La Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, est et a une personnalité très estimable et sincère. Jamais de sa vie professionnelle, comme journaliste ou en sa qualité de contrôleuse, elle n'a dérogé à une vision, à mon sens sulpicienne, de la délinquance et de la criminalité, plus préoccupée par les condamnés que par les victimes, considérant parfois les premiers comme d'authentiques victimes et les prisons tels des lieux dont on devrait pouvoir se passer dans la plupart des situations.
Pourtant, quand elle dénonce "l'inertie coupable" du pouvoir face à la surpopulation pénale et les atteintes à la dignité qui se multiplient, elle a raison. Mais le vice de son humanisme est qu'il ne s'attache jamais à prendre en compte ce dont notre société a besoin, l'augmentation des places d'enfermement, avec, en même temps, une action volontariste et inventive pour pallier les incuries évidentes, immédiates, les indécences objectives et les dégradations intolérables. Non pas parce qu'il faudrait s'apitoyer sur les détenus mais pour montrer que l'idéologie exclusivement compassionnelle ne résout rien.
Par honnêteté, je dois reconnaître que Dominique Simonnot, dans son intervention aux Vraies Voix du 12 mai sur Sud Radio, a mis en évidence deux points incontestables sur la politique pénitentiaire française. D'une part son caractère défaillant et parfois indigne par rapport à celui des grands pays européens et d'autre part le regret que cette surpopulation ne permette pas à la prison d'avoir des conséquences positives (travail, enseignement, soins et formation) sur la plupart des détenus.
Pour ma part il me semble important de souligner que cette surpopulation actuelle est en effet "la conséquence collatérale d'une politique inefficace" et qu'elle existe malgré le fait que la France, notamment depuis les présidences d'Emmanuel Macron, est de loin le pays qui a le plus usé de dispositifs et de lois pour se substituer à la prison, avec tout de même, à l'intérieur de celle-ci, 22 % d'étrangers (15 000) pour lesquels rien n'est prévu pour les éloigner du territoire (Le Figaro).
Je ne peux m'empêcher de relier "ce nouveau constat alarmant sur les conditions de détention" - le Monde sous la signature d'Abel Mestre le partage, adepte aussi évidemment d'une dénonciation anticarcérale, comme si face aux crimes on pouvait se passer de prison et se priver d'en construire de nouvelles -, de manière totalement contrastée, aux détresses et aux désespoirs de beaucoup de Français confrontés à des infractions qui se renouvellent et qui, face à la lenteur et à la médiocre fiabilité judiciaire, avouent sans gêne que dorénavant ils se feront justice eux-mêmes.
Je songe en particulier à un jeune entrepreneur, Anton Gisquet, à la tête depuis 2021 de Ride Concept, un magasin de trottinettes à Lyon, et qui a été victime de pas moins de cinq cambriolages, le dernier dans la soirée du 6 mai (CNews).
Il n'en peut plus. "La prochaine fois il n'appellera pas la police et ira jusqu'au bout... je suis prêt à aller à l'ombre, mon casier judiciaire est vierge et mon affaire tournera sans moi... j'en ai ras-le-bol, j'ai de la haine et ça ne passe pas avec les jours. Tant qu'on n'aura pas arrêté et jugé un cambrioleur, ils vont se dire que c'est facile de le faire ici. J'attends maintenant que la Justice fasse son travail...".
Dormant armé dans son magasin, Anton Gisquet veut alerter et obtenir de l'aide, du voisinage ou des commerçants proches.
Il déclare que lors d'un week-end de mai, il a réussi à arrêter un homme dans le quartier correspondant aux images de vidéosurveillance des deux derniers cambriolages. "J'ai la certitude que c'est lui, il n'était même pas masqué"... Il a été interpellé et placé en garde à vue mais il a été relâché faute de preuves, il a un gros casier, c'est un multirécidiviste pourtant... je dois faire ma propre enquête pour apporter des preuves".
Que de détresses et de colères comparables dans la France dont il est, sans le vouloir, le porte-parole !
Un magistrat de l'USM souligne qu'il faut du temps pour une enquête car sinon le tribunal correctionnel pourrait relaxer et que cela aigrirait encore davantage la victime ! Certes !
Mais quand l'infraction est clairement établie et que la rapidité judiciaire devrait être la conséquence ? Le paradoxe est que face à la surabondance des délits, on se réfugie dans une sorte d'accablement ; on préfère faire traîner par scrupule ou par découragement plutôt que de poursuivre et condamner. Le laxisme est souvent moins dans la modération de la sanction que dans sa survenue, trop longtemps après, décalée, atténuée, presque dérisoire...
On est en train de perdre les citoyens, qui croient de moins en moins aux forces régaliennes censées les protéger. Le résultat si néfaste pour la tranquillité publique est qu'on hésite de moins en moins à se passer d'elles pour faire sa propre justice avec les risques, les périls et l'injustice parfois qui pourraient en résulter...
Est-ce cela que l'on veut dans notre République ?
Alors s'il faut choisir, puisque, paraît-il, la France est incapable à la fois de rigueur et d'un humanisme vrai, s'il convient d'arbitrer entre une Contrôleuse vigilante pour sa seule cause et une répression enfin efficace, je n'hésite pas une seconde. Le paradoxe est qu'on nomme pour ces postes des personnalités déjà systématiquement miséricordieuses, ce qui crée une redondance institutionnelle dans l'esprit, alors qu'on devrait procéder à l'inverse : nommer des réalistes pour que cette fonction ne soit pas une opportunité de faiblesse supplémentaire.
Celui qui m'importe est Anton Gisquet. Qu'il réfrène ses pulsions que je peux comprendre mais que je n'approuve pas. Mais de grâce qu'on ne lui rende pas le civisme trop insupportable !
Contrôler soit mais surtout consoler les détresses du peuple, guérir ses plaies et condamner ses offenseurs !
@ Antoine Marquet | 16 mai 2023 à 13:40
Merci pour vos précisions concernant la CILA et sa dissolution, j'ai commis une erreur sur le nom de son dernier lieu de stationnement à proximité de Djibouti (Obock et non Arta) et le nom du ministre de la Défense lors de sa dissolution.
Je n'ai jamais servi à cette CILA, seulement contribué à y expédier quelques appelés "indésirables" (deux ou trois) du 1er RCP. Raison pour laquelle je connaissais son nom, et non son lieu exact de stationnement : ma mémoire est faillible 55 ans après les faits…
Rédigé par : Trekker | 17 mai 2023 à 02:27
@ Achille | 16 mai 2023 à 21:40
« Mais il est vrai que l’on lit et entend beaucoup de bêtises sur la Légion... »
Bref, Achille, vous n’êtes, comme d’hab’, qu’une malheureuse victime des médias... Que le monde serait plus radieux s’ils n’existaient pas !
Rédigé par : Serge HIREL | 16 mai 2023 à 22:51
@ Antoine Marquet | 16 mai 2023 à 21:14
Je vous renvoie à mon commentaire Achille | 16 mai 2023 à 16:54, destiné à Marcel P dans lequel je reconnais ma méprise. J’ai beaucoup de respect pour la Légion étrangère qui s’est distinguée en maintes occasions dans des opérations dangereuses.
Mais il est vrai que l’on lit et entend beaucoup de bêtises sur la Légion, même parfois sur des sites considérés comme sérieux.
Rédigé par : Achille | 16 mai 2023 à 21:40
@ Achille
Non Monsieur ! J'ignore par qui "vous vous êtes laissé dire que la Légion acceptait en son sein des personnages dont le casier judiciaire était particulièrement chargé et dont elle prenait soin d’effacer tous les crimes et délits", mais je refuse fermement une telle argumentation mensongère!
Depuis de très nombreuses décennies; la Légion n'accepte pas dans ses rangs quiconque aurait commis des délits allant au-delà du non paiement de pensions alimentaires, de délicatesse avec le Service des Impôts, du vol d'une "mobylette"...
