Pour refuser cette France en tranches électorales, il n'est pas nécessaire d'être nostalgique d'un de Gaulle qui affirmait la primauté de l'unité de notre pays sur la droite et la gauche.
Il n'est pas nécessaire non plus de s'indigner d'un prétendu dépassement de la droite et de la gauche en 2017, qui a abouti, au fil des années, à une France de plus en plus éclatée, aux antipodes du rassemblement initialement promis.
On a le droit, simple citoyen épris de la chose politique, de dénoncer des stratégies présidentielles qui, au lieu d'appréhender notre pays comme une communauté à l'égard de laquelle la pensée et les projets doivent être globaux, se flattent de le courtiser de manière parcellaire, catégorie par catégorie, une part des citoyens ici, une autre là, comme s'il était un immense gâteau qui, découpé, offrirait à chaque candidat sa chance, son pré carré.
Je ne crois pas exagérer mon propos puisque, au cours de ces derniers mois, on insiste sur ce que le Monde résume justement par ce titre : "De Darmanin à Ruffin, l'appel du pied aux classes populaires". Celles-ci, dans leur définition sociologique et économique, représentent 22 % de l'électorat.
On peut remplacer "populaire" par "social". L'idée est la même. Il faut réduire l'influence du RN sur ces Français pour lesquels la fin du mois est de plus en plus un problème, qui se voient dépouillés des services publics essentiels, abandonnés et pourtant moqués pour leur révolte qui serait populiste, voire fasciste, en tout cas toujours "nauséabonde". L'objectif est de les faire revenir dans la case démocratique acceptable.
Rien ne m'apparaît plus contraire à la grandeur de notre pays, que ce soit dans la pratique du pouvoir ou dans la volonté de le conquérir, que ce morcellement auquel on consent d'autant plus volontiers que tout démontre qu'on est incapable de proposer une plénitude à la France. Non par défaut d'intelligence mais à cause de cette prétendue fatalité de la politique, qui contraindrait à raisonner pour partie (ou parti ?) au lieu d'assumer le tout.
Je perçois l'extrême difficulté des idéologies extrêmes à se départir d'une vision qui les incite à cliver, à distinguer, à ostraciser. Prenons par exemple la situation du parti communiste : la chaleureuse personnalité de Fabien Roussel ne fait pas oublier que dans son programme, même avec une lutte des classes attiédie, les patrons, les possédants, sont obsessionnellement ciblés, comme s'ils étaient presque coupables d'exister, selon une veine communiste encore plus révolutionnaire que réformiste.
LFI permet, sur le mode vindicatif, une illustration encore plus éclairante pour certaines de ses exclusions radicales.
La campagne pour 2027, telle qu'elle se présente déjà, ne dérogera pas à la triste habitude de sectoriser ce qui devrait être généralisé, de s'acharner à cultiver sa clientèle de prédilection, de remplacer, en quelque sorte, la cause de la France par celle de son ambition réduite à son expression la plus pragmatique. Si je me trompe, égaré par un pessimisme excessif, j'en serai le premier satisfait.
Qu'on se penche sur le passé ou qu'on se fonde sur les attentes populaires, il est cependant clair que la société française n'a été véritablement convaincue par une campagne présidentielle (avec un taux de participation de 80 %) qu'en 2007 quand Nicolas Sarkozy lui a présenté son projet. L'universel enrichissait les mesures particulières. Le candidat avait su concilier le meilleur de la droite et de la gauche, dans un mouvement qui, sortant de l'épicerie partisane, laissait espérer de l'élan, de l'épique.
Pour l'avenir, si les Français plébiscitent le référendum, ce n'est pas seulement parce qu'ils éprouveraient une fringale démocratique, c'est plutôt que ce mode de participation du peuple à son destin susciterait un souffle collectif que la vie politicienne aurait été inapte à provoquer (Le Figaro).
On admire trop volontiers certains comportements anciens. On ne s'en sert pas comme exemples, tels des modèles à imiter mais comme un idéal impossible à atteindre.
Charles de Gaulle est devenue la consolation nostalgique d'une France instrumentalisée en tranches électorales.
Le citoyen n'est pas à la disposition des politiques, une multitude à instrumentaliser, mais ils se doivent de le servir.
@ F68.10 | 09 septembre 2023 à 10:00
« ...on représente par le vote, on débat, on prend des décisions. »
« On prend des décisions »... C’est à cet instant que votre raisonnement devient bancal. Qui est « on » ? Par quel moyen autre que le vote, qui consacre nécessairement la victoire d’un camp et la défaite de l’autre, une décision peut-elle être prise ? Le consensus ? Il ne fonctionne qu’en Suisse, dont la taille, l’histoire et l’organisation politique et territoriale ne sont pas comparables à celles de la France.
La poursuite in aeternam du débat, entraînant le statu quo alors que, dans tous les domaines, le monde qui nous entoure est en perpétuel mouvement, serait naturellement un mauvais choix...
Reste l’ultime solution, la pire, celle des nations dont les peuples subissent un pouvoir personnel... celles où le « chef » décide de tout, fixe les objectifs, ordonne les moyens d’y parvenir, sous prétexte de protéger le peuple. Le préambule et les articles 1 et 2 de notre Constitution l’interdisent, mais l’emploi incessant de certains autres, le recours aux astuces du règlement de l’Assemblée qui limitent les temps de parole et l’extension de la tradition peu républicaine du « domaine réservé », si l’on n’y prend pas garde, permettraient à un président jupitérien de tenter de l’utiliser. Le débat, dès lors, deviendrait inutile et laisserait place au seul conflit... avec le « guide ».
N'avez-vous pas l’impression, après les Gilets jaunes, la violence des manifestations anti-réforme des retraites, les émeutes de juillet, les multiples recours au 49-3, la mise à l’écart du Parlement en matière de politique internationale, que nous sommes sur cette voie de la « culture du conflit » et que celui qui l’a choisie se trouve à l’Elysée ?
Rédigé par : Serge HIREL | 10 septembre 2023 à 12:57
@ Serge HIREL
"Vous confondez goût pour le débat et « culture du conflit »..."
Non. Relisez-vous: vous appelez explicitement au clivage.
Vous cherchez à activer le conflit le plus possible, car la tentative de désactivation du conflit que Macron a tenté d'engager vous déplaît plus que tout. Elle menace votre conception, conflictuelle, de la politique, et vous ne pouvez pas l'accepter.
La culture du conflit, ce n'est pas que l'école du cirque connue sous le nom de LFI. C'est aussi en large partie la culture de la droite de la droite qui voit le jeu politique comme un conflit électoral. Une épreuve de domination. Et non pas comme l'expression d'une société pluraliste qui débat sereinement de ses problèmes pour les résoudre: on représente par le vote, on débat, on prend des décisions.
Vous, vous ne cherchez pas à accepter la représentation par le vote. Vous voulez une culture du conflit, un clivage politique, et un système quasi monarchique où "The winner takes all".
La culture du conflit, c'est vous.
Rédigé par : F68.10 | 09 septembre 2023 à 10:00
@ F68.10 | 07 septembre 2023 à 09:15
Vous confondez goût pour le débat et « culture du conflit »... Il est vrai que, depuis six ans, la France de Macron se complaît dans le conflit (Gilets jaunes, invectives à l’Assemblée, manifestations violentes contre la réforme des retraites, 49-3 répétitifs, casserolades, émeutes, incivilités, tueries dans les quartiers...) et que le débat n’est plus qu’un plan com’ dégainé de temps à autre par le pouvoir... avec la ferme intention de ne pas en tenir compte. Confer le « Grand Débat », dont les « cahiers de doléances » (sic) pourrissent dans les greniers des préfectures. À première vue, la « Nuit blanche » de Saint-Denis sera, elle aussi, à ranger au rayon « farces et attrapes ».
Rédigé par : Serge HIREL | 07 septembre 2023 à 17:12
@ Serge HIREL
"Pas de doute ! Voilà un argument de poids... au Café du Commerce de Vevey..."
L'argument de poids fait l'objet du précédent commentaire. Je le répète: il n'est plus question d'être complaisant face à la culture du conflit que vous vous ingéniez à faire prendre racine en France.
