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06 novembre 2024

Commentaires

Serge HIREL

@ Giuseppe | 12 novembre 2024 à 10:32
« Parmi les bouteilles commandées [par JMLP], on trouve des champagnes prestigieux comme Dom Pérignon et Bollinger. »

La commande comprenait aussi des bordeaux réputés (Pomerol, Saint-Émilion, Saint-Estèphe, Saint-Julien...).
Pas une seule bouteille de Picpoul de Pinet ! Voilà le vrai scandale ! JMLP doit être poursuivi pour non-apologie du plus grand cru de France... que dis-je, du monde !

Quant à Mediapart, honte à Plenel ! Il bâcle ses enquêtes... ou n’y connaît rien en œnologie. Autre motif d’insatisfaction : il publie ce qu’il sait au conditionnel... Pas même le courage d’assumer le risque d’aller faire un tour à la 17e Chambre...

Giuseppe

@ sylvain | 10 novembre 2024 à 22:15

Jordy et ses mémoires de guerre... Il a encore la goutte au nez, il nous expliquerait qu'il va faire illuminer le pays. Le Jordy Lumière est né. Jordy Motor pour réveiller la France, lui et son équipe qui passe au trapèze en ce moment, d'ici qu'ils ne se retrouvent pas au guignol...

La France n'attend plus qu'eux, ils aiment soi-disant la France, et il faudrait faire confiance, le procès de Marine Le Pen concernant l'affaire des assistants parlementaires du Front National est en cours, elle et 25 autres personnes sont accusées de détournement de fonds publics...

Ils ont des goûts de luxe aussi, le vieux aime le pétillant mais pas n'importe lequel, avec nos sous of course. Selon Mediapart, il aurait utilisé une partie de ses fonds alloués en tant qu'eurodéputé pour acheter plus de 8 500 euros de bouteilles de vin et de champagne. Parmi les bouteilles commandées, on trouve des champagnes prestigieux comme Dom Pérignon et Bollinger. Il a le gosier fin et la descente en pente douce et délicate.

Il paraît qu'ils défendent la veuve et l'orphelin, le FN/RN vrai parti humaniste, où l'on s'engraisse en famille, les pauvres ça pue mais il faut bien vivre, alors on s'affiche avec eux. Il faudrait leur laisser les clés de la caisse, heureusement pour nous elle est vide, et en partie c'est ce qui a fait peur à Jordy Ladégonfle, la peur du pouvoir et les coups à prendre quand il n'y a plus un rouble à distribuer, les leurs sont bien au chaud dans leurs poches.

sylvain

@ Giuseppe | 10 novembre 2024 à 12:58 (re-bingo)
"...une des plus puissantes entreprises du BTP du grand Sud-Ouest"

BTP ? Késaco ? Les Bataillons des Tastevins du Picpoul ?
Ben dites donc votre gosier a une sacrée pente en ce moment, attention, quand Bardella sera au pouvoir vos entreprises risquent de fermer, ce serait dommage de vous perdre, à bientôt Giusepicpoul !

Jean sans terre

@ Giuseppe

J’ai vu comme vous l’intervention du précédent Premier ministre. Je mets en suivant le lien pour que les gens voient :
https://www.publicsenat.fr/actualites/economie/derapage-du-deficit-ca-part-completement-en-sucette-clash-entre-gabriel-attal-et-le-rapporteur-general-du-budget?at_content=link&at_term=publicsenat&at_campaign=twitter&at_medium=Social&at_source=nonli
Il faut regarder en entier.

L’impétrant indigne dit assumer. Mais ce n’est pas de sa faute. Aucune notion de responsabilité. Ces gens-là n’ont pas montré de compétences particulières et ont encore des prétentions. Ils n’éprouvent pas la honte. Ils ne regardent qu’aux honneurs et au pouvoir.

Les médias, toujours objectifs, s’ingénieront à mettre dans la cervelle des électeurs que ces personnages ont des qualités naturelles supérieures d’administrateurs du parc français. Les Français ne demandent qu’à s’en persuader. Ils éliront en conséquence un des fonctionnaires de la République qui les a récemment administrés. L’essentiel sera sauf et ils seront contents, ayant fort bien fait par un vertueux front républicain qui épargnait à la France de retomber dans les heures les plus sombres de son histoire.

Pourtant, on continue à faire l’éloge de la démocratie populaire. Moi, ces choses-là me désespèrent. J’aurai de l’estime pour le peuple français quand il commencera à plus mépriser et à ne plus assentir et collaborer à son sinistre sort. En attendant, il mérite ses souffrances, n’ayant sans doute pas assez souffert. L’on pourra toujours gémir et se plaindre autant que l’on veut. Ce qui advient n’est rien d’autre que la manifestation de la volonté des Français. Ce sont eux les responsables. Ce sont eux qui mettent en place ces tristes sires.

Giuseppe

@ sylvain | 10 novembre 2024 à 10:21

Vous n'avez pas de pot comme on dit chez nous, d'un côté un type dont le seul fait d'armes est d'être biberonné à la tétine de MLP, il écrit même un livre où il se gargarise de mots, il voudrait se construire une légende, une histoire alors qu'il a encore la "mouquire" au bord du nez. Jordy Lalégende en marche... C'est d'un ridicule et d'une incongruité achevée.
Même Winston, les deux avec Volodymyr n'auraient pas osé, le Général Motor a écrit quand il était au bout d'une carrière bien pleine. Jean Lacouture pour écrire la vie des autres exceptionnels... Jordy Chupachups pour le futur grand destin de la France... Quelle poilade !

Et d'un autre côté un faiseur, un comme le pays attend depuis longtemps, il n'écrit pas ses mémoires, les siennes c'est crampons aux pieds et courage sur le terrain, pas comme l'autre qui vend de la brise et du vent.

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/xv-de-france/les-notes-des-bleus-apres-france-japon-dupont-en-patron-et-bielle-biarrey-intenable-20241109

Giuseppe

@ Jean sans terre | 10 novembre 2024 à 00:06

Jamais nous n'aurions osé cette familiarité obscène. Le numéro un du groupe nous a embauchés jeunes à la sortie de l'école, il nous a promus et puis il s'en est allé. Nous nous sommes revus, dans des repas, grand respect devant le courage et la classe de ce dirigeant, une des plus puissantes entreprises du BTP du grand Sud-Ouest. Jamais nous ne nous serions permis une telle familiarité et pourtant un vrai humaniste, un honnête homme au sens du XVIIe siècle.

sylvain

@ Giuseppe | 09 novembre 2024 à 21:06
"Nous avons de la chance en France d'avoir des spécialistes de haut vol qui ne manquent pas de sagesse"

Tout à fait d'accord, Jordan Bardella est un exemple de charisme, de flegme, de calme, il a des analyses très fines sur la situation économique et sociale de la France narco islamisée, ruinée, envahie, allah criminalité hallucinante qui fait passer le Mexique pour un jardin d'enfants.

Sur toutes les chaînes où il est invité, il a un très fort taux d'audience qui font crever de jalousie et de haine tous ses adversaires ; de même que son livre dont les commandes explosent, merci la cégété !

Les inquisitions charivaris et campagnes de calomnies nauséabondes fachos nazies lui glissent dessus, il a des plumes de canard, pas ceux du sudoueste canetons de gauche gavés allah pénicilline, un vrai mec de droite pure et forte qui marquera l'histoire de France dans quelques années, un Trump en plus calme.

Jean sans terre

@ Giuseppe

Vous avez pleinement raison, Monsieur. J’ai ressenti le même haut-le-cœur en voyant le geste. Ce genre de privautés obscènes et familières dit tout de cet homme qui a rang et titre de ministre de la République. Cela dit aussi beaucoup de l’état de dégradation morale de cette engeance qui nous gouverne. J’ai une fois de plus eu honte pour mon pays. Et une fois de plus, je me suis interrogé : comment peut-on voter pour cela ? Dieu que nous mèneraient loin pareilles méditations. On en désespérerait du genre humain.

