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02 décembre 2023

Commentaires

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Vous viendrez sûrement vous plaindre qu'on cherche à vous convaincre, alors qu'il suffit de souligner que vous vous débrouillez tout seul comme un grand pour démontrer à quel point vos excès racistes décrédibilisent un discours qui par ailleurs a des qualités reconnues par beaucoup.

Le Doliprane ne suffira plus à la mouche en ce commun besoin, il lui faudra bientôt un neuroleptique pour ne pas succomber, importune empressée à soutenir vos affaires, au spectacle désolant de votre coche redescendu au bas de la pente par les seuls soins de vos contradictions.

Elle considérera alors avec circonspection ce charabia qui lui disait que ce n'est pas avec les moyens d'un Politburo poutinien qu'on saura se défendre des résurgences communistes, que si le libéralisme prend ce chemin, il vaudrait mieux avec Ellen illuminée courir chez les Chinois se protéger.

Quant à moi, je partagerai avec celui que vous désignez votre ennemi personnel d'avoir vu ce que vous nous exposez, regrettant avec lui cette folie qui contamine votre esprit dérangé au point d'offrir à l'ennemi dont vous pensiez nous défendre, l'honneur de l'imiter.

Robert Marchenoir

@ Patrice Charoulet | 04 décembre 2023 à 13:42

Merci de confirmer, une fois de plus, que vous voulez ma mort sociale.

Vous êtes un ennemi du peuple français, un traître à votre nation, un traître à votre race et mon ennemi personnel.

Votre hypocrisie doucereuse ne trompe personne : les gens comme vous sont ceux qui ont fait le lit du nazisme et du communisme. Ce sont ceux qui font aujourd'hui le lit de l'islam génocidaire.

Vous êtes l'une des personnes les plus odieuses que j'aie jamais croisées -- et croyez-moi, j'en ai croisé des paquets.

Patrice Charoulet

@ Robert Marchenoir

Vous écrivez notamment : "Le mot racisme est couramment employé dans des sens tellement différents, du plus grave au plus inoffensif, du plus négatif au plus positif, qu'en faire l'objet central de condamnation politique qu'il est devenu, une imputation si infamante qu'elle peut provoquer la mort sociale, voire un délit punissable de prison..."

Quand vous avez été vingt fois ici taxé de "racisme" par plusieurs, on aurait "provoqué votre mort sociale".

Deux objections:

1° Il est absolument certain que vous écrivez, prudemment, sous pseudo. On voit mal quelle pourrait être votre mort sociale.

2° Vous n'avez pas craint, tout récemment encore, d'affirmer gaiement ici que vous étiez partisan en France, je vous cite, de "l'apartheid". Après cela, on comprend mieux pourquoi vous demandez à vos critiques de préciser ce qu'ils entendent par "racisme", mot qui, à vous en croire, n'a rigoureusement aucune valeur et aucune portée. "Partisan de l'apartheid", quoi de plus franc pour un raciste ? On ne peut guère être plus limpide.

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 03 décembre 2023 à 18:08

Charité bien ordonnée commence par soi-même. Parmi les racismes, j’accorde une détestation particulière au racisme anti-Blancs, encore plus au racisme anti-Français... Je ne mets pas ces deux-là dans les « etc. ».
Je remarque que vous n’avez pas répondu à ma question... Êtes-vous déjà allé au Parc du Ramponneau ? Ce n’est pas "le 9-3", mais il est possible qu’on y trouve des "Norvégiens"... anti-Français.

Deviro

@ Patrice Charoulet | 03 décembre 2023 à 08:39
"le racisme est très simple à définir, c'est le fait de penser du mal de quelqu'un tout simplement parce qu'il est né Juif, Noir, Jaune, etc."

Et donc Michel Audiard était raciste, qui a écrit cette réplique culte : "J'parle pas aux cons, ça les instruit".

Robert Marchenoir

@ Patrice Charoulet | 03 décembre 2023 à 08:39
"Que lui répondre ? ceci : le racisme est très simple à définir, c'est le fait de penser du mal de quelqu'un tout simplement parce qu'il est né Juif, Noir, Jaune, etc. Et, éventuellement de mal agir contre lui pour la même raison."

Hop, hop, hop, hop !

Vous avez changé la mélodie de votre bastringue, et vous voulez nous faire croire qu'elle est toujours la même.

Jadis, vous nous asséniez, sur le même ton de l'évidence : le racisme consiste à établir une hiérarchie des races.

Maintenant, vous nous fournissez une tout autre définition -- que dis-je ! deux autres définitions, parfaitement contradictoires entre elles, d'ailleurs. Entre faire du mal à quelqu'un et penser du mal de lui, vous ne voyez aucune différence, vraiment ?

