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27 mai 2024

Commentaires

Serge HIREL

@ Achille | 31 mai 2024 à 07:54

Aux yeux d’un béotien en matière de ballon ovale, vous semblez compétent quand, en compagnie de Giuseppe, vous discutez rugby...
Il n’en est pas de même dans le domaine de la politique. Même le plus obtus des néophytes vous dira que ce qui est vrai à cet instant, sera peut-être faux ce soir... Le monde politique est en mouvement constant et tenter aujourd’hui de supputer les chances de tel ou tel en 2027, même la Pythie ne s’y serait pas risqué... Nul ne sait ce qui peut arriver d’ici là et même avant cette date, qui n’est pas nécessairement celle du prochain scrutin présidentiel.

En politique, rien n’est gravé dans le marbre, pas même la loi, qui n’est à appliquer et à respecter que jusqu’à l’instant où elle est modifiée, puisqu’en démocratie, tel est son destin. Quant à ceux qui en font leur métier, chaque jour apporte son lot de surprises quant à leur comportement et leurs décisions... Surprises qui, immédiatement, changent la donne... Qui vous assure que, le 10 juin, Macron dira encore « à élections européennes, conséquences européennes » ? Tout dépend du résultat du scrutin de la veille et de son niveau d’entêtement ce matin-là.

Réflexion faite, constatant votre penchant pour le marc de café, je crois que je vais finir par m’apercevoir que vous êtes aussi un piètre pronostiqueur sportif.

Achille

« Il n'empêche que NS a totalement raison quand il a déclaré que "devenir président de la République, ça ne s'apprend pas. On l'est ou on ne l'est pas(...)la politique n'est pas une question de programme mais d'incarnation. Vous pouvez mettre les plus belles idées que vous voulez, si elles ne sont pas incarnées, elles ne valent rien. On parle aujourd'hui beaucoup d'autorité, de confiance, ce n'est pas une question de texte, de discours, mais d'incarnation..." » (PB)

Devenir président, cela s’apprend quand même un peu puisque François Mitterrand et Jacques Chirac s’y sont pris à trois fois avant de décrocher la timbale. Ils ont même réussi à se faire réélire.

Reste maintenant à savoir qui en 2027 possédera "l’incarnation " lui permettant d’accéder à la fonction suprême.

Attardons-nous sur l’opposition, qui est un cas d’école dans la situation actuelle :
- Marion Maréchal, dont certains sur ce blog ne tarissent pas d’éloges dithyrambiques frôlant parfois le ridicule, ne pourra pas faire montre de son "incarnation" puisque c’est son patron Éric Zemmour qui s’y collera.

- Jordan Bardella, bien que président du RN et donc, à ce titre, l’incarnation des idées du parti, devra laisser la place à Marine Le Pen et donc se contenter d’un hypothétique poste de Premier ministre.

- François-Xavier Bellamy, malgré ses belles références et son côté plutôt sympa, lui aussi devra se contenter de jouer les seconds rôles puisque Éric Ciotti et Olivier Marleix roulent pour Laurent Wauquiez.

- À LFI, J-L Mélenchon occupe la place et pas question pour lui de la céder à un de ses lieutenants, fût-il plus méritant. En 2027 il fera son dernier tour de piste en rêvant à sa VIe République dont je crains qu’il ne puisse assister à sa naissance.

Bref, qui sera la meilleure "incarnation de la France" pour la prochaine mandature, puisque, concernant les partis de l’opposition, les meilleurs resteront sur le banc de touche ?
Une belle aubaine pour la majorité qui devrait voir son candidat, quel qu'il soit, poursuivre l’action du président sortant.
C'est ce qui s'appelle le changement dans la continuité comme disait VGE…

Serge HIREL

@ Achille | 29 mai 2024 à 12:54

Relisez calmement mes propos que vous citez... Y est-il question de dictature ? Tout juste de chefs d’État qui grignotent les libertés de leurs concitoyens. Désirez-vous que l’on vous énumère celles sur lesquelles le Prince a mis la main ?

Achille

@ Serge HIREL | 29 mai 2024 à 11:18
« Aucun indice, mais les exemples ne manquent pas, de par le monde et depuis des siècles, de dirigeants politiques qui grignotent peu à peu la liberté des citoyens au nom, disent-ils, de l’intérêt général. Citer un contemporain serait malséant... et déplairait à Achille. »

Si toutes les dictatures ressemblaient à la France, il n’y aurait pas autant de migrants prêts à risquer leur vie sur de fragiles esquifs pour venir chez nous.

Aliocha

La vérité énerve, et les nationalistes européens somnambules ne savent reproduire que ce qui les a abattus, ils s'échinent à détruire ce sans quoi ils sont nus.

https://www.france.tv/france-2/telematin/6079169-les-4-verites-bernard-guetta.html

Serge HIREL

On savait qu’Aurillac était la ville la plus froide de France. On savait qu’elle était la cité des parapluies. La voici promue capitale des balivernes. Titre qu’elle dispute à sa voisine Tulle, où règne notre futé « capitaine de pédalo » et ses célèbres calembredaines, et, plus lointaine, à la réputée Meaux, dont le maire, lui aussi, s’adonne aux plaisirs de redécouvrir la Lune...

On ne sait à qui Copé faisait allusion quand, embrassant l’Histoire, il a affirmé, solennel, que la dictature a toujours été chose naturelle. Aucun indice, mais les exemples ne manquent pas, de par le monde et depuis des siècles, de dirigeants politiques qui grignotent peu à peu la liberté des citoyens au nom, disent-ils, de l’intérêt général. Citer un contemporain serait malséant... et déplairait à Achille.

On ne sait pas plus qui vise Sarko quand, pompidolien d’un jour, il se plaît à décrire le président idéal. Certains, malveillants, qui veulent le voir la Rolex au poignet et le bracelet à la cheville, supputent qu’il s’estime le meilleur exemple du « chef qui cheffe », comme disait celui qui l’a fait... et qu’il a trahi. Sarko, certes, est un brin orgueilleux, mais pas assez pour avoir oublier que ce sont ses propres amis qui, un soir de primaire, lui ont signifié qu’ils le congédiaient, ne voyant plus en lui l’incarnation qui, avaient-ils cru, ferait de lui un autre Général.

Alors... à Aurillac, en pleine célébration d’une France qui aimait son président, qui était donc dans le collimateur de l’époux de Clara ? Bon sang, mais c'est bien sûr ! Il nous l’a fait à l’envers ! C’est le Prince qui lui déplaît ! C’est le Prince qui n’a pas les qualités nécessaires à son emploi.
Ce Macron qui ne l’écoute plus, qui lui a confisqué la clé de la grille du Coq et mis fin à sa joie d’être encore utile. Ce Macron qui, tout seul, comme un grand, s’est mis le Caillou dans la chaussure, alors que lui, en 2011, avait su trouver les mots qui apaisent après les quatre morts de Maré. Ce Macron qui est nul au point de s’être fait botter les fesses par des dirigeants d’Afrique - vous savez, cette Afrique qui n’est pas entrée dans l’Histoire... -, alors que lui, menacé par l’un d’eux d’avoir à comparaître devant les « petits pois », avait réglé l’affaire en démantelant son pays...

