Il y a des titres ambigus qui me plaisent. Parce que celui que j'ai choisi fait référence à quatre immenses avocats disparus, aux personnalités tellement dissemblables que les définir par ce chiffre est sans doute la méthode la plus appropriée.
Ils manquent à leurs amis, dont j'étais, à leur famille, au monde judiciaire, à la vie intellectuelle, à la passion d'exister, on ne les a pas remplacés parce qu'en chacun d'eux il y avait une force, une singularité, une puissance, une liberté, une simplicité (cette qualité est rare chez nos petits maîtres d'aujourd'hui) qui les constituaient, chacun, comme uniques.
Ils ne se ressemblaient pas mais s'estimaient, s'admiraient. Deux d'entre eux avaient un profond compagnonnage, les mêmes origines, presque le même parcours. Il y avait aussi le maître de l'éloquence venue de l'école aixoise, la superbe voix qui dans l'exaltation, l'indignation, l'argumentation, convainquait souvent, ne se décourageait jamais, avait pour ennemie la peine de mort et a suscité beaucoup d'imitateurs qui avaient tout de lui sauf l'essentiel qui était la parole incroyablement en mouvement. Il y avait enfin mon maître en courage et en rigueur, la froideur apparente dans une énergie en feu et une intelligence indépassable, la foudre du verbe, le respect des juges quand ils le méritaient sans, jamais, la moindre complaisance.
Pourquoi ai-je eu envie, dans une période qui prête davantage à la facilité, à la futilité qu'à l'émotion et à la nostalgie, de faire revenir dans ma mémoire ces quatre personnalités d'exception qui étaient de surcroît des avocats inouïs alors qu'il me semble que dorénavant on a seulement des conseils et on verra après s'il y a de la culture, de l'humanité, de la vérité...
Peut-être parce que ces périodes apparemment creuses où le temps se traîne ou va trop vite sont aussi destinées à combler les failles, les béances, les lacunes, à estomper les déceptions grâce au retour éclatant, en pleine lumière, de ces quatre que j'ai eu le bonheur de côtoyer, que j'ai affrontés. Et à l'issue des joutes, j'étais fier d'avoir gagné et, si j'avais perdu, j'étais fier que cela ait été à cause d'eux...
L'homme de l'éloquence aixoise devenu une référence dans les cours d'assises, à Paris et ailleurs, Jean-Louis Pelletier, bien sûr. Dans les deux inséparables fougueux, totalement complices, avocats authentiques jusqu'au bout des ongles, on a évidemment reconnu Pierre Haïk et Hervé Temime. Enfin, qui a pu se tromper sur l'identité du porteur de foudre et de cet ascète judiciaire qu'était Thierry Lévy ?
Je pense à eux.
@ Achille 10 août 10:00
Toujours rien à voir avec l'injustice criante dont fut victime du jour au lendemain le général Dumas : privé de pension par Napoléon à la suite d'un édit rétablissant l'esclavage, il mourut quasiment ignoré et dans la misère en raison aussi de l'aversion de Bonaparte qui ne supportait pas qu'on lui fasse ombrage.
Sans compter que ledit général s'était honoré non seulement en raison de ses actes de bravoure mais aussi eu égard à son humanité. Il avait notamment combattu en Vendée, comme commandant en chef de l'armée de l'ouest, lors de la guerre civile de 1793-1794 et "écoeuré par les exactions de Carrier à Nantes et constatant le rôle peu honorable de l'armée républicaine, avait présenté sa démission le 9 octobre 1794. Ce qui lui avait valu d'être une légende chez les Blancs autant que chez les Bleus."
De quoi faire enrager Napoléon qui à la suite du rétablissement de l'esclavage à Saint-Domingue en profita pour mettre ce concurrent glorieux et gênant définitivement sur la touche.
Côté histoire de France, pas très fameux non plus ; il aura fallu attendre le combat de Claude Ribbe pour commencer à amorcer la réhabilitation dudit général Dumas qui compta pourtant parmi les officiers généraux les plus illustres et faisant honneur à la France.
Rédigé par : Axelle D | 10 août 2024 à 16:43
@ Merville | 10 août 2024 à 00:28
Sans oublier Me Floriot, bien sûr !
