On ne sait pas, à l'heure actuelle, ce qui s'est vraiment passé à Stockholm et le silence de la justice suédoise, conjugué avec celui de l'avocate de la plaignante et les déclarations un zeste convenues de l'une des avocates de Kylian Mbappé (KM), ne permettent pas de tirer des conclusions univoques sur ce séjour et ses deux nuits festives.
Mais la prudence dont il convient de faire preuve à l'égard de ces péripéties n'interdit pas de considérer que depuis quelque temps KM semblait, comme on dit, filer un mauvais coton. Que les explications soient sportives ou plus personnelles, il est clair que les derniers mois, qu'il a plus subis que vécus au PSG, la manière dont l'entraîneur espagnol l'a traité, son impatience de rejoindre le club de son coeur, le Real de Madrid, ses prestations moins bonnes aussi bien dans le championnat de France qu'en équipe de France dont il était le capitaine, l'immense émoi médiatique exagéré autour de ses faits et gestes, ses déclarations parfois ridicules, par exemple sur la mort de Nahel, une assurance qui pouvait être prise pour de l'arrogance, ont créé un climat défavorable à son épanouissement sportif et au maintien d'une relation de confiance et d'admiration avec ceux qui le portaient aux nues. D'abord à cause de son génie de footballeur caractérisé par une vitesse exceptionnelle qui, redoutée et entravée, n'avait plus le même impact ces derniers temps.
Son départ au Real, malgré le contentieux l'opposant au PSG qui lui devrait 55 millions d'euros, paraissait l'avoir rendu heureux, l'avoir stabilisé. L'équipe et l'entraîneur prestigieux qui l'accueillaient et attendaient beaucoup de lui paraissaient avoir fait preuve de très bonnes dispositions à son égard.
Je ne veux pas me prêter une lucidité rétrospective mais au fil du temps, il m'a semblé voir se dégrader son image. Sa capacité longtemps durable à résister à la mousse narcissique déversée sur lui s'est un jour métamorphosée en une dérive imprégnée de vanité et de la certitude qu'il pouvait tout se permettre. N'incriminer que lui serait injuste.
Quand je compare KM avec nos autres cracks, Antoine Dupont et Léon Marchand surtout, je perçois une différence capitale entre les entourages. Depuis que tout jeune il a commencé à attirer les convoitises, les parents séparés de KM paraissent l'avoir fait baigner dans un climat où l'argent domine, à cause du capital qu'il représente, et où ses intérêts financiers sont défendus par des géniteurs négociateurs impitoyables.
Quelle énorme différence avec les parents de Léon Marchand et la mère d'Antoine Dupont ! Pour eux, lors de l'éclosion de ces deux champions, le tiroir-caisse n'a pas relégué l'affection et le coeur. Le gratuit a toujours eu sa place. Cela explique les dissemblances entre ces trois jeunes destins, l'adhésion enthousiaste à deux d'entre eux et la réserve de plus en plus vive manifestée à l'égard de KM et de son environnement.
Il serait profondément inéquitable de faire reposer l'absence d'une politique de la tenue en France, et dans beaucoup de domaines, sur les seules épaules de KM dont l'équipée somptuaire à tous points de vue et la destination suédoise surprenante ont mobilisé l'attention médiatique.
En effet, au regard de ce que j'entends par "politique de la tenue", si KM peut être classé comme une personnalité qui en a manqué, les exemples sont multiples qui montrent que l'exigence de la tenue, à rapprocher de l'obligation de décence, est en chute libre, aussi bien dans les registres de la quotidienneté banale, de la vie politique, que de l'univers médiatique et artistique.
C'est même sans doute, à y regarder de près, l'évolution de notre société sur le plan de la forme, définie comme une manière d'être au monde, de se comporter comme il convient, de parler, de dialoguer avec autrui, de respecter son prochain et de se fixer des limites précisément quand, privilégiés, on croit pouvoir s'en abstenir, qui constitue la dégradation fondamentale de notre communauté d'existence, de notre civilisation.
Faut-il rappeler les transgressions graves de certains députés à l'Assemblée nationale, incapables de saluer leurs collègues d'un autre camp, de faire honneur à ceux qui les ont élus, de tenir des propos structurés sans haine ni outrance et de savoir écouter tranquillement par exemple le Premier ministre quand il s'adresse à tous ?
Faut-il rappeler les grossièretés du langage qui, dans le débat démocratique, remplacent la contradiction et l'argumentation par des insultes parce que, faute de savoir répliquer aux idées, on s'efforce de tenir pour moins que rien ceux qui les ont proférées ?
Faut-il rappeler la pauvreté de ces débats où la droite parle à la droite et la gauche à la gauche, avec pourtant l'invocation répétitive d'un pluralisme réduit à sa seule dimension partisane ?
Faut-il rappeler ces gestes indélicats, choquants, agressifs donnant de la virilité une lamentable image et blessant des féminités qui heureusement ne se laissent plus faire ?
Faut-il rappeler ces élèves frappant leur maître, leur professeur, le monde de l'éducation bouleversé dans ses bases ?
Faut-il rappeler, dans l'existence de tous les jours, dans les transports, ces femmes enceintes parfois debout, ces personnes âgées contemplant une jeunesse fatiguée assise, cette immense indifférence à l'égard de ce que la politesse nous apprenait hier à respecter, l'âge et l'enfance ?
Faut-il rappeler les rapports de force et de violence qui dans nos rues opposent les moyens de mobilité les uns aux autres et aboutissent parfois tragiquement à des crimes ?
Faut-il rappeler ce passage au fil des années de l'illégalité à l'immoralité, comme par exemple récemment un établissement pour handicapés dévasté, sans la moindre vergogne, avec ses fauteuils spéciaux très coûteux volés ?
Faut-il rappeler la gabegie ostentatoire de quelques-uns face aux conditions de vie difficiles de beaucoup ?
On pourrait me demander en quoi ces exemples que je pourrais multiplier sont à relier avec les épisodes concernant KM. Parce qu'ils relèvent de ce qu'on devrait d'abord apprendre de ses parents puis à l'école ; et de la Justice s'ils sont transgressifs. Car ces abstentions, indélicatesses, négligences peuvent se traduire au plus haut niveau de gravité par des délits ou des crimes ; la justice n'étant pour moi que la prescription d'une forme suprême de savoir-vivre.
Qu'on ne vienne pas soutenir que la tenue ne serait pas à apprendre à la jeunesse, comme si on pouvait tout lui passer. Puisqu'elle a tout l'avenir devant elle. C'est absolument le contraire. Si le socle est défaillant, tout se délitera. Il n'y a aucune raison de laisser croire que la jeunesse serait indigne de ce qui rend le fil des jours droit, moral et élégant.
