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@ Giuseppe | 24 avril 2024 à 14:41
J'ai parfois un peu de mal à vous suivre surtout quand vous donnez des surnoms aux multiples personnages que vous citez. À la longue ça fait beaucoup. Dans votre dernier envoi : "Winston Volodymyr Zelensky, Mongénéral, l'Obèse, Gégé, le Général Motor, le Cinglé, la Grande Bourgeoise (qui n'était qu'un canasson)". Et puis "les recuits, les vieilles badernes, les gonfleurs d'hélices, les rentiers, les notaires". Parfois je comprends, parfois non.
Autre remarque, vous écrivez : "Macron" (tiens, pour faire comme vous, si vous permettez je vais lui donner un surnom), donc "Le Mozart de la Finance a réussi deux quinquennats malgré tous les mauvais vents qu'il a dû subir, il nous a coûté un peu de pognon mais au fond pas plus que les autres". Eh bien si, plus que les autres. Et même, beaucoup plus, il a même battu tous les records. Il commence d'ailleurs à se demander comment il va faire pour continuer. Ce ne sont pas les idées qui lui manquent. Pour l'instant les retraités sont dans le collimateur. Et quand vous dites qu'il a "réussi" deux quinquennats, voulez-vous dire qu'il a réussi à se faire élire à la présidence deux fois, ou voulez-vous dire que ses deux quinquennats ont été réussis ?
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@ caroff | 24 avril 2024 à 18:00
Oui, le "tous pourris" est une mauvaise excuse pour discréditer les élus, les élections, le parlement, la démocratie. Inquiétant.
Je suis d'accord avec vous, j'aime bien FX Bellamy, les idées qu'il défend et la façon dont il les expose. Mais il a du mal à faire le poids face aux ténors de droite.
Rédigé par : Lucile | 25 avril 2024 à 00:57
@ Robert Marchenoir | 24 avril 2024 à 09:43
"La deuxième transgression intervient lorsque les inévitables contradicteurs se manifestent (c'est le but recherché) : mais non, mais comment donc, je n'ai jamais dit une chose pareille, vous affabulez. Dénégation plausible permise par la forme délibérément sournoise qu'avait prise l'affirmation de départ."
Je n'aurais pas mieux commenté la stratégie(!) de Axelle D dans un billet précédent lorsqu'elle écrit :
"Ainsi donc Attal serait le mignon de Macron"
Et devant le tollé et les réactions des contradicteurs, elle écrit :
"J'ai écrit ça au conditionnel hein !"
C'est exactement la tournure de ce que vous avez parfaitement décrit.
Rédigé par : Deviro | 24 avril 2024 à 21:24
@ Lucile 01h56
"Moi je les prends comme ils sont. Je fais le tri entre ceux qui mentent par principe et ceux qui cherchent à voir clair, et entre ceux qui détruisent, expérimentent au jour le jour et affaiblissent le pays, et ceux qui tentent de le faire fonctionner normalement."
Sans être exagérément naïf, je suis du même avis que vous... à condition de préférer la démocratie avec la sanction dans les urnes, au populisme le plus crasse ("tous pourris").
Rédigé par : caroff | 24 avril 2024 à 18:00
@ Lucile | 24 avril 2024 à 01:56
"Si je comprends bien, vous appelez de vos vœux une figure idéale, une chimère mâtinée de Churchill et de Zelensky. C’est vous qui rêvez."
La preuve ! Avec Winston Volodymyr Zelensky l'Ukraine a eu le sien, cela arrive souvent quand les peuples entrent en rupture. Nous n'avons que des recuits qui trustent les mandats comme on enfile des perles.
Forcément la France ne peut donc hériter que de vieilles badernes abonnées à des viagers reconductibles tacitement... La gérontocratie dans toute sa splendeur, Marc Bloch et "L'étrange défaite", son livre exceptionnel sur la mentalité de ces recuits qui vivaient dans une autre époque, un autre monde.
Même Mongénéral n'avait pas compris que la société avait changé sur la fin, profondément... Alors quand je vois des types comme l'Obèse aux manettes du Sénat, j'ai un peu honte de ce conservatisme poussiéreux et sans âme, rondouillard et gavé de tout.
Je n'irai certainement pas au casse-pipe avec ces recuits, ou alors il faudrait qu'ils montent en première ligne... Vous voyez Gégé et tout le barda à la Winston Volodymyr ? Ainsi que tous les autres gonfleurs d'hélices qui se sont succédé, jusqu'à celui des avions renifleurs.
Le seul qui avait pris le rythme a été arrêté net c'est Georges Pompidou, le général Motor dans un autre registre aussi, tout aussi exceptionnel.
Nous élisons des rentiers et des notaires, et dès lors qu'un pur-sang est dans leur rang ils ne pensent qu'à lui couper le jarret.
Macron avait bien compris qu'il fallait qu'il se barre de l'emprise de Pépère, et lui seul monter un parti à sa mesure s'il voulait réussir. Il a réussi, deux quinquennats malgré tous les mauvais vents qu'il a dû subir, il nous a coûté un peu de pognon mais au fond pas plus que les autres.
Sarkozy et tous les autres sont à l'image de ce qu'ils sont réellement, des commentateurs de la vie politique, ils n'ont jamais rien vu venir ça les occupe et cela leur donne l'impression d'exister et de peser dans le jeu politique.
"Relisez" le discours de la conférence de Macron à sa sortie avec le Cinglé lors de l'épisode de la table immense. Il vous dit tout de la suite à venir et de son choix à combattre le Cinglé jusqu'au bout.