Encore un petit effort, et vous arriverez à la conclusion que je vous ai fournie il y a de longues années déjà : le mot racisme est couramment employé dans des sens tellement différents, du plus grave au plus inoffensif, du plus négatif au plus positif, qu'en faire l'objet central de condamnation politique qu'il est devenu, une imputation si infamante qu'elle peut provoquer la mort sociale, voire un délit punissable de prison, comme c'est le cas, est constitutif d'un état d'esprit dictatorial et d'un régime qui n'est plus basé sur la liberté.

Il y a bien, en France et dans tout l'Occident, comme Alain Finkielkraut le dénonce et contrairement à vos dénégations, un "anti-racisme délirant".

Hier, vous nous expliquiez, avec le même air de dire que tous ceux qui ne faisaient pas comme vous étaient des abrutis ou des malhonnêtes : j'ai toujours voté pour le RPR et ses successeurs.

Aujourd'hui, vous nous expliquez sur le même ton : je ne comprends même pas comment on peut ne pas voter pour Macron.

Tout le monde a le droit de changer d'avis, mais veillez à ne pas nous prendre pour des jambons, tout de même.

Et anticipez vos changements futurs : cela vous rapprochera peut-être de la vérité.

Patrice Charoulet

@ Serge HIREL

Je n'ai rien omis du tout. Je terminais mes trois exemples par "etc." Et dans "etc.", on peut mettre notamment "Blancs", il va sans dire. Je n'approuve aucun racisme existant sur notre planète, car il y en partout, et dans des pays dont on ne parle jamais, voire qu'on ignore.

Achille

@ Serge HIREL | 03 décembre 2023 à 11:12
"Les perles sont rares dans l’audiovisuel français..."

Certes, mais cela prouve que les réalisateurs français sont capables de nous offrir de belles séries quand ils veulent s’en donner la peine…

xavier b. masset

Les Rois maudissant les juges était une belle série des années septante, avec Jean Piat dans le rôle d'un magistrat bourguignon bougon, ça c'était de la télé.
Régnait la Loi du moindre mal, écrite par le sénéchal prétorien Dupond-Moretti, dit Le Bel des Hauts de France, un Lombard de Sienne costumé, proche des Tolomei pâtissiers à Amiens, soupçonné par la reine Mahaut d'avoir inscrit son propre nom, par pur goût du martyre conspiratif, sur le Mur des barons et des Bourbons consternés.
N'est pas Louis Seigner qui veut, mais l'idée était là, d'autant que le personnage de Hugues Le Despenser, son premier choix, fut attribué à un fieffé bougre d'acteur autrement doué.

Vamonos

La langue française possède un mot pour designer une production qui revient périodiquement. Un feuilleton est la dénomination tellement plus affriolante que le mot série auquel on enlève l’accent.

Si le scénario est signé par Fabrice Arfi que je ne connais pas hormis le fait qu’il semble appartenir à l’officine d’extrême gauche Mediapart, alors on peut légitimement craindre le pire.

La scène de crime sera particulièrement glauque et les premiers indices orienteront les enquêteurs vers une fausse piste.

L’ecclésiastique du village aura un passé louche et sera sous la surveillance étroite des ligues de vertu éco-féministes dont le lieu de rassemblement est situé en face de l’église.

Le policier sera une brute avinée qui bat ses enfants les soirs de matchs de foot quand l’OM a perdu.

La commissaire sera harcelée régulièrement par le préfet qui exige des résultats.

L’énigme sera résolue par l’un des chômeurs du village parce qu’il a des compétences dans la lecture du marc de café à condition d’avoir pris de la cocaïne en quantité suffisante.

Le coupable sera comme d’habitude le notable du village dont l’usine sera saisie pour payer les frais d’avocat.

La dernière fois que j’ai regardé une série sur une chaîne publique, le scénario ressemblait à ce que je viens de décrire. La gauche aux manettes, c’est que des sornettes.

Giuseppe

@ Serge HIREL | 02 décembre 2023 à 20:50

Un yacht à 3 000 000€ certes une peccadille, mais ce qui pèse le vrai prix c'est sa dissimulation crapuleuse elle en osmium, lui le défenseur de la veuve et de l'orphelin.
Et puis il choisit bien sa coquille de noix, une série spéciale limitée, pas par hasard, juste pour faire une belle culbute le moment venu.
On attend plus qu'une série de plus sur lui, peut-être la créera-t-il lui-même, et la boucle sera bouclée.

