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17 mai 2023

Commentaires

Lodi

@ Patrice Charoulet | 03 juin 2023 à 15:10

Même quand les gens sont pauvres, ils ne vivent pas que de pain.

Fumer est un rite structurant la journée et favorisant la concentration. À long terme, cela sera sans doute peut-être néfaste pour la santé du fumeur, mais quand on est pauvre, et semble-t-il sans guère de perceptive d'avenir, sacrifier le rare plaisir du présent qu'on s'est apparemment trouvé à un futur que rien ne paraît augurer plus favorable que le présent, est un effort dont le sens peut échapper.

On n’obère rien qui soit fait pour durer, étant donné qu'on souffre et qu'on meurt, on risque de mourir plus vite en échange d'années de vie un peu moins désagréables que sans cigarettes.
On ne parle pas de vivre intensément et de mourir vite, seulement de subsister moins tristement avec le risque de tirer sa révérence plus tôt... Mais les deux alternatives se ressemblent et relèvent de chacun, sauf si la personne s'est assignée des responsabilités requérant qu'elle vive longtemps, même si son existence ne présente plus aucun intérêt à ses yeux.

Le crédit rend dépendant de celui qui prête l'argent, et suppose qu'on conserve voire améliore sa situation, soit un pari plutôt risqué.
Mais en vérité, pourquoi celui sur une automobile serait-il pire que celui sur une maison ou la fondation d'une entreprise ?

Pour beaucoup, la voiture est l'expression de la liberté et du rêve, sans parler du fait d'être inclus dans la représentation sociale majoritaire, dans une modernité où on est considéré comme un gueux à mépriser ou un extraterrestre à étudier sans l'un des objets dont je fais une liste non exhaustive : télévision, ordinateur, téléphone portable.

Le rêve automobile, certains voudront l'incarner en possédant la plus belle voiture possible, d'autres le contempler en regardant tel ou tel événement incontournable pour un aficionado.
Les gens ont bien le droit de dépenser leur argent comme ils le veulent, c'est d'ailleurs une des vertus de l'argent, même en en possédant peu, ceux qui en ont un peu disposent d'une certaine liberté de choix.

Je compatis, en plus de souffrir et mourir, bien des gens endurent un supplément de contraintes, par exemple, la maladie et la pauvreté... Et comme si ça ne suffisait pas, il y a les religions pour interdire tout et n'importe quoi, par exemple les champignons, les fruits de mer, et le vin, au plus grand détriment des plaisirs de la table.
Plus sympathique, quand on aime quelqu'un, on s’inquiète de ce qui pourrait mal tourner pour lui, et comme on ne ressent pas l'éventuel ennui répandu sur sa vie ni les attraits d'une activité plus ou moins risquée, on peut être tenté de tenter de l'en dissuader.
Jusque-là, rien que du classique...

Mais nous n'avions pas tout vu... À présent, des personnes se voient contestées leur plaisir au nom de leur santé et de leur budget d'une manière des plus arbitraires.
Dans notre société, les riches sont trop présumés méchants, voire les théories du complot, et les pauvres débiles, voire la manière de restreindre des choix déjà limités, et ce alors même que ces derniers ne nuisent à personne.
Quel dommage...

Patrice Charoulet

J'apprends qu'une personne dont on me parle et qui est au SMIC fume deux paquets de cigarettes par jour. Dépense : 600 euros par mois. C'est beaucoup. Et je crois savoir que ce n'est pas bon du tout pour la santé.

Je ne suis pas jeune. Mon fils habite à 200 km et craignant que mon logement soit mal entretenu, il m'a vivement incité à employer une femme de ménage une heure par semaine. Ce que j'ai fait. En arrivant nous échangeons quelques paroles. Elle vient de me dire hier que son fils, qui n'a ni femme ni enfants, et dont le salaire est très modeste, vient de s'acheter une grosse voiture fort chère.
Il a versé, me dit-elle, 8 000 euros, qu'il avait économisés, et le reste est réglé à crédit. Je lui dis : « Payable en cinq ans ? » Réponse : « Non, en sept ans. » Versement mensuel : 300 euros. Cela me paraît beaucoup. C'est aussi le sentiment de sa mère. Réponse du fils : « Je fais ce que je veux avec mon argent ».
Autre précision : il travaille à un kilomètre de son logement.

Enfin, ce matin, je rencontre devant chez moi un voisin qui ne me parle presque jamais. Il est en verve. Le soleil brille, cela doit le mettre de bonne humeur. Il tient à me dire qu'avec sa femme, il va aller, comme chaque année, aux 24 heures du Mans. Même si j'habitais dans cette ville, je
n'irais pas voir des voitures faire la course. Je fais comme si les voitures m'intéressaient. Son salaire est comme le précédent des plus modestes et sa femme ne travaille pas. Je lui demande s'il faut payer pour voir ces voitures faire la course. Réponse : « 300 euros par personne ». Cela me semble cher pour voir passer des voitures.

Trois dépenses étranges, à mes yeux. J'entends beaucoup parler d'inflation, mais...

Patrice Charoulet

Langue française

J'en avais assez depuis quelque temps d'entendre à la radio des journalistes dire « conséquent » là où j'attendais « important ».
Aux grands maux les grands remèdes. J'ouvre la dernière édition du dictionnaire de l'Académie française. Je cherche le mot « conséquent », qui a divers sens. À la fin, en caractères gras pour attirer l'attention du lecteur, je lis :
« Conséquent ne doit pas être employé dans le sens d'important. »
À la bonne heure ! C'est bien ce que je présumais. La cause est entendue. Quand vous voudrez dire « important », dites « important ».

Carl Roque

Monsieur Bilger, totalement d'accord avec vous. Non à l'homophobie ou au racisme, et non à l'affichage, obligatoire ou libre, de messages politiques, sociétaux ou religieux dans les manifestations sportives.

vamonos

On récapitule tout depuis le début, on pose tout et on ne retient rien. La France est composée de 55 % d'athées qui gouvernent les instances supérieures de la jeunesse, des sports et de l'audiovisuel.

Quand un athée vous dit qu'il n'y a rien et vous regardant d'un air méchant, il vous prend pour un idiot qui croit en un dieu quel qu'il soit. Les chrétiens sont méprisés alors qu'ils aiment leur prochain comme eux-mêmes. Les juifs, il vaut mieux ne pas en parler, cela fâcherait les musulmans et les athées n'ont pas besoin de ça en ce moment, cela fait monter l'extrême droite dans les sondages.

Un club de rugby a tenté le coup du maillot rose pour adoucir les moeurs, pour que tout le monde soit beau, gentil et bien propre. Ce fut ridicule, et puis le rose n'est pas une couleur du spectre de la diffraction de la lumière. En plus, il ne faut pas discriminer une couleur par rapport aux autres, cela ne se fait pas. Par conséquent, on s'oriente vers le brassard et le numéro aux couleurs de l'arc-en-ciel. Tous les joueurs ont ainsi un point commun.

Les homosexuels aux manettes, ça envoie du lourd au niveau des décisions dérisoires. En plus, ils sont dans la toute-puissance, si vous critiquez, vous êtes homophobe, pas beau, réactionnaire, limite raciste, sauf que les races n'existent pas, n'ont jamais existé, n'existeront plus puisqu'on vous dit qu'on est tous pareils avec le même maillot.

