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11 avril 2024

Commentaires

Serge HIREL

@ Tipaza | 12 avril 2024 à 14:24

Sans vous en douter, vous avez fait ressurgir quelques-uns de mes bons souvenirs, vieux de 50 ans. La République de Montmartre ? Mmm... ouais, elle existait, Comme aujourd’hui, elle donnait dans la philanthropie, mais était déjà bien trop sérieuse pour incarner l’esprit gouailleur et extravagant de la Butte. Vous vous rendez compte où elle en est aujourd’hui ! Elle invite Dame Hidalgo-la-Honnie à sa fête du Muguet !

Le vrai Montmartre, ça, c’était l’affaire des deux « Communes libres », celle « de Montmartre » et celle « du Vieux-Montmartre ». Depuis 1925, elles se disputaient le prestigieux territoire, et se disaient, l’une et l’autre, à l’origine du Clos Montmartre, qui, chacun le sait, produit la meilleure piquette du monde. Batailles et réconciliations homériques qui prirent fin en 2018, par la mort -prématurée et ô combien regrettée - de la seconde, après la signature, quelques années plus tôt, d’un traité de paix, événement salué, comme il se doit, par de mémorables et bruyantes libations.

La loi d’airain du hasard m’a conduit à devenir à l’époque fervent militant de la commune défunte pour d’honnêtes raisons : la résidence d’été de son maire, Marc Plisson -nœud papillon, blazer marine et style so british- se trouvait à deux pas de chez moi et il y recevait sa cour, parisienne et locale. Dégustation obligatoire du Clos Montmartre, maintes louanges...euh... méritées... du breuvage... Puis l’on passait aux choses sérieuses, qui ne s’achevaient qu’à la disparition totale du buffet.

Venait l’heure du repos au jardin... pardon, dans le parc. Le spectacle était inoubliable... et sonore. Le bicorne à cocarde tricolore sur la panse, vareuse déboutonnée, médailles en bataille, Anatole, le garde-champêtre le plus photographié au monde, devoir de sa lourde charge accompli - il annonçait les plats - dormait du sommeil du juste, émettant avec une régularité de métronome des ronflements à la hauteur de sa satisfaction... Et Marc, un flacon de cognac et des verres XXL - bon, ne cédons pas à la mode, de grands verres à la main -, passait de transat en transat, s’excusant de la faute professionnelle de son garde du corps, dont je vous prie d’apprécier ci-dessous le port altier... quand il était à son poste...

https://www.gettyimages.fr/detail/photo-d%27actualit%C3%A9/une-figure-traditionnelle-de-montmartre-anatole-le-photo-dactualit%C3%A9/952337006

Achille

@ Serge HIREL | 12 avril 2024 à 13:12
"Ce ne sont pas des illuminés, mais des « citoyens souverains », membres d’une secte qui a pris naissance aux Etats-Unis et qui est surveillée en France"

Les mouvements en provenance des USA sont décidément de plus en plus surprenants :
après le mouvement #MeToo conduit par des féministes qui font remonter des attouchements, harcèlements sexuels, voire des viols parfois à plus de trente ans, notamment dans le monde du cinéma, nous avons eu le wokisme, mouvement qui accuse les Blancs d'avoir réduit les Noirs en esclavage voici plus de deux siècles et qui demande réparation du préjudice subi.

Voilà maintenant que débarquent chez nous "les citoyens souverains", qui considèrent que les injonctions de l’Etat sont illégales.

On attend maintenant le prochain délire en provenance d’outre-Atlantique…

Exilé

« Les magistrats de demain seront remarquables si les auditeurs d'aujourd'hui s'y préparent. » (PB)

Au fait ces magistrats de demain font-ils, à l'instar des pilotes de ligne, l'objet de tests psycho-techniques permettant d'établir leur aptitude à exercer le métier auquel ils aspirent ?
De même, leur honnêteté au moins intellectuelle est-elle évaluée ?

Louis

Que nos magistrats confrontés à l'innommable - venant souvent des jeunes - et aux couteaux disent la cause et cessent de tourner autour du pot ; je crois que la justice ferait un grand pas.

Ensuite il faut des prisons, une seule personne par cellule comme au Japon..

Marcel P

@ Robert Marchenoir
« Le responsable de l'ENM interrogé a la solution : il suffit de supprimer le classement. Ben voyons. Pour empêcher les nuls de se "doloriser", cessons de les évaluer : c'est "raciste, sexiste, homophobe et validiste". Termes qui se retrouvent, bien évidemment, dans l'épouvantable constat du Syndicat de la magistrature. »

Effectivement, ce passage est significatif : dans une école où on forme à juger, on voit d'un mauvais oeil le fondement du jugement, l'évaluation.

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@ Serge HIREL
« Que plus de la moitié des futurs magistrats aient confié leurs états d’âme au SM n’est pas une bonne nouvelle pour l’indépendance de la justice... et pour ceux parmi ses « clients » qui, n’entrant pas dans la catégorie des bien-pensants, seront poursuivis avec l’acharnement nécessaire. Un nouveau « Mur des cons » reste possible. »

On ne peut pas déduire du taux de réponse la représentativité de ce syndicat : ceux qui s'y opposent auraient-ils dû se taire ? On peut imaginer que l'indicateur réel d'approbation de ce syndicat soit le chiffre des 63 % de « répondants » insatisfaits parmi ces 52 %.