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 03 décembre 2023 à 08:39

Contrairement à Finkielkraut, vous êtes un grand philosophe... Bien que vous ayez omis dans vos exemples de racisme, le racisme antiblancs... Êtes-vous déjà allé dans le quartier « prioritaire » du Parc du Ramponneau ?

———————————————————————-

@ Achille | 03 décembre 2023 à 10:18

Un Village français (2009, France 3), Les Bracelets rouges (2018, TF1), La faute à Rousseau (2021, France 2)... Mafiosa, Engrenages, Le Bureau des légendes, chez Canal... Les perles sont rares dans l’audiovisuel français...

Patrice Charoulet

@ Axelle D

Vous avez mal interprété mon commentaire laconique. Fabrice Arfi étant cité dans le texte de Philippe Bilger, je rappelle tout simplement que ce journaliste travaille à Mediapart et que pour s'abonner à Mediapart, il ne faut débourser QUE 12 euros par mois, ce que j'ai fait. Rien à voir avec ce que vous avez dit assez à l'étourdie.
Je n'ai pas commenté votre texte récent où vous m'invitiez, non moins à l'étourdie, à me taire.
Décidément vous me prenez pour cible, je ne sais pourquoi.
Les cibles ne manquent pourtant pas ici. Ce n'est pas moi qui ai déclaré tout récemment ici être partisan, en France, de... l'apartheid !

Achille

Parmi les séries françaises que j’ai appréciées je citerai :

1- Un village français :
Résumé : En 1940, l'armée allemande entre dans Villeneuve, petite sous-préfecture jurassienne. Les tragédies de la Seconde Guerre mondiale vont y trouver leurs échos : résistance, collaboration ou passivité, répression féroce, choix amoureux, sacrifices héroïques, la déportation des juifs, la montée des jeunes dans les maquis, les fusillés. Autant de thèmes incarnés par une riche palette de personnages.
Sans doute la série française la plus appréciée de ces dernières années.

2- La faute à Rousseau :
Résumé : Les tribulations d’un professeur de philo, Benjamin Rousseau, aussi brillant qu’atypique et rebelle, et de ses élèves. Il leur donne des armes pour affronter la vie, qui sont Kant ou Spinoza. L’ironie dans tout cela : Rousseau, qui aide ces jeunes à avancer, fait du surplace dans sa propre vie.
Un prof de français qui sait donner à ses élèves l’esprit de la philosophie plutôt qu’un enseignement dogmatique fait de citations éculées, on en redemande !

3- Les Bracelets rouges :
Résumé : Malgré les maladies dont ils souffrent, six adolescents forment la bande des Bracelets rouges et ils sont bien décidés à vivre à fond leur vie, même si elle se déroule à l'hôpital. Ils vont vivre des épreuves qui vont changer leur existence.
Des séquences particulièrement émouvantes avec des ados qui savent que leur vie est comptée.

N’étant pas abonné à Canal+ ni à Netflix et n’ayant jamais eu une dilection particulière pour les séries américaines, je n’en dirai pas plus.

Patrice Charoulet

J'écoute l'émission « Répliques » d'Alain Finkielkraut depuis 1985. Je crois connaître assez bien les opinions de cet homme, qu'on présente souvent comme philosophe, ce qu'il n'est pas. Il est agrégé de lettres modernes, ce qui n'est pas rien. J'ai lu aussi plusieurs de ses livres. Il a été élu à l'Académie française, ce qui n'est pas immérité. J'ai beaucoup d'estime pour lui.

LCI l'a invité avant 20 h le samedi 2 décembre et il a répondu pendant une heure à toutes les questions qu'on lui a posées. Il a dit plusieurs choses assez justes. Il a eu toutefois un assez long développement enflammé contre ce qu'il appelle, en France, « l'antiracisme délirant ». À l'en croire, beaucoup seraient tentés de voir du racisme là où il n'y en a pas. Que lui répondre ? ceci : le racisme est très simple à définir, c'est le fait de penser du mal de quelqu'un tout simplement parce qu'il est né Juif, Noir, Jaune, etc.
Et, éventuellement de mal agir contre lui pour la même raison. À la lumière de cette définition, je laisse juger si Finkielkraut a tort ou raison.

Jérôme

Cher hôte j'ai essayé, ça m'a laissé de marbre.
Le Bureau des légendes m'a absorbé.

Un must pas français, Gomorra. C'est glauque, pas d'esthétisation de la violence, elle est crue, cruelle, elle n'attire pas. Qui vit par le glaive périt par le glaive. Les acteurs sont excellents.