Rédigé par : F68.10 | 07 septembre 2023 à 09:15
@ Serge HIREL
J'en appelle à Meloni pour confirmer que les rodomontades populistes ne servent qu'à se faire élire sur un nationalisme dépassé, alors que sans l'Europe les nations n'existent plus :
"Malgré ces défis, et malgré la difficulté de succéder à un technocrate de haut vol comme Mario Draghi, Giorgia Meloni s'est positionnée en un an comme la figure clé d'une nouvelle Europe, plus conservatrice sur le plan sociétal, mais aussi ouverte aux affaires, atlantiste et économe des deniers publics. Son soutien à l'Ukraine a été exemplaire, en dépit des positions prorusses de ses partenaires de coalition. Elle a pris ses distances avec la Chine, alors que le gouvernement de Giuseppe Conte avait été en 2019 le seul du G7 à adhérer aux nouvelles routes de la soie. Sa politique budgétaire est rigoureuse. C'est impératif avec une dette publique équivalant à 144 % du PIB. Mais c'est aussi un gage de sérieux et de fiabilité donné à ses partenaires de l'UE au moment où l'Italie est la principale bénéficiaire du plan de relance européen post-Covid de 800 milliards d'euros – même si Rome peine à présenter dans les temps à Bruxelles des projets finançables."
https://www.lepoint.fr/editos-du-point/giorgia-meloni-va-t-elle-faire-l-union-des-droites-en-europe-05-09-2023-2534102_32.php?boc=641907&nl_key=43a4667adba4931eb94e6042fdcc03b05761d22b161cc90caf19618d0beed259&m_i=DR9U2JBl9IU2M_C3LCfyW6ONyGfo7WWvdpKnrgQNbx0ItNWjYJ1MVBGKYRK59McCYWQSSivABWB0gZ9kBN_ilDjWogDDDM&M_BT=194508641590#xtor=EPR-57-[Push-email]-20230905-[Article_1]
Quelle vilaine Europe que voilà, ce qui ne signifie pas qu'il ne faille pas la réformer, notre président le tente en vain depuis six ans sous les quolibets des opinions divisées, nationales comme européennes.
Rédigé par : Aliocha | 06 septembre 2023 à 20:45
@ Serge HIREL | 05 septembre 2023 à 18:12
Winston a du boulot et il le sait. D'un côté il doit se coltiner le Cinglé, ses détracteurs complotistes, monter au front en première ligne, panser les plaies... Cela fait beaucoup, mais il a commencé à faire le ménage, sans compter la reconstruction du pays.
Il est jeune, il a deux atouts, des fidèles qui tiennent la route et des journalistes dans son pays qui ne passent plus rien depuis qu'il a été élu.
https://www.lemonde.fr/international/article/2023/02/22/general-kyrylo-boudanov-nous-nous-approchons-de-la-fin-de-la-guerre-en-ukraine_6162876_3210.html
Des journalistes qui ne sont pas des béquilles du pouvoir et qui sont le fer de lance de ce pays. Qui vivra verra.
Rédigé par : Giuseppe | 06 septembre 2023 à 18:20
@ Aliocha | 05 septembre 2023 à 21:05
Que viennent faire Giorgia Meloni et la pandémie dans votre ode à l’Europe de Bruxelles ? L’actuelle présidente du Conseil des ministres italien n’était pas aux affaires à l’époque et si, aujourd’hui, elle a à en connaître, c’est probablement pour s’insurger contre la gabegie de vaccins « organisée » par les technocrates du Berlaymont :
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/vaccin-anti-covid-pourquoi-lue-a-renegocie-son-contrat-avec-pfizer-BLQSSTVRUNDIHLEHX3ZERFW3ZU/
Très franchement, vous auriez pu trouver une intervention de l’UE un peu moins démonstrative d’une gestion ubuesque, qui, trop souvent, a pour principales caractéristiques d’être hors sol et de pondre des usines à gaz. Vous auriez pu, par exemple, citer Erasmus +, qui est une vraie réussite de l’Europe... sauf pour ce qui concerne le pointillisme du dossier à présenter, ou le programme Feder, qui présente la particularité de verser les subventions accordées trois ans après leur attribution...
Il est exact que, pour l’instant, les critiques contre Bruxelles du gouvernement italien sont moins vigoureuses que lors de son arrivée au pouvoir. Cela paraît essentiellement dû à l’attitude de « surveillant général » de la Commission européenne, qui pose un regard méfiant - Dame ! GM est une affreuse extrémiste de droite ! - sur l’emploi des 195 milliards d’euros accordés à Rome pour tenter de se sortir des conséquences désastreuses de la pandémie sur l’économie du pays. Giorgia Meloni, avec juste raison, fait profil bas pour que l’Italie ne subisse pas les mêmes critiques que Budapest et Bruxelles.
Et c’est cette Europe-là que vous appelez de vos vœux ?!
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@ F68.10 | 06 septembre 2023 à 01:37
« De s'être amputé du cerveau, plutôt. »
Pas de doute ! Voilà un argument de poids... au Café du Commerce de Vevey...
- Et pourquoi, Monsieur, dites-vous cela ?
- ...Euh...
- Pour faire avancer le schmilblick ?
- Non... simplement pour dire quelque chose... de méchant.
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@ Ugo | 06 septembre 2023 à 08:41
Bon... Vous n’êtes pas là près de faire accepter un « H » devant votre pseudo... Mais continuez... Vous ne pouvez que progresser.
Rédigé par : Serge HIREL | 06 septembre 2023 à 17:35
@ Patrice Charoulet | 06 septembre 2023 à 13:40
"Dans trois ans, je serai aux côtés des successeurs du président Macron, dont je ne connais pas encore le numéro un."
Bravo, vous serez donc aux côtés de toute cette future racaille macronienne islamogauchiste Nupes collabos vendus traîtres immigrationnistes.
Moi je serai face à vous, avec le successeur de Zemmour ou des Le Pen, au choix, les seuls vrais citoyens patriotes.
Rédigé par : sylvain | 06 septembre 2023 à 15:09
@ Patrice Charoulet | 06 septembre 2023 à 13:40
Décidément vous n'êtes pas doué pour la cuisine, y compris électorale ! Et votre plat unique sans sel ni poivre ni aucun assaisonnement (soit un court-bouillon fadasse) n'est pas très ragoûtant !
En fait, du réchauffé que Giscard avait déjà initié, en y adjoignant une nouvelle mixture sociétale composée de tous les déçus, les cocus, les indécis et les frustrés (sous couvert de modernité) avec les résultats que l'on sait ! En réalité, le début d'une formidable décadence de la France qui a permis à Mitterrand de s'emparer du pouvoir, etc.
Rédigé par : Axelle D | 06 septembre 2023 à 14:47
@ Ogu | 06 septembre 2023 à 11:04
Vous êtes un drôle d'animal, je ne sais pas s'il faudrait vous piquer ou vous soigner. Au fond cela n'a pas trop d'importance, il suffit de vous lire pour penser que vous êtes dans un monde... le même que celui de Vol au-dessus d'un nid de coucous... Mais la vraie folie en plus. Celle du Cinglé, et de l'autre qui en 39 a mis à feu et à sang le monde. Faites-vous soigner, vous méritez sans doute une vie nouvelle.
Rédigé par : Giuseppe | 06 septembre 2023 à 14:01
Cher Philippe,
Vous parlez de tranches électorales.
À mes yeux, les choses sont très simples. Nous avons vécu dans une France politique coupée en deux : la gauche et la droite, les socialistes et le RPR, l'UMP et LR.
Maintenant la France politique est coupée en trois : l'extrême gauche, l'extrême droite et le bloc central. N'aimant pas du tout les deux premiers, je lutte pour renforcer le troisième. Il est incarné en 2023 par le président Macron et son gouvernement. Dans trois ans, je serai aux côtés des successeurs du président Macron, dont je ne connais pas encore le numéro un.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 06 septembre 2023 à 13:40
https://www.europe-en-france.gouv.fr/fr/les-fonds-europeens-mobilises-contre-le-covid-19
Relisons Clausewitz avec Jérôme, le chapitre la France et l'Allemagne, par exemple, ou la tristesse de Hölderlin, quand il s'agit de ne plus croire en la violence, et on reparle des hâbleurs adolescents qui offrent leurs reins à Poutine par détestation de l'Europe et de Macron en prétendant défendre la France, les hypocrites subventionnés mais avec l'argent des autres !
Rédigé par : Aliocha | 06 septembre 2023 à 13:15
@ Claude Luçon | 06 septembre 2023 à 00:47
"Ugo de quoi vous mêlez-vous ? Giuseppe s'adressait à Ogu ! C'est vrai, Ogu c'est plus snob que Ugo, c'est nigérian, probablement Yoruba, à la réflexion non, c'est plutôt Igo ou Igbibo ! Avec tous ces alias on ne sait vraiment plus qui lire ! Il serait plus simple de nous dire carrément vos noms et prénoms, ça nous aiderait à vous croire !"
Arrêtez de jouer à la bourrique et continuer à faire des trous, votre ami Charoulet n'appréciait pas que l'on joue avec son nom et vous voilà revenu aux jeux de l'école primaire.
Quant à me prendre au sérieux il y a d'autres pseudos (les meilleurs du blog) qui s'en chargent...
Luçon je ne vous ai pas lu et je vous trouve de plus en plus çon.
P.-S. : le nom qui m'a été légué n'a pas à traîner n'importe où sur Internet pour être utilisé par des zigotos de votre espèce, cela vous a déjà été expliqué par de nombreux pseudos de ce blog.
