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15 avril 2023

Commentaires

Marcel P

@ Tipaza,
« Il s'est expliqué des dizaines de fois sur cette formulation malheureuse, en précisant qu'il s'agissait de l'histoire militaire de la guerre et pas de l'histoire humanitaire.
Après tout, il aura été un mal-disant provocateur, mais un clairvoyant sur l'avenir de la France. »

Je pense qu'il a causé beaucoup de tort à la cause qu'il défendait. Il se régale d'être dans la contestation, la provocation et l'opposition. Il était exactement ce que la gauche et la droite attendaient de lui. Il a rendu radioactifs certains sujets.

« Macron est un bien-disant, un bavard, mais un malvoyant concernant l'avenir de la France. »

Macron est post-national. C'est un autre problème. Il ne croit pas possible de résoudre les problèmes de la France et ne croit pas en la France dans sa globalité. Il voit la France comme une entreprise, avec ses avantages et inconvénients, il est là pour optimiser certaines ressources, mais ce n'est pas sa famille.

« Vous-même, vous me semblez un mal-entendant par vos interprétations détournées de certains commentaires. »

Jusqu'ici, il me semble que ceux avec lesquels je suis généralement en désaccord ont eu tort sur tout, même sur des détails comme je ne sais plus lequel qui nous vantait les nouveaux chars Armata de l'armée russe (https://wavellroom.com/2023/02/10/armata-the-story-is-over/)

Bill Noir

Bonjour Axelle D 17 avril 10h59

I agree !

Lodi

@ Claude Luçon
"Hélas non le réchauffement climatique ne diminuera pas car nous ne sommes pas seuls à réchauffer le climat, Dame Nature y contribue bien plus de nous. Jusqu'au jour où une nouvelle gigantesque catastrophe arrivera : le champ magnétique de la Terre se renversant, ce qu'elle fait en moyenne tous les 70 à 200 000 ans, provoquant une gigantesque glaciation, ou qu'une autre grosse comète vienne mettre le feu à la Terre entière, la dernière fois il y a 70 millions d'années du côté d'Acapulco et, comme les dinosaures, les mammifères disparaîtront en attendant qu'une autre espèce évolue à son tour."

Eh bien, je pense qu'il faudra peut-être refroidir la planète par le système que j'ai montré, et réfléchir d’ores et déjà à la réchauffer en prévision d'une nouvelle ère glaciaire.
Ce n'est pas parce que l'univers est peut-être infini qu'il ne faut pas prendre soin de la petite parcelle que nous avons sous la main !

Idée, si vous ne dormez pas la nuit, pourquoi ne pas faire une petite sieste après le repas de midi ?
Cela pourrait peut-être compenser un peu le sommeil perdu et aider à digérer. Si je ne suis pas à genoux devant les Chinois en oubliant qu'ils vivent sous dictature, je respecte leur art de vivre.
Ainsi la sieste !

https://www.the-puerh.com/fr/actu/le-tigre-aussi-a-besoin-de-sommeil-139.html

HOPE

@ Giuseppe 14 avril 14h38 (#Rachida Dati)
"Et puis sa langue de vipère fait du bien à la démocratie"

Oui ! Oui sur tout et merci !

Tipaza

@ Giuseppe | 17 avril 2023 à 10:15
"En fait ce qui me semble le plus pesant ces sont les 43 annuités pour toucher la pension à 100 %."

C'est bien pourquoi l'acharnement sur la date limite à 64 ans n'a pas beaucoup de sens.
De plus cette formule de longues annuités bénéficiait à ceux qui avaient commencé tôt à travailler.
Ces métiers où l'on rentre tôt sont souvent les métiers manuels pénibles. Il était possible de régler cette difficulté de la pénibilté, en un seul mouvement.
L'allongement des annuités était même possible en installant un bonus sur les deux dernières années qui auraient rapporté un plus de pension.

Mais je crois que la date limite était un impératif de la Commission européenne, et Macron est un bon élève, docile et studieux.
J'ai bien aimé le gag de l'heure de la signature, lui donnant, pour beaucoup, l'air de ce qu'il déteste probablement, celui d'un laborieux sans imagination. ;-)

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@ Marcel P | 16 avril 2023 à 12:37
"Clairvoyant ? Quand il (JMLP) prétendait que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire ? "

Il s'est expliqué des dizaines de fois sur cette formulation malheureuse, en précisant qu'il s'agissait de l'histoire militaire de la guerre et pas de l'histoire humanitaire.

Après tout, il aura été un mal-disant provocateur, mais un clairvoyant sur l'avenir de la France.
Macron est un bien-disant, un bavard, mais un malvoyant concernant l'avenir de la France.
D'autres sont des malveillants hypnotisés par leur idéologie islamo-gauchiste mortifère.
Vous-même, vous me semblez un mal-entendant par vos interprétations détournées de certains commentaires.
Quant à moi je suis un mal-pensant depuis toujours.

Robert

Il me paraît utile de compléter mon analyse développée dans mon commentaire Robert | 16 avril 2023 à 17:17 sur deux points.

1 - Le choix du cavalier législatif que constitue la loi rectificative du budget de la Sécurité sociale

Monsieur Macron a voulu que sa loi, pour lui emblématique de sa volonté de réforme dans son second quinquennat, soit applicable en 2023. Or, une loi ordinaire comme évoquée par le CC dans sa décision portant sur le travail et la retraite pour intégrer l’ensemble de la "problématique" comme l'on dit à présent, aurait exigé beaucoup de temps et n'aurait pas débouché avant 2024.

Le CC ayant écarté les motifs allégués par les recours quant à la nécessité d'une urgence budgétaire pour lancer une loi rectificative du budget de la Sécurité sociale, ce cavalier législatif était le seul qui permettait d'une part de respecter la date d'application au 1er septembre 2023 et, d'autre part, d’utiliser l'article 49-3 une énième fois.

2 - La promulgation immédiate et la parution au JORF dès le lendemain de l'avis du CC

Le CC a rejeté la première proposition de RIP au motif que la loi actuelle prévoyait la limite d'âge de 62 ans.
Les porteurs de ce projet de RIP devaient donc déposer un second recours dans la mesure du possible entre parution de la décision du CC du 14 avril et les promulgation et parution de la loi au JORF intervenant habituellement dans le délai de quinze jours.

Il me semble qu'alors la suspension de l'application de la loi aurait pu être prononcée, au moins pendant le délai de réflexion du CC et donc jusqu'à la parution de sa nouvelle décision sur cette proposition de RIP.
En l'espèce, la proposition de RIP intervient donc sur une loi exécutoire et donc cela permettra sans doute au CC de la rejeter plus facilement puisque déposée trop tardivement...

sylvain

Mea culpa !
Je viens présenter tous mes mea culpa et toutes mes excuses auprès de la communauté des singes du monde entier. Dans un message précédent, je comparais les guignols du cc (en minuscules) avec des singes !!
Mea culpa chers singes, chimpanzés, ouistitis, orang-outangs, guenons, gorilles dans la brume, vous valez mieux que ces tocards dangereux pour la société ; vous êtes utiles pour l’écologie naturelle, la vraie, pas celle des escrolos Nupes victimes d’un réchauffement excessif du bulbe rachidien ; eux sont autant nuisibles que ce cc (club des c…) : Fabius et son sang contaminé, Ali Ben Juppé le fricotin islamiste et d’autres losers recalés et recasés par la copinerie et coquinerie politique.

Mince, je viens de voir que j’ai insulté les guignols, ces gentilles marionnettes qui amusent les enfants, c’est sans fin…

Axelle D

@ Michel Deluré | 17 avril 2023 à 10:02

Merci pour votre réponse.

Concernant la CGT il serait de temps de trouver le moyen de faire échec aux énormes capacités de nuisance de cette engeance acoquinée avec la gauche la plus rétrograde, irresponsable et cynique. Peut-être en cessant de la subventionner et d'entretenir grassement une foultitude de délégués bidon ne sachant que rabâcher les mêmes antiennes et faire du blocage systématique.

Quant aux grèves à répétition et à la confiscation des services publics à son seul profit cela devient invivable et l'on se demande comment la population peut continuer à subir cela sans broncher !

On ne répétera jamais assez que les cégétistes gauchistes et consorts sont depuis des lustres les plus gros "profiteurs" et détenteurs à vie de multiples avantages acquis dans ce pays, auxquels ils se cramponnent comme des sangsues en braillant et jouant les justiciers ou les casseurs, c'est selon... Tandis que les autres peuvent crever !

Aliocha

Le contre-temps des défaites déguisées en victoire, après l'auteur algérien, le philosophe allemand fera-t-il mieux entendre la vérité aux "ténors du droit à la paresse rémunérée", qui comptent encore sur les autres pour se penser victorieux et leur faire payer un système social qui coûte un pognon de dingue pour les résultats minables de leur hystérie régicide :

"Avant les élections, il a été fait à Emmanuel Macron un procès en « illégitimité », et rarement on a vu un président aussi haï. Expliquez-vous cette détestation par le fait qu'en France la guillotine n'est jamais loin ? Lui-même en convient, d'ailleurs, dans l'interview qu'il a accordée au Point… N'êtes-vous pas surpris par la haine qu'il suscite ? Y compris dans la jeunesse qui occupe et saccage la Sorbonne parce qu'elle refuse de choisir entre Le Pen… et Macron ?