« L’article du Monde indique, parmi les réformes susceptibles de libérer la parole des auditeurs malmenés, prétendent-ils, par les magistrats qui les reçoivent dans leurs juridictions et les notent, celle qui consisterait à supprimer le classement de fin d’études. Les évaluations des stages étant prises en compte pour établir cette liste les inciteraient, par peur de déplaire, à rester bouche cousue sur leurs malheurs... L’Institut national du service public, qui remplace l’ENA, a adopté cette pratique, précise le quotidien. »

Effectivement, une méthode pour ne plus être confronté au mécontentement consiste à supprimer toute évaluation. C'est une réflexion à contresens d'un problème pourtant identifié - à quoi bon vouloir « lever le tabou du licenciement » quand on n'est même pas fichu d'éviter la titularisation d'inadaptés cumulant les manquements avérés et absences ?

Tipaza

@ Achille
@ Serge HIREL

Sinon vous avez aussi en plus ludique et moins sérieux, quoique avec plus d'antécédents :

https://www.republique-de-montmartre.com

Toujours revenir aux sources ;-)

Serge HIREL

@ Achille | 12 avril 2024 à 08:15

Neuf minutes de franche rigolade... mais pas que... Ce couple en dit long sur l’étendue des dégâts commis par le complotisme. Ce ne sont pas des illuminés, mais des « citoyens souverains », membres d’une secte qui a pris naissance aux Etats-Unis et qui est surveillée en France :

https://www.nicematin.com/faits-de-societe/ils-nappartiennent-plus-a-lentreprise-republique-francaise-presidence-qui-sont-les-citoyens-souverains-914233

Que faire de ce genre d’individus ? Prison ? Asile ? Haussement d’épaules ? Je n’en sais fichtre rien...

P.-S. : j’ai l’impression que, comme tous les Français, je connais un autre « citoyen souverain »... Non, Achille, ne vous énervez pas, c’est une blague...

Exilé

« Les magistrats de demain seront remarquables si les auditeurs d'aujourd'hui s'y préparent. » (PB)

Cela dépend aussi en grande partie de leurs formateurs.
Et si personne ne leur explique de façon solennelle qu'ils n'ont pas pour vocation à devenir les employés zélés d'un ministère de l'Injustice et de la Préférence étrangère, nous pouvons nous attendre au pire.

sylvain

Nous avons choisi de voter pour laisser entrer sur notre territoire des peuplades arabo-africaines, afghanes, totalement hermétiques à nos moeurs et coutumes, aux codes dits d'honneur, aux lois des clans et tribus qu'ils considèrent supérieures aux nôtres dites (sans rire) «  républicaines », oui mais bien faisandées par nos élus de cette macronie de traîtres collabos soumis au wokisme islamogauchiste.

Nos lois sont à géométrie variable selon si vous êtes de gauche ou de droite, ou bafouées ou non appliquées, ou interprétées différemment selon cette justice politisée à gauche et extrême gauche, ex : le SM mur des cons, une véritable caricature criminelle de justice.

Les tribunaux administratifs, eux aussi, en bons complices ne sont que des rebuts de losers inquisiteurs gauchistes favorables aux délinquants, surtout dès qu'un maire du RN est en cause, l'exemple de Ménard à Béziers et d'autres élus RN dans le Midi perpétuellement pourchassés par cette secte gauchiste.
 
Nous avons aussi nominé un ministre du crime, EDM, arrogant, cynique, méprisant, qui crache sur les victimes de sa politique criminelle.

Lesquels choisir ? 

Les tribus indigénistes racialistes antirépublicaines anti-France qui appliquent leurs charias, leurs codes dits d'honneur ?
 
Ou bien notre justice ripoublicaine avec des ministres responsables et coupables de cette insécurité sanguinaire record et de toutes ces charrettes sanglantes de victimes passées, en cours et à venir ? 

Finalement nos terroristes islamistes ont-ils plus ou moins de sang sur les mains que nos juges gauchistes, je commence à me poser la question. 

EDM fait-il un concours avec tous les Merah, les Kouachi et autres « talentueurs » islamistes ? Là aussi je commence à douter. 

Mais nos gauchisses ont trouvé l’argument imparable : le vrai et seul danger qui nous guette c'est ??? le RN, Zemmour, l'extrême droite !

BEN VOYONS !

Zonzon

Alain Bauer nous dit : l'année 2023 est la pire des 50 dernières années en France pour l'homicide volontaire.
C'est un grand timide... il ne suggère aucune explication.
La vache !
Quand même il aurait dû... un homme de cette qualité !

