Mon titre est à peine provocateur.
Je rejoins totalement le combat des policiers qui sont "vent debout contre la réforme de la garde à vue puisqu'il s'agit d'une transposition dans le droit national de dispositions européennes dont le but affiché est d'augmenter les droits de la défense" (Le Figaro).
D'abord cibler cet énorme et insupportable paradoxe. Alors que pour les nations, et au premier plan la France, les exigences de sécurité, d'identité, d'autorité et de justice sont devenues dominantes et que l'aspiration à la tranquillité publique, à la sauvegarde des personnes et des biens est essentielle pour tous, c'est le moment que choisissent des instances déconnectées du bruit, de la fureur et de la violence de nos pays pour élaborer des règles dont la finalité faussement humaniste est de rendre encore plus difficile, voire impossible, la mission de nos forces de l'ordre.
Ensuite dénoncer cet esprit européen qui oublie nos maux nationaux pour s'abandonner à la volupté d'abstractions généreuses et irresponsables. Qui se permet une tolérance et une compréhension sur le dos de nos quotidiennetés qui n'en peuvent plus. Je n'ai jamais été très épris de ces jurisprudences extranationales qui proposent des banalités sans lesquelles un État de droit même minimaliste n'existerait plus (par exemple délai raisonnable, irresponsabilité pénale ou "non bis in idem", dispositions élémentaires) ou des extrémismes procéduraux qui, soucieux seulement des garanties des mis en cause, prennent l'État de droit pour un immense laisser-faire prétendu progressiste.
Cette conception unilatérale de l'État de droit est insupportable. Comme si celui-ci ne devait avoir pour vocation que de faciliter les délits ou les crimes contre les communautés nationales qui ont le front de les juger intolérables.
La loi du 22 avril 2024 - avec une application urgente puisque prévue pour la veille des Jeux olympiques - est la dangereuse traduction de cette conception. Le gardé à vue pourra profiter d'un "droit d'information élargi" : un intervenant supplémentaire pourra être appelé, qui aura tout loisir pour perturber l'enquête au cas d'un "concert frauduleux". Pour éviter ce risque, l'enquêteur aura à consacrer la bagatelle de trois heures pour procéder à des investigations aux fins de déterminer le caractère dangereux ou non de cette future intrusion!
Cette personne pourra également demander un examen médical pour le gardé à vue.
L'obligation, par ailleurs, de la mention d'une présence obligatoire de l'avocat dès le début de la garde à vue va officialiser la fin du délai de carence et donc interdire toutes auditions ou confrontations si le conseil est absent. L'enquêteur sera mis à la disposition de l'avocat et le premier, d'une certaine manière, devenu dépendant du second sur le plan procédural, aura perdu beaucoup dans l'inévitable rapport de force au coeur de toute enquête réussie.
Ce n'est pas l'injonction faite au conseil d'avoir à se présenter "sans retard indu", notion tellement floue, qui constituera un barrage contre les possibles dérives d'une attente qui, de bonne ou de mauvaise foi, forcément se prolongera.
Auparavant, dans les affaires ordinaires, au bout de deux heures, il était permis de commencer les auditions même en l'absence du conseil.
Seules les procédures de grande criminalité ou de terrorisme seront, pour l'instant, exonérées de ces nouvelles entraves. À mon avis il ne faudra pas longtemps pour que ce mouvement pervers, tristement fatal, qui consiste à dégrader l'existant au bénéfice des transgresseurs, se mette en branle.
Ces blocages vont venir compliquer encore davantage la tâche des enquêteurs, rendre plus complexe voire hermétique le labyrinthe procédural, amplifier le formalisme et la bureaucratisation des investigations, distraire la police de l'essentiel de ses missions pour l'assujettir à des opérations stériles.
Le secrétaire général du Syndicat des commissaires, Frédéric Lauze, qui a alerté les autorités il y a des mois, n'hésite pas, avec une brutalité lucide et salvatrice, à enfoncer la vérité dans la plaie : "L'OPJ qui travaille à charge et à décharge...va être de plus en plus dépendant d'un avocat qui viendra ou qui ne viendra pas, pour démarrer une audition ou la faire valider, alors que l'avocat ne travaille pas pour l'intérêt général ; il travaille, et c'est normal, au bénéfice de son client, mis en cause par la police...Dans la période que nous vivons, le code pénal et la procédure pénale sont devenus inopérants pour lutter contre la criminalité. Quel message on envoie aux victimes et au peuple français ?"
J'ai toujours pensé cela et me voir ainsi confirmé par un haut responsable de la police renforce ma conviction.
Oui, il faut diminuer les droits de la défense pour amplifier la défense des innocents et des victimes.
@ Xavier NEBOUT 26/06/24 06:37
La délinquance reculera surtout le jour où dans notre société, quel que soit son régime politique, quelle que soit la présence ou non d'une religion, l'individu prendra conscience qu'il n'est qu'une partie d'un tout et qu'il n'est donc pas libre de vivre simplement sa vie comme il l'entend, sans se soucier de l'autre, sans avoir conscience de ses devoirs, sans être capable de juger ses actes selon qu'ils sont bons ou mauvais.
Bien évidemment, chaque régime politique, chaque religion, influent sur le comportement d'une société, mais ils n'abolissent pas pour autant pour chaque individu sa conscience morale. La morale précède chaque être, elle le met en face de lui-même.
