l’esprit à de nouvelles pistes de réflexion, à des champs nouveaux pour moi de la connaissance.

Par exemple, sous ce billet de Philippe consacré à un problème récurrent que rencontrent les enseignants, j’aurais aimé qu’un ancien professeur de français, qui, au cours de sa carrière, n’a pas pu ne pas être confronté à des actes de harcèlement entre élèves, fasse part de son expérience en ce domaine, livre une réflexion sur ce cas particulier de Maël, explique les difficultés que rencontrent ses pairs face à de tels événements...

Quant à votre appétence pour la pratique d’une sémantique rigoureuse, on ne peut que vous en féliciter... Rien ne m’énerve plus que l’emploi à contresens, aujourd’hui généralisé, des termes « autrefois », « jadis », « naguère » et « antan »... ou du mot « achalandé » pour qualifier un magasin débordant de marchandises.

Mais peut-être faudrait-il que vous canalisiez quelque peu votre soif d’enseigner et que vous évitiez ces interventions incongrues qui, au fil des billets, donnent l’impression de rots intempestifs. Puis-je me permettre de vous suggérer la création d’un blog spécialisé où chacun pourrait venir combler ses lacunes en la matière ? Un blog qui serait aussi à l’ère numérique ce que fut l’œuvre d’Etiemble sous le règne du papier... Un blog « Etiemble 2.0 » en quelque sorte, qui serait bien utile dès maintenant, sans attendre que l’intelligence artificielle assure ce service...

Exilé

@ Claude Luçon | 04 mars 2023 à 19:2
« Je pense aux Ukrainiens d'aujourd'hui et ce qu'ils subiraient si les Américains, et nous heureusement dans leur sillage, ne leur donnaient pas un sérieux coup de main sur le sujet démocratie, droits et lois »

Hum...
Je ne voudrais par faire d'anti-américanisme primaire, secondaire voire supérieur, mais rappelons tout de même que c'est à eux - ou du moins à l'administration Obama - que nous devons la poudrière ukrainienne mise en place en 2014 par la distinguée Victoria Nuland, qui a réussi à appliquer sur le terrain la politique voulue par le Département d’État de déstabilisation d'une région du monde qui ne demandait qu'à vivre tranquille.

Et quand on empile des barils de poudre, il ne faut pas venir se plaindre quand la moindre étincelle peut tout faire sauter.

Notons au passage que ces événements déclenchés en 2014 ont été théorisés par Zbigniew Brzeziński dans son ouvrage « Le Grand échiquier » dans lequel il définissait en 1997 (administration Clinton) les grands axes à suivre pour affaiblir la Russie (ce qui au passage ne relève pas d'une intention spécialement bienveillante et pacifique).
Et tout cela non pas par un amour débordant pour les peuples et leurs droits, mais uniquement dans le but de maintenir la prééminence géostratégique de l'Empire.
https://www.dygest.co/zbigniew-brzezinski/le-grand-echiquier

Tipaza

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26
"Quand je ne ne dois pas dépasser 50, je roule à 45 et quand je ne dois pas dépasser 80, je roule à 75."

Avez-vous mesuré la vitesse d'influx nerveux dans votre système neuronal ?
Je vous rassure, à mon humble avis, vous ne risquez pas de contravention pour excès de vitesse.
Tout au plus une thrombose d'informations, un embouteillage de mots en quelques sorte, comme par exemple cette répétition du "ne" dans votre phrase.


Lodi

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26
@ Tous !

Encore un coup, vous jouez à prétendre être plus honnête que tout le monde. Je pense plutôt que c'est l'inverse.
Le voleur a tort de prendre ce qui ne lui appartient pas, mais c'est qu'il sent un manque d'avoir. La personne qui va trop vite sent un manque de temps. Celui qui boit trop un manque d'être qu'il compense, hélas, parfois avant de conduire.

Vous, vous ne cessez de faire comme si vous aviez tout ce que vous désirez, dictionnaires, lecture des classiques, bonne conscience, que sais-je encore ? Mais vous ne cessez de vouloir voler la liberté des autres !
Il faut interdire l'alcool, les masques, que sais-je encore ?

En somme, vous vous proposez d'arracher quelque chose aux gens alors que rien ne vous manque. Est-il pire voleur que celui qui dérobe pour le plaisir de priver ses contemporains ?

Il se peut aussi que vous soyez en manque, probablement de contrôler les autres, vu le sens de vos interventions.
Alors, vous seriez inconscient ou hypocrite, je ne saurais me prononcer. De toute façon, vous avez déjà bien de la chance d'en apprendre tant sur vous. Et de disposer de tant de pistes de réflexion !

Pour être complet, j'évacue bien évidemment l'idée que vous interveniez pour défendre les victimes, si peu que ce soit : votre totale indifférence envers les enfants persécutés lève les derniers doutes qu'on aurait pu nourrir à cet égard.

Je devrais facturer ce diagnostic mais je préfère vous faire payer votre tartuferie en incitant chacun à se rappeler que vous professez le plus parfait dédain pour les victimes les plus innocentes.

Robert Marchenoir

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26
"Quand je ne dois pas dépasser 50, je roule à 45 et quand je ne dois pas dépasser 80, je roule à 75. Résultat : pas une seule amende de ma vie, tous mes points sur mon permis. J'ajoute que ne buvant jamais une goutte d'alcool (et pas pour des raisons religieuses), je n'ai évidemment jamais conduit en état d'ivresse."

C'est très intéressant. Vous aurez un bon point.

Une fois de plus, est faite ici la démonstration que les "anti-racistes" militants n'en ont rien à faire, du sort des autres races dont ils font mine de se préoccuper.