Dans une moindre mesure Mafiosa. Frédéric Graziani tellement bon qui décédera en cours de série et sera remplacé par Philippe Corti(chiatto). Là aussi pas de fausses valeurs affichées. Chacun peut trahir chacun. La voyoucratie n'est en rien honorable et ne l'a jamais été.

Il y a pas mal de bonnes séries.
Engrenages aussi. Pas mal. De très bons acteurs.

Il y a aussi Salopes au pensionnat. Je viens de terminer le douzième épisode, j'attends la saison 2.

Axelle D

@ Patrice Charoulet | 02 décembre 2023 à 15:01

Vous nous ferez vraiment toujours (beaucoup) rire !
Ne nous faites surtout pas croire que vous, pauvre veuf, avec une retraite de prof de "seulement" 3 000 € mensuel, ne pourriez payer un abonnement de 12 € par mois afin de vous offrir la série de votre choix ?

Giuseppe

J'ai été biberonné au cinéma d'art et d'essai, au lycée nous étions quelques fans abonnés, les films allaient de Un chien andalou - qui m'a impressionné à l'époque - à Alexandre Nevski... On y passerait la nuit et plus encore, et... Bon, sur Arte.tv il doit être possible de voir la série Serviteur du peuple avec Volodymyr Zelensky, prémonitoire. À mettre entre toutes les mains.

Louis Ferdinand Destouches dans un entretien fictif avec le Professeur Y, énonce pour défendre son style que "le cinéma a pour lui tout ce qui manque aux romanciers" (de son époque), "des pompiers ils sont: le mouvement, les paysages, le pittoresque, les belles poupées, à poil, sans poil, les Tarzan, les éphèbes, les llions, les jeux du cirque à s'y méprendre ! les jeux de boudoir à s'en damner ! la psychologie !... les crimes à la veux-tu voilà !... des orgies de voyages ! comme si on y était ! tout ce que ce pauvre peigne-cul d'écrivain peut qu'indiquer !..."

Visionnaire Destouches, il nous décrit là les séries de maintenant, qui se rapprochent de ses romans et de ses aventures... Bon, pour le reste il suffit de le lire, mais de vraiment le lire.

Serge HIREL

@ Giuseppe | 02 décembre 2023 à 11:28

Pas plus qu’il ne faut trop insister sur l’état de déliquescence de notre prestigieuse industrie de l’audiovisuel qui bat des records de médiocrité, il ne convient pas de soulever un lièvre aussi lourd que celui que vous avez débusqué : le pavillon de complaisance. Vous empêchez des puissants de dormir, des nantis d’amasser, des coquins de ronfler. Bref, vous êtes un empêcheur de faire des ronds dans l’eau... Pire, vous fomentez une révolution ! Mondiale ! Oui, Monsieur, mondiale !

Plus de huit navires de commerce sur dix battent pavillon de complaisance et quatre Etats qui pratiquent ce sport « légal mais si peu » ont le bonheur, accompagné de quelques avantages pécuniaires, de voir flotter leur drapeau sur plus de 45 % de la flotte mondiale. Même la France participe à la manœuvre avec son pavillon bis Kerguelen, qui offre aux armateurs quelques avantages en matière de non-respect du droit du travail et des obligations sociales.

Alors, franchement, vous en prendre à ce malheureux gagne-petit, qui économise trois francs six sous sur un plein de gas-oil, qui emploie des étrangers en les payant mal, comme d’autres le font dans leurs cuisines, qui, certainement, est prêt à les recevoir chez lui pour l’aider à jardiner... Franchement... vous n’avez pas honte ?!

Et qu’adviendra-t-il du commerce mondial si, demain, il prenait l’envie à l’OMC, à l’ONU, à je ne sais laquelle de ces instances qui, pour l’heure, ne trouvent rien à redire à propos de cette pratique qui fait fi des souverainetés, il prenait l’envie, dis-je, de jeter des pavés dans la mer et de faire baisser pavillon à ces respectables « costumes-cravate » qui exploitent leurs équipages ? Vous n’y avez pas réfléchi, n’est-ce pas ?

Alors de grâce, laissez ce brave Hanouna voguer de vague en vague sur son beau bateau blanc... Laissez-le compter ses piastres ! Pendant ce temps-là, il n’em*erde pas le monde en gesticulant dans le petit écran... Et, soyez-en sûr, il saura trouver les injures nécessaires contre le vrai propriétaire du tanker géant battant pavillon exotique qui, la semaine prochaine ou plus tard, souillera l’une de nos magnifiques plages.

Le pire, bien sûr, serait que son minuscule yacht, quasiment une coquille de noix - pensez ! trois millions d’euros ! une peccadille, un pourboire ! - ait dans l’affaire subi quelques dégâts... Alors, là, Monsieur, je ne vous dis pas ! La Terre tremblerait ! Ce serait un tsunami !

