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14 août 2023

Commentaires

Aliocha

Oho, Dame Axelle se réveille qui, elle aussi, en est encore à confondre amour et séduction.
Ce ne sont pas des ailes à elle qu'il faudrait, mais un bombardier pour élever son talent, puisqu'il faut bien céder à la comparaison, tout le monde n'est pas aussi léger que le vent.

Axelle D

@ Aliocha | 25 août 2023 à 13:41

Le dépit vous fait vraiment écrire n'importe quoi !

Ce serait plutôt à vous qu'il reviendrait de prendre de la hauteur, alors que vous ne cessez de patauger dans la boue de votre ressentiment d'avoir été dédaigné à maintes reprises et renvoyé à vos sermons hypocrites par duvent, une dame de qualité, de clairvoyance et d'esprit...

Aliocha

@ duvent

Wildness, comme vous y allez, alors que vous sélectionnez ceux qui auraient le privilège d'avec vous entendre la cantate !

Vous êtes juste la Verdurin du Verdon, sectaire comme une barbare de salon.

Ne voyez là aucun jugement mais simple constatation sur la base de vos dires, que je lis avec toujours autant de plaisir, qui m’inspirent autant le souvenir de la grand-mère à laquelle vous me faites penser et dont vous ressuscitez le souvenir, jamais je ne cesserai de vous en remercier.

Cela ne m’empêche pas néanmoins de voir ce que je vois, que votre cerveau étriqué de petite bourgeoise adolescente en est encore à confondre amour et séduction.

Vous ne pouvez concevoir que mes propositions de vous aider à desceller ce clou au plafond autour duquel vous tournez comme l’huile à l’eau de vos superstitions, sont la conséquence de l'observation objective de ce sectarisme que vous déployez avec constance et qui ne peut que se retourner contre vous, ce qui vous concerne, mais qui pollue votre talent, ce qui me blesse l’œil du cœur comme le racisme de Marchenoir à qui vous ressemblez tant.

Si cela vous amuse d’en rester à hauteur de croupion, rien ne m’empêchera de vous rappeler que c’est ce qui sort de la bouche qui la souille, alors que ce qui y rentre finit aux lieux d’aisance où vous vous plaisez à patauger, allant jusqu’à associer l’adorable qui partage ma vie à vos cochonneries qui ne révèlent que vous et ne m’intéressent guère.

C’est donc avec cet amour décrit plus haut que vous m’inspirez que je vous conseille de cesser de proclamer que vous vous tamponnez mollement les coquillards alors qu’à deux genoux vous vous abaissez, vous étonnant qu’à hauteur de cloaque vous n’êtes forcément à même que d’en sentir les pestilences qui vous inspirent, que votre talent vous intime de vous lever pour lui insuffler un air moins vicié qui saura, cela est certain, donner ses ailes à votre liberté.

Vous avez bien entendu tout loisir de choisir de continuer à ramper.

Croyez en ma fidélité - pas envers vous, infantile vaniteuse - mais envers l’épouse si bien nommée.

F68.10

@ duvent
"Si Sam Harris est rationaliste je suis raccommodeuse de boyaux à saucisses."

Alors vous êtes raccommodeuse de boyaux à saucisses.

Diderot ne disait rien d'autre que ce que moi et Sam Harris disons. Il était bien ce qu'on appellerait maintenant un rationaliste.

duvent

@ F68.10 | 25 août 2023 à 00:39
« Ce "leurre minable" n'est rien d'autre que la position d'un fragment de la population qui s'appelle les rationalistes. Dont votre serviteur.
Vous trouverez, sur le net, des "professions de foi" assez claires en la matière »

Si Sam Harris est rationaliste je suis raccommodeuse de boyaux à saucisses.
Vous avez donc bien usé d'un leurre minable...

« Vous l'êtes (ennemie), Madame. Vos aboiements permanents à mon endroit en témoignent. »

Non, et cessez de vous vanter ! Mes ennemis savent distinguer entre un chien et un loup !

Wildness ! Oh, yeah !

F68.10

@ duvent
"Qu'est-ce que c'est que ce leurre minable ?"

Ce "leurre minable" n'est rien d'autre que la position d'un fragment de la population qui s'appelle les rationalistes. Dont votre serviteur.
Vous trouverez, sur le net, des "professions de foi" assez claires en la matière:

"La seule chose qui permette aux êtres humains de collaborer entre eux de manière pleinement ouverte et intégrée n'est rien d'autre que leur capacité volontaire de voir leurs croyances et idées modifiées par de nouveaux éléments en débat. Seule l'ouverture aux faits et au débat argumenté est en mesure de nous assurer un univers et un futur commun." -- S. H.

Ce n'est donc ici pas une position isolée de ma seule personne.

"Non, je ne suis pas votre ennemie, car moi, voyez-vous, je me choisis moi-même mes ennemis."

Vous l'êtes, Madame. Vos aboiements permanents à mon endroit en témoignent.

Aliocha

Voir Marchedent nu.
Anagramme lumineux !

Mais que fait la police ?
Elle choisit ses ennemis...

duvent

@ F68.10 | 24 août 2023 à 19:54
« Dans ce monde, il n'existe que la communication pour que les êtres humains, au-delà de leurs différences, arrivent à résoudre leurs problèmes. C'est le seul mécanisme de pilotage de la collectivité humaine qui existe. Il convient donc de le respecter un minimum afin de construire une société où deux mutuels inconnus arrivent à créer les conditions d'une collaboration commune, qu'il s'agisse de résoudre les problèmes de leur quartier, de monter une boîte, ou de faire de la politique. »

Qu'est-ce que c'est que ce leurre minable ?

« ...il n'existe que la communication pour que les êtres humains, au-delà de leurs différences, arrivent à résoudre leurs problèmes. »

Maintenant on est dans le mode amiable de résolution des conflits, c'est un retournement intéressant... Vous vous croyez dans un couvent ?

Je prends bonne note de votre mission sur Terre !

Je n'ai pas comme vous besoin de me cacher derrière une super-mission, de déblatérer au chaud, et de prôner des guerres tranquillement installé dans une Suisse verdoyante, florissante...

Pour ce qui est de votre argumentation faiblarde et faussement conciliante, elle est grotesque.

Je prends, néanmoins, bonne note de l'utilité de la communication, parce que jusqu'ici, je ne l'avais pas relevée, ou plutôt je m'en doutais un peu, et je me disais que le langage c'était un truc pas bête du tout pour dire aux autres qu'on les respecte, qu'on les aime, que leur bonheur nous importe, que leur bien-être aussi ou qu'ils sont dans l'erreur et l'aveuglement...

Dans ce passage : « Il est nécessaire que le langage ne soit pas pollué au point où le faux est vrai, où l'important est insignifiant, où il ne devient qu'un jeu au service du plus retors », il me semble que ce que vous prenez pour de la pollution c'est tout simplement l'autre, l'autre est très dérangeant, il ne fait pas comme vous, il n'est pas intéressé par vous, il ne veut pas appliquer votre règle et c'est à ce moment-là que vous dégainez la pollution.

Donc, l'autre pollue tandis que vous sortez les poubelles, et là je dis : bravo ! Félicitations !

Merci de nous dire quand, comment, et avec qui il faudra se dire : Attention, ici langage suspecté de pollution !

« Et quand Madame duvent vient nous raconter à quel point rien n'a d'importance, il convient de le lui expliquer encore et encore et encore que, si, cela importe. »

Encore, encore et encore, c'est beaucoup, non ?

Madame duvent comprend vite, et madame duvent vous fait savoir que votre laïus est celui d'un faux-cul, qui s'accorde beaucoup trop d'importance, c'est tout à fait risible.

« Donc, oui, sur cela, nous sommes bel et bien ennemis. »

Non, je ne suis pas votre ennemie, car moi, voyez-vous, je me choisis moi-même mes ennemis, et avec soin, vous n'en faites pas partie, vous n'êtes rien qu'un bavard infatué !

F68.10

@ sylvain
"Ben dites donc, y a des lauréats en crêpages de chignon ici."

Je vous confirme, Monsieur, qu'il est important de faire passer l'idée que l'attaque personnelle, en tant que tactique rhétorique, est un poison lent. Il est donc nécessaire de revenir aux bases de ce qu'est et de ce que n'est pas l'attaque personnelle pour faire comprendre quelle est la nature du problème dans le comportement de Madame Axelle D.

Vous appelez cela du crêpage de chignon. Je trouve, quant à moi, que c'est un travail d'éboueur tout à fait nécessaire.

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@ duvent
"Ça, c'est bien vrai !"

Oui. Effectivement. Il n'y a aucun risque que l'hypocrisie ne vous étouffe vu que c'est ce que vous respirez. Vous semblez croire que les mots ne sont qu'un jeu. Ce n'est pas le cas.