Leur but véritable est de faire la promotion de leur propre personne, et de leur supériorité morale présumée.

Si quelqu'un s'avisait de faire la collection de vos commentaires où vous vantez de n'avoir pas fait telle ou telle chose (des peccadilles, il faut le souligner), son ampleur serait impressionnante.

Il en va de même de votre collègue Axelle D, laquelle nous a longtemps régalé du récit de ses vertus.

Quant à Aliocha, le troisième membre du club, après des années de prêches aussi obscurs qu'intempestifs, il a récemment craqué. L'envie était trop forte de nous révéler ce que nous attendions tous, à savoir qu'il restait chez lui à s'occuper de son fils et de sa vieille mère.
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@ Isabelle | 03 mars 2023 à 13:51

Pour l'instant, vous ne faites pas encore partie du club. Vous êtes trop jeune, et il va vous falloir faire vos preuves. Cependant, puisque vous me cherchez, vous allez me trouver. Vous dites, dans une allusion à on ne sait quoi :

"Castagne sur l’écran mais surtout dans la salle. Les joies du 'vivre-ensemble' avec certaines personnes (pour Marchenoir qui fait semblant de ne rien comprendre, il ne s'agit pas de 'races' mais de crétins, une espèce en constante progression)."

Les "crétins", comme vous dites, sont largement sur-représentés au sein de certaines races dont nous admettons l'immigration chez nous, y compris en violation de la loi. C'est bien le problème.

Ces "crétins" ne sont pas arrivés ici par l'opération du Saint-Esprit. Ils sont arrivés grâce à des actes politiques permis par l'imposition de l'idéologie dont vous vous faites le promoteur, à savoir "l'anti-racisme".

L'une des idéologies les plus stupides qui soient, puisqu'elle prétend défendre une catégorie de personnes dont elle assure elle-même qu'elle n'existe pas : des races persécutées.
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@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 11:03

Votre dernier copié-collé obsessionnel contre l'emploi des pseudonymes sur Internet a fort bien été réfuté par Herman Kerhost, Lodi et Exilé.

Combien de fois avez-vous écrit exactement la même chose, ici, en général sans le moindre rapport avec sujet du jour ? Vingt fois ? Cinquante fois ? Cent fois ?

Vous en profitez pour m'agresser une fois de plus alors que je ne me suis même pas adressé à vous sur ce fil, toujours avec la lâcheté et la mesquinerie qui vous caractérisent, c'est à dire en vous faisant un point d'honneur de ne pas citer mon nom.

J'ai cessé depuis longtemps de répondre à vos provocations, mais je crois ne m'être jamais donné la peine de réfuter l'un de vos arguments les plus idiots, par lequel vous avez, de surcroît, l'inélégance de vous réfugier derrière l'autorité de Philippe Bilger, qui ne peut évidemment vous contredire.

Vous dites (pour la énième fois) :

"Que fait Philippe Bilger quand il dialogue avec un invité, dont on connaît le nom et pas le pseudo ? Il lui demande d'abord de se présenter. Et l'invité dit sa profession ou sa carrière, et même souvent un peu plus. Il n'invite pas des fantômes sous pseudo qui refusent de dire ce qu'ils font. C'est un modèle qui devrait s'imposer à chacun d'entre nous."

Philippe Bilger invite des personnes suffisamment éminentes pour que leur nom soit connu. Rien à voir avec des commentateurs anonymes sur Internet. Il lui est d'ailleurs arrivé d'interroger une personnalité qui se présente exclusivement sous son pseudonyme : Nathan Devers. Je ne crois pas me souvenir qu'il ait eu l'incorrection de lui demander son vrai nom...

Mais surtout, lorsqu'il prie rituellement son invité de se présenter, ce n'est évidemment pas, comme vous le suggérez, pour que l'on apprenne "sa profession ou sa carrière". Tout le monde connaît la profession d'Alain Finkielkraut ou d'Éric Dupond-Moretti. L'intérêt de cette question, c'est de connaître l'aspect de sa vie que l'interviewé va choisir de mettre en avant, et la façon dont il l'exprimera.

C'est ainsi qu'il fut extraordinairement révélateur d'entendre Ségolène Royal se présenter d'abord et avant tout comme "une mère de famille", ce qui sous-entend qu'elle n'a pas de comptes à rendre en tant que femme politique, et qu'avoir des enfants serait une sorte d'exploit qui la distinguerait du commun des mortels.

Pour le reste, Exilé a fort bien souligné l'indiscrétion qui consiste à demander systématiquement aux gens "ce qu'ils font dans la vie". Vous assurez :

"Je ferai observer que dans la vie réelle, quand on rencontre quelqu'un, dès la première conversation un peu longue, on dit son vrai nom, pas son pseudo et, très souvent, sa profession. Voilà un bon début."

C'est peut-être le cas si l'on fait partie de la classe moyenne ou supérieure, et que l'on fréquente exclusivement des gens de son milieu.

Dans la vie réelle, comme vous dites, la réponse à cette question risque souvent d'être : "Je suis vendeuse dans une boulangerie", "Je suis camionneur", "Je suis chômeur", "Je suis trafiquant de drogue", ou bien, très souvent : "Profession ? quelle profession ? je n'ai pas de profession. Je touche le RSA, et, de temps à autre, je fais serveur ou je retape des appartements, au noir bien entendu".

Figurez-vous que tout le monde n'a pas envie d'être mis en situation de donner une telle réponse. Surtout lorsque la question est posée par un professeur qui n'est jamais sorti de sa classe de toute sa vie de travail, et qui s'imagine que tout le monde a une profession "intéressante".

Heureusement qu'en tant qu'anti-raciste patenté, vous êtes incroyablement "ouvert à l'Autre"...