Se tenir pour soi et pour une société, quelle splendide et nécessaire obligation !
Une politique de tenue ? Comment osez-vous écrire cela, vous qui êtes un chroniqueur d’une émission qui célèbre quotidiennement Tel-Aviv ? Avez-vous perdu la tête ? Cela suffit, donnez enfin votre démission…
Rédigé par : Alain Soumis | 16 novembre 2024 à 18:25
@ sylvain
Il a été martelé aux Français que le spectacle était beau, avant-gardiste, provoquant, que ceux qui le dénieraient ne seraient que des peine-à-jouir rétrogrades. Il n’en a pas fallu plus pour qu’à peu près tous ceux qui dans ce pays se targuaient de prétentions culturelles abdiquassent leur propre jugement et se joignissent au sabbat mimétique.
Quant au peuple indigent, il demeurait indifférent, n’aspirant qu’à la liesse et au défouloir. Des jeux, il ne désirait avoir que le content. Il en reçut plus qu’il n’avait demandé. Repu, il était satisfait. Pendant ce temps, le monde consterné nous regardait et désapprouvait.
Rédigé par : Jean sans terre | 28 octobre 2024 à 13:29
Allah mairie du Parikistan woke LGBT, une gigantesque panne de neurones semble s'éterniser. Exemple parmi tant d'autres, les propos hallucinogènes de David Belliard, adjoint d’Hidalgo, horrifié par l'indignation mondiale consécutive au spectacle sordide, nauséabond, vomitif, de la cérémonie d'ouverture des JO :
« Tout a été instrumentalisé par le RN et et ne concerne qu’une infime minorité de la population. Beaucoup de gens se sont retrouvés dans cette cérémonie. »
Ben voyons, cours toujours mon lapin ! Infime minorité en millions chez nous, en milliards dans le monde.
On savait déjà que cette mairie était reconnue pour être le plus grand point de deal municipal pour ses administrateurs woke LGBT inclusifs progressistes racialistes extrêmes gauchislamistes pro-migrants, élus délinquants qui arrosent de subventions les ONG mafias de passeurs avec les impôts des contribuables cocufiés, mais il serait grand temps que des psy, des experts en toxicologie et même des proctologues se penchent sur ces psychopathes paranoïaques schizophrènes, ce lupanar gauchiste de cinglés n'est plus qu’un rebut de tout ce qui est pervers détraqué dégénéré dans une société en déclin et qui s'est donnée pour mission de faire adhérer tout le pays à sa déchéance culturelle, sociétale et sexuelle, ceux qui refusent de les imiter ne sont que de sales racistes fascistes d'extrême droite.
Ben voyons !
Saluons quand même cet exploit cul-turel » : une Cène avec un bibendum Michelin relooké trans queer LGBT entouré de tous ses disciples tous aussi dégénérés, quel génie !
Et notre Kakamura accrochée à ses morpions qui se dandinait devant une fanfare en uniforme - képi humilié pour la bonne cause wokiste, du très haut niveau, j’espère qu’elle aura le César au prochain festival gauchiste de « Came » ville-lumière sauf pour cette « diva » qui ne l’a pas à tous les étages.
Quant à Léon Marchand, trop gaulois, nom et prénom de souche, trop blanc, refus du wokisme, donc suspecté de « faire-le-jeu » de l'extrême droite, il leur faut un Omar Sy dans son rôle, de gauche, résistant fiscal, très woke, voilà la perle qui aurait donné une autre allure bien plus populaire et sympathique que ce Blanc intrus perturbateur provocateur non conforme à cette cérémonie d'ouverture pittoresque que le monde entier nous envie… ou pas.
Rédigé par : sylvain | 28 octobre 2024 à 00:11
@ Jérôme
Mais non, centre, tête de Rüdiger, et sur la deuxième, service à Vinicius mieux placé qui reprend en une touche, l'attaquant égoïste s'intègre au collectif.
Quant aux rebeus, ils ont dû partir en école de voile.
Rédigé par : Aliocha | 24 octobre 2024 à 00:32
Je n'ai pas bien suivi cher Aliocha. Vous parlez de beurs... nature ou demi-sel. Il n'en existe qu'un nous dit le Breton, salé.
J'avoue ne pas m'occuper des origines des footeux. Mon seul souhait est de me faire enchanter par le jeu.
Concernant KM cher ami, je pense depuis toujours qu'on lui accorde un niveau footballistique qu'il n'a pas. C'est un bon, très bon joueur, loin des "fury-class", niveau cher au regretté Didier Roustan, qualifiant des Zidane, Messi, Gronaldo, Ronaldo, Maradona, Mitroglou, non j'décooooonne...
Concernant le jeune homme, il a une regrettable "pastéquite" qui le rend parfois d'un ridicule consommé.
Hier c'est une passe dé pas deux. Déjà que les passes dé ne veulent pas dire grand-chose, tant elles dépendent de qui est à la réception, mais si on considère comme passe dé une passe à un joueur qui va réaliser trois dribbles avant de marquer...
Rédigé par : Jérôme | 23 octobre 2024 à 19:38
@ Serge HIREL
Qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que je suis aigri ? On peut avoir le pessimisme joyeux. Quant à désirer parler, je ne parle même pas de convaincre - il est complètement sot de l’espérer - pour quelles fins ? Le plaisir, faudrait-il encore en ressentir et ne pas avoir la moindre décence quand les choses sont si tragiques. Si encore on n’apprenait des choses nouvelles. Mais on répète. On ressasse. Tout est visible, connu, archiconnu et rien ne se passe. On blablate et on reblablate jusqu’à plus soif. Que voulez-vous discuter encore ?
Quand j’entends des gens qui sont intelligents, cultivés, très urbains et civilisés dire : Barnier va changer ceci, Retailleau va changer cela, l’avenir de la France ne peut passer que par l’Europe parce que ceci, parce que cela, Le Maire savait mais ne pouvait pas, Macron est un libéral qui ceci, qui cela, je n’ai plus aucune indulgence. On a envie de les prendre au collet et de les secouer.
Bon Dieu, qu’est-ce qu’il vous faut de plus ? Ceux-là sont connivents, pour paraphraser sylvain : des collabos. Des gens tous plus intelligents, plus cultivés, plus capables que moi. Et pourtant, ils tiennent de tels propos. Croyez-vous qu’il soit supportable de plus discuter ? Il n’y a rien à discuter, tout est évident, accessible, visible très largement plus qu’il ne faut. Cela fait un bon trente ans que c’est très nettement sous les yeux et que cela dure. Ça suffit. Il ne s’agit plus de dire mais de faire.