Sarkozy avait besoin de talonnettes pour y voir clair, Pépère juste un pédalo, par contre Macron et sa série de beignes à MLP lors de son débat a montré que tous les autres étaient d'une nullité crasse. Macron ne passera pas sa vie à la commenter une fois achevé son mandat. Encore moins à adouber la Grande Bourgeoise qu'il prenait pour une jument de concours alors qu'elle n'était qu'un canasson à moins de 5 % des voix.
La liste serait longue et nous y passerions la nuit, il faut que j'aille voir du côté de l'injection, et de l'admission, mon oreille musicale entend un infime cliquetis et cela m'écorche.
Pour la majorité des politiques passés et actuels, on pourrait dire: "Nous pourrions lui donner le ministère de la guerre et nous serions sûrs de l'éviter : pendant la guerre, il était ministre du charbon et nous n'avons jamais eu de charbon." (Winston)
Notre beau pays a manqué cruellement de charbonniers.
Rédigé par : Giuseppe | 24 avril 2024 à 14:41
@ Robert Marchenoir | 24 avril 2024 à 09:43
Oh mon Dieu quel galimatias ! Choux, carottes, gravier plus une dose de vaccin comme condiment. Vous avez oublié d'y ajouter mes cinq vaches. Cela devient obsessionnel. Et très pénible.
"Les juifs". Lesquels ? Vous qui pratiquez l'amalgame sur toutes sortes de questions et sur les personnes, sans aucune vergogne.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 24 avril 2024 à 14:03
@ Herman Kerhost | 23 avril 2024 à 10:52
"C'est marrant, Xavier Nebout, qui passe son temps à jouer le héros de l'anti-politiquement correct, refuse absolument d'assumer l'étiquette antisémite qui pourtant le décrit dans toutes les largeurs. "
C'est que l'un des principaux objectifs de l'antisémitisme est la jouissance de la transgression. La méthode de Xavier Nebout, fréquente chez les antisémites, a pour but de déclencher cette jouissance deux fois.
La première, lorsque la déclaration antisémite est émise, de façon allusive afin de s'auto-justifier : oui, je dis les choses à demi-mot, mais c'est parce que les Juifs sont tellement puissants que je risquerais gros si je les attaquais de front. Voyez, les précautions que je suis obligé de prendre sont bien la preuve de leur maléfique complot.
Dans cette étape, on se contente de transgresser l'interdit majeur de l'antisémitisme.
La deuxième transgression intervient lorsque les inévitables contradicteurs se manifestent (c'est le but recherché) : mais non, mais comment donc, je n'ai jamais dit une chose pareille, vous affabulez. Dénégation plausible permise par la forme délibérément sournoise qu'avait prise l'affirmation de départ.
Ou bien, ici, en noyant le poisson : je ne m'en prends qu'à certains Juifs, ou je ne fais que critiquer la politique de l'État d'Israël, etc.
Dans cette étape, on transgresse l'interdit du mensonge, et qui plus est du mensonge flagrant, du mensonge "dans ta face", celui où le menteur sait bien que ses interlocuteurs savent bien qu'il ment, car il fait tout pour que cela se voie.
Incidemment, cette pratique du mensonge flagrant est caractéristique de la Russie et de Poutine lui-même, ce qui explique la coïncidence fréquente entre l'antisémitisme, le poutinisme, le complotisme, etc.
L'antisémitisme est aussi, souvent, le fruit d'un ressentiment dû à des ambitions déçues. C'est le cas de Dieudonné, dont la bascule antisémite a eu lieu peu après que le CNC lui a refusé une subvention pour un projet de film. Ce fut l'un des déclencheurs de son obsession, puisque "tout le monde sait bien que" les Juifs tiennent le cinéma, etc.
Quant à Xavier Nebout, il donne lui-même la clé de l'affaire : "Quelques études universitaires apprennent à dire beaucoup de choses en peu de mots, alors qu'avec vous, ce serait plutôt l'inverse."
L'intéressé se prévalant régulièrement de ses connaissances en droit supposées éminentes, il n'est pas difficile de raccrocher les morceaux. Ayant fait des études de droit, il n'a été en mesure de les mettre en pratique que dans le métier d'agent immobilier. D'où un vif ressentiment qui le conduit à s'estimer supérieur aux notaires en la matière (métier sans doute bien plus rémunérateur), et à manifester son antisémitisme sur le blog d'un magistrat célèbre (position sociale enviable à laquelle peuvent également conduire les études de droit – mais pas pour tous).
Rédigé par : Robert Marchenoir | 24 avril 2024 à 09:43
@ Giuseppe | 23 avril 2024 à 18:17
Je crois que je suis plus réaliste que vous qui décrétez que les politiciens sont tous les mêmes, intéressés et bons à rien. Moi je les prends comme ils sont. Je fais le tri entre ceux qui mentent par principe et ceux qui cherchent à voir clair, et entre ceux qui détruisent, expérimentent au jour le jour et affaiblissent le pays, et ceux qui tentent de le faire fonctionner normalement.
Quant aux Républicains je ne crois pas qu’ils soient en mesure de faire quoi que ce soit pour l'instant, ni en Europe ni en France. Ils ne sont pas assez nombreux d'une part, et surtout ils sont transis, ce qui n'attire pas les électeurs. Mais c’est trop facile de commencer à les piétiner quand ils sont en pleine déconfiture.
En France, le déclin date de François Mitterrand mais on le constate dans toute l’Europe de l’Ouest et dans une moindre mesure aux USA. Nous nous sommes shootés à la social-démocratie et nous continuons à nous y empêtrer tout en commençant quand même à nous poser timidement des questions, élus et électeurs.