Giuseppe

@ Deviro | 02 décembre 2023 à 14:36

Eh bien cela me fait plaisir, tout ce qui est partagé fait souvent du bien.

Axelle D

Le jour où je m'ennuierai suffisamment au point de n'avoir d'autre occupation intéressante sinon passionnante que regarder des séries en boucle, ultramajoritaires américaines d'ailleurs sur nos chaînes, il est possible que j'y prenne goût mais pour l'instant ce n'est pas le cas.

Sachant que sous des dehors trompeurs, je reste foncièrement frenchie et qu'à part la série "un Village français" évoquant de façon réaliste ce qu'ont dû vivre mes propres parents, à la lumière de ce qu'il me fut rapporté directement, aucune histoire de cesdites séries à succès ne me semble mériter autre chose qu'un intérêt secondaire et banal.

Pas plus en tout cas que regarder "Downtown Abbey" ou "Pride and Prejudice", qui ont fait et continuent de faire des cartons... Et cela sans que l'amateur télévisuel de ce genre de programme n'ait à payer un centime de plus pour accéder à sa série préférée. Ce qui devrait réjouir notre ami Charoulet et consorts toujours près de leurs sous...

Ce en quoi on ne peut d'ailleurs que les rejoindre sachant que nul ne saurait être d'accord pour accepter de payer pour avoir le "présumé privilège" de regarder de la daube !

Serge HIREL

« Des goûts et des couleurs, on ne discute pas », dit l’adage. Donc, ne les ayant pas vus, je ne cautionnerai ni n’infirmerai l’opinion de notre hôte sur les premiers épisodes de la série « D’argent et de sang », qui, selon lui, serait un « miracle français ». Si les qualités qu’il leur octroie s’avèrent réelles, alors, oui, il s’agit d’un miracle, d’un diamant dans un océan de produits audiovisuels qui, quasiment tous, pêchent d’une même médiocrité.

Ce n’est pas être « grincheux professionnel » que de constater que l’imagination manque aux scénaristes, que certaines scènes sont invraisemblables, que nombre de réalisateurs manquent d’exigence, que le cadrage est bien souvent quelconque, que le son est toujours négligé, que le montage, linéaire ou à tiroirs, apporte bien peu de piment, que les acteurs se contentent de jouer, que... bref, que rien ne va.

Ce n’est pas non plus être « grincheux professionnel » que de mettre le doigt sur deux tendances de la production audiovisuelle française (petit et grand écrans) : le « biopic », qui, romançant quelque peu des événements réels ou racontant en les idéalisant des personnages ayant existé, prend le pas sur l’idée originale ; plus un seul scénario ne prévoit pas des rôles nécessairement - ou pas - confiés à des artistes issus des minorités ethniques ou de genre... À noter que ce dernier phénomène a également envahi les spots publicitaires.

Deux exemples : la série « Sambre », qui, balayant les trente ans d’enquêtes qui ont abouti à l’arrestation du « violeur de la Sambre » - à remarquer, si le réalisateur n’avait pas alangui son œuvre en l’étirant sur six épisodes -, réussit à capter le téléspectateur mieux qu’un documentaire précis sur ce même fait divers ; le téléfilm « Meurtre en Guadeloupe », dont l’épilogue abracadabrantesque - l’assassin recherché est un gendarme enquêteur métis - rallume lourdement le souvenir des comportements colonialistes des grands propriétaires blancs d’autrefois... Le wokisme n’est pas loin.

Pour qui ne sait rien des arcanes du financement de la production audiovisuelle française, ces choix sont à attribuer aux seuls professionnels, à leur conception de leur métier, à leurs convictions... Mais, en réalité, ils sont aussi dus au CNC, qui, gardien de la réglementation tatillonne qui contraint l’audiovisuel en tous domaines, est aussi son banquier incontournable. Niché au sein d’un empilement de directives et de décrets que seul un juriste peut déchiffrer, un texte de 2007 soumet le montant de l’aide de cette institution publique à la présence de minorités visibles dans la production. Mieux, un « Fonds images de la diversité » permet désormais d’obtenir des subventions supplémentaires...

Certes, l’Etat ne se permet pas de mettre le nez dans le contenu de l’œuvre, mais, en obligeant le CNC à cibler ses aides, il l’influence... et va continuer à le faire : dès 2024, les sociétés de production audiovisuelle devront obligatoirement établir un bilan carbone de chacune de leurs productions... et le couperet sera le même : trop de CO2, pas d’aide... Inutile de dire que nous ne sommes plus près de voir un nouveau film s’achevant, comme « La Menace » (1977, avec Yves Montand), par un gigantesque et magnifique rodéo de poids lourds...