Précisément, la question est pourquoi rien n’est fait ? Pourquoi tout demeure inchangé ? Qu’est-ce donc qui bloque tous ces gens, tout ce peuple, élites et masses confondues ? Le mystère est vertigineux, insondable. Puis on s’applique à sonder avec une rage vengeresse les cœurs et les reins, et à un moment la vérité apparaît indicible, ineffable. Alors, on n’a plus envie de parler. On méprise. On a la rage. Un peu comme les mahométans, vous voyez ?
C’est à se demander, moi qui soupire aux temps passés, à la noblesse, aux rois, aux saints, si LFI ne serait pas mieux que cette accumulation dégoûtante de pleutrerie, de lâcheté, de crainte de dépossession de son argent, de toute cette engeance de la droite et du centre modérés. Vous l’admettez la Révolution. Eh bien, allez. On y va. Mais jusqu’au bout, le plus vite possible. Que l’on en finisse enfin.
Vous commencez à comprendre, Tipaza. Moi, figurez-vous mais vous n’en comprendrez rien, c’est les armes à la main que je désire mourir. J’y aurai perdu tout ce que j’aimais ou presque, fors l’honneur, fors mon panache. Mais au moins, je n’aurais pas trop à rougir. Je ne finirai pas comme un cloporte craintif sous une pierre. Et je pourrai me consoler que mon enfant et mes petits-enfants qui ne sont pas encore nés, lorsqu’ils penseront à moi sur ma tombe pourront se dire : « Papa, c’est très bien ce que tu as fait, je suis fier de toi, cela n’a servi à rien peut-être mais c’est bien tout de même que tu l’aies fait ». Vous voyez. Un peu comme en 14. Et finir dans un cimetière, avec un drapeau français dressé, où personne ne va, complètement oublié, au milieu de jeunes Français morts trop tôt, tous autant oubliés, c’est tout de même mieux que finir aveuli, au milieu de ses petits plaisirs et privilèges de bourgeois.
Diantre, que diable, élevons un peu les têtes et les âmes. Un peu d’héroïsme. Quand à force de lâcheté et de soumission il s’agit de mourir, un peu d’honneur et de dignité. Qu’au moins ce soit les armes à la main. Vous imaginez à la façon de Cambronne, le regard hautain et méprisant : « Je vous emmerde ». Ci-gît Cyrano de Bergerac, qui fut tout et qui ne fut rien. Admettez. Ça a de la gueule. C’est bien français. Ne vous êtes-vous pas lamentés récemment sur la mort du beau Delon ? Eh bien, faîtes pareil. Comportez-vous en Français ! À défaut, faites au moins semblant et mimez !
Vous comprenez mieux maintenant pourquoi je n’ai plus envie de parler. Je préfère ma rage bête, joyeuse, froide et déterminée à tous ces compromis. Mais si vous préférez, s’il n’y a que cela qui vous réchauffe, eh bien, continuez. Discutez.
Merci @Ugo et tous les autres dont la souffrance perce à chaque mot.
Haut les cœurs. Résistez.
Rédigé par : Jean sans terre | 23 octobre 2024 à 19:20
Deux passes décisives hier au soir, Kyky collectif, un billet de notre hôte pour célébrer sa tenue ?
Rédigé par : Aliocha | 23 octobre 2024 à 10:51
@ Jean sans terre | 22 octobre 2024 à 13:47
Cela doit être épouvantable d’être aigri au point de ne plus avoir envie de deviser avec d’autres, de confronter ses idées à celles de ses semblables, de n’avoir plus comme armes qu’un regard d’examinateur sur leur prose... Jean sans terre... et sans proches... ou Jean s’enterre...
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@ Ugo | 22 octobre 2024 à 18:56
« Pour me réconforter, je vais lire les commentaires parus dans la presse canadienne et… »
L’herbe est toujours plus verte chez le voisin...
Rédigé par : Serge HIREL | 23 octobre 2024 à 09:30
Kyky est l’un des surnoms du capitaine de l’équipe de France de football. En fait, on ne sait pas grand-chose du déroulement des frasques scandinaves de l’aréopage de Kyky.
Il semble que Kyky ou l’un de ses amis ait voulu contempler le calibistrix d’une Suédoise à la cuisse légère. Mais rien n’est moins sur que ce qui est dessous.
Les dessous des dames de mauvaise tenue peuvent coûter un pognon de dingue. Maman avait prévenu, l’avocate avait surenchéri et même Elise Tu sais de qui je parle avait évoqué le sujet à une heure de grande écoute.
Décidément, l’entourage de Kyky est composé de trop de femmes attirées par son fric, il faudrait un balai et faire le ménage.
Rédigé par : Vamonos | 23 octobre 2024 à 04:17
@ stephane | 22 octobre 2024 à 17:33
« Je suis devenu de plus en plus de droite sur ce blog. »
Si cela peut vous rassurer, en ce qui me concerne je suis devenu de moins en moins de gauche et ce blog n’y est pour rien.
Je ne pardonne pas aux socialos qui ont rejoint LFI et les écolos. Les premiers sont des factieux, les seconds des illuminés.
Ces deux partis se comportent comme des voyous à l’Assemblée nationale et sont indignes de leur mandat de représentants du peuple. Ceci d'autant qu'ils arborent leur écharpe tricolore dans toutes les occasions, même les plus contestables.
Je suis macronien par défaut car tous ceux qui briguent la place d'EM, en piaffant d’impatience, souhaitant même qu'il n'arrive pas au terme de son second mandat, font la démonstration tous les jours qu’ils sont incapables d’occuper la fonction.
Entre LFI et le RN - qui soit dit en passant ont tous les deux des affaires politico-financières sur le feu - c’est à celui qui fera le plus de promesses mirobolantes et donc intenables. Tous les économistes un peu sérieux ne cessent de le démontrer.
Alors même si Emmanuel Macron n’est pas l’homme providentiel que les Français attendaient depuis le Général, je m’en contente. En 2027, il ne pourra plus se représenter, je verrai bien alors quel candidat me conviendra le mieux. Un chose est sûre, il ne sera pas du NFP et pas davantage du RN.
Rédigé par : Achille | 22 octobre 2024 à 20:36
@ Jean sans terre | 22 octobre 2024 à 13:47
« Au revoir, chers amis. J’ai trop de chagrin de mourir avec ma patrie pour continuer à deviser plaisamment. »
C’est une réaction tout à fait normale pour un homme qui dispose d’un grand cœur… nous sommes plusieurs à partager sur ce blog le même chagrin et… deviser pendant l’effondrement de notre patrie nous contrarie également…alors on claque la porte mais on revient comme vous le faisiez de temps à autre jusqu’à ce jour.
