La multiplication des attaques au couteau, quasiment quotidiennes, est effrayante. Des agressions accomplies à plusieurs pour toutes sortes de motifs avec des conséquences souvent mortelles. Des auteurs majeurs ou mineurs, et de plus en plus précoces. Des victimes parfois adolescentes, qu'elles aient participé à l'affrontement entre bandes ou qu'elles aient cherché à s'interposer comme à Romans-sur-Isère.
Quelle triste litanie : Montpellier, Viry-Châtillon, Tours, Bordeaux, Bagneux...
Rien n'est plus tentant que d'apposer sur ces crimes une grille unique qui nous permettrait de simplifier cette réalité contre laquelle les pouvoirs publics, malgré leur bonne volonté ou l'angélisme de certains maires écologistes, paraissent impuissants. Débordés par un mouvement qui, dans son imprévisibilité ou sa logique perverse, réduit à néant les protections mises en place en amont et se confronte à une extrême lenteur judiciaire en aval.
Il serait réducteur de considérer qu'une immigration non contrôlée ou porteuse d'une culture trop différente de la nôtre sur le plan de la religion, des moeurs, de la liberté et de l'égalité entre les sexes, est la cause exclusive de ces terrifiantes empoignades, où chacun porte un couteau ! Comme pour se préparer à un pire qui ne manquera pas de survenir, avec cette arme prête à servir.
Avant de théoriser sur le fait que l'immigration est responsable de tout, sur un mode trop univoque pour que l'intelligence s'en satisfasse, il faut d'abord accepter de fondre ces péripéties criminelles dans un ensemble qui affecte la France tout entière. Crimes et délits s'accroissent, notamment les atteintes aux personnes, avec cette particularité que leur perpétration devient en quelque sorte gratuite, liée à des motifs de plus en plus dérisoires où la susceptibilité est poussée à son comble.
Ce qui chaque jour indigne nos concitoyens, c'est la continuation - de plus en plus grave, de plus en plus précoce - de transgressions auxquelles la République ne sait plus comment faire face.
Mais certains des mobiles récents démontrent également - l'exemple de Samara à Montpellier est éclairant sur ce point - l'incompatibilité de telle ou telle conception de la vie, de telle ou telle vision de l'islam, du rapport à la sexualité et du sort réservé aux jeunes filles, d'avec les pratiques majoritaires des Français de culture européenne. Il y a donc à l'évidence une relation directe entre cette société qui refuse de s'assimiler et le pire qu'ils ont engendré. Comment occulter "cette violence islamiste du quotidien...poignardés pour un verre d'alcool, frappée pour une tenue "à l'européenne"...à cause du non-respect des règles religieuses musulmanes..." ? (Le Figaro)
Ce ne sont pas les voeux pieux présidentiels - "l'école doit rester un sanctuaire" - qui auront le moindre effet sur ces dernières atrocités du quotidien.
On ne peut pas se résoudre au simplisme du "il n'y a qu'à...", "il faut qu'on..." ! On n'arrache pas une culture néfaste comme on pourrait le faire d'une mauvaise herbe. Cette société qui s'est installée aux côtés de la nôtre, voire face à la nôtre, est peu disposée au dialogue. Elle est enracinée dans ses croyances, ses convictions, persuadée qu'elles doivent demeurer intangibles et que toute offense qui leur serait faite mériterait une riposte, souvent violente. Les tragédies criminelles récentes doivent être analysées comme la volonté de ne pas céder à la civilisation de notre pays, à ses règles, à son terreau non négociable.
S'agit-il d'un vaste dessein qui mené collectivement par un islam dévoyé viserait, par petites touches devenues de plus en plus préoccupantes à force d'être cumulées, à changer radicalement l'esprit de notre nation en lui substituant une autre société, au pire la charia ? Je n'irais pas jusque-là parce que s'il y a des indices qui le font croire - par exemple ce qui s'est produit à Strasbourg, dans la boutique Geox (des centaines de réactions haineuses - "vermine française" - contre le gérant) -, beaucoup d'autres laissent plutôt entendre une imprévisibilité, des humeurs, des résistances, des susceptibilités, des défis qui ne paraissent pas relever d'un plan préétabli.
Je ne suis pas naïf mais attentif au fait que si la lucidité certes pessimiste désespère et affirme que tout est fichu, un pays n'a plus qu'à se suicider, ne plus rien attendre de la politique. Il convient toujours de laisser une place au futur. Faute de quoi, il y aura un maximalisme de la dépression française, incompatible avec toute possibilité de sauvegarde.
Les couteaux sont tirés mais la France, si elle le veut, ne sera pas désarmée.
@ Exilé
"Jamais, pas plus aujourd’hui qu’en l’an 30, la révélation chrétienne ne peut plaire à l’homme : le christianisme a toujours été pour lui au fond de son cœur un ennemi mortel. Aussi l’histoire témoigne-t-elle que de génération en génération existe une classe sociale hautement respectée (les prêtres) dont le métier consiste à faire du christianisme exactement le contraire de ce qu’il est."
(Soeren Kierkegaard)
Ce n'est pas parce que le christianisme a été déformé, instrumentalisé, utilisé de façon tendancieuse pour en faire un formidable instrument de pouvoir qu'il serait intrinsèquement mauvais. Comme le prétendent des laïcards sectaires, à la façon d'un Lodi et consorts qui manifestement ne se sont abreuvés qu'à ce genre de sources empoisonnées !
Plutôt comprendre que ce sont les malfaisants, faux chrétiens et faux dévots, ayant récupéré et détourné cette précieuse pépite pour se l'approprier et la pervertir de mille façons, qui sont des pervers et des exploiteurs de la naïveté de "leurs ouailles". Quel vilain mot, signifiant brebis ! C'est tout dire !
Lire à ce sujet l'excellent livre de Jacques Ellul : "La Subversion du christianisme".
Rédigé par : Axelle D | 17 avril 2024 à 12:28
@ Exilé
"Sur un vaste sujet, vous en arrivez à un résumé simple. Trop simple."
Mais assez vrai, et je n'écris pas là une thèse.
"Le christianisme n'a été admis qu'en devenant politique : il s'est acculturé au pouvoir, il est devenu un outil du pouvoir comme l'étaient les polythéismes qu'il a remplacés."
On peut aussi bien dire qu'il a fait du pouvoir son outil en s'en servant pour remplacer le paganisme tout en faisant du judaïsme un faire-valoir, pour ne pas dire plus.
Et cette façon d'agir n'est certainement pas païenne ! J'estime que ce n'est certes pas un progrès.
"qu'on ne puisse pas vraiment « appeler à la fin du monothéisme » et espérer résoudre tous les malheurs du monde."
Pardon, je ne suis vraiment pas contaminé par le monothéisme ! Je ne pense pas qu'il suffise de résoudre un problème pour les résoudre tous, tuer un monstre pour tous les anéantir.
Mais si par miracle les gens redevenaient païens, ou mieux même, certains problèmes seraient résolus, ce qui ne serait pas si mal.
Pour comparaison, dans les mythes, Hercule a fait un certain nombre de travaux, mais ça en laisse à d'autres héros, n'est-ce pas ?
"Pour en revenir au point de départ, une seule religion en Europe est motif à des attaques à l'arme blanche. Et le salafisme n'est pas traditionnel en Europe."
Je saisis votre remarque pour redire qu'il faut interdire l'immigration musulmane. Que nous sommes mous ! On ne demande pas de détruire Carthage, juste de ne pas laisser n'importe qui s'infiltrer chez nous.
Rédigé par : Lodi | 16 avril 2024 à 18:23
@ Lodi
« Dans tout ça, il y a des nuances, le monothéisme me semble de plus en plus violent, parce que les Juifs ont vu les chrétiens se greffer sur eux, puis les musulmans également prenant appui sur les chrétiens.
Chaque nouveau venu doit prouver sa légitimité aux dépens de ce qui le précède, ce qui incite à la violence. »
Sur un vaste sujet, vous en arrivez à un résumé simple. Trop simple.
Le judaïsme est tourné sur lui-même, son message politique local. Le christianisme originel est le refus du message politique. Le christianisme n'a été admis qu'en devenant politique : il s'est acculturé au pouvoir, il est devenu un outil du pouvoir comme l'étaient les polythéismes qu'il a remplacés. Quant à l'Islam, il a toujours été politique puisqu'il est le fait d'un chef de guerre.
Ce n'est pas l'histoire d'un nouveau venu qui, par sa place, serait incité à la violence. C'est plus complexe que cela, tout comme le fait qu'on ne puisse pas vraiment « appeler à la fin du monothéisme » et espérer résoudre tous les malheurs du monde. La religion est humaine, elle révèle ou fait le jeu de problématiques humaines.
Pour en revenir au point de départ, une seule religion en Europe est motif à des attaques à l'arme blanche. Et le salafisme n'est pas traditionnel en Europe.
Rédigé par : Marcel P | 16 avril 2024 à 13:04
@ Exilé | 15 avril 2024 à 15:21
Sans chercher aussi loin que l'Inde... mais est-ce loin ? les mythologies indiennes, germaniques et gréco-romaines ne sont-elles pas indo-européennes donc très semblables ?
