Chers tous, chers amis, merci infiniment pour vos voeux de belle et heureuse année. Cette tradition nous touche, mon épouse et moi-même, car elle permet d'exprimer de manière tangible, bien au-delà des débats critiques et des échanges contradictoires, ce qui nous lie sur ce blog : la liberté de penser et d'écrire, la curiosité intellectuelle. Et la nécessaire courtoisie...
Tous nos souhaits, en espérant le meilleur pour chacun d'entre vous.
Et, plus égoïstement, la continuation, le développement de ce blog qui doit beaucoup à vos commentaires, qu'ils louent ou désapprouvent mes billets.
Que 2024 vous comble !
Meilleures pensées.
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Bléad mad d'an holl, bonne année à tous, avec deux souhaits :
- comme mon camarade oynbo (1) Claude Luçon l'a signalé, qu'un peu plus de place soit faite à la science et à la technique dans les sujets abordés par notre hôte
- que certains, et ils se reconnaîtront, cessent leurs polémiques incessantes et sans intérêt, dialogues de sourds où souvent l'insulte rivalise avec la grossièreté
(1) "homme blanc" en langue yoruba, parlée à l'ouest du Nigeria
Rédigé par : Claggart | 08 janvier 2024 à 19:34
@ Patrice Charoulet | 05 janvier 2024 à 13:13
« J'ai vu une bonne action. »
Le fonctionnaire constate le dysfonctionnement, ne fait rien pour le réparer, remercie le quidam qui, par civisme, intervient, puis s’étonne que celui-ci ait agi alors qu’il n’avait rien à gagner, pas même l’estime de ses concitoyens... C’est ce fonctionnaire-là, qui ne sait pas ce que veut dire rendre service, dont il est urgent de se défaire.
Bien sûr, l’histoire serait encore plus édifiante si le quidam était noir de peau et immigré clandestin... Plus édifiante, mais aussi encore plus alarmante sur l’état d’esprit du fonctionnaire.
Il est vrai qu’en Macronie, on proclame que de tels individus sont venus d’ailleurs pour ramasser les poubelles... Le fonctionnaire, finalement, n’est pas répréhensible... Il n’a qu’appliqué les ordres reçus : ne rien faire... et surtout ne pas prendre le travail des autres.
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@ Patrice Charoulet | 04 janvier 2024 à 07:20
« On remet [aux professeurs] les mêmes copies qu'ils notent, après lecture. »
Ouf ! Vous m’ôtez un vieux doute. Je croyais qu’ils les attribuaient au petit bonheur la chance...
Un point de moins pour « détail inutile ». Y’a pas que l’aurtografe quy conte !
Rédigé par : Serge HIREL | 05 janvier 2024 à 19:11
@ Patrice Charoulet
"Et ce bac s'est retrouvé au milieu de ma petite rue. Nul ne s'en est soucié"
Nul ne s'en est soucié, vous y compris !
Rédigé par : Axelle D | 05 janvier 2024 à 18:54
Ce vendredi 5 janvier 2024, j'ai vu une bonne action.
Le vent venant de la mer étant assez fort, il a renversé devant mon petit immeuble un bac gris où les gens doivent mettre leurs déchets. Et ce bac s'est retrouvé au milieu de ma petite rue. Nul ne s'en est soucié. Un quart d'heure plus tard, devant ouvrir une fenêtre pour une question de volet, j'ai aperçu un homme que je ne connais pas et qui n'habite pas dans mon immeuble, relever péniblement ce bac et le rouler six mètres plus loin pour le mettre près des autres bacs. La rue était déserte à cette heure-là et l'homme n'a pas agi pour être bien jugé. J'ai ouvert une fenêtre - j'habite au premier étage - je lui ai dit « Merci, Monsieur ! ». Il m'a répondu, l'air étonné : « Je vous en prie ».
Cette bonne action faite pour servir autrui et sans espoir de jugement a de quoi surprendre.
D'autres que lui mettent le feu à ces bacs, dans certaines circonstances : manifs visant à exprimer le mécontentement, soirées arrosées où on met le feu... pour s'amuser. J'ai assisté un jour à Rouen, en correctionnelle, à un procès où des « fêtards » avait mis, dans l'euphorie de l'alcool, le feu à un de ces bacs, le feu avait gagné l'immeuble voisin : trois morts brûlés vifs dans leur sommeil. J'ai peu de sympathie pour les incendiaires (criminels en puissance) et la plus grande estime pour les gens qui font une bonne action discrète.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 05 janvier 2024 à 13:13
@ Patrice Charoulet | 04 janvier 2024 à 18:45
"Les responsables sont tous les maires qui depuis cent ans ont accordé des permis de construire en zone inondable."