Ce qui me chagrine le plus c’est de ne pas pouvoir échanger sans être insulté sur des sujets importants tels que les guerres actuelles… Pour me réconforter je vais lire les commentaires parus dans la presse canadienne et…
Rédigé par : Ugo | 22 octobre 2024 à 18:56
@ Achille
Eh ben Achille c'est votre journée.
Je suis devenu de plus en plus de droite sur ce blog. Et si ce qui agace certains contributeurs n'était pas votre constance à défendre Macron coûte que coûte, à titre personnel je trouve cela plutôt bien d'être stable dans ses idées. Avec Macron comme idole, la performance en devient admirable. Vous êtes le Kylian Mbappé du blog en matière de conservatisme macronien.
Je cherche désespérément un LFIste sur ce blog.
Rédigé par : stephane | 22 octobre 2024 à 17:33
@ Jean sans terre | 22 octobre 2024 à 13:47
Belle réponse. Là on sent le lettré confirmé avec un style élégant. Réponse caustique certes, mais cela ne me déplaît pas dans la mesure où je ne note aucune agressivité dans le propos, ce qui me change de certains contributeurs qui ne m’apprécient pas et me le font savoir avec des mots moins bien choisis.
Ainsi donc vous partez déjà ? C’est dommage on commençait juste à faire connaissance.
Il en est même un qui se limite à faire un copier-coller d'un passage de votre réponse. Quel courage ! :)
Rédigé par : Achille | 22 octobre 2024 à 16:11
@ Jean sans Terre 13h47 (@ Achille)
"Passé le hérissement d’agacement que l’on ressent chaque fois que vous vous exprimez, on trouve un avantage à bien vous entendre. On comprend pourquoi, par l’intermédiaire des millions de citoyens semblables à vous, la société est devenue ainsi qu’elle est. Vous en offrez une subtile caricature, une sorte de condensé et de concentré à l’état presque pur, si l’on pouvait parler de pureté pour un tel amalgame d’idées convenues jusqu’à la nausée ressassées et enfoncées dans les têtes."
Merci.
Pas mieux !
Rédigé par : caroff | 22 octobre 2024 à 14:54
Vous avez raison, Achille. Marchenoir est plus chirurgical et précis. Son intelligence est fulgurante. Comme tous ceux dont l’intelligence éminemment se démarque, se pose la déterminante question de la façon de s’accommoder avec le reste de la société. Le personnage d’Alceste est trop âpre à longuement porter. Avec celui de Philinte, on passe partout. Je ne sais duquel personnage il s’est au cours sa vie masqué ? Je crois l’homme réaliste et pragmatique. Par le truchement de ses fulgurances, il se fait plaisir et se venge.
J’ai moins de sciences que lui et l’âme beaucoup plus désespérée - ou siphonnée si vous préférez. Je suis désormais trop vieux pour me révolter. Plus jeune, les révoltes adolescentes m’ont toujours paru trop convenues et ennuyeuses. Sans doute étais-je trop solitaire, fier et point assez désespéré. Ma vie fut bénigne et innocente. J’irai plus loin encore : inexistante.
Je me demande comment font les jeunes personnes aujourd’hui ? Leur jeunesse me paraît encore plus triste et sans horizon que ne fut la mienne. Les uns s’étourdissent. Les autres ruminent. Quand ils seront assez nombreux, ils la feront, la révolution. Pour paraphraser Rimbaud, j’ajouterai : « c’est oracle ce que je dis ». Ils auront bien raison. La société telle qu’elle est désormais est bien trop sclérosée et insipide. On n’y peut plus respirer.
Je vous apprécie bien, Achille. Passé le hérissement d’agacement que l’on ressent chaque fois que vous vous exprimez, on trouve un avantage à bien vous entendre. On comprend pourquoi, par l’intermédiaire des millions de citoyens semblables à vous, la société est devenue ainsi qu’elle est. Vous en offrez une subtile caricature, une sorte de condensé et de concentré à l’état presque pur, si l’on pouvait parler de pureté pour un tel amalgame d’idées convenues jusqu’à la nausée ressassées et enfoncées dans les têtes.
Ne vous offusquez pas. Après trois ou quatre ans, je ne faisais que passer. J’en profite pour saluer. Je ne resterai pas longtemps. On ronronne ici. Une bourgeoise et agréable pension de retraite. Rien n’a changé. Tout est bien rangé, ordonné et à la même place. Nulle trace de poussière. Tout est propre et entretenu. On éprouve du plaisir à retrouver les uns et les autres. Les gens sont sympathiques et intelligents. On devise agréablement. On se fait plaisir innocemment. Avec la précautionneuse sagesse que confère l’âge, l’on attend bénignement et patiemment que la mort vienne vous surprendre. Je ne pourrai pas trop rester. Je suis bien plus jeune que la plupart des comparses. Mais mon cœur est trop las, usé, désenchanté. J’ai perdu le plaisir de ces conversations et déjà un premier pied est outre-tombe. Qui sait ? Peut-être, hisserai-je le vieil et déchiré drapeau une dernière fois ? Il est plus beau de mourir avec panache et la mort certainement m’y paraîtra plus douce. En attendant, je suis déjà trop loin. Au revoir, chers amis. J’ai trop de chagrin de mourir avec ma patrie pour continuer à deviser plaisamment.
Rédigé par : Jean sans terre | 22 octobre 2024 à 13:47
@ Jérôme
Auriez-vous remarqué qu'il n'y a pas plus de rebeus en équipe de France que la moitié d'un Mbappé ?
Pourtant quand mon lapin supersonique était en U17 nationaux il n'y a pas si longtemps, il y avait une brochette de petits génies super-techniques avec cette capacité de mordant qui, quand le noir se laissait aller à sa langueur ou le blanc à son ressentiment, n'hésitaient pas à piquer leurs coéquipiers au bénéfice de l'équipe.
Les mouvements réciproques épargnent les deux gamins rugbymen attrapés au même piège que Mbappé, notre hôte n'a pas commenté la qualité de leurs parents et personne ici n'en fait mention.
C'est édifiant et confirme que la tenue réclamée par notre hôte tient surtout au socle d'exclusion qui ne se contente plus du sacrifice d'un seul, cela ne suffit plus, mais retourne au lynchage de tous, ceux qui sont tout et ceux qui ne sont rien avant de s'être mutuellement reconnus persécuteurs, libres et égaux, ma foi, sans être encore fraternels.
