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24 avril 2023

Commentaires

anne-marie marson

"...il publie un roman, "Fugue américaine", autour de la figure du pianiste Vladimir Horowitz. Je ne l'ai pas encore lu..." (PB)

Erreur fatale. Il aurait fallu le lire, en particulier la page qui fait le bonheur des internautes sur les réseaux sociaux.
La façon dont Bruno Le Maire parle des femmes dans cette page est indigne d'un ministre de la République, qui ne peut pas tout se permettre. C'est une honte.

F68.10

@ Giuseppe
"Nous ne savons que gaspiller, gaspiller, gaspiller !"

Rien n'empêche de défonctionnariser notre société. Ce n'est pas que les fonctionnaires coûtent trop cher en soi (parce que leurs revenus, c'est quand même pas Byzance) mais bien plus que cela cultive une culture de déni du réel. "Gaspiller" n'est qu'un effet de bord de ce déni du réel.

Défonctionnariser, c'est aussi retrouver des moyens délibératifs plus locaux pour régler les problèmes qui ne passent alors plus par une déresponsabilisation des gens qui doivent se mettre à plat ventre dès que l'administration daigne leur adresser la parole. "Gaspiller" n'est qu'un effet de bord de cette déresponsabilisation.

Faire gérer les retraites par capitalisation, c'est garantir que l'assurance fait faillite si elle n'équilibre pas ses comptes selon de savantes méthodes actuarielles. Ce qui n'est pas le cas quand les retraites sont plus ou moins étatisées par répartition. Le spectre de la faillite induit la donc responsabilisation, et limite ainsi le gaspillage.

Plein de truc à faire pour limiter le gaspillage. Ce ne sont pas les idées qui manquent...

Après, Larcher peut s'empiffrer. Pas mon problème. Et puis, quand on connaît la performance du syndic de Lausanne, Daniel Brélaz, qui taquinait les 170 kilos, on se dit que Larcher est un petit joueur...

"Être le premier élu écologiste à entrer dans un parlement c'était déjà pas simple ! Mais être élu syndic de la capitale olympique tout en étant obèse, c'est du jamais vu ! : voilà ma réelle fierté !" -- Daniel Brélaz... connu sous le nom de Shrek.

De toute façon, l'inflation, qui vous chagrine, on n'y coupera pas. On ne pourra pas augmenter les salaires, et on ne pourra pas non plus faire une politique monétaire anti-inflationniste. On est parti pour une belle crise, et il faudra bien finir par euthanasier le rentier à coup d'inflation à un moment vu que le stock de dette publique ET privée n'est plus vraiment gérable à l'heure actuelle.

En 2019, à 50 000 milliards de dollars pour la dette d'entreprise du G8, on a quand même de très gros soucis. Là, la claque, elle vient. Même pour la Chine...

Semble-t-il qu'on aura échoué à ne pas rejouer 1929 en 2008. On a tenté une feinte, une parade, dite "feinte néolibérale du colloque de Walter Lippmann," mais on n'a toujours pas la solution à ce type de crises.

Et il ne pourra pas y en avoir tant que les gens veulent jouer à se faire la guerre mondiale dans le monde. Parce que la Chine a bien l'air de vouloir nous la jouer à l'envers...

Giuseppe

Grand Dadais... et ce sera mon dernier concert en tant que spectateur.
On nous avait vendu avec Grand Dadais un Mozart de la finance, il n'arrive pas à la cheville d'un mauvais Richard Clayderman.

Giuseppe

"Vive Bruno Le Maire quoi qu'il m'en coûte !" (PB)

Pour nous coûter, on peut dire qu'il nous coûte, Grand Dadais!
Note Fitch AA- !

Cela se traduit par moins de confiance sur les marchés du pognon cher à Nanard, des taux d'intérêt plus élevés, la défiance et l'inflation qui s'installe.
Il est minuscule Grand Dadais, aussi nul que notre Tartarin chinois Raffarino... Ces types ont été en dessous de tout, nous n'avons élu que des nuls, le référentiel d'un homme politique aujourd'hui c'est Winston Volodymyr et ses ministres et conseillers... Quelle puissance !

"Le taux de croissance du PIB sous de Gaulle est de 5,48 % en France. Il est supérieur au taux de croissance du PIB du Royaume-Uni sur la même période (3,20 %), des Pays-Bas (5,40 %), de la Belgique (4,71 %), de la Suède (4,55 %), de la Suisse (4,92 %) et des États-Unis (4,26 %)..."

Gégé qui chasse ses repas ! Que des pusillanimes, le pays a besoin de lutteurs, pas de vieilles badernes, et pour finir en un éclat de rire sur ces types qui nous gouvernent:

https://ripostelaique.com/larcher-trouve-que-les-francais-mangent-trop-defense-de-rire.html

Ce qui est sûr est que le centre de gravité de l'Europe se déplace à l'Est, le polygone de sustentation est bien les Pays baltes et la Pologne.
Avec tout ce que nous versons et dépensons en protection sociale nous devrions être une vraie machine de guerre... Le problème est que nous n'avons jamais eu de puissants à la tête de notre beau pays... Nous ne savons que gaspiller, gaspiller, gaspiller !

Giuseppe

Grand Dadais devait mettre à genoux l'inflation, on a vu, et si j'en crois les prévisions sérieuses, ce n'est pas le bout du tunnel.

Des nuls vous dis-je, qui n'ont jamais rien géré de leur vie, ni un vrai boulot, ni un compte de résultat et encore moins une équipe.
J'ai entendu le Président du Conseil de la sécurité en Ukraine, ça ne "baouasse" pas sur tous les plateaux TV. Il envoie juste du lourd, du précis, du concis et de l'intelligence par-dessus tout.

Pourquoi diable n'avons-nous pas les mêmes ?
La différence ? En 40, la Débâcle et Munich, alors qu'avec quelques javelots dans leur carquois et une poignée d'habitants d'un village, ils ont mis en déroute le Cinglé à Kiev et montré le chemin de la lucidité et de l'abnégation.

Quelle belle leçon pour l'histoire, avec peu et des compétents, c'est toujours la marche en avant, la victoire au bout.
Ils vont écrabouiller le Cinglé a dit ce responsable, il faut être un peu patient, il n'en a pas pour longtemps, cela dit il ne se produit que rarement sous les sunlights, il n'écrit pas de livres à la gomme. Juste s'occuper de son peuple et du courage à en revendre.

Marlène, Grand Dadais... Vous imaginez un peu ce qu'ils sont !? Et j'ai écouté Gaby Attal ce matin, il enfile des perles comme on vend de la barbe à papa dans les fêtes foraines.
Le pire est à venir sans doute, cette caste dirigeante, énarques de nos vies, n'ont aucune notion de l'endurance et du résultat, "batailler" comme disait la secrétaire, y "mettre la tête", le blabla ça va un moment, la réalité est ailleurs les leçons aussi.

Giuseppe

Ce matin, distraitement, j'écoutais les commentaires sur le dernier roman de Grand Dadais, ce n'était pas sur la qualité de sa prose, mais sur le temps qu'il pouvait consacrer à écrire ses daubes pour l'éternité, qui monopolisait le débat.

Bien sûr il écrit nuit et jour, ne va pas au foot, et y consacre tous ses week-ends... On est prié de le croire, consacrer autant de temps pour écrire des nouvelles de table basse de chez ma leste coiffeuse dans son salon d'attente... c'est du gâchis Bruno ! Les romans de Marlène existent déjà, Nous-Deux, Intimité c'est du passé.