Giuseppe

Nous avons de la chance en France d'avoir des spécialistes de haut vol qui ne manquent pas de sagesse. J'ai entendu Bruno Comby récemment, comme j'avais suivi à une époque un de ses collègues nous parler en formation de "L'analyse de risque à priori"... Tous les deux spécialistes du nucléaire, et pourtant...

Du suivant je me souviendrai toujours lors de sa conclusion de fin de stage, "Ne perdez jamais votre bon sens !", on parlait de sécurité dans des lieux pour le moins très explosifs, quant à Bruno Comby je vais aller chercher son bouquin qui a fait un carton, "Éloge de la sieste"...

C'est parfois déroutant mais j'ai entendu aussi fredonner, lors de repas de groupe, le numéro un, un air bien connu sur le farniente et ses vertus thérapeutiques... Je peux dire aussi que nous sucions les roues derrière une puissance de travail hors du commun.

Allez donc savoir pourquoi, mais quand je vois nombre de politiques qui ont le temps d'écrire je me dis ce n'est pas possible, certes ils ont une foule de conseillers mais quand même. Pour trancher on est toujours seul. Je pense qu'il faut un minimum de savoir scientifique pour diriger un pays, "the right man at the right place" aussi. J'entends beaucoup d'enfonceurs de portes ouvertes, pas beaucoup de courageux. Le résultat est sans appel, aujourd'hui les milliards de dette nous contemplent et le chômage qui repartira à la hausse.

sylvain

@ Giuseppe | 09 novembre 2024 à 10:18

Bingo ! Bonne pioche !

Giuseppe

"Un Debré au-dessus de zéro ?" (PB)

"...toutes ses fonctions lui ont été servies sur un plateau..."

En fait c'est un Degré au-dessous de zéro, je sais c'est éculé mais cela fait tellement de bien de le dire. Aujourd'hui cette génération tend à disparaître, la misère leur éclate à la figure, ils ont fait illusion, mais maintenant qu'il faut faire les comptes ils n'étaient que des gonfleurs d'hélices.

J'aurais préféré un avis pour Jean-Louis de la valeur de celui à qui j'attribue souvent ces paroles : "Seule la victoire est belle". Encore un sportif du Sud et de l'abnégation, du courage, du rayonnement de la France telle que l'aimait le Général Motor :

XV de France : Antoine Dupont, ce "monsieur plus du rugby" selon Pierre Berbizier.

Et pendant ce temps Lecornu - je suis persuadé que Belattar l'a fait intentionnellement -, se fait tapoter les omoplates par un type au parcours un peu boueux... Et je suis gentil. Le rayonnement de la France avec les podcasts de Pépère, Mongénéral doit avoir quelques soubresauts devant ces devantures censées nous représenter, il aurait adoré Dupont et sans doute vomi sur toutes les autres batouilles.

Giuseppe

@ Julien WEINZAEPFLEN | 09 novembre 2024 à 04:07

Julien j'espère que je n'ai pas à vous rembourser ;)

"Le petit patron qu'était mon père me répétait souvent que les politiques ne connaîtraient le poids de la responsabilité qu'ils aspirent à exercer que le jour où ils auraient dirigé une entreprise en devant y faire leurs preuves. Une petite entreprise, dont malgré le principe de "responsabilité limitée" évoqué dans le sigle de SARL, le gérant de société paie de sa personne et de ses deniers en cas de pertes financières..."

On est au coeur Julien ! Mon grand-père et son atelier, lui n'avait pas le temps d'écrire des bouquins à la gomme comme Le Maire, levé à l'aube et couché très tard.

Qui a connu les flashs d'exploitation ? le résultat qui s'affiche tous les mois, votre résultat, pas celui des autres, lutter pour rendre positif un budget d'exécution, l'abnégation, envoyer du béton dès l'aube en été, parcourir des couloirs d'hôpitaux inlassablement pour s'assurer que tout fonctionne...

Je pourrais y passer la nuit, j'ai gardé un seul diplôme, une seule médaille, un mot personnel transmis par le numéro 1 d'une immobilière puissante... Je pense souvent à son petit atelier, fidèle au poste jusqu'à près de 80 ans, il était de ceux qui pensaient que le facteur essentiel d'intégration était le travail. Il payait tout rubis sur l'ongle, c'était sa fierté, courageux sans jamais se lasser.

Quand je vois des types comme Lecornu se faire taper dans le dos familièrement par un Belattar j'ai la honte qui me monte à la gorge, et c'est le premier qui est le patron des armées en France ? Nous sommes fous ! Malgré tous les défauts de Trump, vous le voyez se faire taper dans le dos par un freluquet ou un lascar du niveau de Belattar ?!

Bon... Julien, il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte, aujourd'hui pelouse humide mais malgré tout souple, ce soir le Japon en guise d'ouverture des matchs de rugby internationaux, écharpe bleu-blanc-rouge de rigueur sur le canapé.

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@ sylvain | 09 novembre 2024 à 08:50

Si vous saviez combien nous appréciions les personnages de votre calibre, on les adorait, ils nous faisaient faire nos plus belles affaires. C'était un jeu entre nous, on les sentait venir à des lieux à la ronde, nous les roulions dans la farine... Souvenirs, souvenirs... Non seulement on sabrait le champagne, mais en plus on fêtait au pays de Raoul Barrière la langouste au beurre citronné accompagnée de Bréchallune 2023, La Croix Gratiot... Souvenirs souvenirs...

Et pendant ce temps Jordy qui en est encore au biberon penserait gouverner le pays ? Jordy Gouttedelait pour nous faire rire, n'a jamais planté une pointe de sa vie, a découvert lui aussi le marteau à bomber le verre... Nous sommes sauvés !

sylvain

@ notre Giuseppicpoul national
"Quand je suis sur le terrain, j’ai envie de gagner. J’ai encore des objectifs à aller chercher. J’ai du mal à concevoir le fait d’être moyen ou pas bon, donc je mets tous les ingrédients nécessaires. » (Antoine Dupont)."

Tous les ingrédients ?
Même la pétition collabo soumise lèche-babouches anti-RN, parti du sublissime Bardella dit "Jordy" la... comment déjà ? Ah oui, la bidouille, c’est ça ?

Giuseppe c’est Diogène dans son tonneau rempli de Picpoul sans modération.

Julien WEINZAEPFLEN

@ Giuseppe | 08 novembre 2024 à 14:39

"J'assume" ou "j'accuse" ?
Vous me volez les mots de la bouche en me privant d'un développement que je voulais faire depuis longtemps sur l'emploi jusqu'au tic verbal, depuis Manuel Valls jusqu'à Gabriel Attal, de ce mot "j'assume", extraction faite de toute responsabilité. Normalement, ce verbe, l'un des plus importants et les plus pesants qui soient, veut dire : "Je suis responsable de la décision que j'ai prise au point d'être prêt à la payer de ma vie s'il le fallait". Il se réduit chez eux à signifier : "J'ai eu le courage de prendre une décision et j'assume qu'elle soit mauvaise au cas où je l'aurais prise dans une certaine abolition de mon discernement".

Le discernement, quel mot présomptueux ! On ne prend que des décisions discutables aux conséquences incalculables.
Le petit patron qu'était mon père me répétait souvent que les politiques ne connaîtraient le poids de la responsabilité qu'ils aspirent à exercer que le jour où ils auraient dirigé une entreprise en devant y faire leurs preuves. Une petite entreprise, dont malgré le principe de "responsabilité limitée" évoqué dans le sigle de SARL, le gérant de société paie de sa personne et de ses deniers en cas de pertes financières, s'il fait faillite ou dépose son bilan (mon père tenait beaucoup à la différence qui existe entre les deux : il n'avait pas fait faillite, il avait déposé son bilan), là où le grand patron d'une entreprise du CAC 40, qui souvent a pantouflé à un poste de haut fonctionnaire (pour inverser la charge verbale habituelle concédée à ce mot de "pantouflage") avant d'être nommé responsable de la stratégie d'une multinationale, est désigné par un conseil d'administration qui le prie de bien vouloir accepter son offre, garantie par des retraites chapeau ou des stocks option qui sont autant de gages d'immunité quel que soit son bilan au sortir de la boîte qu'il aura vidée de ses actifs ou fait prospérer par son industrie.