Il faut mettre ces événements de la Sorbonne sur la note du grand festin « carnavalesque » dont je parlais. Quatre jeunes sur dix ne se sont pas déplacés jusqu'aux urnes, n'est-ce pas ? Quand on est jeune en France en 2022, le monde semble être un restaurant où l'on peut refuser le plat du jour. Un autre menu est possible ! Quant à la haine que suscite Emmanuel Macron, elle ne me surprend pas. Il n'a pas été l'élu d'une majorité convaincante. Sa percée a eu lieu en France à un moment où la fatigue des jeux politiques ordinaires atteignait un sommet aussi périlleux que compréhensible. Il était apparu en 2017 comme un fantôme prometteur – mais face à une scène politique qui massivement, dès le début, ne souhaitait que son échec. C'est à croire qu'en France, on refait des rois pour pouvoir leur trancher la tête autant qu'on veut. La France semble être restée un pays structurellement royaliste, mais seulement pour cultiver un royalisme négatif. Vous connaissez la définition lacanienne de l'hystérie ? Le fait de rechercher un seigneur qu'on va tyranniser par le spectacle de l'insoumission…

Mais ce vote n'exprime-t-il pas aussi le retour de pulsions qui, dans l'Histoire, ont déjà travaillé l'Europe, notamment l'Allemagne, et qui n'ont pas d'ailleurs épargné la France ?

La France, vue de l'extérieur, est un eldorado pour le mythe du sauveur. Il y trouve un terreau particulièrement fécond. Le dernier grand moment où il a fallu sauver la nation a été celui du général de Gaulle. Un général pleinement lucide quand il avouait que son adversaire était le maréchal Pétain mais que c'était aussi la France. D'ailleurs, de Gaulle n'a pu sauver l'honneur de la France que grâce à la générosité condescendante des Alliés, qui lui ont permis de rouler dans Paris avant les troupes américaines (et avec des chars qu'ils lui avaient prêtés !) afin d'offrir à la nation humiliée le spectacle de la Libération. C'est une sorte d'imposture primordiale : le leurre originel qui a fondé la France de l'après-guerre. Eh oui, bien sûr, l'ombre de ces événements se porte encore sur les débats politiques d'aujourd'hui. La haine contre Macron reproduit la haine de soi de ceux qui ont bénéficié en enfants gâtés d'une victoire gratuite. D'où l'antiaméricanisme français et la haine des libéraux.

...

Mais cette « médiocrité » que vous appeliez de vos vœux peut-elle être crédible quand on fait face à des pays qui veulent redevenir, précisément, des empires ? La Russie, ou la Chine…

Marcel Mauss, en 1936, dans un débat du Collège de France, après une conférence d'Élie Halévy sur « l'ère des tyrannies », avait dit que ce qui fondait l'Union soviétique était l'existence d'un gouvernement du « complot permanent ». Le même diagnostic valait pour la Chine de Mao, et maintenant, il vaut pour celle de Xi. Le vrai nom de la « dictature du prolétariat » est « le complot permanent » d'un comité central et des services secrets contre la totalité de la population. La Russie a vécu un moment de répit après 1990, mais le moment est passé et le complot est revenu : les services secrets y ont repris le pouvoir. Face à cela, oui, notre médiocrité est encore efficace. Quoi, sinon ? Les Ukrainiens sont prêts à mourir pour Kiev. Je me demande si les Parisiens seraient prêts à mourir pour leur ville. Mais je suis sûr qu'ils n'ont pas envie de mourir pour l'Ukraine comme en 1939, confrontés aux revendications allemandes, ils n'avaient pas envie de « mourir pour Dantzig ».

Soit, mais vous faites référence à une formule de Marcel Déat, qui, après avoir soutenu Daladier dans sa politique de l'appeasement contre Hitler, est devenu totalement collabo ! Une Europe « non puissante » ne nous condamne-t-elle pas à accepter à chaque fois les revendications des agresseurs puisque nous avons peur de nous battre ? En 1978, déjà, à Harvard, Soljenitsyne voyait dans l'Occident « le déclin du courage »…

Oui, et pour revenir à Dantzig, la question était déjà actuelle en 1940 quand les armées allemandes ont envahi la France. On sait que la résistance des troupes était faible et que le maréchal Pétain ne voulait pas sacrifier la moitié de la jeunesse masculine de la France dans un combat perdu d'avance. Après la guerre, l'Europe entière, sauf la France, a voulu se cacher sous le bouclier nucléaire américain… Mais la confiance dans les Américains s'est affaiblie, on ne peut plus guère se fier aux Britanniques, donc il va falloir assumer le poids d'une politique de sécurité qui portera un cachet européen plus marqué. C'est justement parce que personne n'a envie de se battre, pas plus qu'en 1940, que la dissuasion nucléaire conventionnelle s'impose. Parce qu'elle permet de rassembler les « restes » du courage commun, qui décline, mais qui est encore là, pour résister aux rêves impériaux de Moscou, et cela au moins jusqu'à la fin des années Poutine. Après, une nouvelle architecture européenne de sécurité sera nécessaire, et elle sera réalisable pourvu que la Russie ne persiste pas trop longtemps dans son rôle de rogue state. L'Union européenne compte trois fois plus d'habitants que la Russie, elle possède 27 armées nationales éparpillées. On pourrait faire beaucoup de choses avec un certain effort de concentration ! Mais pour arriver à cela, une France avec une forte vocation européenne reste indispensable. Raison de plus pour ne pas voir tomber la France entre les mains d'une aventurière larmoyante qui aime trop les chats !"

https://www.lepoint.fr/politique/peter-sloterdijk-les-francais-ne-votent-pas-avec-leur-cerveau-21-04-2022-2472847_20.php?M_BT=194508641590#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20220421-[Article_2]

Il serait temps pour les Français de voter avec leur cerveau.

sylvain

Une nouvelle série humoristique vient de sortir chez les macrongneugneus : la task force pour lutter contre l’SStrêm drouâââte, retour des Zeures SSombres, bruits de bottes, Vél d’Hiv’, ad hitlerum !

Remember : c’était Le Pen ou le chaos ; nous avons préféré le chaos.

En ce moment, tous les vrais citoyens patriotes de France doivent avoir une pensée émue pour Jean-Marie Le Pen souffrant, le seul qui aurait pu sauver la France du chaos gauchiste islamiste qui détruit le pays.

Si nous l’avions écouté à l’époque où il avait prédit tout ce qui nous arrive aujourd’hui, ainsi que Zemmour qui a pris le relais de la résistance face au fascisme envahisseur arabo-africain musulman islamiste soutenu par toutes les gauches et accéléré par la macronie, notre nation ne serait pas devenue une zone tiers-mondisée criminelle, ruinée économiquement et une vaste salle de shoot de toutes les drogues du monde.

Un véritable crime d’Etat organisé par tous les dirigeants successifs immigrationnistes collabos soumis à l’islam guerrier conquérant.

Ce peuple décervelé formaté gauchiste a obéi aux propagandes anti-FN, parti catalogué raciste xénophobe islamophobe, concepts faciles et très commodes créés par la gauche pour museler toute tentative de contestation.

Mais comme le ridicule ne tue pas alors allons-y, couvrons-nous de ridicule le plus possible avec the big LOL du moment : la macronerie a créé, tenez-vous bien, une task force, une sorte de 7ème Cie de crétins congénitaux, pour lutter contre le RN ; ces macroniens mal finis, bercés trop près du mur (des cons), n’ont toujours pas compris qu’après cette annonce, en réaction, le RN va encore enregistrer des scores impressionnants ; ou bien est-ce encore une manoeuvre diabolique machiavélique du sadique de l’Elysée pour faire peur à ce peuple de benêts zombis qui va encore voter pour leurs bourreaux ?

Jean-Marie Le Pen, même malade a dû exploser de rire en apprenant cette nouvelle-choc qui va, promis juré craché, sauver la France du chaos RN ! Toutes les infirmières ont été mobilisées pour éviter à ce colosse de tomber de son lit médicalisé ; il faut le ménager quand même, ce grand patriote reste encore un espoir pour sauver la France de tous ces charlots charlatans guignols qui nous gouvernent.

DAUMONT

Félicitons-nous de la fin de l'anormalité de cotisations retraite versées par les retraités actifs sans droits à pension complémentaire (article 26).
Cette mesure fera plus pour l'emploi des seniors que toute autre.
Les retraités actifs pourront ainsi améliorer leur sort, travailler à temps partiel ou autre raison sans l'impression d'être spoliés.

Giuseppe

@ Vamonos | 16 avril 2023 à 15:15
"Comme d’habitude, les salariés du secteur privé sont les grands perdants de cette loi qui n’est en fait qu’un léger ajustement de curseur, un paramètre faiblement modifié. Les vraies réformes nécessaires ont été une fois de plus évitées. Les régimes très spéciaux sont toujours en place."

Je suis d’accord avec vous, il faudra en voir les détails, il me semble qu'une partie des régimes spéciaux sont supprimés et les autres seraient à venir.
Une loi juste est une loi partagée par tous, car ce qui est partagé fait du bien.
En fait ce qui me semble le plus pesant ces sont les 43 annuités pour toucher la pension à 100 %. Quand l'entrée conséquente dans le monde professionnel doit se faire autour de 25 ans, si on rajoute 43 années pleinement cotisées, cela mènera à 68/70 ans vers les années 2030.

Giuseppe

@ Vamonos | 17 avril 2023 à 03:23

Cher Vamonos il y a un peu ça, j'aime bien ce côté "lavandière" chez Rachida et sa langue qui crache parfois un venin bien senti.
Le club local s'est qualifié et tous les regards étaient tournés vers lui. Je me suis donc économisé pour la buvette.