Bon courage pour expliquer tout ça au joueur au crâne rasé et à la barbe fournie. Il ne refuse pas de passer le ballon à son ailier, il préfère juste regarder ailleurs parce que cet ailier s'est fait faire une permanente avec une couette asymétrique avant de rentrer sur le terrain.

Vamonos

La banderole met le concept en pratique. D’abord les homos, ensuite les hétéros. L’ordre alphabétique n’est pas respecté et en plus, la minorité passe avant la normalité. Même si les statistiques sont tripatouillées dans tous les sens, les homosexuels qui sont passés à l’acte représentent moins de 5 % de la population. L’exception ne peut pas devenir la norme.

La deuxième ligne de la banderole est encore plus tendancieuse. Injonction est faite à tout le monde de porter le même maillot qui est orné d’un signe distinctif d’homosexualité.

J’admire la constante volonté de la FFF de lutter contre la violence dans le sport en général et dans le foot en particulier. Cela fait des années que cela dure, elle a tout essayé et les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. Le plus cuisant échec fut le coup de tête donné par le capitaine de l’équipe de France pendant un match de coupe du monde, carton rouge, exclusion, fin de carrière.

L’Italien avait décliné l’offre de maillot à l’issue du match, il avait osé demander les faveurs de la sœur de Zidane. Deux hétéros qui ne portent pas le même maillot ne s’entendent manifestement pas toujours bien. Peut-être qu’avec un maillot aux couleurs de l’arc-en-ciel, les mœurs s’adouciraient, rêvons ensemble à l’amitié, l’amour, la joie.

Aliocha

@ Xavier NEBOUT

"La rencontre entre le Dieu des philosophes et le Dieu concret de la religion juive est l'événement, provoqué par la mission chrétienne, qui révolutionne l'histoire universelle."
Monothéisme et tolérance, Benoît XVI.

Faites un effort, vous êtes parfaitement capable de comprendre que vos pensées magiques sont superfétatoires au regard de la toute simplicité de l'amour du prochain, même et peut-être surtout s'il est discriminé pour son homosexualité.

Xavier NEBOUT

@ Aliocha

Le Dieu réel des juifs ??
Abraham c'est le brahmane en Inde.
Jésus a, à la suite de la venue des Grecs avec Alexandre, ramené l'immémorial dyaus pitar, le dieu d'amour filial indo-européen, pour remplacer le simulacre de religion de raison d'Etat juif et qui ne date que de l'expulsion de Babylone.
Georges Dumézil disait que les prêtres catholiques étaient dans leur immense majorité des ignorants profonds, et vous avez un air de famille avec eux.

Être incompréhensible vous permet de le masquer, et là, chapeau l'artiste.
Si vous faisiez un effort à commencer par savoir construire une phrase, peut-être vous apercevriez-vous que vous dites n'importe quoi.

Aliocha

@ Xavier NEBOUT

Le secret du sacré est qu'il décrit un Dieu à l'image de l'homme, alors que le saint décrit l'homme à l'image de Dieu qui, par le Christ, cet homme comme nous mais semblable à Lui, nous apprend à pardonner.
Autant dire que l'Evangile a levé le secret du sacré, et révélé son vice, son mensonge, qui fait de la persécution sa genèse idolâtre, et de la victime de son rite le faux dieu des privilèges.

En traversant le rite mensonger, Jésus nous indique cet abandon du faux père, qui est prise de conscience de l'erreur que les hommes se font de sa définition, pour y substituer le vrai Père qui est amour, ne saurait donc nous abandonner et nous invite à remettre notre esprit entre Ses mains.

Ainsi le persécuté, ici l'homosexuel, ne doit son privilège qu'à sa persécution qui le divinise faussement, et l'entraîne à répéter sa vengeance sur celui qui le persécutait, qui alors lui aussi se prend pour un faux dieu et continue à emprunter la route antique des hommes pervers que la révélation évangélique a permis de quitter, ou tout du moins de reconnaître qu'il est possible pour ceux qui reconnaissent la vérité de cette révélation d'en emprunter un autre, qui est celui du pardon à l'ennemi.

C'est cette révélation anthropologique de la persécution qui a permis par le christianisme la rencontre du Dieu des philosophes avec le Dieu concret de la religion juive, rencontre qui révolutionne l'histoire universelle, permet de voir le chrétien non plus comme une religion archaïque, mais comme un prolongement de la pensée philosophique, dont le dessein est la recherche de la vérité par l'homme.

Il vous est tout à fait loisible, surtout vous qui êtes si chrétien, d'accéder à cet effort culturel qui permet de comprendre pourquoi l'Occident a pu progresser comme il l'a fait, puis a perdu l'essence de cette vérité en s'en servant pour imposer une vérité qui ne peut se partager que si on renonce à se ranger du côté des persécuteurs, reconnaissant que la parole de Dieu ne gagne que par la persuasion des persécutés qui ont su pardonner, au risque sinon de recréer un monde contre sa vérité.

René Girard n'est ici qu'un interprète de la symphonie que le Christ a su composer pour nous.
James Alison, prêtre qui vit chastement sa condition d'homosexuel, est magnifiquement placé pour en faire entendre ici la divine harmonie :

« La distinction entre le sacré et le saint qui a commencé à émerger lorsque Girard lui-même a accepté l’impossibilité d’un autre mot pour un sens positif du sacrifice, marquerait-elle l’indice d’une nouvelle source d’intelligibilité de la crise[6] ? Une nouvelle capacité à discerner comment nous nous impliquons dans toute péripétie de la crise sacrificielle où nous nous trouvons. La sacramentalité n’est pas le domaine des signes muets. Il y a toujours des mots interprétatifs qui forgent un nouveau sens. Comment pourrions-nous, relativement indépendamment de l’appartenance religieuse formelle, découvrir avec les outils linguistiques que Girard nous a donnés, une participation créatrice aux signes faibles que le pardon continue à rendre vivants alors même que la violence de la crise qu’est l’être humain tente sans cesse de nous faire revenir à l’ancien et au plus simple, aux vieilles outres du sacré. »

https://jamesalison.com/fr/repenser-la-sacramentalite-apres-rene-girard/

Bill Noir

Même moi, c'est dire, j'ai envie de me pseudonymiser Iris, c'est grave !

Xavier NEBOUT

@ Aliocha

Comme vous êtes manifestement sous l'influence "mimétique" de René Girard, j'attire votre attention sur le fait qu'il semble ignorer que chez les Grecs, mourir en se sacrifiant dans les grandes cérémonies mystiques était un honneur recherché et les élus rares. Le sacrifice avait pour sens, non de se laisser désigner comme coupable, mais de porter les culpabilités. C'est là le sens du sacrifice de Jésus.

"Je donne ma vie non pour vous soulager de vos culpabilités, mais pour au regard de mon sacrifice pour vous, que vous entriez dans le secret de votre conscience et soyez sur la voie du salutaire repentir". Les sacrifices archaïques étaient de même la privation de quelque chose de précieux dans le même but.
Nous sommes très très loin de la violence chère à votre gourou.