Si je comprends bien, vous appelez de vos vœux une figure idéale, une chimère mâtinée de Churchill et de Zelensky. C’est vous qui rêvez.
Rédigé par : Lucile | 24 avril 2024 à 01:56
@ Herman Kerhost | 23 avril 2024 à 10:52
Que veut dire" ne pas piffer les juifs" ? Quels juifs ? La même expression peut être posée pour d'autres communautés mais étonnamment cela ne choque personne. Pour quelle raison ?
Rédigé par : hameau dans les nuages | 23 avril 2024 à 21:32
@ Lucile | 22 avril 2024 à 23:01
Il ne fera pas plus que ce qu'il a fait quand il était en poste, vous rêvez. Tant d'années dans les arcanes du pouvoir et les mêmes problèmes que vous évoquez subsistent ou prospèrent... au choix.
Bref, il nous explique ce qu'il faudrait faire, qu'il n'a jamais fait et il faudrait croire ce qu'il ferait s'il était au pouvoir.
Ils en font tous des analyses, ils se ressemblent tous, et dès qu'ils quittent le pouvoir ils nous donnent la couleur blanche du cheval blanc d'Henri IV.
Ils sont tous débiteurs de la dette actuelle, tous ceux qui l'ont créée, la dette du mauvais gras, il en fait partie et il ose et continue de nous expliquer toujours la même rengaine, ils seraient visionnaires alors qu'ils ont été et vécu aveugles quand ils ont occupé les postes de la République importants.
Je vous abandonne à vos rêves, il fait partie aussi de ceux qui ont transformé le carrosse en citrouille.
Rédigé par : Giuseppe | 23 avril 2024 à 18:17
C'est marrant, Xavier Nebout, qui passe son temps à jouer le héros de l'anti-politiquement correct, refuse absolument d'assumer l'étiquette antisémite qui pourtant le décrit dans toutes les largeurs. Ce n'est pourtant pas beaucoup plus grave que de prendre la défense du nazisme ou de son chef. On peine à comprendre... Xavier Nebout serait-il un antisémite honteux ?
Et puis, voir toute contradiction vigoureuse comme une atteinte à sa personne, alors qu'il traite tous les jours d'abrutis la terre entière (à quelques exceptions près...), on ne s'étonnera pas de trouver chez lui cette incapacité si caractéristique de notre temps à admettre s'être tromper.
Allons, Xavier Nebout, soyez un homme, et dites-le clairement, que vous ne pouvez pas piffer les Juifs. Sur ce blog, on peut tout dire !
Rédigé par : Herman Kerhost | 23 avril 2024 à 10:52
@ Giuseppe | 22 avril 2024 à 16:34
Il faut rendre à César ce qui est à César. L'entretien est intéressant, Brice Hortefeux décrit bien les problèmes actuels, il a le sens de l'équipe et je pense aussi le sens de l'État. Je ne suis pas d'accord pour mettre tous les politiciens dans le même sac et pour les traiter tous en bloc par le mépris.
Cela ne m'empêche pas de penser que le parti Républicain ronronne et qu'il n'est pas clair sur sa politique européenne. Tout cela rend difficile d'être pro-Européen, et d'espérer que le parti de Brice Hortefeux réagisse vigoureusement pour défendre les intérêts de la France. C'est peut-être ce qu'il a voulu dire en nous expliquant que les élus français sont dans le parti majoritaire mais qu'il n'y sont pas assez nombreux.
Les élus Républicains donnent l'impression de ne pas anticiper ; ils attendent de constater les dégâts pour se poser des questions, et avoir une idée de ce qu'il aurait fallu faire. Par exemple, ils auraient dû réagir dès qu'ils ont vu à quel point Emmanuel Macron nous endettait - et cela non pas pour investir mais pour dépenser sans compter.
Mais non, ils ont laissé faire pendant des années, de peur qu'on ne les confonde avec l'extrême droite peut-être.
Ils auraient dû réagir aussi quand Angela Merkel a pris tout le monde par surprise et fait entrer un million d'immigrés dans l'espace européen. Leur inertie reste gravée dans la mémoire des électeurs. Il faut dire à leur décharge que les électeurs eux-mêmes sont indécis, attentistes et bourrés de contradictions.
Cela dit, même si j'ai des critiques à faire sur les choix politiques de nos élus, dans leur majorité ce ne sont pas des pourris, et quand vous écrivez : "Ils en vivent nous en crevons", c'est du mélo, ça sonne faux, ça fait penser à la Cour des Miracles, à Eugène Sue, ou à la Révolution d'Octobre. C'est pittoresque, on entrevoit "la lutte finale" et le Goulag, mais c'est quand même dangereux pour la démocratie. Ni vous ni moi ne sommes à l'hospice en train de "crever" mon cher Giuseppe, et c'est tant mieux.
En revanche, nous sommes tous touchés par la criminalité qui progresse un peu tous les jours, et qui est liée à l'immigration. Donc je tire la sonnette d'alarme auprès de Brice Hortefeux, s'il lit les commentaires. Il serait temps de mieux contrôler la situation. On a vu que le président actuel en était incapable, il n'est pas trop tard pour vous réveiller.
Rédigé par : Lucile | 22 avril 2024 à 23:01
@ Lucile| 20 avril 2024 à 18:47
"Je constate avec intérêt la sagesse avec laquelle Brice Hortefeux tire parti de son expérience d'homme de terrain et d'homme d'État pour analyser la situation actuelle."
Des analyseurs il en court plein les rues et les plateaux TV et puis après ? Votre vie a-t-elle changé ? Le pays va-t-il mieux ? Et lui qui a écumé depuis des lustres tous les couloirs, toutes les antichambres, qu'a-t-il apporté ? des nèfles ! Comme tous les autres qui devaient changer la citrouille en carrosse.