Michel Deluré

@ Axelle D 16/04/23 13:32

Je n'ai parlé du seul entêtement du Président que parce que le commentateur auquel je répondais, en l'occurrence stephane, avait insisté sur le courage de celui-ci et que je considère, de mon point de vue, que ce courage fut dans cette affaire bien mal utilisé, pour ne pas dire gâché, faute d'être notamment associé à une lucidité qui s'imposait compte tenu de la nature de la réforme en cause et de la situation politique spécifique du moment.

Ce n'est pas, me semble-t-il, le meilleur moyen de conduire un débat et d'en faciliter son issue que de braquer par avance les autres parties prenantes à ce débat, surtout lorsque l'on ne se trouve pas soi-même dès le départ en position favorable.

Quant aux syndicats, et s'agissant plus particulièrement de la CGT, ma religion est hélas faite depuis bien longtemps. La persévérance avec laquelle certains restent bornés, enfermés dans des idéologies dépassées, est confondante. Dans le cadre de cette réforme, les syndicats ont malheureusement démontré qu'ils n'étaient pas encore devenus en France des interlocuteurs responsables.

Tipaza

Le président parlera ce soir à 20 heures.
C'est curieux chez le président ce besoin de faire des phrases à contre-temps !

S'il s'agit d'expliquer l'intérêt de la loi, c'est trop tard, c'est avant qu'il fallait parler.

S'il s'agit de tourner la page et de proposer autre chose, c'est trop tôt. Il faut laisser un délai de décence, comme dit Laurent Berger, pour que l'adversaire mis KO puisse récupérer.

"Avant l'heure c'est pas l'heure, après l'heure c'est plus l'heure", vieille formule d'adjudant, vraie également pour le chef d'État-Major préparant une nouvelle action.

J'ai l'impression que la com' du président tourne à vide, si je puis dire.
On a souvent dit que Brigitte était son conseiller ultime. Que devient-elle ?
Un peu de bon sens féminin serait indispensable en ces circonstances, à moins que l'autisme présidentiel n'ait atteint un tel niveau que même devant son miroir il ne peut dialoguer.

Isabelle

Voilà ce qu'Alain Policar, choisi par le ministre de l'Éducation nationale pour le Conseil des "Sages" de la laïcité, pense de celle-ci :

https://twitter.com/LadyOscarW/status/1647603927259414528

Un autre guignol choisi par le wokiste et communautariste ministre de l'Éducation nationale pour représenter ce conseil.

Isabelle

Les "sages" et les guignols.

Paroles de guignols ci-dessous !

Le pays se serait donc désindustrialisé du simple fait du désamour des Français pour leurs usines. Cette réflexion vertigineuse nous est offerte par Bouzou qui est à peu près à l’économie ce que Rousseau est à l’écologie.

https://twitter.com/nbouzou/status/1647503627483848704

À traduire le marché a besoin de tous les siens pour faire du pognon et abattre l’État-nation. Consigny et les ultralibéraux, éternels idiots utiles de l’immigrationnisme et du communautarisme. Mais lui présente la particularité de ne rien comprendre à la finance et à l’économie.

https://twitter.com/CharlesConsigny/status/1646895730936668163

Lodi

@ F68.10 | 16 avril 2023 à 23:21

J'ai déjà lu l'article que vous m'avez fourni... Comme il semble bien que le climat change - la faute au soleil, à l'industrie ou aux deux, qu'importe - il ne me paraît pas inopportun de préparer un refroidissement si ladite mutation va bien dans le sens d'un réchauffement.
Mais comment ? C'est la question.

La nature de l'être humain est plutôt d'adapter la nature que de s'y adapter, par exemple, avec les habits contre le froid, les polders... Là, ce serait à coup sûr plus délicat...
Mais l'alternative me semble devoir être la famine, la guerre, et peut-être une dictature écologique, vu que les gens ne savent jamais que passer d'un millénarisme à l'autre. Or les écolos s'avèrent au moins aussi nocifs que la pollution, eux qui déportent des peuples pour faire des réserves naturelles et ont mis le Sri Lanka au bord de la famine par l'interdiction des intrants chimiques. Tout ça par bête précipitation, et bien sûr dans un pays déshérité, où les gens ne sont peut-être pas assez "réfractaires", les pauvres.

https://www.courrierinternational.com/article/2007/02/22/les-tribus-victimes-de-l-ecologie#:~:text=Les%20r%C3%A9fugi%C3%A9s%20de%20la%20conservation,volontaire)%20%E2%80%93%20une%20notion%20contestable.

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/premier-pays-au-monde-passe-a-l-agriculture-100-bio-le-sri-lanka-fait-machine-arriere-et-reintroduit-les-pesticides-896948.html

Ceci dit, vous avez de plus grandes lumières que moi en science, à vous de voir si le projet est bon ou non !

Tiens, un autre me paraît encore plus important - et sans danger. À votre avis ?

https://www.planet.fr/societe-yellowstone-lidee-de-la-nasa-pour-nous-sauver-du-volcan-qui-menace-le-monde.1646799.29336.html

Contrairement aux écolos, je ne vois pas les êtres humains comme des nuisibles mais des êtres plus puissants que, par exemple, les éléphants et les castors qui ont déjà un fort impact sur l'environnement.
Il n'est donc pas franchement étonnant qu'on pollue, même si on s'en aperçoit rétrospectivement, étonnés... Mais nous sommes aussi dans l'obligation de sauver le monde pour nous protéger nous-mêmes, sauf si les écolos nous persuadent du contraire à force de stériles et criminelles jérémiades.
Les écolos se servent des peuples premiers quand ça les arrange, ils disent de ne pas déforester pour eux en Amazonie quand ils les déportent quand cela leur plaît davantage, en Afrique, c'est vrai que jouer au safari dans la savane est plus glamour que de crapahuter dans la jungle.

Quels nuls ! Leur morale aux industriels et aux Etats ne vaut pas mieux que le prêchi-prêcha de religions plus anciennes. Les Etats me paraissent plus décents que les braillards, même et surtout s'ils pensent le contraire.

Étonnant, non ? non. Déjà, en principe, les Etats, les gouvernants et fonctionnaires ne jouent pas aux prophètes, ça les rend moins hypocrites... Or je n'aime pas les tartufes.
Et ils sont plus pragmatiques, voyant souvent tout l'intérêt qu'il y a pour la conservation comme pour leur image, voire qui sait la justice à restaurer, qu'il y à conférer plus de pouvoir aux premiers occupants.
Un exemple :

https://www.canada.ca/fr/nouvelles/archive/2015/07/document-information-conclusion-entente-principe-entre-nation-wuikinuxv-canada-colombie-britannique.html

Cela vaut bien mieux que les écolos disant s'inspirer des "sauvages" tout en continuant à les repousser au loin comme l'ont toujours fait les colons qu'ils dénoncent.
Je ne pense pas, pour ma part, que les peuples premiers aient grand-chose à nous apprendre : renoncer à l'industrie ? On voit déjà ce que ça donne en France, la désindustrialisation. Sacraliser la vie ? On voit ce que ça donne, on en fait une raison pour chasser les "sauvages" de leurs terres pour en faire des parcs naturels.
Bref, ce qui a du sens pour eux ne l'a pas pour nous, mais ce qui est un universel chez l'être humain est de tendre vers la justice. Et faire cesser le sacrifice des hommes aux bêtes, l'éviction des occupants immémoriaux des réserves naturelles va dans ce sens.

Achille

Des Sages bien trop sages ?
On n’est jamais trop sage, surtout aujourd’hui où nous avons une opposition composée de forcenés, comme François Ruffin au bord de l’hystérie et qui véhicule sa haine d’Emmanuel Macron partout où il passe. Chez lui cela relève de la paranoïa morbide.

Mais heureusement il existe encore dans ce pays des gens qui dans l’ambiance électrique que nous connaissons depuis quelques mois, savent raison garder.

J’en veux pour preuve ce micro-trottoir dans lequel on voit un vieux sage, dans le plus noble sens du terme, être interrogé sur la loi sur le report de l’âge de la retraite. Manifestement le journaliste ou (présumé tel) qui l’interroge ne s’attendait pas à cette réponse.
Il y a encore des sages parmi nous. Tout espoir n’est pas perdu. Mais hélas il y a aussi beaucoup de c*ns !

Vamonos

@ Giuseppe | 16 avril 2023 à 14:38

Vous avez posté un lien vers MSN, vous faisiez référence à Rachida qui m’amuse sans être ma muse, il ne faut pas exagérer. Or votre résumé de l’article est incomplet. Vous estimez que Rachida fait sauter la banque avec ses notes de frais alors qu’il ne s’agit que des premières lignes de l’article. Avez-vous lu la totalité des allégations ? Si oui, pourquoi avoir occulté les dérives outrancières des notes de frais d’Anne Hidalgo et d’autres élus de gauche qui rime avec fauche ?
Donc j’en déduis que vous n’étiez pas suffisamment en cannes pour vous attaquer à Rachida.

Claude Luçon

@ F68.10 | 16 avril 2023 à 23:21

Les Chinois ne sont pas les premiers !
Jusqu'à ce jour il n'ont rien inventé, à part la poudre et les cerfs-volants, mais n'ont pas su qu'en faire jusqu'à ce qu'ils soient devenus capables de nous espionner et nous pirater.
J'attends toujours leur première grande invention ainsi que le premier Chinois sur la Lune qu'ils nous promettent depuis vingt ans ! Ils sont sans doute en train de mettre au point une sorte d'aspirateur lunaire pour nettoyer toutes les ordures que les dizaines d'Américains y ont laissées il y a 50 ans.