Isabelle

Militer pour l’immigrationnisme, contre la critique de l’Islam et… contre l’homophobie. Pourquoi disposer d’un cerveau si c’est pour raisonner avec ses pieds ?

caroff

Le "en même temps" macronien consiste à laisser entrer des centaines de milliers de gens issus de pays qui pendent ou persécutent les homosexuels puis à déclarer l'homophobie cause nationale !!

Sinon, fallait-il s'attendre à autre chose des footeux musulmans ?
Et puis dans quel pays est-on pour exiger que les convictions personnelles largement culturelles et cultuelles soient dévoilées dans l'espace public et pourfendues de façon stalinienne ?

stephane

Code vestimentaire, maillots arc-en-ciel...
Dans certains établissements financiers, le code est strict.
Pas de tenue sport, pantalon noir, chemise avec ou sans cravate, veste.
Et puis il y a le vendredi où là on peut venir avec la chemise à fleurs ouverte, comme Philippe Bilger dans la garden-party déguisée !! C'est le vendredi libre, on vient comme on veut.

Habillé correct la semaine, j'avais donc plaisir, puisque c'était libre, à sortir le costume de la naphtaline.
Ah ben non, c'est libre, tu viens en débraillé ! Bon on se tutoyait sauf le jour de mon licenciement.

Il y a pire.
C'est l'interdiction du jean. Interdit, c'est dans le règlement.
Mais un jour dans l'année vous êtes obligés de venir en jean et la police interne de bons samaritains en quête d'importance sociale passe dans les bureaux pour vous faire payer une amende (pour des oeuvres caritatives), parce qu'en venant en jean vous n'avez pas respecté le règlement. Et bien heureux qu'on ne vous vire pas.
C'est agility dog en entreprise. Va chercher, va, susucre, nonosse, ouaf ouaf.

Tout ça pour dire que chacun doit garder sa liberté et qu'on n'a pas à connaître les raisons du refus de se soumettre au diktat de quelques-uns.
Donc je suis favorable aux résistants.
Par contre si des propos tenus sont inacceptables, il faut punir.
J'ai toujours été gêné par ces journées antisida où il faut porter le ruban rouge.
Comme si on pouvait être pour le sida.
À côté de cela un catholique, un protestant, un juif doivent cacher leur appartenance religieuse, pas de croix, pas de kipa.
La liberté doit être universelle, pas quand ça arrange.
Ce blog reste un des rares espaces où on peut en célébrer l'expression.

Lodi

@ Serge HIREL | 17 mai 2023 à 14:40

Les enfants : ils supposent ce qu'on pense dans leur famille et plus largement la société, donc là où l'homosexualité est mal vue, ils sont contre, là où elle n'est pas honnie, ils ne s'y intéressent pas trop s'ils ne se sentent pas le goût qui dégoûte certains.

Pour mémoire, les enfants peuvent fort bien vivre dans des sociétés où on considère qu'il y a plus de deux sexes voire où on ne sait pas qui est le père sans qu'on ait remarqué que les enfants en souffrent.
La diversité humaine est immense, les enfants sont des miroirs et des éponges de leur société.

Bon, à présent qu'une partie de notre société lutte contre l'homophobie, des enfants peuvent fort bien se sentir investis par cette cause, de même que par la lutte pour la biodiversité ou n'importe quoi d'autre.
Tandis que d'autres seront homophobes : tout dépend des familles où les enfants sont élevés.

Et à mon avis, bien des enfants se moquent d'une, deux ou de toutes les croisades des adultes sans parler de leurs routines, parce que les enfants, quelle supériorité sur les adultes ! préfèrent souvent l'imaginaire, que ce soit en regardant les nuages ou en s’immergeant dans quelque monde que ce soit, par exemple Harry Potter.
C'est, pour eux, le meilleur des mondes : familier en ce qu'il reproduit leur expérience par l'école, et étrange en ce que ce soit une école des sorciers, vraiment, il fallait y penser sans parler de mener ce challenge jusqu'au bout.

Donc, les enfants reproduisent la société adulte comme de vivantes photocopieuses, avec l'adjonction de rêves cependant.
Pourtant, ou parce qu'ils se font à tout et que je déteste qu'on profite de l'impuissance des gens, sans parler de risquer de gâcher les jeunes en profitant de leur faiblesse, je tends à protéger l'enfance.

Il faudrait donc sanctuariser l'enfance : apprendre à lire, écrire, compter, le reste et l'esprit critique sans parler de les laisser ne pas être tout à fait les enfants qu'on a été en ne diabolisant pas les jeux vidéo de même qu'on avait décrié autrefois les bandes dessinées.

Et interdire absolument aux adultes les mineurs : ce n'est pas parce que les Grecs et les prêtres et quelques hommes de spectacle avaient et ont un tropisme explicable par un côté initiatique et des problèmes de sexe pour les autres, qu'il faut poursuivre sur cette voie.
On n'a pas à profiter des enfants pour imposer telle ou telle vision du monde aux autres, on a encore moins à instrumentaliser les enfants pour ses plaisirs.

Pour cela, il faut sortir de l'abrutissement par le symbole : pendant que les gens regardent papa maman et l'enfant en triade harmonieuse, ou une société future éclairée, pendant qu'ils courent après un mirage, ils laissent commettre tous les abus possibles sur les enfants.

Un peu comme en attendant je ne sais quelle inspection optimum pour les vieux des Ehpad, on les abandonne aux abus dont ils sont la proie.

Bref, que les adultes s'affrontent sur leurs valeurs, enfin, plutôt, plus souvent, leurs goûts, leurs ressentiments, leur culture et leur inculture, et qu'ils laissent les enfants tranquilles.
Ou plutôt, qu'ils s'occupent d'eux quand ils en ont la charge, et qu'ils ne les oublient pas dans leurs choix politiques dans tous les cas. Pour moi, le reste est irresponsabilité et illusion.

Xavier NEBOUT

@ Aliocha

Soyez loué pour votre effort dans la clarté de vos propos notamment dans l'abandon d'un pédantisme outrancier, mais moi qui ne suis qu'un pauvre homme peu cultivé, je ne comprends pas encore ce que vous avez voulu dire.
On devine qu'il y a une idée mais laquelle ?
Quel rapport entre les privilèges et l'homosexualité ? Le "normal" serait-il la marque d'un privilège ?

Et puis surtout en matière de religion, il faut s'attacher au sens précis et profond des mots, et ce n'est pas avec René Girard qu'on l'apprendra. Par exemple, il est douteux qu'il ait su que "sacré" et "secret" soient en fait originellement le même mot.

Puissiez-vous donc faire la charité à vos lecteurs de faire encore plus simple.

Serge HIREL

@ Achille | 17 mai 2023 à 12:51

Les footballeurs musulmans ont eu parfaitement raison de refuser d’endosser le maillot arc-en-ciel. D’abord parce que leur contrat de travail ne les oblige certainement pas à se transformer sur injonction en homme-sandwich d’une cause qui n’est pas la leur. Ensuite, parce que le code du travail ne permet pas de contraindre un salarié à renier ses convictions, notamment religieuses. Pas plus qu’il ne l’autorise à s’en prévaloir et à les promouvoir. Enfin parce le terrain de football est un terrain de jeu où l’on s’affronte dans le cadre d’un sport, et non un lieu de dispute où l’on combat au nom de son idéologie politique ou de ses croyances religieuses.