Si seulement il pouvait mettre autant d'ardeur à gérer notre pognon public, celui cher à Nanard qui finit ruiné, nous avons donc du souci à nous faire, il me fait penser au père de Louis Ferdinand Destouches et sa compagnie la Coccinelle, quand il s'escrimait sur sa machine à écrire pour exister.

Grand Dadais ne nous apporte rien, Emmanuel a choisi une équipe de batouilles, la transparence, le papier glacé, et surtout l'inutilité.
Emmanuel sait que Bercy veille au jeu de ces fats et de ces gérants de bazar, ces ministres de pacotille.

L'intervention de la ministre de la Culture est un contrepoint à tous ces minables, elle devait être exaspérée d'être entourée de toutes ces gazelles qui protégeaient leur existence future, le politiquement soluble, la mer sans marées.

Grand Dadais écrivain pour gazelles de salons où l'on passe son temps au bronzage artificiel.

Au passage, poilade à propos du dessin et de mon préféré, le choix du nom du futur porte-avion, et l'illustration de Charlie sur le nom de Gégé.
Avec ces types nous sommes sauvés !

Grand Dadais, Gégé et les autres, la France en marche avant, la France qui gagne... Seuls les chiffres disent le contraire... Il doit y avoir un problème, ces types gouvernent depuis des décennies et 3000 MILLIARDS de dette au compteur, c'est vrai ils sont les meilleurs puisque nous les élisons sans discontinuer, nous aimons perdre sans doute, comme en 40.

J'ai regardé Résistance, ce qui permet de faire apparaître ce qui devrait être notre futur, et de revoir le passage consacré à Marc Bloch, qu'il m'arrive de citer... "L'Etrange défaite"... Ce qui est sûr c'est que les romans de Grand Dadais ne font pas une immense victoire.

P.-S. : Diantre ! Notre hôte serait-il aussi calamiteux en gestion que Grand Dadais ? Au hasard des titres sur certains moteurs de recherche, je suis tombé, simplement par hasard, sur votre entretien chez Jordan de Luxe, l'homme en vogue du moment, et l'incontournable question sur le montant des retraites personnelles. Bon... Ce qui est sûr est que vous n'auriez pas fait un bon bâtisseur.
Tous ceux que j'ai côtoyés, à peine entrés dans le milieu durablement, le premier engagement était de construire leur maison. Ensuite c'était le souci d'épargner dans la pierre, frugalité de vie comprise au début - à tous les échelons pratiquement -, tous étaient et pensaient patrimoine bâti: les économies futures pour la retraite, louer était impensable et puis il faut l'avouer le milieu était tellement abrasif, il était très difficile de durer.

Pour l'anecdote, la patrimoine pierre constitué, et ce n'est pas un cliché, les anciennes générations revenaient au pays avec la "Merco". Puis j'ai vu arriver les plus jeunes, alors là ce fut la marque aux anneaux, celle qui emportait une famille pour un retour annuel de congés et mettre à niveau petit à petit la maison familiale laissée derrière eux.

Bon, bon, c'était juste pour la petite histoire, notre hôte devait s'attendre à la question de routine de ce fameux Jordan, l'homme qui monte, mais au fond j'ai bien compris que vous travaillerez jusqu'à votre dernier souffle, ce que je peux comprendre.
De là à remettre en question la loi sur la retraite, c'est à voir, j'attends les détails pour voir si elle est effectivement juste. Envoyer du béton à travers une benne à manche dès le petit jour, ce n'est pas tout à fait pareil que faire couler de l'encre.

Bill Noir

@ Aliocha 25 avril 10h10
« Le nationalisme, c'est pas eux, c'est pas vous, c'est la guerre. »

J'aime beaucoup, j'apprécie particulièrement les formules lapidaires. Une dizaine de mots, pas plus.
Mais encore faut-il que ce ne soit pas une honnerie indépassable !

Giuseppe

Grand Dadais avait prédit la fin de l'inflation en 2022, c'est bien un type comme lui dont les diplômes culminent aussi haut que le Kangchenjunga, peut-être l'Everest, qui avait assuré cette date.

Nous sommes gouvernés par des pipes (en rugby, beaucoup d'efforts, mais improductifs, san génie...), souvent.

Il est lisse, ses montées en régime linéaires, il est le modèle de moteur le pire de tous, sans caractère, non il n'a aucune chance aux présidentielles, les citoyens en ont soupé de ces énarques qui nous mènent droit à la sortie de route.

https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/linflation-ne-va-pas-refluer-en-france-en-2023-previent-lofce-1934676

Il fait partie de ces politiques qui réjouissent le bourgeois, le rentier et qui plaît à la boulangère le dimanche matin quand il va chercher sa baguette, juste pour la faire rosir de plaisir et qu'elle en parle à tous ses clients.

Il fait partie de ces fauteurs de dettes, de ces incompétents qui parlent de souveraineté industrielle, qui n'ont jamais planté une pointe et qui sortent des formules belles comme l'antique, pourries comme les chicots des sans-dents.

Il aime les couleurs pastel, assez malin pour recevoir les restaurateurs et se faire mousser avec le pognon des autres. Eh oui ! Bruno aime dépenser, il est un bon client de la dette, des Chinois donc, mais chez lui quand il donne il nous ferait croire que c'est de sa poche.

Il gère comme il écrit, c'est toujours dans la "chantilly", il me rappelle un architecte qui copiait le talent et les idées des autres en augmentant le trait, nous le surnommions le "pâtissier". Grand Dadais est un pâtissier, un "gonfleur d'hélices", c'étaient nos préférés.

Serge HIREL

@ Robert Marchenoir | 26 avril 2023 à 00:14
« Vendons-nous du pastis aux Russes ?"

Oui oui... exclusivement du vrai pastis de Marseille de la marque Mélenchon... le seul pastis qui, sans eau, est déjà trouble !

Bill Noir

MACROMANIA

Il reste à Macron une possibilité de rentrer de plain-pied dans l'Histoire : être un Président qui a démissionné de sa fonction.

Il ne peut plus traverser la rue pour acheter des allumettes sans déclencher une bronca de vociférations.

C'est sous son second mandat que Macron a développé le secteur industriel des ustensiles de cuisine.

Dans les grands meetings le peuple s'apprête à sortir la grosse artillerie : les gamelles de la soupe aux choux.

Macron souhaite devenir « chef d'Europe » et vise Bruxelles pour ne plus être « emmerdé » par ses compatriotes malpolis.

Ils se sont mis à 3 (Giscard, Chirac, Sarkozy) pour lui offrir Mayotte… il ne sait plus qu'en faire ! Ya bien quelques coins paumés dans la campagne française où il pourrait y coller ses Comoriens mais il avait prévu d'y mettre ses migrants d'Afrique.

Céline n'aimait pas la campagne, un lieu disait-il où les chemins ne mènent nulle part… aujourd'hui, s'il revenait il serait surpris.

Les deux sens exacerbés de Macron : la vue et l’ouïe… les gilets jaunes et les casseroles.

Il y a tout de même 27 000 adhérents dans le parti du Président… moins on est, plus les récompenses sont copieuses.

Pour Macron la France est une start-up !

Sous Macron la Comédie-Française a adopté l'écriture inclusive.

Son ministre de l'Éducnat connaît bien Victor Hugo, poète national ; pour sortir de la gare de Lyon il emprunte des portes dérobées !

Serge HIREL

@ Giuseppe | 25 avril 2023 à 14:31
« (...)ce type d'écriture me fait penser aux mauvais polars. »

Détrompez-vous ! il s’agit du plagiat un peu scolaire du premier roman écrit par un robot utilisant l’IA... Si vous l’achetez, payez-le en bitcoins...