Son recrutement est excédentaire dans la mesure où elle ne conserve qu'un candidat pour au moins dix qui se présentent dans un bureau de recrutement. Le désir d'aventure, le dépit amoureux, vouloir échapper à la médiocrité ambiante, continuent d'être de puissants moteurs d'engagement. Comment, par quel tour de magie, ce corps militaire réussirait-il à effacer un casier judiciaire ?
Vous rêvez cher Achille. Vous êtes resté bloqué au film "Beau Geste", ou "La chevauchée de la gloire", ou encore "La Légion du Sahara" ou dans le comique troupier "Les deux Légionnaires" avec Laurel et Hardy...
Mais je ne vous en veux pas. La Légion... beaucoup en parlent... peu la connaissent.
Rédigé par : Antoine Marquet | 16 mai 2023 à 21:14
@ Marcel P | 16 mai 2023 à 14:00
« Vous vous êtes laissé dire ou bien vous reprenez à votre compte les élucubrations déjà lues dans les commentaires de ce blog. »
Je ne sais plus où j’ai lu ou entendu cela mais si c’est faux, j’en prends acte. Tout le monde peut être abusé par des affirmations infondées. Ce n’est pas grave.
À ce sujet j’ai trouvé un article intéressant dans Ouest-France.
Il y est dit notamment, je cite : "Les criminels de sang, les criminels sexuels et les trafiquants de drogues sont exclus des recrutements. Même si le postulant a payé sa dette ! C'est un mythe de penser que l'on peut avoir tué quelqu'un et être engagé dans la Légion. Par contre, l'entrée à la Légion permet à des gens bousculés par la vie et qui veulent oublier leur passé d'avoir une seconde chance. D'une certaine façon, la France remplit son rôle de patrie des droits de l'Homme."
Il faut se méfier des mythes errants...
Rédigé par : Achille | 16 mai 2023 à 16:54
@ Achille
« Je ne suis pas un expert de la Légion étrangère, mais je me suis laissé dire qu’elle acceptait en son sein des personnages dont le casier judiciaire était particulièrement chargé et dont elle prenait soin d’effacer tous les crimes et délits »
Vous vous êtes laissé dire ou bien vous reprenez à votre compte les élucubrations déjà lues dans les commentaires de ce blog https://www.philippebilger.com/blog/2023/02/vaincre-ou-mourir-une-%C3%A9pop%C3%A9e-vend%C3%A9enne.html ?
Vous écrivez, sur le blog d'un magistrat, que l'armée aurait le pouvoir d'altérer le contenu des fichiers judiciaires. Ne pensez-vous pas qu'il serait bon parfois, avant d'affirmer, de raisonner et, a minima, de vous informer ?
Non, pas plus que l'armée ne peut trafiquer des fichiers judiciaires, la Légion n'accepte en son sein des personnages au casier judiciaire particulièrement chargé.
Et on n'envoie pas des gens à la Légion étrangère. Ce qu'on demande au légionnaire suppose une démarche personnelle avant tout. Justement parce que ce qu'on attend du légionnaire, ce ne sont pas des saloperies comme candidat à une nouvelle Carlingue, ou bande des tractions avant, etc.
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@ sylvain
« Que pense notre sublissime Défenseur(e) des droits de cette dictature LGBT qui s’infiltre insidieusement et dangereusement dans toutes nos institutions (...) Evidemment, bien entendu, ça coule de source, les méchants ce sont Xi, Poutine, Orban, Zemmour, Le Pen, l’ultra drouaaaate, on est bien d’accord, BEN VOYONS ! »
Facile. Elle dit que c'est un non-sujet qui n'intéresse que les déséquilibrés qui se masturbent sur la dictature communiste chinoise, l'impérialiste moscovite au référentiel bolchevique, etc.
Sylvain, c'est exactement ce qu'on imaginerait d'un mec payé pour saper toute crédibilité à Zemmour, en associant systématiquement son nom à tous les détritus du présent.
Rédigé par : Marcel P | 16 mai 2023 à 14:00
@ Achille
Je ne vous ai pas donné satisfaction au sujet de Camerone, mais je pense que vous avez saisi l'essence même de ce corps... Dans ce cas comment voudriez-vous transformer les légionnaires en une sorte de "gardes-chiourme" ?
Pour Camerone, juste deux choses :
1 - le civil qui s'engage, sans même, dans certains cas révéler son identité (cf article 7 rédigé par le Maréchal Soult, ministre de la Guerre de Louis-Philippe, dans le décret d'application de la loi créant la Légion, qui ouvrait de facto un droit d'asile) engage sa parole de servir avec honneur et fidélité. C'est l'unique "dot" qu'il apporte dans ce mariage avec la France.
2 - L'incompétence du colonel Milan, commandant les troupes mexicaines, est criante ! Disposant de 2 000 hommes, que n'a-t-il laissé deux ou trois cents s'occuper de la compagnie Danjou et avec le gros de sa troupe attaqué le convoi qui était son objectif initial ? Le sort de ce convoi et celui des troupes françaises assiégeant Puebla aurait été tout autre...
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@ Trekker
La CILA, compagnie d'infanterie légère d'Afrique, héritière du 3e bataillon du même nom, a fait mouvement en 1967 de Mers el-Kébir vers Obock, dans le nord de la côte française des Somalis, devenue TFAI (Territoire Français des Afars et des Issas) et enfin, le 27 juin 1977 République de Djibouti.
La CILA a été dissoute à Obock le 31 mars 1972. J'y étais - non comme personnel de la compagnie au scorpion mais comme membre de la 13e DBLE (où Pierre Messmer avait servi pendant la 2e Guerre mondiale)- et je connaissais son dernier capitaine.
Pierre Messmer a été ministre de la Défense de 59 à 69 et Premier ministre à partir de juillet 1972. Lors de la dissolution de la CILA le Premier ministre était Jacques Chaban-Delmas.
Rédigé par : Antoine Marquet | 16 mai 2023 à 13:40
@ Serge HIREL | 16 mai 2023 à 12:10
Je ne suis pas un expert de la Légion étrangère, mais je me suis laissé dire qu’elle acceptait en son sein des personnages dont le casier judiciaire était particulièrement chargé et dont elle prenait soin d’effacer tous les crimes et délits. À charge bien sûr pour les nouveaux impétrants de faire preuve de courage quand la situation l’exigeait. Qualité rare de nos jours, surtout chez les petits délinquants...
Rédigé par : Achille | 16 mai 2023 à 13:01
@ Achille | 16 mai 2023 à 08:49
« La solution serait peut-être d’envoyer ces délinquants totalement désocialisés dans la Légion étrangère. »
Non, Achille, aucun n’a compris, n’a envie de comprendre, ne peut comprendre le sens du mot « patrie ». Inutile de polluer un corps exemplaire en y introduisant des éléments étrangers qui, jamais, ne respecteront sa devise : « Honneur et Fidélité ».
En revanche, il serait probablement efficace et salutaire d’envoyer quelques escouades de sapeurs nettoyer les caves des « territoires perdus »... à la hache et sans pitié. Ils pourraient même se fondre dans la foule et agir par surprise... Ils sont barbus...
Rédigé par : Serge HIREL | 16 mai 2023 à 12:10
« L'ironie du système était de produire des générations de truands chevronnés, ou dans le meilleur des cas des épaves promises à la pire des clochardisations »
Finalement Tataouine ou la prison, le résultat est sensiblement le même.
La solution serait peut-être d’envoyer ces délinquants totalement désocialisés dans la Légion étrangère.