Qu’on le veuille ou non, s’il est un art, l’audiovisuel est aussi une industrie. Une industrie qui, en France, est celle la plus aidée, l’apport du CNC pouvant aller jusqu’à 50 % du coût de « l’œuvre ». On dit souvent que cela ne coûte rien au contribuable. C’est parfaitement faux. Outre, d’une part, l’apport des distributeurs de programmes (chaînes et plates-formes TV) via leurs obligations de créations, d’autre part, celui du CNC, qui provient d’une taxe payée par les salles (10 % du coût de l’entrée), par les diffuseurs TV et les opérateurs Internet (spectateur, téléspectateur et internaute en supportent le coût), l’audiovisuel reçoit des aides directes de l’Etat, donc du contribuable, via un système de crédit d’impôt particulièrement avantageux, et un autre de réduction d’impôt accordée aux souscripteurs de parts dans une « Sofica », outil financier participant lui aussi au financement de l’audiovisuel. Sans oublier l’apport des collectivités territoriales, qui sont de plus en plus nombreuses, à croire qu’un paysage vu furtivement à la télé génère l’arrivée de touristes, voire d’entrepreneurs.

Ces aides publiques massives, contraires aux règles de l’OMC, mais aussi à celles de l’Union européenne sur l’interdiction de fausser la concurrence, ne font pourtant pas l’objet de beaucoup d’attaques. « L’exception culturelle » arrachée par la France à Bruxelles en 1993 les protège...

Mais le quasi silence autour de cette dérogation provient aussi de la faible valeur de l’enjeu. L’an dernier, le bilan export de l’audiovisuel français, exceptionnellement élevé, a atteint 87 millions d’euros. Le prix d’achat d’un Airbus A320... Une peccadille au regard du montant du commerce mondial...

Quant aux résultats sur le marché intérieur, guère plus brillants, ils n’incitent pas non plus les producteurs audiovisuels étrangers à élever la voix. Les films étrangers, cette année encore, attireront 60 % des quelque 150 millions de spectateurs français, dont 40 % pour le seul cinéma américain. Situation tout aussi peu réjouissante à la télévision... Un exemple : samedi dernier, la série britannique « Les Enquêtes de Vera » a battu l’excellent film « Les tontons flingueurs » et n’a été devancée que de 300 000 téléspectateurs par « Lucy », de Luc Besson.

Ces deux constatations - un export en berne, un marché intérieur dans le même état - devraient faire réfléchir, non seulement la profession, mais aussi nos dirigeants politiques, sur la pertinence des règles actuelles de financement de l’audiovisuel. Ne l’ont-elles pas trop replié sur le seul marché français ? Faut-il continuer à financer les présumés navets ? Faut-il enfin choisir la qualité plus que la quantité ? La qualité de quelques œuvres qui feront patrimoine plutôt que la quantité de produits, dont certains, vite rangés au fond du placard, affichent des déficits abyssaux...

Achille

"Cette série est extraordinaire parce qu'elle raconte des événements réels (adaptés d'un récit de Fabrice Arfi)" (PB)

Fabrice Arfi, le chasseur de prime de Mediapart. L’homme qui lave plus blanc que BHL, avec ses récits tirés généralement de corbeilles à papier des ministères de l’Intérieur et de la Justice. Le tout arrangé à la sauce Plenel. Finalement je préfère encore CNews ! :)

Vamonos

@ Giuseppe

Brice de Nice 2 est comme le Ç de surf… inexistant.

Patrice Charoulet

Fabrice Arfi, de Mediapart*

*Abonnement : 12 euros par mois.

caroff

Excellente série française en effet.

Cependant, il faut aussi visionner le documentaire de Netflix "Les rois de l'arnaque" avec l'auteur de la fraude à la TVA, Marco Mouly, qui atteint des sommets dans la drôlerie et la faconde des juifs séfarades.

J'ajoute le "Bureau des légendes", un must qui atteint le niveau des séries américaines comme "Wire" ou bien sûr "Breaking Bad" et "Better Call Saul".

Deviro

@ Giuseppe | 02 décembre 2023 à 11:28

De vous lire, ça fait du bien...
Merci !

sylvain

@ Giuseppe | 02 décembre 2023 à 11:28
« Hier le clown était triste, minable, voulant se justifier, le maquillage ne résistait plus au sale type qu'il était devenu, pour le pire jamais plus pour le meilleur sans doute, plus dure sera la chute et l'humiliation pour celui dont cela est devenu une arme banale. À vomir ».