Fin de non recevoir.
Rédigé par : Ugo | 06 septembre 2023 à 11:04
L'Europe qui nous aurait sauvés du Covid. Les arguments ne sont plus d'autorité mais de pitrerie.
J'attends que ce joli monde, Ursula et son mari, Baratin 1er et quelques autres passent en procès pour conflits d'intérêts avec Pfizer.
Cette crise a servi la Stratégie du choc.
"Thuriférer" Adolfo-Benito Zelensky ou Vladimir "Marvelous" Poutine en conchiant celui que l'on n’a pas choisi, d'une vision hémiplégique, même s'il ne faut pas oublier que l'agresseur physique s'appelle la Russie.
Pour ceux qui se targuent d'être girardistes, relire Achever Clausewitz qui montre que l'agresseur n'est souvent pas... l'agresseur. Pas uniquement.
Pour finir, il y en a des qui se croient courageux parce que leur père, leur grand-père l'ont été. Ce qui leur a permis de ne pas avoir besoin de l'être. L'ont-ils été, je parle bien sûr de l'affrontement qui peut conduire à mourir, seulement une fois dans leur vie ? Ce blog pourrait parfois s'appeler : La gloire de mon père.
Risible.
Hâbleur tu es, hâbleur tu resteras.
—-
Le centre tel que décrit par ses adeptes : prendre des idées de droite comme de gauche.
C'est court.
Quelles sont les idées originales du centre ?
Être de droite ou de gauche serait, selon ces autoritaires, moins intelligents qu'être du centre. Complotisme, fascisme, communisme, tout ce qui ne plaît pas à ces bobos de la pensée se voit affublé de ces douceurs.
Le bobo de la pensée c'est essentiellement le retraité conformiste prêt à tout dérégler... pour les autres, pourvu que pour lui, rien ne bouge. Sous couvert de la raison que leur grand âge leur confère ça va de soi, ils ont eu une vie si dure, enfin, leur père, leur grand-père mais c'est comme si.
Le centre, rassembleur ? On a vu. Et il ne suffit pas d'accuser le divergent de ne pas vouloir se rassembler pour décréter qu'il est la cause des divergences. Le totalitaire baratineur a démontré que le seul rassemblement qu'il considère acceptable est de dire oui.
Sinon c'est le LBD et le tabassage de l'honnête citoyen.
Pour rassembler il faut avoir quelque considération pour la pensée de l'autre. Quand celle-ci est vilipendée comme nauséabonde si non conforme à la doxa...
Vive la France ! Vive la Principauté d'Andorre !
Rédigé par : Jérôme | 06 septembre 2023 à 08:41
@ Ellen | 05 septembre 2023 à 20:42
Vous avez retrouvé les « mille milliards de sabords » que j’avais postés et qui ne se retrouvaient pas à l’arrivée dans le blog de Justice au singulier… je cherchais mais j’étais distrait par les deux gros ballots de Giuseppe et Serge Hirel qui causaient de paille et de poutre tout en balayant devant leurs portes situées dans des bleds ou ils sont conseillers municipaux, voyez d’ici le scandale.
Merci Ellen vous m'avez sauvé la vie et je peux opposer une fin de non recevoir aux deux rigolos et à Tartarin le puisatier qui arrive sur le lieu du pompage ayant reniflé une affaire de pétrole.
Rédigé par : Ugo | 06 septembre 2023 à 08:41
@ Serge Hirel
"En gros, vous reprochez aux électeurs de droite et de gauche d’être « émotifs », de voter avec leur cœur, de laisser parler leurs tripes."
De s'être amputé du cerveau, plutôt.
Rédigé par : F68.10 | 06 septembre 2023 à 01:37
@ Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:44 (@ Ogu | 05 septembre 2023 à 11:30)
@ Ugo | 05 septembre 2023 à 18:00 (@ Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:44)
—-
Ugo de quoi vous mêlez-vous ? Giuseppe s'adressait à Ogu !
C'est vrai, Ogu c'est plus snob que Ugo, c'est nigérian, probablement Yoruba, à la réflexion non, c'est plutôt Igo ou Igbibo !
Avec tous ces alias on ne sait vraiment plus qui lire !
Il serait plus simple de nous dire carrément vos noms et prénoms, ça nous aiderait à vous croire !
Rédigé par : Claude Luçon | 06 septembre 2023 à 00:47
Serge Hirel devrait appeler Giorgia Meloni pour lui demander ce qu'elle pense des européistes antinationaux et des technocrates fédéralistes de Bruxelles.
Elle lui répondrait qu'ils ont sauvé l'Europe pendant le Covid.
Les nations européennes ne s'en sortent pas seules et doivent alors choisir quelle allégeance correspondrait à leurs opinions dispersées, où chaque gourou prétend que sa petite secte pourrait s'en sortir seule, passant leur temps à dénigrer ce qui pourtant garantit leur survie.
Un peu de savoir anthropologique ne nuirait pas aux fossoyeurs pourvoyeurs d'illusion perdue, qui voudraient de leurs échecs pourtant dûment sanctionnés démocratiquement encore célébrer la victoire.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2023 à 21:05
@ Ugo - 15:12
"1- Finances
À la fin du deuxième trimestre 2017, la dette nette des administrations publiques s'élève à 2002,0 Md€
À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique s'établit à 3 013,4 Md€ - insee.fr, 30 juin 2023
Soit 1 milliard de dettes de plus en six ans grâce à la politique de Macron."
Il serait plus correct de dire: soit 1011,4 Md€ de plus, dépensés entre 2017 et 2023 et non 1 milliard de dettes en 6 ans.
Et ce n'est pas fini. D'ici 2027 la dette va encore augmenter.
Rédigé par : Ellen | 05 septembre 2023 à 20:42
Vite ! Il faut loger et nourrir ceux qui nous envahissent du fait des conséquences de la colonisation, notamment par la langue française et l'exposition éhontée de nos richesses via Internet.
La délinquance causée par les clandestins. À qui la faute ? On devrait leur allouer un minimum de revenu de subsistance pour qu'ils ne soient pas obligés de voler.
Un petit billet de 20 euros avec chaque repas distribué par les Restos du cœur, Secours machin et autres, serait par exemple une bonne solution.
Pour le logement, il convient de légaliser le squat pour que la justice ne soit pas encombrée par les doléances inhumaines des propriétaires.
Il faut d'urgence créer un centre d'études sur l'immigration clandestine, un observatoire du secours à l'immigration clandestine, une commission pour en rendre compte, une délégation interministérielle pour coordonner le tout, un pôle juridique au sein du ministère de la Justice pour proposer une législation, et évidemment, une commission dans chacune des chambres pour légiférer.
On pourrait dire aussi qu'un centre de vacances entouré de dix rangs de barbelés électrifiés dont on ne sort que pour retourner chez soi, avec pain rassis et eau claire à volonté ferait l'affaire. Mais ça, ça fait nazi.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 05 septembre 2023 à 18:42
@ Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:44
Cette stratégie de défense est vieille comme le monde, mais vous avez eu la bonne idée d’en inverser les dispositions... Ce qui donne : pour ne pas voir la poutre dans l’œil de son voisin, parlons de la paille qui se trouve dans le sien...
Quand Ogu aura fini de balayer, peut-être pourrait-il prêter son balai à Winston... si celui-ci s’engage à ne pas aller balayer le Kremlin.
Rédigé par : Serge HIREL | 05 septembre 2023 à 18:12
@ Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:44
Cherchez d'autres commentateurs pour calmer vos folies.
Sans suite !
Rédigé par : Ugo | 05 septembre 2023 à 18:00
@ F68.10 | 05 septembre 2023 à 01:57
En gros, vous reprochez aux électeurs de droite et de gauche d’être « émotifs », de voter avec leur cœur, de laisser parler leurs tripes, alors que les « extrêmes centristes » seraient « réalistes » et « pragmatiques ». Et bien non, la Macronie n’a pas le monopole de la raison. En revanche, elle possède celui de l’entêtement, le but suprême du président n’étant pas de « faire nation », mais de faire l’Europe, au moins fédérale.
Il me semble que la droite britannique, qui, à l’époque, n’avait pas peur de hisser les couleurs, a donné un bel exemple d’un gouvernement « réaliste » et « pragmatique », mais aussi ferme sur ses convictions, pendant le « règne » de Margaret Thatcher. Alliant décisions courageuses et respect de la doxa conservatrice, elle avait réussi à redresser la barre dans un pays mis à mal par une gestion travailliste déraisonnable. Il est vrai qu’en ce qui nous concerne... Bon... Disons que nous sommes toujours à la recherche de notre Thatcher.