Le billet consacré à Camerone nous a montré que cette unité d’élite était capable d’en faire des héros…
Rédigé par : Achille | 16 mai 2023 à 08:49
@ Trekker | 15 mai 2023 à 18:42
Les Apaches, les voyous qui terrorisaient les bourgeois parisiens dans les années 1900 couteau en main et qui ont été combattus par Clemenceau, ont souvent été envoyés dans les "Bat'dAf" d'où très peu sont revenus vivants de la guerre de 1914-1918.
Rédigé par : Exilé | 15 mai 2023 à 21:00
Parmi les bizarreries judiciaires que notre époque semble produire à tire-larigot, indiquons la mésaventure arrivée à un chef d'entreprise qui, ayant trouvé trois cambrioleurs chez lui et en ayant immobilisé un en attente de la police, a été condamné à deux ans de prison avec sursis pour « séquestration » (Boulevard Voltaire).
Et pourtant, voici ce que dit le Code Pénal :
« Article 73
Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche. »
Voilà qui nous rappelle la triste affaire Gruarin :
http://www.site.louis-melennec.fr/affaire_gruarin.htm
Alors comment ne pas comprendre que les Français qui étaient persuadés d'agir strictement selon les lois les plus élémentaires et qui se le voient plus que sévèrement reprocher par des décisions de justice incompréhensibles alors que parfois ils auraient pu s'attendre à avoir été félicités, ne soient pas obligés de perdre totalement confiance envers les lois et ceux qui sont supposés les appliquer dans leur lettre et dans leur esprit ?
Rédigé par : Exilé | 15 mai 2023 à 18:54
@ Achille le 13 mai 2023 à 20:54
"Il fut une époque déjà lointaine, il est vrai, où les jeunes délinquants étaient envoyés dans les Bataillons d’Afrique (les Bat’d’Af) comme ils étaient appelés. Je me demande si un petit séjour à Tataouine ne serait pas la solution la plus appropriée pour aider ces petits caïds de quartier, dépourvus de tout repères, à acquérir les vraies valeurs de notre société : respect, discipline et éventuellement goût du travail"
Pour préconiser la création des Bat'dAf, vos devez mal connaître quels étaient leur réalité et leur résultat final !
Dans les années 30 à 50, le tiers voire la moitié des jeunes délinquants qui y étaient incorporés à leur sortie se muaient en de redoutables gangsters-tueurs. Exemples : Jo Attia, Pierre Loutrel dit Pierrot le Fou, Georges Boucheseiche, Abel Danos, Courtois, etc. tous étaient des ex "Joyeux" qui s'étaient connus et liés à Tataouine.
L'ironie du système était de produire des générations de truands chevronnés, ou dans le meilleur des cas des épaves promises à la pire des clochardisations. Seuls les durs, les impitoyables, résistaient au régime des pires brimades qui avaient cours dans ces "Bat'dAf", dont l'encadrement était composé des pires sous-officiers et caporaux-chefs de l'armée de métier qui y servaient à titre disciplinaire... Les officiers, généralement issus de la Légion étrangère, fermaient les yeux sur le comportement de cet encadrement...
Un régime de détention calqué sur celui japonais, serait certainement plus efficace que le nôtre et celui des ex-"Bat'dAf"...
PS 1 : pour en savoir plus sur ces "Joyeux" des "Bat'dAf", je vous conseille de lire "Joyeux, fais ton fourbi" publié en 1947 par Julien Blanc. Ainsi que le chapitre "Pierrot le Fou ou les lendemains qui flinguent" dans "Les Grands Criminels", par Alphonse Boudard, 1989, chez Le Pré aux Clercs.
PS 2 : à la fin de la guerre d'Algérie il n'existait plus qu'un "Bat'dAf" au sein de l'armée ; il était chargé de surveiller et sécuriser les sites d'essais atomiques. En 1962 il fut réduit à une grosse compagnie, et celle-ci fut basée au nord de Djibouti, à Arta. Elle fut dissoute par Pierre Messmer au début des années 1970.
Rédigé par : Trekker | 15 mai 2023 à 18:42
@ sylvain | 15 mai 2023 à 08:24
Correction :)
"Evidemment, bien entendu, ça coule de source, les méchants ce sont Xi, Poutine, Orban, Zemmour, Le Pen, et Sylvain, l’ultra drouaaaate, on est bien d’accord,
BEN VOYONS !" (sylvain)
BEN SÛR !
Rédigé par : Claude Luçon | 15 mai 2023 à 13:56
Que pense notre sublissime Défenseur(e) des droits de cette dictature LGBT qui s’infiltre insidieusement et dangereusement dans toutes nos institutions :
L’EN et ces sectes LGBT qui viennent détruire la sexualité des enfants dès leur plus jeune âge dans les écoles ?
Cette même secte qui ordonne aux footeux de porter un maillot contre l’homophobie ? Des sanctions seront prévues contre ceux qui refusent, c’est hallucinant, on marche sur la tête dans ce pays.
Que va donc faire notre Défenseure des droits ? Ben rien !
Va-t-elle défendre les LGBT ou les footeux ?
Va-t-elle demander la protection des enfants contre cette horreur qui s’impose dans les écoles et menace les responsables de les attaquer en justice pour homophobie s’ils refusent de les recevoir ?
La réponse est : non, niet, nada !
Sa mission est de protéger les délinquants et criminels, on l’a déjà dit mais aussi le wokisme progressiste racialiste indigéniste raciste anti-Blancs anti-France LGBT prévu dans le programme macronien de destruction de notre pays et de son peuple sur ordre de l’UE.
Si elle défendait les enfants et les footeux réfractaires à ces dictatures, elle serait virée manu militari et donc devrait quitter ce poste inutile grassement rémunéré ; ce serait ballot n’est-ce pas ?
À noter aussi les propos nauséabonds de Darmanul, haineux contre l’ultra droite qui ne commet ni délits ni casses ni incendies comme les protégés macroniens nupes antifanazis fachos d’ultra gauche connus et reconnus qui exercent leurs talents criminels inlassablement toutes les semaines depuis des années en toute impunité et complicité des juges rouges SM mur des cons et... des Défenseurs de droits.
Au fait, qui a dit que la France ne deviendrait jamais un califat islamique ?
Qui a dit que la France ne deviendrait jamais comme les USA et le Mexique concernant les trafics de drogue ?
Raté ! La France est bel et bien devenue une zone coupe-gorge criminelle colonie islamique et un cartel mondial de la drogue, suffit d´enlever les oeillères idéologiques de gauche pour voir les images et ôter les boules Quiès pour entendre les bruits de kalach.
Bravo les veaux !
Evidemment, bien entendu, ça coule de source, les méchants ce sont Xi, Poutine, Orban, Zemmour, Le Pen, l’ultra drouaaaate, on est bien d’accord, BEN VOYONS !
Rédigé par : sylvain | 15 mai 2023 à 08:24
@ Vamonos | 14 mai 2023 à 17:20
"Le drame est qu'il faudrait élire Zemmour à la présidence…" (CL)
Drame ! Faudrait !
Mais si ça arrivait, je retourne au Nigeria !
De toute façon c'était de ma part une supposition impossible, chacun sait que la France est une colonie belge !
Un certain Johnny... :)
..
Rédigé par : Claude Luçon | 15 mai 2023 à 00:32
@ Serge HIREL
"Comment peut-on soutenir une telle proposition si l’on est un citoyen normal, qui considère que la prison est un lieu de détention qui permet de protéger la société des méfaits des criminels et des délinquants ? Les personnes handicapées accueillies dans les Ehpad sont-elles, elles aussi, des malfrats que l’on est parvenu à identifier, à arrêter, à condamner, à enchrister ? Les infirmiers et les aides-soignants des Ehpad sont-ils des gardiens qu’il convient de contrôler sur le même mode que leurs « collègues » des maisons d’arrêt ?"
Les personnes accueillies dans les Ehpad sont encore moins considérées par leurs "gardiens" que les transgresseurs par le personnel des prisons, et c'est "humain trop humain".