Achille

« Les magistrats de demain seront remarquables si les auditeurs d'aujourd'hui s'y préparent. » (PB)

Les magistrats de demain, mais aussi nos policiers et gendarmes, doivent déjà se préparer à des situations telles que celle-là.
Très intéressante à simuler dans un jeu de rôle car on peut la retrouver en situation réelle !
Eh oui dans un pays démocratique certains ont une idée très simplifiée (pour ne pas dire simpliste) de leurs droits...

sylvain

Lu dans un quotidien : "La parole d'un policier n'a pas plus de poids que celle d'un jeune qui a plusieurs mentions à son casier judiciaire. C'est ça, le droit" (Le Monde)
 
On croit rêver, que fument-ils ?
 Le droit, quel droit ? Droit gauchiste qui est un droit aux délits aux actes de délinquance et au crime ?
C'est de la justice ça ? du droit ? Allons donc, que la police applique le vrai droit, celui de faire régner l’ordre, de faire cesser les casses incendies agressions par tous les moyens même les plus brutaux, c’est ça le vrai droit, celui de la sécurité face à la barbarie sauvage des antifanazis extrêmes gauchistes soutenus par des magistrats gauchistes tous aussi délinquants que leurs clients.
 
Quand des députés délinquants hors la loi Nupes EELV LFI - Hamas et la justice SM mur des cons soutiennent des émeutiers et même des terroristes, appellent à la révolte, insultent et harcèlent la police, ces derniers ont le droit non seulement de se défendre mais de riposter sans modération ; ils seront soutenus par tous les citoyens républicains civiques de ce pays.
 
J’ai souvenir d'un G20 à Gênes où des gauchistes se croyant en France donc intouchables se sont fait « massacrer » par la police de Berlusconi, que j'ai applaudie des pieds et des mains. Voilà le genre de police qu’il nous faut mais ce n'est qu’un rêve, la France s'enorgueillit d'être le pays des droits des racailles, des gauchistes violents haineux fachos, résultat : un chaos impossible à maîtriser, des records de crimes, de viols, de vols, de cambriolages, de mineurs intouchables délinquants…
 
France pays du droit… au chaos.

Robert Marchenoir

Eh bien, voilà ! le wokisme est arrivé à l'École nationale de la magistrature. Sous la forme du "dolorisme" et de la "culture de la plainte". C'est très bien, ça, comme expressions.

En wokiste dans le texte, ça donne un "snowflake", autrement dit un flocon de neige, un pauvre bichon ou une chochotte. Quelqu'un qui voit des "micro-agressions" partout et qui réclame sans cesse son "safe space".

Dolorisme, c'est plus élégant, mais comment désigne-t-on l'individu ? Un adepte du dolorisme ? Un partisan de la culture de la plainte ? Tant de questions, et si peu de réponses...

La grande majorité des répondants ont apprécié leur stage. Seul un quart d'entre eux l'ont vécu "moyennement ", "mal" ou "très mal". Notez que Le Monde (ou le Syndicat de la magistrature ?) gonfle les chiffres en regroupant les "ni bien ni mal" et les réponses négatives, contrairement à tous les usages en matière de sondages.

Autrement dit, il y a peu de mécontents. Est-il interdit de penser que ce sont les nuls qui émargent à cette catégorie ? On peut le croire, dès lors que parmi les motifs de mécontentement figure "le sentiment d'être évalué en permanence".

Ben... ouais. C'est un peu le but du jeu, dans une école. Je vais vous dire un secret : c'est aussi le cas durant tout le reste de la vie professionnelle. Peut-être pas pour les fonctionnaires, cela dit ! Mais les gens normaux sont certainement dans ce cas.

Le responsable de l'ENM interrogé a la solution : il suffit de supprimer le classement. Ben voyons. Pour empêcher les nuls de se "doloriser", cessons de les évaluer : c'est "raciste, sexiste, homophobe et validiste". Termes qui se retrouvent, bien évidemment, dans l'épouvantable constat du Syndicat de la magistrature.

Vu qu'il suffit, pour déclencher la sirène à scandales, que les maîtres de stage émettent des propos "humiliants" ou "dégradants", on imagine les prétextes inexistants pouvant se cacher derrière le "racisme" et autres crimes de lèse-vanité.

"Validisme", c'est nouveau. D'après mes faibles connaissances en n'importe quoi gauchiste, ça veut dire discrimination exercée à l'encontre des handicapés. On imagine très bien, en effet, un magistrat disant à un stagiaire : "Hahaha, c'est ridicule votre petite voiture, j'espère que vous allez vous casser l'autre jambe vite fait".

L'humiliation est en train de devenir un délit. Il y a peu, j'entendais parler, à la radio, d'un texte en cours de discussion visant à sanctionner légalement les propos "humiliants" sur Internet. Si j'ai bien compris, il s'agissait de l'ARCOM régulant les réseaux sociaux.

Donc voilà : si l'on dit, sur moi, des trucs que je n'apprécie pas spécialement, voire qui ne portent pas aux nues mes immenses "talents" et mon formidable "potentiel", alors j'ai le droit d'appuyer sur le bouton HUMILIATION pour déchaîner la sanction étatique.