C'est ainsi qu'Hannah Arendt affirmait : « Le critère de ce qui est juste et injuste, la réponse à la question : que dois-je faire ? ne dépendent en dernière analyse ni des us et coutumes que je partage avec ceux qui m'entourent ni d'un commandement d'origine divine ou humaine, mais de ce que je décide en me considérant. Autrement dit, si je ne peux pas accomplir certaines choses, c'est parce que, si je les faisais, je ne pourrais plus vivre avec moi-même. »
Rédigé par : Michel Deluré | 26 juin 2024 à 15:07
Certes, les moyens ne manquent pas pour diminuer les droits de la défense. Le processus est bien engagé, rodé et éprouvé pour que les victimes n’obtiennent pas réparation du préjudice subi. La nouvelle directive européenne n’est qu’un obstacle de plus de la litanie sans fin des mesures, procédures, usages et coutumes mises en oeuvre pour complaire aux délinquants, embarrasser les policiers et au final laisser les victimes dans le plus profond des désarrois.
Prenons en exemple des personnes vulnérables parce qu’âgées dont la confiance a été abusée par un escroc notoire. Les enquêteurs de la police parviennent à boucler leur enquête malgré toutes les précautions obligatoires sous peine de nullité du dossier. La racaille a des droits et ses avocats les connaissent. La justice dans son immense mansuétude ne retient pas la circonstance aggravante d’abus de confiance sur personne vulnérable. L’escroc notoirement connu est condamné à une peine de prison avec sursis et obligation (toute théorique) de rembourser ses victimes. Il ressort libre du tribunal.
Il existe pourtant une méthode simple qui permettrait d’indemniser les victimes. L’escroc pourrait être incarcéré et ne bénéficierait du sursis qu’après avoir remboursé ses victimes.
Rédigé par : Vamonos | 26 juin 2024 à 14:13
@ Xavier NEBOUT
Un anathème de plus.
Je vote pour des idées, et suis prêt à ce qui arrive aujourd'hui depuis l'entrée du président dans la cour carrée du Louvre en 2017.
Mais je comprends, au vu de votre archaïsme assumé, que vous n'avez pas capacité d'entendre qu'on puisse avoir un comportement autre qu'idolâtre.
"L'un d'eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là, leur dit: Vous n'y entendez rien; 50vous ne réfléchissez pas qu'il est dans votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas."
https://saintebible.com/lsg/john/11.htm
Nous aurons l'occasion de nous apercevoir que le rite ici décrit ne fonctionne plus, ce qui explique les désastres du XXe siècle, et qu'il est temps, au-delà de l'acharnement sur les personnes, de servir l'idée fraternelle qui seule sera à même d'apaiser les relations humaines.
Vous avez le droit de voter pour les retours en esclavage de vos croyances en la violence.
Rédigé par : Aliocha | 26 juin 2024 à 07:23
@ Achille
@ Michel Deluré
La délinquance ne reculera pas devant les sanctions mais devant le redressement moral, et le redressement moral ne passe pas par les "valeurs de la République" mais par deux notions bannies par elle : l'honneur et l'honnêteté.
L'honnêteté, c'est ne pas compromettre avec sa conscience vis-à-vis d'autrui, et l'honneur, en plus, vis-à-vis de soi-même. Cela, plus personne ne semble seulement le savoir, y compris les magistrats.
Il y a à cela deux raisons:
1/ L'honneur est indéfectiblement lié à la spiritualité et donc à la religion. Si donc il n'y a pas de religion d'État, les citoyens s'affrontent au nom de l'honneur sur ce qui les différencie du fait de leur religion.
2/ Le fonctionnaire ne peut exercer sa fonction dans l'honneur qu'en obéissant à une autorité d'essence paternelle dont le symbole est le Roi.
Dans l'entrée de notre agence, trône le portrait de Jacques Cathelineau.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 26 juin 2024 à 06:37
Bardella grand vainqueur du débat.
Bonne nuit et arrêtez de cauchemarder sur le RN, c'est le seul vote intelligent et nécessaire pour sauver le pays.
Rédigé par : sylvain | 25 juin 2024 à 23:22
Allez Aliocha, dites-le-nous que vous êtes amoureux de Macron.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 25 juin 2024 à 20:59
Le seul qui admire Emmanuel Macron, c'est la banque de David de Rothschild, son patron direct, pour avoir renfloué ses caisses à coup de plusieurs centaines de millions d'euros après avoir vendu nos plus grands fleurons français. Aujourd'hui Macron nous promet la guerre civile en cas de sa propre défaite en 2024. Brigitte Macron n'est pas innocente, elle a contribué à la débâcle de notre pays.
Rédigé par : Ellen | 25 juin 2024 à 20:12
Paroles d'un expert que nous connaissons bien :
"Dans la période que nous vivons, le code pénal et la procédure pénale sont devenus inopérants pour lutter contre la criminalité."
Merci pour ce moment de franchise... mais dans cette période rien ne va plus... nous n'avons pas réagi à l'invasion... nous n'avons pas réagi à la destruction de notre industrie et de nos finances... nous avons laissé faire les ennemis de la France et les "technocrates" de Bruxelles... et maintenant qu'allons-nous faire ? Continuer cette chienlit en nous calfeutrant derrière notre irresponsabilité et laissant comme héritage à notre maigre descendance une nation ruinée et bafouée ?
Rédigé par : Ugo | 25 juin 2024 à 18:11
Ici c'est la France, où l'on n'est discriminé ni pour sa condition sociale, ni pour sa couleur de peau, ni pour sa religion, ni pour son orientation sexuelle.
Un président représente tout le monde, et ceux qui voudraient imposer au chef de l’État leurs goûts ou préférences se mettent hors du champ républicain.
Emmanuel Macron a voulu dépasser, comme le lui permet la Constitution, l'esprit partisan, et fut élu deux fois.