C'est la même étroitesse d'esprit qui vous fait systématiquement ignorer que pour beaucoup de personnes, à travers le monde, le pseudonyme est ce qui les protège de la diffamation, du harcèlement, de la persécution, de la ruine, de la mort sociale, de l'emprisonnement injustifié, de l'agression physique et de l'assassinat.

Figurez-vous que certains affrontent de plus graves risques qu'une contravention pour avoir traversé en dehors des clous.

Je finis en répondant à l'accusation que vous avez le culot de m'adresser pour la millième fois, bien que je l'ai réfutée à de nombreuses reprises. Avec mes excuses envers ceux qui m'ont déjà lu sur le sujet -- mais on ne peut pas, non plus, se laisser interminablement marcher dessus par des anonymes jouissant de leur impunité. Vous dites :

"Sur ce blog, un de mes adversaires les plus rancuniers, qui écrit bien sûr sous pseudo, s'en prenait régulièrement à la profession de plusieurs autres, qui avaient eu la courtoisie et la franchise de la dire. Je lui ai demandé un jour sa profession. Réponse de ce monsieur : 'Comment osez-vous me demander ma profession ?' Pas de nom, pas de profession. On est à l'abri de tout et l'on peut tout se permettre impunément."

Il semble que la rancune soit plutôt de votre côté.

Les personnes auxquelles vous faites allusion, c'est à dire vous-même au premier chef, n'ont pas eu "la courtoisie et la franchise" de me dire leur profession.

Vous, et d'autres, avez fait état spontanément de votre profession à la cantonade, alors que personne ne vous l'avait demandée.

Outre que vous n'étiez pas en train de répondre à quelque interrogation comminatoire, mais plutôt de vous mettre en valeur, il ne s'agissait pas de n'importe quelle profession. Il s'agissait d'un métier s'exerçant sous le statut de fonctionnaire.

Je ne m'en suis pas pris à votre profession de professeur. Au demeurant, comment savez-vous que je ne suis pas professeur moi-même ?

Je m'en suis pris, je m'en prends et je m'en prendrai toujours au statut de fonctionnaire, de façon générale et plus encore sous la forme qu'il a prise en France.

J'ai longuement expliqué mes raisons, et j'aurai sans doute l'occasion d'y revenir.

Vous, en revanche, vous n'avez jamais réfuté mes arguments. Vous n'avez même pas essayé.

Vous vous êtes livré à cette escroquerie intellectuelle, politique et morale consistant à prétendre qu'une critique portant sur le statut de fonctionnaire est une attaque personnelle contre chaque fonctionnaire pris individuellement, et en conséquence à vous prétendre offensé.

Vous n'avez pas inventé cette méthode de propagande : elle est incrustée dans le corps fonctionnarial français depuis la nuit des temps.

En revanche, votre adoption de cette escroquerie fait de vous une cible légitime.

Dans la mesure où vous soutenez un régime privatif de liberté avec des arguments mensongers, votre posture doit être inlassablement dénoncée. Elle fait partie du problème.

De plus, la permanence de cette escroquerie démontre à elle seule la perversité du système fonctionnarial français. Un système politique, économique et idéologique qui n'a que le mensonge pour se défendre est un système qui doit être détruit.

Votre défense de ce système politique oppressif n'est pas étonnante, si l'on considère votre propos :

"Pas de nom, pas de profession. On est à l'abri de tout et l'on peut tout se permettre impunément."

Il n'y a aucune impunité, ici. La modération veille. Quiconque est mis en cause est libre d'intervenir, et vous ne vous en privez pas, il me semble : vous vous défendez alors même que nul ne vous attaque !

Quelle peut bien donc être cette impunité contre laquelle vous vous insurgez ? Quelles seraient les représailles qui deviendraient impossibles en l'absence de "nom" ou de "profession" ?

Eh bien ! la dénonciation, évidemment. Auprès des autorités, en vertu des lois destructrices de la liberté d'opinion, instaurées en vertu de l'idéologie "anti-raciste" dont vous nous avez dit qu'elle était votre seul et unique critère en politique.

Auprès des collègues, des employeurs potentiels, des relations, du Web tout entier, de façon à susciter la mort sociale selon les méthodes de la "cancel culture".

Je vous confirme que les gens qui emploient des pseudonymes sur Internet le font entre autres pour éviter ce type de persécution. Votre rage anti-pseudonymes sans cesse renouvelée sur ce blog montre à quel point ils ont raison.

Le droit au harcèlement que vous réclamez ainsi est exactement celui qui a cours dans les écoles, comme nous le voyons ici avec l'exemple de Maël, et qui conduit à des suicides aussi bien qu'à des assassinats de masse (je fais allusion aux fusillades scolaires aux États-Unis).

hameau dans les nuages

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26

Ah c'était donc vous cet après-midi qui rouliez à 40 au lieu de 50 en pleine ligne droite où il est interdit de doubler, trèèès à droite entre Pau et Gan au point de presque faire un frottis sur les platanes, comme incitant ceux qui vous suivaient à doubler. Et moi de pester auprès de mon épouse "Regarde celui-là, sûr il a son schéma vaccinal complet voire plus avec le papillomavirus, aucasoù !"

Père ! Gardasil à droite ! Gardasil à gauche !

Oui je sais je suis hors-sujet mais c'est pour dire...

Vamonos

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 19:26

Hors sujet

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 11:03

Hors sujet

Pourtant le harcèlement dans les salles de classe de l’Education nationale est un sujet dont vous auriez pu vous inspirer.
Vous préférez le silence à l’instar de vos médias préférés. Vous préférez détourner le sujet pour parler de vous.