Votre petit côté joueur, il est peut-être un peu marrant. Mais arriver à faire en sorte d'assainir le débat public, cela passe par une opposition ferme à votre culture du trivial et votre passion de la trivialisation.

Dans ce monde, il n'existe que la communication pour que les êtres humains, au-delà de leurs différences, arrivent à résoudre leurs problèmes. C'est le seul mécanisme de pilotage de la collectivité humaine qui existe. Il convient donc de le respecter un minimum afin de construire une société où deux mutuels inconnus arrivent à créer les conditions d'une collaboration commune, qu'il s'agisse de résoudre les problèmes de leur quartier, de monter une boîte, ou de faire de la politique.

Pour arriver à cela, il est nécessaire que le langage permette cette collaboration. Il est nécessaire que le langage ne soit pas pollué au point où le faux est vrai, où l'important est insignifiant, où il ne devient qu'un jeu au service du plus retors.

Donc, face à des retors, comme Madame Axelle D, il est nécessaire d'être ferme. Et de lui expliquer par A + B ce qu'est une attaque personnelle. Et quand Madame duvent vient nous raconter à quel point rien n'a d'importance, il convient de le lui expliquer encore et encore et encore que, si, cela importe.

Vous prenez cela pour un jeu.

Pas moi.

"Votre but n'est pas de débattre ou d'échanger des idées, pas du tout, votre but consiste à écraser l'autre, celui que vous prenez pour votre faire-valoir."

Je compte écraser la culture du n'importe quoi rhétorique que vous et Madame Axelle D incarnez.

Ce qui n'est nullement contradictoire avec l'idée de défendre le droit de Madame Axelle D de raconter n'importe quoi.

Vous, vous "militez" pour le droit de raconter n'importe quoi accompagné de l'interdiction de faire remarquer à autrui qu'il raconte n'importe quoi.

Vous cherchez donc à créer les conditions d'un exercice déséquilibré de l'expression publique et à faire taire les gens qui rappellent que les idées importent (car, qu'on le veuille ou non, elles dirigent le monde) et qui cherchent à faire comprendre en quoi un langage un peu respectueux de la Vérité (avec un grand V) est la condition essentielle permettant aux humains de réellement débattre, sur des sujets qui importent, et d'ainsi régler en commun leurs problèmes.

Vous postulez, en fait, que cela est impossible, et vous vous vautrez dans l'insignifiant en conséquence. Vous faites illusion auprès de ceux qui confondent esprit et humour et qui n'ont cure de créer une société où les humains collaborent plutôt qu'ils ne s'affrontent.

Une société qui ne respecte pas les règles élémentaires de débat - comme la société française - est une société condamnée à la violence. Pas celle des blacks et des arabes, mais celle qu'elle s'auto-inflige toute seule en l'enrobant d'un ronronnement satisfait. Parce qu'elle crée ainsi les conditions de l'insolvabilité de ses problèmes.

Donc, oui, sur cela, nous sommes bel et bien ennemis.

Aliocha

Et c'est ainsi que la plainte de la police finit aux charmes noirs du vent du soir. Nos hôtes sont bien courageux, merci à eux.

Aliocha

Elle a chaud la chipie qui mime la volaille mâle et sur ses ergots se la joue matamore, virago des toros.
Chauffez, duvent, vous nous rafraîchissez le fondement qui brûle d'impatience de lire vos prochains délires de girouette qui se prend pour Zéphir, juge depuis son Aventin l'image véritable du bourreau évitable, vous-même enfin, dotée des attributs aussi inexcusables que vos absolutions, quand Marchedu ressemble à noirvent au point de les confondre au bal des sorcières, la vogue des méchants.

duvent

@ Aliocha | 24 août 2023 à 08:37
« La volaille se gausse, ou quand la moquerie remplace les arguments.
Voilà qui vaut bien verre de Fendant... valaisan, quand du même cépage on fait dispute pour savoir qui en aura l'usage et se retrouvera, torché comme Polonais, le nez dans le fondement du voisin qu'on dénigrait pourtant, mon nom est Marchevent, c'est dunoir qui est méchant.
Bonne nuit, les enfants ! »

Qu'est ce que c'est ça ? de la poésie, de la philosophie, de la sociologie, de l’eschatologie ?
Non ! C'est juste de la fiente...
Celle du dindon, qui s'était pris pour Saint Pierre.

Au dindon à qui je réponds, parce que je ne méprise rien ni personne, il sera expliqué qu'accourir ventre à terre, lorsque la pièce est jouée, est non seulement d'une grande stupidité, mais encore d'une pitoyable veulerie.

Dindon sermonneur que ne t'es-tu tu ?
Dindon prêcheur que ne t'en tiens-tu à ta dinde ?
Dindon, dis-nous donc pourquoi ta dinde ne s'occupe pas plus de ton croupion ?
Dindon dont le croupion déplumé peine les cœurs les plus durs,
Dis donc, dindon crois-tu que ta prose fétide fera un bon sermon ?
Dindon, dis donc il faudra bien un jour que tu ouvres tes yeux rouges de volaille,
Dis donc dindon, mets du rimmel, un peu de rouge sur ton bec ébréché,
Dindon, mets-toi donc une plume où je pense et ouvre un cabaret convertisseur d'âmes damnées.

La suite de ce poème très célèbre, que nous a laissé le fameux cygne de Padoue, ne peut être livrée ici, croyez bien que je le regrette, mais il faut être initié, et ne craindre ni les mots, ni les idées, ni la nouveauté, ni l'homme !

P.-S. : pour ceux qui ne connaîtraient pas la basse-cour, le dindon est la volaille la plus con*e qui soit...

duvent

@ F68.10 | 23 août 2023 à 17:02
« Ce n'est sûrement pas l'hypocrisie qui vous étouffera »

Ça, c'est bien vrai !
Vous avez vu juste, et après cette éclaircie dans votre esprit brumeux, voilà ce que je lis :

« La réalité, Madame, c'est que vous faites partie de cette catégorie de personnes qui ne supportent pas qu'on s'oppose à leur point de vue. Et qui feignent d'être agressées ou "totalitarisées" par quiconque ose leur dire non. »

Ça, ce n'est pas logique, comment et pour quelle raison obscure la feinte me serait-elle utile ?

Je ne feins rien et vous le savez parfaitement bien !
Je ne me sens pas du tout agressée par vous, vous n'en n'avez ni le pouvoir ni la capacité...

Par contre, votre petite sournoiserie à vous est parfaitement visible.
Voilà en quoi elle consiste : vous attendez tapi dans un coin qu'une occasion se présente de prendre en défaut n'importe quel commentaire, de préférence celui d'Axelle D.

Votre but n'est pas de débattre ou d'échanger des idées, pas du tout, votre but consiste à écraser l'autre, celui que vous prenez pour votre faire-valoir.
Alors, avec une méthode tout à fait répugnante, vous commencez votre petite danse de pantin, raide comme la mort, vous envoyez à la tête de vos contradicteurs, avec une profusion dégénérée, toutes sortes de liens bleus, de noms de professeur Nimbus et de Docteur Folamour, d'études, de statistiques, de doctes publications en ceci et en cela, de travaux sur ceci et sur cela, des résultats en ceci et en cela...

Un détail aurait dû attirer votre attention, vous n'êtes pas dans une salle de cours !
Ce que vous savez est sans aucun doute passionnant, il serait bon de le partager avec urbanité.

Mais, si cela ne vous convient pas, et c'est votre droit le plus strict, le mien qui est tout aussi strict est d'exprimer comme il me plaît mon point de vue, lequel point de vue ne pourra pas anéantir celui que vous proposez dans la mesure ou il serait juste et vrai, et pour peu que les Pyrénées soient déplacées vers la Cordillère des Andes...

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@ Tipaza | 23 août 2023 à 11:33

Vifs compliments !
In vino veritas et dubitas...

Marcel P

@ GERARD D
« Et qu'on ne vienne pas me susurrer qu'en vertu de la spécificité de la profession de policier, le droit de grève doit être proscrit, parce que gnagnagna la sécurité du citoyen... Parlons-en de la sécurité du citoyen ! En France notamment. Même les médecins, dont la profession n'est pas moins spécifique que celle des policiers, jouissent du droit de grève. »

Les médecins assurent-ils l'ordre public ? Comment conciliez-vous la garantie du maintien de l'ordre public et le droit de grève qui serait accordé aux policiers, au juste ? En ayant recours aux militaires ? Et du coup, pour les militaires, droit de grève ou pas ?

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@ Robert Marchenoir

J'ai lu votre anecdote des USA.
Dites-moi si je vous ai bien compris : en gros, vous pensez que le sujet est de donner le droit aux Nahel et autres trafiquants roulant dans des voitures financées par l'argent du trafic la possibilité légale d'outrager les policiers qui tentent de les arrêter.