Déjà en 1961 nous utilisions une source de Polonium /Béryllium comme générateur de neutrons pour mesurer la concentration d'atomes d'hydrogène dans les formations de terrains sédimentaires traversées par les forages pétroliers. Les atomes d'hydrogène sont voraces de rayons gamma. L'eau (H20) n'a que deux atomes d'hydrogènes par molécule, les hydrocarbures en ont au moins quatre (CH4) pour le seul gaz. Plus on grimpe dans l'échelle des hydrocarbures plus il y a deux atomes d'hydrogène au fil et à mesure qu'on va du gaz, au liquide, au bitume en passant par les huiles (C2H6, C3H8, C4H10...). C'était une des façons de détecter le pétrole en profondeur.

Notre source était basée sur le détonateur des deux bombes lâchées sur le Japon en 1946. À l'époque, pour leur projet de bombe Manhattan, les Américains, en 1942, hésitaient entre fission et fusion nucléaires.

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@ Lodi

Bonsoir,

Vous soulevez plusieurs problèmes sur des sujets qui m'ont toujours passionné, sur lesquels j'ai beaucoup à dire, exemple, aussi brièvement que possible :

Macron n'est qu'un microscopique incident du temps qui passe dans notre univers, il passera dans quatre ans au plus tard, c'est sûr !

Je dors mal depuis toujours en raison, plus jeune, d'une mauvaise habitude de travailler de nuit, car passant des heures dans un camion laboratoire plein d'électronique (avec ampoules alors) dans les années 50/60 au Moyen-Orient, au Sahara ou dans des pays tropicaux, sans climatisation, il faisait plus frais de nuit (~20°C) que de jour (~50 °C) ; ce qui ne m'a jamais empêché d'être un insensé optimiste et réveillé de bon poil, sauf si quelqu'un osait me réveiller !

Étant un évolutionniste je suis convaincu que Dame Nature aidant l'homme après l'avoir conçu, ce dernier s'adaptera aux mauvaises habitudes de notre mère planète Terre et se nourrira en dépit du fait que la population est en constante augmentation. Mais quand tout le monde aura le ventre plein, la démographie tôt ou tard décroîtra et la population diminuera. L'imagination de Homo sapiens est infinie, pas toujours pour son propre bien hélas, une nouvelle sorte de pizza, hamburger ou hot dog.

Hélas non le réchauffement climatique ne diminuera pas car nous ne sommes pas seuls à réchauffer le climat, Dame Nature y contribue bien plus de nous. Jusqu'au jour où une nouvelle gigantesque catastrophe arrivera : le champ magnétique de la Terre se renversant, ce qu'elle fait en moyenne tous les 70 à 200 000 ans, provoquant une gigantesque glaciation, ou qu'une autre grosse comète vienne mettre le feu à la Terre entière, la dernière fois il y a 70 millions d'années du côté d'Acapulco et, comme les dinosaures, les mammifères disparaîtront en attendant qu'une autre espèce évolue à son tour.

Je suis de ceux, comme Einstein et bien des scientifiques aujourd'hui, qui pensent que l'univers est éternel, son autre nom étant "Infini". Eisntein a dit qu'il n'y a que deux choses qui sont infinies : l'univers et la bêtise humaine.
Comme il est clairement démontré qu'il avait raison dans le deuxième cas, on peut donc le croire sur le premier :)
J'ai du mal à comprendre le zéro mais l'infini me va très bien !
De nos jours on a tendance à croire que le nombre d'Infinis est infini avec toutes sortes de trous noirs et de trous de vers pour générer les nouveaux infinis et communiquer entre eux.

Pour l'énergie il y a tout un tas de sources mais il faut faire l'effort de les exploiter : géothermie, fusion nucléaire, meilleure utilisation de la centrale nucléaire qu'est le soleil, des hydrocarbures et de l'hydrogène, utilisation de la marée que nous offre notre banlieue lunaire... s'adresser au CNRS pour more information :)

L'idée est de ne pas oublier de voir le bon côté de la vie, il y en a en toutes choses, et penser que si la vie n'existait pas nous ne pourrions pas nous créer des soucis pour nous empêcher de dormir :):):):)
Cordialement

F68.10

@ Patrice Charoulet
"Toute ma vie j'ai entendu parler de manifestations. Et toute me vie j'ai refusé de participer à ces manifestations. Pour quelles raisons ? Ma raison principale tout d'abord. Nous ne vivons ni dans un régime totalitaire, ni dans une dictature, ni dans une tyrannie, même pas dans un régime à parti unique comme on en trouve par exemple dans plusieurs pays africains, mais nous vivons dans une vraie démocratie représentative."

Une démocratie représentative n'est pas une démocratie libérale. Une démocratie libérale est avant tout une démocratie qui se caractérise par la prééminence du débat public de la société tout entière par son expression. Une démocratie représentative est une démocratie dans laquelle il est postulé que seuls les représentants constituent le corps privilégié par lequel la société, ou le "peuple", s'exprime. La représentation est une forme d'OPA sur l'expression de la société: certains sont plus autorisés que d'autres à s'exprimer.

Ce n'est bien sûr pas la Chine, la Russie, l'Iran, l'Arabie saoudite, l'Afghanistan ou la République centrafricaine. Mais cette prééminence donnée à l'idée de représentation permet de justifier, en France, ce jeu où les représentants haranguent leurs foules, leurs affidés, plutôt que de confronter des idées avec le camp adverse. Plutôt que de confronter des idées, on confronte des représentés. On confronte 20 ou 21 milliards de manifestants selon les syndicats contre 314.16 selon la police. On montre nos muscles, les représentés balancent deux ou trois pavés sous l'oeil goguenard des représentants, pendant que la police astique ses nouveaux joujoux. Et une fois qu'on a bien installé le fameux "rapport de force", alors, peut-être, on discute. Ou pas.

Donc, contrairement à ce que vous affirmez, la démocratie représentative présuppose cette culture de confrontation de masse entre factions de représentés.

Je préférerais une démocratie libérale à une démocratie représentative. Certains ne font pas la différence. Moi, si.

"Ceux qui ne votent pas sont malvenus de venir se plaindre dans les rues après leur abstention."

Ceux qui ne votent pas ont le droit d'exprimer leurs opinions. Moi, une des raisons pour lesquelles je ne vote pas, c'est que cela me permet de dire "Hé !! C'est bien parce que je ne vote pas que je ne vote pas contre toi ! Donc, maintenant que j'ai eu la délicatesse de ne pas m'opposer à tes idées pourries dans les urnes, que j'ai la courtoisie de te laisser le champ libre, que je me la suis joué à "Messieurs les Français, tirez les premiers", veuillez souffrir que je vous communique mes idées, opinions et arguments."

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@ Narcisses
"Moi j'étais et je demeure contre cette réforme et j'ai voté contre. Qui reviendra sur cette loi ? Ma conviction, personne. Bien que je sois critique vis-à-vis du Président, il faut bien reconnaître que ses prédécesseurs se sont souvent comportés avec peu de courage, et ont appliqué la logique de la fuite en avant. Nous réclamons un État fort et nous avons un comportement d'élèves d'école maternelle !"

Merci beaucoup. C'est bien parce qu'une partie (minoritaire ?) des Français a votre attitude que je préférerais voter avec des gens comme vous lors d'un RIP pour départager nos idées que de me battre avec vous pour l'élection présidentielle.

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@ Vamonos
"Les régimes très spéciaux sont toujours en place."

Ah ! Ben ça...

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@ Claude Luçon
"M'étant déjà plaint d'être ici poussé à aimer Macron, ça va tourner à l'adoration, pourtant contre mon gré ! Pitié !"

J'ai pitié de votre souffrance politique. Sincèrement. Je ne fais pas partie de ceux qui optent pour Macron complètement par défaut, mais je comprends que cela puisse être désagréable.

"Parlons sciences de temps à autre, non ? SI !! Seulement pour faire plaisir à un vieux monsieur :)"

Les Chinois nous ont fait sept minutes de fusion nucléaire le 12 avril...

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@ Lodi

Le coup du parasol au point Lagrange 1 me laisse dubitatif... M'enfin, pourquoi pas...

Achille

@ Giuseppe | 16 avril 2023 à 14:28
« Bon, les invités du ballon aux faux rebonds sont toujours les bienvenus, l'addition c'est pour nous of course. Vous prenez ce que vous voulez, l'embarras du choix, mais c'est vin chaud ou pression. »

J’ai vu que Toulouse avait battu Lyon aujourd’hui. Mais le match était sur Canal +…
Tout va très bien pour Antoine Dupont et son équipe.
Ce serait avec plaisir que j’irais boire un bon coup à la buvette. Mais le trajet Metz-Toulouse est un peu long, sans parler des risques de ne pas trouver d’essence en cours de route...

Lodi

@ Claude Luçon

En fait, il ne faut pas manquer de sommeil, pour la santé et pour l'humeur.

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sommeil/question-de-la-semaine-pourquoi-a-t-on-besoin-de-dormir_156510

Peut-être que Macron ne dort pas assez ? Sa sortie "gaullienne" malvenue en pleine guerre d'Ukraine et d'autres provocations moins graves viennent peut-être d'un manque de sommeil ?
Enfin, tout ça, c'est de l'écume... La science va peut-être permettre qu'on se nourrisse malgré un nombre encore croissant d'humains et des terres moins fertiles - sans parler des risques que la démondialisation fait courir à ceux qui délèguent aux pays étrangers le soin de leur agriculture.
Je l'ai dit quelquefois, mais hélas ! la guerre d'Ukraine montre qu'on ne peut se fier à l'étranger. Donc l'invention japonaise pourrait aider des gens dont la terre est désolée comme les pays riches, que le monde soit plus ou moins paisible ou en folie.

https://www.bbc.com/afrique/monde-50102068

Mais l'être humain n'est pas qu'un ventre, c'est aussi un corps souffrant... Heureusement, on étudie comment le soulager, ainsi :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/lyon-un-laboratoire-developpe-un-analgesique-sans-effets-secondaires-1957216.html

Et il pourrait y avoir une solution au réchauffement climatique.

https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-industrie-c-est-fou-un-pare-soleil-spatial-pour-dejouer-le-rechauffement-climatique.N2017627

L'univers pourrait bien être cyclique.

https://www.bbc.com/afrique/region-59921365

Que d'affaires à suivre !
Mais tout le monde attend vos lumières en science, et notamment pour ce qui concerne l'énergie.