Solon

Fatuité ! Fatuité ! Devinez qui, sur ce blog, est visé par cette interpellation ?

Claude Luçon

@ Exilé | 04 mars 2023 à 10:17
"Nous n'en sortirons que si nous prenons tous part à la gouvernance de ce pays et la première chose à faire est de faire de l'abstention citoyenne un délit" (Claude Luçon)

Oui bien sûr je vous suis dans votre commentaire mais c'est un vaste sujet sur lequel j'ai des idées bien précises ayant vu comment d'autres s'y prenaient.
Ce que je vous présentais ici n'est que le thème et une suggestion.
Il faudra remettre en question plusieurs autres actions, genre sélection par une commission du Conseil constitutionnel des candidats à l'élection.
Que les candidats ne soient pas sélectionnés par un parti !
Qu'ils y appartiennent, bien, qu'ils soient candidat nécessairement par un parti, non !

Le candidat doit se présenter à titre personnel, déclarer ou pas son parti, ce qui permettrait à une commission constitutionnelle de nous trouver des députés en raison de leurs qualités, et non pas pour leur aisance à donner des coups de gueule, faire les clowns, ou de la couleur de leur peau, leur religion, leur situation sociale, leur diplôme et... Surtout ne pas laisser ce choix aux seuls maires dont la plupart ne connaissent pas la Constitution, seulement leur parti !

La démocratie US fonctionne très bien mais il faut déballer qui on est, famille comprise, pour prétendre être représentant.
Dans le Census aux USA il est obligatoire de déclarer tout ce qu'on est : origine, couleur, religion, revenus, tout !
Il se trouve que vivant à Malibu en 2000, une voisine dirigeante dans le domaine du Census qui avait du mal à trouver des agents baladeurs, ayant noté que j'étais doté d'un certain culot et savait insister le cas échéant, m'a recruté, ce qui a d'ailleurs été une expérience exceptionnelle.
Croyez-moi les USA ont bien des choses à nous enseigner dans ce domaine.
La Constitution et la démocratie sont sacrées aux USA.
On aime les Américains, ce qui est mon cas, ou pas ce qui est le cas de plusieurs de nos amis commentateurs, mais cela n'exclut pas que nous pourrions copier la méthode de gestion des citoyens utilisée aux USA.

Par exemple, le candidat à la Présidence doit prouver qu'il est né aux USA, peu importe son origine mais il doit être né aux USA. Ce fut le cas d'Obama, né de père Kényan et de mère Américaine, mais né aux USA.
Mais qui empêcherait Mélenchon de prétendre à la présidence, né à Tanger, d'origine espagnole.
Et quelle bénédiction cela serait !
Mais hélas pas à Zemmour de le faire !

Au passage je conseille de voir sur YouTube ce site :
https://www.youtube.com/watch?v=Tz8TIjyfhMc
Celui titré "Hymn to the fallen Musikkapelle Toblach", (passez les annonces).
Il reprend le thème du film "Saving private Ryan".
Ce n'est pas le film l'important, c'est le message que porte ce site et la musique de Williams : "Hymn to the fallen Musikkapelle Toblach" qui raconte, en seulement quelques scènes, une histoire vraie, une mère américaine apprenant que ses quatre fils ont été tués au front en Europe.
Moi, ce bout de site me tourne les tripes et me touche le coeur chaque fois que je le vois et le revois en pensant à cette femme qui a donné ses quatre fils, pour, entre autres, libérer la France attaquée et occupée par les Teutons.
Ce faisant je pardonne même aux Américains le fait qu'ils ne comprennent pas ou ne veulent rien comprendre de la géopolitique.

Quand je doute à leur sujet, en particulier quand ils vont libérer des gens qui n'en ont pas besoin comme en Irak, je revois ce site YouTube pour me rappeler à qui je dois d'avoir vécu libre à partir de 15 ans et pour l'instant jusqu'à 93.
Je me souviens que par deux fois mon père a eu besoin des Américains durant les 64 ans de sa courte vie et je pense aux Ukrainiens d'aujourd'hui et ce qu'ils subiraient si les Américains, et nous heureusement dans leur sillage, ne leur donnaient pas un sérieux coup de main sur le sujet démocratie, droits et lois.

Un exemple : tous nos concitoyens, généralement de gauche, hurlent au scandale quand on leur pose.des questions qu'ils estiment trop personnelles tout en déballant leur intimité sur nombre de sites aux origines douteuses sur Internet.
Même quelques-uns sur le site de Justice au Singulier pourtant bien connu !! :)

Nous Français pensons être cartésiens !
C'est une erreur, les cartésiens sont chez les anglophones .
L'effort à faire en France est gigantesque mais comme on disait chez les Eclaireurs de France, après un certain Jacques Coeur "À coeur vaillant rien d'impossible !" et le jeune Maël en avait bien besoin autour de lui
Le problème est de savoir s'il reste des coeurs vaillants en France.
Il y a bien la méthode Poutine mais je la laisse à Zemmour, Mélenchon et MLP.
Cordialement

Patrice Charoulet

Tout récemment, j'assiste à un débat télévisé. L'un des sujets était le vol (dans les supermarchés, les supérettes, etc.). L'animatrice donna la parole tour à tour à Christophe Barbier, à un spécialiste de la sécurité, à Dominique Rizet, chroniqueur judiciaire de la chaîne. On apprend que des gens volent parfois un paquet de pâtes... Question de l'animatrice aux intervenants : « Ne vous est-il jamais arrivé de voler dans un magasin ? ». Tout le monde fit non de la tête. Dominique Rizet, chroniqueur judiciaire, prit la parole pour dire qu'il n'avait jamais volé de sa vie. Et, pour rendre plus crédible sa déclaration d'honnêteté permanente, il voulut montrer qu'il disait toujours la vérité en confessant publiquement l'un de ses mauvais comportements. « Je suis un délinquant routier, je roule trop vite », dit-il.
Autrement dit, un petit vol est impardonnable, mais par exemple rouler trop vite dans un centre ville où la vitesse est limitée à 50, cela n'est pas très grave...

