Un entretien dans Le Parisien. Une analyse fouillée dans Le Point sur "Le cas Retailleau" par Nathalie Schuck. Bruno Retailleau (BR) est omniprésent.
Une exposition médiatique intense depuis qu'il a été nommé ministre de l'Intérieur.
Parce qu'il est "l'homme fort du gouvernement (...), le ministre le plus puissant du gouvernement" ?
Il me semble que derrière cette apparence politique et médiatique, il y a comme un saisissement face à cette personnalité qu'on peut qualifier d'atypique, parce qu'elle se trouve impliquée dans un univers du pouvoir aux antipodes de ce qu'elle est.
Je n'appartiens pas à "sa galaxie" telle qu'elle est décrite, même si en son sein j'apprécie, parmi ceux que je connais, Gérard Larcher, François-Xavier Bellamy, Othman Nasrou, Christelle Morançais et Louis-Marie Le Roy.
Cependant, les relations amicales que j'ai toujours entretenues avec lui me permettent, certes sur un point que d'aucuns jugeraient dérisoire mais qui ne l'est pas pour moi, de louer sa fiabilité et sa réactivité qui ne laissent jamais un SMS sans réponse, quel que soit son emploi du temps chargé, y compris depuis qu'il est ministre. C'est un signe révélateur d'une organisation intellectuelle et professionnelle structurée et cohérente.
BR suscite une adhésion de plus en plus nette de la majorité nationale sur laquelle il s'appuie, et l'étonnement de ceux qui, depuis trop longtemps, avaient fait une croix sur la possibilité d'une durable sincérité politique.
C'est d'abord cette caractéristique que je désire mettre en lumière. Je me souviens des critiques sur son apparence austère, avant même qu'il soit ministre. J'avais été surpris qu'on lui appliquât les mêmes critères que ceux généralement réservés, absurdement, aux femmes en politique. Cette impression aujourd'hui me paraît fondamentale parce qu'elle sort radicalement BR des stratégies de séduction qui consistent à dissimuler par tactique ce qu'on est vraiment et à offrir au citoyen ce qu'il désire entendre. La démagogie étant reine, et non pas le courage de la sincérité, qui est pourtant le moyen le plus efficace et le plus direct pour convaincre les Français.
BR, depuis qu'il est entré en politique, n'a pas dévié d'un pouce par rapport à une ligne intelligemment et vigoureusement conservatrice qui, miracle, s'est maintenue, encore plus assumée, depuis qu'il est ministre.
Sur l'immigration qu'on ne saurait qualifier aujourd'hui de "chance pour la France" au regard de quelques exceptions bienheureuses ; sur les OQTF, sur la durée des rétentions, sur l'excuse de minorité, sur l'État de droit qui évidemment ne doit pas être "intangible", sur l'obligation d'une politique dont le volontarisme n'a de sens que s'il sait mettre en actes les projets, BR n'use pas de la langue de bois. Il n'hésite pas - tout en rappelant que celui qui décide est le Premier ministre - à porter le fer dans la plaie, à faire apparaître les conflits quand ils sont nécessaires et à invoquer une solidarité ministérielle qui sert trop souvent de prétexte à l'effacement. Comme pour l'aide médicale d'État qu'il aspire à remplacer par une aide médicale d'urgence, contre sa collègue MoDem de la Santé.
BR n'a peur de rien sur le plan intellectuel et politique. Aucune prétendue évidence ne lui résiste. Tous les poncifs que propage une droite gangrenée par la gauche, il les pourfend. Il est favorable aux courtes peines. Il démolit le slogan "tout sauf la prison", d'autant plus aberrant que, si la prison demeure un horizon indépassable, cela tient d'abord au fait que c'est la seule sanction dont la concrétisation peut être immédiate - à cause de la faiblesse du dispositif général d'exécution des peines. BR ne fait pas de la politique en étant persuadé, comme tant d'autres, par un défaitisme anticipé et commode, de l'impuissance du politique. À peine a-t-il été nommé qu'il a durci deux circulaires de Gérald Darmanin : quand on veut, on peut ! Il contraint Didier Migaud à se poser, comme ministre de la Justice, les bonnes questions...
C'est ne rien comprendre à cette personnalité singulière que la placer sous le pavillon stupide du Vendéen réactionnaire et catholique, pour la discréditer. Ou à lui inventer dès aujourd'hui des desseins présidentiels...
BR est un homme qui a perçu, le premier, que la victoire de la droite ne serait définitive que si elle l'emportait sur le plan culturel. Il l'a affirmé notamment dans "Bilger les soumet à la question", en 2020.
Reprendre à la gauche ce dont elle a privé abusivement la droite, redonner sa fierté à cette dernière en cessant de la noyer dans des jeux et des "je" politiciens désastreux, comme Laurent Wauquiez à l'Assemblée nationale, accomplir cette élémentaire coïncidence entre la pensée, la promesse et l'incarnation et ne pas se préoccuper d'un futur qui ne serait que l'expression d'une pure ambition.
Dans Le Point, BR me permet une belle conclusion : "Hannah Arendt disait qu'en politique "les mots justes trouvés au bon moment sont de l'action". Dans l'action, on ne peut pas se payer de mots. Je sais que je serai jugé à mes résultats et que j'ai peu de temps".
BR n'est pas aujourd'hui "un cas" mais devrait être un exemple pour les ministres.
Qu’est allé faire M. Retailleau dans ce bourbier ? Il avait une place au chaud au Sénat. Faut-il s’esclaffer de l’ambition des hommes ? L’homme se croit un destin national, à l’image de celui de tous les petits hommes qui remplissent les palais républicains.
Cessons les simagrées. Il est évident que M. Retailleau ne fera rien, ou très peu. Son pouvoir réel à l’endroit des maux qui affectent la France en matière d’immigration et de sécurité intérieure n’est que marginal.
M. Retailleau : énième histrion insupportable dans la débâcle des institutions de notre vieux pays, fatigué de vivre, fatigué d’exister.
Vivement que tout s’écroule. Les circonstances périlleuses imposeront peut-être l’émergence de grands hommes et au peuple de recouvrer un peu de son ancestrale vertu.
En attendant, sous vos applaudissements : reprise de la commedia dell'arte.
Rédigé par : Jean sans terre | 20 octobre 2024 à 18:34
Loi immigration : Bruno Retailleau ne veut pas "aller au-delà de ce qui a été voté" en 2024.
Taïaut taïaut taïaut, ferme ta g***** répondit l'écho.
Après la proposition de l’exécutif, dimanche, de soumettre une nouvelle loi Immigration en 2025, le ministre de l’Intérieur a assuré ce mardi 15 octobre, sur France 2, qu’il souhaitait qu’elle ne contienne pas de dispositions supplémentaires par rapport au texte voté l’an passé.
Et censuré en grande partie par le Conseil constitutionnel islamogauchiste.
Ben voyons !
Et voilà comment notre nouveau ministre des fiascos chers à Darmanul, nous en remet des couches supplémentaires sur ceux de l'ancien.
Dealers, narcos, racailles, squatteurs... dormez bien, personne ne viendra plus jamais vous déranger.
On vous enverra même les plannings de passage des majorettes de la CRS 8, et si vous êtes sages, la fanfare de Nakamura et ses morpions.
Rédigé par : sylvain | 15 octobre 2024 à 13:36
@ sylvain | 14 octobre 2024 à 22:59
Le pacte européen qui vient d'être entériné par la majorité des États membres est une usine à gaz, ce que vous sauriez si vous aviez pris la peine de le lire de bout en bout.
Et pourquoi vous en prendre à Retailleau qui n'est pour rien dans sa négociation et ne l'a pas signé au nom de la France.
Néanmoins, en sa qualité de ministre de l'Intérieur de la République française, le nouveau patron de la police et de la sécurité a obligation de le faire appliquer pour tout ce qui concerne les services dont il a la charge. Ou bien donner sa démission. Ce qui ne serait pas très courageux et n'empêcherait nullement la mise en oeuvre dudit pacte en 2026.
Et si Retailleau avance au pas du montagnard dans le domaine qui lui a été confié, ce n'est déjà pas si mal. Au moins il garde le cap et ne recule pas. Sachant que la remontée sera longue, très longue et certainement semée d'embûches...
Rédigé par : Axelle D | 15 octobre 2024 à 09:39
Le masque de Retailleau est tombé : c'est un traître collabo macronien.
La Pologne, les Pays-Bas et la Hongrie refusent d’appliquer le Pacte européen pour les migrations, on aurait pu imaginer que M. Retailleau fasse de même.
Mais non, au contraire, il veut accélérer sa mise en œuvre, qui va répartir obligatoirement des milliers de migrants dans nos campagnes.
Dormez braves gens !
Rédigé par : sylvain | 14 octobre 2024 à 22:59
@ caroff
Il ne s'agit pas de nier les migrations, mais de ne pas en faire la cause de tous les problèmes en occultant le fait démographique, vieillissement de la population et baisse de la natalité, il ne manque pas que de travailleurs qualifiés, nous avons besoin d'immigration, c'est un fait.