Patrice Charoulet

POURQUOI JE NE MANIFESTE JAMAIS

Toute ma vie j'ai entendu parler de manifestations. Et toute me vie j'ai refusé de participer à ces manifestations. Pour quelles raisons ?

Ma raison principale tout d'abord. Nous ne vivons ni dans un régime totalitaire, ni dans une dictature, ni dans une tyrannie, même pas dans un régime à parti unique comme on en trouve par exemple dans plusieurs pays africains, mais nous vivons dans une vraie démocratie représentative. À la présidentielle, aux législatives, aux municipales... le citoyen a le droit de vote et le choix entre plusieurs candidats. Le vote est entouré des plus grandes garanties : présence dans chaque bureau de vote de représentants des candidats, dépouillement des bulletins de vote par des représentants de chaque candidat quatre par table, vote secret dans un isoloir, contrôle de l'identité et de l'inscription sur la liste électorale de chaque électeur... Dans ces excellentes conditions démocratiques, je vote à toutes les élections sans exception. Ceux qui ne votent pas sont malvenus de venir se plaindre dans les rues après leur abstention. Et quand je suis mécontent du candidat que j'avais préféré, je ne vote plus pour lui la fois d'après, mais pour celui qui me semble mieux répondre à mes souhaits.

Ma deuxième raison est le déroulement fréquent de ces manifestations. Presque toujours, à Paris et dans beaucoup de grandes villes ce déroulement me semble très désagréable (le mot est faible).
Caillassage des fonctionnaires de police ou des gendarmes (avec parfois un grand nombre de blessés), comportements incendiaires (voitures, mobilier urbain...), vitrines cassées et parfois pillées. Je me vois mal caillasser, incendier, briser, piller... et même hurler trois heures avec des calicots, des pétards et des fumigènes.

Bref, la démocratie représentative a certes des inconvénients, mais tous les autres systèmes politiques sont pires et parfois bien pires.

Philippe Dubois

Bonsoir Monsieur Bilger,

Ah ! le conseil constitutionnel*...
Cette institution qui tord le droit dans tous les sens pour nuire au peuple français, comme le montre entre autres l'utilisation d'un principe de fraternité sorti d'un fond de tiroir pour encourager les passeurs de clandestins ou la censure d'un article de loi qui permettait aux douaniers de travailler correctement.

Le cc, toujours plus soucieux des droits et libertés des clandestins et malfaiteurs que de ceux des citoyens français...

Tout gouvernement qui voudra réellement agir pour le bien de la France et de son peuple devra impérativement mettre ce machin malfaisant hors d'état de nuire.

Ainsi que le conseil d'état*

*L'absence de majuscules est volontaire.

Alpi

Philippe Bilger nous la joue façon Alceste...

- Monsieur Bilger, auriez-vous des "pensées suspicieuses sur l'indépendance des neuf Sages et sur leurs possibles liens officieux avec le Pouvoir avant que la décision soit officiellement rendue" ?
- Je ne dis pas cela mais...

- Monsieur Bilger, avez-vous "été surpris quelques jours en amont par l'annonce de certains médias indiquant que le gouvernement aurait laissé volontairement quelques "cavaliers" sociaux dans la loi pour que le CC ait un peu de grain à moudre" ?
- Je ne dis pas cela mais...

Monsieur Bilger, vous n'êtes pas naïf mais n'imaginez-vous pas "que ses membres, et encore moins son président, aient été si peu soucieux de leur mission capitale à la fois juridique et démocratique pour la brader de manière vulgaire en s'assujettissant au pouvoir ?"
- Je ne dis pas cela mais...

- Monsieur Bilger, vous semblez vous "étonner du juridisme étroit et de l'éclatante tonalité conservatrice de l'argumentation développée par le CC."
- Je ne dis pas cela mais...

Et en poussant Philippe Bilger dans ses retranchements :

- Alors, Monsieur Bilger, en deux mots, votre sentiment sur cette décision du CC ?
- Franchement, elle est bonne à mettre au cabinet.

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@ Isabelle
"Loi promulguée dès potron-minet."

Selon la sagesse populaire, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ! Non mais vous rêvez ? Vous imaginez que Macron s'est levé à 3 h 25, a enfilé ses chaussons et sa robe de chambre, s'est installé à son bureau, puis que Kohler, dans la même tenue, lui a tourné les pages qu'il a paraphées une à une ?
Et qu'ensuite il est retourné tranquillement se coucher ?

Tout cela était prêt, il n'a évidemment pas signé physiquement à 3 h 28 ! Et qu'est-ce qu'on en a à faire qu'il promulgue à 3 h 28 samedi, dimanche après la messe ou lundi au petit déjeuner. Vous adorez chercher des poils sur les œufs !

"Le roitelet adore narguer ces péquins de Français."

Vous avez raison. Les Français sont des péquins. Et je vous trouve gentille !

Narcisses

Le Président Macron, élu démocratiquement par le peuple de France, a appliqué une mesure de son programme, le retour à 65 ans pour un départ en retraite. Un grand nombre de politiques, de responsables syndicaux, de personnalités de tout bord nous ont très clairement appelés à faire barrage au fascisme ; entre parenthèses un nombre considérable de leurs grands-pères furent moins scrupuleux en 1941-42...
Ce qui signifiait "Votez Macron". Moi j'étais et je demeure contre cette réforme et j'ai voté contre. Qui reviendra sur cette loi ? Ma conviction, personne.

Bien que je sois critique vis-à-vis du Président, il faut bien reconnaître que ses prédécesseurs se sont souvent comportés avec peu de courage, et ont appliqué la logique de la fuite en avant.
Nous réclamons un État fort et nous avons un comportement d'élèves d'école maternelle !

Isabelle

Conseil constitutionnel, l'EHPAD des vieux politicards casés par la caste.
Quel progressisme !

Bill Noir

C'est l'histoire d'un petit homme, plein de fébrilité, qui n'a pas hésité à trois heures du matin à traverser la moitié de Paris dans une nuit froide, au milieu de rôdeurs inquiétants, pour aller déposer à l'Imprimerie nationale une déclaration qui devait paraître au plus tôt dans la matinée dans un journal que personne ne lit.

Robert

Il me paraît nécessaire de revenir à l'argumentation développée par le Conseil constitutionnel dans sa décision, notamment en ses points 1 à 12 relatifs au recours à une loi rectificative de la Sécurité sociale.

Sur ce point, le CC reconnaît (point 11) que "les dispositions relatives à la réforme des retraites, qui ne relèvent pas de ce domaine obligatoire, auraient pu figurer dans une loi ordinaire, le choix qui a été fait à l’origine par le Gouvernement de les faire figurer au sein d’une loi de financement rectificative ne méconnaît, en lui-même, aucune exigence constitutionnelle."

Et il précise qu'il ne lui appartient pas d'apprécier sur le fond mais sur la seule forme du texte : "Il n’appartient pas au Conseil constitutionnel de substituer son appréciation à celle du législateur à cet égard, mais uniquement de s’assurer que ces dispositions se rattachent à l’une des catégories mentionnées à l’article L.O. 111-3-12 du code de la sécurité sociale."

C'est pourquoi il précise :
- (point 9): "Lorsque le Conseil constitutionnel est saisi d’une loi de financement rectificative de la sécurité sociale, il lui appartient seulement de s’assurer qu’elle comporte les dispositions relevant du domaine obligatoire et, pour celles de ses dispositions qui ne relèvent pas de ce domaine, de vérifier qu’elles se rattachent à l’une des catégories mentionnées à l’article L.O. 111-3-12 du code de la sécurité sociale.

- (point 10) : "En l’espèce, d’une part, la loi déférée comprend, au titre des dispositions relevant du domaine obligatoire, l’article liminaire ainsi que les deux parties mentionnés à l’article L.O. 111-3-10 du code de la sécurité sociale et procède, en application de l’article L.O. 111-3-11 du même code, aux rectifications nécessaires des prévisions de recettes et des tableaux d’équilibre, des objectifs de dépenses et de leurs sous-objectifs et des objectifs en matière d’amortissement de la dette."

En conclusion, il semble bien admettre qu'au fond le choix fait par le gouvernement d'une loi rectificative du budget de la SS pour modifier les règles relatives à la retraite est une forme de cavalier législatif mais considère que, le Conseil n'appréciant que la forme du texte qui lui est présenté, il ne viole pas la Constitution dans la mesure où le texte de la loi répond aux seules nécessités de forme imposées par la loi organique qu'il cite abondamment.

Et de conclure (point 12): "Dès lors, le grief tiré de ce que le législateur aurait irrégulièrement eu recours à une loi de financement rectificative de la sécurité sociale doit être écarté", ce qui est une appréciation de fond justifiée par des arguments exclusivement de forme !

Plus vulgairement : "Chapeau l'artiste ! Et circulez, il n'y a plus rien à voir" !