"J'assume la dégradation de nos finances publiques pourvu qu'on me laisse continuer à les dégrader en paix, car j'ai eu "l'enfance d'un chef" (JP Sartre) et je suis né pour gouverner, j'ai une aventure à vivre avec les Français", semble se gausser Gabriel Attal, qui ne traite pas mieux les sénateurs que ne l'a fait Alexandre Benalla insultant Philippe Bas avant son audition par la commission des lois qui enquêtait à son sujet. La bande à Macron nous en aura fait voir de tous les pedigrees et a bien fait de recruter Bruno "le renouveau", qui nougea fait profiter de cha compétenche en chuintant et nous quitte en chantant "J'ai chauvé l'économie franchaige et mis l'économie ruche à genoux."

Giuseppe

« Quand je suis sur le terrain, j’ai envie de gagner. J’ai encore des objectifs à aller chercher. J’ai du mal à concevoir le fait d’être moyen ou pas bon, donc je mets tous les ingrédients nécessaires. » (Antoine Dupont).

On transmettra à Bruno Le Maire, et à tous ceux qui ont fui comme des voleurs, responsables jamais de rien, toute la différence est là. Tous ceux qui n'ont produit que de la misère. Jamais vraiment jugés, jamais les médias ne leur présentent l'addition, complaisance d'un monde feutré où tous ronronnent.

Et l'autre le Déballonné qui lance "Un président devrait écouter ça"... Loser jusqu'au bout de ses chaussettes, il ose encore investir un circuit pour lequel il n'est plus fait.
Il a été la risée d'une majorité de citoyens, Davet et Lhomme ont fini de le rendre ridicule. Je me demande s'il se rend seulement compte de ce qu'il représente et qu'il a représenté. Pépère et ses podcasts, Pépère à la plage, Pépère en images...

https://www.linternaute.com/actualite/politique/1380739-le-quinquennat-de-francois-hollande-en-xx-images-cles/1382706-les-bidochon-en-vacances

Quelle poilade ! Et dire que ce type a été Président... Cela laisse rêveur. Nicolas Sarkozy a carrément surnommé le couple, "les Bidochon en vacances". L'anecdote est tirée du livre "Ça reste entre nous, hein ?" rédigé par deux journalistes du Parisien (Flammarion). On n'a pas fini de rire.


Giuseppe

Le type de déclaration que j'adore :

"« J’assume la dégradation des recettes » : devant les sénateurs, Gabriel Attal défend son bilan"
https://www.lepoint.fr/economie/j-assume-la-degradation-des-recettes-devant-les-senateurs-gabriel-attal-defend-son-bilan-08-11-2024-2574798_28.php

On nous prend pour des couillons, des imbéciles, des moins que rien !
De ce type d'assertion on nous assomme en permanence dès que la gangrène est là et qu'il va falloir amputer à cause de leur nullité... Lui et les autres n'assument rien du tout, qu'on se le dise, c'est le contribuable qui doit se coltiner tout ce désastre accompli.

Le contribuable d'endosser tous les âneries, gabegies, dépenses inutiles, train de vie somptuaire, misère sociale, décadence, régalien pourri et en lambeaux... Je vais manquer de souffle, tous ces types n'en manquent pas eux, c'est à vomir. "J'assume"... comme s'ils avaient mis leur vie en danger, comme si les conséquences sur leur petite personne avaient un impact quelconque, alors je dis "J'ACCUSE !".

Ces menteurs n'assument rien du tout, ni la peur des fins de mois, ni le déclassement, le manque de logements, le manque de soins, le manque de partout, argent dilapidé, gaspillé, jeté par les fenêtres. "J'accuse !" en avance, bien qu'on ne soit pas le 13 janvier, assez de se fiche de nous et de ces "j'assume" à la gomme, lancés comme un papier gras qui tâche.

Ils se barrent comme des péteux, des voleurs de bicyclette, c'est pas moi c'est mon frère, partout c'est la Bérézina. Ces types nous envoient à Canossa et sans vergogne ils revendiquent un "j'assume"... Circulez y a rien à voir ! Vous êtes trop stupides pour comprendre.

Ils ont assumé depuis des décennies, on en voit le résultat et le Barnier nouveau pour recoller quelques morceaux. J'assume, quel horrible mot, celui de la défaite, du mensonge, du manque de courage qu'il aurait fallu avant, tant qu'il en était temps et possible.

J'assume rien du tout. Comme dirait Trump, pour assumer il faut passer à la caisse pour tout, le nouveau mandat qui se profile fait serrer les fesses à Bruxelles, il va leur faire assumer Trump, le courage en étendard, en plus lui va commencer à leur cracher dessus, d'ailleurs il a débuté en les menaçant et en présentant l'ardoise pour l'OTAN, à tous ces j'assume.

"Avoir foi en la perfection de l’homme, c’est très bien chez un homme d’Église, pas chez un Premier ministre." (Winston)

Serge HIREL

@ Giuseppe | 08 novembre 2024 à 09:20
« Robert Ménard a dit et redit qu'il s'était fourvoyé en particulier avec le FN/RN »

Il a aussi dit, en 2015, dans un entretien accordé à France-Afrique, qu’il était « d’accord à 80 % avec le Front national »...
Il est vrai qu’un an plus tôt, le FN l’avait largement aidé à prendre la mairie de Béziers. Son désaccord avec Marine Le Pen est beaucoup plus complexe qu’une simple brouille sur le programme. N’aurait-elle pas un peu le goût aigre d’une ambition personnelle insatisfaite, vous savez, le fameux « Je le vaux bien » ? Dans la sphère politique, cette maladie sans remède prend souvent des allures d’épidémie.

« Dans la vie, on peut se tromper », dites-vous. C’est exact et pardonnable. Mais se tromper pendant 39 ans, c’est peut-être un peu beaucoup... Prétendre qu’on est devenu « adulte » à 56 ans fait tout de même un peu sourire. Tout comme son insistance pour assurer que, secrétaire général de RSF jusqu’en 2009, il n’avait pas osé révéler ses convictions profondes (cf sa fiche Wikipédia, étonnamment détaillée).

Quant à sa gestion financière de la ville de Béziers, elle est loin d’être exemplaire : en 2023, la dette a atteint 123 millions d’euros et est supérieure de 13 % à la moyenne de la strate. Elle était de 115 millions en 2014, à son arrivée à la mairie.
La tchatche, « le bon sens », les poignées de main, c’est bien... mais il y a aussi les chiffres et le mur des réalités.

Giuseppe

@ Serge HIREL | 07 novembre 2024 à 19:50

Robert Ménard a dit et redit qu'il s'était fourvoyé en particulier avec le FN/RN.

"Le maire sortant Robert Ménard écrase ses adversaires avec 68,74 % des voix, il est largement réélu."
Il fait de la politique, il a acquis un puissant "bon sens" comme il dit, depuis qu'il est maire auprès d'une population disparate qui l'encense. Demandez aux commerçants place du marché à Béziers et dans les quartiers difficiles. Dans la vie on peut se tromper, il faut l'écouter dire que parfois il n'a pas la solution mais qu'il faut essayer, humblement, et regarder les résultats en face.

Quand il dézingue des types comme Morin, un moment seul sur le plateau à se gargariser, à se congratuler, avant que n'apparaisse Ménard, est un plaisir de fin gourmet. Oui c'est un plaisir de voir dégommer une baudruche qui n'a vécu que de mandats, et qui a participé lui aussi à la misère de la France.