Ceux qui dénient ce fait démocratique nient la Constitution dont il a le droit d'exercer le pouvoir qu'elle lui offre.
Quand, lâché par tous les siens sur le sujet européen, où chacun, dans son désir putassier de plaire au peuple, fit campagne contre lui pour les éternels petits calculs électoraux nationaux, passant le continent crème au bénéfice de ses ambitions de dans trois ans, il décide alors d'en appeler au peuple, qui est face à lui-même, si ce n'est le pays ?
On ne le fera pas taire, et c'est très bien ainsi, les sacrificateurs sortent du bois, aréopage de cloportes qui ne sait se nommer que cloportes au miroir de leurs inimitiés, exposant l'architecture de l'échec des élites qui permit l'élection du premier, bien entendu encore attachés à vendre le pays pour une élection, à soumettre l'opinion aux manipulations des pires au service du pire en désignant le jeune président comme émissaire de la responsabilité collective, ce qu'il ne s'est jamais permis de faire, ce qui ne l'exonère pas non plus de son échec mais ne saurait dissimuler qu'il est aussi l'échec de la nation entière.
Il serait intéressant, face à l'unanimité hypocrite des commentateurs médiatiques qui eux aussi lâchent et lèchent sans vergogne l'opinion pour un rond de serviette, un buzz ou une audience, que ceux qu'on voudrait faire taire ou se taisent à dessein, aient le débat indispensable que la nation attend.
Mélenchon, Retailleau, Marine Le Pen et Macron, face à face et réellement, avant d'envoyer les gens retourner au hachoir à viande, misère de misère, par soumission aux boutiquiers du mensonge.
Nous exigeons la vérité.
Rédigé par : Aliocha | 25 juin 2024 à 17:47
Le chaos c'est sous la gouvernance d'Emmanuel Macron depuis sept ans !
La racaille de plus en plus jeune prenant la relève de leurs aînés.
Inutile de rappeler toutes ses dérives successives qui ont amené la France à une déchéance morale, financière, politique et criminelle.
Macron : Fête de la musique pour des dépravés (décadence) - Qu'ils viennent me chercher (son Benalla) - Nous sommes en guerre (Covid-19) - Après moi ce sera le chaos - Le responsable c'est le RN - J'ai besoin des Français pour m'accorder un second souffle - J'ai balancé une grenade dégoupillée dans les jambes pour voir comment ils vont s'en sortir (à Oradour-sur-Glane, lieu de massacre) - Je vous promets de changer…
Stop ou encore du baratin ! Stop ou encore le lavage de cerveau !
Il faut qu'il arrête de semer la pagaille et sa propagande en pensant que gouverner le pays par la peur arrêtera les Français de voter pour un changement radical.
Pour ce qu'il en reste de la France, abîmée, meurtrie et moquée sur la scène internationale, il faut aujourd'hui beaucoup de courage pour prendre la relève, une refondation complète et une autorité intelligente pour remettre sur pied notre pays après le désastre laissé par E. Macron, par certains de ses ministres soumis sous sa curatelle renforcée, devant danser au rythme vertical de l'exécutif.
Rédigé par : Ellen | 25 juin 2024 à 15:00
@ Exilé | 24 juin 2024 à 17:45
"République de fous ou de sadiques ?"
Peuple composé de tant d'âmes serviles et dirigé par un psychopathe pervers... Serait-il le seul qui puisse imposer sa volonté débile pour notre plus grand malheur ?
Merci Minc, Attali, Rothschild, francs-maçons, vous avez obtenu ce que vous vouliez, la destruction de ce pays !
Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron et pourquoi pas maintenant Mélenchon.
Rédigé par : Ugo | 25 juin 2024 à 14:57
@ lucas | 25 juin 2024 à 11:41
« Est-ce que le législateur ne prend pas le problème à l'envers ? »
Mais qu'attendre de plus de la part d'un régime basé sur l'inversion des valeurs ?
Rédigé par : Exilé | 25 juin 2024 à 13:22
Qu'on ne vienne pas ici nous parler de justice et d'équité, quand le système occidental s'écroule de n'avoir su que réduire à l'esclavage des addictions les opinions écervelés soumises à l'audience violente des jeux hyperviolents ou des séries à succès, qui font le profit du capitaine d'industrie qui ose justifier son impéritie au nom d'un christianisme dévoyé, réduisant le discours politique aux délires d'un polémiste qui, on s'en aperçoit, s'est pris pour ce qu'il n'était pas, voit ses 18 % d'audience réduits au tout petit pour cent de ce qu'il vaut politiquement, ayant enflammé l'opinion de sa propre violence, dont il accuse ceux qui tentent la difficile et lente prise de conscience en en formulant la moins spectaculaire explication, qu'il n'y a que par la conciliation qu'on peut espérer la réconciliation.
Le monde regarde la France, qui a ainsi grâce au courage démocratique de son président, l'occasion d'affirmer au plus haut son incroyance aux miracles, signes et prodiges mensongers, son refus de toutes les séductions de l'iniquité, sa détermination à ne pas laisser périr ceux qui n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés.
On a bien entendu le droit de choisir les puissances d'égarement, de croire au mensonge, on choisit alors, comme tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, de prendre plaisir à l'injustice et d'être irrémédiablement condamné par la réalité.
Rédigé par : Aliocha | 25 juin 2024 à 11:48
Droits de la défense.
Est-ce que le législateur ne prend pas le problème à l'envers ?
Cette suspicion à l'égard des policiers est infâmante et injustifiée.