S'il n'y avait que lui, il est à notre image, nous sommes à son image, un climat de répugnance malodorante qui règne dans tout le pays.

Liste de la pourriture qui empeste et pourrit la société :

Ce pouvoir traître collabo islamiste immigrationniste macronien mafieux trafiquant esclavagiste de migrants.

Borne la vapoteuse arrogante.

EDM qui insulte de nazillons des millions de citoyens républicains.

Darmanul et ses fiascos à répétition, ses supporters anglais Matteo Kevin, une chiffe molle qui fait rire le monde entier.

Une justice extrême gauchiste qui embastille à tour de bras des supposés dangereux fascistes de droite fantasmés et laisse leurs alliés complices antifanazis perpétrer leurs forfaits criminels, casses incendies attaques de FDO aux cocktails molotov, en toute impunité.

La gauchisserie Nupes PS PCF EELV LFI qui collabore avec ces malfrats se donnent pour mission la destruction de la France, de son peuple, de ses culture, histoire, coutumes et religion.

Tous sont coupables des crimes islamistes contre des innocents, tous piétinent allègrement les cercueils de Paty, Lola etc. mais tous tiennent pour responsables le RN, Zemmour, les extrêmes droites, ultra droites, accusés de tenir des discours racistes fascistes, eux qui ont les mains propres et aucun crime à se reprocher.

Hanouna, un danger ? LOL, il n’arrive pas aux chevilles de tous ces traîtres collabos criminels que je viens de citer, TPMP est un spectacle que l’on peut zapper sans difficulté mais pas cette macronie nupes islamiste que l'on est obligé de subir de force et qui ont des mégabassines de sang sur les mains.

Giuseppe

J'ai suivi le Bureau des légendes, une pépite, j'attendais toujours la suite avec gourmandise. Quand c'est bien réalisé et que la musique est bonne c'est un vrai plaisir. Les séries sont à la mode, mais le cinéma quand il est au niveau vaut bien une belle messe.
La daube au cinéma se voit trop, elle pue, je n'ai jamais compris qu'un film comme Brice de Nice ou encore, pour moi, le plus éculé de tous, les Ch'tis, qui met une éternité à démarrer, accompagné de sketchs éculés que l'on rencontre dans tout ce qui vieillit mal ; à mourir d'ennui.

Achille

Franchement Philippe Bilger, je me demande bien comment vous faites pour trouver le temps de regarder des séries, qu’elles soient américaines ou même françaises avec votre emploi du temps surbooké.
- Votre présence sur les plateaux TV sur CNews et Sud Radio.
- La gestion de votre Institut de la parole.
- Votre blog auquel vous consacrez un billet tous les deux jours.
- Vos entretiens qui nécessitent un temps de préparation.
- La lecture des quotidiens que vous suivez régulièrement, notamment Le Monde, le JDD, Causeur et Mediapart à qui vous semblez vous intéresser depuis quelque temps.
- La rédaction de vos livres que vous écrivez vous-même, ce qui n’est pas toujours le cas des célébrités de la politique et du monde télévisuel.
- Sans oublier vos nombreux enfants et petits-enfants à qui vous devez consacrer un peu de temps.

Et pour finir, il vous faut bien aussi dormir quelques heures…

xavier b. masset

J'aurais tant aimé partager vos émotions.

"D'argent et de sang" peut laisser de marbre, même si je reconnais que Vincent Lindon fait briller le statut du magistrat des Douanes, qu'il se coule avec aise dans le moule à cire perdue d'une judéité contrariée (vertige d'un rôle qui n'a peut-être rien d'un contre-emploi), qu'il interprète très bien la figure du père hanté par une progéniture à la dérive (dans des scènes vues cent fois au cinéma, déjà tournées par Lindon avec Isabelle Carré dans un film de Pascal Thomas).

Pouvait-on échapper à ces dizaines de plans tirés de Breaking bad ?
Le Mouly de la réalité me paraît beaucoup plus malin que le Fitous joué par Ramzy Bedia, trop faux-neuneu pour ne pas être honnête.
Les épaisses fumées sorties d'âcres bouches de cheminées se rappellent au bon souvenir du monteur dès qu'une allusion à la TVA verte évaporée pénètre dans le cadre, une coupe royale obligée, comme si le spectateur avait besoin d'être constamment mené par le bout d'un clin d'œil mouillé pour saisir les enjeux.

Comme Netflix l'avait montré, le réel est bien plus pointu.

Gaspard Ulliel, dans le rôle repris par Niels Schneider, aurait sans doute amené un peu de l'étrange silence que l'on prête aux agneaux.
Seul David Ayala me semble apporter un peu de chair au projet.