Il le fait avec une langue de fer Robert Ménard, assez de ces politiques de salon qui ne brassent que du vent, des gonfleurs d'hélices qui cachent l'incompétence crasse. Ils ont mis à sac le pays et produit une dette qui va engendrer beaucoup de misère sociale. Assez de ces politiques à qui l'on trouve des qualités et qui ont laminé le pays, surtout quand ils ont été acteurs, et pas comme ferblantiers.

Ménard a sauvé le rugby à Béziers, il n'y connaissait rien mais cela fait partie de la vie de sa ville, de sa vie d'élu à lui, il vient de confier les clés du club à une paire d'anciens joueurs, All Black et Sud-Africain... Étonnant Ménard, toujours le mot dru et vert au bon moment.

Et puis il sait de quoi il parle, son planchot aux municipales à Béziers se passe de commentaires, il est légitime c'est pourquoi Morin est rentré dans sa coquille, il n'en menait plus large quand Ménard lui expliquait en creux qu'il était un dépensier gaspilleur d'argent public comme beaucoup de ses confrères.

C'est bien de faire comprendre aux électeurs qu'ils se font avoir, qu'ils achètent des statues non pas en bronze mais en fer-blanc, au mieux en régule. Tous les types comme Morin et d'autres méritent d'être dégagés, ils sont responsables, coupables, comme Bruno le Maire est responsable et qui nous expliquerait qu'il n'y est pour rien... "C'est pas moi, c'est lui !"... Sale type, sale mentalité, sept années argentier du pays et il se débine comme un péteux, "C'est pas moi ! c'est pas moi !", pauvre type.

Pépère qui donne des leçons, Sarko des conseils, Ségo et d'autres... Pouah ! plus de 3000 MILLIARDS de dette les contemplent, et 110 000 000 de pauvres par-dessus, tu parles de visionnaires ! Fuera !

Patrice Charoulet

@ Lodi

Vous m'avez mal lu. Je n'ai pas dit qu'Elon Musk était le crétin du mois, j'ai dit qu'Asselineau était le crétin du mois pour avoir affirmé : "Elon Musk est un génie".

P.-S. Notre (très chère) correctrice-modératrice a substitué "crétin" à "con". Nul ne peut lui en vouloir. Elle agit en son âme et conscience. Je lui sais gré d'avoir accepté cette... digression (qui n'est pas la première).

Julien WEINZAEPFLEN

Je me souviens de Frédéric Haziza disant à je ne sais plus lequel de ses interviewés sur "Radio J", non pas "un Debré au-dessous de zéro", mais "être bête comme Jean-Louis Debré."

Je me souviens de son frère Bernard racontant aux "Grandes gueules" de RMC comment sa mère l'enjoignait de ne pas abuser de son intelligence pour ne pas complexer son frère Jean-Louis.

Je me souviens de je ne sais plus quelle connaissance que j'avais, qui avait fréquenté tous les fils Debré dont celui qui avait abusé de stupéfiants et qui disait que le pire n'était pas celui-là, que les deux frères qui étaient dans la lumière n'étaient pas les plus sympas.

Je me souviens du début des mémoires de Jean-Louis Debré disant, à propos de Nicolas Sarkozy : "J'ai dû valider son élection", à regret, pas du tout comme Roland Dumas, après avoir fermé les yeux sur les comptes de campagne de Jacques Chirac parce qu'il ne s'agissait pas que l'État de droit s'écroule pour si peu que des détournements de fonds ou des dépassements d'honoraires, l'a accueilli avec une vraie courtoisie républicaine pleine de classe souveraine.

Je me souviens, toujours dans ces mémoires écrits comme un journal à la forme souvent étincelante et parfois drôle, de la manière dont Jean-Louis Debré se faisait tellement le soutien de Jacques Chirac qu'il prétendait non sans l'admirer qu'il avait épuisé son dernier majordome, mort de devoir canaliser tant d'énergie - il faut croire que nos pères de la nation sont de grands usagers de la bagatelle doublés de cannibales tueurs sans scrupule et sans vergogne.

Celui qui avait la réputation d'être bête selon Frédéric Haziza admirait sa bête politique. Mais il y a une tache qui pour moi écorne tout ce que Jean-Louis Debré a pu faire de bien : il a ordonné qu'on enfonce à coups de hache les portes de l'église saint-Bernard, ce qui était attentatoire moins au droit d'asile qu'à la vocation de lieu asilaire conféré à toutes les églises (on n'entre pas en armes dans une église), vocation dont parle saint Augustin dans les deux premiers livres de sa Cité de Dieu comme du sceau de la civilisation chrétienne s'imposant contre la romanité finissante en bute aux barbaresques.

Et je me souviens que Jean-Louis Debré s'est posé en laïcard adorateur de Marianne en écrivant des parodies du "Je vous salue, Marie", contre la seule vraie Notre-Dame de France.

Je m'en souviens et si je demeure sensible à la séduction de sa parole, cela discrédite à mes yeux la faconde de l'ancien président du Conseil constitutionnel qui succéda de quelques années à Philippe Séguin et s'attira les suffrages des députés de l'époque, moins, me semble-t-il, parce qu'il savait caresser l'opposition dans le sens du poil que parce qu'il connaissait tous les députés et se faisait fort d'interpeller son jumeau Bernard lorsqu'il chahutait dans l'hémicycle : "Monsieur Debré !"

Giuseppe

J'ai entendu Thierry Breton ce soir chez Pujadas, ces types n'ont rien compris, ils parlent, pensent, réfléchissent comme si le temps était éternel, il essaie lui aussi d'exister, il nous explique sur l'Europe ce que tout le monde sait, d'un air entendu de visionnaire au long cours... Tout ce que n'est pas Trump, qui est un entrepreneur, un faiseur, un bousculeur, un bouteur.
Breton parle le compassé, le vieux, le mou, il est l'image de l'inaction de l'Europe et de sa minuscule cohésion. On n'a pas fini de rire.

Il faudra passer à la caisse, il parle comme si on avait encore le temps, c'est d'une mollesse terrifiante, lénifiante, beaucoup de pays, beaucoup de contraires, rien ne pourra se faire, d'ailleurs rien ne s'est jamais fait, et toujours des perspectives en années.
Trump va expliquer à toutes ces pleureuses comment aller vite, à tous ces geignards qu'ils sont obèses de décisions jamais prises, il n'a pas fini de les secouer toutes ces momies européennes, incapables de se mettre d'accord sur la défense de l'Europe, une chimère sans fin. Mais lui ne mettra plus un dollar au pot, et il va leur expliquer qu'un jour le Cinglé balancera un Scud juste pour voir où ils en sont de l'aventure européenne et pour Trump ce sera sans lui.

Giuseppe

@ Serge HIREL | 07 novembre 2024 à 14:48

Jean-Louis est le prototype du collectionneur, lui c'est les breloques, d'autres les porte-jarretelles, comme les deux sont inutiles, au moins dans le deuxième cas si c'est au mérite c'est quand même plus sympa et surtout gratifiant. La quincaille se retrouve toujours dans les bacs de vide-greniers.

Lodi

@ Patrice Charoulet

Dire Musk le crétin du mois ! Mais jusqu'où la myopie vaniteuse ne va-t-elle pas ? Ceux qui n'accomplissent rien ne devraient pas dénigrer les gens ouvrant un nouveau monde. La médiocrité est le lot commun, mais on peut éviter de la marier au ridicule en croyant rabaisser des gens dont l'intelligence, le courage, la créativité vous rabaissent en comparaison.

Que dire ? Il y a pire que la grenouille se voulant plus grosse que le bœuf, la malheureuse ne dénigre pas le bovin, et elle essaie de grandir, à ses risques et périls... On ne cesse de tomber sur des lilliputiens tentant de ligoter des Gulliver.

En tant qu'Européen, je ne peux que regretter l'élection de Trump. J'avais même pensé à ne plus écrire, car à quoi bon.
Franchement... Cependant, quoi qu'on puisse reprocher à Musk, il a plus fait pour la conquête spatiale que beaucoup, ce passage obligé de l'avenir de l'humanité.