Le seul truc qu'ils savent faire c'est dépenser toujours plus et mal.
Tu parles d'un aigle ce type, sclérosé de mandats, il en est aujourd'hui à être fossilisé, un jour on le trouvera pour l'analyser, lui l'analyseur qui n'a jamais rien produit, rien réalisé, rien fait. N'en jetez plus il en a vécu, le pays est toujours endetté et nous en crevons, comme ils ont fait crever toutes les pousses qui pouvaient émerger chez eux.
Là comme le Berger qui n'a jamais vu un mouton, il n'a jamais vu une pointe de sa vie. Par contre pour analyser je ne sais pas quoi, il analyse comme tous les autres champions du déficit et de la misère. Ses mandats me font penser au placard de décorations des généraux russes ou ceux de la Corée du Nord:
Député européen : de 1999 à 2005 puis depuis le 24 mars 2011.
Conseiller régional d’Auvergne-Rhône-Alpes : depuis le 27 mars 1992 jusqu'à 2019.
Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration : du 23 juin 2009 au 27 février 2011.
Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville : du 15 janvier au 23 juin 2009.
Ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Codéveloppement : du 18 mai 2007 au 15 janvier 2009.
Ministre délégué aux Collectivités territoriales : du 2 juin 2005 au 15 mai 2007.
Ils en vivent nous en crevons.
Rédigé par : Giuseppe | 22 avril 2024 à 16:34
@ Robert Marchenoir | 21 avril 2024 à 21:14
Je vais esquisser quelques pistes, pour avoir construit des hôpitaux, les avoir mis à niveau, construit des services d'urgences, l'hôpital public est incontournable vous n'en voyez que l'aspect rentable, je ne vais pas vous la faire non plus "la santé n'est pas une marchandise".
L’hôpital public est souvent présenté comme le miroir de notre société, reflétant à la fois ses détresses et ses joies, ses limites et ses progrès.
Voici quelques raisons pour lesquelles l’hôpital public est indispensable à la société :
Accès aux soins pour tous : le premier droit de toute personne malade est d’accéder aux soins dont elle a besoin, indépendamment de ses revenus. Depuis 1945, le système de protection sociale garantit un égal et libre accès aux soins pour les usagers. L’hôpital public joue un rôle central en tant que recours ultime lorsque d’autres possibilités de prise en charge se sont révélées inefficaces. Pour les personnes en situation de précarité, le service des urgences de l’hôpital est souvent la seule porte d’entrée dans le système de soins.
Valeurs humanistes : les valeurs qui sous-tendent l’hôpital public reflètent celles qui fondent notre société : respect de la dignité de chacun, non-discrimination et égalité de traitement. Les professionnels hospitaliers, qu’ils soient administratifs ou soignants, doivent faire preuve d’accueil, de courtoisie, d’écoute, de dialogue, de confidentialité et de respect de la dignité de chaque patient.
Lien social et solidarité : l’hôpital public ne se limite pas aux soins médicaux. Il joue également un rôle de lien social, basé sur la valeur de la solidarité. Cette valeur implique d’accueillir la personne dans sa globalité et de respecter sa dignité. Cependant, cette belle harmonie apparente ne masque pas les importantes difficultés externes et internes auxquelles l’institution est confrontée, notamment l’augmentation des dépenses de santé et le vieillissement de la population.
En somme, l’hôpital public est un pilier essentiel de notre société, garantissant l’accès aux soins pour tous et reflétant nos valeurs humanistes et notre solidarité.
Par contre il est évident qu'il a besoin d'être réformé, je vous laisse la suite à explorer, mal géré sans aucun doute, pourtant il n'est ni pire ni meilleur que celui de certains autres voisins. Oui il faut du pognon pour l'hôpital public, oui il faut en contrôler l'emploi, surtout que la dette de notre pays est colossale.
Vous ne seriez pas quelque peu acariâtre comme l'autre? C'est ça... Axelle D... Là vous fileriez du mauvais coton. Et puis j'aime bien quand vous sautez comme un cabri: "Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l'Europe ! L'Europe ! L'Europe !... Mais cela n'aboutit à rien et cela ne signifie rien".
Je ne vous ferai pas l'injure de le nommer. Pour vous ce serait donc l'hôpital !?
Rédigé par : Giuseppe | 22 avril 2024 à 10:18
@ stephane | 21 avril 2024 à 21:37
"C'est la vision des nombres. Nous allons à l'Esprit. C'est très certain, c'est oracle, ce que je dis. Je comprends, et ne sachant m'expliquer sans paroles païennes, je voudrais me taire."
http://www.mag4.net/Rimbaud/poesies/Sang.html
Si c'était au macronisme qu'il fallait se convertir, la fille aînée serait sauvée.
Rédigé par : Aliocha | 22 avril 2024 à 08:28
Cet entretien avec Brice Hortefeux aurait dû être réalisé il y a quelques années.
Nous aurions pu lire sur ce blog "Il est de ma famille politique, celle que j'ai toujours fréquentée".
Le commentaire d'Achille est très juste. Il ne traite pas Hortefeux de ballot mais fait le constat lucide qu'il coule avec son capitaine (Sarkozy) tel le grognard d'Arsène Lupin.
Mais cet entretien a deux vertus.
À ceux qui veulent bien se donner la peine d'écouter des personnages qu'ils n'apprécient pas, il permet un éclairage différent. Bref, on en sort moins bête.
Quant aux convertis au macronisme, leur silence est éloquent et vaut tous les commentaires...