Rédigé par : Aliocha | 14 octobre 2024 à 16:18
@ Aliocha 9h21
"Meloni vient de régulariser 450 000 clandestins !"
Meloni s'est d'abord attaquée avec succès à l'immigration clandestine : on note une baisse de 65 % du nombre d’entrées irrégulières entre le 1er janvier et le 27 août 2024 par rapport à l’année précédente.
Comment ? d’abord en concluant des accords de coopération avec les pays méditerranéens d’où est issue l’immigration illégale qui débarque sur les plages italiennes, c’est-à-dire avec la Libye et la Tunisie.
Plus de 9 000 clandestins auraient déjà été rapatriés vers ces deux pays depuis le 1er janvier 2024.
Ensuite en durcissant les conditions de l’immigration clandestine : renforcement des peines contre les passeurs, facilitation des refoulements (qui ne tiennent plus compte d’éventuels liens familiaux entre les clandestins et des personnes résidant en Italie), restriction du droit du travail pour les demandeurs d’asile, encadrement de l’activité des ONG de sauvetage de migrants.
Pour autant, cette baisse de l’arrivée de migrants clandestins en Italie ne signifie pas que les routes migratoires entre le sud et le nord de la Méditerranée sont closes, tant s’en faut. Dans le même temps, les débarquements ont augmenté en Espagne de 155 %, et en Grèce de 222 %, avec hélas de grandes chances que tous ces gens se retrouvent en France tôt ou tard.
Il faut aussi préciser que seules les régions du nord de l'Italie s'intéressent à des travailleurs immigrés : la Sicile ou la Calabre voient passer quelques Africains découragés devant l'absence d'aide et de travail, qui fuient donc au nord de l'Italie.
Du côté des 450 000 titres de séjour autorisés, environ 100 000 concernent des Ukrainiens et l'Italie cible des personnes qualifiées ou susceptibles de l'être rapidement, elle qui manque de main-d'oeuvre pour des raisons démographiques.
Faut-il rappeler un xième fois que la France ne "gère" pas le même stock d'immigrés illégaux (800 000 en France) et légaux (450 000 titres de séjour délivrés chaque année alors que la régularisation italienne est étalée sur 3 ans) ?
Rédigé par : caroff | 14 octobre 2024 à 14:40
@ Aliocha
"ils signent un accord avec le Kenya et l’Ouzbékistan pour accueillir plus de 250 000 de leurs ressortissants."
Problèmes de GPS ? Pourquoi tant de trajets pour finir allah porte de la Chapelle dans les salles de shoot, parcs et jardins du crack d'Hidalgo ?
C'est ballot, suffisait de téléphoner allah maire de Paris, elle se serait fait une joie d'en accueillir un max rien que pour narguer les fachos racistes du FN/ RN.
Ben voyons !
Rédigé par : sylvain | 14 octobre 2024 à 13:51
Une ola pour Orban !
Si M. Retailleau veut voir ce qu’est un homme, un vrai qui « en a », je lui conseille de regarder la séquence homérique au Parlement européen où tous les députés racailles ordures woke immigrationistes LGBTistes des pays dégénérés pervers occidentaux se sont succédé au micro pour vomir leur haine, leur bile, leurs fientes verbales contre Orban ; de vrais tarés aux faciès rougis déformés par la rage, aux yeux injectés de sang y compris Ursula de la mafia Pfizer et ses procès à venir.
Un vrai casting pour une émission, l’UE a un incroyable talent… de haine.
En face, le majestueux, impérial, auguste, calme, l’imposant Orban d’une pichenette dédaigneuse les a tous renvoyés à leurs chères études, à leurs bacs à sable pour déjections canines, tous mis KO dans les cordes.
Donc Orban serait raciste, homophobe ? Je dis bravo mille fois bravo, enfin un pays qui est géré par un homme de fer, pas par des guimauves comme chez nous.
Il est corrompu ? Un pillage de tronc d’église comparé à nos 4000 milliards de dette de nos tueurs de peuple aux manettes de cette UE mafia et son État de droit criminel en faveur des bourreaux tueurs violeurs islamogauchistes de la bonne race seule protégée.
Cette séquence je me la repasse en boucle, quel délice, j’espère que nos collabos macroniens soumis allah déchéance programmée par leur gourou ne la verront pas, au risque d’aigreurs d’estomac et de remontées acides gastriques.
J’attends d’urgence, en piaffant d’impatience, tous les « liens » gauchistes de préférence prouvant que le Hongrois est un personnage répugnant, odieux, ignoble, raciste, xénophobe, homophobe… BEN VOYONS !
Pour moi Orban est un héros !
Allez-y les gauchiasses, ne vous privez pas de ce bonheur, suintez la haine de toutes vos pores.
Rédigé par : sylvain | 14 octobre 2024 à 09:51
Meloni vient de régulariser 450 000 clandestins ! La Grande-Bretagne a voté le Brexit sur la promesse de « reprendre le contrôle » de l’immigration. Ils annoncent cette année 800 000 entrées, quatre fois plus que chez nous ! Et quand les Allemands décrètent la fermeture des frontières, le même jour, ils signent un accord avec le Kenya et l’Ouzbékistan pour accueillir plus de 250 000 de leurs ressortissants.
On peut continuer à s'exciter dans tous les sens, les faits sont têtus.
Cela ne signifie pas qu'il ne faille pas contrôler les flux et faire respecter les lois, mais tant qu'on ne fera pas face à la réalité avec objectivité, on continuera les débats stériles qui ne servent à rien et bloquent nos sociétés dans leur fantasme contradictoire qui ne sert qu'à se faire élire pour ensuite empêcher de gouverner.
Rédigé par : Aliocha | 14 octobre 2024 à 09:21
Voilà un bel exemple de fake :
"https://www.francetvinfo.fr/societe/immigration/italie-le-gouvernement-de-giorgia-meloni-ouvre-450-000-titres-de-sejour-aux-travailleurs-etrangers_6257820.html"
On peut le voir sur tous les sites gauchistes destinés à calomnier et décrédibiliser les actions qui déplaisent aux gauchistes.
Bravo à Meloni qui commence à faire des émules même parmi certains gouvernements de gauche en Europe.
Rédigé par : sylvain | 13 octobre 2024 à 20:31
@ glw | 13 octobre 2024 à 17:23
Dans nombre de situations où les FDO auraient pu régler rapidement des situations où la loi était bafouée, ces dernières ne sont pas restées les bras ballants avant d'intervenir mais ont été, hélas, contraintes de s'abstenir tout en rongeant leur frein, attendant et espérant un ordre d'intervention que l'exécutif répugne de plus en plus à donner en raison d'un manque de discernement élémentaire, allié à une incroyable lâcheté. Le tout camouflé sous toutes sortes de prétextes, notamment destinés à éviter une escalade de la racaillerie en la privilégiant et la soutenant sans vergogne au détriment de ceux qui sont chargés de par leurs fonctions de la combattre et la neutraliser ! Et par conséquent au profit de ceux qui narguent et contreviennent aux lois de la République et empoisonnent la vie d'une majorité de citoyens.
Ce qui ne s'est jamais vu et ne peut durer !
Rédigé par : Axelle D | 13 octobre 2024 à 20:00
@ Axelle D
Les insultes ne répondent pas sur le fond et les imprécations ne sont pas des convictions, ne vous étonnez pas que j'y réponde en vous mettant face à vos contradictions.
Si vous n'êtes pas prête au débat, ne venez pas me chercher, cela vous évitera de vous abaisser au niveau de l'invective.
Rédigé par : Aliocha | 13 octobre 2024 à 19:29
@ Aliocha | 13 octobre 2024 à 15:37
Je vous em*erde en long, en large et en travers.
Et s'il vous plaît de continuer à m'insulter en me traitant de ce qui est à l'opposé de mes convictions, libre à vous, mais ne comptez plus sur moi pour réagir à vos provocations indignes et à vos attaques venimeuses et en dessous de la ceinture !
Point final.
Rédigé par : Axelle D | 13 octobre 2024 à 18:19
@ Axelle D | 13 octobre 2024 à 13:39
En fait, le maintien de l'ordre n'existe plus depuis l'affaire Malik Oussekine.
Ajoutez à cela l'abrogation de l'Art. 327 du Code pénal qui précisait :
"Il n'y a ni crime ni délit, lorsque l'homicide, les blessures et les coups étaient ordonnés par la loi et commandés par l'autorité légitime" et il est alors facile de comprendre pourquoi les forces de l'ordre y regardent à deux fois ou restent les bras ballants lorsqu'il s'agit d'employer la force. Moralité de l'histoire, c'est la loi qui au final organise l'impuissance de l'État.
Rédigé par : glw | 13 octobre 2024 à 17:23
@ Axelle D
Êtes-vous donc, comme soulignait mon propos que vous avez fustigé avec votre délicatesse radicalisée, pour la régularisation qu'effectue Meloni des sans-papiers en migrants légaux ?