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a3/Caravaggio_-_Conversione_di_San_Paolo_%28Odescalchi%29.jpg
Rédigé par : Aliocha | 22 octobre 2024 à 08:19
@ Tipaza | 21 octobre 2024 à 23:03
On a peut-être perdu (momentanément je pense) Marchenoir depuis dix jours, mais on a récupéré Jean sans terre, surgi de nulle part.
Il est bien gratiné celui-là. Pas sûr qu’on ait gagné au change. :)
Rédigé par : Achille | 22 octobre 2024 à 06:45
@ Achille | 21 octobre 2024 à 18:09
"Il (Robert Marchenoir) vous manque tant que ça ?"
Disons que j'aime bien ses commentaires, malgré ou à cause de leurs outrances, de leurs exagérations, ils sont toujours argumentés de bonne ou mauvaise foi, qu'importe.
Je suis capable de faire le tri et d'être indifférent à certaines attaques déjantées.
Et puis, dans un de ses derniers commentaires il a parlé du système de santé qu'il venait de découvrir pour quelques problèmes. Je cite de mémoire.
Alors c'était une façon, disons détournée, volontairement humoristique, de prendre des nouvelles de sa santé sans s'immiscer dans sa vie.
Rédigé par : Tipaza | 21 octobre 2024 à 23:03
Pourtant, il paraît que notre civilisation serait à sauver des barbares. Plus j’observe les mœurs et plus je remarque que cela fait belle lurette que nous ne sommes plus civilisés et que, bien avant la submersion migratoire, nous étions déjà retournés à l’état barbaresque. Ceci explique peut-être cela.
J’ai lu que d’aucuns distinguaient l’élite du peuple. Il est plutôt frappant qu’à l’exception de ce qui se rapporte à l’argent, élites et peuple le plus parfaitement du monde aujourd’hui se confondent. Ceci aussi peut-être explique cela.
Mbappé se tient mal. Certainement. Pas moins toutefois que l’anonyme quidam de la rue. Ni moins non plus que tous ces petits bonshommes que l’on aperçoit à l’intérieur de nos écrans. Ceci encore explique peut-être cela.
Rédigé par : Jean sans terre | 21 octobre 2024 à 20:07
Concernant Kylian Mbappé, c'est un produit marketing. Loin du niveau footballistique qu'on lui accorde.
Il m'a fait mourir de rire quand il a pondu lors d'une interview : "Je sais que mes paroles vont faire grand bruit", ne lui manquait plus que les pompes à bout carré, la perruque Louis XIV poudrée et la mouche.
Ah ça ira, ça ira, ça ira...
Rédigé par : Jérôme | 21 octobre 2024 à 19:40
Vive la France et ses joueurs d'accordéon et... de pipeau !
Bilan globalement vomissif :
Augmentation des taxes impôts prélèvements cotisations faillites ruines dépôts de bilan exils fiscaux...
Augmentation sidérante des crimes viols coups de couteau de machettes de cutters refus d'obtempérer lynchages des FDO squats violents chantages menaces agressions à domiciles incendies casses pillages cambriolages fusillades impunité des criminels, justice préfets procureurs complices du crime, députés élus pour la bonne gamelle du pouvoir insensibles à tous les malheurs qui s'abattent sur le peuple qu'ils méprisent et écrasent grâce à cette invasion criminelle que l'on doit subir sans broncher !!!
France Macron narco islamiste LGBT woke, la déchéance absolue, la mort d'un pays devenu un vaste asile de fous de criminels de cinglés dégénérés immigrés criminels, commandé par une mafia d'élus corrompus traîtres lâches laxistes responsables et coupables de ce crime d'Etat à grande échelle programmé par leurs soins.
Rédigé par : sylvain | 21 octobre 2024 à 19:30
@ Tipaza | 21 octobre 2024 à 16:18
Il vous manque tant que ça ? 😊
Rédigé par : Achille | 21 octobre 2024 à 18:09
Mais où est donc passé Maître Marchenoir ?
Rédigé par : Tipaza | 21 octobre 2024 à 16:18
L’OQTF qui a menacé avec un couteau de 20 cm des passagers, des contrôleurs et des policiers ne sera pas poursuivi pénalement après son arrestation !
Allo Retailleau, Moretti, Migaud ? Coucou Mbappé, LFI-Hamas, SM mur des cons ?
Ce n'était qu'un petit ange qui voulait juste éplucher la pomme qu'il avait dans son sac de chantier, vous voyez des sentiments d'insécurité partout.
Heureusement que tous ces juges rouges relâchent ces malheureux, victimes de nos jugements racistes xéno islamophobes sinon nous manquerions de main-d'oeuvre pour redresser notre "écounoumi".
Ben voyons !
Rédigé par : sylvain | 21 octobre 2024 à 14:57
@ Jérôme | 21 octobre 2024 à 12:39
« Le délitement de la société vient de la vulgarité de l'élite. Pas de la grossièreté des gens normaux, ceux qui ne sont rien dans les gares. »
Qui sont ceux que vous appelez « des gens normaux » et « ceux qui ne sont rien dans les gares » ?
Je m'étonne de votre affirmation selon laquelle « le délitement de la société vient de la vulgarité de l'élite ».
Si vous y regardiez mieux, vous verriez que ce que vous croyez l'élite est un ramassis de traîne-savates répugnants, qui puent la paresse et la sottise.
Et qu'y a-t-il de plus repoussant que la paresse ? Je vous le donne en mille...
Une quantité considérable de saloperies de l'âme, un choix infini d'ignobles travers, une masse colossale de perversions, sans compter que tous ces porcs sont assoiffés de souffrance, qui toujours doit frapper loin de leur confortable petit coussin de chien à l’encolure pelée et purulente.
Vous suivez un raisonnement à l'emporte-pièces, confortable et faux...
« Larcher qui s'empiffre et se poivre à coup de vins millésimés est bien plus vulgaire que mes potes avec qui on s'enquille quilbus de rouquin sur quilbus de rouquin. »
Non ! Il est à l'image de ceux qui courent dans les boulevards, les rues et les venelles, il est la caricature de monsieur toutlemonde, dont le rêve est aussi répugnant que les babines de cette panse...
« Et c'est nous qu'on paye. »
C'est meilleur quand c'est nous qu'on paye...
« Pas le contribuable. »
Traire la vache est la base, le Trésor ne s'arrête jamais, même mort, il vous fait les poches, pour une raison ou une autre ; il ne laisserait pas un liard, il vous rasera à blanc...
« Ah ça ira, ça ira, ça ira... vivement la suite. »
Téméraire ! Vérifiez avant ce qui se trouve dans votre culotte... À mon avis, rien ! Et c'est ça la surprise !
Si vous croyez que la populace a du cœur, c'est que vous êtes un hypocrite.