Dans ces mythologies, il y a un truc très original, au lieu d’oppositions binaires entre sacré et profane, il y a la fonction guerrière : trois fonctions, sacrée, de production, et entre les deux, guerrière, ce qui montre l'importance de la chose.
Le roi unit les trois fonctions, mais à la base, c'est un guerrier... On n'est pas en Chine ou ailleurs où la paix est plus valorisée.
Bref, dans tout ce cirque, les dieux se font concurrence, entraînant les mortels dans leur traîne, ainsi Pâris enlevant Hélène en paiement d'avoir désigné Vénus comme la plus belle, ce qui provoque la guerre de Troie, où bien des dieux ont leurs favoris.
Le polythéisme idéalise-t-il l'être humain ? Non, mais il y a de la diversité en lui. Forcément : plusieurs dieux.
Va-t-on aller chasser un ou plusieurs dieux voire s'en prendre aux panthéons d'autres populations ? Tout est envisageable.
Ce serait sans doute bien excitant pour les prêtres d'un dieu qui a le vent en poupe, et une cause de guerre bénie tout aussi jouissive pour les guerriers, mais comment faire ?
Disons, déclarer que les autres dieux sont des démons, et basta. Sauf qu'alors, on n'est plus dans le polythéisme. C'est comme quand on devient l'unique dirigeant d'un pays sans contre-pouvoir : on peut bien plus, mais la nature du régime a changé du tout au tout.
Toute religion est violente, mais il y a une montée en puissance de la violence, le polythéisme est violent, le monothéisme est encore plus violent, et le totalitarisme qui en est issu, encore plus violent.
Dans tout ça, il y a des nuances, le monothéisme me semble de plus en plus violent, parce que les Juifs ont vu les chrétiens se greffer sur eux, puis les musulmans également prenant appui sur les chrétiens.
Chaque nouveau venu doit prouver sa légitimité aux dépens de ce qui le précède, ce qui incite à la violence.
Et puis l'idée d'unique se répand ailleurs : et cela ne sent pas non plus très bon comme on l'a vu dans les totalitarisme.
Et puis, à problèmes mondiaux, solutions mondiales, pense-t-on, et certains de promouvoir un gouvernement mondial.
Or qui dit gouvernement dit possibilité de tyrannie. Tout pouvoir à l’intérieur et pas d’extérieur ? Rappelons que l’extérieur peut sauver, même si cela vexe certains, voir le Débarquement.
Bref, des gens tout-puissants face à des malheureux sans défense ? Sauf à imaginer que tyrans renoncent au pouvoir, la tyrannie devrait perdurer jusqu'à la fin de l'espèce humaine.
On me prétendra que c'est peu probable, mais la chose est si grave qu'il faut tout faire pour la prévenir.
Et puis les probabilités... Quel polythéiste aurait imaginé l'émergence du monothéisme ? Et quel Romain qu'il n'y aurait plus d'empereur romain mais un prêtre à tiare prétendant dominer les souverains de la terre ? Quels premiers chrétiens entendant parler d'amour du prochain et de proche fin du monde, un monde où tout ce qu'ils trouvent de bien à dire sur leur religion est qu'il y a pire comme l'Islam et qu'elle a été pire ?
C'était certes une très mauvaise idée de donner leur congé aux dieux, mais on l'a commis dans bien des lieux, et rien ne dit que dans leur incorrigible soif de salut, les gens ne vont pas le faire de leur gouvernement pour se soumettre à un gouvernement mondial.
L'idée de gouvernement mondial est donc la plus dangereuse du monde, et doit absolument être réfutée et rendue détestable avant qu'essayée, vu qu'on ne peut pas se débarrasser de ce Gouvernement une fois installé.
Problème : les gens ne comprennent pas ce qui n'est pas encore advenu.
Autre problème : l'unique, qui a pourtant fait tant de mal, est encore adoré par les gens, dans tous les sens du terme, source de tous les abus que nous avons vus, et de bien d'autres encore : les gens n'ont souvent guère d'imagination que pour nuire aux autres.
Après de telles horreurs, retour au multiple.
Bien sûr, les polythéistes ne sont pas à l'abri des mauvais exemples monothéistes : si on vient détruire des temples chez vous, cela implique que redevenu fort, on les reconstruise, sur les débris du dieu unique mis à la place.
Et si on a vu des gens tenter de vous convertir ou persécuter les polythéistes, cela peut incliner à le faire à son tour aux monothéistes.
Appuyé sur une théologie de haut niveau, l'hindouisme peut se lancer dans la course avec toutes ses chances, évidemment... Mais il va contre l'esprit du polythéisme.
Prêtres, fidèles, et dieux s'ils existent, tous contaminés par l'esprit pervers de l'unique ! L'unique est vraiment un piège, soit les gens tombent dans la croyance en l'unique, soit pour préserver leur multiple, se retrouvent tentés de reproduire son mode de fonctionnement.
C'est le même problème que les démocraties face aux dictatures, ne rien faire ne convient pas, agir risque d'incliner à imiter leurs pratiques.
S'ils existent, il serait bon que les dieux nous viennent à l'aide, à tous, comme le soleil brille pour tout le monde.
Ou comme chacun tient la porte à l'autre ou peut assister un handicapé dans la rue, que les dieux assistent les humains qui ne vont pas reprocher à l'un de ne pas être l'autre ou de lui donner sa carte de visite.
Rédigé par : Lodi | 15 avril 2024 à 21:16
@ Michel Deluré | 15 avril 2024 à 16:27
« ...il serait coupable de fermer les yeux sur les autres causes qui participent à cet engrenage et qui puisent leur origine dans notre propre évolution sociétale. »
Très juste.
Par exemple l'athéisme militant camouflé en « laïcité », l'amoralité érigée en valeur, la promotion sordide de l'avortement de masse et autres dérèglements qui provoquent tous le dégoût et pas uniquement chez d'éventuelles « grenouilles de bénitier » franco-françaises...
Rédigé par : Exilé | 15 avril 2024 à 18:13
@ Exilé 14/04/24 15:00
Je ne nie pas l'impact du facteur immigration sur le climat de violence qui gangrène notre société. Je dis par contre que ce facteur, pour aussi important qu'il soit, n'est pas l'unique et seul responsable de cette dangereuse dérive et qu'il serait coupable de fermer les yeux sur les autres causes qui participent à cet engrenage et qui puisent leur origine dans notre propre évolution sociétale.
Ne nous abandonnons pas à cette paresse qui nous condamnerait à ne regarder en face qu'une partie des réalités qui sont souvent plus complexes que nous ne nous les représentons.
Rédigé par : Michel Deluré | 15 avril 2024 à 16:27
@ Lodi | 15 avril 2024 à 08:58
« Si je voulais maximiser mes positions, j’appellerais à la fin du monothéisme sans plan B, qui est sa réforme. »
Sans nous faire les défenseurs d'un Islam conquérant monothéiste, remarquons tout de même que l'Inde est depuis toujours en dépit de son polythéisme, y compris de nos jours, le théâtre de nombreux affrontements.
« Pour les religions de l’Extrême-Orient, on sait que l’une des œuvres les plus centrales de l’hindouisme, la Bhagavat Gita, est située dans un contexte tel que la vision de l’homme qu’elle propose fait d’une guerre fratricide une pure bagatelle. Le dieu y rappelle au prince sur le point de combattre contre ses cousins que ses scrupules supposent que la vie est une réalité, alors qu’elle est illusoire. »
https://www.cairn.info/revue-communio-2017-3-page-11.htm
Rédigé par : Exilé | 15 avril 2024 à 15:21
Pour information:
https://www.interieur.gouv.fr/Interstats/Actualites/Insecurite-et-delinquance-en-2023-une-premiere-photographie-Interstats-Analyse-n-64
Rédigé par : Exilé | 15 avril 2024 à 14:51
Je pense qu'il ne faut pas que chacun tente de maximiser ses positions, soit en confondant les Noirs avec les musulmans, qui seuls ont parmi eux des gens tendant à nous asservir, soit en prétendant nous faire prendre en charge le ressentiment des musulmans.
Si je voulais maximiser mes positions, j’appellerais à la fin du monothéisme sans plan B, qui est sa réforme.
Bien minoritaire et chancelante. Le prix à payer ? Dédaigner les Anglo-Saxons, ce qui serait bien injuste.
Alors je préfère me modérer, et espère que chacun en fasse autant malgré ceux inventant des incohérences où il n'y en a pas.
Quant à mon style, trop lourd ou trop cinglant, voire les deux ? Il construit ou il guerroie, c'est selon.
Comme une hache.
Bien sûr, cela ne dédouane pas des imperfections, dont on est toujours infiniment coupable, par les muses ! Mais il serait sans doute pire de ne rien faire, laissant tomber hache et lyre au crépuscule pour ne plus célébrer l'aube ou alerter face à la montée des périls.
Bref, à mon avis, y a des questions principales et des questions secondaires. N'est-ce pas évident face à une vague de submersion musulmane ?