Rédigé par : stephane | 21 avril 2024 à 21:37
@ Giuseppe | 21 avril 2024 à 15:33
Vous qui nous bassinez sans cesse avec le rugby, vous êtes particulièrement mauvais joueur, sur ce coup.
Répondez, ou ne dites rien. Répondre pour dire qu'on ne répondra pas, c'est mettre en évidence qu'on n'a pas le moindre argument à opposer à son contradicteur. Vous m'accusez de mauvaise foi, mais c'est la vôtre qui est éclatante, ici.
Y'a un mec qui dit des trucs qui me défrisent, mais je sais pas quoi lui répondre, alors je dis qu'il est de mauvaise foi. Carton rouge.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 21 avril 2024 à 21:14
@ Axelle D | 20 avril 2024 à 00:12
Au lieu d'ânonner des bêtises à longueur de textes, écoutez plutôt comment hier soir le Congrès américain a encensé Winston Volodymyr, l'un de leurs représentants a bien dit qu'ils étaient face à l'Histoire en le comparant au même Winston, celui de "I have nothing to offer but blood, toil, tears and sweat"...
61 milliards sur la table, c'est pas l'Europe de misère et de blabla qui en est là.
Ce représentant du Congrès saluant une victoire largissime des votes, a cité une nouvelle fois la phrase culte que tous ceux qui adorent la liberté connaissent:
"Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
Alors, "les descendants de l'illustre Winston Churchill seraient en droit de s'insurger et de porter plainte...", ils pourront aussi porter plainte contre le Congrès et vous ânonner votre plainte en choeur contre les USA et ceux qui écrivent l'Histoire.
Vous êtes d'une crasse et profonde bêtise, inculte aussi, rappel des faits:
https://www.bing.com/search?q=le+congr%C3%A8s+am%C3%A9ricain+encense+volodymyr+zelensky+et+le+compare+%C3%A0+winston+churchill&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUqBwgAEEUYwgMyBwgAEEUYwgMyBwgBEEUYwgMyBwgCEEUYwgPSAQoxMjg1MDRqMGo0qAIDsAIB&FORM=ANAB01&adppc=EDGEESS&PC=EDGEDSE
Je vous en remets une couche car vous le méritez, votre obscurantisme vous déforme:
Discours de Zelensky face au Congrès américain, acclamé par les élus:
https://www.youtube.com/watch?v=FUpDyA0fZMU
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@ caroff | 20 avril 2024 à 10:47
Vous c'est trop facile, pas de temps à perdre.
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@ Robert Marchenoir | 20 avril 2024 à 03:31
Bon, là je m'épuiserais pour rien, et avec votre obstinée, parfois, grande mauvaise foi exacerbée, je serais obligé de mettre la grande plaque, or je suis en 40X18, je travaille ma souplesse et mon cardio, ce sera plus bénéfique que de jouer au ping-pong verbal avec vous. Pays de bretteurs chez nous, rompre est parfois un acte offensif en escrime.
Rédigé par : Giuseppe | 21 avril 2024 à 15:33
Je constate avec intérêt la sagesse avec laquelle Brice Hortefeux tire parti de son expérience d'homme de terrain et d'homme d'État pour analyser la situation actuelle. Il s'exprime de façon à la fois mesurée et lucide ; de plus sa loyauté vis-à-vis de son parti le rend fiable à mes yeux. Dommage pour lui que son nom soit si indissociable de celui de Nicolas Sarkozy, alors qu'il est si différent.
Dommage aussi qu'il ait avec son parti un projet si peu ambitieux en apparence (« Contre la hausse des impôts, pour la protection des retraités »).
Si la France n'était pas traumatisée comme elle l'est par des années de socialisme tonitruant ou camouflé, on pourrait se contenter de gérer l'existant au mieux comme il semble proposer de le faire. Je ne conteste pas qu'il serait utile d'améliorer les résultats. Mais on commence à douter que cela puisse se faire tranquillement et peu à peu, comme nous n’avions cessé de l'espérer depuis l'élection de Sarkozy.
Pour qui observe les courbes plutôt que les chiffres, il devient évident que nous sommes engagés dans la mauvaise direction. C'est donc d'abord sur ce point qu’il faut opérer un changement ; cela ne peut pas se faire sans une révision de nos objectifs et de nos stratégies. Or c’est le plus difficile. BH évoque discrètement le problème quand il dit qu’il n’est pas sûr que le « travailler plus pour gagner plus » puisse intéresser les électeurs aujourd’hui autant qu’il y a 17 ans.
Un petit point sur l'évolution du Parlement européen qui est devenu, dit Brice Hortefeux, « une assemblée protectrice des droits et des libertés individuelles » (cela dépend desquelles, soit dit en passant). Est-ce que je me trompe en pensant que BH signifie par là mais sans le dire vraiment que le Parlement européen a pris le pli de s’interposer entre les États et leurs habitants ? Au sujet du pacte européen voté récemment sur l’immigration (plein de bonnes choses mais aussi de « failles »), BH ajoute que le parlement "s’empare" d’un certain nombre de sujets, et il évoque sa production de "réglementations". On sent BH prudent sinon réticent à dire le fond de sa pensée sur la question. Difficile de connaître sa position exacte. En tant qu’électrice, je serais curieuse de la connaître. Les élus Républicains siègent au Parlement avec le CDU allemand (parti d’Ursula von der Leyen). François-Xavier Bellamy ne prend aucun engagement précis sur l’immigration. Je précise que je ne suis pas anti-européenne, mais je ne peux pas voter pour les Républicains à ce point dans le flou.