Remercions néanmoins Sarko qui a permis à notre hôte d’aborder un sujet qui mérite d’être mis à l’ordre du jour, à l’heure où, déjà, on échafaude des plans de conquête pour remplacer l’irremplaçable locataire actuel de l’Elysée. De tous les excellents commentaires de ce billet, celui de Tipaza (27 mai 2024 à 11:43) me paraît le plus pertinent... à la nuance près qu’un président qui incarne la nation qu’il dirige n’entraîne pas nécessairement son peuple sur le chemin du Bien... Il peut aussi le conduire vers des dérives maléfiques et lui faire admettre que, pour son bien, le citoyen doit accepter une dose d’autoritarisme... qui peut aller jusqu’à la dictature.

Bref, Copé et Sarko se rejoignent : la démocratie est fragile et peut à tout instant, par la rue, mais aussi par ses élus, être menacée de disparition. On l’a vu pas plus tard qu’hier à l’Assemblée nationale. Un instant, elle a été dominée par un individu, membre d’un groupe minoritaire et violent, cherchant à imposer au sein de l’Hémicycle un emblème taché à jamais par le sang des victimes du 7 octobre. La punition de ce député renégat, même si elle est la plus lourde prévue, est très largement insuffisante.

hameau dans les nuages

@ Robert Marchenoir | 28 mai 2024 à 19:08

Je reconnais là en l'occurrence qu'il est drolatique de vous voir vous parler à vous-même. Ah là tu dis plus rien miroir hein ! T'as plus d'arguments hein ! Tiens ! Prends ça !

https://www.google.com/search?q=ours+miroir+peur&oq=ours+miroir+peur&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIHCAEQIRigATIHCAIQIRigATIHCAMQIRigAdIBCTYyMTRqMGoxNagCCLACAQ&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:aa179644,vid:7Cntd9Ca_L8,st:0

Assommé par cette pluie sèche due au réchauffement climatique (200 mm dans la semaine), vous avez fait ma journée, merci.

Serge HIREL

@ Aliocha | 28 mai 2024 à 23:28

Bernard Guetta... Vous ne trouverez pas pire guignol pour m’énerver ! Son pedigree dit tout de lui. Ex-coco, arriviste, donneur de leçons, faux sage, européiste forcené, ex-France Inter, ex-Monde, archétype du journaliste fricotant avec les politiques, il n’argumente pas, il prêche, il sait... Ses airs de chanoine préposé à la vénération de l’idole vont de pair avec le visage compassé et inexpressif de Mère Hayer. Ses vociférations contre les « nationalistes » sont pitoyables. Mon conseil : mérite un très large détour... pour le laisser hors de vue.

duvent

@ Robert Marchenoir | 27 mai 2024 à 23:08

Mince alors, j'ai failli rater ce magnifique hommage !

Étant sensible à la flatterie, je me précipite très poliment pour dire un grand ME*DE à Marchenoir, j'estime que c'est la moindre des choses ! Et comment ne pas le faire lorsque je lis le si bien tourné : « Le chien français revient sans cesse à son ordure, n'ayant rien appris ni rien compris », et puis je suis émue à la lecture de « Les cochons de Français... ».

Oui, je suis émue, et non pas ravie comme le suppose Marchenoir, il ajoute pour notre plus grand plaisir quelques petites saillies à la fois stupides et creuses, qui amusent la galerie, car comme nous le savons tous, la fantaisie est la vaseline qui permet de pénétrer les esprits même les plus étroits...

Je m'étonne que si peu de commentateurs aient songé à lubrifier, que dis-je « lubrifier », quelle sotte, quelle cochonne ! Oui, que si peu de commentateurs, exception faite du pauvre Giuseppe, ne sachent apprécier cette prestation.

Par chance, Giuseppe qui jette ce qu'il ramasse dans les ordures virtuelles, ici, en prenant de grands airs, est le seul vaguement français donc beaucoup moins cochon, qui rende un juste tribut à ce grand homme de bas étage qu'est le sieur Marchenoir.

Pourtant, celui-ci s'est échiné à démontrer laborieusement et il a réussi tout de même l'exploit de dire une chose et son contraire. Sans doute, sur le chemin de son raisonnement frappé au coin de son ordure (à lui...), a-t-il rencontré saint Paul, dont le portrait dressé par Renan nous laisse imaginer combien le doute l'habite, et le débite...

Il demeure non pas de la joie, mais un certain plaisir, celui que nous donne Marchenoir. Il nous a bien expliqué et j'ai bien compris, dans ce qu'il écrit ici :

« Une fois de plus, regardons à l'étranger. Prenons quelques chefs d'État qui ont eu une influence profonde sur leur pays, qu'on soit d'accord avec leurs orientations ou non : Ronald Reagan, Margaret Thatcher, Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky. Lequel d'entre eux était destiné à devenir président ou Premier ministre dès le départ ? Aucun. Reagan était acteur, Thatcher a fait des études de chimie, le rêve de Poutine était d'entrer au KGB, Zelensky était un comédien et un homme d'affaires. »

Que partout dans le monde des hommes (et des femmes) hors pair, tels que le cowboy ivre, la frigide manipulatrice de bec Bunsen, le fou furieux et le clown de cauchemar, non seulement n'étaient pas destinés à être président, mais que la voie qui les a conduits à l'être est une voie que le président français (ce cochon) n'a pas empruntée...

Mais la difficulté avec les cochons de Français réside dans un coin du raisonnement qui se situe à l'endroit précis que ma mère m'interdit de nommer ici, et c'est grand dommage, sans quoi vous auriez compris, Messieurs-Dames, les secrets de l'en....age politique !

Donc, et pour bien jouir de la verbeuse et stipendiée production de la paillasse Marchenoir, il faut tout de suite revenir à nos cochonneries bien françaises, et afin de mettre un terme à la danse macabre qui n'a que trop duré, proposer sans délai qu'une bombe atomique vienne se poser comme il convient sur ce shithole du Moyen-Orient, pour que la lumière soit ! Mes biens chers frères, mes bien chères sœurs, ayez du cœur, et salissez-vous les mains, remontez donc votre culotte, on voit votre derrière, et je vous le dis, en vérité, il est laid !

P.-S. : les français emme*dent le monde entier, la galaxie, non, l'Univers ! C'est fou, c'est français, pauv' c*n !

revnonausujai

@ Aliocha | 28 mai 2024 à 23:28
"Encore un qui se prend pour un papa très sévère, alors qu'il n'y voit goutte."

Certainement pas, mes enfants ne sont pas des pseudo-mystiques hallucinés.

Par ailleurs, je réitère, Laval voulait soumettre la France à la Grossdeutschland, Macron veut la soumettre à la filiale bruxelloise de celle-ci ; en bon français, ça s'appelle un traître.

Jérôme

Je lis avec délectation que NS nous aurait sauvés de la crise de 2008.
Nous avons, nous, payé cette crise. Bulles financières, titrisations, emprunts sans garantie... Tout ce qu'aiment nos champions, nos Mozart de la finance, cupides oligarques libéraux, sont les bases de nos crises.
Ils ont pris not'pognon pour renflouer les caisses qu'ils vident. Que de beaux actes. Et que ça pérore, plus jamais ça, en laissant les affaires reprendre de plus belle à l'égal de celles ayant généré la crise.

Comme le quoi qu'il en coûte qu'ils auraient dû appeler quoi qu'ils vous en coûtent. Des PGE... à rembourser, faudrait pas l'oublier. Pendant qu'on vous empêche de bosser, confinements... donc de faire votre CA de la Trésorerie... le jour où il faut rembourser ils oublient de nous dire qu'il n'y a jamais eu autant de dépôts de bilan que maintenant. Les petits entrepreneurs ont été étranglés. Volontairement ??