Vous pouvez bien sûr continuer à couper les cheveux en quatre avec l’aide d’Aliocha, remplacer la Sainte Bible par Wikipédia... et même prétendre que quiconque n’est pas « extrême centriste » vous diffame... Mais vous ne pourrez jamais démontrer que l’affrontement des idéologies, le combat des idées, nuisent aux démocraties. C’est même sur cette base qu’elles sont construites.
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@ Robert | 05 septembre 2023 à 11:54
Théoriquement, nous en saurons plus dans les prochaines heures sur l’état d’esprit de Macron, qui a promis aux partis de leur faire parvenir ce mercredi sa synthèse personnelle de la « Nuit blanche ». Pour ma part, je ne me fais aucune illusion. Macron, qui, depuis six ans, a multiplié les conflits avec les Français, n’a plus qu’un seul choix possible : persister dans sa volonté de conduire le pays à s’abandonner à l’Europe telle qu’elle est aujourd’hui conçue par les européistes antinationaux et les technocrates fédéralistes de Bruxelles.
Faire demi-tour, entamer une marche arrière, bifurquer desservirait son ambition personnelle : jouer un rôle majeur dans l’institution supranationale et souveraine qu’il espère voir naître à l’horizon 2030. Toutes les mesures qu’il ne va manquer de nous promettre lui seront utiles pour y parvenir... ou ne seront que de la poudre aux yeux.
Macron n’est pas mû par une quelconque idéologie mais par un plan de carrière, à la mesure de la haute considération « jupitérienne » qu’il a de lui-même.
Rédigé par : Serge HIREL | 05 septembre 2023 à 16:36
Faites vos jeux rien ne va plus :
1- Finances
À la fin du deuxième trimestre 2017, la dette nette des administrations publiques s'élève à 2002,0 Md€
À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique s'établit à 3 013,4 Md€ - insee.fr, 30 juin 2023
Soit 1 milliard de dettes de plus en six ans grâce à la politique de Macron.
Les recettes brutes de l’Etat en 2022 ne sont que de 450 Md€. Combien d’années faudra-t-il pour rembourser la dette lorsque l’on ne voudra plus nous prêter de l’argent et comment ferons-nous pour payer toutes les allocations sociales et que se passera-t-il à ce moment-là ?
Faites vos jeux rien ne va plus :
2- Immigration
Vous pouvez devenir Français par naturalisation, sous conditions, si par exemple vous résidez en France depuis 5 ans ou plus…
Selon les données du ministère, 316 174 premiers titres de séjour ont été délivrés en 2022 (contre 270 925 en 2021).
Donc dans 5 ans ils seront tous français sans comptez ceux qui naissent sur le sol de France de parents émigrés non naturalisés + ceux qui naissent en France de parents naturalisés.
Ainsi en France, au 1er janvier 2023, il y avait 8 651 109 résidents de nationalité étrangère.
Le nombre d'immigrés clandestins en France est estimé entre 600 000 et 700 000 par le ministère de l'Intérieur.
En 2022, il y a eu 114 483 acquisitions de nationalité et en vingt ans près de 3 000 000 de personnes ont acquis la nationalité française.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381644#:~:text=type%20d'acquisitions-,Lecture%20%3A%20en%202022%2C%20sur%20les%20114%20483%20acquisitions%20de%20nationalit%C3%A9,minist%C3%A8re%20de%20la%20Justice%2C%20SDSE.
Avec plus de 8 enfants par femme, la fécondité algérienne était, au moment de l’indépendance, une des plus fortes du monde arabe (elle a diminué du fait, entre autres, de problèmes de consanguinité).
https://www.monde-diplomatique.fr/2011/06/A/20666#:~:text=Sa%20forte%20f%C3%A9condit%C3%A9%20ne%20baisse,Jordanie.
Compte tenu de tous ces paramètres, la population française est composée aujourd’hui de 50 % de personnes issues de l’immigration depuis l’an 2000 (arrivées et naissances - il suffit d'observer les rentrées des classes primaires).
Alors se focaliser sur 2027 semble irréaliste.
Rédigé par : Ugo | 05 septembre 2023 à 15:12
@ Ogu | 05 septembre 2023 à 11:30
Ogu est un plaisantin je vais lui faire cadeau d'un balai-cantonnier il faut bien ça pour qu'il le passe aussi en France:
La corruption endémique en France est un problème grave qui affecte la confiance des citoyens dans les institutions, la qualité de la démocratie et le développement économique et social du pays.
Selon l'indice de perception de la corruption publié par Transparency International, la France se classe au 23e rang sur 180 pays en 2020, avec un score de 69 sur 100, loin derrière ses voisins européens comme l'Allemagne (80), le Royaume-Uni (77) ou les Pays-Bas (82).
La corruption en France se manifeste sous différentes formes, telles que le trafic d'influence, le détournement de fonds publics, le financement illégal des partis politiques, le favoritisme, le népotisme, la fraude fiscale ou le blanchiment d'argent.
Plusieurs affaires judiciaires récentes ont révélé l'ampleur et la profondeur de la corruption dans les sphères politiques, économiques et administratives françaises:
l'ancien président Nicolas Sarkozy a été condamné en mars 2021 à trois ans de prison, dont un an ferme, pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire dite "des écoutes".
L'ancien Premier ministre François Fillon a été condamné en juin 2020 à cinq ans de prison, dont deux ans ferme, pour détournement de fonds publics, complicité et recel d'abus de biens sociaux dans l'affaire dite "des emplois fictifs".
L'ancien ministre du Budget Jérôme Cahuzac a été condamné en mai 2018 à quatre ans de prison, dont deux ans ferme, pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale dans l'affaire dite "du compte caché".
Ogu ferait bien de balayer aussi devant nos portes, ces exemples illustrent la nécessité de renforcer la lutte contre la corruption en France, en adoptant des mesures législatives et institutionnelles efficaces. En garantissant l'indépendance et les moyens de la justice, en renforçant la transparence et le contrôle des activités publiques, en sanctionnant sévèrement les comportements déviants et en éduquant les citoyens aux valeurs de l'éthique et de l'intégrité.
Ogu a déjà beaucoup de boulot devant lui avant de faire la leçon aux autres, Ogu devrait relire la Paille et la Poutre, l'auteur ne lui parlerait pas étant donné son niveau de culture. Au pays des aveugles les borgnes sont rois, à mon avis Ogu est atteint de cataracte pour le moins, la cécité le guette.
Rédigé par : Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:44
Les suppôts de Satan du Cinglé feraient mieux de lire le livre de l’anthropologue et chercheur affiliée au CNRS Florence Bergeaud-Blackler, qui décrit comment le mouvement des Frères musulmans compte islamiser notre société:
https://www.lunion.fr/id498315/article/2023-06-28/les-freres-musulmans-mis-nu-par-lenquete-de-florence-bergeaud-blackler
La liberté celle que mon grand-père qui a fui l'Espagne, ne se monnaye pas, lutter, toujours lutter:
https://www.youtube.com/watch?v=2gIrXXxsAkY
Gabriel Attal porte le projet d'Emmanuel Macron, ce dernier qui n'a plus rien à perdre ni d'électorat à conquérir appuie sur ce qui est une évidence.
À l'inverse de ces cinglés adorateurs du Venezuela et de leur Vénézuélien en chef, adorateur de ce pays, de Castro et de tous ces grands démocrates qui illuminent le monde pour contraindre à en mourir.
Hidalgo à la question posée sur l'abaya et son interdiction, s'est caltée, a fui comme une politique qui ne voulait pas obérer sa future candidature à Paris. Le PS rance qui s'appuie sur cet électorat recherché mais pourtant pas si neutre.
Marc Bloch savait de quoi il parlait aussi dans ce système d'habitude qui nous gangrène à en mourir.
Il faut lire le livre de Florence Bergeaud-Blackler. On veut lui faire la peau, elle est au coeur du réacteur, son courage est à la hauteur de la menace, et il est grand pour cette dernière. En affrontant objectivement la menace telle qu'elle avait été relevée et mise en lumière au procès de Charlie, la taqîya elle la dévoile, l'étaye et la dénonce.
Ils se sont tous planqués à gauche, même à droite Sarkozy a rampé aussi. Mais comme le dit Winston Volodymyr, il faut porter la guerre chez le Cinglé et ce que fait cette chercheuse est de la même conviction, de la même force et elle en a et pendant ce temps Hidalgouille proposait à Winston des pistes cyclables cette imbécile, cette andouille, alors qu'ils versaient leur sang pour nous, pour elle, pour notre liberté.
La propagande au pays du Cinglé est du même calibre, cela fonctionne parfois ici sur des esprits fragiles, et des complotistes de bazar au chaud derrière leur clavier, du niveau d'Hidalgo et de son score à la présidentielle.
Qu'avaient donc les Parisiens dans leur tronche pour élire une telle nullité ?