De façon générale, au point où nous en sommes, il n’est pas sûr que le ton feutré soit le plus convaincant. Il explique peut-être la désaffection des électeurs pour leur parti. On peut regretter malgré tout que cela ait tourné de la sorte, car la quasi-absence d'un parti de droite modérée a quelque chose de pernicieux.
Merci à Philippe Bilger et à Brice Hortefeux pour un entretien bien mené et intéressant.
Rédigé par : Lucile | 20 avril 2024 à 18:47
Un entretien au moins agréable et donc passionnant à écouter grâce à un interlocuteur posé, clair, lucide, capable de prendre le recul nécessaire sur les sujets sensibles et qui surtout témoigne de cette qualité souvent rare en politique de rester fidèle à ses convictions et valeurs profondes, à sa famille politique et à ses amis. On est heureux de découvrir que cette espèce existe encore en politique !
Rédigé par : Michel Deluré | 20 avril 2024 à 16:43
C'est la première fois que je regarde un entretien de Philippe Bilger en entier.
Pourquoi j'ai regardé ? Parce que je n'ai jamais apprécié Hortefeux.
Eh bien il m'est apparu bien lucide, n'a pas tourné autour du pot, n'a pas renié ses amitiés.
Bref, quelqu'un capable d'avoir de la valeur ajoutée contrairement à Le Maire et consorts.
Le Maire, je voterai pour n'importe quel candidat contre lui, y compris Marine Le Pen. Bon si c'est Mélenchon ce sera difficile.
Je pense que la bonne droite n'est pas morte. JF Copé a été maltraité et pourtant il avait tellement raison sur bien des points.
En résumé la droite n'a plus qu'un seul gros défaut : Nicolas Sarkozy.
Rédigé par : stephane | 20 avril 2024 à 14:20
@ Giuseppe 22h18
"Macron a parfois été critiquable, mais il a fait plus en deux quinquennats que toute cette troupe droite-gauche depuis des décennies"
Bien sûr !!
Au troisième trimestre 2017, la dette publique s'élevait à 2.226,1 milliards d'euros, et à la fin du troisième trimestre 2023, elle s'établissait à 3.088,2 milliards d'euros.
La soustraction est facile : entre 2017 et 2023, notre dette publique s'est creusée de 862 milliards d'euros. Mais, nous dit l'Insee, la dette de l’État avait augmenté de 464 milliards entre 2017 et 2021.
En retranchant la part de la dette due au Covid, on arrive à 300 milliards, soit un montant bien supérieur à celui évoqué par Emmanuel Macron, le Mozart de la finance qui habille ses choix dispendieux dans les habits du Covid "quoi qu'il en coûte" !
"Le citoyen sait ce qu'il veut, ou plutôt en mal d'exigence il se barre chez le FN/RN, il n'a plus d'autre choix. Il a adoubé Macron parce qu'il était le seul à proposer un avenir, tous les saltimbanques passés n'ont fait que détruire ses illusions."
Le citoyen n'aime pas être pris pour un jambon et devient rapidement électeur s'il croit aux vertus de la démocratie. Macron a fait des promesses dont pratiquement aucune n'a été tenue, il est un ses artisans de la désaffection de la politique...
"Si seulement un Winston Volodymyr pouvait se lever, on sent Darmanin impatient, il quittera le gouvernement bientôt, il a géré de main de maître le prélèvement à la source, Attal aussi le foulard à l'école, alors que tous ces has been tournaient autour du pot depuis des décennies."
Proposer Darmanin, menteur pathologique et inefficace ministre de l'Intérieur avec le plus faible taux des OQTF exécutées relève de la provocation. Quant au gamin Attal, il doit s'imposer sur d'autres sujets, si son chef veut bien lui laisser quelques coudées franches !
Il ne manquerait plus que vous appreniez que Hortefeux mange autant que "Gégé" pour vous faire tomber de votre bicyclette !
Rédigé par : caroff | 20 avril 2024 à 10:47
Brice Hortefeux qui a eu, entre autres missions, celle de s'occuper du problème délicat de l'immigration, a été un des « moins pires » dans le genre si nous comparons avec la folle politique macronienne ayant fait entrer deux millions d'étrangers dont personne ne sait trop à quoi ils pourront servir sinon à être une source supplémentaire de problèmes.
Suggérons à Philippe Bilger, qui à une époque soumettait ses invités à la question, d'interroger courtoisement mais néanmoins fermement ceux des hommes du Régime qui n'ont manifestement pas fait leur travail, quand ils n'ont pas agi carrément à l'encontre des intérêts des Français.
Ceci dit, une causerie au coin du feu comme celle-là est la bienvenue en cette période d'accroissement du refroidissement climatique...
Rédigé par : Exilé | 20 avril 2024 à 10:10
En France il existe deux catégories de citoyens :
Les Bons les Vrais, à laquelle appartient cet ex-ministre très brillant, M. Hortefeux et aujourd'hui les zemmouriens, les extrêmes droites, RN, etc. Ceux de droite respectueux des valeurs morales de la République, de la vraie famille hétéro, de l'autorité, de la discipline, du drapeau, de la Marseillaise, fiers de leur Histoire, travailleurs ne se plaignant jamais, ne réclamant jamais, faisant passer l'honneur du devoir avant leurs droits, bosseurs sans relâche rackettés in fine par la deuxième catégorie de citoyens :
Les autres, la fange des rebuts de la société, les wokistes islamogauchistes PS PCF EELV LFI-Hamas, tocards de gauche losers feignants assistés chomistes professionnels, RSISTES CMUISTES, parasites sociaux toujours à réclamer, ayant toujours droits sans ayant devoirs, manifs grèves blocages prises d‘otages d'usagers, salissant la France, l‘humiliant, la rabaissant par la repentance permanente, honteux de leur passé, de leur drapeau, de l'hymne national, complices des délinquants, des terroristes, et leur justice gauchiste favorable aux criminels et méprisant les victimes !
