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27 septembre 2024

Commentaires

Aliocha

Robert Marchenoir ne comprend pas que ses méthodes de dénigrement personnel ne sont pas un argument valable quand on lui explique que système privé ou étatiste sont confrontés à la même problématique de financement, que l’État fort qu'ensemble nous réclamons, évidemment payé par des contribuables consentant à l'impôt, nécessiterait un débat apaisé.

Nous avons fait avec la femme qui partage ma vie des choix que nous assumons, chance insigne que nous avons pu financer par notre travail et notre courage, et dont l'enfant né de notre union a pu bénéficier du cadre apaisé pour se retrouver désormais sur le toit du monde académique, fruit d'une concertation entre deux êtres déterminés à exercer leur liberté dans le respect de lois qui la garantissent, témoignage d'un équilibre possible entre le public et le privé vécu intimement, qui ne sera sûrement pas remis en question par le plus sombre des Marchenoirescu, quand bien même il ne supporterait pas de voir refusé à sa minorité un pouvoir majoritaire, qui témoigne avec éclat que son libéralisme est une imposture totalitaire ne supportant aucune vue qui le mettrait face à sa contradiction.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 01 octobre 2024 à 10:27
@ Robert Marchenoir | 01 octobre 2024 à 00:11
"Vous êtes un homme au foyer, vous êtes entretenu par votre épouse, qui elle-même est entretenue par le contribuable français, puisqu'elle est professeur-fonctionnaire."

"Mon épouse, cher invectiveur [...], est professeur dans une école privée suisse, bien qu'elle paye ses impôts en France pour payer vos places de prison. S'il vous amuse de critiquer nos choix assumés de vie, ayez au moins l'obligeance d'être précis, cela vous éviterait de dire n'importe quoi. Merci."

Ne vous en prenez qu'à vous-même. Je n'ai fait que reprendre vos déclarations spontanées.

Vous nous aviez dit que vous vous faisiez entretenir par votre épouse qui était professeur : vous n'aviez pas précisé qu'elle exerçait son métier en Suisse.

Je corrige donc partiellement mes propos : vous faites partie de ces immigrés ingrats qui mordent la main qui les nourrit.

Par truchement familial, en effet, vous êtes immigré en Suisse, l'état de travailleur frontalier étant une variante de l'immigration. Je suppose ici que vous résidez tous les deux en France, puisque vous ne nous dites pas tout.

De même, vous avez envoyé votre fils faire ses études dans la prestigieuse London School of Economics en Angleterre.

Mais cela ne vous empêche pas de dénigrer le libéralisme en vigueur et en Suisse et en Grande-Bretagne, libéralisme qui produit la prospérité, prospérité qui permet à la Suisse d'offrir à votre épouse un emploi bien payé, et à l'Angleterre d'offrir à votre fils une place dans une université d'élite susceptible de lui procurer plus tard un emploi très bien rémunéré.

Vous êtes exactement à l'image de ces Arabes, Noirs, musulmans, asiatiques et autres, qui se pressent en France pour bénéficier de sa prospérité, puis qui crachent sur elle et ses institutions dont ils profitent.

Pas étonnant que vous les souteniez, en prônant la poursuite de l'immigration sans restriction, et que vous traitiez de "racistes" l'écrasante majorité des Français qui s'y opposent.

Sans parler des Anglais et des Suisses.

Vous passez votre temps à nous faire l'éloge de l'Union européenne, avec un zèle qui l'érige au rang d'une Église plus que d'une institution politique.

Mais vous vous reposez, pour votre gagne-pain et celui de votre famille, sur deux pays européens parmi les plus puissants, qui précisément ne font pas partie de l'Union européenne !

Dans le genre "faites ce que je dis, pas ce que je fais", vous vous posez un peu là. Pas la peine de brandir la Bible à tout instant. Vous passez votre temps à en piétiner les injonctions.

Votre loghorrée aussi pompeuse qu'inopérante se poursuit ici (01 octobre 2024 à 17:27) :

"Eh ben, je ne suis pas déçu du voyage offert par notre insulteur [...]"

Pauvre petit bichon horriblement persécuté par ma personne... Veuillez préciser exactement à quel endroit je vous aurais "insulté", car cela n'existe que dans votre imagination.

Mais vous et vos copains gauchistes n'en faites jamais d'autres. Réfuter leurs mensonges, c'est les insulter par définition, puisque, par définition, ils sont dans le camp du bien.

"[...] sa propagande immonde sur ce qui est faux à propos de ma personne et de mon couple [...]"

Vous voulez dire : votre propagande immonde à propos de votre personne et de votre couple. Une fois de plus, je n'ai fait que répéter ce que vous nous avez dit.

"[...] le système privé de santé suisse qui comme le nôtre coûte un pognon de dingue pour, à la différence du nôtre, des résultats satisfaisants [...]"

Ah. Donc il est meilleur que le nôtre. Donc vous confirmez mes propos. Donc, contrairement à ce que vous dites, le libéralisme marche, alors que le socialisme ne marche pas.

"[...] souffre des mêmes difficultés de financement [...]"

Ben non. Il ne souffre pas des mêmes difficultés de financement, puisqu'il fournit des résultats satisfaisants et qu'il est financé complètement différemment : par l'achat de polices d'assurance privées librement choisies par les patients, et non par le prélèvement obligatoire de cotisations en faveur d'une assurance d'État jouissant du monopole.

"[...] dont les bas salaires peinent à payer l'augmentation des primes pour une baisse du remboursement des prestations [...]"

Encore une fois : zéro source. Affirmation péremptoire.

Et à nouveau : on s'en tape. C'est un micro-détail de l'histoire triomphante du libéralisme bienfaiteur. DANS L'ENSEMBLE, le libéralisme apporte la richesse et le socialisme apporte la pauvreté. Les gauchistes malhonnêtes comme vous (pléonasme) trouveront toujours quelque micro-détail qui ne va pas pour baver sur le libéralisme.

Une fois de plus : on s'en tape, de la Suisse. Montrez-nous donc que DANS LE MONDE ENTIER, PARTOUT, EN GÉNÉRAL, le socialisme apporte une meilleure santé et une plus grande prospérité que le libéralisme. Vous n'y arriverez pas, car c'est le contraire.

"[...] la cataracte de propos digne d'un dément [...] l'essence de ses obsessions [...] pure diffamation [...] il n'est qu'un être dangereux et totalitaire [...] il est l'antithèse de la démocratie et le déshonneur du libéralisme [...]"

Tiens, on dirait que j'ai touché un point sensible... faut-il que j'aie tapé juste, pour que le camarade Aliocha craque à ce point... avec un tel tombereau d'insultes - des vraies, du coup.

Vous avez la langue bien pendue, mais vous êtes resté bien silencieux sur Israël dont je parlais tantôt : expliquez-nous donc comment la "fraternité", avec laquelle vous nous bassinez sans cesse, serait en mesure d'assurer sa survie, plutôt que la guerre impitoyable et brillante qu'il mène actuellement pour décimer le Hamas et le Hezbollah ?

Expliquez-nous donc, tant qu'à faire, comment la Russie de Poutine, que vous affectez de détester (voilà qui est bien peu "fraternel" !) pourrait être vaincue par l'Ukraine, au moyen de la "fraternité" dont vous prétendez qu'elle est le principe politique ultime ? Plutôt que par la guerre impitoyable et brillante que mène Kiev contre Moscou ?

"[...] Je ne suis ni immigrationniste, ni communiste ni plus étatiste que lui [...]"

Vous êtes bien évidemment immigrationniste. Je ne vous ai jamais vu vous élever en aucune manière contre l'immigration. Vous avez toujours hurlé au "racisme" à la moindre évocation des méfaits de l'immigration.

C'est la baronne Duchmol, ou c'est vous, qui avez écrit ceci sur ce fil ?

"Il n'y a donc d'autre solution pour préserver le système libéral, que le pragmatisme du partage fraternel qui va jusqu'à l'accueil des immigrés dont nous avons besoin."

Vous êtes bien évidemment communiste. Vous prétendez que la France est libérale. Vous crachez sur la Suisse, vous crachez sur l'Angleterre et vous crachez sur l'Argentine au motif de leur libéralisme. Vous défendez la dictature bruxelloise. Vous défendez systématiquement des positions de gauche. L'idéologie de gauche contemporaine vient en droite ligne du communisme.

"[...] qui ne sait dissimuler sa demande d'un État fort payé par les contribuables [...]"

Cessez de faire l'imbécile. Une fois de plus : je ne dissimule rien du tout, contrairement à vos assertions perverses. Je suis pour un État faible en ce que son périmètre doit être réduit aux missions régaliennes, et pour un État fort en ce que ces missions régaliennes doivent être assurées vigoureusement (sécurité, fin de l'immigration, etc.).

Et bien entendu, je suis "pour" que cet État soit financé par l'impôt. Ce n'est pas une prise de position, c'est une évidence. Par quoi voudriez-vous le financer ? Par la dette ? Par le pillage et les conquêtes ? Ma position n'a rien d'original. C'est la position libérale traditionnelle.

Vous perdez les pédales. Vous êtes tellement furieux de voir une clé à molette jetée dans la roue sans fin de vos absurdités, que vous finissez par raconter n'importe quoi.

Aliocha

@ Tipaza

Le compromis ne lynche personne, mais écoute tout le monde, même ceux qui substantivent le verbe et déguisent les propos d'autrui pour justifier leur transgression, principe victimaire du wokisme.

Notre Premier ministre l'a démontré dans ses réponses aux présidents de groupe, indiquant que le compromis exercé en Europe montrait l'exemple à la France du chemin paisible pour ceux qui aiment leur pays.

Ceux-là constituent le groupe le plus important à l'Assemblée qui, par l'exemple du renoncement aux faiblesses avouées du sectarisme, sera à même d'enfin constituer les majorités nécessaires pour avec courage, sans jamais céder aux mouvements réciproques d'irrespect et d'invectives qui le minent, mener les réformes indispensables au redressement du pays.

Vous êtes donc invité à cesser de mimer ceux que vous pensez combattre, manipulés ensemble par la conflictualité généralisée qui tous nous détruit quand chacun voudrait imposer à la majorité ses vues minoritaires, pour ensemble faire évoluer le droit à établir plus réellement son État.

Il n'est pas anodin de remarquer ici que ce débat s'ouvre avec le plus d'acuité en France, démontrant avec certitude que liberté, égalité, fraternité, ne sont pas des sentiments, mais des notions contradictoires qu'il s'agit de concilier pour faire face avec efficacité à notre réalité commune de République indivisible, laïque, démocratique et sociale.

Vous avez naturellement latitude de refuser cela, vous assumerez alors en conscience de sortir de vous-mêmes des dispositions du contrat social proposé, et qui ne signifie nullement que vous en êtes discriminés mais que vous choisissez librement d'y renoncer, ayant la lucidité de reconnaître que ce n'est que ce choix libre et personnel qui ferait de vous une victime, vous approchant alors de la réalité de ce que d'aucuns appellent sacré et qui est le mensonge des religions archaïques, auquel nous sommes tous invités à reconnaître l'illusoire puissance décrite par les textes fondamentaux de toute la littérature, sacrée ou profane.

https://www.youtube.com/watch?v=t4lZQUcbtLg

Tipaza

@ Aliocha | 01 octobre 2024 à 22:32
"Il est bizarre l’État de droit, vous ne trouvez pas, qui proscrit le lynchage ?"

Il est encore plus bizarre cet État de droit lorsqu'en son nom on lynche le proscrit que l'on déclare d'extrême droite.

Ah, mystère de la langue française où le verbe se transforme en substantif sans même l'adjonction d'un suffixe !