Pour ce qui est des rapports entre l’Eglise et l’homosexualité, il me semble que vous allez bien vite en besogne et qu’encore une fois, vous prenez vos désirs pour des réalités. Relisez de près ce qu’a déclaré le pape François, considéré par beaucoup comme progressiste :
https://www.20minutes.fr/monde/4021214-20230130-vatican-vraiment-dit-pape-francois-homosexualite

Enfin, selon la plupart des historiens qui ont travaillé sur l’Antiquité, l’organisation sociale de l’époque ne permet pas une comparaison pertinente avec la nôtre en matière d’homosexualité. Alors que nos critères dans le domaine des rapports sexuels et dans bien d’autres sont d’ordre biologique - la différence de sexes -, nos ancêtres respectaient plutôt la hiérarchie des classes sociales, le rapport dominant-dominé s’établissant sur le critère « maître-esclave », sans trop prendre en compte la différence entre « il » et « elle »... D’où une acceptation de l’homosexualité beaucoup plus paisible que la nôtre.

Serge HIREL

@ Jérôme | 17 mai 2023 à 10:51

La difficulté réside dans le fait que, comme la religion, l’orientation sexuelle est à la fois un choix intime et un composant de la vie en société. Comme la religion, l’Eglise autrefois - sous la Royauté et, plus ou moins, jusqu’en 1905 -, l’Islam encore aujourd’hui, l’homosexualité s’est faufilée dans les mœurs et les allées du pouvoir au point de tenter de les imiter en cherchant à imposer ses codes et ses dérives... alors que son autorité, comme celle des croyances, devrait être contrainte à la seule sphère personnelle.

La situation est malheureusement irréversible et il faut donc que l’Etat, comme il l’a fait pour les religions voici plus d’un siècle, détermine la frontière que ni les hétéros, ni les homos ne peuvent franchir dans l’espace public sans risquer de déséquilibrer la cohésion nationale. Que l’Etat, qui doit respecter la liberté, l’égalité et la fraternité, loin de bannir ou de favoriser l’homosexualité, minoritaire dans la société, établisse des règles qui la protègent, mais aussi lui interdise toute velléité de mener une croisade visant à éliminer ceux qui ne se soumettent pas à ses exigences. Plus vite dit que fait...

La première des bonnes pratiques est la tolérance. Nous n’en sommes pas encore à ce stade, loin s’en faut... L’indifférence est un autre chemin, tout aussi difficile. Mais, contrairement à vous, je pense qu’il doit être emprunté sans aucun délai, l’indifférence à l’autre étant dans ce cas précis, sinon le début de la sagesse, en tout cas le moyen de respecter la liberté de chacun. Même si l’âme humaine conduit toujours le majoritaire à vouloir conserver ce statut et le minoritaire à vouloir s’en emparer...

Une autre source d’apaisement réside dans la volonté politique de minimiser la présence des choix sexuels dans l’espace public, ce qui éviterait - limiterait - les confrontations. L’Etat a fait ce choix en matière de foi religieuse en en minimisant la fréquence des démonstrations publiques. Les processions catholiques sont tout juste tolérées... Il devrait d’ailleurs en être de même des prières publiques organisées par des imams plus ou moins radicalisés...

Ainsi, on doit pouvoir admettre une Gay Pride annuelle dans nos grandes villes... à condition toutefois que, par leurs extravagances, elles ne cherchent pas à provoquer les hétéros, respectueux de mœurs qui sont les nôtres depuis des siècles. Une Gay Pride, oui... mais pas de « happenings » ni d’incitations quasi quotidiennes, qui s’apparentent, plus ou moins, aux escarmouches d’une croisade qui ne dit pas son nom.

De même, l’Etat, par la voie judiciaire, doit combattre sans faiblesse tous ceux qui, parce qu’ils le sont, injurient, bousculent, blessent, laissent pour mort, des LGBT... en prenant soin néanmoins de distinguer les vraies victimes et ceux qui ont cherché à l’être... Déjà aux prises avec d’autres « combattants » qui, eux, veulent remplacer notre culture par une autre, archaïque, venue d’ailleurs, la France ne peut pas se permettre de laisser se développer de tels comportements qui, eux aussi, déstabilisent son unité.

Sur ce point, le mariage pour tous a été un mauvais signal. Un signal en forme de coup de poignard dans nos mœurs, dont le traumatisme n’en finit pas de les ravager. En dix ans, apparemment, les querelles se sont apaisées parce que chacun a fait preuve d’un peu de retenue. Les mariages homos tapageurs sont rares et la Manif pour tous, tout en poursuivant son combat, a pris le parti d’une opposition raisonnable, sans trop d’éclats. Néanmoins, le mal est fait et le fossé reste profond. Il sera impossible de le combler...

En organisant leur opération surprise « Maillots arc-en-ciel », les responsables du football français ont fait pire que mieux. Loin de contribuer à faire progresser le respect entre homos et hétéros, ils ont ravivé les tensions en donnant l’impression qu’ils montraient du doigt les « méchants hétéros » qui méprisent les homos, en particulier dans les stades. Il est vrai qu’il s’agit trop souvent encore de la réalité, mais en faire le constat, le déplorer et le combattre par une campagne de communication en forme de vœu pieu, c’est utiliser une bande Velpo pour réduire une fracture ouverte.

Le pire est qu’en fait, cette soudaine prise de conscience d’une situation qui n’a rien de nouveau pourrait bien ne pas être sans arrière-pensées d’un tout autre ordre. Le foot, depuis quelques mois, accumule les scandales... et les masquer derrière un écran de fumée aux allures de combat pour le Bien n’est pas totalement dépourvu de bon sens... Ni de cynisme.

Si le foot veut réellement agir contre cette gangrène qui ronge ses terrains et ses gradins, il devra en passer par des décisions extrêmement fermes, telles que celles que les dirigeants britanniques ont prises contre leurs hooligans : pour les supporters, des interdictions de stade de longue durée, voire définitives, et, pour les joueurs, des suspensions d’une, deux ou trois saisons et, en parallèle, des amendes astronomiques. Avec, en prime, pour les uns et les autres, des signalements au Procureur de la République pour les cas les plus graves, ceux que l’on pourrait assimiler à un trouble de l’ordre public.

Aliocha

@ Xavier NEBOUT

Vous auriez l'occasion de ne plus ne pas savoir ce que vous faites, ni ce que vous dites.