Je suis toujours surpris de voir comment les votes sont orientés localement, mais quand l'heure de vérité sonne, c'est bien Emmanuel qui a été plébiscité à Paris, la trouille d'un Hanounouille de plus sans doute.
Rédigé par : Giuseppe | 05 septembre 2023 à 14:20
@ F68.10
Je précise.
Peut-être votre brillant exposé permettra-t-il de comprendre que Macron n'est pas la cause du mal qui nous frappe d’immobilisme depuis si longtemps, mais la conséquence, quand ce n'est ni la gauche ni la droite qui sont à fustiger, mais la relation émotionnelle infantile qu'elles entretiennent.
Chaque entité a droit à parole et existence.
La radicalité du centrisme trouve sa légitimation en leur refus du dialogue, qui aboutit au déni démocratique qu'on observe, où seul ce refus est à même d'agréger les oppositions dispersées, ce qui n'a jamais constitué une majorité.
C'est en ce sens que le clivage est effectivement une démence, une immaturité démocratique qui, par refus de la troisième voie de la concertation, refuse un autre chemin que celui de la domination, ce sens enfin éclairci de l'autre joue tendue qui n'est pas désirer de se faire à nouveau frapper, mais trouver un autre mode de fonctionnement que la force pour établir la justice.
L'Europe en est là, et tant que les opinions refuseront cette dialectique de conciliation au bénéfice des empires nationalistes de tous bords dont la France a déjà démontré l'épouvantable échec, le monde court à sa perte et brûlera ceux qui sont à même d'en faire le diagnostic, pour mieux confirmer qu'il n'aura su qu'en rester aux vieilles querelles d'identité malade qui le détruisent.
Tous les Zemmour pourront se joindre aux jeunes Africains manipulés dans la même impasse où toujours désigner autrui responsable des iniquités qu'on partage avec lui n'est que la marque de son incapacité à savoir soi-même s'envisager, ils ne sauront que démontrer que ne pas savoir maîtriser ses émotions est ce qui les empêche d'être ainsi à la hauteur du destin mirifique offert à l'humanité, qui est le sens pragmatique de savoir nommer la réalité au service du souverain bien : la Paix.
Ceux qui, fort de cette connaissance, choisissent néanmoins la guerre, cette défaite honteuse face aux forces du mal, seront alors légitimement combattus avec la plus radicale détermination.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2023 à 12:04
@ Serge HIREL | 05 septembre 2023 à 09:36
Votre commentaire rejoint effectivement la réflexion d'Ivan Rioufol sur Causeur qui dit que "Macron veut « faire nation », mais en faisant semblant"
https://www.causeur.fr/macron-veut-faire-nation-mais-en-faisant-semblant-265650
Je pense qu'après l'épisode des émeutes du début d'été 2023, faisant suite aux Gilets jaunes, aux manifestations sur les retraites etc., monsieur Macron a pris conscience de ce que son pouvoir repose sur un volcan mal éteint et que les idées progressistes sur lesquelles il s'est fondé pour attirer à lui les suffrages des Français (du moins ceux qui ont voté) sont en réalité dans la lignée de celles qui sont à la base du délitement de la France en tant que nation et que puissance.
Il doit avoir conscience de ce que seul un basculement à droite de sa politique peut assurer l'exercice de son pouvoir jusqu'en 2027. Mais il reste prisonnier de son tropisme européiste fédéraliste et de ses partisans provenant de l'ex-gauche sans lesquels il perdrait sa majorité relative à l'Assemblée nationale.
Il n'empêche que pour quelqu'un qui a bâti sa carrière politique sur une idéologie fondamentalement anti-nationale, surfant sur la colonisation qualifiée de crime contre l'humanité et autres idées du même acabit concernant l'Afrique occidentale qui l'ont coupé des élites africaines, la position ne peut qu'être inconfortable. Comment s'en sortira-t-il sans se renier ? La maîtrise de la communication via ses cabinets conseils lui sera-elle d'un grand secours ? Je suis curieux de le savoir !
Rédigé par : Robert | 05 septembre 2023 à 11:54
« Prenons par exemple la situation du parti communiste : la chaleureuse personnalité de Fabien Roussel ne fait pas oublier que dans son programme, même avec une lutte des classes attiédie, les patrons, les possédants, sont obsessionnellement ciblés, comme s'ils étaient presque coupables d'exister, selon une veine communiste encore plus révolutionnaire que réformiste. » (PB)
Cher monsieur Bilger, oublions un instant M. Roussel et son « programme » et examinons plutôt de façon objective les résultats de l'application du communisme dans le monde à travers son fondement marxiste-léniniste depuis un siècle jusqu'à nos jours.
Partout où le communisme - qui n'est en toute rigueur qu'un objectif idéal - s'est implanté, nous retrouvons immanquablement les mêmes méthodes de prise de contrôle total de la société et pas uniquement celle des moyens de production avec l'éradication des « exploiteurs », qu'ils fussent Koulaks, « patrons » et autres faite avec la même virulence et souvent au-delà de simples expropriations, par des emprisonnements ou des exécutions physiques.
En fait, les choses sont très loin de s'arrêter là, autour de seules considérations économiques, car cette idéologie basée sur un matérialisme systématique prétendant éradiquer aussi tout ce qui serait une aliénation de l'homme dans sa recherche du bonheur, s'attache également à détruire avec la même violence la religion, caricaturée en « opium du peuple », par le biais de persécutions, d’exécutions de prêtres, de destructions d'églises, de tortures physiques et psychologiques ou autres moyens de pression, etc.
Donc, non content de vouloir asseoir son emprise sur les corps, le communisme s'acharne aussi et surtout à le faire sur les âmes.
Et que l'on ne vienne pas nous dire qu'il s'agirait là d'un passé ancien, prenons par exemple le cas du Vietnam :
https://www.hrw.org/fr/news/2011/03/31/vietnam-forte-persecution-de-la-communaute-des-montagnards
Même quand dans les pays de l'Est les persécutions violentes ont diminué en apparence, le système communiste a changé de tactique en tolérant la pratique religieuse mais en l'encadrant de façon policière et tatillonne et parfois par l'infiltration d'agents en veillant, pour le catholicisme, à déconnecter les églises locales de Rome, ce qui est une grave atteinte à la foi.
Et ne nous faisons pas d'illusions, si demain un régime de type communiste venait à prendre le pouvoir en France ou ailleurs, il ne pourrait immanquablement que suivre le même schéma totalitaire.
Rédigé par : Exilé | 05 septembre 2023 à 11:47
L'Ukraine en morceaux serait la solution d'une paix durable :
Ukraine : le président Zelensky « démissionne » son ministre de la Défense Oleksiï Reznikov et son administration qui étaient accusés de corruption.
Et pourtant déjà en janvier 2023
https://www.lepoint.fr/monde/l-ukraine-ebranlee-par-un-scandale-de-corruption-visant-ses-dirigeants-24-01-2023-2505906_24.php#11
Le problème est que l’Ukraine semble vivre à l’état endémique de corruption pendant que le peuple est plongé dans une obscurité totale.
Une étude non partisane est proposée pour remettre nos connaissances à l’heure à propos de l’Ukraine depuis son indépendance d'août 1991.
https://enseignants.lumni.fr/parcours/1154/1991-2022-l-ukraine-une-independance-entravee.html
Rédigé par : Ugo | 05 septembre 2023 à 11:30
J'ai honte d’appartenir à un peuple si imbu de lui-même et si aveuglé par ses certitudes que, même avec des alarmes et des gyrophares, il est encore incapable de voir le précipice qui est devant lui !
Mais bien entendu, quand on basculera dans l’abîme, notgauche « quelemondentiernousenvie » trouvera encore le moyen de dire que c’est la faute des autres, au hasard :
les riches,
la finance,
le CAC 40,
les patrons,
les artisans
et les professions libérales,
Sarkozy,
les étrangers qui ne sont pas de gauche - ceux-là ne sont pas les bienvenus chez nous,
les Allemands,
l’Europe,
les Américains,
la City…
Le monde est tellement plein de gens méchants qui en veulent aux gentils petits Français qui ne demandent qu’à travailler 35 heures, avoir leurs 5 semaines de congés et partir à la retraite à 60 ans !.
Rédigé par : sylvain | 05 septembre 2023 à 10:15
@ F68.10 | 05 septembre 2023 à 01:57
Bravo.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2023 à 09:59
@ Claude Luçon | 05 septembre 2023 à 01:37
« Pour l'instant l'objectif est de démolir Emmanuel Macron, seulement cela, rien de plus ! C'est le peuple qui a laissé tomber la France, dès 1968, même si Macron trébuche en essayant de la redresser, ce n'est pas lui qui a commencé ! »
Non, l’objectif est, d’abord, d’éloigner la France du précipice vers lequel, avant même 1981, ses gouvernants, les uns par conviction, les autres par laxisme, par aveuglement ou par incompétence, l’ont dirigée, puis de rétablir et maintenir ce qui en fait une grande nation, à commencer par sa souveraineté.