Je sais bien que la politique partisane passionne, mais enfin, il y a des choses comme la colonisation spatiale un peu plus fondamentales pour l'espèce humaine, type la conquête spatiale, qui tend à sa pérennisation.
Voulons-nous connaître le sort des dinosaures ? Surveiller et détourner les astéroïdes ne suffit pas.

Quoique déjà, le renvoi d’astéroïdes à la niche relève de l'astronomie, et non de ceux qui ne comprennent pas qu'il faut parfois lever la tête vers les étoiles.

Un volcan ou des guerres peuvent provoquer tout aussi bien la fin de l'espèce humaine voire de la vie.
Et l'expansion n'est pas qu'une assurance, elle est un développement, sauf que là, plus moral, dans la galaxie, on ne soumet ou extermine aucun peuple indigène. On ne tue pas même une forme de vie : on devra tout créer, terraformer. Quelle aventure !

Dommage que ce n'ait pas été avec les démocrates mais Trump ayant pris l'espace à cœur, il n'est pas franchement étonnant que Musk se soit allié à lui :

https://www.tf1info.fr/sciences-et-innovation/donald-trump-elu-president-des-etats-unis-un-tremplin-vers-mars-pour-spacex-et-son-pdg-2332706.html

Autre chose, à l'origine, la France et sa littérature ont soutenu le rêve spatial, à l'époque, notre pays se tournait vers l'avenir aussi bien que l'imagination. Alors qu'à présent ? Trop ne savent vaguement se rappeler de l'existence des sciences et d'entrepreneurs, liés à son développement, que pour cracher sur quelque figure que l'impopularité offre à leur ire.
Au lieu de se demander si, par exemple, l'enseignement ne décourage pas l'émergence de gens capables de relancer une conquête spatiale qui s'endormait quand la NASA n'avait pas reçu le sang neuf de Musk.

https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/industries/quand-on-a-vu-arriver-elon-musk-l-astronaute-michel-tognini-raconte-les-debuts-balbutiants-de-space-x_AV-202104230008.html

Parce que dire que Trump est méchant parce qu'il ne veut pas payer pour la défense de l'Europe, ou que Musk a des aspects déplaisants, c'est bien beau... Enfin, façon de parler.
Mais que faisons-nous pour nous défendre ou pour le futur de notre espèce ? C'est là, la question.

Attaquer pour esquiver les interrogations... On le critique d'élèves s'en prenant aux professeurs.
Mais si les enseignants suivent eux-mêmes ce genre de logique, faut-il s'en étonner ? C'est difficilement que quelques enfants peuvent en venir à s'écarter des mauvais exemples de leurs éducateurs.

Serge HIREL

@ caroff | 07 novembre 2024 à 13:47
« Michel Debré était affublé d'un entonnoir sur la tête par le Canard »

On ne prête qu’aux riches... Ce n’est pas le Volatile qui a coiffé Michel Debré d’un entonnoir, mais Charlie Hebdo. Le premier dessin du ministre de la Défense de Pompidou, l’ustensile symbole de la folie sur la tête, date du 20 novembre 1972 et est signé Wolinski
Deux liens : la « une » du numéro 105 de Charlie à vendre sur le site ebay et un excellent reportage sur les fondateurs du titre, publié par Presse-Actualités en janvier 1974 (voir les notes en fin de texte).

https://www.ebay.fr/itm/115098002263
https://blogs.mediapart.fr/patrick-le-cellier/blog/130612/hara-kiri-charlie-hebdo-cavanna-cabu-et-les-autres-vus-de-1974

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@ Patrice Charoulet | 07 novembre 2024 à 16:09

Grâce à ce commentaire frappé naturellement au coin du bon sens, le jury en question devra, le mois prochain, distinguer son président.

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@ Giuseppe | 07 novembre 2024 à 15:53
« J'ai revu Ménard décaniller Morin sur un plateau, un régal(...) »

Votre admiration pour Robert Ménard, élu local modèle et pourfendeur des « coupeurs de citrons », a besoin d’être un peu douchée. Il est vrai que le maire de Béziers, depuis quelques années s’est fait un nom dans la sphère politique de droite.... après une première carrière très médiatique à gauche. Il était alors le type même de l’activiste. Il a maintenant 70 ans, et, sous le costume d’édile... et l’influence bénéfique de son épouse, Emmanuelle Duverger, ex-députée non inscrite, mais très proche du RN, il a découvert une autre voie et s’est beaucoup assagi.
Certains disent qu’à Béziers, il a trouvé sa vocation. D’autres qui le connaissent mieux, assurent qu’il a beaucoup évolué... Il a la tchatche du pied-noir qu’il est et sait à merveille se créer un réseau et discourir sur le thème « le bon sens, rien que le bon sens ».

J’ai connu Robert Ménard dans sa vie précédente, secrétaire général de Reporters sans frontières. Effectivement, il n’en avait pas... La diffusion de communiqués battant le rappel contre les présidents africains proches de la « Françafrique » qui avaient enchristé deux ou trois de leurs opposants déguisés en « journalistes » était loin d’être toujours précédée d’une vérification sérieuse de l’information...

J’ai dans la tête l’un d’eux, qui fustigeait Omar Bongo parce qu’il avait interdit six hebdos paraissant à Libreville à quelques mois d’une élection présidentielle... L’enquête (sur place et preuves à l’appui) m’a permis de découvrir que les six titres, dans leur dernière édition, avaient affirmé en « une » que « le sage de l’Afrique » avait violé une demi-douzaine de jeunes femmes... Le seul reproche possible à adresser à OB était de ne pas avoir suivi la procédure légale en déposant plainte auprès de la justice... Il avait prétexté des impôts non payés... Le problème, c’est que L’Union, le quotidien officiel, ne les payait pas non plus... Mais cela, qui aurait été suffisant pour critiquer Bongo, « Robert » ne le savait pas... faute d’enquête.

Solon

À en croire certains commentateurs, il suffit de naître dans la bonne famille pour téter avec le lait maternel l'ensemble des connaissances qui font de vous un énarque, un ministre, un président du Conseil constitutionnel. Sans avoir besoin de se donner aucun mal et en menant une vie de sybarite.

Le seul danger est de subir les critiques de quelques esprits supérieurs qui ont été injustement oubliés par la renommée.

Ugo

@ Patrice Charoulet | 07 novembre 2024 à 16:09

Vous présidez le crétin du mois, j'en suis fort aise et bien dansez maintenant.

genau

Après ces coups d'étrivière, il vaut mieux être bref.
JLD a une certaine prestance, une suffisance suffisante pour suffire à tout ce qu'il a touché, au milieu de tant d'aigrefins du pouvoir, telle qu'on ne peut pas lui en faire reproche.
Il est bien né, a un joli parcours universitaire, s'est affronté à la vraie vie professionnelle dans ses fonctions de magistrat, puis, poussé par des vents favorables a eu une éblouissante carrière politique.

Et qu'aurait-il dû faire ? Il est né dans un sérail, fait une thèse maison sur de Gaulle, sans prendre de risques. On en connaît de ces thésards qui reprennent ce que tout le monde peut compiler. Donc, ce n'est pas un créateur ou un sherpa de l'ouverture du droit vers des horizons nouveaux. Une thèse sur le passé, c'est une thèse préécrite, un gros mémoire, encore que Schwarzenberg a dû lui donner un coup de pouce.

Bien sûr, tout le monde ne peut pas briller comme Bételgeuse (mon étoile favorite), ou trancher de tel ou tel, à la radio à la TV, mais il faut du talent pour ne pas trop fâcher, comme notre hôte, qui persifle à merveille. On ne peut jamais en vouloir à l'humour, décaperait-il mieux que l'acide.

Allons, que nous faut-il ? Une vraie dictature avec prisons, poteaux, censure, écrasement de la pensée, délation, enfin un fourniment bien sanglant.
Un sot cavalier porte un seau rempli de sceaux, le cheval fait un écart et voilà tous les éléments à terre, cavalier etc. comment écrivez-vous so ?... C'est à cela que ressemble l'histoire de JLD.