Vamonos

La nouvelle loi a été votée, validée et promulguée. C’est l’heure du bilan.
Les CRS en ont pris plein la figure. Les journalistes du service public ont encore dit et fait n’importe quoi. Les députés ont réalisé un psychodrame au-delà de l’impensable.

La loi a été promulguée pendant la nuit comme toutes les autres lois et elle a été publiée au format papier 27 heures plus tard, comme d’habitude. Il faut avoir un formatage intellectuel particulièrement tordu par la lutte finale pour attaquer le président sur l’heure à laquelle il aurait signé la promulgation alors que pour les autres lois, l’heure de promulgation est quasiment identique.

Mais le vrai bilan est ailleurs, caché par le bruit et la fureur de l’extrême gauche et de l’extrême droite.

Les “sages” ont retouché le texte après le vote des députés validé par les sénateurs. Les cavaliers, cela fait penser au jeu d’échecs, ont été sacrifiés. Ces dispositions devaient s’appliquer à des trimestres cotisés et capitalisés dans le secteur public. Ils sont passés à la trappe.

Comme d’habitude, les salariés du secteur privé sont les grands perdants de cette loi qui n’est en fait qu’un léger ajustement de curseur, un paramètre faiblement modifié. Les vraies réformes nécessaires ont été une fois de plus évitées. Les régimes très spéciaux sont toujours en place.

Claude Luçon

"Je l'aurais parié : le président de la République a promulgué la loi sur les retraites dans la nuit du 14 au 15 avril, à 3 heures 28 du matin." (PB)

Ce qui n'est guère un scoop, tout le monde sait qu'il dort peu et travaille la nuit !

Travailler bien sûr est une activité à laquelle bien des Français ne semblent plus guère préparés à pratiquer et qui n'est plus de mode !
Pas de nuit bien sûr, et pas plus de jour chez nos médias et fonctionnaires.
Critiquer, protester, manifester sont devenus les trois mamelles de la France.

Se coltiner la Nupes d'un côté et le RN de l'autre ne lui laisse pas le temps de réfléchir de jour !
Alors pourquoi attendre !
Nous avons quelques autres problèmes à régler : DETTE, écoles, hôpitaux, EHPAD, Ukraine, Taïwan, Afrique, énergie (nucléaire), pétrole, repenser les syndicats, surtout ne pas les écouter, ...
Ou faut-il traîner cette histoire de retraite indéfiniment, forcer Macron à retraiter ?
L'autre retraite, celle qui laisserait la place à Mélenchon à l'Elysée pour sa gloire ou, plutôt, l'expédier à La Havane pour SA retraite !

M'étant déjà plaint d'être ici poussé à aimer Macron, ça va tourner à l'adoration, pourtant contre mon gré !
Pitié !
Parlons sciences de temps à autre, non ?
SI !!
Seulement pour faire plaisir à un vieux monsieur :)

Patrice Charoulet

Langue française

Je suis heureux de faire la connaissance de quelqu'un de très intelligent, très instruit, pensant beaucoup et bien, parlant on ne peut mieux. Ce n'est pas si fréquent. Nous parlons politique.
À propos d'une personnalité politique très connue, il me dit que depuis des mois elle a été « stratégique ». Non, non, non, elle n'a pas été stratégique, mais « bon stratège » ou « stratège ».
Pourquoi donc ? Parce que « stratégique » ne s'emploie pas en parlant d'une personne. Exemples d'emplois : objectif stratégique. Position stratégique. Manoeuvres stratégiques, etc.

Giuseppe

J'oubliais...

À tout prendre je préfère notre Rachida quand elle fait sauter la banque:

https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/restaurants-coiffeurs-manucures-les-d%C3%A9penses-de-rachida-dati-d%C3%A9voil%C3%A9es/ar-AA19V395?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=645ef4aa413440718c7a41d24c5816b3&ei=8

Que choisir entre MLP, Maduro, Mariani, Lassalle, Lula, et toute cette équipe qui une fois au pouvoir nous feront marcher à quatre pattes.
J'ai entendu encore Mariani, mal à l'aise quand on évoque le cinglé, il ne dénonce pas, il dit qu'il faut arrêter la guerre.

Le pire qui pourrait arriver à notre pays c'est qu'un seul de ceux-ci arrive au pouvoir, je passe sur les affidés, Macron à côté d'eux est un parfait démocrate doublé d'un gentil garçon. Les autres ce sera le knout et la faillite et le rouble comme étalon.

Rachida exagère un peu, elle adore le luxe, la jeunesse éternelle, qu'elle se méfie un peu, à force de se faire tirer la peau elle va ressembler à ces poupées de téléréalité. Elle devrait quand même surveiller nos dépenses, quand elle s'habillait, ce n'est pas que l'on regrettait mais elle exagérait un peu.
Et puis sa langue de vipère fait du bien à la démocratie.

lucas

"A moins d'un miracle politique, la France est loin d'être sortie de ses affres"

Gilets jaunes, Covid, guerre en Ukraine, réforme des retraites, perte de la majorité absolue à l'Assemblée rendant toute réforme extrêmement difficile, impopularité.

Et pendant ce temps-là, les extrêmes se frottent les mains: sans effort, tout cuit dans le bec en 2017 ? Effectivement, la France sera loin d'être sortie de ses affres.

Giuseppe

@ Robert Marchenoir | 15 avril 2023 à 23:23

J'étais inquiet, même s'il arrive, que je prenne des antibiotiques pour vous lire, il faut bien reconnaître que parfois il faut brutaliser.

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@ Achille

Nous nous apprêtons à soutenir l'équipe locale, la qualification en vue, ce soir la buvette devrait faire le plein, la vie jolie comme on dit.
Bon, les invités du ballon aux faux rebonds sont toujours les bienvenus, l'addition c'est pour nous of course. Vous prenez ce que vous voulez, l'embarras du choix, mais c'est vin chaud ou pression.

Exilé

@ Patrice Charoulet | 15 avril 2023 à 10:53
« ...pour ma part, d'adhérer au parti Renaissance... »

C'était bien la peine de proclamer à temps et à contretemps que vous étiez fidèle à la « droite » pour adhérer au final à un parti extrémiste anti-France.

Axelle D

@ Michel Deluré 16 avril 10:10
"Ce qui est aujourd'hui regrettable, c'est que ce courage ait été mis en fait au service du seul entêtement du Président, campé sur ses positions,..."

À propos d'entêtement il me semble que la palme revient, essentiellement, à la CGT et consorts qui ont exigé depuis le début et avant toute discussion le retrait pur et simple du projet de loi retraite, plus le renvoi de la Première ministre. Comment négocier dans ces conditions et avec ces ultimatums staliniens ?

Et quand on entend le discours belliqueux et vengeur de la nouvelle patronne du syndicat susnommé, constitué d'une minorité de nuisibles, de frustrés, de casseurs et de feignasses on n'est pas sorti de l'auberge ! Encore une qui a pris le melon sous son petit chapeau et à laquelle il ne manque que la cravache pour parfaire son tableau de chasse à l'homme !

Ellen

Tout ça pour ça !
Les GG de LFI et de l'extrême gauche ont perdu la partie. Combien de centaines de millions d'euros perdus pendant les grèves et les dégradations de biens publics ? Sans parler des salaires amputés pendant les 12 manifs... Quel gâchis !

Déjà que dans tous les pays de l'UE, la semaine de travail est de 40 heures et seule en France elle est de 35 heures (privée) et 32 heures dans la plupart de la fonction publique avec tous les avantages sociaux de la SNCF: billets de train gratuits pendant l'activité et en retraite, EDF-GDF factures réduites, etc.

À titre de comparaison, voici l’âge légal de départ à la retraite dans l’Union européenne, mise à jour le 24 janvier 2023

https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/l-age-legal-de-depart-a-la-retraite-dans-l-union-europeenne/

stephane

@ Michel Deluré

Bien évidemment d'accord avec vous.
Macron a des certitudes mais peu de convictions.
Je suis quelque part admiratif de sa capacité à se rendre impopulaire même quand il finit par agir dans l'intérêt du pays. NUPES et l'héritage Mitterrand rendent toute concertation stérile et à un moment il faut agir.
Trop tôt ou trop tard, que n'aurait-on pas dit si les discussions s'étaient éternisées et une réforme bâclée en fin de mandat ?

Les mêmes qui jugeaient utile d'avoir un dictateur pour redresser le pays reprochent à Macron d'être extrémiste.
Cette réforme ne réglera rien des vrais problèmes, ce ne peut être qu'un début et une nouvelle base pour les calculs actuariels et les futures dépenses publiques.

Macron ne vise pas de réélection et donc son courage demeure relatif. En revanche il semble faire peu de cas des conséquences de ses comportements, et là il ne véhicule pas une bonne image de la France.
Cet épisode rend une dissolution de plus en plus envisageable. Macron pouvant rester en place et se réjouir de voir couler le pays et remonter en popularité.

Marcel P

@ Louis
« L’image d’un Conseil constitutionnel barricadé par un régiment de forces de l’ordre me fait penser à un certain Capitole, image terrible d’un pays qui se présente comme l'un des Pères de la démocratie. »

J'aurais été été surpris qu'on y échappe. Encore un quasi-copié-collé de l'agitation anti-française qui arrive ici en guise de « dialogue » cher à Serge Hirel, avec en guise de développement un lien vers France-Soir.

Pour ceux qui l'ignoreraient, France-Soir n'est plus France-Soir. C'était un ancien quotidien généraliste français fondé en novembre 1944 par les jeunes chefs résistants Robert Salmon et Philippe Viannay. En 2019, tous ses journalistes ont été licenciés. En 2021, un collectif d'anciens journalistes de France-Soir et le Syndicat national des journalistes (SNJ) lancent une pétition pour exiger que Xavier Azalbert cesse ses publications sous le titre et le logo de « France-Soir » et réclamer une loi imposant le contrôle de journalistes professionnels pour la parution ou la reparution de titres de presse rachetés.