Surtout, cela va sans dire, si j'appartiens à une catégorie "vulnérable" et "protégée" (autres mots-clés du wokisme). Les mâles blancs de plus de quarante ans à la sexualité normale peuvent se dispenser de presser le bouton : il est désactivé pour eux.

La vie va devenir rigolote.

Non seulement c'est la porte ouverte à l'effondrement de la qualité du travail dans tous les domaines, mais c'est une adoption sournoise de la charia : l'honneur, et son antagoniste, l'humiliation, ce sont des valeurs musulmanes, et plus généralement propres aux civilisations archaïques.

Chez nous, en pays blanc, occidental, chrétien, juif, gréco-romain, ce qui prévaut en matière judiciaire, c'est la notion d'infraction à un délit nommément désigné par la loi et positivement identifiable. Des notions aussi vaporeuses et indéfinissables que "l'honneur" n'ont pas droit de cité.

Certes, la diffamation fait appel à cette notion, mais justement : c'est marginal et cela doit le rester. Sinon, c'est la porte ouverte aux "crimes d'honneur", où j'égorge un type juste parce qu'il a regardé ma petite sœur.

Ou parce qu'il a relevé les différences de quotient intellectuel moyen entre les races.

Il faut aussi noter la parfaite congruence entre cette brusque éruption de chochotterie exacerbée – pardon : de dolorisme déchaîné – et l'extraordinaire sur-représentation des femmes parmi les élèves magistrats, et les magistrats tout court. Le wokisme américain n'a nul besoin d'un tel déséquilibre pour se manifester, mais ça ne va sûrement pas arranger les choses.

Qu'attendre en termes de sévérité envers les délinquants de magistrats qui, lors de leur formation déjà, se plaignaient de "propos humiliants" tenus par leurs maîtres ? Aucune de ces paroles n'étant citée dans l'article, suivant la bonne vieille règle en vigueur en pareil cas...

De façon plus factuelle, qu'attendre en termes d'impartialité future, dans leurs jugements, des deux déléguées de la promotion 2022 (des femmes), qui énoncent cette énormité : "Nous avons une inquiétude : il n’y a eu quasiment aucun signalement, cette année. Or, il s’est forcément passé des choses, mais cela a été tu" ?

Vous êtes forcément coupable, monsieur le suspect. Ch'sais c'que j'sais. Tout notre travail, ici, consiste à décider quel crime vous avez commis, et quelle punition sera la vôtre.

sylvain

@ Ellen | 11 avril 2024 à 16:43 (sylvain | 11 avril 2024 à 09:17)
"Vous oubliez une femme, 34 ans, pleine de courage, intelligente et mère de deux fillettes: Marion Maréchal que j'apprécie beaucoup pour ses compétences et son savoir."

Je vous félicite pour votre message tellement vrai, quand je pense que les gauchiasses extrêmes fascislamistes n'ont que des Panot, Rousseau, Obono, Tondelier... à se mettre sous la dent, je me dis que nos femmes sont belles chez nous à l'extrême droite, j'ai de la chance.

Ellen

Je crains pour les nouveaux magistrats en fin d'études la tâche extrêmement difficile qui les attend vu le nombre d'attaquants religieux islamistes armés de couteaux faisant des victimes au quotidien. Aucune région en France n'est épargnée.

En écoutant la conférence de presse de la procureur de la République de Bordeaux, Frédérique Porterie, il a été confirmé que l'assaillant est un Afghan de 25 ans et aurait demandé l'asile en France.

Impensable, s'il avait été admis avec le statut de réfugié avant cet assassinat, on aurait un assassin non identifié avant ces faits de plus sur notre sol. STOP !!

Tous mes remerciements aux policiers de lui avoir donné toutes ses chances de rejoindre ses 70 vierges au paradis.

Ce qui me choque aussi c'est l'attitude du maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, écolo se déclarant de gauche. Pas étonnant avec la gauche collabo.
Il refuse que la police municipale soit armée, il refuse la multiplication des vidéos de surveillance pour plus de sécurité. Pas étonnant que la ville de Bordeaux soit tombée, depuis sa nomination, dans la criminalité djihadiste.

Voici le réquisitoire:
https://www.youtube.com/watch?v=DP8VMUItHtI

Axelle D

@ genau

Il est vrai qu'il y a beaucoup trop de filles ! Et si en plus au lieu de rester effacées et soumises comme jadis jusqu'à dissimuler leur intelligence et leurs talents, elles ont l'outrecuidance de se mesurer aux hommes dans tous les domaines, voire de parfois leur damer le pion, où va le monde ?

Pour régler le problème, peut-être en viendra-t-on à pratiquer l'avortement sélectif !!! Les pères à filles n'ont qu'à bien se tenir ! Gare à vos mauvais chromosomes les garçons !
Non mais !

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@ Achille | 11 avril 2024 à 08:45

Matthieu Valet a quitté la police. Il n'a donc plus droit au grade avec lequel vous le désignez.
Je vous signale par ailleurs que lorsqu'il était commissaire, il était syndiqué au SICP, syndicat minoritaire, où il exerça longtemps le rôle de porte-parole, abonné des plateaux télé, manifestement en raison de son parcours atypique et de sa grande gueule !