"Giorgia Meloni, qui a promis de stopper l’immigration illégale, ouvre comme jamais depuis dix ans les vannes de l’immigration de travail. Et ces 450 000 titres de séjour sont loin de combler les besoins, selon Andrea Prete, le président des chambres de commerces en Italie. "Ça ne suffit pas, le gouvernement reconnaît lui-même qu'il en faudrait 800 000. Mais c'est certainement plus d'un million", avance-t-il avant de préciser qu'en Italie, "une offre d'emploi sur deux ne trouve pas preneur"."
https://www.francetvinfo.fr/societe/immigration/italie-le-gouvernement-de-giorgia-meloni-ouvre-450-000-titres-de-sejour-aux-travailleurs-etrangers_6257820.html
Si ça vous arrange de me traiter de fourbe et de menteur pour ne pas ouvrir les yeux, vous révélez l'étendue de votre hypocrisie, comme tous ceux qui voudraient faire de la migration la cause de notre incapacité à faire respecter la loi.
P.-S. : on peut même être plus précis, si vous voulez, pour satisfaire la fonctionnaire de droite aussi procédurière que la gauchiste de base que vous êtes, voilà qui satisfera Roberto della Marcianera, êtes-vous pour la régularisation des migrants appelés à occuper les postes vacants qui sinon deviendront ces clandestins dont nous avons besoin ?
Rédigé par : Aliocha | 13 octobre 2024 à 15:37
@ Aliocha | 13 octobre 2024 à 07:36
Toujours aussi menteur et de mauvaise foi !
Chacun a pu lire et retenir de vos commentaires que vous prôniez la régularisation des sans papiers dont on avait besoin. C'est-à-dire la régularisation des étrangers entrés illégalement en France, autrement dit des clandestins*.
Alors que moi j'avais écrit très clairement y être "fermement" opposée et que seuls les étrangers entrés "légalement" dans notre pays avec la volonté de s'intégrer méritaient d'être accueillis (cf mon post du 11 oct 11:47)
* Au passage ne pas confondre réfugiés et clandestins.
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@ sylvain | 13 octobre 2024 à 09:26
Il est vrai que le préfet du coin après avoir reçu le feu vert du ministre de l'Intérieur (lui-même approuvé par Macron) aurait pu donner l'ordre aux gendarmes de tirer à vue (après deux sommations) sur les manifestants violents et menaçants afin de les faire dégager fissa.
On imagine ce que cela aurait donné au final dans l'opinion publique biberonnée au gauchisme ou au ni ni. Plus perfide, menteur et dégonflé tu meurs !
De même que l'on comprend l'immense frustration et la colère rentrée des militaires qui ont dû se replier (sur ordre) face à cette racaillerie dont ils auraient pu régler le compte en moins de deux s'ils y avaient été autorisés.
Il va donc falloir attendre que l'état de guerre civile soit déclaré et la patrie en danger avant que l'on en vienne à tirer sur ce genre de mutins et rétablir l'ordre dans toutes les zones de non-droit.
Tandis que les mutins en question qui sont clairement des lâches doublés d'assassins en puissance bafouant la loi et se moquant des sommations (cf art 122-4-1 du Code pénal) continuent de jouer les fiers-à-bras (sans risques) à l'image d'un Mélenchon qui les encourage et les soutient.
C'est donc moins de moyens en hommes et matériels que nous manquons que de volonté d'en finir, ne serait-ce qu'en mettant en application les lois actuelles. C'est alors que nous verrions tous ces matamores déguerpir et faire moins les malins. En outre avec beaucoup moins de FDO réquisitionnés sur le terrain. Donc des économies... Eh oui !
Tout cela pour dire que de votre part sylvain vous en prendre au seul Retailleau qui vient juste d'arriver et fait ce qu'il peut confronté à une situation que seule la gauche sectaire ennemie de l'ordre par atavisme a créée, n'est ni très objectif, ni très honnête.
Rédigé par : Axelle D | 13 octobre 2024 à 13:39
Quand on s'approche des chiffres du déficit français on se rend compte qu'il attire et attise la pauvreté et la misère. Prenez pour cette année les franchises et participations médicales, les taux de hausse sont augmentés de 100 % !
La misère endémique est liée à la mauvaise graisse, et à la malbouffe, la dette donc, et ceux qui l'ont créée devraient être saisis et condamnés sur leurs biens personnels. Ils sont une forme de dealers qui vendent à crédit aux citoyens un faux bonheur et une fausse sécurité qu'il faut payer cash à la sortie.
Il va falloir un courage immense pour fracasser cet empire du millefeuille et de la redondance, c'est avec gourmandise que Robert Ménard s'est payé Hervé Morin sur le train de vie que lui et tous ceux qui l'ont précédé ou suivi et qui ont mis le pays à sac. Maintenant il faut passer à la caisse, et la caisse est immense.
La dissolution a révélé la misère de l'addiction, on se demandait pourquoi on avait autant de pauvres dans le pays qui vivaient sous le seuil de pauvreté, eh bien la dette en est un moteur très puissant, j'ai levé le capot et j'ai regardé à l'intérieur. Morin et Cie mentent mais les citoyens sont aveugles.
"L'abus de l'impôt tue le présent, l'abus du crédit dévore l'avenir." (Georges Humann)
La Drees révèle l'échec de la généralisation de la complémentaire santé. Depuis l'entrée en vigueur de cette mesure, le taux de non-couverts n'aurait baissé que de 1 point. Et qui sont ces Français sans mutuelle ? "Principalement des personnes à faible revenu : travailleurs précaires, chômeurs ou inactifs." (La Tribune)
Il paraît que nous avions le meilleur système de santé, l'État n'a même plus les moyens de se soigner ni de soigner les autres, c'est grave bien sûr, et encore on ne sait pas tout.
"Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette." (Confucius)
Nous sommes champions du monde de la promesse, depuis des décennies, le réveil va être brutal, aujourd’hui nous n'avons même pas entamé les hors-d'oeuvre. Détestés et détestables politiques.
Rédigé par : Giuseppe | 13 octobre 2024 à 10:12
Allo Retailleau ? Mais où étiez-vous ce week-end ? Le monde entier a vu les images du fourgon de gendarmerie détruit en toute tranquillité par les casseurs antifanazis de Macron en Gironde mais pas vous, ni le préfet, ni les autorités non autorisées à intervenir.
Le monde entier est déjà habitué à voir cette France humiliée salie insultée par quelques pouilleux extrémistes antifanazis islamogauchistes : NDDL, Sivens, Sainte-Soline, manifs dans Paris incendies casses, FDO muselées figées cramées sans réaction, mais cette fois, promis juré craché, foi de Retailleau, nous allions voir ce que nous allions voir, la peur qui devait changer de camp a finalement préféré rester dans le camp habituel, celui de l'État laxiste impuissant complice des criminels.
Donc, on avait raison de dire que notre moulin à vent et à paroles resterait les bras ballants face à cette incurie anarchie organisée par Macron, ses juges rouges complices et toutes les racailleries islamos fachos gauchistes droits de l'hommistes, bras armés ceux-là qui ne font pas de grands moulinets comme Retailleau mais agissent cassent détruisent incendient en toute tranquillité et impunité .
Évidemment, bien entendu, ça coule de source, les vrais coupables, ce sont les baudets de cette sinistre fable et farce macronienne, retenez bien dans vos petits crânes de singes : "célepen, cézemmour, célesseutrêmedrouaaate..." notez-le bien, j'en ai marre d'avoir toujours raison et de le répéter ad vitam aeternam.
BEN VOYONS !
Rédigé par : sylvain | 13 octobre 2024 à 09:26
À partir du moment où des LR ont accepté de faire un gouvernement sous la présidence de Macron, on ne peut qu'espérer que c'est pour servir la France. Ils savent qu'ils pourront se servir ultérieurement.
Si Retailleau ne fait pas du Sarkozy, c'est à dire s'il agit davantage qu'il ne dit et si on le voit peu, ce sera un très bon candidat pour 2027 ou avant. À condition de ne pas être en représentation et en campagne permanente pour l'après. Ce qui compte c'est le pendant.
Macron prépare l'après non sans continuer à savonner la planche des gens de bonne volonté.
Pour la présidentielle, les lâches se rallieront à lui. Nous aurons bien de la chance d'avoir un candidat de droite qui aura gagné en crédibilité avec des résultats probants, enfin espérons-le.
Les ralliements socialistes à Mélenchon de la part de personnes du type de Hollande enterreront définitivement la gauche et c'est tant mieux.
Barnier veut ponctionner davantage les personnes ayant des hauts revenus, je pense que c'est une erreur car ces dernières vont passer à l'acte, c'est à dire seront mûres pour payer des fiscalistes et alléger le global. À force de tirer sur l'élastique, ça casse et revient dans la tête. Les gilets "vuitton" seront beaucoup plus budgétairement dévastateurs que les jaunes.
Les entreprises françaises rachètent des entreprises aux Pays-Bas, c'est la première étape d'un transfert de siège social vers un pays fiscalement plus avantageux.
Certes, on ne peut pas prendre l'argent dans la poche des pauvres puisqu'ils n'en ont pas, mais concernant ces derniers, pourquoi ne pas surtaxer les tatouages ? Au vu des tarifs, y renoncer créerait un sacré pouvoir d'achat.
