Emmanuel Macron : "une espèce de vide" ?

Il est venu, on l'a entendu. Sommes-nous convaincus ?

Laurent Berger, dans une réaction immédiate, a évoqué "une espèce de vide... avec rien de concret, peu d'empathie, du verbe... et tout ça pour cela" (BFM TV).

Je ne parlerai pas de "vide" mais dans cette allocution heureusement courte pour ce président (13 minutes), il m'a semblé entendre des éléments et des annonces qui avaient déjà été présentés lors du dernier entretien télévisé et même lors de ses voeux à la nation le 31 décembre 2022.

À l'exception d'un bref préambule où l'obligation d'une loi sur les retraites était à nouveau expliquée sans la moindre allusion aux péripéties parlementaires depuis le mois de janvier ni une compréhension qui aurait été bienvenue pour le rôle positif de l'intersyndicale, le président de la République n'a pas apposé sur un pays en fièvre un remède d'apaisement et d'espérance. Mais au contraire un discours convenu, tout de promesses ou de réalisations déjà amorcées, mais placide, aussi ordinaire dans le registre élyséen qu'il aurait dû être extraordinaire sur le plan démocratique.

On se doutait - Emmanuel Macron avait écarté ces solutions - qu'il n'y aurait ni remaniement ni dissolution ni référendum et que, contrairement à ce que Marine Le Pen avait déclaré le 16 avril au Grand Jury, il sortait l'hypothèse de son départ du champ de sa réflexion. Pourtant, même avec ces exclusions, le président aurait dû montrer à quel point il n'avait pas été insensible au bouillonnement parfois frénétique de la France, non seulement en en prenant acte mais en proposant de quoi le calmer.

J'ai eu l'impression qu'à l'impatience, voire à l'angoisse d'une nation déboussolée, il opposait au contraire, délibérément, une impassibilité du propos, une relation banale des projets et des séquences prévues. Cette manière de ne jamais répondre à l'attente majoritaire d'un pays - comme pour montrer à quel point le pouvoir se situait plus haut que toutes ces exaspérations citoyennes liées à la loi sur les retraites mais pas que - a été traditionnelle dans la Ve République. Mais Emmanuel Macron me paraît la cultiver avec encore plus de dilection que ses prédécesseurs.

Certes il n'était pas inintéressant de l'entendre décliner trois chapitres - le travail, l'ordre républicain et la justice et enfin le progrès. Il est clair que si on avait su mettre le premier chapitre avant la discussion sur le report de l'âge, le gouvernement aurait trouvé une écoute syndicale favorable. Le deuxième n'aurait pas non plus été mal accueilli. Quant au dernier, bien trop flou, il aurait laissé place à toutes les imaginations professionnelles, syndicales et politiques.

Je crains, à considérer le désordre dans certains quartiers à Paris et ailleurs, que le discours du président non seulement n'ait rien pacifié mais ait même aggravé le ressentiment. Parce qu'il faut bien se l'avouer : derrière la façade de la loi sur les retraites, on sent comme un vent mauvais qui n'est pas loin de déplorer qu'on ne puisse pas recommencer l'élection tout de suite, que le référendum ne soit pas mis en place pour que, clone admiratif de de Gaulle, Emmanuel Macron, battu, s'en aille.

Mais il est là et le demeurera jusqu'en 2027. Le pacte entre lui et les citoyens est rompu. Nous ne sommes plus dans le registre politique, même avec toutes ses outrances partisanes, mais dans une sorte d'injustice tellement ancrée que, le président aurait-il même tenu le 17 avril à 20 heures un discours de courage, de vérité et d'habileté, que l'opinion négative majoritaire n'en aurait pas été modifiée. Il y a quelque chose de plus fort que l'aptitude à gouverner et l'orgueil de présider : la désaffection d'un pays qui vous prive de vos moyens et de votre envie d'agir et de réformer.

Le président n'a pas réussi avec son verbe, avec son apparence de maîtrise et de sérénité défiant les colères et les revendications, à retrouver une confiance suffisante de ses compatriotes pour mener encore à bien, avec les aléas parlementaires et la rue qui gronde en permanence, les années qui lui restent. On peut lui reprocher cette faiblesse fondamentale : le souci exclusif de son image, avec la hantise de rien céder, l'a gravement handicapé, il n'a pas donné les gages qui l'auraient sauvé à ses opposants politiques et syndicaux, adeptes nombreux d'une démocratie non-violente, respectables autant qu'ils auraient été prêts à respecter un président les traitant avec la politesse républicaine requise. Et le dialogue qu'elle implique.

Faute d'avoir su écouter cette majorité intelligemment critique, il a laissé libre cours à l'extrémisme délirant de gauche et d'extrême gauche et à l'attente de plus en plus sûre d'elle du Rassemblement national.

Un discours n'aurait pas pu tout faire mais il n'était pas fatal qu'il aggravât les choses.

Il est venu, on l'a entendu, il n'a pas convaincu.

Comments

[Rédigé par : Bill Noir]

«19 millions de personnes sur trois générations proviennent de l’immigration, soit près de 30 % de la population de la France métropolitaine… » (Isabelle 20 avril 8h21)

Encore un petit effort, Monsieur le bourreau, et bientôt ils seront majoritaires… la désimmigration c'est plié; ils feront un référendum : l'Algérie de Tamanrasset à Dunkerque !

[Rédigé par : Bill Noir]

@ Claude Luçon 19 avril 17h50
« Au temps de Boumédiène on disait à Alger que Marseille était la ville d'Algérie la plus au nord du pays.
Les femmes des apparatchiks partaient le matin par avion pour aller faire leur shopping à Marseille et rentraient le soir par avion aussi. »

Le temps de Boumédiène c'est 1965 -1978.

1981 - 1986 fut celui de Chirac et du RPR. Mitterrand était à la manœuvre à l'Élysée, les communistes sont au gouvernement, les entrepreneurs embauchent des Maghrébins à tour de bras, Chirac a envoyé Giscard dans les ténèbres extérieures, le RPR arrive à maturité, les vieux Français s'y engouffrent… ah mais ! On va quand même ne pas se laisser faire… le centre mollasse a beau répéter : « Ils sont chez eux chez nous » les autochtones se rebiffent !

Au RPR on rigole, on s'en prend au droit du sol… les gens sérieux font la sourde oreille mais les insignifiants montent des canulars.
L'un raconte l'histoire de cette épouse d'un haut responsable marocain qui vient dans la journée faire ses dernières emplettes rue du Faubourg-Saint-Honoré - enceinte jusqu'au cou - pour son petit homme qui va venir incessamment mais le voyage en avion l'a perturbée, on l'expédie à l'Hôpital Américain où elle accouche… le bébé est magnifique, il est français !

Plus drôle encore, un autre narre ce voyage Rabat-Londres direct où l'épouse d'un riche nabab va repérer des accoutrements respectables pour son époux à Savile Row mais pleine comme un œuf elle accouche dans l'avion au-dessus du territoire français … Tchac ! Le bambin est français !

Le droit du sol… ça faisait bien rigoler dans les réunions RPR informelles du septième arrondissement en ce temps-là… après on a eu la petite Marocaine comme maire… on ne riait plus, la page était tournée, on n'était plus chez nous, les grands bourgeois se barraient à la campagne, ils ne savaient pas que Macron y enverrait les nouveaux venus de son temps.
Alors les épouses pieds-noirs qui venaient s'approvisionner à Marseille du temps de Defferre c'est de l'antique !

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Claude Luçon | 19 avril 2023 à 17:50

Pas de pot ! Vous êtes tombé sur le politique qui voulait à tout prix construire, rentrer des taxes et tutti quanti, l'exception qui confirme la règle, l'ego et celui qui voulait laisser une trace.
Il y avait une chance sur 68 000 000 de Français et patatras ça tombe sur vous !

Je chahute mais ce type d'action existera toujours, il suffit de regarder toutes les constructions inutiles en France et ces routes qui ne mènent nulle part:

https://www.autonews.fr/buzz/ce-pont-a-coute-plus-de-2-5-millions-d-euros-il-ne-mene-nulle-part-114237

On cherche du pognon et pourtant là aussi on en trouve, on nous bassine avec McKinsey mais lui c'est pire encore, pour enfoncer des portes ouvertes nous sommes parfois champions et ça nous coûte un pognon de dingue:

https://mail02.orange.fr/appsuite/#!&app=io.ox/mail&folder=default0/INBOX

Vous n'avez vraiment pas eu de pot.

[Rédigé par : Isabelle]

Le vide se remplit de migrants extra-européens !
L’année dernière, la France a établi un nouveau triste record : alors qu’une très large majorité de Français veulent stopper l’immigration, 320 330 premiers titres de séjour ont été délivrés en 2022.
Ce qui fait plus d’1,6 million au total depuis la première élection de Macron en 2017.
Ces vagues d’immigrés viennent d’abord du Maroc, d’Algérie, de Tunisie et de Côte d’Ivoire.

Et connaissez-vous le premier motif qui leur déroule le tapis rouge vers la France ? le regroupement familial !
Bien loin devant le motif économique…

Les demandes d’asile explosent, elles aussi : +192 % entre 2008 et 2018.
Et les juges les accueillent généreusement… au nom des Français qui n’en veulent pas ?!
Si c’est la loi qui le permet, les députés doivent la changer !

La part des naissances des immigrés non européens a progressé de plus de + 16 % en 8 ans en France, selon l’Insee (naissances issues d’un ou deux parents nés hors Union européenne).
Résultat ?
19 millions de personnes sur trois générations proviennent de l’immigration, soit près de 30 % de la population de la France métropolitaine… contre 16,1 % seulement en 1986, alors que l’immigration massive avait déjà commencé à cette date.

Autre fait important : l’immigration vient de plus en plus d’Afrique (41 % contre 31 % dix ans plus tôt) et de moins en moins d’Europe, creusant toujours plus l’écart des cultures.

Et c’est sans parler des clandestins qui déferlent en continu sur la France et que l’État ne prend pas la peine de repousser : même pas une obligation de quitter le territoire sur cinq serait exécutée, par idéologie immigrationniste contre la volonté des Français !

L’immigration, ça suffit !

---

Macron par ci, Macron par là et la France dans tout ce narcissisme ?

On ne voit plus que lui.
Après l'épisode Gilets jaunes, nous avons eu droit à des monologues de plusieurs heures.

Aujourd'hui, il encombre les écrans de TV en faisant un petit tour de France, très protégé par de nombreuses forces de l'ordre.

On ne parle que de lui jamais de la France.