Robert Marchenoir

@ Claude Luçon | 25 avril 2023 à 17:50
"Au lieu de prendre des sanctions il faut réparer et utiliser le pipeline Gazprom pour expédier un flot de vodka aux Russes, que non seulement ils s'enivrent mais qu'ils se noient dans la vodka puisqu'ils l'aiment tant !"

Alors là, je me dois de vous décevoir : c'est le contraire qui se passe. Pernod Ricard vient de prendre la décision d'arrêter... de fournir de la vodka à la Russie.

Car, tenez-vous à la rampe, Pernod Ricard possède la vodka Absolut... qui est suédoise... et les Suédois ont été scandalisés d'apprendre que leur vodka allait à nouveau abreuver les Russes... après que son exportation fut bloquée suite à l'invasion de l'Ukraine.

Donc, les Suédois ont boycotté Pernod Ricard ! Plusieurs bars et restaurants connus ont cessé de vendre sa camelote, et il ne manque pas de bibines à son catalogue (10 miyards de chiffre d'affaires, tout de même...).

Qu'à cela ne tienne, ont dit les stratèges de l'alcoolier franchouille : nous allons empoisonner les Suédois plutôt que les Russes, si les premiers y tiennent tant !

Mais l'histoire n'est pas finie : ce sont les Irlandais, maintenant, qui hurlent comme des putois, parce que "leur" whisky continue d'être vendu aux Russes.

Alors que tout le monde sait bien que le whisky Jameson, c'est français, Monsieur ! puisque ça appartient à Pernod Ricard.

L'angoissante question que tout le monde se pose, bien sûr, est la suivante : vendons-nous du pastis aux Russes ? Les médias semblent muets sur ce point crucial.

Claude Luçon

@ Giuseppe | 25 avril 2023 à 14:31

Vous m'avez en quelque sorte, par un détour genre Guerre des boutons, ramené à la municipale, où les filles n'étaient pas encore admises avec nous les boutonneux, dans la cour de l'école la loi était au plus fort, ce n'était pas moi mais j'avais ma force de dissuasion, un frère de neuf ans mon aîné, c'était imparable : "Tu m'touches et tu verras c'que mon grand frère va t'faire" !

C'est un peu le scénario Biden / Poutine quand l'Américain a simplement dit à Poutine "n'utilise pas ta bombe sinon tu verras ce que nous ferons de toutes tes forces armées".

Il y avait déjà des Poutine dans les années 30.

Pauvres Ukrainiens mais qu'on leur donne nos Mirage vieillissants !
Outre le courage, ils sont dotés d'un culot époustouflant !

Au lieu de prendre des sanctions il faut réparer et utiliser le pipeline Gazprom pour expédier un flot de vodka aux Russes, que non seulement ils s'enivrent mais qu'ils se noient dans la vodka puisqu'ils l'aiment tant !
Si l'on en croit Poutine il gouverne un pays d'ivrognes et il leur conseille même d'aller mourir pour la patrie en Ukraine à 20 ans plutôt qu'attendre leurs 60 ans pour crever saturés de vodka !

Giuseppe

J'ai fait comme Bob, je vous livre les premières lignes:

"...Mon frère Franz se gratta le crâne.
Il passait sa vie à se gratter le crâne ; quand il avait une
équation particulièrement difficile à résoudre, il pouvait se
gratter des minutes entières. Ses doigts osseux fouillaient
dans ses cheveux entortillés comme du fil de fer, il en arrachait un ou deux, qui retombaient sur son épaule, ensuite il soufflait sur le bout de ses doigts, avec la concentration désabusée du joueur de tennis avant le service..."

Sans compter qu'avant toute chose il cirait ses crampons dans la tête pour savoir si le terrain était boueux, et si le vent qui soufflait allait détourner ses frappes lointaines...
Je me moque, mais c'est tout à l'avenant, les 50 premières pages, se taper ce type d'écriture me fait penser aux mauvais polars.

Quand Bruno Le Maire nous prend pour les derniers des couillons, comme tous les cuistres ils n'en font jamais assez, et donc, le voile levé, apparaît un des plus nuls des ministres de la Ve:

https://leblogdenathaliemp.com/2022/06/08/inflation-bruno-le-maire-trouve-encore-matiere-a-fanfaronnade/

Il en rêve, calife à la place du calife, il se voit sur le trône, mais il ne trompe pas la plèbe qui elle, fait de l'économie réelle, le porte-monnaie est son référentiel et seul Grand Dadais pense que sa parole est d'évangile.

Il ferait mieux de se taire, un bon diplomate est quelqu'un qui réfléchit à deux fois avant de ne rien dire. Mitterrand l'aurait ratatiné, même avec la plume.

Macron a un défaut, il croit presque tout ce qu'il voit, Donald l'a remis en place avec sa langue à propos du Chinois. Macron et Raffarin... Notre Raffarino de Tarascon impayable de bêtise.

Ils n'ont rien pipé à la mentalité de ces dictatures autocrates, corrompues, corruptrices, seul leur intérêt prime, enrichir leur caste et écraser tout ce qui leur résiste. Broyer, écrabouiller dans leur seul intérêt, et la célèbre phrase soi-disant attribuée à Lénine plus que jamais d'actualité:
« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons »

Trump dans une réunion avait fustigé et dénoncé les caïmans à la tête de la Russie et de la Chine, seul notre Chinois à nous, Raffarin le Chinois, se la racontait. J'aimerais savoir s'il sait dire seulement "il fait beau" dans cette langue, ils ont dû le cajoler cet ancien ministre de bazar qui aurait pu nous vendre pour un bol de riz sans s'en rendre compte.

Raffarino, en souvenir ce ces films en noir et blanc italiens, le Peppino de "L'argent de la vieille", roulé dans la farine notre grand sinophile.
Tu parles d'un aigle cet ancien Premier ministre, il nous a bien fait rire, aussi bon que Pépère et ses blagounettes à deux balles.

Quand aurons-nous enfin des Winston Volodymyr à la barre, mais surtout pas aux baguettes chinoises, elles ne sont pas faites pour nous.

bob

"Nous allons mettre l'économie de la Russie à genoux".
La nullité de Bruno Le Maire en une phrase.

Giuseppe

@ Claude Luçon | 24 avril 2023 à 21:16

C'est un peu vrai mais ça ne sert à rien, on le voit bien avec les Russes.
Ce qui compte et ça reste à prouver, si on recevait une bombinette sur le coin du pays, que feraient les autres ?

En attendant aide-toi et le ciel t'aidera, comme Winston Volodymyr, tout le reste est du vent. La vérité c'est celle que vivent les Ukrainiens... Ah oui, ils ne sont pas dans l'OTAN... Ouais... Ouais... Ça arrange tout le monde un peu. Courageux Ukrainiens. De mon côté c'est facile de le dire derrière un écran.

Au moins les masques sont tombés avec la Chine et la Russie, ils ont tout à prendre et rien à donner.

sylvain

@ Isabelle | 25 avril 2023 à 09:13
"https://www.touscontribuables.org/les-combats-de-contribuables-associes/association-d-aide-aux-migrants-equalis-finance-des-depenses-somptuaires-avec-l-argent-des-contribuables"

Comment voulez-vous que l'on déplie Zemmour si vous rajoutez votre grain de sel ?

Aliocha

Le nationalisme, c'est pas eux, c'est pas vous, c'est la guerre.