Donc non à une nouvelle taxation des hauts revenus et aux changements de donne perpétuels.
Il y a dix riches en France, le ministre du budget en tue un, combien en reste-t-il ? 9 ? Non, zéro car les autres s'envolent et leurs impôts avec.
Rédigé par : stephane | 13 octobre 2024 à 09:03
@ Axelle D
Faut-il que je vous aie vous aussi mise face à vos contradictions pour que vous méritiez ainsi le surnom de Roberta SchwarzeMarsch et que je devienne la référence de vos mesures d'extorsion.
Comme notre ami dont vous subissez aussi les foudres personnelles, à qui j'ai fait remarquer qu'il réclamait un État fort naturellement payé par le contribuable, vous ne supportez pas que je souligne que vous souhaitez la bienvenue aux étrangers qui respectent nos lois, ce que vous avez vous-même écrit ici, et qui est juste la réalité à laquelle notre société vieillissante et fort peu féconde est confrontée.
Le problème n'est donc pas de désigner l'étranger à la vindicte, nous en avons besoin pour fonctionner, mais d'adapter nos lois à cette réalité.
Retailleau pourra toujours compter sur le peuple du gros rouge qui tâche dont hélas vous vous faites ici l'indigne représentante, au nom d'une droite à la dérive menacée par le rouge qui teinterait son bleu au risque de voir alors le violet tourner au brun de tous les zemmouristes du malheur, il ne saura être efficace qu'en tenant compte de sa majorité fort mince qui l'invite au compromis, que là est l'honneur de sa droiture d'homme remarquable qu'il est et qui, s'il ne montre pas l'exemple à tous ceux qui voudrait imposer leur minorité à la majorité comme vous l'exigez, il sort du champ démocratique.
C'est à cela que notre Constitution gaullienne nous invite, à l'image de celui qui, élu deux fois, voit sa proposition de renoncement aux invectives rejetée comme son invitation de remettre les Français au travail bien fait, ce n'est pas une raison pour la jeter avec l'eau de son échec qui est celui du pays si, au contraire de ce que propose notre Premier ministre, vous ne savez répondre à l'agressivité de Mathilde Panot par autre chose qu'un respect redoublé, il en va de notre démocratie.
Vous avez bien entendu toute latitude de vous comporter à l'image des zadistes de l'Assemblée, ne venez pas alors prétendre à la droiture.
Rédigé par : Aliocha | 13 octobre 2024 à 07:36
L'immigration massive d'aujourd'hui n'a rien d'une chance par rapport à l'immigration européenne et légale d'avant 1980.
"Capital.fr" dresse un constat alarmant sur l'immigration et les OQTF.
Le chiffrage tient compte de «l’interpellation de l’étranger en situation irrégulière et la décision d'éloignement forcé», de la «surveillance de l’intéressé avant la rétention administrative et les possibilités de contestation contentieuse de celui-ci dont l'avocat et l'AME payés par l'État», ainsi que «l’éloignement forcé stricto sensu». L'estimation obtenue a été rapportée au nombre d'éloignements forcés exécutés sur une seule année de 2018 en métropole et en Outre-mer.
Rien qu'en 2018, son coût global est estimé à 468,45 millions d’euros pour les 33 960 OQTF, soit 13 794 euros dépensés pour un seul OQTF éloigné. Sans compter toutes ces centaines d'associations dédiées aux migrants, recevant près d'un milliard d'euros par an par l'État.
Imaginons le prix d'un éloignement forcé des 700 000 OQTF restés encore sur notre territoire annoncé par G. Darmanin en mai 2024. On nous dit qu'un OQTF en rétention administrative coûte à l'État près de 600 euros par jour x 30 j = 18 000 euros.
Pendant que la France dépense un pognon de dingue pour les étrangers non autorisés à rester sur son sol, les Français et particulièrement les retraités n'ont pas les moyens de se payer une assurance complémentaire de santé et se privent de consulter ou d'aller se soigner à l'hôpital.
Où est passé "l'État de droit" qui devrait, en priorité, protéger les compatriotes qui ont travaillé toute leur vie, très souvent pour un salaire de misère d'où une retraite insuffisante pour vivre décemment, et n'ont pas droit à un parcours de santé assuré, dentiste y compris, s'ils dépassent le montant du seuil mensuel ne serait-ce que de 10€.
Dans beaucoup de pays, les caisses de retraite paient pour leurs retraités 50 % de complémentaire de santé tout comme pour un salarié d'entreprise et les autres 50 % sont payés par la personne retraitée. Dans cette optique, tout le monde y gagne quand les déclarations à la complémentaire santé sont groupées par centaines de milliers d'adhérents souscrits à la même compagnie d'assurance complémentaire santé.
Pourquoi en France ne le fait-on pas ? Honte à F. Hollande, le faux socialiste, intéressé plus par le cumul de ses somptueuses retraites et son mandat de député depuis fin juin 2024 que par le bien-être des pauvres retraités. À cause de ce profiteur professionnel vivant aux frais de l'État durant toute sa vie, les retraités français n'ont pas vu leurs retraites augmenter entre novembre 2013 et janvier 2024.
J'espère que Bruno Retailleau va tenir bon ses engagements. À défaut de déclarer la guerre à Bruxelles contre l'immigration abusive et illégale, ce serait un bon départ pour la France et l'Europe, submergées par l'islam de tous côtés. Si on ne veut pas que la France devienne un Liban bis, nous avons intérêt à stopper l'hémorragie tout de suite et renvoyer les illégaux par charters dans leur propre pays et les laisser sur la plateforme de l'aéroport en prévenant leurs autorités respectives de venir les récupérer.
Rédigé par : Ellen | 12 octobre 2024 à 20:54
@ xavier b. masset | 12 octobre 2024 à 15:11
Vous nous faites du Aliocha ou quoi ? Non ! Pas vous !
Bruno Retailleau est ministre de l'Intérieur et croyez m'en, confronté à la dure réalité vécue par les policiers et gendarmes, dont manifestement il semble avoir pris conscience bien avant sa prise de poste, il ne risque pas de s'attarder à rêver très longtemps, si toutefois il en avait eu l'idée.
Rédigé par : Axelle D | 12 octobre 2024 à 19:45
La question de l'immigration - et parfois celle de ses dommages collatéraux - renvoie souvent à la question des « statistiques ethniques » particulièrement complexe en France pour diverses raisons relevant de biais idéologiques et faisant parfois l'objet d'une omerta d’État sur certains points gênants difficiles à admettre par lui.
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/02/26/31003-20160226ARTFIG00378-michele-tribalat-les-statistiques-etniques-sont-indispensables-a-la-connaissance.php
Les statistiques ethniques ne sont pas interdites en bloc de diffusion en France, sauf que certaines données liées à la corrélation entre nationalité et criminalité sont occultées, au détriment d'une gestion optimale de l'insécurité, du principe de précaution et de la paix civile voire simplement de l'information que tout électeur responsable devrait normalement exiger d'un État se prétendant démocratique pour se décider en connaissance de cause dans l'isoloir.
Par exemple, un homme né en France d'immigrés est considéré comme Français.
Mais qui nous garantit que cela suffise à le distinguer fondamentalement, dans ses comportements, de ceux de ses amis ou cousins originaires de la même sphère culturelle mais restés « au pays » et imprégnés de mœurs parfois incompatibles avec celles dites républicaines, surtout avec une école publique qui a renoncé à favoriser une assimilation naturelle en douceur au profit, par défaut, d'une « inclusion » aussi brutale que celle d'un corps étranger dans une chair ?
Ainsi en pratique, dans les statistiques portant sur des crimes et délits impliquant des étrangers, comment ne pas être en droit de mettre en cause l'honnêteté de la présentation faisant la part des étrangers par rapport à la population française quand parmi celle-ci figurent des gens qui parfois sont culturellement étrangers et qui parfois même se revendiquent ouvertement et fièrement comme des ressortissants d'un autre pays et carrément en opposition à la France ?
Donc, à quoi est due cette façon de tronquer et de truquer la présentation de certaines données dites ethniques sinon à la volonté de masquer absolument l'évidence que la politique d'assimilation d'une partie importante de l'immigration s'est traduite par un échec total, en opposition formelle avec les prétentions universalistes clamées urbi et orbi de façon tonitruante ?
Les Français sont accusés par les perroquets de service de faire preuve de préjugés à l'égard des immigrés, mais ce n'est pas avec de telles méthodes de désinformation menées par un monde politico-administratif manipulateur et manquant de crédibilité que les choses iront mieux.
La confiance ne s'impose pas, elle se mérite.
Rédigé par : Exilé | 12 octobre 2024 à 19:35
@ Exilé | 12 octobre 2024 à 15:53
Eh oui, cher Exilé, nous sommes ruinés, envahis et vaincus par nos ennemis islamistes, nous sommes un peuple de brêles et nous méritons tous ces châtiments que nous n'avons pas voulu voir par crétinerie et lâcheté.