Ce ne sont pas les flics qui sont suspects.
Rédigé par : lucas | 25 juin 2024 à 11:41
Le Bon et le Pervers narcissique :
Assange « libéré », une immense joie pour tous ceux qui le soutenaient et l’aimaient.
À l’inverse Nécron sème la révolte et ne remboursera jamais les milliards de ses caprices ni les dommages causés par ses erreurs continuelles... Demain il sera dans une rage folle qui aura le besoin de s’extérioriser, trouvera-t-il un écho à sa haine avec Zelensky… mais les Français n’iront pas se battre pour satisfaire la folie calculée de l’un et endémique de l’autre.
Une émission à écouter sur l’inutilité de nos parlements…et donc de nos élections : « Qu’est-ce que l’Europe et à quoi nous condamne-t-elle ? » par Alain Falento et André Bercoff.
https://www.youtube.com/watch?v=oftne2T5oa4
Rédigé par : Ugo | 25 juin 2024 à 11:39
La meute des Bolloréens de tout poil et de toute obédience accusent le lanceur d'alerte de désirer ce qui est le réel danger constitué par tous ceux qui refusent la conciliation qu'il leur a proposée, et sans laquelle il est impossible de gouverner.
Tant que la démocratie préférera le succès d'audience à la réalité, elle ne saura que se mettre en danger et désigner à la vindicte ceux qui osent dire la vérité.
Rédigé par : Aliocha | 25 juin 2024 à 11:18
@ Xavier NEBOUT | 25 juin 2024 à 05:49 (@ sylvain)
« Venant d'un individu qui n'a pas le courage de s'exprimer sous son nom, ça ne manque pas de piquant. »
Ah bon ? Est-ce bien votre nom ou un pseudo ? Vous ne manquez pas de piquant vous non plus !
Vous dites : « Israël est en train de créer des dizaines de milliers de malheureux dont la raison de vivre sera de venger la mort de leurs parents, enfants ou fratrie, en tuant des juifs où qu'ils se trouvent, et cela pendant des décennies. »
Et alors, avez-vous une boule de cristal ? Vous faites partie de ceux qui plient les genoux devant leurs bourreaux, vous croyez que les crimes et guerres vont s'arrêter comme par magie si on ne riposte pas ? Quel bisounours vous faites, quelle naïveté, vous faites pitié.
Vous dites qu'« Israël est en train de créer des dizaines de milliers de malheureux dont la raison de vivre sera de venger........... »
Et alors, où est le problème ? Israël qui « en a », ripostera encore plus fort contre eux et ainsi de suite, pas de pitié ! J’admire ce peuple fier et dur envers ses ennemis.
Vraiment quand je dis « couil*es molles » je suis gentil, vous êtes un exemple même de cette lâcheté dont notre peuple fait preuve à chaque difficulté, surtout pendant les guerres ; pour nous libérer il faut que d'autres peuples viennent à notre secours, nous qui préférons collaborer et nous soumettre comme vous aimeriez qu’Israël le fasse.
Continuez à faire vos marches blanches, achetez des bougies, des fleurs et des nounours si ça vous fait plaisir mais laissez les grandes personnes sérieuses et responsables faire le ménage et le nettoyage nécessaire.
Rédigé par : sylvain | 25 juin 2024 à 11:12
@ Achille 24/06/24 17:48
« En admettant que l'on puisse réduire les droits de la défense, après qu'est-ce qu'on fait ? »
Poussant votre raisonnement à l'absurde et butant sur la question de « l'après, qu'est-ce qu'on fait ? », on peut alors simplifier encore plus le problème de la défense en renonçant purement et simplement à l'incarcération de nombre de délinquants, voire, à la limite, à leur jugement puisque celui-ci serait de toute façon sans effet faute de pouvoir l'exécuter !
Pour redevenir sérieux, sachons distinguer les deux aspects distincts que constituent d'une part le jugement et d'autre part l'exécution de celui-ci. Les imperfections de l'un ne sauraient faire renoncer à éventuellement réformer l'autre, si cela paraît nécessaire.
S'agissant du sujet abordé dans ce billet, c'est de mon point de vue envoyer un bien mauvais signal que de vouloir renforcer à ce point les droits de la défense, entravant un peu plus le travail des enquêteurs et les décourageant encore plus. Mieux vaut finalement dans notre société être justiciable que victime !
Rédigé par : Michel Deluré | 25 juin 2024 à 10:45
Indépendamment des facteurs spécifiques à l’Union européenne, il faut voir dans ces mesures la nocivité de l’institution fonctionnariale. Les « dispositions européennes » dont vous parlez sont avant tout le fruit du « travail » de fonctionnaires.
Lorsque ceux-ci sont en trop grand nombre, ils trouvent immanquablement à s’occuper. Il faut bien qu’ils justifient leur poste et la perpétuation de leurs (confortables) émoluments.
La plupart du temps, c’est en faisant ce qu’ils s’imaginent être le bien, et qui est en réalité un jet continu « d’abstractions généreuses et irresponsables ».
Le fonctionnaire national est déjà, par lui-même, une vérole. Il est déjà suffisamment difficile, voire impossible à contrôler, comme on le constate avec ces membres de l’Éducation nationale annonçant à l’avance qu’ils désobéiraient aux ordres d’un gouvernement Rassemblement national, ces gardes-côtes britanniques qui se refusent à lutter contre l’immigration illégale, etc.
Imaginez ce qui se passe si on transplante ce système à un niveau supra-national, où le contrôle politique est encore plus faible, et le fonctionnaire encore plus distant du citoyen qui subira ses lois.