Eh bien, moi non plus je n'ai jamais rien volé, mais je trouve la délinquance routière extrêmement grave.
Quand je ne dois pas dépasser 50, je roule à 45 et quand je ne dois pas dépasser 80, je roule à 75. Résultat : pas une seule amende de ma vie, tous mes points sur mon permis. J'ajoute que ne buvant jamais une goutte d'alcool (et pas pour des raisons religieuses), je n'ai évidemment jamais conduit en état d'ivresse.
Je fais enfin observer que la délinquance routière peut tuer. C'est loin d'être une peccadille.

Xavier NEBOUT

"L'instauration d'une épée de Damoclès dans les reins du pouvoir..." (PB)

Du temps de Madame Oclès, l'élu qui ne tenait pas ses promesses était occis.

Marcel P

@ Lodi
« Je pense plutôt que l'enfant battu a toutes les chances de devenir une carpette. Est-ce qu'il n'a pas été dressé à ça à l'école ? [...] Soit l'enfant agressé gagne »

Je pense qu'il y a un malentendu : si on parle de ridicules enfantillages où le pire affront est une insulte répétée provenant d'un seul enfant, on ne peut pas parler d'enfant « battu », « agressé », « persécuté », « rescapé », etc., il n'est pas question de torture mentale ou physique.

« Mais il est avantageux de dire que subir forge le caractère. Pourquoi ? Cela dédouane les agresseurs et ceux qui laissent faire. »

Personne n'a écrit ou suggéré cela. Les enfants deviendront des adultes et ils seront inévitablement confrontés à d'autres individus qui tentent de leur marcher dessus. Les enfants doivent apprendre à réagir à la confrontation - à l'école notamment.

Lodi

@ Marcel P
"En vous lisant, j'en viens à me demander si vous pensez que les enfants doivent vivre dans un univers aseptisé - qui feront d'eux à n'en pas douter des adultes carpettes."

Je pense plutôt que l'enfant battu a toutes les chances de devenir une carpette. Est-ce qu'il n'a pas été dressé à ça à l'école ?
Soit l'enfant ne s'est pas défendu, et il y aura quelqu'un pour dire qu'il n'avait qu'à le faire.
Cas à mon avis le plus fréquent... Il y a bien des raisons si tant de gens sont des carpettes, justement. Enfant battu par les parents ou par une ou des brutes de cour de récréation, par exemple.

Soit il se sera battu, mais vaincu. Alors moi, je ne crois pas au qui perd gagne, pas une seconde.
Il faut absolument vaincre, dans la vie... D'où la tentation de trouver encore plus faible que soi, mais ce n'est pas grave n'est-ce pas ? Tout enfant doit en trouver un plus faible à battre, comme il y a un ordre de picorage des poules, je suppose ?

Soit l'enfant agressé gagne, ou du moins, fait jeu égal, mais alors là, les adultes vont lui tomber dessus. On n'a pas vu l’agresseur agresser, donc il passe pour le provocateur.
Ou parce qu'il a frappé très fort, ou plutôt, là où ça fait mal. Et pourquoi pas ?

Les adultes sont incohérents : ils prétendent être contre la violence, mais laissent faire, tout juste capables de gronder l'enfant qui se défend. Ils font de la moraline et sont injustes.
Ils interviennent s'il y a désordre, et punissent au hasard. Ils parlent aussi de se réconcilier, mais désolé, pour jouer les médiateurs, il ne faut pas commencer par avoir avalisé la violence ou l'injustice.
Donc, l'adulte fait semblant de favoriser la bonne entente, et les enfants font semblant de se réconcilier. L'école ne forge pas le caractère mais l’hypocrisie.

Mais il est avantageux de dire que subir forge le caractère. Pourquoi ? Cela dédouane les agresseurs et ceux qui laissent faire.
Prime aux brutes et aux irresponsables ! Aux lâches aussi, ils se sont peut-être laissé faire, mais passent pour des durs en passagers clandestins de l'éducation qui endurcit.

On apprend plus ou moins à lire, à écrire et à compter, mais l'hypocrisie, toujours. Et c'est bien naturel : les adultes enseignent ce qu'ils sont avant tout autre chose.
Parce que je ne prétends pas connaître le fond d'une affaire, mais ce qui se passe, trop souvent ! Il y a certes de petits progrès :

https://www.20minutes.fr/societe/3156711-20211025-harcelement-scolaire-prise-conscience-continue-depuis-2011-lutte-contre-fleau

Je veux dire que c'est moins un sujet tabou. Mais de là à aider les victimes !
Tristesse d'un monde où on laisse persécuter les enfants par leurs pairs, et les vieux dans les maisons de retraire.

Rien ne naît de rien : s'il y a une réaction pour aider les victimes, c'est parce qu'on cesse de jouer à qui perd gagne, tu as pris un coup, ça t’endurcit... Il y a aussi que les moins persécutées des victimes, ou les plus dotés intellectuellement, affectivement et culturellement, à force de réagir, font bouger les choses, comme le garçon de la vidéo.