Les méchants font peur, les faibles ne provoquent même pas la pitié mais le mépris.
Il est urgent de détecter les abus avec ce qu'on a au lieu d'attendre ce qu'on n'aura JAMAIS.
Et à preuve : qu'a-t-on vu après le dernier scandale ? rien.
Rien au niveau de l'Etat, pas de mouvement de solidarité non plus avec nos aînés : mieux vaut être un immigré musulman, à savoir quelqu'un qu'on peut soupçonner de rendre le mal pour le bien, vu que ça arrive souvent, que de s’avérer un pauvre vieux pas assez exotique.
Des principes plus décoratifs qu'autre chose, et le mépris pour "ceux qui ne sont rien" car désinvestis de l'avenir par une vie déclinante et une société qui les retirent de la circulation, telles sont les causes du fait qu'on se désinvestit complètement du sort des plus âgés.
Sauf quand il s'agit de faire la comédie des principes... Alors là, pour aller contre l'euthanasie, ou carrément, le suicide, il y aura toujours foule ! Mais pas pour permettre aux gens d'anticiper le pire, désabonnés de la vie dès lors qu'elle n'a à leur offrir que la caricature de ce qu'elle a été.
Rédigé par : Lodi | 14 mai 2023 à 23:10
Comme je ne comprends pas, par culture insuffisante, ce qu'est une vision sulpicienne, j'ai demandé à une artificielle intelligence (Chat GPT3). Et je ne suis pas plus avancé ! Un supplice.
Je cite :
"— Moi:
Que signifie une vision sulpicienne ?
— ChatGPT
La vision sulpicienne fait référence à une approche ou à une perspective inspirée par les idées et les principes de l'ordre religieux des Sulpiciens, également connu sous le nom de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice. Les Sulpiciens sont une congrégation catholique fondée au XVIIe siècle par Jean-Jacques Olier, un prêtre français.
La vision sulpicienne met l'accent sur l'éducation, la formation des prêtres et l'accompagnement spirituel. Elle souligne l'importance de la piété personnelle, de la discipline spirituelle et de la connaissance théologique. Les Sulpiciens ont joué un rôle majeur dans la formation du clergé catholique et ont promu des valeurs telles que la fidélité à l'Église, l'étude approfondie de la théologie et la pastorale.
Ainsi, une vision sulpicienne se réfère généralement à une approche éducative et spirituelle qui met l'accent sur la formation rigoureuse des prêtres, la spiritualité profonde et le service pastoral engagé. C'est une approche qui valorise l'étude, la réflexion théologique et la vie de prière dans le but de former des leaders religieux compétents et bien ancrés dans leur foi.
— Moi
C'est sûr ? Il n'y a pas un sens plus commun ?
— ChatGPT
Je m'excuse pour la confusion. En dehors du contexte spécifique de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, il n'existe pas de sens plus commun ou largement reconnu pour le terme "vision sulpicienne". Le terme peut être utilisé dans d'autres domaines ou contextes spécifiques, mais cela nécessiterait une explication ou un contexte supplémentaire pour comprendre son sens précis. Sans plus de détails sur le contexte dans lequel vous avez rencontré cette expression, il est difficile de fournir une réponse plus précise."
Rédigé par : Sergio Carioca | 14 mai 2023 à 22:04
Les finances publiques sont dans le rouge le plus vif. Notamment à cause du poids excessif de la fonction publique. Pourquoi faut-il, en sus des administrations traditionnelles, créer des organes de contrôle, de consultation, à objet fumeux ? Les corps constitués ne sont pas fichus de s'autocontrôler ? Où est le sens du service public ? Prenons exemple sur la police qui a créé en son sein l'IGS. Et laissons l'autorité de justice faire son office.
Rédigé par : Solon | 14 mai 2023 à 21:25
Et les victimes dans tout ça ? Les familles détruites à jamais, la justice traditionnelle s'en occupe-t-elle vraiment ou préfère-t-elle continuer à s'apitoyer sur le sort des délinquants récidivistes aux casiers judiciaires multiples et des criminels de sang pour lesquels cette même justice privilégie un bilan de santé mentale demandé à deux ou trois experts psychiatres, souvent en contradiction, avant d'ouvrir ou pas un procès après plusieurs années même quand toutes les preuves sont établies et sont sur la table ?
Dans ce cas, qui est en droit de se substituer à la justice quand la justice ne remplit pas son rôle et fait ressortir les dangereux prisonniers avant l'heure sans prévenir les familles et les voisins pour les protéger ?
À ne pas manquer. En lien au même sujet, je vous envoie une histoire vraie reprise dans ce film. Intéressant de savoir ce que pensent les commentateurs après l'avoir vu (1h36)
https://www.youtube.com/watch?v=vBmCLcE5xWk
Bonne soirée.
Rédigé par : Ellen | 14 mai 2023 à 21:13
Je réalise que vous aviez voté Macron...
Excusez-moi.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 14 mai 2023 à 21:07
@ Axelle D | 14 mai 2023 à 15:51
« Voilà un projet [le contrôle des Ehpad par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté] qui s'imposait et aurait été rassembleur, mais, hélas, il demeura lettre morte. »
Fort heureusement ! Comment peut-on soutenir une telle proposition si l’on est un citoyen normal, qui considère que la prison est un lieu de détention qui permet de protéger la société des méfaits des criminels et des délinquants ? Les personnes handicapées accueillies dans les Ehpad sont-elles, elles aussi, des malfrats que l’on est parvenu à identifier, à arrêter, à condamner, à enchrister ? Les infirmiers et les aides-soignants des Ehpad sont-ils des gardiens qu’il convient de contrôler sur le même mode que leurs « collègues » des maisons d’arrêt ?
Bien sûr, si comme les Contrôleurs successifs des lieux de privation de liberté, on estime que la prison doit être un endroit où le condamné a droit à tous les égards, si l’on promeut le concept de prison-club de vacances, avec piste de karting, jeux de société, locaux privatifs... et sans obligation de travailler, on peut imaginer une confusion dans l’esprit de certains entre ce que serait une telle taule et ce que doit être un lieu d’hébergement de personnes dépendantes...
Que les Ehpad soient contrôlés plus sévèrement que ce n’était le cas avant la récente découverte de comportements inadmissibles vis-à-vis des pensionnaires, comportements qui sont le fait des directions bien plus que des personnels, cela ne fait aucun doute. Mais il serait scandaleux - le mot me paraît faible - qu’ils le soient par cette « autorité », ce qui reviendrait à admettre officiellement que les Ehpad sont des prisons...
Rédigé par : Serge HIREL | 14 mai 2023 à 20:47
@ Axelle D | 14 mai 2023 à 15:51
Une bonne idée qui devrait faire consensus dans tous les partis, à mon avis.
Rédigé par : Lodi | 14 mai 2023 à 17:56
@ Claude Luçon | 14 mai 2023 à 14:33
« On pourrait peut-être faire la guerre à la Belgique et au Luxembourg et envoyer tous nos taulards au combat ? (...) Le drame est qu'il faudrait élire Zemmour à la présidence, Macron n'aurait jamais le culot ! »
Belgique et Luxembourg, trop risqué, Andorre et Monaco à la rigueur.
Le drame est qu‘il faudrait voter Zemmour, vous dites ?? Ce ne serait pas un drame mais une nécessité, une urgence !
Rédigé par : sylvain | 14 mai 2023 à 17:40
@ Claude Luçon | 14 mai 2023 à 14:33
Après le retraité normand qui a déserté la droite pour aller chez les socialistes et autres tatoués révoltés, voici le retraité beauceron qui envisage de faire élire un illuminé d’extrême droite pour casser les vieux canons avec de la chair de repris de justice. Pauvre France, elle est prête à descendre bien bas pour faire tourner ses usines d’armement.