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@ Axelle D | 09 août 2024 à 21:05
Victor Hugo aussi avait un père général. Il se signala, à l'armée d'Italie, par la capture de Fra Diavolo (1806), en Espagne, par sa victoire sur le chef des guérilleros, El Empecinado (1811), et lors de la défense de Thionville (1814 et 1815).
Il y a même une statue de lui, située place Henri-Lévy à Thionville.
Rédigé par : Achille | 10 août 2024 à 10:00
Mes quatre mousquetaires : Émile Pollak, Georges Kiejman, Pierre Jacquet, Jean-Louis Tixier-Vignancour. Une autre génération que celle mise en avant par Philippe Bilger, mais d’une éloquence incomparable.
Rédigé par : Merville | 10 août 2024 à 00:28
@ Achille | 08 août 2024 à 11:13
Il vous a manifestement échappé qu'Alexandre Dumas n'était pas historien mais romancier et que s'il avait voulu faire oeuvre d'historien, il aurait commencé par relater "méticuleusement" le parcours glorieux de son propre père, général de son état, que Napoléon par racisme et jalousie n'a eu de cesse de rabaisser et dégrader.
Bien qu'il soit vraisemblable que l'injustice dont fut victime cet illustre général, uniquement en raison de sa couleur de peau ait pu néanmoins inspirer son fils dans la rédaction de certaines de ses oeuvres, notamment le comte de Monte Cristo.
Rédigé par : Axelle D | 09 août 2024 à 21:05
@ Achille | 08 août 2024 à 07:42
"Ce n’est pas un mauvais combat en soi car par le passé certains innocents ont été guillotinés suite à une erreur judiciaire."
Par le passé on en compte sur les doigts de la main, on est bien d'accord, aujourd'hui on compte par centaines des innocents qui sont décapités, égorgés, lardés de coups de couteau par des criminels arabo-africains islamistes impunis multirécidivistes protégés par la justice gauchiste macronienne de Moretti sans que cela ne déclenche aucune émotion, aucun remords ni regret de ces juges arrogants cyniques méprisants qui envoient tout un peuple à l'échafaud islamiste par collaboration au régime tueur du peuple de macronéron.
Rien n'est parfait mais à choisir je suis à donf pour un grand retour de la "veuve", ça éviterait ces scores fleuves d'assassinats depuis Badinter et son abolition criminelle de la peine de mort.
Les seuls qui seraient impactés seraient ces marchands de fleurs, de bougies et de nounours pour ces marches blanches débiles et grotesques de soumis masos collabos que nous sommes devenus, je le redis, rien n'est parfait.
Rédigé par : sylvain | 08 août 2024 à 11:36
@ revnonausujai | 08 août 2024 à 07:35
Merci pour votre éclairage. Il est clair qu’Alexandre Dumas a pris quelques libertés avec l’Histoire, mais il nous a offert un beau roman de cape et d’épée.
Rédigé par : Achille | 08 août 2024 à 11:13
@ Achille | 08 août 2024 à 07:42
« Le problème qui se pose aujourd’hui c’est la libération anticipée de délinquants dangereux, voire de malades mentaux incurables, qui inévitablement deviennent des récidivistes. »
Non. Le problème qui se pose aujourd’hui, c’est la libération (anticipée ou pas) de délinquants dangereux qui, inévitablement, deviennent des récidivistes. Il faudra tôt ou tard que la loi permette la prolongation de leur séjour en prison si le JAP (ou une instance collective à créer) estime que leur « rééducation » n’a pas porté ses fruits. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne les détenus radicalisés.
Quant aux malades mentaux incurables, ils n’ont pas leur place en prison, mais en asile psychiatrique strictement fermé, dont ils ne devraient pouvoir sortir que sur proposition du corps médical et, surtout, décision de justice, sans aucune exception pour ceux d’entre eux qui ont bénéficié de l’article 64 du code pénal.
P.-S. : je ne crois pas une seconde à l’image pieuse de Badinter que vous vénérez.
Rédigé par : Serge HIREL | 08 août 2024 à 11:07
Badinter, Vergès, tout a été dit par Serge Hirel...