Exilé

@ Lucile | 30 septembre 2024 à 10:47
« Avec cette explication par la classe sociale, vous semblez oublier par exemple le meurtre d’Anne-Lorraine Schmitt dans un train de banlieue il y a déjà un certain nombre d’années. Son père, le général Philippe Schmitt, s’était même retrouvé ensuite épinglé sur le « Mur des Cons ». »

Comme vous, j'ai fait le rapprochement entre ces deux familles qui semblent avoir partagé la même conception d'une vie reposant moins sur des valeurs théoriques inscrites sur les frontons que sur de véritables vertus françaises associées à des repères moraux exigeants, apprises et pratiquées au sein d'une famille avant d'en faire profiter la société française de façon plus large.

Et manifestement, au vu des indifférences ou des violentes hostilités exprimées par une certaine gauche n'ayant pu se retenir de se livrer à des débordements de haine à l'encontre de gens dans le malheur qui ne lui ont pourtant rien fait, nous pouvons en déduire sa nature profonde, alors qu'elle prétend donner des leçons à ceux qui ne partagent pas sa perversion totalitaire.

Aliocha

Il est bizarre l’État de droit, vous ne trouvez pas, qui proscrit le lynchage ?

Serge HIREL

@ Lucile | 30 septembre 2024 à 10:47

J’avoue que le viol et le meurtre d’Anne-Lorraine Schmitt m’étaient sortis de l’esprit. Dix-sept ans plus tard, ils se sont en quelque sorte reproduits, tant le portrait de Philippine est semblable à celui d’Anne-Lorraine, tant leurs derniers instants ont été identiques.

Dix-sept ans pendant lesquels l’insécurité s’est considérablement aggravée, au point que, si, en 2007, la mort d’Anne-Lorraine pouvait encore être qualifiée de « fait divers », celle de Philippine est un « fait de société ».

En ouvrant aujourd’hui leurs travaux par une minute de silence en sa mémoire - comme l’avaient fait aussi ceux de la mandature précédente après le meurtre de Thomas à Crépol, en novembre dernier -, les députés ont reconnu cette réalité et doivent désormais introduire dans la loi des dispositions drastiques contre ces crimes qui mettent en doute l’appartenance à l’humanité de ceux qui les commettent.

Dix-sept ans pendant lesquels les exécutifs successifs ont laissé la situation se dégrader sans réagir, Hollande et Taubira allant même jusqu’à supprimer les peines planchers en cas de récidive, introduites dans le code pénal le 10 août 2007 - quelques semaines avant le meurtre d’Anne-Lorraine - par Nicolas Sarkozy, après un long combat de la gauche contre celles-ci. Combat auquel a participé un certain Didier Migaud...

Entre ces deux meurtres, il existe toutefois une différence de taille : le profil de leurs auteurs. En 2007, il s’agissait, selon des sources hélas incomplètes, d’un Français d’origine immigrée dont la famille était, semble-t-il, bien intégrée. Cette fois, c’est un « OQTF » marocain, qui n’aurait jamais dû se trouver ni en France ni en liberté, qui a commis l’irréparable.

Lors du procès du premier, rien n’a indiqué une quelconque cause raciste. Pour le second, on ne connaît pas encore ses motivations, ni même sa religion, mais le racisme anti-Blancs et l’acte anti-chrétiens ne peuvent pas, pour l’instant, être écartés.

À la lutte contre les prédateurs et meurtriers sexuels, s’ajoute donc l’obligation impérieuse de prendre les mesures, non pas pour améliorer le taux d’OQTF « réussies », mais pour qu’elles soient toutes appliquées, de gré ou de force. Quitte à tordre le bras des dirigeants étrangers peu enclins à fournir les laissez-passer consulaires nécessaires.

Cet après-midi, Michel Barnier a été assez ferme sur ce dossier... tout en recadrant (poliment, mais publiquement) son ministre de l’Intérieur pour ses propos (bienvenus) sur l’État de droit. Cela donne l’impression que, sous le gant de fer, la main sera peut-être de velours. Ce n’est pas une bonne nouvelle.

Il faudra aussi que le ministre de la Justice adresse aux procureurs généraux une « instruction générale » relative à la nécessité de ne classer sans suite aucune plainte contre cette forme de racisme qui, de toute évidence, contamine une partie des communautés immigrées. Pas sûr qu’il en ait envie...

Tipaza

@ Aliocha | 01 octobre 2024 à 17:27 (@ Robert Marchenoir)
"...sa propagande immonde sur ce qui est faux à propos de ma personne et de mon couple depuis la plante des pieds jusqu'à l'heure du dîner."

Manger le couscous avec les doigts de la main droite (pas la gauche) en roulant la semoule avec les légumes je l'ai fait souvent, mais avec les doigts de pied comme le fait Aliocha... JAMAIS !
Il est bizarre Aliocha vous ne trouvez pas ??

Aliocha

Eh ben, je ne suis pas déçu du voyage offert par notre insulteur qui ne sait dissimuler sa demande d'un État fort payé par les contribuables que sous les invectives infectes dignes des pires systèmes soviétiques qu'il prône comme étant ultra-libérales.

Il faut déjà faire abstraction de ces procédés pour avoir une discussion sensée quand manifestement on le met devant ses contradictions et qu'il nous abreuve de sa propagande immonde sur ce qui est faux à propos de ma personne et de mon couple depuis la plante des pieds jusqu'à l'heure du dîner.

On répétera donc le propos initial qui est que le système privé de santé suisse qui comme le nôtre coûte un pognon de dingue pour, à la différence du nôtre, des résultats satisfaisants, souffre des mêmes difficultés de financement dont les bas salaires peinent à payer l'augmentation des primes pour une baisse du remboursement des prestations.

Ceci est un fait qui ne justifierait jamais chez un esprit sensé la cataracte de propos digne d'un dément qui m'affuble de ce qui n'est que l'essence de ses obsessions, je ne suis ni immigrationniste, ni communiste ni plus étatiste que lui pour les raisons précitées, et je l'invite sur le sujet de la fraternité à entendre la fin du discours de notre Premier ministre comme ses demandes d'écoute et de respect, il en aurait beaucoup à apprendre sur l’État de droit qui commence, si on est libéral, par respecter la liberté d'autrui, et que le dénigrement personnel, au moyen de renseignements privés erronés qui ne sont que pure diffamation, confirme qu'il n'est qu'un être dangereux et totalitaire, et ne constitue aucunement arguments mais preuve de sa plus complète incompétence au débat démocratique.

Qu'il aille donc tronçonner l’État avec les molosses de Mileï, il ne saura que démontrer qu'il est l'antithèse de la démocratie et le déshonneur du libéralisme.

stephane

La réponse de Macron.
Je trouve ce candidat très bon !
https://m.youtube.com/watch?v=54rzz74ikLI

Aliocha

@ Robert Marchenoir | 01 octobre 2024 à 00:11
"Vous êtes un homme au foyer, vous êtes entretenu par votre épouse, qui elle-même est entretenue par le contribuable français, puisqu'elle est professeur-fonctionnaire."

Mon épouse, cher invectiveur que je n'ai lu qu'en travers par manque de temps mais je reviendrai vous mettre à l'habitude face à vos contradictions, est professeur dans une école privée suisse, bien qu'elle paye ses impôts en France pour payer vos places de prison.
S'il vous amuse de critiquer nos choix assumés de vie, ayez au moins l'obligeance d'être précis, cela vous éviterait de dire n'importe quoi.
Merci.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 30 septembre 2024 à 08:48
"Voilà, payée par qui ? Le contribuable, bien entendu ! Et c'est signé Robert Marchenoir."

Merci de m'apprendre ce que j'ai écrit. Je n'étais pas au courant.

Vous faites semblant de découvrir je ne sais quelque aveu qui aurait été le mien. Vous prétendez avoir découvert le pot-aux-roses qui justifierait votre communisme enragé, votre égalitarisme de voleur et votre immigrationnisme d'ennemi ethnique de la race blanche et de la civilisation chrétienne.

Mais c'est vous qui avez posé la question imbécile de savoir qui devait financer les prisons, qu'elles soient exploitées par des fonctionnaires ou par des entreprises privées titulaires d'une concession de service public.

Je vous ai répondu par l'évidence, que personne ne conteste : les contribuables.

Je n'ai jamais dit le contraire.

Les libéraux n'ont jamais dit le contraire.

Personne n'a jamais dit le contraire.

Ce n'est pas parce que les missions régaliennes de l'État doivent être (à l'évidence) financées par l'impôt, que ce dernier doit financer tout et n'importe quoi, et en particulier l'école, la santé et la réparation des pantalons ainsi que celle des fers à repasser.

Ce dernier point n'est pas ironique. L'État français fournit effectivement des allocations pour réparer les pantalons et les fers à repasser.

Alors que son budget est en déficit depuis un demi-siècle, et que sa dette a atteint le chiffre catastrophique de 110 % du PIB.

Si l'impôt servait uniquement aux missions régaliennes (dont les prisons), la dépense publique serait divisée par cinq, dix ou cent - je vous laisse faire le calcul. Le budget reviendrait à l'équilibre, comme dans l'Argentine de Javier Milei. Et la dette finirait par s'éteindre, ou baisser à un niveau raisonnable, au bout d'une dizaine d'années.

Tandis que le fameux "pouvoir d'achat" des Français serait immensément augmenté.

Vous confirmez donc votre mauvaise foi. Vous refusez le débat honnête. Tous les coups tordus vous sont bons pour faire la promotion du socialisme, et rejeter la moindre baisse de la dépense publique qui nous conduit à la faillite.

Vous dites :

"En Suisse, les individus ne sont plus à même de se payer les assurances privées."

Affirmation péremptoire, étayée sur rien. Vous venez d'être pris en flagrant délit de mensonge : les deux liens que vous avez fournis pour justifier votre anti-libéralisme à l'aide du système de santé suisse, pourtant très libéral et auquel les Suisses viennent de confirmer leur attachement par référendum, disent en fait le contraire de ce que vous leur faites dire, comme je viens de le démontrer.

Mais ça ne fait rien : vous repassez une couche, en vous gardant bien, cette fois-ci, de fournir le moindre lien, et pour cause.

J'ai une nouvelle pour vous : on s'en tape, du système de santé suisse. De façon générale, on s'en contre-tape, des systèmes de santé. Ce qui compte, c'est le fonctionnement de l'ensemble de l'économie dans l'ensemble des pays du monde, pas seulement la Suisse.

Et dans la plupart des pays développés du monde, l'économie a) est nettement plus libérale qu'en France, b) fonctionne infiniment mieux que l'économie française.

Système de santé compris, bien évidemment.

Considérez qu'en ce moment, la France emprunte plus cher que l'Espagne, le Portugal et... la Grèce ! Tous pays qui ont fait leurs réformes libérales.

L'Allemagne a 15 millions d'habitants de plus que la France ; elle a un million de fonctionnaires de moins. On n'en finirait pas d'aligner les preuves de notre décadence.

Toutes vos arguties servent à nous présenter, pour la énième fois, votre "solution" :

"Il n'y a donc d'autre solution pour préserver le système libéral, que le pragmatisme du partage fraternel [...]."

Non. La fraternité, c'est un sentiment. On ne fait pas de politique avec des sentiments. La politique consiste à prendre des décisions. Elle consiste à agir.

Comment Israël doit-il défendre sa souveraineté nationale ? Votre réponse, c'est la fraternité. Qu'est-ce que ça veut dire ? Qu'il faut convier Nasrallah à un thé fraternel ? Vous pensez que ça aurait pu l'inciter à renoncer à ses objectifs génocidaires ? Vous vous moquez de qui, au juste ?

Faut-il, alors, l'écraser sous des tonnes de bombes anti-bunker, mais fraternellement ? C'est quoi la différence entre tuer Nasrallah fraternellement, et le tuer avec haine ?