Aliocha

@ revnonausujai
"Aucun rapport avec la choucroute, retournez jouer dans votre bac à sable".

Encore un qui se prend pour un papa très sévère, alors qu'il n'y voit goutte.
Macron comparé à Laval !
Je préfère Bernard Guetta qui remarque qu'avec Tusk, il sont les deux seuls à avoir la stature d'homme d’État en Europe.
Et en France tout le monde court après Bardella.
À 2:31:40 :

https://www.tf1info.fr/replay-lci/videos/video-le-temps-de-l-info-du-mardi-28-mai-2301393.html

Axelle D

Au vu de ce que je viens de lire en commentaires du billet, émanant d'une écrasante majorité d'habitués de ce blog, je persiste et signe :

"Pendant combien de temps, d'années, Nicolas Sarkozy va-t-il encore jouer le rôle de bouc émissaire, choisi notamment par les médias et certaines corporations qu'il ne s'est pas gêné pour critiquer vertement durant son mandat de président de la République ?
Bouc émissaire donc, voilà qui est bien pratique pour le faire endosser ad vitam aeternam des responsabilités de faillites sur de multiples sujets, voire expier des fautes pour lesquelles il serait, totalement ou partiellement, innocent.
Il est vrai que Sarkozy avec son ascendance juive semblait tout indiqué pour jouer ce rôle de l'éternel paria corrompu et malfaisant."

Oui je l'admets, il est difficile, voire carrément héroïque pour la plupart des gens de reconnaître des préjugés qui leur collent à la peau de longue date, au point de faire partie d'eux-mêmes. Mais c'est pourtant un préalable qu'accepter de s'en débarrasser, quitter ses oeillères afin de commencer à juger et raisonner avec objectivité, considérant les problématiques du moment, et non celles des décades passées, voire à penser contre soi-même, ainsi que notre hôte lui-même est le premier à le recommander.

sylvain

Bandes d'ingrats, vous pourriez remercier Sarkozy pour le sauvetage héroïque des banques dont il a été le principal maître d'œuvre, sans lui vous seriez tous à fouiller les poubelles, bande de tocards losers irresponsables.

Robert Marchenoir

@ Xavier NEBOUT | 28 mai 2024 à 07:08

Puisque vous avez fait l'effort de lire mon commentaire, je vais répondre, pour une fois, à vos invectives de chef de secte à un seul membre. Mais rassurez-vous, je n'en ferai pas une habitude. On ne parle pas aux fous : on les évite, on les maîtrise s'ils sont dangereux, puis on passe à autre chose. Il y en a quelques-uns qui ont élu domicile ici.

Vous me dites donc la chose suivante :

"Il faudrait, pour suivre votre mode d'expression, enfoncer dans votre caboche de forcené du blog, que le père est le chef naturel de la famille, que le roi en est le symbole après en avoir été l'élu, et que son autorité est donc la seule qui se rapporte à la nature humaine."

Ma réponse est la suivante : non.

C'est la seule que vous méritez. Je me situe à votre niveau. Si vous daignez un jour sortir de l'état de fanatisme superstitieux qui est le vôtre pour rejoindre la communauté humaine douée de raison, nous pourrons en reparler. En attendant, toute réaction supplémentaire à vos aboiements d'insensé serait inutile.

Comme certains autres de vos confrères de cabanon, vous dénoncez d'autant plus "l'agressivité" d'autrui que vous la pratiquez vous-même. Vous vous comportez comme si vous étiez, vous-même, le roi mythique qui travaille votre cerveau malade. Vos tentatives de donner des leçons aux commentateurs de ce blog avec une autorité dont vous êtes totalement dépourvu sont d'un comique involontaire qui semble vous échapper.

Vous êtes obsédé par la spiritualité, mais vos écrits sont parmi les plus dépourvus de spiritualité que j'ai pu lire.

bernard

Ils ont exercé, ils exercent le Pouvoir, formés politiquement ou pas.
Les formés ont-ils mieux réussi, réussissent-ils mieux, que les pas formés ?
Formés politiquement (dressés politiquement) ? Ça ne fait pas un peu communiste ça ? École centrale du Parti, de Moscou ?
Les rois et les reines étaient-ils tous formés ?
Napoléon (quel beau film) ?

Formés ou pas, ils ont gouverné et ça continuera encore. Et « ON » prendra ce qui viendra (chez nous par les urnes, chez d’autres autrement).
Il vaut mieux un mécanicien formé, un chirurgien formé, un prof formé (quoique) mais un maire formé, un Président formé, un Pape formé, est-ce bien obligatoire ?

Le débat proposé par M. Bilger me semble bien oiseux, juste un prétexte pour encore mépriser (ou haïr) Sarkozy en s’en défendant bruyamment, bien vu Achille.
Cela dit, Sarkozy a sans doute raison sur ce sujet mais sur la Russie il a tort. Mais bizarrement là-dessus personne parmi ses ennemis ne l’attaque.

Alors avec formation politique ou sans formation politique avant le Pouvoir ? Je vais demander à ChatGPT
Charles de Gaulle, François Hollande, Jacques Chirac, François Mitterrand, Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Erna Solberg, Jacinda Ardern, Matteo Renzi, Mark Rutte, Theresa May, Malcolm Turnbull, David Cameron, Jair Bolsonaro, Boris Johnson, Giuseppe Conte, Pedro Sánchez, Volodymyr Zelensky, Andrés Manuel López Obrador, Imran Khan, Sebastian Kurz, Moon Jae-in, Recep Tayyip Erdoğan, Vladimir Poutine, Viktor Orbán, Andrzej Duda, Benjamin Netanyahu, Donald Trump.

revnonausujai

@ Aliocha | 28 mai 2024 à 07:09

Aucun rapport avec la choucroute, retournez jouer dans votre bac à sable.

Michel Deluré

Le pouvoir, question d'incarnation ?

Condition certes indispensable mais insuffisante si celui qui détient ce pouvoir ne l'a conquis que pour le pouvoir, c'est-à-dire pour la seule jouissance que procure le sentiment de domination, de supériorité, attaché à ce pouvoir. Que devient l'incarnation si elle ne sert d'alibi qu'à l'appétit de pouvoir pour le pouvoir ?

Le pouvoir politique, en démocratie, exige certes de la part de celui qui l'exerce une incarnation mais aussi une aptitude à ne pas réduire la politique au seul domaine de la domination.

Aliocha

@ Jérôme | 28 mai 2024 à 09:42

C'est un aveu !
Selon Sloterdijk, cette confession est typique de l'identification oscillatoire entre le bourreau et la victime de l'individu européen.

"Si l'on renonçait ici à poser des marque-pages dans les livres de René Girard et de Friedrich Herr, c'est parce que nous postulons qu'en des temps comme ceux que nous vivons aujourd'hui, ils devraient être posés ouverts en permanence sur nos bureaux."

https://www.college-de-france.fr/fr/agenda/cours/le-continent-sans-qualites-des-marque-pages-dans-le-livre-de-europe/dire-vrai-sur-soi-meme-le-livre-des-aveux

Giuseppe

Qu'elle est belle la photo des Échos que j'ai mise en ligne ! C'est toute la reconnaissance du monde et dans les yeux pour deux très grands politiques.

Ah oui ! J'oubliais... Quand j'écoute Villepin, malgré toute l'emphase qu'il peut mettre dans ses discours, dans ce qu'il raconte, j'ai l'impression d'entendre une prise d'air de clim mal réglée. Je n'y perçois que le creux du vent et de l'air, le vide abyssal de la portée qu'il pense y adjoindre.