Elle a une gueule et un estomac, elle est avide et injuste, elles est cruelle et sa cruauté est infatigable, elle ne voit pas plus loin que le bout de son nez, et si elle avait une mémoire, elle n'aurait pas oublié... Elle est un tapin qui se donne sans compter.
Des jours maussades, sombres et remplis de laideur funeste pointent à l'horizon, et il faudra que la culotte soit bien pourvue !
Mais ça ira !
Rédigé par : duvent | 21 octobre 2024 à 14:55
Vous avez cher hôte, tort. La forme, aussi correcte qu'elle soit, dans le choix des mots, le ton... peut se révéler plus insultante, méprisante, condescendante, vulgaire, violente, agressive... que l'utilisation d'un langage cru.
Le meilleur exemple en est le président Emmanuel "Kadyrov" Macron.
Le délitement de la société vient de la vulgarité de l'élite. Pas de la grossièreté des gens normaux, ceux qui ne sont rien dans les gares.
Larcher qui s'empiffre et se poivre à coup de vins millésimés est bien plus vulgaire que mes potes avec qui on s'enquille quilbus de rouquin sur quilbus de rouquin.
Et c'est nous qu'on paye. Pas le contribuable.
Ah ça ira, ça ira, ça ira... vivement la suite.
Rédigé par : Jérôme | 21 octobre 2024 à 12:39
Hommage (hors sujet, pardon).
Un jour des années 80, je tombe en arrêt sur la manchette du quotidien du lieu où je me trouvais.
Le Los Angeles Times titrait : TRUFFAUT IS DEAD.
Et je me suis immédiatement demandé quelle était cette célébrité américaine ayant porté un nom de chez nous.
La lecture de l'article m'a appris le décès du cinéaste François Truffaut.
Je rappelle cette erreur non pas pour étaler mon ingénuité, mais pour montrer la place de l'ancien rédacteur des Cahiers du cinéma dans cette industrie née dans un des quartiers de la bonne ville de L.A.
Rédigé par : Yves | 21 octobre 2024 à 11:54
@ Miss Issipi | 20 octobre 2024 à 16:00
Miss Souris, c'est mieux.
Rédigé par : sylvain | 21 octobre 2024 à 10:36
« Depuis que tout jeune il a commencé à attirer les convoitises, les parents séparés de Kylian Mbappé paraissent l'avoir fait baigner dans un climat où l'argent domine, à cause du capital qu'il représente, et où ses intérêts financiers sont défendus par des géniteurs négociateurs impitoyables. » (PB)
Deux remarques.
Est-il normal que le sport soit de plus en plus lié avec l'argent et avec la corruption morale qu'il entraîne inéluctablement ?
Ensuite, alors que sur le terrain les sportifs sont tenus de respecter aussi bien des règles que leurs adversaires, comment se fait-il qu'une fois revenus « dans la vraie vie », celle qui devrait en principe être celle d'un pays civilisé, les mêmes se comportent trop souvent en personnages sans foi ni loi ?
Rédigé par : Exilé | 21 octobre 2024 à 10:28
Le football rejoint assurément notre civilisation au sommet de la spiritualité, et il est dès lors logique que ses élites s'y intéressent, paient cher ses mystiques du grand art, et que ces derniers soient les plus fortunés.
Dès lors, pourquoi se lever et céder sa place à un vieux c.. ou à une pétasse engrossée ? On a payé sa place, qu'ils se débrouillent !
Il faut être cohérent : on ne peut pas admirer l'immoralité d'un côté et la vouloir dans le bus. D'ailleurs, la morale, c'est quoi ? Étymologiquement : ce qui est relatif aux mœurs. Et qui décide des mœurs ? le pouvoir spirituel. Alors comme on n'en veut pas, il n'y en a pas.
P.-S. : coup de gueule : j'apprends à l'instant sur Sud Radio que François Hollande, le nul, touche 35 800 euros de retraite par mois !
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 21 octobre 2024 à 10:20
Quelle bronca pour un coup maladroitement tiré par un footeux. Enfin, je crois, d'après ce que j'entends et lis, sans rien avoir su de la chose, ses péripapéties anciennes et développements mesurables.
Outre ce détail, des réflexions sages ou doctes sur le sort d'une discipline dévorée par l'argent, engendrant des errements de toutes natures.
Est-ce intéressant ? Non, à l'évidence quand on habite un pays qui croule sous l'étendard d'une fiscalité galopant aux rives de l'Achéron. Oui, si on pense à un colonel Zatopek balayant les rues de Prague.
Quant à la leçon de morale de l'argent trop vite gagné, la rapacité du clan familial, l'inexpérience, sources des maux vénériens... foin. C'est du Delly, du Nous Deux, du Confidences.
Dans la brume, je vois s'avancer ce soldat aveugle, sale, boueux, allemand et en face, ce moujik déguisé en militaire qui va l'abattre. Victimes de la folie de leurs maîtres, sinistres jongleurs avec la vie des autres. Le pauvre footeux ne risque rien, il a l'intelligenzia des vertes pelouses avec lui, sauf s'il joue mal. C'est-à-dire qu'il ne rapporte plus.
Rédigé par : genau | 20 octobre 2024 à 23:39
Il convient de citer Teddy Riner qui domine son sport depuis des années et a aussi gagné une médaille d'or pour son équipe aux J0 ! Il ipponise même les Japonais !
Rédigé par : Claude Luçon | 20 octobre 2024 à 23:29
@ Giuseppe | 20 octobre 2024 à 10:10
La question mérite d’être posée : un match de football dit « professionnel » relève-t-il du (mauvais) théâtre de rue ? Est-ce un happening dont l’épilogue n’est, par nature, pas écrit... du moins peut-on l’espérer (cf un certain VA-OM de 1993...) ? Bref, est-ce un spectacle vulgaire - dans tous les sens du terme - beaucoup plus qu’une rencontre sportive de haut niveau ? Et même plutôt une pantomime, avec ses pitres et ses clowns qui se donnent la réplique, plutôt qu’une tragi-comédie en deux actes et une tombée de rideau, applaudie ou sifflée ?
Autant le foot amateur, comme le rugby et bien d’autres sports collectifs, est porteur de valeurs à développer, autant le football professionnel est devenu toxique pour ceux qui y accèdent, tant les joueurs, aux salaires indécents, que le public des stades, qui vocifère contre l’adversaire plutôt qu’il n’applaudit l’équipe qui lui plaît. Et que dire de ces crétins qui, affublés de tenues extravagantes à leur arrivée à Clairefontaine, prennent leurs supporters pour des demeurés qu’ils peuvent amuser comme des bambins au berceau ?