Les Nations unies sont pléthoriques en fonctionnaires, elles aussi. S’ils nous coûtent cher, du moins s’amusent-ils entre eux sans trop nous nuire, puisque dans la plupart des cas, cette organisation n’a aucun pouvoir coercitif.
Il n’en va pas de même de l’Union européenne, comme on le voit avec la mesure que vous dénoncez. L’erreur serait de fustiger la seule « Europe », sans en tirer les conséquences sur le nécessaire amaigrissement de l’État.
Dans une campagne électorale-éclair où tous les partis font assaut de socialisme et de démagogie, sans nul espace pour la sagesse libérale, des voix dissidentes sont de plus en plus indispensables.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 25 juin 2024 à 10:10
Le dilemme pascalien des rapports de la justice et de la force trouve à nouveau ici son expression redoutable, justifier la force n'a jamais renforcé la justice, et les tenants de l'ordre finissent toujours par en transgresser la nécessaire défense, quand l'avocat du général s'oppose au particulier.
Il est comme cela des périodes de confusion où le gaulliste rejoint qui hier voulait l'assassiner, au nom d'un ordre qui jamais ne se satisfera d'occulter l'indispensable débat contradictoire qui préside à toute enquête et qui, finalement, est la lutte du mensonge face à la vérité.
Ainsi va la nature humaine en ses incapacités à équilibrer les rapports de l'ordre au désordre qui sans cesse doit rappeler à ses gardiens le sens de leur haute mission, qui est la paix, évitant alors que les représentants de la loi justifient les débordements illégitimes des tyrans en s'en ôtant toute capacité à l'exercer, poussant certains à affirmer, parfois non sans raison : la police tue.
Là est le courage de la vérité quand, enfin équilibrée, la justice sera assez fortifiée pour justifier sa force, et ne devra plus imiter le mensonge des dissimulations pour maintenir la paix.
Ciotti a menti au nom du désir d'ordre, est-il justifié ?
Notre hôte ne détournera pas notre attention du choix qui en ce moment s'opère, trahira-t-il lui aussi Retailleau ?
Le souverain bien alors attendrait encore que justice soit prononcée.
Rédigé par : Aliocha | 25 juin 2024 à 07:26
Sans me prononcer sur le fait de savoir s'il faut ou non diminuer les droits de la défense, je remarque qu'en amont, il serait bon qu'un consensus de tous les partis politiques interdise l'immigration musulmane.
Celle où est née la tendance d'immigrés de rendre le mal pour le bien, qui impacte tous les domaines, dont celui de la sécurité.
Bien avant de s'étourdir de principes sur la défense ou de s'en détourner, il me semble que de détruire une pompe aspirante au pire s'impose.
Franchement ! Avant de se demander comment traiter les problèmes d'un navire, s’intéresser à sa composition s'impose, sans quoi le navire est assez mal parti.
S'il y a des principes concernant la Justice, des droits de la défense, il n'existe pas de droit à recevoir quelque immigration que ce soit ! Mais ses promoteurs font comme si cela existait, et ce non en nous incitant à sélectionner les meilleurs, comme chacun le fait quand il décide de fréquenter des gens, ou bien encore les entreprises, mais en s'exposant à la lie de la terre. On fait comme si un principe qui n'existait pas, existait, de sorte que notre pays devienne, par l'arrivée des pires, un dépotoir.
Réaction contre un tel outrage au peuple, ce dernier, excédé, vote RN, même si certaines choses peuvent ne pas être sans lien avec une gauche pire que lui à tous égards.
Economie* et surtout, ébranlement des remparts de notre société. Si j'écris "remparts", ce n'est pas pour rien, les fondations, outre que certaines sont violentes et injustes, exemple, la Révolution a commis le génocide vendéen, et disputées, notre civilisation est-elle judéo-chrétienne ou pagano-monothéiste, ce qui serait plutôt mon avis, les Grecs ayant inventé pas moins que la philosophie et la science, en tout cas au sens moderne, théorie. Bref, quand les fondements ne sont pas pourris, ils sont facteurs de division !
Les remparts, eux, sont tout autre chose.
Les remparts sont des digues, par les Pays-Bas ! Il n'est pas opportun de les abaisser, que ce soit en laissant les frontières à la merci de la marée musulmane, bien pire que les algues vertes bretonnes.
Il n'est pas opportun de lancer des slogans type "la police tue". Bien sûr, il n'est pas dit que qui a la force n'en abuse jamais, mais "la police tue" laisse entendre que nous serions dans quelque dictature où la police a le droit et l'obligation de tuer, comme les chiens de mordre ceux que leur maître leur désigne.
Comparaison prise à ceux qui prétendent que certaines personnes seraient des "chiens de garde."
*Exemple, l’idée d'un impôt sur la fortune financière.
Toujours la conviction, je présume, que si tout va mal, en ce pauvre monde, c'est à cause des méchants actionnaires.
Quelqu'un devrait donner à lire aux cadres du RN cet intéressant ouvrage :
https://www.gouvernance-rse.ca/?p=9642
Rédigé par : Lodi | 25 juin 2024 à 05:53
@ sylvain
"peuple de couil*es molles"
Venant d'un individu qui n'a pas le courage de s'exprimer sous son nom, ça ne manque pas de piquant.
D'autant que dans notre pays des libertés, on a pénalisé l'évocation de ce qui a provoqué de tout temps la volonté d'expulser les juifs, de l’Égypte à Babylone, d’Isabelle la Catholique en passant par saint Louis...
On peut quand même dire que si le massacre du 7 octobre est évidemment condamnable, la haine cumulée qui l'a provoqué n'est pas le fruit du hasard.