"Prenons par exemple les discussions contemporaines souvent fastidieuses entre ce qu’on appelle parfois le courant « Woke » et ses ennemis. D’un côté, vous avez des gens qui ont pris conscience de choses réelles, concernant, par exemple, le privilège blanc, le privilège masculin et d’autres formes analogues d’aveuglement majoritaire sur la réalité. Ces aperçus authentiques sont le fruit du lent processus du pardon de Dieu répandu sur la race humaine, principalement rendu disponible par ceux qui ont souffert sous le privilège d’autrui. Mais ces idées peuvent ensuite être saisies et utilisées comme armes dans de nouvelles formes d’autosatisfaction contre ceux qui ne « comprennent pas ». Et de l’autre côté, et beaucoup plus fortement, nous trouvons l’impénitence vis-à-vis de ces mêmes idées, l’inconfort de ce qu’elles révèlent sur nous, poussés que nous sommes par la peur et blindés d’autosatisfaction, avec un gouffre de honte inavouable à la racine de ces peurs. Une forme de bonté qui cherche à s’empêcher de devenir vulnérable à la grâce. Comme si autre chose que le pardon pouvait rendre quelqu’un saint."

https://jamesalison.com/fr/repenser-la-sacramentalite-apres-rene-girard/

Isabelle

Un gaulliste digne de ce nom ne reconnaît pas les communautés et ce, au nom de la Constitution de la République française qui énonce que "la France est UNE et INDIVISIBLE" ! En français dans le texte !

Exilé

« Pour dénoncer l'homophobie… » (PB)

Que vient faire dans le discours public ce néologisme stupide qui au sens strict ne devrait désigner selon ses racines grecques que « la crainte de ce qui est semblable, identique » ?

Et pourquoi donc vouloir absolument qu'une phobie ne désigne plus désormais qu'une forme de haine, avec à la clé une judiciarisation malsaine découlant d'une torsion du sens des mots, alors qu'elle désigne le plus souvent une crainte comme dans le vers de l'Énéide : « Je crains les Grecs, même lorsqu'ils apportent des cadeaux », de même que dans le domaine médical ?

D'après la Constitution, « la langue de la République est le français », alors que penser au sujet de la diabolisation de diverses phobies dénaturées, du charabia employé par un législateur manifestement esclave des modes du moment, qu'elles soient linguistiques ou autres, alors qu'une loi se doit d'être compréhensible ?

« Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde. » (Albert Camus)

Depuis quelques années, c'est pourtant ce que nous nous attachons à faire de façon suicidaire, quitte à nous rendre la vie impossible.

Serge HIREL

@ Lodi | 17 mai 2023 à 08:17
« La photo où des enfants figurent a l'air d'émouvoir ici mais je ne crois pas que c'était le cas quand des gens manifestaient avec leurs enfants contre le mariage pour tous. »

Le jour même de sa naissance et, probablement, avant même celle-ci, un enfant comprend qu’il a un papa et une maman... En revanche, il est difficile de croire qu’avant la puberté, un enfant puisse intellectuellement différencier hétéros et LGBT et encore moins faire un choix personnel. Les faire manifester en faveur de ceux-ci est une manipulation. Ce qui n’est pas le cas quand ils défilent aux côtés de papa et maman contre le mariage homosexuel, contraire à la logique qu’ils ont acquise dès leur naissance -peut-être même est-elle innée - « papa+maman=famille ».
Et il n’y a aucun scandale dans ce cas, l’enfant comprenant que, par sa participation, il exprime son sentiment que ce lien « papa+maman » lui est indispensable. Pour lui comme pour tous les enfants.

Par contre, je suis d’accord avec vous lorsque vous fustigez la présence d’enfants dans une réunion politique. Tout dépend cependant de leur âge. Avant 11-12 ans, cela me paraît clairement l’expression de la seule volonté parentale. Au-delà, j’ai tendance à penser qu’il est bon qu’un jeune se forme peu à peu à son « métier d’adulte ». Il faut en arriver à ce que plus aucun électeur ne vote pour un candidat pour la seule raison qu’il a de beaux yeux bleus... En ce domaine, les profs et les instits ont une responsabilité particulière... qu’ils exercent rarement, ou dévoient au seul profit des mouvances auxquelles ils appartiennent.

Xavier NEBOUT

En abandonnant un instant la couardise sous toutes ses formes, des plus grossières aux plus subtiles, on peut au moins dire que tout ce qui relève de LGBT est contre-nature et donc la perpétuation de l’espèce humaine.
Nous sommes en face de la pire décadence intellectuelle qu’ait connue l’humanité, dont les adeptes cherchent à se légitimer via la démocratie qui est le régime politique lui aussi contre-nature tant le pouvoir de civilisation doit être exercé par les meilleurs, c'est-à-dire en aristo-cratie, et non être démultiplié à l’infini jusqu’aux immatures et tarés divers en démo-cratie.

Si bien que ce sont aujourd’hui les footballeurs qui constituent notre aristocratie en étant les seuls à ne pas vouloir ouvertement s’associer à l’infamie.
Au second rang, nous avons les circonvolutions alambiquées des « tolérants » au prétexte que ne pas l’être pourrait cautionner la persécution.

Or, là, si ce qui a trait aux LGBT relève de maladies psychologiques ou de tares génétiques, on fait une confusion entre les malades et la maladie. On doit en effet terroriser la maladie en l’occurrence psychologique pour limiter au mieux la contagion, et guérir avec charité les malades pour le salut de leur âme.
L’aurons-nous remarqué, les LGBT se caractérisent par un encéphalogramme plat concernant la spiritualité, alors que ce qui distingue l’homme de l’animal et qui en est ainsi l’essence, c’est la spiritualité.

sylvain

Imitons Orban le Hongrois qui protège son peuple en luttant contre ce fascisme dégénéré LGBT.

Ne désavouons jamais Orban et la Hongrie, ce sont eux les vrais résistants à la charia fasciste LGBT qui se propage comme une gangrène dans le monde.

Zemmour a fait un très belle analyse sur cette dictature LGBT qui, comme dirait le Poupou russe, viendra renifler « jusqu’au fond de nos chi*ttes » .

L’islamisme et le LGBTisme ont remplacé le nazisme et le communisme de sinistres mémoires ; ces deux idéologies fascistes woke écraseront définitivement nos sociétés anciennes, leurs valeurs, leur histoire, leurs religions, leur sexualité et leurs peuples.
 
N'oublions pas que ces LGBT sont hétérophobes, comme toutes les autres idéologies extrême-gauchistes qui veulent détruire leurs cibles, ils veulent éradiquer les hétéros ; ces mécréants qui refusent d’évoluer sexuellement : un couple mixte blanc catho hétéro aura beaucoup de souci à se faire à l'avenir.

Ex : les recrutements dans l’audiovisuel, cinéma, émissions de divertissement, séries, publicité etc. se font sur des critères « spéciaux » ; une vraie galère, mission impossible pour les blancs de droite hétéros, c’est du racisme sexuel, du wokisme dans toute sa splendeur genrée.

Perso je félicite et soutiens Orban et la Hongrie sans cesse harcelés par ces nouveaux inquisiteurs du sexe aux ordres de l’UE dépravée mais nos minuscules Hongrois écrasés par les sanctions des prêtres du Nouveau Sexe, seront balayés hélas par toute cette meute fasciste mondiale et tous ces partis soumis couchés humiliés, ce n’est qu'une question de temps.

Patrick EMIN

Je ne vois pas en quoi respecter les homosexuels vous oblige à prendre leur défense surtout quand on n’a personnellement rien à se reprocher ? Va-t-on être obligé bientôt de tous porter un brassard noir pour lutter contre le racisme ? Tout cela est ridicule...