Patrice Charoulet

Le jury du crétin du mois, que je préside, vient d'accorder son prix à François Asselineau qui vient de déclarer, après la victoire de Trump : « Elon Musk est un génie ».

Giuseppe

Dans les populaires de certaines enceintes du rugby, à une époque, quand un joueur n'était pas bon, nul en fait, il était qualifié de "pipe". Eh bien en France nous y avons droit depuis des décennies, l'heure des comptes a sonné et ceux qui se prétendaient ou se faisaient passer pour des stratèges au cadrage-débord impérial ne furent que des pipes, "t'es juste bon pour couper les citrons !"... Et encore, ils pourraient se tailler les doigts.

Un drapeau de 1000 milliards à la fin de l'année, je ne sais si tous les élus qui pleurnichent pour de nouveaux ronds-points se rendent compte, au fond ils s'en tamponnent le coquillard, alors que nous devrions être immensément riches.
J'ai revu Ménard décaniller Morin sur un plateau, un régal, le second passant d'un état de lévitation à la moulinette de la réalité, celle qui dérange et que ne veulent pas entendre ces rentiers cossus de la politique.

Il ne savait plus où se mettre Morin, encore un coupeur de citron, il n'est pas le seul, le pays en a eu tellement qu'il faut même aller chercher des citrons ailleurs. Des pipes je vous dis, quolibet suprême dans une enceinte provinciale chauffée du doux soleil de la reprise du championnat. "Et en plus il a la trouille d'y mettre la tête !"... Robert Ménard en grande forme et sans langue de bois au pays où on sait ce que c'est qu'avoir des lutteurs, un pack de fer, pas de mensonges, juste la vérité sans se débiner.

Serge HIREL

@ Exilé | 07 novembre 2024 à 09:35
« C'est tout de même lui [Badinter] qui, ayant inversé la finalité du droit (...) »

Je ne juge ni ses convictions, ni les conséquences de son action à la Chancellerie. Sur ces points, je partage votre avis. Je constate simplement son autorité politique, sa connaissance des dossiers et son énergie pour réaliser les réformes qu’il souhaitait.

Être un « grand responsable » politique n’est pas nécessairement plaire au plus grand nombre (par exemple, supprimer la peine de mort quand l’opinion désire son maintien). Ce n’est pas se plier à un accord contre son gré pour conserver le pouvoir. C’est même exactement le contraire.

Le cas le plus emblématique est celui de de Gaulle après son retour au pouvoir en 1958. Ses adversaires les plus farouches, pour le combattre, ne l’ont jamais accusé de ne pas être à la hauteur de ses fonctions. L’argument aurait été pour eux un suicide politique tant il était faux. On pourrait même dire que c’est lui qui, les obligeant à mener un combat réellement politique (au sens noble du terme), a fait naître la génération des dirigeants de gauche « responsables » qui, en 1981, ont pris les rênes du pouvoir.

Leurs successeurs d’aujourd’hui ne sont pas, loin s’en faut, de cette race... Peut-être parce qu’ils n’ont pas en face d’eux un adversaire les obligeant à quitter le terrain de l’invective...

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@ Giuseppe | 07 novembre 2024 à 10:18
« Jean-Louis et son placard de quincaillerie et breloques de bazar et de pacotille »

Le placard des breloques de « Jean-Louis » est bien peu fourni : Chevalier de l'ordre du Mérite agricole et Grand-croix de l'ordre d'Isabelle la Catholique (Espagne).
Source : la même que la vôtre : Wikipédia... Vous auriez dû lire la fiche jusqu’à la rubrique « Distinctions et décorations »...

Pas même un petit ruban de chevalier de la Légion d’honneur... Pas même le Mérite... Tout juste le « poireau ».
Ah ! j’oubliais : « Jean-Louis » est le lauréat du 33e Prix Agrippa d’Aubigné qui lui a été décerné par le Lions Club de Saint-Jean-d’Angély en 2009 pour son livre « Les Oubliés de la République ».
Wikipédia ne sait pas tout...

caroff

Son père, Michel Debré, était affublé d'un entonnoir sur la tête par le Canard, du temps où cet hebdomadaire n'était pas un torchon gauchiste.

Donc double entonnoir pour le fils qui n'a pas tout eu dans son berceau...

Giuseppe

De qui se moque-t-on ? Bruno notre économiste international, mondialement reconnu, était au courant bien sûr, que je sache il n'était pas là en tant que gumologist :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/d%C3%A9ficit-public-bruno-le-maire-et-emmanuel-macron-deux-suspects-dans-le-viseur-de-l-enqu%C3%AAte-du-s%C3%A9nat/ar-AA1tELcd?ocid=msedgdhp&pc=EDGEESS&cvid=88e496ad957d4fee93d871bd4e808bd2&ei=72

Seulement responsable de rien, il vivait dans son petit confort, sans dissolution il y serait encore. Ils sont presque tous à l'image de ces types, Jean-Louis Debré et Cie au pays de Trump se seraient fait secouer autrement la couenne, chez nous on les décore.

Ils sont heureux en France, ils sont en place pendant des années, des décennies et tout ça pour une faillite du pays, décorés comme des généraux de l'armée Rouge en plus.
Jean-Louis et ses états de service pour une France qu'il a menée lui aussi à des résultats merveilleux de progrès et de richesses sociales.
Excusez du peu (Wiki) ! Jean-Louis et son placard de quincaillerie et breloques de bazar et de pacotille, plus de 6 % de déficit !! Deux fois ! Un régalien en ruine, un pays en état de cessation de paiement, et des impôts qui vont pleuvoir comme à Gravelotte, bravo à eux ces champions des tonneaux sans fond :

18 mai 1995 – 7 novembre 1995 : ministre de l'Intérieur
Gouvernement Alain Juppé II
7 novembre 1995 – 2 juin 1997 : ministre de l'Intérieur
Au Parlement
2 avril 1986 – 14 mai 1988 : député de l'Eure
23 juin 1988 – 1er avril 1993 : député de la 1re circonscription de l'Eure
2 avril 1993 – 18 juin 1995 : député de la 1re circonscription de l'Eure
12 juin 1997 – 18 juin 2002 : député de la 1re circonscription de l'Eure
16 septembre 1997 – 18 juin 2002 : président du groupe RPR à l'Assemblée nationale
19 juin 2002 – 4 mars 2007 : député de la 1re circonscription de l'Eure
25 juin 2002 – 4 mars 2007 : président de l'Assemblée nationale
Au niveau local
20 mars 1989 – 18 juin 1995 : conseiller municipal d'Évreux (Eure)
30 mars 1992 – 22 mars 1998 : conseiller général de l'Eure, élu dans le canton de Nonancourt
19 juin 1995 – 1er juin 1997 : adjoint au maire de Paris
23 mars 1998 – 18 avril 2001 : 10e vice-président du conseil général de l'Eure
18 mars 2001 – 12 mars 2007 : maire d'Évreux, président de la communauté d'agglomération d'Évreux
Au sein de partis
Secrétaire national du RPR, chargé de la Justice (1988-1993) ; porte-parole de l'opposition RPR-UDF, chargé des problèmes de justice et sécurité (1988-1993) ;
Secrétaire général adjoint et porte-parole du RPR (1993 -1995) ; premier secrétaire général adjoint du RPR (1995) ; membre du bureau politique du RPR ; secrétaire général du RPR par intérim (1997) ; membre du conseil politique du RPR.
Autres fonctions
5 mars 2007 – 5 mars 2016 : président du Conseil constitutionnel
depuis le 5 mars 2016 : président du Conseil supérieur des archives
Distinctions et décorations
Chevalier de l'ordre du Mérite agricole
Grand-croix de l'ordre d'Isabelle la Catholique (Espagne)

Ces types ne servent à rien, qu'on se le dise, si le ramage était à la hauteur du plumage chez ces bonimenteurs, nous devrions être les rois du pétrole.
Ils ne font que se succéder, enfilent des perles, et puis s'en vont repus d'eux-mêmes et satisfaits de leur nombril qu'ils font reluire.