En outre, ainsi que je l'ai déjà évoqué, Israël est en train de créer des dizaines de milliers de malheureux dont la raison de vivre sera de venger la mort de leurs parents, enfants ou fratrie, en tuant des juifs où qu'ils se trouvent, et cela pendant des décennies.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 25 juin 2024 à 05:49
@ Valéry | 24 juin 2024 à 20:59
Évidemment si vous faites confiance à Amnesty International, cette secte antisémite droit de l’hommiste gauchiste, on comprend mieux de quel côté vous êtes, ben voyons.
Dodo l’enfant do, l’enfant dormira bien vite, faites de beaux rêves 🛌
Rédigé par : sylvain | 24 juin 2024 à 23:26
@ Serge HIREL (@ Jean Levaux)
"« Torture »... Possédez-vous des preuves qui valident cette affirmation ? Sinon, vos dires relèvent du pur complotisme et de la diffamation. Si ce n’est de l’antisémitisme."
Mais enfin, il suffit d'une simple recherche, on dirait que vous découvrez la lune...
Et là, je ne donne que les premiers liens dans la liste, en évitant toute source arabe :
https://www.amnesty.org/en/latest/news/2023/11/israel-opt-horrifying-cases-of-torture-and-degrading-treatment-of-palestinian-detainees-amid-spike-in-arbitrary-arrests/
https://en.wikipedia.org/wiki/Israeli_torture_in_the_occupied_territories
https://www.newyorker.com/news/q-and-a/the-brutal-conditions-facing-palestinian-prisonersIsraeli_torture_in_the_occupied_territories
Rédigé par : Valéry | 24 juin 2024 à 20:59
@ Jean Levaux | 24 juin 2024 à 13:27
« ...l’’Etat d’Israël qui détient dans ses geôles sinistres des centaines de personnes sans jugement et dans lesquelles on pratique la torture. »
« Torture »... Possédez-vous des preuves qui valident cette affirmation ? Sinon, vos dires relèvent du pur complotisme et de la diffamation. Si ce n’est de l’antisémitisme.
Rédigé par : Serge HIREL | 24 juin 2024 à 19:45
@ Jean Levaux | 24 juin 2024 à 13:27
Hé ho ça suffit les conner*es ! Fichez la paix à Philippe, pas de leçons à lui donner, OK ?
Le 7 octobre ça ne vous dit rien ?? Ce massacre perpétré par vos amis terroristes du Hamas n'est pas resté impuni, Israël a très bien riposté, riposte et ripostera encore et toujours contre ces barbares sanguinaires criminels violeurs égorgeurs décapiteurs éventreurs de femmes enceintes, de vieillards et d'enfants.
Ce châtiment est mérité : deux villes rasées et 40 000 morts et ce n'est pas fini, ils ne doivent rien lâcher et continuer leurs frappes sans faiblesse ; ces ordures palestiniennes ont déclenché cette guerre, ils vont s'en mordre les doigts.
Soutien total à Netanyahou, bravo Tsahal et vive Israël !
Il est évident que si ce massacre s'était passé dans notre pays de lâches pleutres trouillards collabos soumis, nous aurions baissé notre froc, accusé le RN, Zemmour, organisé des marches blanches et répété ad nauseam : "vous n'aurez pas notre haine "!
Peuple de couil*es molles à votre image.
Rédigé par : sylvain | 24 juin 2024 à 18:52
@ sylvain
On se calme !
Et Bardella secrétaire général de l'ONU, ce ne serait pas mal non plus ?
Et la France en serait préservée !
Rédigé par : lucas | 24 juin 2024 à 17:51
En admettant que l’on puisse réduire les droits de la défense, après qu’est-ce qu’on fait ?
Les prisons sont déjà pleines à craquer. Certes les gouvernements précédents ont bien promis de construire des prisons. Certaines ont même été réalisées, mais manifestement le nombre est toujours très insuffisant.
Et puis, il faut bien se rendre à l’évidence que l’incarcération, même dans des conditions déplorables comme celles de nos prisons françaises, n’a aucune efficacité sur la réduction du nombre de délinquants et de criminels.
Au contraire, on a même l’impression que les détenus qui sont libérés sont encore plus virulents qu’avant leur emprisonnement.
Car il existe une hiérarchie chez les détenus. Cela va des braqueurs de banque (le must), suivis des escrocs de haut vol, des hommes d’affaires véreux et des hommes politiques accusés de compromissions.
Avec ce genre de relations, comment voulez-vous qu’un voleur de smartphone puisse s’imprégner d’une morale citoyenne ?
Et puis où construire des prisons ? Dès qu'un site est arrêté par le gouvernement, les habitants du lieu se mettent aussitôt à signer des pétitions pour protester contre cette décision, ne voulant pas être importunés par les visiteurs des locataires de la prison qui ne sont pas toujours très respectables.
Alors des prisons d’accord mais pas dans notre paisible quartier ! :)
Rédigé par : Achille | 24 juin 2024 à 17:48
« Il faut diminuer les droits de la défense ! » (PB)
C'est plutôt mal parti :
« C’est le contribuable qui paiera » : le Conseil constitutionnel accorde l’aide juridictionnelle aux clandestins. (Le Figaro)
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/c-est-le-contribuable-qui-paiera-le-conseil-constitutionnel-accorde-l-aide-juridictionnelle-aux-clandestins-20240529
Et allez donc, comme si le cochon de payant n'était pas déjà suffisamment pressuré par l’État et malmené par ses invités illégaux, il faut en plus qu'il paie pour les conséquences de leurs frasques ou de leurs crimes !