« Un autre monde est possible »

Et du coup, ça permet d'éviter que des Nahel roulent dans des voitures financées par l'argent du trafic, que des gamins se prennent des balles perdues liées à ce trafic ce mois-ci comme du temps du fameux Kärcher de Sarkozy ?

Non ?
Non, ça ne sert à rien, c'est hors-sujet, c'est de l'anecdote sans aucun rapport avec le défi actuellement posé à la France en terme d'insécurité publique.

Aliocha

La volaille se gausse, ou quand la moquerie remplace les arguments.
Voilà qui vaut bien verre de Fendant... valaisan, quand du même cépage on fait dispute pour savoir qui en aura l'usage et se retrouvera, torché comme Polonais, le nez dans le fondement du voisin qu'on dénigrait pourtant, mon nom est Marchevent, c'est dunoir qui est méchant.
Bonne nuit, les enfants !

sylvain

@ F68.10
@ Axelle D
@ duvent

Ben dites donc, y a des lauréats en crêpages de chignon ici, faites bien attention ne tirez pas trop fort, chez vous les racines capillaires sont implantées directement dans vos cerveaux, y a risque d'arrachage du peu de matière grise qu’il vous reste.

Je dis ça je dis rien, conseil d'un ami Ricoré qui s'invite à vos petits-déjeuners.

Ugo

@ duvent | 23 août 2023 à 10:32

Et d'un coup de plume vous venez de clouer-le-bec à Michel Où-est-le-bec !
Ne croyez pas que je fasse le malin, je ramasse simplement des restes de vos batailles. Quand j'étais gosse, j'attendais avec impatience chaque semaine l'illustré Spirou, aujourd'hui je "nous" attendons chaque jour avec impatience la suite de "Duvent au pays des merveilles".

F68.10

@ duvent
"« Ôtez-moi d'un doute... », ce à quoi je réponds : certainement pas ! Le doute est bon ! « ne seriez-vous pas, ici, la personne qui intime à l'autre de se taire ? », ce à quoi je réponds : Je ne me souviens plus, mais si ce que vous dites est vrai, qu'est-ce que ça peut bien me faire ?"

À vous ? Oh ! Rien ! Ce n'est sûrement pas l'hypocrisie qui vous étouffera.

La réalité, Madame, c'est que vous faites partie de cette catégorie de personnes qui ne supportent pas qu'on s'oppose à leur point de vue. Et qui feignent d'être agressées ou "totalitarisées" par quiconque ose leur dire non.

Jamais je n'ai dit à Axelle D de la fermer. Je lui dis simplement qu'elle raconte n'importe quoi. Mais je ne lui ai jamais dit de la fermer.

Vous, vous faites simplement exprès de confondre "vous racontez n'importe quoi" avec "fermez-la". Ce n'est absolument pas le cas: je suis ravi que Madame Axelle D s'acharne à raconter n'importe quoi car cela me donne l'occasion de le lui faire remarquer.

Vous, vous vous attendez à ce que Madame Axelle D puisse raconter n'importe quoi (ce sur quoi nous sommes d'accord) mais vous vous opposez à ce qu'on lui fasse remarquer qu'elle raconte n'importe quoi.

C'est vous qui cherchez à faire taire les gens. Pas moi.

Mais, encore une fois, il n'y a aucun risque que l'hypocrisie ne vous étouffe.

Axelle D

duvent ou l'art de ratiboiser les matamores, clouer le bec aux grossiers personnages et dégonfler les baudruches... avec à-propos, talent et humour ! Quelle poilade ! On ne s'en lasse pas !

Tipaza

@ duvent | 23 août 2023 à 10:32
"Comment fendre en deux un samouraï suisse ?"

Depuis quelques jours je trouvais que duvent avait abandonné son masque d'Arlequin pour celui d'une Colombine... un peu musclée.

Et voilà que le lapsus révèle la vérité qui se trouve tout le monde le sait dans le Fendant roux, nectar béni des dieux, obtenu à partir du merveilleux chasselas cultivé sur les coteaux du pays de Vaud.

duvent fend de taille et d'estoc pour notre plus grand plaisir, à nous, qui nous fendons la poire en la lisant.

Ah, le Fendant vaudois, à consommer sans modération surtout quand il est bien frais.

duvent

@ F68.10 | 22 août 2023 à 15:18
« Ôtez-moi d'un doute: ne seriez-vous pas, ici, la personne qui intime à l'autre de se taire ? Cessez de renverser les rôles. »

Alors, voilà, j'avais pensé clore notre échange sur mon projet d'écriture d'une pièce Kabuki, dont j'ai déjà trouvé le titre, que je vous livre : Comment fendre en deux un samouraï suisse ?

Sous-titré pour les incultes et il y en a : Celui qui offense bêtement duvent mérite la fendaison, et l'arme fatale sera le fil de soie, tiré sans dommage du zlip du grand maître, le dénommé Surmamoto Jeshuii Lehiro-hito, plus connu sous le sobriquet de « Marchenoir » (1918-1389 environ en tout cas pas loin).

Ainsi, donc, je devais clore, mais vous me posez une question et vous avez tort !

Je vous réponds pour faire plaisir à Dominique et pour vous apprendre la politesse !

Vous écrivez :

« Ôtez-moi d'un doute... », ce à quoi je réponds : certainement pas ! Le doute est bon !

« ne seriez-vous pas, ici, la personne qui intime à l'autre de se taire ? », ce à quoi je réponds : Je ne me souviens plus, mais si ce que vous dites est vrai, qu'est-ce que ça peut bien me faire ?

« Cessez de renverser les rôles », ce à quoi je réponds : Je renverse ce qu'il me plaît de renverser, je dérange ce qui était bien rangé, ordonné, bien calibré, et à la fin je touche !

Note à l'attention de mes futurs lecteurs : je viens de recevoir par télépathie un message de Michel Houellebecq, lequel m'informe qu'il trouve ce projet d'écriture magnifique et que donc il va sur-le-champ me spolier et commencer son nouvel opus ! Quel dégueulasse celui-ci !

F68.10

@ duvent
"On ne vous en demande pas tant, on se contenterait facilement de vous voir laisser les autres s'exprimer."

Ôtez-moi d'un doute: ne seriez-vous pas, ici, la personne qui intime à l'autre de se taire ?
Cessez de renverser les rôles.

Dominique

@ duvent | 22 août 2023 à 08:45

Merci pour cet échange avec RM et F68... bonne séance de rigolade...

duvent

@ F68.10 | 21 août 2023 à 23:18
« Je vais de ce pas me faire seppuku en pénitence de l'incorrection majeure qui consiste à vous signifier votre insignifiance. »

Écoutez, non ne faites pas ça ! On ne vous en demande pas tant, on se contenterait facilement de vous voir laisser les autres s'exprimer.
En outre, je trouve votre choix inadapté, vous n'êtes pas samouraï !

Puisque vous avez décidé de mon insignifiance, tirez-en les conclusions qui s'imposent !

Suivez donc l'exemple de votre idole, voyez comment il s'acharne sur certains et combien il est craintif et fuyant avec d'autres...

Le courage mène à tous les dangers, les couards ne le pratiquent pas...

Bon, je vous laisse, je vais écrire une petite pièce, qui deviendra n'en doutez pas, un modèle à travers les âges de kabuki, où le héros serait travesti en petit Suisse, brave et inconscient, il se battrait de toutes ses forces, dans sa petite chambre avec vue, et il ferait pleurer de Lausanne à Sato !

https://www.youtube.com/watch?v=Y1fJXeu5kgM

F68.10

@ duvent
"Savez-vous que certains intrigants usent de la profondeur du boyau culier*, et gratifient quand ils s'ennuient, sans vergogne aucune, l'assemblée d'un pet foireux."

Je vais de ce pas me faire seppuku en pénitence de l'incorrection majeure qui consiste à vous signifier votre insignifiance.

Axelle D


Et je dirai même plus : concernant Marchenoir, puisqu'il pense indispensable de se manifester ici, il s'agit d'un cas de maladie mentale encore plus grave, que mes modestes capacités de psychiatre amateur ne me permettent pas de catégoriser. Comme il ne fait même pas semblant de discuter sur le sujet en cours, on se contentera de le laisser mariner dans le chaudron de haine purulente qu'il remplit à jet continu.

duvent

@ F68.10 | 21 août 2023 à 16:14

Savez-vous que certains intrigants usent de la profondeur du boyau culier*, et gratifient quand ils s'ennuient, sans vergogne aucune, l'assemblée d'un pet foireux. Certes ce n'est pas aussi commode, ni aussi discret que le bâillement, mais enfin, les comiques troupiers comme votre idole ont quelquefois des idées qui vous sortent de la torpeur et de l'ennui...