Moi je patati, moi je patata !
Pendant ce temps-là, la France poursuit son naufrage !

J’ai la fâcheuse impression qu’il nous faut à présent les Marines nationales de France, d’Italie, de Grèce.
C’est une invasion et non plus une immigration.

L'Australie a bien compris qu'il faut savoir protéger son territoire. Sinon, on vous le prend, c'est très simple !

On a le sentiment que certains pays veulent notre ruine et nous laissons faire.
La Tunisie, le Maroc, l’Algérie entre autres nous envoient tous leurs délinquants et tous les jeunes dont ils ne savent que faire…

La devise de la macronie et de LFI, les autres avant les nôtres !

[Rédigé par : Bill Noir]

« …Un pays en fièvre, parce que certains quartiers de Paris connaissent des exactions de certains excités d’extrême droite et d’extrême gauche ?!!! Il n’y a rien de tout cela dans les villes petites ou de taille moyenne, c’est dangereux de trop regarder BFM ou d’écouter Sud Radio… je ne le fais plus, c’est Chérie FM ou Radio Classique, à la limite LCI pour une bonne information basée sur du dialogue et des vérifications sérieuses des événements à commenter. Chacun son choix », nous déclare tout de go un nouveau camarade, Jean Raymond GARCIA le 18 avril à 22h09 !

Nous l'accueillons avec une joie non dissimulée. D'autant que nous avons tous un jour ou l'autre poussé d'un pied prudent la porte de ce blog et eu à subir un lourd chapelet de railleries du type : « Tiens, qu'est-ce que ce barjot vient foutre chez nous ! ».

C'est un provincial, ça va nous changer de tous ces Parigots tête de veau qui s'imaginent qu'ils sont le sel de la terre tout en élisant des maires socialistes dont la dernière n'est même pas souchienne et le précédent un pied-noir tunisien.
Garcia est un provincial profond, abonné du journal l'Équipe, qui ne craint pas d'attaquer bille en tête notre hôte pour le noir tableau de la France actuelle qu'il dresse à chacun de ses billets malgré son admiration peu contenue pour le parti LR et tous ses débris.

Augurons que ce nouveau venu va renforcer le noyau de ces adeptes du ballon de toute forme, et de la pédale, lequel va bien être utile dans ces temps où s'annoncent des événements mondiaux que la France va accueillir prochainement, espérant faire aussi bien que le Quatar, la chaleur en moins… une nation d'ancienne culture trimillénaire dont les plus récents grands hommes ont pour nom Noah et Mbappé !

Bienvenue à notre nouveau camarade Jean Raymond Garcia qui va rudoyer tous ces paresseux d'assistés et de profiteurs qui n'écoutent même pas Radio Classique, une station qui débite les grandes œuvres musicales par petits paquets d'une poignée de secondes entrecoupés par des plages publicitaires interminables...

[Rédigé par : revnonausujai]

@ Exilé | 19 avril 2023 à 20:06
"Il semble logique que l'administration veille à conserver le cachet typique à chaque province "

Vous m'avez mal lu, j'admets parfaitement que l'administration veuille éviter les fantaisies exotiques, ce que je réprouve, c'est sa propension à parler un langage ésotérique, en l'occurrence un code couleur que même les échelons locaux de cette même administration étaient incapables de traduire en termes compréhensibles !

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Marcel P | 19 avril 2023 à 14:42
"Xavier NEBOUT nous propose des prédictions de Juan Branco, l'ancien EELV également candidat malheureux avec LFI. Pour bien savoir où on se situe, Branco c'est :
- un avocat qui touche le RSA et qui habite dans le 6e ;
- du pro-migrant qui a accusé l'Union européenne de crime contre l'humanité faute de recueillir plus de clandestins [...]"

Juan Branco n'est que la nouvelle incarnation de cette figure du monde occidental : l'intellectuel privilégié qui fait joujou avec la révolution pour assouvir ses fantasmes sanguinaires.

"Passé par Yale et la rue d'Ulm", comme sa biographie officielle nous le fait savoir (naturellement, le moindre Gilet jaune, dont il se prétend le porte-parole, sait ce qu'est la "rue d'Ulm"), il pond à jet continu des livres qui appellent au meurtre de "l'ennemi" politique, ni plus ni moins.

Non seulement il incite ouvertement au renversement du gouvernement légal par la violence, non seulement il prône l'agression physique envers les "classes dominantes"...

"Ils sont là, à portée de baffe et de main."

...mais il cache fort peu sa volonté de les torturer...

"Il est évident que nous devrons les faire tomber. La chute sera atroce, car elle sera à la hauteur des violences qu’ils ont engendrées."

...et de les massacrer :

"Reste à nous mobiliser. À nous décider, après avoir passé des décennies sur des faux fronts, divisés, à nous réunir et les attaquer. Les éliminer."

"C’est que la fin des rois approche, et la lame sanglante, sur leur nuque fraîche et préservée, s’apprête à tomber. La bourgeoisie qui a aboli la guillotine s’apprête à la voir resurgir pour elle [...]."

"Il n’appartient qu’à nous de les défaire, pour construire un monde meilleur, délesté de leur médiocre suffisance, de leurs sourires d’exploiteurs, de leur morne tranquillité et des laideurs qu’ils ont enfantées. Il n’appartient qu’à nous de les faire choir et tomber. De les décapiter."

Rien de neuf là-dedans : ce n'est que l'énième avatar de l'intellectuel faisant l'éloge de la dictature et du massacre, bien au chaud dans un pays prospère et libre. On songe immanquablement à Jean-Paul Sartre préfaçant Frantz Fanon en 1961 :

"Car, en le premier temps de la révolte (*), il faut tuer : abattre un Européen c'est faire d'une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre."

Et l'on pourrait naturellement citer cent propos similaires de grandes figures de la Révolution française.

Juan Branco est un communiste, ni plus ni moins. Peu importe qu'il se revendique ou pas de cette appellation. L'idéal qu'il proclame, c'est exactement celui de la Grande Terreur stalinienne, des massacres de Mao (pires encore), ou du populicide commis par les Khmers rouges.

Et sa posture est exactement la même que celle des "compagnons de route" qui justifiaient les dictatures les plus barbares, celle des terroristes rouges financés et armés par l'URSS.

Ils n'ont rien appris, rien retenu. Ils nous rejouent sans cesse la même pièce issue de leurs rêves d'extermination, mais ils se croient originaux.

Ça écrit comme un cochon, en plus, "l'issu de la rue d'Ulm" :

"Les puissants d’alors se dénommaient Emmanuel Macron et Alexis Kohler et Laurent Martel. Nous tenons à le rappeler, car si leurs noms sont promis aux poubelles d’une Histoire qui ne les a jamais considérés qu’avec le savoureux rictus de qui les sait n’être que pantins inanimés, êtres sans pensées offerts à des forces telluriques dont ils n’auront jamais la capacité à même les deviner [sic], l’Histoire est aussi affaire de corps, vérolés et incapables certes, mais toujours nécessaires à observer."

On dirait de l'Aliocha. C'est aussi pompeux, aussi amphigourique et aussi attentatoire à la grammaire. Ça valait bien la peine de financer des études prestigieuses à ce snobinard...

Son dernier livre, dont sont extraites les citations ci-dessus, correspond à son titre : c'est effectivement un "manuel insurrectionnel" pour un "coup d'État".

Notons que le genre n'est pas nouveau. Il y a dix ans, Éric Hazan, le directeur des éditions communistes La Fabrique, avait déjà publié un opuscule intitulé Premières mesures révolutionnaires, expliquant comment il allait prendre le pouvoir, tout seul avec ses petits bras. C'était un tuto avant l'heure, la révolution pour les nuls : alors, on va occuper telle salle de réunion à l'Élysée, on va couper le téléphone, forcément ils ne pourront rien faire, le pouvoir va tomber, etc.

Juan Branco va encore plus loin : il explique, avec un luxe de détails, comment saboter la France, comment l'empêcher de fonctionner : alors, tel nœud des réseaux de fibre optique se trouve à tel endroit, telle ressource vitale peut être bloquée en intervenant de cette manière...

Il a visiblement pris la peine de se renseigner, probablement auprès de syndicalistes et autres révolutionnaires infiltrés dans les organisations en question.

Ça n'a pas l'air de le déranger outre mesure de fournir, ainsi, aux services d'espionnage russes ou chinois, les clés pour paralyser le pays sans tirer un coup de feu. Non que ces messieurs aient forcément besoin de lui, mais alors que la Russie a déclaré la guerre cybernétique à l'Occident depuis des années, la moindre des choses serait de ne pas lui faciliter la tâche...

Ce livre va-t-il être interdit ? Son auteur sera-t-il poursuivi pour appel au meurtre et atteinte à la sûreté de l'État ? Bien sûr que non !

En revanche, vous pouvez toujours attendre que Race Differences in Intelligence : An Evolutionary Analysis, de Richard Lynn, soit traduit en français, ou fasse l'objet d'une recension dans nos médias. Ce n'est jamais qu'un livre de référence scientifique, dépourvu de tout appel à la violence. Je m'étonne d'ailleurs qu'il soit encore disponible sur Amazon.

En 1998, quatre ans après avoir créé l'entreprise, Jeff Bezos se vantait "d'offrir à tous la totalité des livres existants : les bons, les mauvais et les détestables". En 2016, il affirmait encore son attachement à la liberté d'expression : "Les opinions les plus nobles n'ont pas besoin d'être protégées. Ce sont les opinions méprisables qui doivent l'être."

Désormais, Amazon use de son arbitraire pour interdire Mein Kampf, mais aussi tout ce qui déplaît au politiquement correct, comme les livres qui revendiquent le droit à la survie pour la race blanche, ou ceux qui s'opposent au changement de sexe des enfants.

En fait, Amazon s'arroge le droit de refuser de vendre tout livre qui ne serait pas suffisamment de gauche. Est susceptible de censure tout ouvrage qui pourrait froisser "la sensibilité et les différences culturelles" de ses clients -- ce qui couvre à peu près 100 % de l'édition mondiale.

Inutile de dire que vous pouvez aller vous rhabiller si vous "faites la promotion de l'intolérance basée sur la race, la religion et l'orientation sexuelle". De même que si vous utilisez "un vocabulaire exprimant le dénigrement racial" (ce qui interdit, sur le papier, un nombre incalculable de chefs-d'œuvre de la littérature mondiale). Ou "si vous promouvez, incitez ou glorifiez la haine ou la violence à l'égard de n'importe quel groupe ou personne" (encore des millions de livres qui disparaissent des étagères).