Faut-il développer à quel point France-Soir est un brouillon absurde ? On lit « Par exemple, lorsque ce dernier est installé tout au bout d’une table à rallonge face à Poutine en 2021. Une façon pour le président russe de se démarquer de son homologue français et de la gêne qu’il inspirerait ». N'importe qui peut se rendre compte de lui-même que Poutine installe même ses collaborateurs et ministres sur une table à rallonge, ce n'est pas secret. Exemple parmi mille.https://s.yimg.com/os/creatr-uploaded-images/2022-02/417de5d0-98c2-11ec-bf3f-aa47d35384f3
Soit l'auteur de l'article ne sait rien, soit il ment. C'est du France-Soir 2023.

Quel est l'argument ? On devrait s'étonner que les Institutions soient protégées par les forces de l'ordre, alors que des députés NUPES appellent au soulèvement, c'est à dire à l'insurrection ? On devrait être choqué que la police disperse les attroupements insurrectionnels ? C'est exactement le rôle des forces de l'ordre que de protéger les Institutions et la République. Louis, souhaitez-vous que les forces de l'ordre décident de la politique du pays, s'abstiennent de permettre au Conseil constitutionnel de siéger ? Expliquez-nous où vous voulez en venir.

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@ Tipaza
« Il aura été un des rares politiques clairvoyants de notre temps, avec le général de Gaulle dont il fut l'adversaire irréductible. Peut-être parce qu'ils étaient proches idéologiquement, sans le savoir, sur le sort de la France »

Clairvoyant ? Quand il prétendait que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire ? Quand il faisait ami-ami avec Dieudonné ? À quel moment ? Quand il a rendu la défense de la France infréquentable ?

Xavier NEBOUT

@ Robert Marchenoir

Voilà en vous, que notre influenceur américain entoure Aliocha de son affection pour notre petit Emmanuel. Que ne faut-il pas faire !
Et le blog de Philippe Bilger d'amener ses commentateurs sur le chemin de la félicité.

Le diable savonne en se poilant la planche sur laquelle notre pays glisse dans le trou, que dis-je, les trous, l'un financier, l'autre spirituel.

Encore heureux que l'invasion africaine préserve la propriété immobilière en la convoitant. Vive Macron !

Michel Deluré

@ stephane 15/04/23 12:06

Le courage que vous attribuez à Emmanuel Macron, courage qui a si souvent manqué à ses prédécesseurs, fut malheureusement dans cet épisode parasité par des attitudes incompréhensibles : cécité sur le paysage politique du pays suite à la présidentielle et aux législatives de 2022, stratégie adoptée désastreuse et inadaptée en regard de cette situation politique, absence totale de pédagogie entre autres.

Partant d'éléments concrets, il y avait plusieurs paramètres sur lesquels jouer pour atteindre l'objectif fixé initialement, paramètres sur lesquels il aurait été possible d'obtenir des consensus, quitte à refaire le point dans quelques années en fonction des résultats constatés et de l'environnement économique et démographique d'alors. S'appuyer sur des hypothèses est bien mais qui en 2019 pouvait par exemple prédire que nous devrions faire face à une pandémie puis à une guerre aux portes de l'Europe ?

Ce qui est aujourd'hui regrettable, c'est que ce courage ait été mis en fait au service du seul entêtement du Président, campé sur ses positions, et non utilisé pour faire accepter et aboutir une réforme nécessaire pour pérenniser notre système de retraites, fracturant ainsi encore plus notre pays plutôt que de le rassembler.

Louis

Si c’était un théâtre nous pourrions en rire mais cette belle idée de la France en sort abîmée, quelle sera la vie de nos petits-enfants ? Sans énergies et sans industries propres l’UE sans doute, la France certainement retournera à la pauvreté que nous voyons déjà paraître à l’horizon. Depuis longtemps la France n’a jamais été aussi faible alors que sa longue et tragique histoire explique le présent et nous éclaire sur l’avenir. L’image d’un Conseil constitutionnel barricadé par un régiment de forces de l’ordre me fait penser à un certain Capitole, image terrible d’un pays qui se présente comme l'un des Pères de la démocratie. Nous allons droit sur les cailloux et il devient urgent de changer de cap.

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/macron-vu-de-l-etranger-entre-ridicule-et-violence-une-drole-de-carte-postale

Tipaza

Et pendant ce temps-là, JMLP dit Le Menhir, hospitalisé en région parisienne, se dirige lentement vers la retraite... définitive, celle-là.

Il aura été un des rares politiques clairvoyants de notre temps, avec le général de Gaulle dont il fut l'adversaire irréductible.
Peut-être parce qu'ils étaient proches idéologiquement, sans le savoir, sur le sort de la France.

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Comme quoi, nous pouvons être en accord sur l'essentiel, alors que nos dissensus par ailleurs sont sévères.
Il est temps que "les ténors du droit à la paresse rémunérée" se rendent compte que si on veut préserver notre modèle social, nous devrons plus travailler et rendre ce modèle plus efficace.
Sinon, moins de protection et de pouvoir d'achat pourront être garantis.

C'est un choix libre et souverain que la démocratie a tranché par l'élection, en son état actuel sûrement perfectible, dans la mesure où les citoyens assument leur responsabilité dans ce choix, notamment tous les démissionnaires abstentionnistes.
Il est intéressant d'observer que la période actuelle crée des axes de consensus étonnants, au vu que je me retrouve partiellement en accord avec Patrick Buisson, qui aurait pu le prévoir si ce n'est ce qui m'accorde avec vous autour du président et sa volonté de réforme :

"Si vous étiez son conseiller, quelle sortie de crise proposeriez-vous à Macron ?

« Je suis prêt à endosser l'impopularité », dit-il. Chiche ! Il ne tient qu'à vous, monsieur le président. Rompez avec la temporalité du marché politique puisque, n'étant plus candidat, vous voici délivré des petits calculs des gérants démocratiques uniquement préoccupés de rentabilité électorale immédiate. Faites le choix du temps long de la collectivité plutôt que celui du temps court de l'individu et des exigences de l'instant. Délivrez-vous enfin du progressisme, ontologiquement incapable de penser la durée et qui ne connaît que la concentration sur le présent, à l'image de la fameuse sentence de Keynes : « À long terme, nous serons tous morts. » Ouvrez de grands chantiers collectifs susceptibles de rassembler les Français comme la restauration de l'école, la transmission, l'investissement dans le capital humain. Endossez, quoi qu'il doive vous en coûter, la charge du bien commun comme un sacerdoce. N'ayez pas peur ! Soyez, devant l'Histoire, l'homme du sacrifice utile. "

https://www.lepoint.fr/politique/patrick-buisson-marine-le-pen-ne-peut-pas-gagner-05-04-2023-2515103_20.php?boc=641907&m_i=iJBi8jMB6J8b%2BQoms9q4gakdmJdSEEy7JNSSQRTCfZwTTPC3oM%2BDbsW4ZRz6CDlehGKf%2Bs9eWlZgRNq2nSa%2BncchyGiiid&M_BT=194508641590#xtor=EPR-57-[Push-email]-20230405-[Article_1]

On passera sur cette connaissance que j'essaie de partager sur le sujet religieux des races, et qui ne confond pas religion et connaissance du phénomène religieux, pour observer ici quel choix est à l'oeuvre, et quel consensus il pourrait faire naître :

"Les vieux clivages politiques se réveillent-ils ?

En fait, ils n'ont jamais été dépassés que pour ceux qui avaient intérêt à le faire croire. Le clivage droite-gauche est d'autant plus indépassable qu'il s'enracine dans l'anthropologie et la métaphysique. Ce sont deux manières d'être au monde. On en trouve la préfiguration dans la querelle théologique qui opposa au Ve siècle l'optimisme du moine Pélage au pessimisme radical de saint Augustin. La gauche croit en l'homme sans déterminations et sans limites, la droite le sait faillible et le soumet à un ordre qui le subsume. C'est là l'intemporelle summa divisio au regard de laquelle tout le reste est superficiel, artificiel, conjoncturel." (Ibid)

Voilà qui me rassure et me sépare du politologue du clivage éternel, qui finit par formuler le dilemme de sa contradiction :

"Les Républicains sont-ils morts ?

Tant que la direction de LR se refusera à l'inventaire critique du bilan de Nicolas Sarkozy, il n'y aura pas de clarification possible. Face aux défaites toujours plus cinglantes des LR, on songe au mot de Talleyrand voyant revenir les émigrés lors de la Restauration : « Ils n'ont rien appris, ni rien oublié. » Reste que la masse critique qui fera l'élection de 2027 est celle des presque dix millions d'électeurs qui ont voté Macron au premier tour de 2022. Or cet électorat s'est considérablement droitisé. L'enquête du Cevipof montre que sur 100 électeurs de Macron en 2022, 50 avaient déjà voté pour lui en 2017, mais 15 % avaient voté Fillon et 14 % Marine Le Pen. La demande de souveraineté, d'autorité exécutive et de leadership y est désormais égale, voire supérieure, à celle de l'électorat RN. En clair, ce n'est plus la sensibilité progressiste ou juppéiste qui constitue le centre de gravité du vote Macron mais l'immuable « parti de l'ordre » qui a rallié le président à la faveur de la crise des Gilets jaunes ou de « l'effet drapeau » lors du conflit ukrainien. Une voie royale s'ouvre donc pour la droite malgré les apparences. Ne lui manque, en somme, que des idées, une stratégie et un chef…

Une alliance avec Macron serait donc pour LR une lourde erreur ?