*Expression empruntée à Rabelais

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@ Robert Marchenoir | 21 août 2023 à 14:41
« Concernant duvent, puisqu'elle pense indispensable de se manifester ici, il s'agit d'un cas de maladie mentale encore plus grave, que mes modestes capacités de psychiatre amateur ne me permettent pas de catégoriser. Comme elle ne fait même pas semblant de discuter sur le sujet en cours, on se contentera de la laisser mariner dans le chaudron de haine purulente qu'elle remplit à jet continu. »

Bon, j'ai ri, je le reconnais... Vous êtes follement distrayant.
Comme vous avez toujours peur d'y laisser des plumes, vous faites court et de biais, c'est astucieux.

Mais je suis facétieuse, et tellement spirituelle, de surcroît j'aime donner du plaisir, c'est pourquoi je ne laisserai certes pas votre petit compliment comme une mer*e, là, tout seul et sans réponse, que nenni !

Tout d'abord, et malgré vos « modestes capacités de psychiatre amateur », vous avez mis dans le mille, mais parfaitement, vous avez tort de vous mésestimer à ce point, cela me choque violemment.

Quel chemin vous a conduit à cette immense et remarquable modestie ?

Je vous le demande, parce que moi qui ne suis pas modeste pour deux sous, je suis toujours perplexe et admirative de voir la modestie s'épanouir chez des paillasses dans votre genre.

Ainsi, je peux dire de vous que vous êtes un zouave, qui aurait sa place dans mon salon où le rire est une activité considérée comme infiniment supérieure aux bavardages assommants et prétentieux dont vous nous abreuvez avec un air rempli de componction.

Vous êtes lâche par nature et dépourvu d'instinct, vous vous enivrez de vos propos sous le regard plein d'une complice et canine dévotion. Ça, c'est délicieusement drôle !

Je vous laisse ce soir j'ai invité quelques garces de mes amies, nous disposons d'un grand chaudron, et nous allons bouillir dans ma haine généreuse. Dès que le monde saura pour mon chaudron, je crois bien qu'il me faudra entrer en cotation...

F68.10

@ Ugo
"Une fessée de plus, belle, pleine d'entrain, généreuse, éducative... Oui mais ce ne sont que des nains qui ne retiendront pas la leçon."

Je vous confirme qu'il n'y a pas de leçon à retenir ; duvent ne fait que pratiquer une injonction à l'humilité complètement indue et infondée.

Fin de non-recevoir.

Ugo

@ duvent | 21 août 2023 à 10:39

Une fessée de plus, belle, pleine d'entrain, généreuse, éducative... Oui mais ce ne sont que des nains qui ne retiendront pas la leçon, des saute-ruisseaux qui voudraient mais ne peuvent pas, aussi ne font-ils que calomnier, insulter... heureusement vous êtes là, maniant le fouet comme une amazone et c'est un plaisir de vous voir distribuer les punitions.

F68.10

@ duvent
"Ensuite, il va de soi que je m’asseois sur votre analyse de diplômé..."

(bâillement...)

Axelle D

@ F68.10 | 21 août 2023 à 02:33

De toute évidence duvent a entendu votre appel, s'est montrée sensible à votre attente et a su répondre à des interrogations, que compte tenu de mon illettrisme (présumé) et de mon incapacité à argumenter avec une personne de votre niveau, j'étais, prétendument, incapable de satisfaire.
Et non seulement je n'enrage pas en lisant votre prose mais m'en réjouis sachant qu'il est bon de savoir reconnaître ses lacunes, d'autant plus quand elle sont signalées par quelqu'un dont l'objectivité et le discernement ne sauraient être remis en cause !

Robert Marchenoir

@ F68.10 | 19 août 2023 à 15:32 + 20 août 2023 à 13:54 + 21 août 2023 à 02:33

Analyse impitoyablement rigoureuse de la "méthode" Axelle D. Si l'on peut appeler ça une méthode.

J'ajouterais qu'il y a un peu plus en jeu que l'illettrisme, ou le refus d'affronter le fond du sujet abordé par le billet du jour. Il y a une démarche d'une profonde perversité.

Tout d'abord parce qu'elle commence immanquablement par une violente condamnation morale de l'adversaire, frisant l'insulte et dénuée de tout lien avec l'argumentation présentée par celui-ci. Le destinataire, de bonne foi, s'avère quelque peu déstabilisé et se demande si, par hasard, il n'aurait pas fait quelque chose pour mériter cela.

Il faut remonter patiemment dans les agissements passés de la manipulatrice, ce qu'elle appelle "tenir des petites fiches mesquines sur tel ou telle". On découvre alors qu'elle se livre régulièrement à la même opération avec des commentateurs très différents, d'avis et de styles opposés à sa cible du moment.

Mais toujours des hommes, et toujours avec des accusations pseudo-féministes de "ne pas aimer les femmes fortes".

Évidemment, tout individu présentant ce profil prétendra "mesquin" de se voir confronté à la répétition de ses méfaits, laquelle montre qu'il ne s'agit pas simplement d'un écart passager dans le feu de la discussion, mais d'une véritable méthode appliquée avec l'intention de nuire, de rabaisser, d'humilier.

En fait, il s'agit d'opérations minutieusement organisées, selon un plan immuable.

Première étape, Axelle D prétend prendre un vif intérêt au sujet abordé par sa cible (police, gaullisme, racisme... peu importe). Elle affecte d'être tellement indignée par les opinions présentées, qu'elle trouve indispensable d'ajouter à sa critique de vigoureuses attaques personnelles.

L'intéressé, connaissant le bestiau, s'abstient souvent de répondre. Mais, immanquablement, il va parfois le faire, tentant de ramener la discussion au fond. Ce faisant, il va bien évidemment répondre aux attaques personnelles qui lui sont adressées.

C'est alors la deuxième étape : la provocatrice va se prétendre profondément offensée, laisser tomber le prétexte sur lequel elle a lancé les hostilités, et tenter de transformer l'échange en affrontement rigoureusement personnel, en déchaînant un torrent d'insultes.

On le voit bien, ici, avec les quatre derniers commentaires d'Axelle D qui ne comportent pas un mot sur la philosophie d'intervention de la police française, mais qui se résument à un flot d'attaques personnelles plus venimeuses les unes que les autres.

En ce sens, Axelle D-Mary Preud'homme (puisqu'elle tient à rappeler ici même sa filiation pseudonymique) est un troll banal, un troll de modèle courant.

Rappelons que le troll est celui qui, dans un espace de discussion sur Internet, prend plaisir à faire dérailler les échanges, à semer la zizanie et à empêcher toute discussion sur le sujet en cours, par le biais de provocations calculées.

Il n'y aurait là rien d'original, si ce n'est que le troll est d'ordinaire un adolescent mal élevé ; il est rare que des vieillards se comportent ainsi.

J'ajouterais qu'Axelle D a beaucoup de chance : sur bien des espaces de discussion, le trollage est un motif de bannissement immédiat.

Mais surtout, dans son cas, il n'y a pas simplement le plaisir du sale gosse qui tente d'interrompre les discussions sérieuses entre adultes.

Il y a une tentative de domination par la violence psychologique, qui joint un narcissisme exacerbé, une volonté de se placer au centre de la scène en attirant les regards sur elle, à la volonté d'humilier systématiquement son adversaire. Le tout se manifestant sous forme de harcèlement à mon égard, car si elle s'attaque indifféremment à tel ou tel, elle m'applique ses manigances de façon obsessionnelle et répétée depuis de longues années.

En somme, Axelle D-Mary Preud'homme est le type même du pervers narcissique de niveau pathologique -- et ce n'est pas un hasard si elle passe son temps à affubler autrui de ce qualificatif. La projection est l'une des armes favorites de ces terroristes de la psychologie. Comme je l'ai signalé, ce n'est pas un hasard si elle est fascinée par le régime poutinien, qui a porté à sa perfection l'art d'accuser ses ennemis des vices dont il se rend coupable.

En fait, Axelle D-Mary Preud'homme conjugue au féminin un type d'homme souvent dénoncé par les féministes, celui qui tente de maintenir sa femme sous sa domination en l'humiliant, en la rabaissant, en lui mentant, en la moquant en public au motif de ses tares supposées.

Elle illustre à merveille l'authenticité douteuse d'une bonne partie du "féminisme" comme d'une bonne partie de "l'anti-racisme", dont elle se fait ici le héraut.

Concernant duvent, puisqu'elle pense indispensable de se manifester ici, il s'agit d'un cas de maladie mentale encore plus grave, que mes modestes capacités de psychiatre amateur ne me permettent pas de catégoriser. Comme elle ne fait même pas semblant de discuter sur le sujet en cours, on se contentera de la laisser mariner dans le chaudron de haine purulente qu'elle remplit à jet continu.

duvent

@ F68.10 | 21 août 2023 à 02:33 @ Axelle D

Mais c'était donc vous !!! F68.10 aka Marchenoir numéro bis !!! Voilà, une bonne chose de révélée...

Alors, et puisqu'il n'est pas interdit de contredire, même un être de votre qualité, je vais m'y employer, avec un plaisir non dissimulé !