Le cœur de notre sécurité est menacé par les musulmans, le cœur de la défense des minorités est de défendre les innocentes, et non les coupables, comme les musulmans, dont trop inaugurent ce mouvement de masse de rendre le mal pour le bien.
Ce qui autrefois n'était qu'une perversion individuelle, répandue ça et là, est à présent une force considérable nous soumettant peu à peu, comme la mer et le temps grignotent les falaises.
Des innocents, qui ne font de mal à personne, il y en a dans ce bas monde, mais hélas ! Ils ne mobilisent pas comme les musulmans.
Pas tous coupables ? Les Russes non plus, mais il est inconcevable de montrer de l'indulgence pour eux tandis qu'ils envahissent l'Ukraine, voire de crier vive Poutine.
Oui, des innocents, en plus héros comme les Ukrainiens, il y en a, et tant et tant, et tout le monde s'en moque, préférant les musulmans, qui nous nuisent, il faut croire que trop de gens sont comme de vieilles guimbardes, qui ne fonctionnent que quand on leur tape dessus.
Qui ne fait aucune, mais aucune ombre aux humains ? Par définition, des gens si abaissés qu'on leur préfère les bêtes, les réfugiés de la conservation, sacrifiés aux animaux.
Quoi de plus purs que les Tibétains ? Bouddhistes, c'est tout dire, d'un courant de pensée où la lucidité et la compassion, sans parler d'un vrai désintéressement dans l'idée de se réincarner alors qu'on pourrait se retrancher de cela dans l'éveil, existe.
Eh bien, ils sont passés de mode, on leur préfère... nos agresseurs.
Avec l'idée qu'on serait responsable de leur ressentiment : leurs ancêtres n'ont pas soigné les bobos de vanité des nôtres quand ils étaient dominants, mais nous, allez savoir pourquoi, nous devrions nous pencher à leur chevet.
On dirait que nous avons une responsabilité pour des gens qui ne l'ont pas eue envers nous quand ils étaient les plus forts, et ce alors que nous ne songeons jamais à renvoyer l'ascenseur aux Américains, qui, eux se sont servis de leur force pour nous protéger.
En somme, trop de gens cherchent ceux qui leur tapent dessus, qu'ils y aillent donc, mais sans compromettre leur pays, qui peut se passer des gens venant rendre le mal pour le bien.
Le sens de la justice des monothéistes et apparentés me semble fort déficient, pour ne pas dire plus.
Il faut, absolument, et pour l'efficacité des mesures à prendre, et pour l'union de tous les gens prêts à ne pas couler le navire, s'en tenir à une seule chose concernant l'immigration : interdire la musulmane.
Les Noirs, en passant victimes des exactions musulmanes en Afrique où les musulmans réduisent en esclavage chrétiens et païens.
D'un même mouvement, il faudrait et reconnaître l'esclavage du passé, et celui du présent. Mettre les inadaptations de certains Noirs sur le compte de l'esclavage me paraît inévitable : le problème de la couleur de peau est qu'elle renvoie aux chaînes de leurs ancêtres.
Tandis que dans l'Antiquité, les enfants d'affranchis ne se distinguaient pas du reste de la population.
C'est le problème des temps modernes, par contre, l'esclavage a été aboli, sauf chez les pires obscurantistes, ce qui ne vise pas les dépendances de l'Eglise anglicane, évidemment...
Il me semble que Blancs, Noirs et autres devraient certes dénoncer l'esclavage d'autrefois, mais reconnaître aussi la prodigieuse révolution que fut l'abolition, et s'unir contre l'esclavage résiduel.
Chose plus choquante que de laisser des immigrés à la porte ! Surtout quand ce sont des musulmans, innovants certes ! En rendant le mal pour le bien.
N'est-ce pas évident ?
Non ? J'ai peur que non.
Sur un autre fil, on a bien vu que l'esprit monothéiste semble plus se manifester en cris de vanité outragée qu'en discussion sur la vérité des assertions des autres voire... Soyons fou ?
Désir de se réformer.
Bref, chez tant de gens, la vanité et les habitudes comptent plus que la vérité, que la liberté, que la justice, que tout.
Et plus on dit n'importe quoi, plus on est cru : c'est l'inverse quand on est véridique. Faute d'idées, de faits, des accusations gratuites, ou des critiques sur le style, fusent.
Et tout cela fait que des croyants en religion monothéiste, ou dérivés en tout genre, sympathisent avec le danger musulman : leur propre ressentiment et vanité s'y agrègent.
Charité ? Mais en somme, comme dit plus haut, ce ne sont pas les gens à aider qui manquent, et il en existe bien d'autre encore.
Il n'y a qu'en favorisant la venue de musulmans qu'on commet un coup de... poignard dans le dos de ses concitoyens.
Que les monothéistes me donnent tort : il n'est "qu'à" se surmonter, et c'est d'autant moins impossible même si très difficile, qu'il y a les minoritaires.
Je veux dire les Anglo-Saxons - et les Ukrainiens...
Et comme je ne peux citer toutes les étoiles du ciel, que leur nuée lumineuse pardonne à celui qui rend hommage à leur lumière.
Bref, des minoritaires prouvent qu'on peut acclimater le désir de liberté au monothéisme.
Imiter est plus facile qu'innover... Et n'a rien de déshonorant : lire, écrire et compter et ce qui en découle, en sont une illustration.
Les industriels vont trop loin, qui copient les secrets industriels des concurrents.
Mais les monothéistes et les Français pas assez, en n'imitant pas ceux qui ne méritent pas qu'on s'agenouille devant eux, mais l'ultime respect pour leur exemple et l'essai de marcher dans leurs pas.
Apprendre n'est pas une entreprise désespérée, si on doit sacrifier sa vanité sur l'autel de la connaissance.
Et nul n'est une véritable autorité, dans le sens qu'il n'aurait rien à apprendre... Si, tout, absolument tout !
Mais ceux qui se sont engagés plus avant sur le chemin sont des appels à les rejoindre, voire à les dépasser, de sorte que chacun soit le compagnon, ou le relais de l'autre.
Cependant, nulle personne ne doit profiter de son avance pour asservir les autres, non plus que de laisser les êtres de ressentiment pour ses avancées se glisser derrière elle, pour lui planter... un poignard dans le dos.
Et comme individu et comme peuple. L'esprit de découverte et la prudence vont de pair, chez les découvreurs de l'aube.
Rédigé par : Lodi | 15 avril 2024 à 08:58
Donc, si j'ai bien compris, les attaques au couteau sont liées à l'immigration des esclaves noirs américains en Amérique, dont le communautarisme naturel n'a effectivement pas encore su régler les stigmates ségrégationnistes comme le Britannique qui, pourtant spécialiste de la supériorité libérale pour des résultats soviétiques à prix d'or, finit par faire la prière au bureau des Premiers ministres écossais et que, pif, paf, pouf, tout cela est de la faute à Charoulet qui est communiste.
Courons voter pour Poutine !
Rédigé par : Aliocha | 15 avril 2024 à 00:20
@ Patrice Charoulet | 14 avril 2024 à 08:17
"P.-S. : j'ai vu qu'à propos de couteaux à cran d'arrêt, des virtuoses ont trouvé moyen de nous reparler de la couleur de peau, chiffres en main. Ce sera sans moi."
Ben oui. La vérité, ce sera sans vous. Nous sommes habitués.
Je cite l'un des plus hauts responsables de la police britannique sur le sujet, mais Patrice Charoulet en sait plus long que lui, cette personne raconte des craques, Charoulet va nous dire ce qu'il en est.
Ce n'est pas la "couleur de peau" qui compte, en la matière. C'est la race. Je sais bien que les gauchistes de droite dans votre genre prétendent que la race n'est qu'une affaire de couleur de peau, mais c'est faux.
Le recensement américain, auquel j'ai renvoyé, ne demande pas : "Quelle est votre couleur de peau ?", il demande : "Quelle est votre race ?". Mais c'est sûrement parce qu'elle n'existe pas, n'est-ce pas ?
Même dans les plus petits détails et les notations les moins polémiques, vous êtes incapable de respecter la vérité :
"A chaque fois qu'on nous montre à la télé un homme qui se met à tuer plusieurs personnes, il tue non pas avec un couteau à beurre, non pas avec un couteau à couper le pain, mais avec un couteau à cran d'arrêt."
Ben... en fait, nan. Vous êtes resté calé sur ce qui se passait dans votre jeunesse, sans vous donner la peine de vérifier si les choses n'avaient pas, par hasard, changé un tout pitit pitit pitit peu depuis. À l'époque, les malandrins (blancs, de souche) utilisaient, en effet, des couteaux à cran d'arrêt.
Parce qu'il leur importait de les transporter subrepticement dans leur poche, tout en étant capables de les déplier rapidement si nécessaire. Mais le profil des délinquants a changé.
Aujourd'hui, ceux qui donnent des coups de couteau sous n'importe quel prétexte et souvent sans aucune raison, sinon la haine pure (mais ils ont le droit, eux, puisqu'ils appartiennent à une race, contrairement aux Blancs), utilisent, très souvent, des couteaux de cuisine achetés quelques heures auparavant dans je ne sais quel supermarché (et non dans vos chères armureries qui vous obsèdent de façon complètement irrationnelle), ou bien (particulièrement les Noirs) des poignards géants, voire des sabres pas du tout pliants et dépourvus du moindre cran d'arrêt.