République de fous ou de sadiques ?
Rédigé par : Exilé | 24 juin 2024 à 17:45
Cette tendance à complexifier la procédure judiciaire toujours dans le sens unique de protection des délinquants, de dévalorisation de la parole et des écrits des officiers et agents de police judiciaire (vis-à-vis de certains magistrats, leur parole a autant de valeur que celle des délinquants), de défense des seuls intérêts des délinquants, contribue à la perte d'autorité de l’État dans ses fonctions régaliennes. Mais elle date au moins des années 1990, poursuivant toujours le travail de sape de l'action de la police et de la gendarmerie nationales en matière de police judiciaire.
Cette évolution législative, ajoutée à l'immixtion de ces mêmes organes supranationaux en matière de temps de travail et de repos des policiers et gendarmes ou en matière de doctrine du maintien de l'ordre, aboutit à une inefficacité organisée de ces institutions supposément régaliennes, qui bientôt ne seront plus en mesure non seulement d'assurer la sécurité de nos concitoyens, mais celle même de l’État.
De son côté, monsieur Attal, Premier ministre depuis janvier 2024 et donc sous l'autorité de qui la loi visée par ce billet a été adoptée, dans sa campagne électorale se répand face aux électeurs pour s'enorgueillir de l'augmentation des effectifs de la police et de la gendarmerie nationales (ce matin encore je l'ai entendu évoquer les 200 brigades de gendarmerie supplémentaires), alors que dans le même temps il réduit les capacités d'enquête, notamment dans le temps de flagrance en plaçant ces OPJ et APJ sous le contrôle direct des avocats des délinquants... Où est la cohérence intellectuelle chez ces surdiplômés et si brillants énarques ?
Rédigé par : Robert | 24 juin 2024 à 16:59
Vous me faites peur cher hôte.
Affaiblir les droits de la défense, comme si ceux-ci étaient parties trop importantes, gênantes. Allons-y gaiement, organisons des simulacres, Staline et Videla ne sont pas loin.
Nous avons tout l'attirail nécessaire, seule manque la volonté de s'en servir. Et ceci est une volonté des gouvernements afin que le citoyen excédé lui concède un abandon de ce qui fait la justice, accepte une perte de droits...
Vos propos ne m'étonnent pas. Je vous l'ai déjà dit vous suez l'admiration de la force brutale, potentiellement inique, sous couvert de mesure dans les propos.
C'est votre côté naturellement autoritaire, contrebalancé le plus souvent par votre raison, que vous semblez en l'espèce avoir mise de côté.
Peut-être aller voter pour des gens raisonnables, tout le monde se lâche, c'est inquiétant. Pas envie de chemises brunes, perso. Plutôt fleuries, ça va bien à mon teint de jeune fille.
Mais qui est raisonnable... Elektraaaaaaaaaa au secours.
Rédigé par : Jérôme | 24 juin 2024 à 16:31
La meilleure défense c’est l'attaque ! Terminées les palabres, agir sans faiblesse contre les anti-France islamogauchistes c’est la seule solution !
Jordan Bardella a présenté son programme clair, net et précis. Il est le seul qui peut détruire le NPF extrême islamogauchiste pro-Hamas du führer islamiste Mélenchon, et nous débarrasser de la politique de Macron.
Jordan Bardella a affirmé qu’il était la seule chance pour sauver la France du péril fasciste islamiste dont Macron a laissé propager ses crimes envers le peuple.
Il se sent capable de prendre les rênes d’un État surendetté, à la criminalité hallucinante et en voie d’extinction.
Il révèlera à tous les citoyens cocufiés les scandales financiers de cet État obèse qui se goinfre avec leurs impôts.
Face à tous les autres candidats corruptibles, collabos soumis aux islamistes, Bardella est le seul patriote sain d’esprit, honnête et qui défend notre nation clochardisée par tous ces partis anti-France : Renaissance, Nupes, EELV LF-Hamas.
Bardella Premier ministre, chef des armées, de la police et de la justice républicaine devra restaurer l’ordre par la force, tous discussions, débats, échanges sont inutiles dans ce pays de crétins gauchistes.
Rédigé par : sylvain | 24 juin 2024 à 15:22
À la vue de son aura, on peut voir si le suspect est coupable ou non.
Il faut vouloir voir, et être soi-même clair.
Il s'agit tout simplement du rayonnement électromagnétique, et tout un chacun peut en voir le plus perceptible en regardant sa main dans la pénombre. D'abord à quelques deux millimètres des doigts, puis des pinceaux colorés de quelques centimètres qui apparaissent à leur bout.
Avec l'expérience on voit autour de la tête l'aura qui dira ce qu'il en est de l'individu. Il n'est pas rare de voir une aura resplendissante de 50 cm ou un mètre autour de certains moines, c'est l'aura de sainteté.
Alors pourquoi cela est-il caché, ou du moins non révélé ?
On relève les copies à la fin de la journée.
P.-S. : c'est en renvoyant le rayonnement anti-inflammatoire bleu pâle, que dans les hôpitaux les "barreurs de feu" soulagent les grands brûlés. Chut !
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 24 juin 2024 à 14:18
Ce long post est assez comique venant de vous qui êtes un chroniqueur fidèle de L’Heure des Pros, émission qui soutient à fond l’Etat d’Israël qui détient dans ses geôles sinistres des centaines de personnes sans jugement et dans lesquelles on pratique la torture. Je ne vous ai jamais entendu vous révolter contre ces ignominies, vous un haut magistrat qui devrait chérir l’État de droit...