Rédigé par : Vamonos | 14 mai 2023 à 17:20
@ Serge HIREL | 14 mai 2023 à 14:43
« À première vue le document est intéressant... Mais, dès les premières lignes, on s’aperçoit que les données datent de 2016 (donc + 4 % sur sept ans...) »
Si vous regardez bien la date de parution de l’article, il date du 28 décembre 2022 à 12h51, modifié le 28 décembre 2022 à 14h42. C’est la première ligne de l’article…
Il date donc de six mois. Par ailleurs la source est le journal Le Monde qui est plutôt un journal sérieux, me semble-t-il, même si aujourd'hui il n’a plus la réputation qui était la sienne voici encore une dizaine d’années...
Rédigé par : Achille | 14 mai 2023 à 16:02
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté de 2008 à 2014, Jean-Marie Delarue, avait déposé en mai 2012 un avant-projet de loi auprès de Matignon, afin que sa compétence soit étendue aux établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Voilà un projet qui s'imposait et aurait été rassembleur mais hélas il demeura lettre morte.
Rédigé par : Axelle D | 14 mai 2023 à 15:51
S’il est une institution de la République dont celle-ci pourrait se passer sans problème, c’est bien celle-là ! Redondante, inutile et malfaisante. Depuis sa création par la loi du 30 octobre 2007 - merci Sarko ! - pour se soumettre à je ne sais quel diktat onusien visant à éradiquer la torture et les traitements inhumains - la France, c’est connu, est coutumière de ce genre de comportement... -, trois présidents se sont succédé à la tête de cette « autorité administrative indépendante », tous trois gauchistes patentés, tous trois scrupuleux jusqu’à l’extrême quant au respect de la neutralité, pierre angulaire supposée de ce type d’organismes qui pullulent dans notre belle démocratie. D’évidence, aucun des trois n’a compris que leur indépendance s’étend jusqu’à la mise en veilleuse de leur idéologie favorite...
En fait, le CGLPL, qui dispose d’un budget annuel de plus de 5 millions d’euros, ne sert à rien. Il doublonne l’Inspection générale de la Justice, dont la compétence s’étend aux services pénitentiaires, et qui est censée accomplir une mission qui était déjà assurée - et le reste - par les parlementaires, tous habilités à visiter les locaux de détention quand bon leur semble.
Il n’y a rien d’étonnant à ce que cet empressement autour du bien-être des criminels et des délinquants provoque l’écœurement de leurs victimes et de leurs proches. D’autant que l’Etat est loin d’avoir toujours autant de sollicitude envers elles.
Mais, rassurez-vous, le CGLPL n’est pas une sinécure. Ses fonctionnaires n’hésitent pas à se déplacer pour vérifier le respect des procédures et le professionnalisme des gardiens. L’an dernier, sept d’entre eux ont eu le courage d’aller visiter le centre de détention Tatutu de Papeari, le centre pénitentiaire de Faa’a Nuutania et le centre de détention d’Uturoa. Un dur voyage de quinze jours... en Polynésie...
À lui seul, le pedigree de Dominique Simonnot aurait dû alerter sur son degré de compétence, la première d’entre elles devant être, non la connaissance approfondie du milieu carcéral, mais la capacité de résistance aux pressions de ses différents futurs interlocuteurs. À Libé, chantre de Taubira, elle était la plus empressée pour dénoncer l’intolérable promiscuité des taulards, les méfaits abominables de la prison et ses conséquences néfastes sur l’avenir des détenus. N'importe quel DRH ne l’aurait même pas reçue... Mais on sait avec quelle constance, dans ce rôle en particulier, Macron fait preuve d’amateurisme. À moins qu’une fois de plus, il faille voir dans ce recrutement aberrant son goût pour la provocation...
Pour conclure, je dirai que, s’il est nécessaire de respecter la dignité humaine des détenus, il n’est pas indispensable de leur accorder des égards hors de propos. Le nombre de cafards dans les cellules ne me fera jamais oublier celui des clous sur les cercueils de leurs victimes.
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@ Achille | 14 mai 2023 à 07:52
« La France compte à ce jour 72.836 prisonniers. »
À première vue le document est intéressant... Mais, dès les premières lignes, on s’aperçoit que les données datent de 2016 (donc + 4 % sur sept ans...) et qu’il s’agit d’une compilation dont on ne connaît ni les sources, ni leur cohérence...
Par exemple en Allemagne, en Belgique et en Espagne, le taux d’étrangers incarcérés est nettement plus important qu’en France. Mais ces trois Etats abritent-ils autant de citoyens de papiers que la France ? Citoyens de papiers que, dans nos statistiques, la loi interdisant toute répartition par origines, nous comptabilisons dans la même colonne que les Gaulois...
Autre biais : quels sont les pays aussi laxistes que la France en matière d’incarcération d’un condamné à une peine de prison ? Si mes souvenirs sont bons, chez nous, le délinquant qui prend deux ans de taule peut ne pas faire un seul jour derrière les barreaux... Ce qui, mathématiquement, diminue le taux de prisonniers...
Rédigé par : Serge HIREL | 14 mai 2023 à 14:43
@ Achille | 14 mai 2023 à 07:52
@ sylvain
Les Russes ont trouvé la solution, ils ont carrément mis des truands au pouvoir !
Une fois leur mafia en place, ils ont attaqué l'Ukraine, envoyant tous les taulards au combat contre une armée de professionnels ukrainiens et quelques autres, genre ex-légionnaires.
Avec 77 % de tués parmi les taulards combattants, quelques dizaines de milliers, ils ont résolu leur problème de prisons et, généreux, en ont même fait des héros de la patrie !
Fallait y penser !
On pourrait peut-être faire la guerre à la Belgique et au Luxembourg et envoyer tous nos taulards au combat ?
Nous aussi comme les Russes sommes "dotés" et on parle français de l'autre côté des frontières, on pourrait aussi prétendre que ce sont des nazis !
Le drame est qu'il faudrait élire Zemmour à la présidence, Macron n'aurait jamais le culot !
Rédigé par : Claude Luçon | 14 mai 2023 à 14:33
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté fait partie de ces autorités indépendantes qui n’ont pas de raisons d’être. Indépendante de qui ? de l’exécutif ? du Parlement ? des électeurs ? Est-ce une instance de droit divin, à condition de prétendre que les conventions internationales auxquelles nous nous soumettons par veulerie sont des livres saints, manifestations inspirées du Créateur ? Le ministère de la Justice n’a pas de personnel pour s’occuper des prisons ? Les commissions parlementaires ne sont pas capables de contrôler ce que fait ledit ministère ?
La dissolution de l’État se lit en clair à travers la création de ce type d’organisme. Ils favorisent l’idée de l’abaissement de l’administration, qui ne serait peuplée que de courtisans, la détestation des gouvernements qui n’ont d’autre idée que de maltraiter au moindre prix les gens privés de liberté, d’oublier le Parlement dont le rôle n’est pas que de voter des lois mais également de contrôler leur exécution.
Et pire que le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, le Défenseur des droits, au rôle délétère, qui vient mordre sur les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Une aberration constitutionnelle qui sous prétexte de défendre les individus dépouille leurs représentants élus de leur légitimité au profit d’une technocratie soumise à toutes les tentations idéologiques.
Rédigé par : Olivier Seutet | 14 mai 2023 à 12:17
@ Marcel P
"Elle ne cache pas le fait qu'elle estime qu'on doit libérer des prisonniers sur la base du taux d'occupation des prisons. C'est-à-dire, en français dans le texte, qu'elle veut qu'on mette en liberté des gens que les magistrats ont estimé trop dangereux pour autrui pour être en liberté, puisqu'en France, l'incarcération n'est plus la sanction pénale de norme mais d'exception."
Moi, je raisonne un peu comme quelqu'un qui pond du code. Quand on explose les critères permettant à une appli de fonctionner, on corrige le dimensionnement de l'infrastructure.