Un petit rajout sur Vergès : un sacré phénomène celui-là, un cinéma à lui tout seul, il avait compris qu’il fallait se médiatiser pour exister ; invité sur un plateau télé, il adoptait une attitude lointaine, mystérieuse, secrète, qui ne trompait que les nigauds du public hypnotisés tombés sous le charme ; même le chauffeur de salle rythmait les applaudissements selon le degré des réponses très « spontanément calculées à l’avance » de ce Tartarin des prétoires.
Une sacrée mise en scène, du Pagnol version espion qui venait du froid et ses mystères concernant la Stasi de la RDA ; soumis à la question qui tue : qui défendriez-vous, l’agneau ou le loup ? d’un ton martial il répondit : le loup ! Ce qui provoqua des hochements de tête et soupirs admiratifs de tout ce plateau de crétins, animateurs compris, qui l’entourait.
Quel pignouf ! Sait-il seulement que s’il avait défendu l’agneau, le loup, moins c*n que lui, aurait changé d’agneau ?
On se prend à avoir honte à regarder ce genre d’émission pour abrutis mais j’ai tenu jusqu’au bout juste pour tester mon niveau d’abrutissement ; bingo, je suis dans la norme officielle seule autorisée.
Rédigé par : sylvain | 08 août 2024 à 09:04
@ Axelle D 07/08/24 20:52
Merci pour cet éclairage.
Rédigé par : Michel Deluré | 08 août 2024 à 09:04
@ Serge HIREL | 08 août 2024 à 02:54
Robert Badinter a mené un combat contre la peine de mort, ceci bien au-delà de la personnalité de son client Patrick Henry, un personnage veule et méprisable.
Ce n’est pas un mauvais combat en soi car par le passé certains innocents ont été guillotinés suite à une erreur judiciaire.
Prenons le cas de Patrick Dils, accusé d’avoir assassiné sauvagement en septembre 1986 deux enfants de huit ans à Montigny-les-Metz et qui a été innocenté après avoir passé 15 ans en prison où il a été violé par un de ses codétenus.
Sans l’abolition de la peine de mort il aurait été exécuté.
Le problème qui se pose aujourd’hui c’est la libération anticipée de délinquants dangereux, voire de malades mentaux incurables, qui inévitablement deviennent des récidivistes.
Rédigé par : Achille | 08 août 2024 à 07:42
@ Achille | 07 août 2024 à 20:42
Si les trois mousquetaires, Athos, Portos et Aramis, sortent de l'imagination d'Alexandre Dumas (et de son coauteur), il se pourrait que le romancier se soit inspiré de personnages ayant réellement existé : Armand de Sillègue d'Athos d'Autevielle, Isaac de Portau et Henri d'Aramitz, qui ont tous trois servi dans la compagnie des mousquetaires aux alentours de 1640.
En revanche, Dumas a allègrement distordu les dates et états de service de d'Artagnan qui n'aurait pu servir avec les trois autres dans la réalité.
Rédigé par : revnonausujai | 08 août 2024 à 07:35
@Achille | 07 août 2024 à 11:39
« Je pense que l’on pourrait ajouter (...) Robert Badinter (...) »
Non. Ces quatre-là n’ont rien à voir avec « l’ami des assassins » qui menait avant tout un combat politique et sectaire au service d’une gauche qui, déjà, n’avait cure de respecter les victimes.
Pendant que vous y êtes, ajoutez Acquitator, l’ami des malfrats... et du Prince.
Quant à Jacques Vergès, bateleur des prétoires, il est un beau spécimen de cette catégorie d’avocats qui adorent plaider les pires causes quand les caméras tournent... Lui aussi, rien à voir avec les quatre amis de Philippe.
Si vous voulez évoquer la mémoire d’un Vergès défendant de vraies valeurs, pensez à son vrai-faux frère jumeau, Paul. 61 ans au service de ses concitoyens, notamment à La Réunion. Son seul défaut : il était communiste... mais communiste ultra-marin.
Rédigé par : Serge HIREL | 08 août 2024 à 02:54
@ Achille
@ Michel Deluré
Vergès disait de lui-même : je suis double.
Dualité qu'il attribuait à ses origines, son métissage et au racisme insidieux subi durant son enfance. Tout en reconnaissant ne pas en avoir conçu de complexe d'infériorité mais au contraire force, combativité et un certain anticonformisme.