F68.10

@ sylvain
"L'Education nationale socialiste a toujours été sous le joug de profs bolcheviques."

Ma grand-mère, directrice d'école dans sa jeunesse, était gaulliste pur jus.
L'Education nationale n'a donc pas "toujours" été sous le joug de profs bolcheviques.

Le drame, en France, est que nous avons une éducation privée de nature semi-religieuse d'un côté, et une éducation publique soumise à tous les tabous de l'État. Personne ne veut en sortir, de ce faux choix imposé.

Quant aux profs, ils sont ce qu'ils sont. Si vous voulez des profs qui soient motivés initialement par autre chose que des idéologies de bons sentiments, donc autre chose que de profs "de gauche", il va falloir les payer un peu plus et libéraliser un peu le recrutement.

Nul besoin d'un concours et d'un statut de fonctionnaire pour enseigner. Un diplôme de pédagogie digne de ce nom, basé sur les connaissances les plus scientifiques possibles (i.e. les moins idéologiques possibles), en plus d'un diplôme dans une matière de prédilection à enseigner suffirait pour restreindre le vivier de profs autorisés à enseigner.

Ensuite, ils négocieraient leurs salaires avec le chef d'établissement. Et si l'État n'arrive pas à couvrir tout son territoire avec ce système, libre à l'État, aux régions, aux mairies et communes de mettre le fric sur la table pour garantir que l'éducation soit au rendez-vous. Ou pas.

Si vous pensez que l'éducation est trop chère, regardez le prix de la non-éducation.

C'est donc un choix.

Isabelle

Pour Bruno Le Maire, un problème de maths : "quoi qu'il en coûte" !
Où va notre argent ?

350 associations “de soutien aux migrants” ont reçu 750 millions de subventions en 2021. En 2021, près de 1 350 associations ont été subventionnées par l’Etat.

Dans un long rapport, les services de l’Etat pointent du doigt l’argent public dilapidé par certains dirigeants d’associations.

Rappel : l’association Equalisbest au coeur d’une tourmente liée au salaire et aux avantages en nature du directeur général Arthur Anane, entre son salaire et ses avantages, il totalisait 250 000 euros par an.

https://www.touscontribuables.org/les-combats-de-contribuables-associes/association-d-aide-aux-migrants-equalis-finance-des-depenses-somptuaires-avec-l-argent-des-contribuables

Michel Deluré

@ Tipaza 24/04/23 13:37

En fait, Henri Michaux n'avait pas une optique si différente puisqu'il ne fermait finalement pas la porte à toute tentative de correction par l'homme de ses défauts, de ses failles. Il souhaitait simplement que cela ne s'accomplisse pas hâtivement, « à la légère » comme il écrit.
Il était en cela par exemple différent de Montaigne qui se méfiait, lui, de toute tentative de changement par l'homme susceptible d'altérer son état naturel.

sylvain

L’économie de papa is dead, vive la nouvelle économie islamogauchiste Nupes ! 

Tout comme les écolos ont politisé l’eau, l’air et la météo, gauche et droite se disputent l’économie, or le seul vrai maître en économie, le seul dieu, c’est le carnet de commande, tout le monde l’a oublié mais on ne nous apprend pas ça dans nos camps de rééducation nationale socialiste.

L’économie vue par la gauche c’est : « salauds de riches ! » et basta.

Leur but diabolique c’est de créer un max de pauvres, leur seul électorat, avec dorénavant les grands cheptels arabo-africains de leurs circonscriptions.

L’Education nationale socialiste a toujours été sous le joug de profs bolcheviques, un véritable fléau socialo-communiste et aujourd’hui Macron et Pap Ndiaye la wokisent dans le but de l’anéantir.

Chacun doit comprendre que depuis 70 ans, les élèves de France reçoivent un lavage de cerveau intense par l’idéologie malsaine du marxisme et de profs attardés gauchistes soixante-huitards qui ont fait de la France l’un des derniers pays communistes de la planète.
 
Idolâtrie de l’État, apologie du marxisme, du communisme, lutte des classes, caricature de l’exploitation des salariés damnés de la terre en bleus de chauffe, voûtés sous les coups de fouet des nervis, caricature et haine de l’employeur et des patrons en haut de forme, queue de pie et cigare… et depuis peu l’avènement d’un parti dégénéré d’évadés de l’asile qui a pris la tête du pays, les Nupes et le wokisme gangrènent toute l’Éducation nationale et bientôt privée, donc en conséquence l’économie.
 
Il existe même des professeurs en économie socialiste, le summum de l’absurde.
 
Prof d’économie en France c’est être diplômé de marxisme et socialo-communisme et récemment option wokisme ; je rajouterai sans trop me tromper que nous connaîtrons bientôt une économie extrême gauchiste islamiste gérée par une religion d’Etat gauchiste coranique.

Des tapis de prières dans les couloirs et dans la cour de la Bourse, pourquoi pas ? On peut en voir dans d’autres institutions bien « orientées » et dans beaucoup de mairies très électoralistement islamisées, ne suivez pas mon regard !

N’oublions pas que la France sera bientôt dirigée par un conglomérat de Nupes et de communautés arabo-africaines woke LGBT ; ils ne pourront pas faire pire que BLM le blablateur lou ravi de la crèche du plus grand Titanic financier que notre pays aura connu.

Quand on assiste aux exploits de Darmanul à Mayotte, la risée du monde entier, d’humiliation en humiliation : refus d’accostage aux Comores, évacuation des bidonvilles annulée par un tribunal gauchiste, on peut dire que nous avons deux grosses pointures dans ce gouvernement, tant en maintien de l’ordre qu’en économie.

Aux dernières nouvelles, on n’a toujours pas réussi à déplier de rire notre Zemmour national.
BEN VOYONS !

Tipaza

J'ai un cerveau qui fonctionne bien mieux quand tout dort autour de lui, et qui me livre au petit matin la solution aux questions que je me suis posé la veille.

J'avais trouvé, hier, cocasse la photo du billet avec BLM en col roulé, dont il voulait faire l'emblème des économies d'énergies, en donnant l'exemple.

Et ce matin je me suis souvenu que BLM attachait au paraître un souci particulier, y compris à contre-temps, ce qui est la marque de ceux qui sont décalés en société, dans le mauvais sens.

Tout ça pour rappeler que BLM avait joué la jeunesse et le dynamisme lors de la primaire de la droite en 2016, venant au premier débat en chemise blanche SANS cravate, avec l'argument qu'il avait explicité clairement (!) de la jeunesse, du non conformisme (!!).
Il avait alors moins de quarante ans et se rêvait une carrière fulgurante comme la serait celle de Macron.

https://www.marianne.net/politique/debat-de-la-primaire-bruno-le-maire-un-dilemme-de-cravate

BLM en jeune et non conformiste, alors qu'à l'évidence cet homme est né raisonneur, le contraire de la jeunesse.

Bruno Le Maire voulait se détacher de son image de premier de classe, que lui a notamment collée Nicolas Sarkozy, qui le surnommait "bac +18".

Rappelons quand même que BLM a eu le prix de l'humour politique en 2016 pour cette affirmation, qui le valait bien :
"Mon intelligence est un obstacle".

https://www.youtube.com/watch?v=QRD7vY94JfQ

Quant à moi, je dirais plus modestement, mon sommeil est une aide précieuse. ;-)

Bill Noir

Mon cher Charoulet,

J'ai beaucoup aimé votre explication quasi sémantique du 24 avril à 19 h 33 tant vous vous êtes planté, montrant une ignorance crasse de la question.
Dans le doublon RN-FN ce n'est pas la transition des mots Front et Rassemblement qui fait problème mais le mot National !