Donc, moi, je valide l'approche qui consiste à affirmer que si les taux d'occupation des prisons sont déments, alors, on arrête le délire, et on redimensionne.
Je rappelle, les gens semblent l'oublier, que la Contrôleuse des lieux de privation de liberté ne traite pas que des prisons mais aussi des hôpitaux psychiatriques. Et, comme toujours, je vois la persistance de la confusion des notions, chez les mêmes qui osent nous expliquer que non, non, non, ce n'est absolument pas la même chose...
Rédigé par : F68.10 | 14 mai 2023 à 12:10
@ Claude Luçon | 14 mai 2023 à 00:57
« Sauf aux Etats-Unis où ce sont les très chrétiens Sud-Américains pour lesquels où tout est permis et surtout le pire ! Ils n'ont même pas besoin de bateaux pour y parvenir ! »
Sauf qu'aux USA, et je leur dis bravo, les très chrétiens Sud-Américains se coltinent des décennies de prison quand ils se font choper, ils sont trop vieux quand ils ressortent, bourrés d'arthrose et de maladies très handicapantes pour multirécidiver.
Chez nous ils seraient glorifiés par nos gauchistes Nupes macroniens, nos défonceurs des droits, nos sectes LDH et mafias ONG, ils seraient libres à la sortie de leur GAV, au pire un court séjour en prison et ils récidiveraient ad nauseam, notre justice étant complice du crime, tout le monde est bien d'accord, d'ailleurs tous ces malfrats ensoutanés ne s'en cachent plus, ben voyons !
Il en est de même pour les passeurs mafieux : aux USA c‘est trop risqué, il vaut mieux venir en Méditerranée exercer ce trafic esclavagiste protégé et sponsorisé par l'UE, les ONG, les associations gauchistes, Macron, un des grands parrains de ce crime contre l'humanité et von der Leyen, le Al Capone féminin de cette grande mafia.
Même les bateaux sont fournis gratos, avec notre pognon, ben voyons, service médical par hélico, grande bouffe et accueil royal dans tous les ports soumis à l’invasion par tous les euronupistes macroniens islamogauchistes.
Plus belle la vie pour ces passeurs et leurs esclaves migrants !
Ben voyons !
Mais c'est très zemmourien ce que je dis, il existe des liens pour nier ce que je dis et d'autres liens pour confirmer mes dires ; au choix ! Moi j’ai choisi ceux de Zemmour, le seul qui dise des vérités aussitôt condamnées et censurées par les pouvoirs mafieux immigrationnistes et leur drapeau europute que j'ai commandé en rouleaux pour mes sanitaires.
Rédigé par : sylvain | 14 mai 2023 à 10:28
Consolons, comme est concédé à l'humain la capacité d'incarner la justice divine, car il suffit d’y croire comme les petits-enfants de singe que nous sommes, pour accéder, sans se soumettre ni dominer, à l’horizontalité de la verticale, au triomphe de la croix, à la toute faiblesse humaine du Dieu tout-puissant qui nous accompagne fraternellement en cette crise de la mue humaine des chrysalides du sacré vengeur au mirifique et saint papillon du pardon.
Ainsi la tragédie tourne à la comédie, les barbons trompés par les valets permettent au prince d'aimer la souillon, et les petits sylvains qui se prennent pour le roi d'envoyer leur Zemmour domestique aux fossés antiques de la vengeance à jamais démonétisée :
https://www.youtube.com/watch?v=H3-miucC_28
Rédigé par : Aliocha | 14 mai 2023 à 09:39
@ Robert 13/05/23 16:52
Devons-nous nous étonner de cette situation alors que la part de la dépense publique consacrée en France à la justice est inférieure au niveau moyen que lui consacrent les autres pays européens ?
En France, contrairement à nombre d'autres pays, la dépense publique est orientée en priorité vers la protection sociale dont le poids est très lourd au détriment donc de l'investissement, pourtant aussi indispensable et essentiel, dans les autres secteurs vitaux.
Rédigé par : Michel Deluré | 14 mai 2023 à 09:38
@ Achille | 13 mai 2023 à 20:54
"Mais je crains que la Défenseure des droits ne s’y oppose. Dommage !"
Moi je l'appellerais plutôt la "défonceuse" des droits, tant ils mettent du zèle à les bafouer par pure idéologie gauchiste.
Tout comme les LDH qui sont devenus une secte gauchiste qui protège racailles, délinquants et criminels.
Rédigé par : sylvain | 14 mai 2023 à 08:11
La France compte à ce jour 72.836 prisonniers . C'est un record absolu, après avoir été battu une première fois en novembre dernier. Il y a donc eu 2 844 prisonniers de plus en un an (+4 %).
Cette population carcérale correspond à celle d’une ville comme Annecy.
Imagine-t-on une ville de cette dimension peuplée exclusivement de meurtriers, violeurs, voleurs, escrocs de tout poil ?
Ceci étant, si on compare la situation de la France à celle des pays étrangers , elle se situe dans la moyenne (25e rang). Loin derrière les États-Unis, la Chine, le Brésil, juste devant l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie qui sont des pays dont le mode de vie est très similaire au nôtre. Le pourcentage d’étrangers parmi les détenus est sensiblement le même.
Le problème n’est donc pas spécifique à notre pays, ainsi que certains médias essaient de nous le faire croire, avec toujours la même antienne « Tout ça c’est la faute à Macron ».
Les choses sont beaucoup plus compliquées que les explications simplistes des invités des plateaux télé.
Rédigé par : Achille | 14 mai 2023 à 07:52
@ Achille | 13 mai 2023 à 20:54
Vous m'avez rappelé une chose du même genre.
Il y a bien des années un millionnaire afro-américain avait son propre plan : à des jeunes afro-américains tournant à la délinquance il offrait, voyage tous frais payés, un séjour dans un village dans la brousse au Kenya simplement pour leur faire voir comment on vivait en Afrique !
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@ Exilé | 13 mai 2023 à 09:50
"Le monde entier sait désormais que la France est un terrain de jeu où tout est permis, surtout le pire."
Sauf aux Etats-Unis où ce sont les très chrétiens Sud-Américains pour lesquels où tout est permis et surtout le pire !
Ils n'ont même pas besoin de bateaux pour y parvenir !
Rédigé par : Claude Luçon | 14 mai 2023 à 00:57
« Que de détresses et de colères comparables dans la France dont il est, sans le vouloir, le porte-parole ! » (PB)
Il fut une époque déjà lointaine, il est vrai, où les jeunes délinquants étaient envoyés dans les Bataillons d’Afrique (les Bat’d’Af) comme ils étaient appelés.
Je me demande si un petit séjour à Tataouine ne serait pas la solution la plus appropriée pour aider ces petits caïds de quartier, dépourvus de tout repères, à acquérir les vraies valeurs de notre société : respect, discipline et éventuellement goût du travail.
À mon avis ce serait plus efficace qu’un rappel à la loi dont ils se fichent éperdument.
Mais je crains que la Défenseure des droits ne s’y oppose. Dommage !
Rédigé par : Achille | 13 mai 2023 à 20:54
La sincérité de Dominique Simonnot n'importe peu, dès lors qu'elle se sert de sa fonction de contrôleuse générale des lieux de privation de liberté pour faire de la propagande.
Elle ne cache pas le fait qu'elle estime qu'on doit libérer des prisonniers sur la base du taux d'occupation des prisons. C'est-à-dire, en français dans le texte, qu'elle veut qu'on mette en liberté des gens que les magistrats ont estimé trop dangereux pour autrui pour être en liberté, puisqu'en France, l'incarcération n'est plus la sanction pénale de norme mais d'exception.