Il se fait qu’actuellement, la voie vers ce but est obstruée par un président bien décidé à n’en faire qu’une contrée européenne diversement peuplée et qu’il convient donc d’entraver ses intentions. Par ailleurs, il est vrai que certaines de ses attitudes et quelques-uns de ses propos expliquent parfois, sans pour autant les justifier, des attaques personnelles tant ils sont indignes de son rang.
Pour ce qui est de 1968, il y a bien longtemps qu’on sait que cette « Révolution » soi-disant spontanée a été fomentée par des groupuscules trotskistes, dont certains membres sévissent encore au sein de nos dirigeants. Si des blâmes peuvent être faits à d’autres, ils sont à adresser à la CGT et aux autres syndicats, qui, débordés par leur base manipulée par ces agitateurs, ont choisi de prendre le train en marche. « Le peuple » n’a aucune responsabilité directe dans ce tournant dramatique de notre histoire.
Quant à l’argument « ce n’est pas lui qui a commencé »... il devrait être réservé aux chamailleries de cour d’école primaire.
Rédigé par : Serge HIREL | 05 septembre 2023 à 09:36
Le hâbleur confirme ses adolescences kadyroviennes jusqu'à Adolf-Benito, les provocations qui ajoutent de la confusion à la confusion n'éclaircissent guère le raisonnement.
C'est au pied du mur qu'on voit le maçon, et ceux qui sont réellement déterminés à défendre la liberté.
Il est effectivement l'heure de se compter.
Rédigé par : Aliocha | 05 septembre 2023 à 08:35
Quelle bonne nouvelle !
Ouf, enfin, la justice est passée après 6 ans d'enquête, expertises, contre-expertises, pour finaliser l'affaire d'un NON-LIEU pour les trois gendarmes dans l'affaire Adama Traoré dont sa soeur, la cinglée échappée de chez les fous, en a fait son business avec l'aide de ces décérébrés d’ultragauche.
Une fracture contre une France. Cette famille Traoré est un cancer pour la France. Le père polygame avec ses quatre femmes et ses 17 enfants dont certains sont connus de la justice depuis qu'ils sont arrivés en France, se nourrissant des allocations diverses et variées de la CAF, logements sociaux, école gratuite, allocations de rentrée scolaire, et j'en passe, sèment le désordre en France parce que dans leur bled au Mali ils ne feraient pas un dixième de ce qu'ils font en France. Comme on dit: trop bon, trop c*n. Il faut que cela s'arrête !
Ce qui leur manque c'est la main de fer de Poutine. Avec lui, ça dégagerait vite fait ! Un accident est si vite arrivé...
Rédigé par : Ellen | 05 septembre 2023 à 08:30
Le veau français pleurniche.
Le veau français rugit.
Le veau français beugle contre l'islamisation.
Le veau français braille contre Macron.
Le veau français vitupérait Hollande.
Le veau français haïssait Chirac...
Perpétuellement, le veau français cherche à faire tomber des têtes.
Perpétuellement, le veau français cherche des responsables.
Mais de responsable, il n'y en a qu'un : le veau français qui vote pour celui qu’il conspue en permanence.
Macron tête de veau ne fait qu’appliquer le programme de destruction de la France pour lequel le veau a veauté.
C'est le veau français qui, par ses votes collabos soumis, a créé cette situation.
C'est le veau français qui, par ses votes, va la prolonger.
Rédigé par : sylvain | 05 septembre 2023 à 07:51
@ sylvain
Parfait à un détail près comme il me semble vous l'avoir déjà dit. L'invasion africaine est une chose, celle de l'islam en est une autre même si les deux phénomènes sont simultanés.
Le christianisme a été massacré par ses mauvais prêtres, ignorants, homos déguisés, ratés divers et avariés, ici Aliocha, et d'une manière générale n’ayant rien compris à la mystique, c'est à dire à la religion.
Il n'en subsiste qu'une petite minorité et les monastères invités à être discrets sous menace de dissolution.
D'autre part, face à la pègre intellectuelle gaucho woke LGBT qui met l'humanité en péril, il y a l'Islam qui lui, se porte très bien.
C'est loin de valoir nos bénédictins, mais il a le grand mérite d'être efficace. C'est le christianisme à coup de pied au c*l, et c'est bien pour cela qu'il a été créé.
Alors sans que cela soit un prétexte pour justifier l'invasion africaine et moyen-orientale, on serait bien inspirés d'être admiratifs des jeunes filles qui portent l'abaya parce que fières de la religion de leur père.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 05 septembre 2023 à 06:25
@ Serge HIREL
"Macron, lui, a voulu innover en proposant, non pas une union nationale, mais un pouvoir à la fois de droite et de gauche confié à une sorte d’extrême centre qu’il entendait incarner à lui seul."
Et c'est très bien. Au détail près que, non, l'extrême centre n'a pas vocation à s'incarner, comme vous le prétendez, en un seul homme. Tout l'inverse, même. Ce n'est que la structure présidentielle et centralisée du pouvoir en France qui nous fige dans cet exercice imposé, exercice assez antinomique à l'extrémisme centriste.
Nous, les extrémistes centristes, vous invitons donc à rejoindre ces mêmes extrêmistes centristes afin de vous opposer à la personnalisation du pouvoir. Au détail près que vous ne semblez pas le souhaiter. Et que c'est pour cela que nous n'en sortons pas.
Plutôt que de répondre point par point aux inepties que vous nous servez sur l'inévitabilité ontologique du clivage gauche-droite, il me semble nettement plus profitable de mettre en lumière le dribble sémantique honteux qu'on pratique en France au sujet de la notion d'extrême centre.
Je vais donc pratiquer ici un exercice de Wikipédia comparée...
Version française: "« Extrême centre » est employé pour classer des individus, des groupes, des mouvements, des organisations et des partis politiques se réclamant du centre du spectre politique par conviction ou par opportunisme et dont le côté extrême renvoie à une « intolérance à tout ce qui ne cadre pas avec un juste milieu arbitrairement proclamé ». Ce concept est apparu dans les pays occidentaux à la fin du XXe siècle."
La vision de l'extrême centre selon les Français ? Une espèce de stalinisme du bon goût... La guillotine au nom du "juste milieu arbitrairement proclamé". Notez l'utilisation du terme "arbitraire", à deux doigts d'évoquer la Stasi.
Version anglaise: "Le centrisme radical, aussi dénommé le centre radical, est un concept qui émergea dans les nations occidentales à la fin du XXe siècle. Le radicalisme, dans cette terminologie, se réfère à la volonté affichée de la plupart des centristes radicaux d'effectuer une réforme radicale des institutions. Le centrisme, dans cette terminologie, se réfère à la croyance en l'idée que de réelles solutions nécessitent réalisme et pragmatisme, et non pas idéalisme et émotivité."
La vision de l'extrême centre selon les Anglo-Saxons ? Réalisme, pragmatisme, rejet de l'idéalisme et de l'émotivité.
On est loin du stalinisme du bon goût, non ? On range la guillotine ? Ou vous préférez qu'on continue à vous permettre de vous complaire dans un statut de martyr en agitant devant vos yeux des guillotines en mousse et en vous envoyant dans les chambres à gaz hilarant ?
Voilà donc la forfanterie idéologique que tous les thuriféraires du clivage gauche-droite s'acharnent à projeter sur le centre, quand ce ne sont pas de pures et simples accusations de vénalité électorale. Pour reprendre les termes récurrents et abusifs d'Axelle D, nous pourrions donc ici parler de diffamation.
Nous nous attendons donc, nous, les extrémistes centristes, à essuyer vos diffamations à répétition, et nous nous acharnerons à tenter de convaincre le reste de la société 1. que le réalisme et le pragmatisme sont nécessaires, 2. que créer des alliances entre les gens de bonne volonté (ce qui exclut, déjà, ceux qui ne le veulent pas, i.e. clairement LFI, et un peu moins le RN) est un prérequis pour un fonctionnement démocratique serein, et 3. que vos simagrées relèvent d'un idéologisme émotif forcené qu'il convient de rejeter pour que les gens, en France, trouvent enfin normal l'idée de travailler ensemble au-delà de leurs clivages idéologiques pour faire avancer les entreprises, les institutions, et donner un toit aux réels exclus.
Voilà l'extrémisme centriste.
Et face à l'acharnement à créer du conflit pour rien en France, il est nécessaire d'être un réel extrémiste dans le rejet du n'importe quoi promu par LFI et aussi, encore de nos jours, par le RN (quoique moins) au nom de l'érotisation de l'affrontement. Concept qui caractérise la pratique, pornographique, de la politique en France.