Qu'ils achètent sur Internet, figurez-vous. Ou bien à des revendeurs clandestins. Pas besoin d'armureries. Internet existe depuis trente ans, mais vous n'avez toujours pas percuté.
Vous pouvez constater le genre de couteaux utilisés sur les photos de saisies régulièrement diffusées par la police britannique, réalisées suite à des contrôles au faciès dans la rue ou lors d'autres opérations. En voici quelques-unes : 1, 2, 3, 4, 5.
Vous voulez des statistiques ? Pas de problème, à ceci près qu'il faut aller dans des pays libres, pour cela, ce qui exclut la France. Voici donc les différents types de couteaux qui ont été saisis en 2021 par la Metropolitan Police, qui a autorité sur la région de Londres, suite à ce que nous appellerions des contrôles d'identité, et que les Britanniques appellent des "stop and frisk" (puisqu'ils n'ont pas de cartes d'identité) : interpellations dans la rue, suivies d'une fouille.
4 816 couteaux ont été saisis cette année-là, dont 1 001 couteaux de cuisine, 287 couteaux de type Rambo, 295 cutters, 233 machettes, 182 couteaux de chasse, 70 couteaux de type zombie, 36 épées et divers. Les couteaux à cran d'arrêt n'étaient qu'au nombre de 860.
De plus, 99 armes à feu ont été saisies de cette manière. Toutes détenues illégalement, bien sûr, donc par définition elles n'ont pas été achetées dans une armurerie.
Il n'y a pas de raison de penser que ces chiffres soient fondamentalement différents pour la France, les délinquants étant du même type et les tendances en la matière se diffusant instantanément à travers l'Occident.
Il est clair, au vu de ces faits, que l'interdiction des armureries, à laquelle vous appelez régulièrement, n'aurait aucune efficacité. En réalité, un armurier est plus à même de refuser une vente, sous divers prétextes, à quelqu'un dont les intentions seraient manifestement malhonnêtes. Si tant est que ce genre de client se donne la peine de franchir la porte d'une armurerie ayant pignon sur rue, et des rapports étroits avec la police.
Vous finissez sur cette remarque particulièrement fielleuse, sournoise et perverse :
"J'avais oublié que nous sommes à quelques semaines d'élections et que, pour certains, toutes les occasions sont bonnes à saisir."
Parce qu'à "quelques semaines des élections", vous ne redoublez pas, vous, de commentaires nous indiquant pour qui il convient de voter et pour qui il ne faut surtout pas le faire. Votre hypocrisie est assez monumentale.
Figurez-vous que je n'ajuste pas mes commentaires en fonction des élections. Philippe Bilger écrit un billet sur la multiplication des attaques au couteau, je réponds par un commentaire sur la multiplication des attaques au couteau.
Mais peut-être soupçonnez-vous Philippe Bilger "d'attiser les peurs" à quelques semaines des élections ? Peut-être votre doctrine à vous consiste-t-elle à cacher tous les sujets qui fâchent à quelques semaines des élections, afin de ne surtout pas "faire le jeu de l'extrême droite" ?
Dans ce cas, je vous suggère d'avoir le courage d'adresser vos récriminations directement à Philippe Bilger.
Et d'avoir la franchise de nous dire que vous voulez abolir la démocratie. Celle-ci, je vous le signale, a prévu un truc qui s'appelle les élections, et qui est justement "l'occasion bonne à saisir" pour choisir ceux qui sont le plus à même de répondre aux problèmes qui affligent le pays. Dont la multiplication des attaques au couteau. Manifestement liée à l'immigration. C'est précisément fait pour ça.
C'est quand même farce, ce constant deux poids, deux mesures de la gauche.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 avril 2024 à 21:55
@ Michel Deluré | 13 avril 2024 à 17:01
« Mais ce climat de violence ne saurait pour autant nous dispenser de questionner notre responsabilité tant collective qu'individuelle. Sommes-nous chacun, à notre modeste échelle, innocents de toute responsabilité dans la propagation de ce climat de violence ? »
Pour votre information, plusieurs des sonneurs de tocsin qui ont alerté les pouvoirs publics et les Français sur les risques présentés par l'introduction massive en France de populations parfois imprégnées pour des raisons culturelles ou religieuses d'une culture de violence parfois extrême, ont été diabolisés puis jugés et condamnés selon des lois de circonstances créées ad hominem, pour les empêcher de parler et de communiquer un savoir reposant sur leur expérience de la vie.
Maintenant que la vérité commence à sortir du puits et que même les donneurs de leçons en subissent parfois les conséquences, il sera toujours possible de multiplier les lois liberticides et anti-françaises, mais cela ne changera rien aux faits, sauf que de pauvres gens continueront de payer de leur vie l'aveuglement de ceux qui nous gouvernent mais qui préféreront persister mordicus dans l'erreur plutôt que de reconnaître qu'ils se sont trompés depuis le début.
En ce qui concerne la propagation de ce climat de violence, bien avant les « réseaux sociaux », il y a aussi l'idéologie pousse-au-crime du monde de l'enseignement français, qui, instrumentalisant l'Histoire depuis 1789 en passant par la Commune de Paris, se fait le porte-drapeau des « damnés de la Terre », le dernier en date ayant détrôné l'ouvrier français étant désormais l'immigré.
À partir d'une histoire frelatée, il s'agit de jeter de l'huile sur le feu afin de contribuer à enfoncer dans le crâne des élèves l'idée que les Français sont tous d'affreux « colonialistes » racistes qu'il faut punir en bloc selon un endoctrinement également inculqué dans leur pays d'origine et rabâché par leurs parents.
Cette façon de faire, totalement opposée à celle que nous sommes autorisés à attendre de la part de gens supposés développer l'amour de la France chez ceux qu'ils sont théoriquement chargés d'éduquer, ne facilite pas les choses et explique les flots de haine souvent accompagnés d'actes violents que les Français lambda ont à subir au quotidien de la part d'un nombre croissant de nouveaux arrivants.
Même M. Macron a par exemple repris la version noircie par l'Algérie de la présence française, en confortant et en légitimant la haine que ce pays entretient chez ses ressortissants dès le plus jeune âge à l'encontre de la France.
Avec ce genre de comportements irresponsables, l'avenir s'annonce encore plus sombre qu'il ne l'est déjà.
Rédigé par : Exilé | 14 avril 2024 à 15:00
La Révolution de 1789 est l’outil politique de la France qui évolue ensuite au gré des autres révolutions, citons 1830, 1847, 1870 et les guerres qui vont en découler, il serait temps de stabiliser ce chaos qui perdure hélas avec le système des partis dont beaucoup voisins sur les idées mériteraient à se rassembler au lieu de se diviser.
Il me semble que le peuple est souverain dans une démocratie actuellement en crise puisqu’il considère que tout ce qui se trouve au-dessus de lui est incapable et indigne de les gouverner, citons ce refus du référendum, que la propriété et la richesse reposent sur des bases qui ne sont pas équitables. Que le rôle de sécurisation des personnes et des biens est l’échec d’une gouvernance qui s’écarte de notre Nation au profit d’un pseudo-empire et d’une régionalisation hypothétique voire d'une cohabitation de deux cultures non miscibles.
Que ce quinquennat et le refus de cumul des mandats pour les députés furent des erreurs, citons ces rafales de 49.3, l’absence de majorité à l’Assemblée et la solitude de décision présidentielle par exemple pour la suppression sur simple décret de notre corps diplomatique, il faut être bon et je dirais mieux que ça pour discuter avec des gens comme Sergueï Lavrov.
Je crains que nous ne nous endormions à l’heure qu’il est sur un volcan...
Rédigé par : Louis | 14 avril 2024 à 11:12
@ Patrice Charoulet 14/04/24 08:17
Je ne pense pas, Patrice Charoulet, faire partie de ces « virtuoses » auxquels vous faites allusion dans le P.-S. de votre commentaire mais je pense cependant que dans votre bonne « petite ville de Dieppe » il vous échappe certaines réalités, à moins que vous ne vous refusiez obstinément à les voir.
Fermer les yeux sur certaines réalités, c'est ainsi se condamner à ne pas en corriger leurs causes et à en subir leurs conséquences, aggravées au fil du temps. Cette cécité est le meilleur moyen de favoriser un climat plus que propice au développement même du racisme.
Rédigé par : Michel Deluré | 14 avril 2024 à 10:24
@ Patrice Charoulet | 14 avril 2024 à 08:17
Merci. Je me suis bien amusé à lire votre commentaire. Vous avez oublié de mentionner le marteau. Tout peut faire arme quand on a en face des gens désarmés, une simple fourchette pour retourner les saucisses sur le barbecue peut faire l'affaire. :)
N'ayant jamais eu de couteau sur moi, j'étais considéré comme un mauvais paysan. Ce qui n'était pas faux dans la mesure où il pouvait servir à couper une ficelle entravant ou percer la panse d'une vache en train de météoriser.