Achille

@ Serge HIREL | 17 mai 2023 à 09:56
« Mais pourquoi faut-il que vous affaiblissiez votre point de vue en laissant entendre que des religions acceptent les rapports sexuels entre personnes du même sexe ? Toutes les condamnent avec plus ou moins de véhémence. »

Certes toutes les religions sont opposées aux relations homosexuelles. Mais certaines plus que d’autres. Sauf erreur, dans le cas présent, ce sont uniquement des joueurs musulmans qui ont refusé de porter le maillot ou le brassard soutenant la lutte contre l’homophobie. Dans certains pays musulmans les homos sont même pourchassés, condamnés, voire tués.

Dans l’Église il reste bien la frange des cathos réacs qui considèrent la sodomie comme un acte condamnable, mais l’évolution des mœurs s’est suffisamment introduite dans les esprits catholiques pour que ceux-ci, même s’ils éprouvent un certain dégoût pour ces pratiques, les tolèrent.
À noter que celles-ci étaient courantes chez les Grecs de l'Antiquité qui nous ont transmis toutes les valeurs philosophiques, artistiques, scientifiques et même politiques qui sont devenues les nôtres aujourd'hui. Alors à chacun de trouver son plaisir comme il lui convient...

Olivier Seutet

Curieux de baptiser humanisme une obligation d’exhiber publiquement son attachement à l’homosexualité. Autant je n’ai aucune prévention contre les homosexuels en tant qu’êtres humains, autant j’ai une profonde répugnance pour leurs pratiques sexuelles. La répugnance n’est ni le mépris, ni la haine.

Odieux de faire de la religion une espèce de maladie honteuse qu’il faut cacher avec soin : dans plusieurs croyances (dont toutes celles inspirées par la Bible), l’homosexualité est considérée comme un péché ; étant catholique, tout à la fois, je considère que ceux qui la pratiquent sont en état de péché, et que je suis en accord avec les propos du pape François : » Une personne qui vit cette condition, qui a une bonne volonté, qui cherche Dieu, qui sommes-nous pour la juger ? »

Nous sommes arrivés en ce XXIe siècle en une espèce d’ordre moral inversé où l’inverti est devenu une sorte de modèle de liberté. C’est vrai que ce n’est pas complètement nouveau quand on se souvient d’Emmanuel Berl qui a sollicité de la part de Proust un faux certificat d’inversion pour être mieux admis dans les maisons d’édition ! Mais les ridicules du passé n’excusent en rien les absurdités sur l’égalité des droits en ce domaine, le mariage pour ceux qui ne sont pas hétérosexuels, le droit à l’enfant pour des couples qui ne peuvent enfanter. L’hypocrisie de ces campagnes de publicité en faveur de l’homosexualité cachent mal la propagande, le dévoiement des jeunes, la sacralisation de l’hédonisme.

Florestan68

Cher Philippe Bilger,

Je souscris en tous points à votre propos, ce qui ne m’était plus arrivé depuis quelque temps*.

« La rencontre du mouvement féministe et du mouvement LGBT fait qu'avec la force des mythes de ces minorités, avec leurs relations dans les médias, dans la justice, au sein de l'appareil d'État, ils ont asservi l'appareil d'État à leur idéologie et donc à leurs caprices ».

Cette évidence (encore vérifiée hier soir à la télé), énoncée par un célèbre « polémiste d’extrême droite », lui a valu d’être ce lundi - heureuse coïncidence - traîné en justice pour « diffamation aggravée ».

On comprend alors pourquoi il se transforme en « condamné multirécidiviste ».

Il suffit de lire l’éditorial de l’Equipe de ce même lundi pour se rendre compte à quel point le Z a raison. S’y illustre à merveille le glissement classique qui permet à cette dictature de s’imposer : qui refuse d’être porte-maillot du lobby LGBT est accusé de transphobie.

De la même façon, qui refuse l’installation de migrants est raciste. Forcément.
C’est ainsi que l’hydre progressiste, woke, islamiste, tisse inexorablement sa toile à l’insu de notre plein gré.

Et même des esprits que l’on croyait éclairés succombent à cette manipulation. Comme Céline Pina sur Causeur (16 mai), heureusement contrebalancée par les propos sans concession de sa directrice.

Faut-il alors s’étonner que l’idéologie LGBT bénéficie d’un véritable boulevard dans le champ de ruines qu’est devenue l’Education nationale !

Même l’Ecole alsacienne semble gangrenée.

On attend avec gourmandise la réaction du ministre de l’Education, quand ses enfants lui diront ce soir en rentrant de l’école : mon papa, ce serait trop cool si tu devenais ma maman !

* J’avoue être fatigué par cette chasse au Macron, où chaque trait de caractère est fustigé, et qui finit par me le rendre sympathique, surtout au vu du courage qu’il montre face à l’aveuglement irresponsable des Français sur la situation financière de notre pays.

Michel Deluré

Parfaitement d'accord avec votre conclusion PB.

Prétendre sensibiliser l'opinion par ce type de manifestation, peut-être est-ce bien, même si je m'interroge sur l'efficacité réelle de la méthode et me demande parfois si elle n'entraîne pas un effet pervers, mais éduquer d'abord, ne serait-ce que pour inculquer le respect, et sanctionner ensuite lorsque nécessaire, me paraît de loin préférable.

Ne transformons pas nos stades en une tribune où il nous est imposé de nous exprimer en soutien à quelque cause que ce soit et cela, quelles que soient nos convictions.

Axelle D

Les enfants n'ont certes pas à être mêlés à ce grand déballage sexuel.
Le temps n'est pas loin où nos bambins devront s'excuser d'avoir des parents hétéros, taire leurs préférences "naturelles", culpabiliser en raison de leur famille, dite traditionnelle (autrement dit ringarde) ou éviter de parler spontanément de leur papa ou de leur maman.

C'est quoi ce délire qui s'apparente à une rare violence psychologique, une manipulation dangereuse sur de jeunes esprits, une inversion des valeurs et pour tout dire une véritable perversion ?

Jérôme

L'erreur serait de penser que tout va bien parce qu'il existe un quartier, étendu à quelques autres, dans lequel les homosexuels vivent, jusqu'à maintenant, assez librement. Je parle du Marais, 4e plus 3e et bordure 2e arrondissements.
C'est loin, très loin d'être le cas sur l'ensemble du territoire.
L'indifférence à la sexualité consentie entre adultes devrait être la bonne attitude.

L'homophobie étant encore très présente, la "lutte" pour l'acceptation est nécessaire, donc l'indifférence est remise à plus tard.

Les états d'âme des musulmans coraniquement homophobes m'indiffèrent. D'autant que, pour ceux qui ont eu l'occasion d'aller au Maghreb, pas à la Mamounia mais dans le Maghreb "profond" ça s'enc... à qui mieux mieux.

Il est possible de considérer la Gay Pride comme une exagération, les demandes de porter un maillot avec un numéro arc-en-ciel comme un ordre abusif... néanmoins, encore de nos jours, ce ne sont pas les homosexuels qui ratonnent les hétéros, ni l'hétérosexualité qui est punie de mort, Qatar et autres émirats...