Nous, les extrémistes centristes, n'en voulons plus. Votre obsession suicidaire nous fatigue. L'intolérance du jeu politique français requiert donc, en face, une intolérance bien plus forte et résolue. Et centriste. Car il n'y a que l'intolérance que les intolérants comprennent. Donnez-leur la main, ils vous prennent le bras. Soyez un peu cool avec les intolérants, et ils prétendent sournoisement que vous êtes de leur côté. Ces menteurs mettent ainsi leurs propres mots dans votre bouche et prétendent ainsi représenter plus que ce qu'ils ne représentent. Plus que ce qu'ils arrivent à décrocher à la loyale par l'exercice du vote. Marine n'a pas gagné.
Donc: Niet. Il est temps de mettre un terme à ce jeu de dupes.
Je vous concède que ce rejet du partisanisme exacerbé puisse vous paraître relever du stalinisme du bon goût. Mais ce n'est que parce que votre émotivité idéologique vous empêche d'avoir les yeux en face des trous. Nous la rejetons, vous le faisons savoir, et cela vous défrise.
Votre érotisation du conflit vous fait refuser l'idée d'une société qui réglerait ses problèmes par le réalisme et le pragmatisme en osant qualifier les tarés de notre spectre politique pour ce qu'ils sont: des tarés.
Ce n'est pas poli, le mot "taré" ? C'est pourtant la réalité.
Rédigé par : F68.10 | 05 septembre 2023 à 01:57
"Pour refuser cette France en tranches électorales..." (PB)
Dans le passé, pas si lointain, on parlait des Gaulois !
Daninos faisait dire à son Major Thompson, dans ses carnets, déjà en 1954 : la France est "divisée" en 50 millions de Français.
Serge Hirel écrit, justement, "L’unité d’un peuple est un mythe qui n’atteint la réalité que dans des circonstances exceptionnelles..."
Quoi de neuf donc ?
Ou avons-nous déjà oublié Charlie Hebdo et le Bataclan ? Une circonstance exceptionnelle, une réalité qui a uni un peuple ? C'est ce que j'ai cru voir alors !
Pour l'instant l'objectif est de démolir Emmanuel Macron, seulement cela, rien de plus !
C'est le peuple qui a laissé tomber la France, dès 1968, même si Macron trébuche en essayant de la redresser, ce n'est pas lui qui a commencé !
Rédigé par : Claude Luçon | 05 septembre 2023 à 01:37
@ Ugo | 04 septembre 2023 à 15:17
Mais il était très bien, mon commentaire. Je suis navré qu'il ne recueille pas votre assentiment. On ne peut pas plaire à tout le monde.
D'ailleurs, je note que vous faites peu d'efforts. Vous n'êtes même pas capable d'expliquer votre contrariété. Donc à quoi rime votre intervention ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 septembre 2023 à 00:19
Sortir la France du déclin impliquerait le retour à la responsabilité individuelle et à l’esprit d’entreprise, libérer la France des mammouths étatiques, des réglementations délirantes et des impôts, et parler de l’avenir dans le monde tel qu’il est, au lieu de promettre force gadgets sociaux et de faire le tour des usines qui ferment pour distribuer des subventions.
Dans les années 70, la Grande-Bretagne était dans une situation encore pire que la nôtre, semblable à la Grèce.
Margaret Thatcher est arrivée avec ses convictions et son courage, elle a réussi un authentique miracle est elle a été réélue trois fois par son peuple pour le plus long mandat d’un Premier ministre britannique.
Seule une coalition de lâches, les mêmes que chez nous, au sein du Parti Conservateur, cherchant plus de « conciliation » en politique étrangère avec le monstre bureaucratique européen, a pu l’éjecter.
Conséquences : une invasion islamiste barbare programmée en vue du grand remplacement ethnique de notre peuple, collaboration soumission repentance wokisme dégénéré, au final une tiers-mondisation de la France maillon faible, zone Etat narco, jungle de non-droit, criminalité record, poubelle de tous les déchets humains de la planète, les gouvernements de tous leurs pays d'origine ravis de s'en débarrasser.
Bien entendu, les clarinettes propagandistes macroniennes Nupes continuent à vanter notre modèle dégénéré woke racialiste progressiste indigéniste LGBT, pour ces cinglés, les vrais ennemis de la France ce sont l’extrême droite chez nous et la Russie, la Chine, la Hongrie, à l’étranger.
Ben voyons ! Zemmour taisez-vous !
Rédigé par : sylvain | 04 septembre 2023 à 23:01
Puisqu'il est de bon ton de voter avec ses pieds, on remarquera absolument, qu'effectivement il ne s'agit pas d'être plus fort mais autre, c'est exactement ce que l'évolution possible nous propose.
On a bien entendu le droit de désirer poursuivre le désastre.
Rédigé par : Aliocha | 04 septembre 2023 à 22:55
@ sylvain | 04 septembre 2023 à 14:31
Tout n'est pas perdu. Entre deux verres de roteuse et petites cuillères de caviar, notre président du Sénat nous interpelle de Saint-Denis:
https://www.leparisien.fr/politique/gerard-larcher-nous-ouvrons-la-porte-a-lextreme-droite-si-on-trompe-encore-les-francais-sur-limmigration-02-09-2023-UMNNI5PYURDOVBYXPH7VPJ2TDE.php?fbclid=IwAR1BjchwUj6WVj8CENCZJek-0ixI7FZj0WHyctAGCVLNLkjkdxFQpn0s0Gk
Vous allez vous écrier : Montjoie ! Saint-Denis !
Hop ! hop ! Pas si vite ! Ne nous emballons pas ! Garçon, remettez-nous ça !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 04 septembre 2023 à 21:57
L’unité d’un peuple est un mythe qui n’atteint la réalité que dans des circonstances exceptionnelles, essentiellement pendant les premiers mois d’une guerre injuste... ou lors de la victoire. Sinon, depuis toujours, dans les démocraties, le peuple se divise en courants de pensée, chacun d’eux agglutinant les citoyens qui défendent des intérêts qui leur sont communs. Il n’y a rien d’indécent, d’immoral ou d’incivique à ce que le politique tente de plaire à chacun d’eux... Tout son art, dès lors, est de parvenir à rassembler suffisamment de ces « tranches électorales » autour de propositions et de projets acceptables par elles - ou flous - pour s’emparer du pouvoir... et les mettre en pratique... ou pas.
En France, depuis la Libération et jusqu’en 2017, deux familles, la droite et la gauche, étaient aux affaires en alternance, soit en raison d’une victoire électorale nette, soit avec l’apport intéressé du marais centriste, avide de maroquins. Macron, lui, a voulu innover en proposant, non pas une union nationale, mais un pouvoir à la fois de droite et de gauche confié à une sorte d’extrême centre qu’il entendait incarner à lui seul. On connaît aujourd’hui le triste résultat de cette expérience...
Il ne fait plus de doute que, dans la douleur, la France reviendra au clivage droite-gauche. Les droites s’y préparent, la gauche, étêtée, n’y est pas prête, séduite encore par une offre qui perpétue l’énorme erreur commise par les socialistes lorsqu’au tournant des années 2010, ils ont délaissé leur électorat historique - les ouvriers, les employés, les fonctionnaires... - pour entreprendre une conquête hasardeuse des minorités, des bobos et des quartiers.
En cette fin d’été, tous les partis semblent pris d’une même fièvre : s’emparer des votes de cette « tranche électorale »... et chacun dégaine les armes modernes... ou archaïques - la saucisse-frites de Darmanin... - du marketing politique. C’est probablement beaucoup d’efforts pour rien, le RN ayant largement raflé la mise sans même avoir eu à organiser une vraie stratégie de conquête. Parce que, déjà orphelin d’un PC en chute libre, privé soudainement de boussole, cet électorat, dans sa majorité, est venu à lui... tout simplement.
Les jeux sont faits ? Non. D’autres « tranches électorales » sont elles aussi sur le marché, en particulier les classes moyennes, qui subissent de plein fouet la politique fiscale et sociale du pouvoir macronien. Ce sont les commerçants, les petits entrepreneurs, les propriétaires d’un bien qu’ils habitent ou louent, la plupart des agriculteurs, les salariés aux revenus trop hauts pour être assistés, trop bas pour bien vivre... Leur poids électoral et leur influence sur une partie des citoyens trop souvent totalement ignorants des enjeux, y compris sur leur vie quotidienne, pourraient être déterminants.
Cette fois, la partie est ouverte... hormis peut-être pour la Macronie qui ne peut compter pour les attirer que sur le réflexe du vote favorable au sortant. Plombée par les comportements belliqueux de LFI, par les foucades de ses maires écolos, par l’absence de vrais leaders au sein d’un PS moribond, par un PC toujours anticapitaliste, la gauche ne récoltera que la frange « beauf » de cet électorat... Certes, le RN l’attire, qui s’est assagi, lui fait les doux yeux et adapte son programme pour lui plaire. Mais c’est un électorat prudent, méfiant même, qui n’aime pas l’aventure et craint l’inconnu. En revanche, si tous les partis de droite, de l’expérimenté LR au turbulent Reconquête, savent écouter et satisfaire son souhait qu’ils parviennent à s’entendre et se présentent unis, il sera, comme il l’a souvent été, la clé de la victoire.