L'emphase ne fait pas l'homme, même les mots les plus forts dans la bouche pontifiante, limite "logorrhéique" de Dominique de V. sont l'expression au fond de ce qu'il ne sera jamais et qu'il a toujours voulu paraître, un grand homme... qui n'a fait que passer et aussi vite oublié.

Gabriel c'est largement au-dessus de cette rhétorique de vieux, il ira loin ce petit, si Darmanin ne le mange pas.

Glazia

Bravo à NS pour son hommage à Pompidou, même si les deux hommes sont loin d'être comparables. La politique, c'est avant tout une question d'incarnation, et ça, c'est vrai.

Isabelle

N. Sarkozy a trahi la droite, F. Hollande a trahi la gauche. Fermez le ban !

Dette historique, appauvrissement de la classe moyenne, agriculture en faillite, hôpital public en ruine, milliards distribués à l'envi pour l'Ukraine corrompue, au moins 120 coups de couteau par jour, des OQTF jamais exécutées, alerte attentat au max, des grand-mères violées à domicile, école publique catastrophique, punitions chariatiques qui se multiplient, etc.

Mais des Français vont revoter la majorité présidentielle aux Européennes.
Contents, fiers d'eux, méprisants, ils vont même regarder les autres de haut et se répandre en leçons.

Le 9 juin, virons les responsables de notre effondrement et de notre perte.

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 28 mai 2024 à 07:17
« Ce matin, à la radio, j'entends que le président Macron vient de dire : "L'extrême droite, le vent mauvais qui souffle sur l'Europe". Oui, mille fois oui. "Un mal qui répand la terreur, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)..." (La Fontaine, VII, 1)

Réfugiez-vous en Nouvelle-Calédonie, il n’y pleut que des cailloux... N’allez pas à Mayotte, Macron y a laissé entrer le choléra.

Tipaza

@ Aliocha | 28 mai 2024 à 07:09
"...l'échec du pays à renoncer aux réflexes pavloviens qui de la mémoire font une amnésie, et de la défaite une victoire. Ce dégoût de l'effort qui fonde les démagogies électorales, catalogue à buzz qui finira aux poubelles publicitaires des mensonges séculaires."

Et le sage Al Achicha vint me voir en songe à la sieste et me dit gravement :
"Il n'y a pas que du thé dans le matcha matinal d'Aliocha".
Et je le crus !

caroff

@ Patrice Charoulet

À propos de "vent mauvais", comment ne pas penser à cette expression pétainiste sortie du discours du maréchal datant du 12 août 1941?

"Français,

J'ai des choses graves à vous dire. De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines, un vent mauvais. L'inquiétude gagne les esprits, le doute s'empare des âmes. L'autorité de mon gouvernement est discutée, les ordres sont souvent mal exécutés(...)"

Giuseppe

Ces couillons de Français auraient donc laissé passer leur chance de perdre un président dont l'incarnation était faite homme chez Sarkozy ?

L'incarnation de la vie politique de Sarkozy dans l'Histoire, l’ancien président de la République française a été impliqué dans plusieurs affaires politico-judiciaires. Résumé des principales affaires qui l’entourent, long comme un bras tout de même:

Affaire des écoutes “Bismuth”: fin 2013, des juges d’instruction ont découvert l’existence d’une ligne téléphonique officieuse entre Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog, ouverte sous le faux nom “Paul Bismuth”.
L’écoute de cette ligne a révélé un pacte de corruption entre les deux hommes et un magistrat de la Cour de cassation, Gilbert Azibert, afin d’obtenir des informations secrètes concernant une autre affaire judiciaire impliquant Sarkozy.

En appel, Nicolas Sarkozy a été reconnu coupable de corruption et trafic d’influence en mai 2023 et condamné à une peine de prison ferme d’un an, transformée en résidence surveillée avec bracelet électronique.

L'affaire Bygmalion: en septembre 2021, Nicolas Sarkozy a été condamné à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Paris pour “financement illégal de campagne” dans le cadre de l’affaire Bygmalion.
L’affaire Bygmalion concerne un système de maquillage des comptes de campagne lors de l’élection présidentielle de 2012, permettant de contourner le plafond légal de dépenses électorales autorisées.

L'affaire Kadhafi, comme si tout le reste ne suffisait pas, en mai 2023, le parquet national financier a requis le renvoi de Nicolas Sarkozy devant le tribunal correctionnel, avec douze autres suspects, pour "corruption passive, association de malfaiteurs, financement illégal de campagne électorale et recel de fonds publics libyens".

En somme, le feuilleton judiciaire entourant Nicolas Sarkozy "l'incarnation de Président" continue d’évoluer. Parfois c'est à se demander ce qu'ils pensent réellement d'eux-mêmes ; à part un dernier carré de fidèles, on ne peut pas dire qu'il ait éclaboussé de son talent la vie politique, ses caricatures le faisaient passer plus pour un agité compulsif, ou encore pour un repris de justice, plutôt qu'un personnage de à statufier. Son propre parti nous en a débarrassé le plancher.

Comme il se sentait surtout un peu court, il avait même haussé ses semelles de talonnettes, ce n'est pas Winston Volodymyr, de petite taille aussi, qui dans des circonstances terribles aura eu besoin d'artifices. Il était un comédien producteur, il est devenu un des plus grands présidents pour l'Histoire future, ses discours et ses actes resteront pour l'éternité comme ceux de Churchill. Sarkozy lui ce sera pour sa cuisine et ses casseroles.

https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/zelensky-churchill-meme-combat-1891873#:~:text=Contenu%20r%C3%A9serv%C3%A9%20aux%20abonn%C3%A9s,au%20monde%E2%80%A6%20et%20%C3%A0%20Poutine.

Quelle poilade ! Même équipé d'échasses, Nico sur les épaules de Carlita ne lui arrive pas aux chevilles.

Exilé

De temps en temps, notre cher Philippe Bilger ne peut s'empêcher de soulever les couvercles des poubelles de l'Histoire : Nicolas Sarközy, François Bayrou, Jean-François Copé et autres témoins d'un passé préhistorique comme François Hollande, Édouard Philippe, Bernard Cazeneuve, Jean Castex et tutti quanti...

De quoi alimenter nos cauchemars nocturnes avec les images de dinosaures que nous pensions pourtant avoir oubliés.

Jérôme

Nicolas Sarkozy... à part dans un cul-de-basse-fosse je ne vois pas bien où il mérite d'être. Il s'est enrichi, merci Kadhafi. Vous avez des indulgences qui ne cessent de m'étonner cher hôte. Lui et Fillon, allez hop, haute trahison. On y colle le Macron pour s'économiser des procédures. Quelques tortures bien senties, oui je suis contre la peine de mort mais pour le rétablissement de la torture, et on termine par le supplice de la roue en place publique.
Ahhhhh j'me sens mieux.

Tipaza

@ Xavier NEBOUT | 27 mai 2024 à 23:18
"Au cas où ça aurait été remarqué par quelqu'un, je précise au sujet des manières aristocratiques de NS, que je blaguais."

