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04 juin 2023

Commentaires

Henri Gibaud

L'Etranger n'a pas pleuré quand la composition somatique de feue sa mère a été portée dans le sol. "L'Etranger doit être égorgé !" (vulgate phillipique).

Ellen

Devant tant d'épreuves endurées pendant la guerre et à élever, seule, ses quatre enfants tout en travaillant dur, votre maman a eu un courage phénoménal et une force de caractère que peu d'hommes seraient capables d'assumer dans les mêmes circonstances.

Je comprends que votre maman vous manque.
Tout comme la mienne, qui était pleine de sagesse, de douceur avec en même temps une force de caractère sachant résoudre tous les problèmes de la vie.
Elle me manque aussi énormément. Il ne se passe pas un seul jour où je ne pense pas à elle. Aujourd'hui c'est un vide total. Plus rien n'est pareil depuis qu'elle nous a quittés.

Pour sa fête des mères, j'écris chaque année un petit poème que je mets dans son album de photos pour entretenir la mémoire de ses petits-enfants qui l'adoraient aussi.

Tipaza

@ Xavier NEBOUT | 05 juin 2023 à 09:10

Pour poursuivre votre analyse linguistique, savez-vous qu'en arabe les mots de maman et celui de l'eau sont identiques ou presque ?
Maman se dit phonétiquement mama, et l'eau ma, ou si on conserve l'article, alma.
Dans les pays de déserts que sont les pays arabes comment ne pas être impressionné par le fait que ces deux mots s'expriment de la même façon.
L'eau est la vie pour tout être vivant dans ces pays et la mère est la vie pour le bébé.
Quel plus grand hommage que de reconnaître, dans la langue, que la mère est la survie de l'enfant.

sylvain

« La photographie pourrait dater des années cinquante. La femme idéale, aimante et altière, montrait une façade somptueuse et savait cacher tous les tracas de sa vie. »

Très bonne analyse de Vamonos.

Pour faire très court, je rajouterai la mienne : il suffit de voir son regard, tout y est : calme douceur bonté empathie amour affection, une très belle femme, ça nous change de ces horribles LFI Nupes EELV hideuses haineuses féminazies woke progressistes masculophobes tue l’amour, images sordides peu reluisantes de notre société violente laide morbide qui voue un culte à tout ce qui peut provoquer du dégoût.

Nostalgie des années 50 où beaucoup de nos femmes, mères, tantes, ressemblaient au portrait de cette femme.

Merci Philippe de nous avoir fait partager ce moment d’émotion intense.

Michel Deluré

Quel sentiment à la fois plus intime et plus intense que l'amour qui lie une mère à ses enfants et des enfants à leur mère ? Existe-t-il en fait amour aussi passionnel ? N'est-ce point l'amour, le vrai, dans toute sa pureté, dans toute sa beauté, qui n'attend rien en retour et qui est toujours prêt à pardonner ?

Ma mère, contrairement à d'autres sur ce blog, ayant vécu centenaire, j'ai eu cet immense bonheur d'être par elle longtemps aimé et d'avoir pu, je l'espère, lui apporter moi-même en retour un amour digne de celui dont elle me comblait.

Et pour expliquer cet amour, rien ne me semble mieux que de me référer encore à Montaigne en lui empruntant la phrase suivante et en l'adaptant à la circonstance : « Si l'on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je pense que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : parce que c'était elle ; parce que c'était moi ».

Xavier NEBOUT

Mère ou maman ?
Les mots « papa » et « maman » ou similaires, comme abu, baba, dada, etc. étant en usage d’un bout à l’autre de la planète, ils ne sont probablement pas à proprement parler issus d’une culture commune, mais de la nature humaine. Pour père et mère, c’est plus compliqué, et les linguistes illustrent bien par leur absence sur ce sujet, une science le plus souvent assise sur du vent.