Sont enfin interdits les livres dont le contenu est "violent ou offensant, tout en étant dépourvu de signification historique". Et qui se réserve le droit de décider ce qui a une "signification historique" ? Amazon, bien sûr !

Car si le libraire monopolistique appliquait ses règles à la lettre, ce sont des pans entiers de l'édition mondiale qui disparaîtraient de ses sites. Y compris, bien sûr, Coup d'État : manuel insurrectionnel de Juan Branco, qui dégouline de haine et multiplie les incitations à la violence et au meurtre de masse.

Juan Branco, les livres des éditions de La Fabrique et bien d'autres sont également en bonne place chez tous les "libraires de proximité" de France. Mais eux, ils ont le droit : ils sont de gauche.
______

(*) Sartre écrit bien "en le premier temps de la révolte", et non "en ce premier temps de la révolte" ou "dans le premier temps de la révolte", du moins si j'en crois les deux rééditions du livre que j'ai consultées.

Toujours cette afféterie de l'intellectuel dépravé, qui s'en voudrait d'écrire simplement et justement.

[Rédigé par : sylvain]

La République selon Macron ne sert plus à rien.

La République française est morte et enterrée ; partout dans le pays se forment des minorités et communautés violentes qui font peur au pouvoir.

Toutes les lois chargées de maintenir un semblant d'ordre et de sécurité sont bafouées, la police est muselée figée de trouille, la justice gauchiste relaxe et relâche en série tous les délinquants multirécidivistes, les élus pensent à leur réélection et ne veulent prendre aucun risque, les associations gauchistes prennent fait et cause pour les barbares impunis, les partis de gauche PS PCF LFI EELV NUPES ne disent mot donc consentent à ce chaos anarchique et se rendent complices de ces minorités woke fascistes dangereuses racistes antiblancs racialistes indigénistes.

L'extrême gauchisme et l‘islamisme gouvernent et dirigent le pays, le nier comme le font beaucoup d'intellos bobos de gauche, de journalistes orientés et d'élus soumis collabos, c‘est participer à la destruction du pays et à la mort de la République.

[Rédigé par : Ellen]

@ Isabelle | 19 avril 2023 à 17:07

C'est pour faire de la place aux migrants illégaux installés sur notre sol, aux OQTF indélogeables de notre pays et aux nouveaux arrivants de masse, pour ne pas les voir dérouler leurs tapis de prières dans les rues bloquant la circulation empêchant les commerçants de travailler.

À cette vitesse, si on laisse faire, il y aura de plus en plus de mosquées, d'imams véreux, d'écoles coraniques sans contrat d'Etat et de femmes drapées de noir de la tête aux pieds.

Nos gouvernants ont vendu leur âme au diable.

[Rédigé par : Exilé]

@  revnonausujai | 19 avril 2023 à 16:39 »
« ...c'est la préfecture qui impose ce code, mais entre ocre foncé et jaune clair, ça doit être bon (authentique !). »

Il semble logique que l'administration veille à conserver le cachet typique à chaque province (en dialecte administratif on dit maintenant région), par exemple en évitant des fantaisies telles que la construction d'une maison de style alsacien en Bretagne, mais chose curieuse, elle s'attache à observer un mutisme obtus quand des populations aux mœurs étranges et parfois problématiques détonant parfois dans le paysage viennent les imposer aux autochtones sans que personne ne leur ait demandé leur avis.

Et la cohérence, dans tout cela ?

[Rédigé par : Claude Luçon]

@ Giuseppe | 19 avril 2023 à 09:22
Copie à revnonausujai | 19 avril 2023 à 16:39

Vous tombez mal ce coup-ci !
Je ne vous pardonne qu'à cause du rugby et sous condition que vous soyez un fan de Toulouse !

Je vivais tranquille dans une résidence seniors qui pourtant ne nous offre aucun service, au dernier et 5e étage, en extrémité est, un petit appartement ouvert sur trois côtés, n'avais qu'un couple très tranquille comme voisin et tous les soirs pouvais contempler le coucher du soleil à l'horizon au-delà du patelin, comme le Macron de la photo j'ai les yeux bleus, de ma terrasse d'un côté, du balcon de l'autre.
J'étais même en train d'admettre qu'il y a peut-être un Dieu en dépit de mon athéisme.
J'adorais aller à pied poster mon courrier en passant par l'église dont j'étais le seul dévot, mais c'était un stop bienvenu pour des jambes devenues anciennes, antiques même.
Le nirvana avant l'heure.

En bas de chez moi un grand terrain vague dont j'attendais qu'on le transforme en parc dans un quartier déjà bien fourni d'immeubles d'habitations aussi de bon ton et seulement cinq étages, le quartier étant même appelé Carré d'Or.
Un cirque était venu s'y installer quelques jours et je me suis réveillé un matin en découvrant des dromadaires et des lamas broutant le peu d'herbe qui y poussait !
Mieux que le nirvana, le Jardin d'Eden... enfin presque, il n'y avait pas de pommier et mon Eve m'avait quitté quelques mois auparavant !

Et patatras, je n'avais pas noté en arrivant, nous avions un maire DVG.
Et honnête comme tout élu de gauche, il avait sans doute besoin d'argent, lui, pas la commune, en prévision de l'élection par laquelle plus tard un jeune DVD allait, et l'a remplacé.
Il a accordé tout un tas de permis pour refaire toutes les rues et un pont routier au-dessus de la voie ferrée pourtant tranquille, elle ne transportait que le blé après la récolte, en Beauce, mettant à mal mes balades postales.

Mais pire il a accordé cinq, CINQ, permis de construire dans notre quartier, dont trois littéralement sous mes fenêtres, fini mes siestes de l'après-midi, ma contemplation du soleil éblouissant mon horizon le soir, non, condamnation ; à ce jour déjà, près de six ans de construction avec un ballet d'engins de génie civil et trois grues qui me surveillaient en direct, l'une venant voir me visiter, m'espionner sur ma terrasse.

J'ai protesté, par écrit au maire, en vain, ai vu un avocat pour bloquer les permis, il était de gauche et m'a déconseillé de demander l'aide d'une cohorte de zadistes (en fait de lancer une pétition contre ces cinq permis dans le quartier), c'est absolument vrai, je sais vraiment être emm...bêteur quand le besoin est !

Dieu n'ayant pas participé, aucune aide venue de ce côté-là, j'ai arrêté mes stops dans l'église et abandonné l'idée de redevenir catholique comme je l'avais été jusqu'à l'âge de 9 ans, mon père étant radical-socialiste fan d'Edouard Herriot, j'avais alors arrêté les cours de catéchisme !

J'ai même dû déménager, incapable de supporter ce qui s'est révélé un scandale, tous les seniors de l'extrémité est de la résidence ont fait de même, la valeur des appartements de tout le Carré d'Or est tombée de 40 %.
Par chance je louais !

On ne voit plus de gamins jouer, pas de chiens lever la patte, pas un chat, pas de jeunes et jolies mères ou filles au pair promenant leur bambin sans sa poussette, rien, sauf l'une ou l'autre de nos compagnes seniors quant elle sort son chien pour ses besoins naturels, sinon seulement depuis six ans plein d'engins de construction.

C'est vrai Giuseppe, déménager à 90 ans n'a pas été un plaisir à cause de permis de construire. Pourtant je suis un spécialiste, j'ai dû déménager une quarantaine de fois dans ma vie, le premier à 10 ans, le dernier à 90 ans donc ! En attendant le prochain bien qu'il soit probable que ce ne soit pas moi qui l'organise :(

Alors moi j'en collerais plus des papiers à remplir avant d'accorder un permis de construire au milieu d'une petite ville de 15 000 habitants ; en particulier obtenir par consultation locale une majorité des 2/3 des gens du quartier favorables à toute demande de permis.
Non mais !

De rage nous avons tous voté pour le jeune DVD, qui est venu s'excuser de la con...bêtise de son prédécesseur.
On a une drôle de conception du bien-être des anciens chez nos socialistes, pas étonnant qu'ils soient en voie de disparition !
Les LR aussi d'ailleurs, j'avais envoyé un email de protestation à notre ex-députée LR de la circonscription, elle m'a répondu qu'il fallait créer plus d'emplois en France, ceci en plein confinement. Vrai encore !

Pas étonnant que la France soit dans le pétrin.
Nos gouvernants se moquent de nous en dépensant nos sous et nous, enfin vous, en dette pour le futur !
Le bien-être des Français n'est plus ce qu'il fut du temps de la campagne et ses culs-terreux et des concierges de nos petites villes !

Si Zemmour ou MLP me promet de faire détruire les cinq nouveaux bâtiments je vote pour l'un ou l'autre en 2027, mais par procuration seulement pour ne pas les voir, sentir et entendre :)
Au passage je prétendrais pour Zemmour le fait que ces nouveaux cinq bâtiments ont été construits pour accueillir des immigrants musulmans, illégaux de préférence.
Un petit mensonge qu'il me pardonnera, les mensonges, lui en pratique souvent.

-----------------------------------------------------

@ Bill Noir | 19 avril 2023 à 16:42

Des chiffres Bill, des chiffres !

Au temps de Boumédiène on disait à Alger que Marseille était la ville d'Algérie la plus au nord du pays.
Les femmes des apparatchiks partaient le matin par avion pour aller faire leur shopping à Marseille et rentraient le soir par avion aussi.
Une sorte de métro aérien !

Au moins à l'époque on récupérait une partie de nos sous et on faisait travailler les commerces, les fabricants de robes, jupes, foulards, sous-vêtements, choses intimes... et les fabricants de parfum et quelques goodies en plus pour la table :)

On devrait leur accorder des visas pour shopping !

[Rédigé par : Isabelle]

La nature a horreur du vide. Les mosquées prolifèrent et s'agrandissent !
Le maire islamo-gauchiste de Romainville (93), François Dechy, œuvre assidument pour agrandir la mosquée Nyaa (qui a reçu le prédicateur radical Nader Abu Anas)...

[Rédigé par : Isabelle]

Le règne du vide, du vulgaire et du nombrilisme. Un concentré de macronisme.

"Tu n'es qu'un sac à main de seconde main. Trouve le courage de me rappeler au lieu de parler dans mon dos" : Marlène Schiappa a envoyé un SMS incendiaire à sa collègue ministre Isabelle Rome, qui avait critiqué sa couverture à Playboy

https://twitter.com/Mediavenir/status/1648626239819636739

[Rédigé par : Bill Noir]

Un fasciste: « Tout cet argent qui part au Maghreb ! »
Un autre fasciste : « Tous ces gens qui viennent du Maghreb ! »
Un philosophe Leboeuf qui passe :« Qu'il fasse quelque chose ! » en parlant de Macron.