L’autre question, à laquelle le CIO devrait répondre urgemment s’il veut conserver un peu de son image d’institution sportive la plus importante de la planète - son goût pour l’argent et son penchant pour la poudre aux yeux l’ont déjà beaucoup écornée -, est la raison pour laquelle le football est un sport olympique alors que le rugby à XV reste, depuis 1924 - cent ans - à la porte de ses stades.
Le rugby à XV qui, indéniablement, par ses pratiques, par le comportement de ses joueurs, y compris de ses champions, par son usage encore raisonnable des revenus qu’il brasse, est dix fois plus proche des valeurs olympiques définies par Pierre de Coubertin que le football, désormais vérolé par le « fric », les paillettes et, maintenant, la bamboula.
Pourquoi le multimillionnaire Mbappé aurait-il pu être un athlète olympique quand Antoine Dupont, qui gagne en un an moins que ce que le footeux reçoit par match, a dû changer de discipline pour y participer ?
Allo, Lausanne ? On vous écoute...
Rédigé par : Serge HIREL | 20 octobre 2024 à 18:26
L'analogie sera facile mais il y va, avec le roi footballeur, non pas de ses "deux corps", mais de ses deux tenues, le maillot du Club, qui l'expose urbi et orbi, et celle de l'intimité, où on le retrouve "en petite tenue", qui ne l'offre plus à la vue du premier fantasme qui passe, qui reste une tunique d'invisibilité pour les Merenges.
La différence, mais aussi l'association, entre la lumière et l'ombre, l'arène publique et la sphère privée, les soirs de relâche du spectacle, éclatent.
Deux tenues dans lesquelles le footballeur doit sauter alternativement, tous les jours, contrairement aux rois plus fainéants qui, même nus, perruqués ou chauves, gardaient leur statut politique exceptionnel, théologique.
Le footballeur - célébrité évaporée, gloire fondue, ascendant et autorité superflus - frôle la téléologie, lui, en caleçon, boxer, shorty double side ou slip, il sait qu'il peut finir comme Thierry Henry, corps coulé dans le bronze devant les bouches d'accès aux tribunes d'Arsenal à Londres.
Les jeunes filles suédoises, depuis longtemps, ne sont plus ces "stars f*ckers" que croient repérer les vieux échotiers spécialistes des terrains gras, elles sont là, ne sont plus de bois mais plutôt faite d'un souple tour d'airain, chair fraîche contre chair fraîche, à même hauteur (quelle que soit leur taille) de regard que le footballeur devant elles, en survêt, bonnet, cagoule et chaîne en or, une troisième tenue qui le met définitivement en boîte, qui le coince de son plein gré sur la piste, masque sa réputation dans un infernal mix de musique, le nettoie de son crédit, le vide de son prestige naturel, la séduction n'étant même plus l'enjeu majeur d'une rencontre.
On entend vite un coup de sifflet depuis les couloirs des hôtels voisins.
Un pénalty ? Un but contre son camp ?
Le son strident d'une future surface de réparation ?
Rédigé par : xavier b. masset | 20 octobre 2024 à 16:56
Un Black qui file du mauvais coton ?
C'est du Lacan ?
Rédigé par : Miss Issipi | 20 octobre 2024 à 16:00
Il est clair que depuis de nombreux mois déjà, Mbappé s'est engagé, hélas point pour le meilleur, sur des chemins de traverse qui l'ont écarté de la voie naturelle sur laquelle il s'exprimait le mieux, à savoir le football. La notoriété trop précoce, les euros qui l'ont accompagnée en se déversant sur son compte en banque en quantité indécente, la griserie qui s'en est suivie, lui ont fait enfler non seulement les chevilles mais aussi la tête.
Alors, s'il est un conseil que l'on peut donner à Mbappé, c'est de rapidement se reprendre, de vite remettre ses idées en place et de se recentrer sur la seule chose pour laquelle il semble prédestiné et qui peut donc lui réussir, à savoir le football. Qu'il s'exprime, si tant est qu'il ait du génie en la matière, sur et non à côté des terrains de football et y consacre uniquement son énergie. S'il doit occuper la Une des médias, c'est dans la rubrique des sports et non dans celle des faits divers. Cela évitera peut-être qu'à l'adulation outrancière que certains lui vouaient trop hâtivement, succède une déception profonde, voire pire, un écoeurement excessif.
Le comportement de cet enfant (trop!) gâté nous amène évidemment à faire un parallèle avec l'état de notre société actuelle et de son évolution. Et ce parallèle n'est hélas pas forcément réjouissant. Il pourrait avoir cependant le mérite, ce qui serait déjà positif, de nous conduire à effectuer un état des lieux, à prendre conscience de ce qui ne fonctionne pas et à nous amener enfin à réagir, à saisir ce qui est essentiel et à nous engager en conséquence dans une voie de redressement permettant à notre société de retrouver certaines valeurs immuables plutôt que de continuer à dériver. Mais affirmer cela, n'est-ce pas aux yeux de beaucoup prendre le risque d'être taxé de réactionnaire ?
Rédigé par : Michel Deluré | 20 octobre 2024 à 14:30
Cela empeste le piège... mais n’y tombent que ceux qui le veulent bien. Il n’est pas nouveau que, partout dans le monde, d’accortes jeunes femmes peu farouches fréquentent les bars des hôtels de grand luxe, avec l’accord ou non de leurs concierges. Elles proposent... se proposent, mais nul n’a l’obligation de succomber. Et il est assez difficile pour leur proie, nécessairement consentante quand elle n’est pas quémandeuse, de faire croire qu’elle se retrouve dans le même lit que la belle à l’insu de son plein gré.
Autrefois, ces dames, reconnaissantes après avoir reçu leur petit cadeau, se retiraient gentiment, déjà à la recherche d’un autre gogo. Aujourd’hui, certaines, un rien femme d’affaires, cherchent à améliorer la gratification reçue en transformant illico leur client en violeur. Plus celui-ci a un nom, plus la plainte peut rapporter gros...
La Suédoise de Mbappé n’est pas une affabulatrice en mal de notoriété. La justice l’aurait déjà éconduite. Elle n’est pas non plus une admiratrice qui, désirant un selfie, aurait pris le risque de réveiller le mâle qui sommeille en tout homme, puis l’aurait regretté. Elle est plus probablement une jeune femme délurée et bien organisée qui veut, à tout prix, y compris le scandale, « réussir » dans la vie... Et mieux vaut pour cela harponner un gamin plein aux as qu’un jetsetteur blasé.