La différence semble apparaître dans la lettre « t » dans les mots tels que « Pater » - « mater » en latin, Phather, father, mother, etc. en Europe centrale et germanique, et je vais ici lancer une hypothèse qui fera à n’en pas douter date dans l’histoire.
Après « ma » de ma maman à moi, nous aurions ma – ta, ta maman à toi.

Quant à la différence entre maman et papa, elle serait celle de l’affection infinie dans l’amour filial, et de l’admiration infinie dans l’amour filial.
Si les petits camarades ont mieux, je suis preneur.

Bernard C

Cher Philippe Bilger,

C'est la première fois que j'interviens sur votre blog que je lis quotidiennement, et ce sera probablement la dernière.
Ma mère est morte en février dernier, à quatre-vingt-seize ans. Ce mois-ci, j'en aurai soixante-quinze. C'est ma première fête des mères "sans elle".
Alors je n’ai qu'un mot à vous dire : Merci ! Merci pour ce très beau texte...
Et comme les bavardages de certains de vos commentateurs paraissent vains...
Cordialement.

Vamonos

La photographie pourrait dater des années cinquante. La femme idéale, aimante et altière, montrait une façade somptueuse et savait cacher tous les tracas de sa vie.

Le titre est accrocheur, la nostalgie peut faire mal ; mais une mère a également ce pouvoir de pourrir la vie de ses enfants et réciproquement.

Est-ce bien le moment de faire un procès à toutes les mamans à cause des erreurs de quelques-unes ? Pourquoi pas après tout ce qui s’est passé et continue de pourrir l’image des pères, une critique des mères est tout à fait envisageable dans le cadre de la liberté d’expression sur ce blog.

L’amour d’une maman pour ses enfants est tout aussi fort que celui d’une fratrie pour leur premier logement commun, l’utérus qui les a abrités.

Dans un cas comme dans l’autre, l’amour peut devenir trop grand, trop fort, trop exclusif. Les caprices, les exigences insatiables peuvent faire mal aussi bien à la mère qu’aux enfants.

Les cycles de renouvellement des générations continuent, les mères méritent le respect mais pour combien de temps encore ? Les lois ont évolué, les romanciers ont témoigné des changements terrifiants de cet amour maternel.

Folcoche d’Hervé Bazin a été cité mais il y a pire. On se souvient du prénom de Mme Bovary de Gustave Flaubert. Emma dilapide les biens de son foyer pour tenter d’assouvir son désir compulsif de consommation. Plus rien ne compte, pas même sa fille Berthe qui se retrouve orpheline dans une usine.

Des exceptions certes ; mais qui ont ouvert une brèche, les femmes ont obtenu le droit de divorcer facilement en obtenant une rente et des compensations. Pourquoi se gêner ? Certainement pas pour les mioches ! Il suffit de dire que c’est pour leur bien puisque maman sait tout ce dont les mioches ont besoin.

L’argent n’est pas la seule cause des divorces, c’est la mode, on aime, on se lasse, on passe à autre chose.

La mode a encore évolué, de nos jours, les femmes n’arrivent pas à se décider, ne trouvent pas l’amour impossible qu’elles idéalisent. Alors, elles partent en voyage pendant quelques jours pour une destination où les lois permettent de choisir sur catalogue un embryon qu’elles porteront pendant neuf mois.

Encore plus fort, une femme peut désormais revendiquer le rôle de mère alors que l’embryon a été porté par une femme à l’autre bout du monde. Michel Houellebecq, dans son roman « anéantir », a croqué un tel personnage féminin qui est un témoignage de situations actuellement plausibles à défaut d’être communes.

L’année prochaine, puis les années suivantes, les mères seront fêtées de nouveau. Le souvenir de la mère et des aïeules sera ravivé un peu plus en ce jour spécial. On pensera à elles, quelle que soit la religion, la croyance ou la conviction intime. L’animisme est transversal et devrait fédérer. Mais un orphelin de mère est inconsolable, reste à définir juridiquement la notion de mère à l’aune des nouvelles pratiques de consommation de bébés.