Ou bien vous pensez sérieusement qu'en lui faisant des petits bisous, il se serait transformé en chaton mignon ?

Votre loghorrée infantile est inopérante.

Vous dites également :

"Le pragmatisme du partage fraternel qui va jusqu'à l'accueil des immigrés dont nous avons besoin."

Non. Nous n'avons pas besoin des immigrés.

D'abord parce que le "partage", c'est du communisme. La France se vautre dans la pauvreté. Pour en sortir, il faut produire des richesses. Pas partager celles qui sont déjà là avec davantage de monde.

Ensuite parce que les immigrés ne sont pas fraternels, eux. Ils nous méprisent. Ils nous haïssent. Ils veulent notre mort, et s'emploient à l'obtenir. Ils veulent violer nos femmes, et ils le font. Ils veulent nous remplacer, et ils sont en train d'y arriver.

Ils remplacent la civilisation occidentale par leur civilisation arriérée, génératrice de pauvreté, de cruauté et de laideur.

Serait-elle somptueuse que nous devrions encore la rejeter, car ce n'est pas la nôtre.

Même en se cantonnant au domaine économique, votre affirmation est idiote.

Vous passez votre temps à nous bassiner avec la religion, mais pour vous, les immigrés ne sont que des agents économiques. Ce sont des chiffres sur pattes. Vous êtes, derrière votre défroque chrétienne, un matérialiste enragé.

Eh bien soit : considérons l'immigration sous un angle uniquement économique. Cela fait belle lurette que de multiples études ont réfuté la propagande gauchiste : l'immigration coûte bien davantage qu'elle ne rapporte.

Cela se voit à l'oeil nu, d'ailleurs. Il n'y a même pas besoin de statistiques. Il faut être un gauchiste borné et sectaire pour s'imaginer que des abrutis congénitaux, 30 % moins intelligents que la moyenne de la population indigène, marchant derrière leur sexe et dénués de toute barrière morale, vont nous "enrichir", alors qu'ils sont massivement au chômage, massivement bénéficiaires d'allocations et massivement délinquants.

La France, et les pays occidentaux de façon générale, ont beaucoup d'emplois non pourvus ? C'est exact, mais la solution ne consiste pas à importer la moitié de l'Afrique et de l'Asie pour y remédier.

La solution consiste à faire des enfants (je ne vous ai pas vu réclamer la fin du remboursement de l'avortement), et elle consiste surtout à mettre au travail les paresseux indigènes : chômeurs, assistés, allocataires, congés-maladistes, trente-deux-heuristes, syndicalistes, fonctionnaristes, travailleurs à distance, retraités précoces et autres peigneurs de girafe.

Vous prenez de grandes poses moralisatrices en affectant d'être meilleur que les autres, mais la réalité est que vous êtes un esclavagiste.

Vous voulez préserver la dramatique inactivité des Français indigènes, financée par l'impôt et par la dette, en important des millions d'esclaves qui travailleraient à leur place.

Non seulement ils ne feront pas le travail (l'existence de la locution "travail d'Arabe" n'est pas un hasard), mais ils se révolteront bien vite face à leurs maîtres - ils le font déjà, ils annoncent déjà leurs intentions avant même d'avoir posé le pied illégalement sur le sol français.

Mais votre mauvaise foi systématique et maintenue mérite que l'on aille plus loin. Les commentateurs, ici, sont généralement gentils, ils ont pudiquement évité de vous mettre en cause de façon personnelle.

Il faut donc bien que quelqu'un se dévoue, puisque vous vous obstinez à militer pour la ruine de la France et la disparition de la civilisation française.

On se demande bien ce qui vous qualifie pour vous prononcer sur l'économie de la France, puisque vous n'avez, vous-même, jamais exercé d'activité économique. Vous n'avez jamais travaillé, vous n'avez jamais gagné votre vie, vous n'avez jamais été sous les ordres d'un patron, ni dirigé une équipe, ni négocié un contrat.

Vous êtes un homme au foyer, vous êtes entretenu par votre épouse, qui elle-même est entretenue par le contribuable français, puisqu'elle est professeur-fonctionnaire.

Il n'est alors pas très étonnant que vous soyez aussi acharné à élargir votre système domestique au périmètre de la nation.

Votre petit arrangement personnel vous regarde. Nul ne songerait à vous le rappeler si vous ne prétendiez pas être plus moral que tout le monde, sous prétexte que vous êtes socialiste, égalitariste et immigrationniste.

Seulement voilà : ce qui peut marcher au niveau d'un foyer ne saurait être transformé en système politique. J'entends bien que cela vous permet de justifier psychologiquement votre situation personnelle. Cependant, la France n'est pas votre psychanalyste bénévole.

Votre acharnement étatiste, fiscaliste et immigrationniste rappelle beaucoup l'obsession "anti-raciste" de trois autres commentateurs de ce blog, qui, eux aussi, ont tenté de normaliser leur situation conjugale atypique en la transformant en militantisme politique obsessionnel.

Il rappelle également la démarche des militants homosexuels, qui, incapables de vivre leur déviance dans les limites de leur intimité, tentent d'imposer leurs valeurs à la société entière sous forme de modèle politique punitif.

La politique et l'économie ne sauraient se satisfaire de ce genre de fantasmes nombrilistes. Nous parlons de choses sérieuses, et les enjeux sont graves.

Exilé

@ Lucile | 30 septembre 2024 à 10:47
« ...mais « la classe dirigeante », la vraie, celle des élus, a cherché longtemps à nous faire croire que ce n’était « qu’un sentiment », coupable de surcroît. Cependant la coupe sera bientôt pleine, Philippine sera peut-être la goutte d'eau qui la fera déborder. »

Et la coupe se remplit un peu plus chaque jour avec le mortel « sentiment d'insécurité » cher aux sectateurs du socialisme, un jeune sportif âgé de 17 ans a encore été poignardé ces derniers jours, toute la jeunesse de France va finir par y passer :

https://www.frontieresmedia.fr/societe/normandie-un-jeune-homme-poignarde-a-la-sortie-une-discotheque-kevin-binard

Encore un futur oublié dont la mémoire et la douleur de sa famille devront subir les avanies de la gauche et le mépris des services « officiels » adeptes du risque-zéro-qui-n-existe-pas ?

Lucile

@ Serge HIREL 29 septembre 2024 à 12:52
« …la victime appartient à une classe de la société élevée, habituellement peu heurtée par l’insécurité ambiante. Cela a provoqué un émoi parmi ses membres qui, tout à coup, se sont sentis vulnérables et ont pris conscience que « les sauvages » étaient aussi à leurs portes... et qu’il fallait réagir (…) Cela n’est pas sans rappeler une attitude identique de cette même classe « dirigeante » lorsque… »

Avec cette explication par la classe sociale, vous semblez oublier par exemple le meurtre d’Anne-Lorraine Schmitt dans un train de banlieue il y a déjà un certain nombre d’années. Son père, le général Philippe Schmitt, s’était même retrouvé ensuite épinglé sur le « Mur des Cons ».

Les trains, les gares, les rues, les parcs, les couloirs de métro, les parkings, sont fréquentés par tous les milieux sociaux, et tous les âges. À peu près tout le monde s’est rendu compte depuis déjà pas mal d’années que les « sauvages » étaient à nos portes, mais « la classe dirigeante », la vraie, celle des élus, a cherché longtemps à nous faire croire que ce n’était « qu’un sentiment », coupable de surcroît. Cependant la coupe sera bientôt pleine, Philippine sera peut-être la goutte d'eau qui la fera déborder.

À moins qu'on l'oublie, comme on a oublié Anne-Lorraine, et tant d'autres.

sylvain

Extrême gauchisme + islamisme, les deux fléaux fascistes gangrènes de la France, un brasier à côté d’une poudrière.

Les islamogauchistes, nos nouveaux fascistes, règnent en toute impunité sur les pays occidentaux surtout sur la France, le maillon le plus faible que le virus cancérigène macronéron s’acharne à détruire.

Haine, violence, insécurité, dépravations sociales et sexuelles, théorie du genre, racialisme, racisme antiblancs antiFrance, christianophobie, dictature de pensée unique officielle seule autorisée, infiltration islamiste dans toutes les institutions, indigénisme, tribalisme, communautés fascistes BLM terroristes criminelles similaires à celles des USA en pleine expansion, appels aux meurtres de blancs, etc. etc. le tout en collaboration du pouvoir macronien collabo immigrationniste.

Brillant palmarès à imputer allah gauche : PS PCF EELV LFI - Hamas, NFPalestine, alliés à la macronie.

J’ai lu ici même que Bruno Retailleau était un gros facho, LOL il remue, il bouge et parle beaucoup, il est le dindon de cette farce grotesque qui se déroule sous nos yeux depuis des années, je dirais plutôt qu’il est une marionnette agitée par des ficelles qui seront bientôt coupées par Macron dès que la récréation sera finie.

J’ai toujours en souvenir l’image de ce dessin où l’on voit un militant solitaire armée d’une ronéo, machine à propulser des tracts, contre une armée de chars qui lui foncent dessus ; Retailleau me fait penser à ce malheureux transformé en carpette, les chars macroniens auront le dernier mot.

Aliocha

Voilà, payée par qui ? Le contribuable, bien entendu !

Et c'est signé Robert Marchenoir.

L’État, qu'il s'agirait de sortir de la pince des excités de la tronçonneuse d'un côté, et du marteau-faucille de l'autre, est donc le régulateur redistributeur nécessaire à la survie du libéralisme, qu'il n'est certainement pas ici question de remettre en cause, au nom de la liberté.

En Suisse, les individus ne sont plus à même de se payer les assurances privées, les bas salaires étant pourtant trois à quatre fois supérieurs aux minima français.
Le grand âge et la baisse de la natalité sont une réalité sociale commune et, à moins de ne plus soigner les vieux et convoquer Nebout et son pendule pour forcer les gens à faire des gosses, ce qui n'est pas d'un libéralisme flagrant, il n'y a donc d'autre solution pour préserver le système libéral, que le pragmatisme du partage fraternel qui va jusqu'à l'accueil des immigrés dont nous avons besoin pour les mêmes raisons, quand le riche par l'impôt garantit la paix sociale nécessaire à la prospérité.
Sinon, il rejoint la morgue des dignitaires soviétiques du marche ou crève et te soumets à ma doxa, qui n'a plus alors de libérale que le nom et préfère refuser toute conciliation au bénéfice de sa domination totalitaire.

"Préambule

Au nom de Dieu Tout-Puissant!

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution1 que voici:

..."

Sarah Knafo et les LR, combien de députés ?
C'est donc bien l'heure du "En même temps", merci président.

Michel Deluré

@ Achille 29/09/24 10:28

Finalement, pas si loin que cela de la vérité. L'homme est vraiment une machine complexe !

Lodi

@ Serge HIREL | 29 septembre 2024 à 17:35
"Armer les Français serait la pire des solutions face à des individus n’ayant aucun respect pour la vie d’autrui"

Nos agresseurs ne se privent pas de porter des armes, eux.
Je rétablis l'équilibre en permettant aux victimes potentielles de s'armer, elles aussi.

Et même si un agresseur n'est pas armé, il est bon que sa victime le soit. Mettons, une femme... Elle va se défendre contre un violeur avec des petits cris dignes de film d'horreur ou en agitant ses bras comme une noyée, en courant, pauvre gazelle vite rattrapée par une hyène ?
Bien sûr que non : il faut tirer sur l'agresseur... J'ai toujours trouvé la légitime défense telle que préconisée, ridicule, il faut se défendre comme on est attaqué ce qui :

- Efface la différence entre le crime et le bon droit. On ne fait pas un match de boxe ou de criquet, quand on est agressé, on exerce la nécessité vitale et d'assurer sa vie et son intégrité, car on n'a pas, par exemple, à laisser polluer son corps par un viol.