Jean-Marie Le Pen a eu raison quarante ans avant tout le monde sur tout ce qu'il nous arrive aujourd'hui, vous n'avez pas voulu l'écouter et préférer le condamner pour racisme etc. eh bien assumez vos coups de couteau, de machettes, vos égorgements décapitations vols viols suivis de crimes tous plus barbares et sanguinaires les uns que les autres, arrêtez de pleurnicher, bande de Calimero, plus facile et moins risqué de s'en prendre à un RN accusé de tous les maux de la terre, tas de guignols.
Le RN a encore eu raison d'emprunter dans des banques russes, ce pays très bien géré par Poutine est en pleine croissance et nos tocards du gouvernement feraient bien d'imiter et s'inspirer du parti de Le Pen : emprunter aux Russes.
Un petit voyage à Moscou, avec tous ces roubles qui traînent sur la place Rouge, y a qu'à se baisser pour les ramasser, tas de nullos.
Rédigé par : sylvain | 12 octobre 2024 à 18:30
Les promesses, les intentions, les idées et les projets des hommes politiques même si on est tenté d'y succomber, "n'engagent malheureusement que ceux qui y croient".
Rédigé par : Narcisses | 12 octobre 2024 à 16:52
@ Giuseppe | 12 octobre 2024 à 11:38
« ...un puits sans fond où il n'y a plus d'eau »
Presque un tonneau des Danaïdes, en quelque sorte.
Mais les petits génies de la finance qui entourent monsieur Barnier et d'autres avant lui, qui semblent ignorer cet épisode d'une mythologie riche en vérités premières, n'ont manifestement pas encore compris qu'avant de gagner de l'argent il fallait d'abord éviter d'en perdre de même qu'avant d'extorquer encore plus d'impôts à des Français déjà pressurés jusqu'à la moelle, il fallait cesser de jeter l'argent par les fenêtres.
Quelques pistes :
Millefeuilles administratifs, « modèle social » français délirant, hypertrophie de la fonction publique, instruction publique de plus en plus ruineuse pour des résultats lamentables, train de vie de l’État dont flottes d'aéronefs et de véhicules, fausse culture, médias publics de propagande gauchiste, cadeaux à des pays haïssant la France, immigration non sélective, participation à des guerres qui ne sont pas les nôtres, dépenses de santé faites plus à l'avantage des étrangers que des Français ou bien dans des secteurs orientés plus vers la mort que vers la vie, sport d’État pharaonique, participations contestables aux dépenses de l'UE, lois et règlements absurdes imposant de dépenses inutiles, absence de récupération financière de destructions causées par des casseurs, etc.
Rédigé par : Exilé | 12 octobre 2024 à 15:53
Quand je pense que Bruno Retailleau en est encore à appeler de ses vœux un Kulturkampf de droite, une chose stérile par excellence pourtant, comme l'avait montré un Tocqueville perpétuellement à la recherche d'une libre expression pour "l'État social" (dont il ne niait pas les conditions d'égalité, de justice entre les hommes démocratiques, face aux menées des sociologues de gauche contemporains de Comte et de Marx, les mêmes qui dorment aujourd'hui dans le studio de Guillaume Erner à l'abri du camembert architectural de Radio France, qui n'en ont que pour l'égalité des conditions, religieusement à genoux devant leur propre image érotiquement sulpicienne renvoyée par leur "passion pour l'égalitarisme", ce miroir aux alouettes déguisées en philosophes pour fête foraine de canton normand - la patrie de Tocqueville).
Rien ne sert de copier la gauche et sa mise en coupes réglées de la pensée en autant de chantiers dévolus à "l'économique", au "sociétal", au "culturel", tous ces scientismes de mauvais aloi justifiés par la révolution, toujours à faire et à refaire, que l'on doit au "peuple".
Qui s'étale devant nous comme le paysage d'une apocalypse tranquille nourrit de tant de chênes abattus, à défaut des prolétariennes chaînes de l'imagerie marxiste générique et triviale qui s'impose, tel un principe délibérément délétère, à notre vision depuis toujours.
Il incombe à M. Retailleau et ses amis de laisser respirer le politique, la sociologie politique, de reprendre le b.a-ba, notamment pour la galerie journalistique, sans s'en laisser compter, quelles que soient les insultes et les menaces proférées et subies, sans bâiller aux corneilles, de reparamétrer la discussion entre la nécessité d'une Justice intègre, et protectrice de tous (ou réflexions de "tête" et orientations du "cœur" ont toute leur place) avec la notion de grandeur, d'esprit et d'âme, particulièrement pour la mise en œuvre d'un programme non dépourvu d'envergure spéculative.
Rédigé par : xavier b. masset | 12 octobre 2024 à 15:11
Ils ont osé !
Alors qu’un tiers des Français renonce à se soigner pour des raisons économiques, le gouvernement Barnier compte baisser de 14 % le remboursement de la consultation chez le médecin et en même temps, augmenter de 9 % le budget des soins gratuits pour les migrants clandestins.
Plus pourris.......
Il existe rien qu’en France 1500 associations d'aide aux migrants et de gestion d'aide aux demandeurs d'asile comme Coallia, la Cimade, France terre d'asile, Equalis... qui ont reçu l’année dernière un total de 980 millions d'euros, somme en progression constante.
En 2019, huit de ces ONG mafias gauchislamistes ont saisi le tribunal pour empêcher la France de livrer allah Libye des vedettes rapides pour surveiller ses côtes et empêcher le départ des bateaux clandestins vers l’Europe.
Plus pourris.......
Rédigé par : sylvain | 12 octobre 2024 à 13:47
Révélation
Une grande majorité des Français est pour l'emprisonnement des OQTF. Or, vu leur nombre, cela signifie en camp de rétention.
Il ne nous manque qu'un ancien combattant charismatique, et...
Je n'ose pas penser au sort que la même majorité réserverait à la bande à Macron élargie.
Surtout si le pays devait sombrer dans la banqueroute.
On me taxera d'hypocrisie en disant que je n'ose pas y penser. Je devrais avouer qu'effectivement...
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 12 octobre 2024 à 13:35
Attendons de voir ce que BR pourra faire, peut-être pas grand-chose, une goutte d'eau dans la mer. Mais après tout la mer est faite de gouttes d'eau, et si BR réussissait à provoquer un coup d'arrêt dans la montée de la délinquance, ce serait un véritable exploit. Ne crions pas victoire trop tôt, cela ne dépend pas de lui seul. Mais au moins il essaye. Bravo.
Une telle rupture autoriserait tous les espoirs et ouvrirait la voie aux successeurs de BR qui seraient impardonnables de ne pas poursuivre dans la même direction.
Pour ce qui est de la querelle concernant son look, ce n'est pas un séducteur mais selon mes propres critères, il n'est ni laid ni beau, comme la plupart des gens ; je rejoins Tipaza pour penser que d'être en quelque sorte neutre de ce point de vue peut constituer un avantage, même à l'heure du télémarketing ; on en a assez des poseurs au regard d'acier et à la bouche entr'ouverte.
Mais je rejoins aussi Axelle pour lui trouver une bonne tête, avec de la personnalité, inspirant plutôt confiance et animée par des expressions intéressantes. Je lui trouvais un style un peu trop marqué "sortie de messe", mais s'il se révèle capable d'intimider les gens malhonnêtes, je battrai volontiers ma coulpe.
Rédigé par : Lucile | 12 octobre 2024 à 13:34
Monsieur Barnier et madame Darrieussecq sont bien gentils, mais alors que la France est en pleine faillite et est envahie par une immigration aussi ruineuse que parfois dangereuse, est-il judicieux non seulement de maintenir l'AME mais encore d'en augmenter l'enveloppe de crédits ?
Et la logique, dans tout cela ?
https://www.lejdd.fr/politique/budget-2025-hausse-de-lenveloppe-dediee-laide-medicale-detat-ame-150526
« L'aide médicale d'État, c'est aussi une assurance sur la santé des Français pour éviter certaines contagions »
« Certaines contagions », euphémisme pour évoquer des maladies qui avaient pourtant été éradiquées avant la Grande Invasion comme la poliomyélite mais qui vont à nouveau nous coûter « un pognon de dingue » et diverses nuisances en plus...
La première mesure permettant de protéger une population de la contagion n'est-elle pas la « distanciation sociale », telle que celle employée pendant l'épisode du Covid ?
Donc ne serait-il pas plus logique de prévoir, à défaut d'expulsions pures et simples qui seraient la première solution dans un pays normal, des mesures moins coûteuses que l'AME et globalement plus protectrices comme la rétention dans des lazarets ?
Enfin, la « santé des Français » a bon dos.
Celle de Philippine, par exemple, victime des conséquences des apports délétères de l'immigration illégale, n'a pas fait l'objet de beaucoup de sollicitude de la part des vrais-faux humanistes.
Et pourtant, la santé est un tout.
Rédigé par : Exilé | 12 octobre 2024 à 11:46
Un bidule de plus pour se rendre compte que la vache est un taureau.
Nous sommes les champions du monde du constat, une commission d'enquête va être nommée pour savoir pourquoi nous avons eu un déficit auquel certains ne s'attendaient pas.