Tandis que l'on ne voyait qu'exceptionnellement le secrétaire général du SCPN ou tout autre responsable de ce syndicat ultramajoritaire des commissaires et hauts fonctionnaires de la PN.

Par ailleurs, il me semble plutôt normal et sain que policiers et gendarmes s'abstiennent de voter pour des gauchistes bouffeurs de flics et autres tarés de la France insoumise !

Robert

Ce que vous dénoncez ici, Monsieur Bilger, est un peu comme si dans les armées on n'imposait pas aux futurs militaires (officiers, sous-officiers et militaires du rang) une formation physique, mentale et technique qui les prépare à leurs missions futures, notamment au combat. Et que le commandement établisse des lettres de doléances dès la période de formation.

Ce que vous dénoncez ici est donc une forme de démagogie qui se pare des plumes de la bonne conscience qui font oublier les exigences des fonctions dévolues à la magistrature et sans doute aussi celles qu'impose la déontologie.

Je viens de terminer la lecture du livre de Béatrice Brugère, magistrate, certes à la tête du syndicat Unité Magistrats SNM-FO, intitulé "Justice : la colère qui monte", éditions L'Observatoire. L'on peut constater qu'elle vous rejoint dans l’essentiel de ce que vous exprimez ici, notamment l'extraction du syndicalisme politique de cette institution.
Ses propositions de réforme du système judiciaire sont parfois décapantes mais très souvent justifiées, même si l'on peut en contester certains points.

Yves

Les auditeurs de l'école de Bordeaux auront une rude concurrence en la personne des égorgeurs rendant la justice à leur manière: constatation du "crime" au hasard de la promenade, coupable inattentif au rappel à la "loi", exécution immédiate de la peine in situ.

Le pire n'est pas sûr. J'entends déjà l'appel à la concorde de tout ce que notre pays compte d'élites de tous bords. J'entends la véhémente exhortation de l'imam de Bordeaux, Tarek Oubrou, interdisant aux adeptes de sa religion de paix et d'amour toute violence faite au nom de la religion.

Aliocha

La mémoire des machistes ne confondrait-elle pas la femme à la maison avec l'incapacité de l'homme, ici le mâle humain, à rester en repos ?

"...j’ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre."

http://www.penseesdepascal.fr/Divertissement/Divertissement4-moderne.php

Voilà de quoi divertir, même les magistrats retraités en leur corse villégiature.
Écoute, ô mon fils, les préceptes du Maître, et incline l'oreille de ton cœur...

sylvain

Le laxisme juridique criminel des juges extrêmes gauchistes du SM mur des cons est générateur de délinquance, d'insécurité et de multirécidivisme.

Le résultat s'observe dans les banlieues où la loi n'est plus respectée en toute impunité et où les voyous pour ne pas dire les bandits caïds mafieux portent plainte contre la police ; ce sont les policiers qui font l'objet d'enquêtes, les merdias de gauche chargés de victimiser les racailles.

Tant que nous ne nous serons pas débarrassés de cette idéologie nauséabonde de ce SM fasciste de gauche la France continuera sa descente aux enfers.

SM : 30 % de juges rouges délinquants criminels, en France, dans quel autre pays au monde voit-on une horreur pareille ?

Serge HIREL

Apparemment, cette fois, le billet de notre hôte ne s’adresse qu’à un public choisi qu’il connaît mieux que tout autre parmi nous. Donner son avis sur le sujet traité relève donc de l’arrogance du béotien qui cherche à se mêler de ce qui ne le regarde pas... Quoique...Tout citoyen, béotien ou pas, est un justiciable, un potentiel « client » de ces futurs magistrats, ce qui lui donne le droit à la parole.

À remarquer tout d’abord que cette enquête a été initiée par le SM et que 52 % des auditeurs de justice de la promotion 2021 ont éprouvé le besoin d’y répondre. Cela doit inquiéter. Ce syndicat est beaucoup moins préoccupé par le confort des auditeurs de justice pendant leur stage de terrain que par le maintien de la mainmise de la gauche et de l’extrême gauche sur une bonne partie de la magistrature. Cela passe par le recrutement précoce d’adhérents...

Que plus de la moitié des futurs magistrats aient confié leurs états d’âme au SM n’est pas une bonne nouvelle pour l’indépendance de la justice... et pour ceux parmi ses « clients » qui, n’entrant pas dans la catégorie des bien-pensants, seront poursuivis avec l’acharnement nécessaire. Un nouveau « Mur des cons » reste possible.

62 % des auditeurs de justice ayant répondu au questionnaire du SM ont pleuré au cours de leur stage sur le terrain, indique Le Monde. Ce qui revient à dire que deux futurs magistrats sur trois n’ont pas le caractère bien trempé et qu’ils ont tendance à se soumettre et à s’apitoyer sur leur sort plutôt qu’à relever la tête. Cela est tout aussi inquiétant. À cette aune, on peut croire que la justice n’est pas près de mettre fin à son manque d’empathie envers ceux qui la sollicitent et à sa réputation d’institution fermée sur elle-même, mue par le carriérisme et peu encline à se montrer rebelle vis-à-vis de ceux qui veulent la dompter.