Le suicide ne relève pas de l'analyse politologique, mais de la médecine légale. Quelles sont les autres options ? La relative contre-performance d'Éric Zemmour à la présidentielle a occulté le fait qu'il avait rigoureusement la même sociologie que le vote LR. L'un et l'autre chassent sur les mêmes terres. De deux choses l'une : ou bien les Républicains parviennent à marginaliser le phénomène Zemmour, ou bien il leur faudra composer et s'unir avec Reconquête ! dans la perspective d'une candidature unique pour 2027. Le rapport de force à l'issue des européennes de 2024 balisera les marges de manœuvre. L'autre problème de la droite tient à une base sociologique devenue insuffisante pour pouvoir l'emporter sans aimanter d'autres forces. Le modèle doit être celui d'un rassemblement interclassiste capable d'agréger, comme en 2007, l'électorat conservateur et une partie de l'électorat populaire du RN, celle pour qui la question identitaire reste fondamentale. Cela suppose une vraie révolution culturelle qui fasse de la droite autre chose que la chambre d'écho de la gauche ou le simple syndic des intérêts catégoriels des classes favorisées." (Ibid)

Voir comme un suicide le leadership de Macron décrit plus haut comme le sacrifice nécessaire aux réformes indispensables, ressemble au refus syndical d'un consensus qui, pourtant, est le seul chemin pour sortir le pays de l'ornière des illusions des extrêmes qui, comme le dit le politologue, sont bornées non plus par un plafond de verre, mais du béton de notre réalité qui ne saura être assumée que par la réconciliation au bénéfice du pays, entre un optimisme excessif et un pessimisme qui ne l'est pas moins, en même temps.

C'est aussi audacieux que l'impossibilité institutionnelle où se trouve le président, dont la réussite dépendra de la capacité du peuple français à savoir se réunir autrement que contre lui, rejoignant la vision de Kamel Daoud, effectivement visionnaire.

JULIEN WEINZAEPFLEN

Non seulement les "sages" ou les "singes" (sylvain) du Conseil constitutionnel se permettent de juger les "conditions du débat" (Marc Ghinsberg), donc le Conseil constitutionnel est anti-Nupes, en quoi ils montrent le dévoiement et non "la carence politique" (PB) d'une institution dénaturée par la question prioritaire de constitutionnalité si chère à Jean-Louis Debré et qui ne devrait pas recaser de vieux ministres à la retraite (qu'est-ce que 64 ans pour des gens qui refuseront toujours de passer la main et de se retirer pour cultiver leur jardin ou écrire leurs mémoires ?), mais cette décision prend "les travailleurs" à revers dans tout ce que le texte avait de favorable. Elle recale l'index des seniors et le CDD senior.

À ce stade, la défaite des syndicats est donc cuisante et c'est se moquer que de dire qu'il n'y a ni "vainqueur ni vaincu" comme le fait Elisabeth Borne en mangeant son chapeau et promettant qu'on va "accélérer" après avoir souhaité que l'on respecte une période de "convalescence". Mais elle a subi un recadrage en règle et travailler sous Macron, c'est avaler des couleuvres.

Macron se paye encore plus la tête des syndicats vaincus en les invitant, fortune faite, après leur avoir opposé une fin de non-recevoir, et en promulguant en toute hâte la loi qu'ils n'en finissent pas de contester dans la comédie manifestationnaire des "Gaulois réfractaires" (ou dans ce que Félix Nisch appelle la "sinistra commedia de la revolta popularia").

S'il avait eu ne serait-ce qu'une seconde l'intention de les respecter, il aurait attendu de les recevoir avant de promulguer la loi. Un intervenant sur BFM TV faisait pièces hier soir à l'illusion qu'il pourrait la promulguer pour ne pas l'appliquer comme Jacques Chirac solda l'opposition des agités professionnels et des mouvements de jeunesse mon(ô)maniaques au contrat utile qu'aurait été le CPE. "Macron n'est pas Jacques Chirac", trancha-t-il.

Sans trouver le président "héroïque" (comme Florestan68) ni me rallier à son panache noir (comme Patrice Charoulet), moi qui suis un anti-macroniste primaire, secondaire et tertiaire et entends bien le rester, je crois néanmoins que le report de deux ans de l'âge de la retraite n'est que le prétexte à ce feu d'artifice syndical aussi prévisible que celui du 14-Juillet, mais qu'il n'en cache pas moins une grogne sociale dont la motivation principale est que les salaires ne seront jamais revalorisés à la hauteur de l'inflation prenant partiellement prétexte de la dangereuse escalade du monde dans la guerre mondiale à laquelle notre président participe en dépit de ses moulinets chinois, comme quoi il faudrait comprendre la position de la Chine face à Taïwan de même qu'il ne fallait pas humilier la Russie, mais à la fin, même si "l'OTAN [était hier] en état de mort cérébrale", Macron suit toujours les Américains, il nous a fait le même coup avec la guerre en Ukraine.

Le péché originel de cette réforme des retraites était dans la réforme précédente, conduite par le mentor normal (et normalement renié) de notre "président exceptionnel", la réforme de François Hollande, qui augmenta le nombre de trimestres nécessaire à une retraite à taux plein de telle façon qu'étant donné les carrières hachées, les périodes de formation qui n'ouvrent pas droit à cotisation, ou encore l'âge tardif moyen d'entrée sur le marché du travail, peu nombreux seront ceux qui pourront cotiser un tel nombre de trimestres, sauf les personnes ayant commencé de travailler très jeunes, que le dispositif des "carrières longues" pénalise en les obligeant à travailler davantage que les 43 ans requis pour tous les autres actifs, même si ce désavantage a été corrigé à la marge à la fin de l'examen de la loi pour trouver un accord avec la "droite Pradier". Que l'on ait rendu quasiment impossible l'accès à la retraite à taux plein, voilà la vraie supercherie que cette réforme Macron (II) ne fait que prolonger, démontrant au passage que, face au plein emploi rendu inaccessible par les conditions de travail actuelle (aggravées par l'agriculture industrielle, la désindustrialisation, l'automation (ou le machinisme) et la dévalorisation du travail manuel), nos gouvernants ont fait le "choix du chômage" (pour citer une fois de plus la thèse de l'ouvrage éponyme de Damien Cuvillier et Benoît Collombat).

Ce n'est pas l'économie de marché (et encore moins le capitalisme) qui fait problème, mais il y a un problème dans l'économie de marché et dans la gouvernance actuelle du capitalisme financier. En sorte que (Isabelle a raison), si le gauchisme enflammé de la Nupes était conséquent, il devrait être plus anti-libéral qu'(assez anachroniquement) antifasciste, or il a choisi d'être le contraire et plutôt que de risquer le front des populismes, il a voté Macron au second tour. De quoi se plaignent donc Aurélie Trouvé ou Sophie Binet (qui refuse d'être interviewée par "CNews", c'est bien son droit) ? Mais j'oubliais qu'elles se disent fières d'être des "cadres" issues de la lutte contre le CEPE. Qui a manqué de jugeote un jour devra-t-il en manquer toujours ? Y a-t-il une fatalité dans l'erreur ?

Claude Luçon

@ Xavier NEBOUT | 15 avril 2023 à 22:18
"L'épisode relatif à la démocratie et de la retraite n'est qu'une apparence ; le dessous, c'est que la plus grande partie des Français ne peuvent plus voir votre président en peinture."

Erreur !

Les Français, vous aussi apparemment, n’ont pas compris qu'il ne s'agit pas que de Macron, lui n'est qu'un accident, qu'un passage, il s'agit surtout de combattre et prendre le pouvoir en place !
Mélenchon président autoproclamé de la VIe république le répète et le démontre depuis des années. Curieusement il a frôlé le succès. On ne comprend toujours pas... C'est mon complot à moi !

Il a même rassemblé une cohorte de corniauds nommés LFI sous la baguette de Miss Gabon, pardon Obono, experte et conseil en démocratie. Il est vrai qu'au Gabon on sait gouverner !
Il a quelques difficultés du côté de son potentiel Premier ministre rouquin, lequel risquerait de donner des gifles même à la ravissante Clémentine.
Mais il a le support de ce qui reste des perdus du PCF, PS et Verts (note : élections aidant) et avec enthousiasme de la part de la CGT, des Zadistes et des Black Blocs !

Ce n'est pas un prétexte valable de voir les Américains élire un homme de 76 ans pour en accepter un en France ! Mélenchon ne peut pas attendre jusqu'en 2027, il aurait 76 ans !
Comme faute de mieux on nous offre Zemmour ou MLP, la situation est tragique.
Les Français se sont mis tout seuls dans le pétrin, ils leur a fallu quarante ans, depuis 1981/82, mais ils ont réussi !

C'était mieux avant, du temps d'Adolphe Thiers qui lui, savait gérer les manifs mieux que Darmanin :(

oli71

C'est bien naïf de s’arc-bouter sur le principe de clarté et de sincérité des débats parlementaires, car cela supposerait qu'ait existé la possibilité d'un débat parlementaire.

À l'Assemblée nationale, nous avons eu pendant les quinze jours de débats un zoo, ou un cirque, si vous préférez. Rien qui ressemble même lointainement à une assemblée parlementaire d'un pays civilisé. Et grâce en soit rendue aux quelques dizaines d'enragés de la NUPES, qui se fichent comme d'une guigne de "la clarté et de la sincérité des débats parlementaires", puisque seule la révolution les intéresse.

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