« Un gamin »... c’est ce qu’est dans ce milieu de la « fête sans compter » l’attaquant du Real. Un « gamin de Bondy » qui n’en connaît ni les codes, ni les traquenards. Un « parvenu » qui profite de son « fric ». Une « star » happée par la lumière qui, pense-t-il, lui offre l’immunité.
A-t-il compris qu’il est épié, jalousé, sans cesse sous le feu de la critique... de son jeu, mais aussi de sa personne, que chacun de ces gestes, que chacun de ces propos ne sont plus anodins ? A-t-il compris qu’il était devenu un exemple ? A-t-il compris que cela l’obligeait ? Ce n’est pas sûr... Ses dernières incartades - son absence au « rassemblement » d’octobre, qui peut être interprétée comme un refus de jouer contre l’équipe d’Israël, son escapade hors de prix à Stockholm - ne plaident pas en sa faveur.
Pas plus que son silence personnel sur cette « folle nuit » et son choix de laisser le soin à une avocate de renom de le défendre dans une affaire où il plaide l’innocence. J’ai en mémoire une accusation aussi grave portée contre Dominique Baudis, alors président du CSA. Le soir même, visiblement ébranlé, il était allé au 20 heures de TF1 laver son honneur. Mbappé a-t-il compris qu’au-delà du risque judiciaire, c’est le sien qui est atteint ?
Pour l’heure, bien téméraire serait celui qui assurerait que l’affaire du Bank Hôtel fera pschitt, que la Suédoise d’un soir sera déboutée, que « Kylian » sera mis hors de cause. L’enquête se poursuit... Mais, ce qui est d’ores et déjà acquis, c’est qu’elle laissera des traces, un peu comme le coup de boule de Zidane... lui bien réel.
Espérons aussi qu’elle restera pour le gamin de Bondy, pour qui tout est allé trop vite, une leçon douloureuse qu’il mettra à profit. Espérons qu’à défaut de lui mettre du plomb dans l’aile, elle lui mette du plomb dans la cervelle.
Rédigé par : Serge HIREL | 20 octobre 2024 à 14:03
« On ne sait pas, à l'heure actuelle, ce qui s'est vraiment passé à Stockholm » (PB)
Si.
Prix Nobel de football.
Rédigé par : Exilé | 20 octobre 2024 à 12:27
@ stephane
"Kylian Mbappé "est allé aux put*s""
Je ne savais pas qu'il jouait au golf.
Rédigé par : Solon | 20 octobre 2024 à 10:54
Quand Antoine Dupont fait un geste technique d'anticipation et de justesse incroyables qui apporte un essai, le retour dans son camp se fait toujours sans effusion démonstrative de victoire, c'est juste le jeu.
Le foot, où l'on se roule par terre, où l'on embrasse la pelouse, où l'on a le fétichisme religieux de se signer à la moindre action décisive, on a l'impression que le stock d'or des contrats à venir sert de boussole. C'est ainsi.
J'ai vu les images de l'entourage de KM et les gens censés l'entourer... C'est une pitrerie sans nom, KM finira comme Pogba, les rapaces sont déjà autour de lui.
J'ai entendu un journaliste dire qu'il faut des gens loyaux autour de soi, pour Aznavour vieillissant il fallait savoir s'entourer.
Le pognon abondant attire les mouches à bouses en essaim. KM est vu comme un coffre-fort, un placement, un capital. Cela ne durera pas. Ce n'est plus de l'amour c'est du pognon que tout le monde attend de lui, de la machine à cash, c'est vieux comme le monde.
Rédigé par : Giuseppe | 20 octobre 2024 à 10:10
Pas d'inquiétude pour Mbappé, son petit ange Nahel veille sur lui, même s'il est… « parti trop tôt ».
L’enquéquette progresse allah vitesse d'une voiture qui refuse d'obtempérer, d'ailleurs ne serait-ce pas ce qui s‘est réellement passé dans cet hôtel : la fille a dit stop, ou bien « je vous demande de vous arrêter » et voulant imiter son petit ange, notre héros du jour a refusé d'obtempérer, ce qui n’est plus un délit depuis qu’ils se multiplient allah vitesse grand V et que ce sont les policiers, ces manants ces marauds qui doivent rendre des comptes si accident, bavure, blessures, morts, la police tue, ben voyons !
Dommage que KM n’ait pas eu la même réaction aux morts de Lola, Thomas, Philippine et bien d'autres « partis trop tôt », il est vrai qu’ils sont blancs aux noms trop de souche et innocents, ce qui est une tare de nos jours, vaut mieux être hypermultirécidiviste et dans le bon camp, celui des délinquants de couleur, richesses chances futurs prix Nobel pour la Ceufran, très performants en chaos macronien.
Rédigé par : sylvain | 20 octobre 2024 à 09:33
« Mais la prudence dont il convient de faire preuve à l'égard de ces péripéties n'interdit pas de considérer que depuis quelque temps Kylian Mbappé semblait, comme on dit, filer un mauvais coton. » (PB)
Ah qu’il est difficile d’être une star internationale de nos jours.
- une contre-performance qui conduit à la défaite de son équipe,
- un petit mot de travers diversement apprécié,
- un transfert vers un club mythique qui suscite bien des jalousies et des aigreurs,
- une escapade en Suède qui, pour deux jours et surtout deux nuits, a coûté le salaire annuel de deux ou trois smicards.
- une aventure d’un soir avec une belle Suédoise
et c’est la bronca sur les réseaux sociaux et les plateaux télé.
Aussitôt le mot qui fait frémir toutes les féministes est prononcé : le "viol".
Finalement Mbappé est en train de connaître les mêmes déboires que les deux rugbymen accusés eux aussi de viol en Argentine, accablé par les tabloïds suédois qui se repaissent de cette affaire et une police peu encline à apporter des informations précises permettant de faire la part des choses.
Une affaire qui est bien partie pour faire "pschitt", mais qui aura eu le mérite de faire le buzz pendant quelques jours. Bref, un non-événement.
Rédigé par : Achille | 20 octobre 2024 à 08:20
Pour ceux qui n'ont pas capté, Kylian Mbappé "est allé aux put*s en Suède".
La question que chacun peut maintenant se poser est "si jamais il m'avait proposé une place dans l'avion, est-ce que je l'aurais accompagné ?". Posons-nous la question avant de tirer sur l'ambulance.
Certes on apprend souvent davantage des mauvais exemples que des bons mais il me semblerait bien injuste que le comportement de Mbappé fasse oublier les affaires Benalla ou les casseroles de Macron, Le Maire et autres.
On constate cependant qu'à Paris quand il était au Parc des Princes et selon la formule macronienne, Kylian n'avait "qu'à traverser la rue" ou plutôt le périphérique.
Rédigé par : stephane | 20 octobre 2024 à 07:48