Faisant de la couverture d'ardoise j'ai ce genre d'ustensile, non pas sur moi, mais dans le coffre de la voiture:
https://www.manomano.fr/p/marteau-de-couvreur-dimos-manche-cuir-pour-gaucher-panne-longue-135584-36608641?model_id=15586
Vous avez peur hein ? Oui c'est impressionnant et c'est le but, sinon sur un conseil de représentants des forces de l'ordre, la bombe lacrymo pouvant être sujette à procès verbaux, vous avez le loisir d'avoir sur vous une bombe pour les frelons asiatiques... ou d'autres origines... Jet suffocant jusqu'à 5 mètres.
Mon Dieu ! Pauvre France ! Elle est mal partie ! J'vous le dit mon bon monsieur Charoulet !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 14 avril 2024 à 09:56
@ Patrice Charoulet
Vous êtes inspiré, aujourd'hui.
Interdire la possession d'armes ; qu'en voilà une chouette de bonne idée !
Comme ça, seuls les délinquants en auront.
Et puis vous avez raison, ne nous laissons pas aller au racisme. Il est bien connu que les blancs sont aussi portés sur le couteau que les noirs et les gris.
Et, pour les possesseurs de kalachnikov à Marseille, il est aussi bien connu qu'ils sont généralement blonds.
D'ailleurs, on devrait désarmer les policiers. Tous des racistes qui tuent rien que des noirs.
Macron, il les aime bien, lui, les noirs. Même qu'il les tripote à l'occasion. On sait pas pourquoi, en Afrique, ils le prennent pour un c...
D'ailleurs, ils nous prennent tous pour des c..s, et là où vous allez vous poiler, c'est qu'ils ont bien raison.
Quand ils arrivent chez nous incognito, on leur donne à manger et même un peu de blé pour pouvoir acheter un couteau.
Vive Macron !
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 14 avril 2024 à 09:33
Comment nous, Occidentaux, pouvons-nous contribuer à effacer une humiliation dont nous avons été les artisans inconscients et aujourd'hui les victimes ? À restaurer une dignité qui est le seul remède contre le terrorisme ?
https://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Le-Debat/L-Islam-en-crise
Rédigé par : Aliocha | 14 avril 2024 à 09:05
Plusieurs fois, j'ai demandé la fermeture des armureries. On m'a objecté les chasseurs. Les chasseurs sont le cadet de mes soucis. D'après moi, nul ne devrait avoir le droit de posséder une arme à feu, sauf s'il est policier ou militaire.
La seule armurerie de ma petite ville, Dieppe, ne vend pas d'armes à feu. À la bonne heure ! Hélas, elle vend des centaines de couteaux à cran d'arrêt. Or, à chaque fois qu'on nous montre à la télé un homme qui se met à tuer plusieurs personnes, il tue non pas avec un couteau à beurre, non pas avec un couteau à couper le pain, mais avec un couteau à cran d'arrêt. La vente de cette... arme devrait être tout simplement interdite. La vente et la possession.
P.-S. : j'ai vu qu'à propos de couteaux à cran d'arrêt, des virtuoses ont trouvé moyen de nous reparler de la couleur de peau, chiffres en main. Ce sera sans moi. J'avais oublié que nous sommes à quelques semaines d'élections et que, pour certains, toutes les occasions sont bonnes à saisir.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 14 avril 2024 à 08:17
Mais pourquoi cette réticence à mettre en cause l'immigration et l'islam ?
À quoi bon ces éternels préjugés contre une "simplification" qui serait mauvaise, une "grille unique" qu'il faudrait rejeter, une "réduction" qui serait funeste, "l'exclusivité" de la cause qui serait fausse, la "théorie" qui ne serait pas vérifiée par la pratique, telle raison qui ne serait pas, en réalité, "responsable de tout" ? À quoi bon l'affirmation du besoin de "satisfaire l'intelligence", et, cerise sur le gâteau, la mise en cause d'un islam qui serait "dévoyé" ?
Quel est le but de cette discussion ? S'agit-il d'écrire une thèse de doctorat de 1 000 pages ? De satisfaire le "dolorisme" et la "culture de la plainte" de pauvres petit mimmigrés, ou musulmans, ou Noirs français depuis plus longtemps que vouzémoi, qui pourraient se sentir micro-agressés par la simple reconnaissance de la vérité ?
Ou bien plutôt, vos billets sont-ils écrits dans un cadre politique, dans le but de déterminer quelles seraient les meilleures solutions à adopter en vue de satisfaire l'intérêt général des Français et la sûreté de la nation ?
Si c'est le cas, alors, justement, il faut simplifier, caricaturer et exagérer. Il faut identifier les problèmes principaux et les causes les plus importantes, puis déterminer quelques grandes lignes pour l'action nécessaire. Puis se dépêcher de les appliquer.
Il ne faut surtout pas finasser, se complaire dans le oui mais non, se perdre dans les détails et les exceptions.
Quel est votre but ? Atteindre l'efficacité, ou flatter l'intelligence d'un nombre réduit de vos interlocuteurs ?
Il n'y a pas d'islam dévoyé. C'est bien ça, l'islam. La transgression des règles d'autrui, l'humiliation, l'intimidation, la menace, le vol, la violence, la tyrannie, l'esclavage, le viol, le meurtre et le génocide font bien partie de l'islam tout court sur le plan doctrinal, culturel et historique. Depuis le début.
Tous les musulmans ne se livrent pas, en tout temps et en tout lieu, aux actes qui découlent de cette vision religieuse du monde ? Bien sûr que non. Et alors ? Ce n'est pas nécessaire. Il n'y en a pas besoin.
La terrifiante brillance de l'islam est justement qu'il suffit d'une petite minorité de musulmans se livrant à l'intimidation et à la violence pour assurer sa suprématie. C'est prévu dans le mode d'emploi depuis les origines. Le rapport efficacité/boulot de l'islam est prodigieux.
Un seul remède à ces hésitations : les œuvres complètes de Bernard Lewis, publiées dans la collection Quarto sous le titre, ma foi assez simple, d'Islam. Il faut se cogner 1 300 pages, mais on n'a rien sans rien.
Bernard Lewis, mort en 2018 à l'âge de 101 ans, est l'un des meilleurs, sinon le meilleur connaisseur de l'islam. Juif anglo-américain, il était respecté aussi bien par les Israéliens que par les "Palestiniens". Peu avant sa mort, il a estimé, dans une interview, que l'Europe deviendrait musulmane.
L'islam n'est pas seul en cause dans cette épidémie de coups de couteau. Il y a aussi l'immigration, y compris lorsqu'elle n'est pas musulmane. Les Noirs issus de pays où prévaut le christianisme sont sous-représentés dans la délinquance, peut-être ?
Aux États-Unis, ils sont indigènes depuis un siècle et demi. Je vous laisse consulter les statistiques officielles de la délinquance ventilée selon la race, en provenance du ministère de la Justice américain.
Depuis plusieurs années, il y a une épidémie de meurtres à coups de couteau à Londres. Les médias ne désignent pas toujours les responsables, mais enfin, ces derniers finissent souvent par passer au tribunal. Et alors, leur nom et leur photo sont publiés. Énorme surprise : ce sont toujours des Noirs. OK, peut-être pas à 100 %. Peut-être à 90 % ou 80 %.
Il n'y a que 13,5 % de Noirs à Londres. Eh oui, ce sont les chiffres officiels, même si les Blancs d'origine britannique y sont désormais très minoritaires (36,8 %).
Factoïde amusant : le pourcentage des Noirs dans la capitale britannique est exactement le même que celui des Noirs aux États-Unis. Vous savez, ce "pays de cow-boys" ultra-violent en comparaison de notre doulce France, mais où 51,3 % des adultes arrêtés pour meurtre sont noirs, alors que ces derniers ne représentent que 13,6 % de la population (*).
En 2021, la directrice de la police de Londres, Dame Cressida Dick (**), déclarait, devant une commission parlementaire : "Au niveau national, si vous êtes noir, vous avez quatre fois plus de chances d'être victime de meurtre, et huit fois plus de chances d'être coupable de meurtre".
À cette occasion, elle a défendu ce qu'on appelle, en France, les contrôles au faciès, affirmant que les parents noirs étaient largement en leur faveur : ils préféraient que leurs enfants soient victimes de "racisme policier", plutôt qu'ils se promènent avec un couteau et risquent de tuer quelqu'un.
Comme l'écrit le journaliste et ancien député européen britannique Patrick O'Flynn, "L'inconvenante vérité est que certains délits sont dominés par certaines catégories de personnes. Le hooliganisme dans le football est essentiellement perpétré par des jeunes Blancs. Les actes d'extrémisme islamique sont essentiellement le fait de jeunes immigrés issus d'Afrique ou d'Asie. Et les attaques à coups de couteau dans les rues de nos grandes villes sont essentiellement le fait de jeunes Noirs."