Si, si, je m'en suis aperçu.
Et j'ai conclu que notre collègue Xavier faisant preuve d'humour avait été visité par le Paraclet, le jour de Pentecôte. ;-)

Patrice Charoulet

Celui qui incarne le mieux le bloc central et le centre droit est depuis sept ans le président Macron. Edouard Philippe, Bruno Le Maire, Gérald Darmanin et... Nicolas Sarkozy l'ont remarqué avant moi. Mieux que Fillon (pour qui j'ai voté), que Valérie Pécresse (pour qui j'ai voté), que Marleix, que Ciotti, etc. Nicolas Sarkozy n'est plus en odeur de sainteté dans son parti.
À mon avis, il n'a pas renouvelé son adhésion à ce parti. Moi non plus.

P.-S. : ce matin, à la radio, j'entends que le président Macron vient de dire : "L'extrême droite, le vent mauvais qui souffle sur l'Europe". Oui, mille fois oui. "Un mal qui répand la terreur, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)..." (La Fontaine, VII, 1)

Aliocha

@ revnonausujai

Une bonne guerre, c'est de bonne guerre pour satisfaire les besoins naturels d'épuration.
L'échec de Macron est surtout l'échec du pays à renoncer aux réflexes pavloviens qui de la mémoire font une amnésie, et de la défaite une victoire.
Ce dégoût de l'effort qui fonde les démagogies électorales, catalogue à buzz qui finira aux poubelles publicitaires des mensonges séculaires.
Crucifié, le peuple alors aura tout loisir d'apprendre à quoi servait son double corps.

Xavier NEBOUT

@ Robert Marchenoir

Vous nous avez démontré que vous saviez être agréable à lire en étant plein d'humour, mais vous tombez le plus souvent dans l'agressivité grossière.
Par ailleurs, vous n'avez manifestement pas beaucoup lu de l'histoire des institutions, et comme bien d'autres, vous semblez absolument tout ignorer de la spiritualité qui est pourtant la base de l'humanité en son essence et son histoire.

Il faudrait, pour suivre votre mode d'expression, enfoncer dans votre caboche de forcené du blog, que le père est le chef naturel de la famille, que le roi en est le symbole après en avoir été l'élu, et que son autorité est donc la seule qui se rapporte à la nature humaine.

Vous avez de nombreuses pages à lire à ce sujet avant d'en asséner quelque considération et vous gausser de celui qui parle des deux corps du roi, notion qui en l'état dépasse de loin votre entendement.

Xavier NEBOUT

Au cas où ça aurait été remarqué par quelqu'un, je précise au sujet des manières aristocratiques de NS, que je blaguais.

Robert Marchenoir

Tout dépend de ce que l'on entend par incarner. S'il s'agit, par là, de dire qu'il ne suffit pas d'avoir de bonnes idées réunies dans un bon programme, mais que le caractère, la personnalité du dirigeant qui sera amené à les appliquer sont cruciaux, c'est enfoncer une porte ouverte.

Dans ce cas, Sarkozy aurait perdu une bonne occasion de se taire.

Si, en revanche, il s'agit de dire que les idées et le programme ne comptent pas, et qu'il suffit d'une personnalité d'exception, charismatique, capable de deviner les désirs du peuple et de l'entraîner derrière elle, alors c'est une sottise grosse comme lui. Enfin, beaucoup plus grosse que lui.

À cette aune, Hitler a été un excellent chef d'État. Il convient d'élargir un peu le débat, en effet. Rappelons que contrairement à ce que croient beaucoup de Français, le monde habité ne s'arrête pas aux frontières de l'Hexagone, et que la présidônce de la République de la Frônce n'est pas un poste particulier : les étrangers ont beau être, généralement, des imbéciles, ils ont deux bras et deux pieds comme nous autres, et il n'est pas inutile d'observer les chefs d'État les plus éminents de la planète, si l'on veut se livrer à cet exercice philosophique exquis consistant à s'interroger sur ce que serait un bon dirigeant.

Si, d'un autre côté, Sarkozy a voulu nous dire, comme cela ne transparaît que trop dans cet article du Parisien, qu'il fut, lui-même, un président incomparable, et que les autres gougnafiers ne lui arrivent pas à la cheville, alors, encore une fois, il aurait mieux fait de la boucler et d'offrir un nouveau sac à main à Carla (puisqu'avec Carla, c'est du sérieux).

Si, enfin, on s'attache à cette déclaration hallucinante selon laquelle "devenir président de la République, ça ne s’apprend pas, on l’est ou on ne l’est pas", alors on bascule dans le délire gaullo-fascisto-poutinien, où le chien français revient sans cesse à son ordure, n'ayant rien appris ni rien compris.

Il n'y a, en effet, qu'en France qu'on peut sortir une énormité pareille sans que tout le monde ne sursaute. En France, et en Russie, où un haut personnage du régime a assuré, il y a quelques années, que Poutine était la Russie et que la Russie ne pouvait exister sans lui (suggérant ainsi qu'elle disparaîtrait après sa mort, mais il ne faut pas demander trop de cohérence à des fascistes théocratiques).

Il y aurait donc un gène du président de la République, qu'on choperait à la naissance. Les petits vernis qui en seraient dotés, tel Sarkozy en l'occurrence, n'auraient qu'à attendre, les doigts dans le nez, que la formalité électorale les porte vers leur destin.

C'est un peu comme la grâce, voyez. On l'a ou on ne l'a pas.

Les cochons de Français seront ravis d'apprendre que, tout comme les cochons de Russes, leur vote ne compte pas et qu'on leur demande simplement d'entériner l'évidence : Sarkozy est né pour ça tout comme Poutine, cela ne sert à rien de regimber, il deviendra président de toute façon.

Autour de cette déclaration s'élèvent de répugnants remugles monarchiques, et il y a toujours un benêt, Robert en l'occurrence, qui s'y colle en évoquant gravement "les deux corps du Roi" (avec la majuscule, s'il vous plaît), pensant avoir sorti quelque chose d'original et de profond.

Le prochain qui parle des deux corps du roi, il fait le tour du blog à cloche-pied pendant deux jours.

À l'opposé des sottises de Sarkozy, il est évident que devenir président de la République, cela s'apprend, de même que devenir comptable ou dépendeur d'andouilles.

Ou alors, il faudrait que Sarkozy nous explique pourquoi il a été maire de Neuilly avant d'être chef de la Frônce. Demain, il va nous dire qu'occuper l'un des postes les plus difficiles du pays n'exige aucune expérience.

Une fois de plus, regardons à l'étranger. Prenons quelques chefs d'État qui ont eu une influence profonde sur leur pays, qu'on soit d'accord avec leurs orientations ou non : Ronald Reagan, Margaret Thatcher, Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky. Lequel d'entre eux était destiné à devenir président ou Premier ministre dès le départ ? Aucun. Reagan était acteur, Thatcher a fait des études de chimie, le rêve de Poutine était d'entrer au KGB, Zelensky était un comédien et un homme d'affaires.

Il serait grand temps que les Français cessent de croire à la magie, et enterrent la momie de De Gaulle, laquelle encombre l'imaginaire national de même que celle de Lénine encombre la place Rouge.

Ce n'est pas en sautant sur sa chaise comme un cabri et en hurlant de Gôl, de Gôl, de Gôl, qu'on affrontera les graves problèmes du pays qui se nomment Russie, Chine, islam, immigration, délinquance, dénatalité, assistanat, État obèse, refus généralisé du travail et de l'effort.

Surtout quand le gaulliste du jour s'appelle Sarkozy... Imagine-t-on le général de Gaulle toucher des millions de la part d'oligarques russes ?