Ce parti n'a rien à voir avec notre Nation, la France, mais avec une famille, les Le Pen, et seulement « eux » !
Le successeur actuel, l'honorable Bardella, est une sorte de Monsieur gendre…

Le Nationalisme, c'est pas eux !
C'est pas vous non plus !

Bien à vous

Achille

Bruno Le Maire est un ministre bien connu et reconnu. Mais il est des ministres plus discrets qui ne manquent pas de talent et de répartie.
Je citerai pour l’occasion la Ministre de la Culture ?
Elle s’appelle Rima Abdul-Malak. Elle est chrétienne d’origine libanaise. Une femme qui mérite que l’on retienne son nom car elle a montré un courage remarquable à la cérémonie des Molière, régulièrement émaillée par des incidents en provenance d’artistes qui aiment bien que l’on sache qu’ils sont de gauche.
Elle a recadré d’une façon magnifique deux comédiennes qui voulaient faire leur intéressante.

Sa réponse est quand même d’un autre niveau que celle des députés et militants de LFI qui n’ont d’autres arguments à proposer que celui qui consiste à taper sur des casseroles lors des dépalcements des ministres et du chef de l'État.
Il est vrai que le bruit d'une casserole que l'on frappe ne dépare pas vraiment des idées que ces gens défendent...

Claude Luçon

@ Patrice Charoulet | 24 avril 2023 à 19:33

À propos de Marine Le Pen :
Entre autres sans doute.
En 1984 elle entame, à 16 ans, une relation avec le chargé de communication de son père, Lorrain de Saint Affrique.
Tiens ! Tiens ! communication dès 16 ans !
En juin 1997, elle épouse Franck Chauffroy.
Divorcée en avril 2000, elle se remarie, en décembre 2002, avec Éric Lorio dont elle divorce en juin 2006.
À partir de 2009, elle a pour compagnon Louis Aliot, lui-même divorcé, Louis Aliot annonce leur séparation en septembre 2019.
Ah fidélité quand tu nous tiens !

Elle a six chats du Bengale et a acquis la formation nécessaire pour faire de l'élevage.
Elle ne savait pas comment établir de communication avec les chats il semble ?

Nous voici rassurés Patrice !
Elle connaît bien les hommes, ayant appris à communiquer avec eux dès son jeune âge et a en plus la formation nécessaire pour diriger des chats !

Ce qui devrait suffire pour diriger des bisounours !

caroff

J'ai lu Bruno Le Maire.
Une belle plume, un vrai talent. Pourquoi ne le met-il pas au service de son pays en prenant des mesures drastiques destinées à réduire la maladie infantile qui consiste à distribuer l'argent des autres ?
Moins de littérature et plus d'efficacité, Bruno !

Aliocha

On remarquera que le diable est partout, sauf chez soi.

https://www.youtube.com/watch?v=FxhbAGwEYGQ

Ni Bach ni Schubert n'ont empêché la Shoah.

Une chouquette au Saint-Nectaire ?

Savonarole

Toujours relire les grands auteurs… pour savoir ce qu’il vous arrive aujourd’hui…

@ stephane de 1h31
@ Mary Preud'homme

Pourtant dès 2013 je vous avais prévenus...

"C'est la grande mode parisienne. Se réclamer d'un héros du temps passé pour valider sa posture actuelle. Ben voyons...
- Le FN se réclame du Général de Gaulle,
- Mélenchon de Jaurès,
- Ségolène de la "Liberté conduisant le peuple",
- Fillon se réclame de l'inepte du siècle : Philippe Séguin, plus triste tu meurs,
- Hollande de Chirac, ça promet...
- Bruno Le Maire de Clausewitz, qu'il a lu de travers.
Bref, toute une bande de crétins qui n'ayant rien à proposer s'adossent à des mythes.
"Sergent ! Foutez-moi tout ça dehors !" (Joaquim Murat)
Rédigé par : Savonarole | 20 décembre 2013

"Avoir fait l'ENA vous assure pour la vie une carapace indestructible, un blindage façon AMX.
Voici Bruno Le Maire, qui se prend une avoinée étourdissante qui le laisse en culotte courte, avec du persil dans les narines comme sur l'étal du boucher, et il vient nous dire que le "combat continue"...
Ils sont indestructibles.
Si on avait eu quelques divisions d'énarques en juin 40, on aurait gagné la guerre".
Rédigé par : Savonarole | 20 novembre 2016 à 21:58

duvent

« ...Bruno Le Maire déclare qu’"il n'y a pas de vie accomplie sans reconnaissance de ses failles(...)une vie accomplie est une vie où l'on a reconnu et accepté ses failles que l'on a peut-être pu, par un moyen ou un autre, surmonter". (PB)

Bonté divine, c'est vrai ? Il a écrit ça ??
Ben, c'est fou comme c'est dingue !
Si j'écrivais aussi mal, et avec aussi peu d'esprit, je serais morte de faim, c'est certain !

Une vie accomplie, v'là au't chose !
Ça fout une pression, merd* alors !
Est-ce que je dois illico me chercher quelques failles à surmonter par un moyen ou une échelle ?
Mesdames, messieurs, où trouver une faille digne de ce nom ?

Bien entendu, il existe la faille que Rabelais connaît bien, et que par délicatesse je vais ignorer, il y a aussi des failles telles que la peur irraisonnée des rats.
Mince ! on me dit que ce n'est pas ce genre de faille qui inspire notre bon ministre...

Bon, moi, un jour, quand j'avais 18 ans, j'ai compris pourquoi Vatel s'était suicidé...
Oui, j'ai compris, parce que je venais de faire ma première tarte au citron, et que je l'avais ratée parfaitement, alors même que j'y avais mis tout mon cœur...

Ben, oui, j'ai senti comme une faille et j'ai eu envie d'en finir, et vite, d'ailleurs, je suis allée me baigner, et j'ai oublié... Ça compte comme surmontage de faille ?

Plus jamais je n'ai admis que Vatel avait un cerveau, je considère qu'il avait plus de palais...

Bref ! L'écriture c'est comme la musique, tout le monde peut faire du bruit, aligner des mots, quelques génies qui ressemblent à vous et à moi, agitent les cordes de l'arc-en-ciel et par une sorte d'alignement parfait, une illusion extravagante, alors un son, une image, tout droit sortis des limbes courent se loger au tréfonds de l'âme qui se met à vibrer comme une onde que l'univers tout entier ne peut contenir... et beaucoup d'autres vous donnent la gerbe.

Valéry

En même temps, Bach et Horowitz, ce n'est pas gagné - j’espère que Bruno Le Maire n'a pas construit son roman sur une synecdoque. Il a joué une seule œuvre originelle de Bach, les 5-6 autres dans son répertoire ne sont que des transcriptions lourdement chargées. Il était beaucoup trop romantique et tourmenté pour s'oublier, alors que la musique de Bach exige de la rationalité doublé d'une humilité et simplicité quasi religieuse.

Giuseppe

Grand Dadais est un immense prédicateur, il avait prévu la fin de l'inflation en 2022, alors que la tomate française flambe à près de 80 %!
Même si l'on pense que c'est un jeu de rôle avec Macron, on peut dire qu'il n'est pas un aigle, tous les diplômes du monde ne feront jamais un tireur d'élite et encore moins un meneur.