Cet idéal est-il impossible à atteindre ? Pour l’heure, rien ne bouge... Chacun reste dans son bivouac... Du moins selon les gazettes... pas toujours au courant de tout.
Rédigé par : Serge HIREL | 04 septembre 2023 à 20:48
Il me semble que lorsque l'on est soi-même issu des classes populaires, ce qui est le cas de Ruffin et Darmanin, on devrait pouvoir comprendre ce que vivent nombre de Français de milieux modestes et avoir d'autant plus à coeur de les représenter dignement. Au lieu que de s'en servir de tremplin pour mener à bien ses propres ambitions, ce qui atteste d'une mentalité déplorable de parvenus et de manipulateurs, sans parole ni honneur, prêts à toutes les compromissions pour parvenir à leurs fins.
Rédigé par : Axelle D | 04 septembre 2023 à 20:48
Servir, quel mot fasciste, nazi, cher hôte.
Parlons du pied ; c'est un pourvoyeur de toutes les satisfactions, dans quel pied de domaine que ce soit, de la même façon, il mesure toutes choses avec bienveillance, variant dans sa longueur, tout en restant une mesure pour la plus grande partie du monde ce qui ne l'empêche, de se mêler de mode, en pied de poule comme de s'en moquer, en pied de nez. Sans doute, il lui arrive de se mettre en colère et de rejoindre, pas assez souvent en politique, le bas du dos quand il ne s'étend pas à la base de tous les monuments et de toutes les montagnes qu'on contemple depuis leur pied et s'il faut être très précis, il se prête très bien à la coulisse comme aux plus noirs desseins de violence quand on l'attache, sur une illusion, au plus doux de nos cervidés.
C'est pourquoi, en priant les gens sérieux d'excuser ce court moment d'égarement qu'on pourrait prolonger à l'infini: le jour des élections, j'irai voter avec mes pieds.
Rédigé par : genau | 04 septembre 2023 à 19:50
La France a toujours été une société "politique". Mais avec le système actuellement mis en place, la politique a cédé le pas à l'économisme généralisé, à la prédominance des sondages qui ont pour fonction de segmenter leur panel national selon des grilles multicritères.
C'est cette même segmentation qui fait que les politiciens en mal d'exercice du pouvoir par égotisme exacerbé étudient le corps électoral en fonction de ces mêmes critères pour adapter leur discours de manière à pouvoir attirer dans leurs filets ceux des électeurs qui goberont leurs messages publicitaires. Puis une fois au pouvoir, ils feront la politique du système dont ils sont les zélés serviteurs.
Dans cette vision, le peuple français n'a pas d'existence propre. Et comme les mêmes se sont évertués à exclure l'idée même de nation (cela date de monsieur Mitterrand : "la nation, c'est la guerre"), ils se retrouvent à jouer les bonimenteurs de service. Et compte tenu des problèmes posés par l'individualisme forcené ou le communautarisme ambiant, base du système marchand qui domine le paysage européen et par voie de conséquence français, les mêmes et surtout le premier d'entre eux, monsieur Macron, appellent à présent à "faire Nation" !
Cherchez l'erreur dans la logique de ce discours par rapport aux politiques décidées, tant à Bruxelles qu'à Paris, contre les intérêts dudit peuple, notamment les classes moyennes et populaires...
Rédigé par : Robert | 04 septembre 2023 à 18:57
Pendant que l'on amuse le couillon avec l'abaya, on ne parle pas des vrais problèmes dont celui très révélateur du manque de logements.
Nos politicards à cerveau de tits n'ont en effet pas encore compris que plus on em*erde les propriétaires, moins on investit dans le logement.
Par contre, la pègre écolo-gauchiste a compris depuis longtemps que moins les gens sont heureux dans leur logement, plus ils votent à gauche.
Alors que les terres agricoles dont la superficie n'est pas rentable à exploiter se transforment en bois en périphérie des agglomérations, mais il ne faut pas que les terrains à bâtir fassent plus de quelques centaines de mètres. Au-delà de 1500, même le fils de communiste se met à voter à droite.
Et il y a plus marrant: au prétexte de décentralisation, chaque commune fait ce qu'elle veut en matière d'urbanisme. Alors la loi est "on a notre école, notre stade, que ceux qui voudraient venir aille voir ailleurs, chez nous, c'est complet". Et c'est ainsi que les lotissements naissent 30 km plus loin. C'est l'écologie à la mode gaucho.
La rentabilité de l'immobilier ? Salauds de propriétaires ! Bien fait pour eux s'ils se font squatter ou si les locataires ne paient pas.
Figurez-vous que maintenant, la justice compétente en la matière s'appelle "juge des contentieux de la protection". Tout est dit.
Comme les cerveaux pondent un texte tous les quatre matins pour justifier leur existence, il est hors de question de ne pas faire gérer par un professionnel - au moins 5 % et encore rarement des juristes, l'assurance loyer impayés: 2 % minimum, remises régulières à de nouvelles normes, et le foncier qui grimpe, alors autant investir ailleurs qu'en France ou jeter son argent par les fenêtres pour en profiter.
C'est beau l'ENA...
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 04 septembre 2023 à 18:07
Mais comment reprocher au politique ce comportement dès lors que l'électorat lui-même s'offre en tranches au politique ?
Les électeurs, la plupart du temps, sont en fait des citoyens avec une conscience égoïste là où elle devrait être collective et qui attendent avant tout des politiques qu'ils répondent à leurs attentes, attentes qui ne sont pas forcément en adéquation avec celles de la collectivité dans son ensemble.
Quand chacun ne prend en compte que son intérêt particulier, catégoriel, n'a ou ne veut avoir qu'une vision parcellaire des enjeux en cause, on atteint les limites de l'individualisme et on prend le risque d'entraver toute action politique efficace qui ne peut se fonder que sur une assise relativement consensuelle.
Nous pouvons rêver d'un politique qui se présenterait à nos suffrages en s'appuyant sur un programme défendant le seul intérêt supérieur du pays avec pour conséquence toutes les contraintes qui en découleraient. Quelles seraient véritablement ses chances d'accéder au pouvoir ? De Gaulle, encore lui, résumait déjà parfaitement la situation en 1951 : « Il n'est pas possible de se faire élire sur un programme et de l'appliquer. Car le choix est simple : ou l'élu trompe ses électeurs, ou il trompe l'intérêt du pays ».
Rédigé par : Michel Deluré | 04 septembre 2023 à 16:40
@ Robert Marchenoir 03 septembre 2023 à 00h54
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@ Ugo | 02 septembre 2023 à 11:37
Je ne commente pas souvent votre prose essentiellement composée de mensonges et d'insultes, mais là vous franchissez mon mur du çon personnel :
…/…
Seriez-vous timide à ce point ? La délicatesse de violette dont vous faites preuve jour après jour ne saurait-elle donc être surmontée, une fois, une seule ? Il en va pourtant des intérêts fondamentaux de la France. Un petit effort, voyons...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 septembre 2023 à 00:54
Réponse :
Comment puis-je insulter alors qu’il y a une censure qui me suit à la trace et que vous provoquez ma timidité à la délicatesse de violette….alors comme vous le proposez je fais un effort.
…/…
Voici un extrait d’un commentaire de Robert Marchenoir (ou Kapo comme l’a baptisé une commentatrice autorisée puisque publiée par madame Pascale Bilger) qui jour après jour, mois après mois, année après année, passe son temps à faire la chasse aux commentaires pour y dissoudre son venin ou plutôt soigner sa névrose ; la Russie, Poutine, les Gilets jaunes étant son cheval de bataille, il faut être ramolli du cerveau pour oser le lire, lui qui n’a jamais bougé de chez lui et qui déverse ses vérités tronquées aux plus naïfs d‘entre nous :
« …alors cela prouve que quand bien même les Ukrainiens auraient des statistiques aussi pourries que celles de Poutine (ce qui n'est pas le cas et que vous n'avez même pas tenté d'alléguer), ils seraient résolus à y renoncer, et à produire des stats raffinées sentant la rose et le benjoin, à l'instar de celles des nobles civilisations occidentales créées par l'homme blanc et sa race supérieure à toutes les autres.
Contrairement aux Asiates perfides et cruels qui grouillent du haut en bas de la poubelle nommée Russie."
Robert Marchenoir | 02 septembre 2023 à 23:14 commentaire du billet de monsieur Philippe Bilger du 28 août 2023 - Heureuse politique où le ridicule ne tue pas.
Rédigé par : Ugo | 04 septembre 2023 à 15:17