Appelez ça machin, truc, enfin comme si on n'avait pas assez d'énarques, d'experts, de conseillers de tout poil, pour se rendre compte de la dérive du pognon de dingue qui coulait à flot.
Et ensuite on va nommer une commission chargée d'examiner les conclusions de la commission chargée d'examiner la bête. On ne sait jamais, un poil aurait pu échapper à l'autopsie d'un puits sans fond où il n'y a plus d'eau.
C'est un puisatier qu'il faudrait nommer pour sauver le pays, énarque un jour, déficit toujours. Mais quelle poilade dans notre pays ! On fait rire toute la planète, même nos cousins espagnols et portugais se marrent de nos finances.
Et Grand Dadais qui a été auditionné n'a pas révélé avec quelle pioche il creusait ? Et les zesssperts qui se gargarisent sur tous les plateaux TV ne savent pas ? Quel foutoir notre pays ! Et la misère gronde partout pendant ce temps et j'entends Bourlanges, élu à vie, rentier de la République, qui nous expliquait hier encore que le diable n'avait pas de queue. "FICHEZ-MOI TOUS CES TYPES DEHORS !" aurait dit le Général Motor dans de telles circonstances, tous responsables de cette misère ceux qui ont voté les lois. Et la Martinique pour encore en remettre une couche de misère, comme si ça ne suffisait pas.
La coupe est pleine.
Rédigé par : Giuseppe | 12 octobre 2024 à 11:38
On ne voit pas bien ce que le physique de Monsieur Retailleau vient faire dans le débat. Clemenceau ne ressemblait pas à Adonis !
Rédigé par : Solon | 12 octobre 2024 à 11:30
« J’ai compris que, quand on trichait à Intervilles, on devenait ministre de l’Intérieur » (Marine Tondelier)... La gauche est dans les cordes... abasourdie... k.o. couchée. Pour dénigrer Bruno Retailleau, elle n’a eu que cette histoire vieille de près de trente ans à ressortir, n’ayant aucun rapport avec la politique... Elle sait que son CV ne présente aucune anicroche. Elle sait que la « majorité nationale », y compris les deux-tiers de ses propres troupes, approuve les mesures qu’il préconise pour rétablir l’ordre, juguler l’immigration clandestine, restaurer la sécurité.
Même son « sniper » installé à la Chancellerie commence à baisser pavillon. Il est vrai que, peu habitué à rencontrer les médias, ignorant les obligations en matière de solidarité gouvernementale, Didier Migaud avait gaffé dès sa première prise de parole en prenant de haut son collègue... Mal lui en a pris : il a offert un boulevard à BR, qui, sous une apparence courtoise, est une lame.
Physique ingrat, mais tête bien faite et volonté d’airain. Exactement ce qu’il nous fallait à l’Intérieur...
...Et à la Justice. On rêve d’un autre Retailleau qui aurait succédé à « l’ami des taulards », qui l’aurait fait oublier, qui, aussitôt, aurait entrepris de détricoter « l’œuvre » commune de Taubira, Belloubet et Dupond-Moretti. Ciotti aurait été lui aussi parfait. Mais le Niçois n’est plus fréquentable : il a claqué la porte du LR, avec ses militants et ses électeurs les plus à droite.
Soit dit en passant, en agissant ainsi, il a offert au parti néo-gaulliste un cadeau inespéré : un Premier ministre et quelques maroquins. On ne peut pas imaginer que Macron, bien qu’aux abois, aurait fait alliance avec celui-ci s’il avait dû accepter ce « fasciste » au conseil des ministres... Retailleau, c’est déjà beaucoup...
C’est une montagne de réformes que BR doit prendre à bras-le-corps. Il en est conscient. Il y est préparé. Il a bûché les dossiers, y compris ceux de la justice, les connaît jusqu’aux moindres détails, il a déjà construit mentalement les solutions qu’il tentera de mettre en place.
Contrairement à ses prédécesseurs macroniens...
Darmanin qui dénonçait Théo quand il voyait Mohamed détrousser les Britanniques... et Castaner qui voulait remplacer les matraques et les tirs de lacrymogènes par des bouquets de fleurs et des génuflexions.
BR a aussi un autre avantage sur eux : il n’a pas à obéir au Château et a suffisamment de bouteille pour que Matignon ne le « conseille » pas à chaque instant. Même si Barnier n’est pas l’homme placide annoncé.
Les obstacles qui l’attendent, il les a identifiés depuis longtemps : la gauche bien sûr, mais aussi la Macronie, les gardiens du temple sacro-saint de l’État de droit... et l’Europe. Il sait aussi que, pour sortir gagnant de la bagarre, conserver la réputation de « dur » qu’il s’est bâtie, il doit, ici, foncer dans le tas, là, choisir la patience. Il a une obligation de résultat.
Ces jours-ci, BR a beaucoup parlé. C’était nécessaire. Il devait montrer la rupture, installer son pouvoir, présenter sa stratégie, établir la confiance... Mais il a aussi joint le geste à la parole. À Cavaillon, 80 CRS quadrillaient la ville moins de 24 heures après l’attaque du commissariat. Il n’est pas allé se montrer, il a agi...
Et le discours de la gauche n’est déjà plus audible. Mélenchon vocifère, mais le chien méchant ne peut aboyer que de dépit. Il ne pourra pas mordre. Sa proie est insaisissable : elle répond aux attentes des Français. La gauche hurlera, défilera, censurera. Mais sur les textes présentés par BR, elle ne trouvera pas d’alliés...
Hormis peut-être certains macronistes, Le groupe parlementaire, de moins en moins présidentiel, se divise déjà gravement sur le projet de budget. Serrer la vis à l’immigration, y compris légale, refuser toute régularisation pourraient le faire exploser, la plupart des élus Ensemble regagnant leurs pénates, les uns dans le ventre mou de la droite, les autres chez les sociaux-démocrates. Ce qui entraînerait le retour du clivage gauche-droite... et de la Ve République dès juin prochain, la dissolution s’avérant alors incontournable.
En ce sens, BR, qui, plaisant au RN, est l’homme fort du gouvernement - Barnier, lui, doit composer avec Marine -, en est aussi l’homme-clé. Il détient celle de la démission de Macron, dont le reste de pouvoir serait alors anéanti, ses députés subissant une nouvelle décimation, fatale celle-là.
Quant aux obstacles institutionnels (Conseil d’État et Conseil Constitutionnel) et européens (Commission et CEDH), ils ne sont pas négligeables et quelques mois ne suffiront pas pour les franchir. Mais les planètes sont en cours d’alignement. Fabius quitte le Palais-Royal en mars prochain, de plus en plus de membres de l’UE s’affranchissent des diktats de Bruxelles, y compris des gouvernements « progressistes », et les peuples, jusqu’alors plutôt dociles face à l’insécurité grandissante et à l’invasion migratoire, se révoltent, accablés par de trop nombreux « meurtres de Philippine » et les errements incessants des juges rouges de Strasbourg.
Bruno Retailleau, taillé pour assurer la manœuvre, a le vent en poupe et l’avenir devant lui. Beauvau et la France ont retrouvé un grand ministre. La rigueur d’Alain Peyrefitte associée à la volonté de Charles Pasqua.
Rédigé par : Serge HIREL | 12 octobre 2024 à 11:11
@ Exilé | 11 octobre 2024 à 20:32
À propos de Marie Curie, je tiens à rapporter une anecdote authentique autant que savoureuse : à la question d'un journaliste lui ayant demandé un jour, je cite, "quel effet cela faisait d'être "marié" à un grand savant, elle avait répliqué du tac au tac : "vous n'avez qu'à demander à mon mari."
Rédigé par : Axelle D | 11 octobre 2024 à 21:53
@ Axelle D | 11 octobre 2024 à 20:38
Bon d'accord BR n'est pas laid, il n'est simplement pas photogénique.
Vous n'aimez pas parfois l'humour froid ?
Lorsque je dis que "Bertrand du Guesclin était fort laid, ce qui a été un avantage pour bouter les Anglois", vous auriez pu sourire.
Ou alors me demander s'il ne s'agissait pas d'un plaidoyer pro domo.
C'est cette réponse que j'attendais... sans la craindre évidemment, si vous me connaissiez... ;-)
Rédigé par : Tipaza | 11 octobre 2024 à 21:12
Tiens donc, certains regretteraient-ils le mépris de Macron, craignant le chômage des jeunes et les retards technologiques ?
Rédigé par : Aliocha | 11 octobre 2024 à 20:48
@ Tipaza | 11 octobre 2024 à 18:29
D'où tenez-vous que Retailleau soit laid ?
Il a certes beaucoup de rides d'expression, ce qui n'a rien d'étonnant pour un homme de son âge qui vit intensément, lesquelles rides ne déforment en rien son visage plutôt sympathique et aux traits équilibrés. De même que son allure svelte et dynamique et son visage franc n'ont rien à voir avec l'apparence malingre de Zemmour et la mine chafouine et grimaçante de ce dernier.