Avant tout, je vous le dis pour que vous ne perdiez pas trop de temps à une réfutation inutile, je n'ai aucun scrupule, mais alors aucun, à utiliser toutes les formes rhétoriques que mon esprit malade met à ma disposition.

Ensuite, il va de soi que je m’asseois sur votre analyse de diplômé relativement à l'atteinte de mon cerveau si j'en possède un. Ainsi, vous pouvez à loisir me diagnostiquer toutes sortes de débilités, et puis n'hésitez pas, je vous en prie, à définir précisément mes lacunes, travers, et autres saloperies moralement répréhensibles, parce que je m'en tamponne infiniment.

Ceci étant posé, entrons dans le vif du sujet, et il me plaît d'y entrer par une question :

Pour qui vous prenez-vous exactement ? (Question purement rhétorique...)

Vous ne cessez d'agonir certains ici, qui vous déplaisent, ce qui en réalité pourrait être amusant, mais il existe une politesse qui vous a semble-t-il échappé, et qui consiste à encaisser (vous et Marchenoir numérobis...), or vous n'encaissez pas !

Ceci est assez déplorable, et en dit long sur vos capacités à débattre...

Par ailleurs, et cette information doit être prise avec la plus haute considération : les autres sont ce qu'ils sont, ce qui a pour effet de ne pas être ce que vous voulez qu'ils soient...

Ceci est notable et les conséquences sont encore plus notables, je vais sur-le-champ vous les mettre sous le nez, parce que je suis bonne !

Monsieur le donneur de leçon, monsieur le détenteur de la Vérité, monsieur le débatteur hors pair, monsieur le sublime et grand défenseur de Marchenoir original, monsieur Toutlemonde, je porte à votre connaissance qu'ici, chez Monsieur Bilger, chacun dispose d'un peu de liberté, laquelle liberté est utilisée avec bonheur par chacun, et ce que le maître de céans permet, il serait très drôle qu'un pitre maniaque l'empêche.

Par exemple, votre fantasme totalitaire devra rester un fantasme, dès lors, vos fourches caudines ne sont exactement d'aucune utilité.

Ce qui fait l'intérêt de l'échange, c'est ce qui est impromptu, inattendu, fou, déréglé, erratique, dangereux, sans but, fantaisiste, et déstabilisant.

Vos règles étriquées désénervent, assèchent, vampirisent, dévitalisent, ratiboisent, alignent, rangent, énumèrent, classent, empilent, comptent, et tarissent tout. Si telle est votre vision, souffrez que celle des autres diffère.

Invectivez et dépréciez l'autre, aussi longtemps que vous lui permettrez d'en user de même avec vous et votre maître ! ENCAISSEZ !

F68.10

@ Axelle D
"Si vous n'avez pas saisi l'ironie de mon commentaire."

L'ironie se dégonfle en vous prenant au premier degré.

"Et si vous n'avez pas remarqué qu'en matière d'attaque ad hominem Marchenoir détenait la palme, c'est que vous êtes d'une mauvaise foi absolue."

La réalité, Madame, c'est que Monsieur Marchenoir répond à votre comportement par des propos qui visent le fond de la discussion et vous égratignent au passage. Ce dernier point est une forme de rétribution assez légitime.

Vous, par contre, utilisez l'attaque personnelle dans le but unique de ne pas avoir à traiter du fond.
C'est cela qui fait toute la différence entre Monsieur Marchenoir et vous.

Et c'est cela qui fait que la définition extraite du dictionnaire de l'argumentation s'applique beaucoup plus à votre personne. C'est le fait que vous ne réalisiez pas que ce texte vous vise assez spécifiquement qui me fait remarquer que vous n'êtes pas capable de comprendre un texte simple.

Vous êtes tellement consumée par votre rage à l'encontre de Monsieur Marchenoir que vous n'arrivez pas à vous rendre compte que les mots ont un sens, que les mots forment des phrases, qui ont elles aussi un sens, et que ce sens cible bel et bien votre comportement.

Seule votre rage vous empêche d'en comprendre ce sens. Seule votre rage vous fait penser que c'est ma "mauvaise foi absolue" qui m'empêche de mécomprendre ce texte. Ce n'est pas le cas. Ce texte vous vise bel et bien. Je le cite:

"La réfutation proprement dite porte sur les positions prises par l'adversaire, alors que l'attaque personnelle est une stratégie de contournement métonymique des positions de l'adversaire." -- extrait de la citation de C. Plantin en discussion.

C'est exactement ce que vous faites.

Monsieur Marchenoir vous égratigne certes au passage (bien moins que le fleuve de semi-jurons que vous lui assénez en guise d'argumentation, soit dit en passant) mais il vous confronte systématiquement sur le fond.

Vous ? Jamais. Vous avez une "stratégie de contournement métonymique des positions de l'adversaire".
Pas Monsieur Marchenoir.

C'est là qu'on voit que vous ne comprenez décidément pas ce que vous lisez. Que vous êtes donc, techniquement, illettrée. Et que votre illettrisme n'est probablement pas dû à une quelconque déficience mentale, mais uniquement à votre rage de voir le monde comme Don Quichotte le vit: un combat à mort entre vous, le Bien, et le Mal, i.e. les moulins à vents.

C'est plus fort que vous.
On appelle cela l'aliénation.

"Par ailleurs, aucune discussion "sur le fond" n'est possible avec un individu pervers narcissique et manipulateur qui caricature systématiquement vos propos, vous tourne en dérision et cherche juste à vous torpiller."

Absolument pas. Même avec vous, j'arrive à discuter sur le fond. Il suffit de prendre le temps de réfléchir à comment naviguer au milieu de vos propos, qui ne sont, en fait, que des distractions, pour prendre le temps de cibler le cœur du point qui fait mal.

Ce que je fais ici.
Ce que vous prenez pour des insultes ou des attaques personnelles. Alors que c'est justement là ce qu'on appelle l'argumentation sur le fond.
Si j'arrive à traiter du fond avec vous, vous devriez aussi y arriver avec Monsieur Marchenoir.

Nous attendons qu'une épiphanie illumine votre esprit.
Je ne désespère pas.

Axelle D

@ F68.10 | 20 août 2023 à 13:54

Si vous n'avez pas saisi l'ironie de mon commentaire, vous êtes désespérément dénué d'humour.
Et si vous n'avez pas remarqué qu'en matière d'attaque ad hominem Marchenoir détenait la palme, c'est que vous êtes d'une mauvaise foi absolue.
Par ailleurs, aucune discussion "sur le fond" n'est possible avec un individu pervers narcissique et manipulateur qui caricature systématiquement vos propos, vous tourne en dérision et cherche juste à vous torpiller.

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@ Patrice Charoulet qui s'égare !

Concernant la citation d'un certain Plantin, c'est F68.10 qu'il fallait remercier.

Serge HIREL

Dans une France qui va mal, où le taux de pauvreté s’accroît, où les dépenses alimentaires sont en baisse, où la menace du chômage reste prégnante, aucun fonctionnaire n’est à plaindre, qui bénéficie de la garantie de l’emploi quels que soient ses degrés d’engagement et d’efficacité, qui est protégé par la règle de la responsabilité de l’Etat ou de la collectivité qui l’emploie, qui profite d’un calcul de sa retraite très avantageux par rapport aux modalités des salariés du privé...

Qu’un malaise inquiétant se soit installé dans l’ensemble des trois fonctions publiques ne fait aucun doute. Que nombre de fonctionnaires consciencieux et courageux soient logés à la même enseigne que ceux installés dans la paresse et le je-m’en-foutisme, c'est évident. Que ceux-là soient discrédités par ceux-ci est aussi une réalité.
Mais il n’y a pas là matière à les plaindre.

En revanche, nous devrions exiger de nos élus, nationaux et locaux, qu’ils agissent en patrons, qu’ils exigent une réelle productivité, qu’ils se séparent des tire-au-flanc, qu’ils ne les titularisent pas et, pour ce faire, créent des postes inutiles, qu’ils légifèrent encore et encore pour mettre fin aux privilèges nés voici bien longtemps, quand nous avions les moyens d’entretenir une cohorte gigantesque de six millions de fonctionnaires...

Il est plus que temps que soit entrepris un audit sans concession de chacune de nos administrations, de leurs missions, de leurs effectifs, de leurs besoins. Il est grand temps que nous nous rendions compte que certaines sont hypertrophiées quand d’autres, faute d’attraits, ne disposent plus des personnels nécessaires.

Il est grand temps aussi que l’Etat et ses collectivités publiques cessent d’assurer des tâches qui sont loin, très loin, de la res publica, qui, seule, devrait les préoccuper. Une ville moyenne de province - moins de 10 000 habitants - doit-elle employer une escouade d’une vingtaine de jardiniers quand elle peine, pour des raisons budgétaires, à augmenter les effectifs de sa police municipale, alors que les incivilités (tags, pétarades et autres chapardages) se multiplient, au grand dam de sa population ?