Développement dans le texte en lien :
https://www.sudouest.fr/justice/verges-je-suis-double-8787722.php?csnt=1912e1e5cbc
Rédigé par : Axelle D | 07 août 2024 à 20:52
@ Axelle D | 07 août 2024 à 17:48
Merci pour l’info.
J’avoue que je n’ai pas lu le livre d’Alexandre Dumas, mais seulement visionné les films et téléfilms sur les Mousquetaires. D’Artagnan est un personnage qui a vraiment existé, quant à ses trois partenaires ils sont, me semble-t-il, le fruit de l’imagination de l’auteur.
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@ Michel Deluré | 07 août 2024 à 17:49
Jacques Vergès était, à n’en pas douter, un personnage tourmenté. Pour lui toutes les causes, même et surtout les plus sordides, étaient défendables. Pour cela il était capable, comme vous le soulignez, de s’identifier à son client, fût-il un personnage odieux.
Mais il n’est pas le seul dans ce cas. Réussir à sauver une cause pratiquement perdue d’avance est, pour certains avocats, une satisfaction qui passe avant l'argent.
Rédigé par : Achille | 07 août 2024 à 20:42
@ Achille 07/08/24 14:40
Aux grands avocats loués pas notre hôte, vous opposez l'image moins lisse de Jacques Vergès, défenseur de nombre de causes moins nobles, beaucoup plus sulfureuses. L'idéologie, comme vous le laissez entendre, suffit-elle en fait à expliquer les choix de cet avocat ?
Elle y tient sans nul doute une bonne part mais elle ne saurait à elle seule expliquer que pour Jacques Vergès, pour lequel je n'éprouve aucune estime particulière, défendre était profondément une manière de vivre, une quête dans la recherche ô combien difficile de la vérité qui se cache derrière chaque justiciable quel qu'il soit.
Parlant de ces derniers, il écrit ainsi : « Qui peut connaître leur vérité ? Rarement le juge qui porte les verres teintés de l'ordre public. Plus souvent l'avocat, s'il a - et il devrait l'avoir - une âme de romancier, curieuse des gouffres, capable de se regarder dans le criminel comme dans un miroir ».
Là réside peut-être aussi l'origine de ses choix.
Rédigé par : Michel Deluré | 07 août 2024 à 17:49
@ Achille, 7 août 12:52
Au début du célèbre roman d'Alexandre Dumas, D'Artagnan n'est pas mousquetaire ; il ne le devient qu'au milieu du livre après un acte de bravoure lui donnant le droit d'intégrer ce corps royal prestigieux.
Ce qui explique le titre retenu par l'auteur qui aurait pu être "D'Artagnan et les trois mousquetaires".
Rédigé par : Axelle D | 07 août 2024 à 17:48
Les avocats sont détestables jusqu'au moment où on en a besoin.
Rédigé par : Bob | 07 août 2024 à 16:33
Au-dessus des quatre photos j'aurais rajouté "WANTED" pour leur participation à la criminalisation de la société inaugurée par leur gourou Badinter.
Depuis la suppression de la peine de mort qui avait le mérite de ne plus voir ces spectacles odieux de sorties de prison de bourreaux et bombes humaines dans la nature, les scores criminels explosent tous les compteurs.
Juges et avocats sont les premiers responsables de cette barbarie.
Rédigé par : sylvain | 07 août 2024 à 14:42
@ sylvain | 07 août 2024 à 13:20
Ces avocats ne se compromettaient pas à défendre le menu fretin. Leurs clients figuraient parmi le gratin de la haute société : Nicolas Sarkozy et quelques grandes figures de la politique impliqués dans des affaires politico-financières.
Vous confondez sans doute avec Jacques Vergès qui lui avait pour clients tout ce que le monde contient comme personnages détestables : le chef des Khmers rouges Pol Pot, Omar Raddad, le terroriste vénézuélien Carlos, le dictateur yougoslave Slobodan Milosevic ou encore Laurent Gbagbo, l'ancien président de Côte d'Ivoire. Ceci par pure idéologie.