Rédigé par : Axelle D | 11 octobre 2024 à 20:38
« Sur l'immigration qu'on ne saurait qualifier aujourd'hui de "chance pour la France" au regard de quelques exceptions bienheureuses » (PB)
Oui, mais pour un Léonard de Vinci, un Mazarin, une Marie Curie, une Joséphine Baker, un Georges Charpak, combien par exemple de…
Là, après réflexion, je me crois obligé de ne pas publier la suite pour deux raisons.
La première est qu'après avoir posé la question à une IA que la vérité doit déranger et qui a refusé de me répondre sur les étrangers coupables de crimes et délits commis en France depuis 1990 et puis après avoir effectué mes recherches d'une autre manière, j'ai obtenu une liste commençant à dépasser les limites convenables d'un commentaire.
La seconde, sachant que nous sommes placés sous la loi de l'omerta, est que je ne voudrais pas que Philippe Bilger risque d'être importuné par les sbires de la Gestapo ou de la Guépéou.
Je laisse donc au lecteur, qui sait que le « vivre-ensemble » est loin d'être d'un long fleuve tranquille, le soin de faire appel à son expérience de la vie en France actuelle et à ses souvenirs (ou à ceux des membres de sa famille) les plus désagréables voire les plus douloureux suite à des événements causés par certaines rencontres non désirées pour imaginer, à partir du portrait-robot des auteurs des atteintes portées, le profil le plus fréquent d'autres malfaisants sévissant en France.
Rédigé par : Exilé | 11 octobre 2024 à 20:32
L'intermède Barnier a commencé sur des propos onctueux et se poursuit sur leur antithèse. Comment comprendre que les deux moteurs essentiels de la marche économique d'un pays, l'apprentissage et la technologie, voire l'invention, soient les objets de coups de rabot significatifs ? J'avoue ma perplexité. Mais, apparemment, ça n'interroge personne au regard des avenirs engagés. Bon, passons.
Par ailleurs, la manipulation des taxes au droit des tarifs de la matière énergétique est tout de même une jonglerie néfaste si on admet que le cours de la matière dépend d'événements que la France ne maîtrise pas du tout et qui peuvent pervertir le système élaboré .La surtaxation des riches, très riches, fait doucement rigoler et l'effort demandé aux entreprises lourdes, définitif qu'il sera, les incitera à copiner avec les "hauts" du régime, comme toujours, "à telles fins qu'il appartiendra" pour transférer leurs lieux de perception, ailleurs. Suivons de près l'affaire Doliprane et scrutons les réactions, puis faisons le lien.
Enfin, l'affirmation répétée que tout cela est temporaire et périssable se heurte à la vraisemblance, comme la vignette, les taux de RDS, la CSG, qui cahote d'échec en échec, de Juppé à Barnier, les droits de succession.
Barnier n'est pas un homme malhonnête, c'est un homme du sérail, donc un manœuvrier qui a cinquante ans de combines derrière lui, 71 ans, une retraite qu'il nous doit entièrement et l'impassibilité du vieux duelliste qui n'a peut-être plus tous ses muscles, mais qui maîtrise sa respiration. Il nous sauve provisoirement des Castets, Mélenchon et autres Bompard, comme d'un Boyard garde des Sceaux, mais avouez que ça aurait eu de la gueule ; quelque chose comme l'incendie de Rome.
Rédigé par : genau | 11 octobre 2024 à 19:02
@ Axelle D
Bien d'accord avec vous si ce n'est que nous n'avons besoin d'aucun migrant, encore que les belles blondes seront toujours les bienvenues...
Pour la main-d'oeuvre qui pourrait nous manquer, nous avons deux millions de fonctionnaires de trop, et trois à remettre aux 39 heures dont une partie à mettre en taule pour escroquerie à s'être fait payer à en faire moins de trente voire moins de vingt, et une autre partie pour avoir bénéficié de congés maladie bidon.
Ils rejoindraient en taule ou camp de vacances avec barbelés, les cadres d'associations style belle casse-les-moi.
Par ailleurs, vous auriez à gagner à être moins vindicative, encore qu'avec Aliocha, vous avez des excuses.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 11 octobre 2024 à 18:39
Il suffit d'écouter parler Bruno Retailleau pour comprendre qu'il est, simplement, un homme normal. De même qu'il suffit d'écouter Sarah Knafo, ou David Lisnard, pour se rendre compte qu'ils sont des gens normaux.
Ces personnes-là énoncent simplement, clairement, des évidences.
Ce qui est ahurissant, c'est à quel point il est rafraîchissant, inattendu, extraordinaire, d'entendre des gens dire normalement des choses normales.
Cela nous conduit à mesurer à quel point nous nageons dans la perversité et le mensonge, lesquels constituent le réglage par défaut de la grande majorité des hommes politiques, des journalistes et des intellectuels. Mensonge et perversité qui ont été installés de longue date, dans les esprits, par les méthodes de désinformation communistes.
C'est à cette occasion que nous nous rendons compte que notre normalité est profondément anormale. De temps à autre, un original comme Ronald Reagan, Margaret Thatcher, Volodymyr Zelensky ou Javier Milei met le pied sur l'estrade politique, et déchire le voile du faux-semblant pour rétablir la vérité et la justice.
Mais c'est tellement rare, et ils ont affaire à si forte partie...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 11 octobre 2024 à 18:39
Le billet et surtout la photo l'illustrant me confortent dans ce qui est une évidence pour tous ou presque, il y a beaucoup de points de similitude et de convergence entre Bruno Retailleau et Éric Zemmour.
D'abord une certaine laideur, ce qui est un avantage.
Elle oblige pour compenser l'absence de charme naturel à une concentration de la pensée, à une vérité de la parole que le paraître ne peut plus travestir, et à une adéquation entre le verbe et l'action.
Bienheureux les laids, le Royaume de France est à eux.
Si je dis ça c'est qu'il est bien connu que Bertrand du Guesclin était fort laid, ce qui a été un avantage pour bouter les Anglois (ancienne désignation des Britishs) hors de France.
Alors si les laids d'aujourd'hui pouvaient bouter l'islam conquérant hors de France, voilà qui serait une vraie et bonne chance pour la France.
Cette petite digression faite, quelles sont les chances propres de BR de pouvoir faire ce qu'il pense et qu'il dit ?
Elles me paraissent très faibles.
Pas tellement par le jeu des oppositions mais par celui de la hiérarchie et des amis qui lui veulent pas du bien.
Les oppositions de gauche et d'un certain centre, supplétif de la gauche en toutes circonstances, ont déjà déformé les propos de BR d'un bon sens absolu sur l'État de droit.
C'est de bonne guerre. Il faut répondre mais ne pas se laisser embarquer dans un débat sans fin sur la question. Le moment venu, on changera si possible cet État de droit qui nous étouffe lentement.
Pour les "amis" qui devraient lui vouloir du bien puisqu'il essaie de faire le boulot qu'ils n'ont pas fait, que dire ?
Le Président est immigrationniste. Il y a encore quelques jours, juste après que RB avait évoqué une possible évolution de l'État de droit le Président a fait remarquer que l'immigration avait du bon. Je cite de mémoire, mais c'est l'esprit de ce qu'il a dit.
Très clairement il a exprimé son désaccord avec RB sur l'immigration.
Ses contorsions pour arriver à un accord avec l'Algérie seraient ridicules si elles n'étaient pas contre-productives. Tout se passe comme s'il souhaitait une invasion de migrants algériens.
Concernant Michel Barnier, il est plus difficile d'avoir sa position, il est très prudent en ce moment.
Comme l'a dit Lucile dans un autre billet, chez un politique, le passé est garant de l'avenir. C'est vrai de tout homme, je crois à l'évolution, pas à la transformation.
Que penser du passé de MB ?
On peut dire que c'est un homme du centre, du centre droit, c'est ainsi qu'il se définit.
Je dirais plutôt qu'il est du centre eurocrate.
Son comportement vindicatif lors de la négociation du Brexit a laissé des traces. Il fut le bras armé de tout ce que l'Union européenne compte de technocrates pour qui la volonté populaire manifestée par le Brexit est inadmissible parce que contraire à l'idéologie mondialiste.
À cette hiérarchie qui rêve de bâtir un ordre nouveau anti-nation s'ajoute la pègre que l'État de droit a laissé se développer qui va des dealers aux violeurs et assassins.
Ceux-là sont les plus nombreux mais pas forcément les plus dangereux.
Je souhaite la réussite de BR mais je ne me fais aucune illusion, il n'aura pas la possibilité de mener à bien la mission qu'il s'est assignée.
Là est le dernier paradoxe de notre petit monde politique, le ministre de l'Intérieur ne reçoit pas de consignes explicites, il se les définit lui-même comme dirait Marcel Pagnol qui ne reconnaîtrait pas sa Provence et son Marseille.
La partie de pétanque est devenue une partie de tir à la kalach.
Rédigé par : Tipaza | 11 octobre 2024 à 18:29
@ Michelle D-LEROY | 11 octobre 2024 à 17:21
Merci Michelle D-LEROY.