Il est enfin grand temps de bazarder notre millefeuille administratif, qui divise les compétences, dilue les responsabilités et provoque d’immenses disparités entre la France des métropoles et celle des patelins, pour ne pas dire des hameaux. Nos 34 945 communes, dont 19 800 comptent moins de 500 habitants, sont-elles réellement un bienfait pour leurs citoyens ou, au contraire, en multipliant les contraintes, l’une des raisons pour lesquelles la France n’est plus dans le peloton de tête des nations dynamiques ?

Certes, nos « petits maires » sont admirables mais, soyons franc, sont-ils nécessaires ? Ces jours-ci, à l’initiative un peu étonnante du nouveau président du MEDEF, le sujet de la rémunération des élus territoriaux est sur la table. Il est exact qu’au regard de leur engagement personnel, le montant des indemnités des « petits maires » est insuffisant. Mais les augmenter décemment aurait un coût non négligeable sur les finances municipales. Pourquoi dès lors, pour prendre cette mesure de bon sens sans alourdir les frais de fonctionnement des communes, ne pas en diminuer le nombre et, cette fois, imposer des fusions ? Ces nouveaux regroupements bénéficieraient d’une administration digne de ce nom et d’avantages financiers qui calmeraient les critiques. À terme, ils permettraient de supprimer les communautés de communes qui, partout, ont pris l’allure d’usines à gaz.

L’instant est d’autant plus propice pour lancer ce projet que, depuis 2020, plus de 1 000 « petits » maires ont jeté l’éponge et que le recrutement de nouveaux édiles en 2026 s’avère d’ores et déjà problématique.
Un seul obstacle... Il est de taille : l’administration territoriale de la France n’intéresse pas le président, plus enclin à apporter son grain de sel quotidien dans les affaires du monde... Si néanmoins, l’idée lui venait d’entreprendre de la moderniser, il est, depuis son élection de 2017, le plus mal placé de nos présidents successifs pour oser une telle initiative, pourtant nécessaire.

Patrice Charoulet

@ Axelle D

Double merci, Madame.
Merci d'avoir signalé un texte officiel très utile, "Ce que dit la loi". C'était sur le racisme. Il mérite la plus large diffusion. À mon humble niveau, j'ai fait ce que j'ai pu : je l'ai mis sur Facebook (où j'ai 3 900 relations), sur le blog de Pierre Assouline, sur "Tribune juive", excellent webmagazine.

Merci d'avoir il y a peu cité un extrait du "Dictionnaire de l'argumentation", de Christian Plantin. Je n'avais que 190 dictionnaires unilingues. Je viens de le commander. Le sujet n'est pas anodin. Vous auriez signalé le Dictionnaire des papillons, le Dictionnaire du tatouage ou le Dictionnaire de la moto, je n'aurais rien commandé du tout.

P.-S. : je ne suis pas rancunier : je vous pardonne vos récentes critiques contre moi, qui ne m'ont pas semblé mériter une réponse. Vous n'aviez pas raison ; je les ai donc lues en souriant et très paisiblement.

F68.10

@ Axelle D
"Il y a erreur de destinataire. Votre petite citation concernant les attaques personnelles devait manifestement s'adresser à votre ami Marchenoir."

Je confirme qu'elle vous était bel et bien adressée.

Marchenoir cherche sans cesse à vous ramener sur le fond. Vous esquivez systématiquement la discussion en vous en prenant à sa personne.

C'est cela qui est visé par la citation que j'ai fournie.

C'est assez triste que vous soyez incapable de le voir. C'est à l'école qu'on apprend à comprendre un texte.

Axelle D

@ F68.10 | 19 août 2023 à 15:32

Il y a erreur de destinataire. Votre petite citation concernant les attaques personnelles devait manifestement s'adresser à votre ami Marchenoir.

Robert Marchenoir

@ Axelle D | 18 août 2023 à 20:14

C'est passionnant, ce que vous nous racontez, dites-moi.

Malheureusement, vous nous privez une fois de plus de vos immenses connaissances sur le fonctionnement de la police française, ainsi que de vos prodigieuses lumières sur la façon dont il conviendrait d'améliorer son action. Quel dommage !

F68.10

@ Axelle D

"L'attaque personnelle peut cibler la personne publique ou privée. Elle viole les règles de politesse et les interdictions éthiques qui protègent l'individu, en tant qu'être humain unique. Elle contourne les positions de l'adversaire, pour s'en prendre à sa personne afin de rendre son discours inaudible. La réfutation proprement dite porte sur les positions prises par l'adversaire, alors que l'attaque personnelle est une stratégie de contournement métonymique des positions de l'adversaire ; pour éliminer les dires, on disqualifie le locuteur." -- Christian Plantin, Dictionnaire de l'argumentation.

Je vous laisse vérifier si, oui, ou non, votre dernier commentaire correspond à cette caractérisation.

Axelle D

@ Robert Marchenoir

Il me semble que l'enragé ennemi des dames c'est vous et vous seul. Magnifique projection à laquelle vous nous avez habitués à chaque fois que vous êtes pris dans les rets de vos contradictions et d'accusations mensongères éhontées.
Sans compter vos basses et grossières allusions sexuelles relevées avec ironie par duvent, mais que j'avais volontairement omis de mentionner afin de ne pas vous donner trop d'importance et par respect pour ce lieu d'échange !

Dans la vraie vie, vous êtes manifestement un triste sire ! Pas sans cause que vous vous dissimuliez avec autant de soin, tandis que vous n'avez de cesse que de pointer chez vos adversaires le moindre trait par lequel ils se seraient livrés (jusqu'à tenir de petites fiches mesquines sur tel ou telle). Interprétant toujours en mauvaise part ce qu'ils auraient écrit précédemment et sans, bien évidemment, restituer les commentaires dans le contexte. Ce qui atteste d'un esprit tortueux et pervers et d'un individu incapable ou trop lâche pour combattre à visage découvert !

Pas sans cause non plus que vous haïssiez les honnêtes hommes et femmes en général et les preud'hommes en particulier, qui vous ramènent à votre bassesse !

Quant au noir qui vous fait si peur, je me demande si le nom évocateur que vous portez, où cette couleur sombre est omniprésente, n'y serait pas pour quelque chose ! Peut-être devriez-vous en changer afin de vous sentir mieux dans votre peau !

Robert Marchenoir

@ Axelle D | 18 août 2023 à 01:45
"Marchenoir voit rouge et vexé de s'être fait damer le pion [...]"

Seulement dans votre imagination de psychopathe hystérique dévorée par une haine rabique des hommes.

"Erreur grossière... outrance... dénigrement... injure... calomnie... soupe infâme..."

Autoportrait sévère, mais juste.

"Par ailleurs à sa façon de faire à tout propos et hors de propos de la propagande pour les communistes qui selon lui pullulent [...]"

Tout à fait. Je dénonce la mentalité communiste, par conséquent je fais de la propagande en faveur des communistes. On comprend votre complaisance pour le régime poutinien, dont la méthode consiste à expliquer qu'il n'a pas envahi l'Ukraine dans une conférence internationale destinée à mettre fin à son invasion de l'Ukraine.

Je note que vous ne faites même plus semblant d'argumenter sur la police, américaine, française ou moldo-valaque. Plus un mot sur le sujet. Votre narcissisme délirant occupe tout l'espace de votre commentaire, qui est un concentré de haine brute. Cette même haine que vous affectez de combattre au moyen de votre "anti-racisme".

Puisque vous m'y invitez si aimablement, j'ajoute un point très important qui m'a échappé, concernant le sujet traité par Philippe Bilger. L'incident de la ville de Smyrne dans l'État du Delaware, aux États-Unis, que j'ai eu l'honneur de relater, ne doit pas être examiné dans le but d'établir je ne sais quel classement des polices mondiales. L'intérêt n'est pas de débattre pour savoir si la police américaine est meilleure que la police française, ou l'inverse.

En fait, la police du Delaware pourrait faire cuire des bébés juifs dans des fours à micro-ondes, que son action telle que je l'ai rapportée serait encore riche d'enseignements pour nous. Le but, c'est d'évaluer la police française. Ce précisément à quoi les membres du parti bleu s'opposent.

Or, que nous montre cet incident, sur la base de faits incontestables puisque tout un chacun peut les suivre en vidéo ? Il nous montre en quoi consiste l'application concrète des principes démocratiques. Ceux qui sont censés être les nôtres.

Et les conséquences concrètes de ces principes, tels qu'ils sont appliqués par la police américaine, sont tellement éloignées de la façon dont notre police se comporte, elles sont tellement étranges pour nous, tellement inimaginables, qu'elles nous conduisent (du moins pour ceux qui ne sont pas esclaves de leurs préjugés) à observer la situation française sous un jour nouveau.