- Méconnaît le vrai rapport de force... Contre l'idée que le bon droit donne la force, elle va, toujours, mécaniquement, à l'agresseur qui bénéficie de l'initiative, savoir il attaque quand il se sent fort, et il bénéficie de l'effet de surprise.
Et en plus, le criminel a l'habitude d'exercer ses ravages. Il est donc irréaliste en plus d'inique de demander à un homme, et encore plus à une femme, de résister avec quoi, son bon droit ? Ridicule : reconnaître le bon droit de quelqu'un est lui permettre de s'armer, le reste n'est que du bruit fait avec la bouche, de l'encre jetée sur le papier, des signes vidés de sens comme la victime le sera de son sang.

"Les Américains, en raison de l’histoire de leur nation, ont une conception de la violence radicalement différente de la nôtre"

Chez eux, non souillés par la monarchie absolue, la Terreur, les Napoléon et j'en passe, on ne se flatte pas de tyran, on ne vit pas en eux par procuration au nom de la gloriole.
Mais chacun veut avoir la violence légitime de défendre sa liberté... La bienheureuse absence d'État un certain temps lors de la conquête de l’Ouest a configuré autrement la violence : moins celle exercée par le pouvoir, plus celle par les citoyens.

Ils n'ont pas connu de dictateur, et tout aspirant à cette fonction peut craindre que les Américains sortent leurs armes contre lui... En France, tout tyran sait que le citoyen est aussi démuni d'armes que sa tête farcie d'illusions démobilisatrices.

Que de sottises !
On va par exemple produire un Islam des Lumières, doublement ridicule, au double motif que nous n'avons pas à rédimer les religions enténébrées et que nous n'y parviendrons pas plus que nous n'avons nous, su nous maintenir dans les Lumières.

"Chez nous, pays des Lumières, « légitime », elle ne peut être employée que par l’État."

Et les États-Unis, c'est un pays de ténèbres ? Ce sont nos Lumières, qui ne sont rien, à peine des lampions : nous sombrons souvent dans les dictatures, nous n'avons donc pas de leçons à donner aux Anglo-Saxons, toujours libres, eux. Et quand nous ne sommes pas dans les ténèbres, trop d'entre nous le regrettent, soutenant les Khmers rouges, et autres ténèbres communistes, Poutine, l'islamisme.

Et vous trouvez que ça a vraiment légitimité de prétendre son modèle meilleur que celui des Américains ?
Nos leçons de morale sont souvent aussi pertinentes que celles du discrédité Charoulet, mais nous effaçons mieux nos faillites que lui : certains écoutent des "La liberté pour quoi faire ?".
Parce que c'est elle que nous remettons en cause, et jamais l'État d'où, comme vous dites :

"Chez nous, pays des Lumières, « légitime », elle ne peut être employée que par l’État."

L'État est-il à notre service, ou nous, au sien, lui qui nous offre en pâture aux indésirables ?
Telle est la question.

"Notre problème actuel est, d’une part, que celui-ci, contraint par un État de droit hypertrophié, n’a plus suffisamment d’autorité, d’autre part, qu’une bonne partie de l’immigration fait fi de ses règles en tous domaines et, de plus, ne peut imaginer les rapports sociaux que sur le mode dominant-dominé. Il est pratiquement impossible de modifier un tel état d’esprit sans recours à une autorité « musclée »..."

Comme vous l'avouez, l'État ne se sert de son autorité que pour nous imposer des indésirables, et non imposer son autorité aux indésirables.
Imbu de Lumières qui ont largement échoué chez nous comme je le rappelle, nous qui avons eu tant d'éclipses de la liberté et qui pour tant d'entre nous, chiens sans collier, cherchons un maître.
Imbu de Lumières qui ont tant échoué chez nous, l'État s'est mis en tête que des Français, des incapables, en un mot, allaient faire voir la lumière, c'est le cas de le dire, aux arriérés.
C'est n'importe quoi. Vraiment n'importe quoi ! À quoi la vanité la plus éhontée ne mène-t-elle pas ?

Je préconise que les Français, incapables, imitent meilleurs qu'eux, tout simplement.

Vous écrivez :

"Aux Etats-Unis, le deuxième Amendement qui autorise tout citoyen américain à détenir des armes - pas à s’en servir... - ne doit sa survie qu’à la puissance d’un lobby, la NRA, capable de réduire à néant les chances d’un candidat à la Présidence qui, dans son programme, inscrirait l’abrogation de ce droit."

Je vous réponds que je préfère les violences de la situation américaine à notre mise sous le joug par les musulmans.
Et la NRA à LFI, ces auxiliaires du pire.

Pas vous ? Je vois venir la faillite de notre modèle, et je me dis qu'il n'est plus temps de nous raccrocher à une vanité qui risque, plus que jamais, de nous priver de notre liberté.

Achille

@ Robert | 29 septembre 2024 à 12:34
« Et juridiquement il n'y a en France qu'un seul peuple et non plusieurs peuples.
Pour le reste ce sont des parties du peuple, voire des populations réparties sur le territoire. »

Je crois qu’on ne parle pas de la même chose.
Pas besoin de potasser de savants bouquins de droit pour savoir que, d’un point de vue juridique, les citoyens sont tous égaux devant la loi, quelles que soient leurs opinions politiques.
Pour le même crime ou délit, un condamné sera jugé de la même façon qu’il soit riche et célèbre ou pauvre et parfaitement inconnu. Enfin, on peut le supposer…

De même, chacun, qu’il soit de droite ou de gauche, est libre d’exprimer son opinion, de défendre ses idées dans la mesure, évidemment, où elles ne portent pas atteinte aux valeurs républicaines qui figurent dans la Constitution.
Sur ce plan-là, effectivement il n’y a qu’un seul peuple en France.

Par contre d’un point de vue politique, difficile de mettre en équivalence les personnes qui votent pour le NFP et celles qui votent pour le RN. Leurs revendications ne sont pas du même ordre, même si les uns et les autres utilisent les mêmes procédés populistes pour attirer les électeurs un peu crédules dans leur escarcelle.

Difficile alors pour un président de la République de satisfaire les besoins du peuple français dans leur globalité dans la mesure où elles sont totalement différentes, voire antinomiques selon les opinions de chacun.

Contrairement à ce que vous affirmez avec l’obstination qui vous caractérise, le problème de "monsieur Macron" ne réside pas dans son incapacité à comprendre le fond des besoins du peuple français. Il les a parfaitement compris. D’ailleurs tous ses prédécesseurs ont été confrontés à la même problématique. Mais comprendre ne signifie pas avoir le pouvoir de résoudre, dans la mesure où il ne sera jamais possible de satisfaire des revendications contradictoires.

Il y aura toujours des citoyens pour prôner les valeurs de la gauche (meilleur partage des richesses, défense du droit des femmes, des homosexuels, multiculturalisme, bref tout ce qui s’appelle aujourd’hui "progressisme") et d’autres qui voteront pour celles de droite (mérite, élitisme, souverainisme, traditionalisme que l’on peut regrouper sous le nom de "conservatisme").

En fait votre vision du peuple français me fait un peu penser à la chanson de Maurice Chevalier "Ça fait d’excellents Français" .
Depuis, les temps ont bien changé et les paroles de la chanson, écrites en 1939 juste avant l’entrée en guerre, destinées à exhorter le patriotisme des Français de toutes origines sociales, culturelles, politiques, commencent à être terriblement poussiéreuses :)

Robert Marchenoir

Je signale quand même aux foules ébaubies que nous avons un gros facho au ministère de l'Intérieur (et en plus, un "ultra-libéral"). Bruno Retailleau ne me paraît pas très éloigné de Sarah Knafo. Bon, il faudra voir l'écart entre les paroles et les actes, mais il y a un début à tout.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 29 septembre 2024 à 08:10s
"Vous pourrez privatiser, le système fonctionnera mieux à l'évidence..."

Je me pince. Je me jette des baquets d'eau froide à la figure. Seriez-vous en train de virer ultra-libéral ? La privatisation des services publics serait donc un progrès à vos yeux ?

"...mais aura exactement les mêmes difficultés à financement..."

Ouf. Vous avez failli briser tous mes repères. Me refaites jamais ce coup-là : la crise cardiaque, ça pardonne pas à mon âge.

Mais attendez... si l'on devait avoir exactement les mêmes difficultés de financement, en quoi le système fonctionnerait-il mieux ? Juste pour qu'on puisse avoir les éléments en main pour décider, hein...

"...qui ne pourront qu'en appeler à l’État pour réguler par la redistribution le coût que seule une partie de la population pourra se payer."

Bon. Nous revoilà solidement en territoire socialiste.

Rappelons le contexte : vous répondiez à ma remarque selon laquelle, si, comme on le constate concernant la recherche d'une disparue, l'initiative privée s'est montrée, sur l'exemple qui nous occupe, plus efficace que la police d'État, alors pourquoi ne pas envisager que l'école, la santé, l'assurance-maladie et l'assurance-retraite puissent mieux fonctionner après une large dose de privatisation ?

Je constate que, comme tous ceux qui ne peuvent sortir de la bulle de gauche dans laquelle ils sont enfermés, vous partez de l'axiome selon lequel, à service égal, le privé coûterait aussi cher que le public.

La dépense actuelle serait fixe, décidée par Dieu, René Girard ou je ne sais qui.

Mais c'est faux. Il vous incombe de démontrer que si l'on privatisait, cela coûterait aussi cher.

Car en réalité, il a été démontré le contraire. Ne serait-ce qu'en France. On sait que les hôpitaux privés, les écoles privées coûtent nettement moins cher que leur équivalent public. Ils sont, pourtant, plus recherchés...

Et c'est, évidemment, la même chose que l'on constate un peu partout. Moins les services sont étatisés, plus leur rapport qualité-prix est avantageux.

La science économique l'explique aisément : c'est la concurrence sur le marché libre qui permet la meilleure allocation des ressources rares qui ont des usages alternatifs. C'est vrai dans tous les domaines. L'histoire l'a amplement montré.

Si l'inverse était vrai, alors pourquoi les magasins soviétiques ou cubains ne regorgeaient-ils pas de victuailles délicieuses et bon marché ? Pourquoi ne proposez-vous pas la nationalisation de Carrefour, Auchan et Edouard Leclerc ? Que je sache, l'alimentation est plus cruciale à la vie que la médecine ou la police...

Vous affirmez qu'il y a des difficultés de financement aujourd'hui, et qu'elles seraient les mêmes en cas de privatisation. Qu'entendez-vous par là ?

Il y a, et il y aura toujours des "difficultés de financement", en ce sens que rien n'est gratuit en ce bas monde : rien ne s'obtient à défaut de travail et de capital.

Et ce n'est pas l'État qui peut les fournir. L'État ne fournit rien. L'État commence par voler aux citoyens pour leur en redonner un peu de l'autre côté. Tout en volant des milliards dans les poches des enfants à naître. C'est ça que vous appelez le "financement" ?

Tout ce qui passe par l'État génère un immense gaspillage, d'abord parce que cela supprime la concurrence, ensuite parce que cela crée une caste de fonctionnaires qu'il faut nourrir, qui a intérêt à croître et embellir, et qui n'a aucune incitation à dépenser moins puisqu'elle claque l'argent des autres.

Vous affirmez que seule une partie de la population pourra "se payer" un certain nombre de services, s'ils étaient privatisés. Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?

Vous prétendez que "pour la santé", "on peut imaginer que les pauvres, ma foi, n'ont qu'à crever". Oui, on peut imaginer n'importe quoi, surtout si l'on répète la vulgate communiste sans réfléchir.