[Rédigé par : revnonausujai]

@ Giuseppe | 19 avril 2023 à 09:22

Mon pauvre Giuseppe !

Construction d'un mur de parpaing crépi de 20 m en limite de propriété;
- Dépôt d'une déclaration en mairie;
- Réponse: oui, mais votre mur doit être de couleur, et là un code composé d'une suite de lettres et de chiffres (au hasard A1Z2E3);
- Question au service ad hoc: fort bien, pouvez-vous me dire en quoi consiste la couleur A1Z2E3 ?
- Réponse : on ne sait pas, c'est la préfecture qui impose ce code, mais entre ocre foncé et jaune clair, ça doit être bon (authentique !).

Inutile de dire que j'ai rempli la tyrolienne à ma guise, mais quand on en arrive là pour une chose aussi dérisoire, comment s'étonner que l'administration (ou plutôt les administrateurs) devienne folle pour les choses un poil plus importantes !

[Rédigé par : Marcel P]

Xavier NEBOUT nous propose des prédictions de Juan Branco, l'ancien EELV également candidat malheureux avec LFI.

Pour bien savoir où on se situe, Branco c'est :
- un avocat qui touche le RSA et qui habite dans le 6e ;
- du pro-migrant qui a accusé l'Union européenne de crime contre l'humanité faute de recueillir plus de clandestins ;
- du pro-Salah Hamouri, terroriste bien vu par l'ultra-gauche et leurs annexes comme l'EHESS ;
- du pro-Kémi Séba, islamiste panafricain ;
- un type qui a présenté ses fesses en parade nuptiale au terroriste de novembre 2015 Salah Abdeslam, en se disant « enfant d'immigré » lui aussi victime de la France, « un enfant que ce pays ne considérera jamais comme le sien » ;
- de l'anti ordre public façon Gilet jaune ou zadiste, faisant feu de tout bois, voulant ainsi crucifier le préfet qui était en fonction à Nantes lors de la noyade de Steve Maia Caniço ;
- un type capable d'écrire qu'il faut « boire » ses paroles, sans rire ;
- une forte tendance à plébisciter le pouvoir fort à l'étranger, exiger le pouvoir faible en France.

Bien entendu, la posture d'opposition systématique est assez lucrative. Ça publie. À l'image de la rébellion de Dieudonné.

Pourquoi ce rappel sur ce clown ? Parce qu'on est là : l'extrême gauche et l'extrême droite se rejoignent dans leurs combats et références, avec le même lot de causes. Les mêmes qui défendent les dictateurs de tous les coins du monde nous cassent les burnes à prétendre la France en Etat policier, ils nous vantent des pays homogènes ailleurs mais sont de toutes les causes pour nous attirer ici l'hétérogénéité et le malaise. Ils se disent préoccupés par la France mais exigent son atomisation.

[Rédigé par : Prentegarde]

Monsieur Bilger,

Le 17 avril, dans votre billet « Attendre quelque chose ce soir : un devoir... », vous nous assenez cette cruelle vérité :
 « Pratiquer le contraire du "BoycottMacron20 heures" qui est une stupidité à tous points de vue. »

Je suis donc, vous le dites si bien avec cette incontestable compétence qui vous caractérise, un être stupide et ce, à tous points de vue. Dont acte. Cela me semble un peu dur, mais bon, j’en ai entendu de bien pire de la part de notre cher Bob.

Cependant, à lire votre billet du 18 « Emmanuel Macron : "une espèce de vide" ? », je me sens un peu moins stupide (peut-être pas à tous points de vue, mais quand même). Cette lecture me persuade même que j’ai rudement bien fait de ne pas perdre quelques minutes à écouter cet emmerd*ur (le mot peut sembler grossier, c’est pourtant celui qu’a utilisé lui-même cet individu).

Et à propos de stupidité, les enfants disent: « C’est celui qui dit qui l’est ».

[Rédigé par : Giuseppe]

Macron s'est fait piéger, quand il allait chez sa mémé de Montgaillard il devait entendre l'auteur, compositeur et interprète qui habite à deux virages à ski de chez lui:

https://youtu.be/bYa3eY6wgAI

Pas un chalet de montagne de chez nous n'a échappé à cet hymne local, connu par monts, montagnes et merveilles.

Les troisièmes mi-temps, les buvettes enfiévrées de fin de match, pays de chanteurs dont Alfred Rolland avait été époustouflé par les voix locales, voix de baryton inoubliables, les plus grands ont fait le tour du monde et l'Opéra.

Emmanuel Macron connaît bien tout cela, emporté sans doute par le fait de retrouver un chant si personnel, celui de la convivialité et de l'attachement à la vraie vie:

https://youtu.be/SJPenMGrCRA

Sur ce coup, je vais en plus me faire plaisir, j'espère qu'il sera vôtre, même pour ceux qui n'aiment pas Emmanuel, une autre facette qu'il connaît bien, si je vais à Paris et que j'entends ces paroles, seul les abrutis penseront qu'il est bien léger alors qu'il devait penser simplement se faire plaisir:

https://youtu.be/_2F40ENwuVs

Que ça fait du bien !

[Rédigé par : Tipaza]

"Il est venu, on l'a entendu, il n'a pas convaincu." (PB)

Et comme il s'était donné cent jours, pas moins et pas plus, pour refaire tout ce qui n'avait pas été fait, il se rendit compte que c'était trop, beaucoup trop.

On lui avait dit qu'un autre démiurge avait tout fait à partir de rien, en sept jours.
Lui, Jupiter, ne partait pas de rien, il y avait tous les brouillons qu'il avait déjà tentés. Il comprit qu'il lui faudrait moins de sept jours.
Qu'allait-il faire de tout ce temps à attendre avant d'agir ?

Il décida de se promener dans le pays qu'il allait modifier de fond en comble.
Première étape aujourd'hui l'Alsace, demain l'Hérault, après-demain ? Il n'avait encore rien décidé, la météo n'était pas fiable à plus de deux jours.
Il se demanda si les habitants des régions qu'il allait visiter, avant de les transformer, comprendraient le privilège qu'il leur accordait.
Il se souvint que Néron qui avait incendié Rome pour la rebâtir plus belle, ne fut pas récompensé à la hauteur de son projet, obligé qu'il fut de se suicider.

Lui vint alors l'idée d'accélérer la loi sur la fin de vie, peut-être serait-il le premier à en profiter ?

[Rédigé par : Denis Monod-Broca]

Pourquoi Macron se fait-il filmer devant une fenêtre ?

Il a la poignée de l'espagnolette juste au-dessus de la tête, ce qui n'est pas bien joli, ni très régalien.

Et puis, il y a tromperie. Devant une fenêtre, on est à contre-jour. Or il ne l'est pas. Soit il est éclairé par de forts projecteurs, soit il est devant une fausse fenêtre, devant un décor. Dans les deux cas, pourquoi un tel choix ? Qu'est-ce que cela veut signifier ?
Cette disposition n'est-elle pas une allégorie de sa parole : de l'apparence, des maladresses, pas de fond véritable ?

La France est devant des obstacles redoutables. Au lieu de les affronter, nous nous dérobons, et lui aussi.

[Rédigé par : sylvain]

On pourra enfin dire que l’ordre et l'autorité seront revenus dans le pays quand on entendra le doux bruit rassurant et efficace des « outils » utilisés enfin par les FDO et l’armée pour calmer comme il se doit casseurs, émeutiers, black blocs, fachos d'extrême gauche, sans passer par la case justice de l'ENM qui est génétiquement et morettiquement gauchiste donc complice des criminels, juges qui devront eux aussi passer par une justice spéciale pour répondre de leur complicité avec le crime.

Doux bruit que l'on entend même la nuit dans les pays bien gouvernés : « Tatatatatatatatatata… » et qui me fait rêver : « Nuit de Chine, nuit câline … »

Nous sommes des blablateurs professionnels, des coquelets miniatures insignifiants et ridicules, les pattes dans le fumier : les incessantes émissions yaka focon sur les chaînes CNews, BFM TV… ne sont que des débats vaseline pour mieux faire passer les pilules anesthésiantes de la soumission collaboration à l'invasion islamiste criminelle.

Les hordes et meutes de milliers d'envahisseurs migrants clandés, mineurs de 30 ans et plus, les criminels qui fuient leur régime pour le nôtre qui les accueillera à bras ouverts grâce aux assoçs gauchistes mafias du crime, ne font pas de débats, ils n'ont pas le temps et n’en ont pas besoin, ils s'en tamponnent de nos états d'âme, eux ils foncent, percent les barrages aux frontières pendant que nous sommes collés au siège bras croisés impuissants, terrorisés, pleurnicheurs, mielleux, repentistes, mains liées, la cagoule de la censure officielle sur la tête comme les condamnés à mort sur la potence.

---

Eradiquons le cancer islamogauchiste macronupes. L’idéal ce serait de dissoudre les universitaires squatteurs fascistes islamogauchistes dangereux haineux qui gangrènent les universités de gauche bien entendu, de vrais fachos nazislamistes haineux violents impunis soutenus par la macronie et les Nupes.

La pensée unique de l'emprise des GAFAM woke et des universités mondiales de gauche ont gangrené toutes les sociétés occidentales dégénérées avec leurs chartes totalitaires de pensées diverses : genre, LGBT, islamisme, gauchisme, décolonialisme, repentisme, éradication de la race blanche, racialisme, indigénisme, etc. 

Cet islamogauchisme cancérigène soutenu et programmé par Macronescu se répand comme une traînée de poudre dans le monde, la France, maillon faible, en est déjà en phase terminale.

Néron doit se retourner dans sa tombe de jalousie, lui qui n’a brûlé qu'une ville, humilié par Macronéron qui a brûlé tout un pays.

[Rédigé par : Exilé]

L'allocution du Guide suprême a été suivie par 35,3 millions de personnes ce qui pour une durée d'un quart d'heure correspond en temps perdu à :
8,825 millions d'heures.
367 700 jours.
1007 ans.

Les Français n'ont vraiment que ça à faire.
Et pendant ce temps-là, les Chinois travaillent...