Je ne trouve pas honteux, pour ma part, que les médias jouent leur rôle de quatrième pouvoir contre les abus, mais que ce soit par exemple un garçon sortant de son passé de victime, d'autres comme lui, ses parents, en somme, on abandonne aux rescapés le soin de faire avancer les choses !
Des gens sans pouvoir, que les élites devraient protéger ! Mais les pouvoirs, et les gens en général, nient les problèmes, ou alors, prétendent que d'un mal sort un bien, enfin, disent que ce qui est est bon.

Bien sûr que non ! Mais il y a inconfort à avouer que le monde est mauvais, et qu'en envoyant les enfants à l'école, on les place certes dans une espèce de garderie où ils apprendront peut-être les bases, mais rien de plus... Pour la violence, c'est une jungle, pour l'hypocrisie, un zoo.

Exilé

« C'est oublier deux choses : les institutions officielles sont lâches, elles détestent plus ceux qui dénoncent le scandale que le scandale lui-même... » (PB)

Ah, ces institutions, comment pouvons-nous encore leur faire confiance, qu'ils s'agisse de celles liées au monde politique mais aussi à d'autres corps de métiers comme la justice ou la médecine qui semblent parfois dévoyer leur mission pour masquer certaines réalités difficiles à admettre publiquement ?

Un exemple, lié au meurtre du médecin militaire Alban Gervaise par un homme sous « abolition de discernement », comme l'expose Céline Pina :

« Le déni entraînant la censure, ce sont les victimes qui deviennent alors dérangeantes, autant les effacer du tableau. Cela ne change rien à la menace, mais cela permet au gouvernement de continuer à la minimiser et donc de l’ignorer. »
(…)
« Je pense aussi à ce gouvernement et à certains élus dont le déni nous expose en tant que peuple mais leur permet d’occuper indûment des places et des postes qu’ils détournent à leur seul profit. »
https://www.causeur.fr/alban-gervaise-marseille-235314

Alban Gervaise a été lardé de coups de couteau devant ses enfants :
« Certains termes employés par l’expert-psychiatre choquent particulièrement Christelle Gervaise, l’épouse de la victime. Il est notamment fait état d’une «bagarre qui éclate» tandis que son mari est qualifié de «victime présumée». «Je ne peux pas tolérer qu’on parle de bagarre. Ce n’est pas une bagarre, c’est un meurtre d’une grande violence. Et le statut de victime de mon mari n’est pas à prouver» ». (Le Figaro)

Axelle D

Hello Patrice Charoulet !

Sans tambour ni trompette, de la renommée ou autre, une petite chanson à méditer ou fredonner au fil de vos déambulations dans votre sous-préfecture dieppoise :
https://youtu.be/GwQDzStVFOM

Achille

@ Serge HIREL | 04 mars 2023 à 12:47

1- Que France Inter soit d’obédience plutôt de gauche, je ne le conteste pas. À noter toutefois que le duo Salamé-Demorand ne ménage pas le gouvernement, ce qui devrait vous réjouir.
Par contre les sympathisants de la droite réac ne sont pas vraiment privés de médias à leur convenance avec CNews, C8, Sud Radio, RMC, Radio Courtoisie, les sites Boulevard Voltaire, Causeur, sans oublier Valeurs actuelles et le Figaro (et je dois en oublier quelques-uns) dont les journalistes vedettes ont leur rond de serviette chez Pascal Praud, Sonia Mabrouk ou Laurence Ferrari. Bref, autant de médias qui leur diffusent la bonne parole qu’ils aiment entendre.

2- Je n’éprouve pas de sympathie particulière pour Pierre Palmade dont le talent ne m’a jamais vraiment impressionné. Je voulais simplement signaler que les médias ont un peu trop tendance à se comporter « comme des chiens » (dixit François Mitterrand) dès qu’une personnalité connue du grand public est prise sous les feux de l’actualité, ceci sans même attendre de disposer de tous les éléments de l’enquête.

3- J’ai toujours apprécié les éditos de Patrick Cohen. Ils sont précis et bien documentés. Rien à voir avec ceux de Pascal Praud qui donnent l’impression d’être totalement improvisés et pour tout dire franchement lourdingues.

Exilé

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 11:03
« Je ferai observer que dans la vie réelle, quand on rencontre quelqu'un, dès la première conversation un peu longue, on dit son vrai nom, pas son pseudo et, très souvent, sa profession. Voilà un bon début. »

Votre vie n'est pas forcément celle de tout le monde.
J'ai croisé durant plus de trente ans dans mon immeuble parisien des voisins juste salués d'un vague signe de tête la plupart du temps sans jamais leur avoir communiqué tout cela sauf à de très rares exceptions.
Avoir cherché à en savoir plus aurait été considéré comme de l'indiscrétion.

Les coutumes peuvent être différentes selon les pays, aux États-Unis par exemple, quand quelqu'un se présente la première fois il pourra très bien vous dire par exemple : « Hello, je m'appelle Mike et je gagne 40 000 dollars ».

Herman Kerhost

@ Patrice Charoulet | 04 mars 2023 à 11:03

Quand on a l'immense impolitesse et la désinvolture de venir ici poster quotidiennement sa petite pensée (sans intérêt) du moment, sans aucun rapport avec le sujet abordé par Philippe Bilger, nul n'est étonné de constater le culot dont vous faites preuve à reprocher aux autres leur manque de courtoisie.

Signé: Herman Kerhost (ça vous va ?)

Lodi

@ Patrice Charoulet

On vous parle d'un enfant persécuté et cela vous indiffère. Classer les gens qui vous parlent dans une petite case compte plus pour vous que le sort de malheureux sans défense, qui seront impactés à vie par ce qu'ils ont subi à l'école.
Ce que j'adore, c'est que votre dénonciation de l'anonymat va si loin, et est si grotesque, que vous décrédibilisez totalement votre position.