Euh non ! le permis de construire, dans son principe actuel, a été institué en 1943 par le gouvernement de Vichy et repris par ordonnance par le gouvernement de la Libération. C'étaient préfet et DDE qui en décidaient, les maires n'émettant qu'un avis consultatif ; c'est la décentralisation de 1982-83 qui a transféré le pouvoir de décision aux maires.
Rédigé par : revnonausujai | 04 janvier 2024 à 19:51
INONDATIONS EN FRANCE.
Le gouvernement actuel n'est pas responsable des inondations. Les responsables sont tous les maires qui depuis cent ans ont accordé des permis de construire en zone inondable.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 04 janvier 2024 à 18:45
@ Patrice Charoulet | 04 janvier 2024 à 07:20
« La question fut la suivante : « Au pluriel, le mot « nez » se termine-t-il par la lettre « s » ? ». J'ai su répondre. »
Manifestement votre connaissance n’était pas un agrégé de lettres ! :)
Rédigé par : Achille | 04 janvier 2024 à 17:59
Ancien prof de français, je suis très choqué de lire des fautes d'orthographe. Tout le monde, ou presque, connaît les règles de l'accord du participe passé. Mais qui connaît ces règles pour les différentes sortes de verbes pronominaux ?
Quand on corrige des copies de français, au bac, les correcteurs d'un centre sont d'abord réunis dans une pièce. On leur remet les mêmes copies qu'ils notent, après lecture. Les notes sont comparées et le but de la réunion est d'harmoniser les notes : les trop sévères ou les trop indulgents sont priés de changer leurs principes. Une des consignes que j'ai entendues plus d'une année fut la suivante : « Sur 20, ne retirez pas plus de deux points pour l'orthographe ». J'ai toujours refusé de suivre cette consigne. Pour une copie de l'épreuve de français, 500 fautes d'orthographe : moins deux points seulement ? Pas question !
Hier, l'une de mes connaissances me téléphone pour me souhaiter une bonne année et, sachant mon intérêt pour ce domaine, saisit l'occasion pour me demander un renseignement d'orthographe. Je m'attendais à un casse-tête. La question fut la suivante : « Au pluriel, le mot « nez » se termine-t-il par la lettre « s » ? ». J'ai su répondre.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 04 janvier 2024 à 07:20
Je souhaite à Pascale et Philippe Bilger, ainsi qu'à tous les lecteurs de ce blog, plus de sujets d'émerveillement que de sujets d'agacement en 2024.
Avec toute ma gratitude pour cet espace de liberté.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 janvier 2024 à 01:23
À vous monsieur Bilger et à votre épouse, dont je salue la patience pour lire tous les commentaires, des plus beaux aux plus hors-sujet, tous mes vœux pour une très heureuse année.
Rédigé par : Antoine Marquet | 04 janvier 2024 à 00:58
Au pays de Candy, Oui-Oui chez les benêts :
"À tous, une bonne année 2024 sur tous les plans.
En formant le voeu qu'en ces temps troublés
la réconciliation succède aux affrontements,
la tolérance triomphe des sectarismes,
la raison l'emporte sur les fanatismes."
Rédigé par : Marc Ghinsberg | 02 janvier 2024 à 17:43
Y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.
Rédigé par : sylvain | 03 janvier 2024 à 14:30
Bonne et heureuse année ! Quand même.
Triste constat, que je partage, de la déliquescence à tous points de vue de notre société dans ce blog tenu par un docteur qui a réussi à résister au rouleau compresseur covidesque :
https://www.covid-factuel.fr/2024/01/01/bonne-annee-1974/comment-page-1/#comment-224823
Avec cette belle et triste citation parmi les commentaires: "Dans un monde de fuyards celui qui va dans l'autre sens est pris pour un fuyard".
Rédigé par : hameau dans les nuages | 03 janvier 2024 à 12:18
Bonne année à nos hôtes et à tous les commentateurs.
Mes voeux se résumeront à un souhait : que la vertu de la magnanimité soit la plus répandue possible.
Rédigé par : Olivier Seutet | 03 janvier 2024 à 10:54
« Plus on vieillit, plus il faut s'occuper. Il vaut mieux mourir que de traîner dans l'oisiveté une vieillesse insipide ; travailler, c'est vivre. » (Voltaire, Lettre, 1760)
Rédigé par : Patrice Charoulet | 03 janvier 2024 à 10:05
« Chers tous, chers amis... » (PB)
Oui, chers amis, séparés par la distance mais néanmoins amis par la pensée et par le cœur...