La répétition est nécessaire. Dans toute lutte il y a des exagérations. Le féminisme, le racisme, l'homosexualité génèrent des abus, du "terrorisme" intellectuel...
Mais il est toujours bon de rappeler que ce ne sont pas les femmes qui violent les hommes, les traitent de put*s, leur mettent la main aux fesses. Ce ne sont pas les Noirs qui pendaient les Blancs aux arbres aux États-Unis, les avaient esclavagisés...
Ni les homosexuels qui frappent les hétérosexuels, mettent leurs parents à la porte. Voir sur le sujet "Faut qu'on parle", très beau document de Canal, avec entre autres l'émouvant témoignage de l'adorable Amandine Buchard, belle championne de judo par ailleurs.

Louis

J’ai essayé d’expliquer en vain je crois à une idéologue que nous étions tous identiques mais différents, nos veines ne sont jamais strictement à leur place et certains possèdent même le cœur à droite. Pour la sexualité il en est de même, la grande majorité est hétéro et une minorité homo. Le problème est que c’est devenu une religion et comme toutes les religions ça dérape et ça s’enflamme. Redécouvrons vite la belle maxime : vivons heureux et vivons caché tout en respectant la vie de l’autre et ça deviendra le paradis sur terre.

Achille

@ sylvain | 17 mai 2023 à 07:42
« Soutien total aux joueurs de foot qui ont refusé de porter le maillot honteux dégénéré de cette idéologie totalitaire LGBT !! »

En l’occurrence, ces joueurs de foot, à qui vous apportez votre soutien total, sont de fervents adeptes de la religion musulmane. Les mêmes donc que ceux que vous ne cessez d’agonir sur ce blog.
Pas très cohérent tout ça... :)

Serge HIREL

@ Achille | 17 mai 2023 à 07:56

Une fois n’est pas coutume, nous sommes d’accord. Mais pourquoi faut-il que vous affaiblissiez votre point de vue en laissant entendre que des religions acceptent les rapports sexuels entre personnes du même sexe ? Toutes les condamnent avec plus ou moins de véhémence. L’orientation sexuelle étant une affaire strictement personnelle, tout comme la foi religieuse (ou le choix d’être athée), la phobie et le prosélytisme des LGTB n’ont pas leur place dans l’espace public, a fortiori sur un terrain de football. Ce qui n’est pas le cas de la lutte contre le racisme... à condition qu’il ne s’agisse pas d’une soumission à un mouvement lui-même condamnable pour discrimination des personnes qui ne se plient pas à ses exigences.

Marcel P

Monsieur Bilger,

C'est amusant de lire « Quels que soient les motifs des rares oppositions à l'égard de cette grande messe LGBT »... Allez-vous, comme certains de vos commentateurs, nous expliquer être favorable à la soumission de la France à l'Islam ?

Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Les « rares oppositions » sont celles de l'immigration musulmane.

Vous ne voulez pas stigmatiser ces réticences ? Sommes-nous réellement au stade où il faudrait revenir sur l'idée que des gens puissent être homosexuels ? Alors que d'un côté on se goinfre de l'écriture inclusive, des sportifs hommes se prétendant femmes, vous placez le curseur au même niveau que les barbus ? Autrement dit, rejoignez-vous le camp parallèle d'un extrême aussi absurde que l'autre ?

Contrairement à ce que votre billet semble dire, le sujet, ce n'est pas les LGBT contre les autres dubitatifs. Le sujet, ce sont des joueurs de football musulmans qui affirment que l'homosexualité est un péché divin et qui refusent une simple campagne « Homos ou hétéros, on porte tous le même maillot ». Sauf erreur, ce n'est pas une campagne qui revendique des droits à la carte, juste une égalité, voire une indifférence.

Citez-les, ces opposants rebelles. Idrissa, Mostafa... La France qui fait rêver, la France où pas un ne veut être associé avec quoi que ce soit qui paraisse occidental. Vas-y sylvain, soutiens donc toute ta nouvelle bande de copains ! Vas-y Serge, raconte-nous avec des camarades de l'EI qu'en fait des gamins n'ont pas encore l'âge d'avoir une « réflexion personnelle » sur le fait que les homosexuels portent le même maillot que les hétérosexuels, comme s'il y avait une réflexion personnelle à avoir sur le sujet. Doit-il y avoir une réflexion personnelle aussi sur le fait que les juifs et les chrétiens ont le même sang qui coule dans les veines ?

Peut-on aussi demander à ces joueurs de porter le drapeau de la France, de chanter la Marseillaise, ou faut-il laisser « les footballeurs jouer au ballon » ?

On tourne en rond ici. On a une brochette de prétendus nationalistes qui rêveraient de vivre en pays d'Islam ou en Moscovie et qui pourtant disent vouloir affrêter des charters. Ça me fait autant sourire jaune que ces pauvres types manifestant en hurlant « tout le monde déteste la République » par mimétisme de l'extrême gauche.

Bill Noir

Homos, hétéros, dans les vestiaires du foot l'activité va redoubler !

sylvain

Les deux mamelles du Mal absolu : l’islamisme sanguinaire et le LGBTisme dégénéré. 

L’islamisme avance à grands pas, bruits de babouches et de couteaux, c’est clair et net, pas besoin de Zemmour pour le voir.

Mais aussi le LGBTisme qui s’infiltre partout, dans le showbiz c’est fait depuis longtemps : être noir de gauche homo telle est leur devise, dans les écoles facs lycées avec la théorie du genre enseignée dès le primaire, dans les médias, l’odieux visuel islamo-gauchisé : films séries pubs : scénarios homos noirs couples mixtes tous sexes confondus.

Dans toutes les manifs et reportages : le drapeau LGBT est brandi très haut et bien visible ; on a eu une petite manif contre un projet immobilier, parmi quelques pancartes « halte au projet etc. » il y avait un drapeau LGBT, que faisait-il là ? Ben voyons ils font leur pub, cher ami.

Manif anti-pass : un drapeau LGBT ; manif COP climat : un drapeau LGBT ; manif de Soudanais contre la dictature militaire, en arrière-plan : un drapeau LGBT, les couleurs des dessins animés : arc-en-ciel celle des LGBT, il faut habituer les gamins à se LGBTiser ; etc. etc.

Ils avancent lentement mais sûrement avec pour but de créer des générations de détraqués pervers dégénérés sexuels et comme l’islamisme avec leurs couteaux et machettes, ils gagneront eux aussi et finiront par détruire ce mâle blanc de droite hétéro catho honni et haï.

Epuration ethnique sexuelle genrée : le Mal LGBT a pris la main.... des petits enfants.

Lodi

La photo où des enfants figurent a l'air d'émouvoir ici mais je ne crois pas que c'était le cas quand des gens manifestaient avec leurs enfants contre le mariage pour tous.
Les enfants, toutes les religions, mouvements politiques et autres les embarquent, à la grande joie des adhérents, au scandale des opposants de toutes les manifestations.

C'est humain trop humain, comme dirait l'autre, mais foin de cette banalité, j'ai une idée dans l'intérêt des petits qui vaut un passage de nounours et le marchand de sable.
Il faut interdire les enfants de toutes les grand-messes politiques. Ce serait plus respectueux des mineurs, et un peu moins manipulateur des masses.