Axelle D

@ stephane | 27 mai 2024 à 20:28
"les attaques dont se plaint "perpétuellement" etc.

"perpétuellement", voir la définition de ce mot avant de l'employer dans un sens totalement abusif et impropre, eu égard au contexte, avec le but, manifestement malhonnête de discréditer une contributrice agressée systématiquement et gravement diffamée, jusqu'à l'atteinte à l'honneur et la considération, toujours par le même individu et ce depuis des lustres.
La meilleure façon pour vous de soutenir implicitement l'agresseur consistant sans doute à faire passer pour de mauvais coucheurs dépourvus d'humour ou des harpies ceux qui auraient eu l'audace de se rebeller et protester à certains abus !

Axelle D

@ stephane | 27 mai 2024 à 20:28

Mes connaissances et amis réels, bien avant les virtuels m'apprécient de longue date en raison de ma véritable personnalité et savent notamment que j'ai beaucoup d'humour. Ce qui ne dénature en rien une empathie naturelle que je manifeste de longue date par le biais de multiples engagements.

stephane

Ce blog est intéressant, après les attaques dont se plaint perpétuellement Axelle D, nous nous apercevons qu'elle a beaucoup d'humour. La mémoire flanche un peu mais l'humour est là.
Merci à Philippe Bilger de nous permettre de rire de bon cœur.

Axelle D

Pendant combien de temps, d'années, Nicolas Sarkozy va-t-il encore jouer le rôle de bouc émissaire, choisi notamment par les médias et certaines corporations qu'il ne s'est pas gêné pour critiquer vertement durant son mandat de président de la République ?
Bouc émissaire donc, voilà qui est bien pratique pour le faire endosser ad vitam aeternam des responsabilités de faillites sur de multiples sujets, voire expier des fautes pour lesquelles il serait, totalement ou partiellement, innocent.

Il est vrai que Sarkozy avec son ascendance juive semblait tout indiqué pour jouer ce rôle de l'éternel paria corrompu et malfaisant.

revnonausujai

@ Aliocha | 27 mai 2024 à 13:57

Il est toujours bon que des gouvernements félons ayant voulu vendre la France aient finalement échoué : Isabeau de Bavière, Laval, Macron...
Sinon, un peuple qui oublie ses misères passées est condamné à les revivre.

Giuseppe

"Il n'empêche que NS a totalement raison quand il a déclaré que "devenir président de la République, ça ne s'apprend pas. On l'est ou on ne l'est pas(...)la politique n'est pas une question de programme mais d'incarnation." (PB)

Nico a reçu le message 5/5 il a donc "totalement raison" qu'il faut de l'incarnation mais chez lui on la cherche encore.
Il s'est fait laminer par un nul encore plus nul, un "capitaine de pédalo" pour le remplacer qui n'a même pas osé se représenter.
Et puis il voulu revenir Nico, balayé d'un revers de main par son propre parti, alors pas besoin d'entendre les fadaises qu'il peut se raconter à lui-même. Il ne fait que se gargariser, les deux nous ont fait perdre dix longues années.

Les raisons pour lesquelles les Français ne souhaitaient plus voir Nicolas Sarkozy dans le rôle de président sont multiples. Historiquement, son mandat a été marqué par des réformes controversées et une personnalité clivante. De plus, des affaires judiciaires ont érodé la confiance du public. Un vraie batterie de cuisine tellement il traînait de casseroles.

Selon un sondage BVA pour Aujourd’hui en France, seulement 33 % des Français voulaient le voir candidat à l'élection présidentielle de 2017. Les affaires judiciaires, notamment, ont joué un rôle significatif dans cette perception, avec 57 % des sondés estimant que l'UMP ne devrait pas le présenter comme candidat en raison des affaires en cours.

En outre, sa tentative de se disculper en invoquant un complot politique n'a pas été convaincante pour une majorité de Français, avec seulement 44 % le trouvant convaincant dans ses interventions. Ces éléments, combinés à une attente de changement et de renouveau politique, ont contribué à un désir de voir de nouveaux visages dans la politique française.

Et c'est ainsi que les losers Pépère et Sarko s'accrochent comme la peste sur le pauvre monde pour survivre et exister. Les Français reniflent les nuls, parfois ils tentent des expériences dont une avec le premier, mais ils l'ont tellement détesté qu'il a jugé plus sage de débarrasser le plancher.

Au fond nous y avons gagné largement en qualité, Attal, Darmanin, Philippe vont se disputer la cocarde, ils sont jeunes, la fraîcheur du jeune sportif à qui tout réussit, la classe en plus pour eux. Sarkozy comme Hollande ont fermé tous les deux le couvercle du cercueil de leurs partis respectifs.

Ils font même honte quand on interroge les nouveaux postulants qui cherchent à faire revivre LR ou le PS défunt. Vive les nouveaux, ils n'ont rien à apprendre de ceux qui ont échoué, qui empestaient les défaites cuisantes à venir. La Grande Bourgeoise s'en souvient encore, quant à l'autre Hidalnouille c'est pas mieux, des scores anorexiques de partis en état de mort cérébrale. Leur conférer la moindre crédibilité à tous ces has been, c'est se mettre en position de suicide assisté comme on dit maintenant.

caroff

Considérer que Sarkozy a pu incarner la fonction présidentielle, ne serait-ce que quelques heures, indique bien le niveau de désarroi auquel nous sommes parvenus.

Il est vrai que se remémorer les riches heures de l'homme au scooter et aujourd'hui celles du bavard impuissant conduit à implorer le retour d'un gars (ou d'une fille) qui en a dans le pantalon (pardon pour cette grossièreté) pour éviter que la France ne devienne un État narco-trafiquant à l'instar du Mexique ou une sorte de califat comme le fut l'Algérie entre 1992 et 1999 !

Robert

Ce qu'a déclaré monsieur Sarkozy, "devenir président de la République, ça ne s'apprend pas. On l'est ou on ne l'est pas(...)la politique n'est pas une question de programme mais d'incarnation. Vous pouvez mettre les plus belles idées que vous voulez, si elles ne sont pas incarnées, elles ne valent rien. On parle aujourd'hui beaucoup d'autorité, de confiance, ce n'est pas une question de texte, de discours, mais d'incarnation..." est un constat exact. Sans doute lui-même est-il intimement persuadé d'avoir parfaitement incarné la fonction présidentielle. Tout dépend bien sûr du sens que l'on donne au mot incarnation.
Les distinctions sur ce point opérées par Tipaza | 27 mai 2024 à 11:43 me semblent être de bon sens et fruit d'une observation rigoureuse.

D'évidence, si l'on se place du point de vue du spectateur d'une pièce de théâtre ou d'un film, certains acteurs incarnent parfaitement leur rôle, à savoir qu'ils savent donner au personnage une crédibilité qui fait disparaître le fait qu'ils jouent. Trop souvent, nombre d'acteurs ne sont pas crédibles dans l'apparence qu'il donnent à la fonction dans la vie du personnage qu'ils sont censés incarner, soit par incapacité à adopter un jeu naturel, soit que manifestement leur manière de jouer ne cadre pas avec le personnage qu'ils sont. C'est en quelque sorte un défaut de personnification.