Hélas !
Rédigé par : Jean Levaux | 24 juin 2024 à 13:27
Avant de quitter la Chancellerie et, probablement, d’y faire place à son ennemi juré, le « Front national », Éric Dupond-Moretti aura donc rempli la mission qu’il s’était assignée : mettre les malfrats encore plus à l’abri des griffes de la Justice. Cette réforme du code de procédure pénale s’ajoute à celle de la police judiciaire, voulue par Gérald Darmanin, qui entrave aussi l’efficacité de celle-ci.
Cette retranscription dans notre droit d’une volonté de la CEDH est une preuve supplémentaire de notre perte de souveraineté au profit d’institutions supranationales totalement déconnectées des réalités de la société. De plus, il est tout à fait probable que, comme d’habitude, la Macronie ait voulu se montrer le meilleur élève de la classe européenne en ajoutant ici et là quelques mesures encore plus contraignantes pour les enquêteurs que celles imposées sans débat par nos maîtres, confortablement installés dans leurs tours d’ivoire, à Strasbourg et à Bruxelles.
Un regret pour conclure : il est dommage que les médias ne s’intéressent pas plus, et surtout en amont de leur promulgation, aux ukases de ces instances qui bousculent nos lois en tous domaines. Il a fallu attendre trois mois pour que Le Figaro alerte ses lecteurs sur ce nouveau coup porté à notre Justice... et à notre sécurité. Il est dommage que les journalistes qui suivent l’actualité bruxelloise ne se passionnent que pour le sort d’Ursula von der Leyen... Il est dommage que l’opinion publique soit mise devant le fait accompli.
C’est tout cela qui explique le mieux la victoire maintenant certaine du RN.
Rédigé par : Serge HIREL | 24 juin 2024 à 11:09
Ouais !! Partant de ce principe, un autre non moins célèbre préconisait : N'avouez jamais !!
Rédigé par : Lionel | 24 juin 2024 à 11:00
S’aligner sur les règles européennes est une mauvaise règle, que nous nous sommes donnée, bien à tort.
Que les règles européennes soient bonnes ou mauvaises n’a pas d’importance, elles sont hors sol, abstraites, elle ne sont pas les nôtres.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 24 juin 2024 à 10:36
@ Marc Ghinsberg | 24 juin 2024 à 00:12
Ce baveux est toujours présent sur Twitter. Et il parle toujours trop et va finir par avouer au moins son incompétence en ayant fait de l'inversion accusatoire au sujet du vaccin. Et cela sans lui asséner sur la tête des coups de Bottin mondain.
Comme le déclarait mon avocat : "Tous les avocats sont des menteurs" ce qui ne serait pas grave si les conséquences n'étaient pas dramatiques.
Aujourd'hui enfin le soleil brille même si Maître Eolas plaide le contraire.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 24 juin 2024 à 10:17
"Il faut diminuer les droits de la défense !"… et renforcer les droits pour les victimes…
Rédigé par : Louis | 24 juin 2024 à 10:07
C'est l'essence même de notre pays : faut-il faire passer en premier la société ou l'individu ? Depuis un demi-siècle, la moraline a imposé le droit de l'individu comme objectif essentiel même quand cela paralyse le fonctionnement de la société.
Il s'ensuit que l'intérêt général s'efface devant les droits exacerbés de quelques-uns. C'est d'autant plus regrettable qu'on peut très bien rester dans le respect des principes essentiels sans tomber dans le laxisme.
Rédigé par : Solon | 24 juin 2024 à 09:45
Le premier commentaire concernait Eolas ; j’ai souvenir de son blog qui était une caricature de liberté d’expression à sens unique .
Il prenait un malin plaisir à censurer tous ceux qui s’exprimaient différemment de la seule pensée unique qu’il avait instaurée : « Don’t feed the troll », ses pages en étaient remplies.
« Don’ t feed the troll » était sa marque de fabrique pour évincer les contrevenants, même modérés, il ne supportait aucun point de vue le contrariant, impossible de débattre, il fallait se soumettre ou se démettre .
Les deux pires blogs de cette époque épique, celui de Eolas et de Aphatie, son pseudo Kidcarsonne, sinistre personnage qui insultait les blogueurs et les radiait avec des propos violents.
Rédigé par : sylvain | 24 juin 2024 à 07:47
À la lecture de ce billet, on voit ce qu'est réellement la pègre intellectuelle qui nous gouverne, et on rêve de voir P. Bilger garde des Sceaux dans le gouvernement de J. Bardella.
Cela dit comment ne pas remarquer que sur la photo, le policier est en costume cravate et non comme ceux d'aujourd'hui, habillés comme des loubards. Le respect, ça se cultive.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 24 juin 2024 à 06:10
@ Marc Ghinsberg
Ce maître Eolas, grisé par son succès, ne tarit pas de pitreries et conseils foireux.
Quel intérêt aurait un innocent en garde à vue à ne pas parler ?
Quel intérêt aurait un auteur d'un délit mineur, ou un primo-délinquant, à tenter de se croire plus malin que le système et ainsi, par son silence, proclamer sa détermination à ne pas assumer ses actes, rendant inévitable la sévérité des magistrats ?
C'est un authentique conseil niveau maître Eolas : de l'artifice.
Rédigé par : Marcel P | 24 juin 2024 à 05:23
Je ne connais rien à ces sujets. Je me souviens seulement du conseil constant et insistant de Maître Eolas du temps où il était présent sur Twitter : ne jamais parler si on est en garde à vue.
Rédigé par : Marc Ghinsberg | 24 juin 2024 à 00:12