Enfin, il suffit de donner lecture des rapports produits par le contrôleur générale des lieux de privation de liberté au citoyen respectueux de la loi pour le faire hurler de rire. Imagine-t-on financer une autorité indépendante pour qu'elle commente et émette des recommandations sur la variété des plats servis en garde à vue (faut-il que cela soit varié ? est-on censé vivre habituellement sous le régime de la garde à vue) ? La France aime se doter d'autorités « indépendantes », comprendre autorités bafouant en fait l'indépendance et l'autorité de la Justice, qui coûtent un « pognon de dingue », qui ajoutent en lourdeur à un système déjà bancal.
La France, c'est aussi le pays où des terroristes condamnés à des peines de réclusion criminelle à perpétuité ont droit à des « unités de vie familiales », pour qu'ils puissent se reproduire et éduquer leurs enfants et femmes dans l'esprit de leur parcours criminel. https://www.wikiwand.com/fr/Attentat_de_la_prison_de_Cond%C3%A9-sur-Sarthe
Rédigé par : Marcel P | 13 mai 2023 à 17:52
@ Ninive
Il serait temps que l'Océan Viking disparaisse en mer pour des causes mystérieuses, comme si une grosse mine ou torpille traînait.
Mitterrand aurait au moins envoyé une paire de charlots comme pour le Rainbow Warrior, mais avec les suivants, on n'ose même pas y penser.
Avec Poutine, on pourrait s'arranger.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 13 mai 2023 à 17:15
Carrément méchants, jamais contents ! Carrément débiles, trouvent pas leur style.
Les arabo-africains musulmans islamistes ne sont jamais contents ; nous sommes trop racistes fascistes xénophobes islamophobes, pourtant ils viennent au péril de leur vie dans ce pays honni faible laxiste soumis couché collabo.
Because ? Aides, allocs à gogo : droits d'asile, droits du sang, droits du sol, droits de délits, droits d'impunité, droits de prisons club Med, droits du fric des cocus blancs de souche : CAF APL RSA CMU SECU CARTE VITALE AME ATE, etc. etc.
Alors quels sont les pays où ces « malheureux » ne sont pas heureux ?
Ils ne sont pas heureux à Gaza.
Ils ne sont pas heureux en Égypte.
Ils ne sont pas heureux en Libye.
Ils ne sont pas heureux au Maroc.
Ils ne sont pas heureux en Iran.
Ils ne sont pas heureux en Irak.
Ils ne sont pas heureux au Yémen.
Ils ne sont pas heureux en Afghanistan.
Ils ne sont pas heureux au Pakistan.
Ils ne sont pas heureux en Syrie.
Ils ne sont pas heureux au Liban.
Ils ne sont pas heureux en Algérie.
Alors, ou sont-ils donc heureux ?
BEN VOYONS, dans les pays cocufiables sans modération :
Ils sont heureux en Australie.
Ils sont heureux au Canada.
Ils sont heureux en Angleterre.
Ils sont heureux en France.
Ils sont heureux en Finlande.
Ils sont heureux en Allemagne.
Ils sont heureux aux États-Unis.
Ils sont heureux en Suède.
Ils sont heureux en Norvège.
Ils sont heureux en Hollande.
Ils sont heureux au Danemark.
Ils sont heureux en Suisse.
En fait, ils sont heureux dans tous les pays qui ne sont pas musulmans et malheureux dans tous les pays qui le sont !
Et qui blâment-ils pour leurs malheurs ?
Pas l’islam.
Pas leurs chefs spirituels.
Pas eux-mêmes.
Les arabo-africains musulmans islamistes blâment toujours les pays où ils sont heureux !
Et ensuite, ils veulent changer ces pays pour qu’ils deviennent comme les pays d’où ils viennent et où ils étaient malheureux.
Comment résoudre une telle équation islamo-cornélienne ?
Réponse :
Ça s’appelle l’esprit de conquête, un musulman migre pour conquérir, c’est pourquoi il rejette son pays d’accueil et ne vise qu’à l’islamiser.
C’est là son « bonheur »…
Tous des mécréants sauf leur fric ! BEN VOYONS !
Zemmour, taisez-vous, vous êtes contrôlé !
Rédigé par : sylvain | 13 mai 2023 à 17:11
Bien sûr, tous les présidents récents de la République ont mis à leur programme la construction de nouvelles prisons. Mais créer des prisons c'est aussi recruter du personnel pénitentiaire. Donc, au-delà du coût immobilier et son impact sur le budget de la Justice, il faudrait accroître le personnel de la fonction publique dans un moment où nos politiciens veulent le réduire ! A moins de confier la fonction pénitentiaire aux entreprises privées...
D'où la seule politique vraiment mise en œuvre : une politique pénale visant à écrouer le moins possible, à multiplier les réductions de peines tant au moment de la condamnation, notamment via le sursis ou les peines substitutives, qu'en cours d'exécution.
Mais, comme le taux de croissance des infractions devient exponentiel, on est face à un véritable tonneau des Danaïdes.
Seul un vrai changement de conception de la fonction pénale (réhabilitation de la fonction carcérale, condamnations rapides et peines de prison plus courtes mais effectivement et intégralement exécutées) serait de nature à redonner aux citoyens confiance en leur Justice. Ce que les cautères sur jambes de bois actuels ne sont pas susceptibles de produire, vu l'idéologie en cours dans les hautes sphères de notre pays et chez la partie des magistrats inféodés au Syndicat de la Magistrature.
Rédigé par : Robert | 13 mai 2023 à 16:52
Argument facile et bien pratique que de se retrancher derrière la surpopulation des prisons pour affirmer que le problème trouve son origine dans le fait qu'en France on incarcère trop facilement et en trop grand nombre des personnes qui n'auraient normalement rien à faire derrière les barreaux. Sachons faire preuve d'indulgence à l'égard de ces pauvres petits voyous et délinquants en tous genres, là résiderait ainsi la solution ! Peu importe s'ils pourrissent la vie du citoyen honnête. Voilà qui est faire preuve d'un bel angélisme.
La prison ne doit certes pas être l'unique solution pour qu'un délinquant paye d'abord sa dette à la société et tente ensuite de retrouver le droit chemin mais elle doit en constituer un des maillons indispensables.
Et c'est bien pour cela que les prisons doivent être en nombre suffisant et offrir une capacité d'accueil apte à absorber l'ensemble de la population carcérale dans des conditions qui ne soient pas indignes, ce qui est malheureusement fort loin d'être le cas dans notre pays.
Mais comme trop souvent en France, les secteurs régaliens, dont celui-ci, ne bénéficient malheureusement pas des investissements qui seraient pourtant nécessaires et indispensables. La dépense publique, dont on sait pourtant à quel niveau élevé elle se situe, est orientée vers d'autres destinations !
Rédigé par : Michel Deluré | 13 mai 2023 à 16:19
Imparable articulation entre les malades du contôle ("control freaks" de la fonction d'Etat) et les nouveaux damnés de la Terre (les citoyens obéissants).
Avant, la Troisième Gauche (ou Voie) se souciait encore un peu de ne pas désespérer le Billancourt repris à un penseur célébré, une espèce de Diogène des rues parisiennes, volontiers prêcheur entre une poubelle, ramassée ou pas, et un tonneau, brûlé à l'intérieur, prêt à recevoir le raisin ou pas.
Pour éviter les règlements de compte en place de Grève, si fidèles aux rendez-vous de l'Histoire de France.
On a aujourd'hui l'impression que cette aile politique mise sur cette désespérance, qu'on laisse faire les Chevaliers de la Désœuvrance, chers à Balzac, pour une raison ou une autre.
Qu'on la promène à dessein. "A ride" comme une autre. Un concept.
La profession de Contrôleur des lieux de privation de liberté possède cet enivrant parfum des contes de Gogol, le papa du Revizor.