Pour ce qui est de la fonction présidentielle, la difficulté est de même nature. Certains hommes ou femmes politiques sont perçus comme incarnant non seulement la fonction présidentielle, mais aussi la nation qu'ils représentent. Ce fut le cas du général de Gaulle ou de monsieur Pompidou que vous citez. Messieurs Mitterrand et Chirac ont aussi incarné la fonction présidentielle dans ce qu'elle a de hiératisme, de représentation de chefs de l’État. Mais, au cours de leurs mandats, certaines trahisons par idéologie, par esprit politicien leur ont fait perdre la dimension de représentation de la France dans sa dimension charnelle et historique. Ce que Marie-France Garaud avait exprimé dans une formule dont elle avait le secret, s'agissant de monsieur Chirac : "Je croyais qu'il était du marbre dont on fait les statues. En réalité il est de la faïence dont on fait les bidets".

Quant aux trois successeurs de monsieur Chirac, ils se sont montrés incapables d'incarner la France.
Concernant monsieur Sarkozy, Tipaza a à mon sens parfaitement exprimé ce qu'il faut en penser.

Monsieur Hollande, si soucieux d'être un "président normal", n'a rien compris à l'incarnation de la fonction présidentielle. Il suffit de se rappeler l'épisode Leonarda... Avec cependant quelques sursauts de bon maintien lors des attentats de 2015.

Quant à monsieur Macron, le hiératisme apparent de la cérémonie de son intronisation sur le parvis du Louvre a pu donner aux Français l'illusion qu'il incarnerait parfaitement sa nouvelle fonction. Dès le 13 juillet au soir, devant les représentants des armées, l'attitude adoptée face au général de Villiers a montré qu'il était seulement animé par un autoritarisme malsain. Puis l'été suivant, avec l'affaire Benalla, il a montré qu'il était incapable de dépasser la politique politicienne pour incarner la France et le Peuple français, au sens que l'on applique au général de Gaulle ou à monsieur Pompidou. Du fait de son idéologie d'essence progressiste, de son incapacité à faire siens l'esprit comme la lettre de la Constitution de la Ve République, il n'est resté que le chef de son parti dans l'exercice des plus hautes fonctions de l’État. Qui plus est, il concentre tous les pouvoirs en sa seule personne, ne déléguant quasiment rien à ses Premiers ministres, simples exécutants, et encore moins à ses ministres.

La fonction présidentielle telle que conçue par le général de Gaulle et Michel Debré en 1958 revêtait une part de fonction monarchique imposant à ses détenteurs un comportement qui n'est pas sans rappeler les deux corps du Roi. Attitude que les trois derniers présidents de la République ont été incapables de concevoir dans une perspective d'élévation de la République française dans les plus grands principes qui la sous-tendent.

Aliocha

@ revnonausujai

On est en 24 des années 2000, pas en 42 des années 1900.
Debout là-dedans, tournez la page !

Xavier NEBOUT

P. Bilger ne hait pas N. Sarkozy, mais ils n'ont pas été éduqués par le même précepteur.

NS séduisait en effet par ses manières aristocratiques, la noblesse de son port altier, et dans son langage, ce soupçon de poésie retenue qui caractérise la modestie de ceux dont les aïeux ont présidé au destin des peuples depuis des siècles.

Alors G. Pompidou. On doit dire qu'à côté de lui, E. Macron fait figure de tête à claques. Ceci dit, il a oublié, avant de partir, de faire enlever le tas de ferraille qui est un véritable gouffre à entretenir pour servir de musée.

lucas

LR a effectivement un sérieux problème d'incarnation.
Ce parti a vraiment été stupide et entêté lors de l'élection présidentielle de 2017. Il en paye encore le prix fort aujourd'hui.
Puisqu'il n'a cessé de tomber de son piédestal, aussi bien à la présidentielle suivante qu'aux législatives.
Il faut dire que le sectarisme et l'intransigeance injustifiée de Ciotti n'attirent pas l'électorat. Pas plus que la critique acerbe et permanente de Marleix. Et pourtant, l'ennemi est ailleurs. Quelle cécité !

C'est accentué par l'aversion pour les ex-LR devenus ministres de Macron. Comme si c'était un sacrilège, une traîtrise, de servir la nation.
La plupart des présidents ont eu des "ministres d'ouverture", faut-il pour autant les clouer au pilori ? Sarkozy a bien eu un Mitterrand Frédéric !
Il y a donc à réaliser un sérieux aggiornamento chez LR pour se refaire une santé en renouant avec les aspirations de l'électorat par le biais de leaders plus crédibles.

Tipaza

"la politique n'est pas une question de programme mais d'incarnation. Vous pouvez mettre les plus belles idées que vous voulez, si elles ne sont pas incarnées, elles ne valent rien." (NS cité par PB)

Nicolas Sarkozy en homme d'action, et de mauvaises actions, confond avec la légèreté qui est la sienne, l'incarnation et la personnalisation.
Deux concepts totalement différents, même si dans les deux cas, c'est un homme qui les met en application.

Lorsqu'il parle de "mettre des idées", il parle d'un projet personnalisé par le porteur. Porteur dont la qualité peut faire aboutir ou pas le projet.

L'incarnation c'est autre chose, c'est faire jaillir de l'inconscient collectif une volonté populaire qui se mettant en oeuvre répond à la demande implicite du peuple, que cette demande s'exprime dans les urnes ou dans la rue.

On peut dire que le général de Gaulle incarnait cet inconscient collectif, ou plus simplement qu'il incarnait la France dans ses profondeurs.
Il était l'incarnation de la France éternelle, c'est ainsi qu'il se voyait, et disons-le, qu'il l'était. Avec le temps nous nous en sommes aperçus.

C'est pourquoi il tenait tant à la pratique du référendum sur les grands sujets, affirmant avec raison que la Cour suprême en France c'était le peuple et la volonté populaire.

Lorsqu'il a dit qu'il partirait si son référendum était rejeté, et il est effectivement parti, ce n'est pas parce que son projet avait été rejeté, c'est parce qu'à ce moment il cessait d'être l'incarnation de la volonté de la France. À la limite le projet n'avait été qu'un test de cette incarnation.

C'est cela que des nains politiques comme Sarkozy n'ont jamais compris.
Pour eux le référendum signifiait simplement l'acceptation d'un projet, c'était une procédure technique portée par un président, personnalisation en place, alors que pour de Gaulle c'était la confirmation d'une adéquation avec les profondeurs du pays. C'était la preuve de l'incarnation.

De cette confusion mentale, involontaire par indigence intellectuelle, ou volontaire par malhonnêteté intellectuelle, nous en avons eu un triste exemple lorsque l'individu Sarkozy, avec la complicité de la gauche et de la droite dites de gouvernement, a bafoué la volonté populaire du référendum de 2005.

Le pouvoir personnalisé par Sarkozy a cessé à ce moment d'incarner non seulement la volonté populaire mais aussi la France dans ses profondeurs selon le principe gaulliste.

On pourrait en dire beaucoup plus, mais je crois avoir montré la différence entre personnaliser et incarner, différence que Sarkozy n'a peut-être jamais comprise si j'en juge par ses propos.

Il me semble qu'il est astreint à porter un bracelet électronique, je regrette qu'à cette assignation n'ait pas été ajoutée celle de porter une muselière électronique nous évitant ses âneries.

revnonausujai

Et pendant ce temps, Laval va prendre ses ordres à Berlin !

sylvain

Petit retour en arrière nécessaire sur les années de plomb, de fer et de la dictature terrible que nous avons subie avec Sarko, ce maraud, ce manant, ce malappris.

En France, grâce à l’inquisition de gauche antisarko, nous avons eu la chance d’avoir la meilleure production littéraire antisarkoziste du monde, si si, je vais vous le prouver.