Les pauvres, les riches et tous les gens entre les deux n'ont, en effet, qu'à crever s'ils n'en foutent pas une rame. C'est la loi de la vie. Par défaut, vous naissez à poil, vous n'avez rien à becqueter et vous mourez quelques jours plus tard.

Si ce n'est pas le cas, c'est grâce au merveilleux capitalisme et au fabuleux libéralisme. Ce n'est certes pas grâce à l'État et au communisme.

Je vous fais remarquer que "les pauvres", dans notre système communiste actuel, sont écrasés d'impôts en tout genre. À chaque fois qu'ils achètent une paire de chaussettes, ils donnent 20 % à l'État, ce qui est du vol à main armée.

Si la TVA sur les chaussettes (et tout le reste) n'était que de 5 %, alors les pauvres déborderaient de flouze et pourraient se payer tous les services privés qu'ils voudraient, "santé" comprise.

La "santé" n'a rien de spécial. C'est juste un service comme un autre, comme la réparation des chaussures ou le dépannage des bagnoles. Tous trois exigent du travail et du capital.

Pareil pour tout le reste.

Je comprends bien que vous tremblez d'indignation à l'idée que "lépauvres" puissent crever en masse faute de pouvoir se payer "lassanté".

Eh bien ! rien n'empêche de privatiser intégralement le bouzin, et de créer une allocation pauvres et sous-doués. C'est d'ailleurs ce qui existe dans d'innombrables pays qui ne sont pas communistes comme le nôtre, et où les services prétendument publics marchent infiniment mieux que chez nous pour nettement moins cher.

Entre une économie intégralement étatisée et une économie intégralement privatisée, il y a une infinité de gradations.

Je remarque que dans votre système idéal (le nôtre), la "redistribution" tient un rôle majeur. Ben voyons... On avait bien compris que la rage "redistributrice" (en bon français : communiste) était une raison majeure de la doctrine des étatistes.

Mais c'est très mal, de redistribuer, savez-vous ? C'est du vol. La Bible condamne l'envie et le vol. Vous avez oublié ? Le petit Jésus va venir vous donner des coups de pied au cul, moi j'vous l'dis...

Vous avez l'insigne culot de nous balancer deux liens sur le système de santé suisse, sans vous sentir moralement tenu d'expliquer en quoi les faits et les opinions qu'ils renferment étayeraient votre position.

C'est d'autant plus gonflé que vous nous avez largement bassiné, par le passé, avec des extraits de la constitution suisse, dont nous devrions nous inspirer, selon vous.

Mais simultanément, vous insinuez que le système de santé suisse est un gros tas de bouse fumante. Il faudrait savoir : la Suisse, c'est bien ou c'est pas bien ?

Je vous signale que la constitution suisse, et la philosophie politique suisse, plus généralement, sont méga-ultra-turbo-libérales. Donc venez pas nous casser les pieds avec la santé suisse pour défendre votre répugnante doctrine communiste.

Les gauchos comme vous n'en font jamais d'autres : dès que tel truc n'est pas 100 % parfait, c'est bien la preuve que c'est d'la m... Contrairement au communisme, qui, lui, est 100 % parfait. Mais sur le papier seulement.

Évidemment que vous allez avoir, en Suisse, des gens qui exprimeront certains griefs vis-à-vis de leur système de santé. Et alors ? La question n'est pas là. La question est : du point de vue du fonctionnement de l'économie, vaut-il mieux être français, vénézuélien ou suisse ?

Et la réponse ne fait pas de doute. D'ailleurs, elle figure dans les articles que vous avez indiqués.

Dans Le Matin, un journaliste chouine à n'en plus finir. Pourtant, il reconnaît : "Dans l'ensemble, on a un très bon système de santé".

Le site officiel Swissinfo rapporte que la réforme proposée par les socialistes a été rejetée par référendum. Tandis que le système de santé suisse, écrit-il, "est par certains côtés luxueux en comparaison internationale [...]. Ce dimanche, le peuple suisse a confirmé son attachement à un système de santé qui fait figure d’exception en Europe [...]."

"Les Suisses ont refusé à cinq reprises, au cours des 30 dernières années, des initiatives issues des rangs de la gauche prônant la création d’une caisse maladie unique ou la mise en place de primes selon le revenu."

"Car même s’il pèse de plus en plus sur les épaules de la classe moyenne, le système de santé suisse a le mérite de fonctionner. Que l’on soit riche ou pauvre, citadin ou habitant de la campagne, Suisse ou étranger résidant en Suisse, on peut bénéficier, dans ce pays qui a l’une des concentrations en hôpitaux les plus denses du monde, de prestations médicales de qualité dans des délais raisonnables."

Donc ?... Quel est votre argument ? Les liens que vous fournissez à l'appui de votre thèse sont ceux, précisément, qui la démolissent.

Revenons à la sécurité. Vous dites :

"[...] Pour la sécurité, les milices privées comme les places de prison que vous réclamez - comment on ne sait pas trop ce que serait une prison privée et payée par qui ? - n'auraient pas plus sauvé Philippine que notre police soi-disant gangrenée."

Je n'ai nulle part, dans mon commentaire, réclamé de milices privées ni de prisons privées. Mais envisageons la chose : les prisons privées, cela existe. Aux États-Unis, par exemple. Payées par qui ? Eh bien ! par les contribuables, naturellement. C'est une concession de service public. Comme, en France, les autoroutes, l'enlèvement des ordures ou la distribution de l'eau. Le mécanisme est parfaitement connu, et largement appliqué dans de nombreux pays.

Vous vous abstenez soigneusement de dire, cependant, ce qui aurait "sauvé Philippine". Car c'est ce à quoi vous vous opposez obstinément, sous prétexte que ce serait "raciste" : la fin de l'immigration de masse, et la déportation des immigrés illégaux.

Lesquelles, du coup, exigent un État fort. Mais seulement dans les missions qui lui incombent. Pas dans tout et n'importe quoi.

Autrement dit, un État libéral. Un État conforme aux idées de Ronald Reagan, Margaret Thatcher, Frédéric Bastiat ou Javier Milei.

Exilé

« Un groupe d’une trentaine de personnes est venu troubler un rassemblement organisé en la mémoire de la jeune femme tuée dans le bois de Boulogne la semaine passée. »

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/chant-antifasciste-minute-de-silence-non-respectee-un-hommage-a-philippine-conspue-par-des-militants-20240928

Cette gauche « antifasciste » qui s'en prend à ceux qui défendent la mémoire d'une victime sous le prétexte qu'il n'aurait rien fallu dire de ce meurtre dont l'auteur est considéré par elle comme un protégé intouchable, est vraiment ignoble.

Braves gens, qui savez encore faire la différence entre le bien et le mal, sachez que pour ces gens-là vous êtes tous des « fascistes ».

Serge HIREL

@ Lodi | 29 septembre 2024 à 10:04

Armer les Français serait la pire des solutions face à des individus n’ayant aucun respect pour la vie d’autrui. Aux Etats-Unis, le deuxième Amendement qui autorise tout citoyen américain à détenir des armes - pas à s’en servir... - ne doit sa survie qu’à la puissance d’un lobby, la NRA, capable de réduire à néant les chances d’un candidat à la Présidence qui, dans son programme, inscrirait l’abrogation de ce droit.

Les Américains, en raison de l’histoire de leur nation, ont une conception de la violence radicalement différente de la nôtre, Chez nous, pays des Lumières, « légitime », elle ne peut être employée que par l’État. Notre problème actuel est, d’une part, que celui-ci, contraint par un État de droit hypertrophié, n’a plus suffisamment d’autorité, d’autre part, qu’une bonne partie de l’immigration fait fi de ses règles en tous domaines et, de plus, ne peut imaginer les rapports sociaux que sur le mode dominant-dominé. Il est pratiquement impossible de modifier un tel état d’esprit sans recours à une autorité « musclée »...

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@ hameau dans les nuages | 29 septembre 2024 à 10:19
« Avoir les pieds sur terre et de préférence dans une paire de bottes, et non pas d'escarpins, peut être très utile à la réflexion. »

Pas tout à fait vrai... On peut nettoyer les écuries en escarpins. Un sac en cuir noir de la marque Asprey est aussi utile...
https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcR9IHqiZhys5KSjx-ZGLiPVVESY5GeXO8lNkA&s

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@ Robert | 29 septembre 2024 à 12:34

En Macronie, il ne peut pas y avoir un seul Peuple. Sinon ses appels sacro-saints au « en même temps » et au « Ensemble » n’ont plus de raison d’être. Il convient donc d’excuser Achille, qui n’a que répété ce qui est écrit dans son bréviaire.

Robert Marchenoir

@ Serge HIREL | 29 septembre 2024 à 12:52
"Votre paranoïa qui vous fait voir partout des 'rouges' et des 'frères' s’aggrave ces jours-ci et vous conduit à des délires qui ne peuvent être combattus que par une longue cure de silence. Mais cela est au-dessus de vos forces..."

Le bavasseur le plus intempérant du blog qui prétend m'imposer une cure de silence... Votre melon est prodigieux et votre culot, stratosphérique.

Nulle "paranoïa" de ma part, calomnie des hypocrites dans votre genre qui sont incapables de réfuter les faits incontestables et sourcés qu'on leur met sous le nez.

Je ne vois pas de francs-maçons partout : ils sont partout dans la police, et vous avez été incapable de réfuter mes preuves.

Je vois des "rouges" partout en France parce qu'il sont partout, et vous avez été incapable de réfuter mes preuves.

D'ailleurs vous en êtes vous-même l'illustration la plus éclatante. Vous posez au mec de droite, limite RN, mais à l'instar de nombreux autres, vous vous indignez sitôt que l'on dénonce la mainmise des communistes.

Curieuse façon d'être de droite, vraiment... Il n'y a qu'en France qu'on peut alerter sur le danger du communisme, pour entendre aussitôt se récrier non pas les communistes, mais des gens qui se prétendent de droite...

Franchement, arrêtez de vous tirer dans les pattes à chaque fois de la sorte : on a honte pour vous.

"Votre agression contre la police, qui, selon vous, s’est 'tourné les pouces' dans les heures qui ont suivi la disparition de Philippine est totalement gratuite. Vous ne savez rien de son action, plus que certaine, ni de son inaction, que vous vous empressez de dénoncer... parce que tel est votre plaisir."

Rhôlàlà, la pauvre police, victime du méchant Marchenoir alors qu'elle est toute gentille... Mais quel gauchiste pleurnichard vous faites, mon pauvre Hirel... J'ai agressé la police, maintenant !

Je vous confirme que pas plus tard qu'hier, j'ai violé trois policières, torturé à mort quatre gardiens de la paix et mis le feu à dix commissariats. Enfin une journée bien remplie !

Contrairement à vos consternantes sottises, mon "agression" de la police n'est nullement gratuite, et je sais parfaitement ce qu'elle a fait.

Et surtout ce qu'elle n'a pas fait.

Elle n'a pas, dès le soir de la disparition, localisé le téléphone de la disparue et déversé ses troupes sur le terrain pour mener une battue à la recherche du corps.

Alors que c'est pour ça qu'on la paye.

Raison pour laquelle la famille et les amis de Philippine ont dû faire, à la place de la police, le boulot de la police.

Fait incontestable qui vous défrise les narines mais que vous êtes impuissant à réfuter.

"Par ailleurs, vous suggérez que le meurtrier (présumé) a été rapidement retrouvé grâce à cette initiative privée. Il n’en est rien. Les enquêteurs ont réalisé un remarquable travail de recoupement entre plusieurs sources (relais téléphoniques et retraits bancaires notamment) et l’ont rapidement identifié. Leurs collègues suisses doivent aussi être remerciés. Sans leur célérité, il est probable que l’individu aurait regagné le Maroc, qui n’extrade pas ses ressortissants."