En France, nation parfaitement a-littéraire (il suffit de voir le niveau des Mathieu et des Le Maire, nos romanciers presseurs de mots à Bercy Village), les personnages et les scènes de la littérature classique ont déserté les livres pour prendre un bol d'air au beau milieu de nos vies.
Le factice "non" aux prisons vient de loin dans la pensée française, Sade était contre, tout contre, la Révolution enfermait ses citoyens pour la cause de la Liberté.
Saint-Just eut la formule pour le justifier, Fanon et ses suiveurs en reproduisirent la clé, et c'est ainsi que les champs restèrent ouverts à tous vents.
La situation carcérale est la honte du pays, des établissements privés ne pourraient que faire mieux, même avec une étrange idée de rentabilité en tête, les détenus seraient moins maltraités et moins corvéables.
Je fais confiance aux contrôleurs, qui ne perdront pas leur fonction, pour le vérifier à merci.
Rédigé par : xavier b. masset | 13 mai 2023 à 15:19
Cher Monsieur P. Bilger,
Bientôt vous n'aurez plus le droit de critiquer la macronie.
Censure de la gauche et de l'extrême gauche en marche.
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"Contrôler soit mais surtout consoler les détresses du peuple, guérir ses plaies et condamner ses offenseurs !"
Voeu pieux, hélas !
Trois morts en trois jours, c’est un cauchemar ce qui se passe à Valence. Ce sujet devrait faire la Une de l’actualité : une ville moyenne de la Drôme où la guerre des cartels fait rage.
Un gaucho-progressiste, P. Guibert :
« Le trafic de drogue dans les quartiers et ce chouf qui vient d’être tué à Valence n’ont rien à voir avec l’immigration ! »
« Bien.
Pouvez-vous me dire pourquoi on dit “chouf” dans ces quartiers ? » J. Messiha
Énorme bug !!
https://twitter.com/JeanMessiha/status/1657308987585339392
Rédigé par : Isabelle | 13 mai 2023 à 13:29
Cher Philippe Bilger,
Ici et ailleurs, on ne cesse de se plaindre des conséquences d’une situation que nous avons nous-mêmes collectivement instaurée.
Pardon par avance de me répéter à l’envi, mais l’an prochain, cela va faire un demi-siècle (avec l’élection de Giscard) que nous avons opté à chaque élection pour un candidat plus ou moins progressiste, européiste, immigrationniste, « repentiste », « assistanatiste », « excusiste », préférant l’Autre aux nôtres.
Le Sarkozy de 2007 fait certes exception, mais il est bien vite rentré dans le rang, désespérant au passage l’électeur de droite, et justifiant l’émergence de Reconquête dans la mesure où le RN lui-même a largement abandonné ses positions et paresseusement choisi le camp « social ».
Ce surmoi progressiste est désormais tellement ancré dans ce pays que le système (médiatique, politique, intellectuel, social, culturel, entrepreneurial) et le peuple s’en nourrissent mutuellement, tout en versant des larmes de crocodile sur les conséquences d’un choix à chaque fois confirmé.
La meilleure preuve, c’est lorsque quelqu’un a l'outrecuidance de proposer des solutions concrètes et forcément radicales pour renverser la table, il est vilipendé, cloué au pilori voire nazifié.
Alors, en attendant qu’un nombre suffisant d’entre nous soit affecté personnellement par cette situation, continuons de nous pousser du col et pleurnichons en chœur sur les conséquences de cette posture progressiste collective si valorisante.
Rédigé par : Florestan68 | 13 mai 2023 à 11:58
Si rien n’est fait je crains le retour des milices, écoutons Michelet : « Quand l'État est défaillant, les sorcières apparaissent ». Quant aux conditions de détention, elle doivent être dignes mais rudes, à la japonaise par exemple… Il faut tout remettre à plat, cette politique comme certaines autres.
Rédigé par : Louis | 13 mai 2023 à 09:55
« Le paradoxe est qu'on nomme pour ces postes des personnalités déjà systématiquement miséricordieuses, ce qui crée une redondance institutionnelle dans l'esprit, alors qu'on devrait procéder à l'inverse : nommer des réalistes pour que cette fonction ne soit pas une opportunité de faiblesse supplémentaire. » (PB)
Là où je pouffe de rire, c'est ce morceau d'anthologie : « personnalités miséricordieuses », vous le faites exprès cher Philippe ? Je vous corrige : « personnalités misérables et odieuses », ça sonne mieux n’est-ce pas ?
Comment appeler autrement ces ignobles personnages extrêmes gauchistes qui pourrissent la magistrature, ces droits de l'homme et défenseurs des droits des racailles surtout, pas ceux des policiers, ces associations ultragauchistes antiracistes qui encouragent les casseurs antifanazis et menacent les FDO, ces élus de l'AN Nupes qui insultent les policiers, et cet Etat de droit ubuesque en faveur des criminels gauchistes ?
Ce n'est pas un paradoxe mais une tactique machiavélique de Macron pour instaurer un climat de peur, de division, de guerre civile.
En encourageant l'impunité des délinquants grâce à tous ces juges rouges du SM mur des cons et autres magistrats idéologues gauchistes, de victime, le citoyen devient coupable, l’agresseur protégé par les pirouettes gauchistes de cette chienlit judiciaire devient victime de celui qu’il a agressé.
Ces ordures au pouvoir interdisent des manifestations d'ultradroite pacifiques où tout est clean après leur passage mais continuent à encourager, protéger et défendre tous ces groupes antifanazis casseurs, incendiaires qui perpétuent leurs crimes toutes les semaines depuis des années.
Macronéron restera dans l‘histoire comme le pire monarque totalitaire qui aura détruit la France, son peuple, son histoire, sa culture et sa religion. Un Holomodor macronien ?
Avoir nommé à l’Education nationale socialiste un raciste anti-blancs, Pap Ndiaye, le woke progressiste racialiste indigéniste qui encourage les sectes LGBT à venir pourrir la sexualité des petit enfants dans les écoles, qui insulte et traite la France de pays raciste à l’étranger, est la pire preuve des desseins diaboliques de ce président qui aura battu tous les records de criminalité dans le pays, d'invasion arabo-africaine islamiste programmée, de ruine économique et d'épuration ethnique en vue du grand remplacement.
Il est vrai qu’il y a des priorités à géométrie variable et plus prioritaires que d'autres : se rouler sur la pelouse de l'Elysée avec McFly et Carlito, et aller faire la poupée gonflable sur Playboy, c'est quand même plus important pour l'avenir de la France.
Rédigé par : sylvain | 13 mai 2023 à 09:55
« ...avec tout de même, à l'intérieur de celle-ci, 22 % d'étrangers (15 000) pour lesquels rien n'est prévu pour les éloigner du territoire » (PB)
Et encore, tout ceux qui devraient s'y trouver n'y sont pas et gambadent joyeusement dans la nature, souvent en récidivant.
Pourquoi s'en priveraient-ils ? Le monde entier sait désormais que la France est un terrain de jeu où tout est permis, surtout le pire.
« Contrôler soit mais surtout consoler les détresses du peuple, guérir ses plaies et condamner ses offenseurs ! » (PB)
Mais que dire de ces magistrats qui, au nom d'un syndicalisme dévoyé qui n'est en réalité que le faux-nez d'un activisme politique de type révolutionnaire, se permettent de pratiquer une justice inversée en choyant le délinquant voire le criminel tout en accablant leur victime, ou bien en reconnaissant à des envahisseurs des droits qu'ils n'ont pas aux détriments des Français et trop souvent en mettant en danger leur vie ?
Rédigé par : Exilé | 13 mai 2023 à 09:50
Cher Philippe,
Celui qui a été cambriolé cinq fois a raison de se plaindre et de souhaiter plus d'incarcérations.
La dame qui contrôle les prisons est dans son rôle en souhaitant un meilleur fonctionnement des prisons.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 13 mai 2023 à 07:35