Les médias sont complaisants, très complaisants, jamais ils n'attaquent avec la rigueur et la vigueur des pays anglo-saxons, et ainsi Bruno s'en est allé tranquillement se recycler en Suisse, ravie de l'accueillir, leur expliquer comment on dépense sans jamais se faire virer. Je ne suis pas sûr qu'il fasse l'unanimité au pays du lingot en métal précieux, aux coffres épais et aux biftons qui ne sont pas en monnaie de singe.

Mais comment la 6e puissance mondiale comme la France peut-elle être tombée aussi bas ?
Pourtant il paraît que nous avions les meilleurs, les plus visionnaires... Sarko, Pépère, Macron, Jean-Louis, Bruno et tous les autres l'ardoise vous contemple, la misère sociale au bout et ses 11 millions de citoyens qui vivent sous le seuil de pauvreté sur le porte-bagages que vous leur avez offert.

Il y a les philosophes de bazar, nous avons les politiques en fer blanc que nous méritons, reconduits à vie comme s'ils devaient nous sauver alors qu'ils creusent avec constance nos propres tombes, pas un de ceux qui se sont succédé depuis des lustres n'a été à la hauteur, le seul fait de créer de la mauvaise dette, du mauvais gras, devrait alerter et auraient dû être descendu en flamme par des médias lucides. Eh non ! Ils continuent tous d'inaugurations en commentaires distanciés pour un champion de la lose comme Pépère et ainsi de suite.

L'année qui arrive sera sans doute bouillante, on ne peut plus continuer ainsi, plus de 6 % encore en 2025, on va en avoir au moins pour dix ans à se remettre. Jean-Louis poursuivra sa route, heureux, béat, satisfait de lui, de son règne, de son parcours, et Bruno sera toujours là à vendre ses posologies d'illusionniste, Bruno Chiromancien et ses 1000 milliards perdus... Que voilà des sauveurs de pays méritants, des politiques dignes de statues en bronze à contempler pour l'éternité... Marc Bloch la connaissait bien toute cette gérontocratie d'esprit, bonne à perdre des batailles.

Exilé

@ Serge HIREL | 06 novembre 2024 à 20:50
« Où sont aujourd’hui les... Badinter... »

Hum...
C'est tout de même lui qui, ayant inversé la finalité du droit, nous a imposé le règne de la pègre et une anti-justice.

Giuseppe

Le plus grand ami de l'Europe sera Trump, s'ils veulent l'OTAN, c'est un point essentiel pour lui, il faudra qu'ils crachent tous au bassinet. Comme rien ne s'est construit en matière de défense en Europe, et comme tous commencent à avoir une trouille bleue du Cinglé - qu'il ne va pas manquer d'agiter -, ce sera mettre au pot ou se constituer une vraie armée de guerre, mais il est un peu tard.

Alors ils paieront tous, cash, ce que réclame Trump, le PIB qu'il faut mettre en face, de leur côté ils ont d'autres chats à fouetter en Asie.
Tu parles d'une indépendance stratégique de la France ! C'est beau comme l'antique, aller verser le sang comme l'Ukraine c'est quand il n'y a plus personne sur qui compter et personne ne versera le sien pour chacun des pays isolés, Trump est un entrepreneur tout ça il connaît, aide-toi le ciel t'aidera.

Les Ukrainiens se battent seuls, les armes ils les pleurent, et le Cinglé ne s'arrêtera que lorsque Trump sifflera la fin de la partie, et il va la siffler à l'avantage de l'Ukraine. La théorie du fou fonctionnera, sa victoire est large, et pendant ce temps on congratule partout celui que plus personne ne voulait, en attendant il va falloir s'y faire et passer à la caisse, il va se faire un plaisir de faire un coucou à tous et de leur montrer à nouveau l'ardoise.

Notre catalogue est sur papier glacé, des échantillons, il veut des étagères bien remplies Trump, le Cinglé a peur de lui sans aucun doute, il a été le premier à aider l'Ukraine, il ne lâchera plus, empereur des USA il revient en force, vous ne vouliez pas de moi mais aujourd'hui vous venez me chercher... Sacré Trump ! Jean-Louis, Pépère et consorts nous attendons vos commentaires, la France vous écoute... Il suffit de la croire dirait le Volatile cher au Général Motor.

Le seul message de Trump à l'Europe c'est de passer à la caisse, et question spiritueux il a déjà expliqué à Macron comment les échanges devaient se produire au pays où les centrales d'achat nationales payent plus cher le stylo bille que le pékin du coin qui va le chercher au supermarché.
La dissolution et Trump les remèdes pour changer un pays où les politiques vivaient de rentes... C'est fini !

Serge HIREL

Je l’avoue, j’ai du mal à comprendre les raisons de cette mauvaise humeur de notre hôte qui foudroie l’une des personnalités de notre République suscitant au contraire un consensus quasi général. Son portrait dans VA n’est pas à ce point dithyrambique qu’il exigeait un pendant aussi féroce.

Certes, Jean-Louis Debré est né au sein d’une belle famille proche du Général et n’a pas eu à fréquenter les antichambres du pouvoir pour accéder à ses salons. Mais est-ce malsain en politique d’être fidèle ? Est-il raisonnable de soupçonner JLD d’amitié intéressée avec Jacques Chirac, faute d’une compétence personnelle lui permettant l’exceptionnelle carrière que l’on sait ?
Est-ce une faute en politique d’être affable courtois et accueillant, tout en maintenant le cap en matière de convictions ? N’aurait-on pas aujourd’hui un Premier ministre de cette trempe ? Certes, cette posture qui suscite l’adhésion n’est plus à la mode... Mais on ne peut que le regretter.

Tout comme l’on déplore la bassesse des échanges à l’Assemblée nationale, dont la présidente actuelle est incapable d’arrêter le flot. Quel plaisir serait d’entendre JLD, siégeant au perchoir, sermonner les Panot, Rousseau, Boyard, Kerbrat, Obono et autres Delogu, avec la pointe d’humour qu’il sied pour les ridiculiser.

Quant à son bilan au ministère de l’Intérieur et au Conseil constitutionnel, il ne mérite pas une telle appréciation négative. À Beauvau, il a « tenu la baraque » pendant deux ans sans coups de menton inutiles, mieux que n’importe lequel de ses prédécesseurs et successeurs de gauche. Rue de Montpensier, il a fait en sorte que l’institution reste réellement une cour suprême, aussi éloignée que possible du quotidien politique... Ce que son successeur, Laurent Fabius, resté clairement de gauche, s’est empressé d’oublier.

Alors qu’aujourd’hui, retiré de la vie politique active, Jean-Louis Debré se permette quelques sentences musclées sur la classe politique qui a succédé à la sienne, laquelle fut autrement plus respectable et respectée que celle-ci, cela n’a rien d’incongru. D’autant plus qu’encore aux affaires, il lui arrivait déjà de ne pas retenir sa langue. Balladur et Sarkozy en ont fait parfois les frais...

On pourrait dire que « sage » il le fut, sage il est resté. Qui peut contester que les candidats plus ou moins déclarés à la prochaine présidentielle ne se comportent pas comme de « jeunes coqs » se mesurant les uns aux autres ? Qui pourrait contester que, dans leur immense majorité, les dirigeants politiques actuels, Macron le premier, ne sont de « grands responsables » ? « Responsables »... Ont-ils tous bien compris le sens de ce mot ?

Où sont aujourd’hui les Pompidou, Peyrefitte, Malraux, Frey, Pleven, Marcellin, Chaban-Delmas, Messmer, Barre, Giscard, Couve de Murville, Fourcade, Mauroy, Badinter, Delors, Mitterrand, Cheysson, Chirac et beaucoup d’autres... Sans oublier Michel Debré, le père de ce « fils à papa », sujet du réquisitoire de notre hôte ?