Sans la célérité de la famille et des amis de la victime. Avant que la police ne fasse ce travail, qui n'a rien de remarquable, qui est simplement la routine en pareil cas, il a bien fallu que l'on découvre le cadavre.

Et le cadavre n'a été découvert que grâce à la famille. En effet, rien ne dit que sans cette battue immédiatement organisée par l'initiative privée, le coupable n'aurait pas eu le temps de fuir hors de portée de la police suisse.

Il est vrai qu'en France, on félicite maintenant les gens de simplement faire leur travail. Ne parlons pas des fonctionnaires...

"Le meurtrier (présumé)."

Vous voulez dire : le salopard confirmé, l'enc... manifeste, l'ordure intégrale.

Pour une certaine droite, la police est dans le camp du Bien. Dès lors que l'on a le front de mettre le doigt sur ses manques, les petits flics idéologiques dans votre genre sortent brusquement de leur défroque soi-disant modérée de petit notable de banlieue pour insulter et calomnier.

C'est marrant de voir à quel point vous ne supportez pas la vérité.

"P.-S. : ce commentaire tient lieu de réponse à votre message du 27 septembre 2024 à 14:39 sous le billet de Philippe consacré aux démêlés entre Bruno Retailleau et Didier Migaud. Son caractère injurieux et déjanté ne méritait pas que j’y consacre du temps."

Je réponds pas, mais je réponds, mais je réponds que je réponds pas. Toute la bouffissure prétentieuse des faux intellectuels qui sont payés à ne rien faire, et qui s'imaginent que le monde entier attend leurs oracles.

Multipliez ça par plusieurs millions, et vous comprenez pourquoi la France est dans la m...

stephane

À partir du moment où il s'agit de catholiques traditionalistes, dénoncer leur assassinat c'est flirter avec l'extrême droite. Et donc c'est intolérable du point de vue de ceux qui se sont alliés aux antisémites et pro-islamistes de LFI.
Complices, à mettre dans le même sac.
Un islamiste est tué en légitime défense, il faut faire une marche blanche, manifester, casser.
Quand il s'agit d'un catholique, il faut tolérer, comprendre, et ne surtout pas légiférer puisque nous sommes dans un pays laïc.
On est tellement dans un pays laïc, qu'être catholique conduit à être négligé, non protégé, face à la barbarie islamiste.
Il ne faut légiférer dans l'urgence que pour obliger les gens à utiliser un vaccin dont les effets n'ont pas été évalués.
Les catholiques attendront. Leur foi peut les sauver, mais contre l'islamisation et le terrorisme, j'ai des doutes.

Serge HIREL

@ Robert Marchenoir | 28 septembre 2024 à 23:29

Votre paranoïa qui vous fait voir partout des « rouges » et des « frères » s’aggrave ces jours-ci et vous conduit à des délires qui ne peuvent être combattus que par une longue cure de silence. Mais cela est au-dessus de vos forces...

Votre agression contre la police, qui, selon vous, s’est « tourné les pouces » dans les heures qui ont suivi la disparition de Philippine est totalement gratuite. Vous ne savez rien de son action, plus que certaine, ni de son inaction, que vous vous empressez de dénoncer... parce que tel est votre plaisir.

Le fait que sa famille ait entrepris ses propres recherches n’a rien d’exceptionnel, pas plus que le nombre de personnes qui y ont immédiatement participé. La plupart des disparitions donnent lieu à de telles battues organisées par la famille, les amis, les voisins... à tel point que, parfois, elles entravent le travail de la police dans les premières heures de l’enquête.

Par ailleurs, vous suggérez que le meurtrier (présumé) a été rapidement retrouvé grâce à cette initiative privée. Il n’en est rien. Les enquêteurs ont réalisé un remarquable travail de recoupement entre plusieurs sources (relais téléphoniques et retraits bancaires notamment) et l’ont rapidement identifié. Leurs collègues suisses doivent aussi être remerciés. Sans leur célérité, il est probable que l’individu aurait regagné le Maroc, qui n’extrade pas ses ressortissants.

À ce propos, on attend encore, sinon les excuses de l’administration de Rabat, du moins ses explications sur le délai avec lequel elle a envoyé à Paris le laissez-passer consulaire que la France lui demandait depuis 75 jours. Sans cette incurie, Philippine serait encore vivante.

En revanche, dans votre commentaire, vous abordez un aspect important de cet abominable meurtre : le caractère extraordinaire de la vague d’émotion qu’il a soulevée. Et je partage votre point de vue lorsque vous en suggérez la cause : la victime appartient à une classe de la société élevée, habituellement peu heurtée par l’insécurité ambiante. Cela a provoqué un émoi parmi ses membres qui, tout à coup, se sont sentis vulnérables et ont pris conscience que « les sauvages » étaient aussi à leurs portes... et qu’il fallait réagir.

Cela n’est pas sans rappeler une attitude identique de cette même classe « dirigeante » lorsque, voici, de mémoire, une dizaine d’années, une douzaine de voitures - leurs voitures - ont été incendiées au pied de la Tour Eiffel par des voyous venus des banlieues. Soudain, c’était Beyrouth dans le VIIe... alors qu’à dix kilomètres de là, c’était depuis longtemps la situation quotidienne, la situation « normale ». Les victimes ont saisi leur carnet d’adresses et le calme est revenu... chez eux.

Croyons que la mort atroce de Philippine et que ce mouvement d’effroi général, partagé des HLM aux hôtels particuliers, des hameaux aux grandes villes, sont, cette fois, la porte d’entrée d’un réexamen complet de notre politique sécuritaire, carcérale et en matière d’immigration. Sinon, c’est à désespérer de notre République.

P.-S. : ce commentaire tient lieu de réponse à votre message du 27 septembre 2024 à 14:39 sous le billet de Philippe consacré aux démêlés entre Bruno Retailleau et Didier Migaud. Son caractère injurieux et déjanté ne méritait pas que j’y consacre du temps.

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@ Tipaza | 28 septembre 2024 à 13:28

Je partage très largement votre analyse de la situation actuelle de la société française. Je dis bien « la » société française parce qu’il ne saurait être question d’admettre que, sur notre territoire, une deuxième société s’installe et ne respecte que ses mœurs, surtout si de plus, comme cela semble sa volonté, elle cherche à chasser celle qui y vit depuis des siècles. Cela lui a déjà été expliqué clairement en 732, à Poitiers.

Deux bémols toutefois. Connaître le nom de la juge qui a élargi le futur meurtrier (présumé) de Philippine ne me paraît pas nécessaire tant qu’il s’agira d’une simple curiosité permettant à quiconque de la critiquer nommément. Il n’en serait pas de même si, au-delà de l’opprobre populaire - et peut-être pour éviter qu’il n’aille plus loin - cette juge ait à rendre des comptes à la société.

Pour l’heure, elle n’est pas « responsable » de sa décision. Peut-être, avec précaution, faudrait-il ouvrir un débat sur la possibilité de sanctionner un magistrat qui, pouvant être plus sévère ou plus méfiant, aura fait le choix d’appliquer la loi a minima... ou en l’interprétant à sa guise. Le dossier n’est pas facile à traiter, d’autant plus qu’il se heurtera chaque jour à des faits d’actualité qui pollueront une réflexion qui se doit d’être sereine.

Par ailleurs, il me semble difficile de juger « parallèles » les morts d’un voyou de 17 ans déjà trop connu des services de police et d’une jeune fille de 19 ans qui était son exact contraire. Le premier a fait le choix de risquer sa vie. Il l’a perdue. La seconde voulait vivre sa vie. Son meurtrier a décidé de la lui ôter. Que ces deux morts révèlent l’état proche de la guerre civile de notre société, soit, mais, que je sache, ceux qui pleurent Philippine ne vont pas en profiter pour incendier, piller et ensauvager la France. En revanche, le cadavre du voyou a servi de prétexte à ses semblables pour gravir un échelon de plus dans le combat qu’ils mènent contre notre société.

Robert

@ Achille | 29 septembre 2024 à 08:13

Arrêtez s'il vous plaît de faire l'âne ou de prendre les autres commentateurs pour des imbéciles.

Pour répondre à votre question, le Peuple reste une entité politique telle que l'évoquent la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen ainsi que la Constitution. Et juridiquement il n'y a en France qu'un seul peuple et non plusieurs peuples.
Pour le reste ce sont des parties du peuple, voire des populations réparties sur le territoire.
Revoyez vos bases du Droit français.

Pour aller un peu plus loin, je vous conseillerais de lire les divers livres de Christophe Guilluy.

Certains sont connus : "La France périphérique", "Le Crépuscule de la France d'en haut" ou encore "No Society". Il ont plus récemment été complétés par un nouveau volume fort instructif intitulé "Les Dépossédés" qui parle de l'éloignement géographique, social et culturel de la majorité de nos concitoyens, relégués dans cette France périphérique que la classe politique en place voudrait faire disparaître.

C'est cette politique d'invisibilisation qui génère de profondes frustrations, qu'on a vues il y a moins d'un an chez nos agriculteurs auxquels la parole de monsieur Attal s'est montrée particulièrement insuffisante. Et ce sont ces mêmes qui risquent de se réveiller de manière très brutale. Mais il est vrai que les habitants des métropoles comme de la capitale sont peu enclins à comprendre ce Peuple.

Claggart

@ Robert Marchenoir 28/09 23h29
« il s’agit de catholiques traditionnels de Versailles »

Ajoutons que cette famille fait partie de l’ancienne noblesse bretonne dont l’origine remonte au XIIIe siècle.
En 1580, à la montre de Saint Brieuc, était présent Pierre Le Noir de Carlan (paroisse de Meslin dans les Côtes d’Armor) , portant vouge et brigandine.

Xavier NEBOUT

Je ne mets plus les pieds à la messe de peur de ne pas contenir mon envie d'envoyer une baffe au prêtre, et ce matin sur France Culture, homélie pour l'accueil des migrants !
L'Eglise dépasse les sommets de la bêtise.
Ses curés n'ont le plus souvent rien compris à la spiritualité, d'autres sont prêtres pour ne pas avoir à avouer leur homosexualité, et les cancres intégraux assimilent le christianisme et le judaïsme. Les églises Vatican II se vident, les tradis sont pleines à craquer mais il n'y en a guère que dans les grandes villes. Il y a bien quelques héroïques résistants tradis non officiels soutenus par des paroisses rurales à forte densité en châteaux, mais on les compte.

Les athées ou rationalistes ou plus intelligents que les autres diront "on s'en fiche", sauf qu'il n'y a pas de paix sociale sans unité de morale, et il n'y a pas de morale communément acceptée sans spiritualité commune. Si bien que lorsque la spiritualité a disparu, une autre se pointe. On a cru faire avec un subterfuge d'humanisme inéluctablement devenu woke LGBT, et voilà que l'Islam rapplique.
C'est ce qu'il faudrait à notre civilisation dégénérée, et il a été créé pour cela, mais le problème, c'est qu'il est amené par l'invasion africaine.
Or, les prisons ne remplaceront pas la spiritualité.

Il faudrait donc virer la pègre intellectuelle qui nous gouverne ainsi que l'Église satanique avec le bel échantillon d'abrutis qui nous bassinent ici, et se réveiller, car au fond, les Français, le réveil de la spiritualité, ils n'attendent que ça.
Encore faut-il au moins qu'ils se l'avouent.

Achille

@ Michel Deluré | 29 septembre 2024 à 09:34

Comme l’a dit Bernard Werber :

Entre
Ce que je pense,
Ce que je veux dire,
Ce que je crois dire,
Ce que je dis,
Ce que vous avez envie d'entendre,
Ce que vous entendez,
Ce que vous comprenez...
Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même... :)

hameau dans les nuages

Le péquenot que je suis va vous expliquer pourquoi il n'y a pas eu d'incidents dans Paris nettoyé : cela s'appelle faire le vide sanitaire. J'en sais quelque chose, ayant eu mon troupeau contaminé par la brucellose en 1984.