Sinon, vous dites :

"Que fait Philippe Bilger quand il dialogue avec un invité, dont on connaît le nom et pas le pseudo ? Il lui demande d'abord de se présenter. Et l'invité dit sa profession ou sa carrière, et même souvent un peu plus. Il n'invite pas des fantômes sous pseudo qui refusent de dire ce qu'ils font. C'est un modèle qui devrait s'imposer à chacun d'entre nous."

D'une part, les gens qui viennent ici sont déjà connus, ils n'ont, franchement, rien à perdre. Tu parles d'un exploit que de les faire parler ! Ce que je trouve magistral, c'est plutôt de les faire parler vrai. Sans que ce soit une torture, contrairement au titre, non, l'invitation à explorer ce qu'on n'aurait pas trouvé en soi sans notre hôte.

D'autre part, les gens qui viennent ici ont quelque chose à vendre. Cela peut valoir qu'on se démasque.
Ou pas.

Il n'en demeure par moins que notre hôte pourrait parfaitement s'adapter à quelqu'un indésireux de livrer son pedigree.
Par exemple, il n'est pas encore interdit dans notre pays d'écrire sous un nom de plume en se masquant, libre de dire ce qu'on pense parce que non requis de se conformer à un rôle.

Bref, notre hôte pourrait préférer saisir quelque chose d'une singularité cachée plutôt que rien à cause de règles fixées par vous.
Evidemment, j'ai bien conscience qu'il faut beaucoup de confiance pour être interrogé quand on veut rester sous un masque, et beaucoup de capacités de se réinventer pour un cas bien improbable, au vu de la rareté des personnes concernées.
Mais il aurait été piquant que notre juriste exposé en interroge de masqués d'Internet, et il n'y aurait rien de déshonorant à discuter avec un créateur œuvrant sans se croire obligé de livrer le reste et le déchet de son oeuvre, je veux dire sa vie.

Notre hôte n'a pas à servir de paravent à vos désirs de contrôler votre prochain. L'ordre pour l'ordre, contrôler pour contrôler, voilà de quoi dégoûter, en vérité !
Car l'ordre n'est qu'un moyen, celui de protéger ce qui doit l'être, comme la liberté, les enfants persécutés ou l'art d'écrire.
Rien d'autre !

Serge HIREL

@ Achille | 04 mars 2023 à 07:29
" ...la concurrence est rude dans ce milieu [des médias audiovisuels] où le taux d’audience est tout simplement une question de survie"...

...sauf pour le « sévice public » (copyright GWG) qui, outre son accès à la manne publicitaire, puise ses revenus dans un gisement inépuisable : la poche du contribuable, ce qui permet à ses meutes de gauchos de vociférer contre quiconque ne partage pas leurs délires progressistes.

"les médias n’hésitent pas à livrer à la vindicte populaire une vedette du show-biz"

Ouf ! Palmade est sauvé des flammes de l’enfer ! Vous voici quasiment prêt à jouer le rôle du (faux) témoin de moralité...

"Patrick Cohen, dans l’émission C à vous, apporte un éclairage"

Référence douteuse au plan de la déontologie journalistique... Seriez-vous partisan du « système Cohen » qui justifie l’interdiction d’antenne signifiée sans ménagement aux personnalités qui déplaisent à ses convictions militantes en les qualifiant de « cerveaux malades » ? Exit Zemmour, Le Pen et tous ces syndicalistes qui troublent le repos du pouvoir... Plus de micros ! Pas même de porte-voix...

Marcel P

@ Myrto
"Ses parents sont enseignants !!!"

Pouvez-vous indiquer d'où vous tenez cette information ?

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@ Lodi
« Bref, l'école est un piège.
Si on veut avoir des enfants, il faut savoir qu'on doit être capable de les éduquer à domicile. Ou alors, on assume que l'enfant est un dé qu'on jette au hasard des outrages »

En vous lisant, j'en viens à me demander si vous pensez que les enfants doivent vivre dans un univers aseptisé - qui feront d'eux à n'en pas douter des adultes carpettes.

Il me semble que l'on parlait d'un sujet de harcèlement dramatique, où il était question de torture mentale ou physique, par un groupe au détriment d'un mouton noir sans aucun secours. Pas de ridicules enfantillages où le pire affront est une insulte répétée.

Au final, une fois n'est pas coutume, je pense que monsieur Bilger a manqué de prudence, en qualifiant les faits sur la seule base de l'enquête menée par les médias.

Achille

@ Antoine Marquet | 04 mars 2023 à 10:40
« On vous montre la lune et vous regardez le doigt ! »

La lune je la connais. Elle ne m’apprend plus grand-chose.
Par contre le doigt est bien plus intéressant à observer car il indique souvent l’endroit où il ne faut surtout pas aller... :)

Achille

Tout laisse à penser que le petit harceleur continuera ses méfaits dans le collège où il a été affecté. À 10 ans il est déjà trop tard pour changer son comportement.
Plus tard il est probable qu’il s’en prendra aussi à ses parents qui, bien sûr considèrent la sanction comme une injustice et continueront à lui donner raison.
Ensuite, il n’est pas exclu qu’il soit violent avec sa compagne et ses enfants.
Tel est le destin des abrutis dans une société où les jeunes n'ont plus aucun repère.
C'était ma minute de défaitisme. Mais ça va passer.

Patrice Charoulet

VRAI NOM ET PROFESSION

Sur la Toile, le fléau principal, à mon avis, est l'utilisation des pseudonymes. Les échanges à cause de cela ressemblent à des combats entre fantômes. Un homme à pseudo peut d'ailleurs tout se permettre : injurier, mentir, diffamer, lyncher...
Je rêve d'une Toile où les gens communiqueraient avec leur vrai prénom et leur vrai nom.