Quant à trouver les moyens de remédier à ces incidents au cours du stage, ils sont l’affaire du corps judiciaire lui-même et de la Chancellerie. Bien d’autres secteurs professionnels ont rencontré et rencontrent encore ces difficultés dans ce même domaine, les maîtres de stage n’étant pas toujours bien formés à cette tâche ou suffisamment disponibles.
Dans le privé, il fut un temps où le maître de stage était exonéré ou presque de sa charge de travail quotidienne. De nos jours, les entreprises n’ont plus les moyens de ce luxe et beaucoup ont réduit le nombre de stagiaires, voire ont arrêté cette pratique pourtant nécessaire à la compétence des futurs salariés de leur branche.

L’Etat, lui, gros et gras, n’est pas dans cette situation... même si la justice est un cas particulier. Elle manque de bras et, de plus, doit faire face à un surcroît d’activité lié au développement continu de la délinquance. Cela est une autre histoire... Pas tout à fait cependant, dans la mesure où, participant à la professionnalisation des auditeurs, ces stages de terrain doivent être non seulement maintenus, mais aussi améliorés. Ce qui exige le renforcement du nombre de magistrats compétents en la matière et attentifs aux progrès de leurs stagiaires. L’évaluation permanente n’a rien d’un vilain défaut.

L’article du Monde indique, parmi les réformes susceptibles de libérer la parole des auditeurs malmenés, prétendent-ils, par les magistrats qui les reçoivent dans leurs juridictions et les notent, celle qui consisterait à supprimer le classement de fin d’études. Les évaluations des stages étant prises en compte pour établir cette liste les inciteraient, par peur de déplaire, à rester bouche cousue sur leurs malheurs... L’Institut national du service public, qui remplace l’ENA, a adopté cette pratique, précise le quotidien.

Voilà où en est la France... Elle aime toujours plus que de raison ses diplômes, mais adore aussi désormais, non pas l’égalité, mais l’égalitarisme. Plus de premier, donc plus de dernier... Et le cancre pistonné fera une plus belle carrière que celui qui, issu d’un milieu modeste, bûcheur, intelligent, aurait été major de sa promo...
Oublié le mérite personnel ! Aux oubliettes les bienfaits de la méritocratie ! Les réseaux, les passe-droits, les dîners en ville et le copinage, voilà qui assurera la réussite... Tout comme déjà la promotion par ancienneté.

La question est toute simple : pour quelle raison un auditeur de justice, plus généralement, un élève des grandes écoles, se donnerait-il corps et âme à ses études si, à l’entrée dans le monde du travail, il n’en tirait pas profit, grâce à son classement « dans la botte », pour obtenir un meilleur poste que son condisciple dilettante et fêtard ?
Si, il y en a une : l’amour du travail bien fait... Mais cela est de moins en moins à la mode... et risque même de ne plus payer.

Claude Luçon

@ Marcel P | 11 avril 2024 à 14:53

Vous ne feriez pas une confusion entre "magistrature" et "magistrature suprême" ??

Au passage il serait bon que les magistrats-pas-suprêmes soient élus comme le magistrat suprême !
Avec des magistrats (tout court) élus, plus de syndicats, plus de SM !
SM en plus cela conduit chacun de ses membres à prendre le titre de *Sa Majesté* ayant trouvé un mur pour le prouver et proclamer comment ils considéraient les autres !

caroff

La culture de la complainte permanente, encouragée par le SM, ne touche pas seulement les auditeurs de justice, à 90 % des "auditeuses", mais aussi une grande partie des jeunes entrant dans le marché du travail.

Il s'agit d'obtenir, en plus du respect que tout employeur doit à ses salariés, fussent-ils imbuvables, un maximum d'avantages, de RTT, de télétravail au détriment le plus souvent d'une conscience professionnelle passée aux oubliettes...

Je vois que les fonctionnaires du ministère de la Justice ne sont pas épargnés par ce fléau.

Peut-être que la magistrate du parquet qui a poursuivi la militante Nemesis brandissant une pancarte "violeurs étrangers dehors", fait perquisitionner le domicile de ses parents et violer le contenu de son ordinateur était-elle membre de ce syndicat affichant le "mur des cons" ?

En tout cas honte à elle !

Ellen

@ sylvain | 11 avril 2024 à 09:17

Vous oubliez une femme, 34 ans, pleine de courage, intelligente et mère de deux fillettes: Marion Maréchal que j'apprécie beaucoup pour ses compétences et son savoir.

Marcel P

@ Xavier NEBOUT
« Comme de deux maux il faut cependant choisir le moindre, les femmes ne devraient pas avoir accès à la magistrature. »

Le même nous disait hier que son candidat idéal à la magistrature suprême est une femme.