Sans en arriver aux conditions extrêmes qu'est l'abattage pratiqué, on vide physiquement l'étable, on la nettoie, on la blanchit à la chaux (chaux raciste dirait sylvain) et elle reste inoccupée pendant un certain temps.

Ainsi fut Paris. La même chose peut être faite dans nos prisons vu le taux d'occupation des étrangers et doubles nationaux. Avoir les pieds sur terre et de préférence dans une paire de bottes, et non pas d'escarpins, peut être très utile à la réflexion.

Ne me remerciez pas, c'est avec plaisir et gratuitement que je prodigue mes conseils.

Sinon hier à Pau dans la ville du bon roi Henri, il y eut journée portes ouvertes dans les magasins de bricolage :

https://media.larepubliquedespyrenees.fr/21565652/1200x-1/rep-2849-hd42286.jpg?v=1727538238

Oui mais là ce sont des asiles qu'il faut ouvrir.

Lodi

"Le Rassemblement national a été fidèle à lui-même. Dans l'affliction mais dans un maximalisme immédiat, laissant trop peu de temps entre l'émotion et le politicien pour que la première soit jugée totalement authentique.
Je ne serais pas loin, sur ce plan, de comparer le communiqué du Syndicat de la magistrature dont la tonalité filandreuse ne semblait avoir pour finalité que d'occulter l'horreur nue de la mort de Philippine, avec la demande de Laurent Wauquiez réclamant une mission flash à l'Assemblée nationale sur les dysfonctionnements administratifs et judiciaires. Elle relève à mon sens de la posture : on sait ce qui s'est (mal) passé." (PB)

Les deux ne font qu'un : à l'étouffement des uns correspond les cris des autres. Il faut dire et redire que la submersion par une immigration où souvent on nous rend le mal pour le bien ne peut pas durer.
Il faut, prévention, fortifier l'Europe, et délocaliser la sélection d'immigrés qu'on accepte et qu'on refuse. Si des pays refusent de reprendre leurs ressortissants, il faut soit les délocaliser là où on veut bien les détenir comme au Rwanda, soit les enfermer dans des camps de rétention dont ils ne sortiront que si on peut les renvoyer dans l'une des deux directions.

Mais cela ne risque pas de se faire de sitôt, et tous les dispositifs ont leurs imperfections.
Or il faut réagir au fait que les indésirables nous ravalent au rôle de proie dans notre propre pays.

Permettre aux citoyens, je veux dire aux seuls nationaux de s'armer, me paraît la forme de protection accessible à tous.
La démocratie qui a protégé les autres démocraties, savoir qui nous a délivrés et aide une Ukraine pourtant européenne, la démocratie américaine le permet... Certes, il y a des abus. Mais du moins les Américains n'ont pas de territoires perdus de leur République, sans compter que tout gouvernement est sommé de ne pas trop abuser de ses citoyens quand tant sont armés.

Rappelons que notre Résistance a dû attendre que les Alliés condescendent à ce qu'on lui offre des armes. De même que sans bombe atomique, les Ukrainiens mendient des armes certes plus puissantes. Je demande pardon en passant aux Ukrainiens de les comparer aux Français, leur résistance n'est pas résiduelle, elle, mais menée par l'État lui-même. La France, qui avait une armée bien plus à la taille de l'armée ennemie, elle, a eu son Pétain, et par conséquent, a encore ses pétainistes aujourd'hui, pays de "La liberté pourquoi faire ?"

Bien sûr, tout étranger portant les armes, ou tout Français commettant des abus, doit être très lourdement sanctionné.
Plus que les fous du volant, vu que si les véhicules peuvent devenir des armes, l'arme en est une, et demande donc un plus grand contrôle.

De même qu'on sensibilise les jeunes à la conduite, on devrait le faire aux armes, en tant que je me défends et défends les personnes agressées dans la rue.

Nous avons fait fausse route avec l'immigration.
Nous avons tout misé sur l'éducation. Or que se passe-t-il ? Il se trouve qu'on ne va pas changer du plomb en or mais se retrouver avec du fer dans le ventre ou du sperme dans des femmes violées, double peine, soit dit en passant, si catholiques traditionalistes, car si on est contre l'avortement, on est obligé de garder le résultat du viol dans son corps, sans parler éventuellement de subir sa présence toute sa vie, car l'entourage peut dissuader de l'abandonner dès que possible.

Je signale qu'on ne cesse d'exploiter ceux qui ne peuvent pas refiler le bébé aux autres, c'est le cas de le dire.
À une époque où tant ne veulent pas ou plus être professeur, on force des citoyens à cohabiter avec des indésirables, à charge pour eux de les intégrer, savoir de les éduquer.
Or non, en bout de chaînes, les gens victimes des pays étrangers laissant leurs gens arriérés et nos gouvernants nous livrant en pâture à leurs appétits ne doivent pas nous trouver soumis.

Les Français se prétendent un peuple des idées, de l'intelligence, de... rien du tout, oui, nous ne voyons pas ce qui est sous nos yeux.
En tout cas, par nous-mêmes. Mais nous serons peut-être capables d'imiter la réaction européenne face aux indésirables, ainsi que d'imiter la liberté d'expression des États-Unis, et une autre garantie de sa liberté, encore : les armes.

En France, on se croit la légitimité de faire la leçon aux États-Unis. Quelle erreur ! Des gens qui ne sont jamais libres que par intermittence et peuvent écrire la liberté pour quoi faire ne sont, en comparaison de l'excellence anglo-saxonne, que des incapables.
Or c'est aux incapables de prendre modèle sur les capables, et non le contraire ! Accessoirement, notre manque de fair-play en la matière ne donne pas le bon exemple à ceux qui nous rendent le mal pour le bien. Notre ingratitude non plus... Non que ce soit un problème bien important : il ne faut pas éduquer les arriérés mais leur interdire le territoire, tout simplement.
Et acclimater enfin la liberté que nous feignons d'autant plus de chérir que nous ne l'aimons pas.

sylvain

Moi j'irais plus loin que Zemmour, ce qu'il faut pour purger la France de la peste macronienne, c'est tout d'abord nettoyer l'AN, virer tous ces péloquins qui ne sont bons que pour la gamelle de fin de mois, instaurer une justice spéciale pour faire payer très cher tous les crimes de ces juges rouges complices de criminels, embastiller sans délai tous les délinquants et criminels immigrés dans des zones de rétention ou des îles loin de la métropole, supprimer tous ces sabots de Denver qui bloquent les institutions : État de droit, LDH, défenseurs des droits, SM mur des cons, fermer cette ENM, Ecole Nationale du Meurtre et ses juges rouges, former une police intouchable, fermer toutes ces bases extrêmes gauchistes palestiniennes Hamas, Sciences Po Paris, universités Lyon Grenoble etc. couper toutes les subventions à ces crapules mafias gauchistes soutiens des envahisseurs...

En somme celui qu'il nous faudrait c'est un Netanyahou et ses généraux impitoyables avec la racaille terroriste, mais on peut toujours rêver ; contentons-nous des c*ls tendus soumis macroniens puisque le peuple vote et revote pour son bourreau.

Bon j'arrête là, j'en ai plein d'autres mais j'ai barbeuk avec mes potes eSStrêmes droites et faut allumer le feu, préparer les brochettes, les côtelettes, de porc, j 'insiste, pas de halal chez nous les fachos racistes blancs cathos de souche.

À plus pour de nouvelles aventures.

Michel Deluré

@ Vamonos 28/09/24 23:02

Pas de souci, excuses acceptées. J'avoue que votre commentaire m'avait amené à m'interroger sérieusement sur la distorsion pouvant exister entre ma pensée et son expression !

Achille

@ Robert | 28 septembre 2024 à 12:40
« Le problème de monsieur Macron reste son incapacité à comprendre au fond les besoins du peuple français, des Français dont il doit être le plus éminent représentant.»

De quel peuple parlez-vous au juste ? Parce quand on écoute "le peuple français", comme vous dites, on se croirait dans l’émission de Morandini (CNews à 11 h) où tout le monde parle en même temps et où l’on ne comprend rien.

Il y a plusieurs peuples en France. Pour simplifier, disons le peuple de gauche, le peuple de droite, et puis les gens qui se fichent de la politique et qui voudraient juste qu’on leur fiche la paix.

Pas facile de comprendre les besoins des Français quand ils veulent tout et son contraire. Alors il faut parfois prendre des décisions, sachant que de toute façon il y aura des déçus.
Cela a toujours été le cas dans toutes les Républiques et passer de la Ve à une hypothétique VIe ne changera rien à l'affaire.

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Vous pourrez privatiser, le système fonctionnera mieux à l'évidence, mais aura exactement les mêmes difficultés à financement qui ne pourront qu'en appeler à l’État pour réguler par la redistribution le coût que seule une partie de la population pourra se payer.
Le débat actuel sur l'assurance santé suisse est édifiant sur le sujet :

https://www.swissinfo.ch/fre/politique-federale/sechs-lehren-aus-diesem-krankenkassen-entscheid/80164347

https://www.lematin.ch/story/commentaire-primes-maladie-plus-que-les-yeux-pour-pleurer-103191819

Ceci pour la santé où on peut imaginer que les pauvres, ma foi, n'ont qu'à crever, mais pour la sécurité, les milices privées comme les places de prison que vous réclamez - comment on ne sait pas trop ce que serait une prison privée et payée par qui ? - n'auraient pas plus sauvé Philippine que notre police soi-disant gangrenée.

L'alternative n'est donc pas dans l'éternel clivage gauche-droite ou public-privé, mais dans la capacité des systèmes différents à financer les services indispensables au bon fonctionnement d'une société qui, dans l'idéal et en même temps, saurait réguler la relation de la liberté avec l'égalité, quand la fraternité n'est alors qu'un pragmatisme qu'il revient à l’État, dont le rôle est ainsi défini comme celui d'un régulateur, d'assurer.

Cela n'empêche pas, bien entendu, de dégraisser notre mammouth à la ramasse, dont l'actualité brûlante devrait inspirer le courage et la sincérité nécessaire pour enfin réformer en France ce qui doit l'être, pour continuer à pouvoir se payer la protection sociale indispensable à la paix civile, sans tomber dans ces travers de sale gosse que souvent à raison vous dénoncez.

https://www.youtube.com/watch?v=LUoNhKBvj4k

Ellen

@ Achille | 28 septembre 2024 à 13:24
"Une folie criminelle" nous a-t-il annoncé. Or il n’y a pas eu le moindre incident."

À bien y réfléchir Alain Bauer n'était pas si ridicule que ça. Le fait d'avoir lancé une telle peur légitime a permis au gouvernement de prendre conscience et d'assurer les JO par une triple disposition de sécurité avec le concours d'autres pays "quoi qu'il en coûte".

Les attentats terroristes de Munich, du Bataclan, de Nice et tant d'autres ont laissé des traces traumatiques pour toujours.

Axelle D

@ Achille
"Manifestement ce monsieur très pénétré de ses connaissances en matière de criminalité s’est bien planté en ce qui concerne la cérémonie d’ouverture des J.O. de Paris.
"Une folie criminelle" nous a-t-il annoncé. Or il n’y a pas eu le moindre incident.
Mais ce n’est pas le premier "expert" à se ridiculiser ... ni le dernier"

Ci-dessus le rappel du propos qui vous a valu mon commentaire.