Il plaît à ceux qui sont habitués au confort feutré de fins de mois faciles, pour un entrepreneur c'est une "pipe", expression bien de chez nous quand le joueur de rugby rate le ballon immanquable, celui de la gagne, la passe au cordeau et l'essai entre les barres qui vous passe sous le nez.
Bruno aurait fait le bonheur des troisièmes mi-temps, mais pas celui des économes et de l'économie.

Il a trahi son camp, juste renié ses convictions pour durer en politique, se mettre sous le vent, se faire reluire, se la jouer modeste en le faisant bien savoir autour de lui, pensant sans aucun doute venir en sauveur plus tard. C'est un peu tôt pour en préjuger, mais il ne fait pas la maille, il sera rejeté à l'eau sans état d'âme, pas la bonne taille.

Il a un peu du général Trinquand, Bruno, qui n'omet jamais de préciser et de rappeler qu'il avait dit, qu'il savait... Après avoir émis bien sûr tous les spectres d'analyse possibles, lui aussi un oracle de Delphes dans toute sa splendeur.
Tous les deux me font penser à l'angle de croisement des soupapes, forcément à un moment donné celle d'échappement se ferme et celle d'admission s'ouvre.

Ils sont impayables quand on les suit d'un peu près, au hasard des nouvelles... Il est vrai que les chiromanciennes font fureur sur les chaînes d'info françaises.
Je suis stupéfait au passage de la pugnacité des pays de l'Est, ils n'ont peur de rien leurs dirigeants, et ne font pas dans le en même temps pourri.

Et pour finir il dira comme le commun, c'est son style, il dira que les propos de l'ambassadeur chinois est un dérapage, comme si dans un pays comme celui du sourire chacun pouvait émettre ses propres idées non téléguidées. Quand on a vu en plein congrès en Chine, l'ancien président sorti sans ménagement de cette assemblée tellement démocratique, dont le garde-à-vous est un élément de reconnaissance.

Claude Luçon

@ Giuseppe | 24 avril 2023 à 14:22

Oui mais nous sommes dotés ! Nous aussi nous l'avons la bombe !
Non mais !

Patrice Charoulet

Onze lecteurs du "Parisien/Aujourd'hui en France" ont posé toutes les questions qu'ils ont voulues au président Macron ce lundi 24 avril. Ces propos, publiés sur quatre pleines pages, abordent un grand nombre de sujets. Tous les commentaires que j'ai pu entendre à la télé comme à la radio n'ont pas relevé quelques mots que je tiens à relever pour ma part. Les voici : « Le Front national que je continue à appeler comme tel... ». Le chef de l'Etat ne donne pas ses raisons.

Or, il se trouve que je continue, moi aussi, à appeler ce parti « Front national » dans mes conversations politiques. Plusieurs fois, on a voulu me corriger en me faisant remarquer que j'ignorais le nouveau nom dudit parti. Je ne l'ignorais nullement. En revanche j'ignore les raisons du président. Voici les miennes.

La fille ayant succédé au père, elle a notamment souhaité donner à son parti une meilleure image.On la comprend un peu. Le Front national s'était en effet discrédité. Chacun se souvient d'abord des propos honteusement antisémites du père : c'est évidemment le pire de ce parti. D'autres taches étaient aussi à gommer ou à ripoliner. Un racisme à très large spectre . Des rencontres avec divers leaders d'extrême extrême droite, voire néo-nazis européens.
En changeant de nom, on a voulu tromper les électeurs français. Et on a merveilleusement réussi. Même si plusieurs observateurs politiques patentés, avec un bel ensemble, nous annoncent à l'envi que jamais Mme Le Pen ne pourra devenir chef(fe) de l'Etat, tous les chiffres nous indiquent une progression constante de cette formation politique au point que nul n'imagine Mme Le Pen absente du second tour. Enfin, à l'heure actuelle, hélas, cent fois hélas, nul ne voit qui pourrait la battre.

Toujours est-il que je continuerai, comme le président Macron, à parler de Front national, autrement dit d'un parti qui a eu honte de ses débuts, de son ADN, de ses caractères constitutifs, mais qui demeure, en prenant divers masques, à être un incontestable parti d'extrême droite.

genau

Énarque consommable, il devient auteur satisfait, que lui souhaiter de mieux ? Je tâcherai de me faire prêter son factum, sinon, j'attendrai de le trouver chez un bouquiniste, si la providence m'en laisse le temps.

La petite phrase citée dans le corps du billet (si je puis dire) ne m'incite pas, en outre, à parcourir les émotions spasmodiques, encore qu'on puisse évoquer à cet égard la célèbre sentence attribuée à Socrate: "Aussi grand que tu sois, tu devras toujours t'asseoir sur ton cul", décevante sur le plan critique et tautologique sur notre morphologie générale.

Enfin, le recours à Jean-Sébastien Bach, d'autres l'ont dit, me paraît peu opportun. D'abord parce que l'image d'Horowitz n'y fait pas penser et le pianiste n'a laissé aucun souvenir de ses interprétations du compositeur, ensuite parce que, profondément attaché à la Russie (il est né à Kiev), il n'aurait pas trouvé chez Bach une source. Puis, il était le diable en musique (selon Clara Haskil) et JSB n'avait que peu de rapports avec celui-ci.
Mais ça fait énarque cultivé qui a mal dormi.

Achille

« Vive Bruno Le Maire quoi qu'il m'en coûte ! »

Finalement, Philippe Bilger, nous sommes deux à apprécier le talent littéraire de Bruno Le Maire : vous et moi.
Ajoutons Michel Deluré qui l’apprécie du bout des dents.
Mais moi en tant que macronien, mon avis est donné à titre facultatif.
Ça risque de vous coûter l’apéro cette affaire ! 😊

stephane

Et dire que certains comptent sur Le Maire pour régler les problèmes qu'il a clairement contribué à créer.
Le Maire n'a de cesse de changer la donne.
Pour ma part Macron est largement le calibre au-dessus.
Alors pour moi, Le Maire c'est niet. Qui a trahi, trahira.
La palme de l'adaptation politique est toutefois à décerner à Catherine Vautrin.
N'est pas Georges Fenech qui veut.

Giuseppe

Cela me fait doucement rigoler quand on parle de la troisième voie de la France et de sa singularité dans le conflit en Ukraine.
On a vu l'écoute subtile du Cinglé envers Macron, on peut imaginer Grand Dadais et son courage de gendre idéal dire au Cinglé qu'il est un "butcher". Plus personne en France ne veut de ces types qui nous mènent à l'échec assuré.

Même les Pays baltes ont secoué l'ambassadeur de Chine avant nous. Nous ne pesons rien, 68 000 000 d'habitants, de la dette à ne plus quoi savoir quoi en faire et nos merveilles de canons Caesar aussi rares que la fortune sous les sabots d'un cheval.

On se fait plaisir en France, on se gargarise sur notre singularité, et notre voix "indépendante"... Tu parles ! On compte pour du beurre comme on comptait sur la photo à Yalta.

La Débâcle nous colle à la peau, les Ukrainiens font preuve d'un courage à la hauteur de Winston Volodymyr pour son magnifique pays.
Imaginez Grand Dadais en treillis satin... Une vraie rigolade, nos positions aujourd'hui sont celles de Munich, mal reçues, désastreuses, le en même temps de la défaite.

Biden et son soi-disant pas mal assuré, se permet de traiter l'autre fou de "butcher", sans les USA nous n'existons pas.
Et l'Ukraine si elle n'avait dû compter qu'avec l'Europe pour se sauver, aurait été asservie. Et comme c'est chacun pour soi pour la défense, en deux coups de canon du Cinglé le moteur aurait rendu l'âme.