Le législateur peut-il faire abstraction du souvenir d’un enfant pour l’utérus d’une mère porteuse ? Une attestation de mère et une fiche d’état civil sont-elles suffisantes pour fournir des racines affectives en adéquation avec les gènes des parents biologiques ? La réalité est-elle vraiment dissoute dans les circonvolutions des textes législatifs ?

L’avenir est plein de promesses pas forcément radieuses.

Axelle D

La Mamma
https://youtu.be/ADYDZMc1GbU

Bruno Crayston

J'avais 13 ans quand ma mere est decedee, elle en avait 31... mon pere se retrouve veuf a 33 ans... j'ai bien mis un peu plus de cinq ans a m'en remettre, si on se remet jamais de la mort d'une mere quand on est jeune comme ca...

Ma femme a sorti, d'une boite a chaussures, une photo noir et blanc de maman et moi quand je devais avoir deux ans, dans le jardin de mes grand-parents...
La photo est sur le mur entre celle de ses parents, et une photo de mon pere portant casque a ailes et epee courte de plastique, car il fait rire ses petits-enfants...
Les trois photos sont en noir et blanc...

sylvai

Esprit de Pétain es-tu là ?
Nous avons fait tourner les tables, Pétain nous est apparu et nous a dit : « Croyez en moi, écoutez-moi et suivez-moi… »

Depuis cette apparition et ce message divin, pour moi c'est clair, net et précis : ce sera RN, rien que RN ; le vote frontiste va devenir un acte de résistance à la charia macronienne corrompue mafieuse antirépublicaine collabo islamiste qui sévit en ce moment, a mis la France à genoux, l'a ruinée et ridiculisée aux yeux du monde entier.

Les électeurs frontistes sont nos nouveaux Jean Moulin ; la diabolisation orchestrée par la macronie et toutes les alliances magouilleuses appuyées par la propagande honteuse anti-RN amplifiée par les merdias couchés comme des pantins, feront sûrement barrage au parti de MLP pour les élections mais leurs masques sont tombés, dévoilant leurs vrais visages de fachos gauchistes hideux et haineux.

À l'avenir ils seront condamnés éternellement à poursuivre cette inquisition ignoble contre le RN pour exister politiquement.

Me voilà donc devenu pétainiste, moi qui croyais que c’était le surnom des habitants de Castelnaudary gros consommateurs de cassoulet, j’en suis tout confit (de canard) ; depuis, devenu moi-même un cassouliste confirmé, j'en pétaine de joie du soir au matin.

Xavier NEBOUT

@ Achille

Mais comme c'est bien le Maréchal qui l'a fait inscrire pour la première fois sur le calendrier le 25 mai 1941, c'est bien lui qui a effectivement créé la fête des Mères.

Achille

@ Serge HIREL | 04 juin 2023 à 17:13
« Vous êtes le premier à avoir dégainé vos habituels tirs de barrage contre le Maréchal... »

Tir de barrage, le mot est un peu fort me semble-t-il. J’ai juste rappelé que le Maréchal n’était pas vraiment l’initiateur de la fête des mères. Il l’a juste institutionnalisée, si l’on peut dire, mais elle existait déjà bien avant dans d'autres pays et remonte même jusqu'à l'Antiquité.
Seule décision qui trouve grâce à mes yeux, bien que son intention était surtout de favoriser la natalité dans un pays décimé par la guerre. Étaient principalement concernées les mères de famille nombreuses.
En fait son intention était d'abord de ne pas manquer d’effectifs pour la prochaine qui semble se pointer à l’horizon.
Quelque part c'était un visionnaire ! :)

P.-S.: j’ai trouvé une photo de sylvain avec sa mitrailleuse ! 😊

Henri Gibaud

In Nomine Matris Et Filiae Et Invertis Mentis (transitionnel déclinique).

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 04 juin 2023 à 18:42

Quand l’ineffable Monsieur Jourdain de Dieppe découvre les bienfaits du progrès... Si, si, Patrice, d’ici peu, vous serez sur Facebook, Twitter et TikTok montrant au monde entier votre recette personnelle du merlan à l’eau...