Comment ? les policiers d'une petite ville, énervés par les actions répétées d'un vieil excentrique qui les empêche de coller des prunes aux automobilistes avec leur radar, compulsent le Code dans leur tête au moment même où ils se lancent à sa poursuite, s'empêchant ainsi de laisser libre cours à leur vengeance ?

Comment ? l'un de ces policiers, dans le feu même de l'action, dit à ses collègues : les citoyens ont parfaitement le droit de nous faire des doigts d'honneur, la loi ne nous autorise nullement à leur faire le moindre reproche pour ce motif ?

Comment ? le directeur de la police de l'État, non seulement ne "défend pas ses troupes" qui ont déchiré la pancarte du bonhomme, mais il les sanctionne, sans attendre les "résultats de l'enquête" de je ne sais quel corps d'inspection haï et redouté ?

En France, le type se serait fait jeter au sol, passer les menottes, il aurait pris quelques baffes, aurait été condamné, et les policiers se seraient rengorgés parce que "la police doit faire peur", selon le billet de blog d'un haut fonctionnaire supposé, montré ici en exemple par un commentateur qui fait figure de parangon de modération, au motif, apparemment, du "républicanisme" irréprochable de ce blogueur.

Or, le régime politique en vigueur, aux États-Unis, est le même que le nôtre. Les deux nations sont, en principe et sur la foi de leur constitution, des démocraties. Elles proclament, pour leurs citoyens, les mêmes droits fondamentaux, la même suprématie de la loi, la même réprobation des arrestations arbitraires et des violences policières non strictement justifiées.

Pourquoi donc un tel abîme entre ce qui passe pour normal dans l'un et l'autre pays ? Est-ce que la France serait la proie d'un déchaînement de délinquance particulier, qui justifierait ces écarts à la loi ? Non ! C'est le contraire ! Tout le monde s'accorde sur le fait que la société américaine est bien plus violente que la nôtre. Alors ?

Pour finir, je souligne l'extraordinaire danger qu'il y aurait à accepter la revendication des syndicats de police de relever d'un tribunal spécialisé. L'extraordinaire scandale que constitue cette demande.

Une fois de plus, on constate que la police française réclame un statut d'exception, une impunité, un régime qui la mettrait au-dessus du citoyen ordinaire.

La Sécurité sociale, organe communiste, a longtemps bénéficié de ce privilège anti-démocratique. La fonction publique dans son ensemble en bénéficie encore, par le biais des tribunaux administratifs.

Si l'on a supprimé les tribunaux de la Sécurité sociale, ce n'est pas pour recréer une justice d'exception en faveur des policiers. Ceux-ci, à l'évidence, voudraient en faire leur bouclier corporatiste, régler leurs petites affaires entre amis.

La justice normale serait bonne pour les délinquants arrêtés par la police, mais les policiers devenus délinquants seraient protégés par un tribunal à leur botte. Difficile d'exagérer le mépris que cela représente à l'égard des juges, à l'égard de la démocratie et à l'égard de la population en général.

duvent

@ Robert Marchenoir | 17 août 2023 à 13:26 (@ Axelle D | 17 août 2023 à 01:30)
« Vous nous sortez donc, de votre culotte, une statistique selon laquelle la police américaine tuerait 15 fois plus que la police française, à population comparable.
Mais c'est une excellente chose ! Encore heureux, que la police américaine tue bien plus ! C'est qu'elle est, infiniment plus que la nôtre, confrontée aux menaces meurtrières des Noirs, que vous vous employez à défendre, excuser et idolâtrer, au moyen de votre "anti-racisme" imbécile et criminel. »

Dites donc, Marchenoir, est-ce que vous croyez que vous servez votre propos en écrivant « Vous nous sortez donc, de votre culotte... » ?

Je vous pose la question parce que le doute m'habite, et quand le doute m'habite, je m'interroge moi aussi...

Est-ce que ce commentaire vous nous le sortez vous de votre « zlip » ?

Parce que si tel est le cas, comment dire sans que vous ne fassiez une apoplexie, oui, j'ai pris bonne note que vous êtes d'une nature sensible, vous êtes un bien piètre contradicteur...

À moins et cela n'est pas impossible, que le Marchenoir numéro 1 soit en vacances dans un bordel de Bogota, et que le Marchenoir numéro bis dans un bordel de Madrid, ne s'imagine autorisé à de telles grossièretés...

Étant bon public je ne suis pas très émue par votre façon de faire, cependant, je suis étonnée par cette méthode merdique qui consiste à s'opposer à une argumentation par une vulgarité.

Si moi, pour vous contredire j'usais d'une image évocatrice, je situerais votre argumentation exactement à la place du « buco del culo », c'est moche, possiblement faux, bas, et sans grand intérêt...

Faites donc l'effort de respecter votre contradicteur, et si vous voulez convaincre, plaire et persuader, montrez-vous au-dessus du cloaque...

Quant à votre jouissance inextinguible relative aux insultes répétées, injustifiées, lamentables, à l'égard des Noirs, je vous le dis tout net, elle est à vomir !! Dès lors, je vous le demande à deux genoux, pourriez-vous nous épargner cette jouissance de pleutre impuissant ?

F68.10

@ Axelle D
"Marchenoir voit rouge et vexé de s'être fait damer le pion, non seulement est incapable d'admettre son erreur grossière mais en outre en rajoute dans l'outrance, le dénigrement, l'injure et la calomnie en nous servant une soupe infâme en guise de justification."

Monsieur Marchenoir a parfaitement raison: dans une démocratie, il est parfaitement légitime de dire à un policier qu'il est un c*****d s'il est un c*****d. C'est justement à cela que sert la liberté d'expression: à pouvoir notifier les autorités de leurs comportements abusifs lorsqu'ils ont lieu.

Nous attendons que vous reconnaissiez cette vérité élémentaire.

Tant qu'on obéit à la police, la police n'a pas à nous dire de nous taire ou de mieux lui parler. Nous obéissons, car c'est le principe de la police. Obéir ne va pas jusqu'à l'obligation d'obséquiosité face à des c*****ds quand ce sont des c*****ds.

Parler, ce n'est pas désobéir.

GERARD D.

Vu du côté du citoyen, il semble pourtant si simple d'atténuer les problèmes qui empoisonnent la vie quotidienne des policiers. Ne nous répète-t-on pas à satiété qu'ils/elles sont des citoyen(ne)s comme les autres ? Cette assertion semblant fédérer les autorités, les citoyens, et même les syndicats ; c'est dire.

Dans ce cas, il faut que tout policier soit tenu de répondre de ses actes devant les mêmes juridictions que le justiciable lambda. Point ! Il faut également lui accorder les mêmes droits qu'audit justiciable, en ce compris l'inaliénable droit de grève, n'en déplaise aux politicards, qui dès lors sont tentés de profiter de ce qu'ils pourraient considérer comme une absence de récriminations, de la corporation, interprété comme... « tout va bien ». Il faut arrêter les hypocrisies et la multiplication des instances appelées à statuer, sur les actes de la police, dans un pays où... promis, juré, la loi serait la même pour tous ! (Et mon séant, c'est du poulet bio...)

Et qu'on ne vienne pas me susurrer qu'en vertu de la spécificité de la profession de policier, le droit de grève doit être proscrit, parce que gnagnagna la sécurité du citoyen... Parlons-en de la sécurité du citoyen ! En France notamment. Même les médecins, dont la profession n'est pas moins spécifique que celle des policiers, jouissent du droit de grève. Pire, sinon abominable : le pouvoir se réserve même le droit d'empêcher le personnel soignant d'exercer le métier, dès lors qu'il se montre récalcitrant à des contraintes aussi stupides et périlleuses que certaines « vaccinations » indésirées.

Et c'est dans ce contexte nazifiant, que l'on viendrait interdire aux policiers, d'exercer un droit de grève pour des motifs aussi divers que biscornus ? Préférant cautionner hypocritement les fraudes telles que les grèves déguisées en arrêts-maladie ? Quand sortirons-nous de cette aliénocratie mentale ambiante ?

Axelle D

Marchenoir voit rouge et vexé de s'être fait damer le pion, non seulement est incapable d'admettre son erreur grossière mais en outre en rajoute dans l'outrance, le dénigrement, l'injure et la calomnie en nous servant une soupe infâme en guise de justification.

Par ailleurs à sa façon de faire à tout propos et hors de propos de la propagande pour les communistes qui selon lui pullulent, y compris sur ce blog, il est manifeste qu'il s'emploie à servir leurs intérêts et figure donc comme un de leurs "alliés objectifs" fidèle et zélé ! Une aubaine pour les marxistes le camarade Marchenoir !

Robert Marchenoir

@ Axelle D | 17 août 2023 à 01:30

Toujours aussi prompte à gober des hameçons qui n'ont été posés par personne, Axelle D. Toujours aussi prompte à raconter n'importe quoi à côté de la plaque, juste histoire de causer et de défendre les pires défauts de la police française.