Vous avez compris et dit l'essentiel. Non seulement les clandestins portent gravement préjudice à la France et à nos institutions et doivent être combattus et rejetés comme tels, mais ils nuisent en outre à la réputation des étrangers qui eux sont arrivés légalement chez nous et ont fait l'effort, de longue date et la plupart du temps sans aide, de s'intégrer ou s'assimiler, parfois avec de belles réussites.
Rédigé par : Axelle D | 11 octobre 2024 à 18:04
@ Axelle D
Vous êtes charmante, Mme Marchenoir.
Rédigé par : Aliocha | 11 octobre 2024 à 18:03
@ Aliocha | 11 octobre 2024 à 14:17
Vous êtes un sacré fourbe qui espérez tromper les lecteurs et contributeurs de ce blog en me prêtant des propos à l'opposé de ce que j'ai voulu démontrer.
Finalement vous n'êtes qu'un pauvre type qui s'ennuie et cherche à faire illusion dans sa toile d'araignée de gourou virtuel. Autrement dit un troll !
Rédigé par : Axelle D | 11 octobre 2024 à 17:25
Une amie de ma famille qui assistait aux réunions avec M. Retailleau chez LR appréciait ses qualités humaines et ses idées stables qui ne variaient pas selon l'actualité ou l'humeur politique du jour.
J'ose espérer qu'il puisse travailler à remettre un peu d'ordre dans cette pétaudière, où pas un jour on ne parle d'un crime, d'un meurtre horrible, d'un commissariat attaqué ou incendié, d'un règlement de comptes ou d'un meurtre gratuit pour un simple regard par des ados de plus en plus jeunes.
Des faits divers de plus en plus horribles, à l'école, dans la rue, chez l'habitant, qui n'ont plus rien à envier aux pays d'Amérique latine où sévissent des gangs très dangereux et organisés.
Aujourd'hui ce sont des inconnus qui meurent sous l'indifférence d'une gauche aveugle et bornée mais demain ? un proche ? une personnalité ? La gauche et pas que LFI, trouve toujours un argument pour défendre l'horreur, non pas pour montrer son côté humaniste en défendant les coupables victimes de la société mais parce qu'en étant trop sévère, elle aurait l'impression de faire monter le RN. L'argument récurrent qui contribue à donner raison aux délinquants, tout en laissant parfois entendre que la police serait violente et raciste.
Pour les mêmes motifs, nos féministes woke et gauchistes ne réagissent pas à certains viols suivis de meurtre comme s'il y avait de bonnes et de mauvaises agressions sexuelles en fonction du meurtrier.
Alors c'est certain, Bruno Retailleau va rencontrer des difficultés dans sa volonté de remettre de l'ordre. Et si cet ordre passe par plus de rigueur dans l'arrivée des flux migratoires, il trouvera des levées de boucliers.
Pourtant une majorité de Français souhaite plus d'ordre et moins d'ouverture au monde.
Un référendum serait peut-être la solution.
Car, en dehors d'une meilleure sécurité, dans une France endettée, demander toujours plus d'impôts et de taxes à la France qui travaille ou a travaillé, celle qui essaie aussi de se comporter correctement, d'élever ses enfants avec des valeurs, de respecter les autres et la loi pendant que parallèlement on verse sans compter à 300 000 nouveaux migrants, bon an mal an, des allocations et des aides, ça agace et même exaspère.
En plus des allocations on sait aussi que cela alourdit tous nos services déjà en sous-effectifs : sécurité, justice, santé, école, logement... la France est à bout de souffle et ne peut subvenir aux besoins de la terre entière.
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@ Axelle D
Entièrement d'accord avec votre commentaire, du début à la fin.
Et vous avez raison lorsque vous dites que tout cela nuit aux immigrés récents ou plus anciens qui se comportent correctement, qui travaillent et élèvent leurs enfants avec des règles de vie... on en connaît tous.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 11 octobre 2024 à 17:21
Avec mon fils, ce matin, nous nous disions que la présence de Bruno Retailleau nous rassurait, ses premières interventions nous confirment en ce sens…
Ce n’est pas encore beaucoup me direz-vous, mais c’est une satisfaction que nous n’avions pas éprouvée depuis si longtemps !
La veulerie et la déliquescence des ex-RPR dans le magma centriste n’auront servi qu’à entretenir les idées d’une gôôôche de sacristie.
La France coulait lentement et les phares des médias refusaient d’éclaircir la partie noire de l’océan et soudain…
les tempêtes et les ouragans se déchaînent, le commandant Macron n’a jamais piloté le navire, les équipages Borne ou Attal ont disparu dans le brouillard,
restent les officiers Barnier et… Retailleau : nos regards se tournent vers les rares chapelles du rivage encore allumées !
Rédigé par : Celtapiou | 11 octobre 2024 à 17:09
Votre conclusion, Monsieur Bilger : "Dans Le Point, BR me permet une belle conclusion : "Hannah Arendt disait qu'en politique "les mots justes trouvés au bon moment sont de l'action". Dans l'action, on ne peut pas se payer de mots. Je sais que je serai jugé à mes résultats et que j'ai peu de temps". BR n'est pas aujourd'hui "un cas" mais devrait être un exemple pour les ministres", est un petit bijou !
Dans le paysage politique du bloc central, voire des caciques de son parti, monsieur Retailleau est en réalité un cas, tout comme d'ailleurs monsieur Ciotti dans un autre registre.
D'abord, même s'il a fait Sciences Po, il n'a pas fait l'ENA et donc n'a pas été formaté comme la plupart des technocrates qui nous dirigent. Il est un politique, fidèle à ses convictions qui s'inscrivent dans une logique gaulliste, à l'inverse de la plupart de ses homologues de LR. Notamment quant à sa volonté de donner la parole aux Français, en parfaite contradiction avec les choix de l'intelligentsia.
Ensuite, il est un vrai élu de terrain, formé à une sorte d'école vendéenne. Ayant débuté sous l'aile de Philippe de Villiers, je pense que politiquement il est aussi dans une certaine tradition politique de Clemenceau.
On peut en conclure que dans l'exercice de ses fonctions ministérielles il tentera de même en œuvre ses idées dans les domaines les plus sensibles du ministère de l'Intérieur.
Le problème pour lui est que, outre bien entendu l'opposition totale du NFP et plus particulièrement de LFI ou des Écolos pour qui il représente une forme de diable fascisant, la politique qu'il veut mener s'oppose à une majorité de membres de l'extrême centre qui refuseront de voter les dispositions juridiques des textes qu'il présentera à l'Assemblée nationale. Sans compter les coups tordus des gens comme monsieur Attal ou même l'entourage présidentiel, voire le président de la République lui-même. Il suffit de se rappeler comment monsieur Macron a obligé sa majorité à voter le texte de la loi sur l'immigration pour le déférer aussitôt après au Conseil constitutionnel qui sera son plus grand ennemi institutionnel national avec le Conseil d’État.
Par voie de conséquence, si l'on ne saurait douter de la volonté réelle de monsieur Retailleau de changer les choses en profondeur, le "système" tentera par tous les moyens de torpiller ses initiatives politiques et ce même s'il bénéficie de l'absolue confiance du Premier ministre.
Par ailleurs, compte tenu de l'attitude des membres de l'actuelle formation présidentielle à l'Assemblée nationale, monsieur Retailleau ne devrait pas bénéficier d'un temps d'exercice suffisant dans la mesure où le gouvernement Barnier est d'ores et déjà dans l’œil du cyclone qui le renversera.
Cependant, à titre personnel je souhaite son plein succès et surtout qu'il puisse montrer ce qu'est une vraie politique de droite sociale gaullienne.
Rédigé par : Robert | 11 octobre 2024 à 16:56
Point besoin d'avoir des dons de voyance pour se douter que BR, sitôt nommé ministre, allait être la cible prioritaire de tous ceux qui, se jugeant parce que de gauche seuls vertueux et porteurs de valeurs humanistes, ne pouvaient faire preuve que d'intolérance à l'égard de celui qui partage d'autres valeurs, d'autres convictions que les leurs. La meute n'attendait que sa proie et elle n'a pas tardé à se jeter dessus.
Qu'un ministre parle enfin le langage de la vérité, qu'y a-t-il là de répréhensible ? Les Français ne souffrent-ils pas justement depuis trop longtemps de ne plus entendre ce langage de vérité ? Vaut-il mieux que les politiques continuent à nous bercer d'illusions, à nous endormir avec leur langage lénifiant et infantilisant du mensonge ? N'en mesurons-nous pas aujourd'hui les conséquences ?
Alors que le pays est plongé, politiquement et financièrement notamment, dans une situation critique, que les défis qu'il doit relever sont immenses, il est affligeant de constater que nos hommes et femmes politiques dépensent leur énergie pour s'écharper sur le dos d'un ministre nouvellement nommé, en raison de ses convictions, de quelques-uns de ses propos décortiqués à la loupe, alors qu'il y a tant à faire par ailleurs dans l'intérêt du pays.
Laissons au moins BR agir, donnons-lui le temps pour ce faire et nous jugerons sur les résultats.
Rédigé par : Michel Deluré | 11 octobre 2024 à 16:37