La liberté d'expression c'est sympa. Discuter avec des pré-adolescents, un pensum.

genau

Superbe conclusion ironique au xième degré, de Xavier Nebout.
De mon exil corse, j'entends les commentaires, sans doute inexprimés, voire mystiques. On ne peut pas manquer d'évoquer Bedos: "Il est cynique, elle est cinoque".
Vu le documentaire sur Arte "Des femmes au service du Reich". Instructif.
Après tout, nous sommes une espèce qui flamboie en se détruisant... sans renaître.

xavier b. masset

Ce qui fait un peu sourire dans la formation initiale des élèves auditeurs en question, futurs magistrats, est la notion de "transversalité", revendiquée, assumée, malgré -- ou grâce à -- son fond théorique qui doit tout à Guattari et Deleuze.

On les plonge, comme des salades frisées ou des laitues à feuilles de chêne rouge, dans une eau philosophique que ne renierait pas Héraclite, en se dispensant de les secouer ensuite, de leur donner la possibilité de s'ébrouer, hors du panier d'une pensée redevenue majoritaire par la bande passante d'un wokisme léger mais mesurable.

Adieu à Platon, Hegel, philosophes de fer, sans doute trop féreux, vivent Bachelard, Nietzsche, voire Baudelaire, qu'il est si facile de piller et de rameuter à soi.
Ils sont moulés dans la même pâte que leurs frères et sœurs de la haute fonction publique.
Une société se donne le but de la diversification et termine dans le plus plat des archétypes.
Si français.

Le corps judiciaire n'en devient que moins charnel, qui réserve tout à l'esprit (pas forcément "de corps", ici).
On transversalise toutes les notions propres à l'humain, sous couvert d'une interdisciplinarité qui n'a jamais beaucoup eu le vent en poupe en France. On se rattrape aux branches comme on peut.

Médecins, psychologues, historiens, géographes (quand on en trouve), criminologues (pas de commissaires de police), psychiatres, sociologues, psychanalystes, légistes, défilent devant le mur d'eau qui les reflète face à la Garonne emportant vers la mer du quotidien leur savoir.
Les mêmes parlent aux mêmes, dans la même langue (puisque beaucoup des auditrices à Bordeaux passèrent par l'EN).

On en apprendrait autant dans les romans de Simenon (qui, lui aussi sans doute, était un transversaliste versatile de première, un transversarien "ami du peuple" traîné au tribunal par une justice sans égards, souvent) sur la psychologie des Hommes, cible ultime de l'ENM, qu'avec le plan que cette dernière dispense.

Un documentaire de 2021, "Dans les yeux des juges", avait montré -- et fustigé sans le dire -- la justice rendue "au chronomètre", le sentiment d'un burn-out flottant au-dessus de la tête des JAP, souvent des femmes, toujours à l'écoute, même pour les cas les plus simples, ces petits contentieux civils banals et trop fréquents.

Une procureure de la République récemment fit montre d'un grand professionnalisme après les rebondissements de l'affaire Nahel Merzouk.
On ne s'audite jamais mieux soi-même qu'à l'heure où pèse sur vous tant de responsabilités, un processus qui dure toute la vie.

Tipaza

@ Xavier NEBOUT | 11 avril 2024 à 07:02
"...les femmes ne devraient pas avoir accès à la magistrature."

Et le pire c'est qu'elles sont majoritaires en médecine généraliste, et même en cardiologie, si j'en juge par les tableaux d'affichage de ma clinique favorite.
Et le pire du pire, c'est qu'elles sont impératives dans leurs prescriptions et autres directives sur la façon de vivre.

Je crois que c'est Blaise Pascal qui a dit, je cite de mémoire :
«Tout le malheur du monde vient d'une seule chose, qui est que les femmes ne savent pas demeurer dans leur maison pour s'occuper des enfants et cuisiner pour leur époux »

Exilé

« ...substituer à une culture de la plainte une vision de courage et d'orgueil. » (PB)

Pour le courage, c'est à voir, en ce qui concerne l'orgueil, qu'il nous soit permis de tiquer.
Je vais pour quelques instants suivre la méthode de mon maître Patrice Charoulet ;-)) 

Orgueil : « Présomption, estime exagérée, amour excessif de soi-même, qui fait que l'on est persuadé de sa propre excellence, que l'on se juge supérieur aux autres. »

« Un adage sacré dit que l'orgueil est le commencement de tous nos crimes (...) et de toutes nos erreurs. C'est lui qui nous égare en nous inspirant un malheureux esprit de contention qui nous fait chercher des difficultés pour avoir le plaisir de contester, au lieu de les soumettre au principe prouvé... J. de Maistre, Soirées St-Pétersb.,t.1, 1821, p.304. »

https://www.cnrtl.fr/definition/orgueil#:~:text=A.,%2CPeuple%2C1846%2C%20p.

Bref, cette attitude n'est peut-être pas celle que les justiciables attendent en premier de la part de ceux qui sont supposés rendre une justice équitable...

sylvain

La magistrature est tombée dans la boue depuis qu'elle a été infiltrée par les meufs qui prennent le plus souvent fait et cause pour les délinquants, les criminels, les violeurs, qu'elles se sentent obligés de materner plutôt que sanctionner comme le prévoit la loi.