[Rédigé par : Achille]

@ Michel Deluré | 19 avril 2023 à 09:20
« Et trouverez-vous encore quelque intérêt et quelque plaisir à écouter une interview stéréotypée, standardisée, déshumanisée, effectuée par une IA ? Je pressens même que vous regretterez vite alors un Pascal Praud ! »

Pascal Praud, c’est un peu le Louis de Funès des animateurs de plateaux télé. Je regarde son émission comme je regarderais une émission parodique. Il arrive parfois à me faire rire, mais de la à me convaincre, je crains que ce ne soit sans espoir ! 😀

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Claude Luçon | 18 avril 2023 à 22:26

Les Chinois sont nombreux et se contentent de très peu paraît-il, c'est pourquoi ils cultivent le riz, un grain suffirait pour nourrir les petits estomacs (bon, c'est dans les blagounettes qui circulent quand on invoque leur nombre)...
Nous n'avons que peu de riz, mais on leur paiera la dette avec des lentilles, toujours le même mécanisme, un grain, un estomac... Je taquine évidemment, quoique l'image du bol de riz pour se nourrir suffisamment perdure.

Je suis atterré des gaspillages, des normes et des lois, enfin aujourd'hui on n'a plus le temps de travailler, il faut surtout s'initier en tant que hurdler pour franchir les obstacles en France.

Déposer un permis de construire, pour un particulier, comme il pouvait le faire à une époque quand il économisait le moindre sou, est impossible aujourd'hui.
Je vous en livre le détail, cela vaut bien le poids d'un sac de riz et ma théorie qui nourrit les gens:

Dans le détail, le dépôt d’un permis de construire doit comprendre :

- un formulaire Cerfa n°13406*06 qui reprend toutes les informations concernant le demandeur et le projet ;

- un plan de situation du terrain (PC1) : ce plan va identifier les règles d’urbanisme applicables à votre projet. Il localise le projet sur votre terrain, et votre terrain dans la commune ;

- un plan de masse de la construction à édifier ou modifier (PC2) : il s’agit là d’une vue aérienne du projet. Ce plan doit faire apparaître les bâtiments existants sur le terrain ainsi que ceux à édifier, les plantations existantes et à venir, etc. Ce plan est coté et doit présenter le raccordement aux réseaux ;

- un plan de coupe du terrain et de la construction (PC3) : ce plan montre le profil du terrain avant et après les travaux. Il indique le volume extérieur des constructions et leurs implantations par rapport au profil du terrain ;

- une notice descriptive (PC4) présentant le projet dans sa globalité, la configuration du terrain, les matériaux et coloris prévus pour la construction ;

- un plan des façades et des toitures (PC5) : ce plan vise à apprécier l’aspect extérieur de la construction ainsi que ses hauteurs.

Les autres pièces à fournir pour votre permis de construire, outre ces plans, sont :

- un document graphique 3D du projet dans son environnement (PC6) ; (PC7) ;

- une photographie situant le terrain dans l’environnement lointain (PC8).

Attention : des pièces à fournir supplémentaires peuvent être réclamées quand le projet par exemple se situe dans un secteur protégé, ou encore à proximité d’un bâtiment historique ou dans un quartier régit par les Architectes des Bâtiments de France (ABF).

Vous noterez le "Attention"... Et là vous rentrez en plus dans les vrais emmer... Enfin vous me comprenez.
Et encore ! Je n'ose imaginer les autres secteurs.
Produire du papier, là nous sommes champions du monde, avec la production de la dette.

Je viens de recevoir ma commande d'outils spéciaux qui viennent d'Allemagne, c'est impeccable, dans une petite mallette, conforme dans tout ce que je pouvais en attendre... C'est rageant ! Je n'ai rien pu trouver d'équivalent en France...
Pour un peu plus de deux fois moins cher.

[Rédigé par : Michel Deluré]

@ Achille 18/04/23 22:21
"Il va falloir avoir recours à l'IA. Elle au moins s'appuie sur des éléments factuels".

Vous me semblez sur ce point Achille faire preuve d'une confiance bien aveugle et sans limites dans l'IA. Cette dernière ne se nourrit-elle pas en effet pour partie des aliments que lui apporte l'homme ? Reconnaîtra-t-elle alors les aliments manipulés que lui fourniront des êtres malintentionnés ?
Et trouverez-vous encore quelque intérêt et quelque plaisir à écouter une interview stéréotypée, standardisée, déshumanisée, effectuée par une IA ? Je pressens même que vous regretterez vite alors un Pascal Praud !

[Rédigé par : Achille]

Après son allocution télévisée, Emmanuel Macron a entonné un chant pyrénéen avec une bande de jeunes qu’il a rencontrés dans la rue avec son épouse.
Ce n’était pas la première fois qu’il se prêtait à ce genre d’exercice, puisqu’il avait chanté cette même chanson avec des bergers lors du Tour de France de l’année 2022.
Oui mais voilà, il est président de la République et donc un président ne doit pas chanter autre chose que la Marseillaise dans les cérémonies officielles.

C’est en tous cas ce qu’ont laissé entendre nombre de ses opposants politiques, qui en fouinant bien, ont même réussi à trouver que ces jeunes faisaient partie d’un groupe d’extrême droite.
Et bien sûr tout cela n’est pas le fruit du hasard car Emmanuel Macron, c’est bien connu, est un chaud partisan de cette mouvance politique !
Jusqu’où iront ses détracteurs pour le discréditer ?
Il paraît même que certains veulent utiliser l’article 68 de la Constitution pour le destituer.
Et ce sont ces gens-là qui parlent de « vide » présidentiel. Les concernant, on a plutôt l'impression de toucher au néant.
On nage en plein délire !

[Rédigé par : Isabelle]

La nature ayant horreur du vide.
Notre économie en prend un coup !
« Je suis pas sûr que ce soit en achetant des fusées aux Américains et des voitures électriques aux Chinois que nous allons nous réindustrialiser. Mais je peux me tromper… » N. Meilhan
https://twitter.com/NicolasMeilhan/status/1648309990602489858

Nous continuons à nous faire avaler tout crus par les USA et les Chinois. Normal, nous avons les branquignols de l’économie aux commandes. Pour les "Mozart", on repassera !

Macron vient de découvrir qu'il y a des chantiers à entreprendre en France, après 6 ans de règne sans partage !
Le système scolaire est en ruines, l’hôpital s’effondre, les routes se dégradent, l’insécurité augmente partout, l’armée manque de munitions….
Où va l’argent ?

Question subsidiaire : McKinsey, monde associatif, accueil des migrants, AME, CAF, « politique de la ville »…

Au fait, le "Professeur" J. Salomon intègre la direction de l'OMS.
Après avoir égrené le nombre de morts lors de l'épidémie Covid surjouée en oubliant de mettre en perspective ce nombre avec celui des personnes âgées gravement malades en fin de vie.

La "république" des copains-coquins ou comment se recaser à tous les coups !

[Rédigé par : Bill Noir]

Il y a quelques jours, absorbé par quelques tâches domestiques, je n'ai pas pu tirer la substantifique moelle d'une émission télé (sur LCI je crois) où Raphaël Glucksmann évoquait des questions touchant aux guerres européennes actuelles. Il parla du rôle que le chancelier Schröder joua avec Poutine dans l'affaire Nord Stream et le statut privilégié qu'il obtint au bout du compte, à savoir le titre et les revenus d'oligarque à titre étranger !
Si j'ai bien compris, l'Allemagne aurait à tout jamais chaud l'hiver, le Russe n'était pas un mauvais diable, il suffisait de s'entendre avec lui d'homme à homme !
À cette occasion de gros paquets d'argent auraient circulé comme il est coutume dans cette sorte d'activité.

On ne parla pas de la détérioration du tuyau au milieu de la Baltique [*] mais il nous apprit que six mois avant que le Grand Moujik lance ses valeureuses troupes sur l'Ukraine, celui-ci s'était arrangé pour assécher les réserves énergétiques de l'Allemagne et des pays limitrophes. Une sorte d'avertissement sans frais.
Ces relations entre grands dirigeants nous échappent, d'ailleurs elles ne nous regardent pas vraiment, nous les élisons et puis après qu'ils se débrouillent… chacun son job !

Les relations fraternelles (!) que l'Allemagne et la Russie entretiennent – ces deux géants européens – ne concernent pas le petit peuple de cette vingtaine d'États médiocres épars sur ce continent.

En fin d'émission on nous passa une petite séquence filmographique où nos deux compères installés autour d'une table ronde blanche qui ne sortait pas de chez Bricodécor, recouverte d'une impeccable nappe de qualité, sous une tonnelle au milieu d'un jardin d'une chancellerie ou d'une ambassade, sabraient le champagne (les Germains et les Slaves sabrent) – peut-être fêtaient-ils leur accord gazeux – mais ce qui surprenait c'était, autour de cette table, la présence d'un troisième personnage muet qui ne dissimulait pas sa joie, la boisson aidant !
Que faisait-il dans ce trio celui-là ? Qui était-il ? D'un regard on reconnaissait immédiatement Chirac, Jacques Chirac, vous savez le grand Chirac, l'ancien Président français… mais que faisait-il là avec ces deux autres ? À ripailler comme un trio d'amis ?
Les deux premiers avaient quelque chose à fêter… mais le troisième ?

Je ne sais plus si Glucksmann a donné une explication… j'étais en souci d'une sauce et d'un ingrédient qui allait manquer…
J'aimerais bien qu'un de nos camarades – il y en a qui sont grandement compétents – nous explique ce « sabrage » !

[*] À ce sujet il convient de noter que toutes les hypothèses furent émises sauf l'implication du propriétaire de l'installation.

[Rédigé par : Marcel P]

Monsieur Bilger,

À vous lire, on croirait en lire d'autres au sujet des rapports police-population ou justice-population - cache-sexe pour parler rapports police-criminalité et justice-criminalité.

Vous vous étonnez très sincèrement de ce désordre parisien ? Mais pensez-vous un seul instant que vous ne susciteriez pas le même désordre, si vous étiez aux commandes ? Avez-vous lu et entendu les revendications de ces émeutiers ? Pour eux, Macron est d'extrême droite, en quels termes pensez-vous qu'ils vous qualifient ?

Sans tenir compte des traîne-savates, tel ce militant bien en vue qui est en licence à 26 ans et qui prétend s'inquiéter de son départ en retraite alors qu'il ne fait manifestement rien pour entrer dans la vie active, entendez-vous prendre la défense de types vêtus de noirs et cagoulés, qui attaquent des convois de policiers et crient aux "assassins" lorsque ces derniers se défendent ? Vous pensez ces gens-là représentatifs de qui et de quoi ? Allez-vous aussi faire pleurer la rombière en nous parlant des militants, pour une part pas même français, qui militent pour l'insurrection à Sainte-Soline, tout en exigeant que les gendarmes rendent les armes ?