Ce que je reproche le plus à la série, c'est son cliffhanger de la fin, assez brutal et carrément racoleur : Weynachter, dans l'un de ses rares sourires tranchants comme un coupe-papier en ivoire de contrebande, prédit -- en quelque sorte sous ses auspices gourmands et provocateurs -- que la petite arnaque tranquille va bientôt se transformer en un bain de sang (ce que chacun qui aurait lu Wikipédia ou la chronique dans les journaux de l'époque, sait déjà), le Mimran de l'histoire vraie versant dans un amok insensé, inouï.

La série a le mérite de montrer combien les autorités israéliennes en eurent leur claque de devoir se coltiner la pègre parisienne en mal de refuge.
Cela me remet en mémoire un passage de la vie de Claude Lanzmann qui découvrait à son grand étonnement qu'Israël "était un vrai pays, avec ses putes et ses chauffeurs de taxi indélicats".

Comme les séries de ce pays ("Hatufim", "Fauda") peuvent en dire plus sur leur présent ! Peut-être parce qu'il a encore une Histoire, lui.

Amusant de se rappeler qu'il y a deux ou trois ans l'administration fiscale exigea de Canal + qu'elle doublât sa TVA de 20 %. Ce qu'elle fit sans broncher. Les sages spectateurs verts amortissent toujours les frais en bout de ligne.

D'autres séries, comme celles sur la "boucherie" de Chevaline, mettent le regardeur dans les chaussures des enquêteurs.
Nous devenons, petit à petit, tous des "shoegazers" devant notre écran.

Giuseppe

À une moindre échelle, le spectacle piteux de notre cher Hanounouille, qui tentait de nous expliquer, de se justifier piteusement, qu'il n'était pas propriétaire de yacht et que les tours de passe-passe dont il usait pour cacher son bateau étaient bien légaux... Ce qui est vrai, mais à la fois un peu négrier pour le personnel employé et pas très citoyen pour ce qui concerne les taxes et les charges d'emploi.

Lui le redresseur de torts patenté dont il se revendique, le bon petit soldat de la République qui paye beaucoup d'impôts en France, qui voudrait en payer plus, ce n'était pas lui qui usait des lois pour déclarer son jouet dans un paradis fiscal.

Le héros et porte-drapeau des opprimés du pays, agissait donc incognito pour ne pas payer de TVA sur le carburant, il n'était pas celui qui employait des salariés sous étendard bananier pour ne pas payer les charges afférentes à son personnel de navigation. Il avait confié la gestion de son bien rarissime à un autre, il ne voulait pas que se sache qu'il était bien riche et qu'il achetait bien des yachts et pas comme d'autres, des bagnoles pour aller au chagrin.

Le sommet, quand pour se justifier que lui aussi ça lui coûtait, qu'il payait, il versait lui aussi le montant de sa location au loueur... à lui-même donc, le circuit fermé, l'économie circulaire dans toute sa splendeur.
Laissant vouloir entendre que toutes les sommes allaient dans une poche inconnue.
En fait il se reversait du pognon cher à Nanard quand il se servait de son yacht. Tout cela légal, pas très éthique pour cet amoureux de la France et du bien commun français, défenseur des opprimés. Lui le chevalier blanc du citoyen moyen qui paye tous ses impôts en France et qui n'arrive pas à s'en sortir.

Bon, le "bouffon devenu roi" n'est plus ce qu'il était, il est semble-t-il devenu un sale type qui brandit la menace comme toutes ces petites crapules que l'on voit dans certains reportages. Chacun se fera son idée, il avait convoqué hier son poulailler, sa claque qui applaudissait à la manière de la Corée du Nord, bêlante et soumise, avide de continuer à se faire humilier pour quelques piges de plus, des "lâches" dont le mot a été employé.

Hier le clown était triste, minable, voulant se justifier, le maquillage ne résistait plus au sale type qu'il était devenu, pour le pire jamais plus pour le meilleur sans doute, plus dure sera la chute et l'humiliation pour celui dont cela est devenu une arme banale. À vomir.

Bensarahy

Comme vous, j'ai adoré cette série et tous ses acteurs. Impatiente de visionner la suite en janvier.

Tipaza

Et c'est le jour anniversaire d'Austerlitz que le Boss nous parle des séries télé sans même aborder le film qui fait la Une de tous les médias : le Napoléon de Ridley Scott !

Y a des jours comme ça, où l'on est à côté de l'Histoire et qu'on raconte des histoires, ça m'arrive quelquefois à moi aussi ! ;-)

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