Hortefeux est grillé, trop blanc trop blond trop de souche, pas woke du tout, catho, hétéro, de drouaaaate, c‘est scandaleux de nos jours, macronie et islamogauchistes combattent de concert ces individus qui font tâche dans notre ripoublique islamiste et qui persistent à ne pas se laisser éradiquer.
M. Hortefeux a un charisme indéniable, c'est un homme hors pair, j'adorais l’écouter lors des séances à l’Assemblée pendant lesquelles il humiliait ses adversaires qui tentaient en vain de le déstabiliser, de grands moments que je savourais comme du petit lait.
Rédigé par : sylvain | 20 avril 2024 à 10:08
@ Giuseppe | 19 avril 2024 à 22:18
"L'hôpital public est le baromètre d'une société, ils l'ont tué, il faut voir où il en est, c'est la base de toute la cohésion d'une société."
Merci d'arrêter de nous gaver de ce cliché usé jusqu'à la corde. Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre... donc du temps où 100 % des hôpitaux étaient privés, en France, le "baromètre" (de quoi ? du socialisme ?) était au fond du trou ?
Si l'hôpital (il y en a un seul, dans tout le pays ?) n'est pas peuplé de fonctionnaires, la société n'est pas "cohésive" ? Pourriez-vous nous fournir un minimum de justifications historiques de votre communisme échevelé ?
Et puis il faudrait arrêter, une bonne fois, avec ce culte de la "santé" et de "l'hôpital". Qu'est-ce que c'est que ces mœurs de souffreteux dégénérés qui érigent ces deux notions en religion politique ? La plupart des gens, en Occident, ne sont jamais malades, sauf à l'article de la mort. Ils sont les derniers à pouvoir se plaindre de la "santé", eux qui tuent le système à coups d'arrêts maladie de complaisance.
En Angleterre, le Premier ministre vient d'annoncer que les médecins n'auraient plus le droit de délivrer d'arrêts maladie. Ceux-ci seront fournis par des fonctionnaires spécialisés (ce qui devrait vous plaire), dont le but sera de trouver le moyen d'améliorer la santé des gens en les remettant au travail – et non l'inverse.
Et ça, c'est dans l'espoir de convaincre les Britanniques de... réélire les Conservateurs, lors des élections qui approchent !
Il y a tout lieu de croire que la France serait justiciable du même traitement, mais l'hypocrisie ambiante, évidemment, empêche que le sujet soit ne serait-ce qu'abordé. Chez nous, on se contente d'évoquer une "taxe lapin" d'un montant ridiculement bas de 5 euros, pour les gens qui n'honorent pas leurs rendez-vous médicaux à 26,50 euros.
Chez nous, des dizaines de millions de personnes couinent comme des gorets, depuis des décennies, à l'idée que la consultation médicale soit payée davantage qu'une coupe chez un coiffeur pour clodos. Ces gens-là n'ont aucune responsabilité, bien sûr, dans la prétendue "mort" du dieu Hôpital Public, joint à la sainte Sécurité Sociale dans un accouplement monstrueux !
Le "baromètre" d'une société, comme vous dites, c'est sa richesse, sa puissance, ses entrepreneurs, ses savants, ses artistes, ses succès et ses victoires.
Pas sa "santé" ni son "hôpital", et encore moins son hôpital de fonctionnaires, qui est en train de couler l'Angleterre. Ce sont les Russes qui regrettent "l'hôpital public" de l'URSS...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 avril 2024 à 03:31
@ Giuseppe | 19 avril 2024 à 22:18
Avec votre Volodymyr vous sentez plus que le ranci, le vomi, mâtiné de ridicule achevé... Sans compter que les descendants de l'illustre Winston Churchill seraient en droit de s'insurger et de porter plainte contre vous pour atteinte à la mémoire et à la considération d'un authentique héros, eu égard à vos comparaisons rédhibitoires et ridiculement injurieuses de votre idole mythomaniaque, avec leur illustre ancêtre !
Rédigé par : Axelle D | 20 avril 2024 à 00:12
Ils n'ont toujours pas compris au LR que c'est un parti de vieux, has been... Gégé aux manettes du Sénat... Tu parles d'un avenir ! Comme si l'avenir est en lui et aux autres... Sarkozy balayé du trottoir comme une feuille morte, qui n'est plus rien, alors qu'il pense qu'il existe encore. Il peut donner la main à Pépère. Deux losers. Ciotti... enfin tous ces recuits de la politique, leur score aux élections est inversement proportionnel au nombre d'années cumulées et stratosphériques de mandats.
Ils en vivent, nous amusent maintenant, et nous en crevons.
Il ne manquait plus que lui, le Rentier qui vit aussi en viager de la politique, recasé là où c'est possible, Brice Hortefeux et tous les autres, qu'ont-ils fait de nos vingt ans ?
Les années ont passé, ils sont toujours aussi vieux et ont fait mourir un pays sous l'endettement et l'immobilisme, carriéristes pour durer ils n'ont rien fait.
Gégé et ses plateaux-repas, la Grande Bourgeoise et ses remparts qui s'arrêtent au périphérique, alors qu'on attend du jeune, du fringuant, du lutteur, de l'abnégation.
L'avenir, on le voit bien, passe partout par des Antoine Dupont, des bosseurs, des visionnaires et la "giclette" pour marquer entre les barres.