Ces derniers ne sont pas seuls en cause, même s'ils ont des scores enviables en la matière. Il ne manque pas de civilisations arriérées, violentes, tribales, n'ayant aucune affinité avec la nôtre, dont les représentants n'éprouvent aucune réticence à régler la moindre contrariété par la violence.
Le fait même d'immigrer illégalement, ce qui représente une large part de l'immigration (y compris celle qui a conduit à la naturalisation), prédispose à la délinquance. Si vous méprisez suffisamment la France pour violer ses lois dans le but de vous y installer, alors il y a toutes les chances que vous continuiez à le faire.
Que la violence ait tendance à monter dans toutes les sections de la population ne doit pas exonérer l'islam et l'immigration. Ce sont plutôt les mœurs des allogènes qui déteignent sur les nôtres.
C'est si vrai qu'un thème fréquent, chez les immigrés musulmans, consiste à prétendre que leurs enfants ont été "contaminés" par les mœurs françaises dégénérées. À les en croire, lorsqu'ils étaient en Algérie, ou dans d'autres paradis bien connus de la civilisation, ils étaient pacifiques, vertueux et prospères. C'est au contact des sales Français que leurs enfants ont pris de mauvaises habitudes.
Il faudrait veiller à ne pas donner des arguments à ceux qu'on appelle les islamistes, et qui ne sont autres que les musulmans organisés.
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(*) Sur le site du FBI indiqué en lien, chercher la phrase "Of adults arrested for murder, 51.3 percent were Black or African American".
(**) Dame Cressida Dick (Dame est un titre honorifique qui équivaut à Sir) doit peut-être sa franchise au fait qu'elle possède deux jokers de gauche : non seulement c'est une femme, mais en plus c'est une lesbienne déclarée. Je vous laisse trouver la signification du mot "dick" dans l'argot anglais.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 avril 2024 à 01:20
Apparemment, nous ne sommes pas seuls dans la galère des attentats au couteau. Du monde entier nous parviennent des nouvelles de faits similaires. Le dernier, en Australie avec un nombre de victimes particulièrement élevé. À chaque fois se pose la question: fait divers ou inspiration terroriste ?
S'il s'agit d'un fait divers, je ne vois pas la différence avec ces fusillades qui font des centaines de morts aux États-Unis sinon en termes de productivité. Le fusil tue plus que le couteau. Le Norvégien Anders Breivik, qui a assassiné plus de quatre-vingts personnes, comme les autres, relève de la folie pure et dure.
S'il s'agit de terrorisme, les considérations religieuses sont difficiles à combattre car elles sont souvent inculquées dès la prime jeunesse à des enfants donc à des esprits influençables.
Mais, dans les deux cas, l'État doit faire preuve d'une fermeté sans hésitation. Les sanctions doivent être prononcées et appliquées avec rigueur. Si on veut lutter contre le crime, il faut frapper fort.
Depuis cinquante ans, on se berce de chimères, sans doute héritées de Jean-Jacques ! Il faut changer de lorgnette.
Rédigé par : Solon | 13 avril 2024 à 22:09
@ Exilé | 13 avril 2024 à 15:17.
"Avoir un couteau sur soi semble en effet la norme dans le quartier"
Un couteau pliant était courant, pas seulement dans ce quartier, et l'est peut-être toujours, en général ça servait à découper une pomme, ou une poire, qu'on mangeait sur le pouce, même donner un morceau à un ami, pas lui couper la gorge :)
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@ sylvain | 13 avril 2024 à 14:58
"La République française est morte et enterrée."
Vous vivez où maintenant ? Comme à Gaza, dans un tunnel ?
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@ Exilé | 13 avril 2024 à 12:00
« Il faut toujours dire ce que l'on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)
Oui, mais surtout pas la télévision ces temps-ci, elle s'offre de penser pour nous, mais ne nous offre à voir que ce qu'elle veut.
Rédigé par : Claude Luçon | 13 avril 2024 à 20:07
Dans quelques jours, Emmanuel Macron aura accompli un septennat complet. Le bilan en est catastrophique, dans tous les domaines. Le volet le plus inquiétant pour les Français en est son impact sur leur vie quotidienne. Plus aucun service public n’est pas en état de déliquescence, hormis les forces de l’ordre grâce auxquelles reste un semblant de société commune. Le chômage a baissé, dit-on, mais au prix de l’uberisation de l’emploi et donc de sa précarité. Le pouvoir d’achat est en berne et la pauvreté a gagné du terrain...
Sans être acceptable, tout cela est moins grave néanmoins que l’insécurité qui se propage à une vitesse inouïe. Non, Madame Belloubet, après les assassinats de deux professeurs, il n’est pas exagéré de dire que l’école est devenue un coupe-gorge. On tue sur le Miroir d’eau de Bordeaux. On tue au pied de la tour Eiffel. On tue un gamin de 15 ans. On traumatise à vie une adolescente qui s’habille à l’européenne...
Ces violences d’un autre âge ont un dénominateur commun : l’islam, que nous avons, non seulement laissé s’installer, mais accueilli en France au nom de la liberté qui nous est si chère. Nous avons fermé les yeux sur les mosquées salafistes, les écoles coraniques des Frères, les clubs sportifs, les associations qu’ils ont infiltrées... et, peu à peu, la lecture rigoriste du Coran s’est répandue dans la communauté musulmane, qui, jamais, n’aurait dû être regroupée comme elle l’est.
Il faut en finir avec ce discours lénifiant qui minimise la percée de l’islamisme chez les « bons musulmans ». L’islam n’a jamais renié sa mission de conquête planétaire, sa vocation d’imposer au monde la civilisation archaïque à laquelle elle soumet les peuples déjà sous sa coupe, sa volonté d’assujettir la sphère politique à l’ordre religieux par tous les moyens... et d’abord par la violence, gratuite ou en lien avec la drogue, qui est une source de financement de ce qu’il faut appeler par son nom : le terrorisme islamiste, depuis longtemps applaudi dans nos banlieues. Oublier cela, c’était se mettre en péril...
Aujourd’hui, le péril est là, Le jeûne du ramadan est devenu l’obligation religieuse la plus respectée en France. Des études sociologiques, certes imprécises en raison de l’interdiction, depuis 1978, de réaliser des statistiques ethniques, estiment entre 10 et 15 % le taux de musulmans rigoristes, soit entre 500 000 et 750 000 personnes. 15 000 d’entre elles, indiquent les services de police, sont radicalisées, c’est-à-dire prêtes à faire le djihad, à combattre au nom d’Allah. Et tout ce beau monde dispose de notre liberté d’expression et profite du « pas de vague » des autorités, aujourd’hui renié, mais cependant bien ancré.
Les responsables de cette situation, ce sont ceux qui, avant même 1981, ont organisé l’immigration de peuplement, alors que notre économie n’exigeait que des bras qui retourneraient ensuite au pays. Ce sont ceux qui, bien que militants laïcs, voire laïcards, ont laissé se développer une véritable conquête religieuse des banlieues.
Ce sont ces maires, pas tous de gauche, qui ont « dealé » avec les « grands frères » pour s’assurer la paix sociale -et, souvent, leur réélection - sans s’apercevoir que c’était ceux-ci qui, dans la plupart des cas, étaient à l’origine des troubles. Certains de ces élus, aujourd’hui, courent les plateaux TV pour pleurnicher... ou faire montre d’une autorité qu’ils n’ont pas exercée quand ils étaient aux affaires... C’est aussi ce maire en activité qui, loin de se montrer ferme dans sa commune, verse des larmes plus sur le mauvais souvenir qu’il conservera du 10e anniversaire de son entrée en fonction que sur l’assassinat, ce jour-là, d’un de ses jeunes concitoyens.
Que faire ? La bataille est-elle perdue ? Je voudrais ne pas douter qu’elle ne l’est pas. Mais l’urgence est absolue. Au rythme auquel la situation se dégrade, la France ne peut pas survivre encore trois ans, privée qu’elle est du remède de cheval qui s’impose. La France, aujourd’hui pieds et poings liés par ses engagements européens en matière de justice, entravée aussi par les lenteurs de celle-ci et l’idéologie gauchiste d’une partie de ses magistrats, est à la merci de l’attentat de trop qui la fera basculer dans une guerre sur son territoire - et non, comme le disent certains, une guerre civile, l’ennemi étant étranger ou n’ayant de français qu’une pièce d’identité sur laquelle il crache.
Après sept ans de tergiversations et de reculades, Macron a fait la preuve qu’il n’était pas le chef de guerre capable d’assurer cette victoire française contre l’obscurantisme musulman, lui-même militant pour que la France abandonne totalement sa souveraineté à « Bruxelles ».
Le scrutin européen du 9 juin sera un tournant décisif. Si, comme cela se dessine, la Macronie est laminée, il faudra ne pas en rester là. Il faudra que les droites s’entendent et s’entourent d’alliés pour lancer le processus de modification des articles 11 et 55 de la Constitution. C’est la seule voie qui permettra de se débarrasser de la CEDH sans subir les foudres de Bruxelles, de rétablir les frontières nationales, si nécessaire, et obligera l’exécutif et le Conseil constitutionnel, devenu son valet, à accepter un référendum sur la politique d’immigration, en clair sur la fin de l’invasion musulmane.