Mais vous avez raison sur un point : le bon photographe, celui qui sait aller chercher l’âme, se fait rare à cause du numérique. Il ne suffit pas de « shooter » et de « shooter » encore pour réussir un portrait. Celui de la mère de notre hôte nous fait découvrir, non une photo prise au vol, ni même une photo de studio, mais la photo de sa personnalité. Un document qui va bien au-delà des épreuves entassées dans les « press-books » qui, soi-disant, reflètent l’originalité de telle ou telle mannequin, alors qu’utilisant les mêmes artifices numériques, elles se ressemblent toutes et parviennent tout juste à imposer un stéréotype sans chaleur humaine.

Claude Luçon

Quel magnifique éloge et déclaration d'amour à votre Mère !

Après avoir lu, récemment, toujours de ce même Philippe Bilger
"Je ne cesse de bénir le fait d'avoir le bonheur de vivre avec une épouse dont je peux affirmer qu'elle est sociable pour deux, emplie d'une humanité à l'égard d'autrui qui compense largement ma sauvagerie naturelle."

...on en serait jaloux, sinon envieux !
Heureux homme !

Patrice Charoulet

Vous nous montrez une photo de votre mère que vous aimiez tant.
Je suis plus qu'agacé de voir les gens prendre des photos de tout et n'importe quoi avec leur portable
Et je me demande ce que les gens font avec ces milliards de photos.
Je ne prends jamais de photos ni avec un appareil photo ni avec mon portable.
Et pourtant d'autres que moi dans ma famille avaient pris des photos. Je leur en suis reconnaissant.
Grâce à ces photographes familiaux, je peux avoir devant moi, dans des cadres, de belles photos de ma chère femme, des photos de mes enfants, de ma mère, de mon père... Merci, chers photographes.

stephane

C'est du rinarde ?
Petite rigolade peut-être mal placée, mais ce décès me ramène à mes années d'université à Strasbourg où j'avais eu la chance de rencontrer deux de ses descendants avec qui on parlait parfois de Rozières.
C'est une bien belle pensée cher Philippe. Ma mère prenant à son tour de l'âge, votre billet m'incite à réfléchir à son après, en profitant du pendant.

Aliocha

Que faire pour le monde d'en bas lorsqu'on est passé dans celui d'en haut ?
Prendre des domestiques...

Serge HIREL

@ Achille | 04 juin 2023 à 07:54

Dès que j’ai découvert, dans le courant de la matinée, le nouveau billet de notre hôte, j’ai pensé que les « anti-pétainistes » patentés dont vous êtes, ne manqueraient pas cette nouvelle occasion d’exercer leur talent... Félicitations ! Vous êtes le premier à avoir dégainé vos habituels tirs de barrage contre le Maréchal... Quant à « sylvain », pourfendeur en chef de votre groupuscule, il a pris beaucoup de retard sur vous... Sa mitrailleuse s’était probablement enrayée...

sylvain

Pour la fête des mères, nous avons ressorti le portrait de son icône, celui du maréchal Pétain qui trône haut le képi en arrière-plan du gâteau sur lequel nous avons planté des bougies en lettres majuscules pour féliciter ses héritiers qui continuent à perpétrer sa mémoire et son charisme : FN, RN.
Bien entendu nous avons chanté ses louanges avec ce chant sublime :
« Maréchal nous voilà »

hameau dans les nuages

La photo de votre mère sur votre table de chevet est un peu too much, non ? Mon père faisait de même ce qui énervait passablement son épouse, ma mère.

Ils sont partis maintenant tous les deux. Point de photo de celle-ci au chevet du lit conjugal.

Mais j'ai un argument. Leur caveau est au bout du champ jouxtant la maison, au cimetière dont le mur s'est effondré malicieusement au droit de leur tombe.

J'ai ainsi vue sur la mère.

Germaine si tu me lis... Tu ris ? Tu as bien raison.

Xavier NEBOUT

De la mère décédée, l'âme se manifeste parfois dans d'étranges songes, sous l'apparence d'une effigie comme sur une pièce de monnaie, souvent pour rassurer.