Le syndicat du SM mur des cons extrême gauchiste est dirigé par des femmes et a un effectif féminin supérieur à celui des hommes.

La pire femme qui restera comme une tache de honte sur ce syndicat, Evelyne Sire-Marin, bien connue pour ses horribles calomnies, blasphèmes et inquisition contre la police et ses affiches de caricatures dignes de celles des nazis contre les juifs...

Il faut des hommes forts, fermes, républicains à la tête de la police, de la justice et même de l'Etat et non des nounous qui pleurnichent devant les criminels.

À l'image de notre pays gouverné par un, ou une, on ne sait plus à quel genre il appartient, nous sombrons dans une déchéance irréversible de par nos laxisme, soumission, lâcheté, repentance, culture de l'excuse aux criminels, démission de toutes les institutions.

Cerise sur le gâteau, la France est le seul pays au monde à compter dans les rangs de l'AN des députés délinquants anti-police, racistes anti-Blancs, anti-républicains wokistes progressistes racialistes : EELV LFI-HAMAS, deux sectes extrêmes gauchistes néofascistes où grouillent un maximum de femmes haineuses ; hurlements, provocations, insultes, calomnies, caricatures sont leur seul programme ; jamais sanctionnées, elles déversent leur venin à chaque session de l'AN, elles sont de gauche donc protégées et intouchables.

Il n'en est pas de même pour le RN qui subit les foudres de la cruche macronienne au perchoir dès qu'il fronce seulement un sourcil.

Ben voyons, comme dirait qui déjà ? Un indice : ce n'est pas une femme.

Achille

« En 2021, la section du Syndicat de la magistrature (SM, gauche et extrême gauche) de l'Ecole nationale de la magistrature a mis en place un questionnaire anonyme sur les stages en juridiction pour, paraît-il, "objectiver" le ressenti négatif, les abus perçus par une majorité d'auditeurs de justice : "propos humiliants, dégradants, sentiment d'être rabaissé..." » (PB)

Un syndicat de magistrat clairement marqué à gauche et même à l’extrême gauche, des syndicats de policiers qui eux sont plutôt tendance droite radicale voire extrême droite. J’en veux pour preuve le commissaire Matthieu Valet qui s’est porté candidat RN aux élections européennes et qui invite tous les policiers et les gendarmes à voter pour la liste portée par Jordan Bardella. Ben voyons !

Cela donne une curieuse image de ces deux corps de métier chargés d'assurer la sécurité de nos citoyens et rendre une justice sereine et objective.
Il me semble que ces gens disposant de pouvoirs conférés par leur fonction devraient se limiter à disposer de délégués du personnel pour traiter les litiges avec leur hiérarchie mais en aucun cas de syndicats politisés ; comme c’est notamment le cas pour les militaires.

Ellen

@ Xavier NEBOUT | 11 avril 2024 à 07:02
"Comme de deux maux il faut cependant choisir le moindre, les femmes ne devraient pas avoir accès à la magistrature."

Vous faites erreur !
L'IRM mesure et diagnostique certaines maladies et séquelles développées mais jamais le niveau d'intelligence et de sensibilité chez un être humain.

Dites-moi, vous ne seriez pas un peu misogyne sur les bords ?
Qui de vos deux parents était le plus intelligent et le plus sensible ? Votre mère ou votre père ?

Xavier NEBOUT

Autrement dit, le bizutage existe aussi pour les étudiants en magistrature.

Mais comme c'est pas parce qu'on n’a rien à dire qu'on doit..……. l'emmerdeur de remarquer, sur la jolie photo, que les stagiaires seraient tous de sexe féminin.

Or, dans les années 75, les avocats anciens avoués avec lesquels je déjeunais très souvent, dénonçaient l'inaptitude des premières femmes magistrats à juger sans se dégager de leur subjectivisme, et notamment pendant une semaine par mois.

Depuis, la science a prouvé par l'imagerie médicale que le cerveau de l'homme et de la femme ne fonctionnait effectivement pas de la même manière, les deux hémisphères, celui de la raison d'un côté et de l'intuition de l'autre, étant moins corrélés chez l'un que chez l'autre.

Si bien que l'un est plus ordonné et moins intuitif que l'autre dans ses raisonnements, plus arriviste que l'autre, moins préoccupé par le ménage que l'autre, que l'un culpabilise plus que l'autre, que l'un tend plus au spirituel qu'à la réalité que l'autre, etc.
Et que l'autre perd la boule pour un oui ou pour un non quelques jours par mois.

Vous ajoutez à cela une bonne dose de gauchisme et de féminisme, et vous avez d'un côté des décisions de gros bourrins qui se sont fait enfumer, et de l'autre des décisions de foldingues, les uns et les autres qui ruinent leurs victimes et provoquent les appels qui encombrent la justice.

Comme de deux maux il faut cependant choisir le moindre, les femmes ne devraient pas avoir accès à la magistrature.

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