Grand Dadais, nul en économie, un énarque de plus dans le paysage, alors que l'on a besoin de lutteurs, je n'ai pas envie de finir comme Marc Bloch à cause de ces types qui ne brassent que du vent.

Macron a passé son tour, il lui manque l'envergure des pays de l'Est de l'Europe, qui au lieu d'implorer une singularité, aspirent simplement à commander des armes.
C'est le seul langage auquel sont sensibles les Chinois, qui eux ont tout à prendre et rien à donner. Et l'autre ? le Cinglé, qui lui n'a plus rien à donner et qui bientôt va se faire prendre.

Grand Dadais aux manettes... On n'a pas fini de se moquer du côté du Volatile et d'autres en Europe, il ne lui manque plus qu'une blanchisseuse pour s'assurer que le pli de ses pantalons ne souffre pas d'un raté. Il continuera à écrire, c'est ce qui lui va le mieux, pour être président c'est l'étage au-dessus, la mousse en moins, la volonté en plus.

Jérôme

S'il est aussi doué en musique qu'en économie, il y a fort à parier qu'il confonde Bach et Richard Clayderman.

Xavier NEBOUT

Et moi qui croyais que le sujet était BLM voulant en mettre plein la vue avec un livre sur Horowitz. Dommage !

Tipaza

@ Michel Deluré | 24 avril 2023 à 11:49
"Ces faiblesses, ces failles, deviennent alors forces."

On peut aussi en avoir un autre point de vue.

"Avec tes défauts, pas de hâte. Ne va pas à la légère les corriger.
Que vas-tu mettre à la place ? "
Henri Michaux

Axelle D

Une taupe qui affectionne l'ombre et les nuances de gris, c'est d'un triste !
Des goûts et des couleurs et la fadeur avant toute chose...
On est hélas très loin de la magie, la luminosité et la virtuosité du contrepoint ! Et ce n'est pas en rameutant Bach que ça changera quelque chose et transformera l'artificiel en spirituel.

Robert Marchenoir

Au risque de passer pour un insupportable flagorneur, je dirais que vos réflexions, dans cet article, valent infiniment mieux que le bouquin de Monsieur le Ministre.

J'ai lu les premières pages mise à la disposition du public, sur son site, par l'éditeur, et c'est, comment dire... écrit avec les pieds. Le style est pénible et contourné, le récit est bourré de détails invraisemblables ou inutiles... mais enfin, comme c'est Bruno Le Maire, il a droit à la collection blanche chez Gallimard.

D'autre part, en tant que contribuable, je veux bien croire au QI stratosphérique et à la puissance de travail prodigieuse de l'auteur, mais comment peut-on être, à la fois, ministre et avoir le temps d'écrire un roman ? Que dis-je : plusieurs romans !

Que les politiciens écrivent des livres sur la politique, pourquoi pas : on sait bien qu'ils ont recours à des nègres. Mais un roman, ça ne se sous-traite pas, et cela exige du temps.

Je suis ravi que le ministre de l'Économie s'intéresse aux "failles" de Vladimir Horowitz, mais s'il pouvait consacrer 120 % de son temps à celles de la dépense publique, je préférerais. Si ça ne le dérange pas.

La France, le pays où tout le monde se mêle de faire le boulot des autres... pour éviter de faire le sien.

Au fait, Monsieur le ministre de l'Agriculture, combien mesure le côté d'un carré de un hectare ? Hein ? Je t'en ficherais, moi, des concerts de Horowitz à La Havane en 1949...

Michel Deluré

BLM possède incontestablement un talent littéraire. Son parcours et ses diplômes universitaires, qui doivent faire l'admiration de Patrice Charoulet, sont là pour en attester, au point même d'être surpris qu'il se retrouve aujourd'hui en charge d'un ministère plus tourné vers les chiffres que vers les lettres.

Les faiblesses, les failles, font partie intégrante de tout être humain, de sa personnalité. Rien ne sert de les reléguer dans les tréfonds de son être, de tenter d'en faire abstraction, comme s'il ne fallait surtout pas les montrer parce qu'honteuses.

Je pense au contraire qu'il est de loin préférable d'avoir conscience de leur présence, ne serait-ce que pour mieux nous attacher à les surmonter. Elles nous permettent alors d'avoir une meilleure connaissance de nous-mêmes, d'être mieux armés pour affronter la vie, de mieux faire face à l'adversité. Ces faiblesses, ces failles, deviennent alors forces.

Les errances du parcours politique de BLM m'inspirent cependant un jugement plus nuancé sur l'homme. Le propos suivant de Montaigne me paraît parfaitement convenir à son image : « Certes, c'est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant que l'homme. Il est malaisé d'y fonder jugement constant et uniforme ».

Isabelle

Bruno Le Maire, un littéraire ! Mazette !

Comme disait ma grand-mère : "il vaut mieux entendre ça que d'être sourd !"... Quoique.

Extrait du "littéraire" : "Je me laissais envahir par la chaleur du bain, la lumière de la lagune qui venait flotter sur les glaces de la porte, le savon de thé vert, et la main de Pauline qui me caressait doucement le sexe".

https://www.closermag.fr/politique/bruno-le-maire-ne-regrette-d-avoir-livre-des-details-sur-sa-vie-sexuelle-video-676405

Julien Gracq, un littéraire, là nous sommes d'accord.
Faut pas tout mélanger.

Serge HIREL

« Une vie accomplie est une vie où l'on a reconnu et accepté ses failles que l'on a peut-être pu, par un moyen ou un autre, surmonter. » (Bruno Le Maire)

...Une camomille et au dodo... Le sommeil viendra vite et sera paisible après la lecture d’une si belle sentence.
Bref, « L’homme sage apprend de ses erreurs »... BLM donne dans le plagiat de Confucius, excusez du peu, et de quelques autres penseurs qui, bien avant lui, ont exprimé cette magnifique évidence. Il est même une femme de lettres néerlandaise, Etty Hillesum, qui a écrit qu’il fallait se demander pardon de ses propres fautes... Une voix autrement plus puissante et plus autorisée que celle de « l’écrivain-ministre ». Elle, a été assassinée à Auschwitz, lui, est né dans les beaux quartiers, a obtenu une circonscription en or, vit dans les draps en satin de la République. La pire des avanies qui lui soit survenue est la fessée sonore que lui ont infligée les militants de LR lors de la primaire de la droite et du centre de 2016 (2,4 % des voix... ce qui, dans la course des « losers », le place juste avant Anne Hidalgo).

« Si j’aurais su, j’aurais pas venu », s’est pardonné le puéril ambitieux, qui n’a pas hésité bien longtemps à "surmonter" son échec : il s’est rallié sans hésitation à la nouvelle idole, a feint pendant plusieurs années la modestie, l’obéissance et l’acharnement au travail... Le voici aujourd’hui, port altier et oint du Saint Chrême, prêt à en découdre dans l’ombre avec d’autres prétendants au trône, qui, eux aussi, ont trahi leur camp et leurs électeurs. Il n’a plus qu’une seule hâte : recevoir l’onction de Jupiter qui, pour l’heure, s’amuse des combats feutrés de ses obligés.

Si, par une impossible adversité, il n’était pas l’Elu choisi par le Prince, si, faisant preuve d’une diabolique perversité, les Français le renvoyaient à ses penchants littéraires, il lui resterait une bouée de sauvetage : l’Académie française, où, tôt ou tard, c’est certain, le fauteuil d’un Immortel décédé sera à sa taille... Las, le plagiat et les plagiaires n’ont pas leur place quai Conti...