[Rédigé par : Xavier NEBOUT]

@ Claude Luçon

Tout va bien sauf que le pays est à l'instar de son président, le champion de la production de vent. Cela se traduit par une balance commerciale catastrophique et par conséquent une dette abyssale dont on ne voit la fin ni en temps ni en volume.

Il y a plus de cinquante ans, l'un de mes professeurs de droit disait que le droit de propriété sera confisqué lorsque tout le monde sera propriétaire. Il est à craindre que ce soit avant. Ce jour-là, et ainsi que le prédit par ailleurs Juan Branco, je ne donne pas cher de Macron et sa bande s'ils sont encore vivants.

[Rédigé par : Claude Luçon]

Il y a vraiment du vide dans ce regard bleu, une forme de fixation sur l'horizon !

Au fond c'est triste,
* il a chevauché la crise Covid plutôt bien,
* le chômage est devenu un mot que nos syndicalistes ont oublié dans leurs revendications au point de ne parler que de retraite pendant trois mois et de sembler incapables de manifester pour autre chose,
* les Français ont plein de sous si l'on en croit le Livret A y compris sous leurs matelas et dans leurs coffres-forts d'après nos très nombreux économistes, au point qu'on penserait que les Français sont radins,
* les trains et séjours de vacances sont déjà complets pour l'été prochain,
* dans les manifs ont se plaint de ne pouvoir se plaindre,
* les chauffards sont protégés de la montée du prix du diesel,
* les hôpitaux sont pleins de malades de l'obésité,
* les autoroutes sont ouvertes et bien tenues tunnels compris, les avions volent, les trains roulent et le métro aussi,
* il y a de l'eau courante, du gaz naturel, de l'électricité, le tout-à-l'égout à tous les étages, rez de chaussée et sous-sols inclus,
* les gamins vont à l'école où ils n'apprennent rien, préférant être respectés par les enseignants plutôt que le contraire, encouragés par les associations de parents,
* nous avons des policiers et des gendarmes qui parviennent à contrôler les Français, un exploit quand on connaît le passé même récent, et qu'on sait qu'il y a en moyenne deux civils blessés pour cent policiers et gendarmes blessés en dépit de leurs uniformes blindés qui ne résistent même pas aux cocktails Molotov,
* alors qu'on nous prédisait que nous aurions un hiver rude faute d'électricité alors que tout ce qu'on peut lui reprocher est de n'avoir pas fourni assez de neige dans les stations de ski...
Alors quoi ?
Que veulent-ils nos compatriotes ?

En outre il ne faut pas oublier : il sort de l'ENA, on en sort diplômé en vanité, mais pas en modestie ou empathie, le but est de décrocher la Légion d'honneur, pas vraiment d'administrer !

Il est pourtant beau gosse, un Chirac en plus petit, même plus travailleur, ce qui est facile il est vrai, il faut lui trouver un coach en charisme, ce devrait être simple les coachs sont à la mode !
Avec des yeux bleus pareils on regarde l'horizon pas des pékins en gilets jaunes ou agitant des drapeaux rouges.
On m'a dit, en apprenant à piloter : regardez l'horizon pas les indicateurs...
(Brevet que je n'ai jamais eu, ayant été victime d'un chantage du genre "C'est moi ou ton brevet de pilotage ! Imparable !)

---------------------------------------------------------------

@ Giuseppe | 18 avril 2023 à 13:44
"les Chinois de se gaver sur notre dos."

Là vous poussez un peu ! 1,4 milliard de Chinois, ça fait beaucoup, d'autant plus que nous ne laissons que des restes.
Ils se gavent de peu les Chinois, de détresse ils fabriquent même du foie gras avec leurs dindons, et nous envoient même des Chinois vendre des canards laqués, pour que nous ayons quelque chose à manger de très français !

[Rédigé par : Achille]

@ Claude Luçon | 18 avril 2023 à 13:36
« Le genre journalistes qui vous donnaient les nouvelles du jour a été mis à la retraite, celle pré-Macron ! »

Je crois qu’à l’avenir pour avoir des informations objectives il va falloir avoir recours à l’IA.
Elle au moins s’appuie sur des éléments factuels. Elle est dépourvue de tout état d’âme, de certitudes politiques. Avec elle pas de sarcasmes idiots, pas d’agitation de lunettes à la Pascal Praud comme il nous en a encore fait la démonstration ce soir.
Des phrases bien tournées sans fautes de syntaxe ou de conjugaison.
Je suis sûr qu’en travaillant un peu le logiciel, il est possible d’obtenir une petite pointe d’humour, du bon bien sûr, pas la blague lourdingue que l’on entend trop souvent sur les plateaux TV.

Le métier de journaliste est en pleine restructuration. Il y en a qui risquent de se retrouver au chômage ! :)

_________________________________________

@ Florestan68 | 18 avril 2023 à 11:07
« Vous pointez encore « l’angoisse d’une nation déboussolée » : ne faudrait-il pas parler ici du refus viscéral de l’effort d’un peuple d’enfants gâtés devenu immature et égoïste ? »

La France d’aujourd’hui

[Rédigé par : Jean Raymond GARCIA]

"…le président de la République n'a pas apposé sur un pays en fièvre un remède d'apaisement et d'espérance… il sortait l'hypothèse de son départ du champ de sa réflexion… aurait dû montrer à quel point il n'avait pas été insensible au bouillonnement parfois frénétique de la France, non seulement en en prenant acte mais en proposant de quoi le calmer.
J'ai eu l'impression qu'à l'impatience, voire à l'angoisse d'une nation déboussolée.
Cette manière de ne jamais répondre à l'attente majoritaire d'un pays…
Je crains, à considérer le désordre dans certains quartiers à Paris et ailleurs…
…que l'opinion négative majoritaire n'en aurait pas été modifiée.
…à ses opposants politiques et syndicaux, adeptes nombreux d'une démocratie non-violente…
Il est venu, on l'a entendu, il n'a pas convaincu." (PB)

Tiens, un petit tour chez M. PB. Oh rien de nouveau, toujours votre analyse personnelle sur tout ce que fait ou dit notre président, que vous ne portez pas dans votre cœur, c’est votre droit.
Un pays en fièvre, parce que certains quartiers de Paris connaissent des exactions de certains excités d’extrême droite et d’extrême gauche ?!!! Il n’y a rien de tout cela dans les villes petites ou de taille moyenne, c’est dangereux de trop regarder BFM ou d’écouter Sud Radio… je ne le fais plus, c’est Chérie FM ou Radio Classique, à la limite LCI pour une bonne information basée sur du dialogue et des vérifications sérieuses des événements à commenter. Chacun son choix.

Bénévole dans un grand club de rugby du sud, j’ai donc très souvent l’occasion de converser avec beaucoup de monde, jeunes ou moins jeunes, et ce qu’il en ressort est beaucoup moins noir que votre tableau de la France actuelle. Par contre, que notre pays devienne de plus en plus un pays de paresseux, d’assistés et de profiteurs, oui je l’entends à longueur de journée !!
Regardons la vérité, dans vingt ans il y aura un actif pour un retraité, et qui aura une espérance de vie plus grande qu’aujourd’hui, alors que fait-on, on ferme les yeux, on se bouche les oreilles et surtout on ne dit rien qui pourrait fâcher ?!!

[Rédigé par : Ellen]

Le vide total. Emmanuel Macron n'a rien dit sur l'immigration. Et pourtant la situation est alarmante a dénoncé Eric Ciotti le 10 avril 2023 demandant à G. Darmanin le renfort de la gendarmerie à la frontière franco-italienne afin de contenir un raz-de-marée de migrants essayant de passer en France via Menton et Nice. Le train était bondé de migrants en provenance d'Italie.

Quand c'est non, c'est non ! Giorgia Meloni, femme de parole et fidèle à ses électeurs, tient bon et refuse de céder à E. Macron.

La lettre d’Éric Ciotti au ministre faisait notamment état de chiffres de l’immigration en hausse dans les Alpes-Maritimes. « En mars 2023, le flux entrant de mineurs non accompagnés a battu un nouveau record avec 521 prises en charges », a-t-il indiqué dans sa lettre, publiée sur Twitter. « Le volume de mineurs à accueillir atteint au 5 avril 2023, 729 mineurs non accompagnés », est-il encore précisé.

Il a également fait état d’une « hausse de 40 % des débarquements en Italie en ce premier trimestre 2023 ». Selon le patron des LR, les migrants viennent en majorité de Côte d’Ivoire, de Guinée, de Tunisie ou encore du Mali.

Pendant ce temps, le ministère promet des lois qui de toute évidence n'auront aucun effet sur l'afflux des migrants.

Ils ont compris qu'en prétextant qu'ils sont mineurs (faux mineurs et papiers déchirés et jetés pour ne pas laisser de traces), ils se disent que l'Italie et la France sont obligés de les gardés. Les ONG et leurs pays d'origine leur disent ce qu'il faut dire et faire en arrivant à la frontière européenne.

https://www.valeursactuelles.com/regions/provence-alpes-cote-dazur/alpes-maritimes/nice/societe/migrants-eric-ciotti-salue-lenvoi-de-gendarmes-a-la-frontiere-italienne-face-a-un-raz-de-maree

Les beaux jours arrivent. On peut s'attendre au pire.

Ça va exploser !!!

[Rédigé par : Jérôme]

Quelle naïveté chez les commentateurs de l'Heure des pros. Macron chantant dans la rue, un hasard, tout est arrangé.
Quelle guignolerie.
Ce président passe son temps à se donner une image. Il est pitoyable.

[Rédigé par : genau]

C'était vide et donc ennuyeux. Tout le monde en est d'accord.
Mais peut-il en être autrement là où exprimer une idée libérale authentique, un soupçon de volontarisme, vous classe parmi les nazis ?
Initiative ? Que non pas, Etat, pognon et falbalas. 64 ans ? Horreur "on meurt au travail". Bien, tout le monde banquier alors. Non, plus de capital. Alors ? L'apéro, la suppression des travaux pénibles, et du fric, du pèze, du flouze, de la braise, de l'artiche, de la joncaille, du pognon, et au black (sans connotation raciste), bien sûr.

Macron a été très intelligent sur le coup, il a craché sur les Français, à raison, en leur servant un bidule cent fois réchauffé et qui s'appelle "demain, on rase gratis".
Puis il est allé chanter dans la rue avec un groupe, mais d'extrême droite bien sûr, "ah ! s'il avait chanté l'Internationale, au moins, on aurait gardé un peu d'espoir". On aurait pu espérer tuer tuer tuer, comme dans Pauvre Bitos ou chez le petit père des peuples.