Malgré l’épouvantable censure chape de plomb instaurée par Sarko, nous pouvions être fiers de voir les étals des librairies autant envahis par la meilleure des littératures mondiales ; sujet : la chasse au Sarko décrétée très « démocratiquement » par les socialopitres.

Tout cela parce qu’une majorité de rustres avaient eu l’outrecuidance d'élire un Président facho raciste de drouaaate, quelle horreur !

Qu’a retenu l’histoire de toutes ces crottes de mouches « littéraires » ?
Comme dirait Sarko avec ses haussements d'épaule célèbres :
« Vous voulez que je vous l’dise, eh bien je vais vous l’dire » !

L’absolutisme efficace : Enquête sur la présidence de Nicolas Sarkozy de Nicolas Lecaussin
La dictature du Moi-Je, le livre d’Eric Decouty
La face kärchée de Sarkozy par Richard Malka, Riss, Philippe Cohen, et Isabelle Lebeau
Le Liquidateur par Pierre Moscovici
Le petit démagogue : Nicolas Sarkozy et les neuf règles de base de la démagogie efficace par Jean-Luc Porquet et Cabu
Le président et moi de Philippe Ridet
Le roi est nu de Laurent Joffrin
ll faut qu’il parte par Sébastien Lapaque
Nicolas Sarkozy : La fringale du pouvoir par William Emmanuel
Pour en finir avec Sarkozy par Pierre Larrouturou
Rien à branler, la suite de la face cachée de Sarkozy, BD de Philippe Cohen, Richard Malka et Riss
Sarko and Co par Guy Bedos
Sarko Ier par Cohen+Malka+Riss et Riss
Sarko star par Michaël Darmon
Sarkozy : l’erreur historique par Peyrelevade Jean
Une saison chez Mickey de Jean-François Kervéan
Ça va mal finir par François Léotard
Carla et Nicolas, Chronique d’une liaison dangereuse par Paul-Eric Blanrue et Chris Laffaille
Cécilia : La face cachée de l’ex-Première dame par Denis Demonpion et Laurent Léger
Cécilia : Portrait par Anna Bitton
Chirac Sarkozy : Mortelle randonnée par Philippe Reinhard
Chronique du règne de Nicolas Ier de Patrick Rambaud
De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir par Jean-Louis Beaucarnot
De quoi Sarkozy est-il le nom ? par Alain Badiou
Dico Sarko par Charb
Dictionnaire insolite : Sarkozy de A à Z par David Ponchelet
Le Petit Nicolas à l’Elysée par Gospé et Sempinny
L’Almanach Sarkozy par Pages F
L’Afrique répond à Sarkozy : Contre le discours de Dakar par Makhily Gassama, Mamoussé Diagne, Dialo Diop et Koulsy Lamk
L’aube, le soir ou la nuit par Yasmina Reza
La Légende de Nicolas Sarkozy par Digard+Krassinsky
La méthode Sarkozy : Les stratégies gagnantes du manager par Gérard Lelarge
La République du mépris : Les métamorphoses du racisme dans la France des années Sarkozy par Pierre Tévanian
La République, les religions et... Sarkozy par Christian Terras
La Saga Sarkozy par Christophe Barbier
La société des people : De Paris Hilton à Nicolas Sarkozy par Hugues Royer
La vraie nature de Nicolas Sarkozy par Michaël Darmon
Laïcité : Réplique au discours de Nicolas Sarkozy, chanoine de Latran par Jean-Luc Mélenchon
Le sacre de Nicolas : Petits et grands secrets d’une victoire par Ghislaine Ottenheimer
Le starkozysme de Olivier Duhamel et Michel Field
Les deux Nicolas : La machine Balladur par Ghislaine Ottenheimer
Les duels politiques, de Danton - Robespierre à Royal - Sarkozy par Antoine de Baeque
Les mots de Nicolas Sarkozy par Louis-Jean Calvet et Jean Véronis
Mai 68 expliqué à Nicolas Sarkozy par André Glucksmann et Raphaël Glucksmann
Méditerranée : Adresse au président de la République Nicolas Sarkozy par Béatrice Patrie et Emmanuel
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Misère du sarkozysme : Cette droite qui n’aime pas la France par Paul Ariès
Nicolas Sarkozy : De Neuilly à l’Elysée de Bruno Jeudy et Ludovic Vigogne
Nicolas Sarkozy à Dakar : Débats et enjeux autour d’un discours par André Julien Mbem
Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus par Victor Noir, Denis Demonpion, Sonya Faure, et Antoine Glaser
Pouvoir Nommé Désir par Catherine Nay
Ruptures par Michaël Darmon et Yves Derai
Sarkozy vu d’ailleurs par Pierre-Luc Séguillon
Sarkorama par Pétillon
Sarkozy : l’homme de fer par Massimo Nava, Sergio Romano,et Jocelyne de Pass
Sarkozy Connection de Hedwige Chevrillon
Sarkozy et Dieu par Marc Andrault
Sarkozy et l'argent roi par Dely-R.+Hassog-ìd.
Sarkozy et les Femmes par Derrien/Nedelec
Sarkozy et ses Femmes par Decouty Eric
Sarkozy président ! : Journal d’une élection par Jean-Luc Hess
Sarkozy vu d’ailleurs par Pierre-Luc Séguillon
Sarkozy, au fond des yeux par Nicolas Domenach
Sarkozy, l’homme qui ne savait pas faire semblant par Michel Richard
Sarkozy, l’avenir d’une illusion par Jean-Luc Gonneau et Pierre Defrance
Sarkozy, la grande manipulation Dénonciation d’une imposture par Olivier Bonnet
Sarkozy, les SMS interdits par Stéphane Ribeiro
Sarkozy, mode d’emploi, de Noël Mamère
Sarkozy, un président chez le psy par Pierre Lembeye
Sarkozy : Corps et âme d’un président par Olivier Mongin et Georges Vigarello
Sarkozy : Décrypté de A à Z par Laurent Pfaadt
Sarkozy : Itinéraire d’une ambition par Anita Hausser
Sarkozy : l’homme de fer par Massimo Nava, Sergio Romano, et Jocelyne de Pass
So Crazy Sarkozy Vu par la presse étrangère par Collectif
Un an sous Sarkozy de Thierry Gandillot .

In fine, un tonnage impressionnant de paperasse jamais égalé, jeté dans les presses des invendus, un flop fiasco gigantesque qui a mis en rage libraires orientés, merdias à charge, inquisiteurs gauchistes révulsés horrifiés de l'image que donnait Sarko au monde entier le soir de son élection, muni de sa Rolex fêtant sa victoire au Fouquet’s, l‘antre du diable, alors qu'en traversant l'avenue il y avait un McDo en face.

Quel rustre ce Sarko !

Louis

Je n’ai pas l’impression qu’il fut un bon président, juste une bonne réussite personnelle. Notons le sauvetage des banques mais avec quelles contreparties et la destruction de la Libye ce que je considère comme une catastrophe.

Aliocha

Oui, et non, disait le jeune Sheikh al-Akbar à la question que lui posait Averroès.

http://www.archipress.org/batin/addas3.htm

Ou quand la justice saurait créer les conditions du pardon, incarnation parfaite abandonnée par les idées fausses de la paternité, avant de s'en remettre aux mains de l'Esprit.

https://www.youtube.com/watch?v=sK-i84SryTY&list=PLZh2BpRApRceKLzyxKyfxd_Hz5Ia06eTu&index=9

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