Xavier NEBOUT

Ça c'est du costard !
Le tailleur de Fernand Raynaud ne ferait pas mieux.
Coupe melba, en nylon éponge, pas un défaut.


Giuseppe

On annonce 6,10 % de déficit pour 2025, il paraît qu'on "gagne partout" disait le numéro 1 et quand il regardait le résultat en bas de la feuille c'était "au final on perd tout".

On nous raconte des sornettes, à quoi bon être le pays soi-disant le plus attractif si au bout du compte ça ne rapporte rien que déficit, misère associée et éclatement de la société, Gilets jaunes et régalien complètement explosé.

Le courage a manqué, la démocratie c'est du populisme habillé en carnet de chèque, gaspillages d'argent public, communes, communautés de communes, départements, régions, métropoles, grand ceci, grand cela, des empilements de matières comme s'il en pleuvait, toutes perméables entre elles.

Des fuites partout, maintenant on en est à revoir tous les systèmes d'achat, je conseillerai à tous ces énarques un stage prolongé de sensibilisation auprès d'une structure du BTP pour voir comment ça se passe et ce n'est pas dans les livres que la recette existe. Négocier pour survivre, pour améliorer un résultat, pour se sortir d'une tranchée boueuse, négocier parfois comme des chiens pour y arriver, sans lâcher le morceau, ou avec la douceur angevine.
Je pourrais y passer la nuit.

On en parle maintenant alors que tout cela existe depuis tellement de temps ces gabegies, on devrait remercier Macron, en provoquant cette dissolution il a mis un grand coup de tatane dans ce monde de gazelles qui ronronnait avec le pognon de dingue des autres. Des puits de richesse il y en a partout, il suffit de se baisser, il faut "en vouloir du mastic" pour aller les chercher. Comment justifier deux années consécutives à plus de 6 % de pertes !! On aurait été viré avec pertes et fracas, la porte grande ouverte et le pied aux fesses.

https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/le-deficit-public-des-etats-de-l-union-europeenne/

Nous sommes à la traîne partout, alors que nous devrions être moteur, seulement le moteur a plus que des ratés, il s'étouffe, trop d'air à l'admission, trop de batouilles se sont succédé, pas assez de carburant. Les mesures sont des mesurettes, une goutte d'eau, l'hiver va être très chaud. Pas un rouble dans les caisses et les cadeaux de Noël arrivent, il va bien falloir les préparer et ce n'est pas une mince affaire, on ne possède même plus le papier d'emballage.

Exilé

« J'ai bien connu et apprécié le premier (...) » (PB)

Et vous avez bien eu raison, car c'est lui qui a le mieux servi humblement l'humanité, en France et dans le monde jusqu'en Chine où il enseignait.

Giuseppe

Jean-Louis Debré... Un gâté de la République, on se demande toujours comment ils ont pu arriver à ces postes dans un État démocratique lui et tous ses semblables, comment ils ont pu durer autant, c'est aussi un mystère de la démocratie.

Il fait partie des rentiers dorés sur tranche de notre pays, élu et coopté à vie, à l'image du Dodu du Sénat. Ils font partie de tous ceux qui ont mis le pays à sac, ils ne peuvent pas dire non, ils y étaient, ont traversé des décennies de pouvoir et pas comme techniciens de surface ou décolleteurs.

Je suis époustouflé de tous ces rentiers, qui vivent toujours et encore de viagers de nos deniers publics, ils devraient avoir un peu honte de nous avoir mis dans la panade sous des airs de sachants, qui ont peu à peu porté la misère, ils n'ont servi à rien ou pas grand-chose, le pays est à sac, en faillite, sans que ça les émeuve.

J'adore le ton docte de Jean-Louis qui nous explique son père compagnon du Général ou qui donne des leçons de maintien.
Oui il a été de tous ces gouvernements de misère qui ont conduit le pays aujourd'hui au désastre et à la misère régalienne, lui qui se prétend grand régalien... de bazar, si j'en crois ses résultats économiques et politiques pour la France, celle qu'il nous ferait croire qu'il a sauvée des eaux.

Je ne comprendrai jamais comment on pouvait durer autant, heureusement les temps ont changé, en bien ou en mal au moins le paysage s'éclaircit en espérant peut-être un jour qu'un homme exceptionnel se lèvera, mais le droit devra être revu, le millefeuille foutraque des territoires remis en ordre de marche. Muscler, commander, diriger et comprendre qu'être fort c'est au niveau de flottaison d'un compte courant que l'on respecte les États. C'est ainsi.

Quelle folie ! Rien n'a changé, un gouvernement provisoire, nos politiques sont devenus des puisatiers, poseurs de crépines, et s'ils avaient des notions de nappe de rabattement, ils sauraient qu'ils auraient besoin en plus de construire des parois moulées, Jean-Louis est un très grand bourgeois de la monarchie parlementaire, il en est sorti indemne et satisfait de lui, quant aux citoyens ils se contenteront d'attendre la fin du mois, et la venue des feuilles d'impôts.

Empereur de mandats lui aussi, il n'a fait que passer, son père était là sans doute trop tôt. Un héritage qu'il a reçu, une belle dot politique, elle lui a réussi, pour la France c'était un peu maigre, il n'était pas son père.

Françoise Boulanger

Monsieur Bilger,

J'attends votre billet sur l'élection américaine avec grande impatience ! Ce matin je me demandais si vous alliez être présent parmi les invités de Pascal Praud et j'étais soulagée de ne pas vous y voir ! (Personnellement je n'ai pas approuvé ce qui s'y est dit sur la victoire de Trump...).
Cordialement

Ugo

Bravo Trump, bravo aux vrais Américains... n'oubliez pas de rendre aux faux démocrates la monnaie de vos pièces !

Trump savait qui est Macron, sa célèbre phrase reste gravée dans le marbre : "Tout ce qu'il touche devient de la m*rde"... Pour le prouver il n'y a qu'à constater le délabrement de notre pays depuis sept ans et demi... Je félicite nos généraux élevés dans l'amour de la patrie sans résultat probant sauf pour eux-mêmes, hormis quatre ou cinq d'entre eux !

Jérôme

JLD a récupéré l'entonnoir de son père. Ces personnages m'interrogent sur les supposés qualités nécessaires à la réussite en politique. Servilité et médiocrité semblent essentielles.

Tipaza

Un billet cinglant d’humour froid ou d’ironie, comme on voudra. J’ai adoré, vraiment.

"À la réflexion, la position la plus confortable pour une destinée notamment politique est de l'avoir achevée sur le plan de l'activité" (PB)

Il reste après, bien après, au choix des remords, des regrets, des souvenirs ou chez les plus grands, des mémoires qui font partie de l’Histoire.
C’est selon la qualité du personnage.

Si j’en juge par la photo, qui une fois de plus est une brillante synthèse du billet, JLD ferait mieux de se taire.
Je suis d’accord.
Le silence est encore le meilleur argument dans certaines situations. ;-)

Achille

"Jean-Louis Debré a été un magistrat oubliable, un ministre de l'Intérieur remplaçable (...) Président du Conseil constitutionnel, il a eu la chance d'être assisté..." (PB)

Bref JLD est un homme ordinaire, un monsieur Tout-le-monde, sans aptitudes particulières. Il a réussi à atteindre les postes les plus prestigieux simplement par le fait qu’il était l’ami de Jacques Chirac, dont les capacités n’étaient pas vraiment supérieures mais qui avait le charisme qui désigne les leaders.

D’où l’importance de bien choisir ses amis quand on se lance en politique, vu que le talent est finalement accessoire.
La meilleure preuve étant J-L Mélenchon. Beau talent oratoire, mais qui a derrière lui un parcours bien médiocre semé de défaites. Pourtant il n’est pas mort, il bouge encore (politiquement bien sûr !) !

Jean sans terre

Il est de nombreux hommes qui ont l’intelligence fine et le caractère mesquin.

À sa place, j’aurais dit : « Il n’y a plus de grands personnages. Pis, ceux qui restent n’aiment plus la France ».

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