Exilé

« Ministre principalement de l’Économie et des Finances depuis plus de cinq ans. » (PB)

Si nous en croyons certains spécialistes en la matière, ce ne serait pas ce qu'il aurait fait de mieux dans sa vie.
Ne nous attardons pas non plus sur sa conception de la fidélité en politique.
Mais bien entendu, cela n'empêche en rien Philippe Bilger de trouver malgré tout en lui sur le plan humain des qualités ou une façon de voir les choses envers lesquelles il éprouverait quelques affinités.

Tipaza

"Il m'a toujours semblé que dans la psychologie des profondeurs, il n'existe pas de poison qui ne puisse être combattu et mis au service de sa santé." (PB)

Où l'on découvre ce que Philippe Bilger est jungien !
Une qualité supplémentaire, dont on pouvait se douter, à en juger par l'acceptation de la part d'ombre projetée par de multiples commentateurs et acceptée en relative sérénité pour la plus grande liberté d'expression. ;-)

Revenons à BLM, j'avoue ne pas aimer le personnage.
Il y a chez lui un côté fat et tellement imbu de sa supériorité, réelle par ailleurs, qu'il en devient insupportable de vanité agressive dans un débat politique.

Je me souviens, lors de la présidentielle, du débat avec Éric Zemmour, où il l'a interrompu en permanence ne le laissant terminer aucune phrase sous le regard goguenard de Léa Salamé, au point que Zemmour fut obligé de rappeler à celle-ci son rôle d'arbitre.

Ce jour-là, il ne fut pas capable d'intérioriser sa force, peut-être parce qu'il savait que face à Zemmour il n'était pas le plus fort.

Maintenant, au-delà de l'intelligence il y a la morale, et la façon dont il a trahi son camp, pour passer avec armes et bagages chez Macron, montre que moralement le personnage laisse à désirer, quand je dis désirer, c'est une façon de parler.

Un ambitieux, ce qui n'est pas nécessairement un défaut en politique, mais dont on se demande quelle est sa vraie marge de manoeuvre.
Il parle beaucoup de modération budgétaire et de contrôle des dépenses qui se sont envolées pourtant sous son ministère.
"Légère" contradiction entre l'analyse économique et la réalisation concrète due au fait que sa capacité d'autonomie est probablement proche de zéro.
Sauf si pour des raisons sondagières, le président lui donne l'illusion qu'il est en responsabilité des économies qui nous seront imposées d'ici peu.
S'il réussit, le mérite en reviendra au chef, sinon il sera le responsable de l'échec.

Il s'intéresse à la musique, c'est son bon côté, il faut bien qu'il y en ait un, et je partage avec lui le sentiment que de tous les arts la musique est celui qui nous entraîne le plus haut.

Horowitz est un personnage complexe, virtuose et à la personnalité un peu bipolaire pour employer une terminologie moderne, qui n'existait pas de son temps.
J'avoue que je ne me passionne pas pour ce genre de personnage, préférant des personnages plus en douceur et en souffrance comme Clara Haskil, de la même époque.

Un mot sur la photo, avec le gag du col roulé !
Ce col roulé qu'il nous a tant vanté caractérise le personnage, qui ne peut s'empêcher de faire le cabot.

Giuseppe

47 SECONDES POUR LE DIRE

Je m'en vais aller à contre-courant, oui, pourquoi ?! Oui pourquoi ?
Eh bien celui que j'ai déjà nommé ici Grand Dadais, sous des dehors faussement doctes, est un enfumeur de première.

https://leblogdenathaliemp.com/2020/04/18/cest-officiel-notre-ministre-de-leconomie-est-nul-en-economie/

"Sauf qu’en 47 petites secondes, c’est-à-dire la durée de l’extrait-vidéo ci-dessus, le ministre de l’Économie nous prouve surtout sans équivoque qu’il est triplement nul en économie :

En opposant épargne et investissement, il montre qu’il ne maîtrise pas du tout les notions d’emplois et de ressources ;

En parlant d’encours, puis ensuite d’encours brut comme s’il s’agissait de quelque chose de subtilement différent, alors qu’il parle en réalité de collecte nette mensuelle, il montre qu’il ne maîtrise pas plus les notions de flux et de stocks ;

En faisant une fixette à la fois sur le livret A et le LDDS et sur la collecte de mars 2020, il montre qu’il est incapable de la moindre vision globale pour interpréter ses chiffres – ce qui ne peut conduire qu’à des mesures gouvernementales au mieux absurdes et inutiles mais plus probablement absurdes et nuisibles."

Il a donc toutes les apparences qui font sérieux, mais dès que l'on gratte, le ramage n'est pas à la hauteur du plumage.
Au hasard j'ai entendu Hanounouille qui l'a même adoubé en tant que potentiel futur président... Tout un poème !

Grand Dadais a tous les traits de l'énarchie qui n'a vécu que de mandats. On voit où en est notre industrie, notre commerce extérieur, ministre à vie des couloirs de ministères dont il en a usé bien des moquettes.
Un vrai faux spécialiste en économie. Un rentier de la vie publique.
Ce qui lui sied bien:

"Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans 5 ans, faudrait qu'ils achètent du sable ailleurs." (Coluche)

Jamais un mot plus haut que l'autre Bruno, l'intonation creuse mais qu'il veut convaincante pour les nuls, il ne loupe jamais une occasion de se gargariser, adore se faire mousser avec toute l'humilité des types qui sont prêts à vous cracher dessus dès que vous avez le dos tourné.

S'il avait sauvé la France de la dette cela se saurait, il suffit de prendre toutes les périodes où il a été en poste dans les gouvernements, et d'en faire le ratio. Un vrai panier percé. Il nous coûte une fortune.

"C’est pourtant ce même ministre sans qualité qui piétine la liberté d’entreprendre, ruine nos comptes publics et prépare les faillites et le chômage de demain avec une bonne conscience qui n’appartient qu’aux cuistres et aux imbéciles. Ça promet."

Et en plus je devrais lire ses livres ?
Egratigné par le Volatile cher à Mongénéral qui le moquait en écrivant que notre puissant et bosseur Bruno trouvait même le temps d' écrire des livres. Sous-entendu peut-être pendant ses heures de travail, alors qu'il ferait mieux d'être à sa tâche, immense, et la dette sous son mandat qui a explosé de façon exponentielle.

Tu parles d'un futur président - nous en reparlerons -, au suivant !

"Il publie un roman, "Fugue américaine", autour de la figure du pianiste Vladimir Horowitz. Je ne l'ai pas encore lu mais le ferai d'autant plus que je partage son sentiment sur le caractère indépassable de la musique puisqu'il va jusqu'à soutenir que "les plus belles pages des plus grands auteurs s'effacent devant quelques mesures de Bach...""

C'est beau comme l'antique, ça brille clinquant, de la verroterie pour conquistadors, je pardonnerai comme Bach pourrait pardonner, ou plutôt si Bruno pouvait s'inspirer de Glenn Gould... Oui pourquoi ? Ce sera pour une autre fois.

Louis

Personnellement j’attends de ce ministre expérimenté qu’il nous évite une catastrophe financière ou au moins qu’il en réduise les conséquences, maintenant s’il écrit des bouquins ça devrait être son jardin secret au même titre que si dans son enfance il a été jouer à la lanterne. À ce sujet avez-vous lu « La garçonnière de la République » d'Emilie Lanez ? Vous y apprendrez l’histoire du chien des B… et ces personnalités qui découvrent l’effet des orties sur leur progéniture... Pensée pour le petit personnel...

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