Pas de doute, on est en France.

Dans le pays qui travaille le moins en Europe, pousser la goualante du martyre est une obligation.

Dans un pays où une auteure, scientifique reconnue, (Bergeaud-Blackler) qui publie un livre (Le Frérisme et ses réseaux) sur les réseaux islamistes pour orienter l'opinion, menacée de mort, doit être protégée par la police alors que son taux de lecture est estimé à quelques centaines d'exemplaires ; qu'un grand libraire par correspondance ne le met pas (à ce jour) à son catalogue, mais publie les "100 trésors de l'Islam: Principes du Coran et de la Sunna pour une vie meilleure", un président blagueur et cynique est tout à fait à sa place.

Chapeau, Monsieur le Président.

[Rédigé par : Alain]

Bonjour,

Que pouvait-on attendre de cette intervention : RIEN.
Pourquoi, très simple : notre président n’est qu’un chef de service de l’entreprise Europe. À ce titre il a rempli sa mission en faisant adopter cette loi sur la réforme des retraites. Ce qui a pour conséquence de rassurer les marchés financiers et les investisseurs. Nous sommes là bien loin des préoccupations du bon peuple mais l’élève Macron est remonté dans l’estime générale.

Durant cette période il a été aussi prouvé qu’une loi pouvait être promulguée sans le vote de la représentation nationale. Vive la démocratie à la française.

Il a entre autres promis de désengorger les urgences hospitalières fin 2024. Bravo, c’est un grand magicien, il faut au moins dix ans pour former un médecin… Les promesses rendent les fous joyeux et n’engagent que ceux qui y croient.

Allez, demain est un autre jour, promis en 2027 on aura tout oublié. Vive la France.

[Rédigé par : breizmabo]

@ Robert Marchenoir 18 avril 2023 05:46
"Dès dimanche prochain après la messe, la retraite par capitalisation sera en vigueur sur tout le territoire français"

En même temps Martchi, si McKinsey a financé (au black) sa campagne présidentielle c'est bien pour mettre en place ce système, non ? Le reste n'est que poudre de perlinpinpin ;)

Nous n'avons plus que quatre ans à attendre, c'est tout.

Adéo Martchi

[Rédigé par : Julien WEINZAEPFLEN]

"Il est venu, on l'a entendu, il n'a pas convaincu. Le pacte entre lui et les citoyens est rompu." (PB)

L'allocution d'Emmanuel Macron était attendue. Manquant d'incandescence (pour une fois le président n'a pas cédé au lyrisme), elle était formellement conforme à l'orateur et insignifiante pour ce qu'elle n'avait pas d'indécent.

C'est Arnaud Demanche qui, ce matin, sur "RMC", l'a résumée le mieux:
"Quand j'ai dit qu'on pourrait rebâtir Notre-Dame, vous l'avez fait. Quand je veux, vous pouvez."

"Je veux", locution votive d'un président mal élevé qui n'a jamais appris à dire "je souhaite" ou "je voudrais". Un président qui ne sait pas manier l'optatif. Une graine de tyran domestique.

Emmanuel Macron aime se référer à l'histoire. Il joue les grands personnages en imaginant que c'est ainsi que l'histoire prend date ou que l'on adopte une posture historique. Pendant le Covid, c'était "Clemenceau dans les tranchées" (aux dires des conseillers de l'Élysée). Hier, c'était les Cent-Jours (il a dû avoir Dominique de Villepin au téléphone). Sa seule invention fut "le Grand débat", transformé comme on sait en "grand blabla" ou en "grand monologue" après la crise des Gilets jaunes.

Discours insignifiant: sur les trois "chantiers" sur lesquels il nous promet d'"avancer" pendant ces cent jours, la réalisation de trois d'entre eux est remise à appréciation ultérieure:

- Pourquoi la réforme de la justice devrait-elle s'arrêter après les Cent-Jours ?

- "À partir de la rentrée prochaine, l'école se transformera à vue d'oeil" (non dans ses contenus pédagogiques, mais sa logistique fonctionnera et l'absentéisme ou les congés maladie pour dépression des enseignants seront palliés.

- À la fin de l'année prochaine, on aura désengorgé les urgences. Et c'est ici que le discours est indécent. Le même président avait déjà promis qu'à la fin de je ne sais plus quelle "année prochaine de son précédent quinquennat (l'année prochaine on rasera gratis), il n'y aurait plus aucun SDF dans les rues. Lionel Jospin avait fait la même promesse inconsidérée en campagne pour transformer son poste de Premier ministre en celui de président de la République, mais je l'accrédite (l'objectivité n'existant pas) de ne pas avoir su ce qu'il disait car il était profondément HUMANISTE et il avait la fibre sociale.

Emmanuel Macron promet de se pencher sur le droit du travail (ce sera sa troisième loi dans le domaine pour expurger un Code du travail que Robert Badinter prétendait trop volumineux), sur la justice (Éric Dupond-Moretti devait rebâtir "la confiance" des citoyens dans la justice républicaine à la fin du précédent quinquennat) et sur le "progrès du quotidien", de la santé et de l'Education nationale. Que ne l'a-t-il fait pendant les six années précédentes ? Il a dû s'assoupir comme la Belle au bois dormant qui rêvait de ne pas être un "roi fainéant".

Emmanuel Macron est habitué depuis longtemps à des discours fleuves et programmatiques où les actes ne suivent presque jamais les paroles. Il croit à la vertu illocutoire de la parole politique. Pour lui, "dire, c'est faire". Il en dit un maximum et fait tout le contraire de ce qu'il dit. Il voulait dissoudre ? Il ne veut plus. "Personne" (et surtout pas lui) ne peut rester insensible à la demande de plus de démocratie dans la pratique du pouvoir, mais il tient tellement à faire passer sa réforme des retraites (car Bruno Le Maire l'avouait ce matin, on se doit à ses créanciers), qu'il ne convoque pas un référendum pour résoudre la crise. Pour lui, la démocratie, c'est le tirage au sort et ce sont les conventions citoyennes dont il promet qu'il reprendra l'ensemble des conclusions et dont il dit quand on le convainc du contraire que "ce n'est pas la Bible ou le Coran".

Mais que fait encore Bayrou, l'éphémère garde des Sceaux qui voulait moraliser la vie politique tout en traînant des casseroles, dans l'entourage de ce président qu'il traitait d'hologramme quand il n'avait pas encore fait alliance avec lui ? Cet ancien ministre de l'Education qui cogérait son ministère avec le SNES et Monique Vuaillat se déclare contre la réforme Blanquer du baccalauréat et contre Parcoursup, il soutient Emmanuel Macron. Il a toujours alerté contre la dette, ce président l'a fait exploser, mais il soutient Emmanuel Macron. Il est contre l'euthanasie, le président "veut" qu'une loi sur la "fin de vie soit votée avant l'été" et Bayrou soutient Emmanuel Macron. Tout est à l'avenant dans notre société discontinue.

Discours insignifiant et allocution "[disruptivement]" indécente, mais stratégie pouvant se révéler payante: le président a déjà sonné la fin de la récré séquentielle en organisant le Grand débat à la sortie des Gilets jaunes. C'est lui qui donne le tempo et siffle la sortie des séquences (je hais les séquences, bis). Pour l'instant, Laurent Berger a promis d'attendre la fin de la mobilisation du 1er mai pour revenir parler "travail" à la table des négociations présidentielles.

Il y a vingt et un ans, la France sortait dans la rue pour s'opposer à la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle. Depuis, pas de contestation majeure... Quand l'épouvantail n'est pas là, les souris dansent et "enfourchent le tigre".

[Rédigé par : oli71]

Ce billet cultive l'art de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

- "le rôle positif de l'intersyndicale" : ils sont contre tout !

- "Cette manière de ne jamais répondre à l'attente majoritaire d'un pays" : l'attente majoritaire des Français est, semble-t-il, de travailler le moins longtemps possible pour faire financer leur retraites (ou ce qu'il en restera) par leurs enfants. Brillante idée.

- "Il est clair que si on avait su mettre le premier chapitre avant la discussion sur le report de l'âge, le gouvernement aurait trouvé une écoute syndicale favorable" : pardon, mais que de naïveté !

- "ses opposants politiques et syndicaux, adeptes nombreux d'une démocratie non-violente, respectables": adeptes des piquets de grève, des blocages à répétition et des coupures d'électricité ciblées ?

[Rédigé par : sylvain]

Vide sidéral concernant :

L'invasion immigration musulmane islamiste criminelle.
L'insécurité record, l'anarchie et le chaos dans tout le pays.
Les crimes et délits de plus en plus impunis voire tolérés surtout si leurs auteurs sont arabo-africains clandestins multirécidivistes intouchables protégés par les wokistes macroniens et les juges rouges SM mur des cons.

Les députés extrêmes gauchistes délinquants Nupes LFI qui squattent l'AN, soutiennent les casseurs de Sainte-Soline et les incendiaires criminels dans toutes les villes de France.
Mais le seul et grand danger chez nous c'est Zemmour, c'est Le Pen, ailleurs c'est Poutine, c'est XI Jinping !
BEN VOYONS !

[Rédigé par : Exilé]

« Il est venu, on l'a entendu, il n'a pas convaincu. » (PB)

Après « Jules César » et après « Beaucoup de bruit pour rien », que pouvaient attendre de plus ses admirateurs de la part de ce comédien soucieux d'occuper le terrain médiatique que ce que les gens de théâtre auraient pu appeler « une espèce de bide » ?

[Rédigé par : Giuseppe]

Ce qui m'inquiète le plus c'est la dette, Bruno Le Maire est chargé de voir comment réduire les intérêts d'emprunt.

En un coup un seul, on vient de jeter par les fenêtres la valeur économisée par le recul de l'âge: 12 milliards d’euros d’intérêts supplémentaires, et les Chinois de se gaver sur notre dos.

https://www.francetransactions.com/actus/news-finances/taux-interet-explosion-cout-dette-france.html

Il faut virer Gégé, mettre à la place un filiforme, l'image compte, quand on n'a plus un rouble vaillant il faut être exemplaire.
On y est, esclaves de notre dette, des élus inutiles et en masse, un millefeuille administratif, un pays esclave de ce qu'il doit, le problème est là.

Rentrer dans un projet après une compétition, sans obérer la qualité, il faut bosser, on développe des trésors d'imagination, et ne laisser la place à aucune incertitude.