Et si l'on en parle autour de soi, on s'aperçoit que d'autres ont eu la même expérience. Il s'agit bien d'une âme, et cela pose la question de savoir que faire pour le monde d'en bas lorsqu'on est passé dans celui d'en haut.

Serge HIREL

« Sans elle, nous n'aurions pas été là. Grâce à elle, nous serons. » (PB)

...Et nous voici aujourd’hui à vouloir produire des bébés contre rémunération... À votre âge, cher Philippe, à notre âge, quels souvenirs auront-ils de celle qui les a portés, mis au monde, puis vendus ? Pourront-ils écrire avec ce même amour filial un tel hommage à leur mère... à leur « maman » ? Quel monde construisons-nous ?

P.-S. : il serait dommage que ceux qui, déjà, ont envahi les commentaires de votre billet précédent, poursuivent ici leur combat sous prétexte que « Vichy » n’est pas pour rien dans cette institution qu’est la Fête des Mères... Et espérons que le manteau de fourrure que porte votre mère n’excitera pas les écolos...
Cette photo, chacun voudrait en avoir une aussi belle, aussi douce, aussi apaisante, sur sa table de chevet...

Aliocha

"Dame, tu es si grande et si vaillante,7

que quiconque veut la grâce sans recourir à toi

pour atteindre son désir vole sans aile.•15 "

https://ladivinecomedie.com/la-divine-comedie/paradis/chant-xxxiii

La mère, fille de son fils, a enfanté ces pères qui ne sont que des frères.
L'amour filial, ici exprimé avec grâce, trouve au regard photographié d'une personne à qui on ne la fait pas, l'affirmation là-bas de la flamme ardente de la charité, ici le souvenir vivant de l'espérance, inépuisable fontaine.

Celtapiou

Votre mère est belle, cher Philippe Bilger !
Nous retrouvons en vous le regard malicieux et bienveillant
qu’elle semble jeter sur le monde qui l’entoure…

Nous avons plaisir à partager ici des sentiments qui persisteront, avec notre aide, dans un environnement de moins en moins tendre !

Jérôme

Jolie mélancolie apaisante.

genau

Ça ne se commente pas. À travers toutes les avanies, les êtres étranges et les malfaisants, nous sommes encore nombreux avec ce petit saignement au coeur. Hélas, il y a de mauvaises mères, des mères indifférentes, des Folcoche, nécessaires à notre monde.
Nous, les proles, lucides, qui sommes sûrs de leur qualité, quoi qu'elles aient fait ou dit, savons qu'elles emplissent notre âme.

Louis

Quelle phrase merveilleuse que celle toute simple de : Bonne fête Maman.

Achille

On a tendance à attribuer la création de la fête des mères au maréchal Pétain qui revient à la une de l'actualité depuis quelque temps, notamment sur ce blog.
Mais en fait cette fête était déjà apparue en 1918 avec l’arrivée des soldats américains sur le sol français, qui ont apporté avec eux leur tradition déjà bien ancrée du Mother’s Day.

Quoi qu’il en soit c’est une merveilleuse idée qui permet de rappeler que les mères constituent l’élément fédérateur d'une famille et qu'elles méritent bien l’amour que nous leur portons et qui demeure ancré au fond de nous bien après qu’elles nous ont quittés.
Bonne fête à toutes les mamans de ce blog !❤

Xavier NEBOUT

On remarquera la maison en arrière-plan.
C’est que de nos jours, si on n'a pas cent hectares et un bon régisseur, depuis l’arrivée des socialistes, on ne peut plus payer les domestiques. Surtout que maintenant, ils ont des prétentions pour le logement, et je ne vous parle pas des ouvriers qui veulent le confort dans les dépendances. Attention, je dis 100 hectares en domaine, pas en métayage ou en fermage !
Alors, on a dû s’en contenter.

Henri Gibaud

Le fruit de vos entrailles soit béni. (traditionnel liturgique)

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