Rédigé par : Achille | 07 août 2024 à 14:40
« Ils manquent à leurs amis, dont j'étais, à leur famille, au monde judiciaire, à la vie intellectuelle, à la passion d'exister, on ne les a pas remplacés parce qu'en chacun d'eux il y avait une force, une singularité, une puissance, une liberté, une simplicité (cette qualité est rare chez nos petits maîtres d'aujourd'hui) qui les constituaient, chacun, comme uniques. » (PB)
Très bien.
Mais pourquoi ces grands avocats n'ont-ils pas manifesté au moins leur inquiétude devant les dérives d'une partie de la justice de ce qui fut jadis la France qui prononce parfois avec une délectation mauvaise des attendus cyniquement provocateurs basés sur une inversion des valeurs ?
S'ils ne l'ont fait pas plus que leurs confrères actuels, qui le fera ?
Cette façon de défendre l'ensemble des justiciables potentiels face à l'arbitraire ne relèverait-elle pas aussi de la mission des avocats ?
Rédigé par : Exilé | 07 août 2024 à 14:08
@ Achille
"Tous d’excellentes lames comme le sont les grands avocats"
De quelles lames vous parlez, celles des couteaux de leurs clients multirelaxés par la justice ?
Grands avocats : 120 coups de couteau par jour subis par les victimes de leurs clients hyperrécidivistes.
Quel succès en effet !
Rédigé par : sylvain | 07 août 2024 à 13:20
@ Claude Luçon | 07 août 2024 à 11:30
« On ne savait pas compter jusqu'à 4 en Gascogne au temps de d'Artagnan ! »
En fait je n’ai pas compris pourquoi Alexandre Dumas n’avait pas intégré d’Artagnan parmi les mousquetaires alors qu’il l’était au même titre que Athos, Porthos et Aramis.
Tous d’excellentes lames comme le sont les grands avocats.
Rédigé par : Achille | 07 août 2024 à 12:52
« Parce que celui que j'ai choisi fait référence à quatre immenses avocats disparus, aux personnalités tellement dissemblables que les définir par ce chiffre est sans doute la méthode la plus appropriée. » (PB)
Je pense que l’on pourrait ajouter un cinquième qui n’aurait pas déparé cette liste de grands avocats, avec Robert Badinter disparu récemment, quand bien même il était clairement de gauche et peut-être pas un ami…
Rédigé par : Achille | 07 août 2024 à 11:39
@ Achille | 07 août 2024 à 06:59
Pinailleur :(
Quatre ! Jacques Brugnon, Jean Borotra, Henri Cochet et René Lacoste :)
On ne savait pas compter jusqu'à 4 en Gascogne au temps de d'Artagnan !
Rédigé par : Claude Luçon | 07 août 2024 à 11:30
Notre justice est tombée dans la boue, politisée extrême islamogauchiste wokisée, SM mur des cons, usine à multirécidivistes, délinquance impunie, son ministre applaudi dans les prisons, babyfoot et selfies avec les prisonniers, plus aucun citoyen victime ne lui accorde sa confiance, voire il évite de tomber dans ce traquenard judiciaire favorable aux agresseurs, un monde à l'envers.
L'exemple parfait : un citoyen qui a osé se défendre en retenant son cambrioleur chez lui a écopé d'une peine plus lourde que le délinquant au motif de séquestration de celui-ci ; du pur vomi.
Rédigé par : sylvain | 07 août 2024 à 09:26
Quatre des meilleurs avocats pénalistes disparus en moins de cinq ans. Saura-t-on trouver ces excellents profils dans notre nouvelle génération ?
La nostalgie du métier, quand tu nous tiens.
Changement de rôle... Je me pose la question suivante : un avocat général en retraite ou pas, peut-il ou a-t-il le droit d'exercer le métier d'avocat pénaliste, être inscrit au barreau de Paris et plaider au tribunal, correctionnel et aux assises pour défendre ses clients ?
Rédigé par : Ellen | 07 août 2024 à 09:03
@ Claude Luçon | 07 août 2024 à 00:29
À moins que ce ne soit les Trois Mousquetaires... :)
Rédigé par : Achille | 07 août 2024 à 06:59
"Ils étaient quatre..."
Oui mais comme lesquels ?
Les Quatre Mousquetaires ou les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse ?
Rédigé par : Claude Luçon | 07 août 2024 à 00:29