Dans mon journal de famille préféré il est dit que les salaires du BTP sont en hausse selon le baromètre du cabinet de recrutement Hays, la pénurie de compétences fait que la demande est supérieure à l'offre, les plus sollicités: chefs de projet, ingénieurs travaux principaux et en étude de prix.

Quand vous travaillez avec un budget après appel d'offres, vous n'avez pas le choix, reprendre les études en épluchant tout, comme si vous deviez relever un défi, le passage obligé des études d'exécution, et la rentabilité au bout supposée.

Quand le pognon cher à Nanard ne sort pas des poches de celui qui consomme, alors c'est de la gabegie assurée.
Grand Dadais ferait bien de faire une conversion accélérée dans le BTP, énarque un jour, dette toujours, misère toujours... C'est d'un grand économiste dont je tairai le nom.

[Rédigé par : Claude Luçon]

@ Achille | 18 avril 2023 à 07:58
"Les Français sont manipulés par les sondages...
Ajoutons à cela les propos de nos « experts » en politique dans les chaînes d’info continue..."

Achille, vous ne savez pas ? la France a produit un nouveau type de penseurs : les Toutosophes !
Dont une partie s'est spécialisée en Critiquologues.
C'est commode, ils savent tout, prédisent tout, pensent pour nous, tout !
Nous n'avons plus qu'à nous asseoir dans un fauteuil, une tasse de thé ou un whisky en main, suivant qu'on admire les Anglais ou les Américains et leurs systèmes politiques à deux partis, et de Luc Ferry à Jérôme Jaffré en passant par Cohn-Bendit et BHL, ils sont experts en tout ! TOUT !
Quant on pense que nous devons nous contenter d'un Macron !
À s'en dire : Meuh ! Meuh!
Le genre journalistes qui vous donnaient les nouvelles du jour a été mis à la retraite, celle pré-Macron !

[Rédigé par : Jérôme]

Ce président doit se regarder en boucle.
Il aime parler, montrer qu'il sait parler.
Encouragé dans le domaine par une cohorte de flagorneurs de haut vol aussi "intéressants" que lui.
J'ai ouï dire qu'il s'est fixé un laps de temps de 100 jours pour... Est-il au courant que sa clique et lui-même sont au pouvoir depuis quasi 2000 jours ?

La politique selon E"K"M se résume à des règles de trois.
Je propose "chatte-jaipété" pour le remplacer.
Je me suis installé la version mâle, "bit*-jaipété".
C'est du même tonneau côté humain. Ça lui fera un pote s'il consulte. C'te clique qu'on a.
Attal, Véran, Zaza Napoli, Le Maire le bedonnant, Panier-Nulachié...
Et c'est nous qu'on paye.
Vous m'direz, les remplaçants potentiels ce serait tomber de charette en syllabe.
Mal barré, mal barré.
Vais boire une pinte de binouze tiens ! Vive la république ! Vive la France !

[Rédigé par : Florestan68]

Pour la première fois depuis que je contribue à ce blog, je voudrais relever et saluer le message d'un autre contributeur, Monsieur Robert Marchenoir, cette nuit à 5h46 : un éclair de génie au coeur de la nuit.

[Rédigé par : Robert]

2023 n'est pas une forme de réédition de 2018. Si Monsieur Macron a pu reprendre la main après l'épisode des Gilets jaunes grâce en grande partie à son verbe et ses déplacements en province, cette fois sa parole n'a quasiment plus d'impact positif chez les Français.
Car il ne s'agit plus du seul électorat, mais bien de la majorité des Français qui, s'ils l'écoutent encore, ne l'entendent plus car son discours n'a plus la moindre force d’entraînement et de conviction.

En réalité monsieur Macron subit comme un boomerang la disparition des partis qu'il a voulue au seul profit de son extrême centre, oubliant que les Français sont d'abord un peuple politique avec des bascules de majorité mais qui se gouverne en fait au centre.
Or, monsieur Macron n'est pas le représentant du centre mais bien l'homme d'une certaine intelligentsia financière et administrative. Il reste le membre de la haute administration française, droite dans ses bottes et ses certitudes, qui veut imposer aux Français des mesures dont ils ne veulent pas au prétexte d'un État de droit à devoir respecter en toutes circonstances, alors qu'il s'agit d'un corsetage législatif visant à supprimer toute réaction ou opposition légale.

Cette situation est source de révoltes plus importantes que celle de 2018.
Monsieur Macron veut reprendre ses déplacements en province, mais nombre d'élus ne seront plus là pour engager avec lui le dialogue de 2019, d'autant qu'il savent ce qu'il est advenu des fameux "cahiers de doléances". Par ailleurs, chacun de ses déplacements fera l'objet de manifestations systématiques, du simple concert de casseroles à des attitudes bien plus violentes, comme le 13 décembre 2018 au Puy-en-Velay, voire plus graves.

Et donc il devra se faire protéger par des déploiements très importants de forces de l'ordre qui l'éloigneront encore plus des Français et seront le symbole de son isolement dans sa tour d'ivoire présidentielle. Il constatera son isolement mais saura-t-il en tenir compte pour modifier son mode de "fonctionnement" à la tête de l’État ? J'en doute profondément.

Enfin, monsieur Macron a invité, de manière d'ailleurs assez cavalière, les représentants des syndicats à se rendre aujourd'hui en son Palais de l’Élysée. N'ont répondu à cette invitation que les seuls syndicats patronaux, ce qui accentue sa distance avec le peuple, d'autant que lui colle l'image de la réception des dirigeants d'organismes comme BlackRock et autres McKinsey.

Le prochain rendez-vous sera donc la journée du 1er mai avec une intersyndicale toujours plus unie contre lui et qui dénonce son absence de dialogue. Comme cette fois encore on peut s'attendre à des actions très violentes des black blocs, les débuts de ses Cent-Jours se feraient alors sous un signe particulièrement négatif qui augurera mal du succès de son entreprise de redressement de la France.

En conclusion, le rejet que désormais monsieur Macron suscite chez une majorité de Français ne risque-t-il pas à cette occasion de déboucher sur une vraie crise de régime ?

[Rédigé par : Michel Deluré]

Ce n'est certainement pas la pâle intervention hier soir du président de la République qui aura contribué à gommer les erreurs commises, à dissiper les malentendus accumulés, à réconcilier les citoyens entre eux d'une part, et avec leur exécutif d'autre part. Sans compter qu'une référence aux Cent-Jours, pour volontaire ou non qu'elle ait été, n'était pas en la circonstance des plus judicieuses lorsque l'on sait comment cette période napoléonienne s'est achevée !

Il n'y avait d'ailleurs guère à attendre de cette intervention, EM s'étant malheureusement lui-même engagé depuis longtemps dans une impasse, sa stratégie depuis 2017 l'ayant en fait conduit, comme cela était prévisible, à une situation politique inédite de crise qui ne laisse que peu de portes de sortie. Et je rejoins totalement en cela le constat de Marc Ghinsberg (18/04/23 10:10).

Une société, c'est entre autres une somme de conflits d'intérêts, de désaccords. La diriger, c'est donc veiller à régler ces conflits, ces désaccords, autrement que par la violence, c'est veiller à ce que les forces qui composent cette société s'ajoutent plutôt qu'elles ne s'opposent. C'est tout mettre en œuvre pour faire en sorte de gommer chez l'homme ce que Kant appelait son « insociable sociabilité ».

Le conflit, le désaccord, la contradiction sont consubstantiels à la politique. Tout l'art de la politique devrait résider dans l'aptitude à régler ces situations autrement que dans la violence, la fracture, en oeuvrant au contraire pour que ce qui au départ oppose finisse par rassembler.

[Rédigé par : Aliocha]

Merci au président, après avoir permis aux gens de profiter financièrement du soutien de l'Élysée pendant la crise du Covid-19, un soutien dont nul Européen n'a bénéficié à ce point, d'avoir redressé la courbe du chômage et fait revenir les investissements, d'avoir eu ce courage de permettre au pays d'avoir un autre sort que grec en promulguant cette réformette qui ne suffira pas, et de continuer à indiquer quelle serait la direction qui permettrait à la démocratie de ne pas se vautrer au bras des tyrans.

Que droite et gauche de gouvernement se targuent de leur échec total pour participer à l'hallali atavique du peuple de l'abolition des privilèges mais pour les autres, continuent donc à entretenir leur songe de funambule, ils offrent leur vide aux chouquettes des sylvain, au saint-nectaire des Jérôme, et à l'abstention hallucinée de genau, plutôt que de répondre à l'invitation de ce qu'ils ne surent pas faire, et préfèrent au nom de leur incapacité, continuer à se fourvoyer aux fossés démagogues et voter pour Poutine.
Le vide vaut mieux qu'eux.

[Rédigé par : Isabelle]

Macron ou le vide.

La nature a horreur du vide et ce vide se remplit de racailles et de gauchistes prêts à tout pour les excuser !

Sur CNews, un gauchiste (qui a dit qu'il n'y a pas de pluralité sur CNews ?)

Le gauchiste : « Faut pas que la police course les rodéos car elle risque de blesser les jeunes sur la moto ! »

Jean Messiha : « Dites donc l’humaniste, à quel moment vous prenez en compte le risque que ces petites crapules font prendre à ceux qu’ils blessent ou tuent ? »

Bug !

https://twitter.com/JeanMessiha/status/1648053697073631250

La tronche du gauchiste, à vomir !

---

La nature du vide : écoles coraniques en France, sous la macronie, au XXIe siècle, en France !

« Une école coranique à Marseille accueille des dizaines d’enfants »

« Étonnant…
Qu’en pensent donc ceux qui depuis des décennies s’acharnent à nier l’islamisation de la France ? » J. Messiha

Gros malaise !

https://twitter.com/JeanMessiha/status/1647998995338338305

Jean Messiha a sérieusement énervé son interlocuteur. Très embarrassé, le gauchiste. Les communistes ont une lourde responsabilité dans l’islamisation des banlieues qui a fini par essaimer partout en France. Pas de mea culpa, le gauchiste s’est limité, comme toujours, au déni et aux insultes habituelles !

Question subsidiaire : Pap Ndiaye va « mixer » les fervents du Coran avec les élèves des écoles privées catholiques ; ça promet !
Quid des Juifs ?

« Ah! Les brêles qui prônent une laïcité ouverte, contre ce qu'elles appellent le laïcisme... Elles veulent protéger les religions alors que nous n'avons jamais eu autant besoin d'être protégés d'elles. » F. Schiffter