Cher monsieur Bilger, permettez donc à un des ces amis de vous faire part ainsi qu'à votre épouse de ses meilleurs vœux pour l'année 2024.
Meilleurs vœux également à tous les contributeurs qui mettent le meilleur d'eux-mêmes à argumenter sur des questions parfois difficiles et pas toujours consensuelles, avec intelligence et courtoisie.
Rédigé par : Exilé | 03 janvier 2024 à 10:01
« Cette tradition nous touche, mon épouse et moi-même, car elle permet d'exprimer de manière tangible, bien au-delà des débats critiques et des échanges contradictoires, ce qui nous lie sur ce blog : la liberté de penser et d'écrire, la curiosité intellectuelle. Et la nécessaire courtoisie... » (PB)
La courtoisie des habitués de ce blog vous sera toujours acquise, Philippe Bilger. Ceux qui ne s’y sentent plus à leur place se retirent sans faire de bruit.
Par contre je crains qu’il ne faille vous résigner, cette année encore, à lire des échanges dénués de toute courtoisie entre intervenants au sang chaud.
Votre blog ressemble un peu au petit village gaulois d’Astérix, dans lequel les échanges de baffes et les bagarres de poissons, pas toujours très frais, étaient monnaie courante.
Longue vie à votre blog !
Rédigé par : Achille | 03 janvier 2024 à 07:42
La plupart des commentateurs habituels de ce blog singulier prononcent leurs voeux de prospérité en cette nouvelle année 2024.
Permettez-moi de m’associer à ce mouvement de reconnaissance envers Pascale et Philippe.
Rédigé par : Vamonos | 03 janvier 2024 à 03:30
Bonne année 2024 chers Philippe et Pascale !
Et merci pour Justice au Singulier que je lis toujours avec la même gourmandise année après année.
Bonne année chers contributeurs du blog.
Et bonne année aux lecteurs qui passent sans laisser de traces.
Rédigé par : Lucile | 02 janvier 2024 à 22:59
Dans vos voeux de belle et heureuse année pourriez-vous, s'il vous plaît, enseigner aux intervenants sur BFM et LCI à parler plus lentement ?
Leur dire qu'il n'y a pas, vraiment pas, de course basée sur la vitesse de parole aux Jeux Olympiques à Paris ou ailleurs, ce dont ils semblent convaincus.
C'est incroyable, certains semblent essayer d'atteindre 100 paroles en moins de dix secondes, confondant mètres et paroles :(
Ou alors offrez-nous un billet tous les jours pour remplacer BFM et LCI.
De nouveau mes meilleurs voeux pour toute la famille Bilger :)
Rédigé par : Claude Luçon | 02 janvier 2024 à 20:34
Mes meilleurs vœux à mes camarades commentateurs. Meilleurs vœux au monde. Meilleurs vœux à nos hôtes.
Et de plus, mes remerciements pour les billets de monsieur Bilger et la liberté d'expression ensoleillée de bienveillance qu'il essaie de favoriser ici. Bien évidemment, il ne faut pas oublier madame Bilger dans cette entreprise méritoire.
Sinon, puisqu'on parle d'oubli, par association d'idées.
Aux personnes préférant ne plus commenter, meilleurs vœux, on peut parfaitement être trop pris ou passer à d'autres intérêts sans être exclus des vœux, car en somme, les absents et les silencieux ne méritent-ils pas aussi la bienveillance à la fois dirigée vers les gens du blog et tout le monde ?
Je fais en outre le vœu que les bons vœux éclairent ce début d'année !
Rédigé par : Lodi | 02 janvier 2024 à 19:59
Meilleurs vœux à vous, Monsieur et Madame Bilger, à votre blog et à ses commentateurs.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 02 janvier 2024 à 18:35
Bonne année 2024.
Après 2023, ce ne sera pas facile.
On prend les mêmes (Macron, Borne, Darmanin...) et on recommence.
Longue vie au blog.
Bien respectueusement
Rédigé par : anne-marie marson | 02 janvier 2024 à 18:22
À tous, une bonne année 2024 sur tous les plans.
En formant le voeu qu'en ces temps troublés
la réconciliation succède aux affrontements,
la tolérance triomphe des sectarismes,
la raison l'emporte sur les fanatismes.
Rédigé par : Marc Ghinsberg | 02 janvier 2024 à 17:43