Ce point capital réglé, passons au foot et à l'homosexualité. Je comprends qu'un sport de masse où les scandales et l'homophobie s'étalent essaie de se racheter une vertu.
Mais pas plus que pour d'autres causes, je ne veux qu'on harcèle des gens pour se prêter à telle ou telle cause.

Je ne voudrais pas qu'on croie que je me désintéresse pour autant du sort des homosexuels, non, pas plus que de celui des femmes, des vieux et autres victimes préférentielles des masses vociférantes.

Je trouve désolant que les bavards ne cessent de se mêler de façon hors de propos de ce qui ne les regarde pas.
Ainsi, ce qu'on peut faire de son corps et de son cœur. Sans parler des responsabilités qu'on prend dans sa vie : qui peut être dit a priori indigne de se marier et d'élever des enfants ?
Par contre, chacun devrait bien mesurer la responsabilité que ces choix impliquent, moins droits que devoirs. Je pense que ceux qui se battent pour ou contre le fait que certains exercent les prérogatives maritales et parentales éludent inconsciemment ce point fondamental, ce dont je me désole pour les conjoints délaissés et les enfants abandonnés au caprice des irresponsables.

Je conclurai donc en enveloppant dans une même compassion les gens importunés par les obsédés de l'engagement, les homosexuels injustement décriés, les conjoints traités comme une ombre dont le corps se serait enfui à l'inverse des légendes où c'est l'ombre qui se fait la malle, et avant tout, les enfants.
Malheureux ! Trop de leurs parents les oublient à proportion de la manière dont on les instrumentalise dans toutes les causes, enfants accessoires de vie comme le foulard Hermès l'est de mode.

Achille

« D'abord quelle étrange manie de transférer dans le domaine du foot cette propension à détourner les institutions, les services publics, les activités de leur finalité essentielle voire exclusive en leur assignant un rôle et des missions totalement décalés et inadaptés. » (PB)

Le football est un sport pour ceux qui aiment le pratiquer. Il est un spectacle pour ceux qui aiment le regarder sur les gradins ou à la télé.
L’utiliser comme moyen de sensibilisation à une cause, c’est le sortir de son véritable rôle ludique.

S’il est un domaine dans lequel le football se distingue, notamment sur les gradins, ce serait le racisme plutôt que l’homophobie.
Je pense que sur ce thème aucun joueur n’aurait refusé de porter le brassard.
L’homophobie, par contre, est un thème clivant. Il n’est un secret pour personne que certains joueurs appartiennent à une religion qui n’accepte pas les rapports entre personnes du même sexe et ils ont vécu cette opération comme une provocation.
Laissons au football ce pourquoi il est apprécié par des millions de Français. Un moment de plaisir de 90 minutes et arrêtons « d’emmerder les Français » comme le disait fort justement Georges Pompidou.

Aliocha

Injonctions religieuses face à injonctions religieuses, CNews a de l'avenir, dois-je développer ?

On a partout du petit-neveu à ratonnade et Tipaza ne comprend toujours pas, c'est comme ça.
Votez Momo, votez Zemmour ou Mirza, même bûcher, même combat, la bibliothèque au feu, Macron au milieu.

https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Proust_-_%C3%80_la_recherche_du_temps_perdu_%C3%A9dition_1919_tome_9.djvu/48

Tipaza

Deux titres d'articles du Figaro :

"Accueil des LGBT+ à l'école : Pap Ndiaye lance une campagne de sensibilisation" (aujourd'hui)

"«Ils ont accusé les enfants d'être transphobes»: à l'École alsacienne, une conférence sur les trans scandalise les parents" (hier)

Moralité : le ver LGBT+ est dans la pomme.

sylvain

Soutien total aux joueurs de foot qui ont refusé de porter le maillot honteux dégénéré de cette idéologie totalitaire LGBT !!

J’avais déjà beaucoup écrit à ce sujet sur le billet précédent, aussi je réitère mon soutien absolu à ces joueurs qui sont des héros face à cette idéologie dictature destructrice qui écrase tous ceux qui refusent d’y adhérer.

Honte à tous les médias procureurs Torquemada qui depuis cet incident ont engagé une campagne d’inquisition nauséabonde, insultes injures calomnies menaces contre ces footeux, digne de celles du nazisme et du stalinisme réunis.

Soyez maudits journalopes, chroniqueurs, médias, ministres, associations woke et toute l’ordurerie bien-pensante officielle seule autorisée !

Le LGBTisme No Pasaran ! resistenza ! libertad !
Vive les footeux libres !

Après le drapeau de la honte, la pancarte de la honte !
Honte, c’est le qualificatif parfait pour résumer cette situation grotesque débile nauséabonde.

Marc Ghinsberg

« Homos ou hétérosexuels on porte tous le même maillot ». C’est le slogan choisi par les instances dirigeantes du football pour lutter contre la discrimination qui sévit trop souvent dans le monde sportif et notamment dans celui du ballon rond.

Tous ceux qui ont fréquenté les vestiaires de ce sport ont pu le constater à un moment où à un autre. Le foot est donc directement concerné. Il ne s’agit pas de « célébrations collectives imposées et de manifestations d'hommage ostentatoires » mais de sensibiliser joueurs et spectateurs à un sujet concret dont ils sont partie prenante. Faut-il rappeler les insultes homophobes dont sont trop souvent victimes joueurs et arbitres de la part de spectateurs délicats ? En tant que Marseillais, je ne suis pas très fier d’entendre des supporters de l’OM crier lorsque le club rencontre le PSG : « Paris on t’encule ».

C’est donc si difficile à comprendre ?

Claude Luçon

Bravo pour la photo !
Un message à elle toute seule !

Des gamins en train de passer de la puberté à l'adolescence, des entre-genres en somme !
Des gamins qui ne savent sans doute pas encore à quel genre ils appartiennent !
Il n'y a que le panneau qui porte le maillot arc-en-ciel.
Avec un "uber" sur le côté, uber quoi ?

Le football n'est plus un sport c'est, suivant le cas, ou tout à la fois: un investissement, une fabrique de célébrités royalement payées, des publicités, un défoulement, un endroit pour montrer son drapeau autre que bleu-blanc-rouge, le plaisir de siffler, hurler et gesticuler en agitant les bras ensemble, pour les joueurs de se rouler sur le gazon, insulter l'arbitre...

Drôle de façon de "prendre son pied" !

"Laissons la société s'émouvoir, les footballeurs jouer au ballon, chacun se gouverner pour le meilleur et la Justice sanctionner les délinquants." (PB)

Ben oui, mais un sacré défi !
C'est sans doute un cas où impossible devient français !

Serge HIREL

Réaction à chaud après la découverte, non du billet, mais de la photo qui l’illustre. N’y figurent que des jeunes qui n’ont pas l’âge d’une réflexion personnelle sur ce sujet. Nous sommes donc là face à une manipulation de la part des dirigeants du foot. Il s’agit, ni plus ni moins, d’un abus de faiblesse de leur part. D’autant plus grave qu’il est commis par des personnes ayant autorité sur eux. Le foot, déjà bien gangréné par l’argent, devient nauséabond.

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