Quand les gens n'utilisent pas de pseudo, une autre chose serait aussi utile à dire d'abord dans les échanges : la profession ou les professions que l'on exerce. Sur ce blog, un de mes adversaires les plus rancuniers, qui écrit bien sûr sous pseudo, s'en prenait régulièrement à la profession de plusieurs autres, qui avaient eu la courtoisie et la franchise de la dire. Je lui ai demandé un jour sa profession. Réponse de ce monsieur : « Comment osez-vous me demander ma profession ? »
Pas de nom, pas de profession. On est à l'abri de tout et l'on peut tout se permettre impunément.

Je ferai observer que dans la vie réelle, quand on rencontre quelqu'un, dès la première conversation un peu longue, on dit son vrai nom, pas son pseudo et, très souvent, sa profession. Voilà un bon début.

Que fait Philippe Bilger quand il dialogue avec un invité, dont on connaît le nom et pas le pseudo ? Il lui demande d'abord de se présenter. Et l'invité dit sa profession ou sa carrière, et même souvent un peu plus. Il n'invite pas des fantômes sous pseudo qui refusent de dire ce qu'ils font. C'est un modèle qui devrait s'imposer à chacun d'entre nous.

hameau dans les nuages

@ Lodi | 04 mars 2023 à 07:07

L'école à la maison: deux de mes petits-enfants ont été retirés de leur école vu le comportement de tortionnaires de certains enseignants pendant le covid, ne supportant même pas que le gosse puisse glisser le masque sous le nez.
De véritables psychopathes rentrant en mode panique.

Quand vous avez des petits-enfants qui en arrivent à dessiner cela en expliquant que la personne par terre devant le docteur est morte... cela relève de la psy op.

https://zupimages.net/viewer.php?id=23/09/t2e3.jpeg

Comme disent certains gourous ici aussi : La "science" est la vérité.

https://journalmetro.com/wp-content/uploads/2018/09/thinkstockphotos-493704559.jpg?fit=724%2C483

Antoine Marquet

@ Achille 4 mars 7:29

On vous montre la lune et vous regardez le doigt !

F68.10

@ Myrto
"Ses parents sont enseignants !!!"

Le gamin est fautif. Cessez de rejeter la faute sur les parents à moins que vous ayez des preuves de maltraitance expliquant ceci ou cela.

Exilé

@ Claude Luçon | 03 mars 2023 à 18:23
« Nous n'en sortirons que si nous prenons tous part à la gouvernance de ce pays et la première chose à faire est de faire de l'abstention citoyenne un délit. Nous ne serons pas la première démocratie à le faire. »

Sur ce point, une amende pour contravention de deuxième classe suffirait peut-être, mais le problème n'est pas là.
En effet, les Français abstentionnistes ont compris que le suffrage universel tournait souvent à la farce derrière le décorum légal, il suffit de voir par exemple les connivences entre des partis supposés concurrents dont certains membres trahissent leurs électeurs après leur avoir tenu un discours opposé, non pas dans l'intérêt de la France mais pour éviter qu'un troisième parti ne passe, sous des prétextes vaseux.

Mais surtout, il est de plus en plus manifeste que de multiples situations échappent totalement au contrôle démocratique par la sanction électorale, pensons à ces lois parfois scélérates votées par des nuisibles puis gravées dans le marbre à jamais - ou du moins tant qu'une révolution n'y remédiera pas - par des cours de justice dont il est possible de douter de l'indépendance et de l'honnêteté, une des causes du mal français.

Pensons aussi à ces nominations aux divers conseils de personnages parfois dangereux pour nos libertés sur le mode connu des petits accords entre copains et coquins, ce qui nous emprisonne en quelque sorte dans une forme de dictature légale.

Et au vu du spectacle que nous donne la vie politique, nous ne sommes pas sortis de l'auberge.

Myrto

@ Marcel P
"qui est cet enfant tortionnaire à 10 ans ? D'où vient-il et pourquoi est-il en capacité de nuire ?"

Ses parents sont enseignants !!!

Achille

« Maël sauvé par les médias, est-ce normal ? »

Que les médias (et pas seulement CNews) aient réussi à sauver le petit Maël (peu importe s’il s’agit d’un nom d’emprunt) d’un possible suicide, tout le monde ne peut que s’en réjouir.
Mais il ne faudrait pas faire desdits médias des parangons de vertu. Leur objectif est clairement d’avoir la primeur de l’information, le scoop qui évincera les autres chaînes car la concurrence est rude dans ce milieu où le taux d’audience est tout simplement une question de survie.

C’est sans doute pour cette raison que les médias n’hésitent pas à livrer à la vindicte populaire une vedette du show-biz, bien connue pour ses turpitudes de débauché, sans même attendre les conclusions de l’enquête, les réseaux sociaux finissant le travail de démolition.
Mais le pire est encore cette dilection pour tous les individus les plus destructifs, à commencer par les leaders de certains syndicats qui avouent sans vergogne « vouloir mettre l’économie de la France à genou ». Ceci sans que le journaliste ne réagisse devant l’énormité qui a été proférée.
Comportement irresponsable qui consiste à renverser notre République reposant sur le débat parlementaire par un régime reposant sur la dictature du prolétariat.
On peut même se demander d’où provient cette inclination à vouloir mettre l’économie du pays à genou.
Patrick Cohen, dans l’émission C à vous, apporte un éclairage qui ne manque pas d’inquiéter.

Les médias qui laissent la parole à des individus sous l'influence d'officines étrangères, au nom de la liberté d'expression, c'est quand même un peu jouer aux pompiers pyromanes.

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