Loin de moi donc l'idée de vous qualifier de péquenot, mais il m'avait juste semblé que vous n'aviez pas mis les pieds à Paris depuis un certain temps, notamment durant la période récente, précédant et accompagnant les JO où la capitale était méconnaissable tant il y régnait partout ordre et propreté, un métro et des rues nickel, du bleu partout et pas un SDF à l'horizon.
Hélas ce ne fut qu'une éclaircie dans le cauchemar d'une réalité qui a déjà repris ses marques.

Robert Marchenoir

C'est grâce à la famille et aux amis de Philippine que son téléphone et son corps ont été retrouvés. Dès sa disparition, la famille a localisé l'appareil à distance. Un groupe d'une cinquantaine de volontaires a organisé une battue dans le Bois de Boulogne. Ce sont eux qui ont retrouvé le cadavre, dès le lendemain du meurtre.

Dans un pays normal, fonctionnant correctement, c'est la police qui s'en serait chargée. Dans le cas qui nous occupe, il est possible que le meurtrier n'ait pas été retrouvé, ou pas aussi vite, si l'action policière n'avait pas été ainsi "privatisée" par "une milice se faisant justice elle-même".

Je me rappelle une affaire similaire, où ce sont la famille et les amis du disparu qui ont organisé immédiatement des recherches, avec de gros moyens, pendant que la police se tournait les pouces. Cette fois-là, il s'agissait d'Arabes.

Aujourd'hui, il s'agit de catholiques traditionalistes de Versailles.

D'un côté, c'est rassurant, car cela montre que "l'ultra-libéralisme" est plus efficace que le communisme. Un autre monde est possible, lorsque rien ne vient se mettre en travers de la liberté d'association et de la liberté d'entreprendre. La preuve est faite que les "cow-boys" agissant "comme aux États-Unis" sont plus efficaces qu'une police tout occupée à faire du syndicalisme, de la franc-maçonnerie et de la politique.

Si le pékin lambda peut se transformer d'un coup d'un seul en shérif à la française, pourquoi ne pourrait-on pas privatiser intégralement (ou largement, ou significativement) l'école, l'hôpital, l'assurance-maladie et l'assurance-retraite ?

D'un autre côté, la plupart des Français ne sont pas en mesure de mobiliser en quelques heures des dizaines de connaissances pour prêter main-forte à la maréchaussée. C'est précisément dans ce but que l'on paye, fort cher, l'État obèse dont nous "bénéficions" actuellement. Avec le manque de résultats que tout le monde peut constater...

Vamonos

@ Michel Deluré | 28 septembre 2024 à 19:04

Probablement un contresens de ma part, j’avais mal lu votre commentaire. Veuillez m’excuser.

Ellen

"Et qui fera agir et réformer, je l'espère." (PB)

Quand les poules auront des dents ?
D'ici là, nous avons encore un long long chemin à parcourir avec les obstacles des rouges islamogauchistes LFI dressant des barricades incendiaires.

Sandrine Rousseau aurait mieux fait de se taire. Cette femme a perdu la raison ! Elle a intérêt à ne pas trop s'aventurer dans les bois toute seule. On ne sait jamais, des fois qu'un OQTF dangereux et libéré à tort croise son chemin...

Ellen

@ Exilé | 28 septembre 2024 à 19:49

Je vous rejoins. Merci Exilé d'avoir fait le rappel.
Même ceux qui n'étaient pas avant pour le RN ont ouvert les yeux et décident de les rejoindre en masse.
11.000.000 d'électeurs ont voté pour le RN en juin 2024, aujourd'hui c'est 20.000.000 de Français prêts à prendre le même bulletin.
C'est trop grave ce que nous vivons. D'autres pays de l'UE prennent les mêmes dispositions à cause des politiques défaillants.

semtob

Cher Philippe,

Vous dites que c'est "un crime qui fait parler", c'est aussi un crime qui fait pleurer et qui laisse notre pays endeuillé et muet face à la noirceur du réel et au manque d'empathie d'une partie de la jeunesse.
françoise et karell Semtob

Achille

@ Axellle D | 28 septembre 2024 à 18:29
« Mais pour le comprendre encore faudrait-il résider à Paris, ou du moins avoir fait ce genre d'expérience dans une situation analogue, ce qui ne semble pas être votre cas. »

J’ai quand même vécu trois ans à Paris pour suivre mes études. Ensuite il m’est arrivé d’y aller régulièrement dans le cadre de mes activités professionnelles (au moins une fois/mois).
Il m’arrive même d’y retourner de temps en temps pour y retrouver des amis.
Je ne suis donc pas vraiment le péquenot que vous semblez imaginer. :)

Exilé

« Le Rassemblement national a été fidèle à lui-même. Dans l'affliction mais dans un maximalisme immédiat, laissant trop peu de temps entre l'émotion et le politicien pour que la première soit jugée totalement authentique. » (PB)

« Maximalisme immédiat », en quoi  au juste ? 
Cher monsieur Bilger, devons-nous reprendre, ne fût-ce que partiellement, des narratifs forgés par une gauche dont la calomnie et l'inversion accusatoire sont le fonds de commerce et repris par des médias de grands chemins, pour accuser une prétendue extrême droite d'une récupération dont cette gauche a pourtant le quasi-monopole depuis des dizaines d'années ?

Qui a lancé une récupération absolument immonde sur la base d'une accusation dépourvue de fondement lors de l'affaire de Carpentras, sinon la gauche y compris sa composante faussement modérée du PS ? A-t-elle présenté des excuses à son propos ? non.
De même, la vraie récupération liée à l'affaire Nahel, victime de sa propre inconduite, et ayant entraîné des saccages et des désordres énormes, ne relevait-elle pas, elle et à juste titre, du « maximalisme immédiat » ?

Quant au RN (ex-FN), cela fait certes plus de quarante ans qu'en tant que lanceur d'alerte il est obligé de crier dans le désert, pour surmonter le silence assourdissant d'une bien-pensance qui refuse obstinément de voir la vérité en face et ne sait, meurtre après meurtre, viol après viol, atrocité après atrocité, qu'organiser les mêmes cérémonies aussi dérisoires que ridicules autour de marches blanches et autres niaiseries expiatoires chargées de détourner l'attention des Français des véritables causes et auteurs de ces drames qui n'ont aucun rapport avec la fatalité contrairement à ce que l'on cherche à leur faire croire, afin d'instaurer l'obligation de se conformer sans discussions à l'omerta officielle imposée sur une question gênante.

Et si même les prétendues féministes (*) se taisent, qui va enfin dénoncer ce qui, au vu de la répétition d'un scénario tristement connu, n'est pas au vu du contexte un quelconque « féminicide » impersonnel, intemporel et non sociologiquement ciblé, mais aussi et surtout un « francocide » conditionné par un contexte précis trop souvent reproduit ?

Enfin, sans nous faire les thuriféraires de la communication du RN, n'oublions pas qu'elle est aussi la voix des inquiétudes de millions de Français de toutes extractions s'efforçant de donner à leurs enfants une bonne éducation, et pas seulement sur un plan scolaire et purement utilitariste, se demandant chaque jour la boule au ventre si le fruit de tant de sacrifices ne sera pas anéanti instantanément par la faute des responsables politiques et administratifs qui se sont succédé sans avoir jamais voulu reconnaître, par lâcheté ou perversité, leur tragique erreur d'appréciation en ce qui concerne certaines incompatibilités culturelles, causes de bains de sang dans l’histoire de l'humanité.

(*) Sauf les courageuses jeunes femmes du collectif « Némessis ».
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/meurtre-de-philippine-un-hommage-organise-dimanche-a-paris-par-un-collectif-feministe-et-identitaire-20240925

Michel Deluré

@ Vamonos 28/09/24 17:06

J'ai beau me relire et j'ai vraiment du mal à percevoir en quoi mon message que vous commentez est "emblématique d'un racisme systémique à l'égard des victimes de la violence islamogauchiste".

Vous avez de ma pensée une interprétation très personnelle ou alors il faut croire que je n'ai pas su exprimer clairement celle-ci pour que vous en donniez ainsi une telle interprétation.

Axellle D

@ Achille | 28 septembre 2024 à 13:24

En même temps avec 45 00 policiers et gendarmes réquisitionnés durant les JO, plus 18 000 venus de l'étranger, ajoutés aux innombrables restrictions de circulation et de contrôle imposées en amont et en aval dans nombre de quartiers de Paris, pas étonnant que cela ait incité les délinquants habituels à aller faire leurs méfaits ailleurs.
Comme quoi la peur du policier ou du gendarme aurait du bon quoi qu'on dise !

Mais pour le comprendre encore faudrait-il résider à Paris, ou du moins avoir fait ce genre d'expérience dans une situation analogue, ce qui ne semble pas être votre cas.

Vamonos

@ Michel Deluré | 28 septembre 2024 à 11:26

Votre commentaire est emblématique de votre racisme systémique à l’égard des victimes de la violence islamogauchiste. Les familles et les sympathisants des trop nombreuses victimes sont accusées de récupérations politiques. La moindre critique à l’égard du système judiciaire et du garde des Sceaux fait l’objet du même réflexe de type pavlovien.

Par contre lorsque qu’un voyou se tue dans des conditions glauques, les incendiaires s’en donnent à coeur joie et vos semblables ne font rien pour les calmer, bien au contraire. Ils en profitent pour récupérer politiquement la situation à leur avantage.

Voyez-vous, l’antienne selon laquelle les syndicats seraient apolitiques ne prend pas, ne prend plus. Il faudrait quand même se réveiller, la gauche a perdu son ascendance sur les travailleurs et le petit peuple.

sylvain

Le benêt de la justice : le nouveau ministre de la Justice, qui à mon avis fera une carrière éclair, a déclaré qu'il ne fallait pas légiférer à chaud après un acte isolé !

Le problème c'est que ces actes "isolés" se produisent maintenant plusieurs fois par semaine, pas le temps de légiférer à froid.

Florestan68

Cher Philippe Bilger,

« Un crime qui fait parler. Et qui fera agir et réformer, je l’espère. »

Heureux les cœurs purs, comme le chantait si bien Jean-Roger Caussimon.

Mais pourquoi diable voulez-vous que ça change ? Voilà des années, voire des décennies que ces crimes abominables se répètent avec la régularité d’un métronome, avec toujours les mêmes victimes, blanches en général, et toujours les mêmes auteurs, issus de l’immigration, et en situation plus ou moins irrégulière.

Et à chaque fois, le même protocole garanti : déni et hurlement à la récupération à gauche, colère et exigence de fermeté à droite, dignité, pleurs, silence, marche blanche, bougies et peluches pour les proches.

Vous dénoncez le maximalisme du RN : il serait au contraire grand temps de donner un formidable coup de poing sur la table pour secouer les consciences et faire enfin avancer le Schmilblick.
Car après l’émotion et quelques éventuelles mesurettes symboliques, l’État de droit s’imposera à nouveau. Donc l’impuissance.

Pourtant, quand un bateau prend l’eau, écoper est indispensable, mais fermer la brèche est la priorité.
De même, en matière de criminalité, sanctionner est indispensable, mais fermer la porte du pays aux futurs délinquants est la priorité.

Or ce n’est pas celle de nos gouvernants qui, en la matière, ne font qu’appliquer la volonté des citoyens qui étaient encore une large majorité à plébisciter les partis immigrationnistes en juin et juillet dernier.

Car c’est dans les urnes et non dans les sondages que se reflète notre surmoi progressiste suicidaire, fruit d’un lavage de cerveau continu d’un demi-siècle. Préférer LFI au RN dans un barrage républicain en est la preuve incontestable.

De quoi se plaint-on ?

Alors espérer ? non.
En finir chacun avec notre schizophrénie (prétendre qu’on ne veut plus d’immigration tout en votant pour les partis qui la favorisent) ? oui.

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