Il faudra aussi et surtout faire en sorte que, comme les autres religions, l’islam se plie sans broncher aux lois de la République, que les musulmans rentrent dans leurs mosquées et que celles qui sont aux mains des islamistes soient définitivement fermées. Aucun compromis n’est possible.
Rédigé par : Serge HIREL | 13 avril 2024 à 17:29
Effrayant tableau que celui de cette violence qui gangrène notre société et dont trop souvent les plus jeunes sont à la fois auteurs et victimes.
Effrayant constat que celui de cette insidieuse tolérance à la violence, de cette banalisation du recours à la violence comme mode de règlement de tout différend, même pour les motifs parfois les plus futiles.
Effrayante vision que celle de cette société qui se déshumanise au point de ne plus respecter ce qu'il y a pourtant de plus sacré, à savoir la vie, surtout lorsque cette absence de respect est le fait des plus jeunes d'entre nous.
Il est indéniable que les pouvoirs successifs, en raison de leur bienveillance, de leur trop grande tolérance, de leur manque de courage, de leur aveuglement sur les phénomènes de remontée religieuse chez les jeunes musulmans, portent une lourde responsabilité dans le développement de ce climat de violence. Il est non moins évident que les réseaux sociaux mais aussi les médias jouent un rôle amplificateur et déplorable dans l'accroissement de ce climat de violence.
Mais ce climat de violence ne saurait pour autant nous dispenser de questionner notre responsabilité tant collective qu'individuelle. Sommes-nous chacun, à notre modeste échelle, innocents de toute responsabilité dans la propagation de ce climat de violence ?
« L'homme (…) est dans ses propres fers, esclave à la fois et tyran, complice au moins des violences qu'il subit. » (Jules Lagneau)
Rédigé par : Michel Deluré | 13 avril 2024 à 17:01
Réactions après le meurtre de Zakaria dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, connu défavorablement des Français depuis le meurtre raciste de Crépol :
« « Il y a une escalade de la violence, confirme une mère de famille de la Monnaie. La nouvelle génération sort des couteaux au moindre problème et ça conduit à des drames qui n’auraient jamais dû arriver ». Avoir un couteau sur soi semble en effet la norme dans le quartier : « On en a tous un. Sinon on fait comment pour se défendre dans la rue ? », se demande Merwan, jeune du quartier. » (Le Parisien)
Suggérons peut-être à Merwan de faire confiance à la police et à la justice de la République pour le défendre...
Bon, après cette plaisanterie de mauvais goût, je sors.
« Ce qui chaque jour indigne nos concitoyens, c'est la continuation - de plus en plus grave, de plus en plus précoce - de transgressions auxquelles la République ne sait plus comment faire face. » (PB)
Avec la politique de Gribouille menée par ses acolytes et quelques félons, à quoi donc aurait-elle dû s'attendre sinon à rejouer la scène de l'arroseur arrosé ?
Rédigé par : Exilé | 13 avril 2024 à 15:17
La République française est morte et enterrée.
Partout dans le pays se forment des minorités et communautés violentes qui font peur au pouvoir, toutes les lois chargées de maintenir un semblant d'ordre et de sécurité sont bafouées, la police est muselée figée de trouille, la justice gauchiste relaxe et relâche en série tous les délinquants multirécidivistes, les élus pensent à leur réélection et ne veulent prendre aucun risque, les associations gauchistes prennent fait et cause pour les barbares impunis, les partis de gauche PS PCF LFI EELV consentent à cette chienlit anarchique et se rendent complices de ces minorités dangereuses racistes anti-Blancs racialistes indigénistes néofascistes.
L'extrême gauchisme et l'islamisme gouvernent et dirigent le pays, le nier comme le font beaucoup d'intellos bobos de gauche, de journalistes orientés et d'élus soumis collabos, c'est participer à la destruction du pays et à la mort de la République.
Rédigé par : sylvain | 13 avril 2024 à 14:58
@ Celtapiou
Voilà avec Mme Bergeaud-Blacker ce qu'on fait de mieux, mais ne l'ayant pas entendu prononcer le mot spiritualité, elle n'a rien compris non plus.
Comment en effet convaincre les musulmans de renoncer à imposer leur religion, s'ils nous pensent sous l'emprise du diable, et cela si bien, que le propos relève de la farce pour l'immense majorité des Français, tant ils sont à la fois ignorants et comme tous les ignorants, inconscients de l'être ?
Retrouvons la spiritualité chrétienne du XIIe siècle, et les musulmans nous respecteront voire se convertiront au christianisme !
Il faudrait au moins réaliser que la grande majorité de nos grands-pères ou tout au moins de nos arrière-grands-pères, aurait été si horrifiée de voir Macron et ses mignons à la tête du pays, avec en plus ce pape à la tête de l'Eglise, qu'ils auraient très probablement donné raison aux islamistes.
Le célèbre propos "tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens" n'est pas historique, mais on peut se demander si telle n'aurait pas été la position de l'Eglise concernant le peuple français d'aujourd'hui.
On remarquera au passage que ce fut la méthode de nos bienheureux gauchistes anciens maoïstes après avoir été en Vendée et ailleurs, celle de leurs aïeux créateurs du fameux drapeau tricolore.
Il a dit "diabolique" ?
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 13 avril 2024 à 12:10
« Il serait réducteur de considérer qu'une immigration non contrôlée ou porteuse d'une culture trop différente de la nôtre sur le plan de la religion, des mœurs, de la liberté et de l'égalité entre les sexes, est la cause exclusive de ces terrifiantes empoignades, où chacun porte un couteau ! » (PB)
Cher monsieur Bilger, pourquoi vous croyez-vous obligé de reprendre le discours du déni employé par un monde politico-médiatique ayant perdu toute crédibilité en dépit de l'accumulation de faits allant pratiquement tous dans le même sens depuis quelques dizaines d'années ?
Bien sûr, il y a eu dans le passé des Apaches qui sortaient un couteau pour demander leur bourse aux bourgeois, Apaches qui ont disparu dans le maelstrom de 14-18, bien sûr il y a eu quelques « blousons noirs » qui ont fait parler d'eux vers 1960, et de nos jours il y a aussi quelques tueurs bien franco-français dont certains (y compris récemment une agrégée) trucident leur conjoint au couteau, mais est-ce pour autant que le port du couteau fait partie de la culture virile française traditionnelle ainsi que son usage pour un oui ou pour un non ?
Absolument pas.
Le recours systématique au couteau est bel et bien un marqueur « sociologique » permettant de classer la catégorie d'une agression quand une presse aussi bien-pensante que fourbe gomme soigneusement tous les autres détails qui risqueraient de permettre aux Français de prendre la mesure de la gravité de la situation dans une France qui doit être présentée comme un village Potemkine sans histoires où règne un merveilleux « vivre-ensemble ».
Il en va de même de nouvelles habitudes criminelles, souvent à connotation raciste, comme les attaques en meute de personnes faibles, vieillards ou handicapés, les agressions « pour un regard » ou « pour une cigarette refusée », les arrachages brutaux de chaînettes en or, ou les viols en pleine rue etc. qui étaient totalement inconnues avant l'arrivée du tsunami migratoire.
La corrélation est implacablement évidente.
Même le ministère de l'Intérieur reconnaît la surreprésentation d'étrangers dans la population carcérale. Sachant que tout porte à croire qu'une éventuelle naturalisation ne fera pas disparaître certains atavismes culturels comme par un coup de baguette magique, nous pouvons penser que des statistiques comptabilisant comme « Français » pour réduire la part étrangère de la criminalité des gens se comportant de fait et fièrement en allogènes, faussent la prise de mesure exacte de la gravité de la situation.
« Il faut toujours dire ce que l'on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)
Rédigé par : Exilé | 13 avril 2024 à 12:00
Plus personne ne pourra gouverner en France, ce pays est sous le joug des islamogauchistes, des terroristes, des racailles de banlieue, des caïds mafieux arabo-africains de la drogue, des mosquées salafistes, ce sont eux et eux seuls qui imposent leurs diktats islamistes de gré ou de force sanglante et qui mèneront le peuple soumis couché à l’abattoir halal.
Macron le collabo en chef et ses complices Renaissance en sont conscients et il ne tiendra plus qu’un rôle de figurant pour les commémorations, les inaugurations, les défilés, voire celui d'îlotier du pays pour jouer à la (Allah) baballe avec les petits racaillous.
La seule réaction que les islamistes lui laissent proférer en toute liberté c'est :
"Il faut faire barrage au RN"
Ben voyons !
Rédigé par : sylvain | 13 avril 2024 à 10:59
Il y a de façon notable, en région parisienne, depuis le premier déconfinement, une accentuation d'une forme d'aveuglement individualiste.
Dans leur voiture les gens sont tout seuls. Comme disent les jeunes, c'est la route à leur daron. Il y a une agressivité moyenne, un j'm'en foutisme qui est sidérant.
Idem dans les transports, les portables font de la musique, sans oreillettes, les uns et les autres téléphonent comme s'ils étaient chez eux...
Tout est devenu rapport de force. D'où cet abandon de certains, non violents gratuitement, au port d'armes prohibées. Les voyous eux sont depuis longtemps décomplexés. Je ne suis du coup pas choqué par le citoyen "modèle" qui veut s'enfourailler afin de se protéger.
C'est triste mais nous sommes, et nos représentants, tellement défaillants que je ne vois pas d'autre issue à la situation.
Rédigé par : Jérôme | 13 avril 2024 à 10:37
"S'agit-il d'un vaste dessein qui mené collectivement par un islam dévoyé viserait, par petites touches devenues de plus en plus préoccupantes à force d'être cumulées, à changer radicalement l'esprit de notre nation en lui substituant une autre société, au pire la charia ? " (PB)
Ma réponse est oui, mais elle compte moins que celle de Boualem Sansal, de Mohamed Louizi (ex-Frère musulman), de Mohamed Sifaoui et bien d'autres intellectuels d'origine maghrébine qui ont fui leur pays contaminé par l'islam originel, celui des ancêtres, ou qui ont pris le risque mortel de l'apostasie..
Les difficultés actuelles pour dire le moins, viennent du nombre et de l'ignorance.
Le nombre d'abord avec une communauté musulmane forte de plus de 12 millions d'adeptes en France qui interdit à aucun gouvernement de taper du poing sur la table en indiquant aux croyants où se situent les "caveats" comme cela fut fait pour endiguer la religion catholique le siècle dernier. Il est vrai que les "curés" n'étaient pas armés de couteaux et que l'intention d'en déléguer l'utilisation à leurs fidèles ne leur traversait pas la tête !
Ensuite l'ignorance: lors des nombreux débats sur l'islam politique, l'islam revendicatif, l'islam rigoriste s'étalant dans les médias, l'impression ressort fortement que les participants aux échanges ne connaissent rien de cette religion que pour ma part je qualifie de superstition : nos élus nous obligent à vivre aux côtés de milliers de gens (pour ne pas dire plus) bien motivés à remplacer les normes françaises ainsi que la décence commune par les diktats de leur superstition barbare et sanguinaire.
Rendez-vous compte: à chaque fois que des critiques s'exercent à juste titre contre la secte mahométane, leurs auteurs sont menacés de mort et une protection policière est mise en place pour les protéger des attentats ou des coups de couteau !
Mais le pire est la perversion des jeunes dans les collèges, les lycées par les partisans de la secte (souvent les Frères musulmans) qui prennent un malin plaisir à leur vendre l'idée qu'ils sont volontairement ramenés à leur piètre condition de Français laïcisés: l'insulte suprême !
Il y a deux jours c'était l'Aïd el Seghir (petit Aïd, célébration de la fin du ramadan). Dans les rues de la métropole où je réside, des jeunes hommes en qamis, sorte de chemise de nuit pour homme dont paraît-il le prophète se délectait, déambulaient pour afficher ce signe religieux dont les femmes sont coutumières avec les voiles et le hidjab.
Je me disais que la majorité des Français était incapable de frayer avec ces gens-là qui pourraient être, à terme, des bombes à retardement.
La situation en France n'est pas totalement fichue, alors qu'elle l'est au Royaume-Uni et en Belgique, mais elle requiert beaucoup de courage et de fermeté qui ne s'incarnent pas dans les poules mouillées du gouvernement et encore moins dans le Président actuel !
Rédigé par : caroff | 13 avril 2024 à 10:33
« Comment occulter "cette violence islamiste du quotidien...poignardés pour un verre d'alcool, frappée pour une tenue "à l'européenne"...à cause du non-respect des règles religieuses musulmanes..." ? » (PB)
À noter que les victimes des agressions à caractère clairement religieux de ces derniers jours à savoir celle sur la jeune Samara qui a voulu s’habiller à l’européenne, Schemseddine l’adolescent de 15 ans battu à mort par des ados pour avoir parlé sexualité avec leur sœur et les deux Algériens agressés par un Afghan alors qu’ils sirotaient tranquillement un demi à la terrasse d’un café, sont des musulmans.
Il apparaît que les musulmans qui voudraient s’écarter des principes de la charia soient les premières victimes des fanatiques islamiques.
Rédigé par : Achille | 13 avril 2024 à 10:03
J'approuve votre refus de ne point vous hâter à sanctifier certaines conclusions toutes faites.
Combien d'exemples de réussites professionnelles de la part de jeunes Français de confession, de tradition, ou simplement d'origine, musulmane, se montrent à nous dans la vie de tous les jours ?
La gauche française, de toute éternité, aura eu tort d'essayer à tout prix de les essentialiser, de les maintenir dans une pseudo-culture rigoriste que ne renieront jamais les tenants d'une littérature hadhitique doctrinale et juridique.
Cela dit, il y a des effets d'aubaine sur lesquels les Fréristes hexagonaux ne cracheront jamais, les tristes évènements d'aujourd'hui rappelant sans doute à nos grands anciens la police des mœurs de Houari Boumédiène, officieuse milice qui exerça son terrible contrôle sur les Algériens de France à partir de 1959, puis entre 1965 et 1978.
"Puisque ces mystères ne nous dépassent pas, nous n'avons même pas à feindre d'en être les organisateurs."
Des Frères qui vont jusqu'à nous piquer des références à Jean Cocteau, on aura tout vu.
Rédigé par : xavier b. masset | 13 avril 2024 à 08:26
Devons-nous rire ou pleurer de voir dans les « médias » et ici même, ignorer le mot « spiritualité » alors qu’il n’y a de civilisation que dans une spiritualité commune ?
Notre civilisation chrétienne qui, nous ne le répéterons jamais assez, a connu son apogée au XIIe siècle, au temps des abbayes, a été bafouée par une pègre intellectuelle dite des Lumières qui nous a amenés jusqu’à avoir aujourd’hui à sa tête un psychopathe pervers narcissique et ses mignons.
C’est alors qu’envahis par des peuples musulmans, l’hypocrisie générale refuse de voir que non seulement ils ont conservé leur civilisation, mais qu’ils en sont d’autant plus fiers que la nôtre est devenue méprisable.
Si bien qu’en exerçant une répression policière ou idéologique à leur encontre, ils n’en seront que plus violents pour la conserver.
L’Église avait créé des villes comme Carpentras là où on n'avait pas expulsé les juifs au nom de ce principe élémentaire, abstraction faite de toute notion de supériorité. Il faudrait, si nous voulons éviter la guerre civile qui a déjà commencé, faire de même en créant des quartiers et des villes musulmanes, avec leurs mosquées et leurs écoles. Les Anglais l’ont compris depuis longtemps.
C’est cela ou les camps de concentration. Nos intellectuels de droite et de gauche, ignorants crasse de la spiritualité, préfèrent le suicide du lâche - individuellement à commencer par celui des autres, d’ailleurs.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 13 avril 2024 à 08:23
https://www.google.com/search?q=florence+bergeaud-blackler&ie=UTF-8&oe=UTF-8&hl=fr-fr&client=safari#fpstate=ive&vld=cid:828ed857,vid:YFFSzNHiEBY,st:0
Voici, cher Philippe Bilger, l’une des meilleures réponses à votre questionnement certes bienveillant mais trop peu pascalien à mon goût puisque le sport favori
d’Emmanuel Macron et de ses affidés est de « faire l’ange et donc…la bête », les marches blanches et les bougies en étant des symboles pathétiques !
Les réactions gouvernementales deviendront vite dramatiques tant leur soumission à l’emprise frériste fera jaillir une résistance vigoureuse de la part des Français
qui continuent à n’avoir qu’un souci : la transmission de notre CIVILISATION classique basée sur la LIBERTÉ !
Madame Bergeaud-Blackler mériterait d’être décorée de l’une des premières médailles de la Résistance à venir…
Rédigé par : Celtapiou | 13 avril 2024 à 08:21
"S'agit-il d'un vaste dessein qui mené collectivement par un islam dévoyé viserait, par petites touches devenues de plus en plus préoccupantes à force d'être cumulées, à changer radicalement l'esprit de notre nation en lui substituant une autre société, au pire la charia ? Je n'irais pas jusque-là ..." (PB)
Étonnante remarque. Il faut aller jusque-là !
Il faut se préoccuper de ce que font nos frères français musulmans, mais aussi ce que disent et proclament au monde les Frères musulmans, "changer radicalement l'esprit de notre nation" et le reste du monde avec ! Ce n'est pas d'islam dévoyé dont il s'agit, c'est l'islam pur et dur pour eux. C'est précisément leur but.
Ils ont "tiré les couteaux", le moment est venu de tirer nos armes. Ils nous ont déclaré la guerre, acceptons-la.
"Il y a un maximalisme de la dépression française qui est incompatible avec toute possibilité de sauvegarde." (PB)
Un sondage du jour indique que 62 % de jeunes Français, (42 % de jeunes Françaises) sont prêts à se battre si besoin est pour leur sauvegarde. Il faut croire que la dépression ne touche que les vieux en France ! Sauf un, très âgé mais pas encore vieux :)
Rédigé par : Claude Luçon | 13 avril 2024 à 01:09