Premièrement, je ne vous "cite pas la police américaine comme modèle". Seuls les communistes pensent qu'il y a un modèle. Et comme votre mentalité est profondément communiste, vous projetez vos vices sur autrui.

Je n'ai jamais dit que la police américaine était parfaite, qu'elle était exempte de défauts, ni même qu'elle était meilleure que la police française (quoique c'est probablement le cas).

J'ai fait une comparaison sur un nombre restreint de critères, mais des critères très importants. Cette comparaison est basée sur des faits, et vous êtes bien en peine de la réfuter, car ces faits sont irréfutables.

En conséquence, vous essayez de détourner la conversation, comme tout bon communiste a l'habitude de le faire depuis 1917.

Vous n'avez même pas tenté de réfuter le fond de mon propos, à savoir que l'incident que j'ai relaté montre que la police américaine est au service de la population et non de sa corporation, contrairement à la police française.

Vous n'avez même pas tenté de réfuter la vérité mise en évidence par cet incident, à savoir que la police américaine place le respect de la loi au-dessus de tout, et en particulier des intérêts particuliers de ses membres. Contrairement à la police française dans l'affaire Nahel.

Vous n'avez même pas tenté de réfuter ce que nous enseigne cet incident, à savoir que les chefs de la police américaine se comportent en dirigeants d'un service public démocratique, et donc sanctionnent leurs subordonnés lorsqu'ils ont mal agi, contrairement à ceux de la police française qui se comportent en chefs mafieux ou en rois nègres, ce qui consiste à défendre mordicus "ses troupes" quoi qu'elles fassent, comme nous venons de le voir au cours des récentes émeutes raciales.

Vous n'avez même pas tenté de réfuter cette autre chose que montre cet incident, à savoir que la police américaine, lorsqu'elle est confrontée à ce que nous appelons chez nous un "refus d'obtempérer", se donne la peine de travailler, c'est à dire de poursuivre le conducteur incriminé malgré les difficultés, au lieu de lui tirer dessus comme les sauvages sanguinaires que sont les policiers français -- qui défendent, de surcroît, leur acte après leur meurtre.

Vous n'avez pas, non plus, tenté de réfuter ce point capital démontré par cet incident, à savoir qu'aux États-Unis, la liberté d'expression, la liberté de critiquer le gouvernement et ses agents, supplante la vanité des policiers. En Amérique, vous pouvez faire un doigt d'honneur à un policier et le traiter de "petit dictateur de m..." lorsqu'il se comporte effectivement en petit dictateur de m..., et viole la loi qui s'applique à lui comme à tout autre ; ce qu'on appelle un État de droit. Ce sur quoi, précisément, s'assoit la police française avec ses grosses fesses.

Et c'est le policier qui sera puni, pas vous.

En Frônce, la Frônce d'Axelle D, des gaullistes et de toutes les autres sectes répugnantes qui sont d'accord sur l'essentiel, à savoir l'éloge de la tyrannie et de la servitude, l'humiliation d'un policier est impensable. L'empêcher prime sur tout. Si Rodrigues filme les policiers dans le but, on le suppose, de les présenter sous un jour peu flatteur, alors il a bien mérité d'être rendu à moitié aveugle pour le reste de ses jours. C'est littéralement ce que nous explique la police française.

Même sur un blog comme celui-ci, où personne ne risque de dommages physiques, les policiers ou ceux qui prétendent défendre leurs intérêts se répandent en menaces préventives dès lors que la moindre critique est émise à l'encontre de leur corporation.

Ne parlons pas de conseiller à tel ou tel commentateur d'aller se faire f..., chose que personne n'a eu à souffrir ici, les membres du parti bleu pas plus que les autres.

Vous êtes tellement butée et tellement sectaire, que vous ne comprenez même pas en quoi ces critères de comportement policier sont cruciaux pour une société libre, sûre et démocratique. Pas une seule seconde, vous n'envisagez de remettre en cause vos préjugés, de réfléchir sur le fonctionnement de la société française à partir de ce que l'on peut observer ailleurs.

Mais vous vous employez fort bien à déplacer la cage de buts à roulettes !

Vous nous sortez donc, de votre culotte, une statistique selon laquelle la police américaine tuerait 15 fois plus que la police française, à population comparable.

Mais c'est une excellente chose ! Encore heureux, que la police américaine tue bien plus ! C'est qu'elle est, infiniment plus que la nôtre, confrontée aux menaces meurtrières des Noirs, que vous vous employez à défendre, excuser et idolâtrer, au moyen de votre "anti-racisme" imbécile et criminel.

Si la police américaine, composée pour une partie significative de Noirs, doit-on le rappeler, tue un nombre rassurant de malfaiteurs dans le cours de ses activités, c'est que la sur-criminalité délirante des Noirs ne cesse de mettre en péril la vie de ses membres et de la population en général.

Si vous tenez tellement à nous mettre des statistiques sous le nez, distinguez donc les cas où la police, française ou américaine, a tiré en légitime défense.

Et si vous voulez nous faire rire, distinguez donc, parmi toutes ces personnes tuées par la police américaine, les Noirs des Blancs. Vous verrez qu'à situation comparable, un Noir a nettement moins de chances de se faire tuer par la police qu'un Blanc. Petit détail que les tenants du politiquement correct omettent de considérer.

Et bien sûr, n'oubliez pas de nous exposer en détail les statistiques officielles américaines montrant l'effroyable sur-criminalité des Noirs. Un Noir avec un pistolet, c'est, pour commencer, de façon disproportionnée, un Noir avec un pistolet détenu illégalement (ce qui est déjà un exploit aux États-Unis).

Et c'est, surtout, un homme extraordinairement dangereux, susceptible de défourailler sous n'importe quel prétexte, en visant mal et en tirant sur n'importe qui, à n'importe quelle occasion : femmes, enfants, funérailles...

Rien de comparable avec la France, où la disponibilité des armes à feu n'a rien à voir.
______

@ Achille | 17 août 2023 à 07:27
"Il eut été intéressant de connaître les tribulations de cette histoire avec un pancartier noir et des policiers blancs (avec éventuellement un noir). "

Eh bien ! Cherchez, Achille, puisque vous êtes si malin. Présentez-nous donc un incident similaire, avec exactement le décompte racial que vous souhaitez. Et expliquez-nous ce qu'il faudrait en penser.

Parce que si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle.

Toujours le syndrome gauchiste "on peut pas comparer", "la méthodologie est pas bonne"... sortez-vous donc les mains des poches, au lieu de nous présenter "un film de 1967" comme contre-preuve -- autre signe de plus en plus fréquent de la sottise qui se répand.

Un film, c'est une œuvre de fiction ! C'est le fruit de l'imagination ! Ce n'est pas vrai, par définition !

Et 1967, c'était 1967 ! Nous sommes en 2023, okay ?

Montrez-nous vos anecdotes. Expliquez-nous quelle serait la méthodologie selon votre cœur. Tentez une contribution constructive, au lieu de nous servir l'éternelle insinuation, le sarcasme pas drôle qui passent pour de la réflexion en France.

Achille

@ Robert Marchenoir | 16 août 2023 à 14:33
« J'ajoute, à tout hasard, que le pancartier constitutionnaliste est blanc, tandis que des policiers qui ont tenté de l'arrêter, deux étaient noirs et l'un était blanc. »

Il eut été intéressant de connaître les tribulations de cette histoire avec un pancartier noir et des policiers blancs (avec éventuellement un noir).

Voir à ce sujet le film « Dans la chaleur de la nuit » qui date de 1967. À cette époque, pas si lointaine, le 1er amendement et le quatrième n’avaient pas la même importance qu’aujourd’hui…
Les temps ont bien changé ! :)

Axelle D

Un rappel concernant les statistiques respectives de tués par la police américaine et française l'année écoulée. De quoi se gondoler dans nos commissariats et gendarmeries quand on lit la curieuse démonstration de Marchenoir qui nous cite la première comme modèle.

"L'année 2022 a été particulièrement meurtrière aux Etats-Unis. Selon les dernières données compilées par Mapping Police Violence*, les interventions policières ont coûté la vie à, au moins, 1176 personnes sur cette période. Il s'agit d'un record depuis le lancement de cette base de données, en 2013. À titre de comparaison, selon ces mêmes calculs, la police a tué 1145 personnes en 2021, 1152 en 2020, 1097 en 2019, 1140 en 2018 ou encore 1089 en 2017. Le plus inquiétant en la matière est sans doute de constater que l'augmentation est linéaire, ou presque."
(source TF info)
Le Washington Post relevant pour sa part 1096 tués par la police pour l'année 2022 (sur 332 millions d'habitants)

À comparer avec les 15 tués en France pour la même période pour 67 millions d'habitants.

Conclusion : rapportés aux chiffres de la population de ces pays respectifs, la police américaine tue 15 fois plus que la police française.

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