Macron a parfois été critiquable, mais il a fait plus en deux quinquennats que toute cette troupe droite-gauche depuis des décennies, ils nous ont laminés, incapables de faire des réformes, l'hôpital public est le baromètre d'une société, ils l'ont tué, il faut voir où il en est, c'est la base de toute la cohésion d'une société.
Les plus nuls de la Ve République, Sarkozy, Hollande, ils ont mis le pays en état de cessation de paiement et en état de commotion cérébrale. Rien que d'écouter l'autre pintade et ses portiques à plus d'un milliard chez Hanounouille, on voit bien le niveau du moment, et celui du passé. Quelle gabegie, pas un pour racheter l'autre. Nous régressons partout. Et en plus la corde au cou de la dette.
Le citoyen sait ce qu'il veut, ou plutôt en mal d'exigence il se barre chez le FN/RN, il n'a plus d'autre choix. Il a adoubé Macron parce qu'il était le seul à proposer un avenir, tous les saltimbanques passés n'ont fait que détruire ses illusions.
Demain va être terrible, tellement ce qui est proposé à droite et à gauche sera le pire des choix. Et pendant ce temps Gégé veillera sur ses réchauds, ce qu'il fait depuis des lustres, la gamelle est bonne et tant que ça mijote il s'accrochera comme la misère sur le pauvre monde.
Assez de ces types, ils ont empêché pendant des années des renouvellements, ils se sont suicidés par leur faute.
Si seulement un Winston Volodymyr pouvait se lever, on sent Darmanin impatient, il quittera le gouvernement bientôt, il a géré de main de maître le prélèvement à la source, Attal aussi le foulard à l'école, alors que tous ces has been tournaient autour du pot depuis des décennies.
Vite qu'ils s'en aillent tous ces recuits de mandats, on ne les a que trop vus ! Ils encombrent la politique à la limite de l'obstruction, parce qu'ils ne sont plus dans le jeu, parce qu'ils n'ont pas les cannes et qu'ils ont été nuls pour notre beau pays qu'ils ont cabossé au fil des années.
Rédigé par : Giuseppe | 19 avril 2024 à 22:18
Pour une fois quelque peu d'accord avec Xavier Nebout.
Bien que je trouve un peu rosses ses qualificatifs vis-à-vis de Pécresse et Bellamy lesquels, par désir d'exister ont eu le tort d'être devenus fadasses et inconsistants à force de vouloir trop plaire et se fondre dans la masse de politiciens médiocres adeptes du bécébégisme et d'un conformisme béat à la mode, sans épaisseur ni charisme.
Quant à Brice Hortefeux, quelles que soient nos convictions, voilà un homme d'honneur capable de nous réconcilier avec la politique et d'authentiques valeurs qui ne seraient rien sans la fidélité assumée à ses idées et le refus de renier ses engagements par opportunisme ou banale lâcheté.
Ce qu'un Achille le qualifiant de ballot semble avoir du mal à comprendre !
Rédigé par : Axelle D | 19 avril 2024 à 20:21
Il aura beau dire, il fit partie du mobilier politique sarkozien qu'on déplaçait à volonté sans risquer aucun couinement du piètement sur la moquette.
Contrairement à Claude Makélélé "le protecteur", qui décourageait les tacleurs mondains ou assassins de Zinedine Zidane au Real, il ne laissa guère deviner chez lui d'autres capacités que celles de porte-serviette, ou de porte-maroquin, plutôt même que de flingues.
Son hommage appuyé à Valéry Giscard d'Estaing (dont faire le panégyrique au temps du RPR de la fracture sociale et du mangement de pommes était tabou) en dit long sur son "amitié" languide de trente ans avec l'ex-président capitaine de cap-hornier de luxe, qui comme Macron en 2017, était lui-même porteur d'un message contenant une belle promesse.
Que l'on ne vienne pas nous bassiner avec la philosophie d'un parti conservato-populaire, social-démocrate, qui n'eut jamais de colonne vertébrale idéologique ou intellectuelle, qui abandonna tant de chose de sa doctrine une fois au pouvoir (comme s'il en eût une), et qui, avec le recul, battrait sa coulpe de ne pas avoir su aimer le libéralisme.
ll n'y a pas de honte à faire partie d'un tel aristocratique cénacle.
Les gentils affreux (au sens italien du terme) Dumas, Bérégovoy, Toubon, Juppé, pour Mitterrand et Chirac respectivement, en furent de prestigieux représentants, avec tout le succès personnel (y compris au tribunal) que l'on sait, et le bonheur général d'une France "protégée" au-delà de ses espérances.
Ne soyons pas grossièrement méchant, la fonction sûrement crée l'organe, avec peu de contrôle réflexif sur celui-ci.
Un organe certainement aussi en voie de disparition ; personne n'envia le sort réservé à Richard Ferrand.
Rédigé par : xavier b. masset | 19 avril 2024 à 19:46
La fidélité ça existe aussi en politique. La preuve, Brice Hortefeux est toujours un ami proche de Nicolas Sarkozy et ne l’a jamais trahi. Le seul problème c’est que cette loyauté, fût-elle admirable, ne lui offre plus aucune perspective de carrière en politique aujourd’hui. Que ce soit à LR et même du côté de la macronie. C’est ballot ! 😊
Rédigé par : Achille | 19 avril 2024 à 12:34
Les LR ont des personnalités ayant des qualités et un charisme d'homme d'Etat ; mais alors, pourquoi vont-ils se chercher des personnages sans envergure comme Pécresse ou Bellamy, l'une avec une tête de garce pas possible, l'autre de benêt, comme têtes de